đȘ Demain Nous Appartient En Avance 958
4 958) En ligne | (47 475) En ligne 24h | Cherche Femme | Cherche Homme | Nouveaux | Recherche avancĂ©e. Recherche Ăge: Ă Pays: RĂ©gion/Province: RĂ©gion/Province: Mise Ă jour du formulaire Femme cĂ©libataire Lassy CĂ©libataire Lassy | Homme cĂ©libataire Lassy PLUME44400, 66 ans Reze, Pays de la Loire 8 photos . Une belle histoire-femme cĂ©libataire de 66 ans cherche
DansDemain nous appartient, Olivier compte faire chanter Sacha. Judith s'agace de voir Souleymane prendre ses distances. Hadrien fait le buzz Ă la paillote.
Quelquesminutes plus tard, Flore s'exĂ©cute donc et propose Ă Arnaud de l'Ă©pouser. Jeanne et Robin reviennent au mas. En effet, un spĂ©cialiste lâa aidĂ©e Ă dĂ©couvrir Ă qui appartient la chevaliĂšre retrouvĂ©e chez Franck ! Elle reconnaĂźt avoir postĂ© des photos de Victoire Lazzari sur le site âtrashe ta blondeâ. Alex part en bataille, il ne veut pas tout perdre lors du divorce
Voiren replay et en streaming Demain nous appartient - 1026. Episode 1026 - Episode 1026 - Victoire se montre de plus en plus imprévisible. Georges - Orange . Toutes les chaßnes Cinéma Divertissement Séries et fictions Jeunesse Documentaires Info / Mag Sport Musique Plus. Toutes les chaßnes Cinéma Divertissement Séries et fictions Jeunesse
Demain nous appartient » en avance du 02 septembre 2021 : Mona est élÚve au lycée AgnÚs Varda, Clément sait des choses sur Bart (Résumé et Spoilers épisode 1005) #DemainNousAppartient #Spoilers
Dansle cadre de la loi de finances initiale pour 2020, l'Assemblée nationale et le Sénat ont voté la mise à niveau du tarif des droits d'accise sur le gazole non routier ( GNR ). Cette mesure devait s'appliquer en 2021, mais le retour à un tarif normal a été renvoyé à 2022, puis à 2023.
Demainnous appartient saison 4 Ă©pisode 252 : Ăpisode 958 : La chute #12 - VidĂ©os, acteurs, rĂ©sumĂ©, notes, commentaires, audiences, courbe des moyennes, citations Les avantages du compte Donnez votre avis et commentez Devenez contributeur CrĂ©ez et gĂ©rez votre sĂ©riethĂšque Et bien plus.
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Demainnous appartient : Mercredi 30, Ă 18h30 Ă©pisode 958 : La police a une piste concernant Vinciane Allard, une ancienne maĂźtresse de Sacha. Olivier est prĂȘt Ă tout pour apaiser les
Demainnous appartient # 4 252: Episode 958. La police a une piste concernant Vinciane Allard, une ancienne maĂźtresse de Sacha. Olivier est prĂȘt Ă tout pour apaiser les souffrances de sa fille, quitte Ă prendre des risques inconsidĂ©rĂ©s. Hadrien sâimprovise barman Ă La paillotte, contre lâavis de Tristan. Judith et Noa se rapprochent. PopularitĂ©. 5 - 1 vote. PremiĂšre diffusion en
rĂ©sumĂ© Ă©pisode 958 en avance) Plus belle la vie spoiler : Emma prĂȘte Ă dĂ©noncer Justine (vidĂ©o PBLV Ă©pisode n°4605) Les 12 coups de midi : StĂ©phane dĂ©croche lâĂ©toile mystĂ©rieuse (indices expliquĂ©s) Demain nous appartient spoiler : le dĂ©part de Samuel (vidĂ©o Ă©pisode du 26 aoĂ»t)
LesĂ©pisodes dâIci tout commence et Demain nous appartient sont Ă©galement disponibles en avant-premiĂšre sur la plateforme Salto, avec 48h dâavance. C.S Les derniĂšres news tĂ©lĂ©
Les32 jours de Besson Besson menteur : "En personnes ont été interpelées pour des faits d'aide illicite à l'entrée et au séjour d'immigrés en situation irréguliÚre. Nous vous demandons de viser un objectif de 5000 pour l'année 2009." (Extrait de la lettre de mission adressée à Eric Besson - à télécharger ici) De l'usage des "cojones" en politique.
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Cetarticle prend appui sur une ingĂ©nierie Ă©valuative courte que nous avons dĂ©veloppĂ©e puis testĂ©e auprĂšs dâĂ©lĂšves. ConsacrĂ©e Ă la lecture en fin de cours prĂ©paratoire, lâingĂ©nierie sâinscrit dans le cadre des approches psycho-didactiques des Ă©valuations (APDE). Il sâagit dâapproches qualitatives dont la spĂ©cificitĂ© est de prendre comme point de dĂ©part les
q2FC. PoĂšme sur la paix dans le monde. Il compte 3087 vers et 1037 auteurs diffĂ©rents de partout dans le monde, dont RaĂŽul Duguay, y ont contribuĂ©. 1- La PAIX dans notre monde, est un RĂVE qui sâĂ©veille ; 2- Il sâĂ©tire, il respire, sourit et sâĂ©merveille, 3- Regarde par sa fenĂȘtre Bonheur et PauvretĂ©, 4- Amour et Solitude, MisĂšre et AmitiĂ©. 5- Pourquoi tant de souffrances ? Pourquoi tant dâinjustices ? 6- Quand on peut sâentraider en devenant complices 7- Des Sourires de la Vie, des Caresses enjouĂ©es 8- OĂč sâĂ©vaporent la haine, et la rivalitĂ©. 9- Mais, pourquoi ce beau RĂVE sâest-il donc envolĂ© ? 10- Ătait-ce trop pernicieux pour lui que de rester ? 11- Nâaffichions-nous pas de la crĂ©dibilitĂ© ? 12- La dĂ©ception lâa dĂ©fait, lâa empoisonnĂ©. 13- Ă tout prix, nous devons reconquĂ©rir ce RĂVE. 14- Pour quâil soit prĂ©sent bien plus quâune minute brĂšve. 15- Et enfin vivre en Symbiose avec lâAmour. 16- Reviens PAIX ! Fais de nous des Ătres dignes de toi 17- Rends-nous heureux, fabuleux et remplis de Joie 18- Nous sommes nombreux Ă porter la lourdeur 19- De la haine et lâenvie qui donne mal au coeur 20- RĂ©sistons au goĂ»t de la vengeance qui nous habite 21- Quand Ă notre porte la violence sâagite 22- Visionner dans sa tĂȘte un RĂVE si magnifique 23- Câest semer lâEspoir, vibrer en Harmonique. 24- Simple Ă dire, tellement complexe Ă rĂ©aliser! 25- La RĂ©alitĂ© nous fait voir tant dâiniquitĂ©s. 26- La derniĂšre chose Ă faire⊠sĂ»rement dâabdiquer. 27- Et si on commençait dâabord par sâengager. 28- Si on osait prendre nos ResponsabilitĂ©s. 29- De lĂąches, dâindiffĂ©rents, on ne pourrait ĂȘtre taxĂ©s. 30- Assumons-nous, faisons de la PAIX notre panacĂ©e 31- Serrons-nous fort pour que lâAmour nous envahisse. 32- Semons le Bonheur sur cette Terre pour quâil grandisse. 33- Les Yeux dâEnfants ne devraient pas voir toutes ces guerres. 34- Pas plus que ceux des grands qui ne savent quâen faire. 35- Ne pas faire la guerre, ça ne servira Ă rien. 36- LâAmour, la Joie et le Bonheur câest vraiment bien. 37- La guerre sanglante ne changera rien aux VĂ©ritĂ©s. 38- Faire la PAIX, câest semer lâAmour et lâAmitiĂ©. 39- DĂ©ployez votre coeur, nâayez surtout pas peur. 40- Montrez tous vos Sentiments et votre grand Coeur. 41- Enterrez la hache de guerre et aimez-vous. 42- Si vous aimez la guerre, vous ĂȘtes vraiment des fous. 43- Pourquoi si on a la CapacitĂ© dâAmour, 44- On ne se sert pas de ce beau Talent toujours ? 45- Pour ces jours que logeront nos Vies dĂ©sormais 46- Avec leurs Joies, leurs inĂ©vitables tourments 47- Pour ce possible Destin sâabreuvant de PAIX 48- Jâaime le plus possible et je souris, hĂ©sitant 49- Ă chaque pas fragile que le conquĂ©rant fait 50- Alors quâil trĂ©buche dans la haine si facilement 51- Il nous faut tous les jours chanter, rire et danser 52- Donner le Soleil de nos yeux aux mal-aimĂ©s 53- Un Partage spontanĂ©, gratuit et si volage 54- Que les Coeurs tristes chĂ©riront cette belle Image 55- Avons-nous perdu le Sentier de lâInnocence 56- Pour que nos RĂVES se trouvent prisonniers de lâabsence 57- Laisserons-nous nos Voix Ă©teintes pour lâinstant 58- Car lâImagination nous habite pourtant 59- LâAmour, la PAIX et lâAmitiĂ©, câest bon pour nous. 60- La guerre et lâinjustice, ce nâest pas bon pour tous. 61- Ne faites pas la guerre, parlez-vous pour notre Bonheur. 62- Ne faites pas la guerre, mais vivez avec votre Coeur. 63- La PAIX aide contre la guerre, mais la guerre rĂ©plique 64- On veut toujours la PAIX, mais la guerre met des piques 65- La PAIX dans le Monde, câest mon RĂVE le plus cher. 66- Pourquoi ne pas arrĂȘter la guerre sur la Terre ? 67-Tuez si vous voulez, mais on va vous arrĂȘter. 68- Cessez de tuer et vous serez rĂ©compensĂ©s. 69- Vivez en PAIX, en Amour et en AmitiĂ©. 70- Vivez en sĂ©curitĂ© et bien protĂ©gĂ©s. 71- Sur la Terre, vivons tous en PAIX et en FiertĂ©. 72- Vivons tous ensemble avec joie et sĂ»retĂ©. 73- Pourquoi sur ce Monde, il y a beaucoup de guerres ? 74- Pourquoi la guerre et la souffrance sur cette belle Terre ? 75- Jâaperçois au loin un nuage de dĂ©sespoir. 76- Faites la PAIX, comme ça personne ne pourra le voir. 77- Soyons en PAIX, en Harmonie et non vulgaire. 78- Sur la Terre, pourquoi il nây a que la guerre ? 79- Dieu nous a créés pour la Paix et lâHarmonie. 80- Ne faites pas la guerre, devenez des bons Amis 81- ArrĂȘtez la guerre, aimez-vous sâil vous plait. 82- ArrĂȘtez la guerre et goĂ»tez au Pain de PAIX. 83- Pourquoi sur la Terre, la guerre continue encore ? 84- Pourquoi sur la Terre, les enfants vivent tant de morts ? 85- Sous une bonne Ătoile, il y a beaucoup de PAIX. 86- Quand la guerre sera finie, nous serons en PAIX. 87- Pourquoi ne pas sâaimer autant sur notre Terre ? 88- Câest si beau la PAIX dans une belle annĂ©e scolaire. 89- Les bagarres ne sont pas souhaitĂ©es, les Paroles, oui. 90- Les Mots sont idĂ©aux pour rĂ©gler les conflits. 91- Les gens prĂ©fĂšrent la PAIX, mais la guerre continue. 92- La guerre en Afghanistan nâest pas bien, elle tue. 93- Au lieu de crier, voler et de faire du tort, 94- Parlez-vous, aidez-vous, allez jouer dehors. 95- La PAIX ça commence par battre dans le Coeur. 96- Ăa insuffle Ă la Vie un goĂ»t de grand Bonheur 97- Si tout le Monde sâaime, on sera bien mieux. 98- Faites la PAIX, pas la guerre pour lâAmour de Dieu 99- La PAIX! Quel beau Mot rempli de Messages dâEspoir! 100- Ă quoi ça nous sert de toujours broyer du noir ? 101- Car vivre dans lâAmour, câest lâEssence de la Vie. 102- Et la Vie est faite pour vivre en Harmonie! 103- Quoi de mieux Ă vivre quâune Vie en Amour ? 104- Rien, sinon, mieux chĂ©rir la PAIX Ă tous les jours. 105- Si elle ne revient pas, un Amour disparaĂźtra 106- Alors plus de toi, seulement du moi voilĂ 107- Et de notre Ă©goĂŻsme, de cela naĂźtra 108- Un Hymne final, un Hymne au trĂ©pas. 109- ArrĂȘtez les guerres avant quâil ne soit trop tard, 110- ArrĂȘtez avant que la PAIX soit dĂ©jĂ dans lâhistoire, 111- Et quâelle ne revienne plus sur cette Terre sans pitiĂ©, 112- OĂč les hommes haĂŻssent, oĂč ils ne savent pas Aimer. 113- La PAIX, câest deux Hommes qui se serrent la main 114- Un jour tout le Monde sera uni⊠demain ? 115- LâEnfant sâĂ©panouit, Embryon dâun jour, 116- Commencement de la Vie, Espoir de grand Amour. 117- La PAIX câest la Famille, Partage de bon Pain 118- OĂč jaillit lâĂmerveillement dans lâEsprit Divin. 119- LâEssentiel est dans la Parole et dans le Geste 120- Lever un Regard, MajestĂ© des montagnes 121- Ficeler son AmitiĂ© au grĂ© des campagnes 122- Libres dans un Vent oĂč la PAIX se manifeste. 123- Le grand voile lumineux de la PoĂ©sie 124- Est le TĂ©moin de notre besoin dâHarmonie 125- Il est le Souffle qui nous protĂšge, nous libĂšre 126- Et qui nous pousse Ă croire en un Monde sans guerre. 127- Si nous nous entraidons, nous rĂ©ussirons enfin. 128- Si on croit en la PAIX, nous irons trĂšs trĂšs loin, 129- Nous aurons un Monde sans guerre pour de bon⊠130- Et pour toujours, Ensemble, nous sourirons. 131- Comme on serait bien si le Monde Ă©tait Parfait 132- Et que pour toujours nous vivions dans la PAIX 133- Pour que la Vie ne soit que de bons Moments, 134- Une Ronde de toutes Races, toutes couleurs 135- Se tenant par la main, ce serait le Bonheur. 136- Si on veut lâAmitiĂ©, il faut la rĂ©vĂ©ler. 137- Si on fait la bataille, la Jeunesse va payer. 138- ArrĂȘtez lâinjustice, arrĂȘtez de dĂ©truire, 139- Les Enfants veulent aimer, les Enfants veulent rire. 140- Ils devront sâingĂ©nier, sâaider les uns les autres 141- Pour quâun jour, de la PAIX, ils soient tous les apĂŽtres. 142- Sur notre belle Terre, pour tous les habitants, 143- Quâils soient catholiques, luthĂ©riens ou musulmans, 144- Nous voulons quâils soient fiers de leur Comportement. 145- Souhaitons que les Enfants influencent leurs parents. 146- Je fais cette PriĂšre dâune Vie impeccable, 147- Pour Ă©viter la guerre, soyons irrĂ©prochables. 148- Que la LumiĂšre sur cette belle Terre, coule enfin Librement 149- Tant dâAmour dans nos Coeurs Ă dĂ©verser sans jugement. 150- La PAIX est toujours possible si nous voulons vraiment. 151- Pourquoi continuer Ă faire souffrir notre prochain 152- Alors que câest notre Monde que nous blessons de nos mains ? 153- Peut-ĂȘtre est-ce lĂ notre Nature profonde⊠154- Et bien, osons des activitĂ©s plus fĂ©condes! 155- Ă la guerre comme Ă la guerre nous mourrons 156- Dâavoir tenu la PAIX tout fiers Ă bout de bras 157- Comme pas un jour naĂźt sans LumiĂšre Ă fond 158- Au puits aprĂšs son tour quotidien dans mes bras. 159- Comme la Vie sur Terre est curieusement bĂątie 160- Le CerbĂšre nous punit lorsquâon fait conflit 161- Prenons notre palot pour chercher lâHarmonie. 162- Creusons plus creux pour trouver la ClĂ© de la Vie. 163- Pour faire la PAIX il faut sâentraider les uns les autres 164- Un monde de PAIX, ce serait une vraie Merveille. 165- Une bonne Vie, câest une suite de Bonheurs 166- Allons vers la PAIX et oublions nos peurs. 167- Que la peur se transforme en Coeur de Bonheur. 168- Que la diffĂ©rence qui sĂ©pare nos Peuples qui sâinquiĂštent 169- Devienne un Enrichissement pour chaque Ătre de cette PlanĂšte, 170- La violence dĂ©vore mes FrĂšres et Soeurs dans des pays lointains 171- HĂ©las, trop court est mon bras et trop petite est ma main 172- Qui donc leur portera la PAIX tant attendue ? 173- Mon Amie, mon FrĂšre, la PAIX commence ici, Ă ta table, dans ta rue. 174- Que la diffĂ©rence, les pleurs, la violence, la douleur 175- Soient remplacĂ©s par lâĂternel Bonheur. 176- Que tout le monde ne fasse quâun, que lâAmour surgisse, 177- Quâil soit la Vie, que nos Coeurs, de Bonheur se remplissent. 178- Jâai un RĂȘve, qui pour beaucoup de personnes est le mĂȘme, 179- Je rĂȘve dâune Existence oĂč tout le monde sâaime. 180- Câest le RĂȘve de plusieurs, Ce que chacun Ă©crit le prouve ici , 181- Câest pour cela que nous Ă©crivons ce poĂšme infini, 182- Câest la Communication, la PAIX dans le Monde, 183- Câest vraiment important, la PAIX dans le Monde, 184- Ce nâest pas difficile faire la PAIX dans le Monde. 185- La PAIX de notre pays est nĂ©e un jour 186- Mais est-ce que nous allons lâavoir pour toujours ? 187- Respectez la belle Nature et les Animaux, 188- Les Fleurs, les Roses, les Chats, les Chiens et les Oiseaux. 189- Il ne faut pas faire la guerre, car ça coĂ»te cher. 190- Il faut faire la PAIX, car on est tous de bons FrĂšres. 191- Faites, chacun en soi, ce chemin dâĂternitĂ©. 192- Faites, chacun en soi, ce chemin de LibertĂ©. 193- Regarde la violence et devient Sage. 194- Tu changeras le Monde rempli de rage. 195- Faisons la PAIX pour vivre en SĂ©curitĂ© 196- PlutĂŽt que la guerre, la souffrance, la pauvretĂ©! 197- La guerre et la pollution, il faut arrĂȘter 198- Mais la PAIX et lâAmour, il faut prĂ©server. 199- Il fait doux au Jardin et tu grattes la Terre 200- Parmi les bruits de guerre quels grains vas-tu semer ? 201- Il fait doux au Verger et tu traites les Arbres 202- Comme si le bruit des armes ne peut te dĂ©ranger. 203- Il fait doux aux Tilleurs et je bĂ©nis la Terre 204- Pour que les faits de guerre ne touchent pas un seul. 205- Sans avoir Ă nous soucier de ce que sera demain, 206- Sur les innombrables Sillons de notre Terre-MĂšre 207- Gravons des Odes immortelles Ă lâAmour sans chimĂšres. 208- Entendez-vous retentir les Cloches de la LibertĂ©? 209- Entendez-vous rĂ©sonner le canon de la DĂ©livrance? 210- Je vous dĂ©clare Hommes du Monde entier Libres dâaimer. 211- La Terre sans guerre câest une Terre en PAIX. 212- Ce Monde serait Unique, Pur et Parfait. 213- Les conflits ne se produiraient jamais 214- Car ce Monde serait toujours en PAIX. 215- Il faut Aimer pour ne pas nous ruiner. 216- Le Monde nâest pas fait pour la guerre. 217- LâAmour est plutĂŽt la Solution de notre Ăšre. 218- Il faut aussi prĂ©server lâĂ©ternitĂ© du Monde entier. 219- Nâoublie pas de partager la Gentillesse avec la pauvretĂ©!!! 220- La PAIX est ce quâil y a de plus beau 221- Dans le Monde des Humains et des Animaux. 222- Alors faites la PAIX et enrayons la guerre Ă jamais! 223- Car la guerre et la rage ne servent Ă rien! 224- Puis lâAmour et la PAIX câest bien. 225- Plus jamais de guerre ni dâarmes sur la Terre 226- Faisons la PAIX, non la guerre partout sur Terre 227- Moins de Monde malheureux dans chaque Famille 228- Ne plus lancer, ni missiles, ni escadrilles. 229- La PAIX câest un Oiseau qui chante au bord de lâeau. 230- Moins de gens malheureux, plus de guerre de feu 231- GrĂące Ă la PAIX, ce sera la Vie sans sanglots. 232- ArrĂȘtez dâexploiter les Enfants malheureux. 233- Avec la PAIX, nous pourrons survivre sans peur 234- En Ă©coutant la mer, je pense au Bonheur. 235- En cette nouvelle Ăre, plus jamais de guerre! 236- Si les pays sont unis, que des Fleurs sur la Terre! 237- Pourquoi faire la guerre sur ces Terres appauvries ? 238- Seulement pour faire du territoire et du profit ? 239- Pour que lâIrak ne soit quâanĂ©anti ? 240- âŠEt cet Espoir ne serait quâaffaibli. 241- Quel est lâEsprit logique? Ou plutĂŽt quel sophiste! 242- Des morts, par idĂ©al, sont portĂ©s dans la liste, 243- Des Ămes Ă©levĂ©es tombĂ©es dans un combat; 244- Des Sages nây sont pas, pourtant idĂ©alistes, 245- Qui nâaimaient que le vin, lâAmour et le tabac. 246- Il nâest pas Ă©tonnant, depuis des temps mythiques, 247- Que des guerres sont nĂ©es de petits diffĂ©rends 248- Car cette lutte Ă grande Ă©chelle est identique 249- Ă lâincomprĂ©hension totale entre Parents. 250- Que lâAmour continue et que la guerre arrĂȘte, 251- Sâaimer comme on est et pas comme on devrait ĂȘtre. 252- NĂ©s dans lâAmour, pour grandir et vivre heureux 253- Sans peur, sans crainte de la mitraille ni du feu. 254- Si chacun se laissait imprĂ©gner de PAIX, 255- Les conflits de la Terre, sans doute, disparaĂźtraient, 256- Pour toujours rĂ©gnera la PAIX sur notre Terre 257- Si un nouveau Sauveur naĂźt pour stopper la guerre, 258- ArrĂȘter la guerre, pourrait-il vraiment le faire ? 259- Si on se met ensemble, peut-ĂȘtre quâon va rĂ©ussir! 260- Cessons ces guerres militaires dans notre atmosphĂšre. 261- Faisons la PAIX, faisons la Joie et vivons le Bonheur; 262- Ouvrons nos Coeurs sinon ce sera le malheur. 263- Mettons fin au racisme et faisons une Ronde, 264- Il faut que tous les Gens soient Ă©gaux dans notre Monde. 265- Ă la place de vous battre, donnez-vous de lâAmour. 266- Si vous faites du vandalisme, la PAIX nâest pas lĂ . 267- Venez voir! La guerre nâest pas lĂ au Canada. 268- Le silence de la PAIX est dans notre Coeur Ă nous. 269- Vivre en Harmonie, plus de Joie, plus de Vie. 270- Il faut beaucoup dâAmour pour avoir de belles Vies, 271- Il faut ĂȘtre gentils pour vivre en Harmonie. 272- Que lâEau et la Nourriture pleuvent Ă lâhorizon; 273- Chantons ensemble la PAIX, dans ce sens, continuons. 274- La haine jamais, jamais nâabolit la haine 275- Câest une loi bien plus ancienne que la guerre. 276- Non Ă la guerre ! Oui Ă la PAIX! 277- Paix entre nous⊠AmitiĂ© pour tous⊠278- ProtĂ©geons des Vies⊠ArrĂȘtons les querelles. 279- Ăcoutez-moi bien; laissez tomber vos armes rebelles 280- Et Ă©coutez votre Ăme pour abolir la faim. 281- Non Ă la guerre ! Attention ! Non Ă la violence⊠enfin ! 282- Il faut que la PAIX rĂšgne⊠283- Je souhaite de lâAmitiĂ© au Monde entier. 284- Pas de guerre sâil vous plaĂźt !⊠Aimons-nous les uns, les autres. 285- On ne veut pas de peine, on veut des Sourires. 286- On veut rĂ©pandre lâAmitiĂ© mais pas la violence. 287- Soyons un Monde paisible, rempli de TolĂ©rance. 288- La guerre annonce la violence dans le Monde. 289- La violence apporte la mĂ©chancetĂ© immonde. 290- La mĂ©chancetĂ© cause la tristesse. 291- La tristesse favorise la pauvretĂ©. 292- Non, pas la guerre. Il faut quâon arrĂȘte. 293- Si tout le Monde participait, câest sĂ»r, on y arriverait. 294- On ne veut pas de mĂ©chanceté⊠295- Mais on veut la TranquillitĂ©. 296- Tout le Monde Ă©prouve de la tristesse, 297- Mais je suis sĂ»re quâils veulent de la Tendresse. 298- Ce quâon veut dans le Monde, est Amour⊠299- Mais il y a la guerre qui nous entoure. 300- On veut en nous et partout rĂ©pandre lâAmour. 301- Nous dĂ©sirons vivre dans lâAmitiĂ©. 302- Nous ne voulons pas ĂȘtre en danger⊠303- âŠĂ cause de la guerre! Car la PAIX câest fantastique. 304- PAIX rime avec Bonheur. 305- Avant quâil ne soit trop tard, 306- EspĂ©rons que ça ne sera pas lâhorreur 307- Car il y aurait trop de morts et de pleurs. 308- Place Ă lâAmitiĂ©, Ă©loignons la pauvretĂ©. 309- Entraidons-nous les uns les autres, Ă notre maniĂšre, 310- Tendons-nous la main sur toute la Terre. 311- Je voudrais autour du Monde, faire une ronde 312- Afin de plonger dans le Bonheur Ă chaque seconde. 313- Cessez cette guerre inutile car elle dĂ©truit des Vies prĂ©cieuses. 314- Pourquoi bombarder notre PlanĂšte si merveilleuse ? 315- AnĂ©antissons la terreur qui hante certains Peuples de la Terre 316- Par une Vague de PAIX et dâAmour qui traversera toutes les Mers. 317- Les Gens sont malheureux⊠Il faut ĂȘtre heureux. 318- Ă cause de la guerre, notre PlanĂšte sera polluĂ©e; 319- On veut la garder en SantĂ©, en Abondance. 320- La guerre sĂšme la tristesse, nous ne voulons pas de violence. 321- Les gens sont en danger, il y aura plus de pauvretĂ©. 322- Nous, ce quâon dĂ©sire, câest la PAIX dans le Monde entier. 323- Je vous en prie, ayez pitiĂ© des Petits, ils sont prĂ©cieux ! 324- ArrĂȘtez la guerre, pensez aux gens malheureux. 325- Nous on est heureux quâil y ait de la Tendresse dans lâAir. 326- Neutralisons les esprits destructeurs, 327- Afin de prĂ©server notre Monde, ouvrons notre Coeur. 328- Ne tuons pas la PAIX, elle doit reluire⊠329- La Vie est si belle, pourquoi sâamuser Ă la dĂ©truire ? 330- Assurons la QuiĂ©tude Ă tous les Innocents de ce conflits. 331- GĂ©rons nos Actions pour le Bien dâautrui; 332- Un brin de Pacifisme, nous devrions semer Ă jamais. 333- Effaçons la guerre et Ă©crivons la PAIX⊠334- RĂȘver dâun Monde meilleur câest fabuleux; 335- Le rendre vraiment meilleur, câest encore mieux. 336- Rappelons aux dirigeants que les armes ne sont pas nĂ©cessaires, 337- Ăliminons la guerre de notre vocabulaire . 338- âŠOĂč vivent les gens, la PAIX devrait rĂ©gner, sans conflit. 339- âŠUn pays ou lâautre, tous devraient avoir le Droit Ă la Vie. 340- Il y a ceux qui souffrent et il y a ceux qui font souffrir. 341- Alors⊠choisissons le bon camp, sans mentir. 342- La PAIX Ă tout prix, la guerre pour rien au Monde. 343- Allons pacifier ce Monde qui en a tant besoin. 344- Pourquoi perdre notre temps Ă faire la guerre en vain ? 345- Alors que, pour vivre, nous ne prenons pas le temps. 346- Illuminons le Regard des Enfants 347- ApeurĂ©s par les oiseaux de fer. 348- XĂ©nophiles, nous devrions tous ĂȘtre, sans misĂšre.. 349- Nous ne voulons pas dâune troisiĂšme guerre mondiale 350- LâHarmonie devrait tous nous unir, ce serait idĂ©al. 351- On ne veut pas de milliers de morts, 352- Restons Solidaires, nous ne donnerons pas notre accord, 353- Nous souhaitons lâEntente entre tous les pays simplement 354- Trouvons dâautres solutions, ruiner nos Efforts de PAIX⊠jamais! 355- Unissons-nous pour conserver un Monde de PAIX. 356- Nous dĂ©sirons la PAIX pour tous les Peuples du Monde entier 357- Nous vivons comme des Chevaliers qui prĂŽnent la FraternitĂ©. 358- Que les guerriers trouvent en eux une Source inĂ©puisable de BontĂ© 359- Quâils soient guidĂ©s dâune LumiĂšre de PAIX et de BeautĂ©. 360- Pourquoi les Enfants subissent tant de souffrance et de malheur ? 361- Envoyons un message dâEspoir qui soulagera cette cruelle douleur. 362- Voir tous ces Gens verser des larmes dans la noirceur 363- Traverse les continents pour atteindre leurs Coeurs. 364- Pas de chicane⊠ArrĂȘtez la violence et les guerres. 365- Ăcrire des Mots montrant notre colĂšre, 366- En rouge, en Vers et longs, contre la guerre. 367- Savoir Ă©crire oui, mais savoir aussi agir, 368- Agir! Sois sĂ»r que ce nâest pas mourir, 369- Câest refuser la haine de tes voisins, 370- Câest apaiser les Pauvres et leurs chagrins. 371- Agir avec Justesse, Justice et ComprĂ©hension 372- La guerre attise les passions, annihile la raison; 373- Puis tĂ©moigner, se souvenir, fĂȘter la Vie, 374- La guerre, horrible soit-elle, bien pire est lâoubli. 375- Dâun moment de guerre, nos Vies deviennent Ă©phĂ©mĂšres 376- Ă cause de tout ça, cela devient trop prĂ©caire. 377- Puisque ce PoĂšme Ă©claire lâombre guerriĂšre, 378- Que la colĂšre ne fait quâarmer la colĂšre, 379- Regardons ce passĂ© noir de Monde en dĂ©tresse 380- Dâun oeil de Sagesse et dâun autre de Tendresse. 381- La Vie mâa longtemps fait languir, 382- Elle mâa aussi fait souffrir, 383- Aujourdâhui, je crois que ça change, car tu es mon Ange. 384- Que le paysage se fonde pour voir enfin la PAIX dans ce Monde. 385- Il en est qui ne souhaitent quâune BouchĂ©e de Pain 386- Et dâautres, patiemment, leur Mariage en juin, 387- Mais tous insistent pour que nous leur portions Soutien. 388- Que nos Enfants puissent vivre heureux sur cette Terre, 389- Dans la PAIX, le Bonheur et loin de la misĂšre! 390- Deux Colombes tenant chacune un Rameau dâOlivier, 391- Se croisent au-dessus de chaque Pays pour rĂ©pandre la PAIX, 392- Elles veulent que le Monde entier crie LibertĂ©! 393- Et que la guerre soit arrĂȘtĂ©e pour que la PAIX puisse rĂ©gner. 394- ArrĂȘtez les bombes et aimez-vous comme tout le Monde. 395- Essayez la PAIX et non la guerre sâil vous plaĂźt! 396- Il ne faut pas lancer de bombes nuclĂ©aires 397- Sinon, il y aura des cratĂšres sur la Terre. 398- JâespĂšre que tu deviendras mon Ami 399- Nous allons bien nous entendre, je te le dis. 400- Si nous construisions une Maison de la PAIX, 401- Nous la bĂątirions solide, moulĂ©e de Respect; 402- Elle nous protĂ©gerait de ces guerres infernales, 403- Sa Chaleur apaisante nous Ă©loignerait du mal; 404- Elle serait accueillante⊠la plus belle du quartier. 405- Entrons dans ce Royaume dâAmour et dâAmitiĂ© 406- OĂč lâessentielle PAIX, comme le Sang dans nos Veines, 407- Coule comme un charmant Ruisseau qui court dans la Plaine. 408- Je veux la PAIX et le Bonheur dans le Monde 409- Parce que la PAIX fait vivre, parce que la guerre tue. 410- Jâaimerais quâon arrĂȘte la guerre. 411- Pour que la LibertĂ© vienne sur Terre, 412- Pour que le Monde soit des Ondes de Bonheur. 413- Que lâon cesse de se bombarder Ă cause de la guerre, 414- Que lâon commence Ă penser Ă ceux qui doivent se taire. 415- Je voudrais que toutes les Personnes de lâUnivers 416- Vivent en Harmonie, arrĂȘtent la guerre et la misĂšre. 417- Aujourdâhui, pour la PAIX, jâaimerais faire un Souhait 418- Que lâImportant soit fait⊠comme une belle Colombe sage, 419- La guerre sâemprisonnera seule⊠dans sa cage. 420- LâAmour est si joli, la Musique aussi ! 421- Avec la PAIX, pourquoi lâhomme de guerre 422- Ne sent-il pas le Parfum du Bonheur ? 423- Je veux la PAIX et faire sourire le Monde 424- Car ainsi, les Anges seront heureux, 425- La Terre nâaura plus, ni colĂšre, ni honte, ni mensonge, 426- Ni ce mal qui nous dĂ©monte le Coeur, lâĂme et la Raison. 427- La PAIX dans toutes les langues⊠et pourquoi pas PAX 428- Celle du Calme, de la TranquillitĂ©, quâon nomme Relax⊠429- Enfin moi, je vous demande dâarrĂȘtez tous les fax », 430- Les coups de feu, les missiles ou les lettres Ă lâanthrax!⊠431- Aujourdâhui, tout est clair, le Monde ne fonctionne plus; 432- Oui, câest Ă cause de ces guerres qui nâen finissent plus! 433- Jâaimerais la PAIX et le Bonheur pour voir le Monde sourire, 434- Et non, Ă cause des malheurs de la guerre, le voir mourir. 435- Mais pourquoi Dieu ne fait-il rien Ă ces guerres 436- Qui Ă©clatent partout sur cette ferme Terre ? 437- Car un peu de Pain en temps de PAIX est meilleur 438- Que ces GĂąteaux en trop⊠et en temps de guerre, 439- Pour toutes ces Victimes et leurs fils chĂ©ris⊠440- Soyez gourmands de Foi et de TolĂ©rance; 441- Pour ces futures Vies et leurs filles chĂ©ries⊠442- Soyez friands de SĂ©rĂ©nitĂ© et de BontĂ©. 443- Avant, ce nâĂ©tait pas aussi charmant, 444- CâĂ©tait toujours noir comme le soir. 445- Mais plus tard, le CrĂ©ateur mit le Bonheur. 446- Il crĂ©a la Terre⊠447- Mais malheureusement, nous avons fait des guerres. 448- Par chance, la moitiĂ© a rĂ©ussi Ă sâentendre; 449- Sinon, ce ne serait pas aussi tendre. 450- Les annĂ©es ont passĂ© et les choses ont Ă©tĂ© inventĂ©es 451- Si ça ne sâĂ©tait pas produit, 452- On ne serait pas comme aujourdâhui, 453- Il faut remercier nos AncĂȘtres⊠de merveilleux Ătres. 454- Reviens PAIX et donne la LongĂ©vitĂ© 455- Ă cette belle PlanĂšte bleue oĂč il fait bon demeurer. 456- Pourquoi tant de haine et de mĂ©chancetĂ© ? 457- Soyons tous FrĂšres dans lâAmitiĂ©. 458- Un RĂVE est si facile Ă rĂ©aliser⊠459- Mais la PAIX, plus difficile Ă conserver. 460- Promenons nous tous Main dans la Main 461- Pour que la PAIX ait toujours un Lendemain. 462- Toujours errant sur le globe de loin en loin 463- La mort et la guerre brĂ»lent trop de Destins, 464- Mais un RĂVE anime ceux qui voient bien plus loin 465- La PAIX, la PAIX, la PAIX, comme une Flamme dâairain! 466- La PAIX peut devenir RĂ©alité⊠467- Le RĂVE peut se rĂ©aliser⊠468- Alors Lydia et Mathieu, souriez! 469- Mais ce RĂVE, il faut que tout le Monde le veuille, 470- Le veuille pour quâenfin nous puissions faire le deuil, 471- Le deuil de cette Terre oĂč tout pourrit en un clin dâoeil, 472- Car ce RĂVE sera une RĂ©alitĂ© pleine de Bonheur. 473- Prends ma Main et marchons au-delĂ de la peur; 474- Traversons les FrontiĂšres, les OcĂ©ans, la Terre; 475- Partageons nos Cultures, tout notre Savoir Faire. 476- Pour que le Monde entier vive du mĂȘme Air. 477- PAIX⊠Tu plais, quelque soit le Pays oĂč tu vis, 478- Tu apportes SĂ©rĂ©nitĂ©, Joie de vivre. 479- PAIX ? Tel le Chant doux, rond et heureux du Merle, 480- Tu siffles ton Air joyeux au Coeur de nos Vies. 481- PAIX! Que ceux qui nâont jamais entendu ton Chant 482- Ne dĂ©sespĂšrent point; viendra une Ăre nouvelle! 483- CrĂ©ons un nouveau Monde de TolĂ©rance, 484- Afin que la PAIX nous porte encore Chance. 485- Pour surmonter finalement les FrontiĂšres, 486- Rien de tel que la FraternitĂ© humaine, 487- Les mortelles querelles seraient bien dâhier⊠488- Tous en avant pour une Terre plus sereine! 489- Tournons-nous tout dâabord vers lâAutre sans haine, 490- Regardons dans ses Yeux pour trouver la LumiĂšre. 491- DissimulĂ©e parfois par un voile de douleur, 492- Elle nâattend quâun Sourire pour reprendre sa Vigueur. 493- Sois pour lâAutre cette Ătincelle dâoĂč jaillit la PAIX 494- Pour que cette Flamme Ă©claire la Terre Ă tout jamais. 495- RĂȘver un Monde dâAmour oĂč les Enfants du Jour, 496- Pourront rire sans blessure, se lever Jour aprĂšs Jour, 497- Se dire quâon pourra faire face aux hypocrisies, 498- Aux batailles, aux diffĂ©rences. Avec mes Amis, 499- Ma Famille, Ă toute heure, se dire que Demain sera meilleur. 500- Il faut construire ce Monde tout au long de notre Vie 501- Avant quâil ne soit trop tard, que tout soit fini. 502- Soyez-en sĂ»rs, ça vaut la peine, il faut se battre⊠503- Le RĂVE est grand, le RĂVE est beau, Statue dâalbĂątre. 504- Unissons-nous, Main dans la Main, faisons une ChaĂźne 505- Pour que la PAIX domine le Monde et chasse la haine. 506- La PAIX, la Joie et lâAmour sont dans nos Coeurs; 507- Pourquoi ne pas partager la PAIX sans peur. 508- La Joie des Hommes est contagieuse et agrĂ©able, 509- Câest lâAmour qui rend les Gens tellement aimables, 510- Capables de faire de ce Monde un Paradis enviable 511- Par toute CrĂ©ature, soit-elle Ange ou diable. 512- La PAIX sur Terre commence chez soi⊠513- Ainsi le Bonheur sera le plus grand qui soit 514- Dans le fond de nos Coeurs⊠et sans contredit, 515- Nous ferons de ce Monde une vraie Utopie. 516- Ă toi de dĂ©cider ce que tu veux pour le Monde entier 517- Car chaque Effort naĂźt dâun Coeur bien guidĂ© 518- Et chaque Coeur bien guidĂ© redonne une Lueur dâEspoir 519- Et cette Lueur dâEspoir, elle est pour lâHumanitĂ©. 520- Ta simple VolontĂ© peut graver nos MĂ©moires 521- Et Ă jamais, tout changer pour ceux qui ne cessent dây croire. 522- Allez dans la PAIX, parterre fleuri 523- Rendez grĂące au PrĂȘtre sociologue 524- Celui-lĂ mĂȘme qui vous souffle et en rit, 525- Gentil serpent venimeux, piĂštre ventriloque, 526- Ah! Tu fais bien la pair mais parterre! 527- Car celui qui rit est aux Anges monsieur 528- Et il souffle Ă Verlaine le prix du PoĂšme 529- Alors promenez dans la PAIX aux Cieux fanĂ©s 530- Masse amorphe au Missel fidĂšle et moi, 531- Marchand de tapis, PrĂȘtre sociologue, 532- Je nâai que la Foi contre mes IdĂ©es 533- Regarde luire la Lune au Coeur des Ătoiles, 534- LâHumain nâa rien Ă porter nourri de sang voile. 535- De quelque Religion et de quelque Pays, 536- Peu importe les Coutumes et la Patrie, 537- Des mĂȘmes MolĂ©cules, nous sommes construits, 538- MĂȘme la Nature dâoĂč lâon naĂźt, nous unit. 539- Nous sommes arrosĂ©s par une mĂȘme Pluie 540- TombĂ©e dâun unique Ciel, elle remplit les Puits 541- Et fait pousser les Arbres, qui donne les Fruits 542- Dont chacun se dĂ©lecte, dont chacun se nourrit. 543- Sous lâunique AtmosphĂšre, peut se crĂ©er la Vie, 544- Comme les Atomes de lâAir, soyons unis. 545- Dans lâombre, aucun corps; il ne reste que lâEsprit. 546- lâEsprit⊠lâEsprit nâa pas de Couleur, il est la Vie. 547- Pour cette PAIX, il nous faudra bannir 548- Tous ceux qui engendrent le mal et lâattirent. 549- Ceux-lĂ ne mĂ©ritent point nos GrĂąces. 550- Ils sont vicieux et ils sont lĂąches. 551- Demande Ă lâEnfant qui se cache des combats 552- Pourquoi cette guerre fait rage en ce jour 553- Et il te rĂ©pondra de sa plus triste Voix 554- Que lâhumanitĂ© arrive Ă son dernier jour. 555- Tant de vanitĂ©, dâorgueil brisent les AmitiĂ©s. 556- Par un Amour plus pur, nos justes PensĂ©es 557- Tisseront la Toile de la PAIX de tous dĂ©sirĂ©e. 558- Moins de dieux vengeurs, nĂ©s de lâutilitĂ©, 559- Fomenteraient nos guerres aux moeurs dĂ©passĂ©es. 560- Si nos faiblesses nâĂ©taient surexploitĂ©es, 561- Par des Hommes aux bornes dĂ©mesurĂ©es. 562- Ă lâaide de nos technologies, 563- ArrĂȘtons, par le nombre, cette dĂ©magogie. 564- Les Humains sont si cruels, il faut leur dire 565- DâarrĂȘter de tuer, de dĂ©truire tant de BeautĂ©, Ă©tant la Vie. 566- lâAmour frappera et ce sera un moment inoubliable. 567- Je me sens transportĂ©e dans le bleu de la nuit 568- Et câest dans ton Regard que mon Ăme sourit. 569- Respect pour la MĂšre qui enfante 570- Respect pour cette nouvelle Vie 571- Surgie dâune Union triomphante 572- Pour que demain soit son Paradis 573- Respect pour lâEspoir qui transcende 574- Respect pour ce Sentiment contagieux 575- Qui se propage comme une Offrande 576- Pour que la PAIX rĂšgne, ce serait prodigieux 577- Respect pour la LibertĂ© retrouvĂ©e 578- Respect pour ces Femmes dĂ©livrĂ©es 579- De tant de privations abreuvĂ©es 580- Dans ces Pays lointains si proches enfiĂ©vrĂ©s 581- Respect pour la Terre qui rĂ©siste 582- Respect pour les Peuples oubliĂ©s 583- Pour leurs Appels qui persistent 584- Comme des Cris, des Chants singuliers . 585- Faudra-t-il encore beaucoup de guerres 586- Faudra-t-il toujours que le sang coule 587- Alors que nous sommes dĂ©jĂ poussiĂšre 588- Dans ce Monde qui perd la boule , 589- Ă tous ces conflits de lâabsurde pour des conquĂȘtes illusoires 590- Je dĂ©clare la guerre de lâAmour sans histoire. 591- Dans le Monde entier, on sâarrĂȘtera, sâembrassera et fĂȘtera la PAIX. 592- La Lune va-t-elle pleurer si on se met Ă aimer ? 593- Pourquoi donc se le cacher ? 594- Un Monde de RĂVE ! On en a tous dĂ©siré⊠595- Encore est-il un RĂVE de voir la PAIX ? 596- Car aujourdâhui, tout ça nous semble abstrait. 597- O mon Fils ! Ă©coute le bruit sourd des canons 598- Câest la mort qui dĂ©vale le long des Terres brĂ»lĂ©es 599- Regarde ces pleutres soldats qui violent nos Maisons 600- Pense Ă nos RĂVES dâantan qui se sont Ă©croulĂ©s. 601- Câest la guerre mon Fils ! inique et cruel dĂ©mon 602- Sa douleur est atroce, tant est fĂ©roce son flĂ©au 603- Sombre quâelle est , grande et lĂąche est sa dĂ©raison 604- Elle ne fait ni vainqueur , ni vaincu, ni hĂ©ros. 605- Entends mon Fils ! ces cris qui dĂ©chirent le Silence 606- Venant des Ăpouses navrĂ©es et des MĂšres Ă©plorĂ©es 607- Apprends Ă bon escient que la pire des souffrances 608- Est le plus souvent un Livre de Sagesse avĂ©rĂ©e. 609- Prends acte Fils ! que lâHistoire est la MaĂźtresse du Temps 610- Nul ne ressent lâardente Braise dâun Coeur mortifiĂ© 611- Et lorsque coulent sur des Joues des larmes dâInnocents, 612- Alors renonce Ă ta haine que tu dois Ă©touffer. 613- Tresse une Couronne de PAIX de Rameaux dâOlivier 614- Indique la Voie cĂ©leste Ă la blanche Colombe 615- Pour que vit en Concorde lâEspoir recouvrĂ© 616- Ainsi je peux reposer en PAIX dans ma tombe. 617- Pour ne plus ĂȘtre un RĂVE, Ă nous dây travailler, 618- Que toutes ces misĂšres fuient notre RĂ©alitĂ©, 619- Alors, câest sans crainte que nous nous retrouverons, 620- Quelques soient les Couleurs ou bien les Religions, 621- Ă ce grand Banquet, nous entendrons les Rires 622- De nos Enfants heureux de ce bel Avenir. 623- Donnons Ă nos Enfants des RĂVES de Devenir, 624- Pour mettre fin au dĂ©sespoir des jeunes Martyrs. 625- Dans ces ruines de RĂVES, je cherche de lâEspoir⊠626- De lâEspoir pour que ce Monde ne soit plus noir. 627- Puisquâil y a des Amours, comme les OrchidĂ©es les plus rares, 628- Pour qui seul un Miracle leur permet de naĂźtre⊠629- Seuls les soins prodiguĂ©s leur permettent de survivre. 630- Oh! Que la PAIX universelle prenne source 631- Dans la PAIX intĂ©rieure de chacun de nous⊠632- Dans la force des PensĂ©es positives et douces 633- Pour goĂ»ter aux Fruits des Efforts qui forment un Tout! 634- Que la PAIX se rĂ©veille dans chacun de nos Coeurs, 635- Que chacun sâĂ©merveille dans un RĂVE de Douceur, 636- Les bombes ne pleuvront plus sur le Monde dĂ©chirĂ©, 637- Nous nâaurons alors quâĂ le reconstituer. 638- Pourquoi faut-il toujours regarder plus loin 639- Quand le Bonheur est tout prĂšs de nous⊠640- Il suffit de sâouvrir et de le laisser aller, câest tout ! 641- Alors sans rire, sans reproche, dirigeons-nous 642- Vers lâAmour pour que lâHistoire reprenne goĂ»t 643- Et ce Monde dĂ©solant deviendra le nĂŽtre, 644- Le seul⊠celui de lâAmour tout simplement; 645- LâAmour⊠dont nous reprendrons goĂ»t. 646- LâAmour⊠transmis par un Baiser si doux. 647- Sans cet Amour, nous ne sommes rien du tout. 648- Dans le Silence, Ă©coute lâĂcho des maux non dits 649- Et vois lâHumanitĂ© souffrante qui te supplie, 650- Tâimplore de redonner GoĂ»t Ă sa triste Existence. 651- La Terre pleure, mais personne nâessuie ses larmes 652- Initions-nous Ă lâAmour, extirpons lâintolĂ©rance. 653- La haine, la mĂ©fiance, lâexclusion rendent la Vie invivable. 654- LâAir⊠totalement irrespirable. 655- Prenons notre Vie en Main, soyons responsables 656- Combattons vanitĂ©, stupiditĂ©, facilitĂ© 657- sans jamais user lâArme⊠Larme de tous les Peuples, 658- De tous les Temps⊠entre haine et sang. 659- PAIX! Quel beau Mot⊠Mot Espoir entre tous. 660- La PAIX est un RĂVE inachevĂ© 661- Qui abrite tous les Hommes dans son infinie AmitiĂ©. 662- Qui nous transporte vers des Cieux libĂ©rĂ©s. 663- Allons vers tout ce qui peut ĂȘtre explorable, 664- Tout ce qui est du domaine de lâinconcevable; 665- Soyons fous, soyons heureux et soyons sereins. 666- Il ne faut pas vouloir la PAIX jusquâĂ demain, 667- Il faut la faire vivre en nous jusquâĂ la Fin, 668- Tout cela reste utopique⊠mon utopie. 669- La PAIX Est-ce un RĂVE ou la RĂ©alitĂ© ? 670-A force de chanter au-delĂ de nos RĂVES 671- A force de briser tant de murs de bĂ©ton 672- Il se fera trĂšs tard et jâen peine Ă la longue 673- Je sourirai au Vent dans un Chant de misĂšre 675- Ăcouter le Silence qui bruisse sous lâĂtang 676- Et dormir une nuit sous lâĂtoile indolente 677- Sentir tous les Ruisseaux me filer sous les Doigts 678- Aimer, aimer ma Belle, lui faire des Enfants 679- Qui aimeront chanter au-delĂ de nos RĂVES. 680- La PAIX Ă©tait un magnifique et trĂšs grand Fait 681- Mais aucune Nation ou Pays ne lâa vue durer 682- Ce qui est comme toutes belles et grandes Choses 683- Qui nâauront jamais durĂ© indĂ©finiment. 684- RĂȘvons mes FrĂšres que les Hommes du Monde entier 685- Jettent Ă terre leurs armes, leur haine et leurs simagrĂ©es 686- Afin que les guerres disparaissent Ă jamais 687- Et les Enfants de tout Pays vivent en PAIX. 688-Je voudrais un Monde, oĂč tout le Monde sâaime, 689- Se veuille du Bien et que lâon ne soit que soi-mĂȘme, 690- Un Monde ou lâAmour et la Joie seront les MaĂźtres 691- Quâon joue un Air de Victoire sur lâoubli des Ătres, 692- Un jour oĂč les Enfants du Monde demanderont 693- Quâest ce que la guerre ? Quâest-ce la faim ? Quâest-ce une bombe ? 694- Et câest toi qui leur rĂ©pondra et leur dira 695- Ce ne sont que des Mots, des Mots dĂ©saffectĂ©s, 696- Comme les diligences, les galĂšres ou lâesclavage, 697- Câest pourquoi ils ne sont plus dans le dictionnaire ! 698- Un Ami aujourdâhui, câest trĂšs bien dans notre Vie ! 699- La guerre dĂ©truit la Vie⊠et la Vie câest une Amie. 700- Quel Bonheur ce serait pour les Enfants 701- Sâil nây avait plus jamais de guerre⊠702- LâAvenir offrirait aux Petits comme aux Grands 703- Moins dâinquiĂ©tude et plus de bon Temps. 704- Fuyons ce cauchemar et entrons dans la Gloire 705- La Vie⊠câest aussi une longue MĂ©lodie. 706- Il faut savoir rĂ©pondre de tous ses actes 707- Et arrĂȘtons de signer de simples pactes. 708- Pour un Avenir meilleur, charmeur et rĂȘveur, 709- ArrĂȘtez-vous, rendez-vous bande de menteurs ! 710- Il faut savoir faire lâAmour par Terre⊠711- Surtout pas la guerre sur notre Terre ! 712- RĂȘvons Ă lâĂ©radication de lâĂ©goĂŻsme, 713- Bannissons le pouvoir, le sexe et lâargent 714- Et nâoublions surtout pas en prime, 715- Comme nous recevons⊠de donner autant; 716- MĂ©langer dâabord les Esprits avant les Corps 717- Ne plus sâoccuper seulement de son propre sort. 718- Sans la guerre, la Vie est bien plus belle, 719- Le Bonheur se trouve mĂȘme dans les poubelles. 720- Nous ne sommes pas encore libres 721- Nous avons juste atteint la LibertĂ© dâĂȘtre libres. 722- âŠJe veux planer dans lâAir du Temps, 723- DĂ©voiler la BeautĂ© des Nues, 724- Caresser le Souffle du Vent, 725- Convoyer toutes les Vertus⊠726- âŠFiger le Bonheur de lâInstant 727- Et vivre Ă©ternellement 728- Dans un Monde rĂ©conciliĂ©, 729- Avec lâAmour, la Joie, la PAIX. 730- Cette Amie, la Vie, Ă qui il faut sourire chaque matin, 731- Une Amie quâil faut aimer, mĂȘme si parfois elle nous fait du mal 732- Mais qui essuie chacune de nos larmes avec ses douces Mains 733- Sans pourtant empĂȘcher nos regrets nous devenir fatals. 734- Il y aura toujours un mal dans lâAmour 735- Mais il faudra encore continuer 736- Pour continuer Ă vivre ce Temps trop court 737- Quâune guerre Ă©vitĂ©e nous fera tant aimer. 738- Je vois partout les horreurs, le malheur; 739- Mais jâose espĂ©rer une nouvelle Pacification 740- Qui pourra nous ramener dans un Monde sans peur 741- Et nous fera avancer avec la PAIX adorĂ©e 742- Sans craindre lâorage, le ciel noir et lâhorreur. 743- Bien que sa MĂ©moire nous fasse souffrir, 744- Elle nous inonde dâune RiviĂšre de Fleurs qui font rougir. 745- Le Reflet dâelle-mĂȘme, colore nos Visages bleutĂ©s, 746- Enfants de la meurtrissure, esquissant⊠la voie lactĂ©e. 747- La PAIX est un RĂVE sans fin qui ne sera jamais fini; 748- Ăa mâen coupe la faim, mais câest la Vie. 749- Le Bonheur câest ta PrĂ©sence, 750- Ton Regard doux et tendre, La Chaleur de ton Corps; 751- Le Bonheur⊠câest toi tout simplement. 752- Si entre nous rĂšgne lâincomprĂ©hension et le doute; 753- Alors, sans aucun doute, il faut ouvrir nos Yeux 754- Pour mieux voir derriĂšre eux tout lâAmour que Dieu 755- A mis en nos Coeurs et que, sans peur et pour toujours 756- Nous fassions la distinction entre le mal et le Bien. 757- Si Dieu seul dĂ©cide de nous unir par lâAmour 758- Alors en lui, croire et aimer, je veux toujours. 759- Dans ce vaste OcĂ©an quâest mon Existence, 760- Les Mots sont ma seule BouĂ©e de Sauvetage 761- Contre ce raz-de-marĂ©e de souffrance 762- Qui transforme mes PensĂ©es en naufrage⊠763- Le Soleil de la PAIX se lĂšvera un Jour 764- Et ce sera pour tous un tendre Ăclair dâAmour. 765- Tous les Peuples en FĂȘte se donneront la Main 766- Pour accueillir ensemble lâEspoir du Jour qui point. 767- Et grĂące Ă ce PoĂšme qui se dĂ©ploie sans fin, 768- EspĂ©rons que la PAIX, Ă la guerre, mettra fin. 769- Ne prenons pas les armes, mais Ă©crivons des Vers 770- Pour faire reculer de la guerre lâhiver. 771- De toute ma Joie, de tout mon tendre Amour 772- Je souhaite que ce NoĂ«l apporte la PAIX 773- Dans le Coeur des Hommes pour toujours, 774- RĂ©unis en un seul Monde, une seule Union Ă jamais. 775- ArrĂȘtons de rĂȘver de PAIX sur la Terre 776- Et agissons; rendons cette PAIX rĂ©elle 777- Afin quâĂ tout jamais, nos Enfants puissent sâenvoler vers le Ciel, 778- Libres⊠tel des Anges dĂ©ployant leurs ailes. 779- La guerre est un mot machiavĂ©lique 780- Qui fait rĂ©sonner en nos Coeurs, un son cynique. 781- ArrĂȘtons les coups de feu qui crĂ©ent lâhĂ©morragie 782- Et faisons de la PAIX notre Ănergie⊠783- Pour que meurt la dĂ©tresse⊠784- Et que jamais la Vie ne cesse. 785- Vivons lâAmour et la SincĂ©ritĂ© 786- Oublions la haine et la mĂ©chanceté⊠787- La haine apporte plus de mal que de Bien, 788- La guerre mâemmĂšne dĂ©sormais Ă rien 789- Mais avec lâAmour, rĂšgne la PAIX et la SĂ©rĂ©nitĂ© 790- Dans nos Vies et cela⊠avec FacilitĂ© 791- Laissez-nous vivre, laissez-nous sentir 792- Laissez-nous nous exprimer et agir 793- Laissez-nous parler et dĂ©fendre lâAmour, 794- LâAmitiĂ© ainsi que la PAIX, 795- Retrouver notre Innocence dâEnfance 796- Pour supprimer toutes les diffĂ©rences 797- Qui nous emportent vers lâintolĂ©rance 798- Et surtout, qui font grandir cette violence⊠799- IntolĂ©rable dĂ©gĂ©nĂ©rescence⊠800- Amour, Vie, PAIX de la Vie sont les Essences 801- Qui mettront sur la Terre toute lâEspĂ©rance. 802- Unissons-nous Ă cette non violence 803- Qui nous apporte la DĂ©livrance. 804- La PAIX nâest quâun Espoir 805- Contrairement Ă la guerre qui est RĂ©alitĂ©, 806- Jâai ma peine et mes pleurs pour seuls tĂ©moignages⊠807- Je vous en fait profiter. 808- OĂč se trouve lâAmour pour nos enfants ? Rentrez! 809- Nos Enfants apprendront la haine⊠sans la PAIX! 810- La PAIX du Monde amĂšne lâAmour⊠811- La PAIX nâamĂšne pas la douleur. 812- Pourquoi vivre dans un Monde de guerre 813- Si tout le Monde peut vivre en AmitiĂ© ? 814- La guerre dans nos Coeurs sâĂ©coeure et se tire Ă terre, 815- Dâentendre tous ces Peuples crier 816- Rempli ce Monde dâencore plus de misĂšre. 817- La Vie sur cette Terre nâest pas digne de guerre. 818- LâAmour vient par la PAIX comme la Vie par la Naissance. 819- La guerre tue lâAmour comme le feu brĂ»le les bois 820- Et pourtant malgrĂ© cela⊠la guerre est toujours lĂ . 821- La PAIX commence Ă lâintĂ©rieur de chacun de soi 822- Et puis sâĂ©tend au-delĂ de toutes les Voix; 823- Que chaque Souffle de Vie sur Terre rĂ©alise 824- Quâil appartient Ă la profonde UnitĂ© lâHumanitĂ©. 825- Que la PAIX dans le Monde rĂšgne 826- Pour que les Sourires sur les Visages, sâimprĂšgnent; 827- Que les larmes sâeffacent et que tout ce chagrin passe. 828- Il y a trop de haine⊠trop de peine. 829- Il y a trop de Gens qui saignent. 830- PAIX quatre Lettres qui pourraient changer la Terre. 831- La PAIX un Mot qui devrait parcourir les Mers. 832- Un Monde sans PAIX est un monde qui a mal, 833- Et qui cache ses blessures sous des larmes. 834- Il nây a pas de mĂ©trique ni de rĂšgles, 835- Pas de strophes ni de stances. 836- Câest le survol dâun Aigle 837- Qui dĂ©ploie la TranquillitĂ© et le Silence. 838- De ses Ailes lĂ©gĂšres et gracieuses, 839- Il sĂšme ses Plumes au grĂ© du Vent, 840- Magnifiques et fastueuses, 841- Elles tombent pour les Enfants. 842- La jeunesse sâen trouve que plus heureuse 843- De pouvoir prendre la Plume Ă son tour ; 844- Afin de faire passer le Message⊠845- Des Phrases dites tour Ă tour, 846- OĂč chacun marque son Passage, 847- Juste le Temps dâun dĂ©tour, 848- Puisquâil faut tourner la Page 849- En vue dâune Suite infinie; 850- Car ce poĂšme nâa pas de fin⊠851- Un jour le dernier mot sera dit, 852- Ce jour-lĂ auront cessĂ©s enfin ; 853- La guerre, le malheur et la peur, 854- TroquĂ©s pour quelque chose de plus beau⊠885- Les Hommes vivront dans lâUnitĂ©, sans aucune peur 886- Et lâAmour sâĂ©lĂšvera au plus haut Niveau. 887- LâAmour en ce moment, est un Mot qui dĂ©chire, 888- Comme pleure mon Coeur de sanglots vides, 889- Comme pleure mon Coeur de sanglots livides 890- Ă force de me butter contre tous ces murs, 891- Je ne peux me retourner, je ne peux que sauter 892- Par dessus ces ChĂąteaux forts et refaire un effort 893- Pour marcher un peu plus, pour aller plus loin⊠894- Seule, au bord du Chemin. 895- La PAIX pousse des cris contre le mur de la guerre 896- Avec pour Ă©cho⊠lâindiffĂ©rence. 897- Beaucoup semblent vibrer au vacarme splendide, 898- Ne nous laissons pas emporter par la vague rapide. 899- Je veux encore croire que le Fantasme de la PAIX, 900- Une fois accompli, ne sera pas un RĂVE dĂ©chu. 901- Les Hommes perpĂ©tueront-ils leur infĂąme folie ? 902- Le DĂ©sir de PAIX ne restera-t-il quâune utopie. 903- La RĂ©ponse est lĂ , en chaque Ătre humain, 904- PrĂȘte Ă naĂźtre, au creux de nos Mains. 905- En chaque Sourire dâEnfant, sera la souffrance 906- Remplie de haine et dĂ©jĂ le Pardon deviendra vengeance. 907- Dans leurs larmes, tombera la haine de leurs gĂšnes; 908- Il ne reste Ă nous que de briser cette chaĂźne⊠909- Que la PAIX soit toujours prĂ©sente dans le Monde. 910- La TolĂ©rance existe et sans elle, la PAIX est compromise. 911- Chante mon Coeur! Chante ton Hymne Ă lâAmour, 912- Comprends la Vie et son Humour, 913- Que mon Ăme joue sur les cordes de la Vie, 914- Que tu mâentendes enfin⊠Oh Amie⊠915- Jouer cette merveilleuse MĂ©lodie 916- Pour Ă©liminer de ce Monde, la famine et la Maladie, 917- Bravons les griffons dâun coup de crayons, 918- Ăcrivons dâune Main sur un bouquin ancien 919- Les exquises Passions de nos ExpĂ©ditions. 920-Aimons-nous sans violence, ni guerre et autres bagarres. 921- Aime-moi et laisse-moi tâaimer pour toujours; 922- Je nâai que toi dans mon Coeur et il tâappartient. 923- Un Coeur violent ne peut aimer correctement; 924- Alors, cessons la guerre et aimons pleinement 925- JusquâĂ ce que nos Coeurs ressentent au prĂ©sent 926- Pour un peu de Bonheur, le Sourire des Enfants. 927- Le Coeur est une Ăle au milieu de lâAmour, 928- Les Vagues de Tendresse la baigne toujours. 929- Que la PAIX, un soir, arrive sur le Monde 930- Portant au creux des bras, cent et mille Colombes 931- Que nous pourrons lĂącher aux quatre coins de Terre, 932- Porteuses de Rameau dâolivier! O mystĂšre, 933- Nous verrons en tous lieux pĂ©rir les exactions; 934- Les armes vont tomber, les fĂ©roces lions 935- Boiront, sans Ă©gorger les peureuses Gazelles. 936- De tous les Horizons, viendront Ă tire dâailes, 937- Les Anges de lâAmour, porteurs dâHumanitĂ©, 938- Et nous entonnerons des Chants de LibertĂ©! 939- Il faut rĂȘver toujours, il faut rĂȘver sans fin, 940- Et pour tous ces Enfants qui connaissent la faim, 941- Quâenfin cessent leurs pleurs, et leur chagrin. 942- Quâenfin le bruit des bottes fasse place aux Oiseaux, 943- Le Sommeil des Petits nâen sera que plus beau. 944- Nos Enfants sont notre Avenir, 945- Jâai peur pour eux et ceux Ă venir, 946- Nos RĂVES de PAIX et dâHumanitĂ© 947- Arriveront-ils Ă les rĂ©aliser ? 948- Notre PlanĂšte est en triste perdition, 949- Donnons-nous tous la Main et luttons 949- Contre nos envies de domination⊠950- Ainsi nos RĂVES ne resteront pas illusion. 951- Dans la Douceur du Soir, MessagĂšre divine, 952- Apportez-nous la PAIX, dans le Soleil couchant, 953- Sur lâEden idĂ©al de lâExtase approchant, 954- Un dernier Soleil sâoffre Ă la Terre cĂąline. 955- Dans le Matin vermeil, mĂ©lancolique Amie, 956- Quand le Prince de la PAIX se mire sur les Eaux, 957- Vers les grands Horizons, au milieu des Roseaux, 958- Un Ange fidĂšle protĂšge la Terre endormie, 959- LibertĂ© Ă©ternelle et Amour infini, 960- Naissance sur Terre du nouveau Paradis 961- LumiĂšre de Vie, Reflet dâun Regard de lâEnfant, 962- Dans un monde futur oĂč lâamour sera prĂ©sent. 963- Chacun en son Coeur, sâouvrira pour des Horizons meilleurs, 964- Vers lâAmour universel qui nous rĂ©unira enfin, sans peur. 965- Les Elfes aux cheveux dâAnge aurĂ©olĂ©s de Ciel 966- Sur le Chemin dâun autre Monde nous emmĂšnent 967- OĂč tous les Ătres ont une Forme immatĂ©rielle 968- Sâabreuvent Ă la Source dâun RĂVE perpĂ©tuel 969- Loin de lâhypocrisie, des querelles, de la haine 970- Leurs Regards, leurs Mots ont la Douceur du Miel 971- Il est en nous cet Univers parallĂšle 972- Oasis de PAIX en dehors du rationnel 973- Trace dâun Paradis perdu pour les mortels 974- Souvenir nostalgique du Jardin dâEden⊠975- Oasis oubliĂ© qui jamais se rĂ©veille. 976- Pour lâAmour, admirons nos DiffĂ©rences; 977- FĂȘtons la joie, lâAmour, lâAmitiĂ© avec Aisance; 978- Cessons nos querelles au nom de la DiffĂ©rence. 979- La Vie est un Cadeau envoyĂ© du Ciel, 980- Elle est triste, heureuse, joyeuse⊠mais pas Ă©ternelle. 981- Je voudrais un Monde⊠un Monde oĂč tout le Monde sâaime 982- Que lâon ne soit⊠que soi-mĂȘme 983- Que lâon puisse faire le bien 984- Sans se faire voir de travers enfin! 985- Un Monde oĂč lâAmour et la Joie soient les maĂźtres 986- OĂč les Guitares, les FlĂ»tes et tous les Violons, 987- Jouent un Air de Victoire sur lâoubli des autres 988- Un Monde vĂ©cu au ras du sol, 989- OĂč nous pourrions nous embrasser 990- Sans passer pour des pĂ©dĂ©s ou des obsĂ©dĂ©s, 991- Un Monde oĂč lâon puisse dire aux Personnes qui passent 991- Je tâaime⊠992- OĂč elles rĂ©pondraient par ces grands Sourires, 993- Ces grands Yeux surpris, mais plein de folie ! 994- Je voudrais un Monde, un Monde de RĂVES⊠995- Est-ce lĂ une utopie ? 996- Ou un RĂVE qui se concrĂ©tise ? 997- Toi Monde meilleur; tu seras notre Sauveur. 998- Je voudrais ce Monde entre ses bras, 999- Celui oĂč je lui murmurerais tout bas⊠1000- âŠMon Plaisir et mes DĂ©sirs. 1001- Sachons ĂȘtre heureux de ce que lâon a, plutĂŽt 1002- Que de vouloir encore plus⊠car câest ça lâentrave 1003- Ă la PAIX dans le Monde et Ă lâEspĂ©ranto, 1004- Et elle nous contraint Ă devenir des esclaves. 1005- Si je suis esclave dâAmour, le bel canto 1006- Est son Chant, la PAIX lui donne son octave 1007- Sonnez les aigus et raisonnez les graves 1008- Au vestiaire, veuillez dĂ©poser vos couteaux. 1009- Câest beaucoup plus joli de vivre en Harmonie. 1010- Oubliez vos rancoeurs et ouvrez votre Coeur. 1011- Haine, jalousie, mensonge, ces mots sont Ă bannir, 1012- Avançons ensemble vers un meilleur Avenir 1013- Nous avons tous sur Terre un rĂŽle Ă jouer 1014- Faisons en sorte de ne rien laisser de cĂŽtĂ©, 1015- Peu importe notre Couleur ou notre Religion, 1016- Tout le monde dit vrai mais personne a raison. 1017- Ce Monde oĂč lâon pourrait exprimer ses Sentiments, 1018- Je lâattends, jâen rĂȘve depuis si longtemps maintenant. 1019- Je commence doucement Ă perdre tout espoir, 1020- Mais jâai tant besoin pour vire, dâencore y croire. 1021- Peut-ĂȘtre que ce nâest pas quâun rĂȘve, quâil nâest pas si loin! 1022- Peut-ĂȘtre quâil est tout simplement remis Ă demain. 1023- Mais si cela pouvait un jour se rĂ©aliser, 1024- Je sortirais embrasser tous ceux que jâai aimĂ©s, 1025- Mais aussi, ceux qui ici, se sont dĂ©testĂ©s. 1026- Ce Jour merveilleux sera bientĂŽt Ă leur PortĂ©e; 1027- Apprenons Ă nos Enfants Ă aimer, Ă donner. 1028- Apprenons Ă nos Enfants Ă sourire aux Passants, 1029- Mais apprenons leur tout en se dĂ©barrassant 1030- Des prĂ©jugĂ©s, mais surtout Ă bien se mĂ©fier 1031- De la Vie, des maladies et des gens mauvais. 1032- La Vie est un Cadeau, elle est fragile, 1033- Ă nous de ne pas la gĂącher et dâĂȘtre agiles. 1034- Nous ferons du mal⊠le Bien, nous deviendrons Rois 1035- Dâun Monde oĂč les lois seraient votĂ©es par Joie 1036- OĂč malheur serait absent, oubliĂ©, rayĂ© 1037- RemplacĂ© par Joie, Rire et HonnĂȘtetĂ©. 1038- EspĂ©rons encore cette Paix nouvelle, 1039- Celle par qui nâexistent que pĂ©chĂ©s vĂ©niels, 1040- Donnons-lui la chance de voir le Jour, 1041- Que sa bienfaisance nous donne lâAmour. 1042- Que de lourds fardeaux sur tes frĂȘles Ăpaules 1043- Te donnent raison de fuir ton rĂŽle. 1044- Ne va pas croire Ă ce qui nous est mal 1045- LâHumain nâa pas que lâInstinct animal 1046- Certains sont dĂ©jĂ perdus⊠il est vrai⊠1047- Mais tant dâautres, pour ta Venue, son prĂȘts. 1048- Reste pour eux⊠Tiens-toi Ă leur cĂŽtĂ© 1049- Tu verras la PAIX quâils ont mĂ©ritĂ©e. 1050- Et si plutĂŽt tes Mains, ton Coeur, tu Lui tendais 1051- Pour quâ Elle puisse, par un Geste, enfin y dĂ©poser 1052- Les graines de lâAmour que tu pourras semer 1053- Sur les Terres abreuvĂ©es du sang de tes AĂźnĂ©s⊠1054- Alors par ce Geste tu pourras contribuer 1055- Non pas Ă effacer, mais Ă faire germer 1056- Ces Mots tant espĂ©rĂ©s par toute lâHumanitĂ© 1057- Amour, Vie, Espoir, Paix et Fraternité⊠1058- Voici cinq Mots qui nous expriment simplement 1059- Que dans la Vie lâAmour est le plus important. 1060- Mortifiante Lueur libĂ©ratrice, Ăveil, censure de souffrance, 1061- Donne au joug dâun Quotidien libĂ©rateur. 1062- Certains tuent en Ton Nom, et dâautres meurent pour Toi 1063- Mais tous ont en commun de garder cette Foi, 1064- Une lueur dâEspoir qui brille en chacun dâeux. 1065- Et comme un CrĂ©puscule qui meurt Ă petit feu, 1066- Tu renais. Une Ătincelle et le Ciel sâembrase⊠1067- Regarde, regarde les vraies Fleurs de ce Monde de souffrance 1068- Le Sourire de lâenfance, les Feuilles dâautomne qui dansent 1069- Et mâinspirent ces Vers en Hommage Ă la PAIX. 1070- Vivons en totale ĂgalitĂ©, vivons en totale FraternitĂ©, 1071- Vivons en totale Harmonie, une Harmonie de diffĂ©rence 1072- Contre une diffĂ©rence dâHarmonie⊠1073- Pour la PAIX, soyons tous des ApĂŽtres, 1074- Quelque soit ta Religion, tu es des nĂŽtres. 1075- Je ne demande pas un Monde parfait, 1076- Mais seulement un Monde de PAIX 1077- OĂč vivre est une Jouissance et non une souffrance; 1078- Juifs, Musulmans, ChrĂ©tiens⊠tous des Gens de Bien. 1079- Donnons-nous la Main et partageons le Pain. 1080- Pour vous, cela est de lâutopie, pour moi câest un Cri, 1081- Un Cri de rage et de douleur qui cause ces guerres de couleurs, 1082- Un quelque part, indicible, qui romprait la nuit, 1083- Un petit quelque chose qui pourrait vaincre la peur 1084- Et si demain Elle vient Ă ta porte frapper 1085- Penses-tu que dehors tu devras La laisser ? 1086- Car sans Amour, il nây a vraiment plus de Vie 1087- Le simple quotidien parsemĂ© de soucis 1088- Fera une Place Ă la Joie et la bonne Humeur 1089- La Vie vaut dâĂȘtre vĂ©cue malgrĂ© les erreurs 1090- Voyez devant et tournez le dos au passĂ© 1091- Pourquoi repenser Ă ce qui ne peut changer 1092- Ne perdez plus de Temps Ă vous battre contre tout 1093- Baissez vos gardes et ayez Confiance en vous 1094- Regardez autour de vous les Gens qui vous aiment 1095- Donnez naissance Ă un Monde bĂąti dâAmour 1096- Et gardez le meilleur de la Vie pour toujours. 1097- LumiĂšre rouge crĂ©pusculaire caresse notre Terre, 1098- Gomme les bleus Ă lâĂme des Femmes, des Enfants en pleurs, 1099- Ăclaire le Coeur des Hommes les moins solidaires, 1100- Charme tous les canons pour un lancer de Bonheur! 1101- Amour, Ă la fois souffrance, BeautĂ© et Puissance, 1102- TĂ©tez au sein de lâAmour, remplissez votre Anse 1103- De Fruits au doux GoĂ»t dâEden, au doux GoĂ»t de gĂšne, 1104- Et que jamais rien ne freine votre carence de peine, 1105- Dans les sombres mĂ©andres de la mĂ©lancolie, 1106- Dans les doux RĂVES narguant votre insondable folie. 1107- La Vie nâest quâun PoĂšme sans fin 1108- Qui ne peut se briser en un coup de main. 1109- SâarrĂȘter, enfin se reposer; bĂątir la PAIX, 1110- Nâavoir en toi quâun seul Pouvoir celui dâaimer. 1111- Nâoubliez pas le Sentiment de votre Coeur; 1112- La PAIX est la ClĂ© du Bonheur⊠1113- Oubliez un instant vos diverses Croyances; 1114- Ne foncez pas la TĂȘte baissĂ©e et inconsciente; 1115- Oubliez les mythes qui transcendent lâinfini, 1116- Qui vous pousse parfois, malgrĂ© vous, Ă obĂ©ir. 1117 Le Bonheur et la PAIX ne rimeront JAMAIS 1118- Avec forces ou actes sauvages insensĂ©s! 1119- Ne rĂȘvons plus de PAIX, combattons la guerre, 1120- Armons-nous de lâAmour, oubliant le linceul, 1121- Enfin, crĂ©ons la Vie, pour couronner la PAIX! 1122-Oublions un instant ce RĂVE de Bonheur, 1123- Pour penser quelque peu Ă nos propres erreurs, 1124- Nâest-ce pas lâHomme la source de son propre malheur 1125- Ce Monde parfait nous y avons tous pensĂ© 1126- Beaucoup se sont rĂ©siliĂ©s 1127- Moi mĂȘme je lâavoue jâai cessĂ© dâespĂ©rer 1128- On ouvre les Yeux au fil des annĂ©es 1129- DĂ©solĂ© si ma vision peu choquer 1130- Mais lâhomme ne pourra jamais changerâŠ. 1131- Sur le Chemin de la Vie, on y passe quâune fois; 1132- Mais dans le Coeur dâun Ami, on y reste toujours prĂ©sent. 1133- Ne piĂ©tinons pas lâEspoir, renforcissons lâEspoir; 1134- Quâil ne devienne pas dĂ©sespoir⊠suffit dây croire. 1135- Il porte de si beaux noms Toi, eux, moi, Nous. 1136- Multiplions-le, il sera fort grĂące Ă nous! 1137- Oh, mes Amis, soyez certains 1138- Des joies que lâon peut prĂ©parer⊠1139- Ă toute Ăme, Ă tout Ătre humain, 1140- Avec un peu dâHumanitĂ©. 1141- LâAmour sans fin⊠la PAIX sans chagrin. 1142- La Mer fait ses vagues⊠comme câest morose! 1143- Les Fleurs reviennent⊠ça va sentir bon. 1144- La PAIX sur Terre devrait ĂȘtre comme le Soleil 1145- Des Enfants qui meurent de faim et qui ont du chagrin. 1146- Cette PAIX tant recherchĂ©e et pourtant redoutĂ©e, 1147- Sera-t-elle le dĂ©but dâun nouveau Monde 1148- OĂč les Enfants diront Je tâaime » comme on dit Bonjour »? 1149- Câest tellement plus simple dire Je tâaime » 1150- Mais pourquoi sans fin une Vie de bohĂšme? 1151- Les Enfants seront le Reflet de notre BeautĂ©. 1152- La TolĂ©rance⊠câest une Fleur de la Sagesse 1153- Et quand jây pense⊠de la Jeunesse Ă la Vieillesse 1154- Une Semence⊠dans le Jardin des amitiĂ©s 1155- Et quand jây pense⊠câest du Soleil dans ma JournĂ©e, 1156- Une Semence⊠pour cette PAIX pleine de Promesses 1157- Et quand jây pense⊠câest dans ma Vie de la Tendresse 1158- La TolĂ©rance⊠câest le Fruit de mes Rencontres 1159- Et quand jây pense⊠un Oeil ouvert sur le Monde 1160- Et quand jây pense⊠lâEspoir de changer le Monde 1161- Et quand je mâĂ©veille⊠pour changer le Monde 1162- En un milliĂšme de seconde, 1163- Je vois germer la PAIX sur des ruines immondes. 1164- La PAIX fait partie de ce quâil y a de plus beau 1165- Quand jây pense, sĂ©rieux, je la veux trop 1166- Mais dans ce Monde austĂšre, elle ne peut tâarriver 1167- Car les gens ne sont pas prĂȘts Ă partager, 1168- Alors quâils pourraient respirer la Joie de vivre, 1169- Alors ils prĂ©fĂšrent sâenterrer de leur rĂ©alitĂ© 1170- Tels des vampires en Soif de rĂ©demption, 1171- Ils ne peuvent voir la LumiĂšre de la PAIX. 1172- MĂȘme si Ă chaque seconde je nâarrĂȘte dây penser, 1173- On ne peut rien y changer! 1174- La PAIX, lâAmour nâont pas de prix, 1175- La guerre elle en a un, la misĂšre, la haine, la mort. 1176- Ă lâaube, lors de notre Ăveil, 1177- Tout ne nous semble plus pareil. 1178- Pour une Cause tans espĂ©rĂ©e, 1179- Tant de morts et de blessĂ©s. 1180- La PAIX est au seuil de notre porte, 1181- Unissons-nous contre les ordres 1182- Pour gagner ce qui nous est dû⊠1183- Un Monde oĂč la guerre ne serait plus. 1184- Implorer le Ciel, Dieux de toutes Religions, 1185- Grandes supplications. Est-ce la Solution ? 1186- Ne sommes-nous pas assez grands, nous les Hommes 1187- Pour sâapercevoir de lâhorreur de ces guerres ? 1188- Pensons Ă nos Enfants, posons les Actions qui en somme, 1189- Retourneront la situation et rendront la PAIX Ă cette Terre, 1190- Car si nous ne mettons pas fin Ă ces guerres, 1191- Pour nos Enfants, ce sera un enfer. 1192- Il nous faudrait un jour, vivre sans les conflits raciaux 1193- Des grandes guerres internationales 1194- Jusquâaux batailles les plus banales 1195- Qui feront rĂȘver tous ces gens, 1196- Des esquisses sans Ă©gal 1197- Gisant sur les bancs de guerre. 1198- Guerres, conflits et pauvreté⊠allez-vous en! 1199- Un Monde sans vous est plus que tentant. 1200- Je rĂȘve dâun Univers qui nâexiste point. 1201- Alors peut-ĂȘtre prĂ©fĂšrerais-je aller dans mon coin 1202- Pour continuer de rĂȘver 1203- Et espĂ©rer quâun jour mon RĂVE deviendra RĂ©alitĂ© 1204- Car jamais on a voulu de guerre, 1205- Mais lâUnivers Ă©tant lui-mĂȘme issu dâun point, 1206- Point besoin de chercher midi Ă quatorze heure 1207- Nous sommes ici assujettis Ă un Destin 1208- Celui de parvenir Ă lâauguste Bonheur. 1209- Grandir et faire grandir tout ce qui nous entoure 1210- Vivre lâĂconomie , la seule, lâunique 1211- Celle qui appelle Ă gĂ©rer les Instants du Jour 1212- Les PlongĂ©es et Envols de la nuit mystique. 1213- La guerre se trouve partout, Dieu nây est pour rien 1214- La PAIX se cache en nous, dans la cage thoracique 1215- OĂč le Coeur alourdi par le manque de lien 1216- Entre lâĂme et le Corps et lâEsprit, câest classique, 1217- Finit par calcifier alors quâune dĂ©cision 1218- Suffirait largement Ă changer la PlanĂšte, 1219- Prenons-lĂ en Puissance et le proche Horizon 1220- Montrera comment se prĂ©pare la FĂȘte 1221- Lorsque le Ciel est clair les nuages sont beaux, 1222- DĂ©cidons dâallumer Flambeaux et Chandelles 1223- PlutĂŽt que de maudire la nuit, les yeux clos, 1224- Nous pouvons tellement pour que la Vie soit belle. 1225- Quand la LumiĂšre jaillit du Phare de lâEspĂ©rance, 1226- Le Monde offre Ă nos Yeux de nouvelles Couleurs 1227- Pour que dans notre Vie, oubliant les souffrances, 1228- Un Arc-en-ciel ami partage notre Bonheur. 1229- Que ce Bonheur soit digne dâune Fleur. 1230- Autrefois, les Gens recherchaient lâHarmonie; 1231- Aujourdâhui, câest la haine, la violence et la guerre. 1232- Mon Dieu! Il est grand temps que ça change. 1233- Le Monde est dans la misĂšre, le Monde est Ă lâenvers; 1234- Les Principes sont bafouĂ©s, les Lois controversĂ©es, 1235- Les Familles divisĂ©es, les Enfants rĂ©voltĂ©s. 1236- De tous les coins de la PlanĂšte, 1237- La mort rafle les Coeurs et les Corps, 1238- Les Enfants, les Adultes, mĂȘme les Vieillards⊠1239- Dans les AnnĂ©es deux mille, avant de tout faire sauter, 1240- Il y a tant dâautres Façons de bien communiquer. 1241- Oh ma Terre si chĂšre Ă ma Vie, si chĂšre Ă mon Coeur! 1242- Pourquoi nâes-tu que tourment, violence et mĂ©pris? 1243- Tonnerre, Ă©clairs et orage ont remplacĂ© le Bonheur 1244- Qui avait pris chaire Ă mon Corps sans rĂ©pit. 1245- Dieu si bon, Ă©coute ma plainte; 1246- Ăcoute mes secrets⊠1247- Crie pour me sauver, pour Ă©carter mes craintes; 1248- Reste, mon Divin, reste pour mâinstaurer la PAIX. 1249- Crions, Ă©crivons, Ă©tirons ce Parchemin 1250- Car encore notre Route pavĂ©e dâor, sâest noircie! 1251- Crions, affichons Ă la face dâun Monde meurtri, 1252- Notre En-Vie » de nous souhaiter de beaux Lendemains, 1253- Notre Vie sans besoin de trimer pour sâoffrir du bon Pain. 1254- Je rĂȘve dâun Univers qui nâexiste point. 1255- Si le Soleil sâincline face Ă ces regards, 1256- Câest que seul, il sait que demain sera plus noir. 1257- Je ne vais pas Ă©crire cent mots 1258- Pour dire quâil faut arrĂȘter de se battre dans le Monde, 1259- Les guerres commencent et ne sâarrĂȘtent jamais, 1260- Il faut cesser de sâentretuer et faire la PAIX; 1261- Effaçons de notre Vision le mal que nous faisons, 1262- Car pour nous en dĂ©livrer, nous devrons dâabord le repousser 1263- De nos Vies si malmenĂ©es puis espĂ©rer 1264- De beaux Lendemains faits dâAmour , 1265- Faits dâun Amour qui durera toujours. 1266- Un Monde sans guerre dons nous pourrons enfin ĂȘtre fiers, 1267- Un Monde que nous aurons tous construit, 1268- Un Monde qui tous⊠nous rĂ©unit. 1269- Si nos Amours ne sont pas rĂ©alisables, 1270- Faisons en sorte quâelles soient heureuses 1271- Et si ce nâest quâune Ă©preuve passable, 1272- Faisons quâelles ne tombent pas dans cette roue creuse. 1273- Humains, Faunes et Flores vivent sans dĂ©dain. 1274- Aujourdâhui utopie, mais sait-on Demain? 1275-RĂȘvons tous Ă ce Monde aux failles assagies. 1276- Miroitant de Couleurs, nos Esprits Ă©largis 1277- Osent sâassocier en un chatoyant Soleil, 1278- Nuit et jour, la Terre cohĂ©rente sâĂ©gaye⊠1279- Indiens et Africains vivaient dans la Sagesse, 1280- Ăternelle Nature, comme la loi, leur maĂźtresse. 1281- Toute IdĂ©e, sourde ou mĂ»re, ou pesante, ou futile, 1282- SâĂ©lĂšve et de son Souffle Ă©closent cent Soleils; 1283- Nos RĂVES sont si purs quâĂ nus autre pareils 1284- Ils nâen restent pas moins universels. 1285-La guerre encore est lĂ au pas de notre porte 1286- Attendant pour semer de sa moite main morte 1287- Les obscures pensĂ©es dâune affreuse discorde. 1288- Mais les Hommes Ă leur arc ont bien plus dâune corde! 1289- Et sous le Ciel tĂ©nu dâune aurore sanglante 1290- Se dresse libre et fier le Bonheur en orante, 1291- Attendant que le vent de la dĂ©solation 1292â Ne soit plus quâune peur dans le Coeur dâun Garçon, 1293- Petit Ătre tĂ©nu au fond dâun lit douillet, 1294- Ne connaissant de Dieu que ses Oeuvres de PAIX. 1295-Pourquoi cette Route vers la PAIX se montre-t-elle si difficile ? 1296- Alors que les Hommes pourraient ensemble sâunir, sâentraider, se soutenir, 1297- Un mal les pousse Ă se haĂŻr, Ă sâentretuer pour un morceau de Terre 1298- Quel est ce malâŠ? Peut-on lâexorciser pour que la PAIX sâinstalle enfin⊠1299- Et pour que nous puissions nous tendre la Main. 1300- Que la Vie coule entre nos Mains. 1301- Pour que plus personnes nâait faim ou froid, 1302- Mettons fin Ă lâeffroi!⊠1303- Que le Coeur des Hommes soit empli de PAIX; 1304- Que la peur nây trouve plus sa Place⊠1305- Que cette Place soit remplie dâAmour et de Bonheur! 1306- Quâelle est merveilleuse la PAIX partagĂ©e au quotidien, 1307- Sâen prier pour quelque raison que ce soit est appauvrissement. 1308- Le malheur dâautrui ne devrait jamais rĂ©jouir lâHumain 1309- Heureux sont ceux qui en siĂšcle, sĂšment la Graine de PAIX, 1310- Ils moissonneront certainement le Bonheur en belle Saison. 1311- La notion du Bonheur diffĂšre, mais Ă©coutez-moi mes frĂšres humains; 1312- Laissez parler votre Coeur quâĂ travers chaque Battement⊠1313- Il vous dit quâaimer sincĂšrement, 1314- Câest le vrai Bonheur. 1315- Aimer, câest la plus belle chose qui puisse exister⊠1316- Il faut sâaimer les uns les autres pour vivre en PAIX! 1317- Ne laissez pas autrui vous maltraiter. 1318- Croyez en vous et au Bonheur 1319- Que vous pouvez apporter au Monde entier 1320- Pour quâenfin dans ce Monde haineux⊠1321- Il nây ait plus de pleurs? 1322- Pour que mĂȘme Ă Bagdad, on sâaime, 1323- Jetons une Bouteille Ă la Mer⊠1324- Qui par les OcĂ©ans, portera lâIdĂ©e mĂȘme, 1325- InĂ©puisable, dâune PAIX pour notre Terre. 1326- Et ton sac Ă dos, oĂč fleurit 1327- La latence de lâoekoumĂšne, 1328- SĂšmera les Fruits de la croix 1329- Et lâAubĂ©pine vibrera en Irak 1329- Dans lâAlliance⊠inĂ©puisable. 1330- Le Monde est sens dessus dessous, aucune structure, 1331- Notre peine depuis la nuit des temps nâest pas mure, 1332- Les mĂ©chants ne sont pas des mauviettes; des tueurs, 1333- Les Ăcritures nâont plus de sens, lâĂ©cho de la rumeur. 1334- LâHomme est sans cesse en knock-down, jusquâoĂč? 1335- Le sang toujours le sang pour martyriser notre goĂ»t, 1336- Rien nâest plus beau que la Vie sous le Soleil radieux, 1337- Enfant source du Bonheur, une Ătoile dans les Cieux. 1338- Les Voyages ne forment plus la Jeunesse dans lâEsprit, 1339- Prix Ă payer, lâarrivĂ©e de bombes humaines qui crient, 1340- Je vois la Rose de lâAvenir, mais oĂč sont les Ă©pines? 1341- La piqĂ»re est bien plus vive, tout vient des racines. 1342- La plante du mĂ©chant est mitigĂ©e, elle doit vivre, 1343- Et la taille mĂ©thodique, rĂ©flĂ©chie, suivent le livre, 1344- Afin que le mot exterminer » soit anĂ©anti, banni 1345- Beaucoup de Soins et de Sagesse pour la Vie. 1346- La Vie se construit avec le Coeur, 1347- Mais la Raison, altĂšre son Labeur. 1348- Ă Terre! MĂšre de notre Univers, 1349- Rejette lâEsprit de lâHomme pervers 1350- Et que de lâombre⊠surgisse la LumiĂšre et la Lueur 1351- De lâEspoir Ă©ternel dâun Monde sans guerre, 1352- Dâun Monde sans terreur, 1353- Une LumiĂšre sacrĂ©e qui brillera sans fin⊠à jamais 1354- Pour enfin rĂ©gler lâĂgalitĂ© et la PAIX. 1355- Cette Perle lumineuse, brillera dans nos Coeurs, 1356- Les animant dâun RĂ©chauffement sans terreur; 1357- Câest peut-ĂȘtre cela quâon nomme naturellement PAIX » 1358- Ce Mot que nous graverons en lettre dorĂ©es. 1359- Je fais ce RĂVE⊠que les Enfants de la Terre 1360- Marchent un Jour, Main dans la Main, tels de vrais FrĂšres 1361- Jaunes, blacks, blancs, beurs, lâUnitĂ© dans leurs Coeurs. 1362- Pour enfin pouvoir aimer en PAIX 1363- Pour que le soleil brille 1364- Et que lâAmour envahisse nos Coeurs et nos Ămes. 1365- De nos Ămes apaisĂ©es, naĂźtra la LumiĂšre, 1366- De nos Ămes en colĂšre, naĂźtront les tĂ©nĂšbres. 1367- Suivons ces tĂ©nĂšbres pour voir des Lueurs, 1368- Suivons ces Lueurs pour voir la LumiĂšre, 1369- Suivons la LumiĂšre pour pouvoir vivre cette Vie⊠1370- Elle a tant Ă offrir malgrĂ© les gĂąchis. » 1371- PAIX et Joie rĂšgneront lorsque le Jour se lĂšvera 1372- Et que ce Monde le mĂ©ritera, 1373- Alors faisons en sorte que ce soit le cas⊠1374- MĂ©ritera tous ces moments de pur Bonheur, 1375- Moments que seul lâAmour et lâAmitiĂ© apporteront, 1376- Qui ne sont lĂ que pour Ă©gayer nos Coeurs 1377- Et que depuis toujours, jamais rien nâemporte, 1378- Ă ces doux et rares instants, ouvrez votre porte. 1379- Peut-ĂȘtre que la PAIX est plus que le Bonheur? 1380- Reviens-moi, ma PAIX, toi que jâaime, 1381- Que je cherche partout dans la douleur, 1383- MalgrĂ© la fatigue, les maux et les pleurs 1384- Toi lâEssence de ma Vie, 1385- Toi CrĂ©atrice de mon Paradis, 1386- Reviens-moi afin quâon soit unis. 1387- Si tu veux que je vive toujours prĂšs de toi, 1388- Alors tu accepteras toute Langue, toute Race, 1389- Et tu retrouveras ton vĂ©ritable Rang et ta Place. 1390- De mon Amour, je lutterai et chasserai lâĂ©tranger de mon CĆur la guerre, 1391- Afin que tu puisses y habiter en moi et sur toute la Terre, 1392- Afin que je puisse y vivre avec toi et sans jamais avoir peur. 1393- Quand viendra cette heure? 1394- Seigneur, nous savons ce que nous sommes, 1395- Mais nous ne savons pas ce que nous pouvons ĂȘtre. 1396- Et dans chaque Ătre demeure une multitude dâEssences 1397- Dont les Parfums se dĂ©posent au RĂ©veil des Sens 1398- Afin que toutes les Graines semĂ©es Ă la Naissance 1399- Poussent en PAIX dans le Jardin de la Connaissance. 1400- En PAIX, nous vivrons nos Amours et nos Bonheurs 1401- En PAIX, nous Ă©changerons nos Joies et malheurs 1402- En PAIX, nous serons fiers de nous Ă toutes les heures 1403- En PAIX, nous partagerons nos Vies sans heurts 1405- La PAIX est une chose recherchĂ©e par tous 1406- Mais personne ne donne un coup de pouce 1407- Pour bĂątir un nouveau Monde basĂ© sur la PAIX. 1408- Mais nous ne sommes pas dans un conte de fĂ©e 1409- Et pour que cela ne soit pas une utopie, 1410- Nous devons cesser de nous voir en ennemis 1411- La PAIX est la chose la plus convoitĂ© au Monde. 1412- Pour que nos Enfants puissent croire encore aux RĂVES, 1412- Et puissent grandir dans un Univers de PAIX. 1413- Et quâĂ©clate en mille morceaux la violence, 1414- Pour quâĂ jamais rĂšgne la PAIX de lâIndulgence, 1415- Pour que nous vienne la Chance. 1416- Que la PAIX, lâUnion, lâAmour et la FraternitĂ© 1417- Soient une BĂ©nĂ©diction pour tous les Hommes de la Terre. 1418- Pour avoir la PAIX dans notre Monde, 1419- Il ne faudrait plus aucune personne raciste 1420- Et comprendre que tous pareils nous sommes 1421- Et que tous, on existe⊠1422- La PAIX est affaire dâ intĂ©rieur 1423- Mais il y a toujours une salle 1424- Verte Ă Versailles, blanche Ă Washington. 1425- LĂ ils sont peu mais trĂšs bosseurs. 1426- Nous sommes nombreux jeteurs de balles, 1427- Mais leurs boulets pĂšsent des tonnes 1428- Oeuvrons chacun dans nos Vies, 1429- Coupons leurs infos mercantiles, 1430- Soyons moins sots buveurs de lies 1431- Et pensons dâĂȘtre un peu utiles. 1432- Nâayons crainte de nous rassembler 1433- Comme des millions dâĂ©pis de blĂ©, 1434- Câest marquĂ© La Vie nous souhaite de beaux lendemains 1435- JusquâĂ notre fin et peut-ĂȘtre plus loin! » 1436- On ne doit pas se laisser faire 1437- Et regarder au delĂ de lâenfer. 1438- Nous pouvons devenir mieux que ce que nous sommes; 1439- Il nây a aucune limite, mĂȘme si nous ne sommes que des Hommes. 1440- La PAIX doit rĂ©gner. Nous devons nous rassembler 1441- Et avancer ensemble vers lâAvenir 1442- Qui risque de nous sourire. 1443- Si nous sommes assez patients et tolĂ©rants⊠1444- Il faut assurer lâAvenir de nos enfants, 1445- Quâils suivent lâĂtoile qui brille au firmament. 1446- Pour quâils puissent grandir et nous sourire en retour⊠1447- Mes Soeurs et mes FrĂšres de la Terre entiĂšre 1448- Rassemblons-nous, ouvrons nos Coeurs Ă lâAmour 1449- Que nos PensĂ©es et nos Actions soient MessagĂšres 1450- Dâun Nouveau Monde de LumiĂšre pour toujours ! 1451- DĂ©couvrir les BeautĂ©s du Monde Ă tous moments. 1452- Sans se demander le Temps quâil nous reste 1453- Avant la fin du Monde catastrophe ou peste⊠1454- Profitons de le Faune et de la Flore, 1455- Soyons Ă©merveillĂ©s Ă chaque nouvelle Aurore. 1456- Il faut maintenant devenir des Adultes 1457- Pour transformer enfin ce Monde de brutes. 1458- Que notre Terre devienne un petit Paradis 1459- OĂč chacun de nous rĂȘvera de faire sa Vie. 1460-Alors aujourdâhui, des maintenant, 1461- Nous qui sommes Parents, 1462- Retrouvons cette Harmonie universelle 1463- Qui nous redonnerait nos Ailes 1464- Pour que chaque petite Parcelle 1465- Fasse vivre chaque Jour Ă nos Enfants, un Amour Ăternel. 1466- Amenez votre enfant Ă ne vouloir que le Bonheur 1467- Pour que chacun de nous ait lâHonneur 1468- Dâavoir participĂ© Ă un Monde meilleur. 1469- Et que la PAIX un soir, arrive sur ce Monde 1470- Portant dans ses Bras blancs cent et mille Colombes 1471- Que nous pourrons lĂącher aux quatre coins de Terre 1472- Porteuses de Rameaux dâolivier! O MystĂšre, 1473- Nous verrons en tous lieux, pĂ©rir les exactions 1474- Les armes vont tomber, les fĂ©roces lions 1475- Boiront, sans Ă©gorger les timides Gazelles 1476- De tous les Horizons, viendront Ă tire-dâaile 1477- Les Anges de lâAmour, porteurs dâHumanitĂ© 1478- Et nous entonnerons des Chants de LibertĂ© 1479- Pour quâenfin tous les Hommes soient aimĂ©s 1480- Que tous les Pays enlĂšvent leurs armĂ©es⊠1481- De ces Terres affamĂ©es 1482- Et que la violence soit remplacĂ©e par la PAIX! 1483- Demandez Ă ĂȘtre aimĂ©s, faites pour que vous soyez aimĂ©s, 1484- Donnez ce que vous aimez, aidez les Gens autour de vous, 1485- Ce sera trĂšs apprĂ©ciĂ©, prenez-vous en main pour une vraie fois, 1486- Pardonnez Ă votre ennemi. Il faut avoir du Courage, 1487- Avancez vers ce que vous voyez au fond de vous; 1488- Vous serez rĂ©compensĂ©s par votre Bonheur. 1489- Veillez sur chacun et chacun veillera sur vous. 1490- Une Ătoile scintille en signe dâAllĂ©gresse ; 1491- Transformons par lâAMOUR ce qui nâest que tristesse 1492- Quand dĂ©ferle soudain lâhorreur du TSUNAMI 1493- LâHomme est universel, lâĂ©tranger un Ami , 1494- Un FrĂšre dĂ©muni dont la grande dĂ©tresse 1495- Nous imprĂšgne si bien⊠que gagne la Tendresse, 1496- Puissions-nous terrasser lâeffroyable ennemi 1497- Pourfendeur dâinnocence en un Monde endormi⊠1498- Et nous dĂ©couvrirons la plus belle des Saisons 1499- Notre Existence effectuera sa Floraison 1500- La dĂ©raison ne cherchera plus de Raisons 1501- Les portes de lâAmour ouvriront notre Maison. 1502- Afin que chacun propage ce DĂ©sir de PAIX avec Passion, 1503- Il nous faut la cultiver sans modĂ©ration. 1504- Mais ce PoĂšme si long apporte Ă notre cour 1505- Tout lâAmour nĂ©cessaire pour combattre la douleur, 1506- Il permet au plus faible de connaĂźtre le Bonheur, 1507- Et il montre aux plus forts, lâexistence du malheur ! 1508- Il ne sâarĂȘte pas lĂ , il montre aux dĂ©munis, 1509- Ă quoi servent les vrais Amis, 1510- Mais il explique Ă©galement, 1511- Que le monde entier va de lâavant. 1512- Personne ne sera plus piĂ©tinĂ©! 1513- Par quelquâun dâenragĂ©, 1514- Quâil soi homme, femme, ou bĂ©bĂ©, 1515- Car nous sommes tous la pour lâaider! 1516- Laissons Ă nos Enfants cette douce LumiĂšre 1517- Dâune Terre fleurie de Bonheurs quâils espĂšrent 1518- Remplie dâune douce Odeur dâAmour et de Compassion. 1519- La PAIX toute petite et si fragile. 1520- Sait-elle que sa Vie ne tient quâa un mince fil? 1521- Certaines personnes sont tombĂ©es dans un trou noir. 1522- Trouver la sortie, elles en ont perdu lâEspoir. 1523- Comment les aider Ă sortir par lâaventure? 1524- Il faudrait dâabord que nous trouvions cette fissure! 1525- Oublions quelques instants la tristesse et la douleur. 1526- Laissons entrer le Bonheur et pas le malheur. 1527- La PAIX, un Bateau qui ne doit pas faire naufrage. 1528- Sinon il faudrait un pĂ©rilleux Sauvetage. 1529- Ne laissons pas place Ă lâhypocrisie. 1530- Mais laissons entrer le Bonheur de la Vie. 1531- La Colombe de la PAIX ramĂšne la FiertĂ© 1532- Qui fait augmenter lâEspoir de FraternitĂ©. 1533- Au lieu de leur faire la guerre, de sâentre-tuer, 1534- Faisons la PAIX et soyons Ă Ă©galitĂ©. 1535- Dans le Monde , on voudrait de lâAmour. 1536- Mais la peur nous entoure, pas de vautours. 1537- Partout la PAIX dans le Monde câest fabuleux. 1538- Pas de guerre car on prĂ©fĂšre un Monde prĂ©cieux. 1539- Pourquoi cette guerre fait rage en ce beau jour, 1540- Et pourquoi les Gens ne pense pas Ă lâAmour. 1541- La PAIX nous donne la Vie et la SĂ©rĂ©nitĂ©. 1542- Sâil y avait moins de racistes sur la Terre, 1543- Nos poumons respireraient une bonne bouffĂ©e dâAir. 1544- Et le Bonheur pour voir le Monde sourire. 1545- A cause des malheurs de la guerre le voir mourir. 1546- Il faut donner, aimer, partager lâAmitiĂ©, 1547- Afin quâon puisse avoir de la SĂ©rĂ©nitĂ©. 1548- Oublions le triste et Ă©trange malheur 1549- Et laissons venir enfin, toujours le Bonheur. 1550- Vive la Joie qui monte Ă doux petits pas 1551- Et nâoublierons jamais plus que tu es lĂ . 1552- Pour que tous les Hommes sur cette Terre 1553- Puissent enfin vivre en FraternitĂ©, 1554- Sâunir et pouvoir sâentraider est la seule raison. 1555- Que les Couleurs des arcs-en-ciel 1556- Et la ClartĂ© des Ătoiles du haut de cette Terre 1557- Ăblouissent toute lâHumanitĂ© 1558- Pour quâenfin lâAmour, la Joie et le Partage 1559- Puissent sâunir Ă travers les peuples, malgrĂ© les Ăąges. 1560- La Terre en guerre câest comme lâ Enfant avec un cancer 1561- Alors luttons pour que revienne la PAIX sur la Terre. 1562- Toi, moi, nous, marchons fiĂšrement Main dans la Main 1563- Que nos Regards se posent dĂ©jĂ sur Demain. 1564- Pour que la PAIX avec la Joie dâalliance tressent 1565- Avec lâAmour, des noeuds de LibertĂ©, de liesse 1566- Que nos Chants et nos IdĂ©aux clament plus haut 1567- Ce que nos Coeurs et nos Esprits rĂȘvent de beau 1568- Que le grand Homme comme le petit sans Esprit 1569- Confectionnent ensemble un Monde pour y vivre 1570- Parce que de nous encore, dĂ©pend lâAvenir 1571- Et que la Paix ne se construit pas dans les livres 1572- Mais dans le simple et si futile quotidien 1573- Comme dans nos assemblĂ©es malhabiles dâAnciens 1574- La PAIX tout comme lâAmour semble un fardeau 1576- Pour le meilleur du Bonheur et dans le pire 1577- Conscients du risque de nous affranchir de ce DĂ©fi. 1578- Jâaimerais tant y croire. Mais vois ce Temps qui passe 1579- Toutes ces minutes et toutes ces secondes. 1580- Homme! Jamais vierge jamais de par le Monde 1581- Un moment libre de haine. Je me lasse. 1582- Faudrait-il en changer de cette Race humaine 1583- Oh! Grande prĂ©tention sâest dĂ©nommĂ©e sapiens » 1584- Et lâĂ©tape suivante, jâen aurais moins de peines 1585- Verrait naĂźtre lâenfant qui dirait allez viens ⊠» 1586- Il nây aurait quâune chose Ă bannir 1587- Les bombes et les armes Ă venir 1588- Il nây aurait quâune chose Ă souhaiter 1589- Des Sourires et des rires Ă jamais 1591- Et si je peux, par ma contribution Ă ce poĂšme, 1592- Apaiser les Ămes des Gens qui ont trop de haine 1593- La PAIX câest aussi dire aux Enfants du Monde entier 1594- Que chaque Personne il faut aimer et regarder, 1595- Surtout ne pas juger les diffĂ©rences dâethnies et de couleurs, 1596- Faire de ces DiffĂ©rences un arc-en-ciel de Bonheur. 1597- Si tous les Enfants du Monde se prenait la main 1598- Alors câest sĂ»r il nây aurait plus jamais de chagrin; 1599- Il faut se battre encore et toujours 1600- Pour que ces diffĂ©rences deviennent de lâAmour. 1601- Pour que ces diffĂ©rences sâeffacent pour toujours. 1602- Faisons passer un Sourire de Joie et de Bonheur, 1603- Celui-lĂ nous rĂ©chauffera tous le Coeur. 1604- Chaque Personne sait 1605- Quâil y a une Place dans nos CĆurs pour la PAIX 1606- Ceux qui causent des attentats 1607- Qui mettent le Monde dans un tel Ă©tat⊠1608- Qui provoquent la mort de leurs Parents, 1609- Finiront en vrais perdants! Malheureusement⊠1610- La guerre nâest pas le Paradis, mais câest lâenfer. 1611- Elle pollue lâenvironnement, elle tue des Innocents. 1612- La PAIX pour moi câest un Jardin de Fleurs sauvages. 1613- Ta mĂšche blonde, Ă©clairĂ©e par un Rayon de Soleil en matinĂ©e⊠1614- Rayon de PAIX qui tâa choisi toi, parmi des milliers 1615- Est belle et bien lâĂ©lu de la FraternitĂ©. 1616- La guerre nâapporte que des remords 1617- Et la PAIX empĂȘche les morts. 1618- Imagine un Monde parfait sans armes⊠1619- Commence une Vie de Joie, sans drames! 1620- Un Monde sans guerre câest un Monde merveilleux 1621- Dans lequel on est heureux, 1622- Câest aussi aimer la Vie, câest vivre en Harmonie, 1623- Quand on vit en AmitiĂ©, la Vie vient en premier. 1624- Parfois on rit ou on pleure mais la Vie 1625- Est beaucoup plus belle quand on sourit. 1626- Mon IdĂ©al ne peut pas tenir Ă ce jour 1627- Car le Monde est encore trop lourd. 1628- La guerre est aussi pour rĂ©jouir les gens qui ont plus d`autoritĂ©. 1629- Pourquoi doit-on souffrir pour vous faire plaisir? 1630- Sâil y avait la PAIX dans le Monde, 1631- Ce ferait le Bonheur⊠Câest Ă©pouvantable vivre dans la terreur 1632- Et toutes les journĂ©es, dans lâhorreur. 1633- LĂąchez la guerre, mettez votre CĆur du bon bord 1634- Pour ainsi trouver un TrĂ©sor. 1635- Fusil et Harmonie ne seront jamais unis; 1635- Alors pourquoi les mettre dans la mĂȘme Vie? 1636- La guerre, elle qui tue, ne laisse point de Vie oĂč elle passe, 1637- Incendie, Ă©pidĂ©mie et maladie⊠malmĂšnent la Vie. 1638- Et puis la guerre ne rĂšglera jamais rien. 1639- Avec la PAIX sur Terre, vaincra le Bien. 1640- Vous les soldats, vous avez des FrĂšres et Soeurs. 1641- Ne soyez pas sans CĆur, ça vous brise le CĆur. 1642- Sur la Terre nous ne voulons pas de meurtriers! 1643- Soyons pacifiques, allons au bout de nos RĂVES. 1644- Toute Vie sur la Terre va bien finir, 1645- Les Enfants vivront bien Ă lâAvenir. 1646- Pourtant, nous pouvons arranger cela⊠1647- Il ne suffit que dâun Drapeau blanc⊠et voilĂ . 1648- Si nous vivons en Harmonie, 1649- Nous aurons une belle QualitĂ© de Vie.] 1650- Mais se battre mĂȘme pour la PAIX nâest-il pas 1651- Ce quâon tente en PoĂšme de fuir Ă grands pas 1652- Un combat â encore un â contre nous cette fois 1653- Vain combat tant il naĂźt dâune idĂ©e, dâune foi 1654- Que les Hommes ont en eux le dĂ©sir dâĂȘtre bons 1655- Alors que bien trop avides souvent ils sont 1656- DâĂȘtre les meilleurs, les plus ceci, les plus cela 1657- A savoir qui le plus long PoĂšme Ă©crira ? 1658- Ă Performance, toi qui dĂ©tournes notre Foi 1659- Ne pourrais-tu pas nous conduire sur la Voie 1660- Celle que dans nos PoĂšmes en vers nous dĂ©crivons 1661- Comme lâaccĂšs Ă la PAIX que nous espĂ©rons ? 1662- Peut-ĂȘtre est-ce Ă nous de nous Ă©loigner de toi 1663- De chercher en nous-mĂȘmes la LumiĂšre et la Joie 1664- Sans convoiter ni ta Brillance ni ton Ăclat 1665- Ni lâImportance que tu ne mĂ©rites pas⊠1666- La guerre est dans lâair⊠1667- Pourquoi pas la PAIX sur cette Terre! 1668- Que les quatre coins du Monde sâunissent enfin! 1669- Ainsi, nous aurions la Vie dĂ©livrĂ©e aux Saints, 1670- Sans laisser de traces au malheur malsain. 1671- Nous aurons des Enfants curieux 1672- Qui souhaitent ĂȘtre heureux; 1673- Qui prennent les choses au sĂ©rieux. 1674- Il existe chez lâhomme une Soif pour la PAIX 1675- Qui par la LibertĂ© peut sâĂ©tancher. 1676- Reliant en profondeur notre Ăme Ă lâUnivers 1677- Elle clame avec Ardeur que nous sommes FrĂšres. 1678- Elle dĂ©voile souvent le meilleur de nous-mĂȘmes 1679- Quand dans un Cri dâAmour, en un PoĂšme, 1680- Elle peut restituer nos Richesses intĂ©rieures. 1681- Puisse-t-elle toujours construire notre Bonheur. 1682- Citoyens du Monde, traversez les FrontiĂšres. 1683- Voyagez pour que votre Pays devienne La Terre. 1685- Soyez un Ătranger au lieu dâĂȘtre un touriste 1686- Vous verrez bien vous deviendrez Humaniste. 1687- Si on vous rejette de la haine et du mĂ©pris 1688- Servez vous en pour ne pas en faire autant 1689- DĂšs que vous serez rentrĂ© dans votre logis. 1690- Aimer », mot si sur Ă dire, mais combien simple Ă ressentir. 1691- Aimer » sentence de lâAmour, Douceur en nos Coeurs. 1692- Ce Coeur battant dans chaque poitrine de lâĂtre humain, 1693- Ce Coeur qui attend cette PAIX toujours remise Ă demain⊠1694- Cependant lâĂme humaine est remplie dâEspĂ©rance. 1695- VoilĂ pourquoi aurons-nous peut-ĂȘtre un jour la Chance 1696- De vivre dans un Monde ou la PAIX est devenue Tendance. 1697- Dans un RĂVE, jâai vu de jour, que lâon pouvait 1698- Vivre sur notre Terre lâAmour, Main dans la Main. 1699- Jâai pris mon RĂVE par le bras, et lui ai dit 1700- Va Ă chacun expliquer ça, je tâen supplie; 1701- Sâaimer pour le Meilleur, sans arrĂȘt, tout se donner; 1702- Remplacer tout par le Bonheur, sans compter, 1703- Tirer dans lâoubli les colĂšres, quelles quâelles soient, 1704- Condamner Ă Vie la misĂšre par une loi 1705- Pour quâau Bonheur sur notre Terre, chacun ait droit. » 1706- LâAmour, si excitant, vibrant comme le bruit du tambour, 1707- Il est en nous et tout autour⊠1708- Pour nous faire palpiter et pour nous donner 1709- Des ailes, des rĂȘves et de nouvelles rĂ©alitĂ©s. 1710- Et nous dĂ©couvrirons la plus belle des Saisons 1711- Notre Existence effectuera sa Floraison 1712- La dĂ©raison ne cherchera plus de raisons 1713- Les Portes de lâAmour ouvriront notre Maison. 1714- Un Oiseau tombe de son nid 1715- Seul, triste, soufrant⊠il crie 1716- Ă lâaide Ă lâaide, toi qui es loin Ă lâabri, 1717- Tu ne te soucies de rien, tu vis ta Vie. » 1718- Dans un Monde meilleur, il aurait dit 1719- Je suis ton sauveur cher ami. » 1720- Dans notre Monde, il dit 1721- Je viens Ă ton secours malgrĂ© les dĂ©fis, 1722- Rendons le Monde meilleur et uni, 1723- Pour que la PAIX rĂšgne, pour vivre au Paradis. » 1724- Et faire que le Paradis, soit aussi⊠ici; 1725- Que plus jamais personne ne souffre, 1726- Ou ne soit abandonnĂ© dans un gouffre. 1727- Et nous Ă©crivons tous ces vers, 1728- Pour le Bien de notre bonne vieille Terre 1729- Qui ressemble plus Ă lâenfer quâau Paradis sur terre. 1730- Je me demande parfois comment nos Enfants nous voient! 1731- Regardez ce quâon leur laisse⊠ils grandissent dans le stress! 1732- Ils voient la blanche Colombe annĂ©e aprĂšs annĂ©e, 1733- Quâon leur promet depuis si longtemps, sâĂ©loigner. 1734- Mais il tient Ă chacun de faire de cet Univers 1735- Un Monde un peu moins laid⊠mĂȘme Ă©phĂ©mĂšre. 1736- La PAIX, chose si difficile Ă obtenir 1737- Tant de Gens ne font que sâabstenir 1738- La violence⊠sa trace, elle lâa laissĂ©e 1739- Il y a dĂ©jĂ plusieurs annĂ©es. 1740- Tant de Gens ne peuvent plus se regarder dans les yeux, 1741-Il faudrait tous se mettre ensemble et faire un voeu 1742 demander dâaimer notre voisin⊠notre prochain, 1743- Vivre chaque Jour comme sâil Ă©tait le dernier, 1744- Dire aux gens que vous les aimez, 1745- Faire un sourire Ă ceux que vous rencontrez durant la journĂ©e, 1746- Prendre la Main de ceux qui en ont besoin. 1747- Les prendre dans tes bras comme sâils Ă©taient les tiens. 1748- Ne laisse pas la colĂšre tâenvahir⊠1749- Dis Ă la violence de sâenfuir! 1750- Ne renie pas celui qui te tourne le dos, 1751- Prends-lui la Main et montre-lui ce quâil y a de plus beau. 1752- Va te coucher dans ton lit et passe une bonne nuit, 1753- RĂȘve Ă tout ce qui pourrait arriver 1754- Si tout le Monde pouvait sâaimer. 1755- Sâaimer sans fin, comme ces vers⊠ne plus sâarrĂȘter. 1756- Pourquoi faut-il des Mots pour exprimer les maux ? 1757- Depuis toujours, lâhomme veut le pouvoir et lâargent. 1758- En chemin, il a perdu son Coeur. Maintenant 1759- Il pleure de ne pas ĂȘtre aimĂ© de tous ses FrĂšres. 1760- Quand enfin, vont sâarrĂȘter toutes ces guerres ? 1761- Si nos Coeurs sâ ouvraient tout entier sur cette arrivĂ©e, 1762- Si toutes nos Ămes pouvaient enfin se libĂ©rer⊠1763- Comme si la Terre en son Coeur sâanimer, 1764- Dâun RĂVE dĂ©licieux devenu RĂ©alitĂ© 1765- Vivre⊠Plus pour fuir et Ă©viter le Pire 1766- Que la triste guerre et la tension font subir, 1767- Ă des Gens pleins dâEspoir, mais qui ont perdu Pieds 1768- Sur cette Terre oĂč ils sont NĂ©s, et un jour vont mourir⊠1769- Pardonnez! RĂȘvez! Ensemble, Ă©crivons ce Livre! 1770- Tant quâil y a de la vie, il y a de lâespoir. 1771- Mais la Vie sans la Paix fait mal Ă voir. 1772- Les Paradis sont toujours ceux que lâon a perdus 1773- Mais nous ne recherchons que la PAIX! 1774- Sans trop demander, sans trop dĂ©sespĂ©rer. 1775- Imaginez un Paradis pour ne pas le perdre de vue ? 1776- Ou rĂȘvez dâun petit Espoir de PAIX ? 1777- DĂ©sormais jâai choisi, Ă vous maintenant de dĂ©cider⊠1778- Il ne suffit pas que de rĂȘver ou dâimaginer; 1779- La Vie, nous devons la voir de tous ses cĂŽtĂ©s, 1780- Elle est parfois , maganĂ©e, dĂ©figurĂ©e⊠1781- Comment avons nous pu arriver Ă un Monde sans pitiĂ© 1782- OĂč la criminalitĂ© ne cesse dâaugmenter? 1783- Nous devons sortir de notre conte de fĂ©e, 1784- Nous ouvrir les yeux pour voir un peu la rĂ©alitĂ©! 1785- la changer⊠nous pouvons encore y arriver 1786- Il ne suffit pas que dâespĂ©rer, mais de rĂ©agir. 1787- Cette Terre, nous pouvons encore la guĂ©rir. 1788- Un Monde en PAIX nous le voulons⊠1789- Pour le crĂ©er⊠nous combattrons. 1790- Respectons les Anciens qui ont tout bĂąti 1791- Et aidons les Petits qui assureront notre survie. 1792- Face Ă la loi du plus fort, la PAIX doit lâemporter. 1793- Si vous voulez tous nous Ă©pargner, 1794-Changez ce Monde qui est en danger. 1795- Dehors, je vois les Fleurs qui perdent leurs pĂ©tales 1796- Câest la loi des Hommes qui tuent le Monde pour tuer le mal. 1797- Il serait temps quâon se lĂšve pour le sauver 1798- Avant quâil ne soit trop tard pour le changer ! 1799- Faisons en sorte de crĂ©er une AmitiĂ© 1800- Qui soit internationalement enseignĂ©e 1801- Et que notre Descendance 1802- Puisse prendre conscience 1803- Quâun Monde qui fait rĂȘver 1804- Câest un Monde de PAIX! 1805- Qui dâentre nous pourrait rĂ©parer les torts causĂ©s? 1806- Si par malheur, nous pouvions la garder, 1807- Cette PAIX tant dĂ©sirĂ©e et si souvent clamĂ©e, 1808- La Paix nâest-elle pas ce quâil y a de mieux, 1809- Alors, allions-nous et faisons du mieux quâon peut, 1810- Pour pouvoir ĂȘtre vĂ©ritablement heureux. 1811- Pourquoi la guerre dans le Monde? Pourtant câest si immonde⊠1812- Le Monde est fait pour sâaimer! Pourquoi ne pas pardonner ? 1813- Priez pour ces malheureux qui se font la guerre. 1814- Nâont-ils jamais eu de mĂšre qui les a aimĂ©s ? 1815- Nâont-ils jamais connu lâAmitiĂ© ? 1816- La PAIX et le Respect ne sont-ils pas plus humains 1817- Depuis quâun Homme est venu sur Terre pour rompre le pain ? 1818- Donnez un Sens Ă votre Existence 1819- Semez donc lâAmour et lâIndulgence. 1820- Mais puisque le mot rĂȘver ne rime point avec PAIX; 1821- Il nous faudra alors chanter encore ce mĂȘme Couplet⊠1822- La MĂ©lodie du Bonheur se tarit en vos Coeurs; 1823- Sachez en prodiguer toutes ses Douceurs; 1824- Car, devant la haine et le mĂ©pris, 1825- LâAmour et la Confiance dĂ©sarment Ă tout prix⊠1826- Cessons donc ma foi, de nous battre 1827- Comme des primates pour un champ de patates 1828- Et donnons-nous plutĂŽt la Main 1829- PuisquâĂ la toute fin, on ne se souviendra que du Bien! 1830- Mais pourquoi donc la guerre? 1831- Vite faisons quelques priĂšres⊠1832- Pour sauver cette Terre 1833- Qui nage dans lâinquiĂ©tude et lâEspĂ©rance, 1834- En attendant que lâHumain rĂ©agisse 1835- Aux horreurs de son existence. 1836- Peut-ĂȘtre quâun jour il ferra bon vivre 1837- Dans ce Monde, qui de Bonheur sera ivre 1838- Mais pour lâinstant, cette heure et lointaine 1839- Et il nâappartient quâĂ vous de rĂ©gler ce problĂšme! 1840- Si nos Coeurs eux-mĂȘmes nâ ont pas la PAIX, 1841- Comment peut-elle naĂźtre et demeurer ? 1842- Cherchons la PAIX de notre Ăme dâheure en heure, 1843- Car notre vie est le Reflet du Coeur. 1844- Surfant sur le net, je suis tombĂ© sous le charme, 1845- De ce PoĂšme, rempli dâEspoir et de larmes, 1846- EntamĂ© il y a un peu plus de trois ans, 1847- Par plusieurs Enfants et jeunes Adolescents. 1848- Le sujet en est grave ; il sâagit de la PAIX. 1849- Cette initiative mĂ©rite le Respect, 1850- Car câest, de nos tout Jeunes, une Plaidoirie, 1851- DĂ©nonçant, de notre Monde, les barbaries, 1852- HĂ©ritage empoisonnant les annĂ©es futures, 1853- Augurant pour eux de tristes mĂ©saventures. 1854- Comme lâĂmotion mâa Ă©treint devant lâEspoir, 1855- De nos descendants que guette le dĂ©sespoir, 1856- Jâai dĂ©cidĂ© de me joindre Ă leur noble QuĂȘte, 1857- Ajoutant quelques Vers Ă leur belle RequĂȘte. 1858- Il me semble que je resterais sur ma faim, 1859- En ne poursuivant pas ce PoĂšme sans fin ». 1860- Voici ma Contribution Ă un tel Sujet, 1861- Des prĂ©occupations, universel objet. 1862- La lecture de ce qui prĂ©cĂšde me touche ; 1863- Certains Extraits auraient pu sortir de ma bouche, 1864- Et je veux ajouter ma Pierre Ă ce Texte, 1865- Qui, par sa Teneur, mâen fournit le prĂ©texte. 1866- La PAIX, que beaucoup appellent de leurs VĆux pieux, 1867- Ne sera possible que si les plus envieux, 1868- Renoncent, au plus tĂŽt Ă leur cupiditĂ©, 1869- Pour, enfin, choisir TolĂ©rance et CharitĂ©, 1870- Acceptant des Humains toutes les DiffĂ©rences. 1871- Ce nâest quâĂ ce Prix que nous aurons lâEspĂ©rance. 1872- Pour que la drĂŽle de guerre » soit la derniĂšre, 1873- Ne suffiront pas, plaintes, regrets et PriĂšres. 1874- Il faut unir toutes les bonnes VolontĂ©s, 1875- Pour Ă©viter dâincroyables absurditĂ©s. 1876- Nos jeunes doivent continuer le combat 1877- Ardu, entamĂ© par les Anciens, ici-bas, 1878- En ne cĂ©dant jamais au dĂ©couragement, 1879- Qui les menacera inĂ©vitablement, 1880- Car, toujours, les bonnes Causes sont critiquĂ©es, 1881- Par les incrĂ©dules, souvent mĂ©prisĂ©es. 1882- On peut, Ă lâenvie, disserter sur ce sujet, 1883- Car la PAIX restera le principal objet, 1884- Des prĂ©occupations de tous nos Descendants, 1885- De tout le Genre humain au repos aspirant. 1886- JâarrĂȘte, maintenant, ma Participation, 1887- A cette trĂšs noble Cause pour les Nations, 1888- Afin de permettre Ă bien dâautres dâĂ©tayer, 1889- Et de poursuivre, sans arrĂȘt, ce Plaidoyer. 1890- Vouloir la PAIX , câest bien ; y croire, encore mieux ; 1891- La rĂ©aliser, assurĂ©ment, plus glorieux. 1892- Nâoublions pas que notre Monde est Ă©phĂ©mĂšre; 1893- Son Destin, fixĂ©, dans les prochains millĂ©naires, 1894- Est de disparaĂźtre Ă lâexplosion du Soleil. 1895- Il est temps, maintenant, que tous soient en Ăveil. » 1896- Cette BĂ©atitude apporte le Repos 1897- Mais elle court plus loin que lâĂme des pipeaux 1898- Dans un cessez-le-feu rayonnant dâartifice 1899- Qui croirait cependant dĂ©couvrir lâArmistice? 1900- Saisissante Existence aux diffĂ©rents aspects, 1901- Sublime explosion, apparaĂźt le mot PAIX, 1902- Lors dâune relecture et non sans frĂ©nĂ©sie 1903- Tonne ton Nom illustre, ardente PoĂ©sie. 1904- Quand lâicĂŽne de la Terre dĂ©ploie sa Vastitude 1905- LâHumain nâa choix que dâassumer la solitude 1906- Ainsi naĂźtront du creux de la Montagne bleue 1907- Conscience, Amour et Paix en un PrĂ©lude Ă Dieu ! 1908- Ouvrons nos Coeurs et anĂ©antissons ce qui 1909- Fait de nous des bĂȘtes la guerre, les tueries 1910- Et les larmes pour laisser libre cours Ă lâEsprit, 1911- Pour rĂ©flĂ©chir et laisser les anges nous toucher, 1912- DĂ©ployer nos ailes et nous repentir des actes odieux 1913- Dont nous sommes capables et coupables ⊠1914- Offrir un peu dâEspoir et de Croyances Ă ceux 1915- Qui accablĂ©s de tristesse, ont perdu la foi. 1916- La Paix seule mĂšne son combat 1917- Contre les Hommes⊠un jour elle gagnera 1918- Et le malheur sera fortement diminuĂ©; 1919- Et peut ĂȘtre rasĂ© âŠ. 1920- Cependant hors de ce RĂVE de PAIX, 1921- Quelques combattants continuent dâen rĂȘver 1922- EntraĂźnant avec eux lâespoir dây arriver 1923- En comblant lâinsouciance des Jeunes 1924- dâun merveilleux Secret! 1925- Alors venez fortifier cette PAIX 1926- Qui jamais ne perdure⊠Oui je sais ce sera dur, 1927- Mais venez combattre le malheur 1928- Pour laisser place au Bonheur! 1929- Pour que cette PAIX ne soit plus utopie, 1930- Dans lâAmour, soyons unis 1931- Pour que la haine soit Ă jamais punie. 1932- ConnaĂźtrons-nous un jour cette osmose sur Terre? 1933- Pourquoi pas connaĂźtre lâExtase, et le Bien-ĂȘtre! 1934- la PAIX, ce mot sonnant si doux Ă une oreille 1935- Le RĂVE de PAIX, souillĂ© par maintes gouttes rouges vermeilles 1936- Devrait-on continuer Ă vivre ainsi tachĂ©s? 1937- Et derriĂšre le rocher de la honte se cacher? 1938- Non, je vous le dis, la Vie peut ĂȘtre trop belle⊠1939- Avancez en PAIX sur cette monture Ăternelle. 1940- Un Monde en PAIX, tout le Monde en veut! 1941- Allons tous essayer de notre mieux. 1942- Faisons un Effort pour combattre le mal 1943- Avant que la fin du Monde soit fatale. 1944- La violence⊠sa trace, elle la laisse 1945-Dans ce Monde ensanglantĂ©. 1946- Dans le Coeur des Hommes, la Colombe a plantĂ© 1947- Trois gouttes de son sang et malgrĂ© sa faiblesse 1948- Dans ce Monde en cloisons, les Hommes se parleront 1949- Un peu, beaucoup, peut-ĂȘtre et par un grand mystĂšre. 1950- La guerre en CĂŽte dâIvoire, on en veut plus! 1951- Serrons nous plutĂŽt les Mains 1952- Tout en cultivant la PAIX dans nos Coeurs 1953- Pour avancer vers le progrĂšs. 1954-Ăcoute ton Coeur, pour obtenir PAIX sans fin; 1955- Pour avancer vers le Respect 1956- Hier, aujourdâhui, ici, ailleurs, demain, 1957- Allons, tous ensemble⊠resserrons nos liens 1958- PAIX dans les Coeurs des sans abris, des dĂ©munis⊠1959- De par cet Ă©tat⊠eux ont pourtant tout compris⊠1960- Que la luxure et le pouvoir pouvaient tout dĂ©truire⊠1961- La raison des RĂVES insolites 1962- Pour nous lâEspoir est vĂŽtre, rĂȘvons de jouir de la PAIX. 1963- La sĂ©rĂ©nitĂ© fera partie de nous, rĂȘvons Ă lâHumanitĂ© des Gens, 1964- Rassemblons-nous et construisons ce Monde. 1965- Je voulais arrĂȘter cette guerre et faire la PAIX 1966- En croyant que tout le Monde mâaimerait. 1967- Jâaimerais que quelquâun lĂšve son Regard sur le Monde abĂźmĂ© 1968- Que quelquâun tende la Main Ă cette Terre Ă©puisĂ©e, 1969- Ă cette HumanitĂ© torturĂ©e, 1970- EmpoisonnĂ©e par la haine des autres⊠1971- Je voudrais que lâon arrĂȘte tous un instant de se battre, 1972- Tant avec les armes quâavec les mots, 1973- Et quâon sâattarde Ă ce qui est simple et beau; 1974- Que lâon regarde pour une fois la Vie en face, tous rĂ©unis; 1975- Que lâon se rappelle que ce Monde aussi, 1976- Nous lâavons tous bĂąti ensemble⊠ensemble et unis. 1977- Lâarme de guerre la plus dĂ©vastatrice câest lâargent. 1978- Les peuples, rĂ©putĂ©s les plus civilisĂ©s pourtant, 1979- Trouvent toujours de lâargent pour faire la guerre, 1980- HĂ©las, il en manque toujours pour vivre en PAIX. 1981- La PAIX nâa pas de prix, câest lâHĂ©ritage ultime 1982- Ă partager entre tous les Hommes de façon unanime. 1983- Investir dans la PAIX câest sâassurer un Avenir serein. 1984- Et pourquoi? Pourquoi chercher cette PAIX si loin? 1985- Elle est tout prĂšs de toi! Regarde ton Voisin! 1986- Tant quâil y aura des fenĂȘtres tant quâil y aura des murs 1987- LâEspoir pourra renaĂźtre dâun Monde oĂč la PAIX perdure. 1988- Plus proche encore, dans ton coin mĂȘme⊠elle est, 1989- Et dans mon coin, en attente , prĂȘte Ă jaillir, 1990- PrĂȘte Ă cĂ©lĂ©brer la Joie de vivre⊠si telle est notre VolontĂ©, 1991- Relaxer avec elle pour sâenvoler vers la Douceur 1992- Et ainsi, apercevoir sa BeautĂ©, 1993- Comme un Cristal lumineux 1994- Quâon aperçoit dans les Cieux, 1995- Nous faisant penser Ă Dieu. 1996- Un seul regard nous suffit 1997- Pour regarder cette belle Vie quâil nous a donnĂ©e 1998- Et pour, enfin, vraiment lâapprĂ©cier. 1999- Pourquoi faire le guerre et vivre la colĂšre? 2000- Il y a tant Ă faire ici-bas sur cette Terre 2001- Aimer, aimer, aimer arrĂȘter de juger, 2002- Vivre lâAmour Ă chaque Jour⊠2003- TaillĂ© de mille facettes, 2004- Ăblouissant lâUnivers de ses multitudes de Couleurs. 2005- Les Gens sont tous pareils, tout le Monde veut ĂȘtre aimĂ©, 2006- Tout le Monde possĂšde un RĂVE⊠Un RĂVE de LibertĂ©. 2007- En nos RĂVES, nous devons toujours croire, 2008- Un Ă un, ils sortiront de ce tiroir. 2009- Tous ces grands Sentiments, 2010- Sont beaucoup trop importants, 2011- Pour les enfermer, les oublier dans le noir⊠2012- Car cela voudrait dire quâil nây a plus dâEspoir. 2013- Pour que mes Enfants vivent dans la LibertĂ© 2014- LibĂ©rez votre Esprit de lâorgueil destructeur 2015- Pour moi, le sentiment de haine, 2016- De faire souffrir ceux qui nous aiment, 2017- Nâest rien comparĂ© Ă lâamour! 2018- Bien sĂ»r, la haine est partout, 2019- Mais lâAmour est quand mĂȘme, 2020- La plus Belle chose au Monde!!! 2021- Je rĂȘve dâune Terre qui serait simple et belle 2022- OĂč les fous dâAmour seraient les Princes du ciel 2023- Mon Enfant, mon Ătre, je te laisse un Testament, 2024- Garde cette plume que la blanche Colombe, 2025- Un matin sous le feu du fusil aux abois, 2026- Dans sa chute violente, livra Ă nos Parents. 2027- Mon Enfant, mon Ătre, garde le souvenir, 2028- Entends le bruit assourdissant des bombes noires 2029- Vois le reflet planant des mines assassines. 2030- Mon Enfant, mon Ătre, garde cette douce Plume, 2031- Arme de tes combats, vers la Sagesse, Ă lâaube, 2032- Face Ă la LumiĂšre levant, elle tâemmĂšnera. 2033- Mon Enfant, mon Ătre, lutte contre tes craintes, 2034- Cherche la richesse en ton Coeur et ton Esprit, 2035- Accorde Ă lâautre la DiffĂ©rence et la Confiance, 2036- Et, au rĂ©veil, transmets au Monde ce Testament 2037- Et nâoublie pas de pardonner, car bien vite passe le temps.. 2038- Chers Grands-parents, vous qui ĂȘtes partis 2039- Pour dĂ©fendre la Patrie, notre Pays, 2040- Nous vous disons merci et vous Ă©crivons cette PoĂ©sie. 2041- Vous qui ĂȘtes partis avec la Fleur au fusil 2042- Pour dĂ©fendre la Patrie, 2043- Vous qui ĂȘtes partis avec un large Sourire 2044- En croyant que vous alliez vite revenir, 2045- Câest la fleur du mal que avez trouvĂ©e⊠2046- Sans jamais la chercher. 2047- Câest la fleur du mal que vous avez cueillie 2048- Sans jamais la semer 2049- Pour nourrir cette Fleur qui vous a fait souffrir 2050- Pour nourrir cette Fleur qui vous a fait mourir. 2051- Vous lâavez nourrie avec vos larmes 2052- Vous lâavez abreuvĂ©e avec le sang des armes 2053- Vous avez livrĂ© votre Ăme Ă cette fleur infĂąme 2054- Vous avez rendu lâĂme sur cette Terre en flammes. 2055- Nous avons compris tout ce que vous avez endurĂ© 2056- Le phare de Lorette nous a Ă©clairĂ©s 2057- Les combattants qui nous ont accompagnĂ©s 2058- Nous ont expliquĂ©, les tombes alignĂ©es nous ont choquĂ©s, 2059- Les tranchĂ©es de Vimy nous ont touchĂ©s 2060- Parce que nous avons marchĂ© lĂ oĂč vous avez rampĂ© 2061- Nous avons respirĂ© lĂ oĂč vous avez expirĂ©. 2062- Aujourdâhui la guerre est finie 2063- Nous sommes Amis. LâAmour a refleuri 2064- Et aujourdâhui si nous sommes ici, 2065- Câest pour nous souvenir des Noms gravĂ©s ici 2066- Afin quâils ne tombent pas dans lâoubli. 2067- Nous venons fleurir vos Noms 2068- Et dans nos Souvenirs⊠ils resteront. 2069- De tout temps la guerre rythme la vie de lâHomme. 2070- Mais aujourdâhui faisons de la PAIX le baume 2071- Qui nous permettra de panser nos blessures. 2072- Hommes, Femmes, Enfants, levons nous dâun seul coup, 2073- Pour scander haut et fort dâune mĂȘme Voix pure 2074- A bat la haine, nous ne souhaitons que la PAIX » 2075- PAIX, que ce mot devienne un jour universel. 2076- PAIX nâaie plus honte de dĂ©ployer tes Ailes ! 2077- Et dĂ©truit la haine de ta tranchante Ă©pĂ©e. 2078- JusquâĂ ce jour, nous sommes les seuls ĂȘtres vivants 2079- Connus dans tout cet immense et hostile univers. 2080- Alors ne gĂąchons pas nos Vies avec des vers 2081- Comme la haine ou la guerre et partons de lâavant, 2082- Pour bĂątir un Monde quâon appellera » PAIX . 2083- Sans la paix on ne peut rien bĂątir de durable, 2084- Ce serait Ă©tablir sur la vase ou le sable. 2085- Quel est ce Monde si cruel oĂč nos Enfants sont si purs? 2086- Pourquoi tant de haine et de souffrance 2087- Alors que le Bonheur est tout prĂšs de nous? 2088- Plus de regrets⊠2089- Que des Souhaits et des RĂ©alitĂ©s Ă exploiter 2090- Pour sâaimer sans frontiĂšres⊠2091- Si lâenfer te remplace, on sait que jamais 2092- Tu ne retrouveras ta place! 2093- Ă grand jamais sans oublier 2094- La dĂ©finition du mot PAIX 2095- Et de ce fait, pense Ă respecter tes AĂźnĂ©s. 2096- Ăcoute ton Coeur, pour obtenir PAIX sans fin; 2097- La guerre est dans lâair⊠mais pourquoi pas la PAIX sur Terre! 2098- Nous sommes capables de faire revenir la PAIX dans le Monde⊠2099- Il faut simplement prononcer le mot PAIX Ă haute Voix. 2100- La Magie de la Transformation se fait alors Ă lâIntĂ©rieur de soi. 2101- Et bats-toi jusquâĂ la fin pour lever le Drapeau de la PAIX⊠2102- Pour vivre avec ceux que tu aimeras pour toujours, 2103- RĂȘve ta Vie et vis tes RĂVES. 2104- RelĂšve la TĂȘte, sois fier et bats-toi, 2105- Bats-toi pour que ce Monde soit meilleur 2106- Pour que ce Monde soit nouveau, 2107- Bats-toi pour la LibertĂ©!!! 2108- La guerre câest la vengeance 2109- Quand on ne peut plus se faire confiance⊠2110- Câest ĂȘtre violent, câest jouer avec la Vie, 2111- Câest se dire des mauvais mots et faire de la peine Ă ses Amis! 2112- La guerre, câest triste ça brise des AmitiĂ©s, ça brise des Vies. 2113- La PAIX, câest respecter les GoĂ»ts des autres, 2114- Câest respecter leurs diffĂ©rences 2115- Câest sâamuser Ă faire plaisir 2116- Câest sâaider, câest se dire la VĂ©ritĂ© 2117- La PAIX, câest plein de Bonheur pour rĂ©jouir nos Coeurs. 2118- Puisse, tel un doux Foyer, la PAIX devenir, en somme, 2119- Le plus sĂ»r des Refuges, que lâon soit Femme ou Homme. 2120- Il mâarrive de rĂȘver Ă un Monde en couleur 2121- Tout Ă©tant LumiĂšre sans misĂšre sans douleur 2122- OĂč lâhomme est reflĂ©tĂ© comme un Astre de douceur 2123- Au CĆur bienveillant sâoffrant avec Chaleur 2124- Les Ătres Ă©tant Ă©gaux, ayant les mĂȘmes Valeurs 2125- Il nây a plus de conflits et donc pas de guerre. 2126- Je veux un Monde oĂč, lâombre des sabres, 2127- La PAIX, fera sourire la Terre⊠2128- Quâon voit sur le Visage de lâHumanitĂ© 2129- Le reflet de la SĂ©rĂ©nitĂ© de la BeautĂ©. 2130- Loin de lĂ , parmi les endroits 2131- Fleuris de Nourriture et de serrures, 2132- Les clĂ©s nâouvrent rien, ni portes, ni jardins. 2133- Loin de lĂ , des Gens meurent de faim; 2134- Mais moi, au-delĂ de lâEspace, jâaimerais bien, 2135- Trouver ce qui nâeffacera pas la Liaison entre nous 2136- Et donner aux Enfants que nous avons nourris. 2137- Sâils ont dĂ©figurĂ© lâĂ©loquence des larmes, 2138- Le Sourire de lâAnge est Promesse dâEspoir. 2139- Jâaurais deux Ămes, je tâen offrirais une 2140- Pour protĂ©ger le reste de lâHumanitĂ©; 2141- Si jâavais deux Ămes, je te les donnerais 2142- Pour pardonner lâHumanitĂ©. 2143- Pourquoi tuer des Gens quand on peu en sauver? 2144- Pourquoi ĂȘtre malheureux quand on peu ĂȘtre heureux? 2145- Pourquoi faire la guerre quand on peu faire la PAIX? 2146- Je vous dis sincĂšrement PAIX Ă tous! 2147- On changera le Monde en bien avec la PAIX et non la guerre. 2148- Au-delĂ de nos barriĂšres, 2149- LâAmour nâa quâune seule Couleur 2150- Et dans la pauvretĂ© ou la misĂšre, 2151- Nous sommes tous pareils. 2152- Telle notre DestinĂ©e je lis dans tes PensĂ©es 2153- Comme un Rayon de Soleil. 2154- Ă lâombre de mes paupiĂšres, la nuit jâaimerais 2155- Entre deux MurĂšnes et une Colombe 2156- Mettre de lâArgile et du Bronze 2157- Pour y graver le Finie la fin 2158- Et si la PAIX commençait par un dĂ©but⊠» 2159- Jâaimerais dĂ©couvrir ce lien brisĂ© 2160 Lui redonner ces millions de fils dorĂ©s 2161- Pour que la PAIX puisse enfin 2162- Fleurir les Jardins de tout les Humains 2163-La QuĂȘte sera encore longue, 2164- Mais tous ensemble combinons nos Ondes 2165- Pour quâarrive un jour prochain 2166- La PAIX Ă©ternelle et sans fin. 2167- Biffer le mal qui plombe au dessus de nous 2168- Laisser jaillir la Lueur dâun Espoir meilleur 2169- Voir lâHarmonie meurtrir ces annĂ©es de terreur 2170- Pousser lâHumanitĂ© Ă affirmer sa LibertĂ© 2171- Dans un Monde oĂč la PAIX sera prĂŽnĂ©e. 2172- Tu me manques, jâai besoin de ta PrĂ©sence, 2173- Que suis-je sans lâodeur de ta Conscience, 2174- Tout au haut de sa Puissance, 2175- Elle en fait un Havre de PAIX 2176- OĂč on aime se rĂ©fugier, se blottir. 2177- Trouver le vrai Chemin de lâHumanitĂ© 2178- Celui de lâAmour et la SĂ©rĂ©nitĂ© 2179- Ensemble, main dans la main, 2180- Nous pouvons tout recommencer, 2181- Reconstruire cette Terre adorĂ©e 2182- Et en faire notre Paradis dâHarmonie. 2183- Jâaimerais trouver un RemĂšde plus que fou 2184- Qui nous permettrait dâoublier rage, violence et coups 2185- Pour ça, il faudrait une Justice partout 2186- Qui permettrait dâavoir une Loi en tout et pour tout, 2187- Pour bĂątir la Raison et extirper les fous; 2188- Mobilisons-nous, mettons-nous debout 2189- Pour quâenfin ce RĂVE de PAIX devienne RĂ©alitĂ© 2190- Et ainsi nous pourrons prospĂ©rer 2191- En vivant avec des Mots qui auront Ă©tĂ© oubliĂ©s 2192- Car ils nâĂ©taient plus dâaucune utilitĂ©. 2193- la PAIX est fragile, comme les tourments, 2194- Nous, Peuples de la Terre qui, de notre vanitĂ©, 2195- Ont su assujettir tous les misĂ©reux, 2196- Ayons la Compassion aujourdâhui Ă jamais, 2197- De libĂ©rer les opprimĂ©s et de transmettre la PAIX. 2198- Aucune raison nâest bonne, pour une Ăme, de pleurer, 2199- Ainsi que pour un Enfant, de ne pas jouer. 2200- Ce nâest pas la peine de pleurer, 2201- Il y a tant de choses encore Ă prĂ©parer! 2202- Câest le temps de faire le vide⊠sans que ce soit tout vide. 2203- Quand la PAIX arrivera⊠2204- On commencera Ă sâamuser et tout le Monde chantera. 2205- Ce sera le moment que tout le Monde a tant espĂ©rĂ©; 2206- Enfin ils arrĂȘteront de dĂ©sespĂ©rer 2207- Sur la Terre, il y a beaucoup trop de guerre, 2208- La guerre est faite pour dĂ©truire la Terre. 2209- Comment avoir la PAIX sur la Terre en faisant la guerre? 2210- Plusieurs personnes y perdent la Vie 2211- Sâil vous plaĂźt, arrĂȘtez cette galĂšre 2212- Car elle nâa rien amenĂ© de bon jusquâici 2213- Dans le Monde, il faut faire la PAIX, 2214- Si le Monde Ă©tait en PAIX, on serait parfaits. 2215- Pourquoi la guerre a-t-elle existĂ©? 2216- La PAIX peut nous aider Ă nous faire des Amis; 2217- La guerre ne sert quâĂ se faire haĂŻr⊠2218- LâAmour amĂšne la PAIX et lâAmitiĂ©, 2219- La guerre nâamĂšne que la mĂ©chancetĂ©. 2220- La guerre câest mal! 2221- La Terre est sale quand il y a de la guerre. 2222- Il y a plein de militaires qui ont mal 2223- Tous les gentils se cachent de la guerre. 2224- La guerre est comme un cauchemar sans fin⊠2225- Mais toute chose a une fin. 2226- La guerre est comme un Monde rempli de haine, 2227- AttachĂ© Ă des milliers de chaĂźnes. 2228- Les guerres mondiales ont mis des Vies en pĂ©ril, 2229- Des gens ont sacrifiĂ© leur Vie pour sauver nos Vies. 2230- La PAIX ce nâest pas laid. 2231- La guerre dĂ©truit la Terre, elle dĂ©truit aussi des Vies. 2232- Ceux qui font la guerre meurent sans priĂšres, 2233- Alors leur Vie est finie. 2234- Le Bonheur ne fait pas peur car la Joie est en toi. 2235- LâAmour, pour toujours, ne joue que des tours. 2236- Le Vent, chaque instant, te guide au Sommet de la pyramide. 2237- La Terre est faite pour vivre sans guerre, 2238- La guerre apporte du malheur sur la Terre. 2239- Amenons un Monde sans chicane et sans guerre 2240- La PAIX amĂšnera la BeautĂ© sur la Terre. 2241- Sur la Terre, il y a la guerre et ça pollue lâair, 2242- Ce nâest pas trĂšs gentil dâavoir des fusils. 2243- La Terre nâest pas faite pour la guerre, 2244- Ce Message est pour notre Ăšre. 2245- Tout le Monde doit collaborer, pour quâon puisse tous sâamuser. 2246- Chaque jour lâAmour crie au secours. 2247- La guerre sâabat sur les Gens autour de toi, 2248- Elle nâa aucune pitiĂ© comme lâarmĂ©e. 2249- Les soldats tuent sans refus. 2250- Laissons lĂ les regrets, la colĂšre ou la haine. 2251- Construisons lâAvenir pour que vivent sans chaĂźne 2252- Tous les Ălans de PAIX vers ceux qui ont perdu 2253- Au milieu des malheurs, leurs RĂVES les plus purs. 2254- Regardons lâHorizon, le Soleil se lever. 2255- Fermons nos cicatrices et nous pourrons aimer 2256- Les Peuples de la Terre qui nous sont Ă©trangers 2257- Sans quâinfluent sur nos Coeurs, les douleurs du passĂ©. 2258- Apprenons Ă aimer comme les autres ont aimĂ© 2259- Sans jamais en douter ou se justifier 2260- Juste laisser faire nos Coeurs et nos Paroles 2261- Et ainsi faire le tour du Monde en farandole 2262- Jâai rĂȘvĂ© dâune PlanĂšte rĂ©chauffĂ©e par le Soleil, 2263- Jâai vu des Hommes faire des Merveilles, 2264- Jâai entendu au loin des Champs dâAmitié⊠2265- JâĂ©tais bien dans mon Sommeil. 2266- Les Couleurs de peau Ă©taient harmonieuses, 2267- Les Origines et les Cultures gracieuses, 2268- La Vie des Hommes soudain radieuse, 2269- LâExistence se faisait merveilleuse. 2270- JâĂ©tais lĂ sans bouger dans le Silence 2271- Au milieu dâun Espoir immense, 2272- Celui dâune rĂ©elle EspĂ©rance. 2273- La PAIX Ă©tait en transe. 2274- Les Hommes avaient changé⊠2275- Ils sâĂ©coutaient, se parlaient. 2276- OĂč Ă©tais-je ? Avais-je rĂȘvĂ© ? 2277- JâĂ©tais heureux et comblĂ©. 2278- Plus dâInnocents sous les bombes, 2280- Les Femmes hors de lâombre, 2281- Les Rires des Enfants qui me comblent, 2282- La PAIX sur la mappemonde. 2283- Utopique ? non, question de VolontĂ© ! 2284- Je lâai rĂȘvĂ© avec le droit dâespĂ©rer. 2285- Je vous en prie, arrĂȘtez de prier; 2286- Dansez, chantez, riez⊠2287- Sâil nây a quâune seule PriĂšre⊠2288- Demandez aux armes de se taire, 2289- Aux Hommes dâĂȘtre FrĂšres 2290- Sans arriĂšre pensĂ©e guerriĂšre. 2291- Regardez-vous avec le CĆur, 2292- Ne parlez plus avec la terreur, 2293- Rapprochez-vous de lâAmour, de lâAmitiĂ© 2294- Et vous serez des Hommes, des vrais tout simplement. 2295- La PAIX vous attend impatiemment. 2296- Tous ensemble engageons-nous dans le dĂ©sarmement 2297- Pour montrer que nous voulons aller de lâavant 2298-Dans ce Chemin prometteur quâest la PAIX, 2299-Celle que tous les Hommes voudraient. 2300- Dâoppresseur il nây doit plus y avoir, 2301- Aux conflits disons » Au revoir. » 2302- Puisse ĂȘtre hier un jour sans guerre 2303- Puisse ĂȘtre aujourdâhui un jour sans pluie 2304- Puisse ĂȘtre demain un jour sans faim 2305- Puisse ĂȘtre toujours un jour dâAmour 2306- Puisse ĂȘtre plus que jamais un jour de PAIX. 2307- Mais quand ce RĂVE de PAIX dĂ©ploiera-t-il ses ailes 2308- Pour quâainsi, la guerre obscure rentre chez elle? 2309- La LibertĂ© rĂšgnera sur la Terre entiĂšre 2310- Lorsque les fusils sâĂ©clipseront en enfer. 2311- Que les Chemins de lâHarmonie nous rĂ©unissent 2312- Et quâils nous mĂšnent dans un Univers de Justice. 2313- Les Origines de sont pas dâune grande importance, 2314- Sauf pour ceux qui prĂ©fĂšrent rester dans lâignorance, 2315- Ă nos Enfants, chers Acteurs de notre DestinĂ©e, 2316- LĂ©guons cette PAIX que nous avons tant dĂ©sirĂ©e, 2317 â Quâils ravivent sa Flamme dâun Souffle innocent 2318 â Pour mettre fin au rĂšgne des larmes de sang 2319 â Quand sonnera enfin lâhallali des souffrances, 2320 â Peut-ĂȘtre liront-ils ces versets dâEspĂ©rance. 2321- La vĂ©ritable PAIX est lâun de ces Cadeaux 2322- Qui peuvent bousculer tous nos faux idĂ©aux 2323- Pour redonner confiance aux Hommes dĂ©laissĂ©s, 2324- Ou apprendre Ă tous les Enfants comment sâaimer. 2325- La vraie PAIX est donc un des Dons rares et gratuits 2326- Quâil faudrait envoyer dans chacun des Pays, 2327- Surtout lĂ oĂč il y a la guerre et la mort, 2328- Mais ne pas en exclure de ce petit TrĂ©sor. 2329- La PAIX est un Regard serein qui se promĂšne 2330- Sur les Monts des jours, les Lacs des nuits, sur les Plaines, 2331- Calmant la Brise avant comme le Vent arriĂšre, 2332- Les moues dâEnfants comme les colĂšres guerriĂšres. 2333- La PAIX est un RĂVE tapi au creux des Coeurs 2334- Que lâIntelligence pourrait joindre en une heure 2335- OĂč, lors dâun Ăchange dâune infinie Tendresse, 2336- Elles Ă©voqueraient leurs Amours de Jeunesse. 2337- La PAIX est un Espoir qui guide nos Coeurs 2338- Ensemble, sans avoir peur, 2339- Battons-nous avec ampleur 2340- Pour que sâefface nos pleurs 2341- Et quâenfin la guerre meurt 2342- Et que soient rĂ©unis nos FrĂšres et Soeurs. 2343- Pour un Monde de PAIX et de ComprĂ©hension, 2344- Parlons EspĂ©ranto et nous nous comprendrons. 2345- Quâarriverait-il sâil fallait quâĂ jamais 2346- Ne disparaissait tout lâEspoir de demain 3347- Que sont ces petits Ătres humains 2348- Qui meurent par milliers Ă chaque journĂ©e Ă©coulĂ©e? 2349- Pourrons-nous, un matin dâĂ©tĂ©, nous pardonner? 2350- De nos erreurs passĂ©es, 2351- Vivre en PAIX pour lâĂternitĂ© 2352- Et donner cette PAIX⊠2353- Ă tous les Ătres qui ont Ă©tĂ© créés. 2354- Sachons toujours mieux semer lâAmour autour de nous 2355- Car oui, peu importe oĂč on se trouve, 2356- Il est au rendez-vous 2357- Pour tous ces Gens de partout. 2358- Dans les plaines verdoyantes, oui je rĂȘve 2359- Des Visages dâEnfants, libres, riants au Soleil, 2360- Blancs, jaunes, noirs, mĂ©tis, ils se lĂšvent 2361- Pour construire, la PAIX et lâAmour qui sâĂ©veillent. 2362- Scandons haut et fort qui veut la PAIX veut les moyens, 2363- Donc, allons semer lâEspoir dans tous les chemins, 2364- La planĂšte Terre est bien un Univers hors pair, 2365- Dans la voie lactĂ©e, il faut la garder sans colĂšre, 2366- Et que rĂšgne la PAIX tant convoitĂ©e par le Monde. 2367- Un univers de TolĂ©rance crĂ©e la Confiance. 2368- Dans le dessein de vivre dans un Ă©clat dâHarmonie, 2369- Soyons tous unis pour aider les dĂ©munis, 2370- Et surmonter enfin cette fumĂ©e de violence, 2371- Pour exister au sein dâune chaleureuse Ambiance, 2372- Celle de la Terre tout entiĂšre en effervescence! 2373- Câest Yassir du Canada qui vous lance ce cri, 2374- De FĂ©licitĂ©, de Joie et SĂ©rĂ©nitĂ© ! 2375- En dĂ©pit de tous ces tares et ces torts 2376- Qui secouent aujourdâhui notre Monde 2377- Clamons Ă lâunisson haut et fort 2378- Soyons futuristes, tolĂ©rants et clĂ©ments 2379- Pour que rĂšgnent la PAIX et la TolĂ©rance 2380- Et se dissipent la haine et la violence » 2381- Donc, place Ă lâĂchange et Ă la Symbiose! 2382- Et au diable la guerre et la violence! 2383- Câest Ilyes qui vous appelle Ă agir 2384- Afin que rĂšgnent QuiĂ©tude, Bonheur et ProspĂ©ritĂ© 2385- Dont nous avons un besoin urgent 2386- Dans les circonstances du temps prĂ©sent ! 2387- Mais le temps prĂ©sent passe, et le futur reste sombre. 2388- Faut-il quâun jour noir se lĂšve aux cris de la bombe, 2389- Faut-il quâun soir trop de Gens pleurent sur les tombes, 2390- Pour quâĂ lâaube, volent enfin, malgrĂ© tout, des Colombes, 2391- Et les Gens de sortir, marchant, fous, tels une ombre. 2392- Gageons quâun jour lâun dâeux, juste sorti du nombre, 2393- Trouvera les mots justes pour raisonner le Monde. 2394- ĂgarĂ© dans mes PensĂ©es, je flĂąne au grĂ© des MarĂ©es. 2395- Et dans leur doux cocon, 2396- Elles bercent mon Ăme et ma QuiĂ©tude. 2397- La Terre, câest plus que la Vie, 2398- Câest lâAmour, la Famille, les Amis. 2399- Rien nâarrĂȘte la PAIX quand les Hommes sâenvolent, 2400- Ignorant les conflits, vers un Monde plus drĂŽle. 2401- La PAIX des Hommes et des Ămes devra se construire 2402- Sur les ruines des guerres nourries Ă tout dĂ©truire 2403- Chacun portant grain de sable ou brillant galet 2404- Sous une musique guidant les pas de nos ballets 2405- Nous bĂątirons un mur, rempart de toute haine 2406- Pour que lâAmour, enfin, triomphe en ce Domaine. 2407- La souris et lâĂ©lĂ©phant sây promĂšneront 2408- Trompe dans patte en sifflotant de gaies chansons 2409- Les Enfants y grimperont Ă la courte-Ă©chelle 2410- Pour jouer aux billes en suçant des caramels. 2411- Et si pourtant un jour, tel un RĂVE voulu, 2412- Tel un Souffle divin, telle une Illusion chĂšre, 2413- Tel un profond MystĂšre, toujours irrĂ©solu; 2414- Tel un Songe insensĂ©, authentique chimĂšre, 2415- Et si pourtant un jour rĂ©gnait parmi nous 2416- Ce quâune Colombe frĂ©quemment symbolise, 2417- Cette PAIX quâon devrait implorer Ă genoux, 2418- Si un jour arrivait quâelle se rĂ©alise ! 2419- Si un jour cette PAIX enfin existait 2420- Au travers des Nations, sur toute la PlanĂšte, 2421- Le Monde, sĂ»rement, un Paradis serait, 2422- La joie inonderait cette incroyable FĂȘte. 2423-Et si pourtant un jour ce nâĂ©tait plus un RĂVE, 2424- Partout enfin lâAmour se rĂ©pandrait sans trĂȘve ⊠2425- Ensemble, transformons ce RĂVE en RĂ©alitĂ©. 2426- Jâai rĂȘvĂ© une nuit dâun Bonheur sans pareil 2427- Dâun beau Soleil levant, dâune Fleur nommĂ©e PAIX 2428- Tant et tant dâHommes se sont rĂ©veillĂ©s meurtris 2429- En confondant leur RĂVE et la RĂ©alitĂ© 2430- Mais jâespĂšre quand mĂȘme on ne sait jamais si 2431- Les Oiseaux ont des ailes, les Oiseaux ont des nids 2432- Les PoĂštes ont des mots, lâHumanitĂ© aussi. 2433- Câest avec cela que la PAIX prendra Vie! 2434- Pourquoi toutes ces guerres? 2435- Pourquoi semer autant de misĂšres? 2436- Au nom de quel dieu ou libertĂ© sanguinaire 2437- Vous tuez vos Enfants, Enfants de la Terre? 2438- Ă tous les politiciens et militaires, 2439- Aux hommes de lois et religionnaires, 2440- Aux exĂ©cutants et mercenaires 2441- Ăcoutez les cris de vos consciences vulnĂ©raires 2442- Ăcoutez ceux de vos Ămes tĂ©mĂ©raires. 2443- Que les colombes investissent les aires 2444- Sous Ciel bleu, sans frontiĂšres 2445- Quâils sâenvolent libres et salutaires 2446- Au dessus des MosquĂ©es et Sanctuaires 2447- Des CathĂ©drales, aux Espoirs tributaires 2448- Des Synagogues aux lĂ©gendes sĂ©culaires. 2449- Tenons nous tous la Main 2450- Et chantons ensembles le refrain 2451- De la PAIX, de Jours meilleurs et sereins 2452- Pour la Joie, le Bonheur de tous un chaque un 2453- Semons lâAmour, la LibertĂ© et le Bien 2454- Sous Ciel bleu et aux Pays lointains 2455- Chantons pour demain. 2456- Certains jours, il mâarrive de dire bien haut 2457- Que lâHomme sur la Terre est souvent de trop. 2458- Il a domptĂ© beaucoup dâĂ©lĂ©ments pour rĂ©gner 2459- Sans en mesurer le prix quâil faudra payer. 2460- Guerres, pollution, conscient, il a engendrĂ©es 2461- Pour satisfaire des rĂȘves dĂ©mesurĂ©s. 2462- Mais certains jours, je me plais Ă rĂ©aliser 2463- Que lâHomme peut aussi agir avec BontĂ© 2464- Inventions, DĂ©couvertes, il a peaufinĂ©es 2465- Pour permettre Ă chacun de mieux Ă©voluer. 2466- Un jour, capable du meilleur » ou du pire », 2467- Je rĂȘve quâenfin, il dĂ©cide di dire 2468- On ne trouve pas le Bonheur dans les palais; 2469- Il rĂ©side lĂ oĂč nous cultivons la PAIX. » 2470- Dans la longue marche de nos Vies, 2471- Nous arrivons pas Ă pas Ă cette fin, 2472- Sans jamais connaĂźtre la PAIX. 2473- Tout le mystĂšre qui entoure notre Existence, 2474- Et nous laisse parfois inassouvis. 2475- Parfois par trop dâorgueil, restant dans lâignorance, 2476- Et souvent, nous sommes, Ă nous-mĂȘmes, inconnus. 2477- Faire face Ă cette PAIX, faire face Ă lâincompris, 2478- Câest le Courage des HĂ©ros et des SaintsâŠ. 2479- Pauvres Hommes, que nous sommes ! 2480- Combattons nos faiblesses, nos trahisons. 2481- Câest Ă nous seuls, que nous mentons, 2482- Câest Ă nous seuls, que blessures sâinfligent. 2483- Grand et sage est celui qui le comprend ! 2484- Homme dâHonneur, Homme de Grandeur. 2485- Dans notre petitesse, les Hommes sont Ardeurs ! 2486- Flamboyant, combattant, lâHomme est grand ! 2487- Grand, dans sa dĂ©mesure, il atteint le meilleur. 2488- Grand, dans sa dĂ©mesure, il atteint le malheur. 2489- Mais câest lâOeuvre dâune lutte de toute une Vie. 2490- Une Vie de petitesse, qui fait la PAIX ! 2491- Alors, je vous salue Homme de rien, Homme de Tout. 2492- Je vous salue, et câest en vous que naĂźt lâEspoir. 2493- Je mâagenouille, humble serviteur de ma Vie. 2494- Je mâincline, respectueuse de ce vaste Lieu. 2495- Je vous salue dans Le respect de ce Tout. 2496- Grain de sable pour votre Grandeur sans borne 2497- Je vous salue pour la grande Oeuvre inachevĂ©e. 2498- Je vous salue pour ces Demains dans la BontĂ©. 2499- Je salue ce grand Chantier quâest LâHumanitĂ©. 2500- Je remercie dâĂȘtre, moi, si petite, dans ce grand Tout. 2501- Grain de sable, parmi tous tes grains de sables. 2502- Petite Vie, pour cet achĂšvement final. 2503- PoussiĂšre dâĂtoile, PoussiĂšre de lâEsprit Saint. 2504- PoussiĂšre est infinieâŠâŠâŠet infini est uni. 2505- Unis ensemble pour une PAIX durable 2506- Forts de nous, de nos AĂŻeux, insĂ©parables, 2507- BĂątissons, la PAIX de ce Monde, en Harmonie 2508- Croyons en nous, en cette PAIX, en cette Vie. 2509- Cherche, tu la trouveras dans les Coeurs heureux 2510- Elle rayonnera jusquâau fond de tous les Yeux 2511- Partage-la avec ton Ami, ton Voisin 2512- Elle sâagrandira jusquâau bout de ton Chemin. 2513- Nous sommes tous purs Ă la naissance. 2514- Pourquoi gĂącher notre croissance 2515- En nous montrant la guerre et ses souffrances 2516- Qui feront de nous, des Ămes sans consciences. 2517- Montrez-nous plutĂŽt la PAIX 2518- Et faites que nous y ayons accĂšs. 2519- Il faudrait quâil nây ait plus aucun mĂ©fait 2520- Pour que notre Monde soit parfait. 2521- Si tous ensemble nous nous impliquions 2522- Au lieu de nous construire un cocon, 2523- Nous pourrions chanter Ă lâunisson 2524- La PAIX sur cette Terre qui est notre Maison. 2525- Partageons tous ensemble de grandes IdĂ©es 2526- De PAIX, dâAmour et dâAmitiĂ©. 2527- Cette Attitude nous permettrait dâĂ©voluer. 2528- Et de crĂ©er un Monde parfait pour lâĂternitĂ©, 2529- Qui nous unira toute la Vie 2530- Et qui nous aidera pendant des dĂ©cennies. 2531- Tu fais parler de toi, sur tous les continents. 2532- Les Princes et les Rois, tâattendent depuis longtemps. 2533-On te sait trĂšs fragile, et souvent menacĂ©e ; 2534- Des accords difficiles; te voilĂ apeurĂ©e. 2535- La guerre te contrarie, et modifie tous tes plans ; 2536- Sur la Terre trop de Vies, sâapparentent avec sang. 2537- Tu restes alors cachĂ©e, comme au creux dâun rocher ; 2538- EspĂ©rant, mais en vain, quâon se tienne par la main. 2539- Mais jâai trouvĂ© tes traces, dans celles de JĂ©sus-Christ. 2540- LĂ , est bien ta place, câest lui qui nous lâa dit. 2541- Et comme tu viens de Dieu, câest la PAIX vĂ©ritable ; 2542- Pour chacun et pour ceux, qui veulent quâelle soit durable 2543- Celle-ci nous est donnĂ©e, sans devoir lâacheter ; 2544- Ă nous de la garder, de la communiquer. 2545- Pour toujours, nous allons tâaimer chĂšre Terre. 2546- Donne-nous ce Monde de PAIX tant dĂ©sirĂ©. 2547- Lentement lâHomme dĂ©truit sa belle PlanĂšte, 2548- Avidement, impunĂ©ment, depuis perpĂšte 2549- Pour des guerres inutiles sans prophĂštes. 2550- Avec des militaires cela inquiĂšte, 2551- Insidieusement mettons les Ă la diĂšte 2552- XĂ©rographie du Paradis dâun PoĂšte. 2553- Pour la gloriole de gĂ©nĂ©raux en goguette, 2554- Entendez les cris des populaces en disette, 2555- Au feu et au fourneau les baĂŻonnettes, 2556- Chassez de nos contrĂ©es ces maudites gĂąchettes, 2557- Et venez tous danser au soir dans les guinguettes. 2558- Je possĂšde en moi la PAIX tant convoitĂ©e 2559- Elle est le reflet de mes PensĂ©es, de mes IdĂ©es. 2560- Elle commence par un Je et dĂ©rive dans le Nous 2561- Mille fois merci Ă lâUnivers de qui je reçois beaucoup. 2562- Je nâai le contrĂŽle que sur mon Ătre et mes PensĂ©es 2563- Alors jâinvestis dans ma ProspĂ©ritĂ© 2564- Afin dâen faire fructifier la planĂšte en entier. 2565- Pourquoi chercher dans de futiles matĂ©rialitĂ©s 2566- Quand ici maintenant flotte la SensibilitĂ© 2567- Permettant de goĂ»ter le confort, essentielle donnĂ©e 2568- Dâune PAIX dĂ©jĂ existante et Ă peine engagĂ©e⊠2569- Jouissance de cette Vie, Ă la dĂ©couverte de lâAmour pur, 2570- Je voyage sur cette Terre Ă la recherche de Gens prospĂšres. 2571- Faut croire en soi, ainsi quâĂ son RĂVE, pour que ça dure. 2572- Pour ceux qui nâen ont pas et qui ont besoin de repĂšre, 2573- Je vous dis, je vous aime avec tout mon CĆur pur, 2574- Vous nâĂȘtes pas seuls, il y a SĆur, FrĂšre, MĂšre et PĂšre, 2575- Amie, Ami, ConsĆur, ConfrĂšre des Ătres qui sont sĂ»rs 2576- De vous donner un Destin prospĂšre sur cette Terre, 2577- Sans aucune haine et sans frontiĂšre. 2578- Terre dâici, Monde qui grandit, pourquoi la guerre? 2579- Pourquoi toujours ces conflits entre SĆurs et FrĂšres? 2580- Que de sanglants ravages, que de dĂ©solations! 2581- Tristes rĂ©alitĂ©s quâensemble nous subissons. 2582- Des soldats sans pitiĂ©, des combattants sans CĆur, 2583- Assassinent la Vie et sĂšment la terreur 2584- Dans tous les villages oĂč leurs fusils dominent 2585- Le doux Chant des Oiseaux, lâInnocence enfantine. 2586- Guerre et PAIX, guerre ou PAIX, troublante Association 2587- Qui ne laisse quâun choix entre ces deux notions 2588- Car si la guerre on sait, est affaire dâextrĂȘme 2589- La PAIX alors ainsi nâen serait quâanathĂšme ? 2590- Rien nâest plus faux que cette agreste idĂ©e qui veut 2591- Ă la guerre la PAIX sobrement affronter. 2592- Câest contrebalancer mort et Vie, rien et tout 2593- Gober lâidĂ©e que tout mot possĂšde opposĂ© 2594- Mais il en est certains qui sont beaucoup trop laids 2595- Pour quâon puisse Ă quelque autre pouvoir les associer, 2596- Les garder sous scellĂ©, dans leur boite de pandore 2597- Est lâunique attitude Ă pouvoir adopter. 2598- La guerre est une fin, la paix philosophie 2599- Que lâon vit chaque minute, un combat quotidien 2600- Dont lâissue nâest que de se perpĂ©trer sans fin 2601- Le vivant Ă©quilibre dâun poĂšme infini. 2602- Parce que lâAmour est notre douce Naissance 2603- Parce que lâAmour est une Luminescence 2604- On doit chĂ©rir les Personnes qui nous aiment 2605- Et il ne suffit point que dâun simple poĂšme 2606- Mais dâun appel lancĂ© aux Peuples de la Terre 2607- Pour mettre fin Ă cette malheureuse guerre. 2608- La guerre nâest quâune idĂ©e noire pour combler nos dĂ©sespoirs. 2609- Il nous suffit dâun malheur pour voir que nous avons du Coeur. 2610- Le plus grand PoĂšme du Monde, 2611- Quelle idĂ©e gĂ©nĂ©reuse et fĂ©conde 2612- Pour sceller lâAmitiĂ© entre les Peuple de la Terre⊠2613- Un Espoir naĂźt 2614- Un jour, un jour peut-ĂȘtre, moins dâinĂ©galitĂ©s! 2615- Chacun sa place au Soleil de lâAmitiĂ© 2616- Sur cette Terre dâAmour reconstituĂ©e. 2617- La Paix sur notre Boule perdue⊠2618- Grande Aspiration humaine, humble et sincĂšre. 2619- Et Ă chacun de dĂ©fendre sa VĂ©ritĂ© apprise et crue⊠2620- Paradoxe ! Que faire ? 2621- DĂ©fendre la RĂ©alitĂ©, ĂȘtre net et clair, 2622- Ensemble nous rĂ©unir pour tout un Avenir; 2623- Nous rassembler pour ce poĂšme qui ne peut finir. 2624- Nous arriverons Ă notre Destination 2625- Et rĂ©aliserons tous nos RĂVES immenses 2626- Qui ne cessent de naĂźtre et de grandir partout dans le Monde. 2627- Je vous dis adieu mes ConfrĂšres⊠sans aucune portiĂšre. 2628- Pour moi, câest bien ça la PAIX, 2629- Pas de guerre ni de vers, mais juste un peu de PAIX. 2630- Faudrait peut-ĂȘtre ĂȘtre aveugle pour voir 2631- Quâon est dans la misĂšre. Mais pourquoi voir 2632- Si tout ce quâon voit câest la haine. 2633- Mais aujourdâhui giclez comme une veine 2634- Et sortez dehors en criant tout fort. 2635- Pour moi câest ça lâEffort dâune PAIX bien saine, 2636- Celle dâagrĂ©menter jusquâĂ la fin de nos jours⊠2637- âŠNotre LibertĂ©. 2638- QuâĂ cela ne tienne, un jour les Gens comprendront 2639- Que la PAIX sur Terre scintille parfois dans les airs 2640- Et chaque fois que nos yeux pointent leur Regard en lâair, 2641- Ils dĂ©couvrent, non seulement Ătoiles des Chaudrons, 2642- Mais aussi Soleil et Lune, pluie et nuages, 2643- Peu importe lâImage, la PAIX nâest pas un mirage 2644- Ni violence ni frontiĂšre ni outrage 2645- Et pourtant tant de larmes sous les paupiĂšres, 2646- Tant de sang, tant de cendre dans les riviĂšres, 2647- Des cornes de brumes errent aux frontiĂšres 2648- Comme des Airs espĂ©rant PĂšlerinage 2649- OĂč nos pieds fouleraient dâatroces chimĂšres 2650- Pour que la PAIX chante une unique PriĂšre. 2651- Pour sauver sur quoi lâon vit, câest Ă dire la Terre. 2652- Rassemblons nos Ănergies pour sauver des Vies. 2653- Que cesse la mĂ©galomanie des Ă©lus racornis, 2654- Que le centre du Monde soit celui de la Terre 2655- Et non celui des Ă©lus⊠2656- Pour que chaque individu soit reconnu 2657- Comme Membre Ă part entiĂšre de cette Terre. 2658- Laissons-nous guider par cette Force qui, 2659- Par sa Puissance, nous condamne au dĂ©sir dâaimer. 2660- La Vie est un abcĂšs qui cherche Ă aboutir, 2661- La haine peut tuer, mais lâAmour sait guĂ©rir 2662- Et lâAmour, câest la PAIX, lâUnitĂ© dans la Joie; 2663- Il nây a plus dĂšs lors ni prĂ©dateur ni proie. 2664- Si seulement on pouvait dire je tâaime 2665- Sans que la luxure en soit lâemblĂšme, 2666- Le monde ne serait plus jamais le mĂȘme 2667- Si on savait seulement dire je tâaime. 2668- Et si la VolontĂ© Ă©tait aussi grande que nos Coeurs, 2669- Le Monde entier en serait que meilleur. 2670- Nous serions tous debout face aux grands dirigeants 2671- Pour qui la guerre nâest fait que dâargent; 2672- Nous serions tous debout face Ă lâignorance, 2673- Face Ă la souffrance⊠à lâindiffĂ©rence. 2674- PAIX! Couleras-tu un jour dans nos Veines 2675- Pour soulager la douleur de nos peine? 2676- Un Sourire ou un Geste, ouvrons-nous Ă la Vie, 2677- Accueillir, faire la FĂȘte, faisons que tout le Monde rit. 2678- Puissions-nous un jour trouver la Solution 2679- Avec beaucoup dâAmour et de Raison 2680- Il faudra, tous ensemble, unir nos Forces 2681- XĂ©nophobie tu vies ta dĂ©chĂ©ance. 2682- Rire de Joie, rire dâAmour lĂ oĂč nous sommes, 2683- Peu importe lâheure⊠2684- Que la peur des prĂ©dateurs ne soit plus. 2685- La BeautĂ© du Monde est dans les Yeux, 2686- Dâun Enfant aimĂ©, Ă©panoui et heureux. 2687- DâĂȘtre en PAIX et ne pas se soucier de demain, 2688- De faire Confiance et aimer son Prochain. 2689- Nâai nul besoin de vers, quâils soient bons ou mauvais 2690- Pour vivre avec vous tous ce poĂšme de PAIX, 2691- Seulement quelques mots, ces mots dâAmour sincĂšre 2692- Vers lâautre que je ne connais pas, toi mon FrĂšre. 2693- Il faut dĂ©samorcer cette colĂšre, 2694- Qui envahit toute cette Ăšre, 2695- Ce sentiment dĂ©vastateur, 2696- Qui est lâobjet de tant de labeur, 2697- Il faut apprendre Ă faire Confiance, 2698- Ă oublier toute cette vengeance, 2699- Ne pas nourrir lâignorance, 2700- Pour assouvir nos souffrances, 2701- Il faut faire preuve dâIntelligence, 2702- Pour ces Enfants remplis dâInnocence, 2703-Faire preuve de PersĂ©vĂ©rance, 2704- Et crĂ©er un Monde dâAlliances, 2705- DĂ©truire toutes ces manigances, 2706- Pour effacer ces outrances, 2707- LibĂ©rer ce sentiment tant Ă©prouvĂ©, 2708- Ne servira quâĂ dĂ©truire ce Monde tant dĂ©vastĂ©. 2709- Nous, ĂȘtres créés dans la PAIX et lâAmour, 2710- Ne devrions pas mourir de la haine qui nous entoure ! 2711- Toutes ces persĂ©cutions, 2712- Qui sont les causes de tous ces affronts, 2713- Ne devraient avoir le droit dâĂȘtre, 2714- De ce Monde, elles devraient disparaĂźtre, 2715- Pour laisser place Ă ce Monde parfait, 2716- Le RĂVE de tous ces ĂȘtres non pas niais⊠2717- Simplement remplis dâimpuissance. 2718- Il faut maintenant encourager la Renaissance. 2719- Ce Chant mĂ©lodieux annonce une Naissance, 2720- Mais sa soif incessante, nourrit lâEspoir du futur 2721- Car son arĂŽme apaisante 2722- Embaume lâAir frais de ce Commencement. 2723- Adage Si vis PACEM para bellum »; 2724- Puissante formule, mais triste pour un vade mecum 2725- Moi je prĂ©fĂšre Si vis PACEM, pars en vĂ©lo » 2726- Et sĂšme sur ton Chemin, le vrai sens de ce mot. 2727- Elle est intĂ©rieure avant de se manifester, 2728- Elle gĂ©nĂšre Amour, BontĂ©, GĂ©nĂ©rositĂ©. 2729- PrĂ©pare la guerre si tu veux la PAIX? 2730- Non! Si tu veux la PAIX, RĂVE de PAIX. 2731- Conscience et TolĂ©rance forment un RemĂšde vital 2732- Qui apaisera lâangoisse par sa Vertu de santal 2733- Qui laissera dans nos CĆurs rĂ©sonner dĂ©sormais 2734- Une douce Harmonie que nous appellerons la PAIX 2735- Et le blĂ© reviendra habiter les prairies 2736- Les Semeurs de PAIX, Mains offertes aux affamĂ©s 2737- Et le Lait de la Terre coulera joyeux 2738- Au fond des gorges et des ventres de toutes couleurs⊠2739- Nature que tu es, souviens-toi comment 2740- Tu Ă©tais quand tout Ă©tait encore marquant. 2741- Regarde un peu le Monde tout autour de toi 2742- Puisque plus personne nâa de Respect pour soi. 2743- La SĂ©rĂ©nitĂ© de chacun nâest pas sans fin⊠2744- Un jour ou lâautre, nous en viendrons aux mains. 2745- Alors, si vous souhaitez la guerre, 2746- Laissez tomber vos armes et regagnez vos Terres. 2747- Quand la mort des Innocents sâarrĂȘtera-t-elle? 2748- La Vie des Hommes et des Femmes sera plus belle. 2749- Maintenant, il est venu le temps de refaire 2750- Ce bas Monde qui sans cesse me dĂ©sespĂšre! 2751- Quand les Hommes arrĂȘteront cette guerre entre eux, 2752- Les Habitants de la Terre seront heureux. 2753- Les nuits, les Hommes prient pour un Monde nouveau; 2754- Pour un Monde oĂč la Vie ne sera pas fardeau, 2755- Source de dĂ©cĂšs, de tueries entre ces ĂȘtres. 2756- Cette PAIX, aussi paisible puisse-t-elle ĂȘtre, 2757- Chantons en chĆur notre vĂ©ritable bonheur. 2758- Quand tremblera donc le Soleil sur mon Visage 2759- Pour enfin disperser ces nuages grisĂątres. 2760- Envole-toi loin dans ces pays Ă©loignĂ©s 2761- OĂč le sang ne cessera jamais de couler. 2762- Cesse ces cris et ces larmes, laisses-y un voile 2763- Plus fort que les armes oĂč se propage le mal 2764- Agissez tous de bon CĆur avec vos Valeurs 2765- Pour combattre la misĂšre, la guerre et la peur. 2766- Comment on se bĂątit dans un Monde imparfait 2767- Alors que câest facile de faire la PAIX! 2768-La BeautĂ© pure entre dans un Monde mĂ»r. 2769- Pourquoi toujours vouloir ce que lâautre possĂšde? 2770- Semer le Bonheur serait un meilleur remĂšde⊠2771- Voici mes sens oĂč, aujourdâhui, vibre lâEssence 2772- Dâun Monde qui, enfin, file dans le bon sens. 2773- Que ma Vie soit donnĂ©e pour tous les malheureux 2774- Qui en auront besoin et ainsi, vivre vieux. 2775- La guerre prend tellement de place dans nos Vies 2776- Que nous en oublions ce quâest la sainte PAIX. 2777- Depuis le dĂ©but de notre HumanitĂ©, 2778- LâHomme recherche Ă bien vivre en SĂ©rĂ©nitĂ©. 2779- La Vie est telle quâune petite souris 2779- Qui tourne et recherche sans arrĂȘt la PAIX, 2780- LĂ oĂč il nây aura pas de ces gros rats gris 2781- Ceux-lĂ qui rendent notre Monde plus laid. 2782- ĂgoĂŻsme, trahison et excĂšs de rage, 2783- Nây voyez-lĂ aucune leçon de courage. 2784- Fragilement maintenue par un fil de soie, 2785- Inexorablement tenue du bout des doigts, 2786- La PAIX doit ĂȘtre notre Souhait le plus cher⊠2787- Nous possĂ©dons une seule Vie sur la Terre. 2788- Comment atteindre un but semblant inaccessible 2789- Lorsque nous vivons tous dans un Monde insensible? 2790- La violence ne rĂšgle pas les problĂšmes, 2791- Donc, dis aux gens qui tâentourent que tu les aimes. 2792- Militons pour un drapeau blanc sans mille taches, 2793- Pour un Monde sans rouge oĂč PAIX rĂšgne sur place 2794- Comme une sorte dâutopie, cessons la guerre 2795- Et tous ensemble, partons une nouvelle Ăre. 2796- La guerre nâest pas une maniĂšre de sâaimer; 2797- ArrĂȘter ne pourrait que nous avantager. 2798- DĂ©chirures et blessures laissent des traces; 2799- Toutefois, lâamour reste toujours plus tenace. 2800- Tout ce quâil y a de plus beau, câest le Bonheur; 2801- Ătre serein et zen pour Ă©loigner nos peurs. 2802- Rouge sur peau, la violence rĂšgne partout 2803- Les armes et les jurons amusent les fous. 2804- Tels les flots qui roulent sous les ponts de la France, 2805- Guerres passĂ©es amĂšnent PAIX et RĂ©compenses. 2806- Unissons nos Forces et hissons le drapeau blanc; 2807- De nos tombes, ne sortira rien dâimportant. 2808- Nous nous battrons avec force contre la guerre, 2809- Car câest la PAIX que nous voulons durant notre Ăšre. 2810- Aujourdâhui, la Terre nous est promise, mais⊠2811- Faisons face au problĂšme dâHarmonie et PAIX. 2812- Toi, PAIX, qui amĂšne tant de bienfaits, 2813- Toi, PAIX, qui manifeste Bonheur et regret; 2814- Changer la Vie est plus facile que tuer⊠2815- Alors pourquoi tuer quand nous pouvons aimer? 2816- Chaque jour, nous voyons tous nos soldats en guerre 2817- Tandis que le prĂ©sident joue sur son parterre⊠2818- Endormi, sans soucis dans lâherbe ensoleillĂ©e, 2819- Je rĂȘve dâun lendemain sans disparitĂ©s. 2820- Le Bonheur est de vivre en PAIX et non en guerre; 2821- LâAmour et la Joie pour une Vie sur la Terre. 2822- Le lion et la rose, sâil ont tous deux des pointes, 2823- Portent la Douceur sur leur dos, prĂȘts Ă lâĂ©treinte. 2824- Lâun vaque et lâautre sâenracine dans la brousse 2825- Laissant lĂ une odeur de SĂ©rĂ©nitĂ© douce. 2826- Dans la PAIX, la lionne cĂąline son petit, 2827- Dans la PAIX la fleur parfumĂ©e sâĂ©panouit. 2828- Et Si dans ton Coeur cette PAIX fait face; 2829- Dans le Coeur du Monde, elle prendra place. 2830- La haine, la violence et la guerre mĂšnent Ă rien, 2831- Pausez votre regard et regarder dâoĂč je viens, 2832- Il y a plus de Monde que vous pensez dans le besoin, 2833- Ne regardez plus ailleurs; arrĂȘtez de regarder au loin. 2834- La PAIX, lâAmour, lâHarmonie⊠comme un effet papillon, 2835- A changĂ©, change et changera le sirocco sanglant, 2836- Les nations ne cessent de juger les opinions des bons, 2837- Car unis, il ne peut y avoir que des Gagnants. 2838- Un jour, la PAIX rĂšgnera sur la Terre, 2839- Pour vivre en Harmonie et toucher au Bonheur, 2840- Il faudrait bien quâun jour tout cela sâarrĂȘte, 2841- Pour quâenfin nous puissions avoir un Monde meilleur. 2842- Comprendre une chose nous sommes tous pareils, 2843- Unissons nos Forces pour atteindre un but la Vie, 2844- Soyons Homophile, aimons les diffĂ©rences qui sâĂ©veillent, 2845- Loin des racistes, des violents et des sans gĂ©nie. 2846- Enfants armĂ©s, Ă construire une triste PAIX, 2847- Tous ces jeux perdus, ces Vies Ă reconstruire, 2848- Ne laissons tomber aucun de ces gringalets, 2849- Aidons ces Enfants Ă retrouver leur Sourire. 2850-LâAmour lâAmour⊠câest notre seul besoin la PAIX, 2851- Le chanter, le crier le danser⊠mais jamais lâoublier, 2852- LâĂ©crire si souvent nâa pas vraiment dâeffet, 2853- Si personne nâose toucher au RĂVE dây arriver. 2854-Amour et PAIX, abstrait ou concret, tu es Paloma, 2855- DĂ©ploie tes Ailes sur les ombres qui font peur, 2856- Je suis amoureux dâune idĂ©e qui sâenvola ailleurs, 2857- Lorsque quâune Colombe sâest pausĂ©e entre moi et mon dealer ». 2858- Drogue, alcool, et paradis artificiels, 2859- Violence, guerre et famine inconnues, 2860- Rien nâimporte Ă tous, câest le chien qui sommeille, 2861- Qui attend un maĂźtre Ă suivre, une Vie sans rue. 2862- Jâai fait un RĂVE fou qui nâest pas de ce Monde 2863- OĂč le rire est prĂ©sent, dans un grand champ de Fleurs 2864- OĂč Amour et Chants rythment le Coeur du Monde 2865- OĂč la guerre et le sang, nâont jamais peint lâhorreur 2866- Jâai fait un RĂVE fou, oĂč les Hommes sont FrĂšres 2867- OĂč la Couleur de peau nâest que fleuron de plus 2868- ĂpinglĂ© au drapeau qui flotte sur la Terre 2869- Comme Vent dâHarmonie, Coeurs amoureux Ă nu 2870- Jâai fait un RĂVE fou, oĂč la PAIX triomphe 2871- OĂč nous luttons ensemble pour son implantation 2872- OĂč la Foi, le Courage planteront Ă la ronde 2873- Leurs Pousses dâEspĂ©rance, dans toutes les Nations. 2874- Je la perçois dans les yeux de chaque Enfant 2875- Comme une Lueur dâEspoir brillant, magique 2876- Elle procure SĂ©curitĂ©, SĂ©rĂ©nitĂ© et Bonheur, 2877- Elle Ă©clairera ce Monde plongĂ© dans le noir, 2878- Le guĂ©rira de toutes ses souffrances. 2879- Toi le chercheur de PAIX, 2880- Tu rĂ©unis Force, Courage et Espoir 2881- Ils te conduiront Ă un Monde meilleur 2882- Un Monde oĂč la PAIX rĂšgnera 2883- Câest si difficile de la trouverâŠ. PAIX! OĂč es tu? 3884- Que le Coeur soit dâEnfants, dâAdos ou de Parents, 2885- Seule la PAIX peut le combler convenablement. 2886- Mais sont-ils donc tous devenus vraiment trop fous 2887- Pour ainsi, sans hĂ©siter, lui tordre le cou? 2888- Tant de souffrance quâon peut infliger Ă lâEnfance 2889- Nâest que théùtre pour ces visages 2890- Qui la font Ă©coper Ă outrance. 2891- PropagĂ© Ă travers les Ăąges, 2892- RĂVE de PAIX, belle tendance, 2893- Ăliminerait toute violence. 2894- La PAIX nâest pas facile Ă trouver sur cette Terre 2895- Partout oĂč lâon regarde il y a plein de misĂšre 2896- Mais malgrĂ© tout, il faut aimer la Vie 2897- Et sâĂ©merveiller de tout ce qui nous Ă©blouit ! 2898- Le Sourire dâun Enfant, des cheveux dans le vent 2899- Une plage au sable blanc et nous tous bien vivants. 2900- Mais maintenant, câen est assez de ne pas voir 2901- Arriver la PAIX en ce Monde de dĂ©sespoir. 2902- La guerre en Irak ne fait pas que dĂ©truire les lacs; 2903- Elle enlĂšve la Vie Ă quelques pays. 2904- Il faut arrĂȘter cette manie⊠cette folie 2905- Pour que tout le Monde puisse rire quand ça va finir. 2906- Quand un Homme traverse la frontiĂšre, 2907- Il voit au delĂ de lâimaginaire. 2908- Il nây a personne dâĂ©ternel, 2909- Nous mourons comme une chandelle. 2910- Et si la PAIX Ă©tait partout dans lâunivers⊠2911- Elle devrait ĂȘtre sur Terre, en mer et dans lâair. 2912- Bien des Gens dâici, rĂȘvent que la PAIX soit prĂ©sente; 2913- GĂ©nĂ©rositĂ© et Joie doivent rester vivantes. 2914- On doit se parler entre nous, sans se blesser. 2915- ArrĂȘtons la violence et les grossiĂšretĂ©s; 2916- Le Respect devrait ĂȘtre partout dans les maisons. 2917- Cessons de nous chicaner pour de mauvaises raisons; 2918- ArrĂȘtons les conflits, montrons ce qui est mieux; 2919- Oublions les chicanes entre jeunes ou vieux, 2920- Surtout ne plus jamais souffrir⊠2921- Mais sentir que lâon respire. 2922- La PAIX câest comme un Soleil souriant de Joie. 2923- Seulement la PAIX nous ferait vraiment guĂ©rir 2924- Les Espoirs que les Hommes ne peuvent plus sentir. 2925- Je voudrais voir les Enfants grandir 2926- Je ne voudrais pas lire quâils sont nĂ©s pour souffrir. 2927- Quâon arrĂȘte de mentir, quâon jouisse avant de mourir 2928- en Ă©vitant la guerre pour ne pas souffrir. 2929- Vivons en PAIX pour ne pas pĂ©rir. 2930- Hommes, Femmes, il nous faut rĂ©agir 2931- Avant quâun Ă un, nos Coeurs se mettent Ă mourir 2932- Pour ne pas voir pĂ©rir notre Avenir. 2933- Il faut puiser dans le passĂ© pour avancer. 2934- Le temps de se retourner et nous avons oubliĂ©; 2935- Amour PAIX et Amitié⊠que de beaux mots! 2936- Et pour que dâutopie, ils se muent en RĂ©alitĂ©, 2937- La PAIX, tapie en nous-mĂȘmes, doit se rĂ©vĂ©ler, 2938- Pour arrĂȘter les chicanes, il faut ĂȘtre honnĂȘte, 2939- LâHonnĂȘtetĂ© et lâAmitiĂ© sont reliĂ©es. 2940- Il ne faut pas se dĂ©tester; il faut sâaimer. 2941- Il faut se respecter pour mieux sâamuser; 2942- Il faut aussi sur Terre, un peu plus de gentillesse 2943- Puisque la grande PAIX ici⊠est notre Bien-ĂȘtre. 2944- La Vie est parfaite; pourquoi lâavons-nous dĂ©truite? 2945- Les plus forts ne sont pas toujours les plus gentils. 2946- ArrĂȘtez ces guerres ignobles dĂšs aujourdâhui. 2947- Respect et AmitiĂ© sont les ClĂ©s de la PAIX. 2948- Nourrissez-la et lâUnivers serait parfait; 2949- Elle est un Besoin existentiel, 2950- Elle durera jusquâĂ lâĂternitĂ©. 2951- Câest tout ce qui devrait ĂȘtre dans le Monde. 2952- Il ne faut pas se battre, mais plutĂŽt sâexpliquer. 2953- Le secret de lâAmitiĂ©, câest lâHonnĂȘtetĂ©. 2954-La paix est un secret que lâon devrait garder 2955-La guerre est une plaie qui sĂšme lâhĂ©catombe 2956- Alors, Ă©cris partout et dans tous les idiomes 2957- Que la PAIX, Fruit dâazur, nous ouvrira les paumes. 2958- Nous croyons en la PAIX. Pourquoi ces guerres immondes? 2959- Toutes ces Familles dĂ©truites, toutes ces Vies gaspillĂ©es, 2960- Tous ces RĂVES envolĂ©s; que de tristesses profondes 2961- Dans un futur perdu⊠quel destin atrophiĂ©! 2962- Nous, Gens de LibertĂ©, espĂ©rons le Bonheur 2963- De toute lâHumanitĂ©, de nos FrĂšres et nos SĆurs. 2964- Que la PAIX soit rendue Ă ces Gens dĂ©chirĂ©s 2965- Qui subissent la souffrance et lâhorreur dĂ©chaĂźnĂ©es. 2966- Moi, je voudrais ĂȘtre le grand GĂ©nie de la lampe 2967- Pour quâensemble, les bons Hommes dansent et chantent 2968- Sur un Monde de PAIX avec ses DiffĂ©rences, 2969- Mais je ne suis quâun Homme qui pleure les consĂ©quences. 2970- PAIX! Un mot doux-charmant caressant lâouĂŻe 2971- Amour de soi-mĂȘme, des autres et de la Terre 2972- Insuffler le Bonheur telle une Brise salutaire 2973- XĂ©nophile averti pour lâAvenir dâun pays. 2974- Que chacun dâentre nous sâoublie pour son Prochain 2975- Et que le terme Amour » ne soit pas un mot vain. 2976- Aimer câest partager, oeuvrer Ă sâentraider⊠2977- Aimer câest rechercher PAIX et FraternitĂ©. 2978- On marierait le blanc avec le noir 2979- Pour arrĂȘter la guerre⊠2980- Et on sâembrasserait heureux, malheureux 2981- De diffĂ©rentes Religions, noirs et blancs 2982- Pour redessiner le Sourire dâun Enfant⊠2983- Et les Couleurs de lâAmitiĂ©. 2984- Je suis nĂ©e dans la ville Amour » 2985- Quartier du Coeur et de la Tendresse⊠2986- La Vie sâĂ©panouit pour le plus pauvre des Hommes; 2987- Sur les Ailes du Coeur, elle se dĂ©pose sans une cause. 2988- Tel un voleur, elle dĂ©robe les ombres profondes; 2989- Elle crĂ©e ainsi une Force dâondes qui transforme le Monde. 2990- FraĂźche nuit bleu dâĂ©tĂ©, Mon Dieu doux, ma Lueur, 2991- Je vous supplie dâaimer mes Enfants querelleurs. 2992- Je mâappelle Abraham; entendez-vous mon Ăme 2993- Qui tremble de penser Ă ses Fils divisĂ©s⊠2994- LâAmour vient un beau jour aux persiennes charmantes, 2995- La VolontĂ© dâAmour est lâAube intelligente. 2996- Dâun jour nouveau qui saura faire naĂźtre en nous, 2997- En toi, en moi, en lui, la foi Sybille dâun mot maĂźtre, 2998- Dâun Dieu qui crĂ©a homme, Femme, Terre et ContrĂ©e; 2999- Scellant dans nos Ămes, ce pacte de la FraternitĂ©. 3000- Sans oublier un seul instant nos Soeurs bien aimĂ©es, 3001- Je ne peux quâespĂ©rer dâautres moments privilĂ©giĂ©s, 3002- Bien quâil en manque, pour me rappeler les bons. 3003- Pour cette PlanĂšte, qui est la seule que nous ayons, 3004- Cesser de nous battre, pour en possĂ©der une partie! 3005- Nous devrions⊠3006- Et la Vie sâĂ©panouira pour le plus pauvre des Hommes. 3007- Au devant sâĂ©panchent nos Cieux lamĂ©s sans fins. 3008- Nous serons ce Pont bref, lâInfini de la somme 3009- Envers dâatroces voix, parvis des corps dĂ©funts, 3010- Qui perdurent au-delĂ de ce cercle uniforme. 3011- Ailleurs nous allons. Quelle crainte sâĂ©tend au loin? 3012- Cette crainte est lâOeuvre de Croyances 3013- Entretenues par des gens⊠insolents. 3014- La PAIX, elle, est sans dĂ©faillance. 3015- Elle se vit Ă travers tous nos Gestes⊠3016- MĂȘme les plus petits demeurent importants. 3017- Ils se rĂ©percutent sur tout, sans manifeste. 3018- Il suffirait dâĂȘtre un peu plus patients 3019- Pour que le Monde entier en soit reconnaissant. 3020- La PAIX ne demande pas lâimpossible; 3021- Ni soleil, ni lune, ni droits inaccessibles. 3022- Immense Grandeur, Ciel bleu, blanc et rouge, 3023- Ta couronne sâenfonce dans la Terre 3024- Et tu es insouciant de nos malheurs. 3025- Les Hommes te regardent et prient⊠3026- Les Femmes le font aussi. 3027- Les petits tâadmirent le jour et ont peur de toi la nuit! 3028- Pourquoi nâexauces-tu pas notre volontĂ©? 3030- Pourquoi ne vivrions-nous pas en PAIX? 3031- Livre-nous tes mystĂšres, tends-nous tes bras 3032- Pour quâon aille vers toi. Hisse-nous vers tes Ătoiles 3033- Laisse-nous te voir, enlĂšve ton voile. 3034- Fais pleuvoir ta richesse, fais tenir ta promesse 3035- Montre-nous la porte du TrĂŽne pour que la Joie rayonne 3036- Sur ce Monde en dĂ©tresse. 3037- Sois, comme notre Terre Charitable et bonne MĂšre⊠3038- Laisse-nous planter sur ton toit des Arbres, de lâHerbe, de la Joie 3039- Et laisse-nous cueillir leurs Fruits. 3040- Je ne peux pleurer cette guerre 3041- Car celui qui me console, pleure encore plus. 3042- Je ne peux fuir ce malheur, car ma Demeure est dĂ©truite 3043- Et me voilĂ , pour lâĂternitĂ©, un parmi les Ă©garĂ©s, 3044- Sans terre, sans abris. Tout en moi a disparu 3045- Sauf lâEspoir de vivre encore⊠en PAIX. 3046- Pourquoi assommer le rire de nos Enfants 3047- Par des coups de feu des guerres 3048- Toujours en espĂ©rant ĂȘtre gagnants 3049- Mais jamais nous serons fiers. 3050- Ă vous, petits-enfants, je veux dĂ©dier ces mots 3051- La PAIX sur notre Terre est le plus beau Cadeau. 3052- Mais le bras de la PAIX ne sâessouffle 3053- Sous le poids de la haine, honni qui y pense 3054- RĂȘvez, rĂȘvez et retenez votre Souffle 3055- Pour la Joie renouvelĂ©e quâon ensemence. 3056- Jâentends de fortes voix qui me disent Assez! » 3057- LâEspoir est Ă©phĂ©mĂšre dans lâĂątre du Monde, 3058- Mais moi, si je ravale mes larmes passĂ©es, 3059- Celles qui vont venir, jamais ne mâinondent. 3060- Les Hommes veulent la Victoire, la richesse; 3061- Homme, je suis envoĂ»tĂ© par ces deux diablesses. 3062- Faire preuve dâirrĂ©vĂ©rence, me conformer aux appĂ©tences, 3063- Mâadonner Ă lâeffronterie, ne faire que des žùneries 3064- Agir avec dĂ©sinvolture, chĂ©rir, me plaire Ă la luxure; 3065- Me dĂ©dire de tout principe, et faire que je mâĂ©mancipe; 3066- Mieux, dĂ©fier ce que dit lâusage et renier mon apanage; 3067- Ignorer tout ce qui mâoppresse et ĂȘtre fier de mes faiblesses. 3068- Je ne peux y prĂ©tendre, hĂ©las! Car comme le gĂ©ant Atlas, 3069- Je porte le poids des prĂ©ceptes, parfois judicieux, dâautres ineptes. 3070- Si chacun suivait mon Exemple, nous ferions de cette Terre⊠3071- Un Temple pour la PAIX! 3072- La PAIX⊠câest aimer avant tout. 3073- Et si tu y arrives; tu peux changer le Monde! 3074- Un Monde meilleur Ă vivre. 3075- Ă nous dâoeuvrer ce soir, chacun y met son Coeur 3076- Ensemble nous pouvons Ă©touffer la violence 3077- Ayons des Mots lĂ©gers, aimants, des Mots sans peur, 3078- Apaisons nos PensĂ©es, toujours avec Conscience, 3079- Regardons lâAutre venir et prenons-lui la Main, 3080- Unissons nos Bonheurs et marchons vers Demain. 3081- Pour quâun jour enfin, tous puissent manger Ă leur faim 3082- Et que lâeau aussi soit distribuĂ©e sans fin. 3083- Unissons-nous pour que tous les jours les Enfants 3084- Puissent ĂȘtre bercĂ©s tendrement par leur MĂšre 3085- Pour que les cris dâeffroi fassent place aux Chants de Joie. 3086- Et que cette Joie illumine et jalonne nos Ă©lans parfumĂ©s envers autrui 3087- Afin que chacun se dise de son intĂ©rieur profond Il a du Regard pour moi. Ă ce jour, plus de 1036 auteurs ont contribuĂ© Ă lâĂ©laboration de ce poĂšme sans fin, Ă ce RĂVE de PAIX. Liste des auteurs IdĂ©e originale Jean-Claude Fournier Enseignant au primaire Commission scolaire des Trois-Lacs Ăcole Notre-Dame de Lorette 70 rue Lussier, Pincourt, QuĂ©bec, Canada J7V 5B2 1 Ă 8 classe de 6e A 2001-02 de lâĂ©cole Notre-Dame de Lorette de Pincourt, groupe de Jean-Claude Fournier. Alexandre Brouillard, Charles-Alexandre Cardinal, Vicky Chartier-Jacques , Josiane Chevrier , Maxime Cousineau , Samuel Cuerrier Auclair, Maxime Daoust-DubĂ©, Marc Desjardins , Marie-Ămilie GrĂ©goire , Ryan Kelly , Martin Alexandre Lalonde , Jonathan Laplante, Jean-François Lavigne SauvĂ© , Tanya Lemieux , Isabelle Mazerolle , Marie-Soleil Mc Phee , Dominique Mitchell CarriĂšre , Patrick Neale , Marie Ouellet , Sophie Parent , StĂ©phanie Poirier , Anthony Ruel, Robyn Symmers-Wilken , Simon Tremblay , Matthiew VallĂ©e, Laurence Varin , Khadija Ziad, Pincourt, QuĂ©bec. 9 Ă 16 Sylvie Vannier, Laval, QuĂ©bec. 17 Michel Sanders et Isabelle Anampa, Pincourt, QuĂ©bec. 18 Ă 21 Julie Hamel, Pincourt, QuĂ©bec. 22 Ă 30 Michel Huard, Notre-Dame de lâĂle Perrot, QuĂ©bec. 31 Ă 34 HĂ©lĂšne Corbeil, St-Lazare, QuĂ©bec. 35-36 Christelle Doyon, Pincourt, QuĂ©bec. 37-38 MĂ©lanie Ranger, Pincourt, QuĂ©bec. 39-40 Benjamin Vincent, Pincourt, QuĂ©bec. 41-42 Vanessa Poitras, Pincourt, QuĂ©bec. 43-44 Anne-Marie Langlois, Pincourt, QuĂ©bec. 45-50 Yvon Fournier, Ste-Anne des Plaines, QuĂ©bec. 51-54 Nicole Fournier, Ottawa. 55-58 Marcel Fournier, Terrasse-Vaudreuil,QuĂ©bec. 59-60 Annie Robichaud, Pincourt, QuĂ©bec. 61-62 Pascal Morin, Pincourt, QuĂ©bec. 63-64 Dominic Bessette, Pincourt, QuĂ©bec. 65-66 StĂ©phanie Walker-Robitaille, Ăle Perrot, QuĂ©bec. 67-68 Francis Chartier Jacques, Pincourt, QuĂ©bec. 69-70 Christine La FlĂšche, Pincourt, QuĂ©bec. 71-72 Jonathan PĂ©ladeau, Pincourt, QuĂ©bec. 73-74 Cody Rousseau, Pincourt, QuĂ©bec. 75-76 Marc-AndrĂ© Gauthier, Pincourt, QuĂ©bec. 77-78 David Joly, Pincourt, QuĂ©bec. 79-80 Caroline Gagnon Benoit, Pincourt, QuĂ©bec. 81-82 MichaĂ«l Fontaine, Pincourt, QuĂ©bec. 83-84 Mitch Richard, Pincourt, QuĂ©bec. 85-86 Marie-Pier Rousseau, Pincourt, QuĂ©bec. 87-88 Karine Boyer, Pincourt, QuĂ©bec. 89-90 Maxime Durocher, Pincourt, QuĂ©bec. 91-92 Yanik Lemieux, Pincourt, QuĂ©bec. 93-94 Famille de J-F Courty, Claude, Maya et Sandrine, Pincourt, QuĂ©bec. 95 RaĂŽul Duguay, poĂšte quĂ©bĂ©cois » Saint-Armand-les-Vents, QuĂ©bec.96 Jean-Claude Fournier, Vaudreuil-Dorion, QuĂ©bec. 97-98 VĂ©ronique LĂ©vesque Sabourin, Pincourt, QuĂ©bec. 99-104 Guylaine Ouellette, Pincourt, QuĂ©bec. 105-108 Nadine Lacaze. 109-112 Thenon Priscillia, Belleville sur SaĂŽne, France. 113-114 Ornella Raad, 4Ăšme CollĂšge Paul Langevin Ă Rouvroy, France. 115-118 Suzanne Roberge, Vaudreuil-Dorion, QuĂ©bec. 119-122 Martin Robillard, Danielle Fournier, Vaudreuil-Dorion, QuĂ©bec. 123-126 Evelyne Fournier, Vaudreuil-Dorion, QuĂ©bec. 127-130 Cyntia Dagenais et Catherine Lacaille Foster, Pincourt, QuĂ©bec. 131-132 Carole et Guy. 133 Micheline Dassylva, 134-135 Yolande Crivellaro, Val dâOr, Abitibi, QuĂ©bec. 136-147 Classe de 5iĂšme annĂ©e, Marie-AndrĂ©e PĂ©ladeau, Marie-Ăšve Clautier, Katherine Bui-Pitre, Marie-Lise Grenier, StĂ©phanie Gauthier, Karl Handfield, Karen Vallejos-Espinoza, Nicolas Desjardins, Alexandre BĂ©riault, Catherine Lemire, Maxime Brunet-GagnĂ©, Pincourt. 148-149 Lynda Franks, Otterburn Park, QuĂ©bec. 150 Mar, Tenerife Ăźle de lâarchipel espagnol des Canaries. 151-152 Lorrain SĂ©nĂ©chal, Strasbourg, France. 153-154 RaphaĂ«l Hertzog, HĂ©singue, France. 155-158 Alain Gravel, MontrĂ©al, QuĂ©bec. 159-162 Collectif classe de Isabelle Gauthier, 5iĂšme annĂ©e, Ă©cole de Lorette, StĂ©phanie B. Trow, Maxime Berryman, Marie-Eve Bouchard, Jonathan Brousseau, Fany Chartrand, Carl Coulombe B., Tricia Crivellaro G., Pascal De Ladurantaye, KĂ©vin Fraser-M., JoĂ«l FrĂ©chette, Christel Gignac, Alexandre Grenier, Ludovic Hamelin, Jean-François Joly, Dominique Lamer, Colin Lanthier-D., Nicholas Laroche, Catherine Lefebvre, Anabel LĂ©ger, Coralie Lemieux, Jesse Levac, Eliane LĂ©vesque, Francesca LĂ©vesque, Karelle M. Lapointe, Isabelle Martin, Caroline Mazerolle, MĂ©lina Meloche Sassos, Laurence Pilon, Alex Poirier, Pincourt, QuĂ©bec. 163-164 Marie-Eve Pichette et Kim Tessier, Ă©cole Jouvence, QuĂ©bec. 165-166 William Pierre LĂ©vesque et Philippe Laforest-Jean, QuĂ©bec. 167 Ăric Langevin, Paris, France. 168-169 Raymond Fournier, Pincourt, QuĂ©bec. 170-173 Kees Vanderheyden,âĂ©crivainâ Mont St-Hilaire, QuĂ©bec. 176-181 Marie Schockweiller, Angerville, Ile-de-France. 182-184 Ăliane St-Germain-Lapointe, Cynthia Morissette, ValĂ©rie Kohnen, Ă©cole Wilfrid-LĂ©ger, Waterloo, QuĂ©bec. 185 Ă 198 Ăcole Anne-HĂ©bert, 5iĂšme et 6iĂšme annĂ©es, MontrĂ©al, QuĂ©bec.185-186 Julien Lafleur. 187-188 K. Sigak, LĂ©anne Krystel, Panti Cabrera. 189-190 Alex Cowan, Brandyn Barker, Li Shen, Andrei Florea, Thierry Dorion, MontrĂ©al, QuĂ©bec. 191-19j2 Sandro BĂ©lisle-Bruno, Tania Benyaminov. 193-194 Julien Fontaine Benedetti, Madami Anderson Reeve. 195-196 German Lim, Charles Bentata. 197-198 Antoine Richer, Ătienne Vuignier. 199-204 Monique Poncet, Ambierle France. 205 Caroline Roy, QuĂ©bec, QuĂ©bec.206-207 François Martel, Pincourt, QuĂ©bec. 208-210 Bruno Constant Lagadec, Ă©crivainâ Plouvien Bretagne, France.211-214 Ruby Clark et Cassandra Daniel, Ă©cole de Sutton, QuĂ©bec. 215 Kathleen Felber Charbonneau, Sutton, QuĂ©bec.216-217 Alexis Moquin-Papin et GeneviĂšve Bergeron Piette, Sutton, QuĂ©bec.218-219 Mikael Carey, Sutton, QuĂ©bec. 221-222 Sabine Boisvert et Roxane Richard, Sutton, QuĂ©bec. 223-224 Nicolas Bertrand, Sutton, QuĂ©bec. 225-236 Groupe de 4iĂšme collectif de Marie-Lise Pinault. 237-240 Julien Dettwiller et Vincent Lengacher, Sutton, QuĂ©bec. 241 JC. 242-249 Guy Julien, poĂšteâ, Aix en Provence, France. 250-251 Robyn Symmers Wilken, Pincourt, QuĂ©bec. 252-253 Annie Boudin, Canton de Melbourne, QuĂ©bec. 254-271 Classe de 5iĂšme A, Ăcole de Lorette, Pincourt, QuĂ©bec. 254-255 Chantal Boudin Macleod. 256 Christopher Dom. 257 Hugo Doucette. 258 VĂ©ronic Tremblay. 259 Jessy Lemieux. 260 Maxime Duguay Ricard. 261 ValĂ©rie Forget Bronquard. 262 Myriam Legault Rioux. 263 JoĂ«lle Bernard. 264 Mathieu Lapointe. 265 RaphaĂ«l Maltais-Tariant. 266 Mathieu Paquet-Lavoie. 267 JĂ©rĂ©mie Pilon. 268 Ariane Fournier Viau. 269 Samantha Kelly. 270-271 Julien Laurendeau. 272-273 Mathieu et Mario Maher, Pincourt, QuĂ©bec. 274-275 Marc Fisher, Ă©crivainâ Notre-Dame de lâĂźle Perrot, QuĂ©bec. 276-363 ĂlĂšves de 8 Ă 12 ans, Ăcole le Tremplin, Labelle, QuĂ©bec. 276-278 Joanie Gervais. 279-280 Philippe Gagnon. 281-283 Dany BĂ©land. 284-287 Benjamen Gareau-Blais. 288-291 Kimberly Cadieux. 292-300 MylĂšne Groulx. 301-303 Sarah Deguire. 304-307 Virginie Raby. 308-310 Marie-Pradelle Gareau-Valiquette. 311-312 CharlĂšne VĂ©zina. 313-316 Miguel Brassard, Anthony Blais, Bobby Rock, Miko Leblanc. 317-319 Katherine Chalifoux Nadeau. 320-321 Keven David-Provost. 322-323 Isaac Brunet. 324-325 Myriam Bentounsi. 326-348 Collectif 5iĂšme annĂ©e Maxime Bergeron, Samuel Bergeron, Alexandra Charette-Caron, Ariane Choquette, Erick Denis Duque, Molly Fournier, Pierce Graham, Elisabeth GrĂ©goire Sauriol, Marie-Eve L. Machabee, Alexis Labelle, Mishkam Lamontagne, Jean-Philippe LaramĂ©e, SĂ©bastien Leduc-Labelle, Josiane Nantel, Olivia Ouellet-Chenu, Camille Paiement, StĂ©phanie Parent, ValĂ©rie Riendeau, Samuel Robberts, Olivier Vincent Terreault, Maxime VĂ©zina, ChloĂ© Venne-Brassard, MĂ©lissa Vaillancourt-Paradis. 349-355 Olivia Ouellet-Chenu.356-363 Nadine Bray, Maxime Moisan Roussel. 364 Sabrina Michaud. 365-366 Philips Euprosin, Paris, France. 367-370 Emmanuelle Semper, France. 371-374 AurĂ©lie Pachomoff, Paris, France. 375-376 Marc Hsu, Paris, France. 377-380 StĂ©phane Ghesquiere, Lille, France. 381-383 ?. 384- Magali Lamy, Saint Aubin Sur Mer, France. 384-387 MĂ©linda Basly, Le Mans, France. 388-389 Micheline Merizzi Brault, Vaudreuil-Dorion, QuĂ©bec. 390-393 AliĂ©nor Martin, Toulouse, France. 394-395 Vanessa Poitras, Pincourt, QuĂ©bec. 395-396 Collectif, Ă©lĂšves de 2iĂšme annĂ©e, groupe de MarylĂšne, Ă©cole Bruno-Choquette, St-Jean sur le Richelieu, QuĂ©bec MigaĂ«l Audette, Jason Beaudry, Julien BĂ©langer, Julien Boulais, Jennie Brisson Thibault, Camille Charest, Marc-AndrĂ© Cloutier, Samuel CĂŽtĂ©, Vincent De bellefeuille, Caro-Ann Duchesne, MichaĂ«l Goddard, Alexandre Gourde, Jimmy HĂ©bert, Kamie Huneault, FrĂ©dĂ©rick Kane, Sabrina LalibertĂ©, NoĂ©mi Lavoie-FrĂ©geau, Laurence Lessard-Thibodeau, Jessika Mailloux Deslauriers, Alexandre Nadeau, Ămile Rivest,Samuel Rouleau, Marc-Antoine Santerre Lepage, Louis-Philippe Soucy, Anne Tremblay et Katherine VĂ©zina 398-399 Classe de Josiane Paquette, 2iĂšme annĂ©e, Ă©cole Bruno-Choquette, St-Jean sur le Richelieu, Beaudry, Ariel Cadieux, Kim Bessette, Zacharie Bessette, Mathieu Bolduc, Sabrina Brault-Depres, Jonathan Camerlin,Yannick Cassista, Shannen Couture, Guillaume Day, Julien-Pier Fortin, Francheska Guy, Virginie Landry, Ăric LaramĂ©e, Pascale Lechasseur, Chrystophe Letendre, Sarah Mc Ardle, Karine Melillo, Rosemary Morel, Christopher Paquette, Samantha Pemberton, Olivier Perron, Rebecca Plante, Nicolas Poulin, Mehdi Sargha, Marc-Olivier Valiquette, Hugo Veronneau. 400-407 Collectif, 6e A 2003-4, classe de Jean-Claude Fournier, Ă©cole Notre-Dame de Lorette, Pincourt, QuĂ©bec Maxime Auger, Marco Aumais, Francis BĂ©riault, MĂ©lanie BuissiĂšre, Marie-Chantale C. Deroo, Cyntia Dagenais, Christian Daoust, Denys Fournier, Benjamine Gaudet-GiguĂšre, Michael Godin, Guillaume Imbeau, Maxie-AndrĂ©a L. Beauregard, Catherine Lacaille Foster, Cynthia Lavoie, Samuel M. Motreff, Mathieu Maher, GeneviĂšve Martineau, Dominik MĂ©nard, Catherine PĂ©ladeau, Jean-François Perreault, Sila Sanders-Anampa, Filip SauvĂ©, Christine Tuzet, Alexandre Wolford. 408 Ă 426 Ăcole St-Paul, Gatineau, QuĂ©bec 408-409 Jessica Dompierre. 410 Ă 412 Alexandra SampĂ©rĂ©. 413-414 AurĂ©lie Turgeon. 415-416 Ămilie Simard. 417-419 Ămilie Cyr. 420-422 Katherine L. L. 423-424 Hanna Zheng. 425-426 AmĂ©lie Roux. 427-430 Martin Pasquier, Lyon, France. 431-432 Jonathan De Laere, Collonges-sous-SalĂšves, Haute Savoie, France. 433-434 Matea Grubesic, 5iĂšme annĂ©e, Ă©cole St-Paul, Gatineau, QuĂ©bec. 435-436 Maxime Saumier Demers et Ăric Neron, Rock-Forest. 437-442 Muriel Valesmes, Annecy 74 France. 443-453 Michelle, Ottawa, Ontario. 454-461 Romuald Dethier,Gembloux, Belgique. 462-465 Yann Geay, Toulouse, France. 466-468 Delphine Bouvier, France. 469-472 Adeline Alquier, Haute Normandie, France. 473-475 Elsa Doyen Meuse, France. 476 Marilou Paquin, Laval, QuĂ©bec. 477-482 Anne-Catherine Siegenthaler, Blonay, Suisse. 483-488 Dominique Pirbakas, Guadeloupe, France. 489-490 Marc Jean Marie Baudoin, Rochefort sur Mer en Charente Maritime. 491-494 Marie-AndrĂ©e Fournier, Pincourt, QuĂ©bec. 495-501 Dina Dieuzede-Cophire, la Martinique. 502-505 Annie Ruelens, Talmontiers, France. 506-509 Maxime et Pier-Luc Fournier ainsi que Claudette Richer, Pincourt, QuĂ©bec. 510-511 Fatma Zohra, Boumerdes, AlgĂ©rie.512-514 Philippe Vaes, Bruxelles, Belgique. 515 Patrick Frances, ?. 516-521 StĂ©phanie Goulet, QuĂ©bec. 522-532 FrĂ©dĂ©rique Riety, France. 533-534 Edgar Bori, auteur-compositeur, interprĂšte, MontrĂ©al, QuĂ©bec. 535-546 Estelle Renuy, Bully-les-Mines, France. 547-550 Sylvie Tremblay, QuĂ©bec. 551-554 Franchon Adam, Florenville, Belgique. 555-563 Yvan Charron, Longueuil, QuĂ©bec. 564-565 Mariette Sabourin, Longueuil, QuĂ©bec. 566 ?. 567-568 Magalie Blanchard. 569-590 Jean-Michel Bartnicki, Enseignant et poĂšte Lille, France. 591 Snyny Aubert, Suisse. 592-596 Jessica Corneau, St-CĂ©saire. 597-616 Mohamed El-ouahed, poĂšte dâexpression françaiseâ AlgĂ©rie. 617-622 Nicolas Jaunais, Charleville-MeziĂšres, France. 623-624 Daniel Laurendeau. 625 Stefano Ponzetta, Yverdon-les-Bains, Switzerland. 626 SĂ©phane Bachet, Reims 51, France. 627-629 Claude Martin Dupuis, St-JĂ©rĂŽme, QuĂ©bec. 630-633 Martine Girard, Saint-Jean-sur-Richelieu, QuĂ©bec. 634-637 Kelly, Makles, Lille, France. 638-640 Sabrina Gagnon. 641-645 Armani Lorenzo, LâAthĂ©nĂ©e Royal Verdi Ă Verviers. 646-647 Vince Ghuy. 648-649 Sylvain Michaud, Boisbriand, QuĂ©bec. 650-654 Mjigal Mohammed, Paris, France. 655-658 ?. 659 Dolores. 660-661 Annie-Claude DubĂ©-Leduc, Longueuil, QuĂ©bec. 662 Michel Nourtier. 663-668 Gabryelle Chebroux, Nantes, France. 669 Sonya Larose, LĂ©vis, QuĂ©bec. 670-679 Obni, France. 680- 683 Ivan Bannwarth, France. 684-687 Marie Claire VĂ©ritĂ©, Vitrolles, France. 688-697 M. Claire, 13, France. 698-699 Ăcole Bruno-Choquette, classe 212, 3e annĂ©e, St-Jean-sur-Richelieu, QuĂ©bec. 700-703 Georgeline Pelletier Fournier, Vaudreuil-Dorion, QuĂ©bec. 704 Sophie Massart, Namur, Belgique. 705 Lucie Bortot, Rabastens, prĂšs de Toulouse, France. 706-711 Carole. 712-717 Denis RiviĂšre, Biarritz, France. 718-719 Sacha Bury, France. 720-721 Jocelyn Marcil, Mirabel, QuĂ©bec. 722-729 Jean-François GrĂ©goire, Metz, France. 730-733 StĂ©phanie Welsh, Cocheren, France. 734-741 Cabinet Jacques BreâŠFrance. 742 Jean-Claude Fournier, Vaudreuil-Dorion, QuĂ©bec. 743-746 Missy Anthea, Forbach, France. 747-748 The Prophet, Villeurbanne, France. 749-751 Vanessa Ămond, Ste-Foy, QuĂ©bec. 752-756 Louise Grenier, Black Lake, QuĂ©bec. 757-758 Mikeouze Chambery, France, Savoie. 759-762 Laurent Tourville-B, MontrĂ©al, QuĂ©bec. 763-770 Le collectif des poĂštes urbains, Paris, France. 771-774 Dominique Williame, Bordeaux, France. 775-776 Gonzague Bridault, Neuilly-sur-Seine, France. 777-778 Karim Eloutmani, France. 779-784 Samantha Duc, Valais, Suisse. 785-794 Haroli Bahia, Settat, Maroc. 795-803 Michel Ramos, Marseille, France. 804-807 ?. 808-809 Melina Paden, Missouri Western, St. Joseph, Missouri, USA. 810-811 David Young, Missouri Western, St. Joseph, Missouri, Ătats-Unis. 812-813 Karin Steiner, Schweiz. 814 Jacques. 815-816 Julien Belek, Caen, France. 817-820 Antoine Ribeiro, Michael, Haute Savoie, France. 821-824 Vanessa Gassleer, CH GenĂšve, Suisse. 825-828 Thierry Guillaumin. 829 Valere Jasson, Paris, France.830-833 Solange JĂ©sus , St-Germain. 834-854 Yohann Couede, Bretagne, France. 885-886 ?. 887-894 Marie-Pierre Despiau, BagnĂšres de Bigorre, France. 895-900 Thomas Lefebvre Anderlues Belgique. 901-902 Françoise Jachimowski, Tilloy-Bellay, France. 903-904 Virginie Fleury, Romans sur IsĂšre, France. 905-908 Myriam Minville, Contrecoeour, QuĂ©bec. 909-910 Nina. 911-914 Florence Saillen, Monthey, Valais, Suisse. 915-916 Carol-Ann Dom, Pincourt, QuĂ©bec. 917-919 AurĂ©lie Morisson. 920-922 AurĂ©lie Guymarc, Soindres, France. 923-924 Francis Richer, Thurso, QuĂ©bec. 925-926 VĂ©ronique Beramelo, Vaux le PĂ©nil, France. 927-928 Anita Lamberti, Haute-Corse, France. 929-938 MichĂšle Corti, RosiĂšres, France. 939-943 ?. 944- 950 Claude Hirel, Agen, France.951-958 Odile Buchbach, La Seyne sur Mer, France. 959-960 Ăric Favard, Villiers sur Orge, France. 961-962 ?. 963-964 Catherine Guyonneau, Claix 16, France. 965-974 Maria Garcia P., Isle dâAbeau, France. 975 Patrick VasiliĂšres, Bordeneuve, Goudourville, France. 976-978 El Mokhtar el Hazoumi, Ecquevilly, France. 979-980 Bilal Rahzi Pamandzi, Mayotte, France. 981-995 Vitrolles, France. 996-997 Balletti Sauveur, Aubagne en Provence, France. 998-1000 Manon, Namur, Belgique. 1001-1004 François DelĂ©mont, GenĂšve, Suisse. 1005-1008 Jean Devriendt, Strasbourg, France. 1009-1016 CĂ©line Baret, Dunkerque, France. 1017-1024 Anthony Digrado, Fleurus, Belgique. 1025 Vincent Goffin, LouveignĂ©, Belgique. 1026-1038 Marianne Patissier, Verneuil lâĂtang, France. 1039-1049 Sylvie Tremblay, Sillery, QuĂ©bec. 1050-1051 AimĂ©-Guy Beaulieu, artiste peintre, Mandeville. 1052-1060 David Busto, Wavre, Belgique. 1061-1073 El Mokhtar El Hazoumi Ecquevilly Yvelines, France. 1074-1075 HĂ©lĂšne Guillot, Marsillargues, France. 1076-1085 Martine Lattuca, Bouches du Rhone, Marseille. 1086-1098 Aude Lattuca, Bouches du RhĂŽne, Marseille. 1099-1102 Jacqueline, St-Cyprien, France. 1103-1108 Nicolas-Julian Hilbold, Sarrebourg, France. 1109-1110 AdĂ©laĂŻde, Suisse. 1111-1112 Louise Hain, Mouvaux, France. 1113-1114 AurĂ©lie MĂ©nage, collĂšge de Neville aux Bois, France. 1115- 1120 Setiao Tone, Toulouse, France. 1121â1123 Sophie, Paris, France. 1122-1130 Jordan Gomez, Yvelines, France. 1131-1132 Adeline. 1133-1136 Monique Vermette, St-Eustache, QuĂ©bec. 1137-1140 Sabine Senol, Verviers, Belgique. 1141-1145 Audrey-Anne, Amos, QuĂ©bec. 1146-1148 Samira Zarif, France. 1149-1150 Manon. 1151 Marie-Eve Thibault, MontrĂ©al. 1152-1160 Lucien Miron Lulu, parolier au QuĂ©bec. 1161-1162 Lorianne. 1163 Paulo DâHorta, Tours, France. 1164-1171 Vampire, Nantes, France. 1172-1174 FĂ©lix-Antoine Matteau, Shawinigan, QuĂ©bec. 1174-1175 Frank. 1176-1183 Laura et Paola Scarnecchia. 1184-1189 Johanne Gravel, St-Jean de Matha, QuĂ©bec. 1190-1194 Gernando Gasse. 1195-1197 Tania Plourde. 1198-1199 Isabel Prignac, Guadeloupe. 1200 Gabrielle Cadot Le Gardeur, QuĂ©bec. 1020j1-1204 Karine, QuĂ©bec. 1205-1224 Georges Perucki, Gif-sur-Yvette, Essone 91, France. 1225-1228 Ădouard-Henry Dulac, Ă©crivain français, Montsoult, France. 1229 Alb. Avallone. 1230-1240 RĂ©jeanne Auger Ross, Club dâĂ©criture les Plumes Jasantes, Marieville, QuĂ©bec. 1241-1248 Matthieu Salazar, LiĂšge, Belgique. 1249-1252 JĂ©rĂ©my Comet, Paris, France. 1253 GaĂ«lle Christ, Moulins03, France. 1254 Gabrielle Cadot, Le Gardeur, QuĂ©bec. 1255-1256 Lucie TĂ©nart, CompiĂšgne, France. 1257-1260 Julie Desrochers, St-Polycarpe, QuĂ©bec. 1261-1263 FrĂ©dĂ©rique Lebel-ThĂ©berge, St-Hubert, QuĂ©bec. 1264-1268 Nicolas Jelinski, Wasquehal, France. 1269-1272 Mohamed Elomri. 1273-1280 Romain Bonan, Arouet, France. 1281-1284 RĂ©mi Costantino, Marseille, France. 1285-1294 Mathieu Baiget, Pia, France. 1295-1298 Isabelle Vieux, JouĂ©-les-Tours, France. 1299 ValĂ©rie Paquette, Laval, QuĂ©bec. 1300-1302 Eva Monica, Perouse, France. 1303-1304 ?. 1305 MariĂšve, Ste-ThĂ©rĂšse, QuĂ©bec. 1306-1310 ChouaĂŻbou Njl Mfenjou, Origine Cameroun, RĂ©sidence France, avocat et Ă©crivain. 1311-1314 Boukri Nissrine, Maroc. 1315-1319 Sophie Lagreca. 1320-1321 Jonathan Duchesne, Repentigny, QuĂ©bec. 1322-1325 ?. 1326-1329 ?. 1330-1345 Jean-Paul M. Seuret, Clermont-Ferrand, France. 1346-1349 Jean-Claude Gili, Istres, France. 1350-1353 LoĂŻc Volat,. 1354 Sophie LefĂšbvre, Pointe-Calumet, QuĂ©bec. 1355-1358 AmĂ©lie Nicolas, Reims, France. 1359-1361 Fanny Joffrois, Aix en Provence, France. 1362-1370 Irina Russu, Paris, France. 1371-1372 Tayssir Kouachi, Alger, AlgĂ©rie. 1373 Caroline Seghezzi, GrĂŽne, Suisse. 1374-1377 Nicolas Merry, London, UK. 1378 MaĂ«lis Thibon, Maule, 78 Yvelines. 1379 Jessyca Roy Landry, MontrĂ©al, QuĂ©bec. 1380-1392 Hamid Baki, Luxembourg. 1393-1395 Jessyca Roy Landry, MontrĂ©al, QuĂ©bec. 1396-1399 Corinne Bardon, Aix-en-Provence, France. 1400-1403 Eric Boisclair, gestionnaire du site Le Parolier ». 1405-1412 Mounoussamy Fabrice, Saint Denis, France. 1413-1414 Marion Quilliot, lycĂ©e du Noordover, Grande-Synthe Dunkerque 1415-1417 Jaya Isasi, St-Hubert. 1418-1419 Marion Bouli. 1420-1421 Jessica Cattin, Suisse. 1422-1431 Jean-Carlo Speranza, Lausanne, Suisse. 1432-1434 Antoine Baldacchino, St-Romans, IsĂ©re. 1435-1436 Mimiam. 1437-1444 Jessyca Roy Landry, MontrĂ©al, QuĂ©bec. 1445 Michel Charpentier, Auvers sur Oise, France. 1446 Allison, Grande-Synthe, France. 1447-1450 Maryse Marconi, Nice, France. 1451-1455 Josiane Rietmann, Tavaux, France. 1456-1459 Caroline GrĂ©geois, Osny, France. 1460-1468 Cynthia Jacques, MontrĂ©al, QuĂ©bec. 1469-1478 MichĂšle Corti, RosiĂšres, France. 1479-1481 Julie Michel, Fribourg, Suisse. 1482 Margot Derumaux, Nord Pas de Calais, France. 1483-1488 MĂ©lissa Lapierre. 1489 Allison Sampe, Grande Synthe, France. 1490-1491 Claudine Bagni-Dubois, Ollioules, France. 1492-1493 Maurice Alain Floch, Toulon, France. 1494-1495 Nicole Care, Toulon, France. 1496-1497 Solange Eymard, Toulon, dĂ©partement du Var. France. Les quatre auteurs prĂ©cĂ©dents sont sociĂ©taires de lâacadĂ©mie des poĂštes classiques de France. 1498-1551 Philippe LerĂȘtre, France. 1502-1503 Louise Mathieu-Mills, Saint-Jean-de-Matha, QuĂ©bec. 1504-1515 Colin SĂ©bastien, Troves, France. 1516-1517 Marie Line Cola, Var, France. 1518 Allison Sampe, Grande Synthe, France. 1519-1551 Mr. Lardinois, Abeloos Quentin, Bardy YnĂšs, Bergeret Valentin, Dechamps Cassandra, El isaoui Kamel, El mahmoudi Fatima Zahra, Feys Dylan, Fontaine Romain, Ghyssens Louise, Houdart Fanny, Lachambre Xavier, Lemborelle Eric, Roelandt FĂ©licia, Vandervaeren Kevi, Ăcole communale de Soignies la RĂ©gence, Soignies, Belgique. 1552-1559 Lilianne Ruel, Salaberry-de-Valleyfield. 1560-1561 Oumeima Lamzibri Rabat, Maroc. 1562-1577 MichĂšle Schibeny, Histoire dâaimer, Nice, France. 1578-1585 Vincent Castanet, Avignon, France. 1586-1589 Elodie Abbacus, Bordeaux, France. 1590-1600 Sandrine, Pauline, Julien, Marseille, France. 1601 Allison Sampe, Grande Synthe, France. 1602-1603 StĂ©phanie Merll, prĂšs de Thionville, France. 1604-1649 Classe de 6e annĂ©e, 2004-05, Ă©cole Notre-Dame de Lorette, Pincourt, QuĂ©bec, enseignant Jean-Claude Fournier, Ă©lĂšves Kevin Alarie, StĂ©phanie B. Trow, Jessica Berger, Claudia StĂ©phanie Boyer, Mackenzie Brasloff, Francis Burelle, Roxanne Chamberland, Jessie Dandurand-Laporte, Robert De Ladurantaye, ValĂ©rian Dru, Marie-AndrĂ©e Dufour, Francis Fontaine, Anthony Fournier, Maude Gaulin, Louise-JosĂ©e Gauthier, Kabir Kassanov, Camille Lanthier Riopel, Cherilyne Larocque, Marc-Antoine Legault, Maxime Leroux, Marie-Claude LĂ©vesque, Francis McKenty, Francis Patenaude, MĂ©lanie PĂ©ladeau, Nicolas Robichaud. 1650-1665 Ronan Dussin, Rennes, France. 1666-1667 Marie-Soleil Lejeune, Laurierville, QuĂ©bec. 1668-1673 Devaki Grenier, Lavaltrie, QuĂ©bec. 1674-1681 GĂ©rard Sandifort, Sandipoete, Bazuel, France. 1682-1689 Guillaume Soubirian, Bordeaux, France. 1690-1696 Marie-Chantal Dionne, Laprairie, QuĂ©bec. 1697-1705 Michel Skutnik, Angleur, Belgique. 1706-1709 Audrey-Ann GĂ©nĂ©reux, PrĂ©vost, QuĂ©bec. 1710-1713 Philippe Leretre. 1714-1723 Houda Mjigal, Paris, France. 1724-1726 Martine Langlois, QuĂ©bec. 1727-1731 JĂ©rĂŽme. 1731-1732 Diane, France. 1733-1734 Jessica Delhaye, France. 1735-1754 Nancy Aspirot, Laval, QuĂ©bec. 1755 AurĂ©lie Motta Bergerac, France. 1756 Jean-Guy Hayeur. 1757-1760 Christine, Auterive, Haute Garonne. 1761-1762 Yasmina Meunier, Haute Savoie 74, France. 1763-1769 Patrick Launey Dâalmaida, Montpellier, France. 1770-1777 Kim Bounoua. 1778-1787 Sabrina Doucet, Trois-RiviĂšres, QuĂ©bec. 1788-1792 Samira Benyoub, Paris, France. 1793-1794 GwĂ©naĂ«lle, Nantes, France. 1795-1798 Judith Galipeau, St-Jean-Sur-Richelieu, QuĂ©bec. 1799-1804 Manddy Zalesny, Sarcelles, France. 1805-1810 Martine St-Louis. 1811-1819 Jean-François Perrault, Ăcole de Lorette Pincourt, QuĂ©bec. 1820-1829 Solange Vachon, Pincourt, QuĂ©bec. 1830-1831 Lauriane Jestin, Brest, France. 1832-1839 Jessica Stöckl, Nouvelle-CalĂ©donie. 1840-1843 Yoann Escach, Falence, France. 1844-1895 Gilbert Dekerck en collaboration avec Annie Samyn Gauthron,LycĂ©e Maurice Ravel, Paris, Bruxelles, Belgique. 1896-1903 Yves Primault, Paul Mirtyves,Longwy, France. 1904-1907 Francine Larose, MontrĂ©al, QuĂ©bec. 1908-1919 Henriot Nytia, Saint Claude, France. 1920-1924 Jennifer Simon, Bruxelles, Belgique. 1925-1928 Guillaume Gaubert, Caen, France. 1929-1930 Hinerava Huri, Tahiti. 1931 Michael Lucquiaud, Romainville, France. 1932-1933 Lisa Mathieu, Bretagne, France. 1934-1939 Milan, Osny, France. 1940-1945 Natalie Seneque, Sydney, Australie. 1946-1949 Florence Desvergnes, Villejuif, France. 1950-1953 Nah-TĂ©nĂ© Coulibaly, Abidjan, CĂŽte dâIvoire. 1954 AurĂ©lien Taillandier, Voves, France. 1955-1957 Rose DeraĂ«ve, Pressagny lâOrgueilleux, France. 1958-1960 Linda Roy, Chambly, QuĂ©bec. 1961-1963 Carolynn Cossette, Trois-RiviĂšres, QuĂ©bec. 1964 Marc BĂ€rtschi, La Neuville, Suisse. 1965-1966 Alexandra Blanchet, La Prairie, QuĂ©bec. 1967-1976 Marie-Eve Caron, Ancienne-Lorette, QuĂ©bec. 1977-1983 Jean-Claude Ăthier, Laval, QuĂ©bec. 1984-1985 Denise Reeves, St-Bazile-le-Grand, QuĂ©bec. 1986-1987 Marcel Grenon, Beauport, QuĂ©bec. 1988-1990 Jean Fred Pirault, Centreville, Virginie, Ătats-Unis. 1991-1993 Louise Gagnon, Maria, GaspĂ©sie, QuĂ©bec. 1994-1995 Didier Foucher, Escalquens, France. 1996-2002 Sylvie Bernatchez, MontrĂ©al, QuĂ©bec. 2003-2004 Didier Pirault, Seynod, France. 2005-2006 Kim Beaudry, Ste-Julie, QuĂ©bec. 2007-2012 Chantal Michaud, Rimouski, QuĂ©bec. 2013-2014 Huguette Paquet, QuĂ©bec, QuĂ©bec. 2015-2020 Gilbert Dahlia, Bruxelles, Belgique. 2021-2022 Chantal FurgĂ©, St-Georges les Baillargeaux, France. 2023-2036 Claire Bourlet, Lille, France. 2037 Sara Anne Bazinet, MontrĂ©al, QuĂ©bec. 2038-2068 Les Ă©lĂšves de CM de lâĂ©cole Notre-Dame du SacrĂ©-Coeur, la classe de Patricia Ramette en collaboration avec Olivier Segard, Alexis Anthony, Bui Minh-Chau, Dubrunfaut Laurane, Dufourt Alexis, Dussart Marie GĂ©ralde, Jacquet ChloĂ©, Pelgrim Iris, Pellegrino Alexandra, Roger Sophie, Alglave Arnaud, Bally Emilie, Bessaoud SĂ©bastien, Bronsart MaĂźtĂ©, Bronsard Margaux, Brouet LĂ©o, Comin Matthieu, Decourt Benoit, Defontaine GrĂ©goire, Delsart Dorine, Dozier Margot, Duffosset Laura, Lagace Antoine, Piette Anthony, Serin Thomas, prĂšs de Valenciennes, France. 2069-2082 Fabrice Mounoussamy, St-Denis, France. 2083-2084 Bloch. 2085-2090 Sophie. 2091-2092 Mathilde Krikken, Montauban. 2093-2095 Marie Font Landes. 2096 AurĂ©lien Taillandier, Voves, France. 2097 Marie-Soleil Lejeune, Laurierville, QuĂ©bec. 2098-2099 Ălysa Couture, Fabreville, QuĂ©bec. 2100 Nelly Cid, Rouen, France. 2101 Amine Alhousseima, Maroc. 2102 MĂ©lanie Doucet, QuĂ©bec, QuĂ©bec. 2103 Benoit Gilbert. 2104-2105 JosĂ©phine Bordeaux 33. 2106-2117 Collectif, 3e annĂ©e, Ă©lĂšves de Chantal DĂ©saulniers, Ă©cole de la ClĂ©-des-Champs, Mirabel, QuĂ©bec. 2118-2119 Joelle Rochet, Paris, France. 2120-2125 Teghbit Saliha, MontrĂ©al/AlgĂ©rie. 2126-2129 Nfally Diatta, Ziguinchor, SĂ©nĂ©gal. 2130-2135 Olivia Morelli. 2136 Alain Beaulieu, QuĂ©bec. 1237-1238 Anne-Marie CarriĂšre, Gradignan, France. 2139-2142 Michael Bastien. 2143-2147 Kim Payette, Ste-Hyacinthe, QuĂ©bec. 2148-2151 Aram Mazakian. 2152-1153 Françoise Porquiet, Verberie, Oise. 2154-2158 Guillaume Elmassian, Fontainebleau, France. 2159-2166 Raymonde MĂ©nard, Laval, QuĂ©bec. 2167-2171 Alex Fortin. 2172-2173 Didier Foucher, Escalquens, France. 2174-2176 Louise GĂ©linas, GaspĂ©sie, QuĂ©bec. 2177-2182 Isabelle gagnĂ©, Sainte-Julienne, QuĂ©bec. 2183-2186 Maud Breton, VendĂŽme, France. 2187 Joseph Muradieu, International Union. 2188-2192 Marjolaine Le Du, LĂ©cousse, Ille et Vilaine, Bretagne, France. 2193-2197 Sarra Mechmech au Peurreux sur Marne, France. 2198-2199 Laure, Chabeuil 26, France. 2200-2206 Christina Chouinard, Legardeur, QuĂ©bec. 2207-2249 Collectif 6iĂšme annĂ©e, Ă©cole Val-Joli, classe de Nancy Pilote. 2005-2006, Marie-Ăve Caron stagiaire, , Benjamin Beausoleil, Roch Parent-Lortie, Keven Dussault-Boulet, Claudia Lapointe, Samuel Paradis, Didier Maltais-Caron, Simon GĂ©linas, Simon Taillon-Boulerice, Laurence Gauthier, Vivianne Desmeules, Kristopher Dion, Jamie Horlick, Thomas BĂ©langer-Goupil, Yannick Morin, JĂ©rĂ©my Livernoche, Lydia Giraldeau, Joany Giasson, MĂ©lanie Moreault, Dave Lamontagne, GaĂ«l Tremblay, Meryll Lapointe, Marie Vicuna, Phanie Monette, Val-BĂ©lair, QuĂ©bec. 2250-2257 MichĂšle Duval-Leuwers, Montberon, France. 2258-2261 Marie-Laure CondĂ©jĂ©ro, Malissard, France. 2262-2295 Christian Morel, auteur, ville dâAvray, France. 2296-2301 Dimitry ThĂ©bault, Ploermel, Morbihan, Bretagne, France. 2302-2306 Djo-Art, artiste peintre-auteur, Paris, France. 2307- 2312 Collectif 6e annĂ©e, 2005-2006 Ă©cole Notre-Dame de Lorette, , enseignant Jean-Claude Fournier, Ă©lĂšves RenĂ©e-Anne Archambault, Laurence BĂ©dard-Poudrier, Patrick-Arthur Bisaillon, VĂ©ronique Couture, Marc-Antoine Gagnon, JĂ©rĂ©mie Goyer, Alexandra LagacĂ©, Karianne Lalonde, Simon Laplaine, Kevin Lefebvre-Tuck, Jade Legault-Trudeau, Christophe LĂ©ger, Simon LĂ©vesque-Sabourin, Catherine Lussier, Patrick Martineau, Jonathan Montreuil, David Paquette, Hugo Pepin, Alexandra Prince, GeneviĂšve Rossi, Marina Shaw, GeneviĂšve Trudel, Joannie Ulley-Lafrance, Nicolas VallĂ©e, Pincourt, QuĂ©bec. 2313-2314 MarlĂšne Jemin, Rennes, France. 2315-2316 Paolo Atzori, Le ChĂątelet en Brie, France. 2317-2320 Christophe Martin, Le Puy-en-Velay, France. 2321-2328 AmĂ©lie Barrier, Ambillou, France. 2329-2336 Claude Sauvage, auteur, Vaudreuil-Dorion, QuĂ©bec. 2337-2342 Chakir El fatih, Khouribga Maroc. 2343-3244 Solange Bonhomme, Entrevaux, France. 2345-3248 Micheline Savard, Pincourt, QuĂ©bec. 2349 Louise Lapointe, Notre-Dame de lâĂle Perrot, QuĂ©bec. 2350 Ginette Lapointe NoĂ«l, Brossard, QuĂ©bec 2351 Danielle Fraser, Blainville, QuĂ©bec. 2352-2353 Diane Bouchard, Saint-Basile Le Grand, QuĂ©bec. 2354 Claudine AndrĂ©, Verny, France. 2355-2356 Cyndie Landry Fortin, Ste-Catherine-de-la-Jacques-Cartier, QuĂ©bec. 2357 Marcel Lapointe, LĂ©vis, QuĂ©bec. 2358-2361 Sylvie Hoelt, Toulouse, France. 2362-2374 Yassir El Ouarzadi, poĂšte, MontrĂ©al, QuĂ©bec. 2375-2386 Ilyes El Ouarzadi, poĂšte, MontrĂ©al, QuĂ©bec. 2387-2393 Laurent ML. Budapest, Hongrie. 2394-2396 Real Gagnon, GaspĂ©, QuĂ©bec. 2397-2398 Ăliane Turcotte, Drummondville, QuĂ©bec. 2399-2400 AgnĂšs Kerboriou, auteure, France. 2401-2406 Roland Belin, Amance, France. 2407-2410 Ghalia El Boustami, Neuss, Allemagne. 2411-2424 Feu RĂ©mi Goffin, vers envoyĂ©s par son petit-fils GrĂ©gory Chabeuil Drome, France. 2425 Baruzzo Christine, Drancy, France. 2426-2433 Marie Nuel, Valence, France. 2434-2455 Marri Mohamed SafirBleu », Rabat, Maroc. 2456-2469 Pierre Lacombe, Notre-Dame de lâĂle Perrot, QuĂ©bec. 2470-2508 Josette Candre, Cantal, France. 2509-2512 Richard Bradley, Vaudreuil-Dorion, QuĂ©bec. 2513-2528 Linda Archambault, Charlemagne, QuĂ©bec. 2529-2530 Marie-Eve Mercier, Le Gardeur, QuĂ©bec. 2531-2544 Yves Prigent, Lannebert, France. 2545-2546 Myriam Brunet, Les CĂšdres, QuĂ©bec. 2547-2557 Yves Delhoume, Canet, France. 2558-2568 Marie-Lyne GuĂ©nette, Plume dâAmour, St-Hippolyte, QuĂ©bec. 2569-2576 Daniel Tremblay, Corbeau, Rigaud, QuĂ©bec. 2577 Johanne Aubut, MontrĂ©al, QuĂ©bec. 2578-2585 Collectif, classe de Jean-Claude Fournier, 6e annĂ©e, Ăcole Notre-Dame de Lorette Philippe Bolduc, Maxime BriĂšre, JoĂ«l Carpentier, Maude Chamberland, Davis He, Alexandre Kalasnikow-Lampron, Pier-Alexandre Laflamme, Roxanne Leduc, Claudia Lefebvre-Fustos, Pascale Legault-Rioux, RĂ©mi Legresley, Michael Nairn, Maxime Patenaude, Linzee Perreault-Hodgson, RaphaĂ«le Potvin-Cadieux, Mariah Ratsch-Geraghty, Karolane Ricard, Alexandre Richard, Rachelle SĂ©guin, Anthony Smith, Zondre Stephen, Shelleen Sterling, Benjamin Tremblay, Vanessa Trow, Danielle Yefman. Pincourt, QuĂ©bec. 2586-2601 GĂ©raud Larroque, Aurillac, France. 2602-2607 Schnebel, France. 2608 Ălizabeth Chevrier, Ăle-Perrot, QuĂ©bec. 2609 Lisette Pinault, Ăle-Perrot, QuĂ©bec. 2610-2616 Christiane Manin, Vinay, France. 2616-2620 HĂ©lĂšne Parent, Notre-Dame de lâĂźle Perrot, QuĂ©bec. 2621-2626 Caroline ChĂ©hade, MontrĂ©al, QuĂ©bec. 2627-2635 Ălisabeth Daigle. 2636-2637 Marie-Claude Samson, Sainte-Julie, QuĂ©bec. 2638-2643 Nelson Bouffard, St-Apollinaire, QuĂ©bec. 2644-2650 Marie-Claire Laberge, Verdun, QuĂ©bec. 2651 Kristopher Lacasse, St-Colomban, QuĂ©bec. 2652-2653 Lisette Giroux, Elle est membre des Ăcrivains francophones dâAmĂ©rique, rĂ©cipiendaire du prix Arcade de PoĂ©sie 2003, MontrĂ©al, QuĂ©bec. 2654-2655 Nancy BĂ©rubĂ©, Val-BĂ©lair, QuĂ©bec. 2656-2657 ValĂ©rie Morin, Chicoutimi, QuĂ©bec. 2658-2659 Caroline Gilbert, Magog, QuĂ©bec. 2660-2663 Nicole de la ChevrotiĂšre, LotbiniĂšre, CtĂ© LotbiniĂšre. 2664-2673 Daniel Bisson, St-Ămile de Suffolk, QuĂ©bec. 2674-2675 Lyne Gosselin, Beloeil, QuĂ©bec. 2676-2677 Corinne Pruvost, Vouziers, Ardennes, France. 2678-2681 Laurence Le Roux, Tilloy et Bellay, France. 2682-2684 Adrien Imbeault, QuĂ©bec, QuĂ©bec. 2685-2688 Nathalie Lemieux, Pincourt, QuĂ©bec. 2689-2692 Jacques Sigot, Montreuil-Bellay, France. 2693-2718 AmĂ©lie Germain, Bois-des-Filion et Lydia Desjardins, Sainte-ThĂ©rĂšse, QuĂ©bec. 2719-2722 GisĂšle Chevalier, Trois-RiviĂšres, QuĂ©bec. 2723-2730 Paul-Ămile Parent, Boisbriand, QuĂ©bec. 2731-2734 Vincent DĂ©sirĂ©, Lyon, France. 2735-2738 Marie-Claire Laberge, Verdun, QuĂ©bec. Les vers qui suivent, 2739 Ă 2821 proviennent des Ă©tudiants du cours Ăcriture et LittĂ©rature » au collĂšge Montmorency Ă Laval, QuĂ©bec. Professeur Olivier MĂ©nard. 2739-2740 Pierre-Luc Letarte. 2741-2742 AmĂ©lie Raymond. 2743-2744 Anthoine PrĂ©fontaine. 2745-2746 Maxime DâArcy. 2747-2748 MĂ©lanie GrandâMaison. 2749-2750 Marc Todari. 2751-2752 Marie-HĂ©lĂšne Dion. 2753-2754 Annick Campeau. 2755-2756 Giscard Prismy. 2757 Julie-Hanh Leclair. 2758-2759 Sarah Robillard. 2760-2763 MĂ©lissa Demers. 2764-2767 Lili Des Neiges Perreault et Sarah ThĂ©riault. 2768 Yannick Pilote. 2769-2770 Gabrielle Chabot. 2771-2772 Vicky Laroque. 2773-2774 MĂ©gane Durocher. 2775-2776 Pierre-Alexi PichĂ©. 2777-2778 Tommy Samson. 2679-2681 Alexandre AubĂ©. 2782-2783 Simon Charest. 2784-2785 FĂ©lix Venne. 2786-2787 Alexandre Bastien. 2788-2789 Annie Forest. 2790-2791 Marie-Christine Courcy. 2792-2793 Cynthia HĂ©bert. 2794-2795 Yan Sylvestre. 2796-2797 Danny LĂ©onard. 2798-2799 Virginie Chaloux-Gendron. 2800-2801 FrĂ©dĂ©ric Sagala-Girouard. 2802-2803 Mehdi Sabrah. 2804-2805 Audrey Leboeuf. 2806-2807 Audrey PrĂ©vost. 2808-2809 Vicki Lalande. 2810-2811 HervĂ© Joseph. 2812-2813 Sarah ThĂ©riault. 2814-2815 LoucinĂ© Solakian. 2816-2817 Ben Geneus. 2818-2819 Francis Bissonnette-Binet. 2820-2821 Marie-Jade Loiselle. 2822-2827 Olivier MĂ©nard, Laval, QuĂ©bec. 2828-2829 Eliane Angeli, Martinique. Les vers 2830 Ă 2861 sont rĂ©alisĂ©s par des Ă©lĂšves de lâĂ©cole GĂ©rard-Filion de Longueuil, QuĂ©bec. 2830-2833 Olivier Pichette, Longueuil, QuĂ©bec. 2834-2837 Guillaume Duchaine Harnois, Longueuil, QuĂ©bec. 2838-2841 Maxime Leblanc, Longueuil, QuĂ©bec. 2842-2845 CĂ©drick Pepin, Longueuil, QuĂ©bec. 2845-2849 Sophie Caron, Longueuil, QuĂ©bec. 2850-2853 Vanessa St-Pierre, Longueuil, QuĂ©bec. 2854-2857 Brian Romano, Longueuil, QuĂ©bec. 2858-2861 Billy Rail, Longueuil, QuĂ©bec. 2862-2873 MichĂšle ChrĂ©tien, Boischatel, QuĂ©bec. 2874-2883 Meriem Fattoum Selma Rahmani, Djelfa, AlgĂ©rie. 2884-2885 CĂ©cile Legendre Parent, Boisbriand, QuĂ©bec. 2886-2887 Vincent Guillory, Rennes, France. 2888-2890 Jean-François Tremblay Djiii, La Baie, QuĂ©bec. 2891-2893 Patrice Perreault, Notre-Dame de lâĂle Perrot, QuĂ©bec. 2894-2899 GaĂ©tane MĂ©nard, Pincourt, QuĂ©bec. 2900-2901 Maimiti Maraea, Wangen, France. 2902-2909 Luca Fullum, LĂ©vis, QuĂ©bec. Les vers 2910 Ă 2919 ainsi que de 2938 Ă 2952 sauf pour le 2951, proviennent de la classe de Chantal Macleod 5Ăšme annĂ©e de lâĂ©cole Notre-Dame-de-Lorette de Pincourt 2910 AndrĂ©a Sanders-Anampa, Pincourt, QuĂ©bec. 2911 Kim Wolford, Pincourt, QuĂ©bec. 2912 Mathieu GĂ©ronimo, Pincourt, QuĂ©bec. 2913 Chantal Macleod, Pincourt, QuĂ©bec. 2914 Julien Leduc, Pincourt, QuĂ©bec. 2915 JoĂ«lle Boyer, Pincourt, QuĂ©bec. 2916 Alexa Duhamel-VallĂ©e, Pincourt, QuĂ©bec. 2917 Yasmin Abou Sharbin, Pincourt. 2918-2919 Cameron Daoust, Pincourt, QuĂ©bec. 2920-2921 Evelyne. 2922 David Giefert, Pincourt, QuĂ©bec. 2923-2930 Ătablissement scolaire IES PLA DE LES MORERES Classe Français Seconde Langue ĂtrangĂšre Raquel Santano, Dani Loarte, Julia Shimbatori, Lorena FernĂĄndez, Erminia Gonzalez, NoemĂ Nevado, Laura Orellana, Wiame Taibi, Marta BartrolĂ, Vilanova del CamĂ, Barcelone, Espagne. 2931 Annick Auger, LotbiniĂšre, QuĂ©bec. 2932 Sarah P., Gatineau, QuĂ©bec. 2933-2935 Serge Lapointe, GaspĂ©, QuĂ©bec. 2936-2937 Ky Van Kalitka, Aquitaine, France. 2938 Joanie Couture, Pincourt, QuĂ©bec. 2939 Alicia Vaillancourt, Pincourt, QuĂ©bec. 2940 CĂ©dric Vanier, Pincourt, QuĂ©bec. 2941 Ălainie Voyer-Leblanc, Pincourt, QuĂ©bec. 2942 Vanessa Beaulieu, Pincourt, QuĂ©bec. 2943 Sarah Oleszczuk, Pincourt, QuĂ©bec. 2944 Brandon Hughes, Pincourt, QuĂ©bec. 2945 Anthony Simard, Pincourt, QuĂ©bec. 2946 Patrick Rozon, Pincourt, QuĂ©bec. 2947 Isabelle Robert, Pincourt, QuĂ©bec. 2948 Carrie Li Leung, Pincourt, QuĂ©bec. 2949 MarlĂšne Iradukunda, Pincourt, QuĂ©bec. 2950 Catherine St-Pierre, Charlemagne, QuĂ©bec. 2951 Dany FrĂ©chette, Pincourt, QuĂ©bec. 2952 Vanessa Latour-LâHeureux, Pincourt, QuĂ©bec. 2953 Tysen-Otis Copeland, Pincourt, QuĂ©bec. 2954-2955 Denise Girard, poĂ©tesse/paroliĂšre, Laval, QuĂ©bec. 2956-2957 Charly Bouchara, Parolier, MontrĂ©al, QuĂ©bec. 2957-2965 Collectif Classe de Jean-Claude Fournier, Ă©cole Notre-Dame de Lorette, Pincourt, QuĂ©bec Farah Abou Sharebain, Laurianne Bernard, MĂ©lanie Bolduc, Marco Bourboin-Robichaud, FrĂ©dĂ©ricke Cholette, Mathieu Daoust, MĂ©lina Filiatreault, Ălisabeth Gamache-Lavoie, Jade Gendreau, Kristen Huard, Marie-Eve La FlĂšche, Alexis Labrecque-Goulet, Roxanne Le Duc, FrĂ©dĂ©ric Ledoux, Isabelle LĂ©vesque, Tina Martel, Jordan Meloche-Sassos, FredĂ©ric Poirier, Nathan Reid, Patricia Robichaud, Danny Roux-Dufault, Anthony Smith, Myriam Tremblay, Cedric Vansteene-Madore. 2966-2969 Gilles Fournier, Vaudreuil-Dorion, QuĂ©bec. 2970-2973 Steve Gauthier, MontrĂ©al, QuĂ©bec. 2974-2977 AndrĂ©e Nave, Strasbourg, France. 2978-2983 Karima Boukarra, Bourges, France. 2984-2985 Murielle Vigneron. 2986 Abdessatar Abrougui, France. 2987-2989 Isabel Marceau, QuĂ©bec, QuĂ©bec. 2990-2995 Jean DĂ©serh, France. 2996-2999 Ben Youssef Wadi, Tunis, Tunisie. 3000-3002 Jacques Carle, Trois-RiviĂšres, QuĂ©bec. 3003-3005 Sylvain Martin, Pincourt, QuĂ©bec. 3006 Abdessatar Abrougui, France. 3007-3011 Nicolas Behal, 19 ans, Paris, France. 3012-3019 Pascal Vouligny, Pierreville, QuĂ©bec. 3020-3021 Ahmed Kerrouch, Azrou, Maroc. 3022-3039 Mouelhi Mohamed, Faouzi, Tajerouine, Tunisie. 3040-3045 Mouelhi Leila, Tajerouine, Tunisie. 3046-3049 MĂ©lissa Jourdain, Sep-Ăles, QuĂ©bec. 3050-3051 Serge Poirier Papi Serge. 3052-3059 Med Faouzi Tajine, Sousse, Tunisie. 3060-3070 Mohamed Anis Abrougui, Gafsa, Tunisie. 3071-3074 Louise Gagnon, RiviĂšre au Renard, QuĂ©bec. 3075-3080 Nathalie Bousquet, Valbonne, France. 3081-3084 Michel Roussel, Gordes, France. 3085 Yolande Nizet, Bruxelles, Belgique. 3086-3087 Aziz-Mohamed-Aubin Camara, Hannover, Allemagne.
MACIF Description de l'entreprise Entreprise de l'Ăconomie Sociale, la Macif n'appartient ni Ă des actionnaires, ni Ă l'Ătat, mais Ă ses sociĂ©taires. Chaque jour, prĂšs de 10 000 salariĂ©s se mobilisent pour apporter la meilleure qualitĂ© de service Ă nos 5,6 millions de sociĂ©taires et adhĂ©rents en assurances dommages, santĂ©-prĂ©voyance et finance-Ă©pargne. Rejoindre la Macif, c'est s'engager dans une entreprise qui innove et qui dĂ©veloppe ses expertises sur le marchĂ© globalisĂ© des services, notamment ceux de demain. C'est aussi s'engager dans une entreprise mutualiste, qui place les femmes et les hommes au coeur de sa stratĂ©gie de dĂ©veloppement, notamment grĂące Ă notre politique de ressources humaines axĂ©e sur le dĂ©veloppement et le renforcement des compĂ©tences de nos salariĂ©s. Nous sommes Ă la recherche dâun Conseiller commercial F/H pour notre agence dâArmentiĂšres 59 280. Acteurs clĂ©s du fonctionnement de la Macif, les conseillers commerciaux guident et accompagnent les sociĂ©taires en fonction de leurs besoins liĂ©s Ă leur projet de sein dâune Ă©quipe de 7 collaborateurs, vos principales missions sont RĂ©pondre aux besoins du sociĂ©taire par tĂ©lĂ©phone/en face Ă faceOptimiser chaque contact pour mener des actions commerciales de fidĂ©lisation sur les produits MACIF adaptĂ©s aux besoins des sociĂ©taires IARD, SantĂ©/PrĂ©voyance, Finance/EpargneParticiper au dĂ©veloppement de lâactivitĂ© de nos points dâaccueil par de la prise de rendez vousVotre talent commercial et votre goĂ»t prononcĂ© pour la vente sont des gages de rĂ©ussite. Vous savez convaincre et Ă©tablir une relation de confiance en privilĂ©giant lâĂ©coute ce poste est fait pour vous !Afin de vous accompagner, une formation professionnelle et rĂ©munĂ©rĂ©e vous sera dispensĂ©e en interne pour une durĂ©e de 3 mois. Elle alterne entre thĂ©orie et pratique sur nos produits, techniques de vente et outils informatiques, afin que vous ayez toutes les clĂ©s pour rĂ©ussir votre prise de poste. A la fin de cette formation, en cas de rĂ©ussite, vous recevrez la certification professionnelle CAPA CapacitĂ© Professionnelle en Assurance reconnue par lâEtat. PrĂ©sentation du poste Nous sommes Ă la recherche d'un Conseiller commercial F/H pour notre agence d'ArmentiĂšres 59 280. Acteurs clĂ©s du fonctionnement de la Macif, les conseillers commerciaux guident et accompagnent les sociĂ©taires en fonction de leurs besoins liĂ©s Ă leur projet de sein d'une Ă©quipe de 7 collaborateurs, vos principales missions sont RĂ©pondre aux besoins du sociĂ©taire par tĂ©lĂ©phone/en face Ă faceOptimiser chaque contact pour mener des actions commerciales de fidĂ©lisation sur les produits MACIF adaptĂ©s aux besoins des sociĂ©taires IARD, SantĂ©/PrĂ©voyance, Finance/EpargneParticiper au dĂ©veloppement de l'activitĂ© de nos points d'accueil par de la prise de rendez vousVotre talent commercial et votre goĂ»t prononcĂ© pour la vente sont des gages de rĂ©ussite. Vous savez convaincre et Ă©tablir une relation de confiance en privilĂ©giant l'Ă©coute ce poste est fait pour vous !Afin de vous accompagner, une formation professionnelle et rĂ©munĂ©rĂ©e vous sera dispensĂ©e en interne pour une durĂ©e de 3 mois. Elle alterne entre thĂ©orie et pratique sur nos produits, techniques de vente et outils informatiques, afin que vous ayez toutes les clĂ©s pour rĂ©ussir votre prise de poste. A la fin de cette formation, en cas de rĂ©ussite, vous recevrez la certification professionnelle CAPA CapacitĂ© Professionnelle en Assurance reconnue par l' requises Vous avez un niveau Bac+2/3 dans le domaine commercial/relation client ou un niveau similaire justifiĂ© par votre expĂ©rience professionnellele sens du service client une Ă©coute active et une aisance orale une appĂ©tence commerciale une capacitĂ© d'adaptation et d'ouverture au changementun esprit d'Ă©quipe qui aide Ă atteindre des objectifs collectifs Quelques informations supplĂ©mentaires Temps de travail 35h par semaine, du lundi au vendredi de 09h Ă 18h RĂ©munĂ©ration mensuelle brute fixe 27 euros 13Ăšme mois, prime de vacances et indemnitĂ© de lieu travail inclusRĂ©munĂ©ration variable annuelle en fonction des objectifs rĂ©alisĂ©sPrime de participation et intĂ©ressement avec accĂšs Ă un plan d'Ă©pargne entreprise et retraiteOeuvres sociales du CSE dont tickets restaurant ...PossibilitĂ© d'Ă©volutions professionnelles au sein du groupe Aema accompagnĂ©es par un suivi de proximitĂ© managĂ©rial et RH
ET DEMAIN ?RĂMUNĂRER LES HOMMES POUR DEVOIR D'APPRENDRE UN MARCHĂ DE Lâ remercie chaleureusement Monsieur Bernard CAZEAUX pour lâaide quâil mâa apportĂ©e Ă la rĂ©alisation de cet remercie Ă©galement tous ceux que jâai usĂ©s par mes controverses, et auxquels jâai fait supporter mes dĂ©bats essai commence par lâavertissement oĂč le lecteur trouvera les grandes lignes qui le sous-tendent, prĂ©cĂ©dĂ©s du rĂ©sumĂ© LES HOMMES POUR les hommes pour apprendre câest mĂȘme mettre un pied dans lâincertitude, câest mettre un pied dans un monde Ă inventer, et cela nâest pas rien. Pas forcĂ©ment comme je le vois, car ce nâest que le mien, mais câest poser les marques dâune il ne pourra pas ĂȘtre plus effrayant que celui qui est le nĂŽtre aujourdâhui. Dans lequel, pour sortir dâune existence passĂ©e que nous avons apprĂ©ciĂ©e cruelle, nous avons, en dĂ©veloppant nos cultures sociĂ©tales », construit aussi des organisations eugĂ©niques».LâHomme nâa jamais eu autant de moyens Ă sa disposition pour le comprendre, et cependant il reste sur la dĂ©fensive. Il ne fait pas dans lâensemble la dĂ©marche de sâouvrir au monde Ă lâunivers, pour rester dans son mensonge culturel». Alors pourquoi ne pas forcer la main de lâĂ©volution, en rĂ©munĂ©rant les hommes pour apprendre, et essayer de dĂ©couvrir si dans notre suffisance nous ne nous Ă©tions pas fourvoyĂ©s par ignorance existentielle ». Je vais donc essayer de mâen signifierait-il que lâactuelle organisation Ă©conomique est immuable, et que nous aurions trouvĂ© la pierre philosophale dans ce domaine ? Alors que nous avons encore 800 000 ans estimĂ©s avant notre prochaine Ă©volution.Aussi, je comprendrais mal que lâon vienne dire au nom de lâentreprise, que les hommes nâont pas le droit de dĂ©velopper une autre source de richesse en dehors dâ je comprends que les dĂ©tenteurs du pouvoir Ă©conomique disent quâils nâentendent pas le partager, car lâentreprise » est aussi une arme, une arme de conquĂȘtes. Si bien que, câest une dĂ©cision politique qui intervient nâemploiera du personnel que si elle y trouve un intĂ©rĂȘt, et câest bien quâelle fonctionne ainsi ; lâentreprise nâa pas pour finalitĂ© de donner du travail, mais de produire des biens et des services. Câest aux hommes Ă se trouver une autre source de revenu ou modifier le systĂšme monĂ©taire. Câest Ă eux de sâinterroger sur leur devenir, pas Ă lâentreprise. Encore faudrait-il que dans leurs majoritĂ© ils connaissent les mĂ©canismes de lâĂ©conomie quâils gĂ©nĂšrent consciemment ou de fait, et ne pas prendre des relatives pour des valeurs absolues ou que la LibertĂ© nâest que la comprĂ©hension de la somme des contraintes dans lesquelles nous enserrons notre corps et notre esprit, et ne pas entretenir avec lâentreprise des rapports de maĂźtre Ă esclave, oĂč quand le maĂźtre disparaĂźt, lâesclave cherche Ă qui se vendre. Nous dĂ©sirons tous ĂȘtre des maĂźtres, alors que nous ne sommes que les esclaves les uns des autres. Pourtant ce qui est important ce nâest pas dâĂȘtre maĂźtre ou esclave, ce ne sont que des mots. Câest de savoir ĂȘtre ce que nous sommes aussi, des Ătres communicants linguistiquement et sĂ©mantiquement, mais cela se dĂ©couvre par lâinstruction, la connaissance, le Savoir, et comprendre que ce nâest jamais acquis indĂ©finiment puisquâil sâagit dâune dĂ©marche culturelle ». Cela demande des annĂ©es dâapprentissages, pour ne pas dire la vie, et câest si difficile que la plupart du temps nous prĂ©fĂ©rons utiliser un langage plus rapide et universellement connu, les armes. Une dĂ©finition estime que lâhomme est un ĂȘtre Ă©conomique lâhomo oeconomicus, Ătre rationnel motivĂ© par son seul profit, coĂ»t avantage » parce quâil effectue un travail pour cueillir et chasser. Cette extension de la dĂ©finition de lâĂ©conomie nous conduirait Ă dire que notre Univers est un univers Ă©conomique, parce que chaque association atomique, et ce qui en dĂ©coule, exige un travail et un coĂ»t association Ă©change. Il ne serait donc pas stupide de dire que lâunivers est Ă©conomique puisquâil y existe un perpĂ©tuel Ă©change, et il nâappartient quâĂ notre observation dây trouver un rapport coĂ»t avantage. Il conviendrait donc de redĂ©finir notre monde sur cette base. Ainsi nos relations affectives et sociales deviendraient Ă©conomiques, ce qui ne changerait rien Ă leur qualitĂ©, mais trĂšs vite nous verrions apparaĂźtre une nouvelle dĂ©finition de notre activitĂ© productrice, pour que ceux, qui justifient au travers dâelle lâexploitation dâautrui puissent le Ă©conomique ne peut qualifier ce que nous sommes, elle nâest quâun moyen de parvenir Ă la rĂ©alisation, Ă la production, et Ă la satisfaction de nos besoins et dĂ©sirs humains. Et parmi cela, celui important du rĂȘve absolu» de chacun. Un rĂȘve pour lequel, quand nous ne prenons ni le temps ni les moyens pour le construire, certains dâentre-nous nous vendent Ă sa place des illusions qui nous empĂȘchent de voir que nos rĂȘves sont Le rĂȘve » câest de devenir riche en accumulant de la monnaie, ce que permet lâinstauration des modĂšles simplifiĂ©s de millions de dĂ©cisions indĂ©pendantes, prises par les individus organisĂ©s pour se rĂ©partir des biens rares, et effectuer un choix parmi cette organisation Ă©conomique sâest dĂ©veloppĂ©e grĂące Ă dâinnombrables penseurs, dĂ©couvreurs, entrepreneurs et acteurs qui exerçaient dans des cadres sociopolitiques divers, nous pouvons aisĂ©ment comprendre quâopter pour le modĂšle structurant lâactivitĂ© sociale peut en retour fixer un cadre rigide, des modĂšles Ă©conomiques difficilement rĂ©formables suivant leur Ă©tendue qui interfĂ©reront sur constat ne permet pas dâaffirmer pour autant que lâĂ©conomie crĂ©e le social comme lâidĂ©e sâen est rĂ©pandue, mĂȘme sâil lâimprĂšgne et lâempreigne, parce que nous avons bĂąti des dĂ©pendances structurelles Ă lâĂ©gal de notre parce que nous ne sommes plus au fait des mutations ou Ă©volutions, Ă cause de la diffusion dâun savoir sociologique trop pauvre, face Ă une Ă©volution technologique trop rapide, et dâun encodage relationnel devenu un code complexe dâinitiĂ©s. Mais Ă©galement parce que nous croulons sous une information dantesque, que plus personne nâa le temps ni de lire ni dâĂ©couter dans son ensemble. Parfois cela conduit au paradoxe dâĂ©touffer lâoriginalitĂ© soit dâidĂ©es ou dâĆuvres, pour rester accolĂ© au systĂšme mercantile dans lequel se vend mieux tout ce qui est racoleur, scabreux, polĂ©mique ; et oĂč le voyeurisme a pris le pas sur lâinformation. Ceci, alors que des hommes ont payĂ© un lourd tribut, par leur vie, pour nous en sortir, afin que par lâintelligence » nous soyons aptes Ă la il nous faudra encore certainement quelques siĂšcles de dĂ©veloppement de lâintelligence pour ne plus nous complaire Ă fabriquer des morts, nous dĂ©lecter de lâodeur des cadavres, Ă tel point que nous en faisons un divertissement. Je ne veux pas par-lĂ ignorer la violence, ni croire que câest en lâinterdisant quâelle va disparaĂźtre, mais souligner que si notre Ă©ducation tend encore Ă mettre en exergue nos caractĂšres de charognards, câest que nous avons dĂ» nous Ă©garer quelque conclure cet essai, je ferai un pari sur le futur des progrĂšs de notre intelligence cĂ©rĂ©brale », dâun cerveau relaie transcripteur sensoriel dotĂ© dâune capacitĂ© psychique extraordinaire pour dĂ©velopper une nouvelle crois Ă lâinstar de lâimprimerie qui a marquĂ© une Ă©tape importante dans la diffusion du savoir et de lâinformation, la connaissance des sciences de la physique, par la mĂ©canique quantique, va marquer une autre Ă©tape dans le dĂ©veloppement sociĂ©tal de notre civilisation. Il nous faudra rĂ©examiner beaucoup de nos relations ou les requalifier » sous son auspice, inventer dâautres mots. Si la thĂ©orie du chaos permet dâexploiter la plus petite donnĂ©e Ă©conomique, elle peut Ă©galement nous permettre dâen mesurer son incidence Ă trĂšs long terme et dâenvisager un regard sur notre existence, non plus Ă la seule mesure de nos perceptions sensorielles, mais aussi Ă celle de notre intelligence. NĂ©anmoins, il nous faudra pour cela faire le mĂȘme effort qui a suivi la dĂ©couverte de lâimprimerie, crĂ©er un enseignement gĂ©nĂ©ral Ă destination des adultes tout au long de lâexistence, sans attendre quatre cents ans pour le mettre en Ćuvre. Ceci, pour que la dĂ©marche dâapprendre devienne un plaisir, et non pas une souffrance, comme celle Ă laquelle nous avons rĂ©duit nos relations vitales avec le travail ; surtout parce que le Savoir est lâĂ©lĂ©ment dans lequel baigne notre nature culturelle, et il nous faudra regarder notre existence Ă lâĂ©chelle de lâespĂšce et de sa durĂ©e, tout en sachant chacun prendre au quotidien au travers des mots qui dĂ©finissent lâhumain et son monde, le plaisir que cela nous offre dây ceci commande dâĂȘtre convaincu quâil y a un absolu oĂč tout ce que nous concevons s'Ă©croule, Il est donc nĂ©cessaire de comprendre que quelquâun qui dispose dâune certitude absolue peut se suicider car il est dĂ©jĂ mort. En fait câest un mort vivant qui ne pourra plus rien apporter au monde, hormis sa destruction, car pour vivre il ne peut dĂ©velopper que la mort quâil est devenu commun dâentendre certains hommes dire de leurs prochains, Ils pĂštent plus haut que leur cul ». Un tantinet vulgaire certes, mais efficace comme effet, lâhomme en dĂ©couvrant ses facultĂ©s sâest installĂ© en maĂźtre du monde, illustre produit de grands nombres de Dieux. Ces mĂȘmes facultĂ©s lâont poussĂ© et entraĂźnĂ© en levant les yeux Ă comprendre son monde, et dĂ©crypter en partie lâUnivers qui lâentourait. Bien que Tous nous nâayons pas encore admis que nous en Ă©tions une totale partie en tant quâĂtre dâune hommes ont consacrĂ© leur temps Ă comprendre le fonctionnement de cet Univers, et ils nous ont laissĂ© des traces de leur quĂȘte par un savoir se prĂ©cisant sans telle maniĂšre qu'aujourdâhui ces traces nous donnent les ou des clefs pour concevoir y nous avons mis en Ă©vidence que notre propre existence est rĂ©gie par des RĂšgles », et nous ne pouvons plus les ignorer. Leur validitĂ© nâen demeure pas moins toujours conditionnĂ©e Ă la comprĂ©hension et aux dĂ©finitions, que nous en avons donnĂ© dans la limite imposĂ©e par notre condition humaine. Condition humaine qui nous pousse Ă Ă©laborer un monde que nous croyons maĂźtriser ; pourtant nous percevons assez exactement quâil existe un infini objectif auquel nous nâavons pas accĂšs ; du moins câest comme cela que nous le dispose dâune vision du monde Ă partir de ce quâil a appris, retenu, oubliĂ©, mal compris, ignorĂ©, imaginĂ© et avec cet acquis individuel et Ă la fois partagĂ©, de par notre condition humaine singuliĂšre et semblable ; il nâen est pas un dâentre-nous qui nâest pas refait le monde dans les soirĂ©es entre Ă cela que je me livre, en ayant retenu lâimportance du dĂ©veloppement de lâintelligence. Je vais essayer de vous faire partager ce que jâai pu en comprendre sur la base de quelques lois physiques fondamentales connues Ă aujourdâhui, et que jâai retenu, pour essayer de vous exposer que nous pouvons dĂ©velopper une nouvelle richesse en rĂ©munĂ©rant tout au long de lâexistence les hommes afin dâ essai sera sous-tendu par ces lois. Non comme des lois qui expliquent tout, mais comme des lois aidant Ă plus de comprĂ©hension, relevant de notre regard et de notre technologie, mais qui ne sont pas indĂ©pendantes de notre activitĂ© culturelle vĂ©hiculant un grand nombre de valeurs mystiques et relatives, issue de nos reprĂ©sentations nĂ©es du conflit conventionnel permanent de lâinnĂ© et du culturel. Elles offrent le caractĂšre de crĂ©dibilitĂ© de valeurs scientifiques rĂ©futables, car elles sont traduites dans un langage mathĂ©matique universel. Langage qui sâoffre aujourdâhui Ă la critique et qui donne lieu Ă des dĂ©bats philosophiques. Langage qui lorsquâil est dĂ©cryptĂ©, par lâhomme mĂ©decine Navajo, le Hopi, le moine TibĂ©tain ou lâAborigĂšne australien, les introduit dans un paysage de connaissances ancestrales que nous avons estimĂ© barbaresques par ostracisme considĂšre donc, que les Forces ou Ă©nergies ou flux» qui composent lâUnivers, combinent toutes choses. Toutes choses de ce que nous sommes, et que nous assemblons et non pas crĂ©ons qui laisse sous entendre que nous partons de rien, mĂȘme si nous ne pouvons encore en dĂ©finir certaines, et peut-ĂȘtre ne jamais accĂ©der Ă lâ consĂ©quence, en observant les lois que nous connaissons de cet univers, il est plus aisĂ© de comprendre ce que nous sommes et faisons. Cet effort intellectuel consiste Ă sâobserver, comme Ă©tant ces forces, Ă©tant dans ces forces, et Ă©tant le produit de ces forces, et non soumis Ă ces forces. Dâune autre maniĂšre, si nous considĂ©rons que lâunivers est la circulation dâune information depuis son origine, nous sommes cette information dans lâinformation, et produisant de lâinformation, et non pas seulement soumis Ă lâ nuance est fondamentale car elle modifie lâimage, la reprĂ©sentation que nous pouvons avoir de notre monde cĂ©rĂ©bral » Ă partir du monde sensible ». Parce que, au lieu dây ĂȘtre soumis, qui peut ĂȘtre interprĂ©tĂ© comme une condition irrĂ©versible, nous serions sous condition de la connaissance de lâorganisation de ces forces, de cette information. Nous serions un Ătre conditionnel », conditionnĂ© Ă ce quâil est capable dâen unes de ces lois sont 1° - le deuxiĂšme principe de la thermodynamique qui postule que tout va de l'ordre vers le dĂ©sordre, et la thĂ©orie du chaos qui indique quâil est ordonnĂ© par - le principe de lâincertitude dâHeisenberg, la relativitĂ© GĂ©nĂ©rale dâEinstein qui exclut lâincertitude.3° - lâĂ©tat quantique de notre Univers en dilatation qui inclut lâincertitude ; rĂ©alitĂ© dâune information ou produit dâun imaginaire humain. Sujet qui est toujours dâactualitĂ© avec La thĂ©orie des super cordes » ou la supra gravitĂ© » loi potentielle dâunification qui fait toujours lâobjet dâĂ©tudes ayant nĂ©cessitĂ© la construction dâaccĂ©lĂ©rateurs de particules.Le paradoxe de Schrödinger[1] mettant en Ă©vidence une frontiĂšre au passage direct entre la mĂ©canique quantique et la matiĂšre atomiste et la physique classique, ainsi que la matiĂšre organique qui nous compose comment des informations quantiques peuvent ĂȘtre quantifiĂ©es et donner la matiĂšre ? PhĂ©nomĂšne de dĂ©cohĂ©rence»[2] , ou, pour nous, don dâubiquitĂ©, pouvoir vivre deux histoires de vie qui nâinterfĂšrent pas.Le noir cosmologique, dont les chercheurs sont de plus en plus convaincu quâil est constituĂ© de quelque chose, Les Wimps».[3]Je laisse volontairement de cĂŽtĂ© les ondes Ă©lectromagnĂ©tiques[4] produit de deux thĂ©ories initialement distinctes que Maxwell a unifiĂ© pour fixer les bases de lâĂ©lectromagnĂ©tisme. Sa thĂ©orie a permit dâĂ©lucider la nature des ondes radio, de la lumiĂšre, des rayons X et nous ne pouvons pas sĂ©rieusement penser ĂȘtre tenu en dehors que lâexistence de ces lois. La longueur dâondes de notre regard nous donne accĂšs Ă un monde diffĂ©rant des ultras violet ou des rayons en tenant compte arbitrairement de ces lois et en observant que certains de nos comportements sây conforment, que je pense que nous sommes Ă la fois des ĂȘtres analyseurs et synthĂ©tiseurs des dĂ©codeurs et des encodeurs, individualistes et Etres connaissant la difficultĂ© dâaccĂ©der Ă la synthĂšse finale », Ă la comprĂ©hension finale », aux raisons de cet univers » dont nous mesurons et cherchons les limites. Tout cela, comme nous nous livrons Ă la recherche dâune loi dâunification citĂ©e ci-dessus pour comprendre notre est donc une Ă©vidence pour moi de considĂ©rer la distinction que nous faisons entre le naturel et le culturel, comme purement conventionnelle, car cela rĂ©sulte dâune sensation Ă considĂ©rer que nos innovations donnant lieu Ă des rĂ©alisation Ă©chapperaient Ă la nature », Ă ses forces », parce que nous rĂ©aliserions des produits qui supposent dâassocier, dâassembler ou de combiner une quantitĂ© innombrable de connaissances de dĂ©couvertes de savoir faire que nous nous transmettons. Purement conventionnelle, car il nây a pas dĂ©cohĂ©rence » entre les deux car cette opposition ne donne pas une valeur nulle, mĂȘme si nous nâavons pas dĂ©fini une loi dâ pouvons le comprendre par la capacitĂ© combinatoire de lâintelligence associative dont notre cerveau est dotĂ©. Et lorsque celui-ci reçoit les informations envoyĂ©es par les cellules de notre organisme qui ont enregistrĂ© une ou des perturbations de son environnement, notre structure cĂ©rĂ©brale commande alors les comportements qui satisferont Ă cette ou ces perturbations. Câest ainsi que nous donnons corps Ă toutes choses matĂ©rielles ou abstraites par projection de la pensĂ©e symbolique, lorsque les Ă©vĂ©nements favorisent leurs Ă©mergences en perturbant notre organisme. Dans ce prolongement ayant conscience de la limite de notre regard, et ayant Ă©galement par des moyens techniques mis en Ă©vidence certaines lois, nous ne pouvons pas contester quelles ne soient pas issus dâautres chose que de la perturbation de notre organisme relayĂ© par le cerveau. Y compris des perturbations liĂ©es Ă des Ă©vĂ©nements environnementaux dont nous ignorons tout. Ce culturel que nous dĂ©finissons, appartient donc entiĂšrement au naturel, parce quâil se trouve dans lâunivers, et que celui-ci le constitue, et quâil est bien le produit dâune structure innĂ© qui favorise lâaptitude Ă lâ faisons cette distinction parce que notre regard, par sa structure sa forme et sa nature, est limitĂ©, et donne au cerveau les images de notre monde sensible[5] que celui-ci redistribuera Ă tout lâ de lĂ nos concepts, induit par notre reprĂ©sentation du monde, considĂšrent comme naturel ce qui est en lâĂ©tat matĂ©riel dans la nature, ou reconnu hĂ©rĂ©ditairement transmissible, ou se manifestant par des rĂ©gularitĂ©s observables Ă notre Ă©chelle la vie, la mort, la pensĂ©e, se nourrir etc.âŠ.Cela relĂšve du fait que, pour exister nous sommes exemptĂ©s, dispensĂ©s de connaĂźtre, de comprendre et dâĂ©tablir des repĂšres. Des repĂšres de liens de comprĂ©hension normalisateurs, rĂ©gulateurs de lâĂ©mergence dâun Homme qui se dit CrĂ©ateur. Pour exister nous nâavons pas besoin de comprendre notre monde sensible, câest lâĂ©tat que nous qualifions Ă tort ou raison dâanimalier». Ăgalement peut-ĂȘtre cela relĂšve-t-il aussi du fait dâune approche eschatologique de lâHomme créé,[6] ou Ă notre ignorance due Ă nos difficultĂ©s Ă retrouver, ou Ă vouloir chercher le rĂ©el » dans lâimage que nous en faut ĂȘtre convaincu pour penser autrement que lâUnivers permet toute chose que nous inventons. Telle la voiture qui ne nous paraĂźt pas issue de lâunivers parce que nous disons que nous la crĂ©ons, et ce nâest pas parce que nous rĂ©alisons de tels assemblages quâils ne sont pas naturels, car tout Ă©vĂ©nement est dĂ©terminĂ© par ce qui lâa est de constater que lâunivers autorise des formes bien plus complexes, telle que nous les Humains ou un flocon de neige, dont la structure complexe nâapparaĂźt pas Ă notre regard. Lâunivers nâa nul besoin de voiture pour se dĂ©placer, cet outil est inhĂ©rent Ă nos contingences humaines planĂ©taires. Avec une force de gravitation plus faible nous nous dĂ©placerions sans vĂ©hicule, oĂč bon il nous semble. Dans de telles conditions, nous nâaurions pas créé de vĂ©hicules, les oiseaux nâauraient pas besoin dâailes, et notre monde serait tout autre, comme il le serait Ă©galement avec une gravitation plus forte, mais dans ces conditions nous aurions rĂ©alisĂ© peut-ĂȘtre dâautres par nous, lâUnivers sous-tend ces crĂ©ations puisque nous la rĂ©alisons, et quâelle est le produit dâun empilement dâĂ©vĂ©nements successifs. Pour autant nous ne naĂźtrons pas au volant dâune voiture, de la mĂȘme maniĂšre que notre planĂšte nâest pas apparue sĂ»r, en lâĂ©tat cette voiture nâest pas codifiĂ©e dans nos gĂšnes. Elle lâest par contre dans la capacitĂ© combinatoire cĂ©rĂ©brale projective qui va associer innĂ© et acquis. Elle se transmet par lâapprentissage, et par lâinformation que nous nous enseignons les uns aux autres pour la concevoir, et dĂ©termine dâautres Ă©vĂ©nements. Ainsi Ă un moment donnĂ© les comportements culturels vont enregistrer que cet acquis est une exigence vitale pour la survie de son organisme innĂ© ; câest tout notre discours sur la telle maniĂšre que si nous regardons le culturel comme autant dâessais Câest Ă dire que chacune de nos rĂ©alisations, dĂ©pendantes de nos capacitĂ©s crĂ©atrices produit de lâunivers et non pas de notre cerveau, ne durera quâen fonction de son aptitude Ă subsister, comme constante dâun dĂ©veloppement, dans un systĂšme dâĂ©volution universel dans lequel la culturalitĂ© favorise et facilite lâadaptation, lâacculturation, la rĂ©gression, la progression, ou son suicide aptitude Ă une structure dâengendrĂ© son autodestruction.Alors le culturel peut ĂȘtre regardĂ© comme un Ă©vĂ©nement en soi. ĂvĂ©nement en soi que transmet lâUnivers » pour assurer la survie de toutes les espĂšces dans leur ensemble Ă©volutif, Ă lâexemple du monde vĂ©gĂ©tal, et dont nous ne devons pas ĂȘtre les dĂ©positaires Ă©vĂ©nement en soi, jâentends toute lâactivitĂ© qualifiĂ©e de culturelle qui constitue dans son ensemble un Ă©vĂ©nement global. ĂvĂ©nement capable dâinteraction au mĂȘme titre que lâactivitĂ© mĂ©tĂ©orologique et lâactivitĂ© tectonique sont des Ă©vĂ©nements. Lâutilisation du terme culturel devra toujours ĂȘtre interprĂ©tĂ©e et comprise dans ce sens.Dans cette perspective, il y a des chances pour que certains de ces essais sâinscrivent dans nos gĂšnes ou dans le substratum qui est Ă leur origine, ou leur quantum quantique. Ceci si, lâenvironnement Ă©volutif, le mouvement, la nature, Dieu, la conscience primordiale, lâindĂ©finissable, lâordre sous-jacent, la mĂ©connaissance, et quel que soit le nom, que nous lui donnons par nos dĂ©finitions suivant nos cultures, le retiennent comme une permanence nĂ©cessaire Ă notre processus sâapplique Ă©galement Ă nos schĂ©mas abstraits. Un chercheur amĂ©ricain a soumis des mouches drosophiles Ă de rĂ©guliĂšres disparitions de leurs Ćufs. Les mouches ainsi traitĂ©es produisent des Ćufs plus rĂ©sistants. Dans nos schĂ©mas abstraits soumis aux tensions stress de lâexistence exobiotopique » extĂ©rieure Ă son biotope naturel originel, rien ne nous garanti que notre descendance ne deviendra pas plus rĂ©sistante ou plus fragile. De la mĂȘme maniĂšre notre Ă©volution technologique nous ayant permis dâĂ©chapper aux rythmes biologiques, en fonction de la durĂ©e de cette Ă©chappatoire une incidence se jâai pris lâexemple choquant de la voiture, câest pour souligner que dans notre logique humaine cela est inconcevable quâune innovation culturelle puisse affecter le biologique. Câest lĂ une partie de notre problĂšme. Nous regardons lâunivers avec la logique humaine culturalisĂ©e,[7] et nous ne savons pas sâil peut en ĂȘtre ?Parce quâĂ lâĂ©chelle de la durĂ©e de notre vie humaine, il nous est difficile de percevoir ou dâadmettre notre dĂ©veloppement intellectuel comme une Ă©volution que nous vivons en direct, nous devons lĂ , faire le distinguo important entre, ĂȘtre lâacteur participatif dâun potentiel en Ă©mergence et penser ou ĂȘtre lâauteur de sa source En consĂ©quence, sâil nây avait pas de corrĂ©lation entre des Ă©vĂ©nements, soutenir que le culturel » est ce qui sâajoute Ă la nature, serait avoir trouvĂ© le premier cas dâune non corrĂ©lation dans lâunivers. NĂ©anmoins, si notre culturel » nâimprĂšgne pas toujours hĂ©rĂ©ditairement et systĂ©matiquement nos gĂšnes, il se reproduit par lâapprentissage[8] comme une rĂ©gularitĂ© dynamique qui affecte notre Ă©volution biologique et psychique psychosomatique suscitant cet Ă©vĂ©nement. Lâorgane ayant en charge la codification de notre monde sensible culturel », est le certaine maniĂšre, nos sens enregistrent les Ă©vĂ©nements extĂ©rieurs qui conduisent Ă la recherche de toute nourriture » au sens dâinformations aussi nĂ©cessaire pour permettre au cerveau de concevoir ce dont nous avons besoins, en rĂ©ponse aux informations intĂ©rieures qui commande Ă notre organisme de distinction conventionnelle du culturel sâappuie aussi sur le qualificatif dâapprentissage donnĂ© Ă une fonction. Cette fonction qui consiste Ă se communiquer, sâenseigner lâusage de nos aptitudes[9] stimulĂ©es par les Ă©vĂ©nements environnementaux. Lâinverse signifierait que de maniĂšre instinctive nous portions tout notre futur, avenir » dĂ©jĂ Ă©laborĂ©, dĂ©terminĂ© dans notre innĂ© futur lâest certainement, mais sous une autre image, une idĂ©e autre que notre vision de la destinĂ© soumise aux erreurs de la dĂ©finition de nos lâest, mais cachĂ© pour notre comprĂ©hension. Nous devons pour le comprendre, le dĂ©crypter, rĂ©unir et assembler les piĂšces dĂ©tachĂ©es de la connaissance et du savoir » que nous en prenons conscience au fur et Ă mesure en sĂ©lectionnant les piĂšces de ce puzzle quâest la vie, mĂȘme si la piĂšce théùtrale finale est jouĂ©e la mort.Ce futur, nous le portons dans la capacitĂ© de modĂ©lisation du plus petit Ă©lĂ©ment infinitĂ©simal qui, associĂ© Ă dâautres donnera la perception de lâimage future, mĂȘme si nous savons que le futur nâest quâune capacitĂ© de projection cĂ©rĂ©brale. Futur dont la rĂ©alitĂ© repose sur la perception du temps en fonction de la vitesse Ă laquelle tout se dĂ©place, suivant trois flĂšches, celle thermodynamique sens dans lequel lâentropie croĂźt, psychologique direction suivant laquelle nous sentons le temps passer, cosmologique direction du sens dans lequel lâunivers se dilate. Une brĂšve histoire du temps. Ă 197.Soutenir que le culturel » sâajoute au naturel, câest comme si nous considĂ©rions quâĂ©taient culturelles toutes les associations auxquelles donnent corps les particules Ă©lĂ©mentaires» en mĂ©canique quantique. Ne comprenant pas la loi dâunifications qui les unis, nous dirions quelles sâajoutent aux autres de cet assemblage, notre planĂšte serait donc du culturel », par consĂ©quent, nous serions donc du culturel » produisant du culturel », ou plus justement de lâinformation produisant de lâinformation. Une information qui se diffĂ©rencie par des frĂ©quences ondulatoires. Ainsi, si notre vision se faisait au rayon X, nous ne serions que des os sâarticulant activement, et pourtant la matiĂšre organique qui les enrobe est bien existante. Dirions nous alors que les perceptions du squelette, qui ressent les consĂ©quences de la matiĂšre organique qui lâenrobe mais quâil ne voit pas tout en la supputant, sont culturelles. Par exemple une vision squelettique qui constaterait la perte de son bras, conduirait inĂ©vitablement Ă la mort de lâĂȘtre vivant squelettique, puisque ce dernier ignorerait tout de lâhĂ©morragie due Ă la circulation sanguine qui se serait produite entraĂźnant le dĂ©cĂšs du squelette. Nous pouvons donc comprendre quâau-delĂ de notre perception actuelle, notre organisme puisse contenir des informations qui ne nous sont pas perceptible, mais que nous supputons en essayant dans donner une dĂ©finition produite par ce que nous sommes, qui inclus forcĂ©ment celles que nous ignorons mais qui nous affecte, et constitue lâincertitude et lâalĂ©atoire de lâ plus, si les particules » nâont pas besoin de bibliothĂšque dâapprentissage pour crĂ©er des galaxies, peut ĂȘtre quâun jour, dans notre Ă©volution, nous pourrions Ă©galement nous en il nâest pas inconcevable de soutenir quâune partie de lâactivitĂ© humaine puisse se qualifier de culturelle, pourvue que cette dĂ©finition ne conduise pas Ă une dissociation de lâĂȘtre, et que nous nâen faisions pas une aptitude dĂ©ifiĂ©, alors quâelle nâa quâune origine animale, voir question reste ouverte en disant que le culturel est un Ă©vĂ©nement en soi ». Il me paraĂźt Ă©vident, et câest lĂ ma rĂ©ponse, que nous ne couvrirons pas la planĂšte de bĂ©ton, de voitures, et de produits toxiques. Cela, Ă cause dâune mĂ©canique qui nous Ă©chappe et par laquelle se manifestent toujours des ĂȘtres plus intelligents » que dâautres, pour jalonner leur Ă©poque[10]. LâĂ©poque des scientifiques de toutes nations est proche, et ils ne resteront pas Ă©ternellement alarmistes naturellement je ne pense pas Ă ceux qui suivent leur maĂźtre financier ou idĂ©ologique. Ce nâest pas lĂ la marque du hasard, mais celle dâune espĂšce dont l Ă©vĂ©nement culturel gĂ©nĂšre ses propres Ă©lĂ©ments devant concourir Ă son Ă©volution, parce que toute cellule qui prolifĂšre produit des dĂ©chets qui entraĂźnent sa destruction, si elle ne reçoit rien de lâextĂ©rieur ou nâest pas capable de se tout Ă©vĂ©nement, le culturel », Ă©vĂ©nement en soi, dĂ©terminera le sien, et Ă la richesse matĂ©rielle en succĂ©dera une autre. Il ne peut en ĂȘtre quâainsi en raison du deuxiĂšme principe de la thermodynamique appliquĂ© Ă notre systĂšme. Un systĂšme Ă©volue de maniĂšre irrĂ©versible, quel que soit son Ă©tat initial, quand il tend toujours vers le mĂȘme Ă©tat final unique, et fixe une direction dâĂ©volution qui ne peut ĂȘtre inversĂ©e sans intervention extĂ©rieure au exemple, un corps chaud mis au contact dâun corps froid la chaleur ira spontanĂ©ment vers le corps froid de maniĂšre irrĂ©versible jusquâĂ lâ peut-ĂȘtre que ce successeur du Cro-Magnon nâaura pas besoin de bibliothĂšque, sous rĂ©serve que son prĂ©dĂ©cesseur ait su gĂ©rer lâabondance et son dĂ©veloppement, ait su gĂ©rer lâĂ©vĂ©nement Culturel, car câest lĂ , une de nos limites conclusion, la notion de culturel ne sert quâĂ distinguer les innovations humaines, et ne prĂ©suppose pas de leur innocuitĂ© Ă interfĂ©rer sur lâespĂšce, et doit aprĂšs comprĂ©hension ĂȘtre replacĂ© dans son culturel » nâest donc pas sĂ©parĂ© des lois fondamentales qui nous rĂ©gissent, et si toutes nos innovations se concrĂ©tisent, câest quâelles existent en tant que Forces, Flux, Ănergies ou informations» [11].Partant de lĂ , tout ce que nous imaginons existe en potentialitĂ© dans le temps, en puissance dâĂȘtre, dans le dĂ©roulement de lâexpansion. Cependant, la forme sous laquelle nous concevons aujourdâhui nos innovations, nâest pas obligatoirement celle qui sera, car nous sommes limitĂ©s en tant quâĂȘtre par notre matĂ©rialitĂ© prĂ©sente sâexprimant dans des langages rĂ©ducteurs. MatĂ©rialitĂ© prĂ©sente en constant devenir le devenir / lâĂ©volutionnisme.Lâinverse, pour nous, signifierait la capacitĂ© de crĂ©er ou maĂźtriser des Forces, Flux Ănergies ou informations ». Elles situeraient lâHomme au-dessus de lâUnivers lâobsession de la toute puissance. Un Dieu, un supra humain, un Ătre nâexistant que par sa pensĂ©e », ou le qualificatif que chacun voudra lui la seule possibilitĂ© dâimaginer ce concept signifie quâil existe en potentialitĂ© dâĂȘtre, mais pas forcĂ©ment sous la dĂ©finition que nous en dâĂȘtre, puisque nous lâimaginons, sous-tendu par une rĂ©flexion construite ou non, et issu en tout Ă©tat de cause de ce que nous appelons lâindĂ©finissable[12].Ceci dans un raisonnement infini, oĂč il est nĂ©cessaire dâaccepter des postulats invĂ©rifiables, avant dâen arriver Ă des exactitudes expĂ©rimentales rĂ©futables. Je dis cela, parce quâissu du Big-bang, ou dâun quelconque dieu nous sommes le rĂ©sultat des sa source originelle ».Toute notre activitĂ© cĂ©rĂ©brale, que nous observons, par la psychologique, la psychanalyse[13], et essayons dâen comprendre les mĂ©canismes par les neurosciences, bĂątit les raisonnements dont la preuve de leur exactitude ne dĂ©pend que de la raison ». Une raison qui nous fait considĂ©rer la vĂ©ritĂ© comme la non-contradiction dâun systĂšme de jugement, comme la contradiction des opinions, comme la rĂ©gression Ă lâinfini prouve ta preuve », comme postulat invĂ©rifiable, comme un cercle vicieux » le diâallĂȘlĂŽn Les uns par les autres, comme opinion relative, comme vĂ©ritĂ© expĂ©rimentale, comme hermĂ©neutique sens cachĂ©. Toutes formes de vĂ©ritĂ© que nous utilisons Ă notre convenance pour justifier nos toutes nos innovations comme nombre dâessais ne favorisent pas le dĂ©veloppement de lâespĂšce pour autant. Et quelles que soient les Ă©chelles de valeur que nous leur appliquons, et leur appliquerons, nous nâavons, et nâaurons que la possibilitĂ© dâun choix restreint, choix restreint dans toutes les innovations Culturelles » que lâUnivers sous-tend par lâĂ©volution, ou la CrĂ©ation pour les restreint, puisque celui-ci est dĂ©pendant de la rĂ©duction de la mĂ©connaissance de toutes les associations possibles dâinformations que nous ne serons peut-ĂȘtre jamais en mesure de connaĂźtre sur notre planĂšte. Bien que nous puissions le comprendre, et Ă©valuer certaines de ces associations grĂące au travail des scientifiques, et de ceux qui dans les sociĂ©tĂ©s ancestrales avaient compris la mĂȘme chose sans disposer des moyens dâune vĂ©rification techniciste. Toutefois, ce travail des scientifiques nâest quâune mesure, elle aussi limitĂ©e par notre psychique, notre technologie et lâinfini ».Einstein a dit La nature ne nous montre que la queue du lion. Mais il ne fait aucun doute pour moi que le lion Ă qui elle appartient est au bout, bien quâil ne puisse se montrer tout dâune piĂšce Ă cause de son Ă©norme taille ». [14] Si bien, que dâune certaine maniĂšre notre existence se dĂ©roule par chaque fois que nous dĂ©finissons un concept pour expliquer lâindĂ©finissable. Ce concept dĂ©fini entre dans ce que jâappelle lâindĂ©terminĂ©. Un indĂ©terminĂ© que nous parvenons Ă prĂ©ciser par des thĂ©ories, lesquelles entrent Ă leur tour dans les divers degrĂ©s de lâincertitude. Cette incertitude a pour principe, quâaprĂšs la conceptualisation dâune thĂ©orie, nous ne pouvons ĂȘtre assurĂ©s que ses Ă©lĂ©ments dans le temps » trouvent la place que nous leur avons imaginĂ©e. Ăgalement, quâils resteront ce quâils sont, Ă la place oĂč nous les avons mis ou du seul fait que lâUnivers est en mouvement, et si ceci pouvait Ă©chapper au regard du primitif, cela ne peut plus lâĂȘtre au sommes dans ce mouvement et en mouvement, et durant ce laps de temps dâautres Ă©vĂ©nements interviennent ou se modifient. Ces Ă©vĂ©nements se produisent entre autres dans une logique issue du deuxiĂšme principe de la savoir, qu'il impose que tout va de lâordre vers le dĂ©sordre et se rĂ© associe dans un nouvel ordre, et ainsi de suite. Le Tout, dans un mouvement en dilatation comme caractĂ©ristique dâune dans lequel, les chercheurs espĂ©rer dĂ©couvrir un ordre sous-jacent, ou imaginer que notre Big-bang ne sera pas unique ou encore toutes les autres hypothĂšses Ă©mises par les scientifiques concernant lâunivers plat, courbe, chiffonnĂ©, bulle, lâexistence supposĂ©e de sept autres forces, lâĂ©tude des trous noirs etc. sources revues Science et Vie, et en arriver finalement et heureusement Ă une interrogation philosophique et si notre univers nâĂ©tait que le produit de notre structure cĂ©rĂ©brale qui relie toutes nos indĂ©finissable, jâentends la question Pourquoi ? ». Avec comme rĂ©ponse je ne sais pas ! ».Par indĂ©terminĂ©, jâentends imaginer une rĂ©ponse Ă la incertitude, jâentends possĂ©der une rĂ©ponse temporairement exemple supposons que jâignore Ă quelle tempĂ©rature lâeau bout ? Je me pose la question pourquoi lâeau bout ? Jâimagine mesurer lâĂ©bullition. Je vĂ©rifie quâelle bout Ă 100°à 76 millibars, Ă plus de 76 millibars elle bout Ă plus de 100°, Ă moins de 76 millibars elle bout Ă moins de 100°.Dans cet exemple lâĂ©lĂ©ment incertain est la pression. Si je nâen avais pas connaissance, en affirmant que lâeau bout Ă 100° jâaurais Ă©tabli une fausse rĂ©gularitĂ©, car il y a des situations oĂč cela est inexact, qui aurait gĂ©nĂ©rĂ© de faux schĂ©mas aux effets postulat sera vrai tant que les Ă©lĂ©ments qui le constituent seront stables. Dans notre mode de fonctionnement, cette mĂȘme incertitude nous permet dâespĂ©rer. DâespĂ©rer trouver une rĂ©alisation aux concepts que nous Ă©laborons, lorsque nous parviendrons Ă en dĂ©finir les dĂ©terminants qui les composent. Leur dĂ©finition rĂ©duira lâindĂ©termination de ces concepts, dans la limite de ce qui nous apparaĂźt toujours monde est un mouvement. Un mouvement qui va du dĂ©sordre Ă lâordre, et de lâordre au dĂ©sordre. De lâindĂ©finissable vers lâindĂ©terminĂ©, puis vers lâincertitude avec un certain degrĂ© de stabilitĂ© cyclique. Aussi, en retour, lâincertitude est produite par lâindĂ©terminĂ© qui est issu de lâindĂ©finissable. De sorte que chaque innovation est vouĂ©e Ă se rĂ©organiser, et chaque rĂ©ponse fait apparaĂźtre une question qui oblige Ă se plus, ce mouvement est Ă la base de toutes nos difficultĂ©s pour saisir notre monde sensible. Il nous est alors indispensable pour apprĂ©hender ce mouvement, dâĂ©laborer des repĂšres et dâĂ©tablir un ordre humain» que nous voulons stable, gĂ©nĂ©rant des Ă©chelles de valeur de comprĂ©hension, mais il ne peut ĂȘtre que des jalons ouvrant de nouvelles voies. Lâexemple le plus probant est lâinterprĂ©tation de nos rĂȘves polluĂ©s par nos dĂ©finitions des Ă©vĂ©nements, oĂč ce quâils racontent nâest pas le produit de lâimage que nous en percevons au conclusion, Les forces, flux Ă©nergies ou informations», qui composent lâUnivers et Nous-mĂȘmes, ne valent que dans la mesure oĂč il y a un mouvement. C'est donc ce mouvement qui paraĂźt ĂȘtre la clĂ© de toute crĂ©ation et vie de systĂšmes simples et dâhommes pour comprendre notre monde ont dĂ©veloppĂ© des thĂ©ories philosophiques. Certains ont mis lâaccent sur lâexpĂ©rience le Positivisme instrumental ; le Positivisme dâAuguste Conte ;Dâautres sur lâobjet lâEtre est, le NĂ©ant nâest pas » ParmĂ©nide ; Le RĂ©alisme DĂ©mocrite, Newton ;Les Empiristes, Locke, Hume ;Le RĂ©alisme faible et fort ;Le Dualisme Descartes ;Le Monisme ;Le MatĂ©rialisme Epicure, Holbach, la Mettrie, Hegel, Marx ;Le Spiritualisme Leibniz ;Dâautre encore sur la relation Tout sâĂ©coule » HĂ©raclite ;Le Solipsisme Je pense dont je suis » ;LâidĂ©alisme Platon ;Les rationalistes Kant ;Puis dâautres sur le Tout », lâHolisme David Bohan, Ervin Laszlo.Pour beaucoup dâentre eux lâunivers quantique nâexistait pas, et ils ne pouvaient imaginer que la matiĂšre et lâesprit Ă©taient composĂ©s des mĂȘmes Forces, Flux, Ănergies et Informations. » Ils ne pouvaient tenir compte du fait que la rĂ©alitĂ© matĂ©rielle, et la rĂ©alitĂ© spirituelle pouvaient ĂȘtre dĂ©finies par les mĂȘmes forces, Ă©nergie, flux, informations.Ainsi, ils nâavaient raison que dans leurs certitudes, qualifiant de substance, selon le cas, ce que nous appelons aujourdâhui particules », qui en sâassociant vĂ©hiculent aussi bien la lumiĂšre que notre propre particules, entre cent et deux cents de masse faible, dâautres plus massive, en nombre infini, possĂšdent une valeur. Elles pourraient tout aussi bien dĂ©rouler leur existence dans lâunivers, indĂ©pendamment les unes des autres, si un ordre sous-jacent ou une interaction ne leur permettait pas de sâassocier. Je pense, au-delĂ de la recherche sur les thĂ©ories dâunification, au mystĂšre du Noir qui enveloppe lâUnivers, et qui demeure une Ă©nigme du nous est devenu commun de voir des chercheurs se pencher sur le fonctionnement de lâunivers. Ces chercheurs disent quâil est apparu dâun Tout, le Big-bang, et nous ne le contestons plus, sauf les nihilistes, mĂȘme si cela ne rĂ©pond pas Ă toutes nos questions, et que nous sachions quâil y a un seuil oĂč toutes sâ questions ! Nous nâavons que cela dĂšs notre naissance. Une particuliĂšrement rĂ©currente sommes-nous des individualistes ou des collectivistes » ? Lorsque nous nous observons, la controverse est vive entre les tenants de lâindividualisme, et les collectivistes.[15]En consĂ©quence, nous nous soumettons toujours Ă cet antagonisme organisĂ© autour de ces concepts, de cette dualitĂ©, nous imposant toujours de devoir choisir entre lâun ou lâ peu bien sĂ»r, que nous nous efforcions dâobserver ce que nous connaissons de lâUnivers, nous y observons alors schĂ©matiquement, que la valeur gĂ©nĂ©rique de chaque particule ne vaut que par ses propriĂ©tĂ©s lui donnant sa capacitĂ© Ă sâassocier Ă dâautres, et ainsi donner corps Ă des mĂȘme pour nous, lâindividualisme n'a de valeur que par sa personnalisation lui donnant sa capacitĂ© associative interactive, sa capacitĂ© Ă sâassocier dans un collectivisme fractal» [16] globalisation qui favorise le dĂ©veloppement individuel pour sâen enrichir. Nous ne serions, ni individualiste ni collectiviste, mais une structure interactive»,[17] dont lâholisme est la plus proche et insuffisante dĂ©finition, car il peut inclure lâanalyse individuelle. Objectivement, tous nos comportements vont en direction des autres, sont induits par les autres, car notre valeur nâa de valeur que si elle peut ĂȘtre observĂ©e, reconnue, et ainsi trouver son espace ou un espace temporaire dans une lâexistence de la communautĂ© de ses semblables qui fait de chaque homme un Ătre conscient.[18] Il nâen dĂ©coule pas pour autant, comme Ă©tant une Ă©vidence, la conscience de lâ structure interactive » nous poussant Ă lâassociation, chacun dâentre nous la possĂšde comme si nous Ă©tions enveloppĂ©es dedans, Ă lâexemple du Noir cosmologique enveloppant notre ce serait soutenir que seul les organes de notre corps sont essentiels, tandis que dâautres diraient que câest lâenveloppe humaine qui lâest. Les organes, aussi essentiel quâils soient, sans une structure de liaison, ne donneraient pas plus un Homme que des bouts de ferrailles mises cĂŽtes Ă cĂŽtes donneraient une voiture. Souvent il est difficile de percevoir les Ă©vidences les plus que nous sommes, n'aurait de valeur que par la structure interactive» qui permet lâassociation serait-ce pour lâhomme en voie dâhominisation Le Culturel Ă©vĂ©nement en soi» ? Lâabsence dâune thĂ©orisation dâune loi gĂ©nĂ©rale sur cette association interactive » conforte lâidĂ©e quâelle nâexiste pas. De mĂȘme que celles thĂ©orisĂ©es durant plus de deux mille ans sur Le Noir du cosmos, exceptĂ©, si nous considĂ©rons que lâassociation est seulement motivĂ©e par la procrĂ©ation. Toutefois, dans ce but ci, nous nâavons pas besoin dâune structure cĂ©rĂ©brale aussi Ă©laborĂ©, hormis, si elle doit concourir Ă lâĂ©laboration dâun Etre nouveau »âŠnon par prĂ©destination mais par synergie se regarder sous un aspect mĂ©caniste froisse notre ego, tant notre affect est puissant. Pourtant, si nous partons du principe que lâenveloppe de notre corps mĂ©rite les soins que nous lui apportons, sa fonction essentielle rĂ©side dans sa facultĂ© dâassocier lâensemble des informations quâelle reçoit analyser et synthĂ©tiser, dĂ©coder et dans quel but ?ProcrĂ©er certainement !Mais aussi, repousser la mort !Deux motivations qui en gĂ©nĂšrent une troisiĂšme que nous nous refusons Ă vouloir regarder, celle de tout organisme apte Ă produire sa capacitĂ© rĂ©gulatrice, qui nâest pas seulement la chaĂźne la mort sur une planĂšte oĂč nous nâavons aucune chance de vieillir paisiblement, au milieu des risques reprĂ©sentĂ©s par les autres espĂšces ou dâautres organismes viral microbien etc.. Des risques que reprĂ©sente aussi la vie de notre espace terrestre glaciation, rĂ©chauffement, dĂ©rive des continents, percussion dâastĂ©roĂŻdes, risques mĂ©tĂ©orologiques, et des risques Culturels accident et organisation de la violence.Lâapprentissage pour chacun dâeux permet d'accĂ©der aux choix utiles, reculer lâĂ©chĂ©ance mortelle dâun ultime but Ă©nigmatique, la apprentissage nâayant pas que des adeptes. En particulier les obscurantistes dâhier et de toujours sâopposant Ă toutes les Ă©tudes de la connaissance de notre crĂ©ation et Ă©volution, par crainte des rĂ©ponses scientifiques. Heureusement, pour des chercheurs la science nâest ni une Ă©thique ni une religion ni une affaire dâargent, mais un questionnement. Une recherche demandant une haute conscience Humaine, nĂ©cessitant des prĂ©cautions quand elle nous concerne, et nous pouvons la rĂ©sumer en une question Pourquoi ?Jâai utilisĂ© pour rĂ©aliser cet essai les ouvrages des auteurs qui ont eu la volontĂ© de vulgariser leur savoir, pour apprendre ce que nâa pas pu mâapporter lâenseignement gĂ©nĂ©ral. Mais il mâa donnĂ© les moyen de comprendre les choses complexes que dâautres Ă©crivaient dont la liste figure en bibliographie, et particuliĂšrement James Gleick journaliste scientifique au New York Times expose dans son ouvrage LA THEORIE DU CHAOS » lâorigine de cette thĂ©orie, les divers aspects quâelle ouvre Ă la connaissance classique du monde, les explications de bien des phĂ©nomĂšnes naturels qui Ă©taient demeurĂ©s totalement incomprĂ©hensibles, et qui se sont rĂ©vĂ©lĂ©s gouvernĂ©s par un ordre dynamique cycles.Werner Heisenberg physicien dans LA PARTIE ET LE TOUT » apporte des idĂ©es essentielles Ă la thĂ©orie de la mĂ©canique quantique[19], en particulier ses fameuses relations dâincertitude, et raconte ses souvenirs professionnel et humain ;Robert Shapiro professeur de chimie et spĂ©cialiste de recherche sur lâADN, dans son ouvrage LâORIGINE DE LA VIE », met lâaccent sur la difficultĂ© de saisir lâorigine de la vie par lâĂ©tude seulement de lâADN. Il dit que la rĂ©ponse Ă la question comment est apparue la vie », est Je ne sais pas. » Mais quâen apprenant de plus en plus sur les phases les plus reculĂ©es de lâĂ©volution de la vie, tout se rĂ©sumera Ă un sourire », [20] un principe de complĂ©mentaritĂ© structurelle entre sous unitĂ©s monomĂšres».Stephen Hawkins, cosmologiste et physicien, vulgarise dans UNE BREVE HISTOIRE DU TEMPS », par un langage simple et comprĂ©hensible les grandes thĂ©ories de GalilĂ©e et Newton, en passant par Einstein et PoincarĂ©. Il en est de mĂȘme pour ses travaux, comme ceux sur la recherche dâune thĂ©orie unitaire combinant la relativitĂ© gĂ©nĂ©rale et la mĂ©canique quantique[21], du Big-bang aux trous noirs ;Murray Gell-mann, Ă Ă©crit LE QUARK ET LE JAGUAR » ou aventure dans le simple et le complexe. Professeur Ă©mĂ©rite au California institutes de Technology Le Caltech expose de maniĂšre prĂ©cise ce qui relie la physique des particules aux objets de notre quotidien et comment se dĂ©ploient les interrelations des systĂšmes, des plus simples aux plus complexes, de la rĂ©sistance des bactĂ©ries aux antibiotiques Ă lâenfant qui apprend Ă lire, comme de la formation des galaxies Ă celles des diffĂ©rentes cultures ;Edgar Morin philosophe dont LA COMPLEXITE HUMAINE » retrace lâessentiel de la pensĂ©e Moricienne. Dans un ouvrage prĂ©sentĂ© par Heinz Weinmann, Edgar Morin expose lâhomme dans toute sa complexitĂ© mise Ă nu Ă la lumiĂšre des connaissances contemporaines. Son Ćuvre conserve lâespoir que la connaissance permette une rĂ©forme de la pensĂ©e ;Pierre Daco, psychologue et psychanalyste membre de lâinstitut international de psychothĂ©rapie et de psychologie analytique. Au travers de, LES VOIES DE LA NOUVELLE PSYCHOLOGIE » Pierre Daco mentionne lâappel vers la psychologie que provoque notre monde en mutation. Un monde dans lequel les anciens critĂšres sont en voie de disparition, et il espĂšre dans les nouvelles gĂ©nĂ©rations les cadets». Des cadets qui, plus et mieux Ă©duquĂ©es du savoir fondamental de ce que nous sommes, pourront dĂ©velopper une sociĂ©tĂ© plus Ă©panouie grĂące une nouvelle Ă©ducation, afin dâĂ©chapper Ă notre monde nĂ©vrosĂ©, qui dĂ©veloppe la culpabilisation ;Edwards Harrison professeur de physique et dâastronomie Ă lâuniversitĂ© du Massachusetts. Dans son ouvrage, LE NOIR DE LA NUIT », relate lâhistoire de cette Ă©nigme du cosmos qui passionne toujours le monde des chercheurs, et qui est selon lui, une lumiĂšre, autrefois brillante, disparue dans le refroidissement de lâexpansion cosmique, et transformĂ©e en tĂ©nĂšbres infrarouges invisibles Ă lâĆil nu ».LA PLUS BELLE HISTOIRE DU MONDE, les secrets de nos origines co-Ă©crit par Hubert Reeves, JoĂ«l de Rosnay Yves Coppens et Dominique Simonnet, dont jâai retenu la question cruciale en guise de conclusion. Sommes-nous prĂȘts Ă coexister avec notre propre puissance » ? En conclusion, dans cet essai je veux tenter de dĂ©velopper la nĂ©cessitĂ© quâa notre espĂšce de devoir dâapprendre, au-delĂ du prĂ©sent, sans sâĂ©carter des pratiques de notre monde mercantiliste actuel, en raisonnant en un Tout comme nous le propose notre cerveau au quotidien. Bien que nous le censurions par des sophismes mâont Ă©chappĂ©, ils nâont pas pour vocation dâinduire le lecteur en erreur, car ils se situent au-delĂ du regard conventionnel que nous portons sur notre monde, analysĂ© par champs, sĂ©riĂ©, chacun dans sa est Ă©galement important de retenir que notre intelligence ne peut dĂ©couvrir que ce quâelle comprend, et ce que jâai compris de notre Univers, je lâillustre dans le poĂšme qui pionniers de lâ dâ dâĂ©toiles et dâ de lumiĂšre de ma vie sorti les hommes de lâ brodant un voile pour les ont tissĂ© des dentelles avec des rĂ©unir des atomes Ă dâĂ©toiles et des temps bing bang sâĂ©clate pour me offert aux hommes une saphir dâun disque galactique Ă ont accordĂ© des champs dâondes pour sâ portĂ©e de lune ils vont sâ dâĂ©toiles et de la le grand dĂ©sordre je me suis poussĂ© les hommes vers la une piĂšce borĂ©ale de ont nommĂ© les planĂštes comme il leur du soleil leur maĂźtre le temps dâune dâĂ©toiles et de lâ temps de trois flĂšches pour me donnĂ© aux hommes lâillusion dâ faussant les cartes de leur ont fait de grands cirques pour sâ sur la tĂȘte pour se dâĂ©toiles et de lâ un cĆur quantique bien des super cordes pour mâharmoniserDes trous Ă©normes noirs de cueilleurs dâĂ©toiles mâont appelĂ© lâ dĂ©risoire Ă un indĂ©finissable de la poussiĂšre et dâ Ă©lĂ©mentaire dans des temps de la poussiĂšre et de la colorĂ©s dans lâ poussiĂšre dâĂ©toiles que les hommes ont peut-ĂȘtre un jour la » guide de lâ DEVOIR D'APPRENDRE UN MARCHE DE LâINTELLIGENCE1 - Pourquoi apprendre ? ; Cela dĂ©pend de apprendre ?Parce que l'existence n'est qu'un long apprentissage jamais achevĂ©, et il en dĂ©coule de constants efforts nĂ©cessitant une forte motivation. Son utilitĂ© cachĂ©e ne se dĂ©voile jamais de prime Ă bord, sauf pour ceux qui ont la clairvoyance d'entre voir leurs insuffisances, ou faire appel pour leur rĂ©flexion, Ă un Savoir et des connaissances quâils avaient jugĂ©es en un temps apprendre, Ă©quivaut-il Ă pourquoi lâon vit ?A cette interrogation pourquoi vit-on », la premiĂšre rĂ©ponse venant Ă lâesprit, peut ĂȘtre dâordre physiologique pour se fut la conclusion dâun chercheur amĂ©ricain qui consacra 10 annĂ©es de sa vie Ă rechercher si lâĂȘtre humain avait une mission supĂ©rieure Ă accomplir sur cette planĂšte. Personnellement je dirai, dâabord pour apprendre Ă vivre, et ensuite pour continuer Ă cette interrogation demeure et nous habite Ă divers degrĂ©, avec pour rĂ©ponse des conceptions individuelles et collectives plus rĂ©pandue au monde demeurant celle en la CrĂ©ation, avec comme finalitĂ©, une existence immortelle dans un lieu intemporel auprĂšs dâun Dieu indescriptible. Cependant, aujourdâhui le lien entre ce questionnement et ce qui lâinduit est rarement fait, tant il nous paraĂźt normal que la rĂ©flexion va de soi avec notre existence, quâelle soit considĂ©rĂ©e immanente ou transcendantale ; mĂȘme en essayant dâen comprendre les Ă©lĂ©ments physiologiques et biologiques qui la mĂȘme rĂ©flexion a conduit bien des hommes au paradoxe dâen arrĂȘter le cours par leur notion de crĂ©ation et de transcendance, et dâautres dâen rechercher lâorigine par celle dâ conclusion, câest bien Ă partir de cette capacitĂ© de rĂ©flexion reposant sur la connaissance et le Savoir emmagasinĂ©, que nous tentons dâapporter une rĂ©ponse, Ă la question, pourquoi vivons-nous » ?âŠCela dĂ©pend de en nous observant rĂ©flĂ©chir, nous ne pouvons que constater que cette rĂ©flexion dĂ©pend de ce que nous avons appris. Pourtant cette capacitĂ© rĂ©flexive câest Ă©laborĂ© au fil du temps par lâapprentissage. Au fil du temps, dâinstinctif lâapprentissage est devenu initiatique, pour atteindre aujourdâhui une prĂ©tention scientiste et, si nous nous demandons pourquoi nous apprenons », nous dĂ©couvrons autant de rĂ©ponses individuelles que collectives. Toutefois dans lâimmĂ©diat nous devrons nous contenter de lâexplication de ce chercheur amĂ©ricain dont jâai oubliĂ© le nom parce que nous sommes conçus pour cela. » Il appartient donc aux hommes de faire fructifier cette facultĂ© rĂ©flexive par lâappris, et je propose pour cela la mise en place dâun enseignement rĂ©munĂ©rĂ© tout au long de lâexistence ; et cela ne dĂ©pend que de nous. Mais cela suppose de sâĂȘtre construit une approche de lâexistence que je vais vous faire â Une raison qui se construit sur la conservation, de milliards de donnĂ©es et de concepts, pour nous interroger, pour notre usage harmonieux, et vivre parce que nous existonsUne raison qui se construit sur la conservation, de milliards de donnĂ©es et de conceptsâŠDans le monde animal pour dominer, nul besoin dâavoir une intelligence nâĂ©gale Ă la nĂŽtre. NĂ©anmoins, dâune situation similaire et concurrentielle dans laquelle nous devions nous protĂ©ger Ă©ventuellement dâespĂšces plus fortes[22], nous sommes devenus lâespĂšce hĂ©gĂ©monique par grĂące Ă notre cerveau associatif qui nous permet de percevoir les perturbations que reçoit notre organisme, et dây donner la rĂ©ponse comportementale quâil gĂ©nĂšre. Ainsi nos prĂ©dateurs sont devenus si petits quâil nous faut dĂ©sormais lâaide dâun microscope pour les pense particuliĂšrement Ă certains virus qui sont des organismes vivants » en quĂȘte de nourriture, et dont nous sommes Ă la fois lâhabitat et le garde manger ; et qui ne sont pas la main cĂ©leste punissant dâune vision thĂ©ologique, ou celle de lâignorance qui les qualifia de tabous et leur Ă©leva des totems culte des morts liĂ© Ă la contamination, interdiction de le toucher, quarantaine etc..Entre ces deux clichĂ©s, câest ce que nous avons su apprendre, analyser et faire prospĂ©rer Ă divers degrĂ©s, qui font la diffĂ©rence, et nos motivations interviennent comme freins ou faut donc savoir que la structure de notre cerveau fonctionne dâune maniĂšre globale et incessante en dehors de notre volontĂ©. Il traite les stimulus de lâinformation les maintenant dans le cortex prĂ©frontal en les classant dans des bassins ou des fosses plus ou moins profondes », en interrelation avec la totalitĂ© du cerveau, dans une permanence de rĂ©ajustement de lâ dâune maniĂšre instantanĂ©e, dite par analogie, nous nous rĂ©fĂ©rerons Ă ce stock dâinformations, stock qui sert Ă©galement Ă son traitement par la rĂ©flexion dite cognitive, qui le complĂšte Ă son tour. Nous perdons Ă©galement dâune maniĂšre consciente de lâinformation, lâoublie, que nous retrouvons parfois de maniĂšre inconsciente au cours du sommeil, le milliards dâinformations garantissent ainsi Ă chacun dâentre nous par l'usage de son raisonnement, quâil sera toujours unique et semblable. Toutefois, au-delĂ de cette approche mĂ©caniste », [23] le mystĂšre de la pensĂ©e demeure pour expliquer les effets psychologiques dĂ©nommĂ©s psychĂ©, ipsĂ©itĂ©, Ăąme, conscience primordiale ». Leurs noms ne varient que suivant les philosophies, les cultures ou les croyances, pour qualifier une observation dont ils ignorent la structure qui lâorganise. Tout comme la neurobiologie se heurte par exemple, Ă lâignorance du phĂ©nomĂšne qui guide les dendrites pour aller chercher ou recevoir lâinformation dont lâĂ©motionnel et le cognitif ont besoin, afin dâassurer les connexions des consĂ©quence notre raison se construit ainsi, en ayant au prĂ©alable assimilĂ© et emmagasinĂ© tout au long de notre existence, des milliards dâimages, des milliers de concepts et de stratĂ©gies, en ayant appris. Mais la rĂ©ponse de notre raison ne sera que celle que notre structure cĂ©rĂ©brale lui aura ordonnĂ© et que nous croirons ĂȘtre le choix de notre libre arbitre.âŠet sâinterroger...NĂ©anmoins lâon peut apprendre et ne pas sâinterroger. ĂlaborĂ©s au fil du temps, lâapprentissage de notre savoir et de nos connaissances accumulĂ©es ont dĂ©bloquĂ© grĂące Ă notre rĂ©flexion nourrie dâinformations, des verrous imposĂ©s par des schĂ©mas sacralisĂ©s et sanctifiĂ©s. Non que ces schĂ©mas structurels fussent faux en fonction des connaissances en vigueurs aux moments de leur Ă©laboration, mais les dĂ©fauts quâils prĂ©sentaient, consistaient dans leur certitude affichĂ©e dâempĂȘcher lâhomme de sâinterroger. NĂ©anmoins, notre interrogation dĂ©bridĂ© en a dĂ©veloppĂ© dâautres qui comportent les mĂȘmes blocages, les mĂȘmes odeurs sanctificatrices, dont les clĂ©s se trouvent toujours dans lâapprentissage, et ainsi de suite. De telle maniĂšre que sâinterroger ne peut pas se faire sans prĂ©senter des risques, comme celui de mettre Ă mal le fait moral constitutif du effet, si le fait moral »[24] est fixĂ© par une rĂšgle de conduite sanctionnĂ©e, Le sacrĂ© » ne sont que des rĂšgles de conduite Ă©levĂ©es au-dessus des autres, revĂȘtant un caractĂšre immuable, Ă©laborĂ© par historicitĂ© du fait religieux, ou la conscience constitutive supĂ©rieure du groupe Ătat, qui renforcent la conscience individuelle, et ne supportent aucune contestation, ni interrogation, ni doute, et organise dâautoritĂ© la Connaissances le Savoir, et la suivant la rĂ©ponse que nous apporterons Ă comment je vis ? » Nous nous interrogeons sur pourquoi jâapprends ? » et rĂ©ciproquement. âŠpour notre usageâŠMais sâinterroger et apprendre pourquoi faire ? Compte tenu de sa longĂ©vitĂ© l'humain n'est pas une espĂšce Ă©phĂ©mĂšre ni un procrĂ©ateur in fine, mĂȘme si la procrĂ©ation demeure sa fonction premiĂšre, de la mĂȘme maniĂšre quâelle rĂ©gule la prolifĂ©ration de toutes les bien, que devant lâaccroissement de sa longĂ©vitĂ© lâusage que nous ferons de notre apprentissage dans nos relations sociales, notamment par la production de biens, affectera notre rĂ©gulation. En effet, nous pouvons observer une plus forte dĂ©natalitĂ© dans les pays riches[25] et une politique anti-natalistes dans dâautres ; mais il est Ă©galement important de comprendre quâune sociĂ©tĂ© oĂč lâespĂ©rance de vie sâaccroĂźt modifie de fait ses relations affectives et si l'apprentissage n'est pas exclusif du bonheur, il l'est de la qualitĂ© de notre existence humaine ; et personne aujourdâhui n'envisage un retour vers l'Ăąge de pierre, tout en envisageant plus probable notre auto- destruction nuclĂ©aire et autres.En consĂ©quence lâusage que nous faisons de lâapprentissage nâest pas anodin, il fixera les projets dâexistence. Ainsi quand lâespĂ©rance de vie est de vouloir frĂŽler lâimmortalitĂ©, il est plus probant dâavoir un projet dâexistence qui ne soit pas de sâexterminer. âŠharmonieux...Dâautant plus que la planĂšte nous ignore. La planĂšte, elle, se moque Ă©perdument de notre existence, que nous soyons ignorant ou gĂ©nie, que nous vivions ou que nous nous exterminions, que nous lui fassions un trou d'ozone ou que nous la rĂ©chauffions. Elle s'est créée sans nous, et mourra de y a deux cent mille ans, la planĂšte vivait sans nous ses transformations terrestres. Aujourd'hui notre activitĂ© humaine y contribue, et c'est en cela qu'il y a aussi un devoir d'apprendre pour harmoniser, non seulement notre propre existence, mais Ă©galement celles futures Ă lâunivers auquel nous sommes rattachĂ©s. Un univers auquel nous ne pouvons Ă©chapper, dont aujourdâhui nous connaissons certaines de ses lois qui nous conditionnent ; lois et Univers auquel je me rĂ©fĂ©rerai harmoniser[26] jâentends, prendre conscience quâil nây a pas de Paradis » Ă trouver et Ă conserver sur une planĂšte condamnĂ©e, et peut ĂȘtre pas plus ailleurs. Câest cette prise de conscience lĂ , qui peut ĂȘtre un Ă©vĂ©nement fondateur de notre dĂ©veloppement vers un inconnu ; ce qui nâempĂȘche nullement le bonheur par la suppression de la peut-ĂȘtre, parce que nous ne chercherons plus ce Paradis » câest alors quâil apparaĂźtra, car nous aurons pris la mesure de ce que nous sommes pour Ă©laborer des paradis » humains accessibles, grĂące Ă la connaissance que nous dĂ©couvrons des lois » qui rĂ©gissent notre Ătre, notre monde et notre qui nous permettent dĂ©jĂ de comprendre ceci Si nous avions la capacitĂ© de suivre le dĂ©roulement de nos actes dans leurs plus petites unitĂ©s, nous nous rendrions compte quâils interfĂ©rent sur chacun dâentre nous, et que dans les rĂšgles que nous avons dĂ©finies pour la recherche de la source nourriciĂšre ou lâaffirmation de soi, nous nous auto dans notre ordre actuel nous sommes conscients de ces nuisances rĂ©ciproques, nous Ă©tablissons des rĂšgles punitives. Si bien quâavec une telle approche, si chacun avait la connaissance absolue de lâincidence de nos actes au quotidien, nous sanctionnerions les Hommes du monde entier, car il y a toujours un acte juger nocif qui interfĂšre sur un autre. Heureusement nous nâavons pas une perception consciente aussi Ă©laborĂ©e, de telle maniĂšre que celui qui nuit, de fait ne le sait pas, tout comme celui Ă qui nous avons nui lâignore. Câest seulement notre intelligence qui nous permettra de saisir ces interrelations complexes, car notre existence nâa dâimportance que pour nous, et nous devrons nous harmoniser ».Comme nous en prenons conscience de plus en plus, et il me paraĂźt donc Ă©vidant, que notre organisation punitive et mĂ©ritocratique actuelle ne peut pas conduire Ă une harmonie, car elle maintient seulement nos ordres actuels, qui malgrĂ© les rĂšgles punitives se Monod en disait La terre est un jardin bordĂ© de nuit. Tels des aveugles nous avançons, mais sĂ»rs de nous, fiers, cruels, consommateurs, assoiffĂ©s de profit. Moderne ? Que restera-t-il Ă nos enfants de cette oasis si humaine ? Seront-ils seulement lĂ pour contempler nos mĂ©faits ? »[27]âŠet vivre parce que nous utilisons donc notre cerveau, pour apprendre et nous interroger, pour notre usage harmonieux, afin de vivre parce que nous existons. Et comme exister exige de regarder comment nous vivons, nous ne pouvons pas Ă©viter de regarder notre sociĂ©tĂ© capitaliste. MĂȘme si nous situons dans le temps lâavĂšnement de la sociĂ©tĂ© capitaliste,[28] nous pouvons mĂȘme dire la civilisation capitaliste, car lâactivitĂ© Ă©conomique induit Ă©galement des comportements sociaux, elle nâa pas encore atteint lâĂąge de raison, bien que certains parlent dĂ©jĂ de post capitalisme. De post capitalisme parce que la nature des produits qui nĂ©cessitent une capitalisation changent services ou monnaies, parce que son autoritĂ© sâanonymise » sociĂ©tĂ©s anonymes et circuits nĂ©buleux parce que lâĂ©volution technologique Ă permis une rapiditĂ© de tout Ă©change; mais la structure qui conduit Ă lâenrichissement demeure la effet, si nous apprĂ©cions une civilisation Ă sa facultĂ© de durer la notre se donne les moyens dâĂȘtre des plus courte. MalgrĂ© son Ă©laboration dramatique et ses inĂ©galitĂ©s flagrantes, si chacun peut Ă juste titre se fĂ©liciter de ses rĂ©ussites elle sâest Ă©galement dotĂ© des moyens de sâĂ©radiquer dans un hier trĂšs proche par ignorance des risques de sa technologie, aujourdâhui en conscience, par inaptitude Ă gĂ©rer ses compĂ©tences en rĂ©organisant ses appĂ©tits financiers. Si bien que compte tenu des lois sur les probabilitĂ©s, la question nâest pas Si », mais Quand ». Il nous faudra donc au quotidien employer toute la connaissance et le Savoir que nous avons Ă©laborĂ©, pour comprendre que lâĂ©volution de nos rĂ©alisations, et celles de toutes les activitĂ©s que nous avons mis en Ćuvre, interfĂ©rent sur notre Ă©volution, du fait de la deuxiĂšme loi de la thermodynamique[29] qui accroĂźt lâentropie. Pour cela la thĂ©orie du chaos[30] peu Ă©galement nous aider Ă cerner ces risques technologiques et idĂ©ologiques » pour en prĂ©server les effet, comme cet Ensemble notre existence communautaire Ă©volue de maniĂšre non linĂ©aire, ceci rend difficile lâapprĂ©ciation de son incidence rĂ©troactive, et la plus petite variation dâun de ses paramĂštres peut engendrer dâĂ©normes effets sur lâensemble ou une partie de lâensemble. Effet papillon.Câest ainsi que Robert May[31] disait, tout irait mieux dans le monde, si les gens prenaient conscience que les systĂšmes non linĂ©aires Ă©lĂ©mentaires ne possĂšdent pas nĂ©cessairement de propriĂ©tĂ©s dynamiques simples »[32].Un Physicien sâinterrogeant sur les consĂ©quences de la thermodynamique, formula sa question en ces termes Comment un flux dâĂ©nergie qui sâĂ©coule sans but peut-il rĂ©pandre la vie et la conscience dans le monde ? »Aussi, si rien aujourdâhui ne justifie notre existence, elle seule justifie que nous y tenions, et lĂ , alors, cela commence par apprendre, et toujours apprendre ce nâest pas seulement rĂ©pĂ©ter ce que nous avons appris, câest aussi associer ces connaissances pour conceptualiser, et prĂ©server ce qui est essentiel, la vie, et vivre parce que nous â Ainsi, un jour, jâeus une idĂ©e nĂ©e dâune problĂ©matique pas si simple, entre utopie et un jour...En 1975, Ă la tribune dâun congrĂšs fĂ©dĂ©ral Ă Lyon, jâeus lâidĂ©e de rĂ©clamer dans les annĂ©es Ă venir une rĂ©duction du temps de travail hebdomadaire, et de porter la semaine Ă 35 h. Le temps ainsi dĂ©gagĂ© devait ĂȘtre utilisĂ©, pour une moitiĂ© au grĂ© des salariĂ©s, pour lâautre Ă sâĂ©duquer. Jâavais observĂ© que lâaccĂšs au savoir, ensemble des connaissances acquises par lâĂ©tude, permettant de comprendre, de maĂźtriser les rouages de lâactivitĂ© socio-Ă©conomique, Ă©chappait, Ă leur dĂ©triment Ă la majoritĂ© des mâa Ă©tĂ© donnĂ© Ă de nombreuses reprises, durant lâexercice de mes mandats syndicaux, dâen vĂ©rifier lâexactitude. Je dus approfondir plusieurs sujets, lois, droit, Ă©conomie, sociologie, relations humaines, politique et autres, et je me heurtais inĂ©vitablement au mur incontournable du temps disponible.âŠjâeus une idĂ©e...En 1978, je retenais comme fait marquant de la dĂ©gradation de lâĂ©conomie la situation de lâemploie qui englobait, dâune part les difficultĂ©s rencontrĂ©es par les chĂŽmeurs pour changer dâemploi, et dâautre part lâallongement de la durĂ©e du dans ces annĂ©es que je rĂ©flĂ©chissais Ă une source de richesse perpĂ©tuelle pour que chacun puisse sâassurer un prĂ©conisais donc de faire du dĂ©veloppement de lâintelligence humaine une source de revenu direct, sans lâobligation de transiter par la production dâun bien monnayable⊠nĂ©e dâune problĂ©matique...En 1982 durant mon activitĂ© de militant, jâen retirais la problĂ©matique suivante. Si dans le futur, grĂące aux nouvelles technologies, dix millions de personnes suffisent au fonctionnement de lâĂ©conomie, et que lâespĂ©rance de vie sâallonge, quâelle sera la source de revenu des citoyens ?Cette idĂ©e de dĂ©veloppement de richesse intellectuelle, source de revenu individuel direct, me revint Ă lâ alors, quâelle ne devait plus seulement concerner que les seuls chĂŽmeurs, mais elle devait sâĂ©tendre obligatoirement Ă lâensemble de la population adulte, active ou non, et cela jusquâĂ lâĂąge de la retraite.âŠpas si simpleâŠLes annĂ©es suivantes, je rĂ©pĂ©tais, que dans une sociĂ©tĂ© riche, possĂ©der le savoir et les moyens de communication Ă©taient des atouts vitaux. Par moyen de communication, je ne songe pas Ă la manipulation et Ă la dĂ©sinformation qui se camoufle sous ce concept de communication mis au service de la duperie.En effet, je considĂ©rais comme une aberration de ne pas structurer lâaccession Ă la richesse intellectuelle pour chacun tout le long de lâexistence, tout en rĂ©alisant, en plus, lâobjectif de nâavoir aucun citoyen dĂ©pourvu de nous verrons que ce nâest pas aussi simple. Bien que disposant de la quasi-totalitĂ© du savoir disponible, il ne peut se contenir dans un cerveau, aujourdâhui, comme consĂ©quence, un choix qualitatif sâimposera sur plusieurs gĂ©nĂ©rations, tout en dĂ©finissant des ce faire, la montĂ©e en puissance durera des annĂ©es pour ne pas dĂ©structurer lâ temps y consacrer ?Quel type dâenseignement ?Qui le dispensera ?Quelles seront les consĂ©quences sur la vie au quotidien des actifs ou non actifs ?Quelles incidences sur lâappareil productif ?Quel financement ?Quels impacts sur la production de richesse ?Autant de domaine quâil va falloir motivations incitatrices doivent ĂȘtre dĂ©veloppĂ©es ? Lâargent, lâidĂ©al futuriste, la rĂ©flexion rationnelle, la contrainte partielle ou totale. Autant de rĂ©flexion Ă revanche, que doit-on craindre ?Les effets, dâagrĂ©gations ?Les dĂ©viations idĂ©ologiques ?Que pouvons-nous espĂ©rer grĂące aux technologies de la communication ? Quels rĂȘves pouvons-nous nourrir grĂące Ă la gĂ©nĂ©tique ou la neurologie ?Ne pas oublier lâessentiel, clora cet part, ces questions ne doivent pas nous faire oublier que les hommes et les femmes rĂ©agissent avec leurs symboles, leurs idĂ©aux, leurs philosophies, leur mysticisme, leurs valeurs, leurs classes sociales, leurs pouvoirs Ă©tablis, leurs rĂȘves, et le tout imbriquĂ© dans le mensonge culturel[33] » comme huilage de la sociabilitĂ©.⊠entre utopie et mon dĂ©veloppement je mâefforcerai dâĂ©viter toute approche idĂ©ologique, sachant par avance que cela sera inconscient. Dâune part, parce que je ne peux pas faire abstraction de mon vĂ©cu, et que je formulerais bien Ă©videmment des critiques. Dâautre part parce que vouloir que chacun dispose de ressources peut paraĂźtre un idĂ©al utopiste, et en consĂ©quence mon dĂ©veloppement peut nâĂȘtre quâun dĂ©ploiement idĂ©ologique. Ce en quoi, je paraphraserai Bergson On ne lui avait pas dit que câĂ©tait impossible il la fait ».[34]RĂMUNĂRER LES HOMMES POUR les hommes pour apprendre ce nâest pas rien, câest mĂȘme mettre un pied dans lâincertitude, câest mettre un pied dans un monde Ă inventer. Pas forcĂ©ment comme je le vois, car ce nâest que le mien, mais câest poser les marques dâune aventure inconnue que nous aimons dans les contes, dâautant plus quand ce sont les autres qui les vivent. Câest forcĂ©ment aller vers un monde qui sera diffĂ©rent de celui que nous connaissons, et cela ne peut que nous il ne pourra pas ĂȘtre plus effrayant que celui qui est le nĂŽtre aujourdâ dans lequel, pour sortir dâune existence passĂ©e que nous avons apprĂ©ciĂ©e cruelle, en dĂ©veloppant nos cultures sociĂ©tales » nous avons aussi construit des organisations eugĂ©niques»[35]. Pourtant, lâHomme nâa jamais eu autant de moyens Ă sa disposition pour le comprendre, Ă©tudier, et nous restons sur la dĂ©fensive, et nous ne faisons pas dans lâensemble la dĂ©marche de nous ouvrir au monde Ă lâunivers, pour rester dans notre mensonge culturel». Alors pourquoi ne pas forcer la main de lâĂ©volution, en rĂ©munĂ©rant les hommes pour apprendre, et essayer de dĂ©couvrir si dans notre suffisance nous ne nous Ă©tions pas fourvoyĂ©s par ignorance existentielle ».Je vais donc essayer de mâen expliquer, tous au long de ce chapitre et de ceux qui - Pour cela, il faut seulement comprendre un questionnement sans le Savoir, que serions-nous ?Pour cela, il faut seulement comprendre un questionnementâŠCâest quoi Ă©laborer un projet ? Ălaborer un projet, quel quâil soit, suppose une finalitĂ©. Or en matiĂšre dâorganisation humaine, un projet sociĂ©tal ne peut ĂȘtre que transitoire, et sa finalitĂ© momentanĂ©e, car il Ă©voluera au grĂ© et au rythme de la qualitĂ© de ses telle maniĂšre que souvent, ce que nous prĂ©sentons comme une finalitĂ© qui inclut la notion dâaboutissement, nâest quâun but.⊠sans le SavoirâŠDes buts nous nâavons que cela, et notre espĂšce Ă©volue au grĂ© de son environnement, et de sa possibilitĂ© Ă conceptualiser abstraitement autour dâun schĂ©ma initial adaptable au raisonnement humain. Celui-ci repousse sans cesse lâindĂ©terminĂ©, grĂące Ă la technologie qui supplĂ©e la faiblesse du regard de notre cette capacitĂ© Ă raisonner et cette technologie ne peuvent rester la propriĂ©tĂ© de quelques les SumĂ©riens, environ 2500 av. auxquels lâĂ©criture permettait de nommer le monde, de lâinscrire, dâen faire un recensement prĂ©cis, considĂ©raient que la chose Ă©tait sacrĂ©, et devait rester secrĂšte. Câest ce que nous rapportent des tablettes dâargile Que lâinitiĂ© instruise lâinitiĂ©, le profane ne doit pas savoir. » Pour bĂątir le projet salvateur ou dĂ©tenir la vĂ©ritĂ© suprĂȘme accessible quâaux initiĂ©s, il y aura toujours des hommes, et mĂȘme eux, il vaut mieux quâils le fassent dans la clairvoyance que dans lâ pourquoi je dĂ©veloppe lâidĂ©e inverse Quâil est important dâalimenter de connaissance lâintelligence humaine, et nourrir sa rĂ©flexion de maniĂšre continue tout le long de son existence, et cela ne peut se faire sans le Savoir.⊠que serions-nous ⊠?Imaginons-nous aujourd'hui dans les pays riches, privĂ©s dâĂ©lectricitĂ© !Imaginons la vie des individus sans leurs lunettes !Imaginons quâun cataclysme ne laisse que quelques survivants !Quelques gĂ©nĂ©rations plus tard dans ce cas de figure par lâoralitĂ© parabolique, les survivants expliqueraient avec des lĂ©gendes que dans les temps passĂ©s de gigantesques temples abritaient la puissance du Dieu NuclĂ©aire, qui donnait aux hommes lâĂ©lectricitĂ©, et peut-ĂȘtre que pour les survivants, lâindividualisme Ă©goĂŻste deviendrait lâobjet dâun sans lâapprentissage, lâenseignement, nous serions toujours Ă lâaube des temps, mĂȘme sâil nâa fait, pour une part que remplacer en plus prĂ©cis scientisme, les intuitions que les hommes avaient de ce quâils Ă©taient, et oĂč ils se trouvaient. Car nos ancĂȘtres ne pouvaient quâĂȘtre intelligents, et heureusement quâils nâont pas pu arrĂȘtĂ© le dĂ©veloppement de lâintelligence parce quâils y trouvaient un intĂ©rĂȘt. Nous ne pouvons pas en dire de mĂȘme de nous autres, dans un passĂ© pas si lointain les autodafĂ©s, mais cela fait partie du dĂ©roulement de lâ seulement, câest quoi lâUnivers, le monde, lâHomme ; ils ne sont que de lâinformation perçue par nos sens que certains dâentre-nous ont dĂ©fini et que nous nous transmettons des uns aux autres sans cesse pour cela quâil faut seulement comprendre un questionnement sans le Savoir, que serions-nous ? 5 - Que sommes-nous ? Avec notre agressivitĂ©, au-delĂ de lâĂ©gocentrisme et de lâinstinct naturel ; dâEtre intelligent capable dâassumer notre savoir, malgrĂ© nos erreurs comme sommes-nous ? Avec notre agressivitĂ©âŠLe Savoir impose dâapprendre ou dâessayer de comprendre ce que nous sommes avec notre agressivitĂ© parce que nous lâobservons. LâagressivitĂ© naturelle» est indispensable Ă la survie de toutes les espĂšces, dont la nĂŽtre. La socialisation nous permet dâen dĂ©finir diffĂ©rents concepts, de maniĂšre Ă pouvoir en bannir quelques-uns comme asociaux. NĂ©anmoins, lâagressivitĂ© » reste lâĂ©lĂ©ment moteur, bien que socialisĂ©e et de ce fait durant lâĂ©volution de nos aptitudes et de notre capacitĂ© cĂ©rĂ©brale, elle a façonnĂ© lâhomme et lui en retour son agressivitĂ© naturelle» [36], jâentends la capacitĂ© dâaction de lâhomme dâinter agir sur lui-mĂȘme, sur les autres, ainsi que sur toutes choses de son environnement, mĂȘme si un jour il doit rĂ©organiser son existence en ayant compris quâil ne disposait dâaucun libre arbitre. Il impose de ce fait, contrainte, transformation ou destruction dans lâignorance partielle du TOUT quâil est, dans un TOUT plus grand que lui dont il est le semblable, lâunivers. Il ne sâagit donc de ne pas confondre ici agressivitĂ© et effet, chaque Ătre ou sujet ou individu, nâest quâun Ă©lĂ©ment insĂ©parable dâun ensemble, dâun Tout, que nous appelons lâespĂšce humaine[37]. Elle-mĂȘme Ă©tant contenue dans un ensemble plus grand dont elle est issue, lâunivers. Elle ne peut donc quâĂȘtre rĂ©gie par les mĂȘmes lois qui ont construit lâunivers, et qui ont donnĂ© naissance Ă des singularitĂ©s telle que notre planĂšte. Des lois que nous commençons Ă mieux cerner aux travers des leurs sujets, Stephen Hawkins disait Lâhistoire des sciences tout entiĂšre nâest que la comprĂ©hension progressive du fait que les Ă©vĂ©nements nâarrivent pas de maniĂšre arbitraire, mais quâils reflĂštent un certain ordre sous-jacent qui peut ou non, avoir Ă©tĂ© inspirĂ© du divin » [38]. Cette remarque est dâautant plus importante quâelle sâapplique Ă nous, elle sâapplique au dĂ©roulement de notre telle maniĂšre que les Ă©vĂ©nements de notre existence ne proviennent que des ordres systĂšmes, organisations qui les ont inspirĂ©s, et notre cerveau par la construction de son psychique en est un producteur efficace dans la reprĂ©sentation de ses affects Ă partir de la nĂ©cessitĂ© vitale fondatrice de se nourrir, sâaccoupler et sâ de lĂ lâagressivitĂ© prendra des nuances capables de rĂ©pondre Ă toutes les Ă©ventualitĂ©s de 0 Ă lâinfini que nos schĂ©mas conceptualisĂ©s lui suggĂ©reront, suivant la traduction et la reprĂ©sentation des informations que nos sens auront recueillies du monde, pour façonner les moyens de vivre ou sâentre-tuer. Ceci est dâautant plus important Ă prĂ©ciser que nous essayons en permanence de rĂ©duire lâĂ©ventualitĂ© de sâentre-tuer, et nous regardons lâagressivitĂ© comme nĂ©cessitĂ© naturelle motivĂ©e par la frustration, ou bien dans une approche morale, comme la nocivitĂ©, le mĂ©fait, le crime qui se justifie quand lâhomme est un loup pour lâhomme, le contraire de la bienveillance dans un idĂ©al dâamour ou dâharmonie sociale. Pour en saisir toutes les nuances il nous faudrait avoir accĂšs Ă lâinfini, un infini pour lequel nous nâavons ni de dĂ©part ni dâarrivĂ©e, mais qui au lieu de nous dĂ©courager doit nous permettre de comprendre Ă©ventuellement que, si depuis 2000, voire 3000 ans ou plus nous appliquons toujours les mĂȘmes principes punitifs ou mĂ©ritocratiques sans rĂ©sultat, qui souvent sâapparente Ă de la persĂ©cution[39], il serait peut-ĂȘtre temps de sâ la capacitĂ© dâagressivitĂ© ne doit pas ĂȘtre prise comme seulement lâexpression de violence, mais en un sens plus gĂ©nĂ©rique qui est la capacitĂ© dâagir pour aller prendre chez lâautre son alter ego et le monde ce quâil vous donne afin dâexister quelles quâen soient les motivations. LHomme nâest donc pas irrĂ©vocablement un ĂȘtre violent. Il est lui-mĂȘme la construction dâun amalgame dâinformations ordonnĂ©es qui ont Ă©laborĂ© son psychique ; mais il a la difficile responsabilitĂ© Ă partir de celui-ci, de quantifier et qualifier les informations[40] quâil perçoit dans lâignorance la plus totale du monde objectif, en bĂątissant au fil des millĂ©naires lâimage de ce quâil a pu comprendre de lui et du monde. Et ce nâest quâĂ partir des dĂ©finitions quâil leur donne quâil est en mesure de transformer une agressivitĂ© innovatrice en violence mortelle intra espĂšce en lâabsence dâun inhibiteur innĂ©. Donc lâinformation est capitale pour lâhomme, et traiter lâinformation oblige dâapprendre, dâapprendre en permanence, sinon on la subit. Nous la subissons dans toutes les formes imparfaites et barbares dans lesquelles nous la figeons en nous croyant possesseur de la comprĂ©hension ultime. De ce fait nous faisons en permanence le procĂšs de lâHomme, au lieu de celui de sa construction psychique, mĂȘme si celle-ci porte un nom par acteur, tout en nâayant jamais appris Ă cet acteur comment fonctionnait un organe aussi essentiel que son cerveau, avec lequel il allait devoir passer sa parce que quels que soient les raisonnements que nous tenons au travers dâun psychique organisĂ©, bornĂ© par sa culture, bonne ou mauvaise, de maniĂšre close par nĂ©cessitĂ© structurelle, afin dâĂ©vacuer lâincertitude et la peur qui dĂ©veloppe craintes et angoisse. Cette construction structurelle du psychique retransmettra lâaptitude de son organisme Ă sâouvrir Ă lâautre ou au monde, en fonction dâune multitude de paramĂštres environnementaux. Je me suis expliquĂ© sur ce sujet dans lâavertissement, mais lâon peut retenir deux types dâĂ©vĂ©nements, ceux stressants et ceux rassurants. Ce raisonnement sera sous-tendu par lâinconscient qui contrĂŽlera en permanence, si les dĂ©cisions, que notre psychique" "culturalisĂ© prend en retour sous sa direction, sont compatibles avec les informations dont il dispose ; informations qui sont de veiller Ă ce que la structure organique qui le porte puisse se nourrir, copuler, sâabriter Vivre. Et il en est ainsi au quotidien indĂ©pendamment de nous dans toutes les dĂ©cisions que nous prenons. Câest pour cela quâil est si important que lâHomme soit assurĂ©, Ă©panoui, pour que son agressivitĂ© innovante au travers dâorganisations systĂ©miques sociĂ©tales ne se retourne pas contre lui et son alter ego ; mais, si nous ne pouvons pas agir sur lâinconscient nous pouvons le tromper, et câest un autre conclusion lâhominisation vers laquelle nous tendons ne consiste pas Ă dĂ©finir nos pulsions originelles comme Ă©tant criminelles ce qui lâest, câest lâorganisation culturelle qui lexhibe, car peut ĂȘtre dans quelques milliers dâannĂ©es ou quelques siĂšcles, ce sont elles les pulsions qui sauvegarderont lâespĂšce ; mais dâen instruire lâHomme de sorte quâil les contrĂŽle par la comprĂ©hension de ce quâil sâinterdit, en attendant que ce qui caractĂ©rise lâhominisation, le dĂ©veloppement et la comprĂ©hension de son psychique, poursuive son Ă©volution.âŠau-delĂ de lâĂ©gocentrismeâŠUne Ă©volution qui nous faudra aller chercher au-delĂ de lâĂ©gocentrisme. Câest peut-ĂȘtre pourquoi par la rĂ©flexion cognitive, nâayant pu encore extirper de notre conscience » ou prendre conscience du dĂ©veloppement dâautres capacitĂ©s fonctionnelles,[41] sensorielles existantes, refoulĂ©es ou en constructions Ă©volution, nous qualifions de naturelles issu de lâinnĂ© des constructions sociologiques imparfaites.[42] Cela, au-delĂ de la notion dâĂ©gocentrisme que nous observons, activitĂ© de soi pour soi Ă©largie Ă lâentitĂ© familiale. Cette nĂ©cessitĂ© commune Ă tout organisme dâassurer son dĂ©veloppement innĂ©e gĂ©nĂ©tique qui nâinclut pas inĂ©vitablement la notion de tuer son semblable et inclut celle dâaltruisme restreint ».[43]Par exemple il nous est nĂ©cessaire de pouvoir supporter lâagonie dâun animal que nous tuons pour nous nourrir mĂȘme si lâhomme Ă du apprendre Ă chasser, si cela nâĂ©tait pas le cas, nous serions seulement herbivores ou autre[44] ; mais cela indique aussi que nous pouvons Ă©galement Ă©prouver une rĂ©pulsion Ă le faire. Or, cette fonction innĂ©e rĂ©pond Ă lâidentification de la NĂ©cessitĂ©, et de tout ce qui est un obstacle ou perçu comme tel au dĂ©veloppement de son Ătre. Si bien que notre activitĂ© culturelle innovante dans sa production dâoutils, et dans la multiplication des mobiles de percevoir lâautre comme concurrent, un Ă©tranger, a accru les raisons, les prĂ©textes de retourner contre sa propre espĂšce la performance de ses outils, en construisant mĂȘme des outils spĂ©cifiques armes, et lâorganisation gĂ©ographique concurrentielle de sa communautĂ© humaine diversitĂ© culturelle.Ceci malgrĂ© la raison ou le processus dâauto rĂ©gulation de toute espĂšce, dont nous ignorons la nĂŽtre, qui nous pousse Ă concevoir une rĂ©gulation socialisante, temporisant cette disposition Ă nous auto regarder comme de potentiels agresseurs spĂ©cifiques. Cela par lâaltruisme, lâhumanisme, la morale, la religion, le droit, dont le paradoxe est quâils gĂ©nĂšrent eux-mĂȘmes une capacitĂ© de confrontations destructrices organisĂ©e autour de leurs parce que le raisonnement organise lui-mĂȘme la reprĂ©sentation des objets justifiant une rĂ©ponse agressive Ă©motionnelle, violente et parfois meurtriĂšre, impulsive meurtre ou organisĂ©e accident, assassinat, guerre. Il transpose de ce fait la capacitĂ© dâune fonction innĂ©e culturalisĂ©, celle de tuer par nĂ©cessitĂ© de survie, dans la construction de la personnalitĂ© de chacun dans le regard des autres. Ceci au travers de valeurs quantitatives et qualitatives culturelles de la perception de lâimage du monde que nous vĂ©hiculons de gĂ©nĂ©ration en gĂ©nĂ©ration par lâimage du pĂšre » dans les diverses organisations familiales ; et rien ne nous permet dâaffirmer que lâimage du pĂšre, qui câest construit sur des interdits dont nous ignorons lâorigine, soit dans sa totalitĂ© la meilleure, soit la juste ce que nous ne pouvons quâobserver, câest quâelle est porteuse de violence, soit parce que nous ne respectons pas ses interdits, pourquoi ? Ou bien parce que chacun veut ĂȘtre le pĂšre ? Ou bien une fois que lâon Ă construit avec elle son psychique il faut savoir la rĂ©former, car elle nâĂ©chappe pas Ă lâĂ©gocentrisme qui la sous-tend et qui lâa formĂ©, et quâelle veut juguler peut ĂȘtre Ă cause dâune interprĂ©tation erronĂ©e effet, le processus Ă©motionnel sâextĂ©riorise sous forme physiologique, somatique et est traitĂ© cognitivement suivant le stade dâĂ©volution et de dĂ©veloppement de cette fonction en rĂ©organisant son schĂšme rĂ©action normale du corps qui est examinĂ© par la rĂ©flexion et rĂ©organisĂ© par elle, sa structure rĂ©flexive. La capacitĂ© dâinformation sensorielle accumulĂ©e modifiera la rĂ©action Ă©motionnelle dans un rapport connu/inconnu. A partir de celle-ci sâorganiseront toutes constructions sociologiques, notamment celle du langage au sens le plus large, comprenant lâexpression corporelle et la codification instrumentale et linguistique. Lâusage de ce langage dĂ©veloppera et communiquera des concepts dont lâexactitude dĂ©pendra du degrĂ© de rĂ©duction de lâincertitude, de lâindĂ©terminĂ© et de lâindĂ©finissable. Ceci permettra la dĂ©finition comprĂ©hensible de notre propre existence relationnelle certaine maniĂšre nous domestiquons lâinnĂ© primitif» en apportant une rĂ©ponse Ă ses interrogations. Par exemple nous nâavons plus peur du tonnerre, mais nous sursautons Ă un bruit non identifiĂ©. Mais nous lui apportons aussi des informations culturelles auxquelles il rĂ©agira instinctivement quand elles sâinscriront dans le conscient profond. Par exemple sâenlever du devant dâune voiture pour ne pas ĂȘtre Ă©crasĂ©, ou dogmatique lui dire quâun bon indien est un indien mort ou bien lâinverse, ou pour un tireur Ă lâarc, tirer par sensation plus efficacement que par le calcul raisonnĂ©. Quel que soit le centre de formation de lâĂ©motion, il dĂ©clenche un processus interrogatif actif pour lâinterprĂ©tation de lâĂ©vĂ©nement consĂ©quence, la traduction ou lâinterprĂ©tation de ce que nous avons compris de notre existence au-delĂ de lâĂ©gocentrisme, et leurs dĂ©finitions revĂȘt tant dâimportance. Je peux mĂȘme dire dâune importance cruciale, et doit ĂȘtre sue dans sa diversitĂ©.⊠et de lâinstinct naturelâŠCâest peut-ĂȘtre pourquoi, nous sommes Ă©galement emmenĂ©s Ă nous entre-tuer, non pas par instinct naturel », mais par construction sociologique[45], qui ont pu affecter le dĂ©veloppement de notre psychique durant lâenfance[46] et se rĂ©percuter par gĂ©nĂ©ration. Nous utilisons alors la notion dâinstinct naturel [47]», pour nous dispenser ou nous justifier de ne pas toucher Ă certains aspects de nos constructions sociales issus de nos relations sociologiques, et en admettre ses imperfections, mĂȘme quand le naturel est confondu ou assimilĂ© Ă notre dĂ©finition conventionnelle du culturel, par mĂ©connaissance, et jâeffectue une sĂ©paration de seuil, entre lâinnĂ© primitif acculturĂ© issu des Ă©vĂ©nements prĂ©cĂ©dents qui câest construit lentement tout le long de lâĂ©volution, comme source de lâinnĂ© dotĂ© de cette conscience culturalisatrice » qui est le nĂŽtre dâaujourdâhui inconscient vers le conscient, non pas pour faire des parts, mais pour faire comprendre que câest notre intelligence qui apprĂ©cie ce qui est lâinnĂ©e part le seuil minimal innĂ© primitif acculturĂ© [48] qui est la fonction innĂ©e de tuer pour se nourrir ou se protĂ©ger en tant quâactivitĂ© de soi pour soi ou pour les siens survivre. Dâautre part, un seuil plus Ă©laborĂ© complĂ©tĂ© dâappris acquis culturel, dans lequel nous perpĂ©tuons les rĂ©flexes de ce que nous avons compris de lâinnĂ© primitif acculturĂ©, pour toutes nos reprĂ©sentations de nouveaux modĂšles dynamiques dâorganisations de notre activitĂ© aujourdâhui nous le faisons toujours, mĂȘme dans notre organisation Ă©conomique, ceci dans le but dâacquĂ©rir, de conserver ou de fabriquer la raretĂ©, quelle soit matĂ©rielle ou socioculturelle dans lâĂ©volution de notre espĂšce, comme si la raretĂ© Ă©tait le seul corollaire de diversitĂ©, dâoccurrence, de multitudes dâessais, au nom de la sĂ©lection naturelle », et qui est source, autant de progrĂšs que de pourquoi il est utile de se servir des dĂ©couvertes de la science, biologie, neurologie ou de la physique, telle La ThĂ©orie du chaos » qui met en Ă©vidence un ordre sous-jacent que nous ne pouvons pas observer de visu, et que la science Ă mis Ă la disposition de notre rĂ©flexion, qui nous permet dâagir sur nos constructions psychiques culturalisĂ©es. Et lâĂ©conomie est une partie intĂ©grante dâune construction psychique culturelle sous-tendue par lâinconscient qui peut ĂȘtre trompĂ©, particuliĂšrement par un plan comptable, mais jâen parlerai ordre sous-jacent dont nous sommes parties intĂ©grantes, que nous lâignorions oĂč que nous en acceptions lâhypothĂšse. Or, les rĂ©gularitĂ©s que met en Ă©vidence la thĂ©orie du chaos, ne sont pas celles que nous observons de visu quand nous regardons notre monde. Pourtant quand nous Ă©tablissons notre ordre humain qui sâest calquĂ© sur ce que lâhumain a pensĂ© comprendre de son monde, sans le savoir nous concourons, sous lâaspect dâun ordre », au dĂ©sordre » le chaos dans lâordre sous-jacent[49], dont les effets exhibent des comportements diffĂ©rents. Cela du fait de la ThĂ©orie du chaos qui indique quâune lĂ©gĂšre modification dâun des paramĂštres quelconques dâun ensemble dĂ©voile des comportements dâune nature complĂštement les trois français Jean Chaldine, Laurent Nottale et Pierre Grou qui ont mis en Ă©vidence une loi de lâĂ©volution[50] Ă partir de la gĂ©omĂ©trie fractale de Mandelbrot. Cette loi prĂ©voit une Ă©volution de lâespĂšce humaine dans 800 000 mille ans. Or, cette loi repose sur des observations de lâordre palĂ©ontologique antĂ©rieur, sur lequel, lâordre introduit par la technologie de lâhomme nâa pas encore engendrĂ© ses effets. Effets qui se sont mis en Ćuvre que depuis cinq cents ans civilisation capitaliste industrielle. Si demain les hommes par leurs productions militaires sâirradient, lâĂ©volution de lâespĂšce aura Ă©tĂ© trĂšs courte, mĂȘme si nous considĂ©rons quâil sâagit dâune hypothĂšse catastrophique, elle nâen demeura pas moins le produit dâune Ă©volution, celle du cerveau de notre espĂšce. Si les hommes empoisonnent lâatmosphĂšre par leurs activitĂ©s industrielles, et quâils sây adaptent physiologiquement, il y aura eu une Ă©volution anticipĂ©e. Cela parce que nous aurons modifiĂ© un des paramĂštres de notre ensemble, la quantitĂ© de CO de la justesse ou non des donnĂ©es palĂ©ontologiques, dans cette loi de lâĂ©volution apparaĂźt, entre chaque Ă©volution quelle que soit la sĂ©rie testĂ©e, une accĂ©lĂ©ration des rythmes de renouvellement des espĂšces sĂ©riĂ©es, qui se font de plus en plus rapidement. Ce qui permet de penser que chaque successeur bĂ©nĂ©ficiant de lâapprentissage de son prĂ©dĂ©cesseur, par accumulation dâapprentissage, les successeurs suivants apparaissent plus rapidement, et cela met en Ă©vidence un phĂ©nomĂšne dâadaptation dynamique acculturĂ© liĂ© aux Ă©vĂ©nements, suivant les espĂšces ne signifie pas quâil faille avoir peur, et retourner Ă lâĂąge de pierre, mais accĂ©lĂ©rer notre comprĂ©hension du monde par le dĂ©veloppement de lâintelligence qui accĂ©lĂ©rera notre propre pour cela que je disais, quâ fallaient nous harmoniser » avec cet ordre sous-jacent » quâil ne peut pas venir de lâidĂ©e humaine empirique actuelle que nous nous faisons du paradis ni de ce que nous considĂ©rons comme naturel », mais de la connaissance que nous aurons de ce que nous sommes. Et le dĂ©veloppement de lâintelligence y apportera sa si lâinstinct naturel permet aux Ătres de percevoir la sensation indĂ©finissable qui les relie Ă lâunivers[51], le Savoir et la connaissance leur permet dâen cerner plus justement les contours.[52]Ainsi, dans le chaos omniprĂ©sent, stable et structurĂ©[53], nous avons introduit par notre ordre ignorant », un dĂ©sordre » qui se rĂ©percutera.âŠdâun Ătre intelligentâŠNotre intelligence serait-elle encore si atrophiĂ©e ou si primaire quâil nous serait impossible de sortir de cette matĂ©rialitĂ© matĂ©rialitĂ© rĂ©elle », au sens de rĂ©s. » Ă©gale Ă la chose ». MatĂ©rialitĂ© qui, si elle est indispensable Ă notre survie, emprisonne aussi notre intelligence matĂ©rialisme[54] ne sâintĂ©resserait-il donc quâĂ la partie matĂ©rielle de lâexistence, en ignorant le spiritualisme[55], lui-mĂȘme est-il tenu dâignorer le matĂ©rialisme, comme si chacun dâeux disposait de la vĂ©ritĂ© dâun monde sensible et non objectif ».En effet, si nous nous situons dans la logique de lâĂ©volution de notre espĂšce, sa survivance est assurĂ©e par lâinnĂ©. Elle nâa pas toujours revĂȘtu lâaspect que nous lui connaissons, ce qui signifie que lâinnĂ©e gĂ©nĂ©tique est rĂ©ceptive aux acquis. Sans cela peut-ĂȘtre existerions-nous toujours sous la forme de procaryotes[56] qui vivaient sur terre, il y a plus de trois milliards dâannĂ©es. Alors ? Les procaryotes ils Ă©taient matĂ©rialistes ou spiritualistes ? Ni lâun ni lâautre ! Car si lâun des deux Ă©taient la VĂ©ritĂ© » lâautre nâexisterait pas et vice-versa, pourtant lâun et lâautre nous permettrons peut-ĂȘtre de trouver le mouvement » indispensable Ă notre Ă©volution, sous rĂ©serve que nous nâĂ©tablissions pas de fausses rĂ©gularitĂ©s. Par exemple, que tout est source dâaffrontements, et les fabriquer, parce nous ne savons pas comment nous y prendre pour maintenir lâĂ©mulation, la tension ou lâaiguillon qui rend imaginatif et est dâautant plus important quâayant compris que le biologique nâest pas soudainement ou brutalement affectĂ© par les Ă©vĂ©nements pour justifier dâune Ă©volution, sâil y a eu modification gĂ©nĂ©tique, nous pouvons considĂ©rer que des groupes cellulaires perçoivent les variations Ă©vĂ©nementielles et disposent dâun systĂšme sensoriel » autonome ou sont soumis Ă leur Ă©volution dynamique, mais aussi quâelle a pu se faire par transmission sensible dont la traduction se fait dans le cerveau. Ce quâignoraient nos ancĂȘtres qui en ont attribuĂ© une partie au divin, tout en Ă©tant des Ătres intelligents ayant saisi la distinction entre le matĂ©riel et le spirituel, sans avoir, tout comme nous, rĂ©ussi Ă en faire une jonction, une application harmonieuse.âŠcapable dâassumer son savoirâŠPour apprĂ©cier cette innĂ©e gĂ©nĂ©tique, cet innĂ© primitif, ces lois naturelles », nous prenons communĂ©ment, faute de mieux, nos rĂ©fĂ©rences dans lâobservation dâĂ©quivalence de lâexistence dâespĂšces animales. Nous y trouvons toutes les formes de pratiques assurant la survie de chaque espĂšce suivant nos dĂ©finitions, le cannibalisme, le parricide, le fratricide, lâinceste, lâorganisation matriarcale, patriarcale, la famille restreinte, conjugale, Ă©largie, la fidĂ©litĂ© et lâinfidĂ©litĂ© conjugale, la vie individuelle, collective, la sĂ©lection du meilleur reproducteur, la prolifĂ©ration de naissance, le suicide Ă©quilibrant, lâĂ©goĂŻsme, lâaltruisme tout cela ?Serions-nous tout cela, avec en plus ce que nous ne trouvons pas chez les espĂšces animales, la glorification de sâentre-tuer et le plaisir de faire souffrir. Cette remarque anthropomorphique nâest que la dĂ©finition de concepts pensĂ©s Ă partir de lâobservation de nos propres comportements, mise en parallĂšle Ă la vie dâautres le ou les schĂ©mas, le ou les structures qui seront les plus adaptĂ©s Ă notre propre dĂ©veloppement seront de plus en plus confirmĂ©s par la connaissance scientifique de notre espĂšce quâapporte le savoir biologie, neurologie, la physique atomique, quantique etc.. Sous rĂ©serve quâĂ un moment de leur existence, ces scientifiques aient aussi entendu parlĂ© de la philosophie et de la littĂ©rature, ce par quoi nous accĂ©dons Ă une fraction de la pensĂ© humaine de nos ancĂȘtres ; ce qui donne une Ăąme » Ă notre existence et Ă leur devrons alors, assumer la consĂ©quence de lâĂ©largissement de notre savoir incomplet, et encore certainement nous tromper.âŠmalgrĂ© ses erreursâŠSi par idĂ©e de la morale » nous excluons des comportements innĂ©s telle la rĂ©gulation naturelle de la prolifĂ©ration de lâespĂšce » dont nous nous en faisons certainement une fausse image en la calquant sur notre observation du monde animalier. Non pas que la comparaison soit inopportune, mais nos analyses anthropomorphiques nous ont conduite Ă bien des Ă©garements. Pourtant lâexistence de cette rĂ©gulation nous impose de nous substituer Ă lâinnĂ© » du moins câest le sentiment que nous en avons, mais je mâexpliquerais plus sur cela dans un essai consacrĂ© Ă lâimage du pĂšre, ce que nous avons dĂ©jĂ commencĂ© Ă faire par le contrĂŽle des contrĂŽle ne peut nous paraĂźtre que de caractĂšre culturel, mĂȘme si nous pouvons estimer, que le dĂ©veloppement de cette responsabilitĂ© culturelle est issu de lâinnĂ© dâoĂč nous lâavons fait surgir qui nâest autre que lâinnĂ© innĂ© primitif ancrĂ© en nous pour assurer la sauvegarde du dĂ©veloppement de notre espĂšce et sa mutation, face aux Ă©checs et aux erreurs de jugement de valeur que nous ne manquerons pas de commettre en assumant la responsabilitĂ© de gĂ©rer » ce dĂ©veloppement, comme autant dâessais quâil rester dans lâexemple de la rĂ©gulation de la population, ce nâest pas tant son nombre qui pose un problĂšme aujourdâhui que le rapport entre son nombre, et son aptitude Ă produire et Ă©vacuer ses dĂ©chets. DĂ©chets qui sont les consĂ©quences Ă©cologiques du besoin dâassurer notre subsistance et notre existence, en fonction des techniques que nous mettons en effet, si nous devions vivre Ă partir des seuls moyens primitifs, la cueillette et la chasse, compte tenu de la population actuelle, notre planĂšte serait un dĂ©sert et la famine nous nâen demeurons pas moins toujours soumis Ă une analyse malthusienne, nâosant imaginer dâautres formes de nourriture, tant sa production naturelle » est partie intĂ©grante dâun rythme sociobiologique »,[57] et dâun statut ce, mĂȘme si cette production alimentaire Ă©levĂ©e au rang dâart gastronomique ou de mode dans les pays riches y tue par excĂšs et par pĂ©nurie Ă©lĂ©mentaire dans dâautres, malgrĂ© les prouesses que nous permet la chimie molĂ©culaire ou la nous prĂ©fĂ©rons mourir dâun cholestĂ©rol que nous connaissons, et voir dâautres mourir dâune famine saine», plutĂŽt que de faire face aux risques de produits, dit artificiel ou aux risques gĂ©nĂ©tiques inconnus. Ceci, plus parce que nous avons aussi des scientifiques qui nâont jamais entendu parlĂ© de philo ou de littĂ©rature, et encore moins de condition humaine si elle ne ressemble pas Ă un dollar. Naturellement le risque zĂ©ro n'existe pas, et il est de plus en plus mal espĂ©rĂ© par les hommes, donnant lieu Ă des polĂ©miques sur les responsabilitĂ©s, parce que les hommes se sont illusionnĂ©s autour du progrĂšs technique et scientifique croyant que grĂące Ă lui tous les problĂšmes peuvent ĂȘtre Ă©vitĂ©s, encouragĂ©s en cela par leurs promoteurs Ă©conomiques et politiques, confortĂ© par notre sournois dĂ©sir latent de ne pas vouloir pour cela que lâusage de certaines dĂ©couvertes de la science ne peut ĂȘtre laissĂ©e au seul domaine marchant mĂȘme, si le contrĂŽle citoyen nâest pas une garantie en soi, du fait de leurs compĂ©tences limitĂ©es et dâune espĂ©rance parfois nous trouvons donc sous la double problĂ©matique de laisser Ă un domaine marchant, dont le but affichĂ© est le profit, lâusage de dĂ©couvertes sensibles, et en mĂȘme temps nous demandons Ă ces mĂȘmes dĂ©couvreurs et producteurs de nous garantir dans lâabsolu le risque zĂ©ro ; ensuite nous leur demandons de devoir nourrir une population grandissante que nous cherchons Ă rĂ©guler et qui exige toujours plus de nourriture, en mĂȘme temps que la nourriture naturelle » se rarĂ©fie. Pourtant malgrĂ© les risques scientifiques lâerreur critiquable est de disposer de la capacitĂ© de nourrir la population et de considĂ©rer quâelle est trop nombreuse, non par rapport Ă notre capacitĂ© productrice, mais par rapport Ă la circulation des disponibilitĂ©s financiĂšres qui voudront bien sâinvestir dans ce si nous considĂ©rons encore comme Malthus que des hommes ne doivent pas ĂȘtre invitĂ©s au banquet, câest moins par absence de nourriture que des profits qui ne peuvent se rĂ©aliser sur sa production, et de ce fait nous gĂ©rons notre rĂ©gulation sur des critĂšres de rapports financiersâŠcomme Malthus nâavait pas su extrapoler les consĂ©quences de la technologie de son Ă©poque, nous, nous avons peur de la nĂŽtre, et nous en connaissons les raisons. Bien que nous nâen finirons jamais dans la dĂ©finition de ce qui est normal ou pas, naturel ou pas » si nous nâaccordons pas plus dâimportance Ă la rĂ©flexion intellectuelle. Cette rĂ©flexion intellectuelle peut ĂȘtre utilisĂ©e pour examiner nos comportements face Ă lâaccroissement de la connaissance de notre espĂšce et des mĂ©canismes Ă©motionnels qui assurent son dĂ©veloppement et qui la pousse Ă se gaver » et exiger toujours plus de nourriture » au sens gĂ©nĂ©rique biens et services en fonction dâune construction psychique qui boulimise ».Cette intelligence en rĂ©amĂ©nageant nos schĂ©mas, engendrant tant de paradoxes, devrait nous permettre de ne pas recommencer les erreurs de Malthus en justifiant lâexclusion de celui qui est en trop Ă notre table, mĂȘme sâil vient un jour oĂč il aura eu raison, car la planĂšte nâest pas - Face Ă la sĂ©lection naturelle, Ă lâexclusion, et Ă la production de nos maux qui ne sont pas Ă la sĂ©lection naturelle »âŠDepuis longtemps, la sĂ©lection naturelle » Ă laquelle nous nous rĂ©fĂ©rons si souvent, en ayant Ă lâesprit celle de certaines espĂšces dâoĂč Ă©mane un dominant rĂ©fĂ©rentiel guide ou meilleur reproducteur, nâexiste plus Ă notre regard dans la plus part de nos structures sociales affectĂ©es par le culturel ».Nous pouvons estimer quelle sâest Ă©tiolĂ©e, Ă partir de lâinstant oĂč lâhumain sâest dotĂ© de sa reprĂ©sentation qui a dĂ©fini des organisations sociales basĂ©es sur la morale » sacrĂ©e ou profane, et ensuite des dâoutils pour produire et sâentre-tuer qui ont permis Ă certains dâaccĂ©der au rĂŽle de guide divin ou dâĂ©lu de cette nos organisations fluctuent constamment entre lâordre et le dĂ©sordre pour prĂ©server lâespĂšce de tous schĂ©mas qui se sclĂ©roseraient, cela conduit Ă ce que se substitue Ă un fait social un autre fait social qui devient Ă son tour majoritaire, cela sous la direction dâun rĂ©fĂ©rant, mystique, idĂ©ologique, structurel ou utopique. Donc lâabsence de dominant rĂ©fĂ©rentiel permettra aux moins aptes, en utilisant les structures organisationnelles dâaccĂ©der au pouvoir. Structure organisationnelle qui gĂ©nĂšre ce que jâai appelĂ© les dominants systĂ©miques » et que je traiterai dans lâessai sur les des rois de France en fourmille dâexemples, et notre monde contemporain en est si nous devons accepter lâidĂ©e que celui que je qualifie dâinapte dans les organisations dĂ©mocratiques est notre propre reflet, uniquement parce quâil est la reprĂ©sentation de la majoritĂ© de ceux qui lâont Ă©lu. Nous pouvons le constater quand le dĂ©bat politique se situe au-dessous de la ceinture ou a lâodeur dâexcrĂ©ment, je vous laisse en tirer les fut parfois le cas des formules populistes qui, si elles peuvent ĂȘtre aptes Ă soulever des besoins, et ĂȘtre le reflet dâune opinion publique, fabriquent aussi du fascisme et lâintolĂ©rance sĂ©lection naturelle » populaire nâest donc que le rĂ©sultat produit par nos organisations sociales systĂ©miques[58], puisque nous avons refoulĂ© certains de nos comportements, correspondant Ă une sĂ©lection primitive culturelle[59] », comme asociaux. Nous ne dĂ©veloppons donc pour notre comprĂ©hension quâune sĂ©lection culturelle systĂ©mique phagocytaire par le fait social, phagocytaire parce quâelle ne recherche pas le dĂ©bat, mais lâabsorption, la destruction de ce qui ne correspond pas Ă lâunicitĂ© de sa construction, quâelle soit mystique, idĂ©ologique, structurelle ou utopique. Il est bien donc difficile de dĂ©terminer ce qui est objet de la sĂ©lection naturelle, de ce qui est la rĂ©ponse de cette sĂ©lection naturelle qui se recompose sans limite par les fantasmes, comme une rĂ©ponse pour outrepasser les interdits culturels qui lui font obstacles, et qui en gĂ©nĂšrent certains qui vont bien au-delĂ de ce que la sĂ©lection naturelle permettrait. Afin dâen avoir une idĂ©e, pour toutes mesures il ne nous reste comme rĂ©fĂ©rence que les fonctions propres de nos organes, tout en sachant qui peuvent rĂ©pondre Ă des usages pour lesquels ils nâĂ©taient pas conçus dans le cadre de lâĂ©volution, et ĂȘtre destinĂ©s Ă des fins culturelles que nous leur assignons qui se pĂ©renniseront ou bien que quand nous disposons des moyens de crĂ©er lâabondance et que nous maintenons lâexclusion quels quâen soient les justifications, nous sommes dans le mythe de la sĂ©lection naturelle ». Nous sommes dans la culture idĂ©ologique de lâindividualisme[60], car elle conduit des hommes qui vivent au quotidien les uns des autres Ă dĂ©nier leur intĂ©rĂȘt communautaire et leur laisser entrevoir une finalitĂ© humaine qui serait la recherche de lâindividualisme, parce que enfin ultime nous sommes dotĂ©s des attributs du monde du vivant pour survivre envers et contre tous.âŠĂ lâexclusionâŠJe prendrais lâexemple des citĂ©s dites difficiles. Lâexclusion, Ă©conomique et xĂ©nophobe, qui sâappliquent Ă certaines personnes de la population, les pousseraient Ă la nĂ©vrose, et au-delĂ au suicide, si elles Ă©taient individuellement isolĂ©es. Si ces personnes survivent, câest parce quâelles se sont regroupĂ©es dans des zones, oĂč elles y dĂ©veloppent une communautĂ© dâexclus Ă©difiants leurs propres rĂšgles, assurant ainsi leur quand des responsables politiques nous demandent ou pas, de remettre en cause les raisons qui les y ont conduite, lâabsence de ressources, et la reconnaissance de leur diffĂ©rence culturelle pour certains, par regroupement communautaire, intĂ©gration, etc., nous nous y refusons inconsciemment ou non. Nous prĂ©fĂ©rons ne regarder que les manquements Ă lâordre Ă©tabli et employer la rĂ©pression policiĂšre plutĂŽt que faire appel Ă une » politique budgĂ©taire, que nous avons limitĂ© communautairement Ă 3%, qui permettrait dâĂ©laborer les ponts nĂ©cessaires aux confrontations culturelles ethniques. Quand nous savons quâil faut deux ou trois gĂ©nĂ©rations pour une acculturation. Cette politique restreint ainsi notre action sociale et Ă©conomique en direction de ces zones, et nous croyons que les structures libĂ©rales » qui ont créé ces exclus vont y remĂ©dier, ou bien nous imaginons que câest parce ses membres seront rĂ©partis individuellement dans le groupe, quâils ne seront pas isolĂ©s pour autant, Ă©conomiquement ou par la nous nâavons pas compris que dans la sociĂ©tĂ© riche du consumĂ©risme actuel lâidentification sâeffectue par sa propension Ă consommer, par le statut social quâoffre le travail, et que nous refusons aux exclus cette nous nâavons pas compris que la variation dâun Ă©lĂ©ment de notre ensemble se rĂ©percute inĂ©vitablement en gĂ©nĂ©rant des dĂ©veloppements inattendus, de telle maniĂšre que les exclus exhiberont des modifications[61] dans lâorganisation de lâensemble dâune population ; alors nous ferons de nos Ă©lus des inaptes que nous accableront de nos propres turpitudes, et nous rechercherons une rĂ©ponse policiĂšre Ă un problĂšme socio-Ă©conomique qui se confondra avec le maintien de lâordre public, voire engendrera lâautoritarisme, le totalitarisme et au pire le lâexemple choisi, la rĂ©pression policiĂšre nây changera rien, sauf Ă accroĂźtre la frustration si nous conservons encore Ă lâesprit que la morale » institutionnelle, familiale, religieuse, scolaire, a pour but de faire accepter la misĂšre et la pauvretĂ©, et nous cacher de nos propres responsabilitĂ©s dâacteurs sociaux.âŠet Ă la production de nos mauxâŠIl en rĂ©sulte que faute dapporter une rĂ©ponse socio-Ă©conomique, nous fabriquons des dĂ©linquants et des criminels. Plus actuel, nous sommes en passe de crĂ©er des criminels de la effet lâĂ©volution des performances mĂ©caniques fait de nos vĂ©hicules des machines fiables rĂ©pondant Ă un dĂ©sir dâaccĂ©lĂ©ration qui dĂ©coule de nos structures sociales dans lesquelles nous y vivons pressĂ©s, quâillustre correctement lâidiome le temps câest de lâargent. » Il nâest donc pas anormal de retrouver ce besoin de vitesse quand nous sommes au volant dâun vĂ©hicule, dont la vitesse et la puissance leurs performances sont un argument de vente incitatif, et dont les dites performances sont de moins en moins perceptibles dans la conduite de ces vĂ©hicules grĂące au confort de conduite. Or notre rĂ©seau routier hors auto route date dâĂ©poques oĂč il nây avait que des chevaux et une circulation restreinte de vĂ©hicule peu rapide. Faute dâavoir pu adapter le rĂ©seau routier au nombre et Ă la vitesse des vĂ©hicules dâaujourdâhui, ou la vitesse des vĂ©hicules Ă celles du rĂ©seau, nous avons accru la lĂ©gislation routiĂšre, imposant ainsi de plus en plus de contraintes. Naturellement, il aurait Ă©tĂ© plus facile de demander aux constructeurs de rĂ©duire la vitesse de leur vĂ©hicule, mais cela ne convenait pas aux besoins de consommation qui ont Ă©tĂ© un support du dĂ©veloppement de lâindustrie automobile, et la mise aux normes dâun rĂ©seau routier appropriĂ©, nâaurait pu soutenir le rythme des innovations technologiques des vĂ©hicules en matiĂšre de vitesse. De telle maniĂšre que pour faire face Ă cette Ă©volution gĂ©nĂ©ratrice dâaccidents nous rĂ©glementons jusque dans les comportements sociaux. Comportements sociaux qui sont mis en exergue dans dâautres champs de nos activitĂ©s ou loisirs comme qualitĂ© vitesse par exemple, on veut que tout aille et se face rapidement, et qui deviennent synonyme de dangerositĂ© au volant dâun vĂ©hicule. Pour ne prendre que le plus rĂ©pandu, lâalcoolĂ©mie, nous incitons Ă consommer par raisons culturelles, Ă©conomique, par sa fonction dĂ©s inhibitrice conviviale, et nous lâinterdisons avec de justes raisons au volant dâun vĂ©hicule, par des campagnes dâinformations qui sensibilisent, mais Ă©galement cristallisent lâopinion quelles que soient les mesures de rĂ©torsion qui pourront ĂȘtre prises ou dâappel Ă la responsabilitĂ© ou amĂ©nagements techniques routiers et autres pour rĂ©duire les accidents, il existera toujours un nombre de concordances dâĂ©vĂ©nements qui conduiront Ă des accidents mortels, non par fatalisme, mais par occurrence, suivant en cela la rĂšgle des probabilitĂ©s ; qui indique que les Ă©vĂ©nements sont dĂ©terminĂ©s par ceux qui les prĂ©cĂ©dent, et que forcĂ©ment leur conjonction produira lâĂ©vĂ©nement tant que ceux qui le prĂ©cĂ©dent existeront. Et toutes actions menĂ©es dans le sens de leurs rĂ©ductions feront apparaĂźtre ceux qui subsisteront comme intolĂ©rables. De telle maniĂšre que, parce que leur nombre dâaccidents se rĂ©duira nous aurons tendance Ă juger criminels ceux qui subsisteront. Ainsi, autour de lâĂ©motion mĂ©diatique que les accidents de la route suscitent, nous sommes en passe de dĂ©finir un statut du criminel de la route par facilitĂ©, en pensant que faire passer une infraction de dĂ©lit Ă crime fera disparaĂźtre les occurrences que nous avons consiste Ă avoir une demande de vĂ©hicules qui roulent de plus en plus vite, et sâinterdire dâutiliser leur puissance parce que nous nâavons pas créé les infrastructures adĂ©quates. Pour que les rĂšgles de la circulation routiĂšre soient respectĂ©es dâune maniĂšre quasi instinctive il faudrait quâelles sâinscrivent dans le conscient profond. Alors, si nous voulons rĂ©duire les nuisances liĂ©es Ă lâutilisation des vĂ©hicules, câest la demande quâil faudrait modifier, sommes-nous prĂȘt pour le faire ?Pour lâinstant nous avons fait le choix de la criminalisation ; sous la pression complexe dâune part des familles de victimes avec de comprĂ©hensibles raisons, ensuite des campagnes mĂ©diatiquo-politiquo-socios affectives » Ă©lectoralistes » et de lâhypocrisie des constructeurs qui se dĂ©chargent sur la responsabilitĂ© des citoyens. Citoyens qui eux mĂȘme prĂ©fĂšrent criminaliser certains dâentre eux, comme si câĂ©tait une condition qui allait de soi, plutĂŽt que de remettre en cause la construction automobile et la globalitĂ© des moyens de transports. Et pour ĂȘtre cruel jusquâau bout du raisonnement, sâil Ă©tait envisageable dâinterdire lâalcool, des technocrates Ă©valueraient les profits Ă©conomiques quâils rapportent et les emplois quâils induisent, face au coup des pertes de vie quâils causent. Ainsi lâon ne peut pas sous le coup dâune Ă©motion terrible se laisser aller Ă qualifier de criminel nâimporte lequel de nos comportements, mĂȘme sâil faut revoir nos activitĂ©s Ă risques mortelImaginer seulement un instant que le tabac tombe sous le coup de la lĂ©gislation de la drogue. Les fumeurs deviendraient des dĂ©linquants, les fabricants et les revendeurs des criminels. Câest un pas que nâont pas osĂ© franchir les AmĂ©ricains, se contentant dâindemnisations, parce quâil y a des millions de gens qui fument, et quâils ne sont pas encore assez fou dans leur jugement pour si auto proclamer criminel, mais ils nâhĂ©siteraient pas Ă le faire sâil sâagissait dâune ces rĂ©flexions n'ĂŽtent rien Ă la souffrance des victimes auxquelles il ne peut ĂȘtre demander de raisonner quand leur souffrance Ă©motionnelle rĂ©clame ceci peut nous faire comprendre que lâĂ©volution technologique et scientifique de ces cinquante derniĂšres annĂ©es ont bousculĂ© des structures sociales qui ne leur sont plus adaptĂ©es. Ces Ă©volutions nâont pu ĂȘtre encore intĂ©grĂ©es dans les structures et dans lâacquis culturel par toutes les gĂ©nĂ©rations, et la rĂ©fĂ©rence Ă certaines lois empiriques» et valeurs traditionnelles Ă©cole, famille, religions, patrie ne nous sont dâaucun recours, lĂ , oĂč doit se dĂ©velopper la rĂ©flexion et la insuffisances des lieux de repĂšres traditionnels sont ressenties comme un effondrement, lĂ , oĂč il ne sâagit que dâune transformation trop rapide de valeurs qui sâadaptent Ă lâĂ©volution des structures sociales et Ă©conomiques, mĂȘme si certaines, comme dans lâenseignement, laissent Ă dĂ©sirer ou aggrave la rĂ©fĂ©rence de lâĂ©cole. Transformation socioĂ©conomique particuliĂšrement par la double reprĂ©sentation hiĂ©rarchie de lâimage du pĂšre » qui peut ĂȘtre exercĂ©e par la mĂšre » qui a acquise une autonomie. Sauf pour ceux qui les utilisent pour justifier ou maintenir leurs vues intĂ©gristes ou qui proposent seulement Ă la place de la rĂ©flexion Ă©ducative devant la complexitĂ© croissante, lâaction judiciaire et policiĂšre. Actions judiciaires et policiĂšres qui indiquent que nous fabriquons de plus en plus de consĂ©quence, Ă©tant les producteurs de nos maux il nous est indispensable dâen connaĂźtre les raisons quand nous devons les apprĂ©hender, et comprendre quâils ne sont pas inĂ©vitables.âŠqui ne sont pas inĂ©vitables !Câest peut-ĂȘtre Ă©galement pourquoi aussi, la vulgarisation de la connaissance des lois gĂ©nĂ©riques fondamentales connues aujourdâhui serait de nature Ă faire franchir un nouveau seuil Ă lâacquis culturel » notre capacitĂ© innovante, en rĂ©duisant les Ă©vĂ©nements qui mettent en exergue notre capacitĂ© Ă nous auto dĂ©truire, anticipant sottement une fin programmĂ©e. Mais pour cela, il faudra peut-ĂȘtre repenser lâenseignement, et y intĂ©grer assez tĂŽt ce qui est devenu une affaire de spĂ©cialistes, la sociologie et la psychologie, et dâautres ; mais surtout revenir Ă une formation gĂ©nĂ©raliste solide qui puisse permettre la comprĂ©hension de disciplines plus dures dont on ne pourra pas faire lâĂ©conomie si lâon veut sâassurer dâune progression intellectuelle. Pour lâinstant ce nâest pas ce choix qui a Ă©tait fait. Il ne faut pas pour autant imaginer que cela nous dispensera de lâeffort et de lâenvie de la rĂ©flexion tant notre existence est complexe. Alors peut ĂȘtre en prenant conscience grĂące au savoir quâil nây a pas de fatalitĂ© mais seulement des conjonctions dâĂ©vĂ©nements, nous rĂ©duiront nos maux qui sont en augmentations exponentielles. Des conjonctions dâĂ©vĂ©nements qui ont gĂ©nĂ©rĂ© ce que je prĂ©sente comme image gĂ©nĂ©rale de notre monde dans les paragraphes qui conjonctions dâĂ©vĂ©nements dont nous sommes seulement les acteurs dâune piĂšce collective, car mĂȘme quand nous nous considĂ©rons en ĂȘtre les auteurs individuels crĂ©atifs » nous le devons aux conjonctions Ă©vĂ©nementielles prĂ©cĂ©dentes. Ceci, limite de fait cette obsession de la responsabilitĂ© totale de lâindividu Ă laquelle nous tenons tant, parce que nous ne pouvons pas mettre en prisons lâĂ©vĂ©nement culturel en soi», et encore moins la thĂ©orie sur les probabilitĂ©s. Et lĂ , oĂč la connaissance de la genĂšse des Ă©vĂ©nements devrait nous conduire Ă une rĂ©flexion conciliatrice rĂ©paratrice, nous dĂ©veloppons les pulsions et passions Ă©motionnelles source dâ de nos maux ne sont donc pas inĂ©vitables pour peu que lâon veuille sâinstruise de leur genĂšse quâil faut dĂ©couvrir dans un ensemble oĂč lâespace est occupĂ© par les possĂ©dants7 â Perdu au milieu dâun ensemble allant, du clan Ă lâĂtat et au clan financier, dans un espace occupĂ© par les possĂ©dantsPerdu au milieu dâun ensemble allant du clan Ă lâĂtat et au retour au clan financierâŠCependant rĂ©duire nos maux câest une voie plus que difficile dans la rĂ©alitĂ© que nous cours de son Ă©volution, lâHomme sâest sĂ©dentarisĂ© dans des espaces dĂ©limitĂ©s Ă la mesure de ses besoins Ă©conomiques, et de son esprit » conquĂ©rant, le clan, la tribu, lâĂtat. Aussi dramatique que soit son histoire Humaine », ce besoin demeure vivace, et se manifeste encore aujourdâhui par des luttes concurrentielles, dont certaines Ă visĂ©es monopolistiques, les deux allant parfois de concert, ou parfois encore, dans des conflits territoriaux espace culturel et politique, qui donnent le plus souvent des confrontations dominatrices par lâaccumulation de puissance militaire, Ă©conomique ou financiĂšre, Ă lâĂ©chelle la puissance militaire demeure lâapanage des Ătats, la puissance, Ă©conomique ou financiĂšre, ou les deux Ă la fois, peuvent ĂȘtre dĂ©tenues par des particuliers, qui de ce fait confĂšrent Ă certains dâentre eux, plus de puissance que beaucoup dâĂtats[62], et qui peuvent ĂȘtre regardĂ©s dans lâensemble comme des clans la sorte un Homme peut dans un tel ensemble se sentir perdu et renoncer.⊠dans un espace occupĂ©âŠDâautant plus quâil naĂźt dans un espace occupĂ©. Dans sa sĂ©dentarisation, lâhomme sâest appropriĂ© la planĂšte. Il y a dĂ©fini des rĂšgles propriĂ©tales » arbitraires, Ă tel point quâĂ lâextĂ©rieur des communautĂ©s humaines, aucun espace disponible nâexiste, pour quâun Etre puisse sây dĂ©velopper. Ces rĂšgles modifient en cela lâinterdĂ©pendance de lâindividu et du groupe, des groupes entre eux, et la circulation dâindividus dâun groupe Ă un autre par opposition au nomadisme dans un espace libre.Ainsi, câest de son habiletĂ© Ă ordonner cette interactivitĂ©, Ă rĂ©guler la sĂ©lection naturelle culturalisĂ©e» pour lâaccession aux ressources des diffĂ©rents groupes, que surgiront ou non des possĂ©dants, des exclus et nos maux.âŠpar des possĂ©dants sans limites. En façonnant son espace, lâhomme a dĂ©couvert des matiĂšres premiĂšres, et a créé des matĂ©riels et matĂ©riaux, sources de mieux ĂȘtre, eux-mĂȘmes enviables pour plus de bien ĂȘtre, tel le machinisme, dont il retire au-delĂ , plus de considĂ©rations, de puissances, dâautoritĂ©s pour sâaffirmer individuellement ou le sens de la possession, il en a Ă©tendu sa pratique Ă tout bien matĂ©riel ou non culture, Ă©levage, domestication animale, services. Ăgalement Ă sa propre espĂšce, en sâassujettissant et sâesclavagisant », pour se contenir dans une organisation mercantile puis monĂ©tariste, et consumĂ©riste en dehors de laquelle nâapparaĂźt pas dâautres possibilitĂ©s de croissance, que la production exponentielle in fine de biens et les biens et services sont devenus le dĂ©nominateur commun de richesses, qui repose sur un capital confiance et de â Sur quoi repose cette richesse, si ce nâest sur un capital confiance ou une crĂ©dulitĂ©, dans un puzzle infini de contraintesSur quoi repose cette richesse, si ce nâest sur un capital confiance ou une crĂ©dulitĂ© âŠSon intelligence a permis Ă lâhomme de dĂ©couvrir des mĂ©canismes de la connaissance de soi, comme celle de son Univers. Au passage, il crĂ©a des sociĂ©tĂ©s mystiques, dĂ©montrant sâil le fallait, que dâun concept paraissant dĂ©nuĂ© de rĂ©alité» peuvent jaillir des organisations sociales durables, et des courants de pensĂ©es omniprĂ©sents, mettant en exergue lâindispensable capital confiance ou crĂ©dulitĂ© suivant les circonstances. Bien que ce que nous appelons mystique ne soit que la perception dâune appartenance concrĂšte Ă un ensemble dont nous ne pouvons donner une juste dĂ©finition autrement que par des schĂ©mas abstraits mal dĂ©finis, souvent invalidant dâabsolutisme, du fait mĂȘme de lâĂtre inachevĂ© que nous sommes qui se bonifiera ou disparaĂźtra dans la logique de lâĂ©volution. Bien que le mysticisme ne soit que la piĂštre dĂ©finition de la comprĂ©hension dâun Ătre intelligent, qui Ă un moment de son histoire en prenant conscience de la mort, a du vouloir exercer un contrĂŽle sur les rĂ©gularitĂ©s quâil devait observer y conduire, et qui pouvaient nâĂȘtre que la sĂ©lection naturelle de toute espĂšce vivante, quâil a bornĂ© dâinterdits ?Un mysticisme qui se recompose par les sciences, et nous passera de la crĂ©dule confiance Ă la confiance mesurĂ©e sur la route conduisant Ă lâhominisation.⊠dans un puzzle de comportements naturels » en concepts dits irrĂ©els, lâhomme sâest construit un monde de connaissance et de savoir, oĂč cohabitent apparemment » des le mĂȘme temps, la connaissance approfondie, le savoir grandissant, les ressources surabondantes, les idĂ©aux et courants de pensĂ©es multiples ont complexifiĂ© lâorganisation et la comprĂ©hension du analogie, notre monde ressemblerait Ă un puzzle en expansion oĂč chaque piĂšce se renouvelle, se multiplie, varie de forme, de couleur, de place, et modĂšlerait une image sans cesse changeante. Un puzzle que nous nâavons aucune chance de lire dans son ensemble par notre seul regard, et mĂȘme si nous nous situions dans une position hypothĂ©tique dâobservateur, nous ne pourrions observer et comprendre que le passĂ©, car le temps de dĂ©coder ce que nous observons, lâimage que nous dĂ©finissons nâexiste plus. Si bien que lâĂ©troitesse de notre regard ne nous permet dâexister que par dĂ©faut tout en Ă©tant partie intĂ©grante du monde objectif. Monde objectif que nous devons percevoir par nos sens, et câest cet apparent paradoxe qui a certainement donnĂ© naissance Ă la rĂ©currente querelle des matĂ©rialistes et des toute cette complexitĂ© peut ĂȘtre formulĂ©e par des rĂšgles mathĂ©matiques, qui sans ĂȘtre absolues, rĂ©duisent lâincertitude des probabilitĂ©s dans la survenance dâun Ă©vĂ©nement, et elles nous ont ouvert la porte Ă ce que nous ne voyons pas.⊠de comme hier, le ou les dominants demeurent, le ou les possesseurs des ressources Ă©conomiques, et ceci indĂ©pendamment des moyens pour y parvenir, qui vont de la force brute Ă lâintelligence la plus subtile. Je pense Ă toutes les conquĂȘtes territoriales, comme Ă toutes les unions et alliances dâintĂ©rĂȘts dâhier, et aux concentrations et fusions dâaujourdâ que soient les visages multiples et Ă©phĂ©mĂšres quâils revĂȘtent, quâils soient personnifiĂ©s, institutionnalisĂ©s ou thĂ©orisĂ©s, leurs pouvoirs rĂ©sultent de lâaction contraignante exercĂ©e sur le ou les groupes exemple, la Bible relate que le Seigneur a mis toutes choses au service des hommes. Cette contrainte, pour ceux qui lâacceptent, leur retire la paternitĂ© de toutes leurs innovations, puisque le postulat Ă©noncĂ© sous-entend quâelles ne peuvent lâĂȘtre que grĂące Ă la bienveillance du Seigneur. Dans cet exemple, le dominant Dieu est irrĂ©el, et se manifeste par la confiance accordĂ©e Ă un postulat. Dans celui des thĂ©ories monĂ©taires, câest la masse des capitaux qui influencent ou contestent les dĂ©cisions politiques les contraint, par ex FMI, fuite des capitaux et repose Ă©galement sur la confiance accordĂ©e Ă un systĂšme tout aussi irrĂ©el et fictif quâun dieu, la monnaie, cela dans un parcours qui fut long, Ă lâimage de lâorganisation du temps 5000 ans. Temps, dont il est impensable dans nos sociĂ©tĂ©s productivistes de ne pas dâĂ©voquer, puisquâil est aussi structurant quâun livre dâhistoire ou de â Un puzzle dans lequel il existe deux constantes incontournables dâune rĂ©alitĂ© » persistante mise en Ă©vidence depuis puzzle dans lequel il existe deux constantes incontournablesâŠToutefois, lâhomme a dĂ» gĂ©rer deux constantes Le temps qui sâĂ©coule ou la vie qui passe nous a conduit Ă des innovations de mesures. Une des premiĂšres mesures de temps connus sera le nilomĂštre » chez les Ăgyptiens. Ils mesuraient les crues annuelles du Nil. Ensuite ils mirent en place lâannĂ©e du Nil » de 360 + 5 j, 4241 avant Puis, viennent dâautres instruments de conservation de lâheure, du clepsydre » au cadran solaire et horloges Ă Ă©chappement, jusquâĂ notre montre actuelle. Ensuite il a fallu passer des heures locales Ă une rĂ©fĂ©rence universelle, ce sont les 24 fuseaux horaires qui divisent le globe, issus dâune proposition canadienne, et dont le mĂ©ridien rĂ©fĂ©rence de Greenwich sert de base de dĂ©part. La France y adhĂšre le 9 mars lâobservation de la lune et du soleil, lâHomme en a tirĂ© la notion de mois et dâannĂ©es. Ensuite, il a dĂ©comptĂ© le temps en semaines inĂ©gales, au grĂ© des croyances il a Ă©tĂ© dĂ©couvert au moins quinze façons de regrouper les jours par paquets » de cinq Ă dix[63]. Câest ainsi que notre semaine est dâorigine romaine et astrale dimanche / soleil, lundi / lune, mardi / mars, mercredi / mercure, jeudi / Jupiter, vendredi / vĂ©nus, samedi / saturne. Un autre Ă©vĂ©nement participe Ă lâutilisation optimale du temps, la lumiĂšre. Du flambeau Ă la bougie et Ă lâĂ©clairage tel que nous le connaissons, elle permet lâutilisation de la pĂ©riode nocturne pour toute temps ainsi segmentĂ©, aprĂšs 5000 ans et plus de tergiversations, scande notre existence. Il est devenu un Ă©lĂ©ment fondateur de notre Ă©conomie productiviste ce que nous pouvons faire dans un temps donnĂ©, mais aussi un sujet important de controverse dans lâutilisation de sa rĂ©partition par les hommes travail / repos, mĂȘme sâil sâagit du temps conventionnel. Si fondateur, que donner lâheure » est devenu aussi banal que de boire, comme si elle Ă©tait apparue Le renouvellement de lâespĂšce, par la gestion de lâaccroissement de la population, au travers de directives religieuses multipliez-vous et peuplez toute la terre[64], puis toujours au travers de politique de natalitĂ© ou dĂ©natalitĂ©, et de migration en fonction des structurations socio-Ă©conomique, et des limites territoriales des Ătats. De maniĂšre que la pensĂ©e Malthusienne dans ce domaine soit devenue une rĂ©fĂ©rence indicative la mort et la fĂ©conditĂ© sont deux constantes incontournables de la rĂ©alitĂ© de hier et dâaujourdâhui qui ont gĂ©nĂ©rĂ© des rĂ©fĂ©rences structurantes.⊠dâune rĂ©alitĂ© persistanteâŠJe peux ici rappeler la pensĂ©e Malthusienne, Un homme qui nĂ© dans un monde dĂ©jĂ occupĂ©, sâil ne peut obtenir de ses parents la substance, et si la sociĂ©tĂ© nâa pas besoin de son travail, nâa aucun droit de rĂ©clamer la plus petite portion de nourriture, et en fait, il est de trop. Au grand banquet de la nature, il nây a pas de couverts mis pour lui. Elle lui commande de sâen aller, et elle met ses ordres Ă exĂ©cution, sâil ne peut recourir Ă la compassion de quelques convives du banquet[65] ». En partant simplement de lâobservation de la nature si nous sommes bien convaincus des maux quâentraĂźnent un excĂšs de populationâŠ. Je ne vois pas comment un homme qui base sa morale sur le principe de lâutilitĂ© peut Ă©chapper Ă la conclusion que la contrainte morale ou abstention du mariage est pour nous un devoir jusquâau moment oĂč nous sommes en mesure dâentretenir une famille »[66].Pour ceux que cela choque, quâils me disent si dans leur quotidien ils nâont jamais entendu dire Une guerre rĂ©glerait le problĂšme du chĂŽmage », il faudrait une bonne guerre » ou pour me marier jâattends de trouver un emploi stable », ce nâest pas tout dâavoir des enfants, il faut pouvoir les Ă©lever », etc. Si lâoccident a souvent menĂ© une politique nataliste et migratoire, dâautres faisaient leur la pensĂ© Malthusienne.⊠mise en Ă©vidence depuis rĂ©alitĂ© de la pensĂ© malthusienne Ă trouvĂ© son Ă©vidence en Inde en fonction des rĂ©alitĂ©s de lâĂ©poque. Câest ainsi quâen Inde et en Chine depuis 1950, sont menĂ©es des politiques de planification familiale anti-natalistes, allant de la simple incitation avantages sociaux aux familles acceptants de limiter leurs naissances, Ă la dissuasion, voire la contrainte campagnes de stĂ©rilisation forcĂ©e, menace de prison, nombre et choix du sexe de lâenfant. Ceci pour rappeler la prĂ©occupation constante de la nĂ©cessaire apprĂ©ciation de lâĂ©volution dĂ©mographique de notre espĂšce qui engendre la maĂźtrise de ses sources nourriciĂšres et ces deux constantes de nos vies sont des rĂ©alitĂ©s pesantes dont aujourdâhui lâutilisation infinitĂ©simal du temps et la fĂ©conditĂ© globale croissante modifient nos existences et engagent lâavenir â Avenir quâil faudra bĂątir de compassion pour affronter les peurs au-delĂ de nos certitudes, dans une dynamique progressiste pour se rĂ©partir le temps, vers une dynamique de temps quâil faudra bĂątir de compassionâŠNous sommes lĂ , avec Malthus 1766/1834, en pleine interprĂ©tation de lâinnĂ© primitif, comme objectivation de ce que nous nommons les lois naturelles », reportĂ© Ă lâexamen de lâaccroissement des populations, par une observation en un instant donnĂ© de lâhistoire humaine quâil effet, en 1800, il y avait 954 millions dâhumains[67] aujourdâhui nous sommes 6 milliards. Comme quoi quand nous nous rĂ©fĂ©rons aux lois naturelles », il est utile de les interprĂ©ter avec une certaine prudence ! Dâune part parce que nous nâavons pas accĂšs au futur, bien quâil puisse ĂȘtre contenu dans notre capacitĂ© rĂ©flexive lâidĂ©al, lâutopie, le but, la dĂ©sidĂ©rabilitĂ©, dâautre part, parce quâen lâespĂšce, dans les citations de Malthus, la compassion » aurait eu de meilleur effet que la valeur dâutilitĂ©. Cette compassion altruisme, que nous pouvons attribuer Ă cet innĂ© primitif que nous ne cessons dâessayer de dĂ©finir et de complĂ©ter par acquis, nous pousse aussi Ă la survivance de lâespĂšce, au travers de la filiation et de lâacculturation, et cela, malgrĂ© lâindividualisme affichĂ© et notre hĂ©gĂ©monisme culturel dâhumain inculte » de lui-mĂȘme par dĂ©faut[68].⊠pour affronter les peurs...Rien ne nous empĂȘche aujourdâhui dâimaginer une nourriture molĂ©culaire, parce que nos connaissances biologiques et autres le permettent, et demain entrer dans un appareil de nano frĂ©quences nuclĂ©aires »[69] pour nous peut nous effrayer, car nous sommes toujours tournĂ©s vers notre passĂ©. Nous ne connaissons partiellement que lui et nous voulons le maintenir parce quâil est Ă ignorer tous les Ă©lĂ©ments qui nous signalent, que nous sommes, comme dâautres espĂšces, condamnĂ©es Ă Ă©voluer, sauf Ă dĂ©nier toutes les preuves dâexistences disparues les Ă©tudes palĂ©ontologiques, a moins que comme certains organismes ou espĂšces nous soyons dans un biotope idĂ©al qui conserve notre espĂšce en lâĂ©tat. Câest ainsi que nous confions aux lois naturelles ou lâinnĂ© primitif » le rĂŽle de vouloir nous maintenir tel que nous sommes contre toute Ă©vidence, et de qualifier toute innovation, manipulations gĂ©nĂ©tiques en la matiĂšre, dâouverture de boĂźte Ă Pandore ».Comme si lâunivers ne lâavait pas ouverte !Nous sommes nous demandĂ© combien dâEtres avaient pu mourir avant que nous ne dĂ©celions la toxicitĂ© de certains champignons, plantes ou animaux que nous Ă©vitons soigneusement ? Nous sommes nous interrogĂ©s sur la toxicitĂ© de tout ce dont nous faisons usage[70] ? Ainsi que le nombre dâinepties ou de lĂ©gendes que nous avons construites autour dâeux par je comprends compte tenu de tous usages Ă des fins mercantilistes ou dominatrices que nous faisons de toutes choses, que certaines craintes soient fondĂ©es[71]. Nous faisons usages de tant de produit nocif !Mais, il y a un phĂ©nomĂšne auquel nous ne prĂȘtons pas suffisamment dâattention, et qui ne pouvait quâĂ©chapper Ă Malthus Câest lâutilitĂ© dâun Ă©goĂŻsme mâexplique Je ne me prive pas de critiquer lâĂ©goĂŻsme prĂ©sentĂ© comme une fin en soi, justifiant tous les buts, et exposĂ© comme un but par notre culturalisation ».NĂ©anmoins cet Ă©goĂŻsme instrumentalisĂ© » par notre culture technologique, apporte une rĂ©ponse Ă la surpopulation, car nous pouvons observer que les taux de fĂ©conditĂ© sont les plus bas dans les pays pays dans lesquels nous pratiquons lâhĂ©donisme technologique».Si bien quâavec un peu de rĂ©flexion, nous pouvons nous rendre compte que pour rĂ©guler lâespĂšce, il nâest pas nĂ©cessaire de sâentre-tuer, ou de laisser mourir dans la famine ses semblables, mais que bien au contraire, plus notre espĂšce peut jouir » de la vie, moins elle procrĂ©e. Il y a bien lĂ un intĂ©rĂȘt Ă©vidant Ă se trouver une source de richesse qui ne nous conduise pas Ă la progression nây a rien de fantastique en cela, câest ce que nous observons dans ce que nous appelons lâĂ©quilibre de lâĂ©cosystĂšme », sauf que nous pensons, que notre Culturel y Ă©chappe », parce que nous avons refoulĂ© sa condition originelle, sauf que les lois universelles physiques ou biologiques ne raisonnent pas comme cela, et mĂȘme notre activitĂ© culturelle porte sa propre auto si nous nâavions pas peur de nous regarder en tant quâespĂšce, plutĂŽt quâentre Ă©trangers, il ne serait plus nĂ©cessaire de faire encore notre ce vieil adage de Malthus, que celui qui nâest pas invitĂ© au banquet de la nature doit se retirer », en croyant chaque fois que câest Ă notre table personnelle.⊠au delĂ de nos certitudesâŠNĂ©anmoins, si lâĂ©volution de notre espĂšce nous a dotĂ©s dâun cerveau cognitif, câest parce quâil doit concourir Ă une Ă©volution. Bien sĂ»r, la question reste entiĂšre quant Ă savoir, comme toutes les cellules qui se dupliquent, quelles erreurs le dĂ©veloppement de notre intelligence engendre ou engendrera. De toute Ă©vidence, lâhistoire est lĂ pour nous montrer que nous ne choisissons pas de lâutiliser ou non. Tout dĂ©pendra des Ă©vĂ©nements environnementaux, dans lesquels nous prenons aussi notre part, sinon les peuplades de Papouasie ou dâAmazonie ne seraient pas telles quâelles sont, serons donc toujours contraint dâaffronter nos sens qui poussent les hommes Ă sâassembler autour de symboles qui trouvent leur pouvoir agrĂ©gatifs au plus profond de la mĂ©moire collective originelle, sans jamais arriver peut ĂȘtre Ă en faire le tour dont au cours du renouvellement des populations qui se transmettent toujours plus dâacquis, nous avons vu apparaĂźtre Des DĂ©couvreurs, des Entrepreneurs, des Philosophes, des Ălites, et des Masses Ćuvrant, opĂ©rant dans les conditions les plus diverses des sociĂ©tĂ©s, et des dominants du moment. Leurs interactions, et lâhistoire de nos certitudes, constituent lâhistoire de lâhumanitĂ©, dont les Ă©pisodes de vie ne se reproduiront plus tels quâils ont Ă©tĂ©, mĂȘme si beaucoup dâentre eux ont des similitudes pour nâĂȘtre que recomposĂ©s, quel que soit notre dĂ©sir de le vouloir ou de lâĂ©viter, nous sommes contraints dâaller au-delĂ poussĂ© par lâ quand nous parlons dâĂ©volution, comme nous le faisons et comme je le prĂ©sente dâen lâespĂ©rance dâune amĂ©lioration, rien nâest moins certain, car une rĂ©gression ou une disparition constituerait aussi une Ă©volution qui nâintĂ©resse que nous.⊠dans une dynamique progressisteâŠAller au-delĂ de cette incertitude pour assurer une progression dynamique, câest aussi la faire sur des territoires inĂ©galement pourvus en ressources avec des cultures sociĂ©tales dans lesquelles chaque sociĂ©tĂ© a effectuĂ© la gestion du temps et de sa population, en mettant en Ćuvre des moyens indissociables les uns des autres. En effet, chaque progrĂšs ou invention a trouvĂ© une adaptation et un usage dans des domaines divers et variĂ©s, favorisant ainsi une dynamique progressiste Ă©voluant Ă des rythmes exemple, autour du IV iĂšme siĂšcle, lâhorloge est inventĂ©e par un moine pour sonner les moments de la priĂšre. Puis, en 1330, ces horloges modifiĂ©es, marquent les 24 premiĂšres heures issues de la division du temps. Depuis le XVIII iĂšme siĂšcle et le dĂ©but de lâindustrialisation, dans les rapports sociaux et ceux du travail, lâheure est synonyme de ponctualitĂ©. Cette derniĂšre notion est importante, car elle marque une rupture symbolique avec la ponctualitĂ©, marque de biensĂ©ance en vigueur aux Ă©poques antĂ©rieures en Europe.[72] Ainsi une innovation qui avait une fonction cultuelle est devenue un des piliers de la que dans des sociĂ©tĂ©s dites indigĂšnes durant ce mĂȘme laps de temps la dynamiques progressiste aura Ă©tĂ© infime, Ă tel point que nous, nous la considĂ©rerons nulle si elle ne se mesure pas aux pourquoi un enseignement dont la mission rĂ©publicaine est dâinstruire ne pourrait-il pas devenir une source de richesse, et reprĂ©senter une dynamique progressiste.⊠pour se rĂ©partir le tempsâŠDans le mĂȘme temps, les tĂąches se sont rĂ©parties en structures productivistes, gĂ©nĂ©rant entre autres, la division du travail en de multiples disciplines spĂ©cialisĂ©es, fragmentĂ©es en sous disciplines. De lĂ , la sociologie industrielle » naĂźt en AmĂ©rique, rĂ©plique Ă la rationalisation du travail mise en place par TAYLOR, dont H. FORD applique la technique Ă lâextrĂȘme, en inventant les chaĂźnes de montages. DĂ©s lors, la sociologie sâapplique aux problĂšmes de lâindustrie et du travail en gĂ©nĂ©ral, sous le nom de sociologie du travail. Celle-ci a remis en cause les techniques qui avaient conduit Ă son Ă©laboration, aidĂ© en cela par lâautomatisation, et par un retour Ă la notion de tĂąches dâensembles pouvant conduire Ă des mĂ©tiers spĂ©cifiques ou des emplois valorisants, humanisant les chaĂźnes de une forme de taylorisme gagne le secteur des industries agricoles et alimentaires en France, oĂč la masse ouvriĂšre travaillant Ă la chaĂźne est passĂ©e de 20% en 1984, Ă 30% en 1998, et les ouvriers qualifiĂ©s, dans la mĂȘme pĂ©riode, de 7,5% Ă 15%.Dans cette rĂ©partition fluctuante, la contestation ouvriĂšre sâest structurĂ©e pour formuler des revendications, notamment celle des 3 huit, Ă partir de 1884 en France. Puis en 1936, le Front Populaire dĂ©finissait la semaine de 40 h qui nâest devenue effective quâĂ partir de 1975 42 h contre 48 h en 1936. Ensuite en 1985, une Ă©tape supplĂ©mentaire portait la semaine Ă 39 h, et enfin, lâan 2000 la voyait dĂ©finie pour 35 nous sommes passĂ©s dâune durĂ©e moyenne de 3 232 heures annuelles en 1820, Ă 1355 h en 2000 pour les salariĂ©s français concernĂ©s par les 35 h. Ces rĂ©ductions successives ont entraĂźnĂ© une Ă©volution technologique compensatoire, avec comme consĂ©quence la substitution du travail par le capital, au travers des investissements en machines-outils dont le transfert dâactivitĂ© ne fut pas suffisant pour aboutir au plein emploi, malgrĂ© le concourt de lâinnovation technologique poussĂ©e par lâobsolescence des les salariĂ©s privĂ©s dâemplois sont passĂ©s de 260 000 en 1950, Ă 3 060 000 en 1999, suivant les critĂšres du bureau international du travail[73]. ParallĂšlement, lâactivitĂ© de services et de loisirs nâoffre pas une alternative suffisante faute de capitaux dans le cadre dâune demande existante soumise aux rapports prix/ effet, en France de 1886 Ă 1999 les salariĂ©s du secteur agricole sont passĂ©s de 47% de la population active Ă 4,2%. Dans lâindustrie câest la productivitĂ© qui sâest accrue, les salariĂ©s sont restĂ©s stables passant de 25,7% Ă 24,9% des actifs, avec une crĂȘte Ă 35,9% en 1980. Quant aux services ils ont progressĂ© de 27,3% Ă 70,9 % des actifs. Toutefois, il me paraĂźt nĂ©cessaire de signaler que nâest pas estimĂ©, le transfert dâactivitĂ© de services » quâeffectuaient elles-mĂȘmes antĂ©rieurement les entreprises, et qui se trouvent aujourdâhui comptabilisĂ©s dans les services ».Il est important de noter Ă cet instant, que pour ceux qui seraient prĂȘts Ă travailler gratuitement, le travail ne manquerait rĂ©flexion conduit inĂ©vitablement Ă la nĂ©cessaire harmonisation de lâutilisation des masses monĂ©taires et du temps dans notre existence, face Ă lâinsatisfaction permanente, de nos dĂ©sirs, qui nous conduirait Ă toujours trouver une justification pour travailler telle maniĂšre que la rĂ©partition du temps nous commande dâĂ©laborer des projets de sociĂ©tĂ©s. Pourquoi pas vers une dynamique du temps libre.⊠vers une nouvelle dynamique du temps pourquoi dans lâĂ©volution de la durĂ©e du travail, ce qui mâintĂ©resse particuliĂšrement, câest le temps libre. Car câest cette quĂȘte lĂ , aussi, qui nous a sorti du seul labeur, et il ne servirait Ă rien de consigner notre savoir dans des millions dâouvrages sâil ne pouvait ĂȘtre lu ou pour cela que lâusage que je prĂ©conise de ce temps libre peut y ĂȘtre consacrĂ©, comme une activitĂ© productrice, de la mĂȘme maniĂšre que le sont toutes les autres activitĂ©s auxquelles nous nous livrons durant ce temps libre, câest simplement une nouvelle nouvelle dynamique qui nĂ©cessite de forcer son â Mais nous sommes un animal » pas encore civilisĂ©, qui doit forcer son nous sommes un animal », pas encore civilisĂ©âŠSi jâai rappelĂ© quelques aspects de comportements humains, câest pour souligner, que lâensemble forme un systĂšme adaptatif complexe. Câest Ă dire une organisation en mouvement difficile Ă cerner, dont la comprĂ©hension nĂ©cessite une accumulation de connaissances, qui croissent, au fur et Ă mesure que lâHomme rĂ©pond Ă ses besoins et interrogations. Câest pour signaler que lâHomme nâest quâun animal » en stage dâapprentissage, et quâil nây a que notre suffisance qui nous empĂȘche de le comprendre. Câest Ă dire que notre apprentissage consiste Ă prendre la mesure de notre capacitĂ© intellectuelle et psychique. Pour cela lâHomme doit se regarder comme il regarde les autres espĂšces, locataire passager de notre planĂšte. Il ne doit pas avoir honte de nâĂȘtre quâun mammifĂšre parmi tant dâautres. Certes un mammifĂšre intelligent, mais un mammifĂšre intelligent qui sâest fabriquĂ© pour lâinstant lâarme la plus meurtriĂšre La VĂ©rité», la VĂ©ritĂ© absolue, pour ne pas sombrer dans la folie, lâangoisse, la peur de lâincertitude en dĂ©couvrant la conscience de Soi ».Une VĂ©ritĂ© plus meurtriĂšre que nos instincts primitifs, mais il est plus facile de le comprendre aujourdâ si nous retenons lâidĂ©e que lâhomme a Ă©tĂ© créé par le divin ou quâil est venu dâailleurs, la communication avec le divin ou lâailleurs » doit ĂȘtre difficile ou incomprĂ©hensible, pour que ses prophĂštes inspirĂ©s du divin ou ses thĂ©oriciens de lâailleurs » aient traduit et dictĂ© tant de VĂ©ritĂ© » qui assassinent ?Ainsi, lâHomme devra se dĂ©barrasser de la vĂ©ritĂ© absolue, comme Newton nous a dĂ©livrĂ©s de lâidĂ©e de position absolue dans lâespace et Einstein du temps absolu, cela pour mieux comprendre ce que ces absolus nous empĂȘchaient de voir. Câest Ă dire que les vĂ©ritĂ©s absolues sont comme des verrous qui ferment des portes et empĂȘchent dâaller au-delĂ . La vĂ©ritĂ© absolue, câest aussi celle que dĂ©tiennent les psychiques clos, au-delĂ de leurs constructions nĂ©cessaires, incapables de se corrĂ©ler. De sorte quâayant refoulĂ© lâanimal dans son cerveau primitif, il dĂ©veloppe ce qui fait sa fragilitĂ© pour survivre[74] et sa force pour Ă©voluer, son en gardant Ă lâesprit, que les mathĂ©matiques qui ont fait sauter tant de verrous, ne pouvant calculer de nombres infinis, il y a forcĂ©ment un point oĂč tout cela sâeffondre ; et tout raisonnement, Ă©galement, a un point oĂč il y a un absolu, un point ou il y a une place pour ceux qui ont besoin dâune VĂ©ritĂ© », une place oĂč lâon peut mettre un Dieu, un abri oĂč lâhomme peut reposer sa vigilance et poser ses telle maniĂšre que lâanimal que nous sommes qui a besoin de vĂ©ritĂ©, et qui se croit civilisĂ© parce quâil se dit bonjour », ne sâouvre aux autres que de maniĂšre hĂ©gĂ©monique, et il laisse le travail de corrĂ©lation, dâacculturation au temps », parce quâil nâa pas de contrĂŽle sur lui.⊠qui doit forcer son ce systĂšme adaptatif complexe quâest notre monde, ce qui est le plus intĂ©ressant Ă mes yeux et de savoir comment y intĂ©grer le dĂ©veloppement de lâintelligence comme source de revenu direct, en clair rĂ©munĂ©rer les hommes pour apprendre. Certaines formes de financements existent actuellement suivant les Ătats les prestations versĂ©es par les allocations familiales, le versement de bourses, la rĂ©munĂ©ration de stages professionnels etc. Dans lâorganisation monĂ©taire codifiĂ©e par la comptabilitĂ© nationale, les sommes dĂ©pensĂ©es Ă cet effet, suivant leurs provenances, sont qualifiĂ©es de charges, dâinvestissements ou de dĂ©penses ; et cette codification nâest pas plus absolue, que ne lâest notre place dans lâespace. Enfin nous pouvons observer que lâenseignement est dâautant mieux perçu que ceux qui le reçoivent y trouvent une utilitĂ© immĂ©diate ; mais nous pouvons aussi observer quâil nâa pas suffit Ă Ă©radiquer la violence et la pauvretĂ© ; certainement peut ĂȘtre parce que les personnes de ces milieux difficiles font le lien direct et immĂ©diat, entre ce que leur apporte lâenseignement et son inutilitĂ© pour les sortir de leurs situations prĂ©sentes. Sâils percevaient une rĂ©munĂ©ration pour apprendre, il en irait peut-ĂȘtre autrement du moins pour une partie dâentre y a donc une place pour lâimagination. Je peux mĂȘme dire quâil nây a que cela, mais Ă une condition, que nous libĂ©rions du temps pour cela, avec un espace de rĂ©flexion dans ce champ clos quâest notre un choix tout nous est permis, nous ne disposons pas pour autant du temps dont nous aurions besoin individuellement, sauf si nous le concevons dans la continuitĂ© de lâespĂšce, et cela nĂ©cessite des choix qualitatifs, et le temps dans sa durĂ©e comme permanence ne peut pas ĂȘtre - Le temps, un dĂ©terminant social, mais câest quoi le temps ? Un temps relatif qui nâavait pas Ă©chappĂ© Ă Aristote et dont notre civilisation a acquis les moyens dâune certaine temps, un dĂ©terminant social...Aujourdâhui personne ne conteste le bien fondĂ© de scolariser ses enfants pour assurer lâĂ©veil de leur intelligence, lâapprentissage des bases de culture gĂ©nĂ©rale indispensables Ă leur insertion dans la communautĂ©, et leur spĂ©cialisation pour les mĂ©tiers ou emplois correspondants aux besoins lâenseignement dispensĂ© couvre tout le savoir disponible, Ă lâexception de celui issu du travail des dĂ©couvreurs qui ne viendra sây rajouter que plus tard. Le temps qui est imparti Ă cet apprentissage est lĂ©gislativement fixĂ©, pour une pĂ©riode estimĂ©e suffisante Ă lâassimilation dâun niveau de culture gĂ©nĂ©rale » minimale obligatoire. Il est suivi des filiĂšres, techniques, universitaires et spĂ©cifiques de grandes Ă©coles, ENA scolaritĂ© terminĂ©e, une fois, que chacun a rĂ©alisĂ© ou subi sa sĂ©lection, le solde restant Ă apprendre est immense, et inaccessible dans sa exemple, si lâon voulait avoir le niveau de doctorat dans dix disciplines diffĂ©rentes, il faudrait au minimum Ă©tudier durant soixante-dix pour lâaccĂšs au savoir le temps demeure un dĂ©terminant, dont la disponibilitĂ© sâest accrue puisque nous vivons plus longtemps, et que nous le consacrons moins au labeur.âŠcâest quoi le temps ?...Comme cet exemple le dĂ©montre, il surgit une contrainte rigide, celle du temps, du temps social ou conventionnel simple paramĂštre culturel qui permet dâordonner les Ă©vĂ©nements, que nous gĂ©rons sur notre quoi ce temps ?Pour en gagner, nous pouvons toujours imaginer des voyages cosmiques Ă la vitesse de la lumiĂšre permettant dâapprendre dans un laps de temps qui sâĂ©coulerait moins vite que sur la planĂšte. Mais câest lĂ , plus une prospective futuriste due Ă notre ignorance, qui fait, que si tout le monde a entendu parler de la relativitĂ© gĂ©nĂ©rale dâEinstein,[75] peu dâentre nous sont capables de lâexpliquer. De fait nous vivons par nĂ©cessitĂ© avec une mesure de temps structurant dont nous nous accommodons, sauf, entre autres, dans lâutilisation de systĂšmes de navigation basĂ©s sur les signaux de satellites, car sans tenir compte de la RelativitĂ©, les calculs en seraient sorte que sur le temps structurant nous ne pouvons rien gagner, hormis lâ dans notre quotidien il nâest pas rare que nous nous querellions au cours de la perception dâun Ă©vĂ©nement autour du temps. Je pense aux alignements litigieux du hors jeux au football. Est-ce que nous allons le mesurer Ă 299 792 458 mĂštres par seconde ? Vitesse de la lumiĂšre en Ă©talon historique normalisĂ©, le mĂštre social, alors que nous, nous percevons une image entre 180 et 360 millisecondes, et nous, en sommes conscients entre 540 et 720 millisecondesMĂȘme si nous pouvions le faire, pour avoir la mĂȘme vision, il faudrait que tous les spectateurs soient Ă la mĂȘme place, et que nous soyons assurĂ©s que la perspective ne dĂ©forme pas notre la tĂ©lĂ©vision ?Elle nous renvoie son temps, et elle nous trompe en exigeant de nous, que nous fassions notre le sien, au nom de lâimpartialitĂ© tĂ©lĂ©visuelle, alors que ce nâest que celui du cadreur ; Ă qui, il est tout aussi impossible de saisir lâinstant rĂ©el qui va trancher le litige. Ensuite nous ferons appel Ă la technique pour rĂ©soudre le litige. Cette mĂȘme tĂ©lĂ©vision ne nous explique-t-elle pas quâelle nous fait vivre en direct instantanĂ© des Ă©vĂ©nements qui se produisent Ă lâautre bout du monde. Naturellement câest faux. Nous nâavons ni lâodeur ni la sensation ni une vue personnelle car il sâagit dâun langage commercial sĂ©lectif, dâune rĂ©alitĂ© partielle, dont chacun tire lâĂ©motion qui lâarrange. Ceci parce que lâinformation nous arrive dans un temps que nous ne pouvons pas mesurer rĂ©alitĂ© ne nous est pas perceptible du fait de nos limites, mais lâintelligence peut la connaĂźtre et tenir en compte, au-delĂ des luttes dâimages mâexplique, je veux dire que lâimage tĂ©lĂ©visĂ©e, nâest quâune suite de photos. Autant nous avons conscience quâune photographie fixe un Ă©vĂ©nement passĂ©, et suscite lâimaginaire, autant nous perdons cette rĂ©serve de vue, Ă cause du mouvement qui est donnĂ© Ă la succession de photographies qui dĂ©filent, parce quâelles ressemblent Ă un instant de vie proche. Un Ă©vĂ©nement retransmis nâest quâun fragment de vie, il est partiel et partial, il nâa toute sa valeur de rĂ©alitĂ© quâĂ partir du moment oĂč vous lâavez vĂ©cu, ou que vous connaissez lâhistoire des Ă©vĂ©nements qui lâont le film dâun Ă©vĂ©nement reste des photos qui nous parlent, comme nous disons improprement, car le dialogue câest nous qui le faisons avec notre imaginaire. Nous en oublions trop souvent, que les mĂ©dias et la tĂ©lĂ©vision en particulier sont un commerce dâaudience. Ils sont une loupe grossissante, tant ils sont le reflet de la notoriĂ©tĂ© qui est sous-jacent en le seul fait dâavoir rĂ©duit le temps Ă sa plus petite expression nous fait entrer dans la vie virtuelle des autres, dont nous gardons le plus souvent des caricatures. Sauf que nous, nous croyons connaĂźtre la vĂ©ritĂ© parce que nous en avons vu des fragments. Ce phĂ©nomĂšne nâest pas nouveau puisque câest lĂ nos limites. De tout temps les hommes se sont distribuĂ©s des bribes dâinformations quâils ont reliĂ©es pour en tirer une suite historique dont leurs connaissances et leurs imaginaires ont comblĂ© les blancs, quand par soucis politiques, ils ne les ont pas par lâinformation mĂ©diatique, nous sommes entrĂ©s dans une tendance Ă lâanticipation par soucis de gain de temps dans une concurrence Ă lâinformation, qui conduit les commentateurs et spĂ©cialistes Ă donner leur avis sur les Ă©vĂ©nements avant mĂȘme que soit connu les Ă©lĂ©ments ayant concourus au dĂ©veloppement de l Ă©vĂ©nement survenu. Cela nâest pas sans incidence sur lâapprĂ©ciation de lâĂ©vĂ©nement sociĂ©tal, car parfois il devient plus dangereux de corriger une contre vĂ©ritĂ© que de laisser sâen dĂ©velopper la rumeur. Dâautres fois nous sommes déçus dâavoir cru que lâanticipation est une science sĂ»re statistiques, ou nous nous glissons dans la peau de lâanticipation, confirmant de fait ce qui nâĂ©tait quâune interprĂ©tation. Nous passons ainsi dâun outil de lecture Ă un outil qui nous la perception du temps et son utilisation va organiser aussi notre rĂ©flexion, et par elle nos relations sociales.âŠUn temps relatifâŠNous le vivons en mesurant sa durĂ©e en temps conventionnel », par nos sensations Ă©motionnelles. Quand nous vivons des heures trop longues ou trop courtes, nous le mesurons Ă©galement par notre temps biologique, les rythmes circadiens sommeil.Je mâattarde sur cette notion de temps car elle est devenue essentielle dans notre existence comme je lâai dĂ©jĂ dit, dâautant plus que nous nous contraignions Ă nous adapter au temps social, et nous culpabilisons le temps biologique Ă©vĂ©nementiel, avec les consĂ©quences nĂ©vrotiques qui sâen suivent et en particulier dans lâenseignement des enfants, au travers des rythmes chacun dâentre nous peut fournir un exemple dâun temps biologique qui lâa conduit Ă ne pas ĂȘtre Ă lâheure, dâoĂč sâen est suivie une sanction. Sanction nous conduisant ainsi au paradoxe que par culturalisation », nous nous punissons dâĂȘtre seulement des Humains. Nous avons mĂȘme fait mieux, il y a peu de temps, en considĂ©rant que faire travailler de nuit[76] les femmes au mĂȘme titre que les hommes Ă©tait une marque dâĂ©galitĂ©, comme si dĂ©caler les cycles de repos Ă©tait sans incidence, et reprĂ©sentait un pour de lâargent nous serions prĂȘts Ă redire que la terre est cela je ne remets pas en cause la nĂ©cessitĂ© dâorganisation qui dĂ©coule de lâusage de la rĂ©fĂ©rence du temps ni sa sociabilitĂ© politesse discipline respect etc. ; je veux seulement faire observer que dans les pays industrialisĂ©s, câest lâorganisation productrice mise en place par les hommes qui rĂšgle aussi le temps des Hommes. Ceci jusquâĂ nous en faire oublier que nous ne sommes que cela, des Hommes, et quâil nây a pas lieu de sâĂ©tonner dâun certain nombre de maladies qui en dĂ©coule, quâensuite nous qualifierons de charges ». Alors que trĂšs souvent nous nous refusons Ă admettre ces biorythmes, et nous ne voulons retenir par confort de dĂ©culpabilisation » de nos systĂšmes dâorganisations, que la volontĂ© du malade de lâ en cela une interrogation lĂ©gitime qui nâavait pas Ă©chappĂ© aux Grecs.⊠qui nâavait pas Ă©chappĂ© Ă AristoteâŠEn parlant du temps, ignorant quâil parlait du temps biologique Aristote ne sâinterrogeait-il pas, la question est de savoir si, sans lâĂąme, le temps existerait ou non » ? Einstein a donnĂ© une rĂ©ponse avec la relativitĂ© et la recherche biologique Ă©galement avec la dĂ©couverte des biorythmes, et il y a quelque part forcĂ©ment un point de dans notre civilisation câest surtout la vitesse Ă laquelle il sâĂ©coule qui nous intĂ©resse.⊠et dont notre civilisation a acquis les moyens une certaine maĂźtrise du temps, tant dans la circulation des biens et des personnes que dans celle des informations. Mais, faute de voyage cosmique, lâHomme a recours Ă des Ă©quipements qui le supplĂ©ent dans ses nĂ©cessitĂ©s du quotidien, de mĂ©morisation, de calcul, et de diffusion, lui offrant ce gain de temps dont il a besoin. Cela, tout en restant dans une perception biologique, mĂȘme si nous savons que ce nâest pas lâĂąme, pour le vivre bien ou mal, malgrĂ© nos Ă©quipements et nos fuseaux horaires ce qui nous a donnĂ© la meilleure maĂźtrise du temps câest lâ - Pourtant tout comme lâĂ©criture ces moyens ne sont pas neutres. Aujourdâhui cette Ă©criture » est mĂ©diatique ; et prendre conscience que rien nâest simple pour se surpasser est une nĂ©cessitĂ© existentielle que nous restreignons, lĂ , oĂč la pluridisciplinaritĂ© devient une tout comme lâĂ©criture ces moyens ne sont pas neutresâŠNous allons le lire dans quelques exemples. TrĂšs tĂŽt des hommes se sont interrogĂ©s sur ces moyens techniques, particuliĂšrement celui qui permet de diffuser lâinformation dans le temps, lâĂ©criture. Je laisse Ă votre mĂ©ditation le dialogue de Socrate Ă PhĂšdre, regrettant que le dieu Ăgyptien Thot, inventeur de lâĂ©criture, ait mal pesĂ© les consĂ©quences de sa dĂ©couverte, propos rapportĂ©s par Platon. Toi, pĂšre de lâĂ©criture, tu lui attribues une efficacitĂ© contraire Ă celle dont elle est capable ; car elle produira lâoubli dans les Ăąmes en leur faisant nĂ©gliger la mĂ©moire ; confiants dans lâĂ©criture, câest du dehors, par des caractĂšres Ă©trangers, et non plus du dedans, du fond dâeux-mĂȘmes, que ceux qui apprennent chercherons Ă susciter leurs souvenirs ; tu as trouvĂ© le moyen, non pas de retenir, mais de renouveler le souvenir ; et ce que tu vas procurer Ă tes disciples, câest la prĂ©somption quâils ont la science, non la science elle-mĂȘme ; car, quand ils auront beaucoup lu sans apprendre, ils se croiront trĂšs savants, et ils ne seront le plus souvent que des ignorants de commerce incommode, parce quâils se croiront savant sans lâĂȘtre ». Toutefois, en Orient, la pensĂ©e est tout Chine, elle est considĂ©rĂ©e comme permettant de pĂ©nĂ©trer les secrets du monde. Shiato un moine chinois du XII iĂšme siĂšcle a dit, Quand le poignet est animĂ© par lâesprit, les montagnes et les fleuves rĂ©vĂšlent leur Ăąme ».En Inde elle se veut conservatrice des Ă©noncĂ©s religieux, comme chez les Musulmans qui selon la stricte doctrine, le Coran, bien quâĂ©crit par lâhomme sous la dictĂ©e du prophĂšte, elle est incréé » car lâHomme reproduit lâoriginal Ă©ternel situĂ© dans le ciel. Chacune de ces civilisations au travers de lâĂ©criture a ses visions du monde, Il en Ă©tait ainsi des Glyphes Mayas[77]et OlmĂšques, des hiĂ©roglyphes Ăgyptiens, de lâĂ©criture cunĂ©iforme, de celles de lâIndus et du confĂšre Ă toute Ă©criture un caractĂšre Ă©sotĂ©rique, car elle est le reflet dâune civilisation, dâun mode de pensĂ©e sans pouvoir ĂȘtre lâexpression totale. Parce que, les Ătres, ayant formĂ© la civilisation et ayant exprimĂ© leur pensĂ©e par des Ă©crits, ont retranscrit leur propre Ă©sotĂ©risme, puisque derriĂšre les mots, quâil faut dâabord connaĂźtre dĂ©terminant, se trouve leur insuffisance Ă exprimer toute la pensĂ©e sensible de celui qui a un simple Ă©crit qui rapporte des faits, nâa rien d'insignifiant, il peut tout Ă la fois, Ă©noncer et raconter les Ă©vĂ©nements, les rĂ©vĂ©ler et permettre de les comprendre, les affirmer et assurer de leur exactitude, les cacher, sâexprimer en non dit et malgrĂ© les omissions et les interrogations quâelle suscite lâĂ©criture nous a permis de situer notre histoire dans le temps.⊠aujourdâhui cette Ă©criture est mĂ©diatiqueâŠAussi, dans le droit fil du dialogue de Socrate, nous pouvons nous interroger sur le caractĂšre et le rĂŽle Ă©ducatif » des mĂ©dias.[78] MĂ©dias dans lesquels nâest pas faite la diffĂ©rence, par souci dâaudience, entre lâinformation Ă©ducative et lâinformation Ă©ducatrice quâils veulent parfois jouer sans le pouvoir, ou que nous lui accordons Ă tort. La diffĂ©rence tient au fait que quelle que soit la valeur de lâinformation Ă©ducative, il nây a pas le contact humain de lâĂ©ducateur ou de lâĂ©ducatrice, qui peuvent sâassurer de la comprĂ©hension de lâauditeur ou du lecteur cette difficultĂ© vaut Ă©galement pour certains jeux vidĂ©o mis entre les mains dâadolescents.Or, ils sont un moyen de communication incontournable pour qui veut rester en contact avec le monde, diffuser ses messages. Et dire seulement quâils ne font que transmettre lâinformation, cela est encore appartenir au monde des demeurent aussi comme tous les moyens de communication dont lâinformation circule dans le temps, un support Ă la rumeur par distorsion de leurs auditeurs ou lecteurs, soit par incomprĂ©hension de ces derniers ou parce quâils y trouvent les Ă©lĂ©ments qui concourent au but quâils poursuivent, je ne vise pas ici la dĂ©sinformation organisĂ©e.Donc dans ce monde lĂ , lâignorant est une proie facile, et en prendre conscience nâest pas facile.⊠et prendre conscience que rien nâest simple pour se surpasserâŠRien nâest donc simple et en avoir conscience câest dĂ©jĂ se surpasser. Non pour tomber dans lâindiffĂ©rence ou le dĂ©faitisme, mais pour aller apprendre Ă ne pas ĂȘtre des Yo-Yo, et ce temps lĂ existe car, au-delĂ de la contrainte du temps pour lâusage productif de bien, auxquels lâhomme consacre une partie de ses capacitĂ©s cĂ©rĂ©brales, il dispose de toute son existence pour apprentissage dâautant plus aisĂ© quâil vit dans un pays riche, et ne consacre pas tout son temps au effet, en dehors du temps consacrĂ© Ă lâacquisition des connaissances socioprofessionnelles, le temps passĂ© Ă lâapprentissage dâautres connaissances ou de complĂ©ment de connaissances, qui nâont pas Ă©tĂ© apprises durant la pĂ©riode dâenseignement classique, relĂšve de la prĂ©rogative personnelle qui sâexerce sur la volontĂ© de se cultiver et de sâinformer selon sa dans cette masse, ce solde dâinformations, de connaissances et de savoir que tous ne possĂšdent pas au-delĂ , de lâenseignement gĂ©nĂ©ral, quâil faut effectuer un choix qualitatif, et le rendre disponible Ă toutes les personnes sorties des circuits dâ il ne sâagit pas de faire de chacun un petit gĂ©nie possĂ©dant tous le savoir, et toutes les compĂ©tences, mais apporter en complĂ©ment, les connaissances[79] qui pourront dĂ©boucher sur des vocations nâayant pu ĂȘtre rĂ©alisĂ©es au moment de la sĂ©lection structurelle et sociale, et au minimum, lire son monde sensible ».Car lire son monde est devenu une exigence pour tout homme qui veut ĂȘtre Libre, car câest la connaissance et le Savoir qui repoussent les limites de nos prisons, mĂȘme si nous nous en servons pour en faire, ou en dĂ©couvrir de nouvelles.⊠et une nĂ©cessitĂ© existentielleâŠToutefois, effectuer un choix parmi les diverses disciplines, suppose d'avoir conscience que ce choix aura comme aboutissement, dâapporter du savoir. Savoir qui trouvera une application dans la vie active afin dâaccroĂźtre la capacitĂ© de rĂ©flexion des hommes en agissant sur leurs dĂ©cisions et dĂ©sirs de citoyens, de producteurs, de consommateurs, et dans lâaffirmation de ce quâils deux titres, un pour produire, deux parce que nous sommes entrĂ©s dans un tel dĂ©veloppement de notre intelligence et de ses innovations, quâil ne supportera pas lâignorance sans que sâinstruire pour de meilleures compĂ©tences, rĂ©flexions, analyses, dĂ©cisions, est devenu une nĂ©cessitĂ© existentielle, pas seulement productrice, comme je lâai indiquĂ© dans le la mĂȘme maniĂšre toutes les organisations sociales humaines, en ayant structurĂ© ce besoin existentiel sous divers aspects, sorciers, chamans, sages, dieux, etc., oĂč il est naturellement toujours plus facile de consulter celui qui sait ou soutient avoir la rĂ©ponse Ă toutes choses, que de lâapprendre. Organisations sociales oĂč apparaissaient clairement en lien direct que le pouvoir sâassociait au savoir[80]. Un pouvoir qui parfois par volontĂ© ou incompĂ©tence le restreint. Apprendre ce nâest pas seulement savoir, câest aussi ĂȘtre, ĂȘtre Ă la hauteur de ce quâil peut nous apporter pour nous civiliser, et pouvoir un jour nous passer des interdits, et cela est une nĂ©cessitĂ© existentielle, car dâinterdits, en lois et rĂ©glementations, nous avons construit aussi des prisons culturelles pouvions-nous faire autrement ?⊠que nous restreignonsâŠCertainement si lâĂ©ducation avait visĂ© Ă lâĂ©mancipation de lâĂȘtre. NĂ©anmoins, lâinstruction qui permet dâaccroĂźtre la connaissance, le savoir, et tout le potentiel crĂ©atif humain, et toutes les aptitudes que nous qualifions dâartistiques dont chacun dâentre nous est capable, sâest structurĂ©e dans un systĂšme dâenseignement qui est devenu insuffisant, car nous ne lui confions de dĂ©velopper, pour lâessentiel, que lâart de la consommation, et de la confrontation pour le plus grand nombre, et rĂ©servons celui de la comprĂ©hension Ă une Ă©lite sciences humaines, enseignement supĂ©rieur, etc..Cela, dans une sociĂ©tĂ©, oĂč il nây a pratiquement plus de systĂšme simple, et oĂč la moindre interrogation nĂ©cessite une rĂ©ponse complexe, sauf dans le monde des il nây a quâĂ , il faut quâon⊠», Sauf chez ceux auxquels nous avons restreint le monde restreint duquel il faudra que nous nous extirpions.⊠LĂ , oĂč la pluridisciplinaritĂ© devient une entrer dans la pluridisciplinaritĂ© ; afin dâillustrer mon propos je prendrais comme exemple le dĂ©bat autour du clonage Son interdiction a Ă©tĂ© votĂ©e en France pour des raisons que je qualifie DâĂ©thico religieuse», car pour la chrĂ©tientĂ©, il est inacceptable que lâhomme se fasse lâĂ©gal de Dieu, qu'il s'auto crĂ©e scientifiquement. Pour les tenants de lâĂ©thique, câest une rĂšgle quâils sâimposent par morale. On rejoint lĂ un peu le religieux, câest Ă dire quâelle se prĂ©sente comme sacralisĂ©, par crainte de risques inconnus ou supposĂ©s, par refus de dĂ©fier le traumatisme Ă©motionnel, psychique, social et culturel quâil sous-tend, par les fantasmes et par peur du marchandisage[81] » quâil NĂ©anmoins, hormis la prouesse scientifique que cela reprĂ©sente, crĂ©er un des ĂȘtres humains Ă partir dâun tissu dâembryon humain ne prĂ©sente aucun intĂ©rĂȘt sâil sâagit de crĂ©er des armĂ©es de clones aux fins dâesclavagisme, de former des envahisseurs conditionnĂ©s, de rĂ©pliquer des disparus, chĂ©ris, puissants, gĂ©niaux. On a su le faire en partie sans clones par le conditionnement fanatique ; car bien sur il y a chez ces demandeurs lĂ un problĂšme existentialiste. De plus tous ces rĂ©pliquĂ©s, chĂ©ris, puissant, et gĂ©niaux, mis Ă part leur aspect ne pourraient ĂȘtre que de superbes Ce qui reprĂ©sente un objectif dĂ©coulant de cette prouesse, câest produire des organes pour remplacer ceux dĂ©fectueux sur un patient atteint dâune dĂ©ficience, et non pas crĂ©er un ĂȘtre pour les lui câest peut-ĂȘtre crĂ©er un clone pour examiner, dans lâintĂ©rĂȘt de notre espĂšce, ce qui peut ĂȘtre retenu du processus dâĂ©laboration. Et câest enfin recueillir de lâobservation de son existence les enseignements qui pourraient lâĂȘtre. Les conditions de lâĂ©vĂ©nement Ă©tant rĂ©unies, quel est lâhomme sĂ©rieux qui peut croire que cela ne se rĂ©alisera pas. Et au lieu dâassumer les consĂ©quences de notre puissance », en confiant cela Ă des hommes de haute conscience humaine, nous prĂ©fĂ©rons quâun mĂ©galomane ou pas le fasse discrĂštement dans son coin. Comme si ceux qui avaient voulu arrĂȘter la divulgation que la terre Ă©tait ronde, y Ă©taient Par notre activitĂ© innovante, nous tuons des milliers de nos semblables volontairement ou non, nous en laissons mourir dans lâindiffĂ©rence tout autant, nous mettons en danger la planĂšte par un surarmement et lâutilisation civile ou militaire du nuclĂ©aire, par la pollution. Pourtant, par manipulation gĂ©nĂ©tique, des chercheurs mutent des animaux de laboratoire. Dans le mĂȘme temps nous crĂ©ons des prototypes de robot qui seront dans quelques dĂ©cennies des androĂŻdes interactifs ; nous avons rĂ©alisĂ© en laboratoire un Big-bang, nous travaillons sur un essai de crĂ©ation de l'antimatiĂšre, nous essayons de prolonger la vie en recherchant des ralentisseurs du vieillissement de nos cellules, pouvant aller thĂ©oriquement jusquâĂ leur immortalitĂ©, pour revivre nous utilisons la cryotechnique[82] etc. etc. Ce diffĂ©rentiel de risque, prenant en compte les consĂ©quences nĂ©gatives de nos rĂ©alisations et celles incertaines de nos recherches, relĂšgue loin derriĂšre elles, le risque minimal que reprĂ©sente un clonage humain, pour un rĂ©sultat certes cet exemple, ce qui mâintĂ©resse nâest pas lâopinion que jâai Ă©mise, jâaurais pu dĂ©velopper le contraire, mais quels sont les types de savoir que jâai associĂ©, pour dĂ©velopper lâargumentaire du savoir, jâentends lâensemble de connaissances qui ont Ă©tĂ© acquises par lâĂ©tude ou la pratique conduisant Ă lâexercice dâune qu'il y a une connaissance Scientifique ?Non. A aucun moment je ne fais Ă©tat dâun ensemble cohĂ©rent obĂ©issant Ă des lois vĂ©rifiĂ©es par une mĂ©thode ressort-il un Savoir professionnel ?Non. Je ne fais rĂ©fĂ©rence pour dĂ©velopper les arguments choisis Ă aucun mĂ©tier dont jâai acquis le savoir- faire. Cela ne signifie pas que je ne puisse ĂȘtre plombier, dentiste ou artisan. Je ne suis certainement, ni gĂ©nĂ©ticien, ni prĂ©lat, ni psychologue, sinon mon argumentation aurait Ă©tĂ© tout ressort-il une culture ? Jâentends par culture les ensembles de connaissances qui ont Ă©tĂ© acquises dans un ou plusieurs domaines, exemple, dans les sciences humaines.Non. Je ne dĂ©veloppe pas dâensembles de connaissances acquises, dans un ou plusieurs domaines sur le sujet. Je pourrai toutefois ĂȘtre incollable en Ăgyptologie ou Ă Questions pour un champion », en Ă©tant plombier ou lâexemple montre que si je nâai aucun savoir dans les domaines concernĂ©s, je dĂ©veloppe un point de vue qui Ă nĂ©cessitĂ© que je sois informĂ© ou que je me sois documentĂ©, dans diffĂ©rents domaines, des conceptions chrĂ©tiennes Ă la recherche je pourrais multiplier les exemples sur des thĂšmes de sociĂ©tĂ© faisant appel Ă plusieurs je nâai fait rien de plus que ce que les sociologues appellent la tranversalitĂ© de disciplines », oĂč jâai utilisĂ© des portions de connaissances pluridisciplinaires pour sĂ»r, jâaurais Ă©tĂ© un professionnel ou spĂ©cialisĂ©, dans chacune dâentre elles, mon raisonnement aurait Ă©tĂ© diffĂšrent ou mieux absence de tranversalitĂ©, nous la voyons rĂ©guliĂšrement dans les dĂ©bats, oĂč il est fait appel parfois Ă des spĂ©cialistes dont la rĂ©flexion est la limite mĂȘme de leur spĂ©cialisation, ou chacun pense que sa spĂ©cialitĂ© suffit Ă fournir la bonne rĂ©ponse. Cette tranversalitĂ© nâest pas infuse, elle sâacquiert. Et en cela il y a des exemples Ă - Les plus intelligents lâont fait, Ă quand nous tous ?Les plus intelligents lâont transdisciplinaritĂ© » est peut-ĂȘtre une Ă©vidence pour les scientifiques dâaujourdâhui. Pourtant câest une dĂ©marche quâils ont dĂ» apprendre Ă faire, en battant en brĂšche lâidĂ©e selon laquelle ne peut ĂȘtre prises en compte que les recherches pointues compĂ©titives dans une spĂ©cialitĂ© donnĂ©e. Encore en 1950 des scientifiques sâopposaient sur lâidĂ©e que seulement leur spĂ©cialitĂ© spĂ©cifique Ă©tait la plus capable dâexpliquer le dĂ©marche de transdisciplinaritĂ© a Ă©tĂ© qualifiĂ©e de vision sommaire du Tout » par Murray Gell-mann prix Nobel 1969 pour la thĂ©orie des quarks qui a contribuĂ© Ă la crĂ©ation dâun institut pluridisciplinaire, le Santa Fe Institut[83], et BenoĂźt Mandelbrot polytechnicien qui dĂ©crivit la gĂ©omĂ©trie Fractale en 1975 exprime la mĂȘme idĂ©e[84] en se qualifiant de pionnier par nĂ©cessitĂ© ».Quand des hommes aussi intelligent, lâon fait, quâest-ce donc qui empĂȘche les plus humbles de le faire ; si ce nâest quâils se croient plus intelligent que ce qui le sont, et qui eux sont humbles.âŠĂ quand nous tous ?Pourtant, nous restons dans une version gĂ©nĂ©raliste dâun maximum minimal » du Tout, Ă cause dâun enseignement gĂ©nĂ©ral tronquĂ©. Certaines disciplines manquant du fait mĂȘme de sa limite arbitraire, fixĂ©e dans sa durĂ©e par nos contraintes Ă©conomiques, et nos pratiques situation dont nous devrons tous sortir, pour entrer dans le maximum possible dans lâintĂ©rĂȘt socio-Ă©conomique de lâ â Pourtant certains sâen excluent, mais quâil y a une tendance, malgrĂ© un certains sâen excluentâŠCertains sâen exclus de fait par le choix des orientations professionnelles, dans lequel lâexercice de leur profession ne nĂ©cessitera pas dâavoir une compĂ©tence pluridisciplinaire, disons la majoritĂ© dâentre-nous. Quant Ă lâapprentissage professionnel, sâil offre la souplesse dâun enseignement gĂ©nĂ©ral plus lent, ce dernier est relĂ©guĂ© Ă un rang subsidiaire par les acteurs eux-mĂȘmes, et il ressort de ce processus, des professionnels qui auront Ă construire leur bagage de culture gĂ©nĂ©rale sans aide, et il en est de mĂȘme pour les filiĂšres professionnelles. Des professionnels pour qui Platon est une planĂšte pluton ou un militaire, De Gaule un porte-avions en panne, et que nous les laisserons aux soins Ă©ducatifs » des mas mĂ©dia, parce que disons-nous, ils ont la libertĂ© indĂ©pendance financiĂšre que donne le revenu du travail de rester des ignorants faute de temps Ă leur autre maniĂšre, nous disons, si durant leur scolaritĂ© nous nâavons pas les moyens techniques de suivre les retardataires, au moins sâils ne deviennent pas instruits ils auront un certes une rĂ©alitĂ© cruelle, mais elle pĂšsera bien Ă©videmment sur les choix quâexige lâexercice de la citoyennetĂ©.⊠mais il y a une tendance...Dans une Ă©tude sur les tendances » des français il ressort de lâanalyse sur la formation Ă©ducation permanente, quâelle jouera un rĂŽle essentiel, de mĂȘme que la culture gĂ©nĂ©rale, et de dire Les connaissances resteront sans aucun doute importantes, mais câest surtout la capacitĂ© de les relier entre elles et de faire une synthĂšse intelligible qui seront dĂ©terminantes ». Les employĂ©s et les cadres seront emmenĂ©s Ă chercher les informations pertinentes, Ă les actualiser et Ă les appliquer dans un contexte particulier. Dans cette optique, la Culture gĂ©nĂ©rale redeviendra essentielle. Les lettres pourraient alors prendre leur revanche sur les mathĂ©matiques. La sociologie, la gĂ©opolitique, la philosophie, lâart, lâhistoire des civilisations ou des religions seront des outils de plus en plus nĂ©cessaires aux cadres et aux dirigeants, dont le mĂ©tier pour ceux-ci est dâintĂ©grer le prĂ©sent afin dâinventer lâavenir ».[85]Si je me fĂ©licite de cette tendance, elle ne correspond pas tout Ă fait Ă celle que je dĂ©fends, et qui va au-delĂ des seuls actifs cadres et dirigeants. Cette tendance est exclusive, donc Ă©litiste, confiant toujours aux dominants lâexclusivitĂ© de la connaissance, comme sâil devait toujours exister des privilĂšges ou des privilĂ©giĂ©s, comme si les dirigeants Ă©taient investis dâune fonction prĂ©destinĂ©e de guide, voire elle prĂ©sente encore les spĂ©cialitĂ©s en terme de confrontation.⊠malgrĂ© un nâest quâune IdĂ©e reçue que les mathĂ©matiques et la littĂ©rature sâopposent. Cette tendance des français ne tient Ă©videmment pas compte de ceux quâils ignorent, que notre monde et nous y compris sommes conçus de particules » ondes et corpuscules en mĂ©canique quantique. Son approche par la seule pensĂ©e philosophique[86] nâa pas suffit Ă ouvrir les voies de la comprĂ©hension du fonctionnement de notre Univers et de notre Ătre, sans passer par une traduction mathĂ©matique qui quantifie, nous Ă©claire donc, mais figent les choses dans une mesure. Une mesure quâil nous faut regarder comme une rampe de lancement. Et ainsi la pensĂ©e ayant conçu les mathĂ©matiques, il nây a pas dâopposition entre connaissances littĂ©raires et mathĂ©matiques. Cela Ă©vitera Ă des commentateurs de dire au cours dâun matche de football lors dâun tir, que le ballon sâaccĂ©lĂšre en touchant la pelouse effet, ce sont les mathĂ©matiques[87] qui sont devenues le langage de la concrĂ©tisation scientifique, de lâensemble de nos thĂ©ories bĂąties par la pensĂ©e, et elles ont permis dâen faire la vĂ©rification et lâapplication. Bien que ce soit les deux, littĂ©rature et mathĂ©matique, qui associĂ©es et vulgarisĂ©es, permettent Ă chacun, de naviguer dans toutes les autres disciplines. La construction du raisonnement repose tout autant sur la connaissance du langage lexical qui permet le dĂ©veloppement de la pensĂ©e abstraite, que des mathĂ©matiques qui offre la logique dĂ©ductive, et sĂ©parer les deux nâest pas sans incidence sur lâapprĂ©ciation de notre permet Ă chacun dây trouver les repĂšres dont il a besoin. Lâinverse est aller Ă contre sens de la nĂ©cessitĂ© de transdisciplinaritĂ©, parce quâil est aussi nĂ©cessaire dans notre sociĂ©tĂ©, dâavoir des dirigeants compĂ©tents que des citoyens qui le soient tout hommes cĂ©lĂšbres ont dĂ©crit cette nĂ©cessitĂ© dâĂȘtre compĂ©tent en raillant lâ ainsi que Chateaubriand dans RenĂ© » disait on ne hait les hommes et la vie que faute de voir assez loin », et Lamartine infini dans sa nature, bornĂ© dans ses vĆux, lâhomme est un dieu tombĂ© qui se souvient des cieux ». PrĂ©vert, lui Ă©crivait il poursuivait une idĂ©e fixe, il sâĂ©tonnait de ne pas avancer ».Et comme rien nâest jamais simple je conclurai avec ce propos de Victor Hugo lâhomme qui ne mĂ©dite pas vit dans lâaveuglement, lâhomme qui mĂ©dite vit dans lâobscuritĂ©. Nous nâavons que le choix du noir ».Il nous reste donc Ă lâ - Non pour ĂȘtre des gĂ©nies, mais assez pour nous comprendre, en y consacrant du temps pour ne pas sâ pour ĂȘtre des gĂ©nies mais assez pour nous comprendreâŠComme je lâai Ă©crit, il nâest pas concevable aujourdâhui de devenir de petits gĂ©nies. Quand nous avons besoin de compĂ©tences pointues », nous faisons appel Ă des spĂ©cialistes ou Ă des experts, car nous nous sommes rĂ©partis le savoir comme nous nous sommes rĂ©partis les tĂąches, les deux Ă©tant nous ne pouvons ĂȘtre experts en tout, nous pouvons accroĂźtre notre niveau gĂ©nĂ©ral de Connaissance et de câest ce qui sâest produit avec le dĂ©veloppement de lâinstruction gĂ©nĂ©rale, et aujourdâhui lâobjectif est le BAC pour tous, avec en fond, lâincomprĂ©hension populaire de trouver des techniciens de surface en relevant que le CEPE est tombĂ© dans lâoubli et que le BES suit la mĂȘme voie, comme diplĂŽmes permettant dâaccĂ©der Ă des malgrĂ© ce nous prĂ©tendons, nous perpĂ©tuons ce vieil adage SumĂ©rien que lâinitie instruise lâinitiĂ©, lâignorant ne doit pas savoir, de telle maniĂšre que certaines disciplines ne sont accessibles quâĂ certains, quâelle que soit la sĂ©lection par laquelle cela procĂšde, et que nous qualifions de sĂ©lection naturelle », pour devoir nous dispenser de la il y a aujourdâhui dâimpĂ©rieuses raisons socio-Ă©conomiques Ă enclencher une vitesse supĂ©rieure, pour maĂźtriser notre puissance technologique, rĂ©duire la rĂ©surgence de lâintolĂ©rance, et rĂ©duire la violence pour cela il nâest pas nĂ©cessaire dâĂȘtre des gĂ©nies, mais bien obligĂ© dâen savoir un peut plus, dâaccĂ©der Ă se savoir que se rĂ©serve lâĂ©lite pour ne pas se tromper de cible, en croyant que le bac dâaujourdâhui est un ascenseur social, alors quâil est tout juste lâĂ©quivalant du BEPC dâaprĂšs guerre.⊠en y consacrant du tempsâŠPour accroĂźtre notre niveau de Connaissance, il est inĂ©vitable dây consacrer plus de temps et de choisir dans la masse dâinformations et du savoir choix devra se faire en fonction dâun projet dâenseignement complĂ©mentaire pour adultes. Adultes sortis des circuits dâenseignement traditionnel, auquel ils seront libres de souscrire. A lâavenir câest sous son initiale ECPA que je le mentionnerai. ECPA qui nâest que le pendant gĂ©nĂ©raliste de la formation professionnelle, et qui ne sâest pas dĂ©veloppĂ© dans le projet dâĂ©ducation permanente initiĂ© par Messieurs J. Delors et J. Chaban-Delmas, et lancĂ© en France dans les annĂ©es 1955-1959 par un inspecteur principal de lâĂ©ducation populaire et de la jeunesse Pierre sera au travers de ce projet que je qualifie de politique », fixĂ© par la reprĂ©sentation nationale, que seront construits des modules dâenseignements incluant ces peuvent ĂȘtre dâordre social ou Ă©conomique ou les Le besoin de la population, devant le dĂ©veloppement des techniques de communication, Ă maĂźtriser lâutilisation de ces techniques, plutĂŽt que de les laisser Ă un apprentissage civique que les citoyens sachent, comment fonctionne, lâĂtat, les reprĂ©sentations sociaux professionnelles, lâĂtat budgĂ©tise, ce quâest un circuit, financier, Ă©conomique, anthropologique par les sciences humaines et rĂ©flexif, par la littĂ©raire, lyrique, artistique tout Ă©tat de cause ce projet doit aboutir Ă la vulgarisation de la Connaissance et du Savoir, rendant ainsi comprĂ©hensible notre activitĂ© humaine culturelle. Une activitĂ© humaine qui creuse un abĂźme entre ceux qui affrontent la puissance dangereuse du Savoir, et ceux qui se retranchent derriĂšre un fondamentalisme passĂ©iste protecteur, parce que simple et anesthĂ©siant par crainte de sâ comme rien ne vient seul il nous faudra bien consacrer du temps Ă ce qui nous permet de rĂ©flĂ©chir pour ne pas sâĂ©garer, car toutes les connaissances sont disponibles.⊠pour ne pas sâ sâen convaincre, il suffit de suivre lâĂ©volution du suffrage universel et des propagandes politiques. Depuis 1983 devant la dĂ©ception des promesses Ă©lectorales, ce sont des votes de dĂ©fiance qui se sont exprimĂ©s. A partir de 1993, la propagande est devenue du marketing importĂ© made USA » vĂ©hiculant des portraits de jeunes premiers idylliques qui se vendent, et chacun fustige lâautre ; Ă qui lave plus blanc et laisse croire que la politique est un antre de conduit Ă partir Ă la recherche de reprĂ©sentants politiques vertueux, câest dangereusement massacrant », car nous risquons de partir Ă la recherche dâune race politique et dâune politique vertueuse, comme dâautres sont allĂ©s Ă la recherche de celle qui Ă©tait supĂ©rieure, alors quâen permanence nous dĂ©veloppons les conditions de la citoyens se sont vus imposĂ©s une transformation, pas toujours comprise en dehors des spĂ©cialistes, quâils qualifient de post capitalisme, ou postindustrielle », qui a conduit les Etats Ă rĂ©duire leur rĂŽle dâinfluence » politique sur lâĂ©conomie dites du marchĂ© », et les projets de sociĂ©tĂ© ne sont presque plus que de contradictoires cahiers de en donner une image, je serais tenter de dire que les organisations professionnelles dâintĂ©rĂȘts corporatifs, sont devenus des plaignants, lâĂtat est devenu le syndicat qui sâadresse Ă son employeur les financiers. Cela, parce que nous ne sommes plus au fait des mutations ou Ă©volutions, Ă cause de la diffusion dâun savoir sociologique trop pauvre, face Ă une Ă©volution technologique trop rapide, et dâun encodage relationnel devenu un code complexe dâ Ă©galement parce que nous croulons sous une information dantesque, que plus personne nâa le temps ni de lire ni dâĂ©couter dans son ensemble, ce qui parfois conduit au paradoxe dâĂ©touffer lâoriginalitĂ© soit dâidĂ©es ou dâĆuvres, pour rester accolĂ© au systĂšme mercantile dans lequel se vend mieux tout ce qui est racoleur, scabreux, polĂ©mique, et oĂč le voyeurisme a pris le pas sur lâ vais le redire dâune maniĂšre plus primaire qui trouverait sa place dans Charlie hebdo. Jâai dĂ©jĂ mentionnĂ© le rĂŽle important de lâinformation, qui dĂ©passe de loin son seul rĂŽle dâorgane informateur. Et dans un monde oĂč lâon se personnalise aussi par leur intermĂ©diaire, Ă vendre de la merde » tout le monde veux devenir comment le savoir ?Une histoire lâillustre. Deux hommes discutent sur un trottoir et sâarrĂȘtent. â tu crois que cela en est ? â Je ne sais pas. Un des deux mais le doigt dedans et goĂ»te. - Oui ceci en est ! - Et bien on a bien fait de ne pas mettre le pied dedans ! »Cette histoire illustre la rĂ©gression oĂč nous sommes, encore contraints aujourdâhui de mettre le doigt dedans pour nous rendre compte quand cela en est afin de ne pas y alors que des hommes ont payĂ© un lourd tribut, par leur vie, pour nous en sortir, pour que par lâintelligence » nous soyons aptes Ă la il nous faudra encore certainement quelques siĂšcles de dĂ©veloppement de lâintelligence pour ne plus nous complaire Ă fabriquer des morts, nous dĂ©lecter de lâodeur des cadavres, Ă tel point que nous en faisons un divertissement. Je ne veux pas par-lĂ ignorer la violence, ni croire que câest en lâinterdisant quâelle va disparaĂźtre, mais souligner que si notre Ă©ducation tend encore Ă mettre en exergue nos caractĂšres de charognards, câest que nous avons dĂ» nous Ă©garer quelque part. Je ferme la page Charlie â Lâenseignement complĂ©mentaire pour adulte ne doit pas rester une exclusivitĂ© sans relation avec le systĂšme Ă©ducatif, mais il va susciter des choix difficilesLâenseignement complĂ©mentaire pour adulte ne doit pas rester une exclusivitĂ© sans relation avec le systĂšme Ă©ducatifâŠLe choix qualitatif du contenu des ECPA devra ĂȘtre suivi dâun autre, Ă lâintĂ©rieur de chaque discipline, pour sĂ©lectionner les niveaux du savoir qui devront ĂȘtre vulgarisĂ©s, dâinitiatiques Ă spĂ©cialisĂ©s ; pour apporter les bases qui permettent de comprendre et assimiler la discipline enseignĂ©e, sans en devenir des effet, le niveau professionnel existe dans les circuits universitaires, mais il nây a pas dâobjection Ă concevoir que celui-ci soit accessible Ă lâoccasion des ECPA, en Ă©laborant des cycles qui permettent son accĂšs. Cela pour tenir compte que les ECPA puissent Ă©venter, dĂ©voiler des vocations professionnelles. Le choix qualitatif consiste Ă faire le mixage appropriĂ© au projet envisagĂ© dans la construction des modules et des niveaux dans la durĂ©e, pour rendre accessible un savoir universitaire supĂ©rieur, qui sera adaptĂ©, reformulĂ©, simplifiĂ©, mais pas dĂ©figurĂ©. Je nâai pas dâattachement Ă formuler en lâespĂšce, sinon de ne pas mâaccorder lâidĂ©e de vouloir faire croire quâil suffirait de faire le bon choix pour que tout soit pour le je reste attachĂ© Ă lâidĂ©e quâun savoir supĂ©rieur ne doit pas rester de la seule comprĂ©hension des spĂ©cialistes, et que pour le partager, il nâest pas nĂ©cessaire dâen devenir un.⊠mais il va susciter des choix la comprĂ©hension de qualitatif » semble Ă©chapper Ă personne, il est plus difficile de s'accorder sur les sĂ©lections des matiĂšres qui sont de qualitĂ© pour dĂ©marrer le projet. Ceci dĂ©pendra de la qualitĂ© de discernement des concepteurs des programmes, et de leur reprĂ©sentation lâĂ©tape suivante devra ĂȘtre la mise Ă disposition de la totalitĂ© du savoir disponible, dans une sociĂ©tĂ© oĂč les exigences Ă©conomiques et sociales inhibent ou conditionnent nos sensations, pour que les hommes puissent y trouver la part du savoir qui concourt Ă la comprĂ©hension de leur ĂȘtre inachevĂ©[88], et y trouver lâexpression de leur Moi. Il y a donc la matiĂšre Ă avoir des dĂ©bats difficiles pour fixer des choixUn Ătre inachevĂ© comme lâa dĂ©veloppĂ© Ăgard Morin, et qui mâa inspirĂ© le poĂšme regard se dresse vers des constructions,Vers des Ćuvres closes comme des maisons,Je masque les brĂšches pour conserver mon paradisJe colmate les fissures pour ne pas laisser entrer la nây a pas de paradis Ă conserverPas de futur Ă Ă©difier,Pas dâhistoire Ă nây a pas de terre promise oĂč allerPas de messie Ă espĂ©rer,Pas de vĂ©ritĂ© Ă toit se lĂ©zarde oĂč vais-je mâabriter ?Quel Ă©difice vais-je pouvoir Ă©lever ?Je veux une masure en ordre pour me protĂ©ger,Des murs de certitudes pour me nây a pas dâharmonie Ă trouver,Pas de solution Ă donner,Pas de bonne nây a pas de dĂ©sordre Ă Ă©liminerPas de contradiction Ă effacer,Pas dâinĂ©galitĂ© Ă quel est ce monde oĂč jâai mis les pieds ?DâoĂč vient cette existence toujours inachevĂ©e ?Je vais briser les portes des systĂšmes fermĂ©sEt je trouverai dans ma tĂȘte la thĂ©orie y a des notes de musiques dans la voie portĂ©es dâĂ©toiles pour espĂ©rer,Que câest sur terre que je sais y a des plĂ©iades ithyphalliques dans lâempyrĂ©eLa robe dâAndromĂšde pour penser,Que câest sur terre que je sais prochaine demeure sera faite dâharmonieSous un toit de gammes Ă©tendu dans lâ une clĂ© qui nâouvre que des mĂ©lodiesEt je me nourris des mesures dâune y a un orchestre pour jouerQue tous les jours sont fĂȘtes,Pour qui sait y a un orchestre pour chanterQue la vie est faite,De plaisirs y a un orchestre pour rĂȘverAux bonheurs Ă©phĂ©mĂšresQue jâai inventĂ© !SUR DES telle idĂ©e de rĂ©alisation de ECPA nâest pas concevable sur une gĂ©nĂ©ration, pourtant devant lâĂ©volution de la technologie il nous faudra aller vite. Ce que nous savons faire quand il sâagit de vendre un - Par transmission et transmission et est aisĂ©ment comprĂ©hensible quâun Enseignement ComplĂ©mentaire pour Adultes, demande une mise en service Ă©talĂ© sur des gĂ©nĂ©rations, puisquâil sâadresse Ă lâensemble de la population. Toutes les nouvelles organisations modifient des habitudes et divisent les points de vue, un tel objectif ne pouvant sâinscrire que dans une planification modulable. Aussi, le choix qualitatif Ă©voluera Ă©galement au fil des gĂ©nĂ©rations, pour prendre en compte les connaissances et le savoir qui circulent par transmission. Ensuite pour prendre en compte les connaissances qui sont aussi dĂ©veloppĂ©es par apprĂ©ciation subjective liĂ©e aux Ă©vĂ©nements existentiels dĂ©veloppĂ©s par les constructions sociales, ou par discernement de besoins futurs, les deux Ă©tant parfois liĂ©s. Cela en espĂ©rant quâelles se vĂ©hiculent au sein du groupe familial aussi simplement que nous apprenons Ă gratter une allumette sans se brĂ»ler, non comme certitude, mais comme repĂšre dâun tremplin pour aller plus savons le faire dĂ©veloppement du marchĂ© du loisir en est un â ArrĂȘtons un instant dessus pour regarder comment lâon passe dâune tradition Ă un marchĂ© planifiĂ© qui a dĂ©veloppĂ© un savoir-faire lâon passe dâune tradition Ă un marchĂ© planifiĂ©âŠPar exemple, aujourdâhui personne ne sâĂ©tonne de voir les uns et les autres sâadonner au bricolage ou au jardinage. Il suffit dâobserver lâexpansion des magasins spĂ©cialisĂ©s pour sâen entrer dans toutes les conditions de son dĂ©veloppement, deux au moins mâintĂ©ressent ; le temps libre et la vulgarisation du savoir-faire. Pour nâobserver que sa vulgarisation, elle sâest fait dâune part, par la publicitĂ© de produits ou matĂ©riels facilitant soi-mĂȘme la rĂ©alisation de travaux et par la parution de manuels spĂ©cialisĂ©s ; et d'autre part, par simple circulation orale par le bouche Ă oreille. Rien de moins traditionnel, si ce nâest que la disposition de temps libre a facilitĂ© lâĂ©mergence dâun marchĂ©. Pour les connaisseurs, ce marchĂ© existait, il suffit pour cela de se rĂ©fĂ©rer Ă la date de parution de la revue du bricoleur SystĂšme D».Pour continuer dans cet exemple, observons le savoir-faire mis Ă la disposition des consommateurs bricoleurs. Du seuil de lâastuce ou du truc pour se dĂ©brouiller seul, il est passĂ© Ă celui dâun niveau initiatique et spĂ©cialisĂ© de la connaissance mĂ©thodologique dâun mĂ©tier. Ensuite, il sâest professionnalisĂ© du fait de la demande des utilisateurs, et de leurs aptitudes Ă rĂ©aliser une mĂ©thodologie complĂšte de tĂąches appartenant Ă dâautres mĂ©tiers que le leur, mĂ©tiers quâils nâavaient pas pu apprendre du fait de la rĂšgle de la sĂ©lection scolaire, et du marchĂ© du travail.⊠qui a dĂ©veloppĂ© un savoir-faire sur une courte pĂ©riode de quelque 30 ans, la qualitĂ© du savoir-faire dĂ©livrĂ© par les revues spĂ©cialisĂ©es dâinformations et autres sur le bricolage a Ă©voluĂ©. Le bricolage est devenu une activitĂ© de loisir et de faire soi-mĂȘme », incitĂ© en cela, par la disparition de certaines tĂąches non rentables des mĂ©tiers de la rĂ©paration ou par simple souci dâĂ©conomie voire de certain mĂ©tier qui se sont rarĂ©fiĂ©s, en mĂȘme temps que par lâindividualisation et lâamĂ©nagement de lâhabitat, et la production de biens de sĂ©ries et du jetable, ainsi que des productions de masse rĂ©alisĂ© dans des Ătats il y a 60% des français qui bricolent, contre 45% en 1969. Dans ce seul secteur, la dĂ©pense par personne atteint 244 Euros 1600 f, le jardinage 213,50 Euros 1400 f, et le bricolage automobile 396 Euros 2600 f par mĂ©nage motorisĂ©. Ces quelques chiffres montrent Ă lâĂ©vidence que le marchĂ© du loisir se porte quâen est-il du marchĂ© de la Connaissance et du Savoir, le marchĂ© de la - Le savoir se vend mal sauf parmi ceux qui le possĂšdent, mais la culture populaire enrichit leur protagonistes. Elle est lâobjet de dĂ©bats, dans lesquels il faut un dĂ©codeur qui existe en kit et en piĂšces dĂ©tachĂ©es dans le magasin de la mĂ©connaissanceLe savoir se vend mal sauf parmi ceux qui le possĂšdentâŠSi on regarde Ă partir de lâexemple ci-dessus, le dĂ©veloppement de lâenseignement complĂ©mentaire auxquels actuellement les adultes sâadonnent, cet enseignement, mis en parallĂšle Ă celui du loisir, en est au stade embryonnaire du bricolage. Cela, parce que chacun se cultive Ă sa convenance dans le marchĂ© » de la culture existant, et que la part correspondant Ă un apport de Savoir, dans ce marchĂ©, est apport de savoir complĂ©mentaire se fait essentiellement au travers de la lecture. Il faut donc Ă la fois examiner et trier la part qui conduit Ă une accumulation de savoir, ceci par rapport Ă la culture ludique, quand les deux ne sont pas cumulĂ©s comme beaucoup dâouvrages, ou le ludique permet de rĂ©aliser la vulgarisation de sciences dures, ou quâil vient en complĂ©ment pĂ©dagogique de lâenseignement ne veux pas dire par-lĂ que jâĂ©carte lâactivitĂ© ludique comme moyen dâenseignement, ni lâutilitĂ© des ouvrages purement rĂ©crĂ©atifs », sâils existent câest que leur usage correspond Ă un dĂ©sir exprimĂ© ; mais je ne les retiens pas comme constituant un apport de connaissances correspondant au sens oĂč je lâai dĂ©veloppĂ© pour les ECPA. Je reconnais par ailleurs que mon analyse est arbitraire, car des ouvrages rĂ©crĂ©atifs » sont parfois des supports Ă un enseignement, et jâai Ă lâesprit des ouvrages de romans ou de sciences-fictions, comme tout un chacun peut en avoir, qui sont conseillĂ©s parfois comme rĂ©fĂ©rence Ă lire Ă lâoccasion dâun enseignement ce sont les gens les plus instruits qui sâadonnent Ă la lecture, et les achats sont comme je lâindiquais rĂ©crĂ©atif ».En effet, les diplĂŽmĂ©s de lâenseignement supĂ©rieur ont reprĂ©sentĂ© en 1998, 24% de la totalitĂ© des achats pour ne reprĂ©senter que 9% de la population. Les femmes ont effectuĂ© 57% de ces ailleurs 51% du total de ces achats sont des ouvrages de littĂ©rature gĂ©nĂ©rale, pour lâessentiel des romans. Les livres des sciences humaines ne reprĂ©sentent que 5% des achats, les ouvrages de sciences et techniques 3%.Si je peux, Ă tort ou Ă raison, considĂ©rer que les livres de sciences sont vecteurs de savoir[89], parce quâils permettent dâaccĂ©der aux mĂ©canismes du savoir, ils reprĂ©sentent seulement 6,2% des achats pour 9553 titres vendus Ă 25476 exemplaires, les livres scolaires 17,3% pour 7274 titres vendus Ă 71209 exemplaires, les livres pour la jeunesse 7697 titres vendus Ă 70470 exemplaires chiffres donnĂ© par le syndicat national de lâĂ©dition en 1999.NĂ©anmoins, les livres sont prĂ©sents dans 91% des foyers, et les Ă©carts entre catĂ©gories sociales demeurent. Les ouvriers et employĂ©s ont trois fois moins de livres que les cadres et professions libĂ©rales. La dĂ©pense par personne toutes catĂ©gories confondues reprĂ©sentent 38,1 Euros 250 f[90]. Nous sommes donc loin des sommes consacrĂ©es aux loisirs 858,65 Euros, 5600 f.Pourtant il y a un autre marché» celui de la culture populaire, mais le but nâest pas dâĂ©duquer.⊠mais la culture populaire enrichit leurs protagonistesâŠSi je fais cette distinction, et si jâai mis entre guillemet le mot marchĂ©, câest parce que nous vivons dans une sociĂ©tĂ© oĂč se dĂ©veloppe une culture populaire commercialiste » universaliste qui va du fast-food aux sĂ©ries tĂ©lĂ©visĂ©es, et films amĂ©ricains je les cite symboliquement parce que se sont eux qui sont en position hĂ©gĂ©monique, ce serait vrai pour tous ceux qui voudraient les supplanter. Cette culture populaire passe Ă©galement par les multitudes de magazines Ă caractĂšre informatif, et passera demain par les multimĂ©dias constitue un espace commercial qui favorise lâacculturation, mais qui ne constitue pas un objet propre au dĂ©veloppement du savoir. Cette acculturation nous pouvons, soit la vivre malgrĂ© nous, au travers de notre culture populaire publicitaire, soit lâaccompagner par plus de connaissances didactiques, pour ne pas la subir, parce que nous le comprenons et la comprenons. La culture populaire a toujours Ă©tĂ© un espace commercial, il nây a aucune nouveautĂ© en cela. Ce qui lâest, câest que ce marchĂ© dĂ©pend de plus en plus de groupes oligarchiques idĂ©ologiques anonymes actionnariat, dont le but est certes de faire de lâargent, mais aussi de maintenir les conditions socio-Ă©conomiques qui leur sont favorables. Ainsi, la diffusion de masse de la culture populaire devient Ă tort ou Ă raison le fait majoritaire », voire sâuniversalise par recherche dâextension de son marchĂ©. Cela nâa donc rien Ă voir avec le savoir et la connaissance didactique, bien que dans la culture populaire se trouve lâactivitĂ© artistique rĂ©sultant dâun enseignement didactique ou autodidacte. Ce que je veux dire par-lĂ , câest que si toute la population Ă©tait mĂ©lomane, ces groupes vendraient des mĂ©lodies, et ferait tout pour conserver cet esprit mĂ©lomane parce quâil lui rapporte des profits ; si la population est ignorante ils vendront ce qui satisfait cette ignorance. Vendre du loisir ce nâest pas, mĂȘme dans la culture populaire se rencontre le problĂšme de la concentration et de son incidence sur le dĂ©veloppement de la ce que nous appelons culture sous-entend aussi la possibilitĂ© dâĂ©lever ses connaissances, de se cultiver, or la culture populaire consiste Ă fournir une culture qui ne demande aucun effort de comprĂ©hension pour ne pas rĂ©duire la capacitĂ© de commercialisation espĂ©rĂ©e du produit mis sur le marchĂ© correspondant Ă lâimage de la culture quâil culture populaire est toujours en rapport avec le niveau de connaissance de la population concernĂ©e en fonction de sa propre culture, et ne contient aucun but dâ soulignĂ© ce passage, et que je le laisse tel quel, car il illustre parfaitement lâambiguĂŻtĂ© des mots aux sens multiples, dont il faudra que lâon se dĂ©partisse, quand il sâagira de faire lâusage des dĂ©couvertes du gĂ©nome ou celles neurologiques qui ne supporteront aucune il y aura toujours quelquâun pour nous vendre de la culture populaire pour de la culture culture populaire, câest aussi apprendre seul chez soi sans aide pĂ©dagogique, un marchĂ© qui va devenir exponentiel avec Internet, et qui est dĂ©jĂ lâobjet de dĂ©bats autour dâintĂ©rĂȘts financiers.âŠElle est lâobjet de dĂ©bats...Cependant, cette culture populaire vĂ©hicule aussi des constructions sociĂ©tale » que nous subissons par mimĂ©tisme, si nous nâavons pas un minimum de connaissances en sociologie, et qui faute de rĂ©ciprocitĂ© constitue aujourdâhui, par imprĂ©gnation commerciale, une conquĂȘte culturelle. DâoĂč le dĂ©bat qui a existĂ© sur lâespace Culturel français qui Ă©tait celui de lâopposition entre le modĂšle anglo-saxon,[91] et le modĂšle francophone. Elle vĂ©hicule Ă©galement des modĂšles de pensĂ©e destructrice tant au nom de la diversitĂ© que de la spĂ©cificitĂ© culturelle Autonomisme »[92], quâau nom de lâuniversalisation mondialisme[93].Il nây est donc pas facile de sây retrouver sans repĂšres, ceci, pour parvenir Ă concevoir ce quâest la diversitĂ© qui engendre le mouvement socioculturel et socio-Ă©conomique, pour ne pas arriver Ă un stade ultime oĂč il ne se passe plus rien, parce quâun modĂšle serait dominant. Ăgalement pour ne pas faire comme corollaire de la diversitĂ©, des races » ou des cultures hĂ©gĂ©moniques, lĂ oĂč il nây a quâune espĂšce humaine diversifiĂ©e gĂ©o historiquement ».Il ne faut donc pas avoir peur de trouver une diversitĂ© qui existe de fait, parce quâelle est liĂ©e Ă la vie tellurique de notre planĂšte, gĂ©ographie, climatologie etc. et qui concourt Ă Ă©difier notre culture gĂ©ohistorique[94] » que nous agrĂ©mentons de nos passions concrĂštes ou mystiques, qui sont lâobjet de nos dĂ©bats faussement Identitaires, mais parfaitement meurtriers, et bougrement lucratifs pour ceux qui savent en saisir l'opportunitĂ© au sein de la culture le dĂ©bat nâest pas simple devant lâacculturation inĂ©vitable des peuples par la culture populaire, sauf que le pouvoir de lâinformation peut devenir un pouvoir colonisateur pour ceux qui ont les moyens financiers de sâapproprier sa production et sa distribution, sur dâautres qui non que lâignorance de le subir.âŠdans lesquels il faut un dĂ©codeurâŠUne culture pseudo scientiste sâest Ă©galement dĂ©veloppĂ©e avec le mĂȘme type de support. Elle consiste Ă faire appel aux personnes ayant une compĂ©tence reconnue pour apporter des rĂ©ponses aux problĂšmes qui leur ont Ă©tĂ© soumis dans des domaines qui ne relĂšvent pas de la science, Ă©conomie, droit, politique, religion. Ne pas confondre avec la recherche scientifique des mĂ©canismes qui nous animent, parmi lesquels les mĂȘmes phĂ©nomĂšnes existent, mais pour lesquels je nâai aucune compĂ©tence pour me autant lâune et lâautre nâinfluent pas moins sur nos analyses et comportements, car ils font partie du nĂ©cessaire de notre quotidien. Ceci rend indispensable lâaccumulation de connaissances pour essayer de choisir, comprendre et non subir cette effet, devant cette explosion dâinformations et de dĂ©sinformations, il est devenu indispensable de pouvoir discerner ce qui est exact, dâautres diraient vrai ou la vĂ©ritĂ©, mais comme ces deux mots ont fait tant de morts, je prĂ©fĂšre ne pas les utiliser. Ceci, car dans cette immensitĂ© dâinformations composĂ©es dâidĂ©es, de donnĂ©es, de positions, dâaffirmations, dont une part peut ĂȘtre erronĂ©e, voire dĂ©libĂ©rĂ©ment fausse, ĂȘtre mal comprise ou embrouillĂ©e, il faut disposer dâun dĂ©codeur intelligent, pour ne pas ĂȘtre simplement plus abusĂ©, ou colporteur de rumeurs, ce qui est dĂ©jĂ le propre de nos relations sociales et retrouver la perception de nos sensations affectĂ©es ou dĂ©veloppĂ©es par des siĂšcles de constructions sociales. Câest Ă dire que quand nous traitons lâinformation, elle lâest, Ă partir de notre apprentissage initial organisĂ©, nĂ©vrosĂ©, conditionnĂ©. Pour nâen citer quâun exemple en le prenant dans lâhistoire de la misogynie culturelle la femme tentatrice, pĂ©cheresse, soumise, etc., le regard que nous portons sur elles, par culture, affecte les informations les tel point, que certains Ă©voquaient lâidĂ©e dâinscrire les droits de la femme dans la dĂ©claration des droits de lâhomme, comme si la notion, mĂȘme religieuse, dâĂtre suprĂȘme ne lâincluait pas, mĂȘme si lâon sait que ceux qui ont Ă©laborĂ© cette dĂ©claration ne pensaient pas Ă elle, ou pensaient Ă elle comme moitiĂ© conjugale appartenant Ă lâhomme par culture, ce qui est biologiquement contre ces dĂ©codeurs existent dans lâenseignement supĂ©rieur, sauf quâil nous faut avoir la volontĂ© dâen assembler les piĂšces, et apprendre Ă sâen servir. Ils existent aussi dans la littĂ©rature et la philosophie encore faut-il en lireMalheureusement, les statistiques que jâai donnĂ©es sur la lecture montrent quâen dehors de lâenseignement organisĂ©, il y a peu de citoyens qui ont cette dĂ©marche.⊠qui existe en kit...Câest pour cela que jâindiquais ci-dessus que la connaissance et le savoir collectif ne se construisent pas plus dans des kiosques Ă journaux et magazines, que dans les fractions informatives radio ou tĂ©lĂ©vision la culture populaire. Ceci, mĂȘme sâils y contribuent ou donnent envie de savoir, et mĂȘme si le dĂ©veloppement du savoir a commencĂ© par-lĂ la communication orale, puis Ă©crite et leurs supports, mĂȘme si la culture populaire a servi, et sert de creuset, de foyer dont sont sorties toutes les ce nâest pas la contester que de reconnaĂźtre aujourdâhui, que la diffusion du savoir et de la connaissance ne peuvent exister pleinement que par une structure dâenseignement permanent le long de lâexistence compte tenu de sa quantitĂ©, et de la qualitĂ© nĂ©cessaire quelle effet, une partie de notre culture Humaine est dans des bibliothĂšques, et elle pourrait y rester si par lâensemble de mĂ©thodes didactiques nous nâavions pas vulgarisĂ© et spĂ©cialisĂ© le contenu de cette culture, au travers de lâenseignement organisĂ© qui assure sa diffusion, et en gĂ©nĂšre en retour. En retour signifiant quâil nâest lĂ que pour nous permettre, dâutiliser notre Etre sensible » Etre sensoriel, producteur et penseur, fragile et fort, ordonnĂ© et dĂ©sordonnĂ©, non pour rĂ©pĂ©ter bĂ©atement nos souvenirs comme dirait Socrate, mais aussi pour nous lire et ĂȘtre inventif. Et inventif, nous ne manquons pas de lâĂȘtre, mais plus dans le domaine technologique que dans celui de la pensĂ©e qui subit une rĂ©gression bien que devant lâabondance de dĂ©couvertes qui complexifient notre monde, nous allons devoir rĂ©organiser dâautres ensembles de Kit dâenseignement pour les rendre disponibles Ă chacun dâentre nous, du moins pour ceux qui en voudront.âŠet en piĂšces dĂ©tachĂ©esâŠLes autres formes mĂ©diatiques et littĂ©raires nâen resteront pas moins un moyen constant dâexpression individuel ou collectif, concourant au dĂ©veloppement de la culture personnelle, dont les publications de certains travaux et autres Ă©crits ou images passeront en fonction de leur impact, dans lâenseignement collectif cinĂ©mathĂšques, Ă©vĂ©nements historiques, dĂ©couvertes scientifiques, Ă©ditions, etc.. Ils passeront ainsi de la culture populaire Ă la culture les Ă©crits des penseurs ont donnĂ© naissance Ă la philosophie, la philosophie se nourrit de nouvelles pensĂ©es qui se façonnent au fil des Ă©vĂ©nements, et qui circulent. Naturellement le penseur nâĂ©crit pas dans lâobjectif dâun enseignement philosophique, quoique lâenseignement puisse y trouver un intĂ©rĂȘt collectif Ă en faire usage. Ainsi son ouvrage passe du domaine de la culture personnelle, Ă celui du savoir comme personne nâest dĂ©tenteur de la vĂ©ritĂ©, chaque Ă©crit et information sont des piĂšces dĂ©tachĂ©es de cet immense puzzle quâest notre existence, dans lequel chacun de nous peut puiser Ă sa convenance, et en ĂȘtre un au travers des ECPA, il ne sâagit pas de dĂ©finir un enseignement Ătatique ou confessionnel, mais de mettre Ă la disposition de chacun les moyens de devenir en retour un maillon du Savoir ; pour que chacun puisse ĂȘtre une future piĂšce dĂ©tachĂ©e dâun nouveau kit de connaissance, car il nây a pas de gĂ©nĂ©ration spontanĂ©e dâĂȘtres intelligents, mĂȘme si par soucis historiques nous les avons classĂ©s dans leur comme repĂšre du dĂ©part dâun Ă©vĂ©nement vers un nouvel essai dans le magasin de la mĂ©connaissance.⊠dans le magasin de la mĂ©connaissance...Ainsi, devant la nĂ©cessitĂ© quâil y aurait de faire un tri dans la diffusion dâĂ©crits, dâinformations, tri quâil ne faut pas assimiler Ă la censure existante, sans remettre en cause le droit de penser, dâĂ©crire librement, et aussi de se tromper, je pense quâil vaut mieux, pour assurer une diffusion dâinformations sĂ©rieuses, instruire les lecteurs et auditeurs en actualisant leur connaissance et leur savoir au fil de lâexistence, afin quâils soient toujours aptes Ă faire le tri impliquera que les ECPA soient au fait des innovations et sâajustent, car nous le savons, la connaissance est aussi faite de mĂ©connaissances[95] qui surgissent grĂące Ă dans ce magasin lĂ , celui de la mĂ©connaissance dont nous nâavons aucune idĂ©e, si nous y accĂ©dions sans connaissance bornĂ©e, structurĂ©e nous sombrerions trĂšs certainement dans la folie faute dâavoir les capacitĂ©s cĂ©rĂ©brales suffisamment organisĂ©es pour y faire face, comme sombre dans la folie tout sujet qui nâa plus dâidentitĂ©, de passĂ© rĂ©fĂ©rentiel, de un peu ce qui se passe quand nous rĂȘvons, nous accĂ©dons Ă tout notre magasin dâinformation, dont leur assemblage nous paraĂźt dĂ©sordonnĂ©, et associe des donnĂ©es que notre raison ne ferait pourtant cela qui attend les hommes de demain, car ils ne feront pas face au monde quantique et Ă la gĂ©nĂ©tique avec lâenseignement dâaprĂšs guerre recomposĂ© et appauvri comme serviteur du libĂ©ralisme Ă©conomique, qui a son intĂ©rĂȘt comme essai ou marche pied ; mais quâil nous faudra dĂ©passer pour ne pas en libĂ©ralisme que nous avons Ă©laborĂ© par dĂ©faut de connaĂźtre le monde objectif auquel nous appartenons, mais dont bien des hommes avaient pressenti quâil ne pouvait pas ĂȘtre un monde de - Le savoir en expansion reste difficile Ă suivre pour savoir en expansionâŠLa mise en Ćuvre et lâĂ©volution des ECPA nĂ©cessite une impulsion et une dĂ©termination, et ne peut se concevoir que sur des gĂ©nĂ©rations, du fait mĂȘme du nombre de personnes quâelle implique, du temps nĂ©cessaire Ă lâapprĂ©ciation des choix qualitatifs Ă effectuer, de la mise en Ćuvre dâune mĂ©thodologie dâestimation quâil faudra Ă©laborer, mĂ©thodologie dont je nâai aucune Ă lâenseignement public ou privĂ© dispensĂ© suivant les pays auprĂšs des populations, quelles quâen soient les motivations, si nous observons la progression de la crĂ©ativitĂ© » engendrĂ©e par le Savoir durant ces derniĂšres dĂ©cennies, et ce, dans tous les domaines, et si nous Ă©tablissons le rapport entre les rĂ©sultats obtenus par les niveaux de Savoir diffusĂ©s, et les populations instruites dans le laps de temps imparti, nous ne pouvons que constater que plus les populations se sont instruites, plus il nous a fallu consacrer du temps Ă lâinstruction, cela pour produire des biens et des services performants et du fait de lâapparition de nouveaux mĂ©tiers, au dĂ©triment de certains qui ont pĂ©riclitĂ© ou qui se sont industrialisĂ©s dans le cadre de la concurrence, et surtout des dĂ©couvertes scientifiques qui se sont multipliĂ©es grĂące au dĂ©veloppement de lâordinateur qui offre une capacitĂ© de calcul sans commune mesure avec la exemple, quatre-vingt-dix ans se sont tout juste Ă©coulĂ©s entre la dĂ©couverte de la fonction des chromosomes par Thomas Morgan en 1910, avec, au passage en 1953 la dĂ©couverte de la double hĂ©lice dâADN, et le dĂ©codage du gĂ©nome humain en avril 2000 par des laboratoires privĂ©s et les deux il y a lâusage de la puissance de lâordinateur guidĂ© par lâintelligence et le savoir de lâhomme, qui ont permis lâexpansion du descendons donc toujours plus dans lâinfiniment petit pour parvenir Ă trouver cette loi unifiĂ©e chĂšre aux physiciens ou ce sourire » de Sapiro Note 20. Mais lĂ , ce ne sont plus nos yeux qui regardent, câest notre tĂȘte qui comprend, et dans ce monde lĂ , qui modifiera nos relations et valeurs sociales, ceux qui nâauront pas appris seront aveugles. De fait, il leur sera difficile de suivre, comme nous pouvons dĂ©jĂ le constater au travers des dĂ©bats politiques, dans lesquels celui qui nâa pas un langage vulgarisĂ© nâest pas compris, et fait de petites phrases assassines dont les partisans ou les ignorants se ce monde lĂ , les traĂźnards se tourneront vers leur passĂ©, parce quâil est connu et rassurant, en ignorant quâils ne peuvent le reproduire parce que les Ă©vĂ©nements lâayant produit nâexistent plus ; et mĂȘme sâils croient en imiter lâimage celle ci en est une autre. Et ce passĂ© est dangereux si entre-temps nos sens ne nous ont pas permis de concevoir que nous appartenons Ă une espĂšce.âŠreste difficile Ă suivre pour lâinstruction gĂ©nĂ©rale ne reste accessible quâaux scolaires, et bien quâelle sâadapte Ă lâĂ©volution des connaissances et des technologies, la population nâattend dâelle quâune formation dĂ©bouchant sur un emploi, avec les frustrations que cela engendre quand ce nâest pas le cas, et elle ne peut plus rien apporter Ă ceux qui au moment de leur scolarisation nâavaient accĂ©dĂ© quâau minimum. En cela ils nâont rien Ă envier Ă leurs cadets, car lâinstruction des sciences sociales et humaines demeure comme par le passĂ© une spĂ©cialisation, alors quâau quotidien nous les vivons. Ceci nâest pas en contradiction avec lâaugmentation du niveau dâinstruction pas forcĂ©ment du Savoir qui est observable depuis les annĂ©es 1970, avec une accĂ©lĂ©ration Ă partir de 1980. [96] Ce que je veux indiquer câest que notre systĂšme Ă©ducatif, sâil donne accĂšs Ă une augmentation de diplĂŽmĂ©s. MalgrĂ© les connaissances acquises ces diplĂŽmes ne sont pas suffisants pour rendre comprĂ©hensible notre organisation socio-Ă©conomique, car ce sont des filiĂšres de lâenseignement Ă visĂ©es productivistes. VisĂ©es qui Ă©limine de fait, parce que non commercialisable, des pans de culture gĂ©nĂ©rale qui constitue le cĆur dâune Ă©galitĂ© des chances dâaccĂšs au Savoir. Câest par ce travers en autre chose que sont apparu des spĂ©cialisations dâĂ©tablissements scolaires pour privilĂ©giĂ©s. Ainsi lâaccĂšs au Savoir devient difficile pour le plus grand nombre. Ce seront pourtant les dĂ©tenteurs de ce savoir pluridisciplinaire, qui dĂ©jĂ se diffuse sĂ©lectivement auprĂšs des cadres et dirigeants depuis plus de quarante ans dans un but spĂ©cifique. Et ce sont eux qui seront le cas Ă©chĂ©ant sollicitĂ©s Ă formuler leur avis. Les autres, les plus nombres devront se contenter de lâapprĂ©cier avec les seuls critĂšres de leur culture populaire nous savons que lorsque les Ă©carts sont trop grands entre les uns et les autres, sâinstaure une incomprĂ©hension source de conflits ou dâ â Mais lâespĂ©rance peut venir la loi du loi du nombre qui fixe le fait social est une maĂźtresse courtisĂ©e, et si elle nâoffre aucune garanti de vĂ©ritĂ©, elle constitue le socle dâun maximum de circonstances favorables Ă la mise en Ćuvre de la rĂ©alisation dâun loi du pouvons Ă juste titre espĂ©rer quâune plus large diffusion de lâenseignement de la connaissance et du savoir, en complĂ©mentaritĂ© sur des gĂ©nĂ©rations tout au long de la vie, apporterait mĂ©caniquement son lot de crĂ©ativitĂ© », sans prĂ©juger dans quels domaines, mĂȘme si cet enseignement peut ĂȘtre orientĂ© par des projets sĂ©lectifs. Et tout cela malgrĂ© une rĂ©partition inĂ©galitaire comme nous la connaissons dans les pays quâen ayant multipliĂ© sa diffusion nous auront accru la possibilitĂ© que des informations trouvent une association qui nâaurait pu ĂȘtre faite. Mais il faut ĂȘtre lucide le Savoir ce nâest pas lâinstruction de lâignorance ; car lâignorant instruit devient souvent un tyran â Au fil des que, ĂȘtre individuellement performant est devenu une clĂ© de la rĂ©ussite matĂ©rielle, nous perdons de vue la fonction Ă©ducative de la cellule familiale inter gĂ©nĂ©rative qui est devenue presque obsolĂšte par ignorance, Ă©clatement, sollicitation mercantiliste et par disparitĂ©s sociales mĂȘme si elles gĂ©nĂ©ration, il faut entendre aussi le temps que mettra la connaissance pour devenir partie intĂ©grante de sa diffusion par le biais de la cellule familiale, entre adultes et dâadultes Ă enfants, de maniĂšre quâelle sâenracine dans lâacquis. Cela en restant disponible au travers des ECPA, qui seront ouverts Ă toute future dĂ©couverte ou connaissance dĂ©mentant celles prĂ©cĂ©demment acquises afin de ne pas vĂ©hiculer des donnĂ©es, dĂ©passĂ©es, ou en rĂ©habilitant dâautres qui avaient Ă©tĂ© Ă©cartĂ© par pensĂ©e occidentalisĂ©e je pense par exemple Ă lâacupuncture qui nâest pas partie intĂ©grant de lâenseignement. Alors quâaujourdâhui, faute dâorganismes comme les ECPA, ce sont souvent les enfants qui sont en mesure dâinstruire leurs parents, qui eux vĂ©hiculent encore des pensĂ©es erronĂ©es, au nom du culturel de leur temps, et par absence dâun enseignement auquel ils nâont pas eu accĂšs, ou comme dans certains Ătats, dâun enseignement confessionnel ou traditionnel. Nous avons donc des enfants possesseurs dâune connaissance didactique, sans vĂ©cu et des parents avec un vĂ©cu qui ne peut pas prendre en compte les nouvelles connaissances didactiques, et donc encore moins apprĂ©cier leur incidence sur le savons parfaitement que dans les familles les plus Ă©duquĂ©es se trouvent les rĂ©ussites les plus probables.[97]Pour la petite histoire, du moins en ce qui concerne l'Europe, câest Ă Gutenberg invention des caractĂšres mobiles fondus quâil revient dâattribuer le mĂ©rite de notre crĂ©ativitĂ© actuelle », car son invention Ă permis de vulgariser et propager le savoir, nâen dĂ©plaise Ă Socrate, alors dĂ©tenu par lâempire des lettrĂ©s sâexprimant en Latin, dans toute lâ a permis ainsi lâimpression de livres dans toutes les langues vernaculaires qui aboutirent aux langues nationales, et Ă une meilleure communication par la connaissance, mise Ă la disposition du plus grand nombre. MĂȘme si ce nationalisme linguistique sĂ©para les lettrĂ©s qui vinrent aprĂšs, qui durent se regrouper et se retrouver dans des sociĂ©tĂ©s de savants, dont les colloques sont aujourdâhui la continuitĂ©, ayant perdu de fait leur langue de liaison le Latin, que nous remplaçons petit Ă petit par lâanglais commercial, sans pouvons lĂ©gitimement nous poser la question de savoir si le capitalisme serait nĂ© sans la popularisation du savoir. Peut-ĂȘtre. Mais pas en occident. Il serait peut-ĂȘtre plutĂŽt arrivĂ© en Asie, si les Chinois avaient eu un alphabet au lieu de trente mille caractĂšres Ă classer 44 905 suivant diverses sources dont 3000 dâusage courant, car en 1041-1048 un nommĂ© Pi ShĂȘng inventa le caractĂšre mobile avant Gutenberg 1394-1468, et leur Ă©norme quantitĂ© de caractĂšres reprĂ©senta un handicap pour lâĂ©dition. Comme quoi, le dĂ©roulement de lâhistoire nâa peut-ĂȘtre tenu quâĂ un nombre de caractĂšres, Ă un moyen technique de DâACCEUILS, DâENSEIGNEMENT COMPLĂMENTAIRE POUR â il en existe pour les actifs Ă hauteur de 30%, mais ECPA on une autre vocation et la capacitĂ© Ă atteindre est importante. Cela sera fonction dâun choix politique, car nous couvrons bien dâautres existent pour les actifsâŠIl existe un certain nombre de structures dâaccueil destinĂ©es Ă lâenseignement des adultes, les instituts universitaires du travail, les centres de formation professionnelle, les organismes de formation professionnelle, de perfectionnement, dâadaptation, bref tout lâarsenal lĂ©gislatif en vigueur sur la formation et lâĂ©ducation permanente. Arsenal auquel il faut rajouter les organismes de formation Ă destination des employeurs, et ceux Ă destination des familles, dans le cadre, des actions sociales de la caisse dâallocation familiale C A F.Ce cadre actuel, Ă lâexception des spĂ©cificitĂ©s de la CAF, est destinĂ© aux actifs ou en passe de le devenir et les prĂ©pare Ă l'exercice dâune activitĂ© professionnelle.âŠĂ hauteur de 30%.MĂȘme si la formation professionnelle ne couvre quâune population dâactifs restreints[98], elle remplit sa mission considĂ©rerais pour les besoins du raisonnement, qu'un salariĂ© sur trois suit une semaine de formation de trente heures par ans en roulement turn-over, une sortie Ă©galant une entrĂ©e. Sur une population dâenviron vingt-six millions dactifs en 1999, 25,983 millions cela nous donne 8,7 millions de personnes suivant une formation, et un total de deux cent cinquante un millions dâheures de formation, soit les emplois Ă©quivalant de 185 240 personnes/an. Cela donne un aperçu des capacitĂ©s dâaccueil actuelles.⊠mais ECPA on une autre vocation et la capacitĂ© Ă atteindre est importanteâŠSi lâon voulait fournir un enseignement Ă la totalitĂ© de la population française, cela en excluant les vingt millions dâadolescents et dâadultes scolarisĂ©s sur soixante millions de français, ce calcul ne tient pas compte des populations immigrer qui sont bien Ă©videmment aussi concernĂ©s, il faudrait multiplier par quatre et demi les capacitĂ©s dâaccueil actuelles pour seulement une semaine de formation annuelle. Nous sommes donc loin des moyens Ă mettre en Ćuvres pour couvrir la population.⊠cela sera fonction dâun choix politiqueâŠJe ne vais pas entrer dans les dĂ©tails de la mise en Ćuvre pour estimer avec quelle frĂ©quence celle-ci doitâĂȘtre faite, car tout peut-ĂȘtre envisagĂ©, enseignements journaliers, hebdomadaires, mensuels etc. Naturellement les structures dâaccueils devront ĂȘtre de proximitĂ©, du lieu du travail et de lâhabitation, et seront fonction de la durĂ©e de lâenseignement choisi, de sa frĂ©quence, du taux de participation, et des cycles mis en relĂšve de lâorganisation structurelle Ă mettre en place Ă la suite dâun choix politique, comme nous en avons fait dâautres dans lâespĂ©rance Ă©ducative du loisir en couvrant dâautres besoins. Ou comme aprĂšs guerre nous avons dĂ©cidĂ© dâun plan Marshall.âŠcar nous couvrons bien dâautres faudrait au mieux un centre dâenseignement pour adulte ECPA dans chaque ville, ce qui est parfaitement rĂ©alisable. Quelle est la ville qui nâa pas son centre culturel, sa salle des fĂȘtes, ou au minimum son stade de football ?Ne comprenez, au travers de cette image, que mon dĂ©sir de signifier que nâimporte quelle municipalitĂ© peut disposer de locaux Ă lâusage dâun ECPA. Nous avons donc un parc dâaccueil existant, celui qui couvre nos besoins actuels et les moyens de lâaccroĂźtre par une volontĂ© sâagit lĂ de structures collectives, mais il peut ĂȘtre mis en place la formule dâenseignement par correspondance, qui ne nĂ©cessite que peu de structures hormis celles Ă consacrer Ă la logistique et, qui couvre actuellement un certain nombre de besoins dâĂ©ducation. Lâune ou lâautre des formules, Ă mon avis les deux Ă la fois, ne nĂ©cessite quâune mise en place de quelques annĂ©es. Cette utilisation des structures dâaccueil s'effectuera en fonction des populations au sein desquelles apparaĂźtront des prioritĂ©s, le besoin en connaissance dâun SDF nâĂ©tant pas le mĂȘme que celui dâun la tĂąche nâest pas insurmontable car nous disposons dâun TYPES D ENSEIGNEMENT ?25 - Un enseignement pour des adultes, dans un Ă©change particulier auquel nous ne pouvons Ă©chapper, parce que nous sommes des rĂ©pĂ©titeurs qui pourront sâĂ©valuer et afficher leurs rĂ©flexions librement dans des limites enseignement pour des adultes âŠĂvidemment, lâenseignement devra prendre en compte la diversitĂ© des situations professionnelles, sociales et scolaires. Il devra ĂȘtre modulaire, dans le cadre des projets initiaux dĂ©finis et des programmes d'enseignements. Il sâadresse dâĂ©vidence Ă une population dâadultes parmi lesquels nous pouvons distinguer au moins quatre groupes les actifs qui disposent dâun savoir dans le cadre de lâactivitĂ© quâils exercent, les pĂšres ou mĂšres au foyer, les retraitĂ©s, et les exclus. Par prendre en compte, j'entends aussi, utiliser les diverses situations, et groupes, pour que les expĂ©riences individuelles viennent s'ajouter Ă l'enseignement dispensĂ©.⊠dans un Ă©change particulierâŠComme je le soulignais plus haut, l'enseignement s'adresse Ă une population dâadultes, dont chacun d'eux a emmagasinĂ© un capital Ă©ducatif autodidacte ou non qui constitue son patrimoine dâentendement et de savoir-faire un enseignement dispensĂ© Ă des adultes nous n'Ă©chappons pas au croisement des connaissances et du savoir, scolaire ou empirique qui interfĂšre sur celui qui leur est de lâentrevoir comme parasite, il faut le regarder comme un ajout, car il est le reflet du quotidien oĂč chacune des nouvelles informations qui sâĂ©changent, sont immĂ©diatement traitĂ©es par nos cerveaux. Elles sont alors classĂ©es dans les structures cognitives en fonction de lâorganisation de nos rĂ©fĂ©rences de valeurs dâutilitĂ© personnelle. Ensuite notre cerveau les classe en fonction de son acquis, pour un usage immĂ©diat ou cet Ă©change croisĂ© entre enseignant et enseignĂ©, qui doit constituer une particularitĂ© de l'enseignement pour adulte.⊠auquel nous ne pouvons Ă©chapperâŠDans notre monde, le traitement moderne de lâinformation ou de la dĂ©sinformation, occupe une place quotidienne Ă tel point, quâil est apparu des experts et spĂ©cialistes en traitement, de la communication, de lâimage pour l'essentiel la presse Ă©crite et audio- visuelle, informations qui, Ă moins dâĂȘtre un ermite nous atteint. Ainsi, toutes ces informations, et le langage qui les vĂ©hicule, façonnent le raisonnement et le comportement individuel, et elles sont parties intĂ©grantes de nos Ă©changes faisons donc au quotidien sous notre seul arbitraire un Ă©change dâinformations croisĂ©es, qui en dehors dâune structure dâenseignement didactique sâappelle la conversation.⊠parce que...Sâil en a Ă©tĂ© ainsi, et en sera ainsi quelles que soient les diverses formes sous lesquelles se diffuseront les informations, celles mĂ©diatiques ne rencontrent pas de contrepoids ou pouvoir, si ce n'est celui de leurs propres rĂšgle gĂ©nĂ©rale, ces informations mĂ©diatiques constituent une information descendante qui, si elle se nourrit des manifestations d'opinions collectives ou individuelles exprimĂ©es le vote, les sondages d'opinions, les porte-parole de groupements associatifs, les manifestations populaires sporadiques, et tout Ă©vĂ©nement, cette information descendante s'impose par sa quotidiennetĂ© et est subie, en lâabsence de droit de rĂ©ponse les types d'informations inters actives sont rares et ne peuvent ĂȘtre que sĂ©lectives, du fait de la loi des nombres.Elles sont donc souvent prises Ă tort comme reprĂ©sentant la rĂ©alitĂ© sociale, politique et Ă©conomique dâun effet loupe » qui se rĂ©pand, et donne tout son poids aux mĂ©dias.⊠nous sommes des rĂ©pĂ©titeursâŠDe ce fait dans ce marchĂ© de l'esprit », si je peux me permettre de lâappeler ainsi, la variĂ©tĂ©, la crĂ©dibilitĂ© de l'information s'atrophient malgrĂ© une libertĂ© acquise. Le commentateur, faiseur d'opinion, a pris de l'ampleur pour le meilleur ou le pire, car il est Ă but lucratif, et il doit dâabord se vendre, tandis que le rĂŽle de lâauditeur ou du lecteur se rĂ©duit presque exclusivement Ă celui de rĂ©pĂ©titeur pour plaire Ă Socrate. LâHomme moderne rĂ©pĂ©ter ne prend jamais le temps dâinterroger de lâintĂ©rieur, dâautres cultures disent câest lĂ une aptitude essentielle dans le cadre de lâappris qui fonde notre sociabilitĂ© et nos cultures, une autre fonction est aussi essentielle celle dâĂ©valuer son appris.⊠qui pourront sâĂ©valuerâŠDe fait, dans le type d'enseignement croisĂ©, oĂč l'enseignĂ© intervient dans lâenseignement dispensĂ©, cet enseignĂ© est aussi partiellement porteur d'une rĂ©flexion mĂ©diatique conditionnante », quâil pourra comparer, mesurer Ă un enseignement de connaissances et du savoir reconnu aujourd' en mĂ©moire une discussion sur la GenĂšse. Mon interlocuteur avait comme rĂ©fĂ©rence des extraits mĂ©morisĂ©s du film la Bible », de la mĂȘme maniĂšre que les gens du moyen Ăąge avaient les reprĂ©sentations picturales, les fresques etc. qui se trouvaient dans les Ă©glises pour les Ă©difier sur le sujet. Si câest amusant, câest aussi cela que nous faisons quotidiennement, car bien Ă©videmment, faute de pouvoir tout savoir nous glanons au fil de notre existence, des informations provenant de peintures ou de fresques » sur les sujets les plus divers, que nous vĂ©hiculons ensuite en ayant que peu de possibilitĂ©s d'en dĂ©battre avec des professionnels. Câest ce que je fais entre autres au travers de cet ouvrage, sinon il faudrait que je sois un gĂ©nie pour maĂźtriser tous les sujets que jâaborde. Et comme Ă glaner des informations non vĂ©rifier on risque la rumeur, moi je risque le disposer dâun lieu dâenseignement, vulgarisant ou dĂ©mocratisant un enseignement supĂ©rieur qui nâest accessible quâĂ une minoritĂ©, permettrait Ă©galement de sâauto Ă©valuer.⊠et affiner leurs rĂ©flexions...Câest pourquoi, le type d'enseignement croisĂ© permettra dâaffiner totalement ou en partie notre rĂ©flexion, et d'avoir autour des sujets enseignĂ©s une discussion Ă©largie par une rĂ©flexion dirigĂ©e, guidĂ©e. Parce que nous construisons avec notre culture gĂ©nĂ©rale restreinte et notre culture populaire des schĂ©mas parfois erronĂ©s, quand ce n'est pas de contre exactitudes, faute d'interlocuteur patentĂ© ou de discussion Ă©clairĂ©e. Parfois cela va jusquâĂ façonner des opinions publiques aberrantes oĂč des individus ou des groupes dâindividus sâinventent des maux ou des attitudes pour correspondre Ă lâĂ©vĂ©nement ambiant que la circulation de lâinformation type d'enseignement croisĂ© permettra de pallier partiellement un certain nombre dâerreur, sous rĂ©serve, qu'il reste dans son rĂŽle d'enseignement complĂ©mentaire, et non pas celui de porteur dâune quelconque VĂ©ritĂ©, et ceci Ă charge de rĂ©ciprocitĂ© pour les enseignĂ©s.⊠librementâŠL'enseignement croisĂ© offrira ainsi l'acquisition d'un peu plus de connaissance, de savoir, par lâexpĂ©rience du vĂ©cu appartenant aux enseignĂ©s. Quant Ă la la VĂ©ritĂ© », elle est d'une construction plus irrationnelle de l'adĂ©quation entre la rĂ©alitĂ© et ce que pense d'elle l'ĂȘtre humain, individuellement ou en ne doit dĂ©livrer, quel que soit le sujet, qu'un contenu programmĂ©, mĂȘme s'il reste ouvert Ă la discussion, au dĂ©bat, Ă lâ les Ă©changes sont libres, il ne peut toutefois l'ĂȘtre au point de se transformer en tribune de confrontation dâidĂ©es propagandistes, chacun restant libre de conserver ses libertĂ©s de point de vue.⊠dans des limites type d'enseignement ne couvrira certainement pas tous les besoins. NĂ©anmoins il peut inciter Ă une dĂ©marche personnelle de recherche Ă©ducative, ou au dĂ©veloppement de la connaissance de ses propres aptitudes qui ne s'Ă©panouissent pas toujours en temps et en heures dans l'enseignement traditionnel. Jâai dĂ©jĂ dit que le milieu familial et social Ă©tait facteurs de disparitĂ©s de chance devant lâĂ©ducation, ce qui ne retire rien Ă des capacitĂ©s latentes chez ceux qui les vivent. CapacitĂ©s latentes qui Ă©mergent parfois durant lâexercice de la vie socio-Ă©conomique, mais ne se trouvent plus dans le processus Ă©ducatif pour bĂ©nĂ©ficier dâun entraĂźnement mĂ©canique, ceux qui le font sont peu les ECPA tout en demeurant dans leurs limites crĂ©eront un environnement incitatif DISPENSERA CET ENSEIGNEMENT ?26 â Ceux qui ont dĂ©jĂ la connaissance et le savoir, aprĂšs une formation comme cela qui ont dĂ©jĂ la connaissance et le savoir,âŠJe ne vais pas aborder lâaspect quantitatif, non qu'il ne prĂ©sente aucun d'intĂ©rĂȘt, mais il dĂ©coulera de la mise en place du projet Ă©ducatif. Les personnes chargĂ©es de dispenser l'enseignement des programmes, je les appellerai pour la convenance formateurs ».Il y aurait donc comme formateur, certes, une partie du personnel du corps enseignant qui pourrait ĂȘtre partiellement utilisĂ©, je pense aux enseignants universitaires, mais pour subvenir Ă un enseignement de masse comme jâen Ă©mets lâidĂ©e, il serait nettement plutĂŽt vers ceux qui exercent dĂ©jĂ leur savoir ou sont dĂ©positaires dâun savoir, quâil faut se tourner. Cela revient Ă dire que chaque citoyen pourrait devenir un formateur, soit partiellement ou Ă temps complet en fonction des programmes Ă©tablis, et dâune disponibilitĂ© Ă organiser, ceci inclus les retraitĂ©s qui voudraient sâ y a donc lĂ des milliers dâemplois Ă crĂ©er et donner un intĂ©rĂȘt Ă la vie de ceux qui ayant cessĂ© leur activitĂ© professionnelle se sentent mis en marge de la sociĂ©tĂ©.⊠aprĂšs une formationâŠToutefois, si possĂ©der un savoir est un atout, lâenseigner ou suivre un programme préétabli, tout en rĂ©alisant les conditions dâun enseignement croisĂ©, est plus difficile. Chaque formateur devra recevoir un minimum de formation pĂ©dagogique dâenseignant.⊠comme cela notre organisation actuelle, ce type de formateur existe. Nous appelons ces personnes des intervenants extĂ©rieurs ». TrĂšs souvent, dans le cadre, de la formation professionnelle pour adulte, les centres de formation y font appel, la pĂ©dagogie Ă©tant assurĂ©e par lâanimateur du stage. VoilĂ donc une forme dâenseignement effective, concrĂšte, tangible et rodĂ©e aprĂšs un passage, oĂč il y a eu beaucoup de marchand de soupe », comme cela se disait dans le milieu de la formation professionnelle, pour signifier que certains organismes de formation nâĂ©taient pas trĂšs regardants sur les programmes, pourvu quâils vendent leur â Sous un ministĂšre tout dĂ©signĂ© lâĂ©ducation ministĂšre tout mise en place de formateurs, comme lâĂ©laboration des programmes, nĂ©cessitera lâutilisation dâune structure administrative Ă lâĂ©gale de celle existante dans lâenseignement national sous lâĂ©gide du ministĂšre de lâĂ©ducation nationale et non pas du ministĂšre du travail comme la formation formateurs ainsi recrutĂ©s prĂ©sentent, comme les intervenants extĂ©rieurs, lâavantage dâavoir ou dâavoir eu une expĂ©rience professionnelle dans leur spĂ©cialitĂ© respective, qui apporte un plus notable, par rapport Ă un enseignement acadĂ©mique de toute personne connaissant le sujet quâil a Ă enseigner peut ĂȘtre, formateur. Ces personnes interviendront en fonction de leurs propres aptitudes pĂ©dagogiques, ayant nĂ©cessitĂ© ou non une formation, sous la conduite ou non, dâun corps de formateurs corps de formateur aura pour fonction de mettre en Ćuvre lâexĂ©cution des programmes sous la responsabilitĂ© des responsables de centre dâ INCIDENCES SUR LA VIE DES CITOYENS ?28 â Il faut lâimaginer, car nous nous imposons dâapprendre, alors que lâadulte est ostentatoire et conservateur par peur, et que notre futur est presque faut lâimaginerâŠInciter une population adulte Ă sâinsĂ©rer dans un enseignement de masse, conduira Ă gĂ©nĂ©rer une nouvelle rĂ©partition du temps revient Ă exclure, dâentrĂ©e de trouver des paramĂštres prĂ©existants. Les seuls quelques peu approchant seraient ceux dĂ©coulant de la FPA formation professionnelle pour adulte. Les comportements seront des plus divers en fonction des situations individuelles. Comme pour toutes actions globales en direction dâune population, Ă lâĂ©quivalent de lâapplication dâune loi, se dĂ©gageront des comportements types, guidĂ©s par lâintĂ©rĂȘt immĂ©diat dâune source de devrait ĂȘtre les populations les plus dĂ©munies qui devraient en faire usage en tout premier lieu, dâoĂč lâimportance que revĂȘtira le systĂšme rĂ©munĂ©rateur de ces journĂ©es.⊠car nous nous imposons dâapprendreâŠJe dis qui devraient », car nous nâavons pas une propension naturelle Ă aller nous instruire et nous nous imposons dâapprendre. Ceci, mĂȘme si chacun dâentre nous est conscient de lâimportance de lâinstruction, voire parfois intolĂ©rant vis Ă vis de ceux qui reconnus comme possĂ©dant le savoir, se trompent. Câest Ă dire que nous ne concevons plus lâerreur comme partie intĂ©grante de notre existence, comme corollaire de la non-existence du zĂ©ro dĂ©faut, et comme probabilitĂ© certaine dâun Ă©vĂ©nement qui se produira du fait mĂȘme de toute lâactivitĂ© culturelle que nous avons dĂ©veloppĂ©e, comme causalitĂ©, comme approche qui nous a fait dĂ©finir des systĂšmes punitifs personnifiĂ©s, qui pousse Ă cacher lâerreur et en gĂ©nĂšre dâautres. Câest parce que nous confondons la responsabilitĂ© dâacteur », auteur dâune erreur, et les occurrences de cette erreur qui Ă©manent des auteurs de lâĂ©vĂ©nement culturel sociĂ©tal » incluant lâacteur, occurrences que nous transposons en totalitĂ© sur lâacteur. En effet, nous ne pouvons pas sanctionner La SociĂ©tĂ© culturelle» pour la part qui est la sienne au travers de lâappris quâelle vĂ©hicule, dans une existence oĂč le libre arbitre nâexiste pas, sauf pour ceux qui considĂšrent disposer de la rĂ©duire les erreurs et ses occurrences dĂ©pendent aussi de la quantitĂ© de la connaissance et du savoir accumulĂ©. Et bien des erreurs commises durant lâapprentissage familial ou scolaire pourraient ĂȘtre rattrapĂ©es ou arriver Ă cela, nous nâavons pas lĂ©gitimĂ© le dĂ©veloppement permanent organisĂ© de la connaissance individuelle destinĂ©e Ă chacun tout au long de son lâexistence, comme une partie intĂ©grante et intĂ©grale de lâĂ©vĂ©nement culturel humain ; ce rĂŽle Ă©tant gĂ©nĂ©ralement imparti au groupe familial et il est Ă©minemment liĂ© Ă lâenvironnement.âŠalors que lâadulte est ostentatoireâŠEn dehors du processus professionnel, la diffusion des connaissances, du savoir, des informations demeure comme je lâai dĂ©jĂ dit, un marchĂ© » bien que je trouve ce mot mal appropriĂ©.Aussi, plus gĂ©nĂ©ralement, acquĂ©rir lâhabitude dâaller rĂ©guliĂšrement dans un centre dâenseignement pour adulte, câest dĂ©jĂ sâaccepter soi-mĂȘme dans une position dĂ©valorisante en constatant ses insuffisances. Cela alors que nous utilisons toutes les situations de lâexistence pour nous valoriser, dans des confrontations permanentes, faisant parfois Ă©talage de pseudo savoir, et surtout en dĂ©valorisant autrui ».Ceci parce que nous sommes poussĂ©s Ă correspondre aux images de marque imposĂ©es par les autres, de nous couler dans un ordre qui ouvre ses portes aux meilleurs compĂ©titeurs. Parce que nous nâavons de valeur quâaux yeux des autres, et nous en oublions de cultiver la nĂŽtre, celle qui nous est unique. Qui nous est unique, parce que câest celle de notre vie unique dans la vie des autres, au milieu de milliards dâinformations Ă traiter par notre intelligence et nos sens. Non pas pour cultiver la diversitĂ© lĂ oĂč nous avons des goĂ»ts communs, mais pour ĂȘtre nous-mĂȘmes, mĂȘme si nous avons des chances de ressembler Ă dâautres. En cela parfois il est plus intelligent de dire je ne sais pas » que dâĂȘtre son propre ennemi pour paraĂźtre lâami ou lâennemi dâun autre, ce que nous reprochera, de toutes les façons, notre miroir conscient notion de mal ou inconscient mal ĂȘtre.Ainsi, dans une sociĂ©tĂ© oĂč choisir le meilleur exclut lâautre, une pratique sĂ©lective dâefficacitĂ© est devenue aussi une source de paraĂźtre ostentatoire, cause de nombreux maux.⊠et conservateur par peurâŠNous nâavons pas trop lâhabitude de nous inscrire dans un processus dâĂ©ducation sans limite, sauf pour quelques personnes, quelques professionnels, mĂ©decins, scientifiques, certains dirigeants par exemple ; cela dans un univers oĂč lâincertitude effraie, et oĂč tout doit aboutir par nĂ©cessitĂ© Ă un objectif perceptible. Lâexemple le plus significatif au plus haut niveau en est lâopposition, absurde dâailleurs, entre la recherche appliquĂ©e et la recherche fondamentale la recherche pure, chercher pour chercher sans limite, pour ceux, bien sĂ»r, qui considĂšrent que câest du gaspillage que de mettre trop dâargent dans la recherche fondamentale. Etre conservateur par peur nâest naturellement pas une anomalie, cela correspond Ă une exigence biologique de la construction de notre psychique que la socialisation nous impose en permanence de dĂ©passer. Car aucune socialisation ne peut espĂ©rer perdurer dans la forme ou elle sâest dĂ©finie, et ceci impose dâapprĂ©cier ce que nous considĂ©rons ĂȘtre une progression vers hominisation. Hier, cette incertitude inquiĂ©tante Ă©tait rĂ©gulĂ©e par les croyances et les convictions. Aujourdâhui câest lâargent qui tient ce rĂŽle. En possĂ©der câest sâassurer ses lendemains, et quand lâargent est rejetĂ© ou fait dĂ©faut, nous retournons vers les croyances et les je nâai jamais entendu dire que les hommes aient eu lâidĂ©e de se tourner vers le Savoir en tant que but, pour affronter lâincertitude.⊠alors que notre futur est presque dans un processus dâĂ©ducation sans limite demande de comprendre que nous puissions choisir de vivre totalement, pleinement notre Ă©volution comprĂ©hensible en lâaccompagnant consciemment, je pense Ă celle de notre espĂšce humaine, car les autres se suffiraient Ă elles seules si nous nâexistions pas, car nous altĂ©rons le monde qui est le leur dans un accroissement de toute connaissance du prĂ©sent, en utilisant notre intelligence cognitive estimĂ©e employĂ© Ă 10% de ses possibilitĂ©s ce qui ne signifie pas que notre cerveau ne fonctionne pas Ă 100%. Je vous laisse tirer les conclusions sur une intelligence qui demande dâemmagasiner sans cesse du savoir, car si ce qui reste Ă apprendre est proportionnel Ă lâusage de cette intelligence qui nous reste Ă parfaire, la marge est Ă©norme. Cela, dans un futur dont la seule Ă©chĂ©ance que nous connaissions, comme certaine, est la fin de notre systĂšme solaire et de notre forme de qui, Ă notre Ă©chelle humaine, donne au futur un caractĂšre presque â Mais ce »futur » câest aussi une incertitude, que nous rejetons par illusoire grandeur parmi ce que nous pensons dâessentiel, mais il est toujours temps dâ ce futur » câest aussi une incertitudeâŠJe vais mâattarder un instant sur lâincertitude car câest un principe fondamental pour les scientifiques, et ceci lâest aussi dans notre existence de mortel avec laquelle nous vivons au quotidien[99].Lorsquâen 1900, Max Planck, un chercheur allemand, suggĂ©ra que la lumiĂšre, les rayons X, et les autres ondes ne puissent ĂȘtre Ă©mises que par paquets, il les appela des quanta », et avec lui naissait la mĂ©canique quantique. Ensuite, en 1926, un autre allemand, Werner Heisenberg, essaya de mesurer avec exactitude un quanta. Pour ce faire, il faut Ă©clairer un quanta, et les ondes de cette lumiĂšre incidente seront Ă©parpillĂ©es par la particule Ă mesurer, indiquant ainsi sa position. Cependant, comme la lumiĂšre suivant lâhypothĂšse de Planck fait appel Ă un quanta », celui-ci dĂ©rangera la particule Ă mesurer, et modifiera sa vitesse de façon imprĂ©visible. Et plus on recommencera la tentative de mesure, plus on accroĂźtra lâimprĂ©cision. Il dĂ©montra ainsi que lâincertitude de la position de la particule, multipliĂ©e par lâincertitude de sa vitesse, multipliĂ©e par sa masse ne peut jamais ĂȘtre plus petite quâune certaine quantitĂ© que lâon nomme la constante de Planck ».Cette dĂ©monstration est appelĂ©e le principe de lâincertitude ».Hawkins a Ă©crit Ă ce sujet, le principe dâincertitude a eu de profonde rĂ©percussion sur la façon dont nous envisageons le monde ; mĂȘme si ses implications nâont pas Ă©tĂ© entiĂšrement admises par nombre de philosophes et font lâobjet de polĂ©mique. Le principe de lâincertitude indique la fin du rĂȘve dâune thĂ©orie de la science, dâun modĂšle de lâunivers complĂštement dĂ©terminĂ© Ă©laborĂ© par Laplace. Comment Ă partir de cela prĂ©dire les Ă©vĂ©nements futurs avec exactitude si lâon nâest mĂȘme pas capable de mesurer lâĂ©tat prĂ©sent de lâunivers avec prĂ©cision ? Ainsi le principe dâincertitude de Heisenberg est une propriĂ©tĂ© fondamentale inĂ©luctable du monde dâaujourdâhui ». [100]Nous comprenons donc trĂšs bien que, si Heisenberg avait eu toute la connaissance et les informations nĂ©cessaires pour effectuer sa mesure il ne sâen serait pas privĂ©. Ainsi, cette incertitude est liĂ©e aux moyens de notre connaissance, et dans sa mĂ©connaissance il utilisa cette incertitude pour en faire une valeur indicative. Ce que nous pouvons retenir de cet exemple câest que comme un quanta qui mesure un autre quanta ne suffit pas Ă dĂ©finir avec exactitude, dans la mĂȘme mesure la position et la vitesse dâun quanta, il est peu probable que lâhomme se mesurant par lui-mĂȘme puisse se dĂ©finir avec prĂ©cision, mais il ne nous est pas interdit dâen connaĂźtre sa valeur moyenne. Ainsi lâincertitude peut ĂȘtre utilisĂ©e pour dĂ©finir une certitude moyenne. Ceci en attendant que les informations que nous recueillons sur nous puissent trouver des dĂ©finitions prĂ©cises et exactes, de telle maniĂšre que la dĂ©finition ne soit pas lâobjet dâerreurs dans lâinterprĂ©tation des Ă©vĂ©nements, et câest lĂ un dĂ©fi des plus difficile, voire, lâoptimisme me pousse Ă ne pas dire impossible car quelque par il doit y avoir la sourire, dâautres techniques existent aujourdâhui pour cerner au plus juste la position dâune particule, dans les limites fixĂ©es par le principe dâincertitude, notamment en la refroidissant ce qui ralentit son dĂ©placement. Il ne faut pas en conclure quâil faudrait refroidir les hommes pour quâils se connaissent mieux, bien que dans les pays froids nous puissions constater une plus grande sociabilitĂ©, du fait mĂȘme que leurs dĂ©placements sont restreints, et que cela les conduit plus facilement Ă une auto acceptation pacifiste. Nous retrouvons cette tendance au travers des pratiques religieuses, dont leurs dieux donnent une image. Les Germains, Baltes ou Slaves nâavaient que peu de pratiques guerriĂšres, contrairement aux Celtes qui Ă©taient un peuple querelleur et batailleur. Et si nous vĂ©hiculons encore sur eux des idĂ©es de peuples barbares, ce nâest dĂ» quâĂ une lecture chrĂ©tienne de leur histoire idĂ©alisĂ©e, et non Ă une lecture historienne. Source encyclopĂ©die de religions.Mais le dĂ©bat est plus difficile que ce que je viens de lâexposer. Si lâon retient que la mĂ©canique quantique est la quantification dâinformations qui donnent corps Ă la matiĂšre par un processus que nous ignorons, ces informations donnent Ă©galement des images de ce qui est, mais qui nâest quâune information virtuelle, un reflet, un double sans consistance physique aux consĂ©quences effectives pour ceux qui les observent, les paradoxes[101]. Ceci rapportĂ© Ă la conceptualisation de nos schĂ©mas abstrait par notre cerveau, se pose de fait une question quâelle est la part de nos rĂ©ponses Ă des schĂ©mas cĂ©rĂ©braux qui pourraient nâĂȘtre que virtuel », parce que nous sommes Ă©galement le produit dâinformations quantiques ?Nâest-ce pas ce que nous faisons Ă tous les instants ? Cela en recevant lâinformation dâun Ă©vĂ©nement qui câest produit ailleurs, et y donner une rĂ©ponse conforme Ă notre affect dans lieu oĂč nous sommes pour bĂątir une image mentale; Ă la diffĂ©rence que dans le monde quantique la loi dâunification ou lâordre sous-jacent ne se trompe pas aussi souvent que notre cerveau par son langage sĂ©mantique, peut-ĂȘtre parce quâelle ou ils ignorent lâincertitude.⊠que nous rejetonsâŠDans notre existence, lâincertitude sâassocie Ă la probabilitĂ© de la survenance dâun dĂ©sir dont nous anticipons les possibilitĂ©s de rĂ©alisation en fonction des connaissances objectives ou subjectives que nous possĂ©dons de lui[102].Ainsi, nous nâaurons toujours » quâune connaissance limitĂ©e, dâautant plus que lâensemble sera complexe ou bien quâun ensemble simple fasse intervenir un ensemble plus complexe qui nous conduira Ă des Ă©checs. Ces Ă©checs eux-mĂȘmes accroĂźtront notre connaissance de toutes choses. Sauf que lâĂ©chec, produit de lâincertitude, culturellement nous nous en culpabilisons, et nous en punissons. De plus notre apprentissage est basĂ© aussi sur un systĂšme punitif, qui va de la gifle au paradis, par dĂ©faut de connaissance de ce que nous sommes, car lâĂ©vĂ©nement culturel accroĂźt les contraintes de son exercice. Contraintes qui engendrent autant de systĂšmes punitifs inappropriĂ©s, que des approches superstitieuses, ou divinatoires pseudo scientifiques, graphologie, numĂ©rologie, astrologie etc. qui relĂšvent de lâescroquerie, car si cela pouvait ĂȘtre, ces gens serait des dieux. Le jour oĂč lâun dâentre eux vous dira, Ă la seconde, Ă quelle heure le lendemain vous allez vous laver les dents, alors vous pourrez lui baiser les pieds. Pour lâinstant les seuls qui soient exercĂ©s Ă de telles prĂ©dictions sont des scientifiques, et eux, qui sont capables de prĂ©voir quand il y aura une Ă©clipse, ils se gardent bien de prĂ©dire quand vous allez vous laver les dents. Si il en Ă©tait autrement, il y a longtemps que les casinos de jeux et les jeux auraient fait puisque nous les humains, qui sommes au-dessus de lâincertitude, nous avons depuis la nuit des temps nos devins, nos astronomes, nos messies, il nâest pas nĂ©cessaire de sâinstruire, car nous sommes justes Ă cĂŽtĂ© de lâunivers, dans une planĂšte taillĂ©e Ă notre mesure livrĂ©e Ă notre câest pour cela que lorsquâun projet, une espĂ©rance, une rĂ©alisation ne se concrĂ©tisent pas suivant la prĂ©vision escomptĂ©e, quâune erreur survient, nous sanctionnons, nous licencions, nous pĂ©nalisons car il nâest pas normal que nous nous avec tous ces carcans censĂ©s nous apporter la certitude, nous ne parvenons pas Ă tous les coups Ă gagner au tiercĂ©. Pourquoi ?⊠par illusoire grandeurâŠSavez-vous pourquoi nous ne parvenons pas Ă gagner Ă tous les coups ?Parce que nous ne sommes pas aussi grand que nous le croyons, nous nâavons quâune illusion de notre pour comprendre lâĂ©vĂ©nement, il nous faut arrĂȘter les choses, arrĂȘter le mouvement, peut-ĂȘtre parce que notre propre existence sâarrĂȘte aussi, et que nous ne savons pas, et ne pouvons pas raisonner en un Tout. En effet, mĂȘme si notre cerveau photographie un paysage nous ne retiendrons que ce qui aura arrĂȘtĂ© notre attention, des fragments le reste se fixera dans notre cerveau sans que nous en soyons conscients de maniĂšre plus ou moins durable. Fragments que nous figerons dans une image passĂ©iste, alors que le paysage aura changĂ© dans la seconde mĂȘme ou nous lâavons fixĂ©. Ce changement aura Ă©chappĂ© Ă notre regard, et heureusement, car sans cela, avec le traitement sĂ©lectif de notre cerveau actuel, nous ne pourrions rien fonder. Aussi, nous pourrions dire que nous sommes intelligents parce que le reste du Tout nous Ă©chappe, nous pourrions dire que nous sommes intelligents parce que nous nâavons pas accĂšs Ă notre nous perdons au tiercĂ© parce que nous fixons une limite Ă la course. Mais imaginez quâelle nâen est pas dix 10 chevaux sâĂ©lancent de 0 Ă lâinfini, difficile de savoir quel est le meilleur, non ! Câest simple. Tous les 10 kilomĂštres vous relever les ordres de passage. ArrivĂ© Ă lâinfini nous faisons la moyenne de celui qui est passĂ© le plus de fois en tĂȘte aux bornes des dix kilomĂštres, et nous avons gagnĂ©. Nous avons trouvĂ© le meilleur cheval en Ă©tablissant des positions moyennes, nous pouvons miser certain ? Non !Si vous faites le point tous les 15 kilomĂštres, cela en sera un le meilleur ne sera pas le rĂ©el meilleur, mais celui que notre ordre aura Ă lâinfini, au Tout nous nây avons pas accĂšs, nous faisons donc partir 10 chevaux sur mille mĂštres. Il nous faudra alors Ă©tudier toutes les courses quâont faites ces chevaux, Ă©tudier lâĂ©tat du terrain, Ă©tudier le parcours professionnel des jockeys, Ă©tudier la santĂ© physiologique des chevaux et des jockeys, ainsi quâĂ©tudier leur santĂ© psychique. En procĂ©dant ainsi, nous aurons rĂ©duit lâincertitude. Il ne nous restera que la pĂ©riode entre la clĂŽture des paris et le dĂ©part de la course, puis les alĂ©as de la course elle-mĂȘme. OĂč alors, comme nous le faisons, nous jouons au hasard faute dâarriver Ă dĂ©terminer la probabilitĂ© de rĂ©gularitĂ©s gagnantes qui apparaĂźtront en fonction du nombre de chevaux et de en est Ă©galement ainsi de notre existence et de son systĂšme mĂ©ritocratique » punitif. Son Ă©volution est symptomatique de notre facultĂ© Ă comprendre les Ă©vĂ©nements, et faute de tout comprendre, nous recherchons toujours une imputabilitĂ© rassurante.âŠparmi ce que nous pensons essentielâŠPourtant, le plus souvent pour gagner, nous ne comptabilisons que les probabilitĂ©s gagnantes, pas les perdantes. Ainsi, quand nous regardons ce que nous pouvons faire avec la monnaie, nous ne comptabilisons pas ce que nous ne pouvons pas faire parce que nous en manquons, parce que nous la rarĂ©fions. Nous avons Ă lâesprit, avec lâargent, une Ă©chelle de rapport comme si câĂ©tait un biorythme. Or, ce rapport est seulement culturel. Si nous nous demandions combien dâargent il nous faudrait pour rĂ©aliser les dĂ©sirs que nous nâavons pas comptabilisĂ©s, lâimpossibilitĂ© rĂ©elle nâest plus une question de quantitĂ© dâargent, mais de temps et de technologie travail plus outils parce que la vie ne suffirait pas Ă rĂ©aliser tous nos pour rĂ©soudre cette problĂ©matique, nous rarĂ©fions la monnaie, nous posons une borne de 0 Ă lâinfini, et nous organisons des courses autour dâelle que nous pensons essentielles. En consĂ©quence de quoi nous sommes amenĂ©s Ă nous poser des questions existentielles autour dâelle Ă la mesure de ce que nous avons appris. Pourtant, rien ne nous empĂȘche den dĂ©finir une nouvelle Ă cĂŽtĂ© de celle qui existe la raretĂ© pour que de 0 Ă lâinfini, il y ait plus de gagnants. Puis nous en posons une autre, et encore une nây a que nous, pour nous empĂȘcher dâen poser, car nous avons fait de la diversitĂ© une confrontation, et non un Ă©change en acceptant par facilitĂ© lâhĂ©ritage de nos ancĂȘtres qui avaient un besoin social de fabriquer des VĂ©ritĂ©s conquĂ©rantes.âŠmais il est toujours temps dâ Au fait, çà ne vous intĂ©resserez pas dâĂ©tudier tout au long de votre vie pour rĂ©duire lâincertitude liĂ©e Ă la comprĂ©hension de votre existence ?Je vous pose cette question parce quâil y a des personnes qui utilisent le principe de lâincertitude, celui de la thĂ©orie sur le chaos, pour anticiper vos dĂ©sirs et vous proposer des individualitĂ©s clĂ©s en main, en vous expliquant que vous ĂȘtes libre de choisir entre toutes les ! Si ! Je le savais moi, dit le papi Mouseau si jâĂ©tais Ă leur place, les hommes seraient tous libres de faire ce que jâai dĂ©cidĂ©, comme cela il nây aurait plus dâ â Car la seule terre Ă dĂ©couvrir est lâincertitude, mais avec modĂ©ration pour ne pas faire du savoir un Dieu, alors quâil nâest que culture, mĂȘme sâil est lent et la seule terre Ă dĂ©couvrir est lâincertitudeâŠCette incertitude nous lâavons pourtant rĂ©duite. Câest ce quâil sâest produit avec la scolarisation obligatoire, Nous avons instruit les populations pour un objectif, en ignorant les consĂ©quences qui en dĂ©couleraient au-delĂ de lâobjectif affichĂ©. Câest ainsi que la connaissance, qui hier faisait la gloire de quelques Ă©rudits, est devenue banalitĂ© en se peut donc contester aujourdâhui le bouleversement engendrĂ© par lâalphabĂ©tisation dans notre organisation sociale mise au service de nos motivations ?Sans Ă©mettre un jugement de valeur, elle a engendrĂ© un dĂ©veloppement sans commune mesure dans lâhistoire humaine connue Ă aujourdâhui, qui, elle-mĂȘme, sera aussi sans commune mesure avec la potentialitĂ© humaine qui nous est encore inconnue, sauf Ă prĂ©tendre comme les obscurantistes dâhier, que nous allons trop nĂ©cessite que je prĂ©cise deux comme je lâai indiquĂ© dans lâavertissement, si nous regardons le culturel comme un Ă©vĂ©nement en soi, lâaccumulation de savoir dâune gĂ©nĂ©ration sur lâautre soit de maniĂšre empirique ou organisĂ©e, par son extension constante dans les populations, ne peut quâengendrer des consĂ©quences issues de cet Ă©vĂ©nement. Ceci par la simple application de la thĂ©orie du chaos » qui indique quâune modification dâun des paramĂštres de son ordre, suffit pour influencer lâensemble. Mais luciditĂ© oblige rien nâindique que câest pour un donc tout ce domaine inconnu et incertain, incident Ă lâaccumulation exponentielle de savoir, qui nous reste Ă tout ordre culturel, ignorant de ce quâil est, tend dans sa majoritĂ© Ă ĂȘtre despotique, et exclut de fait toute forme de pensĂ©e qui lui paraĂźt hostile. Aujourdâhui ce phĂ©nomĂšne existe toujours, mĂȘme si nous nous pensons civiliser, et il se trouve liĂ© Ă lâordre majoritaire actuel, qui fixe une Ă©thique par morale ou qui Ă©touffe par raison commerciale ou confessionnelle ce qui ne se coule pas dans son nous est moins visible, car nous ne pendons plus ou nous ne brĂ»lons plus sur la place publique, car nous disposons dâautres armes pour chasser lâhĂ©rĂ©tique. Dans les faits, cette incertitude qui nous effraie est aussi le propre produit de nos actes ignorants, et la seule chose qui devrait nous effrayer est notre certitude ignorante, une certitude ignorante qui fabrique aussi du doute paralysant. Et câest lĂ que se trouve la difficultĂ©, comme dans le cadre de la recherche de la position de la particule, devoir situer leur place, et trouver quand nous sommes dans la certitude ignorante et le doute plus nous apprendrons plus nous aurons une chance, de les situer, et de conquĂ©rir lâincertitude.⊠mais avec modĂ©rationâŠEn consĂ©quence de quoi nous pouvons donc espĂ©rer quâune gĂ©nĂ©ralisation dâun enseignement pour adulte tout au long de lâexistence, quâil est possible dâassimiler Ă une forme dâalphabĂ©tisation du Savoir, produise des bouleversements analogues dans leur ampleur, et si possible sans les effets nĂ©fastes que nous dĂ©couvrons au quotidien, du fait mĂȘme de lâutilisation de nos rĂ©alisations dans lâaccroissement de nos ce sujet les scientifiques devraient se soucier que leurs dĂ©couvertes soient vulgarisĂ©es car ils encourent le risque quâelles soient rejetĂ©es par les populations Ă cause du diffĂ©rentiel de connaissance et de savoir croissant entre elles et eux. Cela, parce que lâusage commercial ou politique qui est fait de leurs dĂ©couvertes ne sert pas toujours lâintĂ©rĂȘt de notre espĂšce.⊠pour ne pas faire un dieu du savoirâŠToutefois, les consĂ©quences dâun accroissement de connaissance ne sont pas linĂ©aires et rationnelles. Dâautres facteurs sociologiques sont Ă considĂ©rer. Jâen veux pour exemple lâĂ©minent personnage que fĂ»t Jules Ferry, qui nâen considĂ©rait pas moins la population africaine comme une sous race, et encore aujourdâhui, toute notre connaissance nâa pas fait disparaĂźtre ce syndrome de la actuel, le dĂ©veloppement de certains jeux vidĂ©o est plus proche de lâabĂȘtissement que du dĂ©veloppement de lâintellect, tout en Ă©tant le produit de lâutilisation dâune technologie Ă©laborĂ©e, qui permet dâaccomplir par ailleurs des tĂąches grandioses. Nây apprenons nous pas Ă des enfants, au travers de certains jeux virtuels Ă faire peu cas de la vie, dâautres Ă jouer avec des jeux apologiques, dans lesquels il suffit de tuer et de racheter une vie si l'on y meurt soi-mĂȘme, ou de supprimer la civilisation du que dire dâune tendance Ă un individualisme mercantile excessif qui pousse au repli sur soi, Ă une idolĂątrie Ă©litiste, Ă fabriquer des exclus. Des exclus pauvres qui sâenferment dans des ghettos autonomistes, et des exclus riches qui s'auto ghettoĂŻsent » dans des espaces sous vidĂ©o cernĂ© de forces de ne faut donc pas croire que le savoir est le remĂšde Ă toute chose et quâil pourra remplacer ce que nous nommons lâintuition ou le bon sens commun », son affect, ce qui fait lâHomme, et qui appartient Ă sa conscience, son esprit, son Ăąme quâelles soient mĂ©canistes ou spirituelles, ou Ă ces 90% de potentialitĂ© du cerveau Ă dĂ©couvrir. A cette sagesse Ă laquelle se rĂ©fĂšre certaine culture pour ne pas confondre sciences interprĂ©tatives et sciences expĂ©rimentales, afin de ne pas transformer ce qui nâest quâun outil de dĂ©couverte la science », en un dieu oppresseur, pour remplacer lâimage du pĂšre » qui se recompose.⊠alors quâil nâest que culture,âŠCela Ă©tant, il me faut prĂ©ciser quâapprendre ne suffit pas, si nous oublions de nous regarder pour ce que nous sommes, une espĂšce animale suivant notre propre qualification, sâauto qualifiant dâhumaine » par la culture. Un qualificatif qui pourrait lui laisser croire quâelle nâaurait pas de successeur dans le futur, et que son activitĂ© est pourquoi, lâutopie serait de croire quâun enseignement permanent pourrait conduire Ă façonner en chacun dâentre nous, une espĂšce de philosophie populaire ou de gĂ©nie permanent dans un monde, oĂč lâusage est dâutiliser toutes choses pour asseoir sa supĂ©rioritĂ© et sa richesse. Un monde oĂč il ne faut rien attendre des constructions dominantes, qui sont sourdes Ă autre chose quâau rapport de force. Constructions dominantes qui nâexistent telles quelles sont, que parce quâelles sont le propre reflet de nos espĂ©rances contingentĂ©es dans un processus dâapprentissage millĂ©naire, de ce que les Hommes ont compris, de ce quâils pensent pour cela que tant de rĂ©volutions sont devenues des dominations, croyant faire celle de lâesprit, elles nâaboutirent quâa faire celle de la matiĂšre, clouant, la plupart du temps, au pilori tour Ă tour penseurs et philosophes pour Ă©rĂ©thisme ».⊠mĂȘme sâil est lentâŠCar le Savoir est une lente Ă©dification. En consĂ©quence de quoi, il faut plutĂŽt escompter une lente modification des comportements et de la rĂ©flexion. Ceci me paraĂźt ĂȘtre une Ă©vidence, mais nâĂȘtre surtout quâune certitude optimiste, car lâĂ©volution poursuit sa route, et se fait avec nous, indĂ©pendamment du fait que nous ayons ou non conscience dây si jamais pour la nature » lâhumain doit ĂȘtre un essai manquĂ©, il reste encore quelques milliards dâannĂ©es dâexistence Ă notre planĂšte, pour gĂ©nĂ©rer une autre espĂšce.⊠et Savoir est aussi incertain. Donc, rien ne peut garantir que ce soit pour un mieux comme je le soutiens, parce que nous vivons dans un Univers qui maĂźtrise la totalitĂ© de son ordre sous-jacent », alors que nous, nous organisons le nĂŽtre dans lâignorance de cet ordre sous-jacent » et de cet Univers lâunivers objectif ; de telle maniĂšre que les connaissances que nous en avons ne sont en rien une garantie dâun dĂ©veloppement harmonieux, car lâunivers nâexiste pas, pour nous, câest nous qui existons dans lâunivers mĂȘme si nous y sommes intervenants, en le sachant ou donner une image de mon propos, câest comme si le foie sâinterrogeait sur les raisons de son existence dans le corps en mĂ©connaissance de son fonctionnement et dans lâignorance de lâexistence du cette difficultĂ© que nous rencontrons, et ce qui nous en est le plus perceptible dans nos sociĂ©tĂ©s est le nombre grandissant de textes rĂ©glementaires et lâaccroissement des systĂšmes punitifs devant la modification des repĂšres traditionnels, famille, Ă©cole, religion et parce que nos organisations sont des systĂšmes fermĂ©s. Câest Ă dire quâils regroupent les sujets, les individus, les Hommes dans des organisations mĂ©canistes lisibles par eux, qui engendrent une homogĂ©nĂ©itĂ© de comportements culturels que nous nous acharnons Ă conserver en lâ parce que nous nâavons pas trouvĂ© la clĂ© qui nous permet de comprendre et dâorganiser le dĂ©sordre » qui est lâordre universel. Ce dĂ©sordre qui nâest quâapparent car câest un ordre en perpĂ©tuel changement, en Ă©quilibration[103] » en Ă©change permanent. Alors que nous, ne sachant pas pourquoi nous existons, nous nous construisons des finalitĂ©s dans des ordres qui sâaffrontent, parce quâils nous sont comprĂ©hensibles et remplissent lâincertitude ».Ce faisant jâintĂšgre sans prĂ©caution le second principe de la thermodynamique, conçu pour traiter des problĂšmes de la dĂ©gradation de lâĂ©nergie, dans lâordre parce que nous ne sommes nous mĂȘme quâĂ©nergie, Ă©nergie que nous consommons plus ou moins en fonction mĂȘme des organisations systĂ©miques que nous Ă©laborons, et cette consommation affecte directement notre systĂšme Ă©motionnel et engendre des comportements qui interagissent Ă leur tour dans/et sur lâordre des organisations comprendre tout cela nous disposons de systĂšmes dĂ©terministes que nous pouvons lire pour faire des prĂ©dictions. Nous disposons de systĂšmes alĂ©atoires, oĂč y lire le dĂ©terminisme quâils incluent est long et fastidieux, et nous en retenons les probabilitĂ©s. Nous disposons du systĂšme dit chaotique que nous concevons ĂȘtre, mais dont nous ne parvenons toujours pas Ă y lire la consĂ©quence quâentraĂźne la modification dâun de ses plus petits Ă©lĂ©ments effet papillon de Edwards Lorentz, dĂ©couvert au cours de lâĂ©tude des phĂ©nomĂšnes mĂ©tĂ©orologiques, sauf au travers des deux prĂ©cĂ©dents. Tout cela nous le vivons par la perception et nous lâavons mĂȘme traduit populairement, nous connaissons ce principe de lâeffet papillon » comme lâillustre cette comptine,Faute de clou, on perdit le fer ;Faute de fer, on perdit le cheval ;Faute de cheval, on perdit le cavalier ;Faute de cavalier, on perdit la bataille ;Faute de bataille, on perdit le consĂ©quence diffuser le savoir Ă six milliards dâindividus reste incertain, il y a de forte probabilitĂ© quâun seul dâentre eux gĂ©nĂšre lâeffet inverse Ă celui escomptĂ©, mais autant quâun lâinduise. Et puis lâoptimisme, câest de considĂ©rer quâil nous a fallu seulement plus de cinq mille ans pour dĂ©finir un temps conventionnel, et comprendre quâil nâest que cela, ceci autorise une â Une espĂ©rance qui nous astreint Ă lâeffort du fait de notre espĂ©ranceâŠCependant, les progrĂšs de lâespĂšce humaine ont apportĂ© un petit coin dâordre dans la comprĂ©hension du dĂ©sordre croissant de lâunivers »,[104] et notamment par la thĂ©orie du chaos qui laisse espĂ©rer une comprĂ©hension du dĂ©sordre[105]. Cette rĂ©flexion qui concernait la connaissance de lâunivers cosmique est aussi applicable Ă celle de notre existence. Ainsi, malgrĂ© nous lâhomme nâĂ©chappera pas Ă lâobligation de sâĂ©duquer en permanence pour avoir une comprĂ©hension plus complĂšte du dĂ©roulement de son existence, et faire face Ă cette entropie inĂ©vitable pour la maĂźtriser ou lâaccompagner, Ă lâexemple de ce que nous dĂ©montre la thĂ©orie sur le chaos Note 30, 53. Et une fois de plus comme par le passĂ©, malgrĂ© nous, nous devons trouver des indicateurs Ă notre existence, non plus seulement en levant les yeux vers lâunivers, pour lâinterprĂ©ter, mais en comprenant de maniĂšre rĂ©futable ce qui sây passe. Non pas en levant les yeux pour y trouver quelques VĂ©ritĂ©s, car dans ce cas nous avons dĂ©jĂ perdu, mais pour comprendre, et lĂ nous risquons de lâentrevoir, car elle va toujours nous aspirer jusquâau point oĂč il y a un absolu, un point oĂč tout ce que nous aurons bĂąti sâ maniĂšre que le Savoir dont nous disposons aujourdâhui, malgrĂ© nous, nous aspire vers cet absolu, si nous voulons en faire lâeffort.⊠qui nous astreint Ă lâeffortâŠAujourdâhui, la rupture qui existe entre la scolaritĂ© et la vie active demande un effort dâadaptation pour ceux qui dĂ©sirent se rĂ©insĂ©rer dans un cycle de formation, auquel sâajoute parfois une perte plus, la fin de la scolaritĂ© est perçue comme un soulagement, et ce, certainement parce quâelle sâest construite ou conçue dans un dĂ©veloppement historique matĂ©rialiste[106], et non pensĂ© aussi dans le cadre de lâĂ©panouissement de lâintelligence humaine, malgrĂ© sa spiritualitĂ© Ă©vidente comme substrat du dĂ©veloppement de lâidĂ©e du matĂ©rialisme qui sây substitue. Car, hier comme aujourdâhui, la plupart des hommes ont plutĂŽt demandĂ© Ă leurs dieux de gagner au loto ou cru que leurs dieux aimaient les biens terrestres, et y ont associĂ© toute la pensĂ©e. Laissant, en cela, le domaine du dĂ©veloppement de la PensĂ©e Ă une minoritĂ© devant la construire avant de la dissĂ©miner. Pourtant, chacun de nous est un penseur, mais parfois jâai lâimpression que nous la regardons comme propriĂ©tĂ© individuelle spontanĂ©e chacun rĂȘve dâĂȘtre un petit gĂ©nie qui ne nĂ©cessite pas un apprentissage pour ĂȘtre plus Ă©laborĂ©. Cela, parce la pensĂ©e entraĂźne des controverses quant Ă son origine, et quâil est plus facile de se retrouver par la pensĂ©e dans le but de la production dâun bien matĂ©riel. Ceci, parce que nous avons peur de la regarder comme une organisation mĂ©caniste biologique qui se perfectionne, craignant en cela dâaltĂ©rer lâHumain, de le dĂ©possĂ©der de son cĂŽtĂ© spirituel, alors que nous nous contenterons dâen repousser plus loin la limite, alors que la PensĂ©e est Ă la base des effets culturalisĂ©s, comme Ă©vĂ©nement en soi, et que maintenir la PensĂ©e » dans un dĂ©veloppement seulement empiriste, ou Ă©litiste, ou transcendantal, conditionnera lâĂ©vĂ©nement culturel. Ainsi, considĂ©rer le dĂ©veloppement de la PensĂ©e » comme rĂ©sultante de lâaccumulation de savoir et de connaissances en permanence organisĂ©s, câest un effort auquel nous serons astreints, et nos stratifications sociales devront lâ elles intĂšgrent de fait toutes nos dĂ©couvertes, qui bouleversent nos repĂšres antĂ©rieurs qui nous laissent ce sentiment actuel de dĂ©sordre, tout simplement parce que lâordre antĂ©rieur qui nous permettait de nous lire, nâest plus adaptĂ© aux modifications quâil a engendrĂ©es, il câest mĂȘme appauvri.⊠du fait de notre sommes bien fait de matiĂšre organique mais certainement aussi de particules ». Lâun se touche et se voit, lâautre sâimagine et se dĂ©tecte. Cette derniĂšre remarque entre la matĂ©rialitĂ© et la pensĂ©e, nĂ©cessite que je prĂ©cise quâil ne sâagit pas dâun jugement de valeur, mais dâun ordre de prĂ©sĂ©ance naturel du biologique ou physiologique, oĂč lâesprit ne peut se dĂ©ployer sans passer par la satisfaction des contingences de la matiĂšre qui en est son support le corps. Cela, malgrĂ© les pratiques traditionnelles culturelles, et les ordres religieux spiritualisateurs » qui assujettissent la pensĂ©e dans la constance dâune VĂ©ritĂ© » spirituelle transcendante, et qui en voulant figer lâĂ©vĂ©nement culturel » lâaltĂšre, ce qui permettrait peut-ĂȘtre de comprendre pourquoi tous nos changements de civilisations ou essais comme je lâai dit » sont si violents. De plus, philosophiquement, quand nous examinons de plus prĂ©s ce qui relie les tenant du matĂ©rialisme et du spiritualisme, câest que tous les deux le justifient par quelque chose de commun, un moyen de communication, quâil soit mĂ©caniste et immanent ou transcendantal, notre cerveau. Pourtant, ce qui fait la diffĂ©rence fondamentale, câest que dans le premier des cas nous pouvons espĂ©rer comprendre le mĂ©canisme, dans lâautre nous en sommes mâexplique lorsque deux avis contradictoires sâaffrontent, tous les deux sont justifiĂ©s par les Ă©lĂ©ments, les informations retenus par chacun pour les dĂ©velopper, et chacun dâeux a raison. Car je lâai dit nous ne pouvons pas concevoir des choses qui nâexiste pas ou qui ne soit pas en potentialitĂ© dâĂȘtre. De maniĂšre que si lâun et lâautre ne se nâĂ©changent pas leurs Ă©lĂ©ments et informations, ils ne parviendront jamais Ă trouver ce qui manque Ă lâun et Ă lâautre. Ils nâarriveront jamais au lieu, au seuil, oĂč leurs avis forcĂ©ment se rejoignent. Et le frein ou la dissuasion Ă cela, est le Temps ; le temps quâil a pu manquer pour apprendre. LâimpossibilitĂ© de passer tout notre temps Ă nous comprendre parce quâutilisĂ© Ă dâautres tĂąches ; temps que nous compensons par des absolus rigidifiant, dissuasifs. Ăgalement, par une impossibilitĂ© physiologique oĂč la vitesse de la pensĂ©e est plus lente que les Ă©motions, et supĂ©rieure Ă celle de son expression orale, de maniĂšre quâavec lâoralitĂ© nous soyons toujours en retard sur lâĂ©vĂ©nement perçu par nos sens, et traduit par la pensĂ©e, de maniĂšre que nous soyons condamnĂ©s en nâen faire quâune traduction partielle, et concevoir des termes qui englobent des concepts de pensĂ©e pour gagner du sommes donc attachĂ©s par notre matĂ©rialitĂ© Ă avoir lâexpression de notre Raison qui a dâune certaine maniĂšre un temps de retard sur nos Ămotions, et comprendre cela ce nâest pas rien, surtout quand nous devons en apprĂ©cier les consĂ©quences dans notre existence dâobsession punitive. Ainsi, si nous considĂ©rons que la communication câest avoir un tĂ©lĂ©phone », mĂȘme avec dieu, nous pouvons lâamĂ©liorer, car nous ne sommes tenus que par notre pouvons donc trouver du temps, et appliquer des techniques pour communiquer ĂȘtre en relation, et elles seront dâautant plus efficaces que nous y intĂ©grerons les dĂ©couvertes des mĂ©canismes de la pensĂ©e, et de la conscience quâapporte la recherche par les neurosciences mĂȘme si elles ne sont pas unanimes, car elles aussi parviendront un jour Ă trouver le seuil qui les â Comment se faire une idĂ©e du comportement de la population face Ă la formation, qui est une dĂ©marche limitĂ©e par lâidĂ©e de se faire une idĂ©e du comportement de la population face Ă la formation âŠAussi, imaginer le comportement dâune population pour laquelle entrer dans la vie active nâentraĂźnerait pas forcĂ©ment une scission avec un processus dâenseignement gĂ©nĂ©ral permanent qui serait rĂ©munĂ©rĂ©, ne peut ĂȘtre fait que part analogie avec des formes qui sâen rapprochent, car je ne connais pas de sociĂ©tĂ©s qui lâaient intĂ©grĂ© dans leur nous examinons les donnĂ©es sur la formation professionnelle qui se rapprochent par la forme des ECPA, 30% des actifs, en moyenne, sont concernĂ©s actuellement. Bien que son dĂ©veloppement ait Ă©tĂ© lent, la cotisation obligatoire des entreprises est passĂ©e de 0,8 en 1970 Ă 1,5% aujourdâhui de leur masse salariale. Les grandes sociĂ©tĂ©s y consacrent jusquâĂ plus de 3%, certaines dâentre elles possĂšdent leur centre de formation, tandis que les branches professionnelles ont créé des centres de formation spĂ©cifiques, et des structures de collecte et de redistribution des fonds pouvons en dĂ©duire que lâenseignement professionnel public convient Ă la prĂ©paration aux mĂ©tiers, mĂȘme sâil ne peut pas satisfaire aux exigences de productivitĂ© et dâadaptabilitĂ© micro-Ă©conomique que formulent les entreprises. Il y a des rĂŽles qui ne faut pas inverser, lâĂ©cole enseigne et donne des bases dâĂ©mancipation qui trouveront leur application dans le dĂ©roulement de lâexistence. Mais câest lâactivitĂ© Ă©conomique qui gĂ©nĂšre les aptitudes nĂ©cessaires Ă la production dâun produit et autres services. Ces aptitudes deviendront des mĂ©tiers et des filiĂšres professionnelles que lâĂ©cole enseignera, mais elle nâa pas pour rĂŽle dâĂȘtre le pourvoyeur dâesclaves du monde du travail, ni dâenseigner cette tarte Ă la crĂšme quâest lâesprit dâentreprise. Câest pour cela que la formation professionnelle permet de faire les ajustements nĂ©cessaires entre lâĂ©cole et le monde de lâentreprise. Comme celles qui nĂ©cessite des actions particuliĂšres en direction des chĂŽmeurs devant trouver une activitĂ© dans dâautres branches professionnelles ou favoriser lâaccĂšs Ă de nouveaux emplois dus au dĂ©veloppement de nouvelles technologies. Cet outil dâadaptation et dâajustement est restĂ© peu utilisĂ©, seulement 4% des salariĂ©s ont une dĂ©marche personnelle de formation, et son regain dâintĂ©rĂȘt est rĂ©cent Ă bon ou mauvais escient. Mais il faut prĂ©ciser que la lĂ©gislation nâa pas toujours facilitĂ© dĂ©marche. Enfin, lâusage dâInternet se dĂ©veloppe, lâE-LEARNING made in USA qui considĂšre que le savoir Ă©tant disponible sur Internet, chacun nâa quâĂ se dĂ©brouiller tout seul pour apprendre. NettoyĂ© de ses marchands de soupe, et de ses modĂ©lisations propagandistes, câest lĂ , entre les mains de professionnels, un outil de grande diffusion de la formation professionnelle, voire du savoir et de la connaissance ne ressort pas de ceci une tendance de la population de se former en dehors des besoins ces quelques chiffres donnent une notion de lâeffort Ă consentir, pour accepter lâidĂ©e dâun enseignement gĂ©nĂ©raliste permanent pour adulte.⊠qui est une dĂ©marche limitĂ©e par lâidĂ©e de mĂȘme dans un secteur dâactivitĂ© oĂč il existe une possibilitĂ© permanente de formation, elle reste un palliatif, et nâest pas intĂ©grĂ©e comme un processus constant pour tous dâacquisition ou de perfectionnement de connaissance. La formation professionnelle caractĂ©rise cette permanence dans notre esprit, dâune rupture entre enseignement gĂ©nĂ©ral et vie active. Si, pour lâaccĂšs Ă un emploi, lâexercice dâun mĂ©tier, son attrait se manifeste, il cesse dĂ©s que nous nous estimons suffisamment formĂ©s, car lâidĂ©e de soi est essentiellement tournĂ©e vers lâactivitĂ© professionnelle, et les ressources qui en fait, nous rĂ©duisons donc lâexercice de nos potentialitĂ©s Ă la poursuite dâun but unique, sans lequel nous ne nous reconnaissons plus dâexistence sociale, source des plus grands destins, ou des plus sombres misĂšres. Et cette idĂ©e de soi nous apparaĂźt impossible Ă changer, comme si nous craignions de passer derriĂšre notre pour ce mĂȘme but nous ne craignons pas de le faire, en allant au-delĂ de notre rythme biologique circadien en ayant une activitĂ© 24 h/24, et mĂȘme sanctionner les erreurs auxquelles elles nous suffit donc dâavoir une autre idĂ©e de soi, par exemple avoir une dĂ©marche â Avoir une dĂ©marche estudiantine plutĂŽt quâĂȘtre spectateur, et socialement riche pour rompre un isolement, dans une sociĂ©tĂ© civile trĂšs sollicitĂ©e Ă consommer. Consommation Ă laquelle il est dur de rĂ©sister, malgrĂ© quelques une dĂ©marche estudiantineâŠCe sont les groupes sociaux comme les mĂšres ou pĂšres au foyer, les retraitĂ©s, les "sans emplois", groupe dans lequel nous trouvons particuliĂšrement la jeunesse des citĂ©s dites Ă risques, qui auront leur quotidien transformĂ© par la frĂ©quentation des ECPA, car ils peuvent disposer un peu plus aisĂ©ment de leur temps libre que les actifs, et devront intĂ©grer une dĂ©marche estudiantine ».DĂ©marche quâils considĂšrent ne plus ĂȘtre de leur ressort, fort de leur statut dâadulte, de leur expĂ©rience du vĂ©cu, et de notre notion de libertĂ© », qui nous laisse croire que nous Ă©chappons Ă lâapprentissage », parce que nous nous soustrayons Ă celui organisĂ©. PrĂ©fĂ©rant en cela avancer Ă tĂątons pour analyser toutes les informations que nous enregistrons. Informations qui sont parties intĂ©grantes de lâapprentissage » empirique, auquel nous nâĂ©chappons pas en fin ultime, et qui dĂ©bouche sur la pensĂ©e individuelle et la crĂ©ativitĂ© », mĂȘme si nous suivons un enseignement fait lâenseignement organisĂ© nous permet de gagner du temps pour ne pas redĂ©couvrir soi-mĂȘme ce qui lâa dĂ©jĂ Ă©tĂ© par dâautres dâĂȘtre dâĂ©ternels Ă©tudiants plutĂŽt que spectateurs de notre existence.⊠plutĂŽt quâĂȘtre spectateurâŠDans ces groupes que la tĂ©lĂ©vision totalise plus de 3 h dâaudience quotidienne, Ă lâexception des 9% de foyers qui nâen possĂšdent effet, les postes de tĂ©lĂ©vision restent allumĂ©s en moyenne 5 h15 par jour, les inactifs y consacrent 3 h50 en moyenne, et les personnes ĂągĂ©es de plus de 50 ans, 4 h. Ainsi, en moyenne, un inactif occupe environ 1300 h annuelle dâaudition tĂ©lĂ©visuelle », soit presque autant de temps que celui que consacre un actif au travail 1355 heures en 2000.Et il nây a que ceux qui ont un intĂ©rĂȘt Ă le dire, pour affirmer que la tĂ©lĂ©vision nâa pas dâincidence sociologique sur les individus.⊠et sociologiquement riche pour rompre un isolementâŠCette utilisation de leur temps quâils voudront consacrer aux ECPA les emmĂšnera Ă organiser leurs journĂ©es en gĂ©rant leur occupation journaliĂšre de toute autre maniĂšre. Pour les sans emplois, et particuliĂšrement les exclus et les marginaux, la frĂ©quentation des ECPA serait de nature Ă rompre leur isolement sociologique par le cĂŽtoiement inter cĂŽtoiement inter gĂ©nĂ©ration devrait ĂȘtre un facteur sociologique essentiel des effets seconds des ECPA, car naturellement lâĂąge induit sociologiquement des seuils de sĂ©parations que nous retrouvons dans certains de nos comportements et activitĂ©s.⊠dans une sociĂ©tĂ© civile trĂšs sollicitĂ© Ă consommerâŠNotre sociĂ©tĂ© a mis en exergue lâindividualisme, et la rĂ©ussite individuelle comme Ă©panouissement devant se faire au dĂ©triment de la relation cette optique, tous les dĂ©veloppements technologiques individuels sont privilĂ©giĂ©s, car ils offrent plus de dĂ©bouchĂ©s Ă©conomiques pour les offrent lâillusion dâavoir le monde avec soi sur le simple clic dâun quelconque appareil. Si nous pouvons nous fĂ©liciter de la mise Ă disposition de toutes sortes dâinformations dont nous avons besoin en un temps record, toutes ces innovations ont eu tendance Ă sĂ©parer, et isoler les hommes dâun contact social qui forge la discussion collective, et donne naissance Ă ce que nous appelons la sociĂ©tĂ© nous assistons au paradoxe oĂč dans une sociĂ©tĂ© dont les moyens de communication sont en surabondance, nous nous parlons de moins en moins directement. Et nous trouvons de moins en moins de temps pour lâĂ©change relationnel communiquant. Alors que dans le mĂȘme temps nous ne nous sommes jamais autant croisĂ©s, et autant parlĂ© par appareil est certainement dĂ» aux espaces libres occupĂ©s par les publicistes, les logiciels, les centres commerciaux, les parcs Ă thĂšme, tous ces lieux oĂč lâon va dâabord pour Ă laquelle il est dur de rĂ©sisterâŠOĂč sont donc les espaces oĂč nous exerçons la citoyennetĂ© ?La coupe du monde ! Cela fait peu une fois tous les vingt ans. Heureusement il y a encore le monde associatif, exclusion faite des associations de sports et loisirs qui reprĂ©sentent 13% du monde associatif sur 39% qui se disent adhĂ©rents dâune association. Le monde associatif sâest ouvert et tournĂ© vers lâintĂ©rĂȘt individuel, et les associations de dĂ©fense dâintĂ©rĂȘts communs sont en lâĂ©cole ? Nous avons vu effectivement ces derniĂšres annĂ©es des lycĂ©ens se prendre en charge pour dĂ©fendre leur point de vue. Seront-ils en mesure de poursuivre leur expression citoyenne, ou seront-ils absorbĂ©s par la sociĂ©tĂ© de consommation, comme lâont Ă©tĂ© leurs aĂźnĂ©s de 68, dâautant plus quâils sâidentifient par rapport aux biens de consommation. Ils se coulent parfaitement en cela, dans le moule qui consiste Ă exister parce que nous Ă©glises ? Il y a bien une recrudescence de religiositĂ©, mais les Ă©glises ont fait la preuve de leur inaptitude Ă diriger la sociĂ©tĂ© par frilositĂ© rĂ©formatrice, et constituent plus un refuge, un soutien psychologique Ă nos peurs, et ce nâest pas non plus en se tournant vers des gourous de tous poils, quâils auront les rĂ©ponses qui nous Ă©chappent, parce que le futur sur terre nâexiste pas avant que nous ne le construisions au prĂ©sent dans la mĂ©moire du pour oublier que penser câest difficile on consomme.⊠malgrĂ© quelques tentativesâŠCe rĂŽle si important de communication directe, et dâĂ©change tend Ă sâamenuiser malgrĂ© quelques tentatives de cafĂ©s Ă thĂšme philosophie, astrophysique ou de rĂ©union de quartier, et comme ce nâest pas lâengouement sportif qui constitue un support Ă la dĂ©mocratie, il nous faudra bien trouver un autre moyen de vitaliser la citoyennetĂ©. En cela les ECPA pourront y contribuer de fait, parce que les citoyens ne se retrouveront pas dans des lieux, oĂč on leur demandera de produire et de se taire, de prier, de consommer, dâapprendre que ces lieux ne soient pas ceux de notre existence, mais lâon nous demande dây ĂȘtre des spectateurs participants, et non des Ă©tudiants â Il faut maĂźtriser notre intelligence culturelle pour ne pas ĂȘtre faut maĂźtriser notre intelligence culturelleâŠVous dire ce quâil adviendra, je ne le peux pas. Pourtant, ce que je peux dire, câest quâune intelligence culturelle » comme celle qui caractĂ©rise notre espĂšce ne se construit pas dans lâisolement. Parce que lâisolement est un danger pour des institutions dĂ©mocratiques sâil met la sociĂ©tĂ© civile Ă mal ou en autant, si la consommation de technologie nâest pas opposĂ©e Ă la sociĂ©tĂ© civile ou Ă la dĂ©mocratie, sa maĂźtrise doit ĂȘtre exercĂ©e par lâune et lâautre, car elle nous affecte. Parce que comme je lâai dĂ©jĂ indiquĂ©, nous allons continĂ»ment de lâordre vers le dĂ©sordre, et nâimporte quelle variation engendre des effets. Cela, mĂȘme si nous ne les percevons pas avant un laps de temps rien ne nous garantie dans cette dynamique dâune loi physique, quâĂ une organisation dĂ©mocratique en succĂšde une autre, et que le mot de dĂ©mocratie suffit Ă la chacun de nos actes engendrĂ©s par notre ordre social modifiera ce mĂȘme ordre. Et ce nâest pas parce que nous avons dĂ©fini seulement la responsabilitĂ© individuelle, plus facile Ă saisir, quâelle efface, raye, gomme, lave la responsabilitĂ© collective inductive dans la survenance dâun Ă©vĂ©nement. Cela, parce que dans lâapproche de cette responsabilitĂ© collective nous craignons quâelle serve Ă se cacher de celle de responsabilitĂ© dâacteur ».Câest lĂ , encore une approche dĂ©pendante du dĂ©bat dualiste traditionnel individuel/collectif » que nous sommes loin de maĂźtriser. Et si dans la plupart des pays nous avons encore des sanctions punitives, de lâordre de la peine de mort, de dĂ©tention Ă perpĂ©tuitĂ©, ou des peines dites exemplaires », il sâagit moins de justice au sens noble ou nous lâentendons, que lâexercice de la vengeance individuelle ou vindicte populaire, qui a Ă©tĂ© retirĂ©e Ă lâindividu, comme engrenage Ă la violence vendetta, Ćil pour Ćil dent pour dent etc. pour ĂȘtre confĂ©rĂ© Ă la communautĂ© organisĂ©e. Il apparaĂźt donc bien difficile que la communautĂ© puisse Ă©valuer la part de responsabilitĂ© qui lui incombe dans tout manquement dâun des acteurs de la dite communautĂ©. Câest ainsi que chacun connaĂźt le vieil adage qui dit nul nâest censĂ© ignorer la loi », une maniĂšre comme une autre de se dĂ©douaner, de fuir ses responsabilitĂ©s communautaires dâenseignant », et dont la raison est moins dans la capacitĂ© de le comprendre, que dâestimer que ceci retire des sommes de monnaies du systĂšme productif vers lâorganisation dâune activitĂ© sociologique qui se comptabilise comme un coĂ»t dans une organisation libĂ©rale qui pousse Ă lâ est donc plus facile de comprendre pourquoi nous construisons plus des lieux dâexclusions en tout genre que dâintĂ©grations. Est-il possible de maĂźtriser notre intelligence culturelle » pour ne pas se robotiser ?⊠pour ne pas ĂȘtre nous en rendre compte nous possĂ©dons de fait une culture franco amĂ©ricaine, comme la plupart des pays de la communautĂ© europĂ©enne, et dâautres dans le monde. Cela par la position dominante du commerce amĂ©ricain dans les Ă©changes qui sâest installĂ©e comme rĂ©fĂ©rence type des relations commerciales, notamment le lobbying groupe de pression. De nombreuses Ă©coles primaires et secondaires sont en AmĂ©rique sponsorisĂ©es par des producteurs de produit de consommation dits serait navrant que nos futurs penseurs soient le cafĂ© X, le soda Y, ou des clips vidĂ©o, et que nos innovations nous les apprenions par lâintermĂ©diaire des Ćuvres de sciences fictions, comme des robots qui reçoivent leur culture en mĂȘme tant que la â Faire une place aux Enseignements ComplĂ©mentaires Pour Adultes, par lâincitation financiĂšre ou par une pensĂ©e dâutilitĂ© potentielle, pour ne pas rester des hommes des une place au ECPAâŠPour les actifs, c'est leur activitĂ© professionnelle, la durĂ© horaire du travail et le temps de loisirs, qui seront dĂ©terminants pour ajuster leur participation, et faire une place aux ECPA.⊠par lâincitation financiĂšreâŠPourtant, je ne crois pas que ce sera lâenvie de sâinstruire qui conduira Ă la participation aux ECPA. En effet, si lâenvie de savoir et connaĂźtre durant son existence dans le but de dĂ©velopper la pensĂ©e crĂ©atrice » existait chez les hommes, il y a bien longtemps quâune organisation se serait structurĂ©e en se sens du seul fait de la demande. Comme ce besoin Ă©mane de lâĂ©vĂ©nement culturel, câest notre raison qui le ce seront plutĂŽt les effets du gain financier qui auront l'incidence la plus immĂ©diate, dâautant que la rĂ©munĂ©ration proposĂ©e constituera un appel dâoffre comme source de revenu, ou complĂ©ment de revenu, et dont sa rĂ©percussion sur la vie Ă©conomique engendrera de profondes transformations chapitre suivant. Sans vouloir ignorer lâincidence que peut avoir notre propre estimation dâun seuil de revenu autosuffisant sur nos espĂ©rances attendues dâune organisation sociale pour satisfaire nos dĂ©sirs insatiables, je ne vois pas qui refuserait un moyen de complĂ©ter ses moins que nous prenions subitement conscience de lâutilitĂ© de la pensĂ©e.⊠ou une pensĂ©e dâutilitĂ© potentielle »âŠOr, le dĂ©veloppement de la pensĂ©e crĂ©atrice » passe par trois Ă©tapes. Ces Ă©tapes sont, la saturation, lâincubation et lâillumination suivant la conception de Hermann von Helmhonltz un physicien physiologiste 1821 1894. Le conscient, lâinconscient, et le prĂ©conscient ou lâantichambre de la conscience », dans la premiĂšre topique de Freud 1856 1939 remplacĂ© par une seconde, çà , moi, surmoi, suivit par celle de Piaget, lâassimilation, lâaccommodation, lâ jâai citĂ© Helmhonltz câest quâon comprend facilement quâil nây a pas de dĂ©veloppement de la pensĂ©e crĂ©atrice » sans une structuration et une accumulation de savoir et connaissances recueil dâinformation, rĂ©flexion, action.Ce qui est particuliĂšrement difficile, câest dâadjoindre Ă la notion de pensĂ©e utilitaire », qui sous-entend un but, mĂȘme si ce nâest celui que dâexister », une pensĂ©e dâutilitĂ© potentielle » vers un but inconnu, vers cette incertitude quâil nous reste Ă conquĂ©rir. Dâune certaine maniĂšre de faire consciemment ce que nous faisons inconsciemment, de telle façon que ce mĂ©canisme structurel mis en Ă©vidence par ces chercheurs » produise ses pas que nous vivons des certitudes du passĂ© que nous projetons sans cesse dans un futur inexistant, en dehors de notre conscience du pourquoi, quâapprendre nous prĂ©pare Ă lâĂ©vĂ©nement futur dont nous ne connaĂźtrons les effets quâune fois lâĂ©vĂ©nement rĂ©alisĂ©. En effet, nous ne pouvons mĂȘme pas lâimaginer, si ce nâest quâau travers dâimages issus du passĂ©, limitĂ©es par notre comprĂ©hension actuelle qui nâest pas une garantie de lâinnocuitĂ© de lâ pourquoi, contre toute logique universelle connue Ă lâheure actuelle, nous continuons Ă ne dĂ©velopper quâune pensĂ©e dĂ©terministe, laissant le soin Ă notre inconscient » de faire les adaptations alĂ©atoires qui sont les bases de notre Ă©volution.⊠pour ne pas rester des hommes des nous avons un certain choix. Le dĂ©veloppement de la pensĂ©e crĂ©atrice » peut se faire, par la seule observation de lâexistence en fonction de nos seules aptitudes rĂ©duites Ă leur environnement, dans le but dâun seul intĂ©rĂȘt immĂ©diat, comme nos ancĂȘtres Cro-Magnon pour les plus lointains. Ou bien par lâobservation de notre existence, grĂące Ă des structures dâun apprentissage permanent, pour enseigner tout ce que nous avons accumulĂ© comme savoir et connaissance depuis nos illustres ancĂȘtres durant notre existence, afin de se prĂ©parer Ă des Ă©vĂ©nements que cette accumulation de connaissances et savoir induiront nous passons au mieux 13 annĂ©es dans un enseignement de culture gĂ©nĂ©rale, et nous restons environ 55 ans Ă considĂ©rer que nous avons assez appris, tout en restant en permanence conditionnĂ©s Ă notre apprentissage empirique, ou Ă ceux qui en font lâeffort, Ă lâĂ©ducation permanente. En effet, nous sommes aussi cela, un animal qui apprend en permanence, mais nous y donnons aussi un autre nom, le vĂ©cu ».Faute de comprendre cela nous ne trouverons aucune raison qui justifie un apprentissage permanent tout au long de lâexistence, et nous demeurerons socialement des hommes des cavernes », mĂȘme si nous sommes capables dâaller en trouver sur Mars, parce que nous transporterons ces cavernes avec nous, pour nous ĂȘtre abandonnĂ©. Jâai utilisĂ© le terme caverne » pour lâimage erronĂ©e populaire quâil vĂ©hicule.36 â Nous voulons ĂȘtre des Dieux, plutĂŽt que de relever le dĂ©fie humain !Nous voulons ĂȘtre des DieuxâŠSi je devais en donner un exemple, je choisirais celui de lâexistence des multitudes de croyances religieuses qui soutiennent dĂ©tenir la VĂ©ritĂ© du vrai Dieu. Ce sont les flux de rĂ©gularitĂ©s observĂ©s la vie, la mort, le besoin de se nourrir et notre comportement existentiel qui ont nourri la rĂ©flexion humaine, et qui ont Ă©tĂ© compressĂ© par elle, en un ou des schĂ©mas conceptuels les livres religieux dâaujourdâhui, avec ses sources dâerreurs dâĂ©tablir des rĂ©gularitĂ©s lĂ oĂč il nây en a pas, et rĂ©ciproquement. Notamment celle de penser quâil suffit de crĂ©er un DIEU, ou prendre conscience quâil puisse exister un Dieu comme guide de la transmission dâune organisation humaine rĂ©gulĂ©e le pĂšre, pour quâil nây ait plus dâinterrogations. Ce comportement consistant Ă trouver des schĂ©mas rĂ©guliers stables se retrouve sur toute la planĂšte, et sâil y a une rĂ©gularitĂ©, ce nâest pas tant dans le contenu du schĂ©ma, que dans sa nous avons toujours cette prĂ©occupation[107].⊠plutĂŽt que de relever le dĂ©fie dĂ©fi est dâaccepter aussi lâidĂ©e quâun ECPA soit une source de revenu. Ce concept est de nature Ă perturber la rĂ©flexion de chacun, ce chacun » Ă©tant enfermĂ© dans des valeurs judĂ©o-chrĂ©tiennes ou hellĂ©no-judĂ©o-chrĂ©tiennes » ancrĂ©es au fils du temps dans lâapprĂ©ciation dâune valeur mĂ©ritocratique » constante tu gagneras ton pain Ă la sueur de ton front[108]. Longtemps cette notion a conduit celles et ceux qui ne participaient pas directement Ă la production dâun bien ou dâun service Ă ĂȘtre perçus comme des improductifs, pour ne pas dire fainĂ©ants. Si les employĂ©s ont gagnĂ© leur galon de salariĂ©, du fait peut-ĂȘtre de la lente Ă©rosion de la classe ouvriĂšre traditionnelle, cette apprĂ©ciation affecte toujours les personnels de la fonction quâen sera-t-il de lâidĂ©e de rĂ©munĂ©rer les hommes pour apprendre ? Oserons-nous relever le dĂ©fie ?37 â Un dĂ©fi qui sera dâabord rejetĂ© si lâenseignement nâest pas dĂ©fi qui sera dâabord rejetĂ©âŠAlors, il ne faudra pas ĂȘtre surpris que lâidĂ©e soit dans un premier temps rejetĂ©e il y en a Ă©tĂ© ainsi lors de la mise en place de la scolaritĂ© obligatoire, et considĂ©rĂ©e comme, gagner de lâargent sans rien faire ».Bien sĂ»r nous nâapprenons pas que la scolaritĂ© obligatoire avait Ă©tĂ© rejetĂ©e par ses contemporains, par ceux lĂ mĂȘme qui en avaient le plus besoin, et qui se lamentaient sur leur sort, comme nous nous lamentons aujourdâhui sur le nĂŽtre, toutes proportions gardĂ©es. Ils justifiaient pour cela du besoin de conserver la part de revenu complĂ©mentaire quâapportait le travail des enfants. Aujourdâhui ce refus se formulerait plutĂŽt sous une autre forme apprendre pour quoi faire ?» Comme si le mot intelligence ne se suffisait pas tout voilĂ nous sommes presque six milliards Ă penser que nous possĂ©dons lâintelligence que nâont pas les autres, parce que nous disons, que lâintelligence et lâinstruction sont deux choses distinctes. Câest peut-ĂȘtre vrai, pourtant, quand les deux sont rĂ©unies, câest tout de mĂȘme bien bien vrai çà , dirait le papi Mouseau, on ne sait pas dâoĂč vient lâintelligence, mais cela fait avancer le schmilblick ».⊠si lâenseignement nâest pas notre souci de valorisation lâemploi ou lâactivitĂ© exercĂ© est plus ou moins considĂ©rĂ© comme gratifiant. Un dicton populaire dit bien "il nây a pas de sot mĂ©tier". Ce nâest pas pour autant, que nous nous levons le matin en disant, moi aujourdâhui je veux ĂȘtre Ă©boueur ».Si chacun reconnaĂźt son utilitĂ© salutaire, ce travail nâen demeure pas moins un mĂ©tier Ă connotation pĂ©jorative, comme tant dâautres dâailleurs, pour lesquels nous changeons dâappellation afin que leur exercice, soit dissimulĂ© ou moins fruste. Pourtant il suffirait que leurs rĂ©munĂ©rations sâĂ©lĂšvent, ou que leur place sociale sâaffirme pour quâils s'ennoblissent le saltimbanque quĂȘtant hier, nâest-il pas devenu lâartiste opulent dâaujourdâhui, et lâĂ©boueur dâaujourdâhui ne tend-t-il pas Ă devenir le nettoyeur Ă©cologique de en sera de mĂȘme pour lâenseignement pour adulte, malgrĂ© son utilitĂ© reconnue, comme celui gĂ©nĂ©ral ou spĂ©cialisĂ©, il ne sera reconnu que par la valorisation financiĂšre quâil apporte, car il aura ses Bien sur il y aura des opposants par pragmatisme opportuniste Ă cause dâune vue restrictive. Alors il faut Ă©largir notre rĂ©flexion, dans une addition, oĂč un plus un Ă©gale sur il y aura des opposantsâŠLâenseignement ayant poursuivi un cheminement similaire, nous ne nous levons pas un beau matin en nous disant je veux mâinstruire». Il a dĂ» sortir de lâemprise des lettrĂ©s, et sâennoblir auprĂšs des populations incultes au cours dâun long cheminement oĂč il nâa pas manquĂ© dâopposant Ă lâinstruction populaire, comme il y a eu des opposants Ă lâĂ©ducation permanente formulĂ©e dans le projet de nouvelle sociĂ©tĂ© de J, Delors et J. Chaban-delmas.âŠpar pragmatisme opportunisteâŠAujourdâhui, lâenseignement est presque exclusivement synonyme de dĂ©bouchĂ© vers un emploi, dâautant mieux rĂ©munĂ©rĂ© que cet emploi est il nâest pas rare dâentendre ces derniĂšres annĂ©es Ă quoi cela sert-il dâenvoyer nos enfants acquĂ©rir des diplĂŽmes sâils ne donnent pas accĂšs Ă un emploi ? Maintenant pour ĂȘtre balayeur il faut le bac ».Est-il impensable dâimaginer que lâon puisse, Ă lâexcĂšs, ĂȘtre agrĂ©gĂ© de lettres et occuper un emploi dâĂ©boueur ?Faut-il forcĂ©ment ĂȘtre con», pour occuper un tel emploi ?Les inactifs devraient-ils ĂȘtre des ignorants ?Cela parce que par pragmatisme opportuniste nous considĂ©rons quâun emploi ne justifie quâune complĂ©mentaritĂ© de connaissance en seule liaison avec son lĂ un point de vue restrictifâŠĂ cause dâune vue restrictiveâŠCette difficultĂ© provient de notre façon de considĂ©rer lâenseignement sous ses deux aspects Ă©troitement liĂ©s et dynamiques, qui Ă©laborent au fil des gĂ©nĂ©rations, lâapprentissage dâun langage culturel commun qui Ă©difie et façonne toute sociĂ©tĂ©, le sociologique » et le technique ».Lâenseignement sociologique » enseignement gĂ©nĂ©ral qui conduit Ă la satisfaction de nos exigences matĂ©rielles par lâenseignement technique. Lesquelles, sâĂ©levant en qualitĂ©, nous libĂšrent, et nous offrent la possibilitĂ© dâaccĂ©der Ă un Ă©chelon supĂ©rieur, dâindĂ©pendance simplement, plus nous nous libĂ©rons des tĂąches de production et mĂ©nagĂšres, et plus nous disposons de temps pour un autre usage qui va dĂ©pendre aussi, de notre indĂ©pendance contingentĂ©e, je veux indiquer que la technologie, due au dĂ©veloppement du langage social, nous offre des possibilitĂ©s qui sont restreintes par lâusage que nous faisons de la monnaie, dans notre organisation sociale, du fait mĂȘme des concepts que nous Ă©laborons Ă travers elle, par le poids des mâexplique. Si je veux dĂ©finir ma notion dâinterdĂ©pendance entre lâindividuel et le collectif comme partie insĂ©parable dâune fonction organique de lâespĂšce, je nâai pas de mot, car nos analyses prĂ©sentent toujours cette fonction, sous une les deux notions examinĂ©es sĂ©parĂ©ment sont fondĂ©es. Mais trouvez-moi un ĂȘtre humain qui nâait pas dĂ©terminĂ© sa personnalitĂ© au travers des autres, et que, mĂȘme sâil Ă©prouve le besoin de sâisoler, ne recherche-t-il pas la sociĂ©tĂ© de ses semblables pour se prouver quâil existe, parce quâil est cela, En dehors des schizophrĂšnes ou des autistes, ou des isolĂ©s que nous fabriquons par la technologie, comme de potentiels schizophrĂšnes, comme dâautres ont fabriquĂ© des ermites.Pourtant, nous nâavons pas de mot pour dĂ©finir cette fonction vitale de lâindividu qui lui permet de se collectiviser en collectif dâindividualiste », en dehors de lâholisme[109] que jâai dĂ©signĂ© dans lâavertissement sous le terme de collectivisme fractal ». Nous serions donc des Holistes ».Si nous spĂ©cifions un mot pour cela, nous pourrons dĂ©velopper un concept qui englobera les deux autres. Il agira sur notre construction psychique par le poids du mot dĂ©fini son sens, de la mĂȘme maniĂšre que le mot individualisme induit dans notre conscient historique une notion de libertĂ©, qui ne peut quâĂȘtre affectĂ©e par le concept collectiviste, ou collectif qui dĂ©jĂ par son terme, indique une dĂ©pendance Ă un ensemble, et restreint de fait la libertĂ©, en rĂ©fĂ©rence aussi Ă un usage historique qui en a Ă©tĂ© fait dans les ex-pays dit socialistes. Et dans le dĂ©bat qui les oppose, il sâagit moins de trouver la rĂ©alitĂ© dâune relation, que de soutenir un point de vue arbitraire fondĂ©, moins par la raison, que par lâintĂ©rĂȘt individuel Ă©goĂŻste exacerbĂ© dans les deux bien que notre existence ne soit quâun Ă©norme assemblage, la communautĂ©, oĂč la place de lâindividu, de lâindividualitĂ© ne consiste quâĂ composer lâensemble, dont lâindividu exhibera sa crĂ©ativitĂ© ». CrĂ©ativitĂ© » Ă laquelle concourt cet ensemble par acculturation assimilation, accommodation, Ă©quilibration, et qui ne peut sâexprimer quâau travers de lâindividu comme consĂ©quence dâun ensemble dont il est issu, et avec lequel il devra sâassocier ou cette approche individualiste contingente Ă©galement lâapprĂ©ciation que nous portons sur notre enseignement. Si bien que lorsque nous en sortons diplĂŽmĂ©, nous croyons que câest grĂące Ă notre seul travail, parce que nous avons oubliĂ© toutes les pressions exercĂ©es pour nous inciter ou nous forcer Ă apprendre. Notre seul mĂ©rite, câest dâavoir appris. Appris, du patrimoine collectif, ce quâaucun de nos parents nâaurait pu nous apporter. Pourtant, nous nâen retiendrons que lâaspect qui se coule ou se glisse dans lâidĂ©ologie que vĂ©hicule la bien que nous ne retiendrons de lâenseignement, que le moyen dâaccĂ©der Ă un emploi rĂ©munĂ©rateur et, nous reprocherons Ă©ventuellement Ă cette collectivitĂ© que nous contestons tant de ne pas toujours savoir nous y de lui, que de la monnaie », quâelle serait donc la raison qui nous pousserait Ă utiliser une part du temps libre, que lâenseignement technologique a permis de dĂ©gager, pour suivre un enseignement complĂ©mentaire ?Aucune ! Notre organisation socio idĂ©ologique ne conduit pas Ă cela, et câest en cela que nous restreignons notre enseignement.âŠalors il faut Ă©largir notre rĂ©flexionâŠAussi, il faut Ă©largir notre enseignement idĂ©ologique, par lâajout dâun enseignement plus complet Ă organiser, qui est un enseignement permanent pour adultes. Celui qui concerne le dĂ©veloppement intellectuel de lâespĂšce humaine tout au long de son existence par accumulation de connaissances et Savoir, sans but immĂ©diat de production dâun bien consommable, car ce but est contenu dans lâaccumulation des connaissances dont il Ă©mergera un jour, demain ou dans mille effet, dĂ©s que lâhomme connaĂźt deux mots de plus, il les associe pour y trouver une utilitĂ©, et ce, mĂȘme si lâĂ©quilibre ou lâĂ©panouissement intellectuel, pour certains, doit transiter par lâapprentissage dâune activitĂ© ne pourra pas faire lâĂ©conomie dâun apprentissage sociologique » sâil veut cesser de sâopposer parce quâil croit lui ĂȘtre en propre sa culture, Ă laquelle il pense toujours que les autres doivent se oublions trop souvent que nous avons un esprit mallĂ©able », et quâĂ©levĂ© par des canards nous bougerions du cul en faisant coin-coin.⊠dans une addition qui est un plus un Ă©gale consĂ©quence de quoi, cette accumulation de connaissances aura des consĂ©quences sociales et Ă©conomiques certaines pour le futur, et forcĂ©ment productrices, pour peu que nous sachions faire les associations crĂ©atives » positives ». Plus nous accumulons de Savoir plus nous avons de chances quâune association crĂ©atrice » se rĂ©alise, et plus nous aurons de chances de comprendre ce que nous observons et percevons, et alors peut ĂȘtre nous Ă©laborerons des sociĂ©tĂ©s moins fragiles, et plus vue Ă©litiste nous fait toujours regarder les dĂ©couvreurs comme des gĂ©nies ou des ĂȘtres exceptionnels que la grĂące aurait touchĂ©s, mais leur parcours nâest jamais celui dâun ignorant. Cela, mĂȘme, si certains conservent le cerveau dâEinstein dans lâespĂ©rance que notre technologie permette de dĂ©celer quels gĂšnes ont rendu Einstein intelligent. [110]LĂ on est au bord du dĂ©lire, car il vaut mieux supputer quâil Ă su ajouter un plus un pour faire - Il faut savoir se remettre en cause pour un projet avec beaucoup dâinterrogations sur lâexistence, que dâautres on traduit avec leurs faut savoir se remettre en cause âŠAccepter lâidĂ©e que nous puissions percevoir un revenu Ă partir de la diffusion dâun enseignement peut heurter nos esprits conditionnĂ©s Ă produire pour consommer, et consommer pour produire sans dĂ©marche peut aussi nous choquer puisquâil sâagit, Ă court terme, de donner de son temps pour recevoir en Ă©change, du savoir, des connaissances, et en plus un long terme, inĂ©vitablement, une apparente opposition avec le systĂšme actuel de production de la richesse basĂ©e sur la celle de biens et de services se produira. Cela, si nous ne voyons pas dans la rĂ©munĂ©ration des ECPA un systĂšme concurrentiel stimulant. SystĂšme concurrentiel qui nous est si cher, dont nous nous gaussons Ă tout moment. Et quel est le capitaliste ou le libĂ©ral qui pourrait sâen plaindre, sauf Ă dĂ©montrer que leurs dĂ©clarations, pour certains, ne cachent que des visĂ©es dominatrices, ce qui Ă mon sens nâest quâune disais une apparente opposition, car chacun utilisera ses acquis pour les aux capitalistes », je nâai aucune crainte. Ils sont suffisamment prompts Ă sâinsĂ©rer dans nâimporte lequel des systĂšmes pour conserver leur quâils ne soient pas si futĂ©s, car, si au lieu de soumettre les pays sous-dĂ©veloppĂ©s ou en voie de dĂ©veloppement Ă des emprunts drastiques auprĂšs du FMI, ils favorisaient la crĂ©ation » de monnaie par la mise en place dâune activitĂ© Ă©ducative, ils rĂ©cupĂ©reraient mĂȘme de lâargent, lĂ oĂč il nây a que du quoi lâaltruisme peut ĂȘtre aussi une source de richesse, et mĂȘme une source de conflits, car lâaltruisme nâest quâune forme supĂ©rieure dâĂ©goĂŻsme, pour ne citer que le patriotisme en exemple, Ă ne pas confondre avec le suicide nous ne sommes pas choquĂ©s quand le principe de la rĂ©munĂ©ration sâapplique Ă la formation professionnelle, car la relation est directe avec lâemploi, et que nous sommes depuis de nombreuses annĂ©es dans une logique de court terme, soit par souci de rentabilitĂ©, ou par une remise en cause due Ă la rapide Ă©volution technologique. Sâil nous est nĂ©cessaire dâĂȘtre comme je lâai dit assurĂ© pour sâĂ©panouir, ce nâest pas pour vĂ©gĂ©ter car cela nous est interdit, mais pour disposer de la facultĂ© de nous remettre en cause, pour poursuivre une marche en avant vers une espĂ©rance que nous qualifions Dâ encore faut-il savoir se remettre en cause et avoir des projets pour cela.âŠpour un projetâŠAussi, il faudra peut-ĂȘtre renouer avec ce qui manque le plus Ă notre sociĂ©tĂ©, savoir changer dâoptique, en la faisant surgir de notre rĂ©flexion plutĂŽt que de nos confrontations un projet de sociĂ©tĂ© hominisant.âŠpleins dâinterrogations sur lâexistenceâŠNous pouvons estimer, Ă plus long terme, que la dĂ©marche s'intĂ©grera dans le processus production consommation », qui lui est inĂ©vitablement prĂ©curseur, pour produire ses effets sur la sociĂ©tĂ©, mais peut-ĂȘtre dâune autre nature que ceux que nous connaissons, et que les hommes auront plus une consommation dâutilitĂ© raisonnĂ©e. La dĂ©marche nâen reste pas moins orthodoxe, lâindividu vend-il » sa capacitĂ© cĂ©rĂ©brale » ou la sociĂ©tĂ© humaine investit-elle » en celle-ci dans son propre intĂ©rĂȘt ?⊠que dâautres ont traduit avec leurs conviction est faite, savoir changer dâoptique, câest dans notre propre intĂ©rĂȘt dâespĂšce humaine. Mais nous savons aussi que ce dernier passe par une vocation mercantile, car de tout temps il y a eu des initiĂ©s, qui faute de moyens de comprĂ©hension scientifique moyens matĂ©riels, nâont pu traduire correctement que la conscience quâils avaient de ce qui se passait dans leur esprit, correspondait Ă une image de la rĂ©alitĂ© » de ce qui se passait dans la nature » univers/ terre/humain.Et ils nous ont laissĂ© la plupart du temps en guise de preuves ou de thĂ©ories explicatives, des panthĂ©ons de dieux et des livres fermĂ©s[111].40â Je peux rĂȘver que la volontĂ© serait de le faire, mais rien de moins Ă©vident en dehors du peux rĂȘverâŠJâespĂšre naturellement que lâaccumulation de connaissances emporte en logique que lâindividu ne demeurera pas un enseignĂ© passif se contentant dâapprendre, et quâil sâinterrogera au-delĂ de lâassociation naturelle dâ mĂȘme sâinterrogera-t-il peut-ĂȘtre un peu plus sur les formes de ses relations au travail, face Ă une forme dâactivitĂ© sociale qui lâĂ©mancipe un peu ceci nâest que mon propre transfert...⊠que la volontĂ© serait de le faireâŠSi aujourdâhui ce type dâinterrogation est le privilĂšge de quelques minoritĂ©s, une interrogation de masse induira des comportements rĂ©actionnels, dans ce secteur ou d'autres, en fonction de la place sociale des ne faut pas en dĂ©duire, par utopie », quâil nây aura plus de dominants, car nous confondons toujours, diriger et guider avec dominer ; car les dominants nous les fabriquons par lĂąchetĂ©, peur, indiffĂ©rence ou ignorance ».Si au quotidien la frĂ©quentation des ECPA pousse les hommes Ă plus de rĂ©flexion, ce sera dĂ©jĂ un nâest pas seulement lâĆuvre laborieuse qui est Ă©mancipatrice de lâĂȘtre, mĂȘme en lui en fournissant les moyens, câest aussi le temps quâil pourra consacrer Ă nourrir sa disposons des deux, il ne manque que la volontĂ© de le faire, mais rien nâest moins Ă©vidant.⊠mais rien de moins Ă©vidantâŠPour en avoir dĂ©battu avec des acteurs sociaux, je ressentais en chacun dâeux la crainte ancestrale des dominants face Ă lâĂ©mancipation intellectuelle des populations, et la crainte que trop de rĂ©flexions nuisent Ă leur fond de lâidĂ©e est intĂ©ressante, mais la libertĂ©, câest que les hommes choisissent, de quoi ils veulent sâ dĂ©veloppement culturel câest lâaffaire de chacun. Il y a suffisamment dâinformations et de pluralisme dâidĂ©es pour lâidĂ©e est intĂ©ressante, mais sous condition que lâenseignement aille dans le sens de leurs faire des confusions de genres, nous en avons connu quelques spĂ©cimens dont la rĂ©volution culturelle Chinoise en est lâ nâest pas surprenant, car nous sommes tous enclins Ă considĂ©rer que notre point de vue est le mieux fondĂ© et voulons le faire partager, voire lâ cela nous disposons dâun outil relationnel qui est le dĂ©bat.âŠen dehors du ce domaine il nây a pas de rĂšgle, en dehors du dĂ©bat dâidĂ©es, pacifistes ou non. Pour ne fournir quâun exemple, je choisis celui dâun lumineux personnage qui avait avancĂ© lâidĂ©e de supprimer le bac de philosophie », parce quâil ne dĂ©bouche pas sur des emplois, et qui a dĂ» renoncer Ă son â Un dĂ©bat dans une sociĂ©tĂ© dominĂ©e par le libĂ©ralisme, oĂč le mot libertĂ© est un arbre qui cache la forĂȘt, une forĂȘt oĂč nous pouvons nous dĂ©bat dans une sociĂ©tĂ© dominĂ©e par le libĂ©ralisme...Pourtant aujourdâhui, insidieusement, lâorganisation libĂ©rale mondiale du commerce, comme de la finance, qui pourraient ĂȘtre un fabuleux moteur du dĂ©veloppement des populations, sert une mĂ©canique hĂ©gĂ©monique Ă laquelle nous participons activement, au travers dâune forme de pensĂ©e unique, pseudo libĂ©rale. Je dis pseudo, car dans son application elle constitue un leurre intellectuel, en ce sens que chacun sâimagine ĂȘtre la piĂšce centrale du puzzle, et nie que la puissance concurrentielle impose ses lois Ă lâaccession dâun marchĂ©, et transforme en idĂ©al, ce qui nâest quâun combat de pouvoir entre, lâindividuel qui ne veut suivre que ses rĂšgles, et celui de lâindividuel collectivisĂ© » en schĂ©ma communautaire ETAT qui ordonne la sociĂ©tĂ© par le fait au travers dâun capitalisme qui se veut libĂ©ral, comme si le capitalisme pouvait ĂȘtre libĂ©ral sans se que nĂ© dâune volontĂ© de LibertĂ©[112], il a fini par remplacer le despotisme monarchique pour devenir lui-mĂȘme un capitalisme despote, lequel a certes eu un avantage, celui de nous faire passer de sujets pauvres, Ă citoyens possĂ©dants. Pourtant, les deux Ă y rĂ©flĂ©chir se rĂ©fĂ©rent Ă des valeurs supĂ©rieures Ă lâhomme, pour que celui-ci puisse se justifier de sa condition et de ses actes, et sây rĂ©signer. Ainsi la monarchie Ă©tait de droit Divin », dâen Haut, le capitalisme est des droits naturels, des lois naturelles », dâen Bas. De maniĂšre que celui ou ceux qui se rĂ©fĂšrent de cette origine sâĂ©rige en Roi de droit divin ou de droit naturel la sĂ©lection naturelle. Dans les deux cas nous avons droit au mĂȘme despotisme. Cela, alors que ce ne sont que des droits, dâun ĂȘtre ignorant de lui-mĂȘme qui ne sait pas ou ne peut pas se gouverner sans imiter ce quâil comprend ou a compris de son monde la nature, et se rĂ©fĂšre Ă des concepts de lois naturelles, dĂ©veloppĂ©s par des hommes certes instruits et intelligents, mais qui Ă leur Ă©poque, ne connaissaient de leur monde que lâantiquitĂ© et le moyen Ăąge trĂšs chrĂ©tien. Et ils ne pouvaient donc pas tenir compte de notre prĂ©histoire et protohistoire dont nous avons commencĂ© la conquĂȘte de sa connaissance quâĂ partir de 1860, et encore moins de celles apportĂ©es par la science caricature ne remet pas en cause lâefficacitĂ© attestĂ©e du capitalisme, mais se veut souligner que pour ĂȘtre despote, il ne suffit pas dâen avoir le titre, mais les moyens de lâĂȘtre. Câest ce que fait Le systĂšme capitaliste » dans ses excĂšs dâefficacitĂ©, par les moyens dont il sâest dotĂ©s, la loi du marchĂ© financier. Pourtant nous savons que toute sociĂ©tĂ© dominatrice produisant son antidote, y succombe un peut-ĂȘtre jusquâĂ dire que le capitalisme ou post capitalisme pourrait ĂȘtre le fossoyeur du libĂ©ralisme qui sâest identifiĂ© au symbole de lâindividualisme absolu laisser faire, laisser passer », car le langage courant tend Ă rendre, Ă tort, synonyme Capitalisme et donc une sociĂ©tĂ© dominatrice qui a perdurĂ©. Je ne prends aucun risque, câest la simple application du principe de la thermodynamique, et de lâĂ©volution biologique dâune cellule, naturellement ceci dĂ©passe un peu la seule durĂ©e dâune existence humaine, mais il est phĂ©nomĂšne fait partie des rĂ©gularitĂ©s observables, mais que nous rejetons quand elles concernent la sociĂ©tĂ© dans laquelle nous vivons, sauf peut-ĂȘtre, pour ceux qui ont lâesprit rĂ©formiste.⊠oĂč le mot libertĂ© est lâarbre qui cache la forĂȘtâŠEn cela, le mot libertĂ© sous-entendu dans libĂ©ralisme, cache Ă ceux qui ne sont pas clairvoyants, que les richesses produites ne sont destinĂ©es quâĂ ceux qui sont solvables, et sâorganisent entre eux. Et, que la libertĂ© nâest autre quâĂȘtre esclave volontaire de ses propres dĂ©sirs, limitĂ©s par les autres ou l'Holisme ». De maniĂšre que de nombreuses dictatures sây soient rĂ©fĂ©rĂ©es, mais dans nos dĂ©mocraties nous nous y rĂ©fĂ©rons le plus souvent sous une forme insidieuse, pour dire quâau nom de la libertĂ© nous avons celle de dominer les autres, pourvu que cela se fasse par un moyen communĂ©ment admis.⊠une forĂȘt oĂč nous pouvons nous libĂ©ralisme, certains entendent le droit quâont quelques groupes dâamasser des richesses capitaliser sâen rĂ©trocĂ©der sous quelques formes que se soit le coĂ»t collectif de lâexistence humaine qui a Ă©tait nĂ©cessaireles discours sur les charges en sont lâĂ©lixir. Et ce, sous ses divers aspects quitte Ă si auto gĂ©nĂ©rer par des circuits financiers spĂ©culatifs analogie au dopage sportif, et structurer le marchĂ© mondial dans un fĂ©odalisme[113] au sein duquel les pouvoirs politiques celui des citoyens nâont quâĂ se soumettre ou se dĂ©mettre. Dâautres y voient le dĂ©veloppement individuel comme une extorsion de la sociĂ©tĂ©. Une sociĂ©tĂ© Ă laquelle il faut tout prendre, de laquelle il faut tout attendre sans rien rĂ©trocĂ©der. Durkheim a appelĂ© cette forme dâĂ©goĂŻsme le suicide Ă©goĂŻste »[114], en ce sens sont suicidaires les discours qui prĂŽnent le dĂ©sengagement de lâĂtat en tant que garant et reprĂ©sentant de cette fonction Holistique » au sein du groupe, de la sociĂ©tĂ©, de lâespĂšce, et de lâexistence, suivant la maniĂšre dont nous nous structurons, car un Ătat peut ĂȘtre despotique nous le savons. Ce qui donne Ă©galement la possibilitĂ© Ă lâĂtat citoyen dâĂȘtre propriĂ©taire, dans le secteur industriel ou non, pour sauvegarder ses intĂ©rĂȘts vais prendre un exemple par lâabsurde. Quelle diffĂ©rence il y a entre 60 millions de français qui dĂ©tiennent les actions dâune sociĂ©tĂ©, et 60 millions de français propriĂ©taires de la mĂȘme sociĂ©tĂ© par lâĂtat du fait de leur statut de citoyens. Je nâen vois aucune. Dans le premier cas les actionnaires Ă©liront un PDG, dans lâautre un PrĂ©sident de la rĂ©publique. Ainsi la diffĂ©rence ne se fait pas dans le titre de propriĂ©tĂ©, mais dans la gestion, lâusage et lâimage que nous nous en faisons, cela au travers des relations socio-Ă©conomiques historiques que nous avons dĂ©veloppĂ©es le monde, et de leurs lisibilitĂ©s au travers des circuits Ă©conomiques. A lâinverse, par les phĂ©nomĂšnes de concentration capitalisme, des groupes financiers peuvent devenir propriĂ©taires de secteurs complets ou pluri-sectoriels ».A quand ? Une sociĂ©tĂ© multinationale qui devient propriĂ©taire dâun Ătat ?Je ne dirais pas que câest fait en Italie, mais ?âŠCette remarque nâest pas anodine, par les groupes de pression financiers ou de grands groupes, nous pourrons bientĂŽt affirmer que ce sont eux qui choisissent les chefs dâĂtats, que bĂ©atement les citoyens Ă©lisent. De sorte quâau nom de la libertĂ© nous nous construisons Ă©galement les moyens de nous en priver. Comme je le disais, nous construisons nos dominants, et eux aussi sâinsurgent au nom de la libertĂ© contre toutes les rĂ©glementations qui limitent leur pouvoir de dominer. Ainsi, cet arbre quâest la LibertĂ©, cache une forĂȘt de relations complexes dans lequel il suffit aujourdâhui de prononcer le mot LibertĂ©, comme la clĂ© dâouverture de la caverne dâAli Baba, pour que sans discernement tous les hommes sây que seulement un certain nombre sây servent, et expliquent aux autres quâils sont libres parce quâils ont la libertĂ©, lâillusion dây â A rĂ©pĂ©ter un leitmotiv on lâaccepte, car soumis au mĂȘme discourt nous nâentendons que lui, malgrĂ© mes rĂ©pĂ©ter un leitmotiv on lâaccepteâŠA se rĂ©pĂ©ter que seul le privĂ© est performant, faisons lâeffort dâimaginer une telle situation. Nous en arriverions rapidement, Ă considĂ©rer les vicissitudes de lâexistence comme des charges Ă bannir, et ceux qui les subissent avec, câest Ă dire rejeter tout ce qui fait de nous des humains fragiles, mortels, et non pas des androĂŻdes parfaitement huilĂ©s qui conviendraient mieux pour une rentabilitĂ© lâĂ©conomie nous en sommes arrivĂ©s, Ă considĂ©rer toutes interventions de lâĂtat citoyen comme parasitaire, et considĂ©rer la revendication collective comme inopportune, parce quâelle contrarie notre quotidien cet ordre dâidĂ©e, celle de gĂ©rer la sociĂ©tĂ© comme une entreprise est souvent avancĂ©e. Câest sous une certaine forme la reconnaissance de lâaptitude des dirigeants dâentreprises. Pourquoi pas ?Mais les inaptes, les incompĂ©tent, les licenciĂ©s, les en trop », nous les rejetterions Ă la mer ? Un jour jâai osĂ© dire dans une rĂ©union qui mâexcĂ©dait, si nous irions jusquâĂ crĂ©er des fours crĂ©matoires pour ces en trop », le silence de mort qui sâen suivit fut en disant cela, seulement pour dire quâil y a des limites Ă la comptabilisation de lâexistence, je voulais signifier au travers de cet Ă©pisode dramatique que son enseignement doit dĂ©passer le seul cadre dans lequel il sâest exercĂ© ; et que notre aptitude Ă Ă©carter ce qui nous paraĂźt hostile au fonctionnement dâune organisation systĂ©mique, peut nous entraĂźner vers des choix de solutions effet, dans lâorganisation Ă©conomique nous avons besoin de repĂšres et dâordres de grandeur, mais quelles que soient les constructions abstraites que nous bĂątirons pour cela, elles ne peuvent tenir lieu de finalitĂ©, car elles ne seront jamais une dans lâexemple que jâai pris pour la course du tiercĂ© P. 137, notre existence va de 0 Ă lâinfini, et nous pouvons y dĂ©finir nous y sommes mĂȘme astreints, tout au long dâelle, des repĂšres pour savoir oĂč nous sommes. Pour autant, ils nâont et nâauront de valeur que celle issue de notre rĂ©flexion, sauf Ă dĂ©montrer quâils constituent une rĂ©gularitĂ© rien ne nous empĂȘche, comme nous le faisons, dâorganiser toutes les compĂ©titions que nous voulons, et de nous convaincre des certitudes comptables comme dâun leitmotiv.âŠcar soumis au mĂȘme discourt nous nâentendons que luiâŠNe sourions pas. Câest ce que nous avons, en partie, rĂ©alisĂ© dans les faits, en comptabilisant notre existence. Mais surtout, câest dans lâesprit que nous lâavons rĂ©alisĂ©, en ne nous regardant que comme des prĂȘts Ă porter » que nous sommes, pourvu que nous nous rĂ©pĂ©tions les choses longtemps, et que le systĂšme soit taillĂ© Ă notre mesure. Câest lĂ , toute lâimportance du pouvoir mĂ©diatique, du slogan publicitaire, et de la exemple, il a fallu des luttes de classes pour Ă©laborer des systĂšmes de protection de solidaritĂ© sociale, que nâimporte lesquelles des organisations de systĂšmes Ă©conomiques libĂ©raux ne gĂ©nĂšrent pas, hormis en systĂšme caritatif. Un systĂšme de protection sociale sĂ©curitĂ© sociale qui peut changer de statut dâintĂ©rĂȘts collectifs des individus, Ă intĂ©rĂȘts particuliers, seulement par la propagation dâune tendance Ă lâindividualisme, Ă lâefficacitĂ© prĂ©sumĂ©e du privĂ© sur le public » je dis public pour conserver une image, car dans lâesprit il est perçu comme une administration, alors que son organisation relĂšve du droit privĂ©, dans laquelle lâĂtat sâest introduit en lĂ©gifĂ©rant.Parce quâĂ se rĂ©pĂ©ter les choses, nous finissons par croire comme exact ce quâelles racontent. Cela prĂ©vaut bien sĂ»r dans tous les sens, et repose sur lâabsence de vĂ©rifications nâayez crainte, lorsque la sĂ©curitĂ© sociale passera au privĂ© » gestion Ă but lucratif, les bien-portants, comme les malades qui ne se font pas soigner, auront droit Ă leur bonus, les autres au malus, jusquâĂ ce que chacun dĂ©cide de ne plus sâassurer, faute de ressources suffisantes. Stupide ce que je dis ? Non ! La vocation affichĂ©e dâun systĂšme comme celui de la sĂ©curitĂ© sociale, est de faciliter lâaccĂšs aux soins, sans but lucratif par un systĂšme de pĂ©rĂ©quation et de rĂ©partition. Celui dâune compagnie privĂ©e dâassurance est de prendre en compte un besoin physiologique pour faire des bĂ©nĂ©fices avec je crois que la nuance est de la question est moins dans la querelle public privĂ© » en ce domaine, que celui de savoir si notre protection sociale » doit dĂ©pendre dâun marchĂ© financier, qui dĂ©pend dâune noblesse financiĂšre qui spĂ©cule et de leur humeur confiance ou de notre solidaritĂ© citoyenne et communautaire, que la gestion du systĂšme de protection, soit publique ou toujours soumis au mĂȘme discours nous nâentendons que lui.âŠmalgrĂ© mes comme je viens de le caricaturer, on peut railler, et contester les travers de nâimporte lequel des systĂšmes dâorganisation qui demeure important est dâen comprendre les fonctionnements pour que la collectivitĂ© en conserve la maĂźtrise. Or la collectivitĂ© rĂȘve et elle est sensible aux illusions. Si bien quâau travers dâun comportement constant de nĂ©cessaire rĂ©partition obligatoirement inĂ©quitable, elle rĂ©gĂ©nĂšre des stratifications de classe pour se sĂ©rier, donnant une classification recomposĂ©e et redĂ©finie dans laquelle nous avons lâillusion dâavoir abolie les anciennes. Les reconnaĂźtre est notre plus grande difficultĂ© car il nous faut saisir des sĂ©rialisations recomposĂ©es dâun passĂ© disparu dont nous ne conservons la mĂ©moire par lâĂ©ducation et lâinstruction ; que par lâappris, et cette mĂ©moire lĂ disparaĂźt petit Ă petit de lâ ne se devine pas au grĂ© de la rumeur, cela sâapprend, que nous soyons pour ou contre, car ils conditionnent notre existence, et ils nous servent de repĂšres pour choisir ce que nous allons nous permettre, et ce que nous voulons devenir, pour sortir de conflits dâanticipations mortels, pour allez vers une harmonisation au terme â Un libĂ©ralisme productiviste auquel nous participons souvent sans discernement qui modifie lâorganisation du travail et pĂšse sur notre personnalisation construction de la personne.Un libĂ©ralisme productivisteâŠPour rester dans la caricature, mĂȘme si lâon sâabrite derriĂšre lâoutil et la structure, la dĂ©cision de sa mise en Ćuvre reste humaine. Aussi, quand certains hommes nous expliquent quâune fois aux commandes dâune organisation productrice, cette humanitĂ© doit sâeffacer devant les exigences productivistes, nous avons conçu une espĂšce dâavorton androĂŻde cĂ©rĂ©bral » qui dĂ©cline toutes ses limites dâacteur social. Alors, quand certains avancent lâidĂ©e de gĂ©rer lâĂtat comme une entreprise, lâidĂ©e est clair, un systĂšme issu de lâhomme sera toujours insuffisant pour lui donner toute sa dimension si nous y restons soumis. Et ce nâest pas parce que nous remplacerons notre gestion sociale humaine imparfaite par une gestion comptable pseudo scientiste », pourvoyeuse de prĂ©textes Ă©goĂŻstes sĂ©lectifs, quâil en ira il est nĂ©cessaire de se comptabiliser pour lire notre activitĂ©, mais lâhistoire sociale a dĂ©montrĂ© que cette comptabilisation nâest pas suffisante en elle-mĂȘme pour couvrir tous les dĂ©sirs ce nâest pas sans incidence que de vouloir maintenir nos relations sociales Ă©motionnelles dans des critĂšres productivistes, car nous en arrivons et arriverions Ă dĂ©finir des anormalitĂ©s gĂ©nĂ©tiques comptables.âŠauquel nous participonsâŠNous participons dâautant plus Ă Ă©laboration du libĂ©ralisme depuis que nous avons atteint cette nouvelle condition de client intransigeant, condition qui nous a Ă©tĂ© vendue, et que nous portons souvent comme un masque flatteur et obscurantiste. En effet, autour des annĂ©es 1980, nous nous sommes orientĂ©s vers une production de renouvellement de biens de consommation, oĂč le slogan essentiel Ă©tait, que devant lâoffre extĂ©rieure Ă prix inconcurrensable » compĂ©titivitĂ© hors prix » , il fallait privilĂ©gier la qualitĂ© et le service les annĂ©es suivantes le terme client entre dans le langage des services et entreprises de lâĂtat, comme message clair dâun passage Ă une seule Ă©conomie de marchĂ©.⊠souvent sans discernementâŠFlatteur le client, car la notion de client roi valorise notre ego, car nous possĂ©dons un moyen de domination. Moyen qui conduit les plus sots, Ă faire subir parfois aux autres les humiliations et les frustrations que nous refoulons au quotidien, lorsque nous sommes nous mĂȘme soumis Ă la domination. Je paie moi, Monsieur jâexige, je veux, je ne tolĂšre pas, je suis le client, vous devez me respecter.Obscurantiste, parce quâen tant que client, il dĂ©nie toutes les vicissitudes quâils connaissent en tant que producteur eux-mĂȘmes des produits quâils vont consommer, et pousse Ă croire que tout leur est permis, ou que notre technologie nâa pas de parce quâil ne voit pas quâil conditionne par ses exigences les plus sottes, les conditions de travail, et de production qui sont les parce quâil condamne comme client la gĂȘne que lui occasionne la grĂšve qui a Ă©tĂ© lâoutil de son Ă©mancipation comme parce quâil gĂ©nĂšre des frustrations chez ceux qui ne peuvent disposer des moyens de se draper dans un nouveau statut social de client ne faut pas se mĂ©prendre sur mon propos. Je ne vise pas, et ne remets pas en cause lâutilitĂ© des organismes de dĂ©fense du consommateur devant les abus de certains processus de commercialisation, ni toute la connaissance quâils ont accumulĂ©e depuis, afin de formuler lâexigence dâun rapport qualitĂ© prix, et de traçabilitĂ© sur la provenance des produits, ou leurs consĂ©quences sur lâ absence de discernement modifie les relations de travail puisque câest le client, le statut de consommateur, qui devient la rĂ©fĂ©rence de classe sociale et non pas lâactivitĂ© professionnelle.⊠qui modifie lâorganisation du travailâŠCâest lĂ une orientation que nous retrouvons dans lâorganisation de lâentreprise, et qui concourt ou justifie bon nombre de rĂ©organisations, parce quâil faut ĂȘtre Ă la disposition du client, et oĂč, le mĂȘme salariĂ© rĂąle, parce quâil travaille tardivement, tout en se plaignant que son bureau de tabac ferme trop tĂŽt. Câest cette interaction lĂ , que mon propos publicitĂ© dâun distributeur de colis est Ă©difiante Ă ce sujet. On y voit un livreur sâinterrompre de manger pour livrer son colis. En clair lâhomme doit interrompre ses exigences humaines les plus fondamentales quand la productivitĂ© exige de satisfaire un client. Ce nâest lĂ quâun retour aux pratiques du passĂ©, pour ceux qui ont connu la pĂ©riode, toute proche, oĂč les besoins naturels des individus Ă©taient rĂ©glementĂ©s.âŠet pĂšse sur notre personnalisationâŠLâautre, beaucoup plus prĂ©occupante est lâorientation Ă une consommation dâidentification. Ici, cela consiste Ă personnaliser un produit de masse pour que le client se personnifie en lui, et transfĂšre ses Ă©motions sensorielles vers ce produit. Lâinverse dâune approche sensorielle des produits, et qui conduit Ă une individualisation dâune personnalisation illusoire. Ceci parce que la personnalitĂ© ne sâachĂšte pas, mĂȘme, si nous pouvons nous personnaliser Ă souhait de cette maniĂšre, si nous avons les moyens de disposer de biens ou de produits personnalitĂ© câest autre chose, câest une construction intellectuelle qui dĂ©finit lâexpression de caractĂšres qui se forgeront durant lâenfance et lâadolescence, pour façonner notre Moi, qui naĂźt du contact des autres, de son ego avec lâalter ego et le monde, et forcĂ©ment nous ressemblerons Ă quelquâun. Dâune part, par lâapprentissage culturel, dâautre part et surtout, parce que sâil ne nous Ă©tait pas possible de ne pas nous reconnaĂźtre dans lâautre innĂ©, et rĂ©ciproquement, avant mĂȘme le culturel, il nây aurait jamais eu de sociĂ©tĂ©. Et cela, nous y sommes conduits par cet Holisme », que jâai indiquĂ© insuffisant pour dĂ©finir ce que nous sommes, qui nous protĂ©gera malgrĂ© nous du suicide Ă©goĂŻste dĂ©fini par Durkheim. Pour autant, ces pĂ©riodes de construction de la personnalitĂ© nâĂ©chappent pas Ă cette tendance Ă se personnifier par la consommation. Si nous comprenons que la nourriture organique façonne notre ĂȘtre biologique, nous concevons moins que la nourriture technologique et sociĂ©tale puissent nourrir les schĂ©mas de notre conscience, et quâelle puisse sâinscrire dans des structures profondes de notre cerveau, et resurgir comme un rĂ©flexe Ă la sollicitation des quâelle marque ou non durablement le devenir dâadulte ?Je ne saurais lâaffirmer, mais je le crois fermement. Il y a tant dâenfants qui avant de reconnaĂźtre lâautre, reconnaissent dâabord le cartable ou le blouson. La difficultĂ© est de saisir la limite de la consommation langage de communication et celle identifiable dâune personnification consommation ostentatoire, consommation de signes sociaux. Si avoir un modĂšle de reprĂ©sentation de lâexpression de ses affects le pĂšre » est une nĂ©cessitĂ© pour construire son Moi. Contenir ce modĂšle dans une reprĂ©sentation instrumentale dogmatique ou mercantile est limitative, voire sclĂ©rosante sâil devient un handicap dâadaptabilitĂ© et de crĂ©ativitĂ© ou une source de rejet et dâexclusion de son semblable lâautre, lâHomme, lâespĂšce, car lâimage du pĂšre » est influençable. Elle se transforme facilement dans le marchĂ© de lâego en valorisation cette image du pĂšre » symbolique nâĂ©chappe pas aux lois de la physique ou de la biologie, elle peut coller Ă lâimage quâon lui â Le transfert dâĂ©motions vers des objets et un fait social, mais sa marchandisation est autre chose, un marchĂ©, contre lequel nous avons un transfert dâĂ©motions vers des objets et un fait social mais sa marchandisation est autre chose âŠLe transfert dâĂ©motions vers des objets nâest pas une nouveautĂ©. Toutes les sociĂ©tĂ©s y souscrivent et y ont souscrit. Câest grĂące Ă cela que nous les diffĂ©rencions. Mais la particularitĂ© aujourdâhui, câest dâĂȘtre devenu un marchĂ© qui peut pousser Ă croire que nous sommes ce que nous achetons, des si nous allons au bout du monde rencontrer des chinois encore en tenu Mao, ou des noirs avec encore un os en travers du nez, nous y croiserons obligatoirement un ĂȘtre dans lequel nous nous reconnaĂźtrons. Et cela, grĂące Ă tous les objets que nous utilisons qui sont un langage extĂ©rieur culturel dâidentification, authentique ou trompeur, humble ou ostentatoire, malgrĂ© le fait que chacun dâentre-nous dispose de critĂšres morphologiques diffĂ©renciĂ©s pour se peur de la ressemblance ou sommes nous incapable de nous reconnaĂźtre dans lâAutre ?Pourtant, nous sommes tous identiques, et ce qui nous diffĂ©rencie câest moins les critĂšres morphologiques qui ne sont lĂ que pour nous permettre de savoir qui est qui, que la probabilitĂ© infime de dĂ©velopper Ă lâidentique la mĂȘme rĂ©flexion, car les facteurs dâoccurrence qui lâa sous-tende sont infinis, dans une existence qui nous est unique, gĂ©rĂ©e par les mĂȘmes facteurs innĂ©s. Mais surtout que mon existence est unique. Ainsi, pour former une communautĂ© nous devons renoncer Ă une part de notre rĂ©flexion individuelle pour accommoder la part que nous avons en commun dans un fait social. De maniĂšre que le discours individualiste, sâil devait trouver sa plĂ©nitude, serait suicidaire. Ce discours nâest donc quâun marchĂ© publicitaire Ă lâintĂ©rieur dâun fait social. Il est nuisible, car il ne peut donner naissance Ă un autre fait social que par opposition au suicide dont il est porteur, plutĂŽt que de faire appel aux sommes de rĂ©flexions dont nous sommes dĂ©positaires si lâapprentissage culturel sait les dĂ©velopper, et qui peuvent ĂȘtre regroupĂ©es pour donner de nouveaux faits cela il faut comprendre que notre ego est lâinstrument qui nous permet de prendre la mesure de notre dimension physique, et dâaccumuler des informations sur lâautre et le monde pour exister dans lâimage dâun futur dynamique que notre conscience futur dynamique nous le dĂ©veloppons sous forme de marchĂ© la loi du marchĂ© », et exister nâest plus vivre mais se vendre.⊠un marchĂ© contre lequel nous avons un la dĂ©cision reste humaine, cela signifie quelle a Ă©tĂ© Ă©laborĂ©e par une rĂ©flexion, et câest cette rĂ©flexion crĂ©atrice qui est Ă la source de notre dĂ©veloppement. Notre regard seul ne nous permet plus de saisir la complexitĂ© de ce que nous sommes monde compris, mĂȘme si nous nous en diffusons, dĂ©crivons, montrons les regard passe par la rĂ©flexion et la comprĂ©hension, aujourdâhui X fois plus quâhier, et ceux qui ne sauront pas, ceux qui ne se seront pas suffisamment, instruits, Ă©duquĂ©s, cultivĂ©s, seront des aveugles Ă©triquĂ©s colporteurs de rumeurs et de superstitions. Et, le cas Ă©chĂ©ant, conduits par dâautres aveugles quâils se seront choisis ou Ă©lusAussi, entretenir la rĂ©flexion crĂ©atrice et lâĂ©largir tout au long de son existence, par un enseignement complĂ©mentaire permanent, ne peut ĂȘtre quâune exigence profitable, un recours pour exercer les dĂ©cisions et les choix, que nous effectuons tout en favorisant inĂ©vitablement le discernement et lâĂ©mergence dâidĂ©es crĂ©atrices ».45 â Il faut favoriser lâĂ©change autre que celui qui nous est proposĂ© au faut favoriser lâĂ©changeâŠNotre Ă©volution technologique permet pratiquement en restant chez soi, dâĂȘtre non seulement Ă lâĂ©coute du monde, mais Ă©galement par le tĂ©lĂ©travail, de mener une existence de reclus si nous le souhaitons. Nul ne peut contester lâapport des technologies de la communication et du transport individuel dans notre mode de vie au certains restreignent lâexercice de la rencontre de proximitĂ©, en offrant individuellement lâĂ©vasion virtuelle vidĂ©o, tĂ©lĂ©vision, et il est donc nĂ©cessaire de disposer dâespaces, de lieux de les ECPA favorisera cette rencontre de proximitĂ© oĂč nous prendrons le temps de lâĂ©change. Chacun lâutilisera en fonction de son statut social, un retraitĂ© et un sans emploi par exemple seront plus enclins Ă enchaĂźner derriĂšre, une activitĂ© quâun actif. En dehors de cela, parler, câest aller Ă la rencontre de lâautre et se dĂ©couvrir, non sans risque, celui dâapparaĂźtre comme lâon cela est moins grave que lâisolement frileux, ce qui ne retire en rien la nĂ©cessitĂ© de se constituer des havres de solitude ou des antres de mĂ©ditation qui sont Ă lâĂ©gal du besoin de se rencontrer.⊠autre que celui qui nous est proposĂ© par le notre Ă©change est globalement fixĂ© par les mĂ©dias, et en ordre croissant, plus particuliĂšrement par les informations tĂ©lĂ©visĂ©es 14%, la presse nationale 18%, la presse rĂ©gionale 31%, les magasines 34,5 millions de personnes, dont 17 millions sont des hebdomadaires de tĂ©lĂ©vision[115].Si les mĂ©dias, dans leur grande acceptation, demeurent notre source dâinformation pour percevoir cet Holisme » auquel je faisais allusion, cette information relate ce que les rĂ©dacteurs ont sĂ©lectionnĂ©, soit parce quâils entreprennent une croisade, soit parce quâils nous donnent les informations correspondant Ă notre image, et qui assureront dans les deux cas la vente ou lâĂ©coute. Câest le seul moyen de recevoir lâinformation de lâextĂ©rieur, que va certainement bouleverser lâ monde du travail fournit aussi son lot dâĂ©change, et Ă©galement la vie familiale. Mais ce sont lĂ , les Ă©changes du quotidien qui vĂ©hiculent des uns vers les autres ce que nous savons, pensons, faisons et oĂč nous apprenons aussi des uns aux autres. Ces Ă©changes sont le fruit de nos occupations, et ils sont incidents du milieu sociologique, câest lâĂ©change local morcelĂ© et hĂ©tĂ©roclite, câest la chaĂźne par "le bouche Ă oreille" pour le meilleur et le dans cet Ă©change local, la place incidente quâoccupe lâinformation avec lâextĂ©rieur et grande, puisquâelle rythme notre quotidien, mais pauvre en variĂ©tĂ© et en qualitĂ© de fait, pour ne pas ĂȘtre dispersive. Non parce que la variĂ©tĂ© et la qualitĂ© nâexistent pas, mais parce que nous consacrons peu de temps Ă toute forme de lecture, et de ce fait le souci financier impose une distribution de masse sĂ©lectivement telle maniĂšre que pour en disposer dâune autre il faut aller la - Quels effets la frĂ©quentation des ECPA aura au sein de la effets la frĂ©quentation des ECPA aura au sein de la la frĂ©quentation des ECPA quelles nouvelles relations pourront se dĂ©velopper dans la cellule familiale ? Je nen ai pas dâidĂ©es prĂ©cises, hormis quelques caricatures, comme celle des enfants qui, voyant leurs parents frĂ©quenter une Ă©cole », accepteront mieux la leur. Est-ce que ces derniers censĂ©s, un temps reprĂ©senter le Savoir et lâautoritĂ© de lâadulte, nâen seront pas affaiblis, amenuisant ainsi chez les enfants lâidĂ©e de leur enfance, puisquâils font la mĂȘme chose quâun adulte ? Nous rencontrons cette problĂ©matique avec les diffusions tĂ©lĂ©visĂ©es, dans lesquelles il est propose aux enfants de se comporter comme des adultes, et non pas de jouer aux parents seront-ils capables de fournir de meilleures rĂ©ponses ?Je ne sais pas ? Avoir la connaissance, comme je lâai dĂ©jĂ dit, ne rĂ©sout pas tout, par contre elle y contribue suivant l'application que nous en - Certains sâen excluront de sâen excluront de les actifs, il y a ceux qui pensent, fondĂ©s ou non, que ce quâils font ne peut ĂȘtre bien fait que par eux. Ils se rencontrent Ă tous les niveaux de la hiĂ©rarchie, mais plus particuliĂšrement chez les dĂ©cideurs. Lâabsence d'une banalisation de la dĂ©lĂ©gation de pouvoir et les excĂšs de la culture Ă©litiste, conduit cette classe Ă ne jamais sortir de son environnement, et Ă ne se cĂŽtoyer quâentre elle. Pourtant, celui Ă qui nous nâavons pas osĂ© dĂ©lĂ©guer une partie de nos pouvoirs nous remplacera un jour, et parfois sâavĂ©rera plus performant. Parfois aussi, câest lâopinion publique qui conduit Ă ne pas dĂ©lĂ©guer. Ce sont les travers de la notoriĂ©tĂ© notamment quand se prĂ©sente une situation dramatique pour laquelle il faut dĂ©signer absolument un responsable Ă donner en pĂąture aux Ă©motions, car il nâest pas possible de citer en justice une collectivitĂ© sociale impersonnelle. Tel lâexemple de la ministre de lâenvironnement face au naufrage de lâErika, devant rentrer de vacances, alors que son absence ou sa prĂ©sence nâavait aucune incidence sur les Ă©vĂ©nements. Son absence fĂ»t reçue et prĂ©sentĂ©e comme une faute portĂ©e Ă son discrĂ©dit ; et depuis lors cela nâa plus cessĂ© si bien que chaque responsable soigne son image comme un le traitement Ă©motionnel de lâinformation, lâopinion publique a une tendance Ă court-circuiter les structures administratives, peut-ĂȘtre avec des raisons qui tiennent Ă la dĂ©lĂ©gation de pouvoir, mais surtout aux dĂ©bats politiques théùtraux, en perpĂ©tuelle campagne Ă©lectorale discriminante qui est devenue lâart de communiquer, qui nourrissent notre raison Belges se racontent, quâen France pour vider une salle de confĂ©rence il suffit de rentrer, et de dire que lâon demande le prĂ©sident, et tout le monde sort. Câest toute la confusion que nous faisons avec le rĂŽle indispensable de lâĂ©lite, et sa reprĂ©sentation publicitaire ou théùtrale. La stupiditĂ© nâa pas de limite mĂȘme quand elle se pare du vocable de communication. Toute cette Ă©lite, de fait ou fabriquĂ©e, sâen exclura. Lâhumour mis Ă part, une coupure dans leurs activitĂ©s dĂ©bordantes serait aussi nĂ©cessaire quâĂ dâautres. Sauf quâils Ćuvrent dans un univers, oĂč se poser, câest un moyen sĂ»r dâĂȘtre englouti par un sâen excluront tous ceux qui se considĂšrent ĂȘtre guides confessionnels ou idĂ©ologiques, pour avoir lu dans des livres quâils Ă©taient instruits de la destinĂ©, comme dâautres lisent dans une multitude de choses, censĂ©es par leur structure, dĂ©tenir la dĂ©finition de lâ sâen excluront tous ceux, qui trouveront en eux une justification pour le incidences sur lâappareil productif ?Avant dâen arriver aux incidences prospectives des ECPA sur lâorganisation Ă©conomique, je vais consacrer un long dĂ©veloppement Ă cette Ă©conomie dont nous pouvons retirer quelques fiertĂ©s, mais qui est loin dâĂȘtre mature. Ceci, parce quâelle est empĂȘtrĂ©e dans des luttes idĂ©ologiques Ă©goĂŻstes qui lâenserrent comme un carcan au travers de tous ses symboles de domination et de puissance usant outrageusement dâun langage libertaire de façade, et de la raretĂ© comme moteur de la dĂ©sidĂ©rabilitĂ© produit de lâinnĂ© remaniĂ© par nos cultures. Je vais donc commencer par ce qui en est son symbole, lâ â Les symboles, tel lâor, qui repose sur deux constantes rĂ©unies dans un schĂ©ma abstrait collectif par ordonnance, mais avec des valeurs contestables par quâelles sont symbolesâŠPour cela, il faut faire lâeffort de regarder nos comportements Ă la lumiĂšre des symboles que nous poussent Ă composer nos motivations. Lâaffirmation de soi nous a conduit de tout temps Ă nous valoriser, et dans une trĂšs large mesure dans le but sĂ©duire, exprimer la sexualitĂ© humaine comme Ă©lĂ©ment de sociabilitĂ© et pour câest la monnaie qui nous permet de rĂ©aliser ces affirmations. Lâenvie qui nous pousse Ă dominer se matĂ©rialise aussi par lâattribution de valeurs subjectives Ă des matĂ©riaux, pourvu quâils soient rares, et que les hommes aient convenu de leur raretĂ© tel lâor, ou organisĂ© leur raretĂ©, la production de monnaie.âŠtel lâorâŠSâil doit y en avoir un symbole, lâor lâest par excellence. Pourtant, lâor, les pierres dites prĂ©cieuses, et tous les autres matĂ©riaux auxquels nous accordons cette valeur symbolique, pour toutes les raisons qui sont les nĂŽtres, nâont de valeur rĂ©elle, que par leurs propriĂ©tĂ©s physiques, et lâĂ©nergie que nous consacrons Ă leur les Ă©motions et les envies quâils suscitent nous font oublier que ce ne sont que des mĂ©taux ou des pierres, dont la valeur relative se situe dans la reprĂ©sentation symbolique que nous leur attribuons, et ce, afin de satisfaire nos dĂ©sirs dĂ©sidĂ©rabilitĂ©. Ainsi durant des siĂšcles les hommes se sont transmis un mĂ©tal qui ne leur servait technologiquement Ă rien contre toutes sortes de biens, tout simplement parce quâun autre dĂ©sirait sa possession pour affirmer sa puissance spirituelle, politique, individuelle. Aujourdâhui nous connaissons ce quâa Ă©tĂ© sa fonction la plus importante, ĂȘtre un moyen dâĂ©change, un moyen dâĂ©change qui convenait Ă lâillettrisme ambiant, car il fallait bien quantifier les Ă©changes et les reprĂ©sentations; de telle maniĂšre que dans lâHistoire de lâhomme, nous le retrouvons en partie comme le symptĂŽme dâune affection psychosomatique.⊠qui repose sur deux constantesâŠCette valeur symbolique repose sur deux constantes. Lâexistence de la matiĂšre, tel la rĂ©alitĂ© de lâor, un matĂ©riau aux propriĂ©tĂ©s physiques scientifiquement attestĂ©es, et lâĂ©coulement du temps car sans cette perception nous ne rechercherions pas des Ćuvres qui durent, car la nature a toujours fourni des matĂ©riaux organiques pour satisfaire Ă la symbolique. Ces deux constantes sont la caractĂ©ristique de lâĂ©volution de notre activitĂ© cĂ©rĂ©brale capable de conceptualiser toutes les Ă©motions comportementales de la perception dâune rĂ©alitĂ© abstraite observable, les dĂ©sirs, et de dĂ©finir Ă partir dâeux une organisation miniĂšre et mĂ©tallurgique, qui nous conduira jusquâĂ lâ câest cette fonction, cette aptitude Ă conceptualiser issue des perceptions Ă©motionnelles durables qui dĂ©termineront une valeur autre, et une fonctionnalitĂ© Ă un matĂ©riau qui nâa que le seul mĂ©rite de ses propriĂ©tĂ©s, et dont nous ignorons la motivation profonde qui peut tenir aussi bien Ă sa raretĂ© quâĂ ses piĂštres propriĂ©tĂ©s de rĂ©silience qui ont conduit les hommes Ă en faire lâusage symbolique que nous lui notre temps universel, mĂȘme sâil nâest quâune valeur conventionnelle mesurable par des outils horloge, montre, etc., est une partie intĂ©grante de la rĂ©alisation des dĂ©sirs ; mĂȘme sâil y a des variations que nous ne pouvons pas ressentir Ă notre Ă©chelle, qui sont Ă la fois infinitĂ©simales et mesurables,[116] et qui ne sont pas une mesure de durĂ©e de temps mais dâĂ©coulement du temps, qui dĂ©montre que le temps sâĂ©coule plus lentement Ă mesure que lâon se rapproche du centre de gravitĂ© terrestre. LâĂ©coulement du temps est donc reconnu pour les propriĂ©tĂ©s qui sont les siennes, donner une indication un mouvement » Ă notre quand il servira de mesure dâune activitĂ© de travail, il aura une autre fonction que simplement donner lâheure, il fixera le dĂ©roulement dâune activitĂ© et sa valeur horaire sera convertie en dans le cas de notre temps, il sâagit dâun Ă©vĂ©nement cosmologique que nous avons formalisĂ© en mesure et qui acquiert une valeur dans lâorganisation Ă©conomique, par la structure biologique de notre cerveau qui nous donne la capacitĂ© de concevoir un face Ă ce temps lâor câest avĂ©rĂ© conserver son Ă©clat car il durait au-delĂ des siĂšcles, et aprĂšs avoir reprĂ©sentĂ© lâĂ©ternitĂ© et lâembellissement signe de richesse, il devint aussi le bien dâĂ©change inaltĂ©rable.âŠreliĂ©es dans un schĂ©ma abstraitâŠMais, ce qui relie ces deux constantes, nâest que notre activitĂ© cĂ©rĂ©brale humaine Ă conceptualiser Ă partir des observations que nous parachevons par des dĂ©finitions. Ainsi, la confiance que nous accordons aux schĂ©mas qui dĂ©finissent la valeur satisfaisant nos motivations ne repose sur aucune thĂ©orie scientifique exacte, ils sont subjectifs, ils sont la rĂ©sultante de la relation constante de lâinconscient vers le conscient. Un conscient qui interprĂšte et dĂ©crypte son environnement gĂ©ographique, adapte ses reprĂ©sentations en fonction dâun apprentissage inĂ©galement dĂ©veloppĂ© en fonction mĂȘme de la richesse des territoires sur lesquels les hommes se sont parce que ces schĂ©mas sont issus de notre imagination, de notre capacitĂ© Ă associer des informations et ils correspondent Ă lâobservation et aux pratiques de nos relations communautaires culturelles.⊠collectifâŠAinsi, tout lâor que nous pourrions amasser ne donnera pas la richesse, sâil nây a pas un consensus collectif autour dâun comportement si lâun de nous possĂ©dait tout lâor de la terre, il mourrait pauvre, car la communautĂ© sâorganiserait en dehors de lui, parce quâelle choisirait une autre rĂ©fĂ©rence, et il nây a lĂ , rien de que lâoxyde aurique protĂšge lâor de lâaltĂ©ration, le fer mis au contact de lâeau donnera de maniĂšre constante de lâoxyde ferrique, que nous le souhaitions ou pas, et cela est scientifiquement dĂ©montrable rĂ©futable. Et si nous pouvons dĂ©montrer lâexistence du temps, la mesure que nous utilisons est avons donc Ă©laborĂ© des concepts communs par accords collectifs pour mesurer, ce qui est le produit de nos dĂ©sirs, les biens et les services.âŠpar ordonnancementâŠLes instruments de ces concepts se sont Ă©laborĂ©s et ordonnĂ©s au fil du temps de lâhistoire des hommes, et ont glissĂ© dans la mesure de nos rapports commerciaux, desquels nous avons fini par retenir un certain nombre de constantes comportementales liĂ©es Ă nos dĂ©sirs. Nous les avons codifiĂ©s grĂące au raisonnement mathĂ©matique, pour autant, lâusage des mathĂ©matiques ne leur confĂšre aucune exactitude hormis celle dâexister, et de servir de repĂšre, car il est nĂ©cessaire de faire la distinction entre les mathĂ©matiques qui quantifient des rĂ©alitĂ©s » physiques, et celles qui quantifient les qualifications suggestives de la les thĂ©ories Ă©conomiques qui en sont sorties ne mesurent que des valeurs relatives, que nous reconnaissons comme valeurs rĂ©elles, par nĂ©cessitĂ© dâordre, de perspective et de prospective. Ces valeurs, que nous reconnaissons comme rĂ©elles, sont des valeurs mĂ©thodiques adaptatives, et elles ne valent que pour autant que nous les reconnaissions comme telles, dans notre majoritĂ©, en fonction du siĂšge de leur formation, inconscient, conscient profond, et ses valeurs constitutives du fait social Ă©volutif sont contestablesâŠmais avec des valeurs contestablesâŠHeureusement quâil en est ainsi, leur absence de fondement scientifique, que nous nous efforçons dây trouver par nĂ©cessitĂ© dâordre, ne les rend donc pas immuables, elles sont donc contestables. Dans le cas contraire, cela signifierait que nous ne pourrions pas en changer, pas progresser, pas nous rĂ©former, ni lâAmĂ©rique est puissante, ce nâest pas parce quâelle a un bout de papier qui sâappelle le dollar, autour duquel la communautĂ© internationale sâest reconnue, comme monnaie de rĂ©fĂ©rence. C'est parce quâelle domine Ă©conomiquement par toute sa capacitĂ© productrice, dâoĂč dĂ©coule sa puissance militaire au travers des valeurs que nous admettons conventionnellement. Avant 1914 câĂ©tait l'Europe qui dominait Ă©conomiquement, avant la France et avant, et avant, et avant etc.âŠparce quâelles sont sont pourtant de ces valeurs relatives que dĂ©pendent nos valeurs sont adaptatives, parce quâelles rĂ©sultent, Ă la fois, de la raison sensible, et dâune connaissance plus approfondie des mĂ©canismes intelligibles de notre raison, apportĂ©e parce que nous connaissons de NOUS, dans les lois de lâunivers, que cette mĂȘme raison nous a permis de valeurs, que nous identifions par sensation Ă©motionnelle et dĂ©finissons et dĂ©signons par la raison, restent adaptatives, mĂȘme si nous retenons la thĂšse que notre existence est dĂ©terminĂ©e ou créée, parce que nous ne disposons pas pleinement du libre Ă dire, pour rester dans lâĂ©chelle des jugements valeurs, de la capacitĂ© dâapprĂ©cier toutes les probabilitĂ©s de valeurs possibles, qui excluraient lâincertitude, lâindĂ©terminĂ©, mais qui incluraient nĂ©cessairement celles du passĂ© connu, et celles du passĂ© que nous ignorons, et qui nous permettraient une vĂ©rification voilĂ , chaque jugement de valeur est le produit dâune Ă©motion, et nous ne disposons dâaucun outil pour mesurer la valeur rĂ©elle dâune Ă©motion, sauf dâen observer ses effets que nous rĂ©pertorions, et Ă partir desquels nous Ă©tablirons des Ă©chelles de valeur dĂ©signĂ©es par un vocabulaire restreint, et nous quantifierons le nombre de personne se rĂ©fĂ©rant Ă cette Ă©chelle de valeur pour la normaliser. Nous pouvons tout de mĂȘme mesurer lâintensitĂ© de certaines Ă©motions grĂące aux rythmes cardiaques par exemple, qui eux-mĂȘmes demeurent restreints par leur organisation biologique et sont limitĂ©s de ce fait. Lâamour câest toujours identifiĂ© au cĆur, bien que celui-ci nây soit pour rien, se bornant Ă apporter du sang Ă lâensemble des organes ayant rĂ©agi Ă une Ă©motion amoureuse. Ils ne pourraient pas pour autant servir dâĂ©chelle de valeur Ă toutes les nuances dont nos Ă©motions sont porteuses, pour pouvoir sĂ©rier de 0 Ă lâinfini celles de six milliards de personnes. Ainsi par soucis dâorganisation nous dĂ©terminons des normes par lâusage du vocabulaire et des mathĂ©matiques, et de fait, ces dĂ©terminants restent alĂ©atoires car ils peuvent se dĂ©placer sur une Ă©chelle de 0 Ă lâinfini, ils sont donc ne sert alors Ă rien dâespĂ©rer trouver une valeur marchande se dĂ©finissant par une loi invariable qui nous dispenserait de la responsabilitĂ© dâacteur afin dâapprĂ©cier nos agissements sociaux alĂ©atoires, issue de lâĂ©vĂ©nement culturel gĂ©nĂ©rĂ© par notre activitĂ© câest justement cette ignorance de toutes les probabilitĂ©s de valeurs qui est notre chance, cela, parce que, ignorant je ne sais jusquâĂ quand quâelles sont les justes valeurs, nous pouvons donc dĂ©cider dâen dĂ©finir dâautres, autant quâil nous plaĂźt dans le cadre du consensus communautaire, ou pouvons donc choisir dans les probabilitĂ©s connues, ou bien Ă©laborĂ©es celles qui sont encore indĂ©terminĂ©es, et que notre raison acculturĂ©e peut assembler, pour autant quâelle ait emmagasinĂ© plus de connaissance et plus de savoir, ce que nous appelons la crĂ©ativitĂ© ».Ainsi, lâhomme peut combiner autant dâĂ©chelles de valeurs quâil le veut, rĂ©pondant aux mĂȘme motivations ou Ă de nouvelles, notamment pour assurer sa diversitĂ© holistique, comme source dâĂ©change crĂ©atif ».Par consĂ©quent, il est indispensable de prendre conscience que nos valeurs sont relatives mĂȘme si nous devons nous y rĂ©fĂ©rer, et donc adaptatives que nous pouvons en changer. Mais, il est tout aussi important dâĂȘtre clairvoyant pour comprendre quâil est illusoire dâespĂ©rer atteindre, pour chacun des ĂȘtres humains, cette richesse absolue tant dĂ©sirĂ©e dans sa dĂ©finition actuelle, qui nâest que la rĂ©ponse au cueillir paresseux primitif inscrit dans la mĂ©moire de nos gĂšnes qui a parce quâelle nâexiste que comme espĂ©rance dâun dĂ©sir qui ne peut pas ĂȘtre atteint par tous, du moins Ă court terme sous la forme la plus rĂ©pandue. Une forme qui se traduit le plus souvent dans notre esprit, par avoir de lâargent et jouir seulement de la vie, ou tout simplement pour ceux qui autour de lâargent se sont Ă©laborĂ©s un pouvoir, le conserver, car il leur Ă©chappera un jour, comme il a Ă©chappĂ© Ă dâautres avant aussi, dâĂȘtre conscients que par espĂ©rance dâun dĂ©sir, que nous avons structurĂ© inaccessible pour tous en sa forme actuelle, nous maintenons des valeurs relatives qui nous accablent ou nous â La monnaie est une valeur fictive dont nousmesurons lâusage avec lâĂtat comme statisticien, et les libĂ©raux comme joueur de pipeau qui incitent Ă sâ monnaie une valeur fictiveâŠLe phĂ©nomĂšne le plus important est lâorganisation sociale qui sâest constituĂ©e autour de la monnaie depuis des siĂšcles. Si sa circulation a facilitĂ© le dĂ©veloppement Ă©conomique, sa raretĂ© est en mĂȘme temps un frein au monnaie nâen demeure pas moins une valeur relative fictive rĂ©glementĂ©e qui nâa de valeur que celle que nous lui dans un dĂ©sert, et devoir choisir entre un verre dâeau ou un compte bancaire opulent. Nul doute que câest votre raison qui lâemporterait sur votre envie de possĂ©der un compte opulent, et vous choisiriez le verre dâeau. Car câest bien notre existence qui est une valeur fondamentale, et non pas une ligne dâĂ©criture sur un compte, qui sans lui dĂ©nier son utilitĂ©, nâest pas une fin en dans la mĂȘme situation un tiers vous proposait le verre dâeau pour le prix de votre capital vous lâachĂšteriez. Si un autre tiers vous offrait ce verre dâeau vous le deux cas donnent un rĂ©sultat identique pour lâassoiffĂ©. Pourtant, dans le premier cas, la valeur de votre compte qui valait, Ă un cours imaginaire un million de litres dâeau, nâen vaut plus que celui dâun verre. Dans le deuxiĂšme cas vous ĂȘtes bĂ©nĂ©ficiaire de tout. Dans le premier cas vous ĂȘtes sauvĂ© mais ruinĂ©, dans lâautre, sauvĂ© Ă©galement et propriĂ©taire dâun capital qui ne reprĂ©sente rien parce quâil nâa pas Ă©tĂ© est rĂ©ducteur et exclusif des autres types de situations possibles, mais indique ceci Que lâĂ©ducation sociale de lâun et de lâautre nâengendre pas la mĂȘme Ă©chelle de valeur pour lâensemble des Ă©lĂ©ments qui composent la situation. Dâautres appellent cela la loi du marchĂ© », et ramĂšnent de ce fait nos relations sociales Ă un seul Ă©change commercial dĂ©nudĂ© de lâhumanisme que notre espĂšce a su dĂ©finir en thĂ©ories et quâelle a tant de mal Ă ramĂšne un long processus dâorganisation subsistantiviste[117] » Ă la plus stricte expression dâĂ©gocentrisme, comme la justification dâune impossibilitĂ© Ă concevoir dâautres types de relation Ă©conomique.⊠dont nous mesurons lâusageâŠHeureusement il nâen est rien, en crĂ©ant nos outils de mesures Ă©conomiques nous gĂ©rons au mieux nos relations socio-Ă©conomiques, et nous pouvons savoir si nous allons vers un excĂšs ou un autre. Comme ce ne sont que des instruments de mesure, ils peuvent ĂȘtre dĂ©cision appartient aux hommes, et non Ă quelques hommes, bien que ni les uns ni les autres ne soient une garantie quelconque sans un dĂ©bat de citoyens avertis. Sauf que la connaissance approfondie des thĂ©ories Ă©conomiques et monĂ©taires nâest connue que des spĂ©cialistes, et ceci limite de fait la capacitĂ© de comprĂ©hension des autres qui ne choisissent quâen fonction des thĂ©ories apologĂ©tiques exprimĂ©es, sans en connaĂźtre souvent les bases les plus simples, se fiant Ă leur bon sens commun », ou leurs intĂ©rĂȘts Ă©goĂŻstes dont chacun peut avoir une apprĂ©ciation de son Ă propos.Bon sens commun » qui nâest pas toujours dans ce domaine suffisant. Câest ainsi que nous avons des citoyens qui votent pour des gouvernements nĂ©olibĂ©raux, voire ultra libĂ©ral, et ensuite demandent Ă lâĂtat dâintervenir en toutes choses, de mener des politiques dĂ©cision de modifier ces instruments de mesure Ă©conomique est Ă©minemment politique. Câest aussi Ă travers eux le pouvoir du choix de leur destinĂ©e, et peu importe Ă qui ils en confient la gestion ce qui est un autre dĂ©bat. Il suffit que les dĂ©cisions ne leur Ă©chappent pas, et sâopĂšrent en connaissance de cause. Ce qui exige dây consacrer du temps que nous ne dĂ©gageons pas. Il nâest donc pas surprenant dâentendre autour de la monnaie et de ses thĂ©ories se dĂ©velopper des dĂ©bats pseudo scientistes, puisque nous sommes en pleines valeurs relatives et fictives qui sont la projection de nos fondamentaux besoins, se nourrir, sâabriter, copuler. Fondamentaux qui servent de justificatifs Ă une approche pseudo scientiste pour servir un dĂ©sir non moins clair, dominer, qui est lâĂ©troit Ă©gocentrisme que lâimage du pĂšre » mĂȘme imparfaite a tempĂ©rĂ©, et dont nous confions de plus en plus le rĂŽle Ă des systĂšmes la loi du marchĂ© » qui rĂ©gĂ©nĂšrent les impulsions que lâimage du pĂšre » a mis des siĂšcles Ă contenir, et qui nous laisse comme de naĂŻfs bĂ©ats devant la modification dâun certain nombre de valeurs socialisantes.⊠avec lâĂtat comme statisticienâŠDans le dĂ©bat Ă©conomique le rĂŽle de lâĂtat citoyen est toujours prĂ©sent, et il ne peut pas en ĂȘtre autrement. Pourtant, pour ceux qui considĂšrent que lâĂtat ne doit pas intervenir dans lâĂ©conomie, câest nier le droit dâintervention de la communautĂ© dans un secteur qui dĂ©termine son existence, et dâen fixer son orientation. Au-delĂ , câest dĂ©nier la relation qui existe, entre lâusage de biens et de services, et les modifications quâils entraĂźnent dans la sociĂ©tĂ©, au travers des pouvoirs Ă©conomiques qui sâexercent par leur entremise, câest le soustraire Ă la communautĂ© citoyenne pour le concĂ©der Ă des particuliers, quel que soit le mĂ©rite de ces lâĂtat citoyen joue aussi un rĂŽle important et obscur celui de collecteur dâinformations socio-Ă©conomiques. Pour jouer ce rĂŽle lâĂtat dispose dâinstitutions collectant toutes les informations, telle lâINSEE ou celles produites par la BANQUE de France pour les plus connues, sans lesquelles le monde Ă©conomique serait aveugle, et auxquelles, plus dâun entrepreneur se rĂ©fĂšrent, tant pour une apprĂ©ciation micro-Ă©conomique, que macro-Ă©conomique.⊠et les libĂ©raux des joueurs de pipeau, qui incitent Ă sâ les tenants de la suppression du rĂŽle de lâĂtat dans le domaine Ă©conomie ne manquent pas. Leurs justifications se fondent sur le laisser faire et le laisser passer », ou la loi du marchĂ©, sous-entendu les rĂšgles se fixeront dâelles-mĂȘmes. Ce qui est drĂŽle, si je puis dire, câest que les tenants de ce discours, quand ils parlent de lâorganisation politique de la sociĂ©tĂ©, mettent lâaccent sur lâimportance de notre sociĂ©tĂ© de Droit ». SociĂ©tĂ© dans laquelle chacun doit respecter les rĂšgles lĂ©gifĂ©rĂ©es pour prĂ©server la libertĂ© de chacun, sous peine de sombrer dans lâanarchie au sens de sans aucun ordre. Tiens donc, lâanarchie ?La loi du marchĂ© » serait donc en lâabsence de rĂšgles lâanarchie ?Non !Je crois quâil faut plutĂŽt entendre, la loi de ceux qui sauront sâorganiser Ă©tablir un ordre de fait pour ĂȘtre les plus forts. Cest comme cela quâil faut lâentendre, car câest comme cela que ça se loi du marchĂ© signifiant en lâespĂšce absence de lois lĂ©gifĂ©rĂ©es, mais pas absence dâun ordre, car alors câest lâordre du plus puissant qui sâimpose, voire lâordre de ceux qui commercent, celle du dominant ; pas du meilleur reproducteur capable dâassurer la survie du groupe, car nous ne sommes plus sous l'influence primitive de la sĂ©lection naturelle, mĂȘme si cette rĂ©gulation seffectue recomposĂ©e, mais celle du dominant phagocytaire, le dominant qui nourri le groupe pour mieux le dĂ©vorer. Et câest cette loi du marchĂ© lĂ , qui nous est souvent prĂ©sentĂ©e comme rĂ©pondant Ă une loi organique immuable naturelle moderne, une fatalitĂ© Ă accepter. Il nâen est heureusement rien, tout cela, ce nâest quâune forme dâorganisation commerciale, ne rĂ©pondant Ă aucun critĂšre scientifique, et dĂ©pendant seulement des valeurs relatives culturelles que nous accordons Ă nos relations sociales dâorigine biologique et nâempĂȘche pas la rĂ©alitĂ© des pouvoirs Ă©conomiques. Pouvoirs qui se construisent par le truchement des prises de participation, de toutes les sortes de fusions ou de concentrations de capitaux, qui ne sont que la mise en commun de leur capacitĂ© productrice ou dit mise en commun ? Jâai du me tromper de terme. Pourtant, leurs propriĂ©taires se rĂ©unissent collectivement dans des organisations internationales pour sâordonner. Je trouve cela amusant que des nĂ©olibĂ©raux capitalistes se rĂ©unissent collectivement autour dâune idĂ©e commune, et ainsi avoir une communautĂ© dâintĂ©rĂȘts. CommunautĂ© dâintĂ©rĂȘts quâils dĂ©nient Ă dâautres, en les traitant de dĂ©fense dâintĂ©rĂȘts corporatistes ou pouvons tenir les discours que nous voulons, ou sâamuser comme je le fais, cela ne fera pas disparaĂźtre la communautĂ© dâexistence qui est la nĂŽtre, quelles que soient les rĂšgles inĂ©galitaires que nous instaurerons, fĂ»t-ce en se regardant le nombril comme nous le pour cela que jâai tant insistĂ© sur le deuxiĂšme principe de la thermodynamique. Lorsque lâon a compris que lâon tend toujours vers le dĂ©sordre structurel, nous ne devons pas ĂȘtre surpris que tous les ordres que nous Ă©laborerons, que ce soit au nom du libĂ©ralisme ou autre, seront condamnĂ©s Ă se transformer. Pour deux raisons, lâune, parce que vivre dans lâordre que nous avons Ă©tabli le modifie de fait câest pour cela quâune mĂ©nagĂšre est toujours en train de ranger chez elle, ou ne serait-ce que par le renouvellement des gĂ©nĂ©rations dans lesquelles, Ă©videmment, lâancienne ne peut rĂ©percuter en totalitĂ© son ordre culturel » sur la nouvelle. Lâautre, parce que notre ordre culturel » fait partie de lâordre universel, et que cet ordre universel tend toujours vers le il devrait nous apparaĂźtre clairement que lorsque des hommes rĂ©clament au non du libĂ©ralisme leur ordre, ou dâautres un ordre pour leurs semblables, et que ceux-ci doivent lĂ©gifĂ©rer sans cesse pour maintenir les dits ordres, cela signifie au minimum que notre ordre culturel » repose sur des normes ou des rĂ©fĂ©rences dĂ©suĂštes. Toutefois, si nous ne pouvons pas dĂ©brouiller le dĂ©sordre » universel, nous pouvons nĂ©anmoins comprendre que nos organisations communautaires, que nous voulons ordonner, tendront au dĂ©sordre pour se rĂ©organiser, et ceci rend Ă©phĂ©mĂšres toutes nos constructions closes, qui plus est rend comprĂ©hensible la nĂ©cessitĂ© permanente de se rĂ©former, y compris rĂ©former nos idĂ©aux, et Ă©largir son horizon intellectuel. Ceci est un exercice pĂ©rilleux qui exige dâapprendre et toujours apprendre, dâapprendre et dĂ©sapprendre P .327.De ce fait, il faudra nous sĂ©parer de la notion de libertĂ© absolue » comme nous nous sommes sĂ©parĂ©s du temps absolu, dans un monde oĂč nous pouvons tout emprisonner mĂȘme la pensĂ©e, et regarder notre monde comme il est, sous condition, sous rĂ©fĂ©rence de notre le libĂ©ralisme a eu le privilĂšge de sortir les hommes du statut de sujet de sa MajestĂ© » et dâavoir de multiples facettes[118], il sâidentifie de plus en plus Ă un excĂšs de lâindividualisme Ă©goĂŻste. ĂgoĂŻsme des hommes attirĂ©s par la douce musique dâun libĂ©ralisme salvateur, et qui ouvre la porte au totalitarisme Ă©conomique la loi du marchĂ© financier, comme son antonyme le collectivisme soviĂ©tique a ouvert celle du despotisme dâĂtat, par la pensĂ©e ni lâun ni lâautre ne sont venus Ă bout de lâexclusion, parce que ce sont des systĂšmes exclusifs et quâils prĂ©conisent la raretĂ©. Lâun la raretĂ© Ă©conomique, lâautre celle de la pensĂ©e, sauf que le pseudo nĂ©olibĂ©ralisme[119] dâaujourdâhui câest dotĂ© des le libĂ©ralisme se veut le juge du monde au nom de lâhumanitĂ©, la sienne, celle du droit quâil sâest dĂ©fini, qui trouve ses limites dans la puissance des Ătats quâil juge ou dans ses propres paradoxes, tel celui dâavoir dĂ©fini le crime de guerre, comme si la guerre en elle-mĂȘme nâĂ©tait pas un crime ; ce qui conduit Ă lâindĂ©cence dâestimer que lâon peut tuer, pourvu que ce soit proprement, suivant les rĂšgles dĂ©finies par les ainsi quâayant dĂ©fini un tribunal international pour crime contre lâhumanitĂ©, il sây verra un jour assignĂ© lui-mĂȘme, pour pollution, non-assistance Ă peuple en danger, assassinat Ă©conomique, bref, de quoi changer le nom de la Terre pour lâappeler Prison. Non pas que lâintention ne soit pas gĂ©nĂ©reuse ou louable et nĂ©cessaire, mais on ne peut tout Ă la fois considĂ©rer quâil est inhumain de se livrer Ă la barbarie et soutenir que cela est une marche Ă franchir vers lâhominisation, sans oser dire que lâest tout autant la production de toutes les armes qui ne visent quâĂ la suppression de son semblable, et en rĂ©pression se livrer aux mĂȘmes comportements de maniĂšre plus douce pour quâils puissent ĂȘtre qualifiĂ©s dâhumain. Nous savons que lâidĂ©e de la mort est moins effrayante que la durĂ©e de la souffrance ou des humiliations qui y mĂšnent, et notre Ă©motion nous fera plus regarder comme insupportables les conditions qui y conduisent, car un Ătre torturĂ© crie, alors que sous une bombe il est anonyme, ce qui nous pousse Ă condamner les moyens plutĂŽt que les schĂ©mas culturels qui y prĂ©disposent. Et dans le cadre de lâhominisation, devrions-nous alors dire que la production dâarmes capables dâexterminations est une Ă©tape vers cette hominisation ? Ou bien ne pas y renoncer parce que nous ne pouvons pas nous passer des profits que leurs productions gĂ©nĂšrent et ne pas trouver dâemplois Ă ceux qui y contribuent. Surtout ne pensez pas que câest pour nous protĂ©ger dâĂ©ventuels agresseurs, car ceux que nous identifions comme tels aujourdâhui, câest lâoccident qui leur a fourni ces armes, ou donnĂ© les moyens techniques, pour se protĂ©ger eux aussi contre dâĂ©ventuels agresseurs qui nâĂ©taient autres que nous mĂȘme par pays interposĂ©. Câest un pas que nous ne franchirons pas car nos relations Ă©conomiques imposent de prĂ©server sa richesse, ses intĂ©rĂȘts Ă©goĂŻstes de la convoitise des autres, tout en se donnant les moyens dâune puissance militaire supĂ©rieure Ă celle que nous vendons pour sâautoriser dâaller la chercher chez les autres. Ainsi nous sommes en permanence dans une dichotomie du raisonnement qui nous a conduits Ă organiser, par des accords, lâart de sâentre-tuer, pour rĂ©glementer un Ă©vĂ©nement sociĂ©tal que nous jugeons irrĂ©versible, qui nous entraĂźne jusquâĂ estimer que ceux qui ne disposent pas des moyens de faire la guerre comme les puissants lâon dĂ©finit, deviennent des criminels, parce que les puissants savent quâen organisant la confrontation sur leur dĂ©finition de la guerre, leur puissance ne peut ĂȘtre vaincue. Ainsi un ordre qui se voulait rĂ©gulateur a fini par rĂ©gĂ©nĂ©rer la guerre totale qui touche les civils et que nous appelons terrorisme, qui se qualifie aussi dâarmes des pauvres ». Il sâagit moins, par une Ă©motion comprĂ©hensible de la qualification des consĂ©quences de justifier de lâhorreur des actes qui nâont rien Ă envier Ă ceux de la guerre, que de maintenir cette dĂ©finition dans lâillĂ©galitĂ© de son recours, car notre histoire regorge de terrorisme qui est devenu rĂ©volution avant de finir en armĂ©e rĂ©guliĂšre. Le respect de la vie comme pas vers lâhominisation, ne souffre pas de partage, mĂȘme si des atrocitĂ©s nous Ă©meuvent au point de dĂ©sirer la mort pour ceux qui les commettent, car impulsivement nous sommes aptes Ă la donner Ă tous les instants pour des raisons les plus insignifiantes qui ne sont rĂ©vĂ©latrices que dâune inadĂ©quation ou dâune nĂ©vrose plus profonde. Oser faire ce pas vers lâhominisation en dĂ©clarant la guerre comme crime contre lâhumanitĂ© est aujourdâhui impensable tant les intĂ©rĂȘts politiques, idĂ©ologiques, religieux, Ă©conomiques y sont Ă©troitement liĂ©s. Pour que cette voie se jalonne, il sera nĂ©cessaire de lâancrer dans le conscient profond de chaque Ătre qui naĂźt, et pour cela il nây a que lâĂ©ducation. Nous ne pouvons plus conserver ce vestige archaĂŻque de lâignorance culturelle, sâentre-tuer, et se dire Humain ; le plus difficile est de convaincre les hommes que cette aptitude nâest pas une normalitĂ© », mĂȘme si elle est le produit dâune rĂ©action Ă©motionnelle violente pour supprimer ce qui est perçu comme lâobstacle source de sa souffrance, dâautant plus que ceux mĂȘmes Ă qui vous expliqueriez ce point de vue seront prĂȘts Ă vous tuer comme obstacle hĂ©rĂ©tique Ă leur pensĂ©e. A moins quâun Ătat relĂšve ce dĂ©fie historique de lâhominisĂ© contre lâhomo sapiens, car il faudra bien un jour quâil y en ait un qui le il ne faut pas se tromper quand lâon nous parle de libertĂ©, dâĂ©volution ou de rĂ©forme de la sociĂ©tĂ©. D'ailleurs quand les libĂ©raux parlent le plus souvent de rĂ©formes, ce nâest pas pour rĂ©former lâorganisation libĂ©rale de telle maniĂšre que son organisation Ă©conomique soit moins gĂ©nĂ©ratrice de conflits, dâexclus, de violences, de barbaries, et donc des lois qui sâen suivent pour les rĂ©guler, mais de la suppression de ce quâils jugent reprĂ©senter un frein Ă la pĂ©rennisation dâun systĂšme du passĂ© qui leur assurait richesse et domination. Ils espĂšrent quâen le reproduisant dans le futur recomposĂ©, il leur garantira ce qui leur a assurĂ© dans le certaine maniĂšre ils se comportent comme les Romains qui, assurĂ©s de ce que leur avaient garanti leurs dieux dans le passĂ©, ne sâĂ©cartaient pas de leur rituel cultuel afin dâavoir leur futur garanti[120]par eux. Nous savons ce qui en reste mĂȘme si cela a durĂ© plus de mille ans, car leurs dieux nâont pu arrĂȘter lâĂ©volution, le mouvement, la marche en avant de lâunivers dans lequel nous sommes inscrits. Nous, nous avons cinq cents ans de libĂ©ralisme Ă©conomique et en cinquante ans nous nous sommes dotĂ©s aussi des moyens de dĂ©truire la vie sur la ainsi quâil faut pouvoir dĂ©celer parmi tous ceux qui nous proposent une rĂ©formation action de rĂ©former pour sâinscrire dans le mouvement universel, ceux qui nous proposent une rĂ©formation pour maintenir dans le futur un systĂšme libĂ©ral du passĂ© qui les sert ; mĂȘme si nous sommes dans une sociĂ©tĂ© dite, postindustrielle et que le profit se rĂ©alise plus autour du produit par les besoins quâil a fait naĂźtre et par la rentabilitĂ© du retour dâinvestissement que cela a de comprendre cela le systĂšme libĂ©ral ou la civilisation libĂ©rale mourra, comme est morte la civilisation romaine pour ne pas vouloir accepter que lâexistence est un mouvement », et que nous ne pouvons pas reproduire dans le futur » le passĂ© qui nous rassure. Sauf que cela demande des gĂ©nĂ©rations si ce nâest des siĂšcles, alors que notre vue se rĂ©trĂ©cie sous le dĂ©sir du gain rapide qui gĂ©nĂšre une incertitude Ă©conomique, qui raccourcit le champ de vision de certains de ses acteurs, en gĂ©nĂ©rant une inquiĂ©tude lĂ©gitime qui les conduit Ă se replier dans leur Ă©goĂŻsme comprĂ©hensible, le plus souvent guidĂ© par leur ignorance, face Ă la complexitĂ© du monde qui sâest fait jour grĂące Ă la lâhomme pour donner le meilleur de lui-mĂȘme a besoin dâĂȘtre assurĂ©, mĂȘme si câest pour conquĂ©rir lâincertitude, et sâil doit en permanence se rĂ©former pour suivre le mouvement », puisque le passĂ© meurt et que seul son souvenir reste Ă©ducatif, il faut quâil puisse espĂ©rer y trouver une meilleure existence, et non des exclusions ; de telle maniĂšre que le passĂ© serve Ă construire les reprĂ©sentations des futurs possibles sans que lâincertitude ne lâoblige Ă se recroqueviller sur ce ne pouvons donc pas faire lâĂ©conomie de la nĂ©cessitĂ© de nous interroger Ă savoir si notre organisation libĂ©rale permet aux hommes dâĂȘtre assurĂ©s ?Et bougrement se mĂ©fier des joueurs de pipeaux dont chacun connaĂźt lâ LâappĂąt du gain reste-t-il lâadversaire de la dĂ©mocratie ?LâappĂąt du gain reste-t-il lâadversaire de la dĂ©mocratie ?Certainement sâil conduit Ă rĂ©duire le rĂŽle de la sociĂ©tĂ© civile et celui de lâĂtat. Car je ne vois pas comment en rĂ©duisant tout ce qui reprĂ©sente un coĂ»t de coexistence sociale, et ne le faisant supporter quâaux citoyens en rĂ©duisant dans le mĂȘme temps leur pouvoir dâachat, il serait possible dâassurer le fonctionnement dâune sociĂ©tĂ© civile et les services publics, sans devenir les vassaux de seigneurs en tout en rĂ©sultera que les citoyens nâayant pas suffisamment de revenus pour remplir ces fonctions civiles ou vouloir le faire, renoncerons Ă ce que nous soutenons ĂȘtre le plus cher, la capacitĂ© dâagir », ou la libertĂ© dâagir ».Si jâai prĂ©sentĂ© la loi du marchĂ© », comme signifiant, absence de lois Ă©tablies, jâai Ă©galement indiquĂ© que ses partisans sâorganisaient, pour en dĂ©finir, de fait, dans les relations mondiales, car les marchĂ©s nationaux se sont structurĂ©s internationalement au fil de leur ne vivons donc pas dans une Ă©conomie dĂ©structurĂ©e, bien au contraire, et le discours sur la loi du marchĂ© » signifie aussi, laissez-nous faire dans la structure autour de laquelle nous voulons organiser le marchĂ© ». Structures conditionnĂ©es par la concurrence des coĂ»ts de production et des taux de rentabilitĂ©s crois que nous oublions toujours que lâhomme culturel que nous avons dĂ©veloppĂ© nâest pas une espĂšce dĂ©mocratique, sur ce que nous connaissons de son histoire. Lâexigence de vivre en commun nâemporte pas la dĂ©mocratie de fait, mĂȘme dans une consĂ©quence de quoi, il est peu probable que ses organisations le seront, mĂȘme si elles en portent le nom. Câest pour cela que lâentreprise nâest pas une organisation dĂ©mocratique non plus, et quâil persiste une confusion entre libertĂ© dâentreprendre, et celle dâexploiter son semblable, lâune nâentraĂźnant pas obligatoirement lâautre, le tout dĂ©pend des rĂšgles que nous instituons. La dĂ©mocratie emporte de fait que les citoyens aient une connaissance avertie du fonctionnement de lâensemble de ses relations dans nos sociĂ©tĂ©s la plupart du temps ils nâen ont quâune connaissance caricaturale qui se rapproche plus du slogan publicitaire, car il nây a pas dâĂ©ducation gĂ©nĂ©rale en ce sens, de maniĂšre que, pour lâimage, pourvu que le slogan du flacon quâon leur vend soit beau, peu importe quâĂ lâintĂ©rieur il y ait de la piquette. De telle maniĂšre que tous nos rĂ©publicains fier de leur slogan, nâont oubliĂ© quâune chose câest que la rĂ©publique a fondĂ© ses bases sur lâĂ©ducation nâoublions pas de dire aussi que le mot libertĂ© » sous-entend un choix. Or en Ă©conomie il nây en a pas, puisquâil nây a quâune seule source de richesse, la production de biens et de services. Une richesse dont le dĂ©tenteur fera un usage Ă©goĂŻste, ce qui permet de comprendre que les postulants Ă cette richesse se rĂ©fĂ©rent si souvent aux services de lâĂtat citoyen comme rĂ©gulateur ou au contrat pour se la rĂ©partir. Un contrat qui nâa de valeur que sâil est en mesure dâopposer au pouvoir financier, un pouvoir de classe, parfois tout aussi Ă©goĂŻste, car le contrat de grĂ© Ă grĂ© dans le domaine des relations salariales nâest quâune duperie, parce quâil ne peut pas Ă lui tout seul ĂȘtre un contrepoids au pouvoir financier. Câest pour cela que le contrat collectif est le plus capable de prendre en compte des intĂ©rĂȘts communs ou corporatistes, et fixer des seuils Ă partir desquels le contrat de grĂ© Ă grĂ©, acquiert une rĂ©elle consĂ©quence, le choix des instruments de mesure qui vont rĂ©guler les intĂ©rĂȘts Ă©goĂŻstes de lâentreprise et des citoyens, et qui les Ă©dite, revĂȘt tout son importance pour se rĂ©partir ou crĂ©er la richesse donnant Ă la sociĂ©tĂ© civile et Ă lâĂtat citoyen la libertĂ© dâagir », faute de quoi leur insuffisance ou leur disparition est un danger pour la dĂ©mocratie. Cette insuffisance pousse les citoyens Ă la tendance actuelle Ă rĂ©clamer la suppression des impĂŽts ou des prĂ©lĂšvements en direction de Ătat, tout en lui rĂ©clamant des services, des aides, et des solutions aux phĂ©nomĂšnes dâexclusions, cela en lui ayant restreint sa capacitĂ© dâaction par le certaine façon nous organisons lâimpuissance de lâĂtat et nous nous plaignons dâelle, sauf pour les tenant dâun nĂ©olibĂ©ralisme pour lequel ce choix est - Y aurait-il une loi invisible du marchĂ© ?Y aurait-il une loi invisible du marchĂ© ?Comme le principe essentiel du libĂ©ralisme repose sur un comportement rationnel des individus dans un ordre naturel », cela exclurait de fait la capacitĂ© altruiste de lâhomme. Ce que dĂ©ment toute lâactivitĂ© associative, et ce, notamment, lorsquâelle tend Ă sâentraider, et quâelle est donc gĂ©nĂ©rĂ©e par un comportement collectif dâintĂ©rĂȘts identificatoires » issus dâun dĂ©veloppement culturel, par opposition Ă lâaltruisme instinctif qui concerne la cellule familiale. Plus gĂ©nĂ©ralement, ce sont les comportements identifiĂ©s par le patriotisme des citoyens de lâEtat nation, qui sâapparente au suicide altruiste, je prĂ©fĂšre celui issu de lâaction caritative ou de solidaritĂ© et en Ă©conomie les minimums vitaux ou le indique aussi, que contrairement Ă lâidĂ©e qui sâest rĂ©pandue, câest la loi du marchĂ© qui doit fixer les rĂšgles », comme si une main invisible dĂ©finissait cette loi, cette loi câest NOUS. NOUS dans la contestation de lâimage du pĂšre » quand il se veut oppresseur plutĂŽt que guide, totalitaire plutĂŽt que dĂ©mocrate je le souligne dans mon exemple P. 189, lâeau restera de lâeau, lâhomme un homme, et la loi du marchĂ© » ce que nous en toutes nos valeurs respectives Ă©volueront, non seulement dans lâordre universel, mais aussi suivant lâusage que nous en ferons, parce quâelles sont des valeurs relatives assujetties Ă la vision de nos dĂ©sirs, et des comportements sociaux qui en bien que lâeau, dâun bien libre, est devenue un bien lire notre coexistence nous qualifions nos comportements, altruisme, Ă©goĂŻsme, individualisme ou collectivisme, et nous en faisons des entitĂ©s qui les conditionnent. Nous allons mĂȘme utiliser ces entitĂ©s pour nous dĂ©culpabiliser dâ ainsi que, sâil est nĂ©cessaire dâĂ©tablir des normes pour mesurer notre activitĂ© coexistante, par exemple la richesse, la pauvretĂ©, nous finissons par admettre que si quelquâun et pauvre ce nâest pas de notre faute, câest parce quâil nâa pas correspondu aux normes Ă©tablies. Cela, tout aussi naturellement que nous avons acceptĂ© que lâeau devienne un bien rare. Pourtant hier il y avait des points dâeau potable libre, et aujourdâhui chacun doit la payer ou la mendier sâil nâa pas de revenu. Est-ce la main invisible ? Je dirais plutĂŽt que cette main, câest notre dĂ©sir de bĂ©nĂ©ficier du confort de sa distribution, et notre activitĂ© polluante qui en a fait un bien rare, mĂȘme dans les pays oĂč elle est abondante. Si des compagnies vendent des graines dâOGM qui ne se rĂ©ensemencent pas, je ne crois pas non plus, quâil sâagisse lĂ dâune loi invisible du marchĂ© qui les guident, pas plus celle qui laisse se dĂ©velopper lâĂ©pidĂ©mie du Sida en toute connaissance de cause. Bien sĂ»r nous ne pouvons pas rĂ©sorber techniquement tous les maux de la planĂšte, mais contenir par exemple lâassistance pharmaceutique abondante, et lâorganisation des soins dans une structure seulement de marchĂ©, sâappelle clairement faire du profit sur le marchĂ© de la souffrance et de la mort ; câest autre chose quâen percevoir un revenu pour les services qui sont dispensĂ©s. Il nây a rien de dĂ©sobligeant Ă le dire, sauf dâavoir peur des mots, car souffrir et mourir est notre destinĂ©e. Que ces industries et structures de soins lâamĂ©liorent me semble une Ă©vidence, sauf quâĂ sâinscrire dans une structure libĂ©rale de rapport financier sur retour dâinvestissement, conduit Ă ne privilĂ©gier que ce qui est rentable, qui entraĂźneraâŠ. pouvez Ă©crire la suite de quelques opinions que vous soyez, et vous verrez que ce nâest pas une main invisible qui vous Papiers pour papiers monnaie.Papiers pour il serait absurde de refuser lâĂ©vidence, nos motivations sont porteuses de crĂ©ativitĂ© ». Il serait Ă©galement absurde dâopposer rĂ©flexions et motivations. De cette interaction nous gĂ©nĂ©rons des valeurs adaptatives qui sont souvent muselĂ©es ou modifiĂ©es par notre culture. Cette mĂȘme culture dont nous dĂ©veloppons le plus souvent le particularisme destructeur, par le souci dâidentification du groupe. Nous nous laissons aller par-lĂ Ă nos penchants archaĂŻques de rivalitĂ©s culturelles, dâaffrontements en tous genres, de compĂ©titions pour les pour cela, que dans notre culture nous avons acceptĂ© le concept, le travail donne accĂšs Ă des bouts de papiers » argent/monnaie. Papiers sans valeur rĂ©elle, autre que celle du concept qui sây pouvons donc de la mĂȘme maniĂšre accepter lâidĂ©e, le concept, quâaller sâinstruire procure ces mĂȘme bouts de papiers », pourvus quâils accomplissent leur fonction nâaurons rien fait dâautre que de dĂ©velopper un â Mais pour cela je lâai dĂ©jĂ Ă©crit il faut un capital capital bout de papier derriĂšre lequel il y a tout le pouvoir politique que nous lui confĂ©rons, au-delĂ de sa seule fonction de moyen dâĂ©change. Celui qui le possĂšde est puissant, celui qui le dĂ©sire est soumis, et il faut ajouter les rĂȘves quâil suscite, y compris le rĂȘve de ceux qui voudraient bien modifier sa rĂ©partition, mais qui espĂšrent en un renversement du destin Et si je modifie un processus qui peut me rendre puissant » ? Pourtant, du pouvoir rĂ©galien de battre monnaie, nous sommes passĂ©s Ă une organisation qui enverrait en prison pour escroquerie, tout particulier qui sây livreraient. Organisation du pouvoir des banques dâĂ©mettre de la monnaie, en prĂȘtant de l'argent quâelles nâont pas, sous rĂ©serve quâelles se garantissent auprĂšs de la banque centrale, et que tout le monde ne la convertisse pas en de la monnaie pas merveilleux la confiance ?Nâest-ce pas la le sommet de la crĂ©ativitĂ© » ?Au dĂ©but les hommes nâavaient rien. Ils créÚrent, le troc, puis la monnaie mĂ©tallique, puis fiduciaire en papier normalisĂ©, puis scripturale, un peu dâencre sur un bout de papier, demain une puce, autant dire plus ! Un capital confiance dans une valeur fictive qui ne vaut que par la crĂ©dibilitĂ© du fonctionnement de sa structure, et qui constitue un paradoxe, car elle rĂ©duit le capital confiance des hommes entre pour conserver cette valeur fictive qui permet dâespĂ©rer ĂȘtre rentier, les hommes regardent leurs semblables comme de potentiels voleurs », et avec cela nous ne craignons pas de nous qualifier dâĂȘtres civilisĂ©s. Bien des auteurs se sont penchĂ©s sur ce thĂšme quâest-ce ĂȘtre civilisĂ© ? Je crois que nous le saurons le jour ou nous pourrons tourner le dos Ă nos semblables sans arriĂšre pensĂ©e, parce que quelles que seraient les pensĂ©es quâils auraient, ou que nous aurions, nous pourrions nous faire confiance. Notre intelligence a lĂ un dĂ©fi de taille Ă relever, avec le paradoxe d'avoir la nĂ©cessitĂ© de mentir par sociabilitĂ© et par protection. Jâai dit paradoxe, la mĂ©canique quantique ne nous apprend-t-elle pas que les paradoxes se rĂ©solvent par lâanalyse de lâinformation qui les constituent. Nous serait-il donc impossible dâappliquer son enseignement Ă nos images mentales, et trouver la distorsion dâinformation qui fait que lâimage de la confiance dans un systĂšme vicie son reflet chez ceux qui lâon dĂ©fi nâest pas impossible, si grĂące Ă la science et Ă lâĂ©ducation nous pouvons nous dĂ©couvrir tel que nous sommes, en tant quâĂtre, et dans la complexitĂ© de nos relations humaines. Alors peut-ĂȘtre, la confiance remplacera le mensonge socialisant ou protecteur, individuel ou devrait peut-ĂȘtre commencer par lâenseignement de lâhistoire de France qui abreuve les enfants de mensonges ou de lĂ©gendes quâils vĂ©hiculeront adultes comme images incidentes certaines, sâils nâont pas la chance de prĂ©parer un professorat ou devenir historien. Par exemple notre bon roi Saint-Louis si rĂ©putĂ© pour sa justice qui a Ă©tĂ© un pourfendeur dâhĂ©rĂ©tiques, et qui a fait porter la rouelle aux juifs il est inutile que je prĂ©cise pourquoi jâai choisi cette image etc. etc.âŠ. Je ne crois pas que la nĂ©cessitĂ©, dâavoir des repĂšres historiques temporels affectifs dâidentitĂ©, impose la tromperie, et le mensonge politique. Cette idĂ©alisation de personnages ou de tous les autres Ă©vĂ©nements qui certes ont construit notre pays, engendre des reconstitutions mĂ©diĂ©vales certainement touristiques, mais caricaturales et erronĂ©es, et leur donne une fausse identitĂ© de ce quâils sont. Cette idĂ©alisation souvent Ă©rigĂ©e en symbole pĂ©trifiĂ© constitue une entrave Ă la reconstruction inĂ©vitable des individus et des sociĂ©tĂ©s dans lâexistence, et devient aussi source de fascisme gĂ©nocidaire », qui est la part violente exĂ©crable de notre agressivitĂ©, qui trouve dans les images quâon lui prĂ©sente le fermant pour sâen justifier de nouvelles qui donnent cours Ă une violence sous-jacente. Pour Ă©voquer et illustrer cette indispensable relation de confiance, et pour ne fĂącher personne jâai pris une image de notre lointain passĂ©. A vous de lâactualiser, et vous comprendrez pourquoi encore aujourdâhui des hommes se rĂ©unissent sous Jeanne dâArc, dâautres sous la faucille et le marteau[121], et suivant vos convictions vous pouvez allonger la liste, comme il en est de mĂȘme dans chaque la confiance ne se dĂ©crĂšte pas, elle se construit, elle est donc accessible Ă notre intellect, que ce soit Ă lâoccasion de nos relations sociales ou Ă©conomiques. Et dans ce dernier domaine, comment voulez vous faire confiance dans une organisation productive, dont le but affichĂ© est de nous rĂ©munĂ©rer le moins possible, voire se passer de nous, de sâĂ©riger en organisations Ă©gocentriques. Pourtant aussi imparfaites soient-elles, tous les hommes affichent le mĂȘme respect de la vie sous diverses dĂ©finitions, mais avec des valeurs et configurations qui les conduisent Ă vouloir si auto supprimer en leur cela sans conflit nâest possible que si derriĂšre, il y a un projet de sociĂ©tĂ© pour lâespĂšce humaine qui dĂ©veloppe la confiance â Y a-t-il des valeurs rĂ©elles » ou scientifiques et des valeurs relatives ? Dans un marchĂ© qui Ă des limites, et un surcoĂ»t, oĂč le client achĂšte le tout, une valeur sociale, comme il achĂštera les ECPAY a-t-il des valeurs rĂ©elles » ou scientifiques âŠDe valeurs rĂ©elles », il nây a que les valeurs physiques des produits et celles des matĂ©riaux, quand nous les utilisons ou les transformons, et celle de leur valeur dâusage intrinsĂšque », ensuite notre capacitĂ© de travail Ă©nergĂ©tique, aussi bien pour penser quâagir. Pourtant, nous avons maintenant les moyens de dĂ©finir une valeur du travail scientifique » nĂ©e de lâobservation de la rĂ©alitĂ© » des mĂ©canismes physiques. Sauf que dans un cheminement dynamique semĂ© dâembĂ»ches idĂ©ologiques et Ă©goĂŻstes, oĂč nous avons donc dĂ» Ă©laborer, livrĂ© Ă notre seule apprĂ©ciation Ă©motionnelle, dâabord des valeurs subjectives dont certaines reposent sur des conventions universelles, et dâautres qui fluctuent suivant nos jugements qualitatifs. Cela avant dâen arriver Ă dĂ©finir des valeurs scientifiquement rĂ©futables, mĂȘme si ces donnĂ©es scientifiques ne sont pas absolues, elles permettent de stabiliser la qualitĂ© de nos jugements issus de notre conscience dans lâanalyse du moi dâautrui et du monde dans nos relations de lâhomme au travail.âŠet des valeurs relatives ?âŠToutes les valeurs que nous dĂ©finissons ne sont donc que des valeurs relatives fictives rĂ©gulant nos comportements sociaux, les Ă©changes et la rĂ©partition de la raretĂ© des ressources, issus de notre raisonnement, elles ne sont donc pas intangibles. Elles peuvent ĂȘtre rĂ©interprĂ©tĂ©es Ă un moment ou un autre. En ce sens, elles sont la transcription, la figuration, la copie de nos motivations aux effets concrets biens et services, elles sont lâexpression de principes gĂ©nĂ©raux, dâorientations reconnues par la collectivitĂ© comme fondamentaux aux vues de ses prĂ©fĂ©rences ou croyances, et au demeurant la rĂ©flexion peut sâexercer sur lâexemple dâune personne qui offre Ă une autre une bague en dĂ©sir de sĂ©duire nous a fait produire un bien pour cela. Câest la satisfaction dâun comportement social ou biologique sâil conduit Ă lâaccouplement, sĂ©duire par sa richesse, par lâĂ©clat comme une pie et tant dâautres. Câest aussi la contrainte dâavoir dĂ» extraire ses constituants de base, et la produire. Il a fallu pour son extraction dĂ©velopper les infrastructures, les techniques et les enseignements spĂ©cifiques aux exploiteurs de gisements aurifĂšres, il a fallu aussi Ă©laborer le mĂ©tier dâorfĂšvre. Il a fallu aussi assurer la rĂ©alisation et distribution de tous les Ă©lĂ©ments concourant Ă son Ă©laboration, et enfin il a fallu organiser sa distribution de produit fini. Jusque lĂ , nous sommes dans des activitĂ©s concrĂštes, dont la capacitĂ© crĂ©atrice, et les efforts consentis pour la production la force de travail de la bague peuvent se mesurer. Nous les mesurons en temps, mais câest le temps de travail que nous mesurons, et nous savons aussi que notre temps est un temps conventionnel. Lâhistoire de son Ă©laboration aurait tout autant pu nous conduire Ă considĂ©rer quâune saison Ă©tait une annĂ©e, et que la journĂ©e ne comportait que douze la valeur dâusage » de la bague est Ă©gale au temps de travail consenti pour sa de lĂ , la valeur dâusage de la bague est une valeur relative, et nous pourrions tout aussi bien mesurer le temps de travail en Ă©nergie consommĂ©e, et cela correspondrait plus Ă la nature de lâeffort consenti pour effectuer un travail ; de telle maniĂšre que ce qui Ă©tait impossible au siĂšcle dernier, par la science et la technologie lâest aujourdâhui, il suffit de lui ouvrir la en regardant un bilan nous pourrions transformer tous les contenus de ses comptes de classes, en temps de travail, puis le temps de travail en Ă©nergie calorie, conventionnellement une calorie Ă©gale 4,185 joules, et fixer une valeur monĂ©taire universelle du le dĂ©sir de sĂ©duire ?Le dĂ©sir de sĂ©duire est le coĂ»t de production de la bague temps/travail, auquel sâajoute la valeur dâutilitĂ© demande, plus la valeur de la raretĂ© disponibilitĂ© du produit, plus la plus value bĂ©nĂ©fice.Par consĂ©quent, quand nous crĂ©ons un produit, nous fabriquons sa valeur intrinsĂšque en dĂ©finissant des valeurs relatives, qui ne dĂ©pendront que de nos comportements vĂ©cus, et de la subjectivitĂ© qualitative de notre conscience ou esprit, Qualia.[122]C'est pourquoi, notre Ă©conomie nâa rien de scientifique, et ne repose que sur lâĂ©tude de nos comportements sociaux, Ătude que nous effectuons au travers de ce que nous avons appelĂ©, les sciences lâor symbolisant la puissance ou la prĂ©voyance, ne repose sur aucune valeur rĂ©elle. Il acquiert seulement une valeur relative, qui ne repose que sur le dĂ©sir collectif dâen possĂ©der, et de sâen disputer lâobtention par tous les moyens, car sa symbolique est culturellement ancrĂ©e, et se perpĂ©tue socialement au travers des cellules parce que sa valeur dâutilitĂ© historique repose sur lâerreur culturelle, de la reprĂ©sentation spirituelle de lâhomme Ă lâobjet, et ainsi dâavoir cru quâil avait une valeur rĂ©elle aux yeux des dieux.âŠdans un marchĂ© qui a des limitesâŠOr, si sa beautĂ©, son rĂŽle religieux et sa raretĂ© ont fait de lâor un symbole, et un Ă©talon monĂ©taire pour assurer un certain dĂ©veloppement Ă©conomique, sa raretĂ© a Ă©galement fixĂ© les limites du dĂ©veloppement que lâon peut en attendre comme agent de lâexpansion rĂ©fĂ©rence comme agent dâexpansion a pris presque fin en 1944 par l'accord Bretton Woods qui instaurait la rĂ©fĂ©rence Dollar comme seule monnaie convertible, puis en 1971 aux accords du Smithsoniam Instituts. Cette valeur relative sociale dâĂ©change ne fluctuera donc plus, quâau travers de lâoffre et la demande, comme valeur refuge dans le marchĂ© libre de lâ au moins un cas oĂč lâusage de la raretĂ© a atteint ses limites. Et comme le marchĂ© des riches se fait entre riches il porte en lui ses limites quâil atteindra.âŠet un surcoĂ»t âŠQuelles incidences ont sur la bague, la valeur de la fonction sociale que nous lui accordons ?Dâabord dâen avoir fait le symbole de lâaffirmation de sa puissance sur les autres, un signe ostentatoire ou humble, dans le domaine affectif un signe de ferveur. Puis dâen avoir fixĂ© un prix dâĂ©change subjectif par rapport au dĂ©sir de la possĂ©der Ă hauteur de la symbolique que nous lui accordons. Ensuite elle a gĂ©nĂ©rĂ© tout un systĂšme de protection pour la prĂ©server tout au long de son existence, et se garantir contre sa avons donc ainsi limitĂ© lâutilisation des propriĂ©tĂ©s techniques de lâor dans lâindustrie en renchĂ©rissant le prix du produit contenant ce matĂ©riau de base, ceci du fait dâun surcoĂ»t qui est celui du besoin dâaffirmation de soi, correspondant au coĂ»t du prix de nos Ă©motions.⊠oĂč le client achĂštera le tout, une valeur socialeâŠSi nous regardions au microscope atomique le prix de la bague, nous y trouverions derriĂšre toute lâactivitĂ© humaine qui a concouru Ă son Ă©laboration, et celle de tous ceux qui nâen Ă©taient pas concernĂ©s Ă dire, tous les dĂ©sirs humains qui se sont rĂ©alisĂ©s Ă partir du revenu distribuĂ©, que chaque acteur de la production de la bague a reçu tout au long de sa fabrication, en partant de la dĂ©couverte du filon jusqu'Ă la prĂ©servation de la bague. Ce revenu a Ă©tĂ© lui-mĂȘme le facteur de la rĂ©alisation du dĂ©sir de ceux Ă qui il a Ă©tĂ© reversĂ©, que ce soit au tabac du coin, pour se garantir de risques, faire un voyage au bout du monde ou rĂ©gler ses comme chacun entre au contact de tous les autres par lâintermĂ©diaire dâun tiers, nous sommes donc dans une longue chaĂźne, aussi bien en contact avec le plus proche dâentre nous que nous ignorons, que du plus lointain que nous connaissons, et cela Ă maniĂšre quâaussi long soit le chemin socio-Ă©conomique, lâachat de la bague, en rĂ©percussion par lâintermĂ©diaire de la circulation de la monnaie en interaction, aboutira jusqu'Ă chacun des six milliards autres humains, y compris jusqu'Ă lâachat par un chinois dâun bol de riz, et en retour Ă ceux qui ont produit la dans le prix de la bague il y a un six milliardiĂšme de notre existence humaine, dont celle de notre chinois. Mais Ă©galement le prix de nos guerres, de nos plaisirs, de nos rĂ©ussites, de nos Ă©checs, de nos espĂ©rances de vie, de notre mort. De telle maniĂšre, que quand nous offrons une rose Ă lâĂȘtre aimĂ©, le prix de cet acte reprĂ©sentera une sous fraction de ce un six milliardiĂšme. De la mĂȘme maniĂšre se rĂ©percutera la guerre, la xĂ©nophobie, le racisme auxquels se livrent des hommes Ă lâautre bout de la planĂšte, bien que nous ne nous sentions pas concernĂ©s par mĂ©tĂ©orologie nous comprenons cela, puisque aujourdâhui nous connaissons lâeffet papillon quâun battement dâaile de papillon puisse influencer le temps, car cela nous a Ă©tĂ© expliquĂ©, et sâest en Ă©conomie, il en est de mĂȘme, mais personne ne nous lâ nous connaissons ce phĂ©nomĂšne sous la forme dâun jeu, celui du labyrinthe. Jeu oĂč nous savons quâen cherchant, nous dĂ©couvrirons toujours au bout un chemin qui nous conduit Ă lâautre. De la mĂȘme maniĂšre en cherchant bien nous trouverions celui qui nous conduirait Ă chacun des six milliards dâautres nous ne sommes plus ni dans la macroĂ©conomie ou micro-Ă©conomie, mais dans la X fois nano Ă©conomie ». De fait, cela ne nous laisse aucune chance de rĂ©guler durablement lâĂ©conomie, mais comme pour lâunivers il y a certainement un ordre sous-jacent, et si nous ne pouvions comprendre que cela une part de lâintolĂ©rance culturelle sâ lorsque le client achĂšte la bague, il acquiert certes un produit concret, mais il le paie au prix de toutes nos valeurs sociales achĂšte par sa force de travail », une fraction du prix de notre organisation sociale humaine qui se trouve rĂ©unie, condensĂ©e, concentrĂ©e dans le prix dâĂ©change de la bague.âŠcomme il achĂštera les pourquoi le coĂ»t de la mise en place des ECPA, quel que soit son mode de financement, câest chacun dâentre nous qui lâ sans que les Chinois et bien dâautres ne le sachent, humour.55 - Le poids des mots et la dialectique qui enserre la pensĂ©e et la ghettoĂŻse » mais pour combien de poids des motsâŠJe viens dâutiliser lâexpression valeurs sociales codifiĂ©es », et comme cette codification organise aussi les Ă©changes, nous avons qualifiĂ© cette activitĂ© dâĂ©conomie ». Mais je considĂšre que le terme activitĂ© socio-Ă©conomique convient mieux pour dĂ©finir ce que nous appelons simplement lâĂ©conomie. En effet, les termes, social et Ă©conomique, sont indissociables Ă partir de lâinstant, oĂč la quasi-totalitĂ© de nos Ă©motions passe par une reprĂ©sentation instrumentale les illustrant lâamour, la mort, la joie, lâamitiĂ© etc..Je mâen explique dans lâexemple jour oĂč lâhomme a pratiquĂ© le culte des morts, oĂč lâĂ©motion est devenue rite, sans rentrer dans les explications, cette ritualisation sâest concrĂ©tisĂ©e en occident par lâusage de produits, exemple le ce cercueil est devenu la reprĂ©sentation de lâexpression du degrĂ© dâaffliction et de la conception de la vie quâavait le dĂ©funt testament ou ses proches il voulait ĂȘtre enterrĂ© simplement, sa famille lui a offert ce quâil y avait de plus beau.Ainsi, le cercueil, un simple produit, a acquis du seul fait de lâexpression dâune Ă©motion humble ou ostentatoire, une valeur marchande diffĂ©rente, incluant cette marchande dâailleurs perceptible par les personnes extĂ©rieures Ă lâĂ©vĂ©nement ou satisfaisant Ă lâidĂ©e de lâhommage quâavaient les personnes liĂ©es Ă lâ maniĂšre que lâusage culturel dâun enterrement le cercueil, au-delĂ des mots, sâĂ©value au montant de la dĂ©pense inutile ou superflue que justifie la nĂ©cessaire communication de son affliction tournĂ©e vers lâextĂ©rieur, tournĂ©e vers la communautĂ©, organisĂ©e, rĂ©glementĂ©e, et codifiĂ©e par cette façon, nous pouvons quantifier, en valeur de marchĂ©, lâexpression de chacune de nos quelquâun regardant la sociĂ©tĂ© peut Ă juste titre penser que câest lâĂ©conomie la production de biens qui tire le marchĂ©, puisquâil existe des produits pour valoriser chacune de nos Ă©motions parce que les hommes ont utilisĂ© cet usage culturel, le cercueil pour en faire une source de revenu, puisquâil nĂ©cessite une activitĂ© bien que nous considĂ©rons en consĂ©quence, que la valeur marchande du produit que nous utilisons est le dĂ©terminant de la valeur de lâĂ©motion dĂ©clarĂ©e, et ce, mĂȘme sâil est difficile de quantifier la valeur de la reprĂ©sentation sociale la surjection qualitative, le signe social, par des paramĂštres autres que financiers dĂ©penses sĂ©curitĂ© sociale, maladie retraite, les divers budgets de lâĂtat par exemple.En consĂ©quence, lâhomme a donc par lâinvention, de rĂšgles et de structures Ă©laborĂ©es Ă lâaide de mots et de concepts, quantifiĂ© et appliquĂ© une valeur Ă toute chose, pour pouvoir lire son activitĂ© sociale[123], ce que personnellement jâappelle- la qualification mesurable de notre activitĂ© sociale â et que nous nommons, lâĂ©conomie ».De ce fait, la lisibilitĂ© de notre activitĂ© sociale a fini par dĂ©limiter deux secteurs distincts dans cette activitĂ© sociale, le social et lâĂ©conomique, que nous opposons en qualification fait lâobjet, de ce que jâappellerai une manipulation linguistique selon les mots que nous utilisons pour dĂ©finir ou dĂ©signer ses se caractĂ©rise par lâapproche que nous faisons de terme qualifiant nos besoins sociaux ». Ainsi, depuis quelques annĂ©es, les contributions Ă lâactivitĂ© sociale, cotisations sociales ou impĂŽts de toutes sortes prĂ©lĂšvements obligatoires, sont qualifiĂ©es de charges, et perçues comme telles par de plus en plus de derniers en viennent alors Ă rĂ©clamer leurs rĂ©ductions, en pensant quâen disposant de la plus grande part de leur revenu Ă©conomique, ils Ă©viteront le coĂ»t de lâorganisation sociale, tout en pouvant en espĂ©rer les mĂȘmes services, pourtant nous le retrouverons dans le prix de chacun de nos produits, seulement il sera cachĂ© Ă notre regard, et pour le retrouver il faudrait se livrer Ă une analyse comptable, ce que nous ne ferons pas. Analyse que nous ne ferons pas par ignorance ou simplement parce que nous en avons ni le temps ni les moyens, tandis que lorsquâon nous les prĂ©lĂšve, lĂ nous le voyons. Alors voulons nous ĂȘtre des autruches ?Culturellement, le mot impĂŽt nous rappelle toujours quâil pĂ©nalise les plus faibles, et que les plus riches y Ă©chappent, ce qui est certainement vrai dans lâapprĂ©ciation du revenu dĂ©claration du revenu. Il nous renvoie Ă des images dâĂpinal de notre histoire. LâimpĂŽt de Philippe le Bel, en passant par Colbert et bien dâautres, a forgĂ© lâidentitĂ© nationale et a toujours mĂ©contentĂ© lâ contributions - elles - revĂȘtent ce caractĂšre de participation Ă quelque chose dont nous ne serons pas nĂ©cessairement cotisations â elles - sont mieux perçues, car en cotisant, nous nous ouvrons lâaccĂšs Ă un charges â elles - sont des horreurs ; Câest le fardeau, le poids, la douleur, la gĂȘne. Il ne manque pas de qualificatifs qui rappellent la pĂ©nibilitĂ© de toute chose, dont nous essayons de nous quand nous regardons de plus prĂšs ces prestations que nous qualifions de charges, nous nous rendons compte quâelles sont la couverture financiĂšre de nos vicissitudes humaines, et celles de tous les besoins collectifs et individuels que nous tout ce qui reprĂ©sente les ressources obligatoires de lâĂtat ou des collectivitĂ©s territoriales, ou encore des organismes de protection sociale, lĂ©gifĂ©rĂ©es et organisĂ©es par lui, se qualifient de plus en plus, de charge Ă la charge de lâĂtat.De fait, elles perdent leur caractĂšre de rĂ©gulation des inĂ©galitĂ©s type, taux et tranches dâimpositions, tandis que leurs corollaires, les dĂ©penses Ă usage collectif, perdent leur caractĂšre redistributif ».Cela, au bĂ©nĂ©fice dâorganismes privĂ©s Ă but lucratif qui paraissent concurrentiels, offrant lâillusion que nous ne payons que pour nous-mĂȘmes. Pourtant, quand lâon remonte le circuit Ă©conomique, lâon sâaperçoit que lâon paie tout de mĂȘme pour les autres, sous toutes les formes, avec en plus les dividendes des actionnaires. Mais voilĂ , nous les adultes, nous sommes comme les enfants, nous aimons les contes merveilleux qui nous disent que nous serons roi ou reine pour nous cacher que nous ne sommes que des serfs, et nous sommes contents, pourvu que nous ne voyions pas de quelle maniĂšre nous rĂ©glons lâaddition, mĂȘme si elle est plus automobile est un exemple flagrant de cette approche, entre le systĂšme privĂ© et le systĂšme bonus et le malus, conçus pour responsabiliser les conducteurs, ont Ă©tĂ© fournisseurs de poubelles roulantes de la part de ceux qui ne pouvaient ou ne voulaient couvrir les rĂ©parations dâun accident ; ensuite ce sont les impĂŽts de tous qui ont dĂ» les retirer du marchĂ© en finançant les frĂšres et sĆurs des Plans Jupettes. Ils ont instaurĂ© de fait lâinĂ©galitĂ© devant le risque par lâargent, en personnalisant la le mĂȘme temps, les compagnies dâassurances se sont autorisĂ©es Ă refuser ou rompre, avec un client trop coĂ»teux, tandis que lâĂtat Ă©purait et sĂ©curisait le parc automobile tout en soutenant sa donc dâimaginer la mĂȘme application, avec lâenseignement scolaire, et la sĂ©curitĂ© sociale câest le systĂšme la suite, sâinstaure dans notre esprit un ajustement de rapport commercial Ă©goĂŻste qui fait que, contraints aux prĂ©lĂšvements, nous en attendons en retour un service Ă hauteur de lâapprĂ©ciation optimale de notre intĂ©rĂȘt pour cent 69% des français considĂšrent que le rapport, entre le versement des prĂ©lĂšvements obligatoires et les prestations dont ils bĂ©nĂ©ficient, n'est pas et un pour cent 61% sont favorables Ă lâouverture de la protection sociale au privĂ©,Pour soixante-dix pour cent 70% de la population lâimpĂŽt est intolĂ©rable 18%, trop Ă©levĂ© 52%, enquĂȘtes dâopinions, contribuables associĂ©s/BVA, octobre 1999 et avril 2000.Les impĂŽts indirects reprĂ©sentent 63% des recettes fiscales dont 44% de TVA, 19% taxes sur lâessence et le impĂŽts directs reprĂ©sentent 7% du revenu dâun cadre, 29% dâun chĂŽmeur en fin de droit. Epsy, 1999.Cinquante et un pour cent 51% estiment quâil faut baisser les impĂŽts, mĂȘme si cela doit remettre en cause le niveau des prestations de la protection sociale ou les services de lâĂtat le Point/Ipso, septembre, 1999.Cinquante-quatre pour cent 54% sont favorables Ă une rĂ©duction des pour cent 34% sont favorables Ă une limitation des remboursements des prestations pour cent 28% sont favorables Ă la rĂ©duction des prestations minimales RMI, chĂŽmage.[124]Cela, parce que le terme de charge »[125], en sortant du plan comptable pour entrer dans le langage commun, sâest rĂ©pandu et vulgarisĂ©, jusquâĂ devenir un enjeu de propagande politique, comme Ă©lĂ©ment freinant la crĂ©ation dâemplois, rĂ©duisant le revenu, caractĂ©risant la lourdeur des administrations, et il est devenu un catalyseur de toutes les lors, nous assistons au glissement de la protection collective institutionnalisĂ©e, vers la protection individuelle privĂ©e, qui sape, ce qui fait le lien de toute communautĂ© lâentraide, la et solidaritĂ© qui sont la reconnaissance dâune prise de conscience dâappartenance Ă une communautĂ© assume la diversitĂ© des alĂ©as qui affectent individuellement ses membres dans un but, celui quâils nâen soient pas exclus du seul fait de lâorganisation de ses activitĂ©s socio-Ă©conomiques, et des imprĂ©vus de la vie inhĂ©rents Ă toute communautĂ© dâ et solidaritĂ© ont Ă©tĂ© affublĂ©es du terme assistance ». Cette appellation concernait lâaide apportĂ©e Ă lâactivitĂ© Ă©conomique de certaines entreprises, et Raymond Barre Premier ministre dâalors ne se gĂȘnait pas pour les appeler les canards boiteux.» Ce terme dâassistance » rapidement reçut une connotation nĂ©gative. Rapidement, le terme et la connotation glissĂšrent jusquâau domaine de la protection sociale, laissant suggĂ©rer que sâassurer soit sâassumer, et percevoir des prestations ĂȘtre connotĂ© qui a trouvĂ© une assise en mĂȘme temps que la tertiarisation » des effet, lâentraide et la solidaritĂ© sont nĂ©es Ă la fin du 19 iĂšme siĂšcle Ă la suite de la revendication ouvriĂšre, et elles caractĂ©risaient le monde cette fin de siĂšcle, E. Durkheim a dĂ©veloppĂ© le concept de solidaritĂ© organique, 1893, et L. Bourgeois, le Solidarisme » 1899 dont sâinspirera lâĂtat sous la pression les politiques de solidaritĂ© mettent en Ćuvre un faisceau de procĂ©dĂ©s multiformes de redistribution et de rĂ©gulation qui conjuguent la redistribution et lâ le monde ouvrier nâa cessĂ© de se rĂ©duire Ă lâimage de ce tiers ouvriers, 8,118 millions ; 1999 7, 096 millions,1975 employĂ©s, 5,362 millions ; 1999 7, 705 millions,1975 professions intermĂ©diaires, 3,480 millions ; 1999 5,153 millions,1975 cadre, 1,552 millions ; 1999 3,246 millions, source INSEE.Ceci explique que les mots, de part leur poids pour ceux que jâai retenu, charge, assistance et solidaritĂ©, sont diffĂ©remment perçus, suivant la catĂ©gorie dans laquelle nous exerçons notre activitĂ©, et que la notion ouvriĂ©riste » de lâentraide et de la solidaritĂ©, se soit amenuisĂ©e sous la conjonction des deux phĂ©nomĂšnes. Toutefois ils reposent encore sur une dĂ©nomination valorisante du terme dâemployĂ©, dont certains ont des revenus, et des conditions sociales Ă©gales Ă ceux quâils considĂšrent dâun statut infĂ©rieur Ă lâabsolu, ce glissement nâest pas notre activitĂ© dâentraide et de solidaritĂ© pourrait ĂȘtre parfaitement gĂ©rĂ©e par des organismes privĂ©s, bien sur sous rĂ©serve quâune loi les obligent Ă prendre en charge, les citoyens dĂ©munis, ceux aux revenus insuffisants ou mis en marge de la cela conduirait les compagnies privĂ©es Ă relever leurs tarifs afin dâassurer cette rĂ©gulation, et cela en plus, du coĂ»t de la rĂ©munĂ©ration des dividendes des cette maniĂšre, par l'intermĂ©diaire de la cotisation, Ă une compagnie dâassurance privĂ©e, nous nous acquitterions de ce que nous refusons Ă lâĂtat par lâimpĂŽt ou la contribution, et cela Ă un tarif plus cher. Ce tarif qui sert Ă dĂ©gager ce qui fait la diffĂ©rence entre la finalitĂ© dâune gestion publique », et celle dâune gestion privĂ©e, la destination du profit, avec en plus la disparition dâun droit qui est pour tout citoyen de pouvoir rĂ©clamer les comptes de la nation, allez donc rĂ©clamer les comptes dâune sociĂ©tĂ© en dehors de celles qui sont tenu de les par le truchement dâun langage Ă©conomique, ce qui ne sont en fait que des prĂ©lĂšvements conçus pour couvrir des besoins humains soumis Ă la gestion rĂ©gulatrice de lâĂtat ou dâorganismes privĂ©s Ă vocation sociale protection sociale, etc. sont devenus des en sommes arrivĂ©s Ă un tel rĂ©sultat, grĂące au mot charges » qui recouvre les contributions versĂ©es par les agents Ă©conomiques qui disposent de ressources entreprise et particuliers Ă lâorganisme reprĂ©sentant lâorganisation citoyenne lâĂtat ou les organismes de ne veux pas dire par-lĂ quâil faille passer par lâobligation dâune gestion veux seulement souligner lâobligation quâont toutes les communautĂ©s dite rĂ©publicaines, dâassumer cette identitĂ© communautaire par la redistribution dâune part de ses ressources vers les moins nantis, vers ses besoins collectifs, et permettre aussi Ă chacun dâassumer ses responsabilitĂ©s de citoyen, et ce, mĂȘme si nous savons quâil y a des seuils psychologiques Ă malgrĂ© le rĂŽle de redistribution jouĂ© par lâĂtat, il y a un français sur dix 10% qui vit avec 533 Euros 3 500 f par mois, et peut se considĂ©rer comme pauvre[126]. Il y en a deux fois plus quâen Hollande, mais deux fois moins quâau Ătats pouvons ne pas ĂȘtre dâaccords, et estimer que ceux qui nâont pas de revenu doivent pĂ©rir Malthusianisme. Encore faut-il avoir des couilles » pour le dire, et ne pas se cacher derriĂšre le mot que dire hypocritement, lâĂtat doit sâen charger », et lui en refuser les moyens, tant par le refus des prĂ©lĂšvements que par le rejet dâune politique budgĂ©taire, ou parler de lâĂtat comme sâil sâagissait dâun tiers par lequel nous ne sommes pas pouvons aussi considĂ©rer, que lâentraide et la solidaritĂ© ne doivent ĂȘtre que de la charitĂ© compassion ou une redistribution du pouvons aussi nous rassurer en Ă©pargnant, pour bĂ©nĂ©ficier des revenus du capital moins imposĂ©s, mais Ă long terme reconstitutifs » dâune catĂ©gorie de rentiers, celle lĂ mĂȘme, que la rĂ©volution a voulu nous pouvons aussi admettre tout simplement, que plus nous nous enrichissons moins nous avons envie de partager, et cela porte un les Français se sont enrichis. De 1949 Ă 1999, le patrimoine moyen des français est passĂ© hors inflation de 2744 Euros 18 000 f Ă 182927 Euros 1 200 000 f, avec un accroissement des inĂ©galitĂ©s que cela ainsi que 5% des mĂ©nages dĂ©tiennent la moitiĂ© des actifs financiers. Parmi eux 1% dĂ©tiennent 20% de la richesse totale. La moitiĂ© des mĂ©nages se partagent 5% des actifs, dont 60% de ceux qui ont un patrimoine supĂ©rieur Ă 1,2 millions dâEuros 8 millions de francs, sont des indĂ©pendants actifs ou retraitĂ©s, et 30% dâentre eux sont, soit Chefs dâentreprise ou ont des professions mĂ©nages sur dix possĂšdent un patrimoine financier livret dâĂ©pargne, valeurs mobiliĂšres, assurance-vie, 9% en possĂšdent toutes les formes de patrimoine, six sur dix possĂšdent des biens immobiliers, et 6% des français ne possĂšdent patrimoine total des particuliers est estimĂ© Ă 4345 milliards dâEuros 28 500 milliards de francs. Francoscopie 2001.Ainsi, les mots sâimposent dans dâautres domaines que ceux pour lesquels ils ont Ă©tĂ© Ă©laborĂ©s. Je vais dire improprement, suivant nos conventions grammaticales, vivent », jâaurais de cette maniĂšre attribuĂ© aux mots une existence assimilable a celle pour laquelle le mot vivre » Ă©tait destinĂ© dĂ©finir dĂ©finir la vie physiologique. Par exemple le mot santĂ© qualifie aujourdâhui aussi bien la santĂ© humaine ou dâun ĂȘtre vivant, que celle dâune entreprise, dâun schĂ©ma abstrait ou dâune construction structurelle. Et ceci nâest pas insignifiant quand nous savons que le langage conditionne notre pensĂ©e, et que nous pouvons par lui nous tuer ou vivre, nous soigner ou nous rendre malade, prospĂ©rer ou dĂ©pĂ©rir ; et ce que mon exemple indique, câest quâĂ ne pas exercer une distinction, banaliser, Ă©tendre lâusage de certains mots comme celui aussi important que vivre qui finit par dĂ©signer aussi bien la vie biologique que celle dâinstruments inertes, nous risquons de ne plus distinguer ce qui est essentiel. Câest ainsi que nous entendons aussi bien parler de morts dâentreprises, lĂ oĂč, il nây a que des faillites. Cela mĂȘme si je comprends que par lâusage de mots aussi forts, les personnes qui vivaient du travail de lâentreprise considĂšrent, quâils meurent avec leur fermeture ou faillite, parce quâils nâauront plus de sources de ne veux pas dire par-lĂ quâil ne faille pas sâintĂ©resser au fonctionnement de lâentreprise et de sa production, mais que ce lien quasi spirituel entre lâhomme et sa source nourriciĂšre le conduit Ă effectuer des transferts Ă©motionnels aux moyens du langage.âŠet la dialectiqueâŠDans notre sociĂ©tĂ© la communication, comme je lâai dit, est un art qui passe aussi par la reprĂ©sentation quâĂ©voquent les mots. Ainsi, les filles mĂšres sont devenues les mĂšres cĂ©libataires, le concubinage est devenu lâunion libre, les concierges des gardiennes, les bonnes des employĂ©es de maison, les emplois de mĂ©nage dans les entreprises des techniciens de surface, le CNPF acronyme est devenu MEDEF. Le Conseil du Patronat français, terminologie dans laquelle sâaffirme le poids de lâautoritĂ© de celui qui commande dans son seul intĂ©rĂȘt image pĂ©jorative du profit, a optĂ© pour une image plus fluide et moderne Le Mouvement des Entreprises de idĂ©e de mouvement signifie nous sommes agissants, nous faisons vivre les entreprises qui vous emploient sous-entendu ses dirigeants, les entreprises agissent sous-entendu la structure collective, mais elle signifie Ă©galement beaucoup plus que effet, la captation par lâentreprise du mot mouvement a une connotation sociologiquement importante, celle dâentreprise collective visant Ă Ă©tablir un nouvel ordre de vie ou y rĂ©sister pour maintenir un ordre de vie existant, mouvement fĂ©ministe, Ă©cologiste, mouvement syndical etc. mouvements millĂ©naristes, messianiques, mouvements religieux nouveaux, etc.. Cette idĂ©e veut dire aussi, nous sommes vision de lâentreprise, beaucoup plus dynamique, dilue dans lâintĂ©rĂȘt collectif de lâentreprise, quâaffirme la caractĂ©ristique de la SociĂ©tĂ© Anonyme, la notion de profit Ă partir du sigle CNPF, qui est le reflet dâune organisation corporatiste, dĂ©fendant ses intĂ©rĂȘts particuliers, nous passons au sigle MEDEF qui affiche une volontĂ© de dĂ©velopper son ordre de vie. Dans cette logique un jour des candidats, du MEDEF, se prĂ©senteront au suffrage ĂȘtre Ă©quitable avec le MEDEF, il y a le mĂȘme phĂ©nomĂšne chez les politiques, oĂč les sigles changent en conservant les mĂȘmes personnages. Le sigle reste, et lâorientation politique est tout autre que le concept quâil suggĂšre. Par exemple le parti socialiste PS qui suggĂšre par son origine une conception Ă©conomique autre que nĂ©olibĂ©rale, est entrĂ© dans la pratique de la social-dĂ©mocratie entre 1983 1993, si bien que par son sigle il entretient une confusion qui peut rendre incomprĂ©hensible ses choix politiques, car le sigle en suggĂšre dâ nâest lĂ quâun phĂ©nomĂšne normal de mouvement qui ne demande que dâĂȘtre lu, comme je viens de le faire avec le MEDEF et le PS, ou chacun conserve son but initial, la puissance financiĂšre oĂč politique, en sâadaptant aux modifications environnementales, Ă lâ quand jâutilise le mot socio-Ă©conomique, je fais la mĂȘme chose, jâutilise sa connaissons tous le sens des mots social et Ă©conomie, que je mets dans cet ordre, parce que je considĂšre que câest lâordre naturel du dĂ©veloppement de notre espĂšce, et par sa pensĂ©e symbolique je considĂšre que câest notre comportement social qui a permis le dĂ©veloppement Ă©conomique, et non lâ cette structure », ce processus mĂ©canique qui nous pousse les uns vers les autres, il nây aurait jamais eu de communautĂ© organique. Nous qualifions ses interactions de sociales, et par elle, interactions sociales sous le regard de lâhomme qui sâobserve lâorganisation de la production de biens et services qui en dĂ©coulent, lâ parce que, la production a suivi lâorganisation sociale, et jâobserve que si les hommes ne trouvaient pas dâutilitĂ© sociale aux produits que nous Ă©laborons, ils ne seraient dâaucun service, donc de valeur nous utilisons une hache, câest que nous avons eu envie de couper du bois en ayant Ă©tablie une relation entre nous et lâobjet bois, dans un espace dĂ©terminĂ©, vers un but, pour satisfaire Ă une perception sensorielle le besoin de se rĂ©chauffer par exemple, et non pas parce que quelquâun a inventĂ© la hache, que lâayant inventĂ© nous avons ensuite coupĂ© du bois pour justifier son utilisation. Alors quâaujourdâhui nous recherchons quels sont les besoins de lâhomme inexprimĂ©s qui me permettrait de lui vendre un autre dĂ©finition estime que lâhomme est un ĂȘtre Ă©conomique lâhomo oeconomicus, ĂȘtre rationnel motivĂ© par son seul profit, coĂ»t avantage » parce quâil effectue un travail pour cueillir et chasser[127]. Cette extension de la dĂ©finition de lâĂ©conomie je la trouve excessive et inappropriĂ©e, car poussĂ©e dans sa plus petite dimension, elle nous conduirait Ă dire que notre Univers est un univers Ă©conomique[128], parce que chaque association atomique, et ce qui en dĂ©coule, exige un travail et un coĂ»t association Ă©change qui se mesure comme le nĂŽtre, guidĂ© par un ordre sous-jacent, que dans le cadre de lâanalyse des motivations humaines, nous appelons conscience ou esprit, avec sa part raisonnĂ©e et celle insufflĂ©e en relation inconscient et conscient.Ainsi, lâorganisation Ă©conomique ne peut qualifier ce que nous sommes, elle nâest quâun moyen de parvenir Ă la rĂ©alisation, Ă la production, et Ă la satisfaction de nos besoins et dĂ©sirs humains. Et parmi cela, celui important du rĂȘve absolu» de chacun. Un rĂȘve pour lequel, quand nous ne prenons pas le temps et les moyens pour le construire, certains dâentre-nous nous vendent Ă sa place des illusions qui nous empĂȘchent de voir que nos rĂȘves sont Le rĂȘve » câest de devenir riche en accumulant de la monnaie, ce que permet lâinstauration de modĂšles simplifiĂ©s thĂ©ories Ă©conomiques, de millions de dĂ©cisions indĂ©pendantes prises par les individus organisĂ©s agents Ă©conomiques pour se rĂ©partir des biens rares biens produits exigeant une force de travail, et effectuer un choix parmi cette organisation Ă©conomique sâest dĂ©veloppĂ©e grĂące Ă dâinnombrables penseurs, dĂ©couvreurs, entrepreneurs et acteurs qui exerçaient dans des cadres sociopolitiques divers, nous pouvons aisĂ©ment comprendre que le modĂšle choisi pour structurer lâactivitĂ© sociale la dĂ©sidĂ©rabilitĂ©, peut en retour fixer un cadre rigide modĂšle Ă©conomique, difficilement rĂ©formable suivant son Ă©tendue, qui interfĂ©rera sur constat ne permet pas dâaffirmer pour autant que lâĂ©conomie crĂ©e le social comme lâidĂ©e sâen est rĂ©pandue, mĂȘme sâil lâimprĂšgne et lâempreigne, parce que nous avons bĂąti des dĂ©pendances structurelles publicitĂ©, crĂ©ation de besoins.Ceci, parce que des acteurs Ă©conomiques anticiperaient nos besoins invention, et que d'autre part nous voudrions affirmer lâimportance dâune structure productrice politique ou parce que les hommes se sont Ă©mancipĂ©s des limites de la production naturelle » cueillette, chasse.NĂ©anmoins, lâidĂ©e est acceptable quand on la dĂ©veloppe Ă partir un instant choisi de lâhistoire de lâorganisation Ă©conomique des hommes, par exemple, lâurbanisation industrielle, lâeffet automobile, car lâon se forge une opinion en fonction du niveau, du palier de rĂ©fĂ©rence conditionnant que lâon a ne retenir que lâidĂ©e que lâĂ©conomie crĂ©e le social, câest occulter une part de lâhistoire humaine, du dĂ©veloppement socio-Ă©conomique, dans le but de ne soutenir quâun point de vue partisan. Les hommes se sont toujours regroupĂ©s dans des grottes, des citĂ©s, et dĂ©placĂ©s avec ou sans automobiles, cela avec plus ou moins de facilitĂ©s.Ce serait alors oublier toutes les luttes sociales qui ont accompagnĂ© le dĂ©veloppement Ă©conomique, dâoĂč le nom de mouvements sociaux », qui est lâexpression de lâhomo-sociabilis ».Ce serait tout autant oublier que lâidĂ©e lâĂ©conomie crĂ©ant le social a rĂ©duit la condition sociale humainement parlant de certains dâentre eux par le biais du servage, de lâesclavage, du racisme, et que sans penseurs libertaires, monsieur Ă©conomie » serait restĂ© muet. Je voudrais bien reconnaĂźtre que lâĂ©conomie a créé la sociĂ©tĂ© esclavagiste si mon but Ă©tait de dĂ©montrer lâinhumanisme » de lâ je sais que toute structure que dĂ©veloppent les hommes, ne dĂ©pend que des relations que ces derniers entretiennent avec lâimage quâils ont dâ reconnaĂźtre lâefficacitĂ© dâune organisation Ă©conomique est une chose, en faire un dieu crĂ©ateur en est une autre, dâautant plus quâelle est Ă lâimage de ses acteurs culturalisĂ©s, câest Ă dire une image violente et nombriliste ; car nous apprĂ©cions nos Ă©vĂ©nements Ă la mesure de nos vies, et non de celle de la planĂšte, et nous nous confrontons autour de dĂ©finitions pour affirmer notre dĂ©sir de puissance, et le justifier aux yeux des Ă©conomique le modĂšle structural rĂ©pond Ă nos dĂ©sirs, mais surtout correspond Ă ceux des hommes qui les ont inspirĂ©s ou qui sâen inspirent, et de ceux qui en font leur modĂšle ou lâ sâexerce toujours dans le cadre dâune organisation politique quâelle ramĂšne Ă son usage, et dont elle cherche Ă sâĂ©manciper ou prendre le contrĂŽle par le biais de ses plus actifs reprĂ©sentants, parce quâil nây a pas de frontiĂšre dans la communautĂ© organique ou mĂ©caniste entre lâorganisation sociale et lâ grĂące Ă la dialectique, nous avons dans notre ensemble fini par reconnaĂźtre lâĂ©conomie comme variable dĂ©terminante sur la sociabilitĂ© humaine. Pourtant, cela ne relĂšve que dâun point de vue, et dâune maniĂšre de sâobserver, de regarder notre image comme acteur intĂ©ressĂ© par cette ce faisant, nous transfĂ©rons en elle toute notre angoisse de mourir, et cela se traduit par la terreur masquĂ©e de manquer de subsistance. Cette pĂ©nurie conduisant presque toute espĂšce Ă se gaver par ignorance du lendemain, guidĂ©e par un cycle innĂ©, en lâabsence de cerveau cognitif comme le nĂŽtre, capable dâenvisager un futur afin dây rĂ©flĂ©chir. Comme la possession est la maniĂšre dâassouvir cette peur, il est facile dâimaginer les confrontations quâelle dĂ©termine et fait consĂ©quence, toute organisation structurĂ©e autour de la raretĂ©, comme notre systĂšme Ă©conomique, ne peut que gĂ©nĂ©rer des oppositions que nous aggravons en organisant cette raretĂ© pour satisfaire Ă nos rĂšgles dâ me rĂ©pĂšte en disant que lâĂ©conomie est la qualification financiĂšre de la rĂ©alisation de nos dĂ©sirs sociaux la quantification mesurable.Si cette confusion existe encore, câest certainement que lâentitĂ© entreprise » a su faire la preuve de son efficacitĂ©, et que nous attendons beaucoup dâelle. Nâoublions pas au passage que lâentreprise câest aussi nous qui la faisons, que les mĂ©rites dont elle se pare sont les nĂŽtres, et que les capacitĂ©s crĂ©atrices dont elle sâhonore nous les avons dĂ©veloppĂ©es dans les Ă©coles au frais de la collectivitĂ©, financĂ©es par notre contribution Ă lâimpĂŽt ou sous dâautres formes confusion existe, parce que la contrainte que lâentreprise » exerce, en tant que seul lieu de ressources, lâautorise Ă dĂ©velopper des concepts dâappartenance lâesprit de lâentreprise X ou Y. Ceci nâest en fait, quâune allĂ©geance mercantile dangereuse pour lâĂ©panouissement de la personnalitĂ©, laquelle est conditionnĂ©e par la structure. Cette allĂ©geance vaut parfois de trĂšs loin certains conditionnements sectaires, car lâentreprise est une organisation totalitaire ». Câest Ă dire que lâentreprise se prĂ©sente parfois comme un Totem qui demande dâĂȘtre adorĂ©, le totem nâest pas gĂȘnant en lui-mĂȘme, ce qui lâest, câest de ne pas savoir dĂ©terminer sâil protĂšge et concours aux intĂ©rĂȘts du groupe de la communautĂ© oĂč Ă ceux de particuliers qui nâont rien Ă faire du groupe et de la communautĂ©, dans la recherche de la toute veux dire par-lĂ , que lâĂ©panouissement individuel quâoffre lâesprit dâentreprise » restera liĂ© Ă un but dĂ©fini ou reprĂ©sentĂ© par la quĂȘte du profit, de la plus value, du bĂ©nĂ©fice, bref de lâargent, aux profits dâintĂ©rĂȘts individuels, dirigĂ©s par des systĂšmes autoritaires directs, ou par un autoritarisme participatif passons ainsi de lâhomme se servant dâun outil », Ă lâhomme au service dâun outil », de lâhomme ayant besoin de biens », Ă lâhomme dĂ©pendant des biens », et ce, sous lâĂ©gide dâune hiĂ©rarchie pyramidale qui sâest livrĂ©e Ă tous les excĂšs, en interdisant parfois les plus Ă©lĂ©mentaires besoins humains, rire, parler, se nâavons toujours pas assimilĂ© quâun homme Ă©panoui dans son travail est plus productif, car il ne produit pas de dĂ©chets » maladies liĂ©s aux stress. Je nâai en tĂȘte que le souvenir dâun industriel anglais du milieu du XIX iĂšme siĂšcles avait eu lâaudace de dire quâil avait observĂ© que les salariĂ©s qui avaient eu le temps de se reposer Ă©taient plus les enfants que nous Ă©duquons dans lâenseignement manifestent souvent entre 15 et 25 ans un esprit critique, et cherchent souvent Ă sâĂ©manciper de ce qui leur apparaĂźt ĂȘtre des contraintes. Mais quand ils entrent dans le monde actif, dans lâunivers de lâentreprise, la structure despotique de lâentreprise ou son efficacitĂ© finit par les phagocyter, et ils deviennent porteurs des mĂȘmes concepts, dâautant plus quâils se situent haut dans la explique quâaujourdâhui, le concept lâĂtat doit se gĂ©rer comme une entreprise » ne choque pas limitation voire suppression du dĂ©ficit budgĂ©taire, sauf pour ceux qui connaissent le KeynĂ©sianisme.[129]Les surplus dans lâagriculture lâillustrent parfaitement. La capacitĂ© de production dĂ©passe de loin les besoins, et fait baisser les prix. Cette rĂ©duction les rend trĂšs accessibles, et leur vente ne suffit pas Ă fournir un revenu convenable aux agriculteurs. Une rĂ©gulation de ces surplus a nĂ©cessitĂ© une aide au maintien du revenu des agriculteurs par une politique agricole politique est apprĂ©ciĂ©e diffĂ©remment. Les petits exploitants s'en plaignent, en percevant leur travail comme Ă©tant dĂ©prĂ©ciĂ© en recevant lâaide communautaire presque comme insultante, tant quâil nâest pas envisagĂ© de la supprimer, tandis que les grandes entreprises agricoles en jouent, en les petits et grands exploitants, sâils pouvaient vendre au prix de leur revenu annuel un pigeon, Ă un pigeon », ils le feraient. Câest cela la limite de lâĂ©panouissement individuel de lâesprit dâentreprise. MĂȘme sâils ont pu sâĂ©panouir faire Ă©tat de leur capacitĂ© et de leur savoir-faire au travers de lâĂ©tude ornithologique du pigeon, et de la crĂ©ation de leur industries pharmaceutiques face aux maladies rares ou aux thĂ©rapies coĂ»teuses sida ont cette problĂ©matique, entre leur activitĂ© humanitaire, et lâapproche mercantile de cette activitĂ©. Si câest la loi du marchĂ© qui lâemporte tout ce qui nâest pas productif sera Ă©cartĂ©. Si nous appliquons une politique KeynĂ©sienne, lâĂtat nous citoyens viendra rĂ©guler cet antagonisme entre intĂ©rĂȘt particulier et intĂ©rĂȘt humain lâespĂšce.Nous retrouvons la mĂȘme problĂ©matique dans lâutilisation de certaines licences de dĂ©couverte dans le domaine mĂ©dical, et nous devons nous poser la question Quand doivent-elles appartenir au patrimoine de lâhumanitĂ© ?Si nous observons nos comportements Ă©conomiques, il nâĂ©chappe Ă personne que nous passons notre temps Ă tirer profit de tous nos rapports dâĂ©changes en essayant de nous auto exploiter au mieux, de nous auto duper sâil le faut, considĂ©rant parfois que la meilleure affaire, câest quand nous avons pu gruger lâ le mĂȘme temps, chacun essaie dâĂ©chapper Ă lâexploitation ou Ă la duperie en essayant de mettre en place, par des rĂ©glementations dans tous les domaines, y compris celui Ă©conomique, des contres poids ou contres nous continuons Ă considĂ©rer et dire, que nos rapports doivent ĂȘtre la rĂ©sultante dâune libre concurrence, que le bon sens commun moralisĂ© interprĂšte comme concurrence en Ă©quitĂ© », ce qui est tout, sauf une libre concurrence cache seulement le discours que les charges dâexploitations comprenant impĂŽts et salaire doivent ĂȘtre rĂ©duites, et comparables dans lâĂ©laboration dâun mĂȘme ce fait, la confrontation avec des produits Ă©laborĂ©s dans des Ătats au niveau social bas, conduit la concurrence Ă sâaligner sur eux, discours sur la rĂ©duction des charges, suppression du SMIC, dĂ©localisation. Conduit aussi Ă faire du dĂ©veloppement social, non plus un enjeu politique, mais un enjeu exclusivement Ă©conomique, oĂč il faut dĂ©montrer quâune Ă©volution sociale doit coĂŻncider avec les masses monĂ©taires disponibles. Je ne sais pas si nous nous rendons compte de cette absurditĂ©. Câest comme si quelquâun nous disait La vie sur terre ne peut exister que parce quâil y a la monnaie ou la vie nous vient de la libre concurrence engendre seulement la primautĂ© du plus fort, dĂ©finit la primautĂ© qui conduit les intĂ©rĂȘts antagonistes des employeurs et des salariĂ©s, Ă sâaligner sur des critĂšres opposĂ©s, car ce qui est charge pour lâentreprise est revenu pour le salariĂ©, avant que ce revenu ne redevienne en retour, ressource pour lâ avons donc construit notre dĂ©veloppement sur des rapports nĂ©gatifs », nous contraignant ainsi au collectivisme » plutĂŽt que de reconnaĂźtre ce collectivisme » comme une capacitĂ© fabuleuse dâassociation dâun ĂȘtre Holistique » recevant et donnant, au lieu de sâaccaparer et rendre, et dâun Ătre qui sait inventer parce quâil rĂȘve individuellement, et dont lâaccomplissement de son rĂȘve ne peut se faire quâavec les mâ lâessai dĂ©viant du Marxisme dans les pays de lâEst, le mot collectivisme[130] sâest pĂ©jorĂ©[131]». Pourtant il nâest rien de plus que la reconnaissance de la mise en commun de notre accoutumance structurant de la force de travail », de la capacitĂ© de sâassocier pour ĂȘtre plus fort, dans le but de produire, et de devenir copropriĂ©taire » des moyens de production. Câest malgrĂ© tout cette tendance qui sâopĂšre par des voies dĂ©tournĂ©es, voies qui ne veulent pas dire leurs noms intĂ©ressement, participation, actionnariat. Ainsi, cette communautĂ© de travail sâexprime toujours, quel que soit le nom que nous lui donnons, et ce dont nous dĂ©battons, ce sont de ses formes. Et dans un Univers oĂč tout est association, il est illusoire de croire que les dĂ©sirs refoulĂ©s ou rejetĂ©s, ne finirons pas par trouver lâexpression dâune forme dâassociation. Alors, ils sâarrangeront de mots et dâun langage pour mĂȘme si passagĂšrement nous sommes capables dâaller vers le suicide altruiste, Ă©goĂŻste ou serait donc aussi faux que je dise, que lâĂ©conomie Ă©trangle le social », que de dire que lâĂ©conomie crĂ©e le social », mĂȘme sâil ne manque pas lĂ non plus, dâinstant arrĂȘtĂ©, de niveau de palier pour le dĂ©montrer, tout comme nous pouvons dĂ©montrer que lâĂ©conomie est facteur de guerres, ou quâelle Ă©vite les effet, sâil y avait une seule de ces assertions dâabsolu, depuis le temps nous le dâun dĂ©bat dialectique Ă un autre, chacun essaie de convaincre souvent le moins aguerri, de telle sorte que nous pourrions expliquer avec autant de dĂ©monstrations avĂ©rĂ©es, que lâĂ©conomie crĂ©er le social, comme son inverse, et que lâĂ©conomie fomente des guerres, ou quâelle relie les diffĂ©rence tient Ă notre apprentissage dâun dĂ©veloppement intellectuel partialitĂ© câest aussi Lui, lâhomme, qui la saisira par son intelligence, quand nous dĂ©velopperons ce quâil y a de positif » en nous par lâapprentissage, notre fabuleuse capacitĂ© dâemmagasiner des informations pour rĂȘver et dĂ©couvrir, comme nous le faisons avec ce quâil y a de nĂ©gatif » nous convaincre de passer, dans lâactuelle organisation, notre temps exclusivement au travail, et que nous le prĂ©sentons comme une effet, lâhistoire de presque tous les Ătats est formĂ©e des louanges faites Ă lâĂ©lite dirigeante, celle-lĂ mĂȘme qui guerroie sans cesse, et pour laquelle la consĂ©cration est, possĂ©der, convertir, et sâenfermer dans ses possessions et ses concepts ».Aujourdâhui, nous sommes toujours sous ce mĂȘme rapport, sauf que la possession hors patrimoine est le revenu du marchĂ©, et le fief lâEntreprise ». Entre les deux, câest le langage qui a changĂ©. Je suis, certes, volontairement excessif dans la comparaison, mais mĂȘme les moins naĂŻfs savent que ce sont des rapports guerriers que nous entretenons au travers des rapports inĂ©luctable ?Est-ce quâil serait stupide dâimaginer quâun entrepreneur fasse appel au partenariat pour son projet plutĂŽt quâau salariat ?Doit-on rester en Ă©tat de servitude, mĂȘme si sa forme moderne sâappelle le salariat, si la forme moderne de la vente dâesclaves sâappelle le placement ou lâintĂ©rim, parce que nous nous abusons en disant, nous avons la libertĂ© de ne pas nous y soumettre » ?Est-ce impossible dâimaginer que le travail devienne une part de lâactif auquel il contribue ?Est-ce impossible de compter diffĂ©remment lâactivitĂ© sociale ?Doit-on rester sous la forme de dĂ©personnalisation des S A ou doit-elle poursuivre sa collectivisation par lâactionnariat jusquâau bout en y intĂ©grant tout son personnel jusque dans les dĂ©cisions ?Pourquoi le salariĂ© de lâentreprise X doit-il passer par les placiers pour obtenir une part de plus value Ă laquelle il contribue en tant que salariĂ© ?Pourquoi faut-il que le salariĂ© soit stupide pour ne pas comprendre que les taux de rendements quâil exige de la part de ses placements, câest lui qui les paiera par et dans son travail ?Doit-il ne pas comprendre que dans certains cas, câest lui-mĂȘme qui se poussera au licenciement, lorsquâil est client, et quâil est dĂ©montrĂ© quelque part de maniĂšre absolue que la condition humaine voue les Etres Ă ĂȘtre exploiteurs ou exploitĂ©s ?Est-ce que notre imagination ne fonctionne quâavec de lâadrĂ©naline causĂ©e par la peur ?Le monde de la recherche fondamentale nous dĂ©montre que non, tout comme bien des philosophes grecs et autres. Ils dĂ©montrent quâil suffit parfois dâavoir seulement envie de savoir, envie de crĂ©er, envie de repousser plus loin notre fragile condition humaine. Envie de voir notre futur autre que notre passĂ©, envie dâĂȘtre un individu avec les autres, plutĂŽt quâĂȘtre la prison des autres. Envie de rĂȘver...DâĂȘtre un individu qui aura dĂ©veloppĂ© sa personnalitĂ© culturalisĂ©e, toutes ses capacitĂ©s, pour sâassocier comme le monomĂšre de Sapiro dans un sourire » note 20 avec dâautres semblables ou diffĂ©rents, suivant le regard que nous portons sur lui, et non pratiquer le culte de la personnalitĂ©, car en sâassociant il ne pourra pas rester ce quâil par des jeux du langage, nous nous dessaisissons parfois de notre humanitĂ©, comme si, lorsque nous Ćuvrions au sein de lâentreprise, sâen Ă©tait fini de notre personnalitĂ© humaine. Comme si lâĂ©conomie ne devait ĂȘtre que lâexpression de notre violence ! Jâentends par la violence, lâagressivitĂ© innĂ©e due Ă lâespĂšce apte Ă survivre que nous sommes, et que nous Ă©rigeons en violence culturelle, dont certains y attribuent les progrĂšs de notre intelligence en concevant lâentreprise », a conçu un merveilleux outil qui est un outil crĂ©ateur de biens et de services Ă notre usage, et oĂč notre intelligence devrait y trouver sa fonction dâutilitĂ© essentielle produire pour satisfaire nos besoins, mais nous continuons Ă relĂ©guer cette fonction au rĂŽle de subsidiaritĂ© de recherche de la richesse. Câest pourquoi, si nous devons y travailler dans des structures plus ou moins Ă©laborĂ©es, il ne faut pas perdre de vue que lâintĂ©rĂȘt auquel cet outil contribue aujourdâhui, animĂ© par ceux qui le dirigent, est Ă finalitĂ© lucrative[132].Pourtant, ce nâest pas lâoutil qui dirige lâentreprise, mais bien les hommes. Les hommes avec leurs difficiles relations envers leur Pouvoir », un pouvoir quâils Ă©duquent dâesprit de domination des uns envers les autres, cela mĂȘme au travers de tous les instruments de leurs crĂ©ations, instruments quâils figent pour les servir, lorsquâils en retirent une toute-puissance. Cela conduit les hommes Ă prendre, Ă la fois le risque du suicide Ă©goĂŻste Ă titre individuel ou y conduire une sociĂ©tĂ© quand le fait devient majoritaire, et de se maintenir par lâorganisation industrielle dans un suicide altruiste ĂȘtre accro du travail, ou y sacrifier sa vie. Pour reprendre lâexemple du suicide altruiste de Durkheim, qui dit que lâhomme se tue quand il est trop intĂ©grĂ© dans une sociĂ©tĂ© quand on est habituĂ© dĂšs lâenfance Ă ne pas faire cas de la vie, et Ă mĂ©priser ceux qui y tiennent avec excĂšs, il est inĂ©vitable quâon sâen dĂ©fasse pour le plus lĂ©ger prĂ©texte⊠».[133] Il en est ainsi de lâorganisation de lâentreprise qui sâest personnifiĂ©e effaçant de ce fait lâindividuation individualisme socialisant de la plus part de ses membres, pour nâen retenir que ceux qui pratiquent lâindividualisme excessif ne vivent que pour lâentreprise, lâesprit dâentreprise conduisant au suicide Ă©goĂŻste ou altruiste, ceci par lâusage des mots et de la dialectique, au service dâun but individualiste, qui les pousse Ă croire que chacun pourrait exister sans les autres. Ce quâils nâen retirent en fait, nâest que le choix dâune cette mort, elle se mesure moins en suicides effectifs, quâen dose de tranquillisants ou de thĂ©rapies de toutes les sortes pour pouvoir continuer Ă la vivre.âŠqui enserre la pensĂ©eâŠCela signifierait-il que lâactuelle organisation Ă©conomique est immuable, et que nous aurions trouvĂ© la pierre philosophale dans ce domaine ? Alors que nous avons encore 800 000 ans[134] estimĂ©s avant notre prochaine Ă©volution.Aussi, je comprendrais mal que lâon vienne dire au nom de lâentreprise, que les hommes nâont pas le droit de dĂ©velopper une autre source de richesse en dehors dâ je comprends que les dĂ©tenteurs du pouvoir Ă©conomique disent quâils nâentendent pas le partager, car lâentreprise » est aussi une arme, une arme de conquĂȘtes. Si bien que, comme je le disais plus haut, câest une dĂ©cision politique qui intervient nâemploiera du personnel que si elle y trouve un intĂ©rĂȘt, et câest bien quâelle fonctionne ainsi, lâentreprise nâa pas pour finalitĂ© de donner du travail, mais de produire des biens et des services. Câest aux hommes Ă se trouver une autre source de revenu ou modifier le systĂšme monĂ©taire. Câest Ă eux de sâinterroger sur leur devenir, pas Ă lâentreprise. Encore, faudrait-il que leur majoritĂ© connaisse les mĂ©canismes de lâĂ©conomie, et ne pas prendre des valeurs relatives pour des valeurs absolues ou que la LibertĂ© nâest que la comprĂ©hension de la somme des prisons » dans lesquelles nous enserrons notre corps et notre esprit, et ne pas entretenir avec lâentreprise des rapports de maĂźtre Ă esclave, oĂč quand le maĂźtre disparaĂźt, lâesclave cherche Ă qui se vendre. Nous dĂ©sirons tous ĂȘtre des maĂźtres, alors que nous ne sommes quâinterdĂ©pendants les uns des autres. Pourtant ce qui est important ce nâest pas dâĂȘtre maĂźtre ou esclave, ce ne sont que des mots. Câest de savoir ĂȘtre ce que nous sommes, des Ătres communicants, mais cela se dĂ©couvre par lâinstruction, la connaissance, le Savoir, et comprendre que ce nâest jamais acquis indĂ©finiment puisquâil sâagit dâune dĂ©marche culturelle, que cela demande des annĂ©es dâapprentissage, pour ne pas dire la fait câest si difficile que la plupart du temps nous prĂ©fĂ©rons utiliser, dans bien des cas, un langage plus rapide et universellement connu, les armes, cela mĂȘme quand nous savons quâaprĂšs la confrontation il y aura la rĂ©conciliation.âŠet la ghettoĂŻse[135] »âŠSans nous en rendre compte, par souci de clairvoyance, dans la complexitĂ© de nos sociĂ©tĂ©s nous nous sommes ghettoĂŻsĂ©s » dans des mots conceptuels [136]LibertĂ©, VĂ©ritĂ©, Dieu, Loi, etc. qui sont issus de nos comportements, et qui en gĂ©nĂšrent de nouveaux, assurant ainsi un renouvellement du langage nâen retenir que deux, nous sommes passĂ©s dâouvrier marmonnant au salariĂ© participatif », et dâusager patient Ă client exigeant ». Nous avons créé une sĂ©paration, une dichotomie entre ces deux maniĂšres d'ĂȘtre, par des appellations nouvelles pour la mĂȘme personne, concrĂ©tisant en cela ce que nous pensons ĂȘtre une adaptation ou une par rĂ©ciprocitĂ©, il est possible que le salariĂ© interroge le client, comme hier lâouvrier interrogeait lâusager, câest toujours la mĂȘme personne, sauf que les hommes endossent aussi facilement des mots conceptuels, quâils endossent les costumes du prĂȘt Ă porter », mĂȘme sâils nâont pas Ă©tĂ© taillĂ©s pour eux, mais pour un systĂšme. Tout comme nous laissons Ă dâautres, les spĂ©cialistes de lâĂ©conomie, le soin de nous dire quels doivent ĂȘtre nos comportements dans lâun ou lâautre de ces rĂŽles sociaux, aprĂšs quâils les aient soigneusement au travers du mot performance dans un commentaire sportif. Assez souvent, l'on nous explique, pour remplacer le mot performance, que les acteurs dâun sport se dĂ©pensent Ă deux cents pour cent, indiquant peut-ĂȘtre, quâĂ lâexactitude du propos se substitue lâimpĂ©tuositĂ© Ă©motionnelle, feinte ou non, mais, constituant une inflation du verbe, signifiant que pour ĂȘtre performant il faut dĂ©passer ses propres normalisent en cela une activitĂ© hors norme nĂ©cessitant une prĂ©paration particuliĂšre, pour en faire la norme, et relĂ©guer ainsi Ă lâanormalitĂ© le normal rythmes biologiques.Cela serait amusant, si, dans les faits, nous ne mesurions pas cette inflation verbale et verbeuse en quantitĂ©s de tranquillisant ou dopants de toutes sortes. Câest Ă dire, si lâexigence de la performance au quotidien dans notre organisation Ă©conomique ne nous poussait pas Ă dĂ©passer les rythmes biologiques, et cela sans aucune lâhabillement le mĂȘme phĂ©nomĂšne dâenfermement existe ce que nous appelons le phĂ©nomĂšne de au-delĂ , câest Ă dire, mĂȘme au-delĂ de la seule identification sociale, il y a lâhabit dâappartenance que nous impose parfois de porter la sociĂ©tĂ© idĂ©ologique X, il y a celui de lâentreprise Y que nous devons vĂȘtir sous peine de licenciements de la mĂȘme maniĂšre que nous marquions les esclaves jadis. Il y a lâhabit physiologique, celui du physique de toutes les hĂŽtesses dâaccueil et autres, oĂč lâon rejette les laides, les boutonneuses, les grosses, les trop typĂ©es, oĂč lâon mute dans le meilleur des cas les belles devenues trop y a aussi lâhabit de marque au nom cĂ©lĂšbre, et celui qui transporte la marque rĂ©fĂ©rentielle ostentatoire, qui est celui qui nous transforme en support publicitaire de plein le plus insidieux est quand lâhabit fait le moine, et surtout quand lâinstrument exprimant la personnalitĂ© la façonne Ă notre insu, quand nous nous personnifions Ă la est difficile dâĂ©chapper Ă ce phĂ©nomĂšne qui organise toute notre existence, nous pouvons tout de mĂȘme en prendre conscience, en comprendre par exemple que ce nâest pas nous qui organisons notre vie autour de notre sociabilitĂ©[137]. Celle-ci sâorganise autour de la monnaie, et Ă travers le mot magique de rĂ©duction des coĂ»ts dans sa forme actuelle », et de fait nous rĂ©duisons aussi notre risque est de ne pas sâapercevoir quâĂ des mots et concepts nouveaux, correspondent des comportements parfois archaĂŻques, rĂ©actionnaires ou des cocasse, ce nâest pas de contester la libertĂ© de chacun, ni le rĂŽle dâidentification ou de repĂšres qui dĂ©coulent de ces cocasse, câest dâobserver que le discours libĂ©ral sâaccommode parfaitement des comportements collectifs, en les suscitant quand lâesprit compĂ©titif productif sâharmonise parfaitement avec lâ cocasse, câest Ă©galement dâobserver que chacun veut ĂȘtre maĂźtre de ses choix, tout en y enfermant les autres, cela revient Ă dire que chacun voudrait que lâautre lui soit acquis, plutĂŽt que de se retrouver en sur dix personnes nous aurions dix groupes potentiels de dix, puisque chacun voudrait que les autres lui soient acquis, et cela, parce que nous lui avons rĂ©pĂ©tĂ© de gĂ©nĂ©ration en gĂ©nĂ©ration, que dans tous les groupes se dĂ©gagent toujours un dominant naturel issu de la confrontation primitive dont nous avons fait lâinterprĂ©tation et qui ne se retrouve pas dans les traces de lâart pariĂ©tal. Alors quâil ne domine que par dĂ©faut, parce que les autres ont une bonne ou mauvaise » raison de le laisser dominer pour que sâexprime la reprĂ©sentation du groupe, de la consĂ©quence, je peux dire que chacun dâentre nous est par un mauvais apprentissage un collectiviste » ou/et que lâindividualisme est une sociabilitĂ© quoi, le dĂ©bat pour ceux qui penseraient encore que lâindividuel et le collectif sâopposent, peut se rĂ©sumer Ă compter le nombre de personnes qui portent la mĂȘme paire de chaussettes que leur, moi je», câest Ă dire quâau quatre coins du monde il y a peu de chance que lâon trouve un individu que sa personnalitĂ© lui suggĂšre de sans chausser la tĂȘte, sauf dans lâart conceptuel, car inĂ©vitablement les hommes ont des goĂ»ts et comportements communs, cela dans un choix restreint par lâespace gĂ©ographique, et aujourdâhui Ă©tendu par les moyens de communication, et quâil sâen trouvera toujours pour vous dire quâils veulent la mĂȘme chose quâun hommes sont condamnĂ©s Ă se rencontrer, et Ă se retrouver ou se reconnaĂźtre dans un autre, et Ă agir limite toute la pensĂ©e pseudo libĂ©rale qui ne peut trouver son expression que dans une organisation collective. Elle y parvient en organisant la soumission Ă©conomique par le revenu au travers dâentitĂ©s totalitaires » entreprises nĂ©es du vocable libertĂ©, de la libertĂ© dâentreprendre, des hommes qui rĂȘvaient dâĂȘtre roi Ă la place du soumission hĂ©gĂ©monique ne cessera que lorsque le systĂšme actuel entrera en concurrence avec un autre, faute de le comprendre, pour se que jâai trouvĂ© de merveilleux dans le libĂ©ralisme, câest quâil sâarrĂȘte aux portes de lâentreprise, oĂč il y fait lâapologie du despotisme au nom de la propriĂ©tĂ© entretient la confusion que tout propriĂ©taire qui, sâil dispose Ă sa convenance de son bien, croit quâil dispose Ă©galement de la mĂȘme maniĂšre des personnes quâil emploie dâoĂč le code du travail.Aujourdâhui, la propriĂ©tĂ© dâentreprise que je vise, sâest dĂ©personnalisĂ© au travers de la SociĂ©tĂ© Anonyme » sous toutes ses formes, permettant Ă ses gestionnaires de ne pas assumer la responsabilitĂ© de leurs gestions en cas de faillite, en la transfĂ©rant Ă des formes impersonnelles ou multi personnelles, reprĂ©sentant les actionnaires. Actionnaires qui ne sont jamais inquiĂ©tĂ©s, alors quâils disposent de titres de propriĂ©tĂ©s par lâactionnariat.[138] Le seul risque de lâactionnaire est, la fluctuation de la valeur de lâaction, et la perte de la mise de que je veux souligner par cette observation, câest que le libĂ©ralisme prĂŽne la responsabilitĂ© individuelle de nos actes, et que si les hommes ont des droits ils ont aussi des devoirs, hormis le fait, quâil sait aussi trouver les formes qui permettent de sây soustraire, dây Ă©chapper, et laisser Ă la charge de la collectivitĂ© les consĂ©quences dâune mauvaise gestion dâentreprises faillite. Câest ce que jâappelle lâambiguĂŻtĂ© du discours, discours qui varie en fonction de ses cela, mĂȘme si câest pour faciliter la prise de risque des entrepreneurs, en minimisant celle-ci pour permettre des constructions industrielles qui ne pourraient ĂȘtre couvertes par les biens personnels des dits entrepreneurs, ou qui conduiraient Ă la faillite tous les actionnaires, sâils devaient la couvrir sur leurs biens y aurait moins de spĂ©culation si une loi obligeait les actionnaires Ă couvrir les passifs des entreprises, ne serait-ce que par un prĂ©lĂšvement obligatoire sur les actions, palliant ainsi ce risque en alimentant les ASSEDIC, le fond de garanti, et une caisse Ă destination des crĂ©anciers fournisseurs, sous traitants, car tous les prĂ©lĂšvements versĂ©s par lâentreprise sont payĂ©s par le voilĂ , nous nous fabriquons des ghettos artificiels, et ensuite nous nous Ă©tonnons des effets de leurs interactions.âŠpour combien de nos relations issues de nos Ă©motions sont presque encadrĂ©es, formalisĂ©es encodĂ©es pour nous permettre dâassurer une certaine fluiditĂ© homogĂ©nĂ©itĂ© Ă notre multitude humaine, et y lire notre activitĂ© le cadre des contraintes physiques que lâunivers nous impose, dont la maĂźtrise de certaines a permis notre essor technologique, nos jugements de valeur sont Ă©motionnels et suggestifs. Leur normalisation permet dâassurer la cohĂ©sion des groupes dâindividus et constitue leur puisque ce sont des jugements de valeur subjectifs, ils sont tous contestables dans lâabsolu, et cela permet aux civilisations de se succĂ©der. Câest le relativisme culturel », dont lâacculturation est la ne pouvons pas dire dâaprĂšs les traces archĂ©ologiques et les lectures qui nous ont permises de comprendre et dâapprendre lâexistence des civilisations passĂ©es, que les dominants de chacune dâelles, assurĂ©s de leurs certitudes aient voulu laisser leur place, et considĂ©rer leur propre culture comme une valeur relative. Pourtant, le temps a eu raison de leurs certitudes le comprendre Ă prĂ©sent afin que le travail des anthropologues et archĂ©ologues ne soit pas vain !Ces mĂȘmes certitudes, nous les affirmons aujourdâhui avec heureusement beaucoup plus de moyens et de le risque demeure le mĂȘme que par le passĂ©, câest Ă dire celui de croire que les idoles que nous bĂątissons suffisent Ă nous prĂ©munir de lâ avons toujours des hommes qui ont besoin de titres de rois », comme si ĂȘtre simplement un ĂȘtre humain nâĂ©tait pas difficile en soi, et dâautres qui ont besoin de les cette orientation qui transpire parfois de tous les accrocs » Ă lâĂ©conomie de marchĂ©, sans trop sâapercevoir pour autant quâils entrent en prĂȘtrise, et limitent lâactivitĂ© de leur idole lâhomo oeconomicus Ă leur propre condamnent ainsi lâHomme Ă nâĂȘtre que le tube digestif de lâ limitent ainsi sa substance, et son entitĂ©, Ă nâĂȘtre que deux trous, lâun mangeur de bien et service, lâautre Ă©vacuateur de monnaie et de dĂ©chets, et ce, quel que soit lâintĂ©rĂȘt que celui-ci y faisant, ils rĂ©cupĂšrent la monnaie et laissent les dĂ©chets Ă la charge de la collectivitĂ© nous le savons aujourdâhui, il nây a de gĂ©nĂ©ration spontanĂ©e dans aucun domaine, tout notre futur est contenu dans notre passĂ©, dâoĂč nous le faisons Ă©merger grĂące Ă notre intelligence. Bachelard disait Le futur ce nâest pas ce qui va arriver, mais ce que nous allons faire ».Câest pourquoi, notre futur Ă©conomique est contenu dans lâorganisation de notre prĂ©sent Ă©conomique. Dans cette loi du marchĂ©, qui basculera lorsquâelle atteindra son seuil critique ordre / dĂ©sordre, de la mĂȘme maniĂšre quâont basculĂ© les civilisations passĂ©es, lorsquâelles lâont atteint, et qui a entraĂźnĂ© leur allons nous attendre le seuil critique, ou allons nous lâanticiper ?Allons nous attendre le seuil critique, ou rĂ©veiller lâhomo-sociabilis ?Nous pouvons aujourdâhui estimer que la suprĂ©matie du Blanc » dâorigine indo-europĂ©enne va sâĂ©teindre dâelle-mĂȘme, compte tenu du taux de natalitĂ© infĂ©rieur Ă son propre renouvellement. LâactivitĂ© Ă©conomique importera de fait des populations extĂ©rieures, et nous seront conduit vers un mĂ©tissage. Au-delĂ de la couleur, qui nâa dâintĂ©rĂȘt que pour les racistes, qui sont dâailleurs condamnĂ©s dâavance et qui en perpĂ©tuant la xĂ©nophobie fabriquent de futurs martyrs, câest le mĂ©lange des croyances qui va constituer la difficultĂ© maximale, et ce, au travers de celle qui se prĂ©sente sous son aspect le plus hĂ©gĂ©monique aujourdâhui, lâIslam. Non parce que câest lâIslam, mais parce quâelle est dans sa pĂ©riode obscurantiste, la dogmatisation », et constitue, et la voix, et la voie dâune forme dâopposition politique aux pays riches. Pays riches pris aussi dans leurs reprĂ©sentations dogmatiques, le judĂ©o-hĂ©lĂ©no-christianisme et la colonisation Ă©conomique ». Nous savons dâexpĂ©rience, que contre des convictions les armĂ©es sont de peu de poids. Alors il faudra que lâhomo oeconomicus », dans ses rapports et ses Ă©changes catĂ©goriels, comme dans ceux avec lâextĂ©rieur, songe Ă laisser une place Ă lâhomo-sociabilis », afin dây dĂ©velopper lâĂ©mancipation intellectuelle, de maniĂšre que le langage Ă©conomique ne se limite pas Ă poser seulement des entraves de geĂŽliers».En effet, la comparaison des tendances dĂ©mographiques entre les pays industrialisĂ©s et les pays en voie de dĂ©veloppement ne va cesser de sâaccroĂźtre. Les rĂ©gions dĂ©veloppĂ©es, Australie, AmĂ©rique du Nord, Europe, Japon, Nouvelle-ZĂ©lande, abritent 1,2 milliards dâhabitants avec un taux de fĂ©conditĂ© de 1,57 enfants par femme. Dans les 50 prochaines annĂ©es, leurs populations ne devraient pas Ă©voluer car leur taux de natalitĂ© va rester infĂ©rieur au taux de renouvellement qui est de 2,1, avec des disparitĂ©s. On notera un affaiblissement dans des pays comme lâEspagne, la FĂ©dĂ©ration de Russie, Hongrie, Italie, Lettonie et Portugal, parce que leur taux de renouvellement avoisinera le zĂ©ro. Celle des pays comme LâAustralie, le Canada, la Nouvelle-ZĂ©lande et les Ătats Unis seront ceux qui auront un taux de renouvellement le plus Ă©levĂ© autour de 1, en parti du fait de lâ le mĂȘme temps, les populations des pays en dĂ©veloppement qui abritent 4,9 milliards dâhabitants auront doublĂ©, passant Ă 8,2 milliards dâhabitants avec un taux de fĂ©conditĂ© de 3,1 ; parmi lesquels les pays les moins avancĂ©s, se situant en Afrique, auront eu triplĂ© la leur, passant de 269 millions Ă un milliard, avec les taux de fĂ©conditĂ© les plus Ă©levĂ©s ; alors que lâensemble des pays les moins avancĂ©s passera de 658 millions Ă 1,8 milliards. CorrĂ©lativement lâurbanisation sâaccroĂźtra Ă©galement les villes de plus de 1 million dâhabitants passeront de 4,3% en 2000 Ă 5,2% en 2030 et celles de moins de un million passeront de 28,5% en 2000 Ă 30,6% en 2030. Source, UNFPA rĂ©alisĂ© sur la pĂ©riode de 1995 Ă 2000.Comme je ne vois pas toute cette population aller sur les bancs de lâĂ©cole pour apprendre la relativitĂ© de nos valeurs, et celles du monde sensible ».Il est facile dâimaginer que le souci de se nourrir donnera plus dâacuitĂ© aux penchants dâaller chercher ailleurs ce dont ils ont besoin, et ils deviendront de fait rĂ©ceptifs Ă toute idĂ©ologie porteuse dâune â Mais il ne faut pas rejeter ce qui fonctionne dans une organisation de il ne faut pas rejeter ce qui fonctionneâŠToutefois, lâavantage que prĂ©sente cette loi du marchĂ©, câest offrir des biens et des services dans le cadre dâune anticipation qui peut ĂȘtre Ă la fois planifiĂ©e projet, suscitĂ©e publicitĂ©, offre, suivie demande, et ce, peut importe qui pourra bien sâenrichir au passage dans une loi du marchĂ© sociabilisĂ© et pourvu que nous comprenions que ce ne sera jamais, tous les hommes, quel quâen soit notre dĂ©sir, et que les hommes qui le seront, ne le seront jamais Ă titre dĂ©finitif perpĂ©tuellement. Donc, rien ne nous contraints Ă fabriquer des pauvres ou dâen conserver, pour se reconnaĂźtre riches. Tout comme la richesse peut reposer sur dâautres critĂšres, que ceux que nous avons cela nous est permis ! Permis, justement parce que la monnaie est fictive, et quâelle peut ĂȘtre utilisĂ©e pour dĂ©velopper des marchĂ©s lĂ oĂč il nây a demeurant que son organisation monĂ©taire permette Ă chacun de disposer dâun revenu sans altĂ©rer la capacitĂ© Ă produire, et sâest lĂ le plus difficile au travers des normes mĂ©ritocratiques » en place. ParticuliĂšrement devant le difficile problĂšme de la motivation, celle qui consiste Ă dĂ©velopper, consentir un effort contre une rĂ©compense lâeffet carotte.âŠdans une organisation de il est plus facile dâaller sur la lune, que de persuader les hommes quâils vivent dans un systĂšme monĂ©taire est tout aussi difficile de les persuader que la circulation rĂ©glementĂ©e de monnaie ne doit pas ĂȘtre un mur infranchissable, car ce mur nâexiste que dans notre esprit, et ce nâest pas ce mur de papier virtuel qui est infranchissable, mais seulement certains de nos comportements et vous comprenez mieux Ă prĂ©sent pourquoi je vous propose de dĂ©velopper la connaissance, car câest elle qui nous permet de porter un regard critique sur toutes nos la loi Moore[139] pouvait sâappliquer Ă notre intelligence cela serait merveilleux, car nos Ă©chelles de valeur nâont pas heureusement, un caractĂšre hĂ©rĂ©ditaire. Faute de loi Moore, nous devons Ă©voluer par succession de civilisations, par acculturation, et culturalisation »[140], mais dans cette culturalisation » nous pouvons y inclure le dĂ©veloppement permanent de notre pourquoi, pour utiliser un terme adorateur, et rester ainsi dans notre culturel aux pratiques cultuelles, il faut dĂ©velopper le marchĂ© de lâintelligence », sans quoi les grands prĂȘtres financiers ne le bĂ©niront pas, et cela, sâils nâen perçoivent pas leur - Quel est donc ce marchĂ© de lâintelligence qui intĂ©resserait les capitalistes, et qui pourrait ĂȘtre estimĂ© Ă©conomiquement plus facilement que ses incidences idĂ©ologiques, structurelles, sans occulter le risque dâun effet est donc ce marchĂ© de lâintelligence qui intĂ©resserait les capitalistes ?âŠJe peux me hasarder Ă un petit raisonnement apagogique. [141]LâintĂ©rĂȘt dâune entreprise de production de biens et services serait que les hommes soient au quotidien des clients, et que la production soit assurĂ©e par des ce schĂ©ma dans et vers lequel nous Ă©voluons, et qui est lisible dans lâindustrie et lâagriculture. SchĂ©ma que nous redoutons, car il est synonyme de suppressions dâ cela sâest traduit par une rĂ©duction du temps de travail avec une augmentation des revenus, et le dĂ©veloppement des services et que les employeurs se soient opposĂ©s de maniĂšre constante Ă toute rĂ©duction du temps de travail, ils nâen ont pas moins su utiliser les entreprises pour couvrir le marchĂ© dĂ©gagĂ© par ce crĂ©neau du temps libre, et rĂ©aliser des affaires. Le marchĂ© du loisir reprĂ©sente environ un quart du budget total des sont leurs facultĂ©s Ă rebondir », Ă sâadapter aux Ă©volutions des tendances socio-Ă©conomiques, et quand nous faisons le rĂ©capitulatif de leurs possessions, en France elles ne se sont pas appauvries, formation brute de capital fixe, 218 milliards Euro 1430,6 milliards F en 1994 Ă milliards dâEuro 1813,9 milliards F en 2000, notamment pour celles qui ont su investir dans les diffĂ©rents secteurs. Cela sâentend bien sĂ»r malgrĂ© le jeu de la concurrence.Pour revenir Ă lâhypothĂšse retenue, le simple client » non propriĂ©taire de moyens de production qui fournissent des revenus devra, lui, se trouver une source de revenu indĂ©pendante de lâactivitĂ© Ă©conomique cela, nous disposons et nous avons Ă notre disposition le systĂšme de la redistribution circulation de la monnaie, et celui de la crĂ©ation de monnaie banques et pouvoir rĂ©galien de lâĂtat par lâ premier, la redistribution, exigerait que les producteurs redistribuent leurs richesses vers les clients, afin que ces derniers disposent de revenus pour leur acheter les biens quâils produisent câest cela qui se passe dans la rĂ©alitĂ©, en Ă©change de la capacitĂ© de travail des individus pour satisfaire Ă la production.En tenant compte de la pratique de nos relations socio-Ă©conomiques, quâelle serait la raison, dans ce raisonnement absurde, qui pousserait les producteurs Ă redistribuer ? Aucune ! Nous nâavons pas un sens assez dĂ©veloppĂ© de la notion dâespĂšce Humaine pour cela, espĂšce humaine en tant que communautĂ© deuxiĂšme, le client peut, faute de redistribution, avoir recours Ă lâemprunt pour consommer, mais comment le rendre puisque le client nâa plus de source de revenu, si ce nâest, que par un endettement perpĂ©tuel. Le client peut Ă©galement dĂ©cider en tant que citoyen, que lâĂtat assurera indĂ©finiment ses ressources par une politique un instant que cela fonctionne, les producteurs vont donc accumuler des fortunes colossales. Mais pour en faire quoi ? Allez, je vous laisse poursuivre ce raisonnement absurde. Cependant, suivant lâidĂ©e que vous en avez de ce quâest lâexistence humaine de votre alter ego, du monde, vous le ferez vivre ou que, si nous regardons lâexistence au travers de lâHumain, il nây a que des solutions, si nous le regardons quâau travers dâun systĂšme monĂ©taire Ă©goĂŻste, il nây a que des fins. Mais, que nous fassions de lâhumain un Ătre libre de savoir ou esclave dâignorance, nous nâĂ©chapperons pas, et câest en cela que je voulais aboutir, Ă lâutilisation de notre intelligence pour raisonner. Une intelligence dont il est plus facile de parler que de lâexpliquer[142], et dont le dĂ©veloppement dĂ©pend Ă©galement Ă©troitement des contextes gĂ©ohistorique » qui ont engendrĂ© la sociologie et les idĂ©ologies qui lâ si dans ce schĂ©ma absurde, rien ne mâempĂȘche de distribuer de la monnaie, je peux mâinterroger avec quelle contre partie, pour ceux qui retiennent la notion de dĂ©sirs raisonnĂ©s» ?Avec quelle carotte, pour ceux qui sont adepte du laisser faire » ?Une question qui intĂ©resse autant les clients qui ont besoin de revenus pour acheter des biens et des services, que lâentreprise dont les produits nâont de valeur, que si elle peut les peut avoir son idĂ©e ! Pour ma part, je propose de dĂ©velopper le marchĂ© de lâintelligence» ! Cela parce que jâarrive Ă extraire mon raisonnement de ses contraintes socio idĂ©ologique » dans le dĂ©veloppement des ECPA, la part de marchĂ© qui intĂ©resserait les capitalistes serait celle de toutes les fournitures scolaires traditionnelles, mĂȘme si elles sont un produit de plus value restreinte, car ce sont des fournitures de masse. Toutefois leur intĂ©rĂȘt est un peu plus Ă©vident si pour ce faire nous y substituons lâapplication des nouvelles technologies issues de lâinformatique et de la en est Ă©galement de mĂȘme pour toutes les structures dâaccueil Ă dĂ©velopper qui concernent la branche du BTP bĂątiment et travaux public et les activitĂ©s peux souligner que je ne raisonne quâen terme de marchĂ©s nationaux, qui sont des marchĂ©s solvables, mais de petite envergure par rapport Ă ce que reprĂ©sente aussi cette demande des pays pauvres ou en voie de dĂ©veloppement.⊠qui pourrait ĂȘtre estimĂ© avoir une idĂ©e du marchĂ© national, il suffit de multiplier le coĂ»t unitaire actuel de lâenseignement, par le nombre de personnes susceptibles dâaccĂ©der Ă un projet des trente millions de personnes qui suivent Ă mi-temps un ECPA, Ă 5670,5 Euros 37200 Frs le coĂ»t moyen unitaire par Ă©lĂšve source ministĂšre de lâĂ©ducation nationale, soit 170,1 milliards dâEuros 1116 milliards de Frs. A ce coĂ»t il faudra ajouter la mise en place des structures dâaccueil Ă estimer. Ensuite, il faudrait Ă©valuer le fond du financement des revenus des ECPA. Admettons pour cela 5860 Euros 45000 Frs par an environ sur la base du SMC pour des mi-temps, soit 205,8 milliards dâEuro 1350 milliards de F. Ainsi, Ă partir de deux des Ă©lĂ©ments sur trois estimĂ©s, nous sommes Ă hauteur de la moitiĂ© du budget de lâĂtat, 722,9 milliards dâEuros 4740,9 Milliards de Frs, ce qui correspond Ă 37% du PIB produit intĂ©rieur brut 1404,6 milliards dâEuros 9214,7 milliards de Frs en 2000 ou du RNB revenu national brut 1415,9 milliards dâEuros 9288,8 milliards de Frs.[143]âŠplus facilement que ses incidences idĂ©ologiquesâŠ...Lâautre intĂ©rĂȘt se trouve dans lâincidence quâengendre une rĂ©partition du temps de travail. Lorsque la main dâĆuvre est abondante, nous ne nous soucions guĂšre de pallier son remplacement, dâautant plus, si nous pouvons facilement vendre son coĂ»t. Les contreparties sont de contenir les crises sociales que cela provoque en les finançant par des prestations. Ceci, plus facilement dans les pays riches oĂč les intĂ©rĂȘts corporatifs sont relativement structurĂ©s pour leur dĂ©fense. Malheureusement, ce nâest pas le cas dans le reste du monde, et ce coĂ»t pĂšse sur les Ă©changes, et les marges bĂ©nĂ©ficiaires dans la concurrence internationale, et pousse les Ătats Ă sâaligner par le discours libĂ©ral, comme je lâai soulignĂ©, tend constamment Ă rĂ©duire cette masse financiĂšre charges, soit parce que les entreprises ne parviennent pas toujours Ă la vendre ou quâelle rĂ©duit leurs pourraient en ĂȘtre soulagĂ©es si lâon opĂšre un transfert de son coĂ»t social vers les ECPA par exemple, et par extension, le coĂ»t dâautres charges sociales suivant des modalitĂ©s Ă dĂ©finir. Ce qui entre autres excluraient les entreprises de la gestion paritaire des dits organismes auxquels elles versent ces charges » prĂ©lĂšvements, et satisferait quelques discours dâorganisations syndicales, qui considĂšrent, que les prestations versĂ©es par les employeurs ne sont quâun salaire indirect. Mais ce nâest lĂ quâun raisonnement idĂ©ologique, car dans les organismes sociaux les partenaires ne gĂšrent que par ceux qui pourraient penser que câest lĂ un cadeau royal aux capitalistes, les entreprises devront en Ă©change rĂ©trocĂ©der Ă lâĂtat la comptabilisation de la valeur de leur propriĂ©tĂ© fonciĂšre. Ils en garderont la jouissance totale, mais la valeur fonciĂšre comptabilisĂ©e dans leur bilan, le sera Ă©galement dans un compte de lâĂtat, qui constituera avec un fond de garantie. Exemple quand une entreprise achĂšte Ă lâĂtat un terrain de 150 Euros 1000 Frs, ce nâest pas un achat du sol quâelle effectue, mais elle achĂšte le droit dâen jouir Ă titre de propriĂ©taire dĂ©membrement de propriĂ©tĂ© », le Nue propriĂ©tĂ© demeure propriĂ©tĂ© de lâĂtat, Usufruit celle du particulier ou de lâentreprise, tout comme la valeur nĂ©gociable du nue-propriĂ©tĂ©, qui pourrait sâappeler lâUsufruit nu » pour le diffĂ©rencier. Rien de cela ne changera les usages en vigueur concernant les droits privĂ©s attachĂ©s au titre de propriĂ©tĂ©. LâĂTAT enregistrera sa valeur de transaction, en ayant Ă©tabli une rĂ©fĂ©rence conventionnelle dâun seuil minimum des prix du sol. Ce procĂ©dĂ© sâappliquera Ă toute transaction de terrains entre agents de lâĂ©conomie ou particuliers. Ceci sans autres interventions que celles existantes pour leurs opĂ©rations commerciales ou leur succession patrimoniale, mais en rĂ© actualisant tous les ans la valeur comptable des terrains figurant au bilan. Je reparlerai de cela dans le chapitre quel financement».IdĂ©ologiquement, câest un moyen de satisfaire lâintĂ©rĂȘt collectif et individuel. La collectivitĂ© conserve la valeur du territoire commun Nue-propriĂ©tĂ©, et permet Ă chacun dâen recevoir un usage financier au travers de la rĂ©munĂ©ration des ECPA. Ceci, sans lĂ©ser ceux qui pourront acquĂ©rir lâusage privĂ© des sols Usufruit nu, et ne pas remettre ainsi en cause la propriĂ©tĂ© le transfert dâune partie du coĂ»t social prĂ©lĂšvements sociaux, les entreprises dans leurs Ă©changes internationaux ne seront plus pĂ©nalisĂ©es, et celles-ci ne seront plus un facteur de dĂ©localisation et de chantage Ă lâemploi. MĂȘme, si pour certaines le transfert de ces prĂ©lĂšvements constitue une rĂ©duction de leur marge bĂ©nĂ©ficiaire, quand elles spĂ©culent dans les Ă©changes mondiaux avec les charges ».Les fondamentalistes du collectif se rĂ©approprient la partie fonciĂšre des moyens de production en la valorisant suivant les mĂȘmes critĂšres de la loi du marchĂ©, et ce, dans lâintĂ©rĂȘt la propriĂ©tĂ© privĂ©e est prĂ©servĂ©e, et la propriĂ©tĂ© collective Ă©galement tout en Ă©tant valorisĂ©e.âŠet structurelleâŠSi la rĂ©duction des coĂ»ts facilite lâemploi, celui-ci ne doit pas ĂȘtre dans ce cas lâobjectif essentiel. Ce doit ĂȘtre plutĂŽt la recherche dâun rééquilibrage en vue de dĂ©gager du temps libre, en rĂ©duisant la durĂ©e du travail pour gĂ©nĂ©rer un plein emploi. Ceci inĂ©vitablement dans une comptabilisation annuelle et une rĂ©partition hebdomadaire autre du temps de travail, en fonction des activitĂ©s professionnelles. Ce qui offrira certes des emplois supplĂ©mentaires, mais Ă©galement une orientation vers des investissements productifs faisant appel Ă lâinnovation technologique, pour faire face Ă un accroissement de la demande issue des revenus des ECPA, en permettant, de ne plus avoir Ă craindre les investissements robotiques » perçus comme supprimant des emplois. Cette orientation permet Ă©galement aux actifs de disposer de temps libre, afin de sâinscrire dans les ECPA. Ceci, de maniĂšre que le temps dâactivitĂ© dâun citoyen puisse se fractionner en quatre parties, travail, enseignement, repos, maniĂšre subsidiaire les ASSEDIC pourraient ĂȘtre refondues ou disparaĂźtre au bĂ©nĂ©fice des ECPA, offrant la souplesse dâune recherche dâemploi, et dâune activitĂ© le problĂšme le plus important nâest pas structurel, mĂȘme si lâintroduction de revenus issus des ECPA induit une augmentation du pouvoir dâachat qui, dans lâajustement offre demande peut susciter un risque dâinflation.⊠sans occulter les risquesâŠUn de ces risques rĂ©side dans le glissement des actifs potentiels, inscrits dans des ECPA, vers le milieu professionnel. Câest Ă dire, ce qui nous motive pour occuper un emploi, car il ne sâagit pas de transfĂ©rer les actifs productifs, vers les ECPA, pour en faire des actifs cĂ©rĂ©braux qui ne produisent rien, ou dâopposer deux sources de richesse, mais de les dans une sociĂ©tĂ© oĂč nous occupons des emplois par dĂ©faut, ce risque est grand. Dâautant plus que, dans notre culture, nous avons lâart dâopposer ce qui est complĂ©mentaire. Il serait sot dâopposer travail et dĂ©veloppement intellectuel. Notre sociĂ©tĂ© est parfaitement capable dâabsorber et dâajuster cette nouvelle activitĂ©, elle en a les moyens intellectuels et Ă©conomiques. Il en a Ă©tĂ© ainsi des congĂ©s payĂ©s, des rĂ©ductions dâhoraires, et du marchĂ© des loisirs quâils ont gĂ©nĂ©rĂ©s par une augmentation du pouvoir dâachat, contre vent et marĂ©es, des Ă©conomistes biens pensants, des intellectuels idĂ©ologues bloquĂ©s, et des entrepreneurs Ă©goĂŻstes nây a rien de pĂ©joratif dans mon propos, car les risques sont rĂ©els du fait mĂȘme de ces comportements qui sont leur reprĂ©sentation dynamique du monde dâun effet boomerang.âŠdâun effet risque, cette motivation essentiellement financiĂšre optimalisation de son intĂ©rĂȘt personnel, est le propre produit dâun discours libĂ©ral, qui par idĂ©ologie a fait du dĂ©veloppement individuel optimalisation de son intĂ©rĂȘt la clĂ© de voĂ»te de son systĂšme. Celui-ci sâest dĂ©veloppĂ© sous le poids de sa conception de classe le diktat des possĂ©dants, gĂ©nĂ©rant son antonymie tout aussi nĂ©faste, le collectivisme au sens strict. De maniĂšre que la victoire idĂ©ologique du libĂ©ralisme ait renforcĂ© nos comportements de type culturel au naturel Ă©goĂŻste ou Ă©gocentrique», bien que dans la rĂ©alitĂ© des Ă©conomies nationales les Ătats masquent leurs comportements lâidĂ©e demeure de fustiger de telles interventions, et il en dĂ©coule que toute rĂ©glementation est perçue comme une agression des droits Ă©goĂŻstes ».Ainsi, la tradition dans le monde Ă©conomique est de dissĂ©quer toutes les prĂ©cĂ©dentes rĂ©glementations qui permettent dâĂ©chapper, ou de bĂ©nĂ©ficier des nouvelles, suivant le cas, sâest renforcĂ©e. Comme se sont renforcĂ©s en ce sens les conseils en tout genre, et chacun dâentre-nous Ă titre individuel pratiquons de la mĂȘme maniĂšre. Donc dans cet esprit lĂ , chacun utilise les sources de revenus disponibles au mieux de ses intĂ©rĂȘts, et les libĂ©raux seraient plutĂŽt mal venus de sâen plaindre, puisquâils sont les stimulateurs de tels nây a donc, aucune raison que la rĂ©munĂ©ration, et la frĂ©quentation des ECPA Ă©chappent Ă cet effet boomerang. Dâautant plus que le comportement civique et le collectivisme au sens Ă©tendu note 15 ont quasiment disparu dans notre enseignement, et de fait, dans la collectivisme, un mot qui est devenu pĂ©joratif, un mot qui sâest opposĂ© Ă lâindividualisme pendant plus de 70 ans. Heureusement, il retrouve toutes ses vertus sous la citation dâAimĂ© Jacquet[144] On a gagnĂ© parce que chacun sâest mis au service du collectif mĂȘme si des individualitĂ©s en sont ressorties ».Naturellement, ceci sâobserve tous les jours dans notre quotidien, et lâentreprise » a essayĂ© de le mettre en place par le biais de tous les projets participatifs. Projets qui ne rĂ©sistent ni aux rĂ©ductions de salaires ni aux licenciements, car seule la contrainte du chĂŽmage a assurĂ© une rĂ©conciliation dâintĂ©rĂȘt avec lâ pourrait-on penser que les salariĂ©s se soient rĂ©conciliĂ©s avec lâentreprise ! Mais dans le mĂȘme temps la cĂ©lĂšbre participation active des salariĂ©s japonais, bĂątie sur leur relation paternaliste dâintĂ©gration» avec lâentreprise, ne les a pas mis Ă lâabri du dit » chĂŽmage. Car bien sĂ»r ce nâest pas ĂȘtre bien intĂ©grĂ© ou pas, avoir lâesprit dâentreprise ou pas qui sera dĂ©terminant, mais comment lâintĂ©rĂȘt que nous formulons par nos dĂ©sirs sociaux de produire nous allons le relier, lâassocier pour en donner une image globale qui sera lu et suivi par lâindividuel dans une rĂ©troaction dâauto justification, qui inĂ©vitablement Ă ce jeu de va et vient nous ramĂšne plus vers une sociĂ©tĂ© Ă©gocentrique que de naturellement cette image affectera tout type dâorganisation quâon lui â Ce serait une nouvelle approche sociĂ©tale aux effets inĂ©vitables, comme il y en a eu dans dâautres circonstances, que nous avons toujours surmontĂ©es, mĂȘme en inversant un serait une nouvelle approche sociĂ©taleâŠCes deux approches des rapports salariĂ©s / entreprises nâoffrent pas une quelconque assurance quant Ă la conservation dâun emploi rĂ©munĂ©rateur, car les salariĂ©s recherchent une stabilitĂ© dans des structures exclusives rĂ©duction des coĂ»ts. Ce en quoi les ECPA peuvent pallier, non sur une durĂ©e dĂ©terminĂ©e comme les ASSEDIC, mais sur une durĂ©e permanente tout au long de la vie active, et ce, en interaction avec lâentreprise, jusquâĂ bien sĂ»r lâinĂ©vitable seuil critique de tout systĂšme qui limite toutes les organisations sâensuivra de nouveaux rapports, salariĂ©s / entreprises, et peut-ĂȘtre que la notion de collaborateur partenaire remplacera-t-elle celle de salariĂ©, et de nouvelles formes de rĂ©munĂ©ration participative se composeront, de nouvelles motivations partenaires sociaux devront Ă©laborer dâautres garde-fous, les entreprises disposeront dâun peu plus de marge de manĆuvre pour ajuster leurs effectifs, la souplesse Ă©tant leur leitmotiv permanent. Les salariĂ©s alors nâauront plus Ă craindre de façon excessive le couperet du chĂŽmage, puisquâils pourront demeurer ou sâinscrire dans une activitĂ© dâenseignement rĂ©munĂ©rĂ©e pour disposer dâune source de revenu. Ceci parce que les actifs en perte dâemploi, pour toutes raisons passeront avec plus de facilitĂ© vers les ECPA Ă temps complet ou pas suivant leur volontĂ©, car ils auront pris par ailleurs lâhabitude de leur frĂ©quentation, et ne percevront plus leur mise Ă lâĂ©cart temporaire comme pouvons convenir que lorsquâun particulier prend lâinitiative dâun investissement crĂ©atif, il est normal quâil dispose des revenus et profits de ce dont il est le lorsque son projet doit utiliser lâaide de tiers, alors câest lui qui est demandeur ; et câest une Ă©vidence que de comprendre que sans ces aides, il ne parviendrait pas Ă ses fait une collaboration sâimpose, et si le propriĂ©taire veut ĂȘtre le maĂźtre absolu de ses dĂ©cisions, sâil veut disposer du fait du prince, alors il doit rester seul. Dans tous les autres cas il y a une collaboration Ă imaginer pour que le propriĂ©taire conserve les profits de son investissement et atteigne ses buts, sans sâapproprier ceux gĂ©nĂ©rĂ©s par les tiers. Lâhistoire de lâimpuissance collective a conçu des maĂźtres plutĂŽt que des guides, mais le reconnaĂźtre ne le rend pas irrĂ©ductible ; et si le code civil a analysĂ© en 1804 la marchandisation » de la force de travail comme du louage de service », donc du marchandisage. Je pense que depuis 1804, il est intervenu bien des Ă©vĂ©nements culturels dĂ©veloppement des sciences qui nous permettent de concevoir notre activitĂ© de travail complexes entre adultes culturalisĂ©s, comme une relation humaine, et non un conflit dâ naturellement nĂ©cessite une approche plus Ă©ducative de ce que jâai appelĂ© le collectivisme fractal », ou entreprendre avec les autres.⊠aux effets certain nombre dâactivitĂ©s inĂ©vitablement disparaĂźtra ou devra se restructurer, et dâautres naĂźtront. Pour ceux, que cela choquerait, quâils pensent que ce sont les mĂȘmes effets que les hommes engendrent en tant que consommateur, quand ils modifient leurs choix de consommation ou quand se fixe politiquement le taux du SMIC. Je nâai aucune inquiĂ©tude pour les grandes entreprises, mais les petits employeurs auront Ă©galement accĂšs aux Ă petit, la notion de salaire a cĂ©dĂ© le pas Ă celle de ressource incluant dâautres revenus que les seuls salaires, notamment ceux de transferts issus du versement de prestations, et dâexonĂ©rations en tout salaire, vacation et autre, en fonction des divers mĂ©tiers, dans lâorganisation Ă©conomique et sa comptabilisation actuelle, les revenus comportent un paradoxe inĂ©vitable, celui de crĂ©er une ressource pour celui qui en perçoit la rĂ©munĂ©ration, une charge pour celui qui la verse. Pour les entreprises les plus averties, elles savent quâen versant des revenus, elles refinancent » une partie de leur futur chiffre dâaffaires, en mĂȘme temps que celui dâautres entreprises. Donc, la stabilitĂ© de ressources quâapportera les ECPA modifiera certaines modalitĂ©s de la circulation de la monnaie, particuliĂšrement celui du pouvoir des marchĂ©s financiers, parce quâun Ă©ventuel surplus dâĂ©pargne, issu de la rĂ©munĂ©ration des ECPA, pourra rendre les taux dâintĂ©rĂȘt des banques plus attrayant pour les investisseurs, et moins cher les taux de lâargent au jour le jour.⊠et comme il y en a eu dans dâautres circonstances que nous avons toujours surmontĂ©esâŠPourtant, le point de rencontre de cet antagonisme, entre salariĂ© et entreprise, est quand lâun et lâautre sont des clients, chacun voulant faire une acquisition au moindre coĂ»t. Nous tournons donc dans une spirale de flux circulatoire Ă la recherche dâun perpĂ©tuel Ă©quilibre, qui ne peut pas exister au sens strict du terme, sauf de maniĂšre transitoire, lâĂ©quilibre stationnaire, lâĂ©gal du stade ultime oĂč il nây a plus de mouvement, oĂč câest la mort de toute chose, qui gĂ©nĂšre des crises ». Des crises variant au grĂ© de leurs ajustements de lâĂ©quilibre gĂ©nĂ©ral, Ă la recherche de lâĂ©quilibre revenu dĂ©pense, de lâĂ©quilibre monĂ©taire, de lâĂ©quilibre de lâemploi et de lâĂ©quilibre extĂ©rieur. Câest donc une ineptie que dâavoir lâobsession de la recherche dâun Ă©quilibre. Crises que nous avons toujours surmontĂ©es par des politiques dâintervention publique, budgĂ©taires ou exonĂ©rantes, parfois les deux Ă la fois, donc par un dĂ©sĂ©quilibre. Ceci, parce que le LibĂ©ralisme ne peut conserver son ordre que dans une communautĂ© organisĂ©e, vers laquelle il se tourne toujours en dernier ressort, parce que les exigences de lâexistence Humaine sâimposent de fait Ă une existence dâĂ©quilibre comptable, et dont, il a besoin de la force coercitive de lâĂtat dĂ©mocratique ou non pour rĂ©guler les dĂ©rapages dâexigences humaines qui se manifeste çà et lĂ . Ceci car il ne sâagit en fait, pour prendre une image Ă la psychologie, que la reconstruction recomposĂ© du dominant Ă©gocentrique de la mĂȘme somme de monnaie soit inscrite sous des appellations diffĂ©rentes suivant son usage, cela ne nous choque pas. Cette somme, par exemple, sâappelle charges » quand câest le paiement dâun salaire, revenu » quand câest lâencaisse du salaire, Ă©pargne » quand elle sera dĂ©posĂ©e dans une banque, emprunt si lâon dĂ©sire se la faire prĂȘter. Car bien Ă©videmment son appellation sert Ă dĂ©finir son usage, et parmi ses usages, le plus important, câest celui qui constitue une ressource, celui qui passe par la case bien que la rĂ©munĂ©ration des ECPA, par lâapport de ressources nouvelles, crĂ©era un dĂ©sĂ©quilibre » Ă lâavantage de la demande, et lâentreprise sâorganisera pour en tirer il appartiendra aux acteurs socio-Ă©conomiques dâeffectuer les ajustements et les orientations utiles en fonction de projets, prenant en compte lâoffre, la demande, les besoins dâĂ©pargne, et dâeffectuer les anticipations.⊠mĂȘme en inversant un les pays sous-dĂ©veloppĂ©s la demande est Ă©norme, donc une entreprise a devant elle un marchĂ© auquel elle peut faire des offres, puisque les hommes sont demandeurs. Pourtant, rien ne sây rĂ©alise. Ce nâest pas que les entreprises manquent de moyens financiers, ce nâest pas que la demande nâexiste pas. Câest seulement que la demande ne peut pas ĂȘtre formulĂ©e en masse financiĂšre disponible, et reconnues par la communautĂ© financiĂšre comme ayant une valeur sur le marchĂ© des changes. Par consĂ©quent, lâentreprise X nâira pas sây installer tant que la demande ne sera pas solvable, parce que la valeur de la monnaie dĂ©pend de la capacitĂ© industrielle des Ătats et de leur commerce extĂ©rieur la rentrĂ©e de devises.Ainsi, cette situation durera jusquâau jour oĂč le pays Y aura trouvĂ© un moyen dâavoir des ressources, et ce jour lĂ lâentreprise X fera ses offres. Ce fut le cas des pays d'Asie Mineure avant la dĂ©couverte du pĂ©trole, et Ă contrario, câest en micro-Ă©conomie le triste sort des sidaĂŻques » dâ rien nâempĂȘche une banque de dĂ©veloppement dâorganiser, dans le pays Y, le financement dâun marchĂ© de lâintelligence » suscitant une demande, comme amorce, devant conduire Ă un dĂ©veloppement Ă©conomique circonstanciel nâignore pas les difficultĂ©s culturelles que cela reprĂ©sente dans certains Ătats, oĂč en plus des multiples communautĂ©s confessionnelles et ethniques, sây ajoutent des rapports culturels de lâhomme au travail diffĂ©rents des nĂŽtres, en plus de leurs besoins, pour des raisons faut pour ainsi dire renverser le processus, oĂč lâoffre Ă©ducative crĂ©era la demande de biens, et les moyens dâun dĂ©veloppement. Câest certainement plus valorisant que lâaction caritative qui est forcĂ©ment restreinte je ne vise pas les actions dâurgences. Inverser un processus par lequel, pousser, inciter, exhorter Ă apprendre gĂ©nĂšre la rĂ©flexion qui engendre la crĂ©ativitĂ©, et oĂč lâincitation Ă apprendre procure les moyens de se Ă ce long processus de dĂ©veloppement historique que nous avons vĂ©cu, et dans lequel il faut dâabord se nourrir pour avoir une force de production en utilisant pas Ă pas son intelligence dâoĂč sort, par rĂ©partition des tĂąches, les biens et le temps qui nous permet de nous contrevenir dans les Ătats qui nâont rien Ă Ă©changer ou si peu, nâest pas un acte dĂ©pourvu dâĂ©goĂŻsme, car nous savons que les Ătats riches ne peuvent accueillir la population de la planĂšte, et si nous souhaitons que leurs populations demeurent dans leurs Ătats, encore faut-il pour que cela soit possible, quâils puissent y vivre, et non plus, que par les moyens de communication audio visuels, tous les pays ont connaissance de la richesse de certains autres, et les marchands dâaudio visuel accroissent incidemment les dĂ©sirs de richesse, et les rĂȘves dâ ne ferons quâaccĂ©lĂ©rer un processus, par acculturation, pour les Ătats qui en seraient demandeurs. En effet, Ă chacun dâentre- nous, nous ne demandons pas de rĂ©inventer lâĂ©criture pour apprendre Ă Mais il faut maintenir un nouveau dĂ©sĂ©quilibre sous surveillance de lâensemble des acteurs et de notre intelligence. Pour gĂ©rer lâabondance en tenant compte de ce quâest notre mondeMais il faut maintenir un nouveau dĂ©sĂ©quilibreâŠJe mentionnais plus haut quâun phĂ©nomĂšne important serait le glissement des adultes de lâECPA vers lâappareil productif, car en supprimant le chĂŽmage, et non pas lâoffre dâemploi des adultes [145], de fait, le dĂ©sĂ©quilibre tournera Ă lâavantage du une rarĂ©faction de lâoffre dâemploi des adultes serait nĂ©faste Ă la production de biens et services, si elle devait se traduire par une augmentation des coĂ»ts de production, sans quâune compensation soit rĂ©alisĂ©e par des investissements technologiques de productivitĂ©, et une rĂ©partition du temps de se comprend aisĂ©ment, si nous considĂ©rons que lâintĂ©rĂȘt dâun bien et dâun service est dâĂȘtre dâun usage de masse, donc accessible Ă bas prix, caractĂ©risant aussi lâĂ©lĂ©vation du niveau de vie. Pourtant lâeffet boomerang est latent, face aux politiques dâembauches dâemployeurs qui ont usĂ© et abusĂ© du dĂ©sĂ©quilibre qui leur Ă©tait favorable, et ont nourri bien des rĂ©guler cet aspect, nous pouvons utiliser les rĂ©fĂ©rences que nous avons Ă©tablies les trois cents articles, qui peuvent ĂȘtre rĂ©examinĂ©es, pour servir dâindicateurs de seuil dâun revenu rĂ©fĂ©rentiel, sans interfĂ©rer dans lâusage que font les hommes de leur revient Ă instaurer un revenu social type comme certaines organisations professionnelles le proposent, cela en ce qui concerne le niveau de vie auquel peut prĂ©tendre tout un chacun, et qui donne un aperçu, une Ă©valuation du minimum de la masse monĂ©taire qui doit ĂȘtre mise Ă disposition des Ă©galement introduire une rĂ©fĂ©rence Ă la population, câest remettre lâHomme Ă sa place, sa place dâĂtre social qui a gĂ©nĂ©rĂ© lâ les annĂ©es 1970 une organisation syndicale ouvriĂšre suggĂ©rait le salaire binĂŽme, un salaire composĂ© du salaire social auquel sâajouterait le salaire professionnel. LâidĂ©e nâa pas prospĂ©rĂ©, si bien que cette idĂ©e, a gĂ©nĂ©rĂ© le SMIC, et que celui-ci a fini par gommer la part du revenu professionnel. De telle maniĂšre que lâon peut dire de certains emplois, que sâils Ă©taient rĂ©munĂ©rĂ©s Ă leur valeur commerciale professionnelle qui se trouvent ĂȘtre en dessous du SMIC, ne permettent pas Ă un salariĂ© de disposer dâun revenu lui assurant un niveau de vie convenable tout en passant son temps au travail. Un comble que nous justifions par notre organisation Ă©conomique au travers de ses rĂšgles peut-on accepter humainement, en production dâabondance, quâune personne qui travaille ne puisse pas vivre de son travail pour bĂ©nĂ©ficier, Ă un certain seuil social, des produits et des prestations auxquelles elle me fait penser une histoire Celle dâun agriculteur qui acquiert un Ăąne, et dĂ©cide de le faire travailler sans manger parce que la nourriture lui coĂ»te trop cher. Un ami le rencontre au bout dâun certain temps pour prendre des nouvelles de son Ăąne. Bien ! Au dĂ©but câĂ©tait parfait, puis, je ne sais pas ce quâil a eu, car quand il commençait Ă sây habituer, il est mort ». Nous sommes un peu dans cette dĂ©marche et nous nous plaignons en plus que lâĂąne dĂ©sĂ©quilibre de lâemploi en faveur du salariĂ© ne doit pas tendre vers un Ă©quilibre, mais sâorganiser autour des acteurs Ă©conomiques, et demeurer constamment une source de croissance, dont une part sera captĂ©e par la collectivitĂ©, et une autre part par lâentreprise qui pourra en affecter une partie pour la prĂ©servation des nuisances industrielles ou autres, sans accroĂźtre ses coĂ»ts, ou en faire ce que bon lui semble. Car les chefs dâentreprises sont des hommes responsables dont la compĂ©tence globale nâest pas en cause, mais qui, partisans ou non dâune organisation systĂ©mique nĂ©olibĂ©rale, sont tenus de sây conformer, sinon câest le systĂšme qui les naturellement, partant de lĂ ce nâest pas sur eux quâil faut compter pour en changer, personne ne se dĂ©fait du pouvoir quâil sâest construit.âŠsous surveillance de lâensemble des ne peut pas se concevoir au travers des seules rĂšgles naturelles » guidĂ©es par une main invisible ». Mais plutĂŽt au travers dâorganismes comme ceux du genre des conseils Ă©conomiques et sociaux, qui sont une des rares formes de dĂ©mocratie de la vie civile, mĂȘme sâils nâont quâune fonction lâincidence de la crĂ©ation des ECPA sur lâappareil productif ne peut pas ĂȘtre laissĂ©e Ă la seule rĂ©gulation dite naturelle », puisquâil sâagit dâune construction intellectuelle pour laquelle nous ne disposons pas dâexemples existants, et pour laquelle jâai au moins une certitude, câest que le nĂ©olibĂ©ralisme seul ne peut pas en assurer la mĂȘme sâil peut continuer dâexister sous la forme qui consiste Ă dire que tout individu recherche Ă optimaliser tout ce qui peut prĂ©senter pour lui un enrichissement. Pourtant, il a aussi la capacitĂ© dâaffirmer quâoptimaliser peut signifier ne pas sâenrichir sans discernement, et devoir Ă©galement utiliser cette richesse pour compenser les dĂ©gĂąts causĂ©s par une vision Ă court terme de lâ espĂšces il ne sâagit pas de dire quâune main invisible » viendra rĂ©guler lâorganisation de deux sources de revenus diffĂ©renciĂ©es et plutĂŽt de demander Ă tous les cerveaux imaginatifs de sâassocier sur une vision Ă long terme, dont le plus difficile est dâentraĂźner les hommes sur le terrain de la rĂ©flexion pour imaginer une organisation, oĂč peuvent coexister des antagonismes qui aujourdâhui hypothĂšquent notre existence mĂȘme, pour satisfaire des critĂšres de rentabilitĂ©, ignorant des systĂšmes de prĂ©cautions, ou capable dâatteindre les limites du zĂ©ro dĂ©faut suivant lâobjectif Ă©conomique.âŠet de notre cette notion de main invisible » du XVIII iĂšme siĂšcle nâa plus de sens aujourdâhui, tant il existe des systĂšmes de rĂ©gulation, elle retrouve une fausse nouvelle vigueur avec les tenants de la loi du marchĂ©. Ceci, comme sâil nous Ă©tait impossible, Ă nous, humains qui tendront Ă une durabilitĂ© de nos relations les uns avec les autres, dâĂ©lever la compĂ©tition pour les ressources Ă un autre niveau que celui qui altĂšre nos modes de vie, et transforme toute notre crĂ©ativitĂ© en un effet boomerang. Cela, simplement parce que lâĂ©volution biologique est trop lente pour soutenir le rythme dans lequel notre Ă©volution culturelle plus rapide a pu modifier ses tendances ; une Ă©volution biologique trop lente pour ingĂ©rer tous nos avons une difficultĂ© Ă©norme Ă gĂ©rer une fuite en avant ; dâautres diraient une Ă©volution exponentielle, et câest pour cela que je faisais aussi allusion Ă la thĂ©orie du chaos, car il arrive un moment, oĂč il nous devient difficile de lire lâentropie dâun systĂšme comme celui que nous nous bĂątissons tous les consĂ©quence, câest Ă nous dâeffectuer une transition idĂ©ologique, et de modifier nos modes de pensĂ©e, nos schĂ©mas, nos paradigmes. Cela ne signifie pas quâil faille renoncer Ă senrichir, mais seulement compter la richesse dâune maniĂšre diffĂ©rente, pour que personne ne soit dĂ©pourvu de ne nous oblige Ă convoiter la richesse des autres, puisque nous sommes capables de la gĂ©rer lâabondanceâŠCompte tenu que lâĂ©conomie repose sur lâidĂ©e de raretĂ©, un bien abondant devient inĂ©vitablement un bien presque libre », et de lĂ , il perd Ă nos yeux tout lâattrait qui nous permet de nous dĂ©finir par rapport Ă sa dâimaginer que tout ce que nous produisons soit en abondance, notre nature humaine devrait bien trouver dâautres substituts pour sâ une illusion ou bien est-ce cela que nous faisons en partie au travers des loisirs ?La raretĂ© est-elle une contrainte incontournable ou lâexpression de notre violence ?Comme je lâindiquais dans le prĂ©liminaire, nous sommes conçus pour survivre, et nous reproduisons hĂ©rĂ©ditairement nos caractĂšres originels avec une Ă©volution cĂ©rĂ©brale trĂšs lente. Parmi ceux-ci, notre capacitĂ© dâagression est omniprĂ©sente, et elle utilise tous les supports pour sa manifestation individuelle ou collective, cela y compris au travers de notre capacitĂ© Ă produire, Ă Ă©changer, Ă possĂ©der, au-delĂ de la seule valeur dâusage de ces supports utilitaire, comme nous ne voyons personne se battre pour un bien abondant, sauf si nous avons su crĂ©er le moyen dâen faire un bien dĂ©sirable. Câest sous une certaine forme le cas de lâair qui devient source de conflit, parce que nous rarĂ©fions sa mon sens, cette difficultĂ© que nous avons Ă gĂ©rer lâabondance trouve sa source, dans le fait que nous rĂ©agissons toujours avec des paramĂštres hĂ©rĂ©ditaires interprĂ©tĂ©s au fil des Ăąges. ParamĂštres dans lesquels toute lâactivitĂ© humaine crĂ©atrice Ă©tait Ă lâĂ©tat latent, ou plus exactement en lâĂ©tat de probabilitĂ© dâĂȘtre, et que malgrĂ© toutes les tentatives idĂ©ologiques altruistes, notre Ă©panouissement individuel reste axĂ© sur une domination qui sâexerce instrumentalement toujours vers autrui, et dont sa gestion exige lâapprentissage de la consĂ©quence, soutenir que la raretĂ© est la clĂ© de voĂ»te de lâĂ©conomie est encore un constat de sous quâayant les moyens de vivre dans lâabondance nous faisons de la raretĂ© le moteur de lâĂ©mulation pour nous contraindre Ă une activitĂ© culturelle qui se transmet par lâapprentissage, et dont la place de lâactivitĂ© cognitive grandissante devrait nous conduire Ă trouver dâautres formes de motivations que celle de la confrontation, car nos caractĂšres innĂ©s ne sont pas fait pour nous entre-tuer, mais pour vivre. Et câest Ă notre intelligence de ne pas dĂ©velopper des systĂšmes dâexclusions, dans lesquels nos caractĂšres innĂ©s, de leur fonction de nous assurer de vivre corrĂ©lation dans le systĂšme cognitif entre le conscient et lâinconscient, passe Ă celle de survivre qui conduit toute espĂšce au sacrifice de certains de ses semblables. Une fois de plus, câest seulement, notre intelligence qui saisi la subtilitĂ© entre vivre et survivre. Ainsi lorsque sciemment nous continuons Ă fabriquer de la raretĂ© en ayant perçu toutes ses incidences assassines nĂ©fastes, et en les acceptant et les reconduisant de fait, tout en les dĂ©nonçant hypocritement, nous sommes forcĂ©ment des sous primates. Car les primates ne rĂ©pondent quâĂ leurs Ă©motions innĂ©es, dont la recherche en neurobiologie a Ă©tabli que certains disposaient dâune capacitĂ© de rĂ©flexion, et dâune certaine forme de conscience, des sous primate puisquâil nous manque, ce dont je doute, dâun inhibiteur de violence qui constituerait alors par rapport aux autres espĂšces une tare congĂ©nitale qui ferait de lâhomme une erreur de la nature vouĂ©e Ă disparaĂźtre. Si bien que si notre intelligence nous conduit vers les Ă©toiles, elle se montre limitĂ©e dans sa capacitĂ© Ă dĂ©velopper une sociabilitĂ© dâĂ©mulation, autre quâ nous en sommes intellectuellement capables, et câest lĂ toute la question ?âŠen tenant compte de ce quâest notre en tenant compte que si nous comparions nos 4,5 milliards connus de la vie terrestre Ă une journĂ©e, nos deux mille derniers ans nâĂ©galeraient que 2 secondes, et notre rĂ©volution industrielle nâa commencĂ© que depuis 1 centiĂšme de seconde[146].Cela nous laisse imaginer la place quâoccupe la thĂ©orie de la raretĂ©, dâautant que nous avons en partie les moyens de gĂ©nĂ©rer lâabondance, les capacitĂ©s de la gĂ©rer, et du temps devant nous restons dans des concepts sociĂ©taux Ă©laborĂ©s aux derniers siĂšcles, sĂ©lectifs des connaissances dâaujourdâhui, dont la mĂ©morisation, la pĂ©rennitĂ©, la circulation, et lâusage de ces connaissances restent nous avons fait un bon technologique sans Ă©gal, il nâen est pas de mĂȘme de nos schĂ©mas sociaux, oĂč nous prenons un plaisir inconscient Ă faire souffrir, confondant au passage lâaffirmation de soi, et la domination dont nous ne cessons de faire lâ financement ?60 â Celui que nous pouvons crĂ©er, un moyen non que nous pouvons crĂ©erâŠJe vais parler dâargent maintenant, mais dâune maniĂšre un peu diffĂ©rente de celle qui consiste Ă aligner des chiffres, bien que jây vienne en fin de il nâest pas question de demander Ă lâentreprise de financer le projet de crĂ©ation » dâECPA. Tout au plus, les entreprises les mieux structurĂ©es consacrent 2% Ă 3% pour la formation professionnelle 1,5 % lĂ©gal obligatoire pour les entreprises de plus de dix salariĂ©s depuis 1992.Alors, il faudra trouver une rĂ©fĂ©rence crĂ©dible qui permettra de ne pas sâĂ©carter de lâorganisation monĂ©taire afin dâĂ©mettre de la monnaie. Câest pour cela que je mentionnais dans le prĂ©cĂ©dent chapitre de prendre en rĂ©fĂ©rence le territoire national comme garantie de lâĂ©mission de monnaie, mais il peut ĂȘtre envisagĂ© dâautres types de garanties, puisque Ă lâorigine la monnaie nâest quâun moyen facilitant lâĂ©change[147]. Ăchange Ă©rigĂ© sur un capital confiance rĂ©ciproque entre les hommes dans leurs relations commerciales, et ce, pour en accepter la pratique[148]. Aujourdâhui, la monnaie sous ses diverses formes est une marchandise gĂ©rĂ©e par des spĂ©cialistes, dont la comprĂ©hension des mĂ©canismes Ă©chappe Ă la plupart dâentre nous bornons donc Ă accorder notre confiance aux institutions financiĂšres existantes la plupart privĂ©es constituant un passage hier comme aujourdâhui, nous disposons de la capacitĂ© de crĂ©er de la monnaie Ă tout moment. Il suffit pour cela dâĂ©changer un bien ou un service contre une reconnaissance de dette, sous rĂ©serve de ne jamais la convertir, et de la faire circuler. Cela nĂ©cessite comme je lâai dĂ©jĂ mentionnĂ© un rapport de confiance entre agents Ă©conomiques. Câest ce que font les utilisateurs du sel et de la pomme » ; câest ce qui se fait avec les effets de commerce, les billets Ă ordre, la je fais cette observation, ce nâest pas pour pousser Ă lâinsurrection monĂ©tariste, mais pour indiquer que devant lâhĂ©gĂ©monie des marchĂ©s financiers peuvent se dĂ©velopper des circuits parallĂšles, et Ă©galement pour indiquer que les citoyens de nâimporte quel Ătat, et mĂȘme une entente entre un nombre suffisant dâĂtats, pourraient se livrer Ă une rĂ©volution monĂ©taire, ce qui serait une aussi pour soutenir que lâargument, lâargent est le nerf de la guerre », nâest quâune capitulation de la rĂ©flexion devant lâ parce que nous savons tous que lâignorance se façonne des idoles, et qu'elles survivent grĂące Ă la crĂ©ation de leurs que je veux dire, câest quâun peuple intelligent, qui nâexiste pas aujourdâhui, sans argent au sens de nerf de la guerre », peut affronter nâimporte quelle adversitĂ© sans passer par une motivation demain un illuminĂ© parvenait Ă convaincre les pauvres de notre planĂšte dâentreprendre un exode vers les pays riches, que ferions-nous ?Ce qui nous sauve de cela, câest que lâignorance va avec la pauvretĂ©, et rĂ©ciproquement, et les pauvres dans leur ignorance sont les premiers Ă rĂ©clamer ou inventer des idoles. Ils sont encore les premiers Ă sâenfermer dans des espaces Ă la mesure de leur comprĂ©hension, ou de leur nâĂ©chappons pas Ă cette rĂšgle, car dĂšs quâun Ă©vĂ©nement dĂ©passe notre comprĂ©hension, nous verrouillons notre intellect dans des paramĂštres qui nous rassurent. Non parce que lâintelligence nous fait dĂ©faut, mais seulement parce que nous sommes ignorants des connaissances que nous nâavons pas acquises. La dĂ©monstration Ă©vidente de la limite de notre intelligence contemporaine est contenue dans lâexpression, lâargent est nerf de la guerre ».Câest pour cela quâaujourdâhui, les centres de circulation ou de crĂ©ation de monnaie comme moyens dâĂ©changes deviennent des temples du pouvoir financier, et certains Ă©conomistes, les encenseurs actuels dâune devons Ă©galement reconnaĂźtre que plus cette croyance se dĂ©veloppe, plus notre intelligence socialisante sâatrophie ou se conditionne. Nous glissons alors vers un plus grand besoin de croyances, car nous avons cru et croyons en des contes de comptes, et comme Socrate le disait En lisant seulement dans des livres nos souvenirs, nous croirons ĂȘtre Savants P. 88. Câest cela que nous faisons, nous lisons notre existence dans des livres de comptes et nous croyons ĂȘtre cela nous sommes atteints dans ce domaine du mĂȘme syndrome que les religieux qui refusent de réécrire ou rĂ©interprĂ©ter leur livre rĂ©vĂ©lĂ©. Livres qui, Ă©crit ou rĂ©vĂ©lĂ© pour donner la vie, sous certaines lecture creusent des tombeaux. Câest ainsi que nous, nous refusons de remettre en cause la comptabilisation de notre activitĂ©, parce que des prĂȘtres de lâĂ©conomie » nous disent quâil ne peut pas en ĂȘtre autrement.⊠comme un moyenâŠCette ignorance, Ă laquelle je fais allusion, est celle de lâaveuglement Ă ne pas admettre que nous avons la capacitĂ© et les moyens de gĂ©nĂ©rer un dĂ©veloppement durablement harmonieux ». Pour cela, il nous faut regarder la monnaie sous son aspect le plus productif, comme un moyen, et non comme une fin. Câest Ă dire un moyen de produire des biens et des services comme but de libĂ©ration, et non dâ la complexitĂ© humaine, nous avons fait de la croissance notre arbitre tutĂ©laire, laissant Ă la monnaie Ă©lĂ©ment fictif, le soin de rĂ©guler notre suivons en cela notre Culture » qui nous emmĂšne Ă culturaliser» des comportements conflictuels considĂ©rĂ©s Ă cause dâelle, comme innĂ©s, parce quâinscrit dans le conscient profond qui, sâils ont Ă©tĂ© lâĂ©lĂ©ment dĂ©tonnant au sein de notre progrĂšs peuvent nous ĂȘtre mortels si nous poursuivons notre Ă©volution sur le seul critĂšre de la confrontation violente et irraisonnĂ©e pour lâobtention de le fallait, nous dĂ©montrons par-lĂ , malgrĂ© toutes nos crĂ©ations, notre insuffisance intellectuelle Ă intĂ©grer dans nos concepts sociĂ©taux » que nous ne sommes que les maillons dâune Ă©volution hĂ©ritant Ă notre naissance de la charge de vivre et ce, en toute que notre maturitĂ© intellectuelle a du mal Ă assumer, parce que nous lâavons dĂ©couverte depuis peu, parce que ne vivons pas assez longtemps pour la dĂ©velopper au travers de lâapprentissage, parce quâelle repose sur une organisation intellectuelle fragile, parce que nous avons du mal Ă extirper les archaĂŻsmes religieux, parce que nous ne consacrons pas assez de temps Ă nous connaĂźtre, et enfin, parce quâelle nous fait peur, car si nous Ă©tions les maĂźtres de lâunivers, nous arrĂȘterions son expansion pour nous ignorer les mĂ©rites revenant au dĂ©veloppement Ă©conomique qui a contribuĂ© Ă une meilleure connaissance de notre existence, nous pouvons tout de mĂȘme noter que lâintellectualisme[149] spirituel la rĂ©flexion sur les expressions de notre pensĂ©e sâappauvrit ou/et ne peut pas rĂ©sister face Ă lâattrait de la monnaie ne se vend pas. Il semblerait quâainsi nous ayons mis la main sur la sociĂ©tĂ© parfaite, pourvu que nous puissions intelligemment lâexpliquer est difficile dâadmettre pour certains dâentre nous, que notre cerveau soit remplacĂ© par un tiroir caisse, et que nous nous laissions diriger Ă lâexcĂšs par jusquâĂ ĂȘtre conscient des catastrophes que nous avons mis en marche, et que nous refusons dâaccepter comme rĂ©elle sauf pour une minoritĂ© dans une sorte de fatalisme mystique par un replie jugĂ© Ă©gocentrique entraĂźnant une dyslexie » du monde.âŠnon y ait des hommes riches, Ă ne plus savoir que faire de leur richesse, nâest pas qui lâest, câest que nous pensions quâils doivent se dĂ©faire de leur richesse pour que dâautres puissent lâĂȘtre, et ce faisant nous contribuons au maintien de leur richesse, car nous avons créé un processus oĂč ils rĂ©cupĂšrent ce qui leur a Ă©tĂ© pris, et parfois qui lâest, câest quâĂ©tant riche ils se croient investi du droit divin » quâoffre la monnaie, dâun pouvoir de dĂ©cision sur la vie des qui lâest, câest quâil y en ait qui soient dĂ©munis par le simple fait quâĂ un moment ou Ă un autre de leur existence, ils se trouvent Ă©cartĂ©s de cette richesse. Ceci, parce quâun systĂšme normatif et rĂ©gulateur le plan comptable, conduit Ă se passer du prix de la force du travail humain. Cela, parce quâĂ un moment de cette comptabilisation nous interprĂ©tons notre force de travail comme un coĂ»t, alors quâelle en est la richesse, et ce, pour deux parce quâelle sâajoute au capital et quâil conviendrait donc de dĂ©terminer un facteur comptable qui la dĂ©finisse, afin que cette force de travail figure en apport de que dans notre logique, ou dans ce qui est admis comme tel, nous croyons que nous payons par le revenu notre force de travail, mais en fait nous ne rĂ©munĂ©rons que notre capacitĂ© de consommer, câest Ă dire, seulement le dĂ©sir de possĂ©der un bien en Ă©change dâun autre et rĂ©ciproquement.Ainsi, toutes les discussions autour de la rĂ©munĂ©ration de la force de travail ne sont que du vent », sauf si nous nous dĂ©cidons Ă la comptabiliser en Ănergie, puisque cela nous est techniquement possible, contrairement au siĂšcle raison tenant Ă ce que notre force de travail consomme et utilise ce que produit le capital, y compris le capital lui-mĂȘme, qui concourt au dĂ©veloppement et Ă lâaccroissement des capacitĂ©s de cette force de travail machines-outils, Ă©tudes ou Ă son remplacement robotique. Ainsi, sans remettre en question le capital, celui-ci se verrait accru de lâapport de celui de chaque individu, et nous sortirions de cette forme de mendicitĂ© que sont les participations en tous genres, car en plus de trente ans dâexpĂ©riences, il nây a bien que les employeurs qui y ceux qui opposent la certitude de la pleine et entiĂšre responsabilitĂ© personnelle comme auteur des choix que nous effectuons, il est bon de rappeler ce que jâai indiquĂ© dans mes propos. Câest Ă dire quâil nâexiste aujourdâhui aucun espace disponible, pour quâun ĂȘtre puisse se dĂ©velopper en dehors du groupe, et dire dâune dĂ©cision quâelle a Ă©tĂ© prise librement signifierait quâelle nâest pas strictement dĂ©terminĂ©e par ce qui lâa prĂ©cĂ©dĂ©e note 42, or vivant dans le groupe cela est impossible, ce qui rĂ©duit dâautant cette responsabilitĂ© personnelle qui nous plaĂźt tant, parce quâelle nous dispense de nous interroger sur la nĂŽtre, que nous reportons sur lâautre, lâHomme ne sâest jamais bĂąti une aussi belle excuse consĂ©quence, si quand nous naissons nous hĂ©ritons malgrĂ© nous, de la responsabilitĂ© dâassurer lâĂ©volution de notre espĂšce, il nâen est pas de mĂȘme du phĂ©nomĂšne dâexclusion que nous construisons, et auquel il nous appartient dâapporter une sans laquelle, les exclus, Ă©tant en parfaite harmonie avec les lois naturelles » si chĂšres au libĂ©ralisme, peuvent aller se servir pour survivre, mĂȘme par la violence, lĂ oĂč se trouvent les richesses, parce que leur innĂ©e gĂ©nĂ©tique a Ă©tĂ© faite pour cela, pour quâils survivent. Sauf Ă pratiquer lâeugĂ©nisme, Ă leur retirer les gĂšnes qui les motivent Ă survivre, il nây a pas de solution en dehors de la ne dis pas cela pour inciter Ă la violence, mais seulement pour indiquer, et faire comprendre que nous ne pouvons tout Ă la fois nous approprier, et les territoires, et les richesses quâils fournissent au bĂ©nĂ©fice de quelques particuliers et collectivitĂ©s, afin dâen interdire lâaccĂšs Ă ceux qui ne possĂšdent pas un moyen dâĂ©change, et se plaindre que les exclus ont tort dâavoir faim, sous prĂ©texte que les assister » reprĂ©sente une charge qui rĂ©duit les les critĂšres mĂ©ritocratiques » ne peuvent suffire Ă contenir lâinnĂ© poussĂ© dans ses que mes propos ne soient pas mal interprĂ©tĂ©s, je vais rappeler la notion de loi naturelle de Locke, reformulĂ©e par Thomas Paine dans son ouvrage les droits de lâhomme » 1791/Belin, 1987, axiome[150] du libĂ©ralisme lockĂ©en qui a inspirĂ© la dĂ©claration amĂ©ricaine des droits.Les droits naturels sont ceux qui appartiennent Ă lâhomme en raison de son existence de cette nature sont tous les droits intellectuels ou droit de lâesprit, comme aussi tous les droit dâagir comme individu, pour sa propre satisfaction et pour son bonheur, en tant quâil ne blesse pas les droits naturels dâautrui ». Cette notion de loi naturelle est un axiome, une Ă©vidence, facilement comprĂ©hensible jusquâĂ son bonheur », car ensuite, Ă partir de en tant quâil ne blesse les droits naturels dâautrui », câest notre nature culturelle » le fait social qui va fixer les rĂšgles, particuliĂšrement celles qui vont consister Ă apprĂ©cier Ă partir de quand les droits des uns blessent les droits des autres. Plus simplement cet axiome peut se rĂ©sumer ainsi chaque animal humain parce quâil EST, tient les moyens de vivre devant un autre », ou chaque hominoĂŻde par son innĂ©, tient les moyens de vivre devant un autre », et comme chacun peut le comprendre, ce nâest pas parce que nous avons dĂ©fini quâest naturel ce qui est naturel, que cela suffit aujourdâhui Ă expliquer les choses, car, du moins dans les dĂ©mocraties, nous ne sommes plus dans le contexte du 17 et 18 iĂšme siĂšcle sous lâabsolutisme, oĂč les hommes Ă©taient considĂ©rĂ©s comme des sujets, et oĂč leurs Ă©mancipations du droit divin avaient un pour cela quâaujourdâhui, devant la complexitĂ© mĂȘme de cet axiome, la science nous a apportĂ© quelques notions de ce que nous sommes. La physique que nous sommes des particules identiques condamnĂ©es Ă sâassocier, nâayant aucune existence individuelle en dehors des autres dans un monde sensible relatif au dĂ©sordre stable, et la biologie que nos gĂšnes sont conçus pour assurer notre survie, et que nous sommes un ĂȘtre Ă©motionnel rĂ©actif impulsif sensible avant dâĂȘtre un lent permet de comprendre que cet axiome peut ĂȘtre lui-mĂȘme porteur dâabsolutisme individuel, Ă partir dâune part de toutes les rĂšgles qui sâen sont inspirĂ©es, particuliĂšrement celles qui organisent la soumission, mĂȘme contractuelle, car elles sous-entendent un rapport de force inĂ©gal entre les possĂ©dants et les autres, Ă moins de sâassocier dâĂ©gal Ă Ă©gal,Et dâautre part, des rĂšgles mĂ©ritocratiques qui ne parviendront pas Ă convaincre celui qui nâa rien quâil doit disparaĂźtre, au motif quâil nâa pas mĂ©ritĂ© ce quâil convoite chez les dâautant plus quâaujourdâhui les moyens de communication en supprimant les cloisonnements, en Ă©talant la richesse, ne peuvent que susciter les dĂ©sirs, et quây a-t-il de plus naturel en cela, Ă©tant donnĂ© que câest ce qui commande notre pour cela que je disais dans le paragraphe prĂ©cĂ©dent quâil fallait dĂ©finir une valeur capitalisable de la force de travail, justifiĂ© par, ce que lâon EST, et dont nous tenons de vivre, qui, quand elle ne se capitalise pas sous forme de force de travail, se capitalise sous forme de part, nâoublions pas que sur six milliards dâĂȘtres humains, tout juste plus dâun milliard mange parfaitement Ă sa faim rassasiĂ©, et que nous ne pourrons pas Ă©ternellement contenir Ă nos frontiĂšres la poussĂ©e des milliards dâ lâinstar de lâempire romain aux frontiĂšres duquel les barbares,[151] qui lâont envahi, se encourons le mĂȘme risque, mĂȘme si notre puissance militaire ne laisse passer que les clandestins, car les Ă©trangers » sâarment Ă©galement, idĂ©ologiquement, militairement, Ă©conomiquement, et - Lâargent comme but est une illusion dangereuse sâil se dogmatise Ă lâ comme but est une illusionâŠJâai certes pris un schĂ©ma rĂ©ducteur pour formuler cette responsabilitĂ© individuelle et collective qui nous incombe, parce que les moyens dâinformations et de communications nous permettent dâen prendre conscience, sauf Ă vouloir les ignorer, et mĂ©connaĂźtre que lâutilisation de la monnaie au travers de ses systĂšmes financiers et des thĂ©ories monĂ©taires y joue un le cas dâune banque qui consent un prĂȘt, elle en exige le remboursement, plus les coĂ»ts de gestion, de rĂ©serve et de rĂ©munĂ©ration de placement. Est-ce une obligation incontournable que dâen demander le remboursement ?Non ! La banque pourrait se refinancer pour ses besoins auprĂšs dâun organisme Ă©metteur de monnaie, et lâemprunteur ferait disparaĂźtre de ses comptes sa ! Mais celui qui place son argent en banque pour avoir des intĂ©rĂȘts, et bien il nâen recevra pas, la banque se bornera Ă lui tenir ses comptes. Cela ne cause aucune gĂȘne, puisque le crĂ©dit est libre, il nây a pas Ă craindre de voir se crĂ©er un marchĂ© parallĂšle, qui serait assez fou pour aller payer ce quâil peut avoir alors tous les hommes vont aller emprunter ?Bien sur ! Ils pourraient mĂȘme ne plus aller travailler Ă©tant donnĂ© que le crĂ©dit est gratuit, et acquĂ©rir tous les biens quâils dĂ©jĂ indiquĂ© que si le rĂȘve de tout employeur Ă©tait dâavoir des salariĂ©s qui travaillent gratuitement, celui de tout homme, nâest-il pas dâĂȘtre riche ?Vous voyez câest facile, il suffit de libĂ©rer totalement le crĂ©dit, ce qui serait plus intĂ©ressant, ce serait de savoir combien de personnes sây opposeraient, et quelles seraient leurs motivations compte tenu de la place quâoccupe lâargent je ne dis pas monnaie dans le conscient collectif. Nous pouvons en avoir un petit aperçu par le nombre de joueurs aux jeux dâargent sans mĂ©connaĂźtre le rĂŽle du rĂȘve dans notre existence, et le besoin de jouer.Tout le monde a compris que nous rĂ©gresserions en un Ă©clair, et que lâillusion que lâargent » la monnaie est la richesse », brĂ»lerait comme un feu de paille. Il semblerait donc quâil soit nĂ©cessaire de faire lâapologie du cela quâont essayĂ© de rĂ©aliser lâex URSS et la Chine MaoĂŻste, en lâimposant par un encadrement leurs Ă©checs nâenlĂšvent rien au nĂ©cessaire besoin de comprendre que nous travaillons pour produire nos biens et services, dont nous retirons la prolongation de notre existence, mĂȘme si nous pouvons souhaiter nous faire remplacer Ă terme dans cette tĂąche, et non pour fabriquer de lâargent.⊠dangereuseâŠMais, tel nâest pas notre comportement. A partir dâune satisfaction physiologique lĂ©gitime, il sâagit de trouver ce qui pourra satisfaire une demande ou constituer une offre contre de lâargent, ceci jusquâĂ lâexcĂšs, et pour cela, nous sommes arrivĂ©s Ă nous regarder comme une lors, dans ce contexte nous ne dĂ©veloppons pas nos facultĂ©s ou nos capacitĂ©s, nous dĂ©veloppons notre capital humain ». Je nâai rien contre, mais la nuance se situe dans le vocable, et dans le choix des aptitudes que nous sĂ©lectionnons, et qui nous conduisent Ă privilĂ©gier un dĂ©veloppement intellectuel comptable, nous rendant ainsi dĂ©pendant dâun outil, la monnaie, qui devrait avoir comme fonction de nous ordonner, de nous comprendre et dâĂ©voluer ensemble, rester un langage » de communication.âŠsâil se dogmatiseâŠDans lâĂ©laboration historique dâun schĂ©ma abstrait ou culturalisĂ© », la difficultĂ© consiste Ă saisir lâinstant oĂč, un concept quel quâil soit devient dogmatique, perdant ainsi le bĂ©nĂ©fice de son idĂ©e gĂ©nitrice. Il en est ainsi du libĂ©ralisme Ă©conomique qui, ayant dĂ©montrĂ© son utilitĂ©, se dogmatise, Ă©tendant ses rĂšgles Ă des Ă©conomies qui ne peuvent pas les effet, nous ne pouvons demander Ă certains dâentre eux de faire en quelques annĂ©es, une rĂ©volution industrielle qui nous a exigĂ© deux siĂšcles. De plus, nous ne pouvons pas leur demander dâinventer des matiĂšres premiĂšres que leur territoire ne possĂšde ce nâest pas le concept qui le plus souvent est en cause, mais les hommes qui lâimposent par dogme ou lâinstrumentalisent par intĂ©rĂȘt, le rendant ainsi difficilement rĂ©formable ou adaptable, comme câest le cas au travers de lâutilisation de la monnaie, ou dans lâacquisition de la devise de rĂ©fĂ©rence le dollar dans les Ă©changes entre pays plus ou moins riches.âŠĂ lâ ne concevant la circulation de la monnaie que comme contre partie dâun bien ou service marchand nous poussons chacun dâentre nous Ă tout vendre, y compris son propre corps. Et lĂ , je ne pense pas particuliĂšrement Ă la prostitution[152], mais aux ventes dâorganes, dâenfants, Ă tout ce qui peut ĂȘtre considĂ©rĂ© comme le patrimoine de lâhumanitĂ©, Ă tout ce qui peut, par sa vocation humanitaire ĂȘtre sorti du service marchand, câest Ă dire tout ce qui permet Ă lâhomme de vivre, et de prĂ©server sa peut paraĂźtre excessif, pourtant, si nous nây prenons garde, nous achĂšterons un jour le droit de vivre sur catalogue dans lâentreprise X. Câest le risque du clonage humain, des cliniques et hĂŽpitaux privĂ©s, je ne veux pas nier par-lĂ quâil y a des hommes de haute conscience humaine pour gĂ©rer de tels organismes, ce que je veux dire câest que la comptabilisation actuelle ne conduit pas Ă avoir un monde dupliquĂ©, câest le conduire Ă lâextinction car la vie naĂźt de lâinteraction et du mĂ©lange. LâarrĂȘter serait se suicider, car le clonage dâhumain nâest quâune multiplication vĂ©gĂ©tative[153], dâautant plus que nous avons, par de meilleures conditions de vie, modifiĂ©e depuis longtemps la sĂ©lection naturelle » permettant au plus faible de vivre, de se multiplier ou de se bonifier au hasard des croisements gĂ©nĂ©tiques. Nous suspendons de plus en plus nos existences Ă notre technicitĂ©, Ă notre savoir, Ă nos connaissances, de maniĂšre que tout recul, ou retour en arriĂšre serait dramatique. Il faudra bien un jour que nous envisagions de revoir la maniĂšre dont nous comptabilisons notre activitĂ© humaine, pour ne pas le ne fantasme pas. Dans un autre domaine, dĂ©jĂ certains Ătats parlent dâacheter le droit de polluer. Je ne fais pas Ă©tat de formalisme en lâespĂšce. Mais, nous sommes bien obligĂ©s de constater, que nous confions Ă la monnaie le soin dâarbitrer des problĂšmes qui relĂšvent de la conscience humaine. Parce que, comme je lâai dĂ©jĂ dit certains dâentre nous ont remplacĂ© leur intelligence par un tiroir caisse, ne donnant aucune limite Ă la loi du marchĂ©. Ce que je veux dire, câest que pour prĂ©server une rentabilitĂ© du capital au travers dâune organisation monĂ©taire, nous mettons en balance, le risque des dĂ©ficits dâune politique budgĂ©taire pour financer le traitement de nos dĂ©chets et pollution, car ils sont comptabilisĂ©s comme un surcoĂ»t, face Ă la vie de lâespĂšce. Il faudra bien un jour que nous comprenions, que ce qui fait notre individualitĂ©, nâest pas que nous puissions nous dĂ©compter dans notre plus petite unitĂ©, et nous personnaliser, mais bien notre espĂšce. Et il faudra aussi que nous regardions nos dĂ©chets et pollutions, comme nous regardons nos pathologies, comme la pathologie dâune espĂšce au travers de tel comportement, que nous pouvons dire que le systĂšme libĂ©ral conduit Ă des excĂšs, et quâil indique contrairement au sens de son thĂšme libĂ©ralisme que nous nous rendons esclave de certains de nos sens, et quâil a atteint un apogĂ©e, car il ne reste plus grand chose Ă marchandiser », Ă part lâ puisque je suis dans lâexcĂšs, autant poursuivre. Jâai dĂ©jĂ dit que rien nâest dĂ» au hasard ni dĂ©terminĂ©, car tout est crĂ©ation Ă partir dâun ordre sous-jacent, dâune loi dâunification, de Dieux, je ne veux oublier personne. Et il apparaĂźt que presque chaque espĂšce sâacculture et se succĂšde, sans que nous ayons pu en dĂ©finir les modalitĂ©s, sauf Ă les expliquer par des changements environnementaux, le dĂ©luge et autre pour les croyants. Pourtant, sâil y a eu transformation, mutation, apparition, il fallait bien que quelque chose en soit porteuse. Sauf Ă concevoir une agression extĂ©rieure subite, qui peut ĂȘtre porteur de cette capacitĂ© dâĂ©volution de lâespĂšce ? Sinon allons jusqu'Ă lâexcĂšs, essayons dâimaginer ce qui nous pousse vers les excĂšs du systĂšme libĂ©ral comme facteur dâune Ă©volution dans lâĂ©cosystĂšme ». La premiĂšre des choses que nous allons faire sans y penser, câest y rĂ©flĂ©chir. Puis nous allons essayer de comprendre, et de rĂ©pondre Ă la question, mais nous le ferons par rapport Ă notre Savoir, Ă notre apprentissage bĂąti dâinformations la question est suffisamment ouverte, nous lâanalyserons Ă la vue de nos propres dĂ©sirs, et nous ne nous Ă©viterons pas de passer par le schĂ©ma instrumentaliste, lâargent, et cela que nous ayons ou non donnĂ© une rĂ©ponse Ă la question ; parce que, dans notre existence nous savons que nous allons tenter dâen possĂ©der par tous les moyens. Lâargent symbole de la possession aujourdâhui, lâargent qui a Ă©tĂ©, et est une motivation dans la mise en application de techniques polluantes et destructrices, pour satisfaire un dĂ©sir de possession, que nous retrouvons tout au long de notre courte histoire humaine possession serait-elle lâĂ©lĂ©ment moteur, le facteur hĂ©rĂ©ditaire de toute Ă©volution qui, quoi que nous fassions, de la simple cueillette comme nos ancĂȘtres, au rĂȘve le plus secret de possĂ©der la vie Ă©ternelle en passant par la mise en Ćuvre de tous les produits de notre technologie, engendrera lâacculturation pour notre que ce serait cela, face Ă quoi il faut que nous fassions preuve dâintelligence ?Est-ce ce dĂ©sir qui peut transformer lâĂ©mancipation de notre espĂšce, en accĂ©lĂ©rateur de sa mutation ou de sa disparition ?Alors, il y a beaucoup Ă dire sur la gestion de ce dĂ©sir, et si jâavais une image du comble de sa stupiditĂ© Ă donner, je choisirais celle du gros qui prend des mĂ©dicaments pour devenir maigre, afin de pouvoir continuer ainsi Ă manger ce qui le fait donc plus excessif, de penser Ă aller dans un ECPA pour avoir de lâ mieux cultiver des champs de pavot ou de coca pour avoir de lâargent, produire des armes, continuer Ă construire des vĂ©hicules polluants plutĂŽt quâĂ©lectriques, parce quâils nous font perdre quelques minutes, et des masses financiĂšres aux producteurs de pĂ©trole quâils pourraient se les procurer par ailleurs etc. ?Faut-il se passer de la capacitĂ© rĂ©cursive budgĂ©taire pour supprimer le coĂ»t rĂ©dhibitoire de la suppression des dĂ©chets et frein, Ă envisager cela, est le pouvoir de possession quâoffre le systĂšme actuel de comptabilisation, jâen reparlerai plus â Il y a un homme Ă abattre, lâignorant que nous portons pour nous y a un homme Ă abattreâŠIl ne faut pas perdre de vue que tous les concepts que nous Ă©laborons sont le rĂ©sultat de notre capacitĂ© cĂ©rĂ©brale associative, et que la conception libĂ©rale qui repose sur ce que nous appelons les lois naturelles », nâest donc rien dâautre que le reflet de notre aptitude Ă rĂ©guler nos sens, Ă rĂ©guler nos sens pour en extraire ce qui Ă©tablit ce concept libĂ©ral qui sâĂ©rige en Loi en sâappuyant sur une vue restrictive des lois naturelles ». Lois naturelles perçues par leurs concepteurs riches et Ă©duquĂ©s dans lâignorance de leur ce TOUT que nous nâapprĂ©hendons toujours pas aujourdâhui, et dont seulement certains de ses aspects observables, prĂ©sentĂ©s comme fondamentaux par les libĂ©raux, sont exclusifs des lâindividualisme et la compĂ©tition qui demeurent des aiguillons indispensables Ă leurs motivations extrĂȘmes, lesquelles poussent lâhomme Ă regarder lâautre comme, un homme Ă abattre ». Individualisme et compĂ©tition Ă lâexcĂšs qui dĂ©veloppent entre autres, la suspicion, la mĂ©fiance, le secret, lâĂ©goĂŻsme, engendrent lâirritation et la colĂšre, et nous poussent Ă possĂ©der des papiers pour prouver que lâon » est bien sâil y a chez homme quelque chose Ă abattre ce nâest pas lui.... lâignorant que nous portonsâŠAinsi, si demain le crĂ©dit Ă©tait libre, ce nâest pas sa libĂ©ralisation qui serait Ă mettre en cause, mais lâaptitude individualisĂ©e actuelle de lâhomme Ă maĂźtriser son dĂ©sir exacerbĂ©. Son dĂ©sir de se valoriser et dominer par lâaccumulation de biens, de son penchant naturel Ă la paresse de cueilleur primitif, son incapacitĂ© Ă gĂ©rer lâabondance. Cela, parce que nous sommes ignorants de nous mĂȘme par mĂ©connaissance de notre modeste place dans lâunivers, ignorance que nous cachons par lâ diraient incapables dâĂȘtre raisonnables », de gouverner nos dĂ©sirs. Gouverner, un sens non hĂ©rĂ©ditaire qui se construit, qui se transmet, et lĂ encore nous laissons Ă la monnaie le soin de justifier notre pourquoi je disais plus haut que devant la complexitĂ© humaine nous avons capitulĂ©. Nous avons substituĂ© Ă notre intelligence, la monnaie, considĂ©rant quelle justifie son rĂŽle, parce quâelle repose sur une norme mĂ©ritocratique » obtenu par le travail.En consĂ©quence de quoi, la monnaie se substitue Ă notre gouvernement.⊠pour nous nous sommes capables de dĂ©finir lâensemble de biens et de services moyens auxquels peut aspirer un homme dans une sociĂ©tĂ© comme la nĂŽtre. Câest le revenu dont il doit disposer pour y parvenir, tout en lui laissant un usage arbitraire. Câest le rĂŽle tellement contestĂ© du SMIC un des cas oĂč le raisonnement rĂšgne » sur la monnaie, oĂč lâĂ©conomie doit se plier ou intĂ©grer des exigences rĂ©sumer cette mĂ©ritocratie, je dirais que lâhomme qui naĂźt nu, va devoir occuper une place dans un schĂ©ma qui se veut fermer. Un schĂ©ma, dans lequel la clĂ© dâaccĂšs est la monnaie, et quâil devra se la procurer en se conformant Ă des normes dâacquisitions. Des normes qui le conduiront essentiellement Ă des dualitĂ©s, plutĂŽt quâĂ des complĂ©mentaritĂ©s. Bien que la complĂ©mentaritĂ© fasse partie dâune structure psychologique pour laquelle nous sommes conçus par surcroĂźt, et que nous persistons Ă vouloir donc incapable de nous soustraire aux limites dâun systĂšme normatif relatif ?Non, bien sur ! Mais toute transformation rĂ©formiste est lente, et se gouverner dĂ©mocratiquement exige de longs dĂ©bats dâ â Mais peut-il y avoir un dĂ©bat dâidĂ©e si nous laissons des mĂ©canismes systĂ©miques rĂ©flĂ©chir Ă notre place ?Mais peut-il y avoir dĂ©bat dâidĂ©eâŠSi nous nous rĂ©fĂ©rons Ă celui qui a animĂ© le vingtiĂšme siĂšcle le libĂ©ralisme contre le communisme, nous pouvons le rĂ©sumer Ă la mĂȘme opposition qui a donnĂ© naissance au lâespĂšce, il sâagissait pour le libĂ©ralisme de demander Ă la monarchie de laisser ses sujets libres de sâenrichir par le communisme, lui, rĂ©clamait Ă ces mĂȘmes commerçants que les travailleurs par le commerce de leur force de travail puissent sâenrichir, conditionnant ce commerce Ă lâappropriation collective des moyens de production. Il est donc facile de comprendre que les uns refusaient aux autres ce que eux-mĂȘmes avaient le mĂȘme but affichĂ© est lâenrichissement, le libĂ©ralisme a suivi un parcours rĂ©formateur Ă la suite dâune rĂ©volution expropriatrice de possĂ©dants privilĂ©giĂ©s noblesse. Cela au bĂ©nĂ©fice de particuliers riches bourgeoisie, tandis que le communisme a rĂ©alisĂ© en Russie la rĂ©volution expropriatrice de lâĂtat nobiliaire au bĂ©nĂ©fice de la collectivitĂ© Ă©tatique. Cela Ă retardement, Ă contre temps et lâhistoire a tranché⊠pour lâ nous sommes actuellement dans le cadre dâune seule forme de pensĂ©e. Et pour retenir une notion libĂ©rale importante, nous pouvons mĂȘme dire en lâabsence de toute pensĂ©e concurrente. Une absence de concurrence idĂ©ologique ou dâexpressions de pensĂ©es diffĂ©rentes rĂ©unissant un poids politique suffisant pour offrir une alternative. Comme quoi nous pouvons parfaitement soutenir un concept et nous accommoder dâune position dominante contraire Ă ce regretter lâabsence de dĂ©bat de pensĂ©e ?Les puristes vous diront oui, mais moi je serais plus nuancĂ©, si le dĂ©bat consiste Ă discuter des moyens Ă mettre en Ćuvre pour que tous les hommes deviennent riches en lâĂ©tat actuel des choses, et du type dâĂ©conomie que nous dĂ©veloppons. Nous savons que câest une illusion. Si cela signifie se rĂ©partir la richesse des autres, cela lâest tout autant. Si câest pour choisir son Roi » cela se comprend, et ne justifie que des passions sâil sâagit de dĂ©battre jusquâĂ quelle limite nous devons laisser une fiction[154] » la monnaie nous gouverner, alors lĂ , je le dis fiction pour faire la diffĂ©rence avec le rĂȘve câest pouvoir un jour espĂ©rer voyager dans lâ fiction câest de croire que notre salut ne dĂ©pend que de la seule croissance issue de la production de biens et services. Comme le clonage vĂ©gĂ©tal, son effet est rapide, mais son homogĂ©nĂ©itĂ© porte sa le regrette dâautant plus que lâeffondrement du communisme a entraĂźnĂ© un recentrage de lâidĂ©al socialiste laissant des vides idĂ©ologiques qui se sont remplis dâacrimonies confessionnelles et le dĂ©bat du Nord contre le Sud est devenu un dĂ©bat du libĂ©ralisme contre l'islamisme ou des chefs de guerre de tout poil, car les pays pauvres, ne trouvant plus d'Ă©chos et de soutiens dans un idĂ©al politique Ă©teint, se sont rĂ©fugiĂ©s dans la religion et lâidentitĂ© culturelle pour porter leurs espĂ©rances. Cela, faute de trouver un Nord qui leur propose comme idĂ©al autre chose quâune exploitation Ă terme dans laquelle la rĂšgle est de manger les autres. Alors que lâislamisme par exemple leur offre de retrouver une espĂ©rance et une dignitĂ© dâhumain et, y dĂ©veloppe une instruction coranique dont nous ignorons ce quâelle engendrera. Mais une chose est sĂ»re, câest quâils ne sont pas instruits dans lâamour de lâoccident.âŠsi nous laissons des mĂ©canismes systĂ©miques rĂ©flĂ©chir Ă notre nous avons des conflits de dĂ©sirs dâachat, dans bien des situations nous recherchons un arbitrage, câest encore la monnaie qui nous sert dâarbitre. Lâexistence de ces encaisses monnaie dont lâon dispose est la preuve que la monnaie est demandĂ©e en tant quâactif par les agents de lâĂ©conomie, quâelle fait partie de la richesse de ces agents, et quâen tant que telle elle dĂ©termine leurs choix[155] ».Pourtant, si tout un chacun voulait acheter un Airbus et se faire construire un palais de Versailles, et que nous ayons la monnaie nĂ©cessaire, câest le temps qui nous ferait dĂ©faut. Nous serions loin des 35 h par semaine, car devant effectuer un choix de mode dâexistence choisir de travailler toute notre existence durant des gĂ©nĂ©rations pour satisfaire un dĂ©sir qui nâest pas indispensable, qui est le dĂ©sir de possĂ©der au-delĂ de lâutile, dont chacun est arbitrairement maĂźtre du le cas de figure exposĂ© nous aurions le plein emploi, et la seule difficultĂ© serait de dĂ©finir quel serait lâordre dâattribution de ces biens, câest Ă dire la file dâ rappelle quelques caricatures de lâancienne Ă©conomie de lâEst. Pourtant dans notre Ă©conomie libĂ©rale cette attente existe, mais ce rĂŽle câest la monnaie qui le remplit, le rĂ©gule. Câest le rĂŽle de la thĂ©saurisation aujourdâhui lâĂ©pargne, de la rĂ©glementation du crĂ©dit. Faute dâargent suffisant nous ne nous dĂ©plaçons pas pour acheter, et cela entraĂźne la baisse des prix. Trop dâargent, nous faisons la queue, et alors les prix montent inflation, et ceux qui nâont pas assez dâargent restent chez eux. Câest ce fameux Ă©quilibre du marchĂ© qui nous Ă©vite dâavoir Ă si nous regardons en arriĂšre, et que nous observons toutes les crĂ©ations des hommes, des pyramides aux stations orbitales, nous examinons tout notre potentiel crĂ©atif humain, toute notre capacitĂ© innovante et toute notre rĂ©flexion. Dâun regard historique nous y voyons aussi une accĂ©lĂ©ration exponentielle durant ce dernier demi-siĂšcle, due aujourdâhui Ă la technologie, et je crois que nul ne peut douter de notre capacitĂ© Ă la rĂ©flexion. Pourtant, il est un domaine qui est Ă la traĂźne, notre regard sur nous-mĂȘmes, comme si par peur de nous dĂ©couvrir, nous prĂ©fĂ©rions nous abriter derriĂšre des justifications instrumentales, hypothĂ©quant par-lĂ mĂȘme la possibilitĂ© dâune sociabilitĂ© plus rapide, en laissant le soin Ă des mĂ©canismes financiers de nous â Nous nous laissons gouvernĂ© par une monnaie qui donne le pouvoir, Ă qui se lâapproprient et nĂ©vrose les nous laissons gouverne par une monnaie qui donne le pouvoirâŠCependant la question est de dĂ©terminer le rĂŽle de la monnaie dans cette Ă©volution, car le potentiel humain est le mĂȘme quâaujourdâhui que du temps des pharaons, et il nây a pas dâobservation notable de notre Ă©volution cĂ©rĂ©brale sont donc certainement nos structures sociales qui ont jouĂ© un rĂŽle dĂ©terminant dans tout ce qui fut utile ou effet, durant de longs siĂšcles toutes les initiatives personnelles devaient se trouver un blanc seing de la part du dominant pour naĂźtre, et recueillir les moyens de sa mise en bien que mĂȘme en possĂ©dant les moyens, il Ă©tait difficile de mener Ă bien une rĂ©alisation qui enfreignait les rĂšgles de lâidĂ©ologie dominante du moment. Câest le propre de toute pensĂ©e inquisitrice, dont notamment celle qui a existĂ© dans les anciens pays de lâEst oĂč il fallait penser de cette contrainte statutaire, il restait Ă dĂ©velopper les moyens. Les banques et les marchĂ©s financiers les ont fournis en crĂ©ant de la monnaie. De ce fait, la libertĂ© dâentreprendre et les moyens disponibles, de maniĂšre rĂ©sumĂ©e, ont conduit Ă notre essor avec tous les soubresauts que nous lui le pouvoir a glissĂ© vers ceux qui dĂ©tiennent les moyens de crĂ©er de la monnaie, conditionnant de fait les dĂ©cisions politiques.⊠à qui se lâapproprieâŠOr, cette libertĂ© dâentreprendre ne dit pas quâelle sâapplique sous une forme restrictive. Câest Ă dire que pour disposer des moyens il faut, soit les avoir, et dans ce cas nous pouvons nous construire un Airbus ou un Versailles, sinon il faut les obtenir auprĂšs dâun prĂȘteur, la banque dâĂ©mission en gĂ©nĂ©ral ou les marchĂ©s financiers. Ces derniers nous accorderons les moyens demandĂ©s en fonction du risque que reprĂ©sente le projet, ou de lâanticipation dâune rĂ©alisation de profit sur les marchĂ©s au fil du temps est survenu un transfert du rĂŽle inquisiteur si contestĂ© des dominants politique, vers les organismes financiers, qui Ă leur tour se justifient de leur rĂŽle inquisiteur par la loi du ainsi que les banques centrales se sont Ă©mancipĂ©es du pouvoir politique, et dĂ©tiennent par la libĂ©ralisation des capitaux et la fixation des taux dâintĂ©rĂȘts des banques centrales indĂ©pendantes, celui de sâopposer Ă toutes les autres orientations Ă©conomiques qui lui seraient ainsi que des dĂ©tenteurs de masse financiĂšre peuvent fragiliser des sommes donc, Ă notre insu ou avec une acceptation rĂ©elle ou confuse, passĂ©s en quelques siĂšcles de la domination dâune noblesse divine Ă celle dâune noblesse les mĂȘmes causes produisant les mĂȘmes effets, nous aurons notre Ă©niĂšme rĂ©volution », ce nâest quâune question de consĂ©quence, la monnaie a suivi un parcours qui, de sa seule fonction dâĂ©change lâa conduite Ă occuper un pouvoir politique. Cela illustre Ă©galement lâillusion des pouvoirs dĂ©mocratiques qui ne brassent que des mots, faute de se donner les moyens dâavoir de la monnaie et donc dâĂȘtre donneur dâordre, et subissent ainsi la dictature des marchĂ©s dirait certains ; moi je vise plutĂŽt la dictature du suicide Ă©goĂŻste, auquel sâajoute parfois le suicide altruiste pour le justifier[156].De maniĂšre, que tous les projets sociaux relevant de la solidaritĂ© nationale ou de la communautĂ© se voient contestĂ©s, sauf Ă sâinclure dans un systĂšme marchand producteur de profits La SĂ©cu, les Retraites, projets de sociĂ©tĂ© etc..De maniĂšre que les secteurs non rentables tombent dans le don et la charitĂ©, qui par le pouvoir des mots sont devenus la capacitĂ© des individus Ă prendre des initiatives pour sâentraider. Si je fais cette analogie, ce nâest ni pour nier ni pour minimiser ni pour fustiger la solidaritĂ© et la prise dâinitiative dont fait preuve autant ceux qui donnent que ceux qui organisent, mais câest pour souligner quâelle sâadresse en rĂšgle gĂ©nĂ©rale, et presque toujours, Ă ceux qui ont le moins de ressources parmi les particuliers. Il nây a rien de pĂ©joratif dans mon propos, car ces initiatives donnent parfois corps Ă dâauthentique institution, lâhistoire de la naissance de la sĂ©curitĂ© sociale en est lâexemple le plus flagrant ou la croix rouge ; tandis que ceux qui disposent de la concentration des moyens financiers subventionnent sponsoring les rĂȘves Ă©litistes et autres, en rĂȘvant aux bĂ©nĂ©fices publicitaires de leur aide, puisque ce sont les clients qui achĂšteront la subvention. Ainsi, toute une activitĂ© socioculturelle passe sous le pouvoir de leurs mĂ©cĂšnes, ou des groupes industriels qui acceptent de financer sous cette forme une activitĂ© socioculturelle, quâils refuseraient de financer sous la forme dâun impĂŽt. La diffĂ©rence est notable, dâun cĂŽtĂ© on conserve le pouvoir que confĂšre la monnaie, de lâautre on le perd au bĂ©nĂ©fice de la nây a aucune malveillance Ă comprendre dans mon propos malgrĂ© des dĂ©rives, comme celles qui touchent au dopage dans le monde sportif, mais plutĂŽt comprendre quâau travers dâune dĂ©pendance financiĂšre, suivant ses formes, lâon peut perdre son autonomie dâinitiative, y compris la dĂ©mocratie effective, au profit de ceux qui sâapproprient le pouvoir dâĂ©mettre de la monnaie et de contrĂŽler sa circulation, et câest moins un ou des individus quâun systĂšme.âŠet nĂ©vrose les que jâaie expliquĂ© le caractĂšre fictif » de la monnaie, et reconnu sa fonction essentielle, nous la regardons tellement avec des yeux de ChimĂšne, quâelle est devenue notre prison. Cela, comme si sans elle, il nây avait plus de imaginer que notre intelligence pourra prendre conscience de ses capacitĂ©s socialisantes[157] paraĂźt relever du fantasme, tant notre violence culturalisĂ©e » nous effraie, et mĂȘme imaginer un monde sans monnaie, câest frĂŽler lâasile comme si sans monnaie, nous ne pouvions plus apprendre, plus produire, plus crĂ©er, plus aimer ou dĂ©tester. Câest lĂ toute la limite, entre utiliser un outil le langage Ă©conomique, et croire ne dĂ©pendre que de cet outil jusquâĂ en faire un guide câest lĂ aussi une source de nĂ©vroses individuelles ou collectives. Individuelle pour tous ceux qui peuvent ou ne peuvent accĂ©der Ă la monnaie, et qui se construisent des univers personnels. Collective pour des sociĂ©tĂ©s entiĂšres qui sâopposent des schĂ©mas culturels auxquels ils voudraient que les autres adhĂšrent, dont lâhistoire rĂ©cente de lâIran est lâexemple me semble important de dĂ©finir briĂšvement ce que jâentends par comme toutes les autres espĂšces, communique avec son environnement. Son environnement nâest pas seulement la planĂšte terre avec ses habitants mais tout lâunivers, et nous rĂ©agissons comme un Ă©metteur rĂ©cepteur. Donc notre bon fonctionnement dĂ©pend de ce que nous puissions parfaitement Ă©mettre et recevoir. Ainsi chaque fois quâune partie de ces fonctions est altĂ©rĂ©e, il y a dysfonctionnement et dyscommunication » ou dysharmonie bruits.LâaltĂ©ration peut provenir aussi bien de notre environnement que de nos semblables, que de la culture dĂ©veloppĂ©e par les sociĂ©tĂ©s que nous formons leurs normes, et la diversitĂ© culturelle fermĂ©e et exclusive.Ainsi, bien rĂ©ussir sa vie comme nous le disons », dĂ©pend de notre facultĂ© Ă concevoir un langage qui est lâexpression de nos sens Ă©metteur, qui peut ĂȘtre reçu sans distorsions rĂ©cepteur, et chaque fois que nous Ă©mettons un message qui nâest pas reçu, compris, refusĂ© ou dĂ©formĂ© nous le refoulons, et son intĂ©riorisation constitue une nĂ©vrose entraĂźnant le repli sur soi qui dĂ©forme les messages Ă©mis ou reçus avec lâ nombre important de nĂ©vroses ou une profonde nĂ©vrose entraĂźne une tendance Ă se crĂ©er un monde Ă soi, Ă sâisoler[158].Pour Sigmund Freud, la nĂ©vrose est caractĂ©risĂ©e par le fait, quâelle donne Ă la rĂ©alitĂ© psychique le pas sur la rĂ©alitĂ© de fait, quâelle rĂ©agit Ă lâaction des idĂ©es avec le mĂȘme sĂ©rieux avec lequel les ĂȘtres normaux rĂ©agissent devant les rĂ©alitĂ©s ». Totem et Tabou, Ă©dition Payot 1965, p 223.A la longue, ces dysfonctionnements provoquent dâauthentiques complexes dâinfĂ©rioritĂ©, de culpabilitĂ© ou /et des angoisses, qui consument une plus grande quantitĂ© dâĂ©nergie interne sans en recevoir de lâextĂ©rieur par le relationnel, et conduisent Ă de graves maladies paranoĂŻa et schizophrĂ©nie[159].En consĂ©quence je peux dire que pour les sociĂ©tĂ©s ou les Ătats il en est presque de mĂȘme[160], câest lâincommunicabilitĂ© des diversitĂ©s culturelles. Cette incommunicabilitĂ© entraĂźne la perception de lâautre comme Ă©tranger, lâobsession de lâagression, lâhĂ©gĂ©monie comportementale, lâ comportements nĂ©vrotiques dus Ă la peur engendrent les guerres qui consument lâĂ©nergie de ces Ătats ou ces SociĂ©tĂ©s. Ănergie que sont les vies humaines, pour conduire Ă une maladie grave, la misĂšre. Pourtant dans encore beaucoup dâesprits grĂ©gaires la guerre et la misĂšre sont prĂ©sentĂ©es comme une rĂ©gulation naturelle », lĂ , oĂč il nây a que les consĂ©quences de la recherche dâune conquĂȘte Ă©conomique et la prĂ©servation de sa qui aujourdâhui ose dire Ă nouveau que la multiplicitĂ© des langues et dialectes sont un frein Ă la communication des ĂȘtres entre eux et un facteur de violence. Nous traĂźnons ce boulet comme symbole dâune identification culturelle et nationale, alors quâil nâest plus aujourdâhui oĂč tout circule de par le monde, que lâexpression du refus de souvrir aux autres par lâapprentissage dâune langue commune universelle, et le refuge de ceux qui ont peur par ignorance de ce qui se trouve au-delĂ de leur horizon de comprĂ©hension, et qui lâexprime en justifiant la nĂ©cessiter de recouvrer leur racine ; en rĂ©duisant au plus petit espace leur communautĂ© linguistique dans celle du passĂ©, ceci porte un nom, cela sâappelle une rĂ©gression ; et la nĂ©cessitĂ© pour lâindividu de se reconnaĂźtre dans son semblable, sa famille, son groupe son genre, ne devraient ĂȘtre que des Ă©tapes, des sous-ensembles rassurants, pour aller en toute confiance vers lâespĂšce. De structurer son psychisme dans un espace limitĂ© et tranquillisant, pour pouvoir sâouvrir aux autres, au quâĂ faire pour ĂȘtre certain de retrouver nos origines il suffit de ne pas apprendre Ă y a un intĂ©rĂȘt culturel et sociologie voire scientifique Ă les conserver et les Ă©tudier pour comprendre le sens que leurs mots dĂ©finissent, les effets du son que leur consonance Ă©mette, pour ne pas perdre un savoir quâelles contiennent ; leur existence nâen reste pas moins un handicap dâincommunicabilitĂ© pour lâespĂšce humaine. Imaginer que chaque pays dispose de ses propres caractĂšres de chiffres et de rĂšgles mathĂ©matiques au nom de la diversitĂ©, que serait-il advenu des sciences ? Ceci fait partie intĂ©grante de certains de nos comportements sociologiques, qui, tout en percevant que nous nous trompons nous persistons dans lâerreur, car nos langues ne peuvent pas plus rester un systĂšme fermĂ© que les autres, et pour celles qui se sont perdus, elles ont emportĂ© avec elle les secrets de lâinfluence de leur consonance ou assonance sur notre systĂšme biologique quâil y a les mathĂ©matiques pour reconstruire la tour de Babel, car avec nos 1500 langues et dialectes nous ne sommes pas prĂȘts de nous entendre pour poser les pierres de lâĂ©difice. Et si vous pensez avec juste raison que nous nâen faisons pas toujours un bon usage, je rappellerai que câest, dâune part au nom de ces identifications culturelles que sont les langues, et dâautre part, faute dâavoir une communautĂ© de langage, que dâautres utilisent ce handicap pour se construire autour du langage universel que sont les mathĂ©matiques une communautĂ© financiĂšre comptable qui fait peut cas des espaces que la diversitĂ© disparaĂźtra parce que nous aurons une langue commune est une phobie, car je lâai dĂ©jĂ dit câest lâespace gĂ©ohistorique qui est le corollaire de diversitĂ©, un montagnard vivra toujours comme un montagnard, et nous aurons beau apprendre Ă un bĂ©douin la pĂȘche Ă la truite il nâen deviendra jamais un car ans le dĂ©sert il nây a pas dâeau, mais sâil parle le mĂȘme langage que vous il pourra vous le dire sans devoir sâexprimer par le langage primitif est complĂ©mentaire, la une langue nâest pas limitĂ©e par les seuls mots quâelle contient, dâautres peuvent ĂȘtre créés pour dĂ©finir ou redĂ©finir nos dĂ©couvertes et nos perceptions dans tous les domaines, ne pas confondre avec ceux qui analphabĂštes inventent leurs mots pour redĂ©finir ce qui lâest dĂ©jĂ , et se reconnaĂźtre dans leur monde qui entre en confrontation avec celui duquel ils sont autre consĂ©quence de la peur, et celle de la policiarisation de proximité». Cela peut se comprendre, dâune part, depuis que les espaces frontaliers ont Ă©tĂ© ouverts, car lâactivitĂ© de contrĂŽle et de filtre qui Ă©tait le leur, si elle doit ĂȘtre effectuĂ©e, sâeffectue dorĂ©navant au niveau de chaque individu dans leur quotidien. Cela entraĂźne une multiplication de contrĂŽles de la vie privĂ©e papier et vidĂ©o. Dâautre part, cela se comprend surtout par le phĂ©nomĂšne dâinsĂ©curitĂ© » dâune sociĂ©tĂ© qui est nĂ©vrotique. En lâespĂšce, je ne veux pas dĂ©velopper un point de vue naĂŻf, ignorant des besoins de sĂ©curitĂ©, dâun Ătat, du civil et du pĂ©nal. Mais, je veux mâattarder sur le phĂ©nomĂšne de la perception du besoin de sĂ©curisation constant, comme indicateur dâun symptĂŽme dâune sociabilitĂ© socio-Ă©conomique » qui Ă©volue mal, puisquâelle sĂ©crĂšte ses propres agents agresseurs quelle quâen soit la cause, et suffisamment pour que la communautĂ© dĂ©sire que sa sociabilitĂ© sâexerce sous le contrĂŽle des forces de coercitions, police, justice ou en si auto protĂ©geant. Ceci, non plus comme lâexercice de la correction dâun taux inĂ©vitable de violences et de dĂ©viances inhĂ©rentes Ă toute sociĂ©tĂ© dans le cadre de concomitances dâĂ©vĂ©nements probabilistes, mais, comme force de compensation, dâune sociĂ©tĂ© ayant une tendance Ă gĂ©nĂ©rer de la violence, comme caractĂ©ristique dâune absence ou dâune diminution de ses capacitĂ©s Ă communiquer, sous son autoritĂ© de fait, par son dĂ©sintĂ©rĂȘt pour lâexercice de sa citoyennetĂ© socio-Ă©conomique de ses relations socialisantes, et qui se sent en permanence menacĂ©e dans son Ă©goĂŻsme, courant le risque de lâenfermement, de lâisolationnisme, et de la effet, le taux de crimes et dĂ©lits sâĂ©levait Ă 13,73 pour 1000 habitants en 1950 ; 15,05 en 1960 ; 22,37 en 1970 ; 48,90 en 1980 ; 61,69 en 1990 ; 63,17 en 1995 ; et 60,97 en 1999 Francoscopie, source ministĂšre de lâintĂ©rieur. Les crimes et dĂ©lits contre les personnes sont passĂ©s de 58 356 de 1950 Ă 233 194 en 1999, soit 398%. Les vols y compris recels, infractions Ă©conomiques et financiĂšres, et autres infractions dont stupĂ©fiants sont passĂ©es de 515 933 infractions Ă 3 334 670 soit une progression de 650%. Ce que lâon peut observer câest la croissance liĂ©e Ă des motifs de recherche dâune ressource illĂ©gale. Globalement ces taux doivent ĂȘtre regardĂ©s avec prudence, car ils ne font pas Ă©tat des modifications de comptabilisations des crimes et dĂ©lits intervenus, ni de la suppression de certains dĂ©lits par abrogation de dispositions lĂ©gislatives ou de lâapparition de nouvelles. Mais ils sont suffisants, afin dây voir une progression et en comprendre sa source la plus probante, et quâil est nĂ©cessaire que cette progression repose sur un support, sur un terrain favorable, pour que des individus passent Ă lâacte, car personne ne se lĂšve un beau matin en se disant, tient aujourdâhui il fait beau je vais ĂȘtre un dĂ©linquant ». GĂ©nĂ©ralement, il sâagit dâun support ambiant de relations qui baignent dans les prĂ©misses dâune banalisation de rapports relationnels violents. Câest Ă dire que pour quâil y ait autant dâaccroissement dâagissements dĂ©lictueux, il faut que les chances de probabilitĂ©s des conditions Ă©vĂ©nements dĂ©lictueux se soient accrues, que la communicabilitĂ© » baisse, ou les deux Ă la fois, et câest cela quâindiquent ces taux globaux. Câest cela que les citoyens ressentent quand ils parlent dâinsĂ©curitĂ©, quelles que soient les sources Ă quoi ils les attribuent [161], et câest contre cela quâils veulent se protĂ©ger, en dĂ©signant des boucs Ă©missaires qui ont toujours existĂ©. Et si d'ordinaire la rĂ©pression policiĂšre peut sâavĂ©rer rassurante, elle ne peut rĂ©soudre durablement une tendance sociĂ©tale Ă la violence dans ses rapports citoyens, sans que la sociĂ©tĂ© ausculte elle-mĂȘme son organisation socio-Ă©conomique, qui est comment avoir un revenu pour cet appel excessif Ă lâautoritĂ© coercitive nous fera entrer dans une dĂ©mocratie policiĂšre vers laquelle nous nous dirigeons. Une dĂ©mocratie qui surveillera la vie privĂ©e de ses citoyens comme nâimporte quel Ătat policier, que nous fustigions, il y a trente ans. Une dĂ©mocratie qui se judiciarisera », en installant la justice lâorganisation judiciaire, non la justice prise en son sens moral qui consiste Ă ĂȘtre juste et respecter les droits dâautrui au-dessus de la citoyennetĂ©, comme un dieu vertueux. Dans ce cas lâĂ©nergie qui se consume est celui de la libertĂ©, ce qui nous conduit au paradoxe de tuer la libertĂ© au non de la protection de la libertĂ©, protection qui tue en mĂȘme temps la sociabilitĂ©, car il est impensable de vivre en se demandant Ă chaque instant si nous n'avons pas contrevenu Ă une rĂ©glementation, sâil faut soumettre son diffĂ©rent Ă la justice, il nâest pas concevable de vivre sous contrĂŽle vidĂ©o de tiers qui jugeraient si vos comportements sont sociologiquement compatibles, et au bout de cela, la dĂ©mocratie devient de sĂ©curitĂ© conduirait inĂ©vitablement Ă lâinsĂ©curitĂ© psychique, car chacun deviendrait presque transparent, et ne disposerait plus dâabri, de refuge oĂč poser tous ses secrets, dâabri oĂč suspendre sa vigilance qui est une exigence vitale du monde des espĂšces vous invite Ă la fiction sur quelques lignes. La technologie nous permet donc de mettre nos rues sous contrĂŽle vidĂ©o, ainsi que nos lieux publics, mais par plus de sĂ©curitĂ© nous pouvons mĂȘme en installer chez chaque particulier. Nous disposons Ă©galement des techniques dâĂ©coutes qui peuvent ĂȘtre personnalisĂ©es, Ă©galement dâappareils dĂ©tecteurs de mensonges qui pourraient le signaler chaque fois que nous en ferions un, imaginer le bruit sâil Ă©tait sonore, des techniques dâidentification la biomĂ©trie, la technologie iridian » contrĂŽle par lâiris. Nous pourrions mĂȘme trĂšs tĂŽt dĂ©finir si un enfant est adaptable Ă une sociĂ©tĂ© type, nous pourrons mĂȘme dans quelques annĂ©es rĂ©orienter sa pensĂ©e le cas Ă©chĂ©ant Ă lâaide des champs magnĂ©tiques, dĂ©celer qui nourri des pensĂ©es criminelles, mais Ă qui confier cette mission, si ce nâest Ă des vous le comprenez la marge nâest pas Ă©crite oĂč les moyens utilisĂ©s pour assurer sa sĂ©curitĂ© conduisent Ă la pratique dâune ce fait lâappĂąt du gain facile dĂ©lits et crimes, la xĂ©nophobie, le terrorisme, la peur paranoĂŻaque sont entrain de remporter une victoire, celle de transformer les dĂ©mocraties en fossoyeurs des libertĂ©s, car sâil fut un temps oĂč chacun Ă©tait prĂ©sumĂ© honnĂȘte, aujourdâhui chacun est prĂ©sumĂ© coupable et doit se soumettre Ă tout contrĂŽle. Nous commençons Ă ne plus rien Ă avoir Ă envier aux anciennes dĂ©mocraties de lâ plus sur moyen pour lâĂ©viter reposent plus sur de confiantes relations socio-Ă©conomiques socialisantes que sur la construction de blockhaus individuels, sur une Ă©ducation socialisante plutĂŽt que seulement technique, mais encore faut-il exercer sa citoyennetĂ©, qui ne se limite pas Ă aller voter, mais comprendre aussi les mĂ©canismes sous lesquels nous vivons et occuper lâespace des affaires de financement des parties politiques et des emplois fictifs en est une illustration. En tant que citoyens nous ne pouvons pas Ă la fois demander Ă des parties politiques de sâoccuper de nous de reprĂ©senter la diversitĂ© dâopinions de la communautĂ©, ce qui nĂ©cessite de disposer, de moyens techniques, de moyens administratifs, de moyens de dĂ©placement et de rĂ©unions, de moyens de propagandes et dâinformations, et ensuite, parce que câest notre libertĂ© ne pas adhĂ©rer, faire en sorte ne pas leur donner les moyens de trouver les financements que cela nĂ©cessite. Moyens de financement quâils devront se procurer par ailleurs malgrĂ© les financements publics de maniĂšre licite ou non, puisque la demande de service existe. Sâil y a problĂšme, câest parce quâil y a une inadĂ©quation entre la demande des citoyens, et ce quâils acceptent de bien vouloir payer pour cette activitĂ©. Si cette inadĂ©quation est intervenue, câest parce quâil y a eu une modification du comportement des citoyens ; câest que les rĂšgles Ă©ditĂ©es ou tacites sont devenues dĂ©suĂštes, et elles ne permettaient pas Ă un besoin recomposĂ© dâexister. Sans entrer dans lâanalyse des intĂ©rĂȘts hypocrites, la prise en compte de ce besoin relĂšve du dĂ©bat de lâexercice de la citoyennetĂ©, et non pas de la justice. Ce qui relĂšve de la justice, est seulement lâenrichissement personnel qui peut en cela laisse entiĂšre la question Comment dĂ©cĂšle-t-on ce genre dâĂ©volution dans notre sociĂ©tĂ© ? Tous les acteurs sociaux que vous interrogerez vous rĂ©pondront, par la discussion nĂ©gociation dans les faits, dans lâorganisation de notre sociĂ©tĂ©, cela se fait toujours au travers du rapport de force. Et dans ce cas dâespĂšce, le rapport de force a surgi de lâaction de la justice saisie par les acteurs mĂȘmes de ces passe-droits ou dâabus de droits, dans le but clair dâaffaiblir lâautre. Justice qui disciplinĂ©e, applique une lĂ©gislation, et qui nâa pas Ă sâinterroger en tant quâinstitution sur les Ă©volutions de tendance des relations de la sociĂ©tĂ©, mais qui nâexerce pas non plus son action en dehors ou au-dessus de la dites » dans ce cas dâespĂšce câest la reprĂ©sentation politique qui câest discrĂ©ditĂ©, mĂȘme si câest par carence dâune certaine conscience politique des citoyens, en une forme de libertĂ© qui les conduit Ă partager une opinion politique, mais ne pas si aliĂ©ner par une adhĂ©sion, qui en leur donnant les moyens financiers, leur garantie aussi lâautonomie dâ ce nâest ni a la justice ni a la police de dĂ©finir de nouvelles rĂšgles, ce qui ne limite nullement le droit dâexpression de ses acteurs, par contre, lâappel Ă leurs services sont clairement symptomatiques dâun dysfonctionnement ou de carence, et sâil doit ĂȘtre fait appel Ă leurs services pour les contenir, celui-ci ne peut ĂȘtre durable sans risque, car ils ne peuvent se substituer Ă la nĂ©cessiter dâune communautĂ© de sâausculter sur les tendances quâelle dĂ©veloppe par ses propres concepts, et ce, parce que la sociĂ©tĂ© est en mouvement, et va dâun ordre vers un nouvel ordre. Pour oser allez jusquâau bout du raisonnement, et pour expliquer pourquoi jâai dit que la justice ne devait pas se situer au-dessus des citoyens, je rappellerai que jâai dĂ©jĂ dit, que nous avions un regard limitĂ©, et quâil ne nous permettait pas de saisir lâinfiniment petit, ceci mĂȘme dans nos relations Ă©conomiques, comme jâai essayĂ© de lâexpliquer avec lâexemple du chinois qui achĂšte un bol de riz P. 206.Ainsi, ce qui prĂ©vaut dans le domaine physique mĂ©tĂ©o, effet papillon, prĂ©vaut Ă©galement dans le domaine Ă©conomique, et pour quâelle raison ne prĂ©vaudrait-il pas dans le domaine relationnel, serait-il Ă lâĂ©cart ? Ainsi, quand nous pensons que tout acte qui nuit Ă autrui doit faire lâobjet dâune dĂ©cision judiciaire pour rĂ©tablir les droits du lĂ©sĂ©, câest ignorer, que dans le labyrinthe de nos interrelations, forcĂ©ment ce que nous avons fait causera du tort Ă un autre. Ne pouvant saisir ces infinitĂ©simales relations, la justice sâexerce donc dans un champ restreint, sâil en Ă©tait autrement nous passerions notre temps Ă nous condamner. Elle ne peut de ce fait, se situer au-dessus de lâhomme, ne serait-ce enfin, que parce que câest la communautĂ© qui la met en place. Ce qui nâĂŽte rien Ă son rĂŽle de garante du droit que se donnent les citoyens, tout en Ă©mettant une rĂ©serve historique important ; la justice garante du droit est toujours installĂ© par lâidĂ©ologie dominante, quelle soit transcendantale ou immanente, et ne prĂ©figure pas cette justice pure » dont chacun dentre nous nourri lâ essayez dâimaginer quâun Inuit habitant du Groenland porte plainte contre les Ătats qui polluent les mers, parce que de ce fait lĂ , il doit se nourrir de poissons qui contiennent des taux de mercure nuisible Ă leur santĂ©. Il pourrait donc considĂ©rer quâon lâempoisonne, un pas que nous nâavons pas hĂ©sitĂ© Ă©motionnellement Ă faire dans le lâaffaire du sang contaminĂ©, poursuivi dans lâaffaire des farines animales, avec celle du nuage de Tchernobyl ; et que nous appelons pollution quand il sâagit dâempoisonnement par lâoxyde de carbone rejetĂ© par nos propres vĂ©hicules et industries. Qui condamne-t-on ? Les prĂ©sidents, les industriels, les citoyens ? Cela fixe les limites de nâimporte lesquelles des institutions judiciaires, car sinon autant porter plainte contre Dieu parce que nous mourrons. Cela fixe aussi la limite du langage et des mots que nous utilisons pour qualifier des manquements aussi individuels que collectifs, sans entacher la nĂ©cessitĂ© de dĂ©finir des responsabilitĂ©s dâacteurs. Câest ainsi que le mot de crime se banalise. Ne dit-on pas ce quâil fait est criminel », comme il se conduit câest criminel », ce quâil pense est criminel », etc.⊠pour qualifier de plus en plus la dangerositĂ© dâĂ©vĂ©nements ou de comportements, et cela nous conduira incidemment Ă regarder notre activitĂ© humaine comme une activitĂ© criminelle. Ce qui est certainement vrai, mais nous passerons de la notion dâhumain Etre violent », Ă celle dâHumain criminel ». Cela, parce que sans nier le rĂŽle important de la justice comme valeur institutionnelle, nous voulons lui confier celui de nous apporter La Solution, La Justice ». Solution et Justice inexistantes en dehors de nous, et de lâusage que nous faisons de notre intelligence, et des dĂ©bats que nous sommes capables dâavoir entre citoyens. Quand lâon sait que lâactivitĂ© criminelle se justifie par lâĂ©gocentrisme, en dĂ©signant celui-ci comme criminogĂšne, nous qualifions ainsi les bases mĂȘmes du dĂ©veloppement biologique de toutes les espĂšces vivantes ; nous petit humain narcissique nous qualifions lâorigine, la genĂšse de la vie de criminel, si cela nâest pas se prendre pour Dieu, quâest-ce ?Ainsi, suivant que nous voulions une justice rĂ©paratrice des mauvais essais de notre Ă©volution culturalisĂ© et acculturĂ© » ou une justice vengeresse de nos Ă©motions impulsives, nous criminaliserons nos rapports et nous condamnerons encore Ă titre individuel des Etres Ă la mort ou Ă perpĂ©tuitĂ©, tout en qualifiant dâhumaniste la substitution de la perpĂ©tuitĂ© Ă la peine de mort. Dâautres condamneront des hommes Ă deux, voire trois cents ans de peine de prison, sans quâun seul nâen relĂšve lâabsolu absurditĂ© ; et câest dramatique de confier le destin de certains Ătres Ă des hommes qui, campĂ©s dans la reprĂ©sentation dâune instance lĂ©gislative essentielle, ne font pas plus preuve de bon sens que ne le ferait un robot. Cela dĂ©montre au moins que multiplier la durĂ©e des peines nâapporte pas de solution radicale Ă la violence, que dans une telle dynamique nous en arriverions vite Ă punir sa descendance jusqu'Ă mille ans, et que ceux qui jugent opinion publique sont parfois porteurs de plus de violence que ceux quâils condamnent. Il nây a rien dâanormal en cela, car nos Ă©motions violentes rĂ©actionnelles comme nos impulsions, nâont pas de notion de temps et leur apaisement nâa pas de raison, câest seulement la connaissance de ce que nous sommes qui fait entrer cette raison. Et dans cette irraison » qui perdure et se fortifie, nous sommes arrivĂ©s Ă considĂ©rer des Ătres comme des dĂ©chets quâil faut Ă©liminer parce quâils perturbent le systĂšme qui les produit, de la mĂȘme maniĂšre que nous Ă©vacuons nos dĂ©chets Ă©conomiques. Ceci toujours pour la mĂȘme raison parce quâinvestir dans dâautres mesures coĂ»tent de lâargent, alors que nous disposons de lâintelligence pour le faire et des moyens de produire cet argent Ă discrĂ©tion autant que nous le voulons, afin dâapprendre Ă comprendre les schĂ©mas qui transforment notre agressivitĂ© naturelle en violence irraison » qui fait que nous habillons la vengeance du qualificatif de justice pour exercer nos mĂȘmes impulsions criminelles par le biais dâun tiers Ătat; tiers qui soumis Ă une opinion publique rĂ©gressive Ă©goĂŻsme, isolationnisme, peurs paranoĂŻaques, nâose plus sâen Ă©carter, soit parce quâils en sont le prolongement Ă©lu ou bien parce quâils nâen ont pas le courage. Le danger en cela est de rĂ©veiller un Eichmann culturalisĂ© qui sommeille encore en chacun dâentre-nous[162].Il est bon de se rappeler ce que disait Hawkins des systĂšmes physiques quâil y a un absolu oĂč tout sâĂ©croule. Ainsi quand nous condamnons un individu au-delĂ de sa propre existence, quand nous demandons encore Ă des hommes de prononcer des peines de morts ou que nous concevons des crimes comme imprescriptibles, au nom dâune religion ou dâun droit, nous avons atteint cet absolu. Et encore nous le dĂ©passons quand ceux qui disposent du moyen dâexercer le crime le plus grand, celui dâĂ©radiquer la planĂšte par leurs armes, oublient de se mettre au banc des les guerres sont aussi les rĂ©sultats de nĂ©vroses collectives, par dysfonctionnement de lâĂ©metteur/rĂ©cepteur Culturel, elles le sont aussi du dysfonctionnement du langage Ă©conomique ».En effet, aujourdâhui dans une Ă©conomie organisĂ©e, le langage de communicabilitĂ© » Ă©change Ă©conomique, est la monnaie. Lorsque ce langage ne permet pas de communiquer Ă©changes uniquement quâentre pays solvables, ou Ă©changes hĂ©gĂ©moniques nous dĂ©veloppons des nĂ©vroses. En consĂ©quence ceux qui possĂšdent ce langage la monnaie ont tendance Ă sâisoler dans des blockhaus aux entrĂ©es sĂ©lectives, pendant que les autres dĂ©veloppent rancĆurs, amertumes, frustrations, dont la phase aiguĂ« est la rĂ©volte, lâinsurrection, la psychiatre examine un patient il recherche les causes ayant conduites le sujet Ă encadrer ses Ă©motions dans des constructions cognitives qui lui nuisent. Pour une sociĂ©tĂ© il en est de mĂȘme, toutes les organisations systĂ©miques qui encadrent nos relations et la crĂ©ation de la monnaie ne sont pas forcĂ©ment bonnes, si elles engendrent lâ part vous pensez, Sommes-nous des Etres nĂ©vrotiques » ?Certainement ! Chaque fois que nous avons peur de communiquer avec celui qui est exactement comme nous, de partager des Ă©motions, et plus gĂ©nĂ©ralement avec ce qui est lâĂ©tat dâĂ©quilibre de notre vie, la mort, et que comme un malade nous paraissons conscients du caractĂšre pathologique » de la violence humaine que nous avons organisĂ©e, pourtant cette luciditĂ© ne nous sert Ă rien pour nous dĂ©barrasser des pensĂ©es ou des schĂ©mas qui lâ je me suis hasardĂ© Ă transposer une maladie humaine » Ă nos pratiques culturelles ou Ă nos relations Ă©conomiques Câest pour essayer de faire ressortir, quâĂ©tant des ĂTRES nĂ©vrosĂ©s » depuis la sortie de notre biotope, pourquoi voudrions-nous, en dehors des systĂšmes physiques, que nos constructions de systĂšmes relationnels ne le soient pas ?Câest pour faire ressortir cette notion de raisonnement en un Tout » qui nous est si difficile dâapprĂ©hender. Cela, parce que pour essayer de le comprendre, il nous a fallu le dissocier, et que trop souvent par la suite nous ne voulons lâexpliquer que par un de ses composants, parce quâil Ă©merge Ă notre regard partial, alors que son historicitĂ© partielle demande une analyse globale, et que celle infinitĂ©simale nous Ă©chappe. Je ne prĂ©tends pas que mes exemples soient justes car câest plus complexe que cela. MĂȘme isolĂ©s, nous sommes tous en interaction ; câest pourquoi les effets de lâisolationnisme sont ceux-ci donnent un Ă©clairage sur cette fonction essentielle et complexe de communiquer comme antidote Ă lâautisme » Je peux rĂȘver mais le rĂ©alisme sâ peux rĂȘverâŠEn effet, notre monde nâest que le monde que nous regardons issu des circonstances Ă©vĂ©nementielles dont nous avons fait lâexpĂ©rience, et que nous avons reconnu cognitivement. Il nâest en rien un monde objectif » comme il doit ĂȘtre, car nous ne le connaĂźtrons pas, du moins de notre vivant. Celui que nous voyons est le monde de notre regard, mĂȘme technologique, car nous nâatteignons que les buts que notre raisonnement sâest pour cela que si demain nous nous fixions comme but de nourrir, dâinstruire tous les hommes, et de ne pas se faire la guerre, nous atteindrions notre but, parce que nous formerions notre structure cognitive pour lâatteindre, et dĂ©velopperions nos connaissances en ce il faut tenir compte du paradoxe suivant les Hommes atteignent les but quâils poursuivent mais diffĂ©remment de ce quâils les avaient nous nây parvenons pas, câest parce que nous dĂ©veloppons une mauvaise » notion libĂ©rale de nos rapports, dans laquelle tout homme doit tout optimaliser dans son seul intĂ©rĂȘt, et donc nous poursuivons ce but, et rĂ©alisons les structures pour lâatteindre, et donc les structures pour se le mĂȘme temps, nous nâavons pas pris conscience de cette fabuleuse possibilitĂ© que nous offre lâUnivers de ne pas connaĂźtre le monde objectif », mĂȘme sâil nous conduit par lâĂ©volution jusquâĂ son ignorance lĂ nous donne la possibilitĂ© de changer notre existence, par notre capacitĂ© vais essayer de mâen expliquer. Jâai dit que la conscience humaine nâentraĂźnait pas automatiquement celle de lâespĂšce. Si la conscience de soi et son corollaire la pensĂ©e se sont Ă©laborĂ©s trĂšs lentement au fil de centaines de milliers ou millions dâannĂ©es et plus, nous avons pu le comprendre par les traces que nous a conservĂ©es la nature de la migration de nos lointains prĂ©dĂ©cesseurs. Traces de la pensĂ©e symbolique telle par exemple, les traces de rites, de sĂ©pultures sĂ©lectives, dâun art pictural ou instrumental, et des traces dâorganisations nous continuons toujours par lâexamen des vestiges du passĂ©, ancien ou moderne le moderne sâestimant conventionnellement Ă partir de lâĂąge du bronze, Ă retracer nos origines et nos cultures civilisations, et cela nous paraĂźt dâune banalitĂ© sidĂ©rante, tout en restant sĂ©parĂ© sur la notion de lâhomme créé ou issu dâune Ă©volution. Pourtant, essayez dâimaginer que la conscience de soi, avec pour consĂ©quence la pensĂ©e crĂ©atrice », ne se soit pas manifestĂ©e par des usages symboliques. Cela nâaurait certainement rien changĂ© Ă la conscience de soi en elle-mĂȘme. Mais son expression aurait certainement Ă©tait tout autre, et comment aurions-nous fait, pour prendre conscience que nous constituons une espĂšce. Nous aurait-il fallu pour cela allez serrer la main des six milliards dâautres humains, en se demandant si chacun Ă©tait comme soi ?Ainsi, bĂȘtement la conscience de lâespĂšce passe par les traces que nous laissons comprenant le langage et lâĂ©criture, de la pensĂ©e symbolique, qui nous permettent entre autres de dire que, oĂč que se trouvent les hommes, ils dĂ©veloppent les mĂȘmes schĂ©mas, quels que soient les noms dont ils les habillent, et le rythme auquel ils le font en fonction de leur vestiges nous ont permis aussi de nous situer dans la durĂ©e, dans les millĂ©naires, au-delĂ , de la seule capacitĂ© de la mĂ©moire humaine. Ainsi, dans notre monde contemporain, grĂące Ă notre intelligence que la pensĂ©e symbolique a permis de cerner et de dĂ©velopper, aboutissant ainsi Ă notre technologie, nous savons que le monde que nous nous sommes construit est celui de notre pensĂ©e, et non un monde reposant sur une quelconque vĂ©ritĂ© absolue. Pour lâillustrer je vais reprendre lâexemple du ballon de foot que notre regard voit sâaccĂ©lĂ©rer lorsquâil rebondit sur de lâherbe mouiller, si sur cette hypothĂšse totalement fausse scientifiquement, parce que la vitesse du ballon se rĂ©duit et cela dâautant plus vite que les forces de frottements que reprĂ©sentent la pelouse sont nombreuses, si nous dĂ©veloppions une organisation sociale sur la base de cette pensĂ©e chacun comprend dans cet exemple quâelle serait erronĂ©e et nâaurait rien avoir avec la rĂ©alitĂ© des lois de la physique. Ainsi ayant conscience de tout ceci, nous avons donc tout le loisir dâen changer quand "bon nous semble". Mais pour cela, il faut encore nous doter de quelque chose qui nous fait dĂ©faut, la conscience de lâespĂšce. Non pas celle qui nous classe biologiquement, ni la conscience de lâespĂšce qui conduit Ă nous comparer Ă celle que nous connaissons chez les animaux et formĂ©s des clans territoriaux, mais celle qui nous est propre ou plus dĂ©veloppĂ©e que chez dâautres espĂšces, parce que nous disposons de la conscience de soi qui nous entraĂźne vers la conscience plus celle qui conduit lâindividu Ă sâeffacer dans lâespĂšce, ou de sâen extraire, mais celle de lâindividu qui sâassocie pour donner corps Ă lâespĂšce, parce que nous en prenons conscience effet papillon. Ceci, nous permettant de nous auto gĂ©rer dans la connaissance de plus en plus grande du monde physique et psychique.⊠mais le rĂ©alisme sâimposeâŠPour autant, je ne peux ignorer le rĂŽle et lâimportance quâaccordent les hommes Ă la monnaie, fut-elle construire un financement qui appauvrirait les riches, contesterait le pouvoir de la monnaie, ne tiendrait pas compte du systĂšme de mĂ©ritocratie, serait vouĂ© Ă lâ ne peux donc pas mâappuyer pour cela, ni sur un pouvoir politique qui Ă©chappe aux hommes citoyens qui dĂ©sertent lâespace public, au profit de celui des banquiers et des financiers » quâils se sont bĂąti sur la confusion de la notion dâespace privĂ©, ni sur de nouvelles idĂ©ologies ou utopies qui nâhabitent presque plus ni les uns ni les retrouver ce pouvoir politique ou idĂ©ologique, face aux excĂšs du pouvoir Ă©goĂŻste, il y a un effort de comprĂ©hension Ă©norme Ă faire qui demandera certainement des gĂ©nĂ©rations et auquel peuvent concourir les hommes de science, les philosophes, pour peu quâils sâorganisent politiquement pour ĂȘtre au service de lâhumanitĂ©, et les jeunes Ă©tudiants, car Ă ces Ăąges lĂ lâon est toujours idĂ©aliste et crĂ©atif. Dâune certaine maniĂšre pour faire une analogie avec lâhistoire biblique il faudra que des scientifiques, des philosophes, des intellectuels sâorganisent, pour une fois de plus chasser les marchands du temple qui ont installĂ© leur bourse aux quatre coins du monde, quâils sâorganisent pour ne pas se faire crucifier par le poids de lâinformation dogmatique des marchands. Ceci, car lâon peut observer dans ces trente derniĂšres annĂ©es quâils ont disparu du dĂ©bat, sauf quand ils servent de justification Ă lâidĂ©ologie dominante, car pour exister dans le monde mĂ©diatique dâaujourdâhui, ce nâest pas seulement des livres quâils leur faut mais des heures dâantennes oĂč ils peuvent enchaĂźner un dĂ©veloppement au-delĂ de trente secondes sans que le commentateur vedette ne leur coupe la parole. Cela ne met pas en cause les capacitĂ©s des commentateurs, mais souligne une information qui est devenu avant tout spectacle pour fidĂ©liser lâauditeur auquel lâon soumettra des publicitĂ©s qui fourniront les ressources financiĂšres. Pour ces raisons lĂ malgrĂ© la multitude dâĂ©vĂ©nements, toutes les chaĂźnes nous proposent les mĂȘmes, en nous assurant quâil y a pluralitĂ© de lâinformation parce que les rĂ©dactions et les commentateurs les personnalisent. Il est important de ne pas ignorer cela, car Ă croire que le monde ne ressemble quâaux quelques informations qui sont diffusĂ©es, nous finissons par leur donner et leur fabriquer une rĂ©alitĂ© globale quâelles nâont pas si nous nâavons pas les moyens de les câest Ă la communautĂ© citoyenne de fournir les conditions et les moyens dâanalyse de ses â Cela nĂ©cessite de rechercher en quoi y a-t-il un individu unique qui ne soit pas un composant dâune structure collective ?En quoi y a t il un individu uniqueâŠDĂ©jĂ , dĂšs la naissance, chaque ĂȘtre va devenir le rĂ©sultat dâune Ă©ducation normative reconnue par la collectivitĂ©. De telle sorte que ses comportements ne puissent ĂȘtre autre chose dans la plupart des cas que ceux attendus par la collectivitĂ©. Tous les autres seront considĂ©rĂ©s comme dĂ©viants. Ainsi, dâentrĂ©e de jeu, lâindividu va adopter la structure du groupe culturel dans lequel il vient au monde. Il va donc devenir une image de ce groupe, rien de bien individuel en nous savons que chacun reçoit la moitiĂ© dâune subdivision des chromosomes des parents. Aujourdâhui nous savons que chacun a une carte gĂ©nĂ©tique qui porte une distinction. Cependant de lĂ Ă dire que cette distinction gĂ©nĂšre un psychique propre, le pas nâa pas Ă©tĂ© franchi. NĂ©anmoins nous savons que cette spĂ©cificitĂ© nous protĂšge de la dĂ©gĂ©nĂ©rescence, assure la diversitĂ© des caractĂšres qui nous personnalisent, mais nous savons aussi que nous sommes tous composĂ©s des mĂȘme forces et matĂ©riaux, y compris ceux qui donnent Ă©mergence Ă notre il y a la somme invraisemblable dâinformations collectĂ©es et perçues consciemment ou non, avec leurs distorsions que nous traitons, comportant un nombre considĂ©rable dâoccurrences associatives qui limitent la probabilitĂ© dâen trouver dâidentiques, qui nous fait apparaĂźtre unique et assure notre ainsi quâil est ressorti de lâĂ©tude des enfants sauvages retrouvĂ©s dans la nature, libĂ©rale lâenfant loup, lâenfant gazelle dans le dĂ©sert de Transjordanie et les deux filles loup trouvĂ©es par le pasteur Singh en Inde 1920/1929, que ce qui diffĂ©rencie lâhomme de lâanimal est quâil naĂźt prĂ©maturĂ©ment. Ce fut la conclusion du psychiatre Sivadon qui suivait la rĂ©adaptation de ces deux filles loups qui vivaient et se comportaient comme des loups. Au point que la personnalitĂ© de lâĂtre sâĂ©labore essentiellement dans les matrices culturelles aprĂšs sa naissance, et quâelles sont aussi importantes pour son dĂ©veloppement que la matrice ce nâest pas parce quâil nous est impossible de dĂ©montrer que faire vivre Ă deux ĂȘtres la mĂȘme existence conduirait Ă une mĂȘme analyse de leur part, que nous pouvons dire quâil y a Ătre unique, aux motifs, que chacun entend, voit, sent, goĂ»te, perçoit rĂ©cepteurs thermiques, tactiles, algiques la mĂȘme nâest pas parce que chaque homme ignorant de ce quâil est peut faire tour Ă tour, tout au long de son existence, une variĂ©tĂ© incalculable dâanalyses et de synthĂšses, Ă partir des informations quâil collecte, et qui nourrissent les suivantes quâil y a un Ătre unique, mĂȘme si cela contribue Ă dĂ©finir ou recomposer sa personnalitĂ©, son Moi-je ego.Ce nâest pas parce quâil y aurait une possession dont disposerait chaque Ătre vivant du Virus Ă lâHomme, qui est dâhĂ©riter des critĂšres de la survie de son espĂšce et de tout rapporter Ă lui lâĂ©gocentrisme par nĂ©cessitĂ© de prĂ©server le potentiel duplicateur, quâil y a un Ătre unique, puisque cet innĂ©, cette fonction est commune Ă toute espĂšce nâest pas parce quâil y a une variĂ©tĂ© infinie de caractĂšres spĂ©cifiques qui sont regroupĂ©s sous diffĂ©rent type Ă partir dâun ou plusieurs traits dominant qui donne une image diffĂ©renciĂ©e de chacun tout en restant reliĂ© au tronc commun la construction biologique humaine quâil y a un Ătre y a individu unique, seulement parce quâil ne vit quâune fois sa vie, et il ne peut jamais emprunter deux itinĂ©raires. En consĂ©quence, aucun autre individu nâempruntera sa vie et son itinĂ©raire. MĂȘme si un sujet avait aujourdâhui la carte gĂ©nĂ©tique de NapolĂ©on, il nâen resterait pas moins un autre ĂȘtre unique, car dâaucune maniĂšre il ne pourrait rĂ©emprunter lâitinĂ©raire qui avait Ă©tĂ© le mĂȘme, si nous sommes composĂ©s constituĂ©s en partie dâinformations, de particules qui ont pu composer elles-mĂȘmes, des existences antĂ©rieures, et quâelles en ont gardĂ© la mĂ©moire. Parce quâelles demeureraient des images mortes du passĂ©. Si cela sâavĂ©rait Ă partir des quelques exemples qui existent [163]rĂ©els ou imaginaires, pourrions nous remonter au-delĂ du Big-bang ?Partant de lĂ , ce que nous appelons individualitĂ© nâest que le rĂ©sultat dâune cognition maternĂ©e et culturelle, consciente ou non, qui se complexifie par accumulation en rĂ©troaction Ă©quilibration[164] et conduit Ă la personnalitĂ© dans le cadre de son environnement historique auquel sâajoute lâInstruction, lâĂducation, le Savoir, et la Connaissance. LâindividualitĂ© ou lâindividualisme serait plutĂŽt la perception du sentiment de ce que nous sommes, auquel comme toujours, nous donnons la signification que nous avons pu en comprendre ou qui nous arrange dans notre ordre sociĂ©tal[165], car ce qui nous rend individuel est notre temps personnel que nous avons dissout dans un temps collectif, et que de toutes les maniĂšres nous ne pouvons pas apprĂ©cier tant les Ă©carts son infinitĂ©simaux note 74.Tout ceci Ă moins dâadmettre les erreurs dâinformations dans la transmission du message conceptuel ARN qui expliqueraient que la formation du psychique sera diffĂ©rente chez chaque individu, comme Jacquard lâexpose dans son ouvrage La lĂ©gende de la vie», [166] Ă propos de celles ayant conduit Ă la diffĂ©renciation des bactĂ©ries. Aujourdâhui depuis bientĂŽt une dizaine dâannĂ©es ont Ă©tĂ© dĂ©couverts de micro ARN qui sâinsĂšrent et modifie LâARN si cette capacitĂ© psychique a pu ĂȘtre diffĂ©renciĂ©e par son volume cĂ©rĂ©bral, câest dans le cadre de lâĂ©volution cĂ©rĂ©brale globale de lâespĂšce Ă diffĂ©rents stades de sa mĂ©tamorphose dont nous nâavons aucune trace sauf des capacitĂ©s volumiques crĂąniennes, et aujourdâhui des Ă©tudes qui expliquent en partie que plus le nĂ©ocortex et gros, plus lâespĂšce dĂ©veloppe une sociabilitĂ© nây a donc lĂ rien de bien individuel, mais toute la source de lâapprĂ©ciation de notre communautĂ© humaine, par lâindividu, qui se croit dâimmanence ou de transcendance, repose sur le fait quâil se voit Ă juste titre sujet unique non parce quâil est diffĂ©rant de lâespĂšce mais parce quâil nâa quâune existence et personne dâautre ne peut la vivre.âŠqui ne soit pas le composant dâune structure donc, six milliards dâEtres uniques possĂšdent les mĂȘmes outils sensoriels. Ils se composent des mĂȘmes matĂ©riaux, portent le mĂȘme innĂ© » de survie. MalgrĂ© cela nous ne parvenons pas Ă admettre, quâil y a une construction psychique unique non individuelle, mais commune, qui est celle de notre espĂšce par rapport aux autres espĂšces plus, nous sommes les uns aux autres en interrelation obligĂ©e, ce qui nous permet dâexister, et de nâexister quâau travers les uns des autres. Ce que nous percevons alors, comme psychique individuel, est la consĂ©quence de notre apprentissage culturalisĂ©, et notre incapacitĂ© Ă percevoir le temps qui est le nĂŽtre, notre espace Ă lâinstar de lâUnivers existant par ses crĂ©ations, nous existons par les assemblages qui sont les nĂŽtres sur la base des mĂȘmes matĂ©riaux. Si nous pouvions nous voir Ă lâĂ©tat de paquet de forces concentrĂ©e », comme un infime trou noir qui va exploser pour donner naissance Ă un Etre, cet Etre serait de lâordre de grandeur de quelques particules, soit moins dix puissance dix-huit mĂštre la taille dâune particule -10Ë18. Alors, notre dĂ©veloppement apparaĂźtrait comme un soufflĂ© se dilatant, et essentiellement composĂ© de vide » lâespace quâil y a entre un noyau et son Ă©lectron.Nous pouvons donc Ă juste titre nous interroger, notamment A quel instant le psychique apparaĂźt dans ce dĂ©veloppement de forces se matĂ©rialisant ?Chacun dâentre nous en a une idĂ©e, si lâĂȘtre au psychique personnalisĂ© fait sur mesure pour lui inclut une dimension supra humaine transcendantale issue dâune relation de lâindividu au divin, alors cela ne se discute pas câest une affaire de moins nette que dâadmettre Ă©galement le fait quâil puisse y avoir une diversitĂ© de psychique due Ă lâinfluence de la position de la planĂšte dans son systĂšme solaire ou galactique astrologie, trop de marge est laissĂ©e Ă lâinterprĂ©tation. Dans ce mĂȘme ordre dâidĂ©es, le physicien Evan Walter a dĂ©veloppĂ© le concept que les photons Ă©tant dotĂ©s dâune certaine conscience[167], la conscience peut ĂȘtre associĂ©e Ă tous les phĂ©nomĂšnes quantiques, et partant de lĂ toutes les suppositions sont il y aurait un individu au sens ou certains lâimaginent câest Ă dire, naissant avec son psychique individualisĂ© spontanĂ©, psychique individualisĂ© dĂ©terminant une conscience spontanĂ©e capable de lui assurer, de fait, une existence propre indĂ©pendamment des autres, ou une capacitĂ© dâanalyse personnelle, parce que câest Lui. Cet individu n'existe pas, puisquâil se construit biologiquement et culturellement dans un processus identique pour tout un chacun, comportant des milliards ou plus de quantitĂ©s dâoccurrences. De telle maniĂšre que quand nous observons cela dans son unitĂ©, lâindividu paraĂźt unique. Ăgalement nos observations constatent des caractĂšres qui se sont modelĂ©s durant des millĂ©naires dâinteractions par lâhĂ©motypologie, mais ne justifie pas plus dâune structure psychique nâexiste pas, car nous descendons dâune combinaison molĂ©culaire identique pour toute chose. Cela nâexclut pas, en ce qui nous concerne des distorsions dans ces assemblages, mais indique que sa contexture est une construction en duplication modĂ©lisante » sensible aux informations de lâenvironnement dans lequel il sâinscrit, pour sâassurer une pĂ©rennitĂ© incertaine, une par la psychologie et la psychiatrie, nous connaissons les relations Ă©troites reliant le psychique et le somatique, nous vĂ©rifions expĂ©rimentalement et cliniquement ce que nos ancĂȘtres dĂ©duisaient empiriquement, par lâintuition et lâobservation ou pour certains comme les chamans, les grecs mystĂšres dâĂleusis liĂ©s au culte de DĂ©mĂ©ter par lâusage de psychotropes champignons hallucinogĂšnes et autres plantes, et aux quatre coins du monde nous exprimons nos Ă©motions de la mĂȘme dans lesquelles lâhomme machiste sâest installĂ© en dominateur, et en a dĂ©veloppĂ© la culture, par lâimage du pĂšre le dominant rĂ©fĂ©rentiel de la horde, les rois par exemple dont les fils Ă©taient les sujets; la dĂ©mocratisant sous les coups de boutoir du dĂ©veloppement Ă©conomique, au travers de la notion de libertĂ© et dâintĂ©rĂȘt individuel qui a exigĂ© la recomposition de lâimage du pĂšre, redevenu accessible Ă ses fils, pour que les nouveaux pĂšres redeviennent les fils de leurs nations Ă©mancipĂ©es, qui se charge de prĂ©server et garantir leur nouveau statut de pĂšre frĂšre » par des principes universalistes libertĂ© Ă©galitĂ© fraternitĂ©, droit de lâhomme, tout en cohabitent avec les reprĂ©sentations historiques du pĂšre », les religions, les cultures diffĂ©renciĂ©es dâorigines ancestrales, syncrĂ©tiques ou idĂ©ologiques qui constituent lâimage cĂ©rĂ©brale de lâespace temporel dont tout psychique a besoin pour se construire et ensuite Ă©changer, communiquer, et sâacculturer ; et dont la transmission de lâimage du pĂšre » essentiellement patriarcale devient bicĂ©phale avec lâĂ©mancipation de la femme, et bouleverse quelques repĂšres. Non pas ceux dĂ©finissant lâexpression du Moi de chaque Ătre, mais ceux confirmant sa notion de dominateur machiste la diffĂ©rence entre autoritĂ© et autoritarisme marque dâune infĂ©rioritĂ©. DiffĂ©rence nâallant pas sans poser des problĂšmes dans lâĂ©galitĂ© politico-Ă©conomique de lâhomme et de la femme. ĂgalitĂ© oĂč souvent, pour la reconnaĂźtre les hommes demandent Ă la femme dâexercer le mĂȘme autoritarisme et lâĂ©galitĂ© consiste Ă donner Ă la femme la direction dâune sociĂ©tĂ© machiste pour la reproduire, câest nâavoir façonnĂ© que des femmes hommes[168].Si lâĂ©galitĂ© câest concevoir un dieu fĂ©minin qui crĂ©a la femme, lâessence mĂȘme dont lâhomme est extrait, ce nâest pas mieux. Par contre si un jour, sans rejeter la religiositĂ© humaine », elles rejettent simultanĂ©ment la Vierge Marie, le Tchador et autres pour ĂȘtre Elle, alors lĂ commencera lâĂ©galitĂ© diffĂ©renciĂ©e et lâespĂ©rance dâavoir une sociĂ©tĂ© autre que machiste, autre que patriarcale ou matriarcale, dont je nâai aucune idĂ©e, et que jâai qualifiĂ© dâharmonie » note 25.Je peux donc dire quâen continuant Ă dĂ©velopper et maintenir dans notre Ă©ducation la notion dâintĂ©rĂȘt individuel culturalisĂ© synonyme de domination comme base fondamentale de notre dĂ©veloppement Ă©conomique, cette notion a pour but de maintenir une constatation, une observation dont nous avons fait une mauvaise Ă©valuation par mĂ©connaissance. Mauvaise Ă©valuation de ces constats, les estimant plus importants que notre Ă©panouissement psychique. De ce fait nous les perpĂ©tuons aujourdâhui par des constructions idĂ©ologiques, parce quâils donnent la puissance, et sây auto construction idĂ©ologique va jusqu'Ă la mĂ©tonymie[169] de notre collectivisme, qui est que lâintĂ©rĂȘt individuel concourt Ă lâintĂ©rĂȘt collectif dans lequel il sâexerce, et sans lequel il nâexisterait pas la partie du Tout. Il nâa jamais Ă©tĂ© dĂ©montrĂ© quâun Homme, Ă©levĂ© isolĂ©ment, dĂ©veloppait un intĂ©rĂȘt individuel autre que celui dâun animal, qui est pour certains de dĂ©velopper un esprit de clan et non dâespĂšce, avant que son psychique ne le conduise au fil des siĂšcles par lâĂ©ducation Ă concevoir quâil est un Tout difficile Ă pouvons constater tous les jours que la mise en commun de notre force de travail, de notre intelligence, dĂ©veloppent et suscitent celles des autres. Son contraire peut ĂȘtre aussi dĂ©montrĂ© par ailleurs, dans des pays oĂč il ne manque ni dâintĂ©rĂȘts individuels, ni alors oĂč se situe le niveau de la scolaritĂ© et de lâenseignement dans les uns et les autres, et nous pouvons donc avoir une idĂ©e, au-delĂ des slogans idĂ©ologiques, de ce qui freine lâusage culturel qui peut ĂȘtre fait de notre psychique dans son environnement ce qui pourrait ĂȘtre gĂ©nĂ©rĂ© si les masses de monnaies, dĂ©pensĂ©es pour se protĂ©ger de nos semblables du fait de notre incommunicabilitĂ©, Ă©taient utilisĂ©es Ă lâ comprendrions alors que le liant collectif est lâapprentissage dans lequel nous baignons, et quâil convient certes quâil soit structurĂ©, mais ouvert et â Lâon doit dĂ©passer le connu, pour ouvrir des voies pour dĂ©passer le connuâŠPour se convaincre que notre capacitĂ© rĂ©flexive est le produit de forces cognitives, il suffit de sâintĂ©resser Ă la recherche robotique qui a dĂ©veloppĂ© des robots Ă informations ascendantes. Tel le prototype nu, dont le cerveau » se compose dâune collection de microprocesseurs Motorola 68332, de f cadencĂ©s Ă 16 Mhz, modifiĂ©s pour former un rĂ©seau neuronal, conçu sur le patron du cĂąblage de notre propre cerveau, et qui apprend Ă la maniĂšre dâun enfant en interagissant avec son environnement[170]. Ainsi, les forces qui nous ont créés sont capables par rĂ©troaction, de pouvoir crĂ©er Ă leur tour un humanoĂŻde auquel il ne manquera quâune autonomie Ă©nergĂ©tique pour nous supplanter. Et peut-ĂȘtre que dans quelques milliers dâannĂ©es, la future Bible racontera que Dieu ayant trouvĂ© que les ĂȘtres quâil avait faits Ă son image Ă©taient imparfaits, il a inspirĂ© quelques prophĂštes initiĂ©s pour concevoir lâhumanoĂŻde Ă son image. Pourvu que nous nâallions pas crucifier ces chercheurs, car sâest peut ĂȘtre grĂące Ă eux que nos futures gĂ©nĂ©rations se consacreront Ă lâoisivetĂ© cela permet surtout dâindiquer que ce robot ne rĂ©agira, quâĂ partir des informations que sa conceptrice lui aura donnĂ©es, tout comme lâintelligence artificielle ».Mais sera-t-il en mesure de nommer une relation inconnue de son concepteur et donc non programmĂ©, ou une association autre que par des mots prĂ©dĂ©finis ?Sera-t-il capable de ressentir un membre fantĂŽme[171] ?Sera-t-il capable de pressentir lâindĂ©finissable ? Certainement pas, et cela nous le comprenons trĂšs il est moins Ă©vident de le comprendre quand cela nous toutes les informations sensibles ou culturelles que nous nommons ou nous reprĂ©sentons, constituent la base de toute structure cognitive en interactions successives pour aboutir Ă la solution dâun problĂšme ou atteindre un le risque demeure que lâusage des dĂ©nominations et des reprĂ©sentations supplante et distorde lâinformation sensible et le rĂŽle important de la circulation de lâapprentissage du Savoir, pour quâil sâajoute et rĂ©duise cet individualisme excessif quâillustre le slogan moi je me suis fait seul ». Expression dâune approche exclusivement dualiste dâappropriation, par incomprĂ©hension de la machine » humaine et au de-lĂ dâelle, de lâHumain, dont ses observateurs sâĂ©vertuent Ă attribuer Ă une personne la crĂ©ation » dâune collaboration humaine, qui plus est leur Ă©chappe, mais câest un autre sujet. Ce qui par ailleurs ne retire rien aux capacitĂ©s et nĂ©cessaires initiatives personnelles.âŠet ouvrir des voiesâŠOr, nous sommes sans exception habitĂ©s des mĂȘmes sensations liĂ©es aux mĂȘmes fondements ; des lois naturelles diraient certains ». Ces lois naturelles aujourdâhui nous les connaissons en partie, nous nous Ă©tudions ainsi que notre monde, mais elles demeurent lâapanage de quelques initiĂ©s, ethnologues, biologistes, neurologistes, astrophysiciens, cosmologistes, des psychologues, psychiatres, des sociologues, la liste de toutes les sciences serait longue Ă Ă©numĂ©rer, et lâon peut les regrouper sous le terme Ă©pistĂ©mologie Ă©tude de la science. Elles sont Ă©tudiĂ©es pour certains dans un langage commun, les mathĂ©matiques et la chimie, ou lâobservation de corrĂ©lations et de rĂ©gularitĂ©s. Pourtant, elles devraient ĂȘtre connues de tout un chacun, car nous en avons aujourdâhui les moyens, sans passer par des paraboles religieuses, selon les Ătats dans lesquels elles sâexercent. Car si quelquâun prenait le temps de réécrire les livres religieux afin de les ajuster aux rĂ©sultats de nos sciences, nous nous apercevrions quâils ne sont que les consĂ©quences de lâĂ©tude interprĂ©tative de lâhomme et du monde avec les seuls moyens dont les hommes de lâĂ©poque disposaient leur rĂ©flexion. Et il nâest pas dit que certains de ces hommes, sâils avaient disposĂ© des moyens technologiques qui sont les nĂŽtres, nâauraient pas Ă©taient pour quelques-uns des gĂ©nies, et dâautres de terribles tyrans. Et si JĂ©sus expliquait par une parabole quâil nây avait pas lieu de jeter des pierres Ă la prostituĂ©e, jâai expliquĂ© la mĂȘme chose en mâappuyant sur ce que la science a mis en Ă©vidence par la thĂ©orie du chaos. Mais voilĂ , JĂ©sus ne disposait pas dâordinateur, et il a du se servir dâune mĂ©thode psychanalytique que lâon appelle lâ tout ce que nous dĂ©couvrons sur nous et notre monde doit ĂȘtre regardĂ©, non comme vĂ©ritĂ© absolue, mais comme information/communication dâune voie rationnelle dynamique Ă tendance non linĂ©aire », offrant comme repĂšres ordre une route de circulation jalonnĂ©e dâoĂč peuvent partir toutes bifurcations. Cela, jusqu'Ă ce que lâune ou plusieurs dâentre elles deviennent Ă leur tour des routes jalonnĂ©es offrant dâautres voies de bifurcations. Des voies oĂč le rationnel et le non linĂ©aire demeurent la voie commune pour avancer ensemble, sans constituer la voie obligatoire, bordĂ©e dâinterdictions de sorties idĂ©ologiques ou de sachant Ă©galement que la linĂ©aritĂ© et la rationalitĂ© ne sont pas la vĂ©ritĂ©, mais seulement une mĂ©thodologie de comprĂ©hension et de rĂ©alisation de notre Tout, car nous ne pouvons lâexprimer que par le seul langage. Et ce, dâautant plus que nous le conditionnons Ă une expression rĂ©duite par nos dĂ©finitions en refoulant une partie dâelles sous le paraĂźtre biensĂ©ant ainsi que nous avons sĂ©parĂ© le raisonnement Ă©conomique, politique, et religieux, comme si nous les vivions sĂ©parĂ©ment, sans quâils soient les uns dans les autres conduit Ă de faux discours moi je ne me prĂ©occupe que dâĂ©conomie », lâĂtat ne doit pas sâoccuper dâĂ©conomie », moi je ne mâoccupe que de lâesprit » etc. qui sont de vrais prĂ©textes hypocrites pour se voiler la face sur ce qui nous gĂȘne ou nous arrange dans les responsabilitĂ©s que nous voulons ou pas assumer dans la en connaissons lâhistoire, mais quel est lâimbĂ©cile qui croirait que notre cerveau a fait cette sĂ©paration, dâautant plus que notre cerveau les relie au quotidien, et quand cela nous gĂȘne nous avons un inhibiteur tout trouvĂ© la monnaie.âŠpour monnaie câest aussi notre miroir, et ce miroir reflĂšte notre insuffisance Ă nous prendre en charge, puisque nous lui dĂ©lĂ©guons le rĂŽle de tout dĂ©terminer dans notre existence. Il nâest pas un problĂšme qui ne soit Ă©voquĂ© sans que nous en fassions un problĂšme Ă©conomique. Pour y conserver son rĂŽle, nous organisons la raretĂ© par lâutilisation dâun plan comptable qui est une voie commune qui quantifie le rapport offre/demande en monnaie, oĂč lâhomme ne se regarde pas pour son devenir, mais par sa capacitĂ© Ă produire et consommer, avec lâinterdit de produire lâabondance, ce que se charge de rĂ©guler la voie ne signifie pas quâil faille la rejeter, mais peut-ĂȘtre bifurquer ?Dâautre part, nous passons une bonne partie de notre Ă©ducation Ă nous convaincre que nous ne pouvons pas nous passer de la monnaie. Nous ne choisissons notre existence professionnelle et parfois privĂ©e, quâen fonction du revenu dâun mĂ©tier, avec les frustrations de lâĂ©chec lorsque nous nâatteignons pas notre objectif. Ce choix raisonnĂ© de la production de nos besoins ne peut satisfaire Ă lâexpression de toutes nos sensations intĂ©rieures. Celles-ci se manifestent indĂ©pendamment de nous, et nous devons les refouler quand elles ne trouvent pas un terrain favorable Ă leur ECPA offriront Une bifurcation, en dĂ©veloppant un terrain favorable Ă lâexpression de toutes nos â Ceci dans un monde oĂč je nâai rien dĂ©couvert qui ne lâeut Ă©tĂ© par dâ un monde oĂč je nâai rien dĂ©couvertâŠEn rĂ©sumĂ© nous appartenons Ă lâunivers qui nous a créés et vers lequel nous retournons, nous sommes une de ses composantes, et comme lui nous reposons sur des lois qui exigent une Ă©quilibration de notre Ătre que nous perturbons par un ensemble de normes, et dont certaines nous empĂȘchent de constituer des groupes elles, particuliĂšrement le MĂ©rite, la norme mĂ©ritocratique, qui comme lâexplique Pierre DACO Le MĂ©rite est une expression de pauvretĂ©. Ce terme disparaĂźtra sans doute avec lâĂ©volution de lâhumanitĂ©, et de lâĂ©ducation qui en dĂ©coulera. Il aboutit Ă la peur angoissĂ©e de mal faire, de faire moins que le voisin, et dâĂȘtre rejetĂ© pour incapacitĂ© ou impuissance, car ses critĂšres sont Ă©tablis par dâautres, et pour obtenir le MĂ©rite il sâagit de ressembler Ă ces critĂšres ou de sâobliger Ă leur ressembler ». Mais Ă mon sens ce qui est le plus important dans son explication câest que par ce bais, il explique que Lâon peut ĂȘtre conduit Ă vivre Ă lâenvers de Soi, pour obtenir cette ressemblance » car câest une carotte, non pour aider quelquâun Ă devenir ce quâil est, mais pour lâobliger Ă ĂȘtre ce que lâon veut quâil soit ». [172]Ceci nâest pas incompatible avec lâeffort qui doit ĂȘtre accompli pour prendre sa place dans la sociĂ©tĂ© et de fait apprendre et subvenir Ă nos besoins. Si pour poursuivre notre route matĂ©rialiste il est nĂ©cessaire que nous nous façonnions encore, Ă la mesure dâun emploi, ne nous faudrait-il pas aussi comprendre la limite de la mĂ©ritocratie pour libĂ©rer des espaces pour lâaffirmation de ce que nous sommes capable de vouloir ĂȘtre pour exister ?Encore un rĂŽle que peut remplir les pas triste de voir des retraitĂ©s dĂ©sabusĂ©s ne pas savoir-faire autre chose que celles pour lesquelles ils ont Ă©tĂ© façonnĂ©s, travailler ?Nâest-il pas triste de voir des retraitĂ©s se sentir devenir inutile, quand ils doivent tĂŽt ou tard laisser leur place ?Quel est celui qui na pas Ă©prouvĂ© une sensation de rupture au moment de son dĂ©part Ă la retraite ?Au-delĂ de toutes les bonnes raisons que nous nous trouvons pour effectuer cette transition, câest un changement existentiel. Il marque le choix dâune sociĂ©tĂ© de reconnaĂźtre Ă partir dâun certain Ăąge un juste repos Ă tous ceux qui ont contribuĂ© au dĂ©veloppement de cette consĂ©quence, la place que donne une sociĂ©tĂ© Ă ses citoyens devenus ĂągĂ©s, ou en Ăąge de se retirer de la vie active, est lâimage que chacun aura entretenue avec la notion de communautĂ© humaine. Sans cela, la notion de solidaritĂ© inter gĂ©nĂ©ration est je comprends difficilement que pour des raisons fictives de financement, une sociĂ©tĂ©, aussi technologique et aisĂ© que la nĂŽtre, envisage de prolonger lâĂąge de la retraite sous le fallacieux prĂ©texte que chacun est libre de travailler jusquâĂ lâĂąge qui lui mâexcuserez de ne pas vous citez les sources de lâimage que je vais dĂ©velopper, car je ne fais appel quâaux souvenirs de mes navigateur dans la dĂ©couverte des Ăźles ocĂ©aniennes rapportait la curieuse tradition dâune tribu, oĂč lâusage consistait Ă faire grimper leur vieux Ă un cocotier. Si le vieux tombait en montant, ou une fois en haut en ayant secouĂ© le cocotier, la tribu le mangeait. Nous, nous sommes devenus civilisĂ©s, nous nous envisageons de leur raccourcir la durĂ©e de vie de repos aprĂšs la pĂ©riode de travail, en augmentant la durĂ©e de celui-ci, et qui plus est parfois avec leur aval, car sâils ne peuvent plus prouver quâils sont encore capables de grimper au cocotier ils ont lâimpression de ne pas exister. Mais chacun peut avoir sa conception du progrĂšs, et de son intĂ©rĂȘt.âŠqui ne lâeut Ă©tĂ© par dâautresâŠTout ce que jâĂ©cris, des hommes lâavaient compris bien avant moi, et avant nos scientifiques avec moins de moyens Ă leur disposition ; les orientaux avec le Yin et le Yang taiji, hindouisme, etc., les occidentaux au travers des mythologies, de la Bible, le Coran et tant dâautres. Encore fallait-il que leurs successeurs aient les moyens de dĂ©coder et traduire les messages, plutĂŽt que dâen faire une codification religieuse immuable oĂč dans certains de ces ouvrages, le savoir y est prĂ©sentĂ© comme la connaissance spontanĂ©e transmise aux codification stricte leur a fait perdre le bĂ©nĂ©fice de toutes rĂ©formes en muselant lâagir social capacitĂ© dâune sociĂ©tĂ© de sâinterroger et de se rĂ©former. Elle instaure lâimmobilisme lĂ , oĂč nous savons quâil nây a que mouvement, lâĂ©quilibre lĂ , oĂč il nây a que encore aujourdâhui le cas, sous la forme naĂŻve, quand les religions rapportent le message universel » ou la comprĂ©hension de la vie quâelles ont toutes perçue[173]. NĂ©anmoins je dois reconnaĂźtre que leur stabilitĂ© offre une assise qui a pu absorber toutes les erreurs commises dans lâĂ©laboration des sciences, et quâil peut en ĂȘtre de mĂȘme aujourdâhui, tout en Ă©tant accessible au moins instruit ; mais la stabilitĂ© nâest quâune Ă©tape cyclique vers une nouvelle entropie, tel le fait social, ou ce que nous appelons lâimpuissance collective sont aussi des stabilisateurs nĂ©cessaires, car il est essentiel de comprendre que notre psychique ne rĂ©sisterait pas Ă une perpĂ©tuelle remise en cause sans un apprentissage, mais câest seulement quand ces stabilisateurs se figent se pĂ©trifient quâils deviennent une avons vis Ă vis des thĂ©ories monĂ©taires le mĂȘme comportement qui reflĂšte celui humain de si auto justifier. De fait, ceux qui nous les expliquent nous les prĂ©sentent quelles quâen soient les variantes comme Ă©tant incontournables, parce que calquĂ©es sur le comportement dit naturel ».Câest lâhistoire de la poule et de son Ćuf, Lâun ne peut que donner lâautre et rĂ©ciproquement. Toute personne qui vous expliquerait que son Ćuf peut donner un canard, passerait pour nos comportements ne sont pas immuables puisquâils dĂ©pendent fortement de notre apprentissage, et sâinterroger Ă leur sujet revient Ă nous interroger sur nous revient Ă nous remettre en cause, et naturellement ceux qui devraient le faire parce quâils en subissent les mĂ©faits, nâen ont pas les moyens intellectuels, aujourdâhui comme hier. Ce sont ces mĂȘmes qui vous traiteraient de fou si vous leur disiez quâun Ćuf de poule peut donner un canard. Alors ils se contentent parfois de rĂȘver de remplacer ceux qui les accablent, de prendre les armes, ou dâen appeler Ă Dieu, ou de confondre la nĂ©cessitĂ© pour lâhomme de rĂȘver dâĂȘtre, et lâillusion dâ retrouvons lĂ cette dichotomie de la mĂ©canique quantique, la rĂ©alitĂ© » et lâimage de la rĂ©alitĂ©. Ce qui permet de faire la diffĂ©rence nâest que la capacitĂ© dâinformation que nous pouvons associer et quantifier pour concevoir quand nous sommes dans la rĂ©alitĂ© » ou son image. Une image rĂ©elle » qui peut tout aussi efficacement que la rĂ©alitĂ© » se concrĂ©tiser conceptuellement et somatiquement ; câest le propre de toutes les pratiques Ă©sotĂ©riques ou occultistes[174] ; câest le monde dans lequel nous vivons en le qualifiant soit de naturel ou de culturel. Mais pour cela encore faut-il trouver le temps dâapprendre ; ce quâavaient fait les prĂȘtres initiĂ©s et les prophĂštes de toutes les confessions et philosophies, qui aujourdâhui seraient considĂ©rĂ©s comme des sociologues ou des psychiatres et psychologues, et autres capables de comprendre lâesprit humain de lui suggĂ©rer des cadres de sociabilitĂ©, mĂȘme si nous ne savons toujours pas dâoĂč nous viennent les totems et les tabous, et quâils aient Ă©tĂ© dans leur totalitĂ© la bonne rĂ©ponse au phĂ©nomĂšne ou aux phĂ©nomĂšnes qui les ont gĂ©nĂ©rĂ©s. Il y a des millĂ©naires que des hommes ont compris cela, pour y parvenir ils leur fallaient des annĂ©es interminables dâĂ©tudes et de mĂ©ditation pour, en lisant leurs Ă©motions en arrivaient Ă avoir une image du monde, et de la relation qui les y unissaient, de telle sorte que les plus avertis, les autres les qualifiaient de sages, de maĂźtres et autres. Aujourdâhui une partie de cette sagesse est comprĂ©hensible Ă tout un chacun par lâintermĂ©diaire des lois que nous pensons rĂ©gir lâunivers avertissement grĂące Ă lâinvariance dâĂ©chelle[175], car en nous dĂ©couvrant nous dĂ©couvrons notre lâunivers celui de notre regard et de nos techniques, et en dĂ©couvrant notre univers nous nous nâai donc rien dĂ©couvert, nous nâavons rien dĂ©couvert dâautres que la capacitĂ© de rĂ©aliser, de dĂ©finir, et dĂ©montrer lâexistence des images mentales que faisaient nos pour comprendre lâunivers, il a Ă©tĂ© nĂ©cessaire de descendre dans lâinfiniment petit, nous devons ensuite remonter jusquâĂ lâensemble, car câest dans le TOUT que lâhumain vit, ou du moins dans lâidĂ©e que nous avons de ce scientifiques ont fait la descente dans lâinfiniment petit. Ce fut la dĂ©couverte de lâan deux mille, lâĂ©tat quantique ». Il reste Ă lâassembler et en comprendre ses lâHomme il en est de mĂȘme, il est nĂ©cessaire de comprendre de quoi il se compose, et comment il fonctionne pour en comprendre son ensemble, tout comme lâagir de son ensemble est indicateur des voies Ă Ă dire sa collectivitĂ©, sa communautĂ©, car la seule rĂ©alitĂ© agissante qui existe est sa collectivitĂ©, et sa collectivitĂ© commence Ă deux, et fini Ă six milliards en relations. Ceci mĂȘme sâil sâavĂšre nĂ©cessaire par souci dâefficacitĂ© de la personnifier pour se regrouper, en famille, clans, groupes, cultures. En effet si chacun suivait son individualitĂ©, nous vivrions sans contacts, tous sĂ©parĂ©s, et lâespĂšce culturalisĂ©e que nous sommes en mourrait. Analyser cette collectivitĂ©, dĂ©pense et le TOUT, ce fut et câest toujours lĂ le travail de la psychologie, sociologie, etc., ainsi que de chacun dâentre nous, câest cette action dâanalyse qui se comprend aussi sous le terme de philosopher ». Un terme qui est connotĂ© aujourdâhui, comme ne reprĂ©sentant presque que des irrĂ©alistes, des coupeurs de cheveux en quatre, le plus souvent par des cartĂ©siens qui vivent sans en prendre conscience dans un monde plus virtuel que celui des philosophes, celui de la pour la monnaie il est aussi nĂ©cessaire dâanalyser son usage, sauf que ses thĂ©oriciens ont fini malgrĂ© eux par lui donner un caractĂšre de science quâelle nâa pas, et câest cela que je lui conteste le caractĂšre de dĂ©itĂ© quâelle a acquis ; je lui conteste lâimage du pĂšre » auquel elle se substitut ; son caractĂšre de structuration » du le comprendre il faut remonter jusquâĂ la prĂ©histoire. De tout temps lâHomme a entretenu des relations indicibles avec ceux quâil reconnaissait ĂȘtre les sources nourriciĂšres ou structurantes de son existence que nous avons dĂ©finie. Il en a vĂ©nĂ©rĂ© les plantes, les animaux, les astres, et il sâest toujours identifier Ă ce dont il percevait devoir sa dĂ©pendance et son pouvoir. Il a conçu des dieux dont il sâest fait lâinterprĂšte pour gĂ©rer sa vie socio-Ă©conomique, sâappuyant pour toute science, sur la divination, lâexorcisme, lâastrologie, la prophĂ©tie etc.âŠ. En cela nos constructions conceptuelles nâont pas Ă©voluĂ©. Câest ce que nous faisons quand pour expliquer nos thĂ©ories monĂ©taires, nous utilisons le terme de science Ă©conomique et sociale », laissant entendre quâil ne peut pas ĂȘtre fait autre chose, puisque câest de la science, comme dâautres disaient Ă leur Ă©poque câest la cela nâest pas, mĂ©connaĂźtre la monnaie comme instrument dâutilitĂ© fonctionnelle ou comme gĂ©nĂ©ratrice de rĂȘve. Ce serait une erreur monstrueuse de vouloir tuer le rĂȘve qui en dĂ©coule, cela reviendrait Ă tuer lâ pour cela quâil faut du temps millĂ©naires et de lâintelligence informations pour transporter le rĂȘve » vers dâautres buts, au travers de la qualification mesurable » Ă©conomie de ces que nous avons installĂ© au travers du systĂšme libĂ©ral peut se rĂ©sumer en une phrase cĂ©lĂšbre dans lâhistoire de France attribuĂ©e Ă Louis XV, aprĂšs moi le dĂ©luge ».Si devoir se mesurer » permet de sâorganiser, ce nâest pas pour se construire Ă la mesure de la mesure » pour devenir elle ; lâutilisateur dâun vĂ©lo devient cycliste et nous savons que lâhomme nâest pas conçu pour vivre sur un vĂ©lo. A utiliser la monnaie nous devenons monĂ©taristes et nous ne sommes pas fait pour cela non Mais il ne faut pas se tromper de cible pour essayer de vivre mieux, et ne pas rejeter tout du systĂšme libĂ©ral parce quâil flatte lâindividualisme quâil a mis en Ă©vidence par il ne faut pas se tromper de cibleâŠCe nâest pas le rĂŽle dâĂ©change de la monnaie que je mets en cause, mais les nĂ©vroses quâelle dĂ©veloppe au travers des critĂšres d'obtention, particuliĂšrement celui de culpabilitĂ©, dâinfĂ©rioritĂ© et de libĂ©ration de dĂ©sirs ce nâest pas une maladie que dâĂȘtre riche, tous ceux qui ne peuvent lâĂȘtre deviennent malades, et câest ce mal lĂ quâil faut soigner. Comme je ne suis pas docteur en Ă©conomie ce nâest pas de moi que viendra la solution, mais de nous tous, quand nous aurons cessĂ© de croire que chacun dâentre nous est un petit nous apprĂ©henderons, le fait que ceux qui nous le font croire se nourrissent de notre espĂ©rance ; quand nous aurons assimilĂ© que la monnaie est notre reflet ; quand nous comprendrons et changerons nos comportements, alors nous modifierons son rĂŽle, tout comme celui de la loi du monnaie nâĂ jamais tuĂ© personne, et si des ĂȘtres se sont donnĂ©s la mort Ă son sujet se sont leurs projections nĂ©vrotiques qui les ont tuĂ©s, et non une ligne de chiffres sur un bout de en est de mĂȘme pour la Bible, le Coran et autres Ă©crits qui, posĂ©s sur une mĂȘme table se couvrent de poussiĂšre, et jaunissent Ă la ne faut donc pas se tromper de cible.⊠pour essayer de vivre mieuxâŠNous ne devons pas oublier que nous ne sommes, comme je lâai dit, que des particules », perçus Ă nos yeux comme matiĂšre. Cette matiĂšre au mĂȘme titre que nâimporte quel ensemble de lâunivers en mouvement produit et consume de lâĂ©nergie. De ce fait tous nos agissements en consument, et nous lâusons dâautant plus vite que nous vivons ou fonctionnons qui nous permet de le savoir, ce sont nos sensations qui peuvent ĂȘtre traduites par un seul mot, aimer jâaime ou je nâaime pas.Si nous aimons, nous consumerons le minimum dâĂ©nergies et en recevrons de lâextĂ©rieur des autres. Nous serons donc en harmonie » avec lâ lâinverse, si nous nâaimons pas, nous consumerons beaucoup plus dâĂ©nergie sans en recevoir et nous nous userons plus vite, en un mot nous tomberons signifie que nous devons apprendre Ă traduire les conflits qui dĂ©terminent nos besoins, et ceux qui nous minent. Nous devons pouvoir recevoir de lâextĂ©rieur ou de notre propre capacitĂ© psychique, lâĂ©nergie qui lĂ contre ce que nous faisons chaque fois quâune activitĂ© professionnelle ne nous plaĂźt pas, et que nous trouvons un Ă©panouissement dans une autre activitĂ© qui nous aide Ă supporter la premiĂšre, faute de la comprendre. Ce que nous faisons chaque fois que notre construction psychique close sâouvre Ă lâautre, au message est entre autres dans la Bible et bien dâautres Ă©crits, mais qui donc cette Ă©poque, pouvait expliquer aux hommes que, aimez-vous les uns les autres » ou aimez votre prochain comme vous-mĂȘme », ne signifiez quâĂȘtre en harmonie » avec les lois physiques universelles qui rĂ©gissent la matiĂšre. Lois que nous connaissons imparfaitement, mais dont une chose est sure, elles nous habitent puisque nous sommes parties intĂ©grantes de lâunivers et pas au-dessus. Ceci bien quâil nous plaise parfois de le croire, et nous ignorons quâelles sont faites pour nous permettre de nous Ă©panouir, mĂȘme si elles incluent notre propre propre mort comme salut de lâ nâest donc pas nĂ©cessaire de lâanticiper, surtout quand nous sommes capables de maĂźtriser la production de nos ressources alors que nous organisons la raretĂ© de la monnaie pour justifier dâune sĂ©lection naturelle, quand nous pouvons dĂ©velopper son abondance et maĂźtriser notre dĂ©veloppement psychique, pour ne pas ĂȘtre la mesure », le vĂ©lo. De ce fait, en maintenant des luttes fratricides, nous justifions notre vue de la sĂ©lection naturelle », ces lois naturelles » qui ont souvent bon dos pour justifier nos actes Ă voir le nombre de maladies que nous dĂ©veloppons, hors luttes inter organismes bactĂ©ries, virus et dĂ©ficiences, nous ne sommes que dans une perpĂ©tuelle dysharmonie ». Dysharmonie que nous nous transmettons culturellement, dont nous prenons consciences, aussi par intuition, mais qui demande beaucoup de temps de comprĂ©hension, et de rĂ©formation Ă©ducative. Dâautant que nous ne lâexprimons pas toujours clairement comme nous lâavons fait en 1968 par le slogan Il est interdit dâinterdire ».Ainsi, certaines de nos relations avec la monnaie issues de nos nĂ©vroses nous en crĂ©ent en retour. Cela signifie clairement que nos thĂ©ories monĂ©taires ne rĂ©pondent pas Ă notre universalitĂ© ou au fonctionnement des lois communes qui rĂ©gissent notre espĂšce depuis que lâhomme est sorti de son biotope. Ainsi pour vivre mieux dans des espaces qui ne sont pas ceux de son origine, lâhomme a rĂ©alisĂ© les images de son cerveau. Et si notre inconscient nous rappelle nos origines, par lâenseignement et la connaissance tout au long de lâexistence de maniĂšre dynamique, nous pouvons le domestiquer » pour vivre mieux et Ă©viter les usages nĂ©fastes que nous faisons du nous retenons que chez lâhumain le mĂąle ne songe quâĂ sâaccaparer les femelles, quâĂ sâaccoupler avec sa fille, et que le fil ne songe quâĂ tuer le pĂšre pour refaire la mĂȘme chose, en lâabsence dâinhibiteur structurant pour prolifĂ©rer, il apparaĂźt donc que le meilleur moyen dâĂ©viter la consanguinitĂ©[176] soit lâisolement individuel ; sous rĂ©serve que le biotope en offre les conditions pouvons-nous dĂ©rouler un raisonnement qui nous conduirait Ă dire que lâespĂšce Humaine, de part sa capacitĂ© destructrice intra espĂšce qui Ă©mane de chaque individu, est vouĂ©e Ă vivre isolĂ©ment et ne se retrouver que pour la copulation sĂ©lective pour ĂȘtre en harmonie ?Et ne peut-il y avoir de communautĂ© que parce que lâUn est capable de soumettre les Autres Ă partir de lâinstant oĂč lâhomme a dĂ» se regrouper pour chasser ?Certainement je peux oser le dire pour imaginer lâorigine de nos comportements qui se sont structurĂ©s autour dâinterdits afin dâassurer une cohĂ©sion et une sociabilitĂ© du groupe ; et partant de lĂ considĂ©rer que toute organisation et idĂ©ologie qui conduiraient Ă favoriser lâindividualisme Ă©gocentrique et la famille mono parentale mĂšre enfant exclusivement nous rapprocherait de nos origines quâaucune trace dâĂ©tude palĂ©oanthropologique ne permet de le dire, hormis le constat suivant Avec les premiers hommes naĂźt une notion nouvelle formĂ©e de la flexibilitĂ© adaptative, câest Ă dire la possibilitĂ© de sâintĂ©grer au groupe, et de lâhomogĂ©nĂ©isation par la culture ; dans la mesure oĂč lâapport culturel pĂšse plus que le milieu naturel».[177] Mais voilĂ cela nous ramĂšne Ă idĂ©ologique Africanus entre 2 et 3 millions dâannĂ©es, avant lâhomo habilis 2 millions dâannĂ©es qui lui dĂ©jĂ vivait en groupe et utilisait des outils qui se transmettent par lâappris, preuve dâune intelligence[178] ; et je doute que lâinstinct suffise Ă fabriquer des outils pour chasser sans conscience de la mort et de soi. Aujourdâhui nous avons une conscience culturalisĂ©e, quâelle soit due ou non Ă une erreur de lâĂ©volution, qui est capable de tromper » lâinnĂ©e, de tromper lâinconscient. Câest Ă dire que nous sommes capables de lui donner une image de lui, de lui donner une projection de lui-mĂȘme recomposĂ©e par notre activitĂ© cognitive. Câest cela que nous faisons en ayant dĂ©veloppĂ© une activitĂ© culturelle, et cette activitĂ© se trouve souvent en confrontation avec lâinnĂ©, duquel nous exigeons quâil se plie aux usages culturels. Nous demandons Ă la rĂ©alitĂ© sensible biologique de se conformer Ă lâimage de la rĂ©alitĂ© quâelle a traduite cognitive pour donner une nouvelle rĂ©alitĂ© bio cognitive » qui affectera Ă nouveau le biologique et le cognitif. Sauf que les Ă©volutions demandent des millions dâannĂ©es avant de sâinscrire peut-ĂȘtre dans les gĂšnes, et que durant ce laps de temps ceux-ci veillent Ă reproduire les structures pour lesquelles ils ont Ă©tĂ© conçus. Ainsi lâindividualisme Ă©gocentrique ne serait quâun retour aux sources, et il ne supporterait pas lâAutre. Il se serait ou aurait Ă©tĂ© contraint Ă sâidentifier dans la famille, le clan, le groupe, la culture, il se serait ou serait sorti de la soumission Ă lâautre, et il ne manquerait quâĂ lui permettre se sâassocier pour le conduire Ă lâespĂšce. Pourquoi alors un Ă©gocentrisme qui nous aurait conduit Ă lâĂ©volution durant 2 millions dâannĂ©es en quelque 4000 mille ans premier charnier de lâĂąge du bronze, nous mĂšne Ă lâauto destruction ? Peut-ĂȘtre parce que lâĂ©gocentrisme sâaccommode fort mal dâune organisation Ă©conomique construite autour de lui et dĂ©finie par lâaxiomatique dâAdam Smith P. 349. Câest Ă dire que lâĂ©gocentrisme permet de faire face aux situations quâil juge lui ĂȘtre hostile pour le dĂ©veloppement de lâorganisme biologique qui le porte. On peut donc en conclure que son expression ne tient quâau constat de la perception dâun environnement hostile, or aujourdâhui celui-ci est le produit et la crĂ©ation dâune conscience, dâune intelligence, que nos sens seuls ne peuvent plus dĂ©crypter sans apprentissage, sans intelligibilitĂ© du global par le local, du monde par lâHomme, sauf que câest lâHomme qui regarde le monde et en donne une dĂ©finition. Et cet apprentissage va lui proposer des schĂ©mas de fausses certitudes sans cesse hostiles, que lâon doit en permanence anticiper, car toute organisation va se dĂ©sorganiser et crĂ©er une incertitude ressentie comme hostile. Et si nous regardons lâunivers, notre monde, nos cultures, nos Ătats, nos rĂ©gions, nos communes, nos villes, nos groupes, nos clans, nos familles, un individu, une cellule organique, tous rĂ©pondent Ă cette constante. Cela correspond au principe de la gĂ©omĂ©trie fractale dĂ©couverte par Mandelbrot que tout ensemble est composĂ© dans lâinfiniment petit de la mĂȘme structure que lâensemble quâil compose dâune invariance dâĂ©chelle note 173. Ainsi, rien nâĂ©chappe Ă lâĂ©gocentrisme, ni nous, ni nos Ătats, ni nos cultures, ni le monde, et sâest de notre habiletĂ© Ă lâordonner que dĂ©pende notre bonheur Ă©phĂ©mĂšre sans cesse renouvelĂ© ; et il semblerait que nos illustres ancĂȘtres, que nous qualifions de primates, y soient parvenus mieux que nây a donc aucune raison que nos organisations Ă©conomiques ne soient autre chose que le reflet inconscient de lâUn qui soumet les Autres ou de lâUn qui veut vivre seul, et cela se retrouve jusque dans la course Ă la production de notre armement. Nous pouvons donc nous interroger pourquoi elles ne conduisent pas Ă un Ă©panouissement harmonieux malgrĂ© le confort quâelles ont apportĂ©. Et Ă travers elles, nous mettons donc en danger cette fabuleuse capacitĂ© quâest la conscience qui nous donne la facultĂ© de nous associer, de synthĂ©tiser les informations que nous captons pour nous associer, parce que nous baignons dans une structure » note 17 qui nous le permet. Et en cela il nây a rien de contre nature, car la nature câest notre universalitĂ©, lâunivers de forces physiques en mouvement qui favorise la crĂ©ation par lâorganisation Ă©volution Humaine, certains la qualifient dâhominisation, mais les individus nâen seront porteurs que si lâenvironnement est de nature Ă exiger lâadaptation de lâinnĂ©, câest Ă dire que cela peut venir dâune activitĂ© collectiviste » de ses membres, du culturel Ă©vĂ©nement en soi ». Car je ne pense pas quâil y ait un dĂ©terminisme absolu, mais plus une dynamique dĂ©pense » alĂ©atoire du traitement des informations qui nous constituent, que nous devons ajuster Ă la mĂ©moire originelle universelle de ce que nous sommes, notre inconscient qui gĂ©nĂšre lâĂ©gocentrisme. Les maĂźtres anciens de lâInde et de la chine lâappelaient le Vieil homme » ; celui qui se cramponne Ă cette conscience quâil a durement acquise aprĂšs que sa vie est traversĂ©e dâinnombrables souffrances et plaisirs anonymes pour ĂȘtre ce quâil est. Et qui ne voulant pas abdiquer se cramponne dans notre mĂ©moire inconscient, et agit dans ce sens en notre est donc nĂ©cessaire de comprendre que quelquâun qui dispose dâune certitude absolue peut se suicider car il est dĂ©jĂ mort. En fait câest un mort vivant qui ne pourra plus rien apporter au monde, hormis sa destruction, car pour vivre il ne peut dĂ©velopper que la mort quâil pour vivre mieux cela ne dĂ©pend que de tout ce que nos prĂ©dĂ©cesseurs avaient compris, et pourvu que nous parvenions Ă mieux les redĂ©finir ou dĂ©montrer.⊠et ne pas rejeter tout du systĂšme libĂ©ral parce quâil flatte lâindividualisme »âŠIl me reste tout de mĂȘme Ă rendre un hommage Ă la monnaie celui dâavoir par sa fonctionnalitĂ©, facilitĂ© et permis Ă lâHomme de se doter du temps et dâoutils pour se a dĂ» pour cela se libĂ©rer, contre vents et marĂ©es, de la contrainte de produire exclusivement soutenue par tous les libĂ©raux attardĂ©s et autres qui font du travail une vertu, ou une punition lui reste Ă se libĂ©rer de la cupiditĂ© financiĂšre, et il reste Ă permettre aux Hommes de comprendre pour ceux qui en feront lâeffort, quâils ne sont rien, parce que lâĂ©volution se fera avec ou sans eux. Mais aussi quâils sont Tout » parce quâils appartiennent Ă un univers qui a fourni Ă lâespĂšce humaine un cerveau rĂ©troactif quâelle doit encore si grĂące au libĂ©ralisme lâhomme a accĂ©dĂ© Ă cette fonction de pĂšre frĂšre » P. 291 il lui faut arriver Ă gĂ©rer lâobsession de la toute puissance, dont la monnaie fournit les moyens.⊠quâil a mise en Ă©vidence par la veux dire par-lĂ , que lâego habite chaque Etre Ă lâidentique. Que ce que nous appelons individualitĂ© nâest quâune lecture imparfaite de notre ego diffĂ©renciĂ© sâassociant aux autres alter ego que nous croyons ĂȘtre le seul Ă possĂ©der pour dĂ©velopper des sociĂ©tĂ©s aux normes imparfaites le monde. Ces sociĂ©tĂ©s qui façonnent obligatoirement des organisations systĂ©miques imparfaites, culture sociĂ©tale», enseignement, justice, notre ego diffĂ©renciĂ© dans un monde en relation pour concourir Ă la crĂ©ation de ses ressources recherche malgrĂ© nous son reflet dans lâautre, et chacun de nous se livre Ă cette activitĂ© la recherche de lâesprit de lâautre. Cet ego nâexiste que par les autres ajoutĂ©s au mien forment un Tout. Ce Tout câest la collectivitĂ© des ego » identiques au mien, et sans ces autres, le mien ne crĂ©erait rien, et nâexisterait mon ego se trouve dans celui des autres, si je complĂšte le mien avec ceux des autres je nâai plus besoin de haĂŻr ou tuer, puisquâils sont mon reflet et que je suis le leur, mĂȘme si nous ne devons pas dĂ©velopper les parts de nos ego » que nous nâaimons nâempĂȘche nullement le dĂ©veloppement de la personnalitĂ©, quâelle soit liĂ©e aux diffĂ©renciations gĂ©nĂ©tiques, caractĂšres morphologiques et caractĂšres psychologiques dominants ou aux diffĂ©rences gĂ©ohistorique » cultures.Ceci nâempĂȘche nullement la diversitĂ© identificatrice le besoin dâune identitĂ©.Ceci nâempĂȘche pas de sâattacher, par transfert, Ă des objets, des animaux, car ils sont des interfĂ©rents du nous permet de ne pas personnifier des concepts qui ne sont quâagrĂ©ments au-delĂ de ce qui est nĂ©cessaire pour rendre compte de la satisfaction que nous en retirons, dont beaucoup comblent des vides relationnels ou dâ ne conduit pas au fantasme de lâuniformitĂ© agitĂ© comme un Ă©pouvantail, car cette uniformitĂ© est dĂ©jĂ rĂ©alisĂ©e, câest lâespĂšce, et que lâinfini nous est interdit, et quâil nous sera donc toujours possible de nous situer sur une Ă©chelle de 0 Ă lâ est donc important de comprendre que nous sommes semblables et nous avons fixĂ© une limite Ă cela en dĂ©veloppant la concurrence hĂ©gĂ©monique des ego » atrophiĂ©s ou Ă©triquĂ©s par mĂ©connaissance. Je vais en dĂ©velopper lâexemple Ă partir de la nĂ©cessitĂ© de se diffĂ©rencier instrumentalement, pour appartenir Ă ses semblables, sa famille, son clan, son groupe, sa dâentre nous porte un signe culturel pour se distinguer des autres, malgrĂ© les signes morphologiques ; pourtant certains de ces signes distinctifs remontent Ă des pratiques coutumiĂšres qui se perdent dans les Ăąges de notre histoire. NĂ©anmoins certaines demeurent vivaces, comme le tatouage, le piercing, la scarification cicatrices dans les chairs, les mutilations d'organes gĂ©nitaux, etc. Heureusement le monde occidental et dâautres sont passĂ©s Ă des reprĂ©sentations moins traumatisantes ou plus discrĂštes et esthĂ©tiques, telle le baptĂȘme, les boucles dâoreilles, mais elles nâen demeurent pas moins prĂ©sentes. Et si pour nous reconnaĂźtre dans lâautre, il fallait se partager les signes identificatoires, nous ne serions que plaies, nous croulerions sous le poids des fĂ©tiches. Il y a donc lĂ , pour tous se reconnaĂźtre au travers des symboles une incapacitĂ© technique Ă se les partager, les adopter, qui est forcĂ©ment source de conflits par la sacralitĂ© confĂ©rĂ©e souvent Ă leur symbolisme. MalgrĂ© cela comme je lâai dĂ©jĂ dit, mĂȘme Ă lâautre bout du monde nous rencontrerons quelquâun qui nous ressemble ; mais cela câest lâintelligence qui le saisit, pas les symboles. MĂȘme sâils sont dâutilitĂ© sociologique et psychique pour conceptualiser la diversitĂ© gĂ©ohistorique et pour nous sĂ©rier ; ils doivent ĂȘtre conçus et interprĂ©tĂ©s de telle maniĂšre que lâon puisse sâen sĂ©parer face Ă notre Ă©volution acculturante ».Et aujourdâhui oĂč la connaissance complexe des relations humaines peut nous aider Ă mieux nous harmoniser », nous la relĂ©guons au seul rĂŽle de support de la monnaie. Nous lâutilisons le plus souvent comme moyen de flatter au mieux, celui que nous dĂ©sirons exploiter au maximum. Les relations humaines, contrairement Ă leur nom, ne sont pas toujours utilisĂ©es pour faciliter les relations entre les individus, mais plus pour les mouler, et chaque fois quâapparaĂźt une dĂ©couverte scientifique permettant de mieux dĂ©finir les capacitĂ©s ou les insuffisances des individus, certains responsables de groupement voient dans ces innovations lâutilitĂ© dâune sĂ©lection des meilleurs jusquâĂ prĂ©sent la graphologie, le thĂšme astral Ă lâusage dâune embauche, ou autres, de part leur mise en Ćuvre ne concernaient quâun groupe restreint dâindividus, mais avec la gĂ©nĂ©tique il est Ă craindre des tentations de recherche dâindividus sains » dans tous les domaines, comme dâautres en voulaient des purs ». Ceux lĂ le faisaient pour un idĂ©al racial, tandis que nous risquons de le faire seulement pour une rentabilitĂ© financiĂšre. Ceci si nous ne savons pas faire la diffĂ©rence entre se prĂ©munir des risques pathologiques, et rechercher des individus correspondant aux critĂšres de lâefficacitĂ© industrielle et sociĂ©tale nous justifier de tout cela, nous vĂ©hiculons une affirmation qui stipule quâil ne peut y avoir crĂ©ation quâĂ lâoccasion de la concurrence ou de lâaffrontement. Cette vision justifiant nos excĂšs ne repose que sur la propre observation de notre existence imparfaite, Ă©rigĂ©e en rĂšgle par nous mĂȘme et renouvelĂ©. Pourtant nous savons maintenant quâen excitant trop fortement notre cerveau reptilien thalamus, pour solliciter une rĂ©ponse du cortex frontal, nous jouons avec la violence. Nous jouons avec cette violence quand, quelles quâen soient les raisons, au nom de lâindividualitĂ© nous poussons chacun dâentre nous Ă se dĂ©finir comme supĂ©rieur Ă lâautre, se reprĂ©senter lâalter ego comme un obstacle Ă ses dĂ©sirs, et sâen Ă©carter plutĂŽt quâĂ sâassembler. Câest Ă dire de nâaccepter la collaboration que dans le cadre de la domination de lâ si nous estimons que les rĂšgles qui ont créé lâunivers, qui ont bĂąti un ensemble universel aussi animĂ© » et variĂ© pour le peu que nous en connaissons et voyons, il y a peu Ă craindre dâune harmonisation » note 26 des ego », et peut-ĂȘtre tout en ces ego », composĂ©s des mĂȘme forces que celles de lâunivers qui donnent naissance Ă la variĂ©tĂ© dâopinions issues de lâimpossibilitĂ© de voir se dĂ©rouler deux existences Ă lâidentique, car se reconnaĂźtre est se comprendre, sâassocier, vivre ensemble, nâest pas vivre Ă lâ â Et nous prendrons sur nous dâexpliquer le mystĂšre des choses, par ceux qui ne sont pas forcĂ©ment les plus aptes, mais ils nous nous prendrons sur nous dâexpliquer le mystĂšre des chosesâŠAinsi, notre imperfection nous a conduits Ă dĂ©tenir le seul vĂ©ritable pouvoir dont nous disposons sur lâunivers, lâaptitude Ă nous Ă©radiquer avant notre terme par la production dâarmes de destruction de masses. Un paradoxe pour des ĂȘtres dont le souci est lâinquiĂ©tude de la mort et lâespĂ©rance de vivre aurait-il pas une autre voie Ă dĂ©velopper dans la recherche dâune harmonisation » oĂč la monnaie aurait toujours son rĂŽle ?Shakespeare a Ă©crit dans le Roi Lear, v, 3, et nous prendrons sur nous dâexpliquer le mystĂšre des choses. Comme si nous Ă©tions des espions de dieu ? ».Aujourdâhui nous avons pas mal avancĂ©, mĂȘme si nous ne sommes que des enfants de lâunivers, et nous le devons Ă de grands nombres de dĂ©couvreurs, dont chaque Ă©poque les a vus contestĂ©s ou quâils ont dĂ©couvert et ce que dĂ©couvrent nos contemporains ne doit pas rester lâaffaire dâ connaissances doivent ĂȘtre connues de chacun et nous ne devons pas nous y opposer au motif quâelles ne peuvent pas conduire Ă une source de profits remet en cause certaines bases de notre enseignement, particuliĂšrement lâabsence de la philosophie appropriĂ©e dans lâenseignement primaire, la rĂ©duction du temps consacrĂ© Ă la maĂźtrise du français les outils utiles pour ĂȘtre un citoyen, Ă©galement ses moyens pĂ©dagogiques. Car dans un monde de connaissances pluridisciplinaires approfondies nous continuons Ă fabriquer des rationalitĂ© nâest pas suffisante pour saisir la rĂ©alitĂ© », nous le savons trĂšs bien en Ă©tant contraint de nous exprimer dans un ordre Ă©tabli construit, alors que notre esprit pense en un Tout que nous nâexprimons jamais complĂštement. Ceci nous conduit Ă construire des champs de pensĂ©e, corriger, rectifier, prĂ©ciser des pensĂ©es que d'autres nous prĂȘtent, et que nous nâavons pas su exprimer. En plus, nous supprimons la gestuelle et la mimique comme inconvenantes, demandant aux hommes de sâexprimer comme des glaçons, comme si le dictionnaire pouvait contenir tous les mots exprimant le certains scientifiques ne craignent pas de vulgariser leurs travaux, et certaines revues de les relayer pour les mettre Ă la disposition des nous continuons Ă vouloir ignorer notre rĂ©alitĂ© », quâune partie de la science a mise Ă notre que notre monde, et notre vie ne sont quâune image de notre cerveau qui transforme des signaux, comme nous le faisons pour transporter des images, des sons ou crĂ©er des mondes virtuels sur nos que nous ne voyons pas le monde tel quâil est, sans couleur et sans bruit, que si nous ne passons pas au travers des murs, ce nâest pas parce que le mur est dur, cette notion de duretĂ© est essentiellement humaine. Le mur est dur parce que les champs forces qui lient ses atomes ne peuvent pas ĂȘtre dissociĂ©s sans une intervention qui casse leur liaison, sans cela nous nous mĂ©langerions au diffĂ©rence se fait dans la composition des molĂ©cules et des informations » qui concourent Ă leur formation. Ensuite, il est facile dâimaginer la quantitĂ© dâinformations nĂ©cessaire pour constituer et organiser un organisme macromolĂ©culaire comme lâhumain ou toutes espĂšces vivantes, pour passer de la matiĂšre inerte comme le mur Ă de la matiĂšre organique interactive, agissante. Il en est ainsi de toutes choses, et pas parce que notre nombrilisme humain nous fait considĂ©rer que nous sommes un ĂȘtre supĂ©rieur issu de je ne sais pas vais me permettre un parallĂšle avec la Bible, sans vouloir froisser les croyant. Dans la Bible, GENESE 1 /27, il est Ă©crit Dieu crĂ©a les ĂȘtres humains Ă sa propre ressemblance ; Il les crĂ©a homme et femme. »Je peux lâinterprĂ©ter en disant propriĂ©taire, par les informations quâil dĂ©livre ou dĂ©tient, assemble les ĂȘtres humains Ă sa ressemblance. Il les assemble homme et femme. Les deux veulent dire la mĂȘme chose, pour la bible, câest Ă dire que la puissance de Dieu se trouve en chacun homme et femme les deux Ă©tant liĂ©s, puisquâils sont Ă la ressemblance de Dieu. Pour ma libre interprĂ©tation, cela signifie que les forces qui composent lâUnivers sont dans chacun homme et femme, lâanima et lâanimus qui sont Ă la ressemblance de lâ que nous a apportĂ© la science, câest que nous ne sommes quâĂ©nergie Ă lâĂ©gale de celle qui compose lâunivers, que quand nous mourons elle retourne Ă lâUnivers, de la mĂȘme maniĂšre que la Bible enseigne que le corps devient poussiĂšre, et que lâĂąme retourne Ă la vie les croyants se rassurent, il reste de la place pour un Dieu crĂ©ateur de lâunivers, et encore pour quelque temps pour la conscience, jusqu'Ă ce que les chercheurs aient pu trouver la grande thĂ©orie UnifiĂ©e[179]. ThĂ©orie dont ils pensent quâelle nous ouvrira lâesprit Ă la comprĂ©hension des interactions qui unissent les forces de lâunivers que nous connaissons, et qui nous il restera toujours une place pour des dieux, car comprendre lâunivers ne signifie pas y inhĂ©rent Ă un matĂ©rialisme et un spiritualisme qui ne sont que deux philosophies sĂ©parant ce qui est uni, la crois que sans trop de risque je peux avancer, sans connaĂźtre Ă la perfection toutes les croyances humaines qui se sont idĂ©alisĂ©es, quâelles sont toutes sous-tendues par le mĂȘme questionnement[180]. Quâelles y donnent toutes la mĂȘme rĂ©ponse avec des imageries qui sont le reflet de leur environnement culturel, et du degrĂ© de connaissances ou dâinitiation du moment. Toutes avaient compris empiriquement ou non, que la vie venait dâailleurs, et que pour vivre en harmonie » cet ailleurs devait les câest dans lâexplication de cet ailleurs » donnĂ©e par leurs prophĂštes et autres, et dans les rĂšgles Ă suivre pour y accĂ©der que le bĂąt blesse, que chacun sâest entre-tuĂ©, et sâentre-tue encore. Nous le voyons encore quand certains Ătats en appellent Ă dieu pour faire la guerre, mais lâoubli quand il sâagit de partager la richesse. Nous le voyons Ă©galement quand une religion, pour expliquer que les hommes ont besoin dâune langue unique pour se comprendre, nous dit que câest la leur, parce que câest la langue de dieu, ou encore lorsque plusieurs nous expliquent quelle langue utiliser ou la maniĂšre dont il faut prier, psalmodier, parce quâĂ lâĂ©poque ils ne savaient pas expliquer comment nos propres vibrations vocales pouvaient stimuler le psychique, et lui le ne conteste en cela ni le droit de croire en un Dieu, ni dâavoir la foi, ni le repĂšre sociologique de toutes les religions, dans lesquelles des hommes nous disent quâils communiquent avec dieu, mais leur immobilisme qui enferme la rĂ©flexion dans la recherche de la comprĂ©hension du message divin, au travers dâun nombre limitĂ© de mots dĂ©finissant des existences du passĂ© qui ne peuvent plus ĂȘtre reproduites. Je ne conteste pas le fait de dialoguer avec un dieu, je conteste le fait que sa rĂ©ponse puisse ĂȘtre la VĂ©ritĂ©. Ceci du fait mĂȘme, que celui qui lâinterroge nâaura jamais tout le Savoir dont nous pouvons disposer. De telle maniĂšre que la rĂ©ponse du Dieu dont il se prĂ©vaudra ne sera quâĂ la hauteur de lâignorance ou de la connaissance de celui qui lâ croire en un ou des dieux nâest pas dangereux, ce qui lâest, câest quand ces Dieux sont Ă la hauteur de lâignorance de ceux qui y savons tous avec le recul de lâhistoire quâaprĂšs un temps de clartĂ© donnant un sens et ordonnant lâexistence humaine, les religions se sont figĂ©es dans un obscurantisme dogmatique pour sâĂȘtre dĂ©finies comme la VĂ©ritĂ©, incapable de pouvoir actualiser lâintuition qui les avait créés, parce que leurs magistĂšres en ont fait un instrument de pouvoir temporel schismatique, et aussi, parce que leurs adeptes, pour gommer les imperfections explicatives de leurs croyances, sâadressaient Ă ceux mĂȘmes qui, imbus de leur vĂ©ritĂ© en faisaient une application et une traduction imparfaite câest lĂ , dans cette traduction irrĂ©versible, que se formulent les prĂ©ceptes erronĂ©s, les fondamentalismes, les extrĂ©mismes, les exactitudes obscures et les idĂ©aux tel que libertĂ©, solidaritĂ©, fraternitĂ©, Ă©galitĂ©, particuliĂšrement dans le monde occidental Ă la suite de la RĂ©forme et des Ă©glises protestantes qui en sont jusquâĂ ce que les hommes effectuent la sĂ©paration des Ă©glises et de lâĂtat, qui ne sont, Ă mon sens, aucunement sĂ©parĂ©s. Si ce nâest que parce que les Ă©glises continuent Ă ne pas vouloir, comme par le passĂ©, actualiser Ă la lumiĂšre de notre comprĂ©hension scientifique les messages » quâelles ont entrevu, et le caractĂšre sociologique qui sont le leur. Une situation dont les divers croyants sâaccommodent parfaitement et oĂč lâĂ©conomie est un espace interdit Ă la religion. Cet espace Ă©conomique peut ĂȘtre regardĂ©, soit comme la justification dâentorse Ă la croyance religieuse, ou comme une organisation facilitant lâacculturation religieuse, car la religiositĂ© humaine ne disparaĂźt pas le besoin de croire.ReligiositĂ© humaine dans laquelle lâactivitĂ©, spirituelle, politique et Ă©conomique a trĂšs souvent Ă©tĂ© confondus sous lâĂ©gide tantĂŽt du spirituel ou bien du politique. Ceci jusquâau dĂ©veloppement du capitalisme, oĂč lâĂ©conomique sâest imposĂ© en apparence tant face au religieux quâau politique ; bien quâil existe un certain retour vers des organisations dâĂtats confessionnels, ou vers dâautres qui ne craignent pas dâafficher le libĂ©ralisme Ă©conomique comme valeur chrĂ©tienne et dâen faire un instrument de dit en apparence, car nous recomposons nos constructions cognitives dâune gĂ©nĂ©ration sur lâautre dans le lit de la prĂ©cĂ©dente et nous dĂ©veloppons des schĂ©mas qui rĂ©pondent aux mĂȘmes espĂ©rances. De telle maniĂšre quâaujourdâhui nous plaçons nos espĂ©rances dans une monnaie dĂ©ifiĂ©e, dont les prĂȘtres sont les Ă©conomistes lâexpliquant, comme autrefois le faisaient et aujourdâhui le font les religieux, quâil nây a point de salut en dehors de leurs comprendre cela, il faut, du moins pour lâoccident, remonter jusqu'Ă la pĂ©riode mĂ©sopotamienne[181] oĂč les hommes ne se percevaient que comme des serviteurs de dieu. Cette relation de serviteur Ă maĂźtre, nous nous la sommes transmise de gĂ©nĂ©ration en gĂ©nĂ©ration depuis des siĂšcles, transformant seulement lâimage du Dieu, et nos relations de servitudes,[182] comme Ă©niĂšme reflet de lâimage toujours cette relation qui nous lie, transmise au libĂ©ralisme par le protestantisme. Si le protestantisme fut un Ă©lĂ©ment dâĂ©mancipation de lâindividu[183], le libĂ©ralisme auquel il a donnĂ© naissance sâest transformĂ© en un petit Dieu systĂ©mique qui nâaccepte des autres que la soumission au nom dâautres dieux quâil se fabrique inconsciemment la monnaie, parce quâil lui est insupportable dâĂȘtre lui-mĂȘme un Dieu ignorant et mâen explique en remontant dans la prĂ©histoire. Lâhomo sapiens sapiens a laissĂ© son empreinte sur toutes les surfaces rocheuses des terres oĂč il sâest installĂ©. Cet art visuel » donne une diversification progressive conceptuelle qui constitue un tĂ©moignage originel. Lâart de ces peuples chasseurs permet de distinguer un processus dâanalyse logique qui caractĂ©rise lâesprit humain, et leurs problĂšmes revĂȘtaient un caractĂšre existentiel et philosophique. Ils reconnaissaient le repas comme lâacte au travers duquel se rĂ©alise la symbiose entre la consommation de la viande animale et la force de vie quâelle lui apportait, et qui concrĂ©tisait lâintĂ©gration de lâesprit de lâanimal dans le corps de lâ relation lĂ , nous la perpĂ©tuons au travers de toutes les reprĂ©sentations que les hommes lui ont donnĂ©. Des reprĂ©sentations qui se caractĂ©risent par toutes les figures des Dieux du panthĂ©on Humain la cĂšne pour les chrĂ©tiens. Dieux qui revĂȘtaient tour Ă tour la figure de ce qui caractĂ©risait cette relation. Pourtant, la prise de conscience de lâimportance de la pensĂ© insaisissable qui se caractĂ©rise par un Dieu Ă lâidentique, nâa pas fait disparaĂźtre la sensation de dĂ©pendance Ă©troite, de cette relation matĂ©rielle et directe de complĂ©tude, oĂč lâon acquiert la force de ce que lâon consomme. Aujourdâhui cette relation sâĂ©tablit avec la monnaie de maniĂšre diffuse, et câest cela que je veux souligner. De telle sorte que nous consommons de la monnaie, comme nos ancĂȘtres leurs animaux. Vous comprenez mieux pourquoi dans et essai je nâai jamais proposĂ© dâappauvrir le riche, et quâil ne faut pas espĂ©rer que les pauvres le resteront, quâelles que soit les rĂšgles mĂ©ritocratiques misent en quand nous observons notre monde nous y trouvons cette soumission, la soumission qui nous arrange, lĂ oĂč il nây a quâassociation dans lâintĂ©rĂȘt de la prĂ©servation de lâĂ©volution des espĂšces. Les idĂ©es dâaltruisme et dâabondance nous effraient, nous nây voyons quâeffacement de lâindividu dans le groupe ou absence de motivation crĂ©atrice. Cela, ne rĂ©sulte que dâun seul regard, car nous ne tenons pas compte du fait que nous avons une existence unique qui nous prĂ©serve du suicide altruiste.[184]Pourtant, elles peuvent ĂȘtre tout aussi crĂ©atives que nâimporte quelles autres motivations, et soutenir nâimporte quelle organisation Ă©conomique. En effet, elles sont aussi Nous, puisque nous sommes capables dâen avoir une image, elles existent donc en potentialitĂ© dâĂȘtre voir avertissement, et demeurent partie intĂ©grante de lâordre » qui nous sous-tend thĂ©orie du chaos, parce que lâindividu est partie intĂ©grante de cet ordre, et nây est pas soumis voir avertissement. Ceci, si nous ne confondons pas association et soumission, si nous ne confondons pas ordre et soumission, si nous ne confondons pas apprentissage et soumission, si ceux qui y croient ne confondent pas Dieu et Ă nous regarder Nous et notre planĂšte comme une crĂ©ation divine, nous oublions dâen retenir que nous pourrions nâĂȘtre quâune exception, quâune erreur » de toutes ces particules qui dĂ©cohĂ©rent » note 2, et quâil y a autant de chance pour que dans les autres galaxies notre type de vie existe, ou quâil nây ait rien, Ă moins dây comme hier il nous appartient dâexpliquer le mystĂšre des choses, et aucune civilisation connu Ă ce jour nâa eu autant de moyens que la nĂŽtre, Ă nous de les utiliser pour le bĂ©nĂ©fice de tous, et dâen faire une source de richesse.âŠpar ceux qui ne sont pas forcĂ©ment les plus aptes mais qui nous ce long dĂ©veloppement dâun chapitre consacrĂ© au financement des ECPA, jâessaie de faire comprendre la relation nĂ©cessaire quâil faut Ă©tablir entre les thĂ©ories monĂ©taires, et les connaissances grandissantes de ce que nous sommes dans lâunivers qui nous font toucher du doigt un monde non monde non objectif Ă partir duquel nous pensons que le dĂ©veloppement de la conscience nous a Ă©loignĂ©s du monde nous pouvons aussi estimer que cette conscience a fait de nous un animal perdu » dans un univers qui le dĂ©passe. Pour sâen convaincre, il suffit de constater le nombre de tueries auxquelles nous nous sommes livrĂ©s, souvent prĂ©sentĂ©e comme une rĂ©gulation naturelle de lâespĂšce, idĂ©e qui demeure encore dans le subconscient des gens parce que nous avons interprĂšte la rĂ©gularitĂ© de la mort Ă notre ce nâest pas cela qui en est le signe le plus probant. Ce signe est le nombre de Dieux dâen haut » que nous avons inventĂ©, Symbole dâun commandement nĂ©cessaire. Ce besoin de croire, de se rassurer, dâexpliquer des Ă©vĂ©nements, gĂ©nĂšre des rĂ©gularitĂ©s schĂ©matiques que nous pouvons observer dans notre comportement, et lorsque ces schĂ©mas incertains deviennent contestables, pour quâils ne puissent plus lâĂȘtre nous les Ă©levons Ă une dimension inaccessible ; une dimension qui rĂ©fute toute preuve contraire pour quâils restent immuables. Nous les inscrivons pour cela au plus profond de notre mĂ©connaissance, la foi. Pourtant, mĂȘme quand nous les rejetons ce nâest que pour les remplacer par des dieux dâen bas », les lois naturelles, les lois Ă©conomiques, les lois rĂ©publicaines, les lois universelles etc., pour compenser la certitude quâoffre les dieux dâen haut, pour restructurer ce besoin de croire ; parce que nous sommes encore des ĂȘtres perdus » qui ont besoin dâavoir foi, foi qui devient conviction. Je ne conteste pas ici le besoin de sâordonner, mais de vouloir rendre nos ordres immanents lois, droits immuables, De telle sorte que lorsque nous confondons croyance et but besoin dâexister parce que lâon EST, nous ne pouvons que nous perdre un peu plus, parce que nous rejetons ce qui est essentiel Ă notre existence le Mouvement. Je ne veux pas dire par-lĂ que lâapprĂ©ciation de lâexistence ne doit ĂȘtre que cognitive la raison, et quâil ne faut pas se rĂ©fĂ©rer Ă nos sens, mais seulement quâils ne doivent pas conduire Ă crĂ©er de nouveaux Dieux qui ne seraient autres choses que des soutiens psychologiques consĂ©quence en est quâĂ lâexception de quelques idĂ©alistes, nous nâĂ©lisons plus dans toutes les instances politiques que des hommes Ă notre ressemblance, de grands chefs religieux, argentiers ou pieux, quand ils ne cumulent pas les revanche, nous relĂ©guons aux oubliettes les philosophes et les penseurs ou bien nous les prĂ©sentons comme des ĂȘtres dâun ancien temps, qui nâont plus de place dans le dĂ©bat nous ne nous sommes jamais Ă©cartĂ©s dâune gestion religieuse » des hommes. Mais comme nos nouveaux dieux savent compter, ils assurent une gestion financiĂšre des humains. Nous ne quittons de fait quâune croyance pour une autre, parce quâelles nous ressemblent, parce que notre besoin de foi ou de conviction recomposĂ©e sâempare de toutes nos innovations pour les beaucoup ont compris que cette religiositĂ© Humaine que je nous attribue, est le rĂ©sultat dâune organisation biologique ou autre de notre cerveau, qui est une nĂ©cessitĂ© existentielle comme inhibiteur de la violence intra humaine ; et ce besoin de placer cet inhibiteur au-dessus de sa conception cĂ©rĂ©brale le dĂ©ifier, comme puissance qui sâexerce sur notre rĂ©flexion pour accepter toute forme de socialisation, est indispensable en lâĂ©tat actuel de notre dĂ©veloppement intellectuel par lâappris. Câest le mĂȘme problĂšme que rencontre les valeurs dites rĂ©publicaines », bien que leur UniversalitĂ© leur ait confĂ©rĂ© une situation rĂ©fĂ©rentielle idĂ©ologique supĂ©rieure. Elles ne sont que la reprĂ©sentation imparfaite, comme les liturgies, de notre aptitude Ă comprendre que la sociabilitĂ© est notre inhibiteur de la violence, mais aussi que les rĂšgles de sociabilitĂ©s que nous dĂ©veloppons le sont Ă©galement sur la base de lâinfluence de notre inconscient incluant notre agressivitĂ© naturelle ». Ceci nous conduit Ă concevoir des systĂšmes punitifs meurtriers ou invalidants par le processus de vengeance, quâils soient individuels ou statutaires, pour rĂ©pondre Ă des droits qui, tout en se voulant supĂ©rieurs, par lâambiguĂŻtĂ© quâils gĂ©nĂšrent, font appel Ă la violence quâils se voulaient subjuguer par exemple le droit Ă la propriĂ©tĂ© privĂ©e. Dans le domaine punitif que nous dĂ©veloppons aussi par dĂ©faut, nous avons dâĂ©minents praticiens scientifiques », qui explique quâune victime ne peut se sentir soulagĂ©e que si elle a pu exercer Ă son tour sa violence sur celui qui lui a nui. Ainsi en toute bonne fois nous perpĂ©tuons un processus dâexpression de notre violence, alors que le christianisme avait su dĂ©velopper la notion rĂ©volutionnaire dâempathie comme inhibiteur du dĂ©sir de vengeance, que le catholicisme nâa pas su faire prospĂ©rer, ĂȘtre capable de sâimprĂ©gner de la souffrance que lâon fait ou voulons faire subir Ă lâautre pour ne pas la dĂ©sirer pour soi-mĂȘme et les autres, et donc ne pas ĂȘtre tentĂ© de la maniĂšre que par un processus de rĂ©ponse Ćil pour Ćil dent pour dent codifiĂ© par le judaĂŻsme[185] de lâexpression de notre agressivitĂ© persĂ©cutrice et tortionnaire, nous en sommes arrivĂ©s, dans une escalade incessante, Ă nous doter dâinstruments armes dâĂ©radication de lâespĂšce qui faute dâĂȘtre supprimĂ©s par clairvoyance ou sagesse, seront un jour utilisĂ©. Parce quâen ayant contestĂ© la notion des dieux dâen haut religions Ă cause des leurs reprĂ©sentations imparfaites immuables et obscurantistes, nous avons construit des dieux dâen bas lois naturelles, pires, sapant la sociabilitĂ© par leurs phĂ©nomĂšnes dâauto exclusion. Il ne reste plus aux laĂŻques que lâalternative dâun dĂ©veloppement culturel par un apprentissage sociologique, parce que un retour des dieux dâen haut qui ne se sont aucunement rĂ©formĂ©s, faute dâavoir compris quâils Ă©taient la cellule biologique exogĂšne[186] » de la reprĂ©sentation inhibitrice de notre violence. Câest au nom des diverses reprĂ©sentations et dĂ©finitions absolues de cette cellule » dieux que nous risquons un jour de nous Ă©radiquer, ce qui serait le comble absolu de la bĂȘtise ; que ce qui est lâessence de notre sociabilitĂ©, par notre construction biologique ou autre conscience, soit la cause de notre destruction parce quâĂ un moment de notre histoire les dieux dâen bas leur en ont donnĂ© les moyens, pour ne pas avoir su sâĂ©lever autrement que par les mĂȘmes dĂ©fauts de ceux quâils se voulaient est donc souhaitable pour lâĂȘtre inachevĂ© absence dâinhibiteur biologique de violence intra espĂšce que nous sommes, de concevoir pour ceux qui nâont pas la connaissance de cela, un inhibiteur de violence au-dessus de nous, quel que soit son nom pourvu quâen son nom nous puissions dire que la guerre est un crime. Câest dans cette optique que jâai pris des rĂ©fĂ©rences dans les thĂ©ories de la physique, parce quâelles nous obligent Ă une rĂ©flexion qui dĂ©passe notre seule condition humaine qui en est partie intĂ©grante, et ne qualifie pas ses associations ou interactions de valeurs de comprendre cela, nous ne serons pas en mesure de rĂ©former nos systĂšmes actuels, qui ne correspondent quâĂ une utilisation imparfaite du potentiel crĂ©atif que nous fournit lâensemble des forces universelles qui nous sous-tendent, et dont lâutilisation dysharmonique » que nous commençons Ă mesurer, nous conduit vers lâanticipation dâune destruction programmĂ©e par lâusage que nous faisons de ces mĂȘme forces si nous passons ce cap, alors il y a fort Ă parier que nos sociologues, nos mĂ©decins, nos psychologues et puis nous, seront aussi des philosophes mathĂ©maticiens » de la mĂ©canique quantique, et dans ce cas nos Ă©lus nous Le capitalisme peut-il ĂȘtre un vecteur de lâĂ©volution, et comment ?A force dâavoir criĂ© haro idĂ©ologiquement sur le capitalisme, nous en avons oubliĂ© quâil est une forme associative de monnaies dispersĂ©es, dâĂ©nergies cumulatives. Pour un enfant nous disons, il se fait une tire lire, un mĂ©nage familial des Ă©conomies ou Ă©pargne, et lâindustrie capitalise. De la sorte que câest moins le cumul de monnaie qui pose problĂšme, que de savoir qui la dĂ©tient, comment elle se rĂ©partit ou se comptabilise au travers de nos organisations et relations Ă©conomiques lesquelles permettent Ă certains de pouvoir imaginer redevenir ces dieux tombĂ©s du capitalisme peut-il ĂȘtre un vecteur de lâĂ©volutionâŠPouvons-nous regarder le systĂšme capitaliste et son organisation monĂ©tariste, comme un vecteur de lâĂ©volution humaine ?Pour rĂ©pondre Ă cette question je vous invite Ă repenser au processus dâinvariance dâĂ©chelle note 173 et Ă imaginer les humains comme des cellules. Ces cellules humaines, par nĂ©cessitĂ© oĂč par sens de la propriĂ©tĂ© en vu de possĂ©der ce quâelles produisent, se sont regroupĂ©es dans une organisation cellulaire ou sociĂ©tĂ© cellulaire. Organisation fabriquant des enveloppes protectrices que lâon appelle les frontiĂšres d'Ătats qui leur offrent la protection dâune zone de ressource, mais Ă©galement qui les isolent des autres groupes de cellules identiques Ă leur isolement elles dĂ©veloppent des spĂ©cificitĂ©s internes quâelles considĂšrent comme Ă©tant leurs caractĂšres culturels, leurs ADN culturels. Pourtant, il survient un moment oĂč ces organisations cellulaires doivent Ă©voluer, car leurs cellules prolifĂšrent. Et leur Ă©volution va dĂ©pendre du message quâelles auront dĂ©veloppĂ©, de la structure quâelles auront prise, et des moyens dâexpansion quâengendrera son organisation cellulaire, en quelque sorte leur ARN culturel, celui qui sâassurera que les ordres qui seront donnĂ©s pour former le nouvel ADN soient bien conformes Ă ceux quâa mĂ©morisĂ© lâARN nous appelons cela la colonisation.Ainsi, nous pouvons considĂ©rer que lâADN est la reprĂ©sentation de lâorganisation cellulaire humaine, et quâil se compose de la diversitĂ© culturelle, Ă laquelle lâARN veillera, en faisant en sorte que le message soit toujours le mĂȘme, pour que la duplication cellulaire soit toujours identique et recompose la mĂȘme diversitĂ© culturelle. Si nous rapportons cette construction analogique au systĂšme capitaliste et que nous considĂ©rons que ce systĂšme est lâADN, il convient de rechercher ce qui constitue lâARN qui lui permet de reproduire toujours le mĂȘme schĂ©ma. De sorte que si nous voulons que le capitalisme se socialise, ce nâest pas Ă ses masses monĂ©taires quâil faut toucher, puisque celui-ci et lâADN qui se recompose en fonction du message structurel, mais Ă ce qui veille au respect des ordres qui lâorganise, câest Ă dire son ce qui veille Ă cela nâest rien dâautre quâune codification que nous appelons le plan comptable, le schĂ©ma structurel dans lequel nous avons enfermĂ©, codifiĂ© nos relations sociales aprĂšs les avoir qualifiĂ©es qualification mesurable. Un plan comptable qui a formalisĂ© au fil du temps nos relations Ă©conomiques, et les conditionne. Ainsi, quoique nous puisions faire ou dĂ©velopper comme idĂ©al, si nous lâinscrivons dans une structure dont la fonction est de faire de lâargent, et de dĂ©finir comment il se ventile, nous nâaurons donc en rien modifiĂ© dans le systĂšme capitaliste de ce qui nous chagrine ou nous souci. Ce qui nous souci Ă©tant que tous ceux qui concourent Ă la richesse sâen trouvent, dans un tour de rĂŽle dâespĂ©rance, inĂ©galement pourvus, voir exclus. Pour poursuivre lâanalogie, nous savons que ce sont les enzymes qui vont structurer la fiabilitĂ© de lâARN messager, et cet enzyme ou ces enzymes qui vont Ă©laborer lâARN messager câest nous, sous-tendus par un mandant qui est notre Ă©gocentrisme, et que nous avons cet ADN monĂ©tariste qui prolifĂšre, produit des dĂ©chets et empoisonne en les rejetant dans son environnement toutes les autres espĂšces et menace la planĂšte Terre, tout en prĂ©sentant son ARN comptable comme seul messager valable du message initial, en sâappuyant sur les lois naturelles. Le systĂšme capitaliste peut donc, tout en conservant lâutilitĂ© de concentration du capital, se comptabiliser de maniĂšre diffĂ©rente et donc se trouver un rĂŽle socialisant, sans passer par la forme Ă©tatique concentrationnaire quâont connu les pays socialistes, je mâen suis dĂ©jĂ expliquĂ©. Il suffit pour cela que nous codifions diffĂ©remment notre Ă©gocentrisme, pour que dans le plan comptable lâactivitĂ© humaine ne soit pas une charge mais une richesse. Pour que le travail ne soit pas un coĂ»t mais un produit, pour que ce ne soit pas nos projections Ă©gocentriques instrumentalistes » qui nous dirigent seulement, mais aussi la raison de notre ce langage commun commercial est devenu un organisme» fictif ou abstrait, qui nous dirige par notre entremise soumise Ă son ARN pu choisir une autre analogie se rapprochant de lâanalyse psychanalytique. Notamment le fait que la projection Ă laquelle se livre notre pensĂ©e ne fait que reproduire les mĂȘmes schĂ©mas dans tous les champs que nous avons sĂ©riĂ©s, et donc dans celui de lâĂ©conomie, que jâai dĂ©fini comme la qualification mesurable de notre activitĂ© sociale P. 224. Nous devrions donc y retrouver tous les tabous et totems recomposĂ©s, corrigĂ©s de lâapport scientifique, avec la mĂȘme ignorance de la structure interactive » qui gĂ©nĂšre notre rĂ©gulateur naturel que nous ne cernons consĂ©quence, le systĂšme capitaliste et son vecteur la monnaie sont bien devenus des dĂ©terminants de notre Ă©volution, car ce systĂšme capitaliste se comporte comme un organisme vivant, dont nous constituons les Ă©lĂ©ments contrĂŽlĂ©s qui le nourrissent, organisme capable dâengendrer une Ă©volution de notre espĂšce.⊠et comment ?Comment ? En modifiant lâĂ©cosystĂšme au-delĂ de celui qui est dĂ©jĂ dĂ©terminĂ© du fait mĂȘme de lâĂ©volution de notre planĂšte et qui a donnĂ© naissance aux espĂšces qui nous ont prĂ©cĂ©dĂ©es. Ainsi, le systĂšme capitaliste est en passe dâanticiper la venue du successeur de lâhomo sapiens sapiens par les modifications environnementales quâil engendre, par la technologie mise en Ćuvre, de part les tensions nerveuses auquel il soumet ses acteurs, et de part sa mutation postindustrielle oĂč câest lui qui dĂ©finit et vend les besoins, y compris ce que je voulais surtout souligner, la tendance Ă lâeugĂ©nisme, Ă la capacitĂ© de pouvoir modifier les caractĂšres innĂ©s je mâen suis dĂ©jĂ expliquĂ© note 35.. Cela pour obtenir le maximum dâun symbole de richesse, la monnaie, bien quâil lui manque quelque chose que nous lui avons abandonnĂ©, la conscience de soi, dâappartenir Ă une espĂšce. Conscience dâappartenir Ă une espĂšce qui sâacquiert par une structure Ă©puisante auto rĂ©gulatrice, lâĂ©ducation de lâincertitude de la raison, laquelle impose dâapprendre sans cesse pour vivre les rĂ©alitĂ©s de notre assistons donc Ă un phĂ©nomĂšne de rĂ©troaction auto rĂ©gulateur dâun systĂšme abstrait, et sâil doit y avoir un dĂ©bat dâidĂ©e, ce nâest pas allons-nous utiliser une organisation individuelle ou collective pour nous enrichir, mais oĂč voulons nous aller, et comment ? ».72 - Pourtant le langage » commercial serait une chance inespĂ©rĂ©e, une fois dĂ©barrassĂ© de ses excĂšs, pour changer le le langage » commercial est une chance inespĂ©rĂ©eâŠNotre espĂšce sâest trouvĂ©e un langage commun au travers du rapport commercial. Il faut espĂ©rer quâil produira ses effets dâacculturation mondiale, en gommant ce que nous prenons comme la richesse de la diversitĂ©, et qui ne sont que des freins Ă la communication entre membres de notre espĂšce, la langue, la culture identificatrice» en tant que culture passĂ©iste, car il nây a pas de retour possible dans le passĂ©. Ce qui ne signifie pas, ne pas se diffĂ©rencier, ni connaĂźtre et tenir compte de notre passĂ© sujet est polĂ©mique et difficile Ă aborder aujourdâhui, car lâanglais commercial entre dans les Ă©tablissements scolaires en us et place de lâanglais classique justement Ă cause dâun langage commercial de mode dâemploi qui ne constitue en rien une langue ni une quelconque acculturation mais un langage minimaliste nâest donc pas celui-ci auquel je songe. Je songe Ă celui qui se fera jour peut-ĂȘtre dans des siĂšcles si le langage de communication que constitue lâĂ©change commercial facilite le rapprochement humain malgrĂ© le prĂ©sent impĂ©rialisme du marchĂ© qui tant Ă imposer une parodie de langue. AccĂ©der Ă un langage commun nâimpose pas dâabandonner le sien, bien au contraire. Car le futur langage sâenrichira de toutes les spĂ©cificitĂ©s des diverses langues. Câest autre chose que la beurification » que jâai fustigĂ©. Mais je dois me rendre Ă lâĂ©vidence que ce nâest pas dans ce sens que le futur se prĂ©sente. Surtout que nous savons que lâĂ©volution dâun langage dĂ©pend aussi dâun rapport de force au travers du rĂŽle de lâĂtat. Mais malgrĂ© cela lâhistoire nous montre que le langage humain se modifie surtout au tour des conquĂȘtes. Qui donc est le grand conquĂ©rant aujourdâhui, lâAmĂ©rique Ă la place de lâEurope dâhier, mais elle devra demain cĂ©der sa place au continent Chino-indien, Ă mois que ? Peut-ĂȘtre une catastrophe Ă©cologique ne sera peut-ĂȘtre qui nous poussera Ă mieux nous prĂ©occuper de nouveaux Ă©changes commerciaux tout en apportant une solution Ă la raretĂ© de la monnaie, dont nos thĂ©ories sur lâinflation et la ventilation du plan comptable, nous conduisent Ă persister dans la production de nos dĂ©chets. Pire, il nous entraĂźne Ă imaginer des Ă©quilibres idĂ©ologiques, tel les trois pour cent de dĂ©ficit de la communautĂ© EuropĂ©enne qui, sâils ont eu un effet confĂ©dĂ©rateur, ne peuvent ĂȘtre maintenus sous peine dâĂ©clatement, car lâĂ©quilibre nâexiste pas, sauf sous le regard momentanĂ© dâun ne signifie pas quâil faut faire un monde unique, puisque câest impossible du fait de la diversitĂ© gĂ©ographique, mais un monde qui se parle, discute, Ă©change, alors que lâon est dans un monde qui sâaffronte.âŠune fois dĂ©barrassĂ© de ses excĂšsâŠCe langage commercial est encore empreint de nos vieux dĂ©mons guerriers, car nous nây parlons que de conquĂȘtes de parts de marchĂ©, de luttes ou guerres commerciales, et nous nous laissons diriger par des chefs guerriers pĂ©dants et suffisants, auxquels, lâactionnariat et autres, donnent un justificatif Ă lâexercice de leurs intĂ©rĂȘts personnels, dans notre culture Ă©litiste. Alors que lâhistoire des plus humbles a favorisĂ© leur Ă©mergence, et que nantis du savoir et de la compĂ©tence, ils ne savent que former des clubs de rentiers bourse. Comme tout bon dominant, il faudra que la conscience de Soi conscience de lâespĂšce, dont ils sont dĂ©pourvus, se manifeste comme toujours dans des petits groupes agissants de la collectivitĂ©, pour sâopposer Ă leurs dĂ©rives. Ceci, car ils sont incapables dâutiliser au bĂ©nĂ©fice de lâhumanitĂ© la richesse de compĂ©tences dont ils sont dĂ©tenteurs. Nous en avons lâexemple avec la mise en place de la nouvelle Ă©conomie dans les anciens pays de lâEST[187], les nouveaux managers » nây ont vu quâune opportunitĂ© dâenrichissement. Dans le mĂȘme temps la contestation anti-mondialiste naissante fustige tous les organismes rĂ©gulateurs qui essaient de se construire, car elle nây voit, souvent avec de justes raisons, quâune rĂ©gulation de nantis pour des nantis. Ces contestataires proposent comme alternative des solutions suicidaires comme le retour Ă une agriculture traditionnelle qui conforteraient le Malthusianisme, et nâont toujours pas vu lĂ , oĂč le bĂąt blesse en restant dans un schĂ©ma de rĂ©partition de richesse qui rĂ©clame toujours aux riches de se dĂ©partir dâune richesse qui est leur but, comme ces deniers demandent aux pauvres de le rester pour ne pas envier leur des siĂšcles nous nous traĂźnons » ce rapport comme un boulet, malgrĂ© toutes les approches philosophiques, religieuses ou idĂ©ologiques de rĂ©partition Ă©quitable ou Ă©galitaire, cela sans il est possible dâouvrir dâautres voies pour gommer les excĂšs dâune organisation Ă©conomique qui vicie nos relations sociales. Je dis ouvrir, car cela ne peut pas se faire dans un nivellement culturel populaire par le bas, mais en prenant en compte ce que nous apporte comme capacitĂ© de raisonnement, les sciences.âŠpour changer le le cadre de nos relations sociales lâĂ©conomie a un rĂŽle confĂ©dĂ©rateur Ă jouer pour offrir tout son potentiel aux communautĂ©s. Il faudra quâelle sâexpurge dâun archaĂŻsme nĂ©o-libĂ©ral, qui repose sur le constat quâil est inĂ©luctable que les hommes sâaffrontent autour dâune seule source de richesse. Il ne faut pas non plus sâen culpabiliser, parce que dans la jungle qui est encore la notre aujourdâhui, chacun fourbit ses armes pour manger lâ par imprĂ©gnation de Connaissances et Savoir, il est possible de changer cela il est possible dâimaginer quâune autre source de richesse basĂ©e sur lâĂ©ducation, bien structurĂ©e, serait de nature Ă apporter cette capacitĂ© sociale qui fait tant dĂ©faut au capitalisme. Il est mĂȘme possible dâimaginer quâelle rĂ©duirait les tensions belliqueuses quâil dĂ©veloppe, peut-ĂȘtre mĂȘme la production dâargent sale », en introduisant de fait un peu de moralitĂ© » dans les relations Ă©conomiques plus dĂ©tendues, le plus difficile est dâen convaincre ceux qui sâaffrontent, câest Ă dire tout le â Câest pour cela je poursuis un but, qui est dâune certaine maniĂšre, dâarriver Ă faire pondre Ă une poule un Ćuf de canard sans tuer la poule aux Ćufs dâ cela je poursuis un butâŠDans ce chapitre concernant le financement des ECPA, je me suis appesanti sur la place de la monnaie et son rĂŽle politique, sur la place de lâindividu, du culturel, et leur place dans un univers non objectif ».Si jâai insistĂ© sur le critĂšre infinitĂ©simal » de ce qui nous compose, câest pour faire comprendre que lâĂ©volution sâeffectue Ă une Ă©chelle qui Ă©chappe Ă notre regard sensible, et cela, Ă©chappe aussi Ă lâintelligent de la plus grande majoritĂ© dâentre nous. Et si je me sers du plus grand de nos bagages intellectuels, lâignorance, la mĂ©connaissance, câest pour nous inciter Ă ne pas avoir peur dâ dirait mĂȘme, que lâordre sous-jacent » attend que soient rĂ©unies les conditions de son instant pour apparaĂźtre Ă notre comprĂ©hension, câest Ă dire la rĂ©union de conditions car nous sommes tellement imbus de nous mĂȘme, de nos certitudes peureuses, que si nous percevions les critĂšres de notre Ă©volution nous les dĂ©truirions pour demeurer dans nos certitudes et conformes Ă nous tuerions DIEU sans distinction de nom » pour rester ce que nous sommes, parce que nous sommes incapables de le reconnaĂźtre. Câest aussi vrai pour ceux qui croient en la VĂ©ritĂ© de la forme de leur dieu, car ils sâaccultureront sĂ©culairement, comme ces mĂȘmes dieux sont le rĂ©sultat dâune acculturation. Tuer dieu, câest peut-ĂȘtre ce que nous faisons lorsque nous tuons un seul dâentre nous.⊠qui est dâune certaine maniĂšre, dâarriver Ă faire pondre Ă une poule un Ćuf de canard sans tuer la poule aux Ćufs dâ long dĂ©veloppement permet aussi de comprendre que le montage financier que je vais dĂ©veloppĂ© nâa aucune importance pour moi. Hormis le fait de satisfaire Ă lâimportance que nous lui accordons, car pour moi il nâest quâun moyen de gĂ©nĂ©rer de la monnaie pour atteindre un but, et non pas de croire que je vais trouver le mĂ©canisme cachĂ©, qui me conduira Ă mon but. En effet ce but, câest un choix de sociĂ©tĂ©, et il doit ĂȘtre celui des citoyens, et non celui de la monnaie, il doit ĂȘtre le choix de lâADN pas de lâARN, celui de la raison connue du totem pas des effets totĂ©miques facile Ă rĂ©sumer beaucoup moins Ă rĂ©aliser. Il faut pour cela rĂ©soudre le paradoxe de devoir apprendre, et ensuite car il nous faut structurer notre intelligence cognitive de connaissances crĂ©dibles et rassurantes, jusqu'Ă sa maturation. Savoir que toutes organisations quâelle gĂ©nĂ©rera en seront le reflet sâauto confirmant par la recherche de rĂ©gularitĂ©s rĂ©futables ou dĂ©sapprendre, pour savoir que tout ce que nous avons appris est relatif, et nâest quâune construction intellectuelle. Une construction dans laquelle, il nous faut faire des choix restreints non objectifs », des choix du monde sensible sans libre arbitre, hormis le sentiment dâen possĂ©der un, pour se libĂ©rer lâintelligence et se donner des buts qui ne sont que les nĂŽtres. Il ne sâagit pas de dĂ©structurer le psychique, mais de le soustraire aux fantasmes gĂ©nĂ©rĂ©s par les interdits culturels et les certitudes absolues, afin de les regarder pour ceux quâils sont, des voies jalonnĂ©es devant nous permettre de dĂ©terminer les rĂ©gularitĂ©s de notre rĂ©alitĂ© objective » et non celles de son image ; image aux effets somatiques concrets qui Ă©gare souvent notre raisonnement et notre affect, et qui exigent Ă©galement la dĂ©finition de repĂšre de convient dont de facilitĂ© une construction mallĂ©able ordonnĂ©e adaptĂ©e Ă lâĂ©volution qui ne peut se passer de suivre une voie ouverte, pour des Etres lisant ce chapitre sur le financement des ECPA vous devez vous demander et mĂȘme penser quâil sâagit dâune erreur de ma bien sĂ»r, jâai dĂ©fendu lâidĂ©e que le social crĂ©e lâĂ©conomie, et indiquĂ© que pour moi lâĂ©conomie nâĂ©tait que la qualification mesurable » de notre activitĂ© ainsi, quâen ayant philosophĂ© » autour de tous les sujets que jâai pu dĂ©velopper dans ce chapitre, tous ces sujets peuvent ĂȘtre traduit en temps de travail sous tous leurs aspects, de lĂ , en monnaie, et en Ă©nergie dont le futur la verra peut-ĂȘtre comme monnaie de rĂ©fĂ©rence universelle. Cela, parce quâil nây a pas une once de ce que jâai dit qui ne demande lâusage dâune production Ă©crit en homo-sociabilis, et par lâutilisation des mathĂ©matiques[188] je peux tout traduire en homo traduire dans un langage mathĂ©matique commercial ne signifie pas se laisser diriger par lui, et si je dis que un et un font deux, câest aussi bien pour pouvoir mesurer quand un et un font plus ou moins de deux, suivant que nous additionnons de la matiĂšre tel lâor lâunivers physique ou des valeurs lâunivers interprĂ©table le tout issu de notre univers par les mathĂ©matiques tout notre univers, nous y compris, permet dâavoir trouvĂ© un langage universel qui peut nous permettre de comprendre les interactions des forces, de la matiĂšre, de la vie organique, et de dĂ©finir des autre chose que de sâen servir pour dire Que les hommes ne peuvent pas produire plus que ce que les masses monĂ©taires en circulation le leur permettent ».Câest lĂ que se situe la confusion que nous faisons avec lâusage des mathĂ©matiques. Une confusion qui ne cache que lâabsurditĂ© Ă laquelle nous avons abouti, en faisant du travail qui est une nĂ©cessitĂ©, qui est le lien de lâhomme avec sa source nourriciĂšre, une source de souffrance[189].Non dans le sens oĂč le travail demande un effort qui justifie que nous y substituions des machines, mais dans le sens oĂč, par les relations sociales qui se sont dĂ©veloppĂ©es autour de lui, nous le rejetons pour y substituer la monnaie, Ă condition quâil nây en ait pas trop, de maniĂšre que dâautres se sentent obligĂ©s dâaller faire le travail auquel nous voulons nous lĂ que je considĂšre quâil y a une anomalie, car nous sommes arrivĂ©s Ă rejeter ce qui est le fondement de notre existence, la CommunautĂ©. Sans remettre en cause le droit dâĂȘtre riche, de se rĂ©partir toutes les tĂąches de lâagriculteur au poĂšte, de disposer du droit Ă la propriĂ©tĂ© individuelle de disposer dâun habitat, le lieu ou lâon se sent Ă labrit, le lieu Ă soi dâoĂč lâon ne peut pas ĂȘtre dĂ©logĂ© et y reposer sa vigilance, ou du droit Ă la propriĂ©tĂ© Ă©conomique, mais il faut savoir alors dans ce cas Que lorsque nous devenons propriĂ©taire Ă©conomique dans notre seul intĂ©rĂȘt, nous assumons la responsabilitĂ© de lâexistence de tous ceux que lâacquisition de notre titre de propriĂ©tĂ© a exclu. Et les mathĂ©matiques comptabilisation ne pourront pas Ă©ternellement nous servir de prĂ©texte pour nous dispenser de cette responsabilitĂ©, mais nous nous en servirons toujours pour redĂ©finir de nouvelles relations de si lâaxiome de Smith indique que chacun Ă titre individuel doit pouvoir concourir Ă la recherche de son intĂ©rĂȘt personnel », je pense que lorsquâil accĂšde Ă ce titre un titre de propriĂ©tĂ© Ă©conomique, il acquiert sans le savoir la charge fonction de concourir Ă lâexistence de ceux quâil en exclut ; et confier ce rĂŽle Ă lâĂtat la communautĂ© nâest pas sâen raison ?Certainement pas !Jâai seulement raison, parce que dans la course de ZĂ©ro Ă lâinfini jâai posĂ© une borne diffĂ©rente de celle des autres, en prenant pour rĂ©fĂ©rence des lois de certaines sciences avertissement, afin dâatteindre le BUT que je serait aussi sot dâessayer de dĂ©montrer scientifiquement que jâai tort, que moi de vouloir faire la dĂ©monstration scientifique que jâai raison. Cela, parce que je ne cherche pas Ă Ă©tablir des VĂ©ritĂ©s, lĂ oĂč il ne sâagit que de trouver des rĂ©fĂ©rences durables et crĂ©dibles que je dĂ©sire convaincantes, et qui peuvent ĂȘtre questions restent toujours les mĂȘmes LâĂ©conomie est-elle une science ?Non ! Parce que nous ne pouvons pas la rĂ©futer de lâidĂ©ologie ?Non ! Car câest une capacitĂ© Ă produire et une activitĂ© dâ une quasi-science ?Oui ! Si nous dĂ©montrons que lâĂ©conomie est une science par elle-mĂȘme, aprĂšs avoir postulĂ© que câĂ©tait une science raisonnement en cercles vicieux, je postule que A est vrai en supposant que B lâest, et rĂ©ciproquement.Est-ce une quasi- idĂ©ologie ?Oui ! Si la pensĂ©e et la raison sây la pensĂ©e symbolique qui passe par tous les instruments rĂ©futables la science, lâobservable, et les instruments interprĂ©tables nos valeurs, le subjectif, doit se parfaire et non pas se conditionner, parce que rien nâest achevĂ© et nous sommes une partie active de cet â Choisir une rĂ©fĂ©rence rassurante non convertible pour Ă©mettre de la monnaie, en utilisant une politique budgĂ©taire ou une rĂ©fĂ©rence rassuranteâŠDonc, comme je lâavais indiquĂ© nous pouvons prendre comme rĂ©fĂ©rence lâĂ©valuation du territoire national, pour avoir une base Ă lâĂ©mission de monnaie nĂ©cessaire au financement des ECPA. Cette Ă©valuation sâentend de tout le territoire collectif ou individuel, privĂ© ou non, sans nuire au droit de la propriĂ©tĂ©, dont chacun gardera la jouissance suivant les rĂšgles en vigueur. Cette valeur sera rĂ©pertoriĂ©e dans un compte national, et sera Ă©tablie en fonction de la valeur marchande des sols, avec une Ă©valuation de base pour les surfaces jâai choisi le sol câest seulement pour le symbole quâil reprĂ©sente dans lâesprit des hommes. Symbole comme surface dâidentification de la nation, donc propriĂ©tĂ© collective, espace sur lequel se produisent les richesses, terres cultivables ou industrielles, biens de consommation pour particulier, logement, jardin, espace dâagrĂ©ment, propriĂ©tĂ© privĂ©. Naturellement, rien ne nous empĂȘche dây inclure aussi lâespace maritime, rien ne nous empĂȘche de prendre la population en rĂ©fĂ©rence, ou bien tout autre chose rechercher les valeurs des sols, dans les entreprises il suffit de se rĂ©fĂ©rer au compte et sous compte 211 du plan comptable dâimmobilisations corporelles. Pour celles agricoles, aux dĂ©clarations fonciĂšres, et pour les autres Ă la valeur des zones constructibles, puis se livrer Ă une estimation des espaces du patrimoine collectif. Lâensemble de ces valeurs sera rĂ©actualisĂ© tous les ans. Comme je le disais, nous pouvons nous rĂ©fĂ©rer Ă dâautres critĂšres, inclure les espaces maritimes ou extraire du plan comptable des Ă©lĂ©ments de rĂ©fĂ©rence, faire une Ă©valuation moyenne des besoins dâun citoyen dans notre sociĂ©tĂ©, etc. En un mot, trouver une base de rĂ©fĂ©rence qui puisse ĂȘtre Ă©ventuellement je me rĂ©fĂšre au sol, câest que chaque Ătat disposant dâun territoire, celui-ci peut ĂȘtre estimĂ©, mĂȘme pour ses zones les plus arides ou les plus glacĂ©es, puisquâil ne sâagit pas de dĂ©finir une richesse du sol mais une rĂ©fĂ©rence. La valorisation de la richesse des sols interviendra plus tard en fonction de leur utilisation, et des ressources quâils est donc de donner une base tangible Ă un systĂšme conventionnel. SystĂšme qui entrera en relation avec une base tout aussi conventionnelle commune qui est le temps consacrĂ© Ă une activitĂ©.⊠non convertible pour Ă©mettre de la entendu, la valeur financiĂšre de ce Compte National suivra lâĂ©volution de la valeur monĂ©taire, et constituera un fond rĂ©fĂ©rentiel dâĂ©mission de monnaie Ă destination exclusive du financement des ECPA. Ce fond ne pourra pas ĂȘtre convertible en nature, le but nâĂ©tant pas de transfĂ©rer par ce biais la propriĂ©tĂ© rĂ©fĂ©rentielle de leurs propriĂ©taires Ă des choix de lâĂ©metteur de monnaie sera lâensemble des banques de deuxiĂšme rang qui sâassureront la disponibilitĂ© de liquiditĂ© auprĂšs de la banque centrale, et disposeront du crĂ©dit des dĂ©pĂŽts versĂ©s Ă titre de rĂ©munĂ©ration aux participants aux effectuera le versement des rĂ©munĂ©rations ?Le trĂ©sor public, par lâintermĂ©diaire de la banque centrale, aprĂšs avoir Ă©mis de la monnaie en utilisant ou non lâĂ©mission de bons du trĂ©sor correspondant Ă lâusage estimĂ© du fond de rĂ©fĂ©rence du ECPA, pour se refinancer. Naturellement, il sâagit dâune possibilitĂ©, et chacun peut avoir Ă lâidĂ©e dâautres soulignĂ© prĂ©cĂ©demment quâil pouvait ĂȘtre effectuĂ© un transfert des charges des entreprises vers les ?Chaque fois que des adultes sâinscrirons dans un ECPA, le montant des cotisations sociales issu de ses ressources versĂ©es aux organismes de sĂ©curitĂ© sociale, viendra rĂ©duire le taux des cotisations des employeurs, cela sans affecter les comptes de la sĂ©curitĂ© sociale, suivant des modalitĂ©s fixĂ©es par les acteurs exemple, supposons que 25 millions dâadultes suivent un ECPA Ă mi-temps sur la base du SMIC est au 29 06 2001 Ă 1126,32 Euros 7388,68 f mensuel hors charge nous donnerait un revenu Ă mi-temps pour lâECPA de 563,16 Euros 3694,34 f incluant les cotisations ne retiens arbitrairement pour simplification du raisonnement que les cotisations suivantes, sans tenir compte de lâ des retenues. Employeur. SalariĂ©. Taux globalAssurance maladie. % % %Assurance veuvage. A seulement. % au logement Fnal. chĂŽmage. de construction 0,45Formation professionnelle. de transport au logement. des cotisations % % %Ainsi, le montant total des cotisations sâĂ©lĂšvera Ă , 225,88 Euros 1481,81f mensuel, soit 39,20% de 563,16 Euros mensuel 3694,34 f.Sur une annĂ©e pour la population prise en hypothĂšse 25 millions dâhabitants, cela nous donne un montant global de cotisations de 66,2 milliards dâEuros 434,45 milliards de francs, soit 225,88 Euros 1481,18 F multipliĂ©s par 12 mois et 25 millions dâ au 23 07 2001, le montant des cotisations sociales Ă la charge des employeurs dans le partage de la valeur ajoutĂ©e Ă prix courant sâĂ©levait Ă 199,14 milliards dâEuros 1306,4 milliards de Frs.Ainsi, ce transfert possible reprĂ©sente une rĂ©duction de 33,25% des cotisations dâemployeurs, de quoi jouer sur les coĂ»ts sans mettre en danger le systĂšme de sĂ©curitĂ© sociale, qui augmentera du montant des cotisations de la contribution sociale gĂ©nĂ©ralisĂ©e, de celle du RDS, et autres incidences liĂ©es au fait, dâune part que le montant des ressources versĂ©es au titre des ECPA sera consommĂ© Ă hauteur de 152,89 milliards dâEuros 1003,01 milliards de francs dans lâhypothĂšse dâun idĂ©ologique 563,16 Euros 3694,34 F moins 9,5% de cotisations dĂ©jĂ versĂ©es, multipliĂ© par 12 mois, multipliĂ© par 25 millions dâ part ces ressources seront soumises Ă toutes les taxations en montant de ces ressources reprĂ©sente 11,9% du montant de la valeur ajoutĂ©e en francs courant au 23 07 2001, qui Ă©tait de 1288,20 milliards dâEuros 8450,6 milliards de francs.Ces ressources reprĂ©sentent aussi 20,8% de la rĂ©munĂ©ration des salariĂ©s dans le partage de la valeur ajoutĂ©e Ă la mĂȘme date, qui Ă©tait de 196,37 dâEuros 4811,9 milliards de francs.Les ECPA devront donc ĂȘtre considĂ©rĂ©s comme une activitĂ© rĂ©munĂ©rĂ©e en fonction de la durĂ©e du temps que chacun y comme jâai essayĂ© de le faire comprendre, il nây a en cela pas de vĂ©ritĂ©, et la dĂ©monstration que je viens de faire nâen est pas une, elle repose uniquement sur la rĂ©flexion conduite par le but que je poursuis, et sur le regard que poseront sur elles ceux qui la liront. Si bien que nâĂ©tant quâun outil, son usage peut ĂȘtre ou utile ou mortel, tout dĂ©pend si nous y rĂ©flĂ©chissons avec intelligence pour gĂ©rer lâabondance ou si nous nous contentons de nourrir notre boyau.⊠en utilisant une politique budgĂ©taire ou dâautresâŠDans les faits, il sâagit de mener une politique budgĂ©taire qui repose sur la rĂ©fĂ©rence Ă une valeur inconvertible, garantie par ce qui est indĂ©fectible, lâĂtat communautĂ©. Mais lâĂtat que jâĂ©voque, ce nâest pas le prĂ©sident ou lâexĂ©cutif, ou quelque chambre que ce soit, cela nâen est que la reprĂ©sentation. Ce qui est indĂ©fectible câest Vous, Nous, organisĂ©s en communautĂ© responsable rĂ©formable. Et sâil nây a pas de contre indication Ă ce que chacun vaque Ă ses intĂ©rĂȘts personnels, il y en a une quand lâintĂ©rĂȘt de quelques-uns dĂ©cide du sort de la communautĂ©. Ainsi, la politique budgĂ©taire nâest que le propre pouvoir financier de la communautĂ©, et sâil nây a pas de contre indication Ă ce que la communautĂ© fixe des orientations, et se donne les moyens dây arriver, il y en a une quand les reprĂ©sentants de la communautĂ© se prennent pour elle. Je ne fais que rappeler ce que tout le monde sait, mais le lire dans lâactivitĂ© sociopolitique » du quotidien demande une culture politique gestion de la citĂ© chez les grecs autre quâun positionnement essayĂ© dâexpliquer la relativitĂ© de notre monde, il est plus facile de comprendre la dĂ©magogie des propos tel que lâĂtat doit ĂȘtre gĂ©rĂ© comme une entreprise », non que cela ne puisse se faire, mais seulement parce que lâentreprise nâest pas une organisation dĂ©mocratique, que son but affichĂ© est de faire des profits, et quâelle nâest pas une garantie indĂ©fectible, car elle ne reprĂ©sente pas la systĂšme de comptabilitĂ© nâest pas non plus la reprĂ©sentation de la sociĂ©tĂ©, il compte son activitĂ©, il la mesure, il sert dâindicateur, il sert Ă sâordonner, et la communautĂ© nâest pas tenue de le suivre sâil lâasservit, car câest elle qui lâa créé pour sâen servir, pour ĂȘtre une voie jalonnĂ©e et non en ĂȘtre captif. Et si nous y voyons un paradoxe, car il y en a un, entre des particuliers qui doivent suivre un plan comptable et une communautĂ© qui peut y contrevenir, ce paradoxe nâest quâapparent. En effet, la communautĂ© peut entreprendre des projets qui sont hors de portĂ©e dâun particulier, sâen donner les moyens, inciter les particuliers Ă lâinitiative, et mener des politiques dĂ©ficitaires. Je pense que lâon peut facilement comprendre quâune entreprise peut ĂȘtre liquidĂ©e, mais en rĂ©publique lâĂtat ne peut pas ĂȘtre liquidĂ©. Mais, chacun se souvient que les seigneurs, les monarques, les empereurs sâachetaient ou sĂ©changeaient des territoires. Ce dĂ©sir lĂ nâa toujours pas quittĂ© les hommes lâesprit colonisateur et il ne serait pas amusant quâun matin un prĂ©sident de la rĂ©publique annonce quâil a liquidĂ© lâactif, parce que quelques mĂ©galomanes rĂȘveraient par lâintermĂ©diaire dâun plan comptable de justifier quâils peuvent sâapproprier des territoires, parce quâils auraient Ă©tĂ© pris en rĂ©fĂ©rence pour Ă©mettre de la monnaie. Ainsi, un sentiment de communautĂ© ne peut pas reposer sur un indicateur comptable, or nous sommes dans cette dĂ©marche, je lâai dĂ©jĂ expliquĂ© en parlant de tout ce que nous dĂ©signons comme charges. Il est donc peut-ĂȘtre nĂ©cessaire de se trouver dâautres repĂšres pour comptabiliser notre activitĂ© Ă©conomique et notre dĂ©sir de jâai privilĂ©giĂ© le budget, cela ne veut pas dire que je serais contre le fait que les financiers veuillent investir dans le financement des ECPA. Mais câest seulement peut-ĂȘtre parce que jâai un prĂ©jugĂ©, et que je les soupçonne Ă tort dâĂȘtre incapables dâun investissement social, en nâoubliant pas ce que jâai indique, notamment que le social se traduit toujours Ă©conomiquement. Peut-ĂȘtre que câest Ă tort que je les crois compĂ©tents, lĂ oĂč il nây a que des Louis XV qui se disent que lorsque le systĂšme se rĂ©formera, ils ne seront plus lĂ depuis chambre » un peu, mais plus sĂ©rieusement, un investissement dans les ECPA de leur part reviendrait Ă sâassurer une durabilitĂ© dâun systĂšme libĂ©ral qui nâa pas que des dĂ©fauts, sauf Ă ne pas vouloir comprendre quâil y a un seuil ou la richesse ne sert Ă rien, si elle na pas une utilitĂ© communautaire, hormis satisfaire son ego. Cela, dâautant plus que la communautĂ© a le pouvoir de dessaisir tout particulier de sa richesse, mais ce nâest pas tant cela qui est important. Câest surtout, que lâĂ©volution de notre civilisation sâest construite sur la technologie. Cette technologie se manifeste aujourdâhui par la puissance de cerveaux qui ne sont pas les nĂŽtres, les ordinateurs, et il y a un danger Ă leur confier notre existence, si leur puissance ne peut-ĂȘtre comprise de ceux qui y sont soumis, si le moindre incident les pousse Ă la panique et Ă la paranoĂŻa, si les hommes ne peuvent pas comprendre leur destin au moyen de leur Etre sensible. Ceci nâest pas en contradiction avec le fait que toute notre activitĂ© sociale ou/et notre univers puissent ĂȘtre traduis en langage mathĂ©matique. Il ne faut pas se mĂ©prendre entre les mathĂ©matiques qui tentent de dĂ©finir ce que nous sommes, et qui sont dâune utilisation scientifique, et celles qui comptabilisent notre organisation sociale culturelle qui ne sont que le reflet de cette activitĂ©, et par-lĂ mĂȘme sont relatives, comme les valeurs que nous dĂ©finissons en avons lâexemple quand il suffit de dire aux hommes quâils manquent de lâargent, pour voir aussitĂŽt tout le monde stocker, se jeter dans des valeurs refuges, alors quâils ont tout Ă leur disposition, la matiĂšre premiĂšre, la technologie, leur capacitĂ© de travail, et quâils ne risquent rien, quâils ne manquent ni de nourriture, ni de quoi se vĂȘtir, ni de quoi sâabriter, ni de la capacitĂ© dâĂ©mettre de la au seul cri de il manque de lâargent » tous croient que ce quâils ont nâexiste plus. Câest cela la paranoĂŻa ; se croire menacĂ© par un danger imaginaire, ce qui est le cas avec la monnaie qui nâest quâun systĂšme fictif, systĂšme fictif sur lequel la communautĂ© a tout pouvoir. Tout pouvoir parce que nous disposons des moyens de suivre efficacement notre activitĂ© micro Ă©conomique grĂące Ă notre je ne vois vraiment pas pourquoi les hommes sâaffoleraient parce que quelques rentiers vont ĂȘtre ruinĂ©s, dâautant plus que ces rentiers ne perdent rien, puisquâils leur restent leur force de travail, ce qui nâest pas le cas de tous handicapĂ©s.Il en est de mĂȘme pour les entreprises, pour lesquelles leur garantie rĂ©side dans la demande de leurs productions, et non pas dans leur force de travail, comme pour les bien que la monnaie qui disparaĂźt du marchĂ© financier peut ĂȘtre aussitĂŽt remplacĂ©e. Ceci en ayant recours Ă lâescompte ou autre, Ă des relations de confiance. Le seul risque qui subsiste est pour les entreprises qui vivent de la consommation des rentiers. De toute maniĂšre ce nâest pas parce que quelques bulles financiĂšres Ă©clatent, parce que des rentiers vont se remplacer, parce que le rĂȘve de tous dâĂȘtre riches sâĂ©croule, quâil faut confiance lĂ ce nâest pas un particulier qui peut nous la donner, car cette confiance se trouve dans lâintelligence » de la communautĂ©, et cela, il nây a que la communautĂ© qui peut lâapporter, mais encore faut-il que ses acteurs en prennent conscience, car la communautĂ© sera Ă la hauteur de leur aptitude et connaissance lâaura compris, je faisais bien Ă©videmment allusion Ă la bourse, et je peux tout de mĂȘme dire que nous sommes dans ces situations, au comble de la dĂ©bilitĂ©, mourir dâangoisse quand nous avons tout Ă notre disposition. Un comble de dĂ©bilitĂ© qui autorise les plus intelligents Ă se sĂ©parer de ceux qui ne sont pas capable dâassumer leur responsabilitĂ© de chaque individu est libre de prendre les risques quâil veut avec son argent, cette libertĂ© peut sâexercer tant quâil nâaltĂšre pas lâexistence dâautrui. Cela, au nom mĂȘme de la fameuse loi naturelle » qui dit que chacun peut faire ce quâil veut pourvu quâil ne mette pas en danger quoi, avec la dialectique comme je lâai dĂ©jĂ expliquĂ©, on peut faire des miracles. Si jâavais parlĂ©, en abordant le cas de la SociĂ©tĂ© Anonyme, de la dilution de la responsabilitĂ© des dirigeants, câĂ©tait pour mentionner la responsabilitĂ© quâa la communautĂ© de prĂ©lever sur ceux qui sont en droit de jouer avec les risques, un pourcentage de leur revenu afin de couvrir les risques qu'ils engendrent, et quâils font courir Ă cette mĂȘme communautĂ© dont ils tirent leurs jâai déçu en nâayant pas trouvĂ© le financement miracle nous permettant de nous Ă©panouir en jouissant seulement de la vie, ce nâest pas parce quâil nâexiste pas, câest parce que nous nâavons pas encore su couper le cordon ombilical qui nous relie Ă lâhomme prĂ©historique. De plus nous nous sommes barbarisĂ©s » comme nulle autre espĂšce ne lâa fait, y compris nos ancĂȘtres que nous qualifions de sauvage. Nous disposons des moyens de notre Ă©volution harmonieuse, il suffit de les dĂ©velopper lĂ oĂč il se trouve, dans notre ?En apprenant tous les souvenirs » que nous avons inscrits dans nos livres », non pour y dĂ©couvrir la solution miracle, mais pour nourrir notre intelligence dâoĂč elle Ă©mergera. Cela en interrogeant avec notre ĂȘtre sensible, afin de ne pas croire que nous sommes savant parce que nous avons appris nos souvenirs, ne pas croire que nous sommes savant parce que nous savons comptabiliser notre existe certainement dans lâexpression de notre sensibilitĂ© qui sâĂ©chelonne de zĂ©ro Ă lâinfini beaucoup dâautres rĂ©fĂ©rences rĂ©gulatrices quâil nous appartient de dĂ©sirer impacts sur la production de richesse ?En lâespĂšce il sâagit dâenvisager les consĂ©quences de la sĂ©curitĂ© de ressources apportĂ©es par les ECPA, sur la production de richesse que constitue le type de consommation que nous elle est prĂ©sentĂ©e dans lâanalyse de GĂ©rard Mermet Francoscopie 2001 comme tendance Ă une consommation hĂ©doniste, aprĂšs une pĂ©riode de frustration qui est caractĂ©risĂ©e par la recherche du plaisir sensoriel, plutĂŽt quâintellectuel. Les dĂ©penses dâalimentation ont Ă©tĂ© divisĂ©es par deux en valeur relative depuis les annĂ©es 1960, ainsi que celles de lâhabillement, alors que les dĂ©penses de santĂ© ont doublĂ© en trente ans, que les dĂ©penses de loisirs reprĂ©sentent un cinquiĂšme du budget des mĂ©nages, et que le logement est le premier poste de autre caractĂ©ristique de notre mode de consommation est celle du crĂ©dit. Un mĂ©nage sur deux est endettĂ©, un mĂ©nage sur trois a recours au crĂ©dit Ă la consommation, poussĂ© par lâutilisation des cartes bancaires qui incitent Ă un crĂ©dit Ă court terme. Mais de nouveaux modes dâacquisition de biens se dĂ©veloppent, comme les systĂšmes de location vente, les vacances en temps partagĂ©s, lâachat dâoccasion pour pallier lâobsolescence de certains produits technologiques sans oublier les Français qui sâintĂ©ressent au troc, et frĂ©quentent de plus en plus les posĂ©, il est difficile sans une Ă©tude de prĂ©ciser quoi que ce soit dans ce domaine ;, NĂ©anmoins en conservant le schĂ©ma dâorigine oĂč 25 millions de personnes suivraient un ECPA Ă mi-temps, le temps consacrĂ© Ă cet enseignement viendrait remplacer dâautres occupations ou activitĂ©s. Suivant le taux de participation des groupes concernĂ©s les exclus, les parents au foyer, les actifs, les retraitĂ©s, la consommation de biens et de services sera diffĂ©rente, mais viendra renforcer la tendance actuelle Ă court terme, Ă lâexception du troc. Cependant, nous pouvons aussi imaginer quâune activitĂ© intellectuelle engendre un type de consommation qui en sera issu ? Tout comme une activitĂ© oisive et associative a entraĂźnĂ© une sĂ©lection de biens et de services ce qui concernerait une consommation des pays sous dĂ©veloppĂ©s ou en dĂ©veloppement, ayant besoin de presque tout, ce serait plutĂŽt lâoffre quâil faudrait orienter pour ne pas tomber dans des travers de la consommation ostentatoire, comme nous en connaissons de nombreux exemples dans les pays trop dâimagination, nous pouvons penser quâune plus grande consommation de biens et de services, compte tenu de notre production polluante, va nĂ©cessiter une plus grande coordination internationale, et conduira Ă forcer le libĂ©ralisme Ă©conomique Ă sâorganiser, non plus comme force de vente et de production de nâimporte quoi nâimporte comment, mais dâacquĂ©rir une dimension politique » autre que celle de soumettre les Ătats Ă ses appĂ©tits financiers, ceci sans tomber dans une planification doctrinaire. En cela je ne fais pas allusion Ă ce qui ce fait actuellement, car ce type de relations existe dĂ©jĂ . Je vise un libĂ©ralisme qui se situerait dans une sociĂ©tĂ© ou une communautĂ© qui aurait pris conscience de son espĂšce, comme je mâen suis expliquĂ©. Nous pouvons espĂ©rer alors que ce soit le dĂ©veloppement de lâintelligence qui devienne un signe extĂ©rieur de richesse pour tous, plutĂŽt que de demeurer la possession dâune Ă©lite, dont certains vendent de la mĂ©diocritĂ© aux autres, parce ces derniers se reconnaissent dans leur propre misĂšre nos entrepreneurs Ă©conomiques qui forment pour la plupart lâĂ©lite de nos sociĂ©tĂ©s sont tout Ă fait aptes Ă sâassocier Ă de grands desseins, pourvu que la sociĂ©tĂ© les fixes. Et avoir critiquĂ© leurs excĂšs ou celui du systĂšme libĂ©ral nâest pas nier leurs compĂ©tences, ni leurs efficacitĂ©s. En consĂ©quence leur fixer un objectif de transfert de source de richesse avec leur participation, serait une tĂąche dont-il pourraient parfaitement sâ parce quâenvisager de dĂ©velopper un enseignement pour adulte tout au long de lâexistence, modifierait la vie de chaque village et ville et rĂ©organiserait les besoins et services dont ils sont aussi les maĂźtres dâ motivations incitatrices doivent ĂȘtre dĂ©veloppĂ©es ?75 â De lâhomme ĂȘtre communicant, Ă lâhomme utopique, un mot que la connaissance a banalisĂ© pour quâil vive lâhomme ĂȘtre communicantâŠJâai beaucoup insistĂ© en mettant lâaccent sur la nĂ©cessitĂ© de la communication, parce que lâHomme est un Ătre communicant de fait, comme toute espĂšce vivante entrant en interrelation avec son environnement suivant, ses propres moyens de communication, ses sens. Nous exerçons sur ces sens qui nous relient au monde sensible, une certaine maĂźtrise nous conduisant Ă notre monde culturel ». Lâusage le plus communĂ©ment connu, comme moyen de communication, Ă©tant le le tout nâest pas de savoir communiquer, encore faut-il avoir quelque chose Ă communiquer. Jâai donc essayĂ© de vous communiquer, bien ou mal, lâidĂ©e que je me fais de notre monde, et cela pour vous convaincre de la nĂ©cessitĂ© dâapprendre tout au long de lâexistence en lâassujettissant Ă lâappĂąt sociĂ©tal» par excellence, lâ nâest donc pas cette motivation lĂ que je vais puisque jâai parlĂ© de communication, quâil soit clair que par cet essai je ne communique pas, puisque je ne suis en relation personnelle avec aucun des lecteurs, je nâai donc aucun Ă©change relationnel, je nâutilise quâune des formes de la communication, une forme tronquĂ©e, une forme restreinte. Le seul impact rĂ©el de mon essai sera celui de tout Ă©crit, câest Ă dire donner une information argumentĂ©e pour atteindre lâimaginaire du que je ne pourrai pas influencer ni par la dialectique ni par la rhĂ©torique, mais seulement par le poids des mots assemblĂ©s nus, des morphĂšmes lexicalisĂ©s. De ce fait, vous ne pourrez pas avoir accĂšs Ă mon affect, et celui que vous ressentirez ne sera que le nây a donc pas communication, je vous Ă©cris seulement. Le seul intĂ©rĂȘt de mon essai est quâil peut ĂȘtre lu par beaucoup de personnes, personnes que je ne rencontrerai certainement jamais, et quâil peut ĂȘtre diffusĂ© au mĂȘme titre que la parole ou les seules personnes avec lesquelles jâai communiquĂ© durant lâĂ©laboration de cet ouvrage sont celles qui mâont aidĂ© Ă le rĂ©aliser, celles avec lesquelles jâen ai discutĂ©, et dans cet ouvrage, il y a une portion de chacune dâelles, parce que nous Ă©tions en relation personnelle, et que dans ce cas nous communiquions avec notre affect autour dâune raison, dâun pouvant rĂ©aliser cela avec le lecteur, jâai le choix entre vanter mon ouvrage comme un produit de commercialisation, ou vous laisser trouver les motivations qui pourraient vous sĂ©duire, comme si vous pouviez percevoir mon affect derriĂšre le sens cachĂ© des mots. Câest cette option que jâai choisie autour dâun mot symbolique lâUTOPIE.âŠĂ lâhomme UtopiqueâŠLâutopie pour la plupart dâentre nous relĂšve du rĂȘve, mais du rĂȘve non accessible Ă la au fait ?De quelle rĂ©alitĂ© parlons-nous ? La nĂŽtre celle de nos dĂ©sirs personnels de lâimage que nous avons de notre existence, ou la rĂ©alitĂ© qui inclut les autres ?Pourtant dans lâun ou dans lâautre cas, il nous faudra des Ă©lĂ©ments de mesure », il nous faudra comparer, Ă©valuer, mais comment faire si nous nâavons rien appris. Dans ces cas lĂ , nous Ă©coutons ce qui se dit, sâĂ©crit, tout ce qui se fige dans le temps, par des lĂ©gendes, des maximes, des usages, des habitudes, et dans tout cela nous prenons ce qui nous convient, pour vivre notre ce quotidien ce nâest pas rien, il est mĂȘme Tout. Alors, en lâobservant, ce que nous ne faisons pas la plupart du temps, nous verrons que nous Ă©changeons un grand nombre dâinformations, mais que nous nâavons que trĂšs peu de communication relationnelle, faute de temps et Ă cause du nombre qui fait que la masse dilue et absorbe les individualitĂ©s, au point dâempĂȘcher toute relation inter de bien nouveau, de tout temps il en a Ă©tĂ© ainsi, du moins dans le monde contemporain. Pourtant les hommes en ayant sous leurs yeux le monde sensible avec un but Ă leur communication, la procrĂ©ation, ne sâen sont pas contentĂ©s, et, concomitamment certainement, ils ont dĂ©veloppĂ© deux mondes, le monde physique et le monde Utopique. Le monde physique, celui de tous les instruments que nous avons rĂ©alisĂ©, et celui de la pensĂ©e abstraite, notre imaginaire, que je qualifie volontairement dâutopique. NĂ©anmoins, aucun des deux nâest sĂ©parĂ© de lâautre, car tous les deux sont le produit de la pensĂ©e symbolique[190]. Au-delĂ du fait dâĂȘtre interdĂ©pendants, ils sâentrechoquent ou sâassocient sous la baguette de notre pensĂ©e. Jây je qualifie notre imaginaire dâutopie ?Simplement pour banaliser le mot utopie », comme dâautres ont banalisĂ© le mot charges », afin quâil ne nous fasse plus peur, quâil ne nous fasse plus peur pour le but que je poursuis, celui de vous expliquer quâil nây a pas dâutopie ne suffit pas pour autant de penser Ă son dĂ©sir pour quâil se rĂ©alise. Tout dĂ©pendra du niveau oĂč il se situe, en fonction des moyens qui sont les nĂŽtres si nous voulons seul changer le monde, quelle que soit lâidĂ©e Ă©mise, il nous faudra la sortir de notre pensĂ©e, la communiquer, pourtant ce ne sera pas suffisant ; il faudra quâelle soit diffusĂ©e ; il faudra quâelle reprĂ©sente aussi un attrait pour ĂȘtre partagĂ©e par dâautres sans les gĂȘner ; il faudra quâelle ne tombe pas dans lâoubli pour rĂ©sister au temps ; de telle maniĂšre que câest moins lâutopie en elle-mĂȘme qui est irrĂ©alisable que les conditions de son lâexemple choisi, les conditions de dĂ©veloppement de cette utopie vont dĂ©pendre de lâidĂ©e quâont les autres du monde rĂ©el » qui est le leur, non celui des penseurs » et des scientifiques, mais surtout celui de leur monde rĂ©el » au quotidien. De ce monde loin du raisonnement philosophique ou scientifique, ce monde rĂ©el » pragmatique qui est celui de lâexpĂ©rience humaine Ă©lĂ©mentaire, celui des simples exigences pour vivre, qui font que nous ne nous dĂ©partirons pas de ce qui nous donne des assurances pour un inconnu bien que nous utilisons le mot utopie pour qualifier une idĂ©e Ă©mise et ainsi masquer le manque dâaudace personnel pour se lancer dans une rĂ©alisation qui sort des rĂ©fĂ©rences dâun passĂ© normatif, dans lequel nous nous sommes installĂ©s. Cette utopie sert Ă combattre aussi bien une idĂ©e qui modifie les rapports envers les dominants, quâĂ permettre la dissuasion intĂ©ressĂ©e personnelle, celle dâidĂ©es mythiques, progressistes ou rĂ©trogressives », et qualifier toutes les demandes de ceux qui, vivant mal leur prĂ©sent, imaginent des mondes ce titre lĂ lâutopie devient un mot rĂ©actionnaire » qui entre en contradiction avec lâexpĂ©rience de notre rĂ©el ».LâexpĂ©rience de notre rĂ©el sâeffectue par la dĂ©termination dâobjectifs Ă partir dâune reprĂ©sentation du dĂ©sirable en valeurs relatives, qui systĂ©matiquement ordonnĂ©es, organisent une vision du monde qui apparaĂźt stable et vision du monde est une nĂ©cessitĂ© pour lui assurer une viabilitĂ© culturelle stable, mais est un frein lorsque la stabilitĂ© devient la permanence irrĂ©ductible dâune organisation dictionnaire de la sociologie donne un aperçu de diffĂ©rents types dâidĂ©es se qualifiant dâutopiques. Je vais reprendre le texte en entier.Lâutopie se propose de transformer, de façon plus ou moins radicale selon les cas, les structures et les valeurs sociales en vigueur. On peut qualifier dâutopique » des Ă©crits lâutopie de Thomas More, 1516, fut le premier dâune longue sĂ©rie, des pratiques celles de certains mouvements sociaux, des rĂȘves » toutes utopies non encore pratiquĂ©es, Ă©crites. On peut Ă©galement distinguer 1. Des utopies absolues » en contradiction avec lâexpĂ©rience humaine la plus Ă©lĂ©mentaire ; ce sont des mythes pays de cocagne, fontaine de jouvence, etc. ; 2. Des utopies relatives » projets sans prĂ©cĂ©dent historique mais de rĂ©alisation partielle ou totale lâOcĂ©ana de Francis Bacon, ou le programme du parti communiste » de Marx et Friedrich Engels ; 3. Des utopies nĂ©gatives pronostiquant des sociĂ©tĂ©s oĂč la technique la plus perfectionnĂ©e est mise au service dâun projet dâasservissement a opposĂ© une sociĂ©tĂ© ouverte, libĂ©rale, dĂ©mocratique Karl Raymond Popper. Marx et Engels ont distinguĂ© socialisme utopique » les prĂ©-marxistes et socialisme scientifique ». K. Mannheim 1929 a mis en parallĂšle idĂ©ologie conservatrice des classes supĂ©rieures et utopie progressiste des classes subalternes ; il a aussi dĂ©signĂ© une intelligentsia sans attaches » comme la couche sociale apte Ă produire des utopies.[191]On peut considĂ©rer que toute utopie critique le prĂ©sent au non dâun passĂ© archĂ©typique ou dâun principe censĂ©ment Ă©lĂ©mentaire, et en vue dâun avenir dĂ©clinĂ© sur le changement social valorisĂ© utopie progressive ou dĂ©noncĂ© utopie rĂ©trogressive.On appelle groupements volontaires utopiques ceux qui rĂ©pondent Ă ce modĂšle de fonctionnement sectes, ordres religieux, certain groupement politiques et syndicaux, certaines formes de communautĂ© et de coopĂ©ratisme, etc.Plus que tout autre membre de lâĂ©cole de Francfort, Herbert Marcuse 1964 a vu venir lâavenir ouvert Ă lâutopie dâune libĂ©ration humaine totale, une fois la technique mise au service dâun projet humaniste. Il devait, en 1968, dĂ©crĂ©ter pourtant la fin de lâutopie ». Aujourdâhui, dans les Ă©crits de JĂŒrgen Habermas, la communication » joue le rĂŽle de lâutopie ».Ces quelques lignes donnent un aperçu des diverses idĂ©es qui ont Ă©tĂ© ou sont qualifiĂ©s dâutopiques, et Ă leurs lectures, il est difficile de dĂ©finir dans notre existence ce qui ne relĂšve pas de lâ apparaĂźt donc que nous brandissons de tout temps ce mot utopie comme un Ă©pouvantail de dissuasion, pour se prĂ©server de toute perturbation venant bousculer notre tranquillitĂ© quotidienne. Et, dans le mĂȘme temps, il a qualifiĂ© toutes les Ă©tapes de lâĂ©volution de nos sociĂ©tĂ©s, et bien des inventions, cela au prix dâun grand nombre de vie.⊠un mot que la connaissance a banalisĂ©âŠAujourdâhui, pour moi ce mot a perdu son sens projet dont la conception, la rĂ©alisation est impossible, imaginaire, il est devenu obsolĂšte, nous pouvons Ă la rigueur lâutiliser par habitude pour signifier que nous remettons Ă plus tard une rĂ©alisation, ou que nous refusons tout simplement de la rĂ©aliser parce quâelle nous dĂ©range, ou parce que nous nâavons pas les moyens de la mĂ©canique quantique nous a fait entrer dans un monde oĂč il sera possible de tout assembler, sous rĂ©serve dâen avoir la clĂ©, ce qui nous manque aujourdâhui. De la mĂȘme maniĂšre nous avons un cerveau qui peut tout assembler, et il nous manque aussi la clĂ©, si jâose une mĂ©taphore la clĂ© dâharmonie », comment la raison peut prendre le pas sur lâinnĂ©, tout en remplissant le rĂŽle de lâinnĂ© qui est de garantir la survie de lâespĂšce et son Ă©volution, ceci sans manipulation de lâinnĂ©e gĂ©nĂ©tique de sauvegarde. Comment prendre le pas sur le cerveau primitif sans lâaltĂ©rer ?La mĂ©canique quantique nous a ouvert les portes de la rĂ©volution informatique, et celles de la rĂ©volution bio molĂ©culaire ».Leurs associations nous permettent actuellement de ne plus concevoir comme utopique, la quĂȘte de la fontaine de jouvence, laquelle, sâil devait bien y avoir une imagerie Utopiste, reprĂ©senterait cette derniĂšre. Aujourdâhui nous pouvons espĂ©rer mourir ĂągĂ© comme de robustes vieillards », dâenvisager une civilisation planĂ©taire, dâimaginer des machines temporelles, dâaller habiter lâespace, et crĂ©er des ĂȘtres qui nâexistent pas[192]. Cela nâira pas sans soulever de nombreuses questions, dâĂ©thique ou de morale, ou de type de sociĂ©tĂ©, suivant les approches sociĂ©tale des uns et des point dĂ©cisif dans une dĂ©mocratie est quâun dĂ©bat ait lieu, mais un dĂ©bat de citoyens avertis, instruits de ces questions, un dĂ©bat Ă©clairĂ©, et tout naturellement cela ne dĂ©pendra que de ce que nous voudrons bien apprendre. Apprendre, car de simples informations sur de tels sujets ne peuvent suffire, et se limiter aux avis Ă©clairĂ©s des scientifiques est se dĂ©charger de ses y faire face je doute que lâĂ©conomie marchande, comme finalitĂ© en soi, soit suffisante. Si elle y a contribuĂ© en produisant les technologies nĂ©cessaires, elle exclut toutes les autres crĂ©ations de richesse en dehors dâelle, et maintient par la violence de ses rapports Ă©conomiques ce qui fonde nos craintes sur ces sujets. Toutefois, si nous regardons lâĂ©conomie marchande comme une Ă©tape sur une Ă©chelle de durĂ©e qui est celle de lâespĂšce, en millions dâannĂ©es, elle nâest plus quâun passage obligĂ© dâune acculturation culturalisĂ©e »,[193] qui engendrera une nouvelle Ă©tape. Cela, sans faire de lâapocalyptique, ce qui nâest quâune vue catastrophĂ©e de notre monde que je nâai pas. Aujourdâhui, nos connaissances scientifiques nous permettent dâaffirmer que tous les produits de base miniers sâĂ©puiseront[194]. Un jour il nây aura plus de pĂ©trole pour faire fonctionner des tracteurs, et il nây aura plus de mĂ©tal pour les fabriquer sur notre planĂšte, mĂȘme si nous organisons leur rĂ©cupĂ©ration car elle ne peut se faire Ă 100%. Dans 1000 ans 2000, 5000, je nâen sais rien, mais il nâest pas nĂ©cessaire dâĂȘtre scientifique pour comprendre, que lorsque lâon a bu le contenu de son verre il ne reste plus rien que cela se produise brutalement aujourdâhui ! Il nây aurait mĂȘme pas suffisamment dâanimaux de traits pour y supplĂ©er. Il y a ne serait-ce que 100 ans cette idĂ©e ne me serait pas venue Ă lâesprit, aujourdâhui elle est dans la tĂȘte de beaucoup gens lucides qui savent que notre avenir repose sur la recherche Ă conserver une organisation mercantile comme la nĂŽtre, basĂ©e uniquement sur lâindividualisme Ă©goĂŻste, voire ostentatoire, dont la finalitĂ© est de faire de lâargent avec tout ce qui est bon Ă vendre, il faut que les chercheurs se dĂ©pĂȘchent dans leurs travaux, car dans quelques siĂšcles, ils nâauront mĂȘme plus de matĂ©riaux pour construire leurs instruments, et le monde dâInternet sans ses supports se ramĂšnera Ă jouer du tam-tam. Cela, parce que nous nâaurons pas su gĂ©rer » lâinstrument le plus perfectionnĂ© que nous connaissons, notre je suis dans lâimagerie, nous pouvons sourire un peu. Imaginez la tĂȘte que feraient ceux qui, fort de leur argent, se sont fait marxistes » dans lâespoir dâun monde meilleur que celui quâils ont quittĂ©, et qui rĂ©apparaĂźtraient dans celui oĂč nous avons tout Ă©puisĂ©, et dans lequel il nous faille aller Ă cheval comme sous lâangle dont je viens de vous prĂ©senter le trĂšs long terme, la conquĂȘte spatiale nâest plus une utopie, ni celle de vouloir organiser notre activitĂ© productrice sous dâautres rapports que ceux du libĂ©ralisme Ă©conomique actuel.⊠pour vivre dĂ©jĂ dit que notre monde Ă©tait celui de notre regard. Si nous ne le regardons donc quâavec notre ventre, nous pouvons parfaitement nous passer de notre cerveau intelligent, les animaux sâen sortent trĂšs bien comme qui serait regrettable, câest quâaprĂšs que notre cerveau nous ait permis de vivre debout, nous dussions revenir Ă quatre ressources, Ă la mesure dâune vie humaine un individu paraissent inĂ©puisables. A la mesure dâun milliard et demi de consommateur cela semble moins Ă©vident ; Ă celle de six milliards lâĂ©ventualitĂ© devient plus probable ; Ă environ plus de dix milliards en 2070, cela se prĂ©cise, lâĂ©chelle dâune vie humaine, on ne perçoit que soi, câest lâindividualisme, la conscience de soi, on nâentrevoie que un milliard et demi, câest la conscience de soi dans une communautĂ©, Ă six milliards et plus, câest la conscience de soi dans lâ six milliards et plus, câest avoir conscience de lâexistence de un six milliardiĂšme dâune conscience de soi, que nous ne rencontrerons peut-ĂȘtre jamais, et qui interfĂšre dans notre propre existence de maniĂšre infinitĂ©simale effet papillon, de sorte que nous en ignorerons ses effets, car notre ventre » ne peut pas le savoir, mais notre intelligence qui le supplĂ©ait peut le â Il y a un axiome Ă rĂ©viser pour un mode meilleur qui appartient Ă la y a un axiome Ă rĂ©viserâŠCe que notre intelligence devra comprendre Ă©galement ce sont les dangers de lâaxiome libĂ©ral fondateur de notre Ă©conomie.Chaque individu met sans cesse tous ses efforts Ă chercher, pour tout le capital dont il peut disposer, lâemploi le plus avantageux il est bien vrai que câest son propre bĂ©nĂ©fice quâil a en vue, et non celui de la sociĂ©tĂ© ; mais les soins, quâil se donne pour trouver son avantage personnel, le conduisent naturellement, ou plutĂŽt nĂ©cessairement, Ă prĂ©fĂ©rer prĂ©cisĂ©ment ce genre dâemploi mĂȘme qui se trouve ĂȘtre le plus avantageux Ă la sociĂ©té⊠», A la vĂ©ritĂ©, son intention en gĂ©nĂ©ral nâest pas en cela de servir lâintĂ©rĂȘt public, et il ne sait mĂȘme pas jusquâĂ quel point il peut ĂȘtre utile Ă la sociĂ©tĂ©âŠ. », Il ne pense quâĂ son propre gain en cela, comme dans beaucoup dâautre cas, il est conduit par une main invisible Ă remplir une fin qui nâentre nullement dans ses intentions ; et ce nâest pas toujours ce quâil y a de plus mal pour la sociĂ©tĂ©, que cette fin nâentre pour rien dans ses intentions. Tout en ne cherchant que son intĂ©rĂȘt personnel, il travaille souvent dâune maniĂšre bien plus efficace pour lâintĂ©rĂȘt de la sociĂ©tĂ©, que sâil avait rĂ©ellement pour but dây travailler. » A. Smith, Recherche sur la nature et les causes de la richesse des nations.Adam Smith est naturellement pardonnable, Ă son siĂšcle tout devait ĂȘtre vu comme inĂ©puisable et non polluant. Mais les enfants de Smith le sont moins, car câest en toute connaissance de causes quâils continuent Ă agir en ce sens en pensant que lâintĂ©rĂȘt individuel concourt inĂ©vitablement Ă celui de la sociĂ©tĂ©, comme si câĂ©tait un bien de respirer du monoxyde de carbone, ne plus trouver dâeau potable, et ne rĂ©pondre Ă lâexclusion que par la nous avons dâautres moyens que ceux dont il disposait afin de mesurer notre activitĂ© polluante et incidente. Nous pouvons donc nous rendre compte que si cet axiome avait tout son sens Ă son Ă©poque, il ne lâa plus aujourdâhui, si nous le cantonnons au seul domaine de la production de biens, et continuons Ă nous y rĂ©fĂ©rer aveuglĂ©ment en ce sens. Câest dâune certaine maniĂšre aller au suicide Ă long terme, non parce quâil en est ainsi par une quelconque fatalitĂ© ou main invisible », mais seulement pour ĂȘtre restĂ© dans une utilisation Ă©triquĂ©e de notre intelligence, en rĂ©fĂ©rence Ă un passĂ© qui nâest revanche je modifierai un peu cet axiome de la maniĂšre suivante chaque individu met ses efforts Ă chercher, pour tout son capital, dont il peut disposer, lâemploi le plus avantageux Ă dĂ©velopper son intelligence tout au long de son existence ; il est bien vrai que câest son propre bĂ©nĂ©fice quâil a en vue et non celui de la sociĂ©tĂ© ; mais les soins quâil se donne pour trouver son avantage personnel le conduisent naturellement Ă prĂ©fĂ©rer ce genre dâemploi mĂȘme, qui se trouve ĂȘtre le plus avantageux pour la sociĂ©tĂ©. »Allez ! Un clin dâĆil, certains ont tellement dâargent quâil leur faudra plusieurs vies pour lâutiliser Ă dĂ©velopper leur intelligence, mais comme jâai dit que nous rĂ©munĂ©rerions les hommes pour apprendre, peut-ĂȘtre iront-ils apprendre, mais je ne le crois pas car dans notre monde, câest lâĂ©paisseur du portefeuille qui confĂšre lâ Ă©galement dit quâun ĂȘtre qui ne reçoit rien de lâextĂ©rieur meurt, pareil pour une sociĂ©tĂ©, et il en est de mĂȘme pour notre monde. Si sâouvrir pour recevoir, est vivre jâentends prendre conscience de notre espĂšce, vers quoi lâespĂšce va donc pouvoir se retourner pour recevoir ?Vers ce que nous avons entrepris depuis dĂ©jĂ bien longtemps, vers le monde infinitĂ©simal, celui qui Ă©chappe Ă nos 10% dâintelligence[195], celui qui nous permettra peut-ĂȘtre de remplacer lâĂ©puisement des ressources miniĂšres et conserver le confort auquel nous ne voulons pas renoncer, que nous promettons aux autres, et qui sera peut-ĂȘtre le rĂ©gulateur de notre ne sera peut-ĂȘtre pas seulement de la matiĂšre comme celle Ă laquelle nous sommes habituĂ©s, mais quoi que ce soit, cela ne se fera pas sans nous, et ne dĂ©pendra que de nous. Si nous avons la charge dâinventer le monde de demain, il nâapparaĂźtra pas sur un Ă©cran de tĂ©lĂ©vision dans le billet gagnant dâun loto ou dans une priĂšre Ă un dieu. Il naĂźtra de notre intelligence, parce que nous ne consacrerons pas tout notre temps courbĂ© sur un mĂ©tier, en balade dans un super marchĂ©, suspendu devant un Ă©cran de tĂ©lĂ©vision en consacrant un peu de notre temps au dĂ©veloppement de notre intelligence, lĂ ou rĂ©side notre futur. âŠpour un monde meilleurâŠPour un monde meilleur ! Certainement pas, car je ne suis pas assez fou pour vous dire cela. Seulement parce quâil en va ainsi de lâĂ©volution dans un univers en mouvement, et quâen toute conscience nous pouvons lâaccompagner. Le monde meilleur il est dans notre tĂȘte, hier comme aujourdâhui et demain, je ne suis ni devin ni prophĂšte, je me suis contentĂ© de regarder comment nous vivions et dâen tirer une quand nous nous observons vivre nous savons que nous pouvons crĂ©er un monde meilleur, il nây a pour cela quâĂ se regarder quand nous rions.⊠qui appartient Ă la disais que la pensĂ©e symbolique regroupait le monde physique et le monde abstrait utopique qui sâentrechoquaient ou sâassociaient. Nous avons façonnĂ© des millions dâinstruments pour nous servir et nous identifier qui appartiennent au monde physique, nous avons Ă©galement façonnĂ© des instruments abstraits de mesures conventionnelles et dâĂ©chelles de valeurs dans le mĂȘme but. Pourtant, plus quâil ne le faudrait, les uns passent dans le domaine des autres, nous en arrivons Ă personnifier de la matiĂšre inerte, considĂ©rer nos instruments comme ayant une vie sensible par transfert, et pĂ©trifier», rendre inerte, intangibles des conventions abstraites qui relĂšvent de lâinterprĂ©table dont la caractĂ©ristique essentielle est dâĂȘtre mallĂ©able, transformable, modifiable, bref, Ă©volutive. Ceci nous conduit trop souvent Ă accorder plus dâimportance Ă un objet quâa une vie, et dans le mĂȘme temps nous figeons des conventions au point de les rendre immuables, mĂȘme quand elles coĂ»tent des vies, de maniĂšre que ce qui est inerte en devenant lâexpression dâune Ă©motion nous le rendons vivant, et les Ă©chelles de nos Ă©motions qui sont mallĂ©ables, mobiles, interchangeables nous les rendons inertes intangibles Ă lâimage de leurs reprĂ©sentations. De telle maniĂšre que nous finissons par vivre au rythme de lâinstrument plutĂŽt quâĂ celui de la bien sĂ»r ne dĂ©pend que de lâidĂ©e que nous nous faisons de nous mĂȘme au travers de lâapprentissage qui a Ă©tĂ© le nĂŽtre, car notre monde sâest construit sur cette confusion qui a dĂ©veloppĂ© bon nombre de superstition que nous voyons encore de nos jours. Pour nâen prendre quâune image, je prendrai celle dâun religieux bĂ©nissant un canon. Je ne discuterai pas cela, chacun dâentre nous tient de ce quâil est le fait dâavoir la reprĂ©sentation de son monde, comme moi je dĂ©veloppe la que, que ce soit lâautre ou moi, nous ne la tenons que pour telle quâelle nous a Ă©tĂ© â DĂ©couvrir le sens cachĂ© du vĂ©cu comme celui des le sens cachĂ© du vĂ©cuâŠAinsi, la vĂ©ritĂ© de chacun dâentre-nous ne nous est pas apparue spontanĂ©ment Ă la naissance, mais elle sâest construite, cela ne signifie pas quâil faille dans toutes les circonstances apporter la preuve de sa VĂ©ritĂ© ». Nous savons que de lâadolescence Ă la vieillesse, elle aura bien changĂ© dâaspect au fil de la comprĂ©hension du sens de notre vĂ©cu, mais elle demeurera notre vĂ©ritĂ©, car elle appartient au monde de lâinterprĂ©table. Câest Ă dire quâau travers de la comprĂ©hension du sens de notre vĂ©cu, nous pouvons en lâinterprĂ©tant y trouver un sens cachĂ©, car notre organisme perçoit tous les champs qui lâaffectent, et qui demeurent encore in interprĂ©tables » Ă notre sens qui afin de ne pas souffrir nous motive pour alterner entre lâĂ©goĂŻsme et lâaltruisme, lâassurance et lâaventure, la peur et lâaudace, les pleurs et le aussi Ă celui-ci que je fais appel chez vous pour que vous y trouviez une motivation rendant acceptable ou comprĂ©hensible mon regard sur le donc Ă chacun dâentre nous de savoir lire sa vĂ©ritĂ©, câest Ă chacun de lire sa vĂ©ritĂ© au-delĂ du sens vĂ©cu, non pas pour tomber exclusivement dans la VĂ©ritĂ© scientifique, mais pour y dĂ©couvrir les sens cachĂ©s que nous pouvons y dĂ©celer, aussi bien dans notre sens du vĂ©cu que dans celui cachĂ© du monde scientifique[196], comme je lâai fait en mâappuyant sur trois principes fondamentaux.⊠comme celui des reprochĂ© la VĂ©ritĂ© comptable de notre monde Ă©conomique, non parce que ce nâest pas notre expĂ©rience du vĂ©cu, mais parce que ce monde comptable se veut scientiste, et cela, parce que notre activitĂ© peut ĂȘtre traduite en langage mathĂ©matique. Le domaine des mathĂ©matiques ne dĂ©finira des vĂ©ritĂ©s expĂ©rimentales, que si elles peuvent ĂȘtre rĂ©futables faire lâobjet de vĂ©rifications expĂ©rimentales. Nos thĂ©ories Ă©conomiques ou monĂ©taires, bien que sâappuyant sur les mathĂ©matiques, sont irrĂ©futables en elles-mĂȘmes puis quâelles reposent sur une acceptation conventionnelle de valeurs relatives. Elles ne sont donc vrai que parce quâil y a une majoritĂ© de faits ou de forces pour les essayer de vous motiver pour accepter une modification de la vĂ©ritĂ© de votre vĂ©cu, nĂ©cessite que je vous demande de rechercher dans votre vĂ©ritĂ© son sens cachĂ©, celui qui se trouve au-delĂ de la seule reprĂ©sentation financiĂšre de nos pas le sens que tout le monde connaĂźt, câest Ă dire vouloir disposer de revenus pour jouir du produit des ressources matĂ©rielles ou intellectuelles sans participer Ă lâeffort de leur crĂ©ation ; mais le sens qui a fait, que des hommes se sont toujours manifestĂ©s pour envisager des mondes meilleurs, pour avoir des utopies. Celui qui fait, quâignorant de la source cachĂ©e de leur Ă©lan, ils ont fait Ă©voluer le monde culturalisĂ©, mĂȘme si câĂ©tait pour le tailler Ă leur existaient hier, ils existent aussi aujourdâhui, mĂȘme si je considĂšre quâil y en a de moins en moins dans le monde des adultes installĂ©s », qui ont dĂ» lutter pour modifier leur monde et, en parvenu, ils laissent le flambeau Ă dâautres. Je suis peut-ĂȘtre injuste, mais pour ce qui relĂšve encore de lâutopie câest vers les cadets quâil vaut mieux espĂ©rer. Pour ce faire, ils entreront en confrontation avec leurs aĂźnĂ©s qui leur expliqueront quâils leur ont construit et organisĂ© un monde comptable meilleur, dont ils auraient tort de se plaindre, dâune certaine maniĂšre ils leur passeront par succession leurs chaĂźnes. Tort de se plaindre car de leur temps câĂ©tait pire ; une maniĂšre de faire accepter un mode de vie comme irrĂ©versible, de la mĂȘme maniĂšre que nos ancĂȘtres ont dĂ» le dire Ă leurs enfants, comme nous le rĂ©pĂ©tons aux nĂŽtres, alors que tout notre passĂ© historique le dĂ©ment, sinon nous vivrions toujours comme lâhomme de Cro-Magnon. Câest vers une jeunesse plus instruite Ă la fois de littĂ©rature et de mathĂ©matique, de philosophie et de science, quâil faudra placer nos espoirs, mĂȘme si ce nâest pas une garantie en soi dans un monde de conditionnement trĂšs Ă©laborĂ©, car il leur faudra se crĂ©er des espaces de dĂ©bats et de rĂ©flexions, parce quâaujourdâhui leur parent » ne leur offre que des Entreprises, des distractions commerciales, des expĂ©dients de toutes sortes, et des prisons. Le comble en est que ces parents » se plaignent des images que vĂ©hiculent leurs enfants, alors que se sont eux qui les ont conçues, et sont incapables de reconnaĂźtre leur Ćuvre. Incapables de comprendre que la structure hiĂ©rarchique est un vĂ©hicule qui doit ĂȘtre Ă la mesure de ses nouveaux occupants, et non pas pour tailler le nouvel occupant seulement Ă la place de lâancien. De maniĂšre plus claire et idyllique, lâenfant doit ĂȘtre Ă©levĂ© pour le nouvel ĂȘtre quâil est, et lâenseignement hiĂ©rarchique quâil reçoit ne doit pas aboutir Ă fabriquer le clone » dont nous exprimons le besoin, mais lui apprendre Ă comprendre les dĂ©finitions de toutes les informations que nous avons traduites, pour quâil puisse associer les siennes ou en dĂ©finir de nouvelles, tant dans la nĂ©cessitĂ© que dans le rĂȘve. Et dans cet enseignement, les mathĂ©matiques sont devenues un langage Ă part entiĂšre qui nous permettent de quantifier toutes les informations que nous collectons, et si elles ne se suffisent pas Ă elles seules pour ĂȘtre qualifiĂ©es, elles doivent contenir un sens cachĂ©, car elles sont lâexpression dâune rigueur de notre esprit et de nos â Il importe dâĂ©largir son regard pour ne pas importe dâĂ©largir son conçois que jâaie lĂ une tĂąche difficile, celle dâessayer de vous motiver pour mon essai, car jâai aussi expliquĂ© que le bonheur, comme nous le concevions, nâexistait pas. Câest Ă dire que nous le concevons toujours dans un instant arrĂȘtĂ© » dans le cadre dâune situation qui se perpĂ©tuera, qui restera stable, et nous nous sentirons heureux dâautant plus que cette situation nous retire toute souffrance jâai dit que nous Ă©tions en perpĂ©tuel mouvement pour une fin mortelle, si bien que ma plaidoirie consisterait plus Ă vous pousser vers lâĂ©goĂŻsme de la recherche de tous les instants que nous jugeons de bonheur, cela sans se prĂ©occuper des autres, sauf si nous pouvons nous apercevoir ou concevoir que dans nos interrelations aussi infinitĂ©simales soient-elles, lâautre, lâĂ©tranger, lâinconnu peut ĂȘtre source de notre souffrance Ă©conomique, sâil en souffre lui-mĂȘme et cela mon point de vue limite lâaxiome de Smith qui ne va pas dans ce sens, restreignant le regard de lâhomme quâĂ lui-mĂȘme en postulant que lâhomme tout en cherchant que son intĂ©rĂȘt individuel, il travaille souvent dâune maniĂšre plus efficace pour la sociĂ©tĂ©, que sâil avait rĂ©ellement pour but dây travailler. » La partie qui en est contestable est Il travaille souvent dâune maniĂšre plus efficace pour la sociĂ©tĂ© ».Or, comme nos organisations Ă©conomiques reposent sur les conditions dâutilisation de la force de travail de tout un chacun, si elles dĂ©veloppent de la souffrance Ă©conomique », celle-ci en retour se rĂ©percutera sur ceux qui se sont installĂ©s dans leur bonheur. Ce bonheur qui repose sur un instant arrĂȘtĂ© », de telle maniĂšre que nous ne pouvons pas faire lâĂ©conomie dâun regard sur lâexistence des autres, des Ă©trangers, des inconnus, bref de lâespĂšce humaine, pour examiner lâincidence des structures que nous mettons en place dans la recherche de notre intĂ©rĂȘt cela notre organisation Ă©conomique basĂ©e sur la raretĂ© est un fabriquant de souffrance, par lâusage dâun instrument de mesure qui est le plan comptable », qui indique que notre existence est une souffrance charges pour une structure lâentreprise faite pour servir lâintĂ©rĂȘt personnel. Cette souffrance se rĂ©percutera inĂ©vitablement en retour sur notre intĂ©rĂȘt personnel.⊠pour ne pas en jâutilise le mot souffrance ?Notre finalitĂ© Ă©tant la mort, nous entrons dans un processus de construction dĂ©construction » maturation / vieillissement qui ne sâobserve quâau travers des souffrances quâil suscite. Dâun bout Ă lâautre de notre existence la souffrance est lâindicateur de cette derniĂšre, et notre bonheur ne dĂ©pend que de la fabrication dâun immunisant », que ce soit dans le monde de la pathologie, ou dans celui de la systĂ©mique sociale. Il nous faut donc constamment diffĂ©rencier la souffrance constructrice de celle destructrice, de telle maniĂšre que celle qui nous emportera vers la mort ne soit que le terme de la vie biologique. Pourtant si nous immunisons » notre souffrance, comment la conserver comme repĂšre ? De la mĂȘme maniĂšre que nous regardons si nous sommes beaux, en observant lâautre, lâĂ©tranger, lâinconnu, lâespĂšce. Notre existence ne dĂ©pend donc que des repĂšres que nous choisissons pour mesurer la souffrance constructive Ă conserver. Lâerreur Ă ne pas faire serait de se la cacher, par des processus ascĂ©tiques ou extatiquesMais comment la mesurer ?Par nos deux mondes, le monde abstrait ou utopique qui nous a conduit par exemple Ă considĂ©rer que la souffrance Ă©tait une Ă©tape pour accĂ©der Ă un monde meilleur, ou encore faire de la souffrance une RĂ©demption, et le monde physique qui nous a conduit vers la science pour nous permettre de considĂ©rer que la souffrance Ă©tait un indicateur de tout systĂšme, et dont sa disparition Ă©tait la base de nos motivations grĂące Ă la satisfaction de nos dĂ©sirs. Il est donc plus aisĂ© de comprendre pourquoi je ne remets pas en cause lâenvie dâĂȘtre riche et lâenvie de la propriĂ©tĂ© », parce quâil serait stupide pour supprimer une souffrance dâen crĂ©er dâ passons donc notre temps Ă supprimer la souffrance, et câest lĂ le sens cachĂ© de notre pourquoi vouloir la maintenir par un systĂšme Ă©conomique en dysharmonie » ?Les plus courageux pourront rĂ©pondre parce que jâai besoin dâun pauvre pour me sentir riche, jâai besoin dâun mort pour me sentir vivant, jâai besoin dâun con pour me sentir intelligent etc.». Ceci est la limite de notre intelligence actuelle. Pouvons-nous la changer ?Oui !Pour cela il nây a pas de remĂšdes miraculeux en dehors de notre propre cerveau. Celui-ci ne rĂ©gurgitera que le produit des donnĂ©es que nous avons accumulĂ©es en fonction du but que nous leur assignons. Si bien quâinventer, mettre un pied dans lâindĂ©finissable, est le produit du Hasard », non que le hasard existe en tant que tel, mais parce que dans la recherche dâun but, câest souvent un autre qui apparaĂźtra. Ceci parce que le hasard nâest que notre dĂ©finition dâune absence complĂšte dâinformations sur notre monde ou dans le cadre dâune recherche quelconque, et il nâapparaĂźtra donc que lâinterprĂ©tation du produit des Ă©lĂ©ments que lâon aura su telle maniĂšre que moins nous aurons emmagasinĂ© dâinformations, moins nous aurons de chance de trouver le but, plus nous serons conditionnĂ©s autour dâune VĂ©ritĂ©, moins il pourra nous le domaine du monde des sciences physiques cela nous paraĂźt actuellement une Ă©vidence mĂ©canique quantique. Une Ă©vidence que nous avons bien du mal Ă transposer dans celui de la pensĂ©e, dans cette pensĂ©e mĂȘme qui a Ă©laborĂ© cette Ă©vidence, pour en tirer un et je me rĂ©pĂšte notre cerveau est notre monde, et il nous appartient dâen prendre soin, de le cultiver, câest cela que je propose en sâinstruisant tout au long de lâ plus loin de vous en convaincre au-delĂ de notre minuscule et importante existence, dans celle plus grande quâest notre espĂšce, et comment nous risquons de nous suicider dans une confrontation de cultures bonheur serait-il introuvable ?Certainement pas, il est Ă lâintĂ©rieur de la tĂȘte de chacun dans son rapport avec les autres, mais non pas spontanĂ©ment. Il est interdĂ©pendant de notre monde physique, et de notre monde utopique, si bien que selon que nous le ferons dĂ©pendre de lâun ou de lâautre, nous en aurons des reprĂ©sentations diffĂ©rentes, et il nous apparaĂźtra plus ou moins lâimportance de la reprĂ©sentation instrumentale que je faisais observer, qui fait que nos productions contribuent au bonheur me paraĂźt une Ă©vidence, alors que ne faire dĂ©pendre notre bonheur que dâelles, sans discernement, est ?Dans 100 ans et plus il nây aura plus dâĂ©nergie fossile pĂ©trole. QuâĂ cela ne tienne, nos chercheurs planchent sur des Ă©nergies de remplacement Ă©nergie solaire, Ă©olienne, gĂ©othermique, cogĂ©nĂ©rative » association de plusieurs sources dâĂ©nergie, et celle de lâantimatiĂšre dont les plus optimistes espĂšrent en voir lâĂ©mergence vers 2100. A cette date lĂ nous serons plus de 10 milliards dâhabitants sur la planĂšte. Si nous en sommes encore Ă considĂ©rer que pour ĂȘtre heureux il faut ĂȘtre riche de biens ostentatoires, quâil faut seulement possĂ©der pour montrer son bonheur nous avons quelques soucis Ă avoir ; dâautant que dans le mĂȘme temps les ressources miniĂšres se rarĂ©fieront. Pour continuer jusqu'Ă lâexcĂšs, en lâabsence de toutes ressources miniĂšres, nous serait-il impossible alors de trouver le bonheur ?Bien sĂ»r que non, nous nous le crĂ©erions sur dâautres pourquoi lâidĂ©e de la rĂ©munĂ©ration du dĂ©veloppement de lâintelligence comme source de richesse vous ferait-elle peur ?79 â Notre avenir dĂ©pend de notre univers, et de la conquĂȘte de notre Notre avenir dĂ©pend de notre universâŠNous avons pris dĂ©finitivement conscience de la notion dâespĂšce humaine grĂące au progrĂšs technologique qui a mis un terme Ă la notion de race, quelles que soient les erreurs que nous ayons pu commettre, et tout ceci nâaurait pu lâĂȘtre sans moyens de science nous permet dâestimer Ă tort ou Ă raison que notre monde, Ă lâĂ©chelle des 10 000 ans Ă venir, subira un autre Ăąge glaciaire aprĂšs une courte pĂ©riode de rĂ©chauffement dans laquelle nous vivons, et je vais retenir celle-ci comme hypothĂšse de raisonnement bien quâil en existe dâ cycle peut ĂȘtre perturbĂ© par un rĂ©chauffement qui proviendrait au sein de notre galaxie, de lâexplosion dâune Super Nova » dans un rayon de quelques annĂ©es lumiĂšre de la terre, et qui bombarderait la planĂšte de rayons X mortels pour toute vie qui y serait soumise, ce nâest donc pas cette hypothĂšse que je vais retenir, mais celle de la glaciation[197]comme je lâai prĂ©cisĂ© plus vais dans cette perspective essayer dâexpliquer que lâutilisation de notre langage est le facteur dĂ©terminant pour dĂ©velopper nos facultĂ©s psychiques, qui sont, elles, aptes Ă supplĂ©er ou sâassocier Ă nos innovations dĂ©jĂ indiquĂ© que lâoccident avait une approche duale du monde en bien et mal, tandis que les Asiatiques en avaient une approche associative le Yin le lâillustrer, je prendrai lâexemple du monde mĂ©dical. Dans le nĂŽtre pour anesthĂ©sier au cours dâune opĂ©ration nous utilisons un produit synthĂ©tique issu de notre recherche sur les propriĂ©tĂ©s de la matiĂšre physique ou organique. Dans le mĂȘme but les Chinois utilisent pour le mĂȘme effet lâacupuncture issue de la connaissance empirique ancestrale accumulĂ©e sur le corps un cas nous risquons un choc post traumatique, et ceci nĂ©cessite une salle de rĂ©veil, alors que dans lâutilisation de lâacupuncture rien de tout cela, ils retirent les aiguilles. Mais, quelle que soit lâorigine de la performance de lâun ou de lâautre, le langage sert Ă rassurer le patient sur lâefficacitĂ© de lâintervention, avec dans le cas de lâacupuncture une confiance dans un processus qui sâappuie autant sur quelques vĂ©rifications scientifiques, que sur son impact psychosomatique, et chacun choisit le mot, le langage leur quotidien certains asiatiques utilisent la connaissance de leurs capacitĂ©s psychologiques comme hygiĂšne de vie, par exemple les Yogis, pendant que nous, de cette connaissance nous en avons fait une mĂ©decine curative psychologie, psychiatrie.Dans le cas de lâanesthĂ©sie pour un mĂȘme but, nous passons, par un procĂ©dĂ© fabriquĂ© », eux, ils pourraient se servir aussi bien dâune Ă©pine dâacacia, que dâune arĂȘte de se transmettent leurs techniques de lâutilisation du psychique, par lâapprentissage familial, monastique ou par caste, tandis que pour nous, elles sont une spĂ©cialitĂ© thĂ©rapeutique que dans notre passĂ© occidentalisĂ© nous avons disposĂ© dâune approche extrĂȘme-orientale ?Jetons un regard chez les Grecs. Dans lâAntiquitĂ© ces derniers connaissaient le langage de la lâart de la rhĂ©torique qui leur est bien connu, un grec Antiphon dâAthĂšnes, nommĂ© le guĂ©risseur, Ă©tait connu comme lâinventeur de lâart de lâapaisement », il Ă©tait reconnu comme guĂ©rissant les malades avec des mots par lâusage de la rhĂ©torique,[198]par le a gardĂ© lâOccident ?Dans lâĂ©coulement des ans, cette utilisation nous ne lâavons plus conservĂ©e que pour des incantations spirituelles ou celles dites sataniques », et relĂ©guĂ© certains autres de ses usages dans le monde du paranormal, jusquâĂ sa rĂ©apparition grĂące Ă la psychologie et Ă la psychanalyse la psychosomatique, ou lâ revanche cette capacitĂ© de se convaincre par le langage nous lâappelons par tous les noms que nous avons bien voulu lui donner dans lâart de communiquer ĂȘtre en relation. Suivant les circonstances nous le dĂ©signons comme, influence, conditionnement, persuasion, manipulation, priĂšre, mĂ©ditation, etc., ce qui met en Ă©vidence lâimpact de la parole sur le somatique via le pour un mĂȘme but, celui de vivre, nous utilisons le pouvoir de la parole, du langage, avec des approches diffĂ©rentes suivant lâobjectif visĂ©, parce que notre monde est aussi celui de la dĂ©finition que nous en donnons par les lâutilisons pour dĂ©finir aujourdâhui le langage spĂ©cifique du monde Ă finalitĂ© Ă©conomique qui fixe une valeur financiĂšre Ă toute chose, et qui ne dĂ©finit aucune valeur intrinsĂšque de la valeur dâusage dâun produit, et sert essentiellement Ă Ă©tablir une sĂ©lection, une sorte de file dâattente, pour lâacquisition du dit produit par la monnaie, laquelle organisera sa propre production et la lâutilisons aussi pour dĂ©finir celui du monde psychique, pour persuader un pauvre quâil est riche parce quâil nâa rien, ou un riche quâil est pauvre parce quâil a pouvoir du langage dont nous ignorons les limites sur notre psychique, a vĂ©hiculĂ© le monde passĂ© en donnant aussi bien la sagesse chinoise[199] avec ses restrictions, que le dualisme Occidental avec ses dĂ©couvertes scientifiques, et porte le monde futur par sa capacitĂ© de conviction. Il faut tout de mĂȘme constater que lâart de lâapaisement », quâil soit prĂŽnĂ© par des Ă©crits religieux, des convictions politiques, des considĂ©rations humanitaires, ne tient pas la distance devant lâart de la confrontation ».Cela, tout simplement, pour rester dans lâexemple, parce que nous pouvons tirer un profit de la production dâanesthĂ©siques, peu de la production dâaiguilles, et aucun de la production du langage. De telle maniĂšre que dans le cadre dâune activitĂ© Ă©conomique nous serons peu enclins Ă dĂ©velopper une technique qui ne se concrĂ©tise pas par la consommation dâun bien ne vois pas un industriel construire une usine » pour produire des mots », par contre nous savons utiliser le langage pour vendre un produit Ă qui nâen Ă pas besoin, et lĂ ils construisent des usine » Ă faire des mots », les centres de formations de la force de vente ; cette mĂ©taphore, qui met en exergue notre savoir-faire sĂ©lectif, atteste du pouvoir du dĂ©celer lequel des usages du pouvoir du langage sera le plus Ă mĂȘme dâassurer notre futur ?PosĂ© comme cela ma question suscite un choix, mais je ne suis pas obligĂ© dâopposer lâune et lâautre, rien ne mâoblige Ă considĂ©rer quâun usage est supĂ©rieur Ă lâautre, sauf ma reviens Ă lâexemple des anesthĂ©siants, si la parole qui me conduit Ă considĂ©rer que par intĂ©rĂȘt individuel pour ĂȘtre riche je dois vendre un produit, jâessaierai pour nâenrichir de vendre un procĂ©dĂ© anesthĂ©siant issu dâune production Ă ceux qui nâen ont pas besoin, ne serait-ce tout simplement pour maintenir les emplois quâils gĂ©nĂšrent, qui sont eux-mĂȘmes source de je peux soigner avec des mots, je le rejetterai, car si je ne peux pas expliquer comment jây parviens cela est inquiĂ©tant et sâapparente Ă un Ă©sotĂ©risme qui suscite lâ une mĂ©dication est rassurante mĂȘme si ce nâest quâun placebo, il est issu dâune production pharmaceutique rassurante, qui a connu un essor presque idyllique aprĂšs la deuxiĂšme guerre mondiale, et il est estampillĂ© du sceau de la science, il donne dans le cas du placebo nous utilisons volontairement une duperie, celle qui consiste Ă miser sur la confiance dans une culture mĂ©dicamenteuse pour gĂ©nĂ©rer un effet ne veux pas par cet exemple mettre en opposition deux techniques, mais souligner leur complĂ©mentaritĂ© qui tourne autour de lâimportance du langage, mĂȘme sâil doit passer par une reprĂ©sentation physique, qui peut ĂȘtre dans lâexemple du placebo, supprimĂ©e. Ce langage qui conditionne notre existence et lâusage que nous faisons de toute chose, met en exergue lâEtre psychique que nous sommes, fort ou fragile suivant les connaissances culturelles que nous aurons acquises au travers de sa nous faudra donc dans lâavenir avoir une idĂ©e du futur lointain, celui oĂč nos ressources miniĂšres se rarĂ©fieront. Cest lĂ que je voulais en venir, quand il ne restera que notre psychique pour faire face au nouvel Ăąge nous faudra-t-il de nouveau avoir peur de souffrir, pour faire la redĂ©couverte de nos capacitĂ©s psychiques, et revenir Ă la rhĂ©torique et Ă lâart de lâapaisement ?Ces capacitĂ©s psychiques que les scientifiques cernent de mieux en mieux, qui nous permettrons de rĂ©parer les cellules » et peut-ĂȘtre de comprendre les mĂ©canismes qui nous permettrons de rĂ©aliser des prouesses Ă©gales Ă celles des yogis, si nous savons utiliser les mots qui lĂ notre espĂšce ne bĂ©nĂ©ficiera que de ce que nous aurons su bĂątir, que ce soit dans le monde physique ou dans le monde psychique. Mais câest lĂ une tĂąche qui demande dâautres perspectives que celles Ă court terme que nous vĂ©hiculons. Il y a les hommes pour le faire, sauf que le monde mĂ©diatique ne leur laisse guĂšre de temps dâĂ©coute ; et puis cela nous arrange tellement de ne pas regarder au-delĂ de notre propre lâinstant lâOccident parie sur le monde physique grĂące Ă la puissance de la recherche scientifique qui nous permet dâenvisager dâaller coloniser la planĂšte Mars si nous parvenons Ă y diriger une comĂšte les comĂštes qui sont de gigantesques icebergs, afin dây crĂ©er un monde viable pour notre espĂšce, ou dâautres formules. Il y a tout de mĂȘme une difficultĂ© dans ce schĂ©ma, non pas quâil ne soit pas rĂ©alisable, mais pour arriver Ă une vĂ©gĂ©tation identique Ă celle de notre planĂšte permettant de faire vivre une population de plus de dix milliards dâhabitants, les scientifiques nâont pas indiquĂ© de temps. Mais, nous pouvons en avoir une idĂ©e avec celui quâil a fallu Ă notre planĂšte pour dĂ©velopper la sienne qui se chiffre en milliard dâannĂ©es. Si bien que si la prĂ©vision des scientifiques se rĂ©alise, nous ne disposons que de 10 000 ans. Exit lâespĂ©rance gĂ©nĂ©rale dans ce domaine. Reste celle dans la dĂ©couverte de planĂštes telluriques Ă lâextĂ©rieur de notre systĂšme solaire, avec la difficultĂ© non rĂ©solue de les atteindre. Dans le mĂȘme temps ces scientifiques se questionnent pour savoir sur quel astre ou astĂ©roĂŻde trouver des ressources miniĂšres[200].Cette vision de notre futur est tout Ă fait respectable et nâest en rien utopiste, nous disposons de 10 000 ans pour trouver une solution. Mais nous disposons Ă©galement de ce temps pour explorer notre monde psychique[201].Encore faut-il ĂȘtre convaincu quâun enseignement permanent pour adulte, accroissant le nombre gens instruits, crĂ©era en consĂ©quence plus dâintelligence pour relever le dĂ©fi. Tout en prenant soin dâĂ©viter que lâutilisation de cette intelligence ne soit pas rĂ©servĂ©e seulement Ă lâendoctrinement culturel, Ă lâart de la confrontation ».Peut-ĂȘtre que ceux qui savent que notre monde est malade pour ĂȘtre sorti de son biotope originel, oserons sâorganiser pour, malgrĂ© lâincertitude expliquer quâĂȘtre sain câest connaĂźtre ses maux, et vulgariser leur savoir plutĂŽt que de rester des docteurs de la loi », car lâavenir est toujours notre existence dĂ©pend de lâunivers, notre vie dĂ©pend aussi des mots avec lesquels nous la dĂ©finissons, et les mots sont un univers, ils sont devenus notre univers Ă eux tout seul.⊠et de la conquĂȘte de notre savons que ce monde psychique a des dispositions extraordinaires, mĂȘme si lâĂ©tude clinique de celui-ci ne nous permet pas dâen comprendre toutes les interactions. Nous disposons dâune capacitĂ© dâautosuggestion et de conviction permettant dâagir sur notre mĂ©tabolisme. Les yogis asiatiques sont connus pour cela. Il nâest quâĂ citer le cĂ©lĂšbre cas dâun marin enfermĂ© dans un compartiment frigorifique qui fut retrouvĂ© mort des symptĂŽmes du froid, alors que le systĂšme de rĂ©frigĂ©ration ne fonctionnait pas. Sans parler des opĂ©rations cliniques qui sont rĂ©alisĂ©es sous hypnose, rĂšgle gĂ©nĂ©rale lâexploration de ce domaine nous effraie, non parce quâil est effrayant, mais parce que nous lui avons reconnu un pouvoir dĂ©moniaque par culture ignorante et nous conservons lâimage dâune sociĂ©tĂ© qui utilise toutes les dĂ©couvertes dans un but dâauto domination », une jolie expression pour ne pas dire pour sâentre-tuer » ; cela parce que quand nous Ă©teignons la lumiĂšre nous avons encore peur. Peur de mourir, de souffrir, de lâincertitude, peur de nos refoulements, et la domination nous permet de les circonscrire. Lâobservation de tout Ă©vĂ©nement nuisible Ă lâhomme par lui-mĂȘme a de tout temps existĂ©, lâobservation de son existence en lâabsence de comprĂ©hension a gĂ©nĂ©rĂ© tous nos totems et tabous, interdits et obligations, qui se sont prĂ©sentĂ©s comme des rĂ©gularitĂ©s, parfois lĂ oĂč elles nâavaient pas lieu dâĂȘtre en concevant des superstitions. Alors que la rĂ©gularitĂ© rĂ©elle » est, que lâHomme dans lâignorance fabrique des tabous et totems pour se protĂ©ger, recevoir des faveurs, ou se donner une origine. Câest pour cela que quels que soient les endroits oĂč nous trouvons un humain, nous retrouvons ces schĂ©mas et que nous vĂ©hiculons encore lâidĂ©e que le mal câest Satan, alors quâil ne sâagit que de mauvais schĂ©mas sociĂ©taux qui transforment notre agressivitĂ© naturelle en lĂ une Ă©vidence pour tout le monde, une Ă©vidence que tout le monde veut Ă©viter, mais dont chacun dâentre nous dĂ©veloppe au quotidien les conditions de sa rĂ©alisation. Ce nâest pas pour cela quâil faut renoncer, mais cela suppose un rapport de confiance dans notre facultĂ© dâ le domaine clinique cette confiance existe. Dans celui de notre existence au quotidien elle est soumise Ă notre type de culture, et nous pouvons aussi bien conditionner un Ătre pour quâil soit un ouvrier docile ou un Kamikaze, ou nous convaincre de croire quâun jour il nous faudra aller vivre dans les vous dire que je dĂ©tiens quelques vĂ©ritĂ©s que ce soit pour vous convaincre, serait irrespectueux parce que ce nâest pas moi qui le peux, câest votre psychique, suivant quâil se laissera conditionner ou non, non parce que jâĂ©cris, mais parce que câest vous qui le lui aurait suggĂ©rĂ©, suivant votre apprentissage vous aurez fait un choix induit par votre existence auto organisĂ©e par toutes les gĂ©nĂ©rations qui nous ont prĂ©cĂ©dĂ©es. Nous vivons de cette maniĂšre depuis que nous connaissons la faire pour trouver la bonne voie ?Suivre les capacitĂ©s de notre psychique en accompagnant son Ă©volution, mais encore faut-il ne pas en avoir peur, pour lâexaminer, le connaĂźtre, apprendre comment il fonctionne, quelles sont les possibilitĂ©s quâil nous peut-ĂȘtre lâascĂ©tisme des Yogis, les danses Chamaniques », les transes des Vaudous », tout ce monde du dĂ©lire et de la folie que nous attribuons Ă lâinconscient nous apparaĂźtra un peu plus clair. Nous aurons un autre regard sur les TibĂ©tains, les Navajo, Hopis, les AborigĂšnes peut-ĂȘtre dans ce monde lĂ , si nous ne perdons pas ces cultures qui nous semblent obscures, que nous puiserons, en lâassociant Ă celui de la science, les moyens de faire face aux dĂ©fis des futurs millĂ©naires. Car mĂȘme si je ne dĂ©tiens aucune vĂ©ritĂ© chacun peut comprendre que nos ressources miniĂšres ne sont pas inĂ©puisables, et que pour affronter un nouvel Ăąge glaciĂšre que jâai pris en rĂ©fĂ©rence ou seulement le futur, il ne nous restera plus que notre cerveau, sous rĂ©serve que nous nâen ayons pas fait dâici lĂ un organe atrophiĂ© ou infantilisĂ© par nos peurs et nos intĂ©rĂȘts vais faire une analogie entre notre cerveau et notre monde, une analogie qui nâest pas de moi, mais dâun ami, Francis, et qui mâa inspirĂ© le dĂ©veloppement qui dĂ©jĂ Ă©crit que notre monde nous effrayait par son immensitĂ© et quâil Ă©tait lâimage de notre structure cĂ©rĂ©brale. Dans ce paragraphe je viens de dire que la comprĂ©hension de notre psychique cerveau nous effraie aussi, et ce quâavait observĂ© mon ami, câest la ressemblance quâil y avait entre une vue satellite de lâimplantation de la vie humaine et lâimage du circuit neuronal de notre nos villes sont des neurones avec leurs noyaux, mairie, Ă©glises, centre ville, reliĂ©s par des axones qui sont les grandes voies de circulation, les synapses reprĂ©sentent tous les embranchements permettant la circulation de lâinformation dâun neurone Ă lâautre, dâune ville Ă une autre, les dendrites prolongement dâun neurone pour recueillir lâinformation etc. je pourrais poursuivre autant que je le dĂ©sire, ne serait-ce que parce que câest mon but. La ressemblance est si frappante, quâil est difficile de ne pas concevoir que lâordre sous-jacent dieux pour les croyants, la structure inter active, ne nous conduise pas Ă reproduire les schĂ©mas qui nous constituent parce que nous sommes aussi cet ordre. Alors on peut espĂ©rer que les sciences neurologiques, en mĂȘme temps quâelles nous permettent la dĂ©couverte de notre cerveau, nous apportent les moyens de mieux organiser notre existence. Par exemple serait-il stupide de faire un rapprochement entre la structure fonctionnelle dâun neurone et celui dâune ville ? Afin de dĂ©velopper un art de vivre pour nous survivreâŠNaturellement il ne sâagit pas de notre art de vivre actuel, mais de celui de toutes les gĂ©nĂ©rations qui vont nous succĂ©der. Avec nos vĂ©ritĂ©s dĂ©istes ou idĂ©ologiques, nous ralentissons son Ă©volution. Le cerveau est comme une pĂąte Ă modeler, pour y donner une expression il est nĂ©cessaire de le travailler, et en lâespĂšce les doigts qui le façonnent câest le nombre dâinformations dont nous lâalimentons, afin de rĂ©pondre Ă une question comment vais-je faire pour ne pas souffrir, et vivre le plus longuement jusquâĂ âŠ?Cela nĂ©cessite une seule chose, dĂ©velopper un art de vivre et ne pas se gaver de ce qui nous tue. DĂ©velopper un art de vivre ne signifie pas pratiquer lâascĂ©tisme, ne plus avoir de passions, ne plus rĂȘver. Câest entrer dans un monde oĂč lâoutil, lâinstrument, la rĂšgle, lâorganisation, la systĂ©mique, servent le psychisme, oĂč la pensĂ©e symbolique se servira du monde physique pour dĂ©velopper le monde psychique, et non pour lâ ne peut pas se comprendre si nous ne retournons pas sur le banc dâun enseignement permanent. Sinon nous confierons nos existences Ă des Raiders » financiers fraĂźchement promus, diplĂŽmĂ©s, certes compĂ©tents dans leur spĂ©cialitĂ©, mais totalement dĂ©pourvu du sens du vĂ©cu, car ils ne peuvent pas en avoir, et encore moins du sens cachĂ© du vĂ©cu, si aucun dâeux nâa, dâune maniĂšre ou dâune autre, jamais entendu parlĂ© ou ouvert un livre de nây a aucune aberration Ă associer le monde du confort et celui de lâutopie, car le monde du confort est nĂ© de lâutopie, et son seul ennemi est la VĂ©ritĂ©. Pas la vĂ©ritĂ© » du monde Scientifique, pas celle de la Foi, mais celle de tous les potentiels dominants ignorants que nous voulons ĂȘtre, parce que nous nous lâauto suggĂ©rons par culture de ceux que nous pouvons ĂȘtre, mais rassurĂ©s de ce que nous pouvons vendre et de la loi du marchĂ© par sa vue Ă court terme et son sens du profit immĂ©diat risque dâentraĂźner notre espĂšce dans une dĂ©marche irrĂ©versible, car il nây a aucune possibilitĂ© de retour en conquĂȘte mondialisĂ©e dans laquelle se lancent les pays industrialisĂ©s dans le sillage de la culture amĂ©ricaine, vise le marchĂ© des pays asiatiques, la Chine en particulier, qui elle-mĂȘme tend par hĂ©gĂ©monie Ă faire disparaĂźtre une culture tout aussi riche, celle TibĂ©taine. Il nây aurait Ă avoir quâune inquiĂ©tude relative dĂ©chets si lâindustrialisation de la Chine se faisait en prĂ©servant sa culture ancestrale. Jâai dĂ©jĂ dit que le confort et la jouissance de la vie peuvent ĂȘtre un rĂ©gulateur si devant la culture commerciale colonisatrice sâeffacent des quasi-sciences ancestrales et sa philosophie, nous aurons fait un pas de plus vers un monde unidimensionnel, donc totalitaire. Cela en perdant la possibilitĂ© dâapprendre ou comprendre les mĂ©canismes dâune culture riche en connaissances psychologiques, comme nous avons presque effacĂ© lâart de lâapaisement » de la culture grecque avec notre culture chrĂ©tienne. Ceci parce que si la philosophie asiatique nâa pas Ă©tĂ© un stimulateur de lâĂ©volution technologique taoĂŻsme non agir », Bouddhisme renoncement au monde » comme chez les occidentaux, elle a dĂ©veloppĂ© lâart dâutiliser nos capacitĂ©s psychiques, et câest peut-ĂȘtre cela qui nous sauvera un jour, si lointain, la vie. Ce serait donc un crime contre lâhumanitĂ©, pour utiliser un terme Ă la mode, que de vouloir soumettre lâactivitĂ© sociale de ces pays Ă lâadoration dâun totem » qui est celui de lâobsession de la toute puissance de lâ cette hĂ©gĂ©monie qui nous vient dâun pays qui nâa pas de passĂ© gĂ©ohistorique » pour lâavoir mis en rĂ©serve, il nây a plus que la vielle Europe. Cela, si elle ne laisse pas les 50% dâidentitĂ© europĂ©enne qui lui reste sâamĂ©ricaniser. Ne traduisait pas mes propos comme de lâantiamĂ©ricanisme primaire, mais comme la contestation dâune politique du tout dollar tout de suite avec nâimporte quoi, alors quâils ont, avec leurs cerveaux » et leurs technologies, les compĂ©tences pour mener dâautres politiques. Sauf quâils possĂšdent, comme câĂ©tait le cas des communistes, une idĂ©ologie de vie, et non une quelque part le choix que je propose sâinstruire en permanence pour une utilitĂ© potentielle » qui ne peut nous apparaĂźtre que si nous faisons la dĂ©marche dâapprendre, non pour ĂȘtre le champion de rĂ©ponse Ă toutes les questions, pour cela nous avons des encyclopĂ©dies, mais pour avancer, seulement avancer, le cerveau ouvert Ă la comprĂ©hension. Quant au monde futur il ne sera que celui que nous nous auto suggĂ©rerons !Pour le moment nous lui suggĂ©rons que de recommencer les erreurs du mâexplique schĂ©matiquement. Lorsque lâEurope a pu se doter de routes maritimes, elle a installĂ© ses comptoirs de commerce ou son dĂ©sir de recherche de richesse, sur tous les territoires oĂč elle a pu poser les pieds. Dans le mĂȘme temps elle a entrepris la colonisation de ces pays en imposant par la force de ses propres convictions persuasives, ses dieux, et sa culture. Il a fallu quelques siĂšcles pour que tous ces Ătats recouvrent leur indĂ©pendance plus ou moins heureuse. Durant cette longue pĂ©riode, le nombrilisme obscurantiste dâune civilisation qui se voyait supĂ©rieur aux autres a rĂ©gnĂ©, sâentre-dĂ©chirant dans son berceau. AprĂšs la deuxiĂšme guerre mondiale, câest la guerre froide amĂ©ricano-russe et son support idĂ©ologique qui a assurĂ© cette fonction de colonisateur du monde, remplaçant en cela la vieille Europe condamnĂ©e au strapontin. Les dieux avaient laissĂ© entre temps la place Ă lâidĂ©ologie, sans en ĂȘtre absent pour autant, et ces deux pays ont menĂ© leur lutte par pays interposĂ©s, dĂ©veloppant leurs idĂ©aux, lâun et lâautre en sâappuyant sur des dictatures. Une nouvelle fois nous avons vĂ©rifiĂ©, et lĂ , de visu les mĂ©faits de la colonisation dans tous ces pays oĂč sâest exercĂ©e la guerre froide. Sauf, quâil est plus facile de regarder lâhistoire de la vieille Europe, car nous avons sur elle un recul historique, que quand nous vivons la colonisation. Pourtant la quantitĂ© de conflits qui se sont dĂ©veloppĂ©s pour essayer de remplacer les dictatures installĂ©es par les uns et les autres devraient nous inspirer quelque prudence quant Ă la facultĂ© de la seule des deux puissances qui reste, Ă dĂ©velopper la conscients des propres erreurs de la colonisation europĂ©enne, comme de celle amĂ©ricano-russe, nous devrions ĂȘtre sur nos gardes quand certains nous proposent la colonisation Ă©conomique mondiale par le libĂ©ralisme Ă©conomique vu par lâAmĂ©rique. Nous devrions savoir que toute forme de colonisation sâaccompagne dâun obscurantisme idĂ©ologique ou religieux, et quâil gĂ©nĂšre des dictatures dont les seuls qui les ignorent sont les colonisateurs eux-mĂȘmes ou les colonisĂ©s est dâusage dans notre monde Ă©conomique de dire que lâĂ©conomie amĂ©ricaine tire celle de lâEurope avec un temps de retard. Je crois quâil nâĂ©chappe plus Ă personne que notre Ă©conomie, sâest amĂ©ricanisĂ©e, et que notre culture sâest amĂ©ricanisĂ©e en ce que je ne comprends pas, câest pourquoi nous sommes surpris de voir plus de xĂ©nophobie exister, pourquoi nous sommes surpris de voir dâautres formes de violence arriver, se dĂ©velopper et sâintensifier. Pourriez-vous mâexpliquer pourquoi, alors quâimportant les pratiques dâune organisation Ă©conomique qui produit chez elle plus dâexclus, de racistes, de violence, lâEurope et la France en particulier devraient ĂȘtre Ă©pargnĂ©es de ces mĂ©faits, ceux-ci sâarrĂȘter Ă nos frontiĂšres comme le nuage de Tchernobyl, et ne pas redonner vigueur aux multiples visages de lâostracisme dont nous sommes culturellement porteurs. Ce nâest pas parce que les tĂȘtes de turcs » nâont pas les mĂȘmes visages, que le phĂ©nomĂšne les ayant produits sont ne fais pas le procĂšs du libĂ©ralisme, du droit dâentreprendre jâespĂšre que vous lâavez compris, mais celui de lâobscurantisme que nous portons. Obscurantisme que nous reproduisons dans toutes les idĂ©ologies, y compris dans celle du libĂ©ralisme Ă©conomique, lâobscurantisme de lâhomme bloquĂ©[202] ».Enfin, si nous pensons que construire une Europe compĂ©titive sur le mĂȘme terrain Ă©conomique avec les mĂȘmes approches libĂ©rales que celui dĂ©veloppĂ© par lâĂ©conomie amĂ©ricaine est le meilleur moyen de voir lâavenir, je souhaite bien du plaisir aux futures gĂ©nĂ©rations. Cela, parce que pour surpasser lâĂ©conomie amĂ©ricaine dans ses rapports conquĂ©rants, il nous faudra ĂȘtre meilleur quâelle, et vu les effets dĂ©viants que nous pouvons constater par son approche libĂ©rale, il faut nous attendre au pire de nous ce dont Ă©galement jâai essayĂ© de vous convaincre câest que lâĂ©volution suit son cours emportant avec elle toutes les certitudes, et quâil nây a donc aucune fatalitĂ© Ă conserver la pauvretĂ©, il faut seulement envisager de sâorganiser diffĂ©remment. Il faut Ă©galement comprendre que si la monnaie a son utilitĂ© et sa motivation, il y a un seuil oĂč elle devient un frein au dĂ©veloppement que nous pouvons attendre de ce quâelle a elle-mĂȘme contribuĂ© Ă construire. Et câest cela le plus difficile, trouver le seuil oĂč se situe lâart de vivre pour je devais rĂ©sumer ce chapitre jâen dirais que jâai recomposĂ© lâĂ©ternel dĂ©bat entre le matĂ©rialisme et le spiritualisme, dĂ©bat qui a animĂ© les Grecs, les JudĂ©o-chrĂ©tiens, les Orientaux ; et il nây a dĂ©bat que parce que nous lâavons fabriquĂ© ; parce que nous avons dĂ©liĂ© le monde pour le comprendre. Le matĂ©rialisme a contribuĂ© Ă dĂ©finir le monde physique et nous avons pu accĂ©der partiellement Ă la structure du spirituel psychique. Le spiritualisme a permis de comprendre que notre psychique est une puissance de somatisation » qui nous donne la capacitĂ© dâagir par ce que jâai appelĂ© lâagressivitĂ© naturelle » dont nous recrĂ©ons le modĂšle dans toutes nos rĂ©alisations pour vivre et mourir. Il n'est donc pas Ă©tonnant qu'en utilisant Ă lâexcĂšs ou par mauvais essais les interrelations de nos crĂ©ations matĂ©rielles et spirituelles nous aboutissions plus tĂŽt Ă la mort ; aussi faire en sorte que ce ne soit pas nous qui nous suicidions » relĂšve de lâutopie. Or nous savons aujourdâhui que lâutopie nâest quâune attente de lâĂ©volution dĂ©pense » [203]progressive devant la difficultĂ© et lâignorance, il y a donc une espĂ©rance, mais encore faut-il le comprendre et sâen donner les moyens. Il nous reste Ă trouver cette harmonie » dont je parlais dans lâavertissement, elle dĂ©coule, elle ne rĂ©sulte que dâun long mĂ©canisme de dĂ©couverte de lâinfiniment petit, de recherche rĂ©duisant lâignorance de nos sens, qui nous est devenu accessible. Un infiniment petit dans lequel lâusage du spirituel dĂ©pend grandement de lâutilisation de lâinfluence du vocabulaire sur lui pour nous situer dans le monde physique et rĂ©duire la souffrance soucis dâhistoricitĂ© nous faisons remonter le spiritualisme Ă la pensĂ©e grecque avec Anaxagore qui exprime cette tendance, et le matĂ©rialisme dĂ©coulera de lâatomisme antique dont nous attribuons lâĂ©cole Ă Leucippe, un grec dâAsie Mineure, cinq siĂšcles avant notre Ăšre. Toute la pensĂ©e Occidentale sâest nourrie de ce dĂ©bat avec toutes ses dĂ©clinaisons. Il est donc comprĂ©hensible quâil nous soit difficile dâenvisager que nous puissions redĂ©finir notre monde sur dâautres pourtant lâopportunitĂ© que nous offre la dĂ©couverte du monde quantique, oĂč il nây a ni matiĂšre ni esprit. LâidĂ©e peut ĂȘtre effrayante, mais ce qui est rassurant câest que ce monde quantique est le produit de lâactivitĂ© de notre structure psychique, et peut-ĂȘtre par le pouvoir des mots nous serons en mesure de le faire exister. Un philosophe français, Bergson, dans son Ćuvre propose de penser lâinconcevable et dâexprimer lâinexprimable, il propose de penser autrement pour que, grĂące Ă une connaissance absolue, que nous nâatteindrons jamais, nous soyons capables dâatteindre la rĂ©alitĂ© elle-mĂȘme, sans intermĂ©diaire. Alors, si un esprit humain est capable de penser cela, ceci signifie que câest en potentialitĂ© dâĂȘtre voir avertissement, que cela est prĂ©sent dans la structure psychique. Ce qui nous manque alors, ne sont que les moyens dĂ©finis par des mots pour y parvenir. A partir de lĂ il est facilement comprĂ©hensible quâils ne peuvent pas ĂȘtre puisĂ©s dans un passĂ© dĂ©jĂ dĂ©fini qui nâexiste plus, hormis dans notre mĂ©moire, et quâil faut par intelligence intuitive, sâĂ©carter de toutes les habitudes de pensĂ©e, des connaissances acquises, non par rejet, mais parce que de zĂ©ro Ă lâinfini elles nâoccupent que la place qui est la leur, et quâil en reste pour dĂ©finir le mouvement » qui sâapparente Ă la rĂ©alitĂ© pour cela il faut dĂ©jĂ avoir acquis les connaissances disponibles afin de ne pas redĂ©couvrir par intuition ce qui lâa dĂ©jĂ Ă©tĂ© depuis des millĂ©naires, telle la puissance des capacitĂ©s psychiques mise en Ă©vidence dans la culture Est Orientale. Et lorsque Bergson soutient quâil faut sâĂ©carter des reprĂ©sentations de lâintelligence pour espĂ©rer rejoindre le rĂ©el, je prĂ©fĂšre dire quâil faut redĂ©finir les certitudes qui font de nous des ĂȘtres BloquĂ©s » note 200. Ainsi nous redĂ©couvrirons par lâart et la science des mots » ce langage qui est lâauxiliaire indispensable de nos sensations que dâautres voudraient ramener Ă un anglais mercantiliste que nous pouvons mieux voyager peureusement dans notre psychique et par-lĂ dans notre monde matĂ©riel et spirituel qui en est sa doit-on craindre ?81- Dâun effet dâ les organisations, rĂ©organisations entraĂźnant un ensemble dâactions ou de rĂ©actions individuelles, peuvent dĂ©velopper des effets non recherchĂ©s par les acteurs sociaux. Il va de soi que dans le domaine de lâorganisation sociale, qui ne rĂ©pond pas aux critĂšres scientifiques rĂ©futables, ils ne peuvent quâapparaĂźtre. Nous pourrions mĂȘme dire que nous ne gĂ©rons que cela. Les effets collectifs quâils engendrent ne se distinguent des autres que par le fait quâils nâont pas Ă©tĂ© telle maniĂšre que lâeffet dâagrĂ©gation suivant, quâil soit dĂ©sirable ou indĂ©sirable, quâil concerne un petit nombre de personnes ou une foule, est nommĂ©e diffĂ©remment par les acteurs est indĂ©sirable nous parlons deffets pervers, et Ă lâinverse sâil est dĂ©sirable nous parlons dâune mise en place des ECPA nâĂ©chappera pas Ă ce phĂ©nomĂšne dâagrĂ©gation, non pas celui pouvant ĂȘtre envisagĂ© comme dĂ©coulant dâun raisonnement logique structurel par rapport Ă lâenvironnement socio-Ă©conomique dans lequel les ECPA sâinsĂšrent, mais de celui appartenant Ă lâinconnu, Ă la mĂ©connaissance, celui dĂ©coulant de nos dĂ©sirs conscients ou refoulĂ©s qui trouveront un nouveau territoire dâexpression. Celui qui est dans lâindĂ©finissable. Celui qui Ă ce titre nous fait peur, avant quâil ne devienne, pour certains, des traits de gĂ©nies, lâexpression de la crĂ©ativitĂ©, le fruit du hasard, le destin, les dĂ©viances. Celui des comportements qui sâagrĂšgent dans une tendance, regroupe les hommes jusquâĂ ce quâils soient assez nombreux pour dĂ©finir un nouveau fait conclusion, le phĂ©nomĂšne dâagrĂ©gation est lâexpression de la limite de notre raisonnement culturalisĂ© face au cours de lâĂ©volution. Il ne nous empĂȘche pas dâatteindre un but, il lui assure une continuitĂ© Des dĂ©viations propres limites dâĂtre perdu » exigent le nĂ©cessaire besoin de disposer de repĂšres visibles prĂ©hensiles. Câest lâobjet de toutes les vĂ©ritĂ©s, de tous les idĂ©aux, de tous les projets de sociĂ©tĂ©. Câest le but de tous nos rĂȘves, de toutes nos Ă©tudes scientifiques et interprĂ©tatives. Cet amas de dĂ©terminants, nous le censurons et nous y choisissons ceux qui nous paraissent part, parce que nous nâavons pas les moyens intellectuels de tous les connecter entre eux, et dâautre part parce que nous nous Ă©duquons en censeur. De telle maniĂšre quâen systĂ©matisant un certain nombre de dĂ©terminants qui suscitera lâadhĂ©sion individuelle ou collective, nous aurons Ă©laborĂ© une mon essai, qui est le reflet dâun choix de dĂ©terminants censurĂ©s par mon Ă©ducation, porte le germe de lâidĂ©ologie, il lui manque la systĂ©matisation et lâ un mot dĂ©finissant une notion sâapprĂ©ciant de diverses maniĂšres. Avec Marx son sens est nĂ©gatif, il dĂ©signe les fausses idĂ©es que se font les hommes de la rĂ©alitĂ© sociale. Chez les politiques il dĂ©signe des systĂšmes dâidĂ©es. Aujourdâhui, les sociologues considĂšrent quâil dĂ©signe un ensemble dâidĂ©es relatives au politique et au social sans prĂ©juger de leur validitĂ©. Cela parce que sâinterroger sur leur validitĂ© nous conduit Ă deux analyses une oĂč, mus par leurs sentiments et leurs intĂ©rĂȘts, les hommes se laissent facilement aveugler par des idĂ©es ou croyances douteuses, voire fausses, pour peu quelles sâenchaĂźnent logiquement ; lâautre met en Ă©vidence le fait quâun homme en tant quâacteur social ne peut, de maniĂšre certaine et affirmative, pĂ©nĂ©trer, traduire son environnement sans devoir lâinterprĂ©ter Ă lâaide dâidĂ©es, de reprĂ©sentations, de conjectures, de thĂ©ories et de jugements dont la dĂ©termination de leur validitĂ© est toujours incertaine et partielle. Et ce, quel que soit le poids de la science et de la raison. Mais leur poids peu nous aider Ă rĂ©duire lâincertitude, Ă fixer des voies. Des voies jalonnĂ©es pour bifurquer sans se perdre, et permettre lâĂ©mergence de nouvelles ne devons pas oublier que notre intelligence ne dĂ©couvre que ce quâelle peut comprendre, et Ă partir de lĂ , nous ne devons pas faire comme nos prĂ©dĂ©cesseurs, croire avoir atteint des sommets alors que nous venons peut-ĂȘtre que de franchir un le seuil de la connaissance de ce que nous est, tant Biologiquement, Psychiquement », que quantiquement ».Alors, imaginer que de ces connaissances ne naĂźtront pas de nouveaux idĂ©aux, de nouvelles valeurs, est une maniĂšre de ne pas avoir dâespĂ©rance. Pourtant, rien nâest Ă©crit dâavance, dâautant plus que les sociĂ©tĂ©s LaĂŻques porteuses dâun idĂ©al rĂ©publicain sont en dĂ©clin. Elles ont trop cru quâune Ă©conomie libĂ©rale Ă©tait synonyme de dĂ©mocratie, et quâil suffisait de se faire lâapĂŽtre du libĂ©ralisme, pour voir lâidĂ©al rĂ©publicain se dĂ©velopper ; quâil suffisait, dâune part, dâaboutir Ă une employabilitĂ© » capitaliste en amenuisant lâactivitĂ© socialisante syndicale des citoyens pour quâils fassent lâĂ©loge de la rĂ©publique ; quâil suffisait dâautres part de respecter les confessions, pour quâelles ne deviennent pas un recours idĂ©ologique identitaire devant la faiblesse et la rĂ©duction de lâaction socialisante du travail, dĂ©finie comme charge. Dâune certaine maniĂšre la laĂŻcitĂ© rĂ©publicaine est attaquĂ©e de tout bord, autant par les initiatives privĂ©es, que par celles confessionnelles. Si bien que les responsables politiques, qui ne sont que le reflet de leurs Ă©lecteurs, sâappauvrissent dans leur dĂ©bat, incapables de reformuler des idĂ©aux qui se rĂ©forment devant les Ă©vĂ©nements. Et leur rĂŽle de guide sâest transformĂ© en celui de gardien dâun potentiel mercantile, sans philosophie autre que son a-t-il alors dĂ©viation, reformulation ou transformation idĂ©ologique ?Câest Ă chacun dâen avoir une idĂ©e. En dehors de cela, il nây a aucune raison que lâidĂ©al rĂ©publicain reste intangible. Pourquoi Ă©chapperait-il Ă lâĂ©volution ?Lâhistoire humaine nous dĂ©montre que rien nâest spontanĂ©, que tout sâĂ©labore dans le creuset des prĂ©dĂ©cesseurs, mĂȘme les religions qui dĂ©clament la VĂ©ritĂ© se sont construites au cours des siĂšcles Ă partir de fragments de celles qui les ont prĂ©cĂ©dĂ©es. Ce nâest pas pour autant mĂ©caniste. Cela repose sur la transmission du message » et aucune civilisation nâa disposĂ© dâautant de donnĂ©es que la notre sur ce quâĂ©tait son existence, et de ce que nous pensions ĂȘtre. Toutes les idĂ©ologies que nous Ă©laborons sont des idĂ©aux Ă©culĂ©s, transfigurĂ©s par la technologie et les nouvelles sâĂ©laborent sans que nous en ayons conscience, quels que soient les efforts dĂ©ployĂ©s pour les maintenir dans le creuset du mâen explique. Je nâaime pas particuliĂšrement les comparaisons avec le monde animal, mais je vais me servir pour lâexemple dâune Ă©tude rĂ©alisĂ©e sur une population de scarabĂ©es parue dans Science et Vie N° 112 du 01 Ă©quipe de chercheurs, biologistes et mathĂ©maticiens ont Ă©tudiĂ© pendant six ans une centaine de scarabĂ©es. Pour modĂ©liser cette dynamique, ils doivent faire un choix. Soit, ils considĂšrent les scarabĂ©es comme un ensemble dâentitĂ©s discrĂštes » dĂ©finies chacune par des probabilitĂ©s de mortalitĂ© et de reproduction, soit, ils les voient comme un ensemble continu, dont les variations ne sont plus individuelles, mais les prĂ©visions sur la dynamique des populations peuvent ĂȘtre radicalement diffĂ©rentes selon le modĂšle utilisĂ©. Leur modĂšle discret individuel produit une population rĂ©guliĂšre cyclique ; leur modĂšle continu, une dynamique chaotique⊠Pis encore, les variations de la population observĂ©e ne correspondent Ă aucun de ces deux modĂšles, mais un peu des deux Ă la foisâŠLes chercheurs suggĂšrent quâun mĂ©lange des deux modĂšles, continu et discret, sera sans doute nĂ©cessaire pour avoir une comprĂ©hension complĂšte des systĂšmes de populations ».Ainsi, vu la difficultĂ© que reprĂ©sente la comprĂ©hension de lâĂ©volution dâun systĂšme simple, Ă©volution dâune population de cent scarabĂ©es, il est aisĂ© dâimaginer, et câest lĂ le parallĂšle que je voulais faire, quâavoir une idĂ©e dâune idĂ©ologie future dâun ĂȘtre qui pense, ne peut venir dâune Ă©tude discrĂšte individualiste ou continu collective ou holisme du comportement des hommes, dâoĂč, Ă partir de lĂ , la nĂ©cessiter de regarder nos idĂ©ologies comme des Ă©tapes une idĂ©ologie doit faire rĂȘver en une espĂ©rance pour ĂȘtre convaincante, et câest lĂ nos limites aimons tellement rĂȘver, et le libĂ©ralisme y contribue si fort et si bien par lâillusion de lâexpression de nos Ă©motions, que toutes les autres idĂ©ologies dâapproches commerciales apparaissent dĂ©viantes, et que nous sommes dans une rĂ©gression sociologique dynamique violente, dâagrĂ©gations dâeffets DOIT-ON ESPERER DES TECHNOLOGIES DE LA COMMUNICATION ?83â Un gain de temps, et une aide technologique Ă nos choix, en conservant le droit dâĂȘtre Ă©mu par la gain de temps âŠTous, nous connaissons la concurrence Ă laquelle se livrent les mĂ©dias pour disposer de lâinformation dans les plus courts dĂ©lais. Nous savons tous Ă©galement que câest un moyen de disposer de lâinformation avant quâelle ne soit devenue obsolĂšte, et dâen faire ainsi le meilleur usage pour ĂȘtre au contact de la rĂ©alitĂ© » des Ă©vĂ©nements. Nous disposons pour cela aussi de la pandĂ©mie du tĂ©lĂ©phone portable et dâ technologies nous permettent de parler entre nous, et supplĂ©ent, aux nĂ©cessaires rencontres pour sâĂ©couter et Ă©changer des informations ; mais ce nâest pas de ces moyens dont je veux parler, mais des appareils auxquels nous demandons dâavoir une capacitĂ© de communiquer avec nous, Ă lâaide dâune intelligence dite artificielle ».Ainsi, dans un futur trĂšs proche nous disposerons de toutes les innovations auxquelles travaillent les fusion dâInternet et de la tĂ©lĂ©vision, lâapparition dâĂ©crans muraux, la reconnaissance vocale, des agents intelligents[204] appareil capable de distinguer la pacotille dâune information prĂ©sentant un intĂ©rĂȘt certain, des systĂšmes experts[205] capables de formuler un diagnostic, dâappareils dotĂ©s du sens commun, de robots qui pensent[206].NĂ©anmoins, toutes ces innovations auxquelles nous avons donnĂ© corps ou bien que nous nous apprĂȘtons Ă donner corps, sont le produit de lâoutil de communication » quâest notre cerveau, et les appareils que nous concevons sont Ă notre nâinventons donc rien que nous nâayons pu comprendre de nous mĂȘme, mĂȘme sâil demeure des secteurs incomprĂ©hensibles, ou bien que nous ne sachions pas encore reproduire. MĂȘme si nous avons conçu des outils qui associent et traitent des informations dans des temps record, ils ne peuvent quâĂȘtre le produit de ce que nous sommes Ă la puissance vais reprendre lâexemple de la voiture pour mâen notre comprĂ©hension des mĂ©canismes physiques, nous avons donnĂ© une structure et un mouvement Ă de la matiĂšre inerte. En faisant cela, nous avons fait franchir un seuil Ă des matĂ©riaux inertes en les faisant communiquer entre eux pour satisfaire Ă notre but dynamique, celui de se dĂ©placer. Certes ce seuil est minime, car tous nos moyens de transport ne se suffisent pas Ă eux seuls sans intervention humaine, mais ce quâil est important dâobserver, câest que cette capacitĂ© de rĂ©flexion crĂ©atrice ainsi dĂ©veloppĂ©e, se situe au mĂȘme niveau du passage qui nous est toujours incomprĂ©hensible, celui oĂč lâatome et la molĂ©cule formeront, soit une matiĂšre inerte, soit une matiĂšre organique dotĂ©e de vie, dont Nous qui sommes donc le lien organique de vie, pour la voiture et de tous les objets et instruments de notre quand ?Tout dĂ©pendra de lâutilisation que nous ferons de la technologie pour communiquer. Câest Ă dire mettre en relation tous les Ă©lĂ©ments dâinformations que nous pouvons accumuler, afin quâils puissent ĂȘtre utilisables dans des temps les plus rĂ©duits, et ceci nâest pas dĂ©jĂ dit quâen Ă©conomie nous utilisions la thĂ©orie du chaos et celle des fractales de sont les citoyens qui le savent ?NĂ©anmoins dans notre quotidien nous y sommes soumis par lâanalyse micro Ă©conomique, dans lesquelles des informations traitĂ©es par ces thĂ©ories nous permettent de saisir de micro Ă©volutions que nous essayons de rentabiliser au mieux, alors quâelles Ă©chappaient avant Ă notre comprĂ©hension. Cette approche nous impose, ce qui a Ă©tĂ© communĂ©ment convenu dâappeler, la rentabilitĂ© optimale, qui est accessible Ă notre raison, mais pas toujours absorbable par notre systĂšme Ă©motionnel qui se rĂ©volte en dĂ©veloppant un excĂšs de stress, et bon nombre de organisme rĂ©agit Ă la vitesse de 180 Ă 360 millisecondes pour la perception dâune image, et nous en avons conscience entre 540 et 720 millisecondes ; alors quâune machine peut traiter des millions dâinformations Ă la vitesse de la lumiĂšre. Et nous ne pourrons demander Ă notre organisme de vivre Ă la vitesse de recherche dâun gain Ă©quivalent Ă celui des capacitĂ©s de traitement des informations par ordinateurs et autres appareils qui ne cessent de dans notre Ă©conomie concurrentielle, dans les entreprises utilisant les mĂȘmes capacitĂ©s technologiques, les diffĂ©rences se font le plus souvent sur lâaccumulation de gains minimes qui demandent aux hommes un effort maximum pour les pour cela quâĂ mon sens, les moyens de traitement des informations doivent pouvoir nous servir Ă Ă©laborer des agents intelligents pour des systĂšmes experts, afin de nous aider Ă Savoir, Ă Apprendre, et Comparer dans notre quotidien ; alors que cette mĂȘme tache demanderait Ă notre cerveau des annĂ©es de rĂ©flexion pour un rĂ©sultat ce gain de temps que nous apporte la technologie, il nous appartient de lâutiliser non pour fabriquer des exclus et des consommateurs ignorants, mais pour prĂ©parer la singularitĂ© individualitĂ© communautaire communautĂ© de demain, et prĂ©server le libĂ©ralisme de lâobscurantisme absolutiste vers lequel il glisse.⊠et une aide logistique âŠLâexemple dâun systĂšme expert que nous utilisons presque tous, ce sont les appareils de diagnostic, dont les plus connus et simples sont ceux que nous trouvons dans les garages de la rĂ©paration automobile. Qui ne connaĂźt pas sur son vĂ©hicule cette prise souvent nous opposons avec crainte la pensĂ©e humaine et une potentielle pensĂ©e dâune intelligence artificielle » de quelques robots que nous sommes en train de toujours, ce nâest pas de ces outils quâil y a Ă craindre quelque chose, mais de lâusage auxquels nous les ne pas craindre dâaborder ce domaine, il faut ĂȘtre convaincu pour cela que ce que nous crĂ©ons est issu de nous, et quelque appareil que ce soit, ne sera dotĂ© que des fonctions que nous lui aurons transmises, y compris celle de faire inter activement des associations. Câest lĂ Ă mon sens que se trouve un certain intĂ©rĂȘt de lâintelligence dite artificielle ». Aussi quand nous nous opposons Ă lâintelligence artificielle », nous nous opposons Ă une fraction de notre propre capacitĂ© de rĂ©flexion que nous avons transmise Ă des appareils, dont la principale qualitĂ© est de traiter les mĂȘmes informations que nous, en des temps record. Mais, câest aussi savoir que se laisser diriger par eux, serait comme se limiter Ă nâutiliser quâune fraction de notre capacitĂ© de rĂ©flexion, amputĂ©e de nos perceptions me souviens de lâĂ©motion soulevĂ©e par la victoire de eux f en version amĂ©liorĂ©e sur Kasparov. Pourtant tous les jours, la machine Ă calculer nous bat Ă plate couture dans le calcul mental, et quel est le commerçant ou lâĂ©lĂšve qui veut sen sĂ©parer ou bien renoncer Ă cette aide logistique. Mais ce nâest pas pour autant quâil ne nous faudra plus apprendre Ă compter, sans cela lâaide logistique deviendra une structure dâasservissement. Et au lieu de nous servir de lâaide des appareils dit intelligents », nous en deviendrons les esclaves.âŠĂ nos choixJâai consacrĂ© cet essai Ă expliquer la nĂ©cessitĂ© dâapprendre. Mais voilĂ , plus nous apprenons, plus les possibilitĂ©s de choix augmentent, plus il devient difficile de faire un tri, de faire un choix parce que les occurrences se sont tri et un choix entre des informations sensorielles perçues, nous savons faire cela, câest ce que nous faisons tous les jours de notre existence. Nous le faisons sans nous en apercevoir sans que cela ne nous coĂ»te en apparence plus dâeffort, sauf quand nous sollicitons la rĂ©flexion de notre cerveau. Aussi, concevoir une intelligence artificielle » pour dupliquer lâhomme jusque dans ses Ă©motions, ne me paraĂźt pas le plus important, compte tenu de la violence dont nous sommes dĂ©tenteurs, sauf pour la prouesse si nous pouvons faire inter agir une intelligence artificielle » dotĂ©e dâun sens commun, hors systĂšme Ă©motionnel, nous risquons de trouver des associations auxquelles nous ne pourrions pas nous livrer du fait mĂȘme de notre systĂšme Ă©motionnel. Demandez donc Ă un anticommuniste de vous trouvez une seule vertu dans le communisme. Son systĂšme Ă©motionnel lâen empĂȘche, et il ne pourra jamais dĂ©terminer dâautres relations que celles issus de ses Ă©motions. Une intelligence artificielle » peut le faire, mais sous condition que ses programmes ne soit que des programmes mathĂ©matiques formulant la traduction de notre langage et non pas nos vĂ©ritĂ©s, sinon chacun va faire formuler Ă la machine ses convictions et prĂ©texter dâune analyse mĂ©caniste, aussi performante soit-elle, pour soutenir quâil nây a pas dâautre choix, comme nous le faisons actuellement en Ă©conomie. A dĂ©faut ce serait soumettre lâhomme Ă la gestion dâune activitĂ© minutĂ©e au plus rentable, hors de portĂ© des capacitĂ©s Ă©motionnelles normales, comme lâest la gestion dâun rĂ©seau ferroviaire, dâun espace aĂ©rien etc., dans laquelle toute Ă©motion humaine nâa pas lieu dâĂȘtre.⊠en conservant le droit dâĂȘtre Ă©mu par la pour penser Ă notre place ?Non !Câest pour faire communiquer entre elles des informations de plus en plus nombreuses afin de les mettre Ă notre disposition, et ensuite, comme pour la voiture, ce sera nous qui y donnerons nous qui devons continuer Ă penser, Ă analyser et synthĂ©tiser, car il ne sâagit pas non plus de demander Ă la machine de remplacer notre activitĂ© cĂ©rĂ©brale, nous voyons ce que cela produit, tant avec le plan comptable », quâavec les Livres fermĂ©s. Cette relation vous paraĂźtra incongrue, sauf si vous considĂ©rez lâĂcriture, expression graphique de notre pensĂ©e, compilĂ©e dans des livres comme une base de donnĂ©es Ă consulter. Nous avons lĂ lâancĂȘtre de nos appareils Ă intelligence artificielle », et ce nâest pas parce que nous avons remplacĂ© des lettres par des bits, et demain par le code ADN A, T, G, C et autres particules du monde quantique, que nos appareils seront plus dangereux que nos appareils Ă intelligence artificielle » ne deviennent dangereux que lorsque nous voulons trouver une VĂ©ritĂ© en eux, comme nous le faisons dans certains de nos Ă©crits. Ce qui justifie pleinement la position de Socrate que jâai mentionnĂ©e ce nâest pas en lisant nos souvenirs que lâon deviendra savant, car lâon se croira savant sans lâĂȘtre ».Cela, parce que la machine nâa aucune chance dâĂȘtre reproduite autrement que par duplication, mĂȘme si nous pouvons imaginer sa capacitĂ© autonomiste Ă le faire sâauto rĂ©parer. Et jâai dĂ©jĂ dit que tout systĂšme de duplication finit par entraĂźner une dĂ©gĂ©nĂ©rescence, mĂȘme si nous rĂ©alisons des machines intelligentes » Ă notre ressemblance. Vous voyez lâallusion ?Dans la chaĂźne de lâĂ©volution, la matiĂšre initiale revĂȘt diverses structures dont leurs assemblages demeurent une Ă©nigme pour nous. Et nous ne pouvons pas reproduire ce que nous ignorons ou bien ne comprenons pas, mĂȘme si nos crĂ©ations prĂ©sentent des capacitĂ©s supĂ©rieures Ă la nĂŽtre pour nous supplĂ©er, parce que nous sommes capables de les il nây a pas Ă avoir peur de se faire supplĂ©er par des appareils partiellement intelligents », sâils nous permettent de faciliter nos analyses et synthĂšses, et rĂ©aliser les choix qui facilitent la communication du savoir pour apprendre. Car mĂȘme si nous devons compiler ce que nous jugeons essentiel face Ă la masse dâinformations disponibles, nous devons permettre Ă chacun dâĂȘtre libre de sâattacher Ă ce que dâautres ont pu juger ĂȘtre de la pacotille. Cela parce que nous sommes toujours incapables de saisir les effets infimes qui modifient des ensembles stables, et nous ne devons donc pas transformer une aide logistique en un organe de parce que nous sommes le Mouvement », et que nous avons du mal Ă le vivre, pour faire cohabiter sĂ©curitĂ© de lâexistence et crĂ©ativitĂ© ou innovation. Il nous faut donc laisser notre sensible ressentir ses Ă©motions environnementales, mĂȘme si notre raison peut ĂȘtre informĂ©e de ce que fait le Chinois Ă lâautre bout du technologie de la communication doit nous permettre aussi la DĂ©couverte », de franchir des seuils dans lâIndĂ©finissable, en laissant Ă lâHomme Ă©motionnel et raisonnĂ© le choix dâapprĂ©cier les risques de lâIncertitude du dĂ©veloppement de son intelligence assistĂ©e. En espĂ©rant que tous ces appareils qui peuvent mettre Ă notre disposition par accumulation des fragments de ce que nous avons compris de notre univers, de notre globalitĂ© fractale », nous permettent de sortir dâune politique Ă©goĂŻste de gestion » Ă court terme de lâespĂšce humaine et de son risque qui me paraĂźt ĂȘtre Ă craindre est celui que les Canuts ont exprimĂ© dans leur rĂ©volte la peur de pĂątir des effets de la technologie et dâĂȘtre laissĂ©s pour compte. Non pas parce que la technologie est nĂ©faste en elle-mĂȘme, malgrĂ© les risques quâelle inclut, mais parce que notre sociabilitĂ© mercantiliste nâest pas Ă la hauteur de la sagesse » que requiĂšrent les technologies que nous mettons en Ćuvres, et parce que nous laissons les populations dans lâignorance de leur existence et de leurs usages. Nous creusons ainsi un abĂźme entre ceux qui savent, et ceux qui se contentent de bĂ©nĂ©ficier ou dâutiliser ce je ne crois pas que nous puissions Ă©viter durant toute notre vie, de consacrer un temps Ă frĂ©quenter des ECPA, et de devoir utiliser des machines intelligentes pour filtrer, analyser une quantitĂ© dâinformations, de connaissances qui ne cessent de croĂźtre, cela, sans croire Ă lâidĂ©alisme et Ă lâobjectivitĂ© dont nous sommes rĂȘves pouvons-nous nourrir grĂące Ă la gĂ©nĂ©tique ou la neurologie ?84 â Quels rĂȘves pour ĂȘtre en adĂ©quation avec une terre nourriciĂšre, mais serons nous plus intelligent pour autant ?Quels rĂȘves pour ĂȘtre en adĂ©quation avec une terre nourriciĂšreâŠDans le prĂ©cĂ©dent chapitre jâai pris soin de mettre entre guillemets le mot intelligence chaque fois quâil sâagissait de celle dâune machine. Machine dont la performance rĂ©sulte de la vitesse Ă traiter un maximum dâinformations dans un minimum de temps et que nous pouvons destiner Ă des fonctions dont nous avons un quand il sâagit dâenvisager ce quâest lâintelligence humaine, la question reste plutĂŽt ouverte aux la capacitĂ© de traiter nos perceptions, de faire des associations Culturelles ?Est-ce la capacitĂ© de dĂ©couverte ?Est-ce la capacitĂ©, dâintuition, de prĂ©monition ?Est-ce la conscience ?Ayant ainsi dĂ©fini un mot pour qualifier nos capacitĂ©s rĂ©flexives, nous sommes un peu enfermĂ©s par lui, qui suggĂšre une fonction unidimensionnelle, dont nous pourrions trouver le gĂšne ou bien la fonction cĂ©rĂ©brale. Ou bien est-ce la capacitĂ© Ă sâinsĂ©rer dans une organisation humaine stĂ©rĂ©otypĂ©e que nous illustrons par la rĂ©flexion il est instruit, mais pas forcĂ©ment intelligent ».En regardant le rĂ©sultat de cette fonction dâintelligence, nous pouvons la qualifier de meilleure ou de pire, et discuter si câest Ă 100% Ă cause de lâinnĂ© ou du culturel. De nombreuses recherches ont Ă©tĂ© effectuĂ©es dans ce sens. Certaines ont abouti Ă mettre en place des systĂšmes de psychomĂ©trie pour la ce ne sont que des systĂšmes qui mesurent des Ă©carts rĂ©actionnels du cerveau Ă des tests qui ont au moins le mĂ©rite de dĂ©celer des dysfonctionnements, des performances et des Ă©volutions de notre Quotient Intellectuel nous vĂ©hiculons une idĂ©e, que jâai dâailleurs utilisĂ©e, câest que nous nâutilisons que 10% de notre cerveau. Cela ne signifie pas quâil nây a que 10% de notre cerveau qui est utilisĂ© pour la rĂ©flexion, mais suggĂšre que nous avons en lui une marge dâutilisation potentielle importante, et aujourdâhui grĂące Ă la tomographie il nâest pas un jour oĂč ne soit dĂ©fini une zone dâactivitĂ© de la cet aspect de potentialitĂ© rĂ©elle, infinie ou non, qui me paraĂźt intĂ©ressante, si nous nâavons aucune idĂ©e certaine de la capacitĂ© du stock dâinformations de notre cerveau, nous dĂ©couvrons par les sciences neurologiques quels sont les influx nerveux qui guident nos neurones pour aller se connecter Ă la source de lâinformation sensorielle ou cognitive que nous dĂ©sirons utiliser, et les relations biologiques qui dĂ©veloppent la pensĂ©e[207]. Ce que nous savons aussi câest que nous ne pouvons lui demander de traiter les informations plus vite que les capacitĂ©s de circulation de son lâinflux nerveux, le VTN la vitesse de transmission nerveuse dans le cerveau. Le professeur Athur R. Jansen, psychologue Ă lâuniversitĂ© de Californie Berkeley et humaine Reed, professeur de zoologie Ă lâuniversitĂ© de Toronto, et chercheur canadien, rĂ©alisĂšrent une Ă©tude sur 147 Ă©tudiants pour mesurer la vitesse de transmission de lâinformation visuelle jusquâĂ lâinstant oĂč les neurones sollicitĂ©s deviennent actifs. Ils dĂ©terminĂšrent ainsi une vitesse de transmission neuronale entre 1,75 mĂštres seconde et 2,22 m/s. Le VTN fut ensuite comparĂ© aux quotients intellectuels des Ă©tudiants. De cette corrĂ©lation ils dĂ©finirent que le quotient intellectuel variait en fonction des divers groupes dâĂ©tudiants, et en conclurent quâun gain dâune vitesse de transmission neuronale de 0,05 m/s correspondait Ă un point de QI en plus[208]. Naturellement il y a des exceptions qui confirment la rĂšgle, telles des personnes dotĂ©es ni de QI exceptionnel ou de VTN extraordinaire qui effectuent des calculs mentaux prodigieux, mais cette Ă©tude a mis en Ă©vidence quâil y a dâautres corrĂ©lations dâordre physiologique le mĂ©tabolisme, la circulation sanguine, ou lâefficacitĂ©, la dĂ©gradation des neurotransmetteurs, et lâenvironnement social qui dĂ©terminent notre intelligence. Ainsi, il est acquis que notre intelligence repose sur plusieurs paramĂštres soumis Ă des facteurs tant innĂ©s que culturel acquis. Ăgalement Jean Delacour dans la conclusion de son essai, Conscience et cerveau, Ă©crit page 293 La neurobiologie montre aussi que, si lâon considĂšre lâensemble des niveaux dâorganisation et non pas ceux correspondant aux reprĂ©sentations, les fonctionnements inconscients sont bien plus nombreux que les fonctionnements conscients. Ceux-ci nâont de corrĂ©lats cĂ©rĂ©braux spĂ©cifiques quâĂ des niveaux dâorganisation et en raison de leur intermittence, de leur faible capacitĂ© et de leur lenteur relative, ne traitent quâune petite partie de lâinformation utilisĂ©e par lâorganisme. Cette asymĂ©trie nâa pas de cause mystĂ©rieuse ; elle sâexplique aisĂ©ment par le fait que lâĂ©tat conscient a un coĂ»t Ă©nergĂ©tique Ă©levĂ© et nâest utile que pour certain fonctionnement de lâorganisme ; la lenteur, la faible capacitĂ© de ses processus peuvent mĂȘme ĂȘtre un inconvĂ©nient. Cela ne signifie nullement que la conscience est un Ă©piphĂ©nomĂšne, une phosphorescence » inutile sur la mer de lâinconscient ».Nous pouvons donc espĂ©rer que notre intelligence qui repose sur plusieurs paramĂštres puisse ĂȘtre amĂ©liorĂ©e par les rĂ©centes dĂ©couvertes du gĂ©nome humain, et lâĂ©tude de notre activitĂ© cĂ©rĂ©brale par lâutilisation des techniques de lâimagerie mĂ©dicale et lâimagerie par rĂ©sonance magnĂ©tique de lĂ , il nâest pas Ă exclure que nous puissions Ă©laborer une hygiĂšne alimentaire profitable Ă lâĂ©quilibre voire la performance des paramĂštres innĂ©s, et une gymnastique cĂ©rĂ©brale pour conserver la plasticitĂ© de notre cerveau face aux agressions » hygiĂšne alimentaire je ne veux pas sous-entendre que nous nâaurons plus Ă profiter de lâart de la table, qui est un des plaisirs quâoffre lâexistence, mais plutĂŽt une diĂ©tĂ©tique favorisant lâĂ©quilibre de nos neurotransmetteurs. Et cela sera de nature Ă remettre en cause notre activitĂ© commerciale de lâagro-alimentaire et son approche exclusivement mercantiliste et mĂ©ritocratique qui pousse Ă la surconsommation, en espĂ©rant que nous ne produirons plus pour bouffer », mais pour nous nourrir, sans tomber dans lâascĂ©tisme, en conservant les plaisirs de la table, dont la distribution devra se la gymnastique cĂ©rĂ©brale, câest entretenir ses capacitĂ©s de travail et de mĂ©morisation par une activitĂ© sociale qui sollicite la rĂ©flexion, et donner ou redonner Ă cet organe ce qui fait sa plus prestigieuse qualitĂ©, penser, alors que notre activitĂ© sociĂ©tale montre que nous cherchons en permanence Ă la maintenir dans des carcans culturels endogĂšnes peut-ĂȘtre, la science nous fera sortir sans le vouloir de cette sociĂ©tĂ© de relations violentes dans laquelle nous nous enfermons chaque jour un peu plus au titre de la compĂ©titivitĂ©. Une sociĂ©tĂ© ou chaque nouvelle dĂ©couverte est dâabord utilisĂ©e pour tuer lâautre ou lâasservir physiquement ou psychologiquement, soit parce quâil mange trop, et il est pris dâune boulimie assassine, ou parce quâil crĂšve de faim, et il est pris de convulsions assassines.⊠serons-nous pour autant plus intelligent ?Je ne peux y rĂ©pondre que par une autre question Est-ce que les machines intelligentes » nous ont rendu plus intelligent ?Il ne faut donc pas confondre capacitĂ© dâassimilation et de travail du cerveau avec lâintelligence, donc se doter du temps pour apprendre, dâappareils Ă intelligence artificielle » pour nous aider, et dâune hygiĂšne physiologique et psychique de vie, ne me semble pas garantir une quelconque intelligence, tout juste conserver Ă lâHomme un bon fonctionnement, Ă©ventuellement parce quâest considĂ©rĂ© comme intelligent une personne qui gruge son voisin pour lui vendre au prix le plus fort un produit qui ne lui sert Ă rien, comme celui qui fera comprendre au dit voisin quâil sâest fait rouler. Tout dĂ©pendra des lieux dans lesquels sera portĂ© le jugement, et par qui, suivant, selon que lâon est le vendeur ou dĂ©fenseur du consommateur, donc selon le but poursuivi. Mais pour poursuivre un but, faut-il encore lâextraire des Ă©lĂ©ments dans lequel il est contenu. Câest Ă cette activitĂ© que nous passons notre existence, et ceci me fait penser que les dĂ©couvertes scientifiques doivent nous apporter toujours plus dâĂ©lĂ©ments prĂ©cis, non pour diriger lâexistence Ă notre place, mais pour rĂ©duire notre mĂ©connaissance Ă nous reste donc de la place pour penser notre existence. Et mĂȘme si la science nous permet de comprendre ce que nous sommes, et mĂȘme si nous sommes capables dâĂ©quilibrer les neurotransmetteurs de nos Ă©motions violentes, ils nâen demeureront pas moins actifs si nous les sollicitons par des schĂ©mas abstraits, basĂ©s sur la richesse obtenue par la raretĂ© et lâinadĂ©quation de la complĂ©tude nĂ©cessaire entre nous et lâ est-ce lĂ que se situe lâintelligence aprĂšs laquelle nous courrons depuis des millĂ©naires, et que tous les Hommes ont exprimĂ© au cours des siĂšcles, aussi bien au travers de la religion que de la philosophie. Que dâautres ont exprimĂ© au travers de comportements eugĂ©niques et gĂ©nocidaire » Ă la recherche de lâhomme parfait, et qui resurgissent du fait des nouvelles dĂ©couvertes dans le domaine de la gĂ©nĂ©tique et de la ces dĂ©bats que soulĂšvent les progrĂšs scientifiques, des hommes de qualitĂ© soulignent les risques dâentrĂ©e dans des pratiques qui conduiraient Ă de tel excĂšs par une sĂ©lection prĂ©ventive de lâembryon, ou bien des risques de sĂ©grĂ©gation sociale, ethnique, et de revenu, auxquels pourraient conduire ces progrĂšs scientifiques, pour bĂ©nĂ©ficier des perfectionnements dont nous pourrions faire de ces hommes que nous ne pouvons pas qualifier dâinintelligent sont Ă©galement de fervents dĂ©fenseurs du libĂ©ralisme Ă©conomique, qui est lui-mĂȘme le ferment de bien des craintes quâils expriment. Ceci le plus souvent par culte de lâĂ©litisme, et si des hommes ont envie dâĂȘtre ressemblants Ă lâimage quâon leur vend, ce nâest pas dĂ» aux dĂ©couvertes des scientifiques, mais plus au commerce de lâimage parfaite de lâhomme ; non quâelle nâait pas toujours existĂ©, les Grecs avaient bien leur Apollon, mais ils nâavaient pas les moyens dâen vendre les nous trouvons donc devant le paradoxe de vouloir se prĂ©munir de risques alors que nous maintenons lâexistence des systĂšmes qui les dĂ©montre notre difficultĂ© Ă concilier nos perceptions Ă©motionnelles, notre raison, et les organisations systĂ©miques que nous avons créées qui cimentent par le fait social majoritaire notre reste convaincu que si la science ne nous apprendra pas pourquoi nous vivons, elle sera en mesure de nous apprendre comment nous fonctionnons, ce qui nous permettra de filtrer les informations les plus favorables Ă notre existence, et donner ainsi Ă notre tĂȘte, un regard sur elle plus large que celui que nous offre la traduction directe de nos sens Ă©motionnels contenus dans et par leur environnement immĂ©diat. Et mĂȘme pourrons-nous espĂ©rer pouvoir devenir de petits gĂ©nie » grĂące Ă la recherche sur la mĂ©morisation[209], sans passer par lâobsession de lâhomme alors pourrons nous rĂȘver Ă lâĂtre presque parfait », non par lâĂ©limination du plus faible, du plus laid, du plus sot au titre de notre sĂ©lection naturelle culturelle technico comptable», mais parce que nous saurons vivre notre Ă©volution, et rĂ©parer nos dĂ©ficiences, ce qui nâest pas le propre des espĂšces qui nâont pas notre intelligence pour la ne devrait pas ĂȘtre mesurĂ©e Ă lâaune de la capacitĂ© intellectuelle, mais en fonction de lâusage que lâon en fait pour se pas oublier lâ - Un grand absent dans cet absent auquel je fais allusion est lâimpact de lâactivitĂ© de nos relations sexuelles sur nos dĂ©cisions nâai jamais lu un ouvrage en ce sens du mĂȘme style que celui de Guy Breton le dessous des petites histoires de lâHistoire de France » qui rapporte lâinfluence des femmes dans les dĂ©cisions politiques des rois. Nâayant pas les connaissances pour le faire, je me contente de signaler cet oubli volontaire dĂ» Ă mon ignorance, non des promotions canapĂ©s, des agressions sexuelles, et de lâĂ©conomie de la prostitution, mais de lâinfluence du pourvoir de sĂ©duction qui impose aux hommes de devoir plaire, eux qui pensent en moyenne huit 8 fois par jour Ă lâamour. Il me semble que maintenir hors dâune analyse cet aspect, câest avoir omis un Ă©lĂ©ment fondamental dâun comportement social qui ne peut que se rĂ©percuter dans lâĂ©conomie, car jâai dĂ©jĂ dit que je considĂ©rais lâĂ©conomie comme la quantification mesurable de notre activitĂ© sociale. Nous savons que lâapprentissage culturel dans bien des pays est diffusĂ© par la femme au sein du foyer, que son rĂŽle est primordial, mĂȘme si nous avons dĂ©veloppĂ© un monde machiste dans lequel elle recouvre une place, sa place dont le mĂąle lâa exclue il y a bien longtemps, Ă lâĂ©poque ou elle faisait lâobjet de vĂ©nĂ©ration car elle donnait, dans lâincomprĂ©hension, la illustrer mon propos je prendrai lâexemple dans le moyen Ăąge grec » qui commence vers le II iĂšme siĂšcle AV. comprenant la CrĂȘte et les AchĂ©ens qui se partagent le monde GrĂ©co Ă©gĂ©en, et la GrĂšce archaĂŻque que les historiens situent entre le VIII iĂšme et V iĂšme siĂšcle. Les origines du monde sont Ă©voquĂ©es par le Chaos sans attribut, Gaia la terre dĂ©finie par son large sein », Gaia au grand sein », donc capable de donner la vie Ă dâautres vies, relayĂ©e par le mythe en dĂ©esse qui est Ă la fois premiĂšre, la plus ancienne, incroyablement vaste, et qui peut Ă elle seule, sans mĂąle, par ses propres forces et secrĂštes vertus, donner la vie. En troisiĂšme lieu Ăros, lâamour. Câest lâamour qui nâaime pas, la reprĂ©sentation dâun surgir », dâun apparaĂźtre ». La mer, voie dâeau dans la rĂ©alitĂ© Ă©conomique grĂ©co-Ă©gĂ©ene engendre une dĂ©esse de la mer vĂ©nĂ©rĂ©e, Amphitrite, dont le nom apparaĂźt historiquement avant celui restĂ© cĂ©lĂšbre dans notre Ă©ducation patriarcale », PosĂ©idon, dieu de la mer. PosĂ©idon est dâorigine Asianique, une des religions antiques du Moyen-Orient. Amphitrite lâĂ©pouse dans la version de la ThĂ©ogonie dâHĂ©siode datant du VI iĂšme siĂšcle. Câest lĂ , la rĂ©alitĂ© dâune culture gynĂ©ocratique qui subira de lentes et visibles transformations. Ensuite dans la version 1970, plus rĂ©cente, ce fut Amphitrite qui fut prise pour Ă©pouse par PosĂ©idon. Les positions se sont donc totalement inversĂ©es signe dâune modification exemple parmi certainement beaucoup dâautres, indique clairement une inversion des rĂŽles par acculturation dâinfluence, et Ă la longue, une mise sous silence du rĂŽle politique et religieux de la femme qui nâen a pas moins poursuivit, secrĂštement ou non, son influence au travers des dĂ©sirs dont elle faisait lâ a fallu attendre lâactivitĂ© des femmes protestantes, avec Sarah 177 en 1838 qui publia aux Ătats-Unis un manifeste fĂ©ministe nu on the Esquality of he sexes and the condition of Women » ; en Angleterre Elisabeth Cady humaine avec sa Womenâs bible » en 1890, et une autre protestante française Sarah Monod qui devint prĂ©sidente du conseil national des femmes Ă sa crĂ©ation en 1901, pour quâelles revendiquent leur Amphitrite et Sarah Monod il nây a pas moins de 3000 ans. Dire que câest seulement lâhistoire religieuse qui leur a usurpĂ© leur place, serait dĂ©placer le problĂšme des organisations sociĂ©tales Ă leurs reprĂ©sentations[210]. ReprĂ©sentations dont les rĂŽles ont Ă©tĂ© de les maintenir en lâĂ©tat en fonction de lâadaptation Ă©volutive Ă lâenvironnement gĂ©ohistorique, et auxquelles elles ont largement contribuĂ© par inculture ou tradition au travers de lâapprentissage, tout comme nous le faisons aujourdâhui pour perpĂ©tuer les organisations qui nous asservissent. Pour quâil en soit autrement, il faut avoir un choix mĂȘme restreint, et pour quâil existe il faut avoir le temps dây rĂ©flĂ©chir la tĂȘte remplie de connaissances. Et dans cette connaissance rien ne nous interdit dâenvisager quâune sociĂ©tĂ© matriarcale[211] ne serait pas meilleure que la notre. A condition comme je lâai dĂ©jĂ dit que nous nâayons pas fabriquĂ© des femmes hommes. Car, quand au nom de lâĂ©galitĂ© nous envoyons des femmes faire la guerre, et tuer ce Ă quoi elles donnent la vie, je crois que nous avons atteint lĂ aussi le point dâun absolu dans le raisonnement dâhommes qui veulent se prĂ©tendre civilisĂ©s. Câest aussi exact pour les hommes, mais cela fait tant de millĂ©naires que nous pratiquons lâexercice de nous entre tuer que câest devenu une banalitĂ©, et il est bien inutile de lâĂ©tendre aux femmes. Ce quâil ne faut pas interprĂ©ter comme signifiant quâil devrait y avoir des secteurs rĂ©servĂ©s. Bien sur nous trouverons mille et une raison de justifier quâil en soit ainsi, au nom de la patrie, du droit de se dĂ©fendre, de lutter pour un idĂ©al ; et si nous pensons quâil y a une espĂ©rance de voir un jour la guerre rĂ©gresser, ce nâest pas en poussant le sexe humain, le plus apte Ă soutenir ce point de vu, Ă la guerre que nous avancerons vers lâhominisation, car câest dans cette matrice maternelle que nous avons une chance dâinscrire dans le conscient profond de lâenfant lâhorreur de la guerre ; bien Ă©videmment je conçois toute la difficultĂ© dâune telle dĂ©marche qui sâoppose Ă notre culture guerriĂšre. Sinon pourquoi avoir combattu et supprimĂ© lâanthropophagie[212] qui a caractĂ©risĂ© une Ă©tape vers cette hominisation. Aucun groupe culturel nâaime particuliĂšrement se rappeler cet Ă©tat de fait oĂč par nĂ©cessitĂ©, par pĂ©nurie alimentaire les hommes nâhĂ©sitaient pas Ă manger femmes, enfants, vieux et captifs, et dont nous avons conservĂ© des rituels cultuels les offrandes. Aujourdâhui pour disposer du nĂ©cessaire alimentaire, industriel ou territorial nous faisons des guerres avec les mĂȘmes morts sauf que nous ne les mangeons plus, est-ce cela ĂȘtre civilisĂ© ? Dans lâĂ©tude de nos mĆurs il ne manque pas de scĂšnes rapportĂ©es oĂč la femme fait cuire des morceaux dâhumains, doit-on encore lui demander de le faire, mĂȘme si lâimage est recomposĂ©e. La comparaison peut choquer et mĂȘme paraĂźtre inopportune voire dĂ©placĂ©e. Pourtant nos ancĂȘtres ne trouvaient pas leurs pratiques barbares, tout comme nous nous ne trouvons pas barbares les nĂŽtres qui conduisent Ă la mĂȘme finalitĂ©, pour les mĂȘmes raisons, sauf que nous, aujourdâhui nous maintenons cette raison parce quâelle donne un but Ă lâexistence, cela bien que nous disposions des moyens je lâai dĂ©jĂ dit quâil en soit autrement ce qui nâĂ©tait pas le cas de nos ancĂȘtres. Ainsi peut-ĂȘtre, que si les femmes nâendossent pas le manteau de plomb des hommes, pourront-elles imaginer dâautres organisations sociales, non pas parce quâelles seraient investies dâun quelconque pouvoir, car lâhistoire nous livre aussi des communautĂ©s oĂč elles se montraient aussi cruelles quâun homme, mais parce quâelles font ce quâaucun homme ne peut connaĂźtre, enfanter notre espĂšce ; et cela lui donne bien le droit de redĂ©finir une image du pĂšre » pour une finalitĂ© meilleure que celle que leur proposent les hommes de puis des millĂ©naires, en mangeant ou en envoyant Ă la guerre sa progĂ©niture. Si nos ancĂȘtres avaient Ă©ventuellement lâexcuse de ne rien savoir de leur origine, avec le dĂ©veloppement des sciences nous nâavons plus cette excuse, si ce nâest celle de refuser dâ - Ne pas oublier lâ a-t-il de plus essentiel que la Vie. Or, notre histoire humaine est une longue liste dâatrocitĂ©s dâune espĂšce qui, passant de la cueillette Ă la chasse puis Ă lâagriculture, a dĂ©couvert la notion de propriĂ©tĂ© par la sĂ©dentarisation, et sâest entre-tuĂ©e pour acquĂ©rir les butins » produits sur ces territoires, et pour les territoires eux-mĂȘmes. Ce nâest pas lui faire injure que de le reconnaĂźtre comme un fait historique. Les frontiĂšres de tous nos Ătats se sont Ă©tablies dans la souffrance, tout comme nos rĂ©gimes politiques et religieux qui nâont Ă©tĂ© que le reflet des pratiques sociĂ©tales, et cela se poursuit comme une gangrĂšne qui nous relatons cela dans une trĂšs grande partie de la littĂ©rature qui nous abreuve de crimes individuels toujours punis, et de grandes Ă©popĂ©es dâarmĂ©es libĂ©ratrices ou conquĂ©rantes, avec Ă la clĂ© pour les vainqueurs, statues, mĂ©dailles et encensements pour avoir avec de justes raisons, torturĂ©, violĂ©, et tuĂ© lâennemi, lâopposant, lâincroyant, lâenvahisseur, lâagresseur ou lâinfidĂšle. Chaque Ătat a donc construit une histoire rose pour sâen dĂ©douaner, que les historiens dĂ©florent depuis une trentaine dâannĂ©es. Il serait bien inutile de chercher Ă savoir qui a commencĂ©, ni de condamner ceux qui ont sacrifiĂ© leur vie pour une cause. Mais aujourdâhui nous savons analyser et anticiper nos comportements sociologiques, et au terme de conquĂ©rant sâest substituĂ© celui de rĂ©sistance Ă lâagression quâelle soit religieuse, culturelle ou Ă©conomique, et chacun sâĂ©vertue Ă dĂ©signer lâautre comme agresseur, pour justifier de devoir le tuer. Ce que je veux souligner câest que notre littĂ©rature, notre cinĂ©mathĂšque, nos tĂ©lĂ©films, nos jeux vidĂ©o, quâils soient Ă destination dâenfants ou dâadultes relatent pour une bonne part de la criminologie, de la violence et de lâaventure guerriĂšre, et il ne manque pas dâouvrages faisant lâapologie de la guerre Ă en banaliser la notion de tuer ; avec un double effet, celui de ne pas vouloir sâinvestir dans lâactivitĂ© publique dâune sociĂ©tĂ© qui ne nous revoie quâune image violente, et ensuite dâavoir comme rĂ©ponse Ă des Ă©vĂ©nements qui nous agressent quâune rĂ©plique presque instinctivement violente, parce que nous aurons mĂ©morisĂ© les images de notre violence. Ainsi, pour en revenir Ă la GrĂšce, comme sa cosmogonie relatait par ses mythes les pratiques de sa sociĂ©tĂ©, par nos sources mĂ©diatiques nous relatons les nĂŽtres, et comme les Grecs aimaient leurs dieux sanguinaires, Nous, nous aimons la reprĂ©sentation de notre violence. Sinon ce marchĂ© du livre et de lâimage ne serait pas produit sâil nây avait pas une vente serait donc sot et absurde de vouloir se le cacher, se serait le moyen le plus sĂ»r dâen mourir, comme quelquâun qui se cacherait le mal dont il souffre, et nâaurait ainsi aucune chance de se soigner. Prendre conscience que notre espĂšce prend du plaisir, Ă la souffrance et au malheur dâautrui nâa rien de honteux ; ce qui lâest, câest de vouloir se faire passer pour vertueux, ou de rechercher des raisons vertueuses pour y donner cours. Depuis 2000 ans quâil a Ă©tĂ© dit, tu ne tueras point », les pires punitions, les prisons les plus sordides, les accords de rĂ©glementation les plus sophistiquĂ©s nâont pu lâimposer. Ces mesures ont mĂȘme servi Ă transgresser ce tu ne tueras point » chacun avec sa juste raison issue des informations quâil a traitĂ© dans lâidentitĂ© quâil sâest construite, contestĂ© parfois par dâautres avec dâaussi justes informations analysĂ©es dans le mĂȘme cadre. Et nous allons comme cela, dans nos langues, nos Ătats, nos ethnies, nos religions, nos idĂ©ologies, nos racines disons-nous pour disposer dâune identitĂ©. Les connaĂźtre est une chose, les reproduire avec leurs erreurs ou se venger en leur nom en est une autre. Si enfin la dĂ©finition de crime contre lâhumanitĂ© peut apporter une quasi-solution dans des situations spĂ©cifiques, elle sera un jour confrontĂ©e Ă son dĂ©sir de voir tout homme respectĂ© dans sa dignitĂ© humaine, sauf que cela commence par les fondements naturels les plus primaires, se nourrir, copuler, sâabriter. Et sa juridiction qui se veut universaliste nâĂ©chappera pas au problĂšme de la pauvretĂ© que gĂ©nĂšre lâorganisation libĂ©rale, qui engendre en rĂ©troaction des idĂ©ologies hĂ©gĂ©moniques, car quand lâon souhaite rĂ©genter le droit universel, on ne peut longtemps se limiter aux champs qui nous arrangent, car on devient une bouĂ©e de sauvetage pour les plus meurtris. Alors peut-ĂȘtre vaudrait-il mieux mettre notre espĂ©rance dans un long processus dâĂ©ducation, diffusant un enseignement rĂ©munĂ©rĂ© tout au long de lâexistence, qui permettrait dâemployer Ă©galement ceux qui ne fabriqueraient plus dâarmes ; et dĂ©velopper un commerce ou un capitalisme socialisant plutĂŽt quâ - Alors y a-t-il une solution ?Certainement, car tout nous est permis grĂące Ă notre intelligence, mais pour cela encore faut-il le vouloir, et savoir trouver les dieux que nous adorons et qui nous demande de tels sacrifices humains ; et Ă mon sens il nây a quâen luttant contre lâignorance de ce que nous sommes. Je pense donc que le Savoir et la Connaissance peuvent nous y aider, Ă condition que lâinstruction et lâĂ©ducation dĂ©bouchent sur cet inconnu quâest lâintelligence ; mais sur cette intelligence heuristique que nous percevons par intuition. Cette intelligence apte Ă traduire pour notre instinct, pour le vieil homme » une autre image du pĂšre Ă©gocentrique » qui nous conduit Ă la destruction, dans la rĂšgle stricte dâun processus dâĂ©volution qui conduit toute cellule Ă mourir sous ses propres dĂ©chets ou Ă se rĂ©former. La solution passe Ă mon sens par cette intelligence ressentie, qui fait Ă tout un chacun refaire le monde entre trouverons-nous en elle le moyen de parvenir Ă ce que nous avons dĂ©fini dâessentiel, et auquel nous ne pouvons pas nous tenir ?Cela peut paraĂźtre curieux que mon essai se termine par une interrogation, sâil en avait Ă©tĂ© autrement cela aurait signifiĂ© pour le moins que je nâavais moi-mĂȘme rien compris Ă ce que jâavais Ă©crit. Parce que lorsque nous nous interrogeons sur notre existence, si nous ne dĂ©bouchons pas sur une question, câest que quelque chose a dĂ» nous conclure cet essai oĂč je fais un pari sur un futur fondĂ© sur les progrĂšs de notre intelligence cĂ©rĂ©brale, dâun cerveau dotĂ© dâune capacitĂ© psychique extraordinaire pour dĂ©velopper une nouvelle richesse, je me sens intellectuellement parfaitement limitĂ© pour le dĂ©velopper, tant jâai abordĂ© de disciplines dont je nâai que quelques fragments de connaissance. Si dâaventure quelques Ă©rudits voulaient le reprendre, le sujet est crois quâĂ lâinstar de lâimprimerie qui a marquĂ© une Ă©tape importante dans la diffusion du savoir et de lâinformation, la connaissance des sciences de la physique, par la mĂ©canique quantique, va marquer une autre Ă©tape dans le dĂ©veloppement sociĂ©tal de notre civilisation. Il nous faudra regarder beaucoup de nos relations, ou requalifier » beaucoup de nos relations sous son auspice, inventer dâautres mots, alors que dâautres rejoindrons les dictionnaires des mots rares et prĂ©cieux, en mĂ©moire du passĂ©. Si la thĂ©orie du chaos permet dâexploiter la plus petite donnĂ©e Ă©conomique, elle peut Ă©galement nous permettre dâen mesurer son incidence Ă trĂšs long terme et dâenvisager un regard sur notre existence, non plus Ă la seule mesure de nos perceptions sensorielles mais Ă celle de notre intelligence. NĂ©anmoins, il nous faudra pour cela faire le mĂȘme effort qui a suivi la dĂ©couverte de lâimprimerie, crĂ©er un enseignement. Mais non plus seulement Ă destination des enfants, mais pour tous les adultes tout au long de lâexistence, sans attendre quatre cents ans pour le mettre en Ćuvre. Ceci, pour que la dĂ©marche dâapprendre devienne un plaisir et non pas une souffrance, comme celle Ă laquelle nous avons rĂ©duit nos relations vitales avec le surtout, parce le savoir est lâĂ©lĂ©ment dans lequel baigne notre nature culturelle et il nous faudra regarder notre existence Ă lâĂ©chelle de lâespĂšce et de sa durĂ©e. Chacun sachant prendre au quotidien au travers des mots, le plaisir que cela lui offre dây appartenir. Pour rĂ©aliser cet objectif les hommes existent aujourdâhui, et si jâen ai critiquĂ© certains dâentre eux câest parce quâils peuvent mieux faire. Il suffit peut-ĂȘtre de leur donner seulement un autre but qui soit autre quâun but nous lâavons appelĂ© Demain,Le jour oĂč elle est nĂ©e, le mĂ©decin lâa dit,Elle sera jolie !Elle a les cheveux moutonneux de fils soyeux,Son corps naissait. Le ciel a le regard bleu de cils heureux,Ses yeux pleuraient. La nuit a les lĂšvres enneigĂ©es de blanc lactĂ©, Sa bouche happait. La pluie est un univers ĂȘtres sâimaginent le nĂ©ant,DEMAIN, nous lâavons baptisĂ© Demain,Lâaube oĂč elle est nĂ©e, son parrain lâa Ă©crit,Elle sera nantie !Elle a des bras dâeau bĂ©nissant,LâocĂ©an fraĂźchit. Son nez a des seins dâĂ©tĂ© sĂ©millant,Lâorage bleuit. Sa peau a des doigts de jeux sablonneux,La plage rougit. Ses mains est un monde hommes se lâimaginent nous lâavons dĂ©signĂ© lĂšve sa journĂ©e. Dieu lâa le paradis !En se signant des mains, les rondes lâont chantĂ©Les toits mitraillaient ses mots rentrant dans les chairs, les balles lâont sifflĂ©La victoire hurlait, bientĂŽt demain !Contre un bout de papier, je vous promets la paix,Je feins de vous aimer, contre un bout de papier,Contre un bout de papier, je vous ferai rĂȘver,Demain ! Contre un bout de papier. Je suis barbier !DEMAIN nous lâavons soupirĂ© matin lĂšve sa journĂ©e. LâOracle lâa nâest quâaujourdâhui !Nos Ăąmes parent ses heures italiques,Fleurs Cardinal ou pierres dâ passions brassent avec leurs maniquesSon portrait aux couleurs de notre dans cet univers dĂ©coupĂ©,Demain tintera douze fois mondes divisĂ©s, aux jours dĂ©chirĂ©s,Elle est si dĂ©sirĂ©e cette journĂ©e !BibliographiesAmiel Anne. 50 grandes citations philosophiques expliquĂ©es. Ăditeur Marabout. Francis et 1990. GĂ©rard. Les nouveaux mĂ©dias. Ăditions presses universitaire de France. Benjamin R. Djihad versus Mc World. Ăditeur DesclĂ©e de Brouwer. Michel. Lâhistoire du capitalisme. Ădition Du Seuil. Henri. LâĂ©volution crĂ©atrice. Ăditeur Presse universitaire de France. Jean-Michel. La construction de la sociologie. Ădition Presses universitaire de France. GĂ©rard. Lâincertitude. Ădition presses universitaire de France. Daniel. Les dĂ©couvreurs. Ăditeur Robert laffont. Michel. Le Guide Des Toxicitudes. Ădition Robert Laffont. Janine, Marie-Martine Salort. Initiation Ă lâĂ©conomie. Ădition Hatier. de lâimaginaire. Mythologie et vie sociale. Ădition Lâharmattan. Jean Yves, Olivier Garnier. Dictionnaire de lâĂ©conomie. Ădition Hatier. Marcel. Le crime contre lâhumanitĂ©. Ădition Eres. la dictature des marchĂ©s. Ădition f, La dispute, Dyllepse, VO Ă©dition. Pierre. Les prodigieuses victoires de la psychologie. Ăditeur Marabout. Pierre. Les voies Ă©tonnantes de la nouvelle psychologie. Ădition Marabout. Rosnay JoĂ«l. Le macroscope, vers une version globale. Ăditions du Seuil. Jean. Conscience et cerveau. Edition DeBoeck UniversitĂ©. Morin, Heinz Weinmann. La complexitĂ© humaine. Ădition Flammarion. septembre 1999 n° Pierre. De bienfaits de la dĂ©pression. Ădition Odile Jacob. Sigmund. Tatou et Totem. Ădition Payot et Rivages. Murray. Le Quark et le Jaguar. Ăditeur Flammarion. Jean-Claude. Jouez et gagner en bourse. Ăditeur Jean-Claude LattĂ©s. La thĂ©ories du chaos. Ăditeur Flammarion. Jean. Dieu et la science. Ăditeur Edwards T. La dimension cachĂ©e. Ăditions du Seuil. Edwards. Le noir de la nuit. Ădition du Une brĂšve histoire du temps. Editions Flammarion. La partie et le tout. Ăditeur Albin Michel. Pierre. La folie de Sophocle Ă lâantipsychiatrie. Ădition Bordas. Albert. La lĂ©gende de la vie. Ăditeur Flammarion. Michio. Visions. Ăditeur Albin Michel. et la sociĂ©tĂ©. Anthropologie de lâespace habitĂ©. Ădition Lâharmattan. Bible. Ădition SociĂ©tĂ© biblique française. recherche. Le cerveau dâEinstein. 1999 DĂ©cembre n° Henri. Ăloge de la fuite. Ăditeur Gallimard. Alain. Les grands courants du libĂ©ralisme. Edition Armand Colin. FrĂ©dĂ©ric et YsĂ© Tardan-Masquelier. EncyclopĂ©die des religions. Ăditions Bayard. paradis fiscaux. Ăditions Mille et une nuit. Claude. Race et histoire. Ăditeur Gonthier. Paris de la pensĂ©e. EncyclopĂ©die Investissement et capital. Ădition du Seuil. Jean-Claude. La SystĂ©mique Sociale. Ăditeur presse universitaire de France. M. Ăloge de la philosophie. Ăditeur Gallimard. 1953 et GĂ©rard. Francoscopie. Ădition Larousse. ThĂ©odore. RĂ©vĂ©rence Ă la vie. Edition, Bernard Grasset. Thomas. Lâutopie. Ădition la dispute. Michelle. La monnaie. Ăditeur Ăconomie. Robert A.. La tradition sociologique. Ădition Quadrige/ presses universitaire de France. Roques Aline. La botanique redĂ©couverte. Ăditeur Belin INRA. Claude. LâinterprĂ©tation des textes. Ădition Les Ă©ditions de minuit. Alain. Les rythmes biologiques. Ăditions presse universitaire de France. Hubert, JoĂ«l de Rosnay, Yves Coppens, Dominique Simonnet. La plus belle histoire du monde. Ădition du club France loisirs rĂ©alisĂ© avec lâautorisation des Ăditions du Seuil. et vie. N° 1016. Mai 2002Science et vie. N° 889 â octobre et vie. N° 932. Mai et vie. N° 933. Juin et vie. N° 953. FĂ©vrier Jean. Ces dieux qui firent le ciel et la terre. Editions, Robert laffont. Edouard. Les grands InitiĂ©s. Ăditeur Librairie acadĂ©mique Perrin. Philippe. La sociologie de Durkheim. Ădition la dĂ©couverte. AndrĂ© et Huisman Denis. Nouveau cours de philo ». Ăditeur Fernand Nathan. Yvette, Pierre Pech. Lâhomme et lâenvironnement. Ăditeur Presse universitaire de France. Paul. La rĂ©alitĂ© de la rĂ©alitĂ©. Ădition le Seuil. Paul. Le langage du changement. Ăditions du Seuil. des 1GIARDINO AndrĂ©. 1RĂ©sumĂ©. 3REMUNERER LES HOMMES POUR APPRENDRE. 3AVERTISSEMENT. 6Aux pionniers de lâunivers. 17LE DEVOIR D'APPRENDRE UN MARCHE DE LâINTELLIGENCE_ 19AVANT-PROPOS. 191 - Pourquoi apprendre ? ; cela dĂ©pend de nous. 19Pourquoi apprendre ? 19âŠCela dĂ©pend de nous. 19PRELĂMINAIRE. 202 â Une raison qui se construit sur la conservation, de milliards de donnĂ©es et de concepts, pour nous interroger, pour notre usage harmonieux, et vivre parce que nous existons 20Une raison qui se construit sur la conservation, de milliards de donnĂ©es et de conceptsâŠ_ 20âŠet sâinterroger... 20âŠpour notre usageâŠ__ 21âŠharmonieux... 21âŠet vivre parce que nous existons. 223 â Ainsi, un jour, jâeus une idĂ©e nĂ©e dâune problĂ©matique pas si simple, entre utopie et idĂ©ologie. 24Ainsi un jour... 24âŠjâeus une idĂ©e... 24⊠nĂ©e dâune problĂ©matique... 24âŠpas si simpleâŠ__ 25⊠entre utopie et idĂ©ologie. 25CHAPITRE, I 26REMUNERER LES HOMMES POUR APPRENDRE. 264 - Pour cela, il faut seulement comprendre un questionnement sans le Savoir, que serions-nous ? 26Pour cela, il faut seulement comprendre un questionnementâŠ_ 26⊠sans le SavoirâŠ_ 27⊠que serions-nous ⊠? 275 - Que sommes-nous ? Avec notre agressivitĂ©, au-delĂ de lâĂ©gocentrisme et de lâinstinct naturel ; dâEtre intelligent capable dâassumer notre savoir, malgrĂ© nos erreurs comme Malthus. 27Que sommes-nous ? Avec notre agressivitĂ©âŠ_ 27âŠau-delĂ de lâĂ©gocentrismeâŠ__ 30⊠et de lâinstinct naturelâŠ__ 31âŠdâun Ătre intelligentâŠ__ 34âŠcapable dâassumer son savoirâŠ__ 35âŠmalgrĂ© ses erreursâŠ__ 35âŠcomme Malthus. 366 - Face Ă la sĂ©lection naturelle, Ă lâexclusion, et Ă la production de nos maux qui ne sont pas inĂ©vitables. 37Face Ă la sĂ©lection naturelle »âŠ__ 37âŠĂ lâexclusionâŠ__ 38âŠet Ă la production de nos mauxâŠ__ 39âŠqui ne sont pas inĂ©vitables ! 417 â Perdu au milieu dâun ensemble allant, du clan Ă lâĂtat et au clan financier, dans un espace occupĂ© par les possĂ©dants 41Perdu au milieu dâun ensemble allant du clan Ă lâĂtat et au retour au clan financierâŠ__ 41⊠dans un espace occupĂ©âŠ__ 42âŠpar des possĂ©dants. 428 â Sur quoi repose cette richesse, si ce nâest sur un capital confiance ou une crĂ©dulitĂ©, dans un puzzle infini de contraintes 42Sur quoi repose cette richesse, si ce nâest sur un capital confiance ou une crĂ©dulitĂ© âŠ__ 42⊠dans un puzzle infini. 43⊠de contraintes. 439 â Un puzzle dans lequel il existe deux constantes incontournables dâune rĂ©alitĂ© » persistante mise en Ă©vidence depuis 1950. 44Un puzzle dans lequel il existe deux constantes incontournablesâŠ__ 44⊠dâune rĂ©alitĂ© persistanteâŠ__ 44⊠mise en Ă©vidence depuis 1950. 4510 â Avenir quâil faudra bĂątir de compassion pour affronter les peurs au-delĂ de nos certitudes, dans une dynamique progressiste pour se rĂ©partir le temps, vers une dynamique de temps libre. 45Avenir quâil faudra bĂątir de compassionâŠ__ 45⊠pour affronter les peurs... 46⊠au delĂ de nos certitudesâŠ__ 47⊠dans une dynamique progressisteâŠ__ 47⊠pour se rĂ©partir le tempsâŠ__ 48⊠vers une nouvelle dynamique du temps libre. 4911 â Mais nous sommes un animal » pas encore civilisĂ©, qui doit forcer son intelligence. 49Mais nous sommes un animal » pas encore civilisĂ©âŠ__ 49⊠qui doit forcer son intelligence. 50Chapitre II 52Faire un choix qualitatif. 5212 - Le temps, un dĂ©terminant social, mais câest quoi le temps ? Un temps relatif qui nâavait pas Ă©chappĂ© Ă Aristote et dont notre civilisation a acquis les moyens dâune certaine maĂźtrise. 52Le temps, un dĂ©terminant social... 52âŠcâest quoi le temps ?... 52âŠUn temps relatifâŠ__ 54⊠qui nâavait pas Ă©chappĂ© Ă AristoteâŠ__ 54⊠et dont notre civilisation a acquis les moyens une certaine maĂźtrise. 5513 - Pourtant tout comme lâĂ©criture ces moyens ne sont pas neutres. Aujourdâhui cette Ă©criture » est mĂ©diatique ; et prendre conscience que rien nâest simple pour se surpasser est une nĂ©cessitĂ© existentielle que nous restreignons, lĂ , oĂč la pluridisciplinaritĂ© devient une Ă©vidence. 55Pourtant tout comme lâĂ©criture ces moyens ne sont pas neutresâŠ__ 55⊠aujourdâhui cette Ă©criture est mĂ©diatiqueâŠ__ 56⊠et prendre conscience que rien nâest simple pour se surpasserâŠ__ 56⊠et une nĂ©cessitĂ© existentielleâŠ__ 57⊠que nous restreignonsâŠ__ 58⊠LĂ , oĂč la pluridisciplinaritĂ© devient une Ă©vidence. 5814 - Les plus intelligents lâont fait, Ă quand nous tous ?_ 59Les plus intelligents lâont fait. 59âŠĂ quand nous tous ?_ 6015 â Pourtant certains sâen excluent, mais quâil y a une tendance, malgrĂ© un archĂ©type. 60Pourtant certains sâen excluentâŠ__ 60⊠mais il y a une tendance... 61⊠malgrĂ© un archĂ©type. 6116 - Non pour ĂȘtre des gĂ©nies, mais assez pour nous comprendre, en y consacrant du temps pour ne pas sâĂ©garer. 62Non pour ĂȘtre des gĂ©nies mais assez pour nous comprendreâŠ__ 62⊠en y consacrant du tempsâŠ__ 63⊠pour ne pas sâĂ©garer. 6317 â Lâenseignement complĂ©mentaire pour adulte ne doit pas rester une exclusivitĂ© sans relation avec le systĂšme Ă©ducatif, mais il va susciter des choix difficiles 65Lâenseignement complĂ©mentaire pour adulte ne doit pas rester une exclusivitĂ© sans relation avec le systĂšme Ă©ducatifâŠ__ 65⊠mais il va susciter des choix difficiles. 65LâINACHĂVEMENT. 65Pas de contradiction Ă effacer, 66CHAPITRE, III 68SUR DES GENERATIONS. 6818 - Par transmission et planification. 68Par transmission et planification. 6818 â ArrĂȘtons un instant dessus pour regarder comment lâon passe dâune tradition Ă un marchĂ© planifiĂ© qui a dĂ©veloppĂ© un savoir-faire seul. 68Comment lâon passe dâune tradition Ă un marchĂ© planifiĂ©âŠ__ 68⊠qui a dĂ©veloppĂ© un savoir-faire seul. 6920 - Le savoir se vend mal sauf parmi ceux qui le possĂšdent, mais la culture populaire enrichit leur protagonistes. Elle est lâobjet de dĂ©bats, dans lesquels il faut un dĂ©codeur qui existe en kit et en piĂšces dĂ©tachĂ©es dans le magasin de la mĂ©connaissance 69Le savoir se vend mal sauf parmi ceux qui le possĂšdentâŠ__ 69⊠mais la culture populaire enrichit leurs protagonistesâŠ__ 70âŠElle est lâobjet de dĂ©bats... 71âŠdans lesquels il faut un dĂ©codeurâŠ__ 71⊠qui existe en kit... 72âŠet en piĂšces dĂ©tachĂ©esâŠ__ 73⊠dans le magasin de la mĂ©connaissance... 7321 - Le savoir en expansion reste difficile Ă suivre pour tous. 74Le savoir en expansionâŠ__ 74âŠreste difficile Ă suivre pour tous. 7521 â Mais lâespĂ©rance peut venir la loi du nombre. 75La loi du nombre. 7522 â Au fil des gĂ©nĂ©rations. 76Par gĂ©nĂ©ration. 76CHAPITRE, IV. 77STRUCTURES DâACCEUILS, DâENSEIGNEMENT COMPLĂMENTAIRE POUR ADULTE. 7724 â il en existe pour les actifs Ă hauteur de 30%, mais ECPA on une autre vocation et la capacitĂ© Ă atteindre est importante. Cela sera fonction dâun choix politique, car nous couvrons bien dâautres besoins. 77Elles existent pour les actifsâŠ__ 77âŠĂ hauteur de 30%. 77⊠mais ECPA on une autre vocation et la capacitĂ© Ă atteindre est importanteâŠ__ 77⊠cela sera fonction dâun choix politiqueâŠ__ 77âŠcar nous couvrons bien dâautres besoins. 78CHAPITRE, V. 79QUELS TYPES D ENSEIGNEMENT ?_ 7925 - Un enseignement pour des adultes, dans un Ă©change particulier auquel nous ne pouvons Ă©chapper, parce que nous sommes des rĂ©pĂ©titeurs qui pourront sâĂ©valuer et afficher leurs rĂ©flexions librement dans des limites incitatrices. 79Un enseignement pour des adultes âŠ__ 79⊠dans un Ă©change particulierâŠ__ 79⊠auquel nous ne pouvons Ă©chapperâŠ__ 79⊠parce que... 80⊠nous sommes des rĂ©pĂ©titeursâŠ__ 80⊠qui pourront sâĂ©valuerâŠ__ 80⊠et affiner leurs rĂ©flexions... 80⊠librementâŠ__ 81⊠dans des limites incitatrices. 81CHAPITRE, VI. 83QUI DISPENSERA CET ENSEIGNEMENT ?_ 8326 â Ceux qui ont dĂ©jĂ la connaissance et le savoir, aprĂšs une formation comme cela existe. 83Ceux qui ont dĂ©jĂ la connaissance et le savoir,âŠ__ 83⊠aprĂšs une formationâŠ__ 83⊠comme cela existe. 8327 â Sous un ministĂšre tout dĂ©signĂ© lâĂ©ducation nationale. 83Un ministĂšre tout dĂ©signĂ©. 83CHAPITRE, VII. 85QUELLES INCIDENCES SUR LA VIE DES CITOYENS ?_ 8528 â Il faut lâimaginer, car nous nous imposons dâapprendre, alors que lâadulte est ostentatoire et conservateur par peur, et que notre futur est presque illimitĂ©. 85Il faut lâimaginerâŠ__ 85⊠car nous nous imposons dâapprendreâŠ__ 85âŠalors que lâadulte est ostentatoireâŠ__ 86⊠et conservateur par peurâŠ__ 86⊠alors que notre futur est presque illimitĂ©. 8629 â Mais ce »futur » câest aussi une incertitude, que nous rejetons par illusoire grandeur parmi ce que nous pensons dâessentiel, mais il est toujours temps dâapprendre. 87Mais ce futur » câest aussi une incertitudeâŠ__ 87⊠que nous rejetonsâŠ__ 88⊠par illusoire grandeurâŠ__ 89âŠparmi ce que nous pensons essentielâŠ__ 90âŠmais il est toujours temps dâapprendre. 9030 â Car la seule terre Ă dĂ©couvrir est lâincertitude, mais avec modĂ©ration pour ne pas faire du savoir un Dieu, alors quâil nâest que culture, mĂȘme sâil est lent et incertain. 90Car la seule terre Ă dĂ©couvrir est lâincertitudeâŠ__ 90⊠mais avec modĂ©rationâŠ__ 91⊠pour ne pas faire un dieu du savoirâŠ__ 91⊠alors quâil nâest que culture,âŠ__ 92⊠mĂȘme sâil est lentâŠ__ 92⊠et incertain. 9231 â Une espĂ©rance qui nous astreint Ă lâeffort du fait de notre matĂ©rialitĂ©. 94Une espĂ©ranceâŠ__ 94⊠qui nous astreint Ă lâeffortâŠ__ 94⊠du fait de notre matĂ©rialitĂ©. 9532 â Comment se faire une idĂ©e du comportement de la population face Ă la formation, qui est une dĂ©marche limitĂ©e par lâidĂ©e de soi. 96Comment se faire une idĂ©e du comportement de la population face Ă la formation âŠ__ 96⊠qui est une dĂ©marche limitĂ©e par lâidĂ©e de soi. 9633 â Avoir une dĂ©marche estudiantine plutĂŽt quâĂȘtre spectateur, et socialement riche pour rompre un isolement, dans une sociĂ©tĂ© civile trĂšs sollicitĂ©e Ă consommer. Consommation Ă laquelle il est dur de rĂ©sister, malgrĂ© quelques tentatives. 97Avoir une dĂ©marche estudiantineâŠ__ 97⊠plutĂŽt quâĂȘtre spectateurâŠ__ 97⊠et sociologiquement riche pour rompre un isolementâŠ__ 98⊠dans une sociĂ©tĂ© civile trĂšs sollicitĂ© Ă consommerâŠ__ 98Consommation Ă laquelle il est dur de rĂ©sisterâŠ__ 98⊠malgrĂ© quelques tentativesâŠ__ 9934 â Il faut maĂźtriser notre intelligence culturelle pour ne pas ĂȘtre robotisĂ©. 99Il faut maĂźtriser notre intelligence culturelleâŠ__ 99⊠pour ne pas ĂȘtre robotisĂ©. 10035 â Faire une place aux Enseignements ComplĂ©mentaires Pour Adultes, par lâincitation financiĂšre ou par une pensĂ©e dâutilitĂ© potentielle, pour ne pas rester des hommes des cavernes. 100Faire une place au ECPAâŠ__ 100⊠par lâincitation financiĂšreâŠ__ 100⊠ou une pensĂ©e dâutilitĂ© potentielle »âŠ__ 100⊠pour ne pas rester des hommes des cavernes. 10136 â Nous voulons ĂȘtre des Dieux, plutĂŽt que de relever le dĂ©fie humain ! 101Nous voulons ĂȘtre des DieuxâŠ__ 101⊠plutĂŽt que de relever le dĂ©fie humain. 10237 â Un dĂ©fi qui sera dâabord rejetĂ© si lâenseignement nâest pas gratifiant. 103Un dĂ©fi qui sera dâabord rejetĂ©âŠ__ 103⊠si lâenseignement nâest pas gratifiant. 10338â Bien sur il y aura des opposants par pragmatisme opportuniste Ă cause dâune vue restrictive. Alors il faut Ă©largir notre rĂ©flexion, dans une addition, oĂč un plus un Ă©gale trois. 103Bien sur il y aura des opposantsâŠ__ 103âŠpar pragmatisme opportunisteâŠ__ 104âŠĂ cause dâune vue restrictiveâŠ__ 104âŠalors il faut Ă©largir notre rĂ©flexionâŠ__ 105⊠dans une addition qui est un plus un Ă©gale trois. 10639 - Il faut savoir se remettre en cause pour un projet avec beaucoup dâinterrogations sur lâexistence, que dâautres on traduit avec leurs moyens. 106Il faut savoir se remettre en cause âŠ__ 106âŠpour un projetâŠ__ 107âŠpleins dâinterrogations sur lâexistenceâŠ__ 107⊠que dâautres ont traduit avec leurs moyens. 10740â Je peux rĂȘver que la volontĂ© serait de le faire, mais rien de moins Ă©vident en dehors du dĂ©bat. 107Je peux rĂȘverâŠ__ 107⊠que la volontĂ© serait de le faireâŠ__ 108⊠mais rien de moins Ă©vidantâŠ__ 108âŠen dehors du dĂ©bat.. 10841 â Un dĂ©bat dans une sociĂ©tĂ© dominĂ©e par le libĂ©ralisme, oĂč le mot libertĂ© est un arbre qui cache la forĂȘt, une forĂȘt oĂč nous pouvons nous perdre. 109Un dĂ©bat dans une sociĂ©tĂ© dominĂ©e par le libĂ©ralisme... 109⊠oĂč le mot libertĂ© est lâarbre qui cache la forĂȘtâŠ__ 110⊠une forĂȘt oĂč nous pouvons nous perdre. 11042 â A rĂ©pĂ©ter un leitmotiv on lâaccepte, car soumis au mĂȘme discourt nous nâentendons que lui, malgrĂ© mes railleries. 111A rĂ©pĂ©ter un leitmotiv on lâaccepteâŠ__ 111âŠcar soumis au mĂȘme discourt nous nâentendons que luiâŠ__ 112âŠmalgrĂ© mes railleries. 11243 â Un libĂ©ralisme productiviste auquel nous participons souvent sans discernement qui modifie lâorganisation du travail et pĂšse sur notre personnalisation construction de la personne. 113Un libĂ©ralisme productivisteâŠ__ 113âŠauquel nous participonsâŠ__ 113⊠souvent sans discernementâŠ__ 113⊠qui modifie lâorganisation du travailâŠ__ 114âŠet pĂšse sur notre personnalisationâŠ__ 11444 â Le transfert dâĂ©motions vers des objets et un fait social, mais sa marchandisation est autre chose, un marchĂ©, contre lequel nous avons un recours. 115Le transfert dâĂ©motions vers des objets et un fait social mais sa marchandisation est autre chose âŠ__ 115⊠un marchĂ© contre lequel nous avons un recours. 11545 â Il faut favoriser lâĂ©change autre que celui qui nous est proposĂ© au quotidien. 116Il faut favoriser lâĂ©changeâŠ__ 116⊠autre que celui qui nous est proposĂ© par le quotidien. 11646 - Quels effets la frĂ©quentation des ECPA aura au sein de la famille. 117Quels effets la frĂ©quentation des ECPA aura au sein de la famille. 11747 - Certains sâen excluront de fait. 117Certains sâen excluront de fait. 117CHAPITRE, VIII. 119Quelles incidences sur lâappareil productif ?_ 11948 â Les symboles, tel lâor, qui repose sur deux constantes rĂ©unies dans un schĂ©ma abstrait collectif par ordonnance, mais avec des valeurs contestables par quâelles sont relatives. 119Les symbolesâŠ__ 119âŠtel lâorâŠ__ 119⊠qui repose sur deux constantesâŠ__ 119âŠreliĂ©es dans un schĂ©ma abstraitâŠ__ 120⊠collectifâŠ__ 120âŠpar ordonnancementâŠ__ 121âŠmais avec des valeurs contestablesâŠ__ 121âŠparce quâelles sont relatives. 12147 â La monnaie est une valeur fictive dont nous 123mesurons lâusage avec lâĂtat comme statisticien, et les libĂ©raux comme joueur de pipeau qui incitent Ă sâinterroger. 123La monnaie une valeur fictiveâŠ__ 123⊠dont nous mesurons lâusageâŠ__ 123⊠avec lâĂtat comme statisticienâŠ__ 124⊠et les libĂ©raux des joueurs de pipeau, qui incitent Ă sâinterroger. 12450- LâappĂąt du gain reste-t-il lâadversaire de la dĂ©mocratie ?_ 127LâappĂąt du gain reste-t-il lâadversaire de la dĂ©mocratie ?_ 12751 - Y aurait-il une loi invisible du marchĂ© ?_ 129Y aurait-il une loi invisible du marchĂ© ?_ 12952- Papiers pour papiers monnaie. 130Papiers pour papiers. 13053 â Mais pour cela je lâai dĂ©jĂ Ă©crit il faut un capital confiance. 130Un capital confiance. 13054 â Y a-t-il des valeurs rĂ©elles » ou scientifiques et des valeurs relatives ? Dans un marchĂ© qui Ă des limites, et un surcoĂ»t, oĂč le client achĂšte le tout, une valeur sociale, comme il achĂštera les ECPA_ 131Y a-t-il des valeurs rĂ©elles » ou scientifiques âŠ__ 131âŠet des valeurs relatives ?âŠ__ 132âŠdans un marchĂ© qui a des limitesâŠ__ 133âŠet un surcoĂ»t âŠ__ 133⊠oĂč le client achĂštera le tout, une valeur socialeâŠ__ 133âŠcomme il achĂštera les ECPA. 13455 - Le poids des mots et la dialectique qui enserre la pensĂ©e et la ghettoĂŻse » mais pour combien de temps. 135Le poids des motsâŠ__ 135âŠet la dialectiqueâŠ__ 139âŠqui enserre la pensĂ©eâŠ__ 146âŠet la ghettoĂŻse »âŠ__ 147âŠpour combien de temps. 14956 â Mais il ne faut pas rejeter ce qui fonctionne dans une organisation de papiers. 151Mais il ne faut pas rejeter ce qui fonctionneâŠ__ 151âŠdans une organisation de papier. 15157 - Quel est donc ce marchĂ© de lâintelligence qui intĂ©resserait les capitalistes, et qui pourrait ĂȘtre estimĂ© Ă©conomiquement plus facilement que ses incidences idĂ©ologiques, structurelles, sans occulter le risque dâun effet boomerang. 152Quel est donc ce marchĂ© de lâintelligence qui intĂ©resserait les capitalistes ?âŠ__ 152⊠qui pourrait ĂȘtre estimĂ© Ă©conomiquement.. 153âŠplus facilement que ses incidences idĂ©ologiquesâŠ__ 153... 153âŠet structurelleâŠ__ 154⊠sans occulter les risquesâŠ__ 155âŠdâun effet boomerang. 15558 â Ce serait une nouvelle approche sociĂ©tale aux effets inĂ©vitables, comme il y en a eu dans dâautres circonstances, que nous avons toujours surmontĂ©es, mĂȘme en inversant un processus. 156Ce serait une nouvelle approche sociĂ©taleâŠ__ 156⊠aux effets inĂ©vitables.. 157⊠et comme il y en a eu dans dâautres circonstances que nous avons toujours surmontĂ©esâŠ__ 157⊠mĂȘme en inversant un processus. 15859- Mais il faut maintenir un nouveau dĂ©sĂ©quilibre sous surveillance de lâensemble des acteurs et de notre intelligence. Pour gĂ©rer lâabondance en tenant compte de ce quâest notre monde 159Mais il faut maintenir un nouveau dĂ©sĂ©quilibreâŠ__ 159âŠsous surveillance de lâensemble des acteurs.. 160âŠet de notre intelligence. 160Pour gĂ©rer lâabondanceâŠ__ 161âŠen tenant compte de ce quâest notre monde.. 162CHAPITRE, VIX. 163Quel financement ?_ 16360 â Celui que nous pouvons crĂ©er, un moyen non exclusif. 163Celui que nous pouvons crĂ©erâŠ__ 163⊠comme un moyenâŠ__ 164âŠnon exclusif. 16561 - Lâargent comme but est une illusion dangereuse sâil se dogmatise Ă lâexcĂšs. 167Lâargent comme but est une illusionâŠ__ 167⊠dangereuseâŠ__ 168âŠsâil se dogmatiseâŠ__ 168âŠĂ lâexcĂšs. 16862 â Il y a un homme Ă abattre, lâignorant que nous portons pour nous gouverner. 170Il y a un homme Ă abattreâŠ__ 170... lâignorant que nous portonsâŠ__ 170⊠pour nous gouverner. 17163 â Mais peut-il y avoir un dĂ©bat dâidĂ©e si nous laissons des mĂ©canismes systĂ©miques rĂ©flĂ©chir Ă notre place ? 171Mais peut-il y avoir dĂ©bat dâidĂ©eâŠ__ 171âŠsi nous laissons des mĂ©canismes systĂ©miques rĂ©flĂ©chir Ă notre place. 17264 â Nous nous laissons gouvernĂ© par une monnaie qui donne le pouvoir, Ă qui se lâapproprient et nĂ©vrose les autres. 173Nous nous laissons gouverne par une monnaie qui donne le pouvoirâŠ__ 173⊠à qui se lâapproprieâŠ__ 173âŠet nĂ©vrose les autres. 17565- Je peux rĂȘver mais le rĂ©alisme sâimpose. 181Je peux rĂȘverâŠ__ 181⊠mais le rĂ©alisme sâimposeâŠ__ 18266 â Cela nĂ©cessite de rechercher en quoi y a-t-il un individu unique qui ne soit pas un composant dâune structure collective ?_ 183En quoi y a t il un individu uniqueâŠ__ 183âŠqui ne soit pas le composant dâune structure collective. 18567 â Lâon doit dĂ©passer le connu, pour ouvrir des voies pour bifurquer. 187Pour dĂ©passer le connuâŠ__ 187âŠet ouvrir des voiesâŠ__ 188âŠpour bifurquer. 18965 â Ceci dans un monde oĂč je nâai rien dĂ©couvert qui ne lâeut Ă©tĂ© par dâautres. 190Dans un monde oĂč je nâai rien dĂ©couvertâŠ__ 190âŠqui ne lâeut Ă©tĂ© par dâautresâŠ__ 19169â Mais il ne faut pas se tromper de cible pour essayer de vivre mieux, et ne pas rejeter tout du systĂšme libĂ©ral parce quâil flatte lâindividualisme quâil a mis en Ă©vidence par cupiditĂ©. 194Mais, il ne faut pas se tromper de cibleâŠ__ 194⊠pour essayer de vivre mieuxâŠ__ 194⊠et ne pas rejeter tout du systĂšme libĂ©ral parce quâil flatte lâindividualisme »âŠ__ 197⊠quâil a mise en Ă©vidence par la cupiditĂ©. 19770 â Et nous prendrons sur nous dâexpliquer le mystĂšre des choses, par ceux qui ne sont pas forcĂ©ment les plus aptes, mais ils nous ressemblent. 199Et nous prendrons sur nous dâexpliquer le mystĂšre des chosesâŠ__ 199âŠpar ceux qui ne sont pas forcĂ©ment les plus aptes mais qui nous ressemblent. 20371- Le capitalisme peut-il ĂȘtre un vecteur de lâĂ©volution, et comment ?_ 205Le capitalisme peut-il ĂȘtre un vecteur de lâĂ©volutionâŠ__ 205⊠et comment ?_ 20672 - Pourtant le langage » commercial serait une chance inespĂ©rĂ©e, une fois dĂ©barrassĂ© de ses excĂšs, pour changer le monde. 207Pourtant le langage » commercial est une chance inespĂ©rĂ©eâŠ__ 207âŠune fois dĂ©barrassĂ© de ses excĂšsâŠ__ 208âŠpour changer le monde. 20873 â Câest pour cela je poursuis un but, qui est dâune certaine maniĂšre, dâarriver Ă faire pondre Ă une poule un Ćuf de canard sans tuer la poule aux Ćufs dâor. 209Pour cela je poursuis un butâŠ__ 209⊠qui est dâune certaine maniĂšre, dâarriver Ă faire pondre Ă une poule un Ćuf de canard sans tuer la poule aux Ćufs dâor. 20974 â Choisir une rĂ©fĂ©rence rassurante non convertible pour Ă©mettre de la monnaie, en utilisant une politique budgĂ©taire ou autre. 211Choisir une rĂ©fĂ©rence rassuranteâŠ__ 211⊠non convertible pour Ă©mettre de la monnaie.. 212⊠en utilisant une politique budgĂ©taire ou dâautresâŠ__ 213CHAPITRE, X. 216Quels impacts sur la production de richesse ?_ 216CHAPITRE, XI. 219Quelles motivations incitatrices doivent ĂȘtre dĂ©veloppĂ©es ?_ 21975 â De lâhomme ĂȘtre communicant, Ă lâhomme utopique, un mot que la connaissance a banalisĂ© pour quâil vive debout. 219De lâhomme ĂȘtre communicantâŠ__ 219âŠĂ lâhomme UtopiqueâŠ__ 219⊠un mot que la connaissance a banalisĂ©âŠ__ 221⊠pour vivre debout. 22376 â Il y a un axiome Ă rĂ©viser pour un mode meilleur qui appartient Ă la pensĂ©e. 223Il y a un axiome Ă rĂ©viserâŠ__ 223âŠpour un monde meilleurâŠ__ 225⊠qui appartient Ă la pensĂ©e. 22577 â DĂ©couvrir le sens cachĂ© du vĂ©cu comme celui des mathĂ©matiques. 225DĂ©couvrir le sens cachĂ© du vĂ©cuâŠ__ 225⊠comme celui des mathĂ©matiques. 22675 â Il importe dâĂ©largir son regard pour ne pas souffrir. 227Il importe dâĂ©largir son regard.. 227⊠pour ne pas en souffrir. 22779 â Notre avenir dĂ©pend de notre univers, et de la conquĂȘte de notre cerveau. 229- Notre avenir dĂ©pend de notre universâŠ__ 229⊠et de la conquĂȘte de notre cerveau. 23280- Afin de dĂ©velopper un art de vivre pour nous survivreâŠ_ 234CHAPITRE XII. 239Que doit-on craindre ?_ 23981- Dâun effet dâagrĂ©gation. 23982â Des dĂ©viations idĂ©ologiques. 239CHAPITRE, XIII. 243QUE DOIT-ON ESPERER DES TECHNOLOGIES DE LA COMMUNICATION ?_ 24383â Un gain de temps, et une aide technologique Ă nos choix, en conservant le droit dâĂȘtre Ă©mu par la pacotille. 243Un gain de temps âŠ__ 243⊠et une aide logistique âŠ__ 244âŠĂ nos choix_ 245⊠en conservant le droit dâĂȘtre Ă©mu par la pacotille. 245Quels rĂȘves pouvons-nous nourrir grĂące Ă la gĂ©nĂ©tique ou la neurologie ?_ 24784 â Quels rĂȘves pour ĂȘtre en adĂ©quation avec une terre nourriciĂšre, mais serons nous plus intelligent pour autant ?_ 247Quels rĂȘves pour ĂȘtre en adĂ©quation avec une terre nourriciĂšreâŠ__ 247⊠serons-nous pour autant plus intelligent ?_ 248CHAPITRE, XV. 251Ne pas oublier lâessentiel. 25185 - Un grand absent dans cet essai. 25186 - Ne pas oublier lâessentiel. 25387 - Alors y a-t-il une solution ?_ 254Conclusion. 254Et Demain. 255DEMAIN_ 2550[1] Schrödinger Erwin, Vienne 1887/1961. Il a donnĂ© en 1926 une nouvelle formulation de la mĂ©canique quantique, en Ă©tablissant lâĂ©quation de propagation qui permet de calculer la fonction dâonde » dâune particule dans un champ donnĂ© une approche diffĂ©rente de celle dâHeisenberg. Elle a permis de prĂ©ciser la position des raies spectrales, dâexpliquer lâeffet Zeeman, lâeffet Stark, la loi Dulong et Petit, lâexistence du point curie, Celles des formes allotropiques de lâhydrogĂšne, lâĂ©mission dâondes Ă©lectromagnĂ©tiques par lâhydrogĂšne interstellaire.[2]Si lâinterfĂ©rence entre deux histoires est nulle, on dira dâelles quâelles dĂ©cochĂšrent».Murray Gell-mann. Le Quark et le Jaguar. Ăditeur Flammarion. 1997. Ă 175.[3] Note de lâauteur. Particules imaginĂ©es par les physiciens pour expliquer la masse manquante. Lâautre Ă©tant composĂ©e par des neutrinos Ă entre 0,1% et 18% de la masse de lâunivers.[4] Note de lâauteur, lâusage des ondes ont fait lâobjet dâĂ©tude au travers de leur usage dâarmes militaires Ă partir des annĂ©es 60, dans notre usage au quotidien nous les trouvons du radar antivol de 0,1 watt au micro-ondes de 1500 watt au gros Ă©metteur hertzien existant de 3200 milliards de watt. Certains effets des ondes de basses et trĂšs basses frĂ©quences de rayonnement non ionisant peuvent modifier le processus physico-chimique qui rĂ©git le mĂ©tabolisme endocrinien. DiffĂ©rentes Ă©tudes ont mis en Ă©vidence des atteintes biologiques insidieuses au niveau du cerveau, des yeux, de la thyroĂŻde, du cĆur, des testicules.Dans la recherche dâun nouveau traitement de lâĂ©pilepsie, Michael Persinger Ă©tudie lâeffet sur le cerveau de champs Ă©lectromagnĂ©tique, engendrĂ©s par de petites bobines disposĂ©es sur les cĂŽtĂ©s dâun casque. Un domaine presque vierge ou bien peu de neurologues se sont aventurĂ©s jusquâici, et avec lequel Michael Persinger voit une ouverture sur un nouveau type de traitement de lâĂ©pilepsie. Pour sa thĂšse il a fait subir Ă des souris nouveau-nĂ©es des champs magnĂ©tiques en rotation. Il constate des modifications de la sĂ©crĂ©tion de mĂ©latonine, une hormone impliquĂ©e dans la rĂ©gulation des rythmes biologiques et des Ă©motions. Dâautres chercheurs reproduisent ses expĂ©riences et confirment. » Science et vie. N° 932. Mai 1995. P 82.[5] Note de lâauteur, il est dâusage dâappeler le monde sensible celui que nous voyons de part nos sens oĂč avec les outils qui les supplĂ©ent par rapport au monde objectif » celui qui est, et que nous ne connaissons pas.[6] Le seigneur Dieu prit de la poussiĂšre du sol et façonna un ĂȘtre humain. Puis il insuffla dans les narines le souffle de vie, et cet homme devint un ĂȘtre vivant. GenĂšse 2/7.[7] NĂ©ologisme de lâauteur, CulturalisĂ© = dĂ©pendant de la culture. Ainsi en faisant un verbe du mot culturel, je lui accorde la capacitĂ© dâaction, dâagir que nous lui reconnaissons sous les termes dâinteraction, de rĂ©troaction.[8] Processus actif dâadaptation.[9] Trait stable et permanent que lâon trouve chez tous les individus, mais Ă divers degrĂ©s.[10] Anne AMIEL. 50 grandes citations philosophiques expliquĂ©es. Ăditeur Marabout. 1990.[11] En effet, une particule en elle-mĂȘme nâexiste que par les effets quâelle engendre, cet ensemble dâeffets les scientifiques les appellent des champs », ces champs sont, le champ Ă©lectromagnĂ©tique, le champ de gravitation, le champ protonique, le champ Ă©lectronique. Note de lâauteur.[12] Une perception sans qualification.[13] Note de lâauteur. Il existe une apprĂ©ciation contradictoire sur la psychanalyse quâil faut connaĂźtre. Ceux qui pensent que câest une science, mais elle doit se passer de lâexpĂ©rimentation, et les scientifiques qui considĂšrent que les postulats de la psychanalyse ne se prĂȘtant pas Ă la vĂ©rification, ne sont pas scientifiques, puisque irrĂ©futables ».[14] Michio KAKU. VISIONS. Ăditeur Albin Michel. 1999. P 466.[15] Note de lâauteur. Tout au long de cet ouvrage je vais utiliser le terme collectiviste ou celui de collectivisme, dans une forme plus large que celle du Petit Larousse, qui rapporte la signification politique dâune forme dâĂ©conomie fondĂ©e sur la mise en commun des moyens de production, et leur appropriation par le prolĂ©tariat. Le sens que jâaccorde Ă ces deux termes est pour indiquer toutes les situations ou nous mettons notre activitĂ© en commun quelle quâen soit les formes, car au travers de la notion de moyens de production, je sous-entends toute la valeur innovatrice et productrice du collectif, de la communautĂ©, du groupe, du clan, de la famille et de lâindividu en leur sein, et pour souligner un Ă©tat de fait, oĂč lâHomme Seul nâexiste pas, si ce nâest que comme anachronisme qui effacerait son espĂšce sâil se gĂ©nĂ©ralisait. Ăgalement parce que ces termes me conviennent pour indiquer que si nous regardons lâindividu comme un systĂšme fermĂ© dans un univers en mouvement, il ne peut sâenrichir quâen recevant de lâextĂ©rieur, des autres, par association consciente ou non, et il y a lĂ donc une mise en commun puisque cela se fait rĂ©ciproquement. Et que nous avons tort dâavoir peur dogmatiquement de ce mot parce quâil a une histoire meurtriĂšre, il y en a bien dâautres qui le sont autant sinon plus.[16]Note de lâauteur. Ensemble constituĂ© de la valeur de chacun des Ă©lĂ©ments qui, associĂ©s le constituent, et peuvent ĂȘtre examinĂ©s dans leur plus petit Ă©lĂ©ment, lâindividu, lâindividu collectiviste, et non pas lâindividu Homme Seul, lâindividu construit dans son ensemble, et non lâindividu sĂ©parĂ© de son univers et de lâUnivers.[17]Note de lâauteur. Par structure interactive, je veux indiquer par-lĂ , que nous rĂ©agissons Ă un processus qui nous fait vivre, en quelque sorte un processus qui ne nous appartient pas, parce que nous en sommes les acteurs inter agissants avec lui, mais que notre intelligence peut comprendre, qui nâest pas un point dâĂ©quilibre entre des opposĂ©s, lâapproche duale, mais un mouvement complĂ©mentaire attractif de rĂ©gulation. MĂȘme si nous pouvons considĂ©rer que lâhomme sujet unique, est seul, parce que nous naissons seul, et mourrons veux souligner par-lĂ , que ni la position sociale, ni lâargent, ni le pĂšre, ni la mĂšre, ni dieu, ne nous aiderons Ă franchir lâinstant de ces passages. Par contre notre moi » de lâinstant de la naissance Ă celui de la mort, mĂȘme si nous le portons seul, sera fait avec et dans la vie des autres. Pour glisser au-delĂ et tenir compte de ceux qui pensent que le souvenir de lâexistence dâun ĂȘtre, peut se conserver dans lâĂ©nergie qui retourne Ă lâunivers et recompose ce qui naĂźt. Dans ce cas, Ă notre moi avec et dans la vie des autres, sâajouterait celui de fragments ou de la totalitĂ© de lâhistoire de notre passĂ©, suivant une Ă©chelle de probabilitĂ© infinie.[18] Note de lâauteur. Succinctement la conscience de soi nâest pas le propre de lâespĂšce humaine, mĂȘme sâil y a controverse sur sa source, soit par la neurobiologie ou par la phĂ©nomĂ©nologie, sa vocation nest pas dâexister par elle-mĂȘme, mais pour concourir Ă un Ă©vĂ©nement plus global, soit par une capacitĂ© autonome des cellules dâĂ©voluer, soit parce que lâĂ©vĂ©nement global inter agit sur les cellules, ou les deux.[19] Note de lâauteur. Actuellement certains chercheurs considĂšrent la mĂ©canique quantique comme des donnĂ©es dâinformations pouvant ĂȘtre quantifiĂ©es, expliquant ses paradoxes. Ceci Ă la suite des diverses interprĂ©tations qui ont Ă©tĂ© donnĂ© par des physiciens de renom, tel Niels Bohr, David Bohn, Hugh Everett.[20] Lâauteur Robert Shapiro entend par sourire » la facultĂ© des cellules monomĂšres Ă sâassocier avec dâautres cellules identiques ou diffĂ©rentes. MonomĂšre cellule de base pouvant former des liaisons.[21] Note de lâauteur. Cette difficultĂ© a Ă©tĂ© en partie levĂ©e par le physicien ValĂ©ry Nesvizhevsky qui a apportĂ© la preuve que la gravitation est quantique. Naturellement cela ne changera pas notre maniĂšre de voir tomber une pomme, mais ouvre la connaissance Ă celle du dĂ©placement des tous petits corps milliardiĂšmes. Science et vie. Mai 2002. Pp 72 Ă 81.[22] Note de lâauteur. Il nâest pas connu dâespĂšce pour laquelle nous aurions Ă©tĂ© le gibier type.[23] Pour le moment, notre comprĂ©hension du cerveau est pour le moins empirique » ; Les scientifiques ne connaissent quâau niveau structurel la nature des parties du cerveau impliquĂ© dans telle ou telle fonction gĂ©nĂ©rale. » Michio Kaku. Visions. Ăditeur Albin Michel. 1999. P. 164. Ceci en attendant que les moyens de vision microscopique qui ne cessent de se perfectionner leurs permettent dâaller dans lâinfiniment plus petit.[24] Une morale est toujours lâĆuvre dâun groupe et ne peut fonctionner que si le groupe la protĂšge de son autoritĂ©. Il nây a pas de fait qui soit moral en soi, le fait moral est le signe extĂ©rieur objectif et est fourni par la contrainte. Durkheim. Pour Kant, la morale se dĂ©fini par lâobligation et le Steiner. La sociologie de Durkheim. Ădition La dĂ©couverte. 1998. Ă 82.[25] En 1998 dans les pays de la communautĂ© europĂ©enne le taux de fĂ©conditĂ© se situe entre, pour le plus bas 1,15 pour lâEspagne et 1,94 le plus haut, en Irlande. GĂ©rard Mermet. Francoscopie. Ăditeur Larousse. 2001. PP. 145 Ă les pays en voie de dĂ©veloppement le taux est de 3,1 par femme, dans les rĂ©gions dĂ©veloppĂ©es AmĂ©rique du nord, Europe, Nouvelle- ZĂ©lande, Australie, japon il est de 1,57 alors que le taux de renouvellement se situe Ă 2,1. UNFPA, pĂ©riode 1995 Ă 2000[26] Note de lâauteur. Ne pas traduire mon propos par hĂ©donisme, car lâhĂ©donisme constitue un but Ă lâĂ©gal de celui de rechercher un paradis. Quand jâutiliserai ce terme harmonisĂ©, il le sera toujours en ce sens.[27] ThĂ©odore Monod. RĂ©vĂ©rence Ă la vie. Edition Bernard Grasset. 1999.[28] De 1500 Ă 1800, la marche vers le capitalisme, de 1800 Ă 1870, la montĂ©e du capitalisme industriel, et de 1870 Ă nos jours le capitalisme industriel avec ses mutations, crises dont celle restĂ© dans les mĂ©moires 1920-1930, son grand bon en avant 1945-1978, et depuis vers un capitalisme impĂ©rialiste. BEAUD Michel, Histoire du Capitalisme, Ă©dition le seuil, 1990.[29] La deuxiĂšme loi de la thermodynamique nous dit simplement, toutes choses Ă©gales par ailleurs, quâun systĂšme fermĂ© de base entropie considĂ©rablement ordonnĂ© tendra, au moins Ă long terme, Ă se diriger vers une plus haute entropie plus de dĂ©sordre. Puisquâil y a une plus grande diversitĂ© dâoccurrences du dĂ©sordre que de lâordre, la tendance est dâaller vers le dĂ©sordre».Murray Gell-Mann. Le quartz et le jaguar. Ădition flammarion. 1997.[30] LâĂ©tude moderne du chaos dĂ©buta dans les annĂ©es soixante, avec la prise de conscience progressive du fait que des Ă©quations mathĂ©matiques Ă©lĂ©mentaires pouvaient simuler des systĂšmes aussi violents quâune chute dâeau. Des diffĂ©rences infimes Ă lâentrĂ©e pouvaient entraĂźner rapidement des diffĂ©rences considĂ©rables Ă la sortie â on a baptisĂ© cela la dĂ©pendance sensitive aux conditions initiales». En mĂ©tĂ©o ce phĂ©nomĂšne correspond Ă ce que lâon appelle, en ne plaisantant quâĂ moitiĂ©, Lâeffet papillon » le battement dâaile dâun papillon, aujourdâhui Ă PĂ©kin, engendre dans lâair des remous qui peuvent se transformer en tempĂȘte le mois prochain Ă New York. GLEICK. La ThĂ©orie du Chaos. Ăditeur Champ Flammarion. 1991. P 24. Lâeffet papillon. Ibid. Pp 29 Ă 51.[31] Physicien thĂ©oricien qui c'est intĂ©ressĂ© aux mathĂ©matiques appliquĂ©es, puis aux problĂšmes abstraits de la stabilitĂ© et de la complexitĂ©, glisse Ă lâexplication mathĂ©matique de la coexistence entre espĂšces concurrentes, puis se consacre aux problĂšmes Ă©cologiques trĂšs Ă©lĂ©mentaires de lâĂ©volution des populations isolĂ©es, avant de devenir doyens de la rechercher Ă lâuniversitĂ© de Princeton.[32]Tout irait mieux dans ce monde disait May, si lâon donnait Ă chaque Ă©tudiant dĂ©butant une calculatrice de poche, et si on lâencourageait Ă jouer avec lâĂ©quation logistique. Ce calcul qui lâexpose dans lâarticle de Nature qui est considĂ©rĂ© comme son article messianique paru dans Nature en 1976 aiderait Ă se dĂ©faire des prĂ©jugĂ©s acquis, lors dâĂ©tudes scientifiques standard, sur les possibilitĂ©s de la nature. Cela transformerait les conceptions des gens sur bien des sujets, depuis la thĂ©orie des cycles Ă©conomiques jusqu'Ă la propagation des rumeurs. Il faut enseigner le Chaos, affirmait-il. Il Ă©tait temps de reconnaĂźtre que la formation scientifique standard faussait les jugements. Quelle que soit la perfection atteinte par la mathĂ©matique linĂ©aire, avec ses transformĂ©es de Fourier, ses fonctions orthogonales, ses techniques de rĂ©gression, elle abusait inĂ©vitablement les scientifiques sur leur monde terriblement non linĂ©aire. » Lâintuition mathĂ©matique que lâon dĂ©veloppe prĂ©pare mal lâĂ©tudiant Ă affronter le comportement Ă©trange prĂ©sentĂ© par le plus simple des systĂšmes discrets non linĂ©aires. » Tout irait pour le mieux, non seulement en recherche mais aussi dans le monde quotidien de la politique et de lâĂ©conomie, si dâavantages de gens prenaient conscience du fait que les systĂšmes non linĂ©aires Ă©lĂ©mentaires ne possĂšdent pas des propriĂ©tĂ©s dynamiques simples. » Gleick. La ThĂ©orie du Chaos. Edition Flammarion. 1991. P 110.[33] Note de lâauteur. Je fais allusion aux mensonges quotidiens que nous faisons aux autres et Ă nous mĂȘme, soit pour nous protĂ©ger ou Ă©liminer les sources de conflit, dont nous faisons lâapprentissage dĂšs lâenfance en fonction des diffĂ©rentes cultures lors de lâanalyse des Ă©vĂ©nements.[34] Note de lâauteur. Je nâai pas trouvĂ© la source de cette citation attribuĂ©e Ă bergson.[35] Note de lâauteur. Je fais volontairement une extension de lâusage traditionnel de ce mot, en lâayant prĂ©fĂ©rĂ© au terme dâhĂ©gĂ©monie, non pour crĂ©er une confusion, mais parce que, au travers de leurs jugements de valeur les hommes ont toujours recherchĂ© dâune maniĂšre plus ou moins indicible de ne vouloir retenir que les caractĂšres quâils reconnaissaient ĂȘtre ceux correspondants au fait majoritaire reconnu. Or jusquâĂ prĂ©sent câest lâaccĂšs Ă la technologie qui les en a empĂȘchĂ©, ceux qui sây sont livrĂ©es, ont utilisĂ© des moyens barbares ou subtil dans le domaine de lâextermination en utilisant des termes aussi anodin que dĂ©veloppement de la culture ou de la pensĂ©e Ă la recherche de lâhomme parfait. La dĂ©couverte du gĂ©nome nous ouvre la porte de toutes les espĂ©rances et de toutes les craintes, et nous nâĂ©chapperons pas Ă la redĂ©finition de certains termes, et Ă la crĂ©ation de nouveaux, pour ĂȘtre le plus prĂ©cis afin de ne pas utiliser le multiple sens de certains pour nous tromper, dans ce que nous appelons lâĂ©volution, et dont nous connaissons si peu. Et pour aller jusquâau bout de ma pensĂ©e, lorsque par culture commerciale nous vendons des images de top modĂšle type, et que par chirurgie aujourdâhui certains les copient pour supprimer leurs caractĂšres spĂ©cifiques innĂ©s, la limite est subtile. Pour un cas individuel nous pouvons encore parler de soin dâun mal ĂȘtre dâune personne dans sa peau, de dopage dans le cas de sportifs, mais dans le cas dâun phĂ©nomĂšne de masse, si la gĂ©nĂ©tique vulgarise cette possibilitĂ© de changer ses caractĂšres, si la gĂ©nĂ©tique favorise cet effet de mode, Ă partir de quel nombre entrerons-nous dans lâeugĂ©nisme.[36][36] Note de lâauteur. En prĂ©cisant ce que jâentends par agressivitĂ© naturelle, je ne veux pas Ă©luder les diffĂ©rentes Ă©tudes sur les fondements de lâagressivitĂ© et lâexpression de la violence. Deux approches existent. Une qui dĂ©finit que la violence humaine dĂ©coule de lâagressivitĂ© animale qui a servi notre espĂšce pour se dĂ©fendre contre ses prĂ©dateurs, et dont la violence sâexpliquerait par un fort stimulus environnemental pĂ©nĂ©trant dans les circuits Ă©motionnels, dont leurs intensitĂ©s Ă©chappent au contrĂŽle du cortex frontal qui est le contrĂŽleur de nos Ă©motions, et qui ne peut lui interdire le passage. Le stimulus va dans le thalamus pour un circuit qui le conduit vers le systĂšme limbique, les noyaux striĂ©s, le lobe temporal, lâamygdale et le mĂ©sencĂ©phale. Puis ayant fini son circuit il revient au thalamus siĂšge du cerveau reptilien pour un nouveau circuit jusquâĂ ce que le stimulus Ă©puise son Ă©nergie Ă©motionnelle ou quâun autre stimulus vienne le supplanter. Lâautre approche est lâĂ©tude biochimique ou au cours du dĂ©veloppement embryonnaire les hormones sexuelles androgĂšnes et ĆstrogĂšnes assurent une diffĂ©renciation de certaines structures hypothalamiques qui influenceront plus tard le comportement sexuel de lâadulte. On entre lĂ dans le domaine de lâĂ©tude des neurotransmetteurs des substances neuromodulatrices et des hormones. Dans lâĂ©tude des comportements violents, il se trouve souvent mis en avant une insuffisance de taux de sĂ©rotonine, un neurotransmetteur dont lâaction principale est dâattĂ©nuer la sensibilitĂ© de lâorganisme aux stimulations de lâenvironnement, comme une insuffisance gĂ©nĂ©tique. Ces deux approches font lâobjet de dĂ©bats qui sont loin dâĂȘtre terminĂ©s. Une troisiĂšme approche qui se prĂ©cise est celle de lâaction de la perturbation des champs magnĂ©tiques. LâactivitĂ© Ă©lectrique du cerveau gĂ©nĂšre un champ magnĂ©tique qui peut ĂȘtre influencĂ©. Si chacune de ses approches a pu ĂȘtre dĂ©fini câest quâil existe forcĂ©ment un corrĂ©lat entre elle, ce que met en Ă©vidence lâouvrage de Jean Delacour dans Conscience et Cerveau, paru aux Ă©ditions DeBoeck UniversitĂ© parut en 2001.[37] LâunitĂ© fondamentale du monde vivant nâest pas lâindividu, mais la population tout entiĂšre dans lâinfinie richesse de sa diversitĂ©. Jacques RuffiĂ©. TraitĂ© du vivant tome 2. Edition Flammarion. 1982.[38] Hawking. UNE BREVE HISTOIRE DU TEMPS. Ăditeur Flammarion. 1989. Note de lâauteur. La persĂ©cution caractĂ©rise tout homme qui sâattache ou sâacharne Ă ennuyer un autre avec persĂ©vĂ©rance, que ce soit de front par des taquineries, des moqueries, des vexations, ou bien de dos par des calomnies ou autres actions pouvant lâentraver dans sa carriĂšre, sa position sociale, ses amours, ses joies. Cette dĂ©finition ressort de celle de lâagressivitĂ© donnĂ©e par J. Laplanche et J-B. Pontalis en leur vocabulaire de la psychanalyse » Tendance ou ensemble de tendances qui sâactualisent dans des conduites rĂ©elles ou fantasmatiques, celles-ci visant Ă nuire Ă autrui, le dĂ©truire, le contraindre, lâhumilier, etc.[40] Note de lâauteur. Information doit ĂȘtre prise dans un sens gĂ©nĂ©rique regroupant toutes les perceptions qui se dĂ©cryptent directement par les sens, celles produites par lâinnĂ©, et celles qui nous environnent comme produit de lâunivers.[41] DiffĂ©rentes formes dâinconscient peuvent ĂȘtre dĂ©finies, selon le niveau de fonctionnement considĂ©rĂ©, de mĂȘme que diffĂ©rentes transitions entre conscient et inconscient⊠. La conscience nâest pas le sommet de lâesprit ni, probablement, sa forme la plus complexeâŠ. Cette capacitĂ© a une valeur fonctionnelle Ă©levĂ©e pour un organisme vivant et existe trĂšs probablement, sous des formes variĂ©es, chez dâautres espĂšces animales.[42] Le cerveau humain Ă des lobes frontaux considĂ©rablement dĂ©veloppĂ©s en comparaison de ceux de nos proches parents les grands singes, et les neurobiologistes ont identifiĂ© dans ces lobes des aires qui semblent associĂ©es avec la conscience de soi et lâintention, censĂ©es particuliĂšrement bien dĂ©veloppĂ©es chez lâhomme. Conjointement avec les fils multiples des processus parallĂšles de la pensĂ©e humaine, la conscience ou lâattention semble renvoyer Ă un processus sĂ©quentiel, une sorte de projecteur qui pourrai ĂȘtre dirigĂ© dâune idĂ©e ou dâune donnĂ©e sensorielle Ă une autre en une rapide succession. Lorsque nous croyons ĂȘtre attentifs Ă de nombreuses choses diffĂ©rentes simultanĂ©ment, peut ĂȘtre que nous employons en fait le projecteur en temps partagĂ©, le faisant tourner pour balayer les divers objets de notre attention. Les fils des processus parallĂšles diffĂšrent par leur accessibilitĂ© Ă la conscience, et certaines couches du comportement humain sont enfouies dans des couches de pensĂ©es quâil est difficile dâamener jusquâĂ la conscience rĂ©flexive. Nous dirons nĂ©anmoins que lâĂ©nonciation et dâautres actions sont dans une trĂšs large mesure sous contrĂŽle conscient, et affirmer cela, câest aussi bien admettre le projecteur de la conscience que la ferme croyance que nous disposons dâun certain libre arbitre, que nous pouvons choisir entre des Ă©ventualitĂ©s. PossibilitĂ© de choix dont lâimportance est illustrĂ©e dans lâexemple de la route que je nâai pas prise.» Quels phĂ©nomĂšnes objectifs sont Ă lâorigine de cette impression de libre arbitre ? Dire dâune dĂ©cision quâelle a Ă©tĂ© prise librement signifie quâelle nâest pas strictement dĂ©terminĂ©e par ce qui la prĂ©cĂ©dĂ©e. Quelle est la source de cette apparente indĂ©termination ? Une explication serait tentante, sa connexion avec les indĂ©terminations de la mĂ©canique fondamentales de la mĂ©canique quantique, vraisemblablement amplifiĂ©es par les phĂ©nomĂšnes classiques comme celui du chaos». Murray GELL-MAN. Le quartz et le jaguar, Ă©diteur Flammarion. 1997. aux techniques dâimagerie cĂ©rĂ©brale, il est aujourdâhui possible de dĂ©terminer les configurations dâactivitĂ© cĂ©rĂ©brale associĂ©e Ă toutes sortes de reprĂ©sentation conscientes, mĂȘme de celle dont lâobjet est abstrait ou imaginaire⊠La perception nâa pas pour seul contenu des donnĂ©es sensorielles particuliĂšres ; elle se rĂ©fĂšre Ă des objets comme rĂ©alitĂ©s relativement stables et identifiables Ă travers des apparences variĂ©es ; Câest en tant que telle que la perception est intentionnelle », constitue un exemple privilĂ©gie de lâintentionnalitĂ© » des reprĂ©sentations Delacour 1999 b. Ce sont les corrĂ©lat e cette propriĂ©tĂ© qui concernent spĂ©cifiquement la neurobiologie ; nous ne traiterons donc pas des premiĂšres Ă©tapes des rĂ©ception sensorielles tels que la transduction », câest Ă dire la traduction de la rĂ©alitĂ© physique du stimulus en rĂ©alitĂ© biologique par les cellules rĂ©ceptrices. La perception intĂšgre des processus situĂ©s Ă tous les niveaux dâorganisation mais dans lâĂ©tat actuel des connaissances, les corrĂ©lats de lâintentionnalitĂ© perceptive ne sont suffisamment connus quâau niveau cĂ©rĂ©bral. Jean Delacour. Conscience et cerveau. Ădition DeBoeck UniversitĂ©. 2001. p 204.[43] Jâentends par altruisme restreint, la facultĂ© de secourir sans rĂ©flexion un proche par instinct filial.[44] LâagressivitĂ© est utile pour dĂ©fendre un individu contre dâautres espĂšces qui peuvent le menacer. Elle permet aux carnivores de se nourrir, aux herbivores de se dĂ©fendre. Elle est nuisible Ă lâintĂ©rieur dâune mĂȘme espĂšce, car elle diminue ses chances de prospĂ©rer et met en cause son polymorphisme. Contrairement Ă la lutte interspĂ©cifique souvent mortelle, la lutte intraspĂ©cifique qui Ă©tablit une hiĂ©rarchie permet une socialisationâŠ. Mais presque jamais au meurtre. Lâhomme possĂšde» le triste privilĂšge de pouvoir tuer ses semblables Ă tout bout de champ, sans le moindre frein biologique. Jacques RuffiĂ©. TRATE DU VIVANT tome 2. Ădition flammarion. 1982. Pp 270 Ă de lâauteur. Pour tant quand nous observons morphologiquement un individu il ne dispose daucun attribut pouvant lui permettre dâen tuer un autre. A main nue nous sommes incapables de tuer une tierce personne ; acceptĂ© si nous avons appris un art pour cela ou que nous utilisions un objet Ă cette fin ; mais lĂ nous sommes dĂ©jĂ dans lâappris, dans le culturel, dans lâexpression perfectionnĂ©e dâaptitude agressive innĂ©e.[45] Note de lâauteur. Pour illustrer ces diffĂ©rentes apprĂ©ciations de valeurs quantitatives et qualitatives de lâimage du monde jâai choisi deux exemples diamĂ©tralement opposĂ©s. Les rĂ©cits des voyages du capitaine Hearne rapportent que chez les Indiens du Nord-Ouest du Canada, ce qui est aujourdâhui lâAlberta, la tribu Athabasca nâa de cesse de sâentre-tuer avec celle des indiens "CĂŽtes de chien". Cette guerre est leur joie, leur gloire, de part et dâautre. Un tel comportement nous le jugeons primitif » comme pour le rejeter dans les comportements naturels archaĂŻques de lâHumain, sans ĂȘtre capable de discerner que ce que nous rejetons comme primitif, nous lâacceptons aujourdâhui recomposĂ© faisant toujours la gloire et la joie de certains de part et dâ lâautre cĂŽtĂ© du pacifique dans lâĂźle corĂ©enne de Chen Yu subsiste une originalitĂ© traditionnelle ; câest la femme qui assure lâactivitĂ© Ă©conomique, elles assurent la totalitĂ© du travail de la communautĂ© ; naturellement leur physique reflĂšte lâĂ©nergie du travail accompli. Par contre les hommes Ă©lĂ©gants mĂšne une vie consacrĂ©e aux satisfactions intellectuelles, ils sont cultivĂ©s polis et sont des compagnons recherchĂ©s ; il est dit deux lâhomme de Chen Yu est un aristocrate, il nâen demeure pas moins que câest lâhomme qui dirige la communautĂ©. La violence meurtriĂšre, comme cet exemple de communautĂ© le montre, nâest pas inĂ©luctable. Pour caricaturer lâune Ă choisi lâexpression de la virilitĂ© physique, lâautre celle de lâintelligence du psychique. Les deux exemples citĂ©s sont extraits de lâHistoire des mĆurs II vol 2. Ădition Gallimard. 1991. Pp 957, 958, par Solange Petit Skinner lâĂźle de Chen Yu; Pp 979, 980, par Pierre Quillet tribus indiennes.[46] Note de lâauteur. Lâhistoire psychanalytique de lâenfance Ă conduit Ă se demander quels types dâadultes les pratiques anciennes dâĂ©ducation pouvaient façonner ; car il ressort des Ă©tudes des historiens David Hunt et Lloyd de Mausse et de lâĂ©tude du journal de lâenfance de Louis XIII, quâautrefois les enfants Ă©taient considĂ©rĂ©s comme de petits animaux voraces et dangereux pour lâadulte, et quâils recevaient de la part de leurs Ă©ducateurs et parents une Ă©ducation contraignante et dure, dâoĂč semblait bannie toute dimension dâamour ou de jeu. La prise en compte de lâenfance ne remonte quâau milieu du XVIII siĂšcle.[47]Note de lâauteur Lâinstinct naturel, une notion imprĂ©cise Ă la mesure de nos connaissances sur le fonctionnement cĂ©rĂ©bral. Je songe Ă©galement au-delĂ Ă la construction atomique de toute matiĂšre vivante. On prĂ©fĂšre rejeter dans la nature, tout ce qui ne se conforme pas Ă la norme sous laquelle on vit ». Claude LĂ©vi-Strauss. Race et histoire. Ăditeur Gonthier. Paris 1968. P. 20.[48] Jâentends par ce terme la possibilitĂ© que des pratiques culturelles liĂ©es Ă des Ă©vĂ©nements puissent sâinscrire hĂ©rĂ©ditairement et concourir Ă lâĂ©volution de lâespĂšce. Si la remarque est osĂ©e et sâoppose au point de vue de Rostand pensĂ©e dâun biologiste que le biologique ignore le culturel » ou Bergson Ăvolution crĂ©atrice, le simple fait que nous conseillons au femme enceinte de ne pas fumer durant la grossesse, explique clairement que le culturel fumer peut affecter le biologique. Ce que nous ignorons aujourdâhui, câest comment il passe dans lâhĂ©rĂ©ditaire, peut ĂȘtre seulement parce que nous nâavons que pas de trace de ce passage et pas assez de recul de temps pour apprĂ©cier des Ă©volutions. Des Ă©volutions qui se font sur des dizaines, des centaines, voir des milliers de milliers dâannĂ©es. Naturellement ce ne seront pas toutes nos pratiques culturelles dans le dĂ©tail mais dans leur globalitĂ©. Exemple notre activitĂ© culturelle a dĂ©veloppĂ© une industrie polluante qui affecte mĂȘme ceux qui ne lâont pas produite et qui en subiront les consĂ©quences sâil doit y en avoir. Mais il faut ĂȘtre convaincu dâune chose, câest que rien nâexiste qui ne puisse avoir une incidence sur lâĂ©volution, sinon cela nâaurait aucune raison dâexister, et tĂŽt ou tard nos pratiques culturelles auront une incidence sur notre Ă©volution. Car dans lâunivers rien nâest du hasard sinon notre insuffisance Ă en comprendre tous les mĂ©canismes, et nous nâallons pas faire du hasard un Dieu, ni de notre imagination quelque chose qui ne serait pas naturel. Enfin si le systĂšme des valeurs, des rĂšgles sociales, des conduites apprises varient dans chaque groupe, elles rĂ©vĂšlent toutes la mĂȘme structure de dĂ©veloppement car il nây a, Ă aujourdâhui, pas de gĂšne de prĂ©destination pour cela et chacun en fonction de son apprentissage peut ĂȘtre lâautre, sauf Ă en trouver une dans les protĂ©ines ou dans ces flux dâĂ©nergies qui nous ont créé et quâillustre la notion de karma chez les moines rapport Ă lâinnĂ© primitif acculturĂ©, il sâagit pour moi dâindiquer que notre innĂ© a bĂ©nĂ©ficiĂ© de lâexpĂ©rience du vĂ©cu de ses ou son prĂ©dĂ©cesseur dans lâĂ©volution.[49] Note de lâauteur. Imaginons que lâordre sous-jacent nous lâappelions O, la perception de lâordre de lâensemble de lâunivers englobant lâespĂšce humaine, le chaos, sera C, lâactivitĂ© qui Ă©tablie son ordre Humain, sera oH. Ainsi, si jâobserve lâunivers, soit lâensemble Ă un moment N, soit le lundi, je peux Ă©crire que C = O oH N ; C, Ă©gale O facteur oH facteur de N. Si Le mardi nous avons changĂ© nos comportements, C Ă©gal Ă celui du lundi nâexiste plus, il a pris la valeur de lâordre du mardi, car un de ces Ă©lĂ©ments Ă Ă©tĂ© modifiĂ©, en espĂšces oH qui est devenu diffĂ©rent de lundi, parce que N, qui est le temps câest Ă©coulĂ©. Ainsi le mardi, jâĂ©crirai C = O oHâNâ , donc ma formule sera diffĂ©rente du lundi, et de la sorte C le chaos, produit du mardi, sera diffĂ©rent de celui du lundi. De cette maniĂšre C sera devenu Câ, etc. Ă lâinfini, et il ne sera jamais possible de retrouver lâĂ©galitĂ© C =O oH N.[50] La loi sâĂ©nonce Tn = Tc + To â Tc g-n. Ainsi, chaque grande date de mutation Tn oĂč figure le rang de lâĂ©vĂ©nement, câest Ă dire sa position par rapport aux autres Ă©vĂ©nements dĂ©pend du temps critique Tc de la sĂ©rie Ă©volutive considĂ©rĂ©e, de la valeur de To la date de temps zĂ©ro et un terme g, qui nâest autre que le rapport de longueur dâune branche Ă ses sous branches. G peut ĂȘtre identifiĂ© au nombre de sous branches K que porte chaque branche Ă la puissance 1/D oĂč D est une dimension fractale caractĂ©risant les bifurcations g = K puissance 1/D. Lâarbre Ă©tant auto similaire par hypothĂšse, on suppose que g ne varie pas pour chaque sĂ©rie Ă©volutive. Et de fait, on trouve une constante pour les primates g = 1,73 + /- 0,01, pour les sauropodes g = 1,33 ou pour les Ă©quidĂ©s g = 1,3 / - 0,03. EurĂȘka. Septembre 1999 n° Ă 50[51] Note de lâauteur, je veux dire par-lĂ quâil me paraĂźt naturel que les hommes dĂšs les premiers temps, et mĂȘme aujourdâhui, se tournent vers les cieux pour connaĂźtre leur origine, de la mĂȘme maniĂšre quâun enfant est attirĂ© vers sa mĂšre, vers celle qui lâa mise au monde.[52] Note de lâauteur. La pensĂ©e TaoĂŻste lâexprime dans la rĂ©ponse dâun sage Kouang-tchâeng-tseu rĂ©pondant au dĂ©sir de lâempereur Jaune de connaĂźtre le principe parfait pour assurer le bien ĂȘtre de tous. Il rĂ©pondit Ce sur quoi vous voulez mâinterroger, est la substance mĂȘme du chaos ; ce que vous voulez rĂ©gler est la diversitĂ© des choses. Si vous gouverniez le monde suivant votre propre dĂ©sir⊠la lumiĂšre du soleil et de la lune serait vite Ă©teinte. Ainsi aujourdâhui nous avons presque les moyens de faire lâun ou lâautre.[53] James York analysa mathĂ©matiquement lâeffet entraĂźnait par la modification dâun paramĂštre dâun ensemble et en conclu que le chaos Ă©tait omniprĂ©sent stable et structurĂ©. Il dĂ©montra que tout systĂšme Ă une dimension dans lequel apparaĂźt un cycle rĂ©gulier de pĂ©riode trois prĂ©sente Ă la fois dans des cycles rĂ©guliers de durĂ©es quelconques et dâautres totalement chaotiques. James Cleick. La thĂ©orie du chaos. Ăditeur Champ flammarion. 1991. Pp 104 et 105.[54] Doctrine selon lequel rien dâautre nâexiste que la matiĂšre et dont la pensĂ©e et tous les phĂ©nomĂšnes spirituels en relĂšvent.[55] Doctrine qui considĂšre lâesprit comme une rĂ©alitĂ© irrĂ©ductible au corps, Ă la matiĂšre et qui lui est supĂ©rieure.[56] Procaryotes micro-organisme unicellulaire considĂ©rĂ© par les palĂ©ontologues, comme Ă©lĂ©ment de lâapparition de la vie », parmi les diverses thĂ©ories qui divisent les scientifiques. Note de lâauteur inspirĂ© de la lecture de, SHAPIRO Robert, LâORIGINE DE LA VIE, Ă©diteur Flammarion, 1994.[57] Note de lâauteur. Social parce que le repas revĂȘt une forme de ritualisation, biologique parce que se nourrir nĂ©cessite une hygiĂšne alimentaire et que les sens gustatifs et olfactifs fixent nos choix alimentaires, et que lâhomme Ă une aversion naturelle Ă toutes nouveautĂ©s, et que le marchĂ© est un espace de sociabilitĂ© et le repas de convivialitĂ©.[58] Jean-Claude Lugas. La SystĂ©mique Sociale. Ăditeur presse universitaire de France. 1993.[59] Note de lâauteur. La sĂ©lection naturelle est lâaptitude dâune espĂšce de sâadapter Ă son environnement, tel nous le Cro-Magnon que nous sommes, alors que nos ancĂȘtres ont disparu. Sauf que nous ne savons pas comment cela a pu se dĂ©rouler, et quâil nous faille admettre en lâabsence de cataclysme, un long processus de transformation graduel dâenfantement. Or lâimage culturelle de la sĂ©lection naturelle vĂ©hiculĂ©e est celle dâune mĂ©moire collective qui vient dâun passĂ© rĂ©cent de plus de quatre mille ans correspondant Ă lâĂąge du bronze oĂč lâhomme invente la guerre et sâentre-tue. Ainsi, câest cette capacitĂ© culturelle que nous avons Ă©liminĂ©e comme asociale ou que nous tentons dâĂ©liminer. Rien ne prouve quâavant cette pĂ©riode de plus de quatre mille ans, lâhomme sâentre-tuait en dehors de certaines pratiques consĂ©quentes de lâanthropophagie, car les premiers charniers mis Ă jour remontent Ă lâĂąge des mĂ©taux, et aucun art pariĂ©tal ne reproduit de quelconque guerre, alors que la conscience de la mort ritualisĂ©e est situĂ©e autour de 100 000 ans. Câest pour cela que jâai utilisĂ© la notion de sĂ©lection primitive culturelle».[60] Note de lâauteur. Lâindividualisme peut se prĂ©senter aussi sous une forme associative comme il sâest pratiquĂ© dans le communisme. Ce qui rejoint les deux aspects qui paressent sĂ©parĂ©s profondĂ©ment, câest que tous les deux demandent aux hommes de partager une Ă©chelle de valeur unique pour des ĂȘtres qui sont semblables et diffĂ©renciĂ©s, et câest cette forme lĂ qui nous est difficile de structurer, car elle ne peut ĂȘtre que changeante puisquâelle paraĂźt ĂȘtre lâessence mĂȘme du monde objectif que nous ne saisissons pas sans devoir lâarrĂȘter dans des structures normatives erronĂ©es.[61] Nous pouvons lâobserver dans la beurification » du langage des jeunes issus de lâimmigration. Ceci ne serait pas problĂ©matique si elle nâengendrait pas une rĂ©gression de la quantitĂ© et de la qualitĂ© du langage. Dans le sens ou lâexpression et la comprĂ©hension de notre condition humaine se complexifie nĂ©cessitant toujours plus de prĂ©cision, de maniĂšre que si le langage qui Ă©merge de cette acculturation sâatrophie et ne formule pas suffisamment clairement le ressenti exprimĂ©, alors câest lâattitude comportementale qui prend le relaie ; une des raisons qui conduisent Ă des actes violents. Il est nul besoin dâĂȘtre savant pour comprendre que la rĂ©gression sociale engendre de dociles apeurĂ©s violents entre-eux ou en groupe, nâayant aucune conscience politique, et reprĂ©sentant de fait des proies faciles Ă lâendoctrinement. Ce qui nâest pas le cas de sociĂ©tĂ©s indigĂšnes, qui tout en ne possĂ©dant pas autant de moyen que nous technique ou intellectuel, disposent de rites dâintĂ©grations qui Ă©liminent les exclusions, alors que nous nous disposons de rituels dâauto exploitation ; ce qui nâest pas la mĂȘme chose. Mais rien nâest aussi tranchĂ© car entre en jeu un paramĂštre spatial et de concentration de population.[62] Six 6 millions de personnes dans le monde disposent une fortune dâau moins 1100 millions dâEuro 7 millions de francs. Les trois fortunes les plus riches, dispose ensemble dâune richesse Ă©gale au produit national brut cumulĂ© des pays les moins avancĂ©s, qui regroupent 600 millions dâhabitants. Francoscopie 20001.[63] Daniel Boorstin. Les DĂ©couvreurs. Ăditeur Robert Laffont. 1990. P. 16.[64] La Bible. GenĂšse 8, 9.[65] Malthus premiĂšre Ă©dition de lâessai sur le principe des populations, passage supprimĂ© dans les Ă©ditions ultĂ©rieures.[66] Malthus, essaie sur le principe de la population, Ă©diteur Gonthier, Biraben, Population et sociĂ©tĂ©, n° 113, mai 1978, INED.[68] Je veux signifier par-lĂ que faute de tout connaĂźtre, tout apprendre, nous sommes vouĂ©s Ă ĂȘtre ignorant de ce que nous ne voulons pas apprendre par choix ».[69] Je fais une extrapolation de ce quâil est connu des forces confinant les quartzs qui composent les neutrons et les protons, les gluons. TirĂ© de, Murray Gell-mann. Le quartz et le jaguar, PP. 206 Ă 208.[70] Je vous invite Ă lire pour cela lâouvrage de Michel Bounias, Le Guide Des Toxicitudes, Ă©dition Robert Laffont, 1992.[71] Note de lâauteur. Il ne sâagit pas de nier par-lĂ les risques rĂ©els dus Ă lâutilisation dâune technologie dans laquelle il y aura forcĂ©ment des incertitudes gĂ©nĂ©ratrices dâĂ©vĂ©nements. Je songe particuliĂšrement aux risques dus Ă nos constructions mystiques, ou Ă nos superstitions. Je vais prendre un exemple qui nâa quâune valeur indicative. Notre approche duale du bien et du mal nous a fait concevoir un dieu bon, et certains ont renvoyĂ© lâimage du mal, Ă un Satan ou un diable. Si avec le temps nous nâavons pas donnĂ© un visage Ă dieu par interdiction biblique, nous avons personnalisĂ© le diable, nous lui avons donnĂ© un aspect prĂ©cis, et le danger est lĂ . Câest que demain avec lâusage de la technologie sur la gĂ©nĂ©tique nous serons en mesure de le concevoir. Ainsi un personnage, qui est issus de nos fantasmes, risque de prendre corps si nous confions cette puissance crĂ©atrice Ă des mystiques. Ainsi demain pour palier Ă une telle Ă©ventualitĂ© nous crĂ©erons un interdit de plus, alors quâil eut fallu expliquer par lâappris que le diable nâexistait pas en dehors de lâexpression de notre violence.[72] Boorstin, Daniel, Les dĂ©couvreurs, traduction française, Ă©diteur Seghers, Paris, 19886, livre 1, Le Temps.[72][73] Personnes au chĂŽmage cherchant effectivement un emploie Ă plein temps ou Ă temps partiel ou ayant trouvĂ© un emploi qui commence ultĂ©rieurement.[74] Note de lâauteur, chaque fois quâun Etre se trouve en situation de rĂ©flexe de survie, câest le cerveau primitif qui intervient sans contrĂŽle du cerveau cognitif. Ensuite les scientifiques estiment que lâĂ©volution de notre boĂźte crĂąnienne a entraĂźnĂ©, une naissance prĂ©maturĂ©e qui expliquerait quâun enfant, contrairement Ă lâexemple des autres mammifĂšres, ne survivrait pas sans aide prolongĂ©, et que sa construction se prolonge en dehors de la protection utĂ©rine.[75]La thĂ©orie de la RelativitĂ© sâest dĂ©barrassĂ©e du temps absolu. ConsidĂ©rons une paire de jumeaux. Supposons quâun vit au sommet dâune montagne pendant que lâautre reste au niveau de la mer. Le premier jumeau devrait vieillir plus vite que le second. Donc, lorsquâils se rencontreront de nouveau, lâun devra ĂȘtre plus vieux que lâautre. Dans leur cas, la diffĂ©rence dâĂąge serait minime, mais elle serait plus grande pour lâun des jumeaux sâil partait pour un long voyage dans un vaisseau spatial Ă la vitesse de la lumiĂšre. A son retour, le voyageur devrait ĂȘtre beaucoup plus jeune que son frĂšre restĂ© sur terre. Câest ce que lâon appelle le paradoxe des jumeaux », mais ce nâest un paradoxe que pour qui conserve une idĂ©e de temps absolu derriĂšre la tĂȘte. En RelativitĂ©, il nây a pas de temps absolu unique, chaque individu a sa propre mesure personnelle du temps qui dĂ©pend du lieu oĂč il est et de la maniĂšre dont il se dĂ©place. Lâespace et le temps sont maintenant des quantitĂ©s dynamiques quand un corps se meut ou quand une force agit, elle affecte la courbure de lâespace et du temps, en retour, la structure de lâespace temps affecte la façon dont les corps se meuvent et dont les forces agissent. Lâespace et le temps nâaffectent pas seulement tout ce qui arrive dans lâunivers, ils en sont aussi affectĂ©s. »RelativitĂ© GĂ©nĂ©rale Elle explique, la force de gravitĂ© en termes de courbure dâespace temps quadridimensionnel suivant la thĂ©orie dâEinstein basĂ©e sur lâidĂ©e que les lois de la science devraient ĂȘtre les mĂȘmes pour tous les observateurs, quel que soit leur RelativitĂ© restreinte ThĂ©orie dâEinstein basĂ©e sur lâidĂ©e que les lois de la science devraient ĂȘtre les mĂȘmes pour tous les observateurs se dĂ©plaçant librement, quâelle que soit leur vitesse. Hawking, Stephen, Une brĂšve histoire du temps, Ăditeur, Flammarion, France, 1989, Ă 55.[76] Note de lâauteur. Il est admis que la migration de lâhomme recouvrant la planĂšte, la conduit Ă occuper des territoires autres que ceux correspondant Ă son biotope originel, comme dans les pays nordiques, oĂč lâalternance journaliĂšre jour nuit nâexiste pas, il nâen conserve pas moins un rythme circadien, grĂące Ă la hiĂ©rarchie des synchronisateurs. Les Ă©tudes du français Michel Siffre lâont dĂ©montrĂ©. Ainsi une alternance de rythme de travail jour nuit ne permet pas un ajustement de notre horloge biologique.[77] Les Mayas sont apparus dĂ©s le IV iĂšme siĂšcle av. C. en AmĂ©rique centrale, et ont disparu dans la premiĂšre moitiĂ© XVI siĂšcle du fait des conquĂȘtes espagnoles. Des OlmĂšques toujours en AmĂ©rique centrale il a Ă©tĂ© trouvĂ© des traces dâĂ©criture datant de 2000 ans av. La culture diffusĂ©e en partie par lâĂ©cole et la famille, lâest de plus en plus par les mĂ©dias. En effet le prestige de lâĂ©cole a diminuĂ© en mĂȘme temps, que les modes de vie et les systĂšmes de valeurs Ă©loignaient les Français des institutions et du modĂšle rĂ©publicain ». LâĂ©glise qui contribuait traditionnellement Ă lâĂ©ducation, notamment morale, a aussi perdu de son influence. Quant Ă la famille, son rĂŽle Ă©ducatif sâest trouvĂ© amoindri par la prĂ©gnance dâun modĂšle libertaire, favorable Ă lâautonomie de chacun, mais aussi par lâincapacitĂ© croissante des parents Ă expliquer le monde Ă leurs enfants et Ă leur fournir des points de repĂšres. Dans ce contexte, le poids des mĂ©dias dans la diffusion de la culture gĂ©nĂ©rale câest accru. Lâinformation est devenue la matiĂšre premiĂšre de la vie individuelle et sociale. Tous les mĂ©dias nâont pas profitĂ© Ă©galement de cette Ă©volution. La lecture des quotidiens et celle des livres ont diminuĂ© au profit de la tĂ©lĂ©vision, des jeux vidĂ©o et de lâordinateur multimĂ©dia. LâĂ©quipement des français en audiovisuel a connu une progression spectaculaire depuis 1970. On a pu assister Ă la diffusion progressive dâune culture de lâĂ©cran » qui complĂšte et parfois sâoppose Ă celle de lâĂ©crit. Francoscopie 2001[79]Jâentends les facultĂ©s et les maniĂšres de connaĂźtre, de comprendre et de se reprĂ©senter ce que lâon acquiert par lâĂ©tude ou la pratique de bases informatives ou plus de diverses disciplines[80] Notes de lâauteur. Dans la religion MĂ©sopotamienne au cotĂ© des prĂȘtres qui assuraient le culte, il y avait les spĂ©cialistes chargĂ©s dâassurer lâavenir, en chassant le mal et lâimpur. Ils avaient pour leur usage des textes divinatoires ou magiques, qui devinrent avec le temps des traitĂ©s dâastrologie interprĂ©tant les signes du temps et du cosmos. Mais si tout le monde pouvait en donner une interprĂ©tation, lâexĂ©gĂšte et le savant en la matiĂšre offraient une sorte de sĂ©curitĂ© de la prĂ©diction. Dans le domaine de lâinterprĂ©tation se sont dĂ©veloppĂ©s bien des techniques dont certaines subsistent, comme lâoniromancie lâinterprĂ©tation des rĂȘves, et fait lâobjet dĂ©tude scientifique, tant le rĂȘve est partie intĂ©grante de notre Moi. Sinon on y trouvait lâhĂ©patoscopie observation du foie, lâextipicine interprĂ©tation des viscĂšres, observation du vol des oiseaux pour les prĂ©dictions etc. marquant ainsi leur souci de connaĂźtre lâavenir et de se rassurer. De cette relation Ă©troite de lâhomme avec le divin ou du spĂ©cialiste prophĂ©tisant lâavenir nous est parvenu deux religions prophĂ©tisĂ©es et messianiques sous lâĂ©gide desquelles nous vivons toujours, le judĂ©o-christianisme, mĂȘme sâil sâest hellĂ©nisĂ© et romanisĂ©, et lâislamisme.[81] NĂ©ologisme de lâauteur, marchandisage = souci immĂ©diat de songer Ă tirer un intĂ©rĂȘt lucratif de toute chose.[82] Utilisation des cryotempĂ©ratures, moins 120° Kelvin.[83] La diversitĂ© de la vie sur Terre reprĂ©sente une information distillĂ©e au cours de quatre milliards dâannĂ©es dâĂ©volution biologique, et sur la relation analogue quâentretient la diversitĂ© culturelle humaine dâHomo sapiens sapiens. Je soutiens que la diversitĂ© biologique et la diversitĂ© culturelle mĂ©ritent toutes deux de grands efforts afin dâĂȘtre prĂ©servĂ©es »⊠Mais il nâest pas rĂ©ellement possible de considĂ©rer ces questions isolĂ©ment. Le rĂ©seau de relation qui lie lâhumanitĂ© Ă elle-mĂȘme comme le reste de la biosphĂšre est aujourdâhui si complexe que tous les aspects sâaffectent les uns les autres Ă un point extraordinaire. Câest une Ă©tude du systĂšme tout entier quâil faut rĂ©aliser, aussi sommaire doive-t-elle ĂȘtre, parce quâaucune mise bout Ă bout dâĂ©tudes partielles dâun systĂšme adaptatif complexe non linĂ©aire ne peut donner idĂ©e du comportement du tout. Certains efforts dĂ©butent pour mener une telle Ă©tude sommaire des problĂšmes mondiaux, intĂ©grant tous les aspects pertinents, quâils soient aussi bien environnementaux, dĂ©mographiques et Ă©conomiques, que sociaux, politiques, militaire et idĂ©ologiques. La vocation de lâĂ©tude nâest pas de se rĂ©duire Ă une simple spĂ©culation sur le futur, mais de tenter dâidentifier, parmi les multiples sentiers possibles pour lâavenir de l'espĂšce humaine et le reste de la biosphĂšre, quels sont ceux qui avec une probabilitĂ© raisonnable pourraient mener Ă une plus grande durabilitĂ©. DurabilitĂ© est ici entendu au sens large pour inclure non seulement lâĂ©vitement dâune catastrophe environnementale, mais dâune guerre dĂ©sastreuse, dâun despotisme gĂ©nĂ©ralisĂ© Ă long terme et dâautres flĂ©aux de cet acabit tout au tant. Le lecteur trouvera dans cet ouvrage un nombre dâallusions au Santa Fe Institue, que jâai contribuĂ© Ă fonder⊠». Murray Gel-Mann. Le quartz et le jaguar. Ădition Flammarion.[84]Convaincu de devoir crĂ©er sa propre mythologie, Mandelbrot ajouta cette phrase Ă son entrĂ©e dans le Whoâs Who La science irait Ă sa perte si comme le sport elle plaçait la compĂ©tition au-dessus de tout, et si elle clarifiait les rĂšgles de cette compĂ©tition en se confinant Ă lâintĂ©rieur de spĂ©cialitĂ©s Ă©troitement dĂ©finies. Les rares savants qui ont choisi dâĂȘtre nomades sont essentiels au bien ĂȘtre intellectuel des disciplines Ă©tablies » ? Ce nomade volontaire » qui se qualifiait de pionnier par nĂ©cessitĂ© », quitta lâinstitution acadĂ©mique en quittant la France et en acceptant le refuge que lui offrait le Thomas J. Watson Research Center dâIBM. Gleick. La thĂ©orie sue le chaos. Ăditeur Flammarion.[85] Mermet GĂ©rard, Francoscopie 2001, Ă©diteur 2000, p 293.[86] Trois systĂšmes de philosophie naturelle dominĂšrent le monde mĂ©diterranĂ©en Ă lâĂšre prĂ© chrĂ©tienne. Issus de la pensĂ©e fĂ©conde des Ioniens et des pythagoriciens, ils ont façonnĂ© lâhistoire de la science et de la culture occidentale⊠» Le systĂšme atomiste dâun espace infini parsemĂ© de mondes innombrables composĂ©s dâatomes apparut en premier, suivi par le systĂšme des sphĂšres cĂ©lestes dâAristote, gĂ©omĂ©trique et harmonieux, suivi Ă son tour par le systĂšme StoĂŻcien dâun cosmos Ă©toilĂ© entourĂ© dâun vide extra cosmique infini » Ces trois systĂšmes nous ont lĂ©guĂ© Ă©galement des notions dâordre religieux, philosophique et Ă©thique ». Edwards Harrison. Le noir de la nuit. Ădition du Seuil. 1990. P 27.[87] La spĂ©cificitĂ© des mathĂ©matiques. En premier lieu, il est vrai que les mathĂ©matiques ne sont pas une science, si lâon entend par science une discipline vouĂ©e Ă la description de la nature et de ses lois. Lâobjet des mathĂ©matiques est plutĂŽt de prouver les consĂ©quences logiques dâensembles donnĂ©s de suppositions. Il est par consĂ©quent possible de ne pas les inclure dans la liste des sciences et de les considĂ©rer comme un sujet intĂ©ressant en soi ainsi que comme un instrument des plus utile Ă la science mathĂ©matiques pures et appliquĂ©es. Un autre regard sur les mathĂ©matiques consiste Ă considĂ©rer que les mathĂ©matiques appliquĂ©es sâintĂ©ressent aux structures apparaissant en thĂ©ories scientifiques, tandis que les mathĂ©matiques pures couvrent non seulement ces structures mais Ă©galement toutes celles qui auraient pu ou qui pourraient un jour se prĂ©senter en science. Les mathĂ©matiques sont alors lâĂ©tude rigoureuse des mondes hypothĂ©tiques. De ce point de vu, elles sont une sorte de science â La science de ce quâil aurait pu ĂȘtre, de ce quâil pourrait ĂȘtre, aussi bien de ce quâil est. Ainsi considĂ©rĂ©es les mathĂ©matiques ne sont-elles pas alors la plus fondamentale des sciences ? Murray Gell-mann. Le quartz et le jaguar. Edition Flammarion. Pp 129/130.[88] Le terminus de lâhominisation est en mĂȘme temps un commencement. Lâhomme qui sâaccomplit en homo sapiens est une espĂšce juvĂ©nile et enfantine ; son cerveau gĂ©nial est dĂ©bile sans lâappareil culturel ; ses aptitudes ont besoin dâĂȘtre nourries au biberon. Ce sur quoi sâachĂšve lâhominisation, câest sur lâinachĂšvement dĂ©finitif, radical et crĂ©ateur de lâhomme. Morin Edgar, Le paradigme perdu La nature humaine, Ă©diteur le seuil, 1973, et p. 139-140.[89] Je nâai pas disposĂ© dâĂ©tudes dissociant la littĂ©rature dans les divers types de romans.[90] GĂ©rard Mermet. Francoscopie 2001. Ăditeur Larousse. 2001. Pp 432 Ă 436[91] Note de lâauteur. Lâexpansion du modĂšle anglo-saxon sâeffectue essentiellement au travers de la capacitĂ© cinĂ©matographique amĂ©ricaine et de lâutilisation de lâanglais comme langue commerciale.[92] Note de lâauteur. Par autonomisme » jâentends toute organisation dont la structure au nom de la diversitĂ© ou de la spĂ©cificitĂ© culturelle se veut centrer sur elle-mĂȘme, par une structure fermĂ©e ou tournĂ©e exclusivement vers son passĂ© gĂ©ohistorique » stagnant, sans apport extĂ©rieur exogĂšne.[93] Note de lâauteur. Par mondialisme jâentends toute organisation unique dont la structure ne pouvant plus rien recevoir de lâextĂ©rieur et pour cause, ne favoriserait pas le dĂ©veloppement de la diversitĂ© et la spĂ©cificitĂ© culturelle dâun passĂ© gĂ©ohistorique » dynamique, puis quelle ne peut espĂ©rer que des apports intĂ©rieurs endogĂšnes, pour se tourner vers le futur ».Ces deux dĂ©finitions, autonomisme et mondialisme » peuvent vous paraĂźtre incomprĂ©hensibles si vous nâaviez pas en tĂȘte le deuxiĂšme principe de la thermodynamique, que tout ce qui tend vers lâordre » arrive Ă un Ă©tat ultime dâĂ©quilibre, ou il ne se passe plus rien car il nây a plus de mouvement. Nous sommes donc condamnĂ©s Ă maintenir une certaine entropie, une diversitĂ© pour Ă©changer, partager et gĂ©rer notre monde, pour quâil ne devienne pas une organisation fermĂ©e vouĂ©e Ă mourir, sauf apport extĂ©rieur, ou faute dans recevoir y aller, ce qui ne signifie aucunement entretenir des conflits.[94] Par gĂ©ohistorique, nĂ©ologisme de lâauteur, jâentends le rapport, la relation entre les donnĂ©s gĂ©ographiques des territoires et lâhistoire culturelle des hommes quâelle a façonnĂ©s, ne pas confondre avec gĂ©opolitique.[95] La connaissance et les limites de la connaissance. Ce qui permet notre connaissance limite notre connaissance et ce qui limite notre connaissance permet la connaissance. La dĂ©couverte des limites de la connaissance est beaucoup plus quâune dĂ©couverte des limites. Elle constitue un acquis capital pour la connaissance. Elle nous indique que la connaissance fait partie des possibilitĂ©s de la connaissance et elle accomplit cette possibilitĂ©. Elle dĂ©passe les limites de la connaissance bornĂ©e qui se croyait illimitĂ©e. Elle nous fait dĂ©tecter une rĂ©alitĂ© qui excĂšde nos possibilitĂ©s de connaissance, elle nous amĂšne Ă Ă©difier un mĂ©ta point de vue, celui de la connaissance de la connaissance, dâoĂč lâesprit peut, comme dâun mirador, se considĂ©rer lui mĂȘme dans ses principes, rĂšgles, normes et possibilitĂ©s, tout en envisageant sa relation diabolique avec le monde extĂ©rieur. Nous nous rendons compte dĂ©sormais que lâinconscience des limites de la connaissance est bornĂ©e. LâidĂ©e que notre connaissance est bornĂ©e, a des consĂ©quences illimitĂ©es ». Morin Edgar, La MĂ©thode III, Ă©dition le Seuil, 1986, p. 222.[96] Dans une enquĂȘte sur lâemploi pour 1999, il ressort que le niveau dâinstruction de la population mĂ©tropolitaine de 15 ans et plus est que, 25,2% de lâensemble non aucun diplĂŽme ou le certificat dâĂ©tude ; 7,2% le BEPC ; 29,1% le CAP ou BEP ; 13,4% BAC ou BP ; 11,6 le BAC + 2 ; 11,1% un diplĂŽme supĂ©rieur ; 2,4% en cours dâĂ©tudes initiales. Alors quâen 1982 60,2% de lâensemble nâavaient aucun diplĂŽme ou le certificat dâĂ©tude et 48,6% en 1990. GĂ©rard Mermet. Francoscopie 2001. Ăditeur Larousse. 2000. Pp 91 et 92.[97] Les grandes inĂ©galitĂ©s dâĂ©ducation sont induites par le milieu familial, et se perpĂ©tuent tout au long de la vie. Francoscopie 2001. GĂ©rard Mermet Pp 93 et 94.[98] Chaque annĂ©e 30% des salariĂ©s suivent une formation financĂ©e par lâemployeur et 4% Ă titre individuel. En 1998 parmi les diplĂŽmĂ©s 45% des cadres ont Ă©tĂ© concernĂ©s, 42% des professions intermĂ©diaires, 33% des emplois administratifs, 20% des employĂ©s du commerce et des services, 19% des salariĂ©s qualifiĂ©s, 9% des ouvriers non qualifiĂ©. Parmi les non diplĂŽmĂ©s, 11% des employĂ©s administratifs, 9% du commerce et services. Francoscopie, p 293.[99] GĂ©rard Bronner. Lâincertitude. Ăditeur presse universitaire de France. 1997.[100] Stephen Hawking. Une brĂšve histoire du temps. Ădition Champs / Flammarion. 1989. pp 79 Ă 88.[101] Note de lâauteur. Les paradoxes de la mĂ©canique quantique ont toujours intriguĂ© les chercheurs, comment un Ă©lectron peut se trouver en mĂȘme temps Ă Paris ou Londres. Une rĂ©ponse a Ă©tĂ© apportĂ©e, parce que lâun est lâimage de lâautre et cette image est un paquet dâinformations. Je nâai pas de compĂ©tences pour juger cela câest le travail des scientifiques, mais ce que jâai indiquĂ© dans lâavertissement câest que si notre cerveau est capable dâassocier des informations pour concevoir un phĂ©nomĂšne dâubiquitĂ© », câest que cela doit exister quelque part sous une forme qui nous Ă©chappe, car notre cerveau nâinvente rien qui ne puisse exister, car il associe des informations existantes dont nous extrayons notre crĂ©ativitĂ©.[102] Note de lâauteur. La probabilitĂ© de la survenance dâun dĂ©sir est la somme de tous les Ă©lĂ©ments qui concourent Ă sa rĂ©alisation et celles qui concourent Ă ses non rĂ©alisations, et cette somme, ne nous est jamais accessible dans sa totalitĂ©, et sâaccroĂźt par la connaissance, pourtant la rĂ©alisation effective de ce dĂ©sir est la probabilitĂ© vĂ©ritable que nous rĂ©alisons au quotidien sans que cela nous parlant de lâĂ©tat quantique de lâunivers et de ses histoires possibles rapportĂ©es Ă notre existence, Gell-mann disait concernant cette approche Notre quotidien fait que nous ne voyons rien de surprenant Ă ce quâil en aille ainsi, mais la maniĂšre dont cela se fait devrait piquer notre curiositĂ© ». Murray Gell-mann. Le quark et le Jaguar. Ăditeur Flammarion. 1997. P. 170. PP. 162 Ă 174.[103] Terme empruntĂ© Ă lâĂ©pistĂ©mologie gĂ©nĂ©tique de Piaget, lâĂ©quilibration est lâĂ©tat dynamique qui nâest pas un Ă©quilibre mĂ©canique mais un rapport entre lâassimilation des situations extĂ©rieures nouvelles dans les structures existantes et la transformation de ces structures pour sâadapter Ă des situations extĂ©rieures, un processus dâautorĂ©gulation.[104]Hawking, S, Une brĂšve histoire du temps, Ă©diteur, Flammarion, 1989, pp185 Ă 197[105] Gleick, James, La ThĂ©orie du Chaos, Ă©diteur Flammarion, 1991[106] MatĂ©rialiste, dans le sens de maniĂšre de vivre, Ă©tat dâesprit orientĂ© vers la recherche des satisfactions et des plaisirs matĂ©riels.[107] Erreurs dans lâidentification de rĂ©gularitĂ©s Les systĂšmes adaptatifs complexes identifient des rĂ©gularitĂ©s dans des flux de donnĂ©es quâils reçoivent et compressent ces rĂ©gularitĂ©s en schĂ©ma. Dans la mesure oĂč il est aisĂ© de commettre deux types dâerreurs- prendre lâalĂ©atoire pour du rĂ©gulier et inversement- il est raisonnable de supposer que des systĂšmes adaptatifs complexes puissent tendre Ă Ă©voluer vers une situation Ă peu prĂšs en Ă©quilibre oĂč lâidentification de certaines rĂ©gularitĂ©s sâaccompagneraient des deux types dâ considĂ©rer les structures de la pensĂ©e humaine, nous pouvons identifier, grossiĂšrement, la superstition avec un type dâerreur et la dĂ©nĂ©gation avec lâautre. Les superstitions se caractĂ©risent par la perception de rĂ©gularitĂ©s lĂ oĂč il nây en a de fait aucune, et la dĂ©nĂ©gation revient Ă rejeter la preuve de rĂ©gularitĂ©s manifestes, mĂȘme quand elles sautent aux yeux. Un tant soi peu dâintrospection et dâobservation des autres ĂȘtres humains, et chacun de nous pourra dĂ©celer quâil y a une corrĂ©lation de ces deux erreurs avec la le premier cas, les gens sont effrayĂ©s par le caractĂšre imprĂ©dictible et particuliĂšrement non contrĂŽlable de la plupart de ce que nous voyons autour de nous. Une part de cette imprĂ©dictibilitĂ© a pour origine ultime les indĂ©terminations de la mĂ©canique quantique ainsi que les limitations supplĂ©mentaires quâimpose le chaos aux prĂ©dictions. A quoi sâajoute une quantitĂ© considĂ©rable dâagraindissement avec lâimprĂ©dictibilitĂ© qui sâen suit provenant de lâĂ©troitesse du spectre couvert par nos sens et nos instruments et de leurs capacitĂ©s limitĂ©es. Enfin nous sommes handicapĂ©s par les insuffisances de notre facultĂ© de comprendre et les limites de notre capacitĂ© de calcul. Le rĂ©sultat de tout cela, tant de choses sans rime ni raison, est notre effroi, et nous imposons au monde qui nous entoure, mĂȘme Ă des faits alĂ©atoires et Ă des phĂ©nomĂšnes accidentels, un ordre artificiel fondĂ© sur des relations de causes Ă effets erronĂ©es. Ainsi nous nous rassurons avec illusion de prĂ©dictibilitĂ©, de maĂźtrise mĂȘme. Nous nous berçons de pouvoir manipuler le monde en faisant appel aux forces imaginaires que nous avons le cas de la dĂ©nĂ©gation, nous sommes bien capables de dĂ©celer de rĂ©elles structures mais elles nous effrayent tant, que nous nous voilons les yeux devant leur existence. La certitude de la mort est la rĂ©gularitĂ© la plus menaçante de nos vies. Et le nombre de croyances, dont certaines plus ancrĂ©es, ont pour fonction dâapaiser cette inquiĂ©tude face Ă la mort. Un large partage de croyances spĂ©cifiques de ce genre au sein dâune culture amplifie dâautant leur impact sur lâindividu. Mais ces croyances impliquent lâinvention de rĂ©gularitĂ©s, de sorte quâĂ la dĂ©nĂ©gation sâajoute la superstition ». Si ce type dâanalyse se justifie, nous pouvons alors conclure Ă une tendance probable Ă lâerreur dans les deux directions pour les systĂšmes adaptatifs complexes intelligents ». En terme plus anthropomorphiques, nous pouvons nous attendre Ă ce que partout les systĂšmes adaptatifs complexes soient sujet Ă un mĂ©lange de dĂ©nĂ©gation et de superstition » Gell-Mann, le quartz et le jaguar. Ădition Flammarion. 1997. pp 305 Ă 322[108] La Bible, Ă©diteur SociĂ©tĂ© biblique française, 1982, genĂšse 3/19.[109] Doctrine qui ramĂšne la connaissance du particulier, de lâindividuel Ă celle de lâensemble, du tout dans lequel il sâinscrit. Le petit Larousse.[110] La recherche. Le cerveau dâEinstein. 1999 DĂ©cembre n° 326. PP. 28/47.[111] Jâentends par livre fermĂ© des Ă©crits auxquels on ne peut rien ajouter ni rien retrancher oĂč le mot exclu tout autres pensĂ©s que celle exprimĂ©e comme VĂ©ritĂ© absolue, tel le Coran, la bible etc.[112] Note de lâauteur. Au XII iĂšme siĂšcle son sens usuel signifiĂ© gĂ©nĂ©reux » empruntĂ© au latin LibĂ©ralis, au XIII iĂšme siĂšcle son sens est digne dâun homme libre. Le XVIII iĂšme siĂšcle ne connaĂźt pas lâadjectif libĂ©ral, considĂ©rĂ© employĂ© pour la premiĂšre fois le 19 brumaire par Bonaparte dans sa proclamation Français vous reconnaĂźtrez sans doute Ă cette conduite, le zĂšle dâun soldat de la libertĂ©, dâun citoyen dĂ©vouĂ© Ă la rĂ©publique.[113] Note de lâauteur. Aujourdâhui il nous serait possible de dresser une carte gĂ©ographie avec des frontiĂšres de marchĂ©s commerciaux dĂ©pendant de divers groupes financiers. Il nous apparaĂźtrait alors une stratification dâespace qui se recouvrent au-delĂ des limites des Ătats qui exige que les Ătats abandonnent leurs prĂ©rogatives spĂ©cifiques qui apparaĂźt alors comme de lâauto rĂ©sistance pour satisfaire aux rĂšgles des groupes financiers. Avec un peu dâimagination nous pouvons spĂ©culer que sâopĂ©reraient des Ă©changes territoriaux dâinfluence mercantile, comme le faisaient avant les seigneurs et les rois par alliances ou mariages, qui dessinerait les frontiĂšres dâĂtats financiers sous lâautoritĂ© dâun conseil dâadministration ou autres, dont le prĂ©sident serait celui qui dĂ©tient la majoritĂ©. Est-ce illusoire ?[114] La sociĂ©tĂ© ne peut se dĂ©sintĂ©grer sans que, dans la mĂȘme mesure, lâindividu ne soit dĂ©gagĂ© de la vie sociale, sans que ses fins propres ne deviennent prĂ©pondĂ©rantes sur les fins communes, sans que sa personnalitĂ© en un mot ne tende Ă se mettre au-dessus de la personnalitĂ© collective. Plus les groupes auxquels il appartient sont affaiblis, moins il en dĂ©pend, plus par la suite, il ne relĂšve de lui-mĂȘme pour reconnaĂźtre dâautres rĂšgles de conduite que celles qui sont fondĂ©es dans ses intĂ©rĂȘts privĂ©s. Si donc on convient dâappeler Ă©goĂŻsme cet Ă©tat oĂč le moi individuel sâaffirme avec excĂšs en face du moi social et au dĂ©pens de ce dernier, nous pourrons donner le nom dâĂ©goĂŻsme au type particulier de suicide qui rĂ©sulte dâune individuation dĂ©mesurĂ©e » Philippe Steiner. La sociologie de Durkheim. Ăditeur La dĂ©couverte. 1998. P. 51.[115] GĂ©rard Mermet. Francoscopie. Ăditeur Larousse. 2001. PP. 427 Ă 433.[116] Cette prĂ©diction fut mise Ă lâĂ©preuve en 1962 âŠ.» On trouva que lâhorloge du pied dâune tour qui Ă©tait plus proche de la terre que celle au sommet, marchait plus lentement, en accord avec la RelativitĂ© GĂ©nĂ©rale » Hawkins. Une brĂšve histoire du temps. Ăditeur Flammarion. 1989. P. 53.[117] Dans lâespĂšce humaine, les besoins ne sont satisfaits que grĂące Ă une coopĂ©ration entre individu. Il nâexiste pas dâindividu isolĂ©, dâhomme sauvage. LâĂ©conomie est lâorganisation commune qui permet la satisfaction des besoins. Dans les dĂ©bats entre anthropologues, cette conception de lâĂ©conomie est gĂ©nĂ©ralement dĂ©signĂ©e comme subsistantiviste » histoire des mĆurs II vol 1, p 441. Note de lâauteur. Sur cette base lâon peut donc concevoir que lâĂ©conomie dites libĂ©rale qui se symbolise par la loi du marchĂ©, nâest que lâaboutissement momentanĂ© dâun long processus dâune organisation substantiviste » qui veut sâĂ©riger en vĂ©ritĂ© absolue des relations de lâhomme et de lâĂ©conomie quâil a ordonnĂ©e, et sa justification par lâĂ©gocentrisme comme socle incontournable produit de lâinnĂ©, nâest quâun choix culturel dĂ©libĂ©rĂ©.[118] Alain Laurent. Les grands courants du LibĂ©ralisme. Ăditeur Armand Colin. 1998. PP. 8/9.[119] Note de lâauteur. Je dis pseudo nĂ©olibĂ©ralisme, car malgrĂ© lâidĂ©ologie affichĂ©e dâune volontĂ© de pratiquer le nĂ©olibĂ©ralisme les Ătats ont des politiques interventionnistes, ou des dĂ©ficits qui sont moins la caractĂ©ristique dâune Ă©conomie KeynĂ©sienne quâune rĂ©ponse Ă lâĂ©lectoralisme.[120] EncyclopĂ©die des religions, la religion romaine traditionnelle, par Danielle Porte, Pp 189 â 207.[121] Note de lâauteur. Par prĂ©caution je prĂ©fĂšre dire quâil n y a aucune malignitĂ© de ma part Ă avoir juste apposĂ© ces deux exemples. Jâai choisi Jeanne dâArc parce que une partie de son existence vĂ©hiculĂ©e est historiquement contestable indĂ©pendamment du parti qui utilise son symbole, et le partie communiste parce que nous savons historiquement que ses membres français ont vĂ©hiculĂ© des contre vĂ©ritĂ©s sur une union soviĂ©tique rose, certains sciemment, dâautres en ayant leur confiance abusĂ©e.[122] De plus certaines conceptions, peut-ĂȘtre pour faire la part du feu, tendent Ă scinder la conscience en deux. Dâune part, la conscience cognitive », caractĂ©risĂ©e par sa rĂ©fĂ©rence intentionnalitĂ© » Ă des objets rĂ©els » ou abstraits, mettant en jeu des langages, des calculs, des formes de mĂ©moire et de prospection Ă long terme, associĂ© Ă des comportements orientĂ©s ; dâautre part, la conscience comme vĂ©cu, expĂ©rience suggestive caractĂ©risĂ©e de façon unique non par son objet mais par ses propriĂ©tĂ©s intrinsĂšques, sa qualitĂ© dâoĂč le nom de Qualia qui la dĂ©signe souvent. Jean Delacour. Conscience et cerveau. Ădition DeBoeck UniversitĂ©. 2001. P. 7.[123] En archĂ©ologie la dĂ©couverte de tous les objets utilisĂ©s par les anciennes populations nous permettent dâimaginer leurs organisations et pratiques sociales.[124] Francoscopie 2001.[125] Le terme charge est utilisĂ© dans le plan comptable en classe 6 comptes de charges, aux comptes 63 et 64, impĂŽts, taxes, et salaires qui dĂ©duite de la classe 7 comptes de produits, ventes et produits forment le rĂ©sultat brut de lâentreprise. Note de lâauteur.[126] Le seuil de pauvretĂ© se dĂ©finit comme la moitiĂ© du revenu mĂ©dian, qui divise la population en deux moitiĂ©s, reliĂ© au revenu relatif par rapport Ă lâensemble de la population, majorĂ© dâune unitĂ© pour le premier adulte, 0,7et 0,5 par enfant. Francoscopie 2001.[127] Note de lâauteur. Je dis chasser pour me conformer Ă lâimage valorisant que nous voulons donner de notre espĂšce. Mais compte tenu de ce que nous connaissons de nos capacitĂ©s physiques, et de celle que nous pensons devoir ĂȘtre de nos ancĂȘtres, il y a peu de chance, que pour manger de la viande nous ayons dĂ» faire autre chose, que ce que font les charognards, avant de concevoir des outils, jets de pierres et armes de chasses ; une pratique que lâon retrouve dans lâinterdit biblique de manger de la viande de cadavre dâanimaux.[128] Note de lâauteur. Dans le Quarks et le jaguar, Murray Gell-Mann explique comment les quarks sont confinĂ©s par des forces diffĂ©rentes de celles familiĂšrement connues comme lâĂ©lectromagnĂ©tisme, et dâexpliquer que les quarks sont liĂ©s entre eux par une force venant de lâĂ©change dâautres quanta, appelĂ©s gluons parce quâils engluent les quarks ensemble pour rendre observable les objets blancs comme le neutron et le proton. Dâexpliquer que dans la thĂ©orie de lâĂ©lectrodynamique quantique les Ă©lectrons et les positrons interagissent par le biais de lâĂ©change virtuel de photons, alors que dans la thĂ©orie de la chromodynamique quantique, les quarks et les antiquarks interagissent de maniĂšre analogue par le biais de lâĂ©change virtuel de gluons. Il ne serait donc pas stupide de dire que lâunivers est Ă©conomique puisquâil y existe un perpĂ©tuel Ă©change, et il nâappartient quâĂ notre observation dây trouver un rapport coĂ»t-avantage. Il conviendrait donc de redĂ©finir notre monde sur cette base, nos relations affectives et sociales deviendraient Ă©conomiques, ce qui ne changerait rien Ă leur qualitĂ©, mais trĂšs vite nous verrions apparaĂźtre une nouvelle dĂ©finition de notre activitĂ© productrice, pour que ceux qui justifient au travers dâelle lâexploitation dâautrui puissent le faire.[129] Note de lâauteur. Lâanalyse KeynĂ©sienne est le refus de faire confiance aux mĂ©canismes du seul marchĂ© pour rĂ©tablir spontanĂ©ment lâĂ©quilibre, et justifie lâintervention de lâĂtat quand le climat Ă©conomique se dĂ©grade, par des politiques de relance de la consommation, de lâinvestissement, par une politique monĂ©taire et budgĂ©taire. Lâanalyse keynĂ©sienne montre la nĂ©cessitĂ© du rĂŽle de rĂ©gulation lâĂtat, soit lorsque la conjoncture sâemballe inflation, soit, au contraire, en cas de rĂ©cession.[130] Note de lâauteur. Le collectivisme est une doctrine qui propose de mettre en commun les moyens de production, Ă partir de lâanalyse, que la production industrielle a un caractĂšre collectif qui se heurte au maintien de la propriĂ©tĂ© privĂ©. Il faut donc, pour dĂ©passer cet antagonisme que tous les citoyens soient proclamĂ©s copropriĂ©taire indivis. Alors la libertĂ© de chacun sâaccordera Ă la libertĂ© de tous. A lâĂ©poque de Marx le collectivisme dĂ©signe une forme de sociĂ©tĂ© fondĂ©e sur lâassociation, et qui se situe Ă lâopposĂ© du communisme centralisateur des Marxistes, dont le mot repris en France dans un sens trĂšs diffĂ©rent, deviendra synonyme de communisme », alors que les collectivistes prĂŽnent un socialisme libertaire et fĂ©dĂ©rateur.[131] Note de lâauteur = connotĂ© pĂ©jorativement.[132] Par dĂ©finition une sociĂ©tĂ© industrielle ou commerciale est créé pour rĂ©aliser des profits ». Jean-claude George. Jouez et gagnez en BOURSE. Ăditeur Jean-claude LattĂ©s. 1984 . P. 62.[133] Steiner Philippe. La sociologie de Durkheim. Ădition la dĂ©couverte. 1998.[134]A-t-on trouvĂ© la loi sur lâĂ©volution, EurĂȘka septembre 1999 n° 47.[135] NĂ©ologisme de lâauteur ghettoĂŻse = sâenfermer dans des ghettos, ghettoĂŻsation.[136] Qui est de lâordre du concept, qui sous-tende une conceptualisation ».[137] Jâentends, au-delĂ de lâĂ©laboration des matĂ©riaux nĂ©cessaire Ă la vie collective et des contenus propres aux modes de participation sociale, par sociabilitĂ© la sublimation de lâĂ©change sans fin, pratiques et centrĂ©e sur des personnalitĂ©s qui sont engagĂ©es dans de pures relations de rĂ©ciprocitĂ©. Georg Simmel sociologue et philosophe allemand 1858/1918 en disait la sociabilitĂ© est la forme ludique de la socialisation.[138] Câest que lâaction est un titre de propriĂ©tĂ© avec tous les risques et avantages que cela comporte ». En vertu de ce titre de propriĂ©tĂ© lâactionnaire a des droits ». Jean-claude George. Jouez et gagnez en BOURSE. Ăditeur Jean-claude LattĂšs. 1984. PP. 59/60.[139] Note de lâauteur. La loi Moore nâest pas une loi scientifique au sens des lois de Newton, mais une rĂšgle empirique selon laquelle Moore a Ă©noncĂ© pour la premiĂšre fois en 1965 que la puissance des ordinateurs double Ă peu prĂ©s tous les dix-huit mois, et qui câest vĂ©rifiĂ©.[140] NĂ©ologisme = toujours dans le sens de culturalisĂ©. Note 7 Note de lâauteur. DĂ©veloppement du phĂ©nomĂšne de conscience de la culture, avec les divers aspects, celui qui conduit Ă lâacculturation, et lâaspect qui conduit aussi au nom de la culture Ă dĂ©velopper des dogmes comme frein Ă lâacculturation, ou Ă lâĂ©volution dâune culture, la dĂ©culturation.[141] Raisonnement par lâabsurde.[142]Lâintelligence. Pierre OLERON. Ădition Presses Universitaire de France. 1974.[143] Source INSEE, compte de la nation.[144] Note de lâauteur. AimĂ© Jacquet Ă©tait entraĂźneur de lâĂ©quipe de France de football en 1998 quand elle a gagnĂ© la coupe du monde, il fut fort dĂ©criĂ© pour avoir privilĂ©giĂ© le groupe Ă lâindividualisme et Ă lâĂ©litisme mĂ©diatique.[145] Note de lâauteur, jâutilise le terme offre dâemploi des adultes, pour rĂ©habiliter une situation qui a acquis une image dâinfĂ©rioritĂ©, sous le terme demandeur dâemploi, et qui conduit ceux qui ont Ă offrir leurs services, et leurs compĂ©tences Ă sâestimer dĂ©valoriser. Ce point de vue que je partage nâest pas le mien, mais justifie lâincidence du poids des mots.[146] Hubert Rives, J. de Rosnay, Y. Coppens, D. Simonnet. La plus belle histoire du monde. Ăditeur France loisirs/ le Seuil. 1996.[147] La monnaie est lâinstrument dâĂ©change qui permet lâachat immĂ©diat de tous biens, services et titres, sans coĂ»ts de transaction ni de recherche et qui conserve sa valeur entre deux Ă©changes. Câest un phĂ©nomĂšne social car elle repose sur la confiance des agents dans le systĂšme qui le produit. Michelle Mourgues. La monnaie. Ăditeur Economica. 1993.[148] Au milieu du XVII iĂšme siĂšcle les premiers billets de banque ne sont acceptĂ©s quâen raison de la confiance quâinspire lâinstitution qui les met en circulation et assure leur convertibilitĂ© en or Ă tout moment. Aujourdâhui câest la banque centrale qui Ă©met la monnaie lĂ©gale qui a un pouvoir libĂ©ratoire illimitĂ© sur le territoire national et confĂšre aux autres volumes de monnaies scripturales Ă©mises par les banques dâĂ©missions, monnaies privĂ©es » la mĂȘme force libĂ©ratoire par le jeu de la clause de rachat. Michelle Mourgues. La monnaie. Ăditeur Economica. 1993. P. 31, Intellectualisme = doctrine qui affirme la prééminence de lâintelligence sur les sentiments et la volontĂ© le petit Larousse.[150] Axiome = VĂ©ritĂ© non dĂ©montrable qui sâimpose avec Ă©vidence. Le petit Larousse.[151] Note de lâauteur. Barbare signifiĂ© autrefois qui nâĂ©tait pas du pays » notre notion actuelle dâĂ©tranger, et nullement la connotation de cruautĂ© qui sâattache au terme barbare aujourdâhui. La dislocation de lâempire romain chrĂ©tien fut lente, et malgrĂ© les Ă©pisodes tragiques comme le sac de Rome, les barbares sâĂ©tablissaient comme chefs de leurs peuples dans lâempire romain Ă titre de fĂ©dĂ©rĂ©s », et gĂ©nĂ©raux romains, chargĂ©s de dĂ©fendre lâempire contre dâautres barbares, tel les Huns. En bref, lâeffondrement de lâempire romain ne procĂšde donc pas dâune brutale invasion comme nous en gardons lâimage, ou de dâun empire vermoulu, mais dâune succession de crises de lâĂ©poque par lâintĂ©gration de nouvelles populations qui ont reconstruit son histoire et son Ă©glise jusquâau morcellement identitaire qui a refaçonnĂ© historiquement celle qui est la nĂŽtre aujourdâhui.[152] Note de lâauteur. Dans toutes les sociĂ©tĂ©s lâamour paroxystique, qui est devenu en langage moderne la prostitution » faisait partie intĂ©grante, dâune harmonie sociĂ©tale, dont chaque civilisation a fait usage sous bien des formes, y compris dans les cultes religieux. Histoire des MĆurs II vol 2. Ădition Folio histoire Gallimard. 1991. Pp. 906 Ă 926. Par Michel Maffesoli. Ne pas faire lâamalgame avec le proxĂ©nĂ©tisme qui est lâutilisation Ă©conomique de la prostitution.[153] Si lâhomme a trouvĂ© Ă la multiplication vĂ©gĂ©tative lâavantage de lâhomogĂ©nĂ©itĂ© gĂ©nĂ©tique des populations clonales, il sait malgrĂ© les avantages de cette multiplication que les clones maintenus en culture sâaffaiblissent plus ou moins vite et tendent Ă disparaĂźtre les praticiens parlent de dĂ©gĂ©nĂ©rescence. Dans ce cas, des plantes vigoureuses ne pourront ĂȘtre obtenues quâĂ partir de graines, Ă la suite dâun processus sexuel. Aline Raynal- Roques. La botanique redĂ©couverte. Ăditeur Belin INRA. 1995. PP. 297 et 298.[154] Que les auteurs de sciences fictions ne se mĂ©prennent pas sur lâusage que je fais de ce terme. Je nâignore pas le caractĂšre crĂ©atif de leur travail qui a permis et nourri de prodigieuses rĂ©alisations Vinci, Verne pour les plus cĂ©lĂšbres. Non plus que leurs ouvrages soient lus comme source dâidĂ©es innovantes, comme ce fut le cas avec les ouvrages amĂ©ricains parlant de lâarme absolue avant mĂȘme que ne soit créée la premiĂšre bombe nuclĂ©aire.[155] Michelle Mourgues. La Monnaie. Ăditeur Economica. 1993. P. 378.[156] Note de lâauteur. Le suicide Ă©goĂŻste et liĂ© Ă tous les systĂšmes qui recommandent le repli sur soi, qui se font de surcroĂźt aider de forces militaires ou autres qui commandent le sacrifice de sa vie pour maintenir un systĂšme Ă©goĂŻste qui de toute maniĂšre conduit au suicide.[157] Note de lâauteur. Dans le Larousse son sens signifie sympathisant de lâidĂ©ologie socialiste, ce nâest pas ce sens que je veux lui accorder, mais celui de capacitĂ©s Ă dĂ©velopper des relations socioĂ©conomique basĂ©es sur la capacitĂ© associative confiante.[158] La parano se constitue quand lâUN sâisole ou est isolĂ© des autres. Claude Olievenstein. LâHomme PARANO. Ăditions Odile Jacob. FĂ©vrier 1992. p 16.[159]Note de lâauteur. Tout ce qui touche au cerveau est toujours lâobjet de dĂ©bats comme je lâai dĂ©jĂ dit, les nĂ©vroses nây Ă©chappent pas, sont-elles une consĂ©quence de acquis » ou dĂ©faut de lâinnĂ©e gĂ©nĂ©tique » autant dâĂ©tudes corroborent lâune et lâautre. La biochimie sâintĂ©resse Ă certains troubles du mĂ©tabolisme de la dopamine permettant la transmission de lâinflux nerveux dans certaines parties du cerveau, pour comprendre la schizophrĂ©nie. La psychiatrie la dĂ©crit comme issus dâun cerveau discordant, bizarre, ambivalent des sentiments opposĂ©s, des logiques contradictoires sây mĂȘlent, formant un tout incomprĂ©hensible, impĂ©nĂ©trable pour un observateur, qui a lâimpression que le malade vie dans un autre monde.[160] Il est difficile, et mĂȘme dangereux, dâextrapoler Ă une sociĂ©tĂ© tout entiĂšre une analyse de psychopathologie individuelle. Pourtant, Ă lâĂ©vidence, hier comme aujourdâhui, des sociĂ©tĂ©s folles apparaissent, et crĂ©ent le chaos. Dans le meilleur des cas, elles disparaissent ; dans dâautres, elles perdurent dans une double complicitĂ© implicite ou explicite des peuples avec leurs dirigeants. Claude Olievenstein. Ăditions Odile Jacob. 1992. p103.[161] Pour 62% des français, la principale cause de lâinsĂ©curitĂ© est le chĂŽmage, devant la drogue 30%, la pauvretĂ© 29%, lâurbanisme et lâarchitecture des citĂ©s 20%, lâinjustice sociale 18%, la perte des valeurs rĂ©publicaine 16%, la tĂ©lĂ©vision 12%. Paris-Match/BVA, janvier 1999. Les vols reprĂ©sentent Ă eux seul 63% des dĂ©lits constatĂ©s. Francoscopie 2001. GĂ©rard Mermet. Pp 224 Ă 229.[162] Note de lâauteur. Cette composante tortionnaire de lâinconscient humain, a Ă©tĂ© confirmĂ©e par lâexpĂ©rimentation psychologique par Milgram, 60% des 280 sujets soumis Ă exercer une directive punitive conduisant Ă la mort se sont exĂ©cutĂ©s, malgrĂ© les cris de douleur et de supplication simulĂ©s des victimes sans voir ces derniĂšres. Cela donne la mesure du pouvoir de lâautoritĂ© quelle quâen soit sa forme, permet de comprendre la difficultĂ© Ă bĂątir des dĂ©mocraties, et mĂȘme leur tendance Ă devenir Ă©galement tortionnaire.[163] Le plus connu des cas est celui de deux anglaises qui, lors dâune promenade au Petit Trianon, furent brusquement transposĂ©es au siĂšcle de Marie-Antoinette... ». Celui universellement connu est la Dame blanche. Pierre Daco. Les voies Ă©tonnantes de la nouvelle psychologie. Ăditeur Marabout. 1988. de lâauteur, cela ne repose sur aucune dĂ©monstration scientifique, mais nous savons aussi que nous ne pouvons tout attendre dâelle, et cela ne dĂ©montre pas un retour vers le passĂ©, mais une reconstitution dâimages du passĂ© au prĂ©sent, quelles soient rĂ©elles ou imaginaires dans lâesprit de ceux qui les ont perçus.[164] Note de lâauteur. Suivant Piaget LâĂ©quilibration est lâĂ©tat dynamique qui rĂ©unit lâassimilation et lâaccommodation pour sâadapter Ă des situations extĂ©rieures en autorĂ©gulation,[165] Note de lâauteur. La notion dâindividualitĂ© ne se laisse dĂ©finir ni par les procĂ©dĂ©s Ă©tymologiques habituels aux philosophes, ni par une axiomatique rationnelle. Lorsque lâon sây attache câest pour trouver des diffĂ©rences, lui opposer dâautres notions. Dans le domaine biologique lâindividu sâoppose Ă la totalitĂ© et Ă lâunitĂ© comme partie au tout ; dans le domaine psychologique, lâindividu est lâautre face de lâuniversalitĂ© il reprĂ©sente ce qui diffĂ©rencie au lieu que lâuniversalitĂ© rassemble et assimile, indiffĂ©rencie ; enfin dans le domaine social, lâindividu sâoppose Ă la collectivitĂ©. LâindividualitĂ© ne peut se dĂ©finir que par lâexistence dâun tout, cette notion ne pourrait exister seule, bien que nous percevions notre existence unique.[166] Albert Jacquard. La lĂ©gende de la vie. Ăditeur Flammarion. 1994.[167] Un tir de photons un Ă un ayant la mĂȘme origine la mĂȘme vitesse la mĂȘme direction vers une fente devraient se trouver sur lâĂ©cran derriĂšre la fente au mĂȘme endroit, or il est constatĂ© quâils occupent tous, une place diffĂ©rente et recomposent lâimage de la fente, comme sâils en avaient conscience.[168] Plus lâexploration du cerveau en activitĂ© progresse grĂące Ă la nouvelle technologie de lâimagerie mĂ©dicale, la mĂ©decine dĂ©couvre des diffĂ©renciations dans des aires fonctionnelles estimĂ©es immuables. Câest ainsi quand observant un cerveau dâhomme et de femme qui ne pense Ă rien, chez lâhomme câest le systĂšme temporo-limbique qui travaillerait le plus, celui qui contrĂŽle les Ă©motions primaires reliĂ©es Ă lâaction et Ă lâagression. Chez la femme câest le cingulate-gyrus qui serait le plus activĂ©, Une zone plus Ă©voluĂ© » du cerveau, qui contrĂŽle les expressions complexes des Ă©motions. Science et vie. N° 933. Juin 1995. P 83.[169] En RhĂ©torique, figure consistant dans une transposition ou un changement de nom, de la cause Ă lâeffet, du contenant au contenu, de la partie au tout, du signe Ă la chose signifiĂ©.[170] MICHIO KAKU. Vision. Cog/128.[171] Note de lâauteur. Les personnes amputĂ©es dâun membre quelle quâen soit la raison, continuent dâĂ©prouver la sensation de leur membre manquant.[172] Pierre Daco. Les voies Ă©tonnantes de la nouvelle psychologie. Ăditeur Marabout. 1988. Pp .50 et 51.[173] Note de lâauteur. Nous pouvons concevoir les religions comme la reprĂ©sentation du pĂšre totĂ©mique recomposĂ©, mais je trouve que câest trop limitatif car ce nâest pas prendre en compte la perception de lâindĂ©finissable du monde non objectif quâelles ont acquise, en sâĂ©tant idĂ©alisĂ©es, et de la conscience quâelles ne prennent gĂ©nĂ©ralement pas en compte mais quâelle exprime quâil y a un absolu ou tout raisonnement humain Ă©croule. Elles lâexpriment en plaçant Dieu au bout de lâinfini, au bout de notre mĂ©connaissance, un lieu dâoĂč il est inexpugnable.[174] Sciences occultes doctrines et pratiques concernant des faits Ă©chappant Ă l'explication rationnelle, fondĂ©es en gĂ©nĂ©ral sur la croyance en des correspondances entre les choses et prĂ©sentant le plus souvent un caractĂšre plus ou moins Ă©sotĂ©rique alchimie, magie, mantique, etc.. ĂsotĂ©risme CaractĂšre obscur de qqch..Partie de certaines philosophies anciennes qui devait rester inconnue des non-initiĂ©s. Le mot Ă©sotĂ©risme » est nĂ© en 1828 sous la plume de lâhistorien protestant de la gnose, Jacques Matter 1791-1864. Il devait servir Ă regrouper et transmettre dâanciennes notions qui avaient accompagnĂ© la quĂȘte religieuse des hommes depuis lâAntiquitĂ© mĂ©diterranĂ©enne jusquâĂ lâoccident moderne. Le nĂ©ologisme dĂ©rivait de lâadjectif Ă©sotĂ©rique », apparu en 1742 chez lâauteur maçonnique La Tierce pour distinguer la doctrine rĂ©servĂ©e, enseigner Ă lâintĂ©rieur des loges, de lâexotĂ©rique » que lâon pouvait communiquer aux profanes. Recours pour les espĂ©rance insatisfaites, ou refuge pour les illusions perdues, lâĂ©sotĂ©risme mĂȘla au cours des siĂšcles les contenus culturels les plus divers, touchant Ă la thĂ©ologie, aux arts, aux sciences, entraĂźnant dans son sillage une suite de notions connexes, astrologie, alchimie, magie, hermĂ©tisme, et des pratiques comme lâinitiation. EncyclopĂ©die des religions. Ădition Bayard. 2000. lâĂ©sotĂ©risme chrĂ©tien par Jean-pierre Laurant Pp 687 Ă 700.[175] La notion dâinvariance dâĂ©chelle fut saluĂ©e par toute une lignĂ©e de penseur occidentaux, mais en tant que principe scientifique, lâinvariance dâĂ©chelle tomba en dĂ©suĂ©tude, pour la bonne raison quâelle ne sâaccordait pas avec les faits. Ainsi la premiĂšre interprĂ©tation dâinvariance dâĂ©chelle comme principe organisateur rĂ©sultait des limitations de lâexpĂ©rience humaine en ce qui concerne les Ă©chelles de grandeur ; cela jusquâĂ ce que le microscope et le tĂ©lescope Ă©largissent la vision humaine. Les premiĂšres dĂ©couvertes firent prendre conscience que chaque changement dâĂ©chelle faisait surgir de nouveaux phĂ©nomĂšnes, de nouveaux types de comportements, et en physiques des particules ce processus ne sâest jamais arrĂȘtĂ©. Lâinvariance dâĂ©chelle devait donner naissance, plus directement que les travaux de Mandelbrot, Ă la discipline baptiser chaos. Douady et Hubbard dĂ©montrĂšrent par un brillant raisonnement mathĂ©matique que chaque molĂ©cule flottant autour du corps central Ă©tait effectivement suspendu Ă un fil tĂ©nu la reliant au reste de lâensemble, au sein dâune trame dĂ©licate diffusant Ă partir de minuscules affleurement de lâensemble principal, un polymĂšre du diable » selon lâexpression de Mandelbrot. Ces mathĂ©maticiens dĂ©montrĂšrent que toute parcelle- quelle que soit sa taille et quelle que soit sa petitesse-, une fois agrandie par lâordinateur- microscope, rĂ©vĂ©lait de nouvelles molĂ©cules, chacune semblable Ă la masse centrale sans toutefois lui ĂȘtre tout Ă fait identique. Chaque nouvelle molĂ©cule serait entourĂ©e de ses propres spirales et de ses propres projections en forme de flammes, qui Ă leur tour, rĂ©vĂšlent des molĂ©cules encore plus minuscule, toujours semblables, jamais identique, sâacquittant ainsi dâun mandat aux clauses infinies, miracle de miniaturisation dans lequel chaque dĂ©tail devait inĂ©vitablement ĂȘtre un univers en soi diffĂ©rent et La ThĂ©orie du Chaos. Edition Flammarion. 1991. Pp 152, 153, 287.[176] Note de lâauteur. La consanguinitĂ© que nous rĂ©gulons par lâinterdit de lâinceste et de mariage dans la filiation directe, engendre les enzymopathies, ne dĂ©lĂ©tion du gĂšne complĂšte ou non, une anomalie qui est le plus souvent une mutation, un remplacement dâune base par une autre. Les consĂ©quences possibles dâun dĂ©ficit enzymatique sont nombreuses, par la disparition ou insuffisance des produits terminaux de cette voie, hormones par exemple ; par accumulation de mĂ©tabolisme en amont du blocage, soit toxique directement ou Ă long terme par les maladies dites de surcharge. Les plus connus sont hĂ©mophilie, certaines formes de myopathie, une anĂ©mie hĂ©molytique et dâautres qui touchent des millions dâindividus. Si je souligne cela, câest plus pour attirer lâattention quâen remontant le raisonnement jusqu'Ă nos ancĂȘtres, on est emmenĂ© Ă se demander quel rĂŽle la consanguinitĂ©, pour ne pas dire lâinceste, a jouĂ© dans notre Ă©volution par son incidence sur la formation de lâARN mutĂ©. Une rĂ©ponse sera peut-ĂȘtre apportĂ©e par les scientifiques qui se livrent Ă une Ă©tude gĂ©nĂ©tique sur la population de lâIslande, et une autre dans une communautĂ© Ăźlienne dont jâai oubliĂ© le nom qui a fait en son temps la une des journaux[177] EncyclopĂ©die Universalis France S A 1995.[178] EncyclopĂ©die Universalis France S A 1995.[179] ThĂ©orie des supercordes., Murray GELL-MANN. Le Quark et le Jaguar. Ăditeur Albin Michel. 1995. Pp 224 Ă 239.[180] FrĂ©dĂ©ric Lenoir et YsĂ© Tardan-Masquelier. EncyclopĂ©die des religions. Ăditeur Bayard. 2000.[181] Note de lâauteur. Dans les religions de la MĂ©sopotamie, les divinitĂ©s dominaient le cosmos avec les humains dont elles partageaient le sensible, sauf quâelles diffĂ©raient de lâhumain par leur immortalitĂ© quâelles sâĂ©taient rĂ©servĂ©es. Lâhomme, deuxiĂšme Ă©lĂ©ment du monde Ă©taient dĂ©fini comme un ĂȘtre mortel, et si les dieux avaient créé lâhumanitĂ©, ce nâĂ©tait que dans le but Ă©goĂŻste, de la substituer Ă eux pour se dispenser du travail, dont ils avaient un temps souffert les fatigues. Les hommes en retour attendaient de cette servitude, protection, stabilitĂ© et prospĂ©ritĂ©. Câest de cette rĂ©gion que sortiront les patriarches hĂ©braĂŻques fondateurs de la sociĂ©tĂ© judĂ©o-chrĂ©tienne. EncyclopĂ©die des religions.[182] Durant la prĂ©histoire les vestiges comme lâart visuel, non pas permis dâĂ©tablir un ordre de servitude entre les peuplades, mĂȘme si certain culte funĂ©raire laisse penser quâil existait un ordre social. Il faut arriver aux religions antiques du proche et du moyen Orient ou se structure les grandes traditions religieuses autour de pratiques cultuelles, pour quâapparaissent les premiers comportements de soumission Ă un dĂ©miurge, ou Ă son reprĂ©sentant, et que sâĂ©laborent des castes. Il semblerait donc, que câest dans cette Ă©volution des relations de lâhomme et du dieu oĂč apparaĂźt le serviteur du dieu, le clergĂ©, puis les serviteurs du clergĂ© hiĂ©rarchisĂ©, Ă©troitement liĂ© avec les fonctions Ă©conomiques et politique, quâapparaĂźt lâesclave ». Esclave qui dĂ©signait la notion dâĂ©tranger dans les codes juridique de Sumer, prouvent que lâesclavage » existĂ© dĂšs le IV millĂ©naire av. et indique une origine essentielle. Cela avant de revĂȘtir toutes les formes que nous lui connaissons dans les sociĂ©tĂ©s antiques qui dĂ©pendent Ă©troitement du travail servile, et jusqu'Ă nos jours. Jusqu'Ă nos jours, car la notion de service fixe le cadre de bons nombres de nos relations Ă©conomiques, mĂȘme si une loi interdit lâasservissement, antique vestige dâun dĂ©sir refoulĂ©, et entretenu par des relations qui ont travesti leurs noms.[183] Les Ă©glises protestantes de 1555 Ă nos jours par Jean-Paul Willaime. EncyclopĂ©die des Religions. P 629 Ă 643.[184] Philippe Steiner. La sociologie de Durkheim. Ăditeur La DĂ©couverte. 1998. P 54.[185] Exode 21 / verset 12, celui qui tue un ĂȘtre doit ĂȘtre mis Ă mort. Verset 24, Ćil pour Ćil dent pour dent, main pour main, pied pour pied. LĂ©vitique 24 /verset 17, si un homme tue un autre ĂȘtre, il doit ĂȘtre mis Ă mort. Verset 19, si un homme blesse une autre personne, on lui infligera la mĂȘme blessure 20, fracture pour fracture, Ćil pour Ćil dent pour dent ; on lui rendra le mal quâil a fait Ă lâautre. La bible. Ădition Alliance biblique universelle. de lâauteur. Il nây a dans mes propos aucune animositĂ© envers une quelconque religion ; notre violence mĂȘme dans son expression vengeresse nâest que le rĂ©sultat dâune construction biologique, mais les schĂ©mas que nous construisons pour lâinhiber favorisent ou non son dĂ©veloppement, et justifient lâexercice de la mĂȘme violence sous un qualificatif qui lâen exonĂšre, ce ne sont que des formules de style, pour lesquelles nous nâavons pas trouvĂ© de moyen idĂ©al, parce quâil repose sur un processus dâagressivitĂ© innĂ© qui ne saisit pas les nuances culturelles en dehors de notre capacitĂ© cognitive qui en est en partie dĂ©pendante.[186] Note de lâauteur. Notre construction biologique cĂ©rĂ©brale construit ses schĂ©mas en rĂ©ponse aux perceptions Ă©motionnelles qui se concrĂ©tisent par des projections extĂ©rieures.[187] Benjamin R. Barber, DJIHAD versus Mc WORLD, Ă©diteur DesclĂ©e de Brouwer, 1995, pp. 257/273.[188] Note de lâauteur. Ici je ne fais pas allusion au fait que notre activitĂ© neuronale puisse ĂȘtre le produit dâun calcul traduisible mathĂ©matiquement, et rĂ©vĂ©ler leurs programmes dont les diffĂ©rents niveaux sont, lâinflux nerveux comme source Ă©nergĂ©tique, le lambda-calcul inventĂ© en 1932 par Alonzo Chuch, lâinconscient, les langages naturels, convertible en mathĂ©matique, et la pensĂ©e. Je fais directement allusion aux thĂ©ories dĂ©couvertes par les scientifiques, telle la thĂ©orie sur le chaos dĂ©terministe et les fractales de Mandelbrot qui sont couramment utilisĂ© en bourse et dans lâĂ©conomie prĂ©dictive ; et qui favorisent la spĂ©culation sur des options de risques potentiels, et retire dâĂ©normes masses dâargent du circuit de production. Quelquefois Ă ce titre les mathĂ©matiques, et les thĂ©ories qui sont Ă©laborĂ©es avec, sont prises Ă partie ; car les hommes ont lâimpression quâils se font exploiter ou bien sont conditionner par elles. Pourtant jusquâĂ ce jour, je nâai jamais lu dans lâune dâentre elles quâelles conseillent aux hommes de sâauto exploiter, ce sont seulement les hommes qui anticipent et spĂ©culent sur les quasi-certitudes quâelles nous apportent.[189] Note de lâauteur. Lâorigine du mot travail, tripalium » en latin signifiait instrument de torture.[190] Note de lâauteur. Par simplification je nâinvoque que la pensĂ©e symbolique, car selon certaines conceptions, la cognition serait aussi fondamentalement apprĂ©hension et reconnaissance de formes par la perception, par exemple nous pouvons nous dĂ©placer mentalement dans des cartes spatiales dâun environnement connu, et imaginer des obstacles infranchissables qui privilĂ©gieront certaines directions.[191] Dictionnaire de la sociologie. Ădition Larousse. 1990. P 203.[192] Michio Kaku. Vissions Ădition Albin Michel. 1999.[193] Note de lâauteur. Jâai indiquĂ© en parlant de la loi de lâĂ©volution » page 35 note 34 que les espĂšces qui se sont succĂ©dĂ©es, paraissaient avoir bĂ©nĂ©ficiĂ© de lâacquis de leurs prĂ©dĂ©cesseurs, et jâai indiquĂ© que cela Ă mon sens reprĂ©sentait une acculturation ». Jâai Ă©galement dit que je regardais le culturel comme un Ă©vĂ©nement en soi. Partant de ses deux points de vu jâentrevois notre Ă©volution comme un phĂ©nomĂšne dâacculturation culturalisĂ©e.[194] Note de lâauteur source Quid 1998. En lâĂ©tat actuel de nos techniques dâexploitations des ressources miniĂšres, nous disposons dâune rĂ©serve dâenviron 250 ans. Pour citer quelques exemples significatifs, les rĂ©serves de minerai de fer dans le monde sâĂ©lĂšvent Ă 60 milliards de tonnes 1993 soit plus de 250 annĂ©es de production. Celle de lâaluminium 23 milliards de tonnes pour une consommation mondiale de 113,2 millions de tonnes, soit 203 annĂ©es 1995. DonnĂ©es Quid 98. Fer sources chambre syndicale des mines de fer de France. Aluminium sources Imetal ; World mĂ©tal statistics ; Onu ; faut savoir que la croĂ»te terrestre se compose de, 49,5% dâoxygĂšne, 25,8% de silice, 7,5% dâaluminium, 4,7% de fer, 3,4% de calcium, 2,6% de sodium, 2,4% de potassium, 1,9% de magnĂ©sium, 0,9% dâhydrogĂšne, 0,6% de titane, 0,7% dâautres minĂ©raux. Lâexploitation de ces ressources relĂšve donc de donnĂ©es gĂ©ologiques qui constituent les gisements mĂ©tallifĂšres de type magmatique et hydrothermal ; mĂ©tĂ©orique ; et liĂ© au remaniement alluviaux, mais aussi de donnĂ©es gĂ©opolitiques qui dĂ©pendent des situations politiques et Ă©conomiques, des coĂ»ts dâexploitations de ces divers gisement tout comme des limites des techniques dâexploitations, par exemple quand il sâagit dâexploiter des gisements tel que les nodules poly mĂ©talliques du fond des ocĂ©ans. Mais toutes ces ressources font partis des ressources non renouvelables, car tout le monde comprend que lâon ne remuera pas la terre entiĂšre pour en extraire du minerai. Il est donc facile de comprendre tout lâintĂ©rĂȘt de la rĂ©cupĂ©ration des ressources non renouvelables, qui sâamenuiseront tout de mĂȘme, car celle-ci ne se fait jamais Ă 100%. Il est donc aussi facile de comprendre que notre mode dâĂ©conomie devra se trouver dâautres critĂšres de dĂ©finition de la richesse, car si la planĂšte a mis 15 milliards dâannĂ©es pour crĂ©er les ressources miniĂšres que nous utilisons, en quelques millĂ©naires nous en viendrons Ă bout. En consĂ©quence toute notre technologie qui repose sur son utilisation se trouvera remise en cause, pas pour nous mais pour les gĂ©nĂ©rations futures. Note de lâauteur source Quid 1998.[195] Note de lâauteur. Cette expression est communĂ©ment utilisĂ©e pour signifier que nous disposons encore dâun grand potentiel de dĂ©veloppement intellectuel.[196] Note de lâauteur. Pour mâen expliquer, il faut faire un parallĂšle avec la lecture des Ă©critures les textes religieux Bible ou Torah et considĂ©rer que notre vĂ©ritĂ© est comme ces Ă©critures, il y a ce que nous comprenons de leur lecture, et ce que nous devons comprendre de cette lecture dans lâinfinitude de son message toujours recommentĂ©s ». Nous pouvons lire notre vĂ©ritĂ© temporelle, comme un dĂ©roulement de faits historiques de notre existence qui sont successifs et exclusifs dans leurs divisions, mais nous pouvons Ă©galement lire sa vĂ©ritĂ© comme une vĂ©ritĂ© oĂč il nây a ni avant ni aprĂšs, seulement la capacitĂ© de savoir se lire dans cette perspective, et alors les Ă©vĂ©nements historiques de notre existence qui forge notre vĂ©ritĂ© ne se relient pas linĂ©airement », ils se recomposent pour de nouvelles connexions que lâĂ©tude de soi peut amener Ă dĂ©couvrir. Cela apporte de nouveaux niveaux de comprĂ©hension dans ce qui est lâexpression de notre vie. Et chaque nouvelle comprĂ©hension permet dâen dĂ©couvrir de nouvelles jusquâalors inexploitĂ©es.[197] Michio Kaku. Visions. Ăditions Albin Michel. 1999.[198] Tout en poursuivant ses activitĂ©s de poĂšte, il inventa un art dâapaisement de la douleur, tout comme existent des traitements mĂ©dicaux pour ceux qui sont malades. On lui donna une maison Ă Corinthe prĂ©s de lâagora, quâil orna dâune enseigne qui annonçait quâil avait le pouvoir de guĂ©rir les malades avec des mots. » Paul Warzlawick. Le Langage du changement. Ăditeur le Seuil. 1980. Pp 15 Ă 20.[199] Pour les lettrĂ©s de la Chine, la pensĂ©e Ă©tait essentiellement marquĂ©e par le naturalisme, tenant compte de lâalternance des choses, basĂ©e sur une sorte de dualisme, selon le Yin et le Yang, le masculin et le fĂ©minin, la lumiĂšre et les tĂ©nĂšbres, lâhumiditĂ© et la chaleur, la terre et le ciel, tout cela rĂ©uni par le souverain univers. Cette alternance permet Ă tout le cosmos de se tenir selon un bon ordre de fonctionnement, car tout est complĂ©mentaire dans cet univers. Il nây a pas de lutte de dialectique, mais un ordre universel rĂ©gi par lâunion de ces contraires, par leur solidaritĂ©. Pour le sage chinois il nây a donc aucun phĂ©nomĂšne isolĂ© tout fonctionne en harmonie avec lâensemble, tout est en perpĂ©tuel devenir. Face Ă cela, lâhomme nâest quâun Ă©lĂ©ment de lâensemble. Lâhomme ne peut pas grand chose, il doit mĂȘme ne pas chercher Ă comprendre et, encore moins Ă donner des explications. Les Chinois constatent une alternance, qui nâest dâailleurs pas faite dâoppositions mais de complĂ©mentaritĂ©. Lois de la pensĂ©e. LâencyclopĂ©die ClartĂ©s. N° 16235-1.[200] Lâastronome John Lewis, pourtant, est dâavis que la ceinture dâastĂ©roĂŻdes pourrait fournir un habitat idoine Ă des colons de lâespace. Il pense que les astĂ©roĂŻdes pourraient ĂȘtre excavĂ©s afin de procurer un abri sĂ»r pour peut-ĂȘtre des millions de colons. On pourrait Ă©galement y pratiquer une exploitation miniĂšre dans le dessein dâĂ©difier des usines et des villes, et puisquâils contiennent aussi de lâhĂ©lium en quantitĂ©, les colonisateurs pourraient construire des centrales Ă fusion pour alimenter leurs machines. Pour Lewis, la colonisation de lâespace extĂ©rieur a peu Ă voir avec le romanesque ou le sentimentalisme. TĂŽt ou tard, pense-t-il, les humains seront contraints de quitter la Terre. Il voit dans lâexploitation miniĂšre de la Lune, des planĂštes et des astĂ©roĂŻdes quâun strict moyens de prĂ©servation Ă©goĂŻste. Si Mars ne peut ĂȘtre terra formĂ©e, si les bases lunaires sont un Ă©chec, et si les astĂ©roĂŻdes ne peuvent ĂȘtre Ă©vidĂ©s, il nous faudra alors quitter le systĂšme solaire en quĂȘte de planĂštes habitables Ă un moment ou un autre de notre avenir lointain. Ătant donnĂ© la dĂ©couverte inĂ©vitable de planĂštes telluriques Ă lâextĂ©rieur de notre systĂšme solaire, nul doute que des scientifiques fassent de plus en plus chorus pour en appeler Ă ce que lâon sâefforce dâenvoyer des sondes interstellaires aux Ă©toiles voisines. Michio Kaku. Visions. Ăditeur Albin Michel. 1999. Pp 416 Ă 421.[201] Note de lâauteur. A peu prĂ©s tout le monde connaĂźt lâapparition de stigmates de la crucifixion lors de procession religieuse aux Philippines, dâautres au Sri Lanka ou en ThaĂŻlande sâinfligent des Ă©preuves dĂ©concertantes pour la mĂ©decine occidentale, car ils se transpercent les chairs Ă lâaide de diffĂ©rents instruments aiguilles, barre de mĂ©tal, se suspendent Ă des crochets, etc.âŠ, tout cela sans saignement ni douleur. Ces Ă©preuves dĂ©montrent la fabuleuse capacitĂ© mystique de notre psychisme, mais laisse Ă©galement espĂ©rer lâutilisation de cette capacitĂ© Ă des fins beaucoup plus pragmatiques pour notre quotidien. Pour lâinstant encore, certains de ces mĂ©canismes demeurent une interrogation.[202] Supposons un homme qui ignorerait totalement lâexistence des ondes radiophoniques. Qui ignorerait lâexistence de stations Ă©mettrices et dâappareils radio. Un jour, un poste lui est offert, et on lui dit si vous enfoncez cette fiche dans la prise de courant vous entendrez de la musique ». Lâhomme le fait. Il est Ă©merveillĂ©. Il ne sait pas comment se fabrique cette musique, ni dâoĂč elle vient. Un simple geste lui suffit. Supposons quâil reste ainsi toute sa vie. Toute sa vie il aura entendu le mĂȘme genre de musique, les mĂȘmes voix, les mĂȘmes paroles, le mĂȘme climat social, le mĂȘme climat gĂ©ographique. Mais en ignorant lâexistence dâautres centaines de postes, dâĂ©metteurs, de voix et de musiques possiblesâŠ.Imaginons quâun jour, un technicien se prĂ©sente chez lui. Lâhomme tout content montre son poste. Le technicien se penche, et constate que le poste est bloquĂ© sur Radio Paris. Il constate Ă©galement lâexistence dâun condensateur. Et le technicien dĂ©bloque ce condensateur. Brusquement des centaines de musiques apparaissent. Le monde entier dĂ©file. Et lâhomme stupĂ©fait, bourrĂ© de regrets, commence Ă se rendre compte quâil croyait vivre dans la musique du monde entier, mais quâil nâen Ă©tait rienâŠDes millions de personnes sont semblables Ă cet homme. BloquĂ©es dans leur vie sur quelques idĂ©es, quelques pensĂ©es apprises, quelques rĂ©flexes, toujours les mĂȘmesâŠ. Ne connaissant mĂȘme pas lâexistence de leurs propres possibilitĂ©s. MalgrĂ© cela, elles croient vivre. En fait, elles tournent, comme des poissons dans leur bocal ; jusquâĂ ce quâun jour un technicienâŠ. Pierre DACO. Les prodigieuses victoires de la PSYCOLOGIE. Ăditeur Marabout. 1973. Pp13 et14.[203] Note de lâauteur. Je veux indiquer par-lĂ , que grĂące aux moyens technologiques en observant le monde biologique et physique, lâhomme sâacculture de connaissances et compĂ©tences qui sont le propre dâautres espĂšces et dâautres mondes dimensionnels.[204] Un agent intelligent devrait ĂȘtre capable dâagir pour lâutilisateur comme un filtre sur Internet, distinguant la pacotille et ce qui prĂ©sente un quelconque intĂ©rĂȘtâŠ..Pour Ă©viter de nous noyer dans un ocĂ©an de fadaises et de pacotilles en provenance dâInternet, mais aussi pour nous aider Ă chercher sur le rĂ©seau les rĂ©fĂ©rences dont nous pourrions avoir besoinâŠ..De tel agents agent seront inestimables pour tous ceux qui veulent ĂȘtre au courant en continu des derniĂšres nouvelles concernant les Ă©vĂ©nement qui les intĂ©ressent. Michio KAKU. VISION. Ăditeur Albin Michel. 1999. Pp 91/92.[205] Dans le monde dâaprĂšs 2020, les scientifiques espĂšrent voir la vĂ©ritable intelligence artificielle commencer Ă pĂ©nĂ©trer Internet. LâĂ©tape suivante celle des agent intelligents concerne une branche de lâintelligence artificielle que lâon nomme heuristique, qui essaye de codifier la logique et lâintelligence au moyen dâune sĂ©rie de rĂšgles. Dans lâidĂ©al lâheuristique devrait nous permettre de parler Ă un spĂ©cialiste informatisĂ©, mĂ©decin, avocat ou technicien, qui rĂ©pondrait Ă des questions dĂ©taillĂ©es, techniques, concernant le diagnostic ou le traitementâŠ. Lâune des toutes premiĂšres branches de lâheuristique Ă avoir de fait surpassĂ© les capacitĂ©s humaines est la machine Ă jouer aux Ă©checsâŠ. Parce que ces machines intelligentes elles sont fondĂ©es sur des rĂšgles simples, bien dĂ©finies ; des millions dâinformations peuvent ainsi ĂȘtre analysĂ©s Ă la vitesse de la lumiĂšreâŠ..Vision. P93.[206] Michio KAKU. VISION. Ăditeur Albin Michel. 1999. Pp 70 Ă 143.[207] Jean Delacour. Conscience et Cerveau. Ădition De Boeck Science et vie. N° 889 â octobre 1991. Pp 64 et 65.[209] La recherche sur les molĂ©cules pouvant favoriser le processus naturel de mĂ©morisation permet dâespĂ©rer dans moins de 10 ans la mise en applications de mĂ©dicaments efficaces pour des malades souffrant de dĂ©ficits mnĂ©siques, et au-delĂ accroĂźtre nos capacitĂ©s de et vie. N° 953. FĂ©vrier 1997. Pp 72 Ă de lâauteur, câest lĂ une voie qui risque dâouvrir, si elle aboutit, Ă faciliter la mĂ©morisation dâun enseignement scolaire et professionnel qui, du fait, du dĂ©veloppement des connaissances scientifiques, devient de plus en plus complexe avec de nouveaux problĂšmes sociologiques en perspective.[210] La prĂ©histoire de lâespĂšce humaine est bien plus longue que son histoire connue, et si nous connaissons assez bien les outils et les mode de subsistance, les rapports sociaux et les modes de communication sont trĂšs mal inventoriĂ©. Il est donc imprudent de leur attribuer des traits culturels observĂ©s depuis le XIX siĂšcle dans les sociĂ©tĂ©s dites archaĂŻques ou primitives ». Dans les Ă©tudesDes spĂ©cialistes de lâanthropologie, rien ne permet dâĂ©tayer avec certitude quâil eut existĂ© un rĂ©gime matriarcal liĂ© Ă la filiation matrilinĂ©aire. Par contre ce qui paraĂźt plus probable câest que lâagriculture et la sĂ©dentarisation sur les terres fertiles soit largement lâĆuvre des femmes, et leur ait confĂ©rĂ© ou amĂ©liorĂ© leur condition et leur rang. Ceci se justifie par les dĂ©esses tant de la fĂ©conditĂ© que de la fertilitĂ© que lâon retrouve dans les premiĂšres civilisations historiques dans les vallĂ©es du Nil, de lâEuphrate et Tigre. Plus gĂ©nĂ©ralement la place hiĂ©rarchique de la femme varie en fonction de lâactivitĂ© Ă©conomique du groupe, chasse, pĂšche ou agriculture, mais sâil nâest pas Ă©tabli avec certitude des sociĂ©tĂ©s matriarcales franches, les femmes ont eu des rĂŽles prĂ©dominants et un temps Ă©gal Ă celui des hommes.[211] Note de lâauteur. Je ne veux pas ici parler du rĂŽle pĂšre ou imaginer lâabsence de celui-ci comme symbole du monde extĂ©rieur pour lâenfant, mais de lâimprĂ©gnation de la sensibilitĂ© fĂ©minine dans la conduite des affaires du monde.[212] Note d lâauteur. Lâanthropophagie, ou le cannibalisme comme nous le disons plus communĂ©ment, semble ĂȘtre apparue Ă la suite de pĂ©nurie alimentaire, si comme beaucoup dâĂ©vĂ©nement elle est passĂ© dans les usages, ensuite elle sâest mystifiĂ©e et ritualisĂ©e, et sa pratique câest retrouvĂ©e sur tous les continents avec quelques exceptions. La derniĂšre trace dâune activitĂ© ritualisĂ©e Ă eu lieu en 1962 dans un village, Kalyo-Kengyu, qui se livra Ă un raid dans un hameau proche avec lequel il avait un litige de dĂ©frichage et en rapporta quarante-cinq tĂȘtes humaines Art du Nagaland, musĂ©e Barbier MĂŒller, GenĂšve 1982. Il semble donc que la facilitĂ© avec laquelle nous nous faisons la guerre puisse trouver son origine dans la mĂȘme facilitĂ© avec laquelle la nĂ©cessitĂ© de devoir ĂȘtre anthropophage par survivance nous ait entraĂźnĂ©s Ă faire peut cas de la vie. Partant delĂ il est facile de concevoir lâorganisation quâil a pu en dĂ©couler et se recomposer pour devenir lâart de la guerre, lorsque les raisons et les moyens se sont manifestĂ©s. Car pas plus cet Ă©vĂ©nement la guerre quâun autre nâa pu apparaĂźtre spontanĂ©ment, et je ne crois pas que notre violence soit le propre de lâĂ©gocentrisme, mais plutĂŽt celle de notre capacitĂ© psychique Ă conceptualiser.
Ăâ°tymologie PAON, PAONNE, subst. Ăâ°tymol. et Hist. I. A. 1. Ca 1130 Gormont et Isembart, Ă©d. A. Bayot, 245 ; ca 1140 PĂšlerinage de Charlemagne, Ă©d. G. Favati 410 Asez unt venesun de cerf e de sengler, E unt gruĂs e gauntes et poĂÂŒns empevrez ; ca 1180 Marie de France, Fables, Ă©d. K. Warnke, 67, De corvo pennas pavonis inveniente, 9 Des pennes al poĂÂŒn s'aturne, Trestut sun cors bien en aĂÂŒrne [cf. 1668 La Fontaine, Fables, IV, 9 Le geai parĂ© des plumes du paon ; 1695, 19 juin, Mme de SĂ©vignĂ©, Lettres, Ă©d. Ăâ°. GĂ©rard-Gailly, t. 3, p. 885 leurs pauvres petits noms [des gens qui en ont pris d'illustres] Ă quoi l'on ne penseroit pas s'ils n'avoient point voulu prendre les plumes du paon] ; ca 1265 Brunet Latin, TrĂ©sor, Ă©d. Fr. J. Carmody, 1, 169, 1 Paons est uns biaus oisiaus... il a le chief serpentin et vois de diauble et pis de saphir, et riche coue de diverses coulour ou se delite mervilleusement ; 1578 en parlant d'une personne BoyssiĂšres, Contin. des Sec. OEuv., ds Hug; Mais toy, plus orgueilleuse et fiere qu'un paon... ; 2. 1611 ichtyol. Cotgr.. B. Empl. adj. inv. 1897 paon L'Illustration, 11 dĂ©c., p. 486 a ds Quem. DDL 1899 bleu paon Nouv. Lar. ill., bleu. II. Ca1393 pĂ€onne MĂ©nagier de Paris, Ă©d. G. E. Brereton et J. M. Ferrier, p. 274, 9. I du lat. pavo, -onis ĂpaonĂ». II forme fĂ©m. de paon* ; cf. antĂ©r. l'a. fr. paue, peue 1180-90 peue Alexandre de Paris, Alexandre, Ă©d. E. C. Armstrong et D. L. Buffum, III, 7325, fin xiiie s. plur. pauwes Sone de Nansai, 4475 ds formĂ© sur le cas suj. lat., ainsi que l'a. fr. paonesse suff. -esse2* fin xiiie s. [ms. 1402] Placides et Timeo, Ă©d. Cl. Thomasset, 304 ; cf. R. Arveiller ds MĂ©l. Horrent J., p. 10, encore relevĂ© au xvie s. Hug. et ds TrĂ©v. 1752-71 ; cf. Ă©galement l'a. prov. paona, pavona fin xive-xve s. [ms. B fin xve s. Floretus, Ă©d. A. Blanc ds R. Lang. rom. t. 35, p. 76b.Vous pouvez lire Ă©galement la DĂ©finition. du paon afin d'amorcer la rĂ©flexion symbolique.**Zoologie Dans le Hors-sĂ©rie de Causette Ă©tĂ© 2018 intitulĂ© Ă Histoires d'A...mours Ă», Claudine Colozzi nous propose un petit "Kama-sutra des animaux" sous forme d'abĂ©cĂ©daire P comme Plumes son truc en Lors de la parade nuptiale, le paon mĂÂąle dĂ©ploie en rond les plumes de sa queue devant sa compagne et les fait bouger dans un dĂ©licat frĂ©missement on dit qu'il fait la roue. Il gonfle le cou tant et si bien que sa tĂÂȘte apparaĂt trĂšs petite. ImpressionnĂ©e, la femelle De la nature du paon d'aprĂšs Hugues de Fouilloy, De avibus, dernier quart du XIIe siĂšcle, Troyes, MĂ©diathĂšque de l'AgglomĂ©ration, ms. 177, fol. 158v. introd. et trad. RĂ©my Cordonnier, Paris, PhĂ©nix Ăâ°ditions, 2004. "Cris du paon, maĂtre effrayant. Le paon a une voix effrayante, une dĂ©marche naturelle, une tĂÂȘte de serpent, et la poitrine couleur saphir. De plus, sur ses ailes, il a comme des plumes roussĂÂątres. Il a aussi une longue queue, et, pourrait-on dire, comme couverte d'yeux. [.] Note aussi que le paon, lorsqu'il est admirĂ©, dresse sa queue, car le prĂ©lat avide de gloriole Ă©lĂšve son esprit sous les louanges des flatteurs. Il arrange ses plumes de maniĂšre recherchĂ©e, parce qu'il est certain que tout ce qu'il fait est bien ordonnĂ©. Mais quand cependant il relĂšve sa queue, il dĂ©voile en mĂÂȘme temps son croupion ainsi, la noblesse [d'ĂÂąme] mĂ©prise la louange. Le paon devrait donc garder sa queue baissĂ©e, et le maĂtre agir avec humilitĂ©."** Dans le Dictionnaire des symboles 1969, Ă©dition revue et corrigĂ©e Robert Laffont, 1982 de Jean Chevalier et Alain Gheerbrant, nous apprenons que "si nous faisons volontiers du paon une image de la vanitĂ©, cet oiseau d'HĂ©ra Junon l'Ă©pouse de Zeus Jupiter est avant tout un symbole solaire ; ce qui correspond au dĂ©ploiement de sa queue en forme de roue. Il est l'emblĂšme de la dynastie solaire birmane. La danse birmane du paon, l'usage du paon dans la danse cambodgienne du trot, sont en rapport avec la sĂ©cheresse provoquĂ©e par le soleil. La mise Ă mort du paon, comme celle du cerf, est un appel Ă la pluie, Ă la fertilisation cĂ©leste. KamĂÂąra Skanda, dont la monture est le paon il en existe notamment une reprĂ©sentation cĂ©lĂšbre Ă Angkor-Vat, s'identifie Ă l'Ă©nergie solaire. Le paon de Skanda est certes le destructeur des serpents c'est-Ă -dire des attachements corporels, et aussi du temps. Mais l'identification du serpent Ă l'Ă©lĂ©ment eau confirme l'apparentement du paon au soleil et Ă l'Ă©lĂ©ment feu, l'antithermique de l'eau. Le paon est d'ailleurs aussi, dans le Bardo-Thodol, le trĂÂŽne du Bouddha AmitĂÂąbha, auquel correspondent la couleur rouge et l'Ă©lĂ©ment feu. C'est encore dans ce cas, dit-on, le symbole de la beautĂ© et du pouvoir de transmutation, car la beautĂ© de son plumage est supposĂ©e produite par la transmutation spontanĂ©e des venins qu'il absorbe en dĂ©truisant les serpents. Sans doute s'agit-il lĂ surtout d'un symbolisme d'immortalitĂ©. On l'interprĂšte ainsi en Inde, outre le fait que Skanda lui-mĂÂȘme transforme les poisons en breuvage d'immortalitĂ©. Dans les Jataka bouddhiques, le paon est une forme du Bodhisattva, sous laquelle il enseigne le renoncement aux attachements mondains. Dans le monde chinois, le paon sert Ă exprimer les vĂ
âux de paix et de prospĂ©ritĂ©. Il y est aussi appelĂ© l'entremetteur, Ă la fois parce qu'il est utilisĂ© comme appeau et parce que son seul regard, dit-on, suffit Ă faire concevoir une femme. Dans la tribu Mas du Sud-ViĂÂȘt-nam, les hommes se plantent des plumes de paon dans le chignon ce qui les identifie sans doute au peuple des oiseaux ; mais ce n'est peut-ĂÂȘtre pas sans rapport non plus avec le symbolisme du rayonnement solaire. Le paon est, au Vietnam, un emblĂšme de paix et de prospĂ©ritĂ©. Dans la tradition chrĂ©tienne, le paon symbolise aussi la roue solaire et de ce fait il est un signe d'immortalitĂ© ; sa queue Ă©voque le ciel Ă©toilĂ©. On remarquera que l'iconographie occidentale reprĂ©sente parfois les paons s'abreuvant dans le Calice eucharistique. Au Moyen-Orient, ils sont reprĂ©sentĂ©s de part et d'autre de l'Arbre de Vie symboles de l'ĂÂąme incorruptible et de la dualitĂ© psychique de l'homme. Le paon sert parfois de monture, il dirige de façon certaine son cavalier. AppelĂ© l'animal aux cent yeux, il devient signe de la bĂ©atitude Ă©ternelle, de la vision face Ă face de Dieu par l'ĂÂąme. On le retrouve dans la sculpture romane et dans le symbolisme funĂ©raire. Symbole cosmique pour l'Islam lorsqu'il fait la roue, il figure soit l'univers, soit la pleine lune, soit le soleil au zĂ©nith. Une lĂ©gende soufie, probablement d'origine persane, dit que Dieu crĂ©a l'Esprit sous forme d'un paon et lui montra sa propre image dans le miroir de l'Essence divine. Le paon fut saisi d'une crainte respectueuse et laissa tomber des gouttes de sueur dont tous les autres ĂÂȘtres furent créés. Le dĂ©ploiement de la queue du paon symbolise le dĂ©ploiement cosmique de l'Esprit. Dans les traditions Ă©sotĂ©riques, le paon est un symbole de totalitĂ©, en ce qu'il rĂ©unit toutes les couleurs sur l'Ă©ventail de sa queue dĂ©roulĂ©e. Il indique l'identitĂ© de nature de l'ensemble des manifestations et leur fragilitĂ©, puisqu'elles apparaissent et disparaissent aussi vite que le paon se dĂ©ploie et se replie. Les YĂ©zides, originaires du Kurdistan, dont il faut noter certaines similitudes avec les derviches soufis et les bouddhistes, accordent une grande importance Ă la puissance nommĂ©e Malik Taous, l'Anga-paon, en lequel s'unissent les contraires."** Selon Ted Andrews, auteur de Le Langage secret des animaux, Pouvoirs magiques et spirituels des crĂ©atures des plus petites aux plus grandes Ăâ°dition originale, 1993 ; traduction française, Ăâ°ditions Dervy, 2017, le Paon a les caractĂ©ristiques suivantes Points clĂ©s RĂ©surrection et vision sage vigilance. Cycle de puissance Printemps et automne. Le paon est encore un oiseau qui a suscitĂ© beaucoup de traditions et de mythes dans toutes les sociĂ©tĂ©s. Avec son magnifique plumage, il fascine tous ceux qui le rencontrent. Comme chez bien d'autres oiseaux, c'est le mĂÂąle qui a les plus belles plumes et qui est le plus ostentatoire. Mais sa femelle, la paonne, n'est pas moins magnifique en soi. C'est un oiseau protecteur et puissant. Les traits les plus saillants du paon sont assurĂ©ment ses plumes et son cri Ă©trange et tapageur qui ressemble un peu Ă en rire, comme si le paon nous rappelait d'aborder la vie joyeusement, en riant. Concernant cette vocalisation, j'ai entendu une histoire liĂ©e Ă l'apparition des pattes du paon qui a des pieds affreux ; la lĂ©gende raconte donc qu'ils crie - paonne - chaque fois qu'il les voit. Ceux qui ont le paon pour totem vont par consĂ©quent pouvoir s'intĂ©resser au mysticisme et au symbolisme des pieds. Ces derniers sont notre support ; ils constituent la fondation de toute votre structure. Ils nous permettent de nous mouvoir et de nous tenir droits. Que disent les pieds du paon de vous et de votre vie ? Une Ă©tude de la rĂ©flexologie plantaire pourra ĂÂȘtre bĂ©nĂ©fique Ă tous ceux qui ont donc le paon pour totem. Les plumes ont Ă©tĂ© utilisĂ©es pour le rituel et Ă des fins dĂ©coratives. Leurs couleurs et leurs motifs rĂ©vĂšlent pourquoi tant de mysticisme a Ă©tĂ© associĂ© au paon. L'iridescence bleu-vert suscite un sentiment d'Ă©merveillement. La teinte bleu-vert a toujours Ă©tĂ© associĂ©e Ă la royautĂ©. Quant aux "yeux" apparaissant sur le plumage, on les a souvent liĂ©s Ă une plus grande vision et Ă une plus grande sagesse. Cette idĂ©e de vigilance et d'attention se retrouve dans la mythologie grecque. Argos "PanoptĂšs" littĂ©ralement "qui voit tout", un veilleur au service d'HĂ©ra, avait cent yeux. Quand il est tuĂ© alors qu'il s'est endormi Ă son poste, HĂ©ra transfĂšre ses yeux sur le plumage du paon - son oiseau favori. De tous les oiseaux, le paon est celui qui ressemble le plus aux descriptions traditionnelles du phĂ©nix. Ce dernier est l'oiseau lĂ©gendaire de la rĂ©surrection qui est sacrifiĂ© dans le brasier de la vie avant de renaĂtre de ses propres cendres. En tant que reflet du phĂ©nix, le paon a imprĂ©gnĂ© de nombreuses sociĂ©tĂ©s humaines. Dans la mythologie chinoise, son plumage est un mĂ©lange de cinq couleurs qui dĂ©clinent une douce harmonie de sonoritĂ©s. En Ăâ°gypte, il est liĂ© au culte du dieu soleil, Amon-RĂÂą. MĂÂȘme dans le christianisme, il Ă©tait un symbole de la mort et de la rĂ©surrection de JĂ©sus. En Ăâ°gypte encore, le paon Ă©tait associĂ© Ă l'Ă
âil d'Horus voyant tout. Pour les Indous, il Ă©tait liĂ© Ă Indra, le dieu du tonnerre qui se transforma en paon pour Ă©chapper au dĂ©mon Ravana, ce qui e dota des cent yeux de son plumage. Le paon Ă©tait Ă©galement souvent considĂ©rĂ© comme sacrĂ© parce qu'il dĂ©truisait les serpents venimeux. En Ăâ°gypte, il occupait la seconde place dans cette catĂ©gorie des oiseaux sacrĂ©s, juste derriĂšre l'ibis. En raison de ses nombreux yeux, il a Ă©tĂ© associĂ© Ă la sagesse et Ă la vision - une vigilance accrue. Et s'il a Ă©galement Ă©tĂ© connectĂ© Ă l'immortalitĂ©, c'est encore une fois en partie Ă cause de sa ressemblance avec les reprĂ©sentations du phĂ©nix. Mais cette idĂ©e vient aussi d'une vieille croyance selon laquelle sa chair n'aurait pu se putrĂ©fier. Un examen de ces mythes et d'autres associĂ©s Ă cet oiseau pourra orienter ceux qui l'ont pour totem vers de possibles connexions avec des vies passĂ©es. Cela jettera quelque lumiĂšre sur le rĂÂŽle qu'il pourra jouer dans votre existence. Les enseignements et traditions liĂ©s au paon sont intimement connectĂ©s Ă ses caractĂ©ristiques et comportements. Ils vous aideront Ă voir comment d'autres sociĂ©tĂ©s humaines ont pu dĂ©celer et Ă©tablir des correspondances.** Selon Nicki Scully, auteure de MĂ©ditations de l'animal pouvoir, Voyages chamaniques avec les alliĂ©s esprits Ă©ditions originales 1991, 2001 ; traduction française Guy TrĂ©daniel Ăâ°diteur 2002, "Le Paon est un totem qui donne lieu Ă des interprĂ©tations opposĂ©es. Certaines cultures considĂšrent les plumes de paon comme de mauvais augure, surtout pour les jeux de hasard, tandis que d'autres voient dans ces merveilleux ornements lĂąâŹâąĂ
âil qui voit tout, reprĂ©sentant grande chance et grand pouvoir. Les plumes de paon peuvent ĂÂȘtre utilisĂ©es pour protĂ©ger des mauvais esprits - c'est ainsi qu'en usent les Hindous, et le paon est considĂ©rĂ© comme l'oiseau national de l'Inde - et le trĂÂŽne de Perse Ă©tait appelĂ© "le TrĂÂŽne du Paon". Le Paon a une connaissance ancienne de la magie, et il peut diriger l'Ă©nergie pour crĂ©er tout ce qu'il dĂ©sire. Parce que ses besoins sont peu nombreux, il passe le plus clair de son temps sur Terre, Ă fabriquer une prĂ©sentation somptueuse. Il se contente de son environnement, et il aime ce qu'il a créé. Le Paon est trĂšs joueur - en fait, c'est un hĂ©doniste - mais cela ne le tracasse pas. Il n'y a pas ici le moindre dĂ©ni de soi. Il embrasse d'une façon chaude, ouverte, la facultĂ© de savourer et d'envelopper la vie. Il se rit de nos jugements, car il s'amuse sans s'Ă©loigner de l'Esprit. Oiseau grand et gracieux, le Paon rĂ©alise qu'il vit dans un corps au plan terrestre, et il a besoin de jouir de ses capacitĂ©s pour manifester des plaisirs hĂ©donistes. Il a la facultĂ© de tout prendre Ă la lĂ©gĂšre et avec humour. Il est le roi parfait, aimant et royal. Il a une forme belle, mais il n'y est pas attachĂ© - ĂÂȘtre dans un corps est la mĂÂȘme chose que d'ĂÂȘtre dans un masque. Une fois que nous avons maĂtrisĂ© la capacitĂ© de mettre des masques et de les ĂÂŽter Ă volontĂ©, nous pouvons entrer dans nos corps avec un sentiment nouveau de libertĂ©. Le Paon a beaucoup Ă nous apprendre sur l'art de traiter les choses avec humour, le genre d'humour qui nous protĂšge des abus de pouvoir. C'est un don que d'ĂÂȘtre capable de tirer des choses de l'air. Comme tous les dons, il doit ĂÂȘtre approchĂ© avec gratitude et joie. Il y a une grande gĂ©nĂ©rositĂ© dans cet ĂÂȘtre. Pour certains, ce voyage a pour seul objet d'ĂÂȘtre en prĂ©sence du Paon, trouvant un rapport avec cette impressionnante capacitĂ© de se manifester sans s'attacher, ni en tirer une fiertĂ© vaine. La fiertĂ© vĂ©ritable vient d'un lieu profond de gĂ©nĂ©rositĂ©. Le Paon peut reflĂ©ter votre propre gĂ©nĂ©rositĂ©, vous apprendre Ă accepter les prĂ©sents et Ă ne pas les utiliser pour manipuler les gens. Il y a une majestĂ© dans le Paon qui peut sembler quelque peu pompeuse selon la perception du visiteur. Si vous venez avec admiration et envie, vous prendrez une autre sĂ©rie de leçons, car il les reflĂ©tera. Cette expĂ©rience a trait Ă la magnificence. Accordez-vous la pleine expĂ©rience de la splendeur du Paon, pour comprendre sa capacitĂ© Ă se manifester entourĂ© d'une magnificence sĂ©duisante au plus haut point ! [Le voyage du Paon fait partie, au mĂÂȘme titre que ceux des Castor, Tortue, Mulot, Corbeau et Bisonne blanche des] Voyages pour cĂ©lĂ©brer et honorer. Il y a tant de choses Ă notre sujet que l'on peut apprendre Ă partir du rĂšgne animal, car les animaux dĂ©ploient pour nous des qualitĂ©s que nous oublions parfois. Nous avons beaucoup de choses Ă cĂ©lĂ©brer et honorer avec ces parents concernant la richesse, la beautĂ©, et la pure joie de du Paon [Faites l'alchimie du Chaudron...] Au sortir de l'alchimie, et en prĂ©sence de Thoth, votre attention est attirĂ©e par une sensation de vrombissement, une vibration, qui doit ĂÂȘtre expĂ©rimentĂ©e pour atteindre une rĂ©sonance avec le Paon ; c'est comme un tambourinement dans vos oreilles. En Ă©tant en rĂ©sonance avec cette vibration, vous franchissez les barriĂšres du temps et de l'espace, pour vous brancher sur les frĂ©quences oĂÂč les capacitĂ©s de manifestation du Paon peuvent prĂ©valoir. Le vrombissement continue et sera plus ou moins apparent tout au long de ce voyage. Thoth montre la voie, et vous arrivez sur une pelouse spacieuse avec une pagode au loin. Vous pouvez sentir, d'aprĂšs l'air, que vous ĂÂȘtes Ă haute altitude. Les pins, un air frais et pĂ©tillant, et un ciel bleu vif, rehaussent cette scĂšne. La pagode a un dĂÂŽme dorĂ©, et son intĂ©rieur rappelle un lit Ă baldaquin. Des boules d'or couronnent les piliers, et les marches des deux cĂÂŽtĂ©s facilitent l'accĂšs. Les Paons vagabondent sur la pelouse. Tandis que vous vous rapprochez de la pagode, vous voyez des piles des coussins lourdement brodĂ©s de fils d'or. Il y a par terre de riches tapis de soie persane la plus fine, des bols pleins d'eau et d'encens, et des offrandes de graines et de fleurs. Au milieu des coussins, assis sur le trĂÂŽne de ce temple rectangulaire, un Paon magnifique. Approchez-vous encore. Tandis que vous grimpez les marches, votre inclination peut ĂÂȘtre de saluer ce noble oiseau. Il vous dit de venir vous asseoir Ă cĂÂŽtĂ© de lui. Vous vous exĂ©cutez, et vous admirez ces plumes, son long cou soyeux, et la crĂÂȘte colorĂ©e sur sa tĂÂȘte. Vous ne pouvez voir ses pieds, car ils sont sous lui. Ce Paon est trĂšs Ă l'aise avec sa beautĂ©, sa royautĂ© et sa fiertĂ©, et il est trĂšs heureux que vous soyez lĂ pour partager la splendeur environnante de son domaine. Il veut vous envelopper de ce sentiment, pour que vous aussi fassiez l'expĂ©rience de cette Ă©lĂ©gance, de ce confort, de ce port royal. Remarquez les sentiments inclusifs, - le Paon n'exclut pas les gens. Il vous offre quelque chose Ă manger ; abricots sĂ©chĂ©s, noix de coco et graines. Personne ne les a apportĂ©s - ils sont simplement apparus. Suivez le regard du Paon tandis qu'il examine son domaine bien tenu. La somptueuse couverture de gazon s'Ă©tend dans toutes les directions, pleine de beautĂ©, de symĂ©trie et de grĂÂące. Elle a un air trĂšs ancien. Le Paon est capable de faire de la magie, et peut tirer des choses de l'air. Il vous tend un prĂ©sent qu'il tire de l'air pur, et un enseignement qui convient au moment... [Longue pause] Ce Paon prend du plaisir Ă donner, et un remerciement est sa plus grande rĂ©compense. Vous n'avez pas besoin de l'admirer - partager avec lui est suffisant. Quand votre temps est achevĂ©, quittez la pagode et descendez la pelouse, jusqu'Ă l'endroit oĂÂč vous rencontrerez Thoth. Partagez cette expĂ©rience avec lui... [Thoth vous aidera Ă rentrer dans votre corps...]Mots-clefs Magie / GrĂÂące / GĂ©nĂ©rositĂ©."* * Selon Didier Colin, auteur du Dictionnaire des symboles, des mythes et des lĂ©gendes Hachette Livre, 2000 "Le plus connu est le paon bleu, dont le plumage en forme de traĂne d'un bleu profond, constellĂ© de tĂÂąches orangĂ©es et noires, peut atteindre jusqu'Ă 2 mĂštres de long. Lors de la parade nuptiale, le mĂÂąle la dĂ©ploie, en braillant son cri rauque si caractĂ©ristique. Mais il fait aussi la roue lorsqu'il se trouve en prĂ©sence d'un autre mĂÂąle. Originaire de l'Inde et du Sri Lanka, il fut importĂ© en Occident par Alexandre le Grand, puis plus tard en AmĂ©rique. Il fut d'abord apprĂ©ciĂ© en tant qu'oiseau d'ornement domestique, mais aussi, par la suite, pour sa chair. Selon une lĂ©gende mythique grecque, Argos, prince argien d'un royaume aujourd'hui situĂ© en GrĂšce, dans le nord-est du PĂ©loponnĂšse, et dont le nom signifie "lumineux", se distinguait par les cent yeux qui Ă©taient rĂ©partis sur tout son corps, et qui lui donnaient une vision absolue. On le surnommait PanoptĂšs, c'est-Ă -dire "celui qui voit tout". Argos fut chargĂ© par HĂ©ra, sĂ
âur et Ă©pouse de Zeus, de garder Io, une jeune fille argienne aimĂ©e de Zeus et que HĂ©ra, jalouse, avait transformĂ©e en gĂ©nisse. Toutefois, Ă l'instigation de Zeus, HermĂšs plongea Argos Ă son insu dans le sommeil Ă©ternel de la mort en lui jouant de la flĂ»te de pan. Pour immortaliser celui qui l'avait si bien servie, HĂ©ra mit les cent yeux du corps d'Argos sur la traĂne du paon bleu. Depuis lors, chaque fois que le paon fait la roue, Argos renaĂt, et ses cent yeux s'ouvrent Ă nouveau au monde." ** D'aprĂšs Madonna Gauding, auteure de Animaux de pouvoir, Guides, protecteurs et guĂ©risseurs Octopus Publishing Group 2006 ; traduction française Ăâ°ditions VĂ©ga, 2006 "Guide d'interprĂ©tation En tant que symbole oniriqueVanitĂ© ; RoyautĂ© ; DignitĂ© ; BeautĂ© ; Confiance en soi ; Mise en tant que gardien ou protecteurMet en garde contre les envahisseurs ; Soutient l' tant que guĂ©risseurGuĂ©rit par la rĂ©flexologie des pieds Corrige les troubles de tant qu'oracle ou augureAttention au mauvais Ă
âil ; Vous aurez de la chance en et contes Dans l'ancienne Ăâ°gypte, le paon Ă©tait le compagnon de la dĂ©esse Isis. En Chine, au Japon, Ă Babylone et en Perse, le paon Ă©tait symbole de royautĂ©.Si le paon est votre animal de pouvoir Vous avez confiance en vous, ĂÂȘtes capable de voir l'avenir et pouvez enseigner aux autres comment devenir clairvoyants. Vous ĂÂȘtes extrĂÂȘmement sensible et devez protĂ©ger votre champ Ă©nergĂ©tique personnel. Votre allure est digne et royale. Chef de file de votre domaine, vous ĂÂȘtes reconnu et louĂ©. On pourrait vous imaginer arrogant, mais en rĂ©alitĂ© vous ne prenez pas trop au sĂ©rieux ces choses-lĂ , en sachant qu'elles peuvent disparaĂtre en un clin dĂąâŹâąĂ
âil. Vous prĂ©fĂ©rez essayer de profiter de la vie de votre au paon de vous aiderĂ vous rappeler de rire face Ă la vie, surtout quand les choses vont mal ;Ă vous mettre en avant et Ă croire en au pouvoir du paon en arborant des couleurs vives et chatoyantes ; rĂ©citant quotidiennement des affirmations pour le respect de soi. Les plumes du paon mĂÂąle poussent Ă partir de son dos, pas de sa queue. Lorsqu'il fait sa cour, il Ă©tale sa queue dans un splendide Ă©ventail chatoyant bleu / vert parsemĂ© de marques en forme dĂąâŹâąĂ
âil. Habillez-vous plus joliment pour honorer votre nature sacrĂ© Air."** Diana Cooper, auteure du Guide des archanges dans le monde animal Ă©dition originale 2007 ; traduction française Ăâ°ditions Contre-dires, 2018 nous dĂ©livre un Message des oiseaux de la troisiĂšme dimension Nous voulons que vous compreniez qu'un aiglen'est pas meilleur qu'un moineau. Pas plus qu'un colibri n'estmeilleur qu'un corbeau. Ils vibrent simplement Ă des frĂ©quencesdiffĂ©rentes et ont des leçons uniques Ă vous enseigner. Nousavons choisi les leçons que nous voulons vous transmettre et lamaniĂšre dont nous allons vous les prĂ©senter, un peu comme unconfĂ©rencier choisit le sujet qu'il veut enseigner et la façon dontil veut l'enseigner. Vous ĂÂȘtes unique et spĂ©cial, quelle quesoit la frĂ©quence Ă laquelle vous vibrez. Tous les oiseaux de la troisiĂšme dimension appartiennent Ă une groupe d'ĂÂąmes et nous enseignent des leçons Ă les dĂ©montrant dans leurs propres vies. Ils viennent de Sirius ou sont descendus sur Terre en passant par cette planĂšte. Les paons et les oiseaux de paradis J'aime les paons. Je me souviens du frisson que j'ai ressenti en regardant le coucher du soleil de l'autre cĂÂŽtĂ© du Gange. Tous les cent mĂštres ou presque, des paons, traĂnant leurs queues magnifiques, Ă©mergeaient des arbres pour descendre boire sur la rive. J'Ă©tais avec ma fille et nous sommes ensuite allĂ©es Ă Agra, oĂÂč elle a achetĂ© pour moi une plaque de marbre incrustĂ©e d'un paon que j'ai encore sur le mur de mon salon. Le paon est un animal flamboyant, magnifique et Ă©goĂÂŻste. Tous les yeux se tournent vers lui quand il dresse les plumes de sa queue en Ă©ventail. Son cri est fort, strident et rĂ©clame de l'attention. Cependant, il y a un but plus Ă©levĂ© pour cela. Pendant que tout le monde regarde le mĂÂąle, la femelle, plus petite et d'une couleur terne, peut Ă©lever leurs petits en toute sĂ©curitĂ©. Ainsi, le paon et la paonne dĂ©montrent qu'ils peuvent travailler ensemble pour le plus grand bien de tout tout en Ă©tant de sexe diffĂ©rent. Ils nous enseignent Ă©galement que nous devons regarder au-delĂ des apparences pour voir ce qui se passe rĂ©ellement. VISUALISATION POUR TIRER DES ENSEIGNEMENTS DES OISEAUX DE TROISIĂËME DIMENSIONAmĂ©nagez un espace oĂÂč vous pourrez vous dĂ©tendre sans ĂÂȘtre dĂ©rangĂ©. Fermez les yeux et dĂ© Ă un oiseau et appelez-le, mais vous pouvez aussi laisser n'importe quel oiseau apparaĂtre dans votre mentalement Ă l'oiseau que vous ĂÂȘtes prĂÂȘt Ă Ă©couter ses enseignements et demandez une communication ou une dĂ© peut chanter pour vous, auquel cas relaxez-vous et laissez le message pĂ©nĂ©trer dans votre cĂ
â l'oiseau vous montre une photo, demandez-vous quel est le peut communiquer avec vous par tĂ©lĂ©pathie, alors restez ouvert pour l'oiseau et cherchez-en un de ce type dans votre vie, dans un livre ou Ă la tĂ©lĂ© vous en voyez un, sachez que cela vient confirmer qu'il vous apporte un message vous pouvez sortir dans votre jardin, un parc ou la campagne et observer quels oiseaux se prĂ©sentent Ă vous.** Pour David Carson, auteur de Communiquer avec les animaux totems, puisez dans les qualitĂ©s animales une aide et une inspiration au quotidien Watkins Publishing, 2011 ; traduction française Ăâ°ditions VĂ©ga, 2011, le paon appartient Ă la famille de la Sagesse intĂ©rieure, au mĂÂȘme titre que l'hippopotame, le chien, l'aigle, l'ours polaire, le cheval, le coyote, le papillon, la chouette, la salamandre, le saumon, le phoque, la grue, le liĂšvre, le tigre, le bĂ
âuf et la pieuvre. "Sagesse intĂ©rieure Invoquer un esprit animal, c'est Ă©veiller de nouvelles perceptions. Tout phĂ©nomĂšne naturel, y compris l'animal, est intrinsĂšquement mystĂ©rieux. L'indicible que recĂšle toute forme de vie nous ramĂšne aux questions fondamentales sur l'existence. Comment et pourquoi s'est formĂ© le cosmos ? Pourquoi les choses existent-elles plutĂÂŽt que le nĂ©ant comme s'interrogent souvent les philosophes ? La mĂ©ditation peut nous apporter une conscience silencieuse des vĂ©ritĂ©s qui se cachent derriĂšre ces Ă©nigmes. Lorsque nous plongeons nos yeux dans ceux d'une autre crĂ©ature, nous sommes confrontĂ©s Ă de profonds mystĂšres, dont l'animal est l'incarnation vivante. Ce chapitre prĂ©sente les animaux susceptibles de nous guider vers de nouveaux indices et une acuitĂ© nouvelle. Si nous sommes prĂÂȘts Ă nous ouvrir et Ă Ă©couter, nous pouvons gagner en maturitĂ© spirituelle et avancer dans notre voyage intĂ©rieur. [...] La taille rĂ©elle du corps d'un paon n'est pas plus grande que celle d'un coq adulte, mais ses plumes sont si immenses que sa longueur totale peut dĂ©passer mĂštres. CrĂ©ature superbe, cet oiseau est une pure merveille. Tel Argus, le gĂ©ant attentif aux cent yeux de la mythologie grecque, le paon peut revendiquer le titre de chef des yeux ; Ă Sumatra, on le nomme d'ailleurs paon Argus. Avec sa robe de plumes scintillantes, aux teintes et nuances des plus rares, cet oiseau possĂšde un pouvoir hypnotique. Il reste souvent Ă l'Ă©cart, sa longue et magnifique traĂne se transformant en un vibrant Ă©ventail de couleurs Ă©blouissantes. Traditionnellement, les prĂÂȘtres invoquaient l'esprit du paon pour faire venir la pluie ; en outre, l'oiseau est rĂ©putĂ© pour confĂ©rer chance, magnificence, honnĂÂȘtetĂ© et sĂ©rĂ©nitĂ©. Ses plumes sont utilisĂ©es sur les autels de culte hindous ; parĂ©es d'une multitude d'yeux brillants, elles symbolisent la compassion, souvent nĂ©e de l'observation des besoins d'autrui. Plus particuliĂšrement, l'oiseau est associĂ© Ă la divinitĂ© hindoue Murugan, le dieu de la guerre, populaire dans le Sud de l'Inde. Murugan est souvent reprĂ©sentĂ© sur un paon, symbole de l'abnĂ©gation de l'ego. Dans le bouddhisme, l'oiseau est associĂ© Ă Avalokitesvara, le bodhisattva de la compassion. Ceux qui ont le paon pour animal totem avancent sur un chemin sacrĂ©, spirituel, et sont emplis d'amour pour la vie entiĂšre. LĂąâŹâąĂ
âil du paon reprĂ©sente le TroisiĂšme Ă
âil, celui qui dĂ©truit l'illusion et apporte une comprĂ©hension de la vĂ©ritĂ© universelle. Le paon nous rappelle qu'il nous faut ouvrir nos yeux spirituels et regarder honnĂÂȘtement, avec une vision neuve. Alors, nous sommes en mesure de voir au-delĂ des limites ordinaires des sens. Nous voyons, entendons et sentons les vibrations supĂ©rieures du discernement ; les fausses croyances s'Ă©croulent et une profonde connaissance Ă© Yeux de la compassionMĂ©ditation TroisiĂšme Ă
âil Cette mĂ©ditation contribue Ă votre Ă©volution personnelle, c'est pourquoi il convient de ne jamais vous auto-critiquer pendant cet exercice. Assurez-vous de ne pas ĂÂȘtre dĂ©rangĂ©. Asseyez-vous dans un endroit calme et confortable et faites quelques respirations profondes. Avant d'entamer cette mĂ©ditation, considĂ©rez le paon. Il dĂ©ambule, son long plumage traĂnant derriĂšre lui, puis s'arrĂÂȘte subitement et ouvre ses plumes en Ă©ventail, offrant un somptueux ballet d'yeux. Voyez cette image dans votre Ă
âil mental et projetez-la dans votre front. Adressez une courte priĂšre Ă la Terre, Ă ses habitants et Ă ses animaux, et priez pour l'apaisement des souffrances de toute forme de vie. Sentez le calme et la dĂ©tente vous envahir pleinement. Concentrez-vous sur chaque respiration, inspirant pleinement et profondĂ©ment. Fermez les yeux et portez votre attention sur un point prĂ©cis de votre front, entre vos sourcils. Imaginez que vous respirez par ce point. Ouvrez votre Ă©tat de conscience et concentrez-vous sur votre respiration. Lorsqu'un petit point blanc lumineux apparaĂt Ă l'intĂ©rieur de votre vision, vous ĂÂȘtes sur le seuil. Vous avez entrouvert les portes de la vĂ©ritĂ©, qui permettent de voir au-delĂ de l'illusion. En expirant, sentez la lumiĂšre se rĂ©pandre et Ă©prouvez une chaleur dans votre front. Laissez la lumiĂšre augmenter, de maniĂšre Ă former une unitĂ©. Vous commencez Ă accepter votre moi vĂ©ritable, la lumiĂšre transcendante qui n'a ni dĂ©but ni fin - qui a toujours Ă©tĂ©, et sera toujours. Lorsque vous sentez que vous ĂÂȘtes arrivĂ© au bout de votre mĂ©ditation, ouvrez lentement vos yeux physiques. Essayez de faire cet exercice chaque jour pendant quelques minutes." ** Dans son jeu de carte L'Oracle du peuple animal Guy TrĂ©daniel Ăâ°diteur, 2016, Arnaud Riou regroupe les animaux par famille. Le paon appartient selon lui Ă la famille de la communication avec l'abeille, le chien, le dauphin, le loup, le chat, l'ara, le faucon, le singe et l'oie sauvage. La communication. La qualitĂ© de nos relations dĂ©pend en grande partie de la qualitĂ© de notre communication. Savez-vous parler de vos besoins, vous positionner, savez-vous demander, poser vos limites, rassembler ? Savez-vous motiver vos enfants, vos partenaires, vos collaborateurs ? Savez-vous parler en public, nĂ©gocier ? Savez-vous comment sortir de votre comportement boudeur, manipulateur ou flou et dĂ©velopper une posture claire et constructive ? C'est sur cette voie que les animaux de cette famille vont vous inspirer. [...] "Approche-toi, j'ai quelque chose Ă te dire...", "J'aimerais tellement trouver les mots justes", "Ce n'est pas ce que je voulais dire", "Il ne m'a pas compris", "Je n'ose pas lui avouer", "Comment ne pas le vexer ?" Oser parler et savoir dire est tout un art. L'art de la rhĂ©torique, l'art de prendre la parole en public, de demander, de refuser, de poser ses limites. La vie est plus facile lorsqu'en nous le verbe est fluide et les mots complices de notre pensĂ©e. C'est un entraĂnement alors que de trouver les mots justes, la distance juste. C'est tout un art aussi que de maĂtriser le bon rythme, l'art de ponctuer, de laisser en suspension les points de notre histoire ou d'y mettre un point final. C'est tout un art que de respirer avec les virgules, de s'interroger, de s'exclamer ! C'est tout un art de nĂ©gocier, de dĂ©finir ses besoins en termes clairs, de poser ses limites, de savoir dire non, de refuser, mais aussi de nĂ©gocier, de coopĂ©rer, d'accepter. Certains animaux ont dominĂ© cet art de la communication. Ils viennent ici nous accompagner dans notre Ă©volution. Chaque fois qu'un animal liĂ© Ă la communication vous apparaĂt, c'est une occasion d'affiner votre parole, d'apprendre Ă utiliser le verbe pour exprimer votre pensĂ©e, vos besoins et de construire le monde auquel vous aspirez. Les animaux liĂ©s Ă la famille de la communication vont vous aider, vous inspirer et vous proposer d'utiliser cette grande force qu'est la communication. Offre au monde la beautĂ© de ton ĂÂąme ;C'est le plus beau cadeau que tu puisses faire Ă l'humanitĂ©.......................................................................................................................La carte [ci-contre] reprĂ©sente un dĂ©cor d'un autre temps. Nous sommes sur les vestiges d'un temple. La vĂ©gĂ©tation a repris ses droits et les pierres cohabitent harmonieusement avec les arbres. Le soleil vient de se lever sur une journĂ©e de printemps, le ciel est dĂ©gagĂ©. Le Paon est au centre de la carte. Au lointain, d'autres oiseaux semblent sĂ©journer. Le Paon s'est isolĂ©. Il offre aux regards sa queue magnifique....................................................................................................................... CrĂ©ature hypnotique venue d'ailleurs, le Paon nous fascine par l'Ă©lĂ©gance de sa roue. Lorsque cet oiseau magique Ă©panouit sa queue, ce sont cent yeux qui sortent de nulle part pour nous rappeler Ă l'essentiel. C'est pourquoi la vue du Paon magnĂ©tise autant les enfants que les adultes. Si le Paon est synonyme d'Ă©lĂ©gance, d'excellence et de raffinement, son message dĂ©passe l'image et l'apparence. LĂąâŹâąĂ
âil que nous montre le Paon est le troisiĂšme Ă
âil, celui de l'intuition et du retour Ă l'essentiel. Celui qui permet justement de sonder les cĂ
âurs et de dĂ©passer notre perception habituelle pour accĂ©der au regard de la magie et du sacrĂ©. Le paon nous permet de transcender notre regard ordinaire pour observer le monde avec lĂąâŹâąĂ
âil de la beautĂ© et celui de l'esprit. C'est le regard de la poĂ©sie et de la grandeur des ĂÂąmes nobles. C'est pour leur lien avec le sacrĂ© que les plumes de Paon sont utilisĂ©es pour les rituels les plus Ă©laborĂ©s, notamment dans les traditions indiennes et tibĂ©taine. Il dĂ©core la bompa, vase de purification utilisĂ©e dans les cĂ©rĂ©monies spirituelles du Vajrayana, ou le vĂ©hicule de diamant des bouddhistes tibĂ©tains. dans la mythologie grecque, c'est la dĂ©esse HĂ©ra, la femme de Zeus, qui donna au Paon sa queue en hommage Ă son serviteur Argos qui avait cent yeux et avait ainsi le pouvoir de surveiller simultanĂ©ment dans toutes les directions. Le Paon dans sa manifestation nuptiale est Ă©galement liĂ© Ă Tchenrezig Ă mille bras. Le Bouddha de la compassion apparaĂt avec ses mille bras semblables Ă l'iridescence naturelle de la plume de Paon lorsqu'elle est dĂ©ployĂ©e. C'est pour dĂ©velopper son activitĂ© compatissante que Tchenrezig s'est dotĂ© de mille bras. C'est pour dĂ©velopper son acuitĂ© que le Paon est dotĂ© de ses cent yeux. Pour Darwin, le Paon contredisait toute sa thĂ©orie de l'Ă©volution. Il est inexplicable en effet que les attributs de cet oiseau si voyant, si bruyant, courant si maladroitement et volant si mal n'aient pas Ă©voluĂ© dans la progression des espĂšces. Un oiseau de cette nature aurait dĂ» attirer tous les prĂ©dateurs. Mais les mystĂšres de la nature en ont dĂ©cidĂ© autrement. Le Paon semble conserver ses secrets et faire de sa beautĂ© sa plus belle protection. De nature solitaire, le Paon vit en petit groupe, mais ressent le besoin constant de s'isoler, comme pour mieux maintenir sa relation avec l'au-delĂ . Lorsque le Paon vous apparaĂt dans le tirage, c'est souvent de façon soudaine. Il surgit pour vous montrer la beautĂ©. Elle est devant vos yeux, incontournable. Le Paon vous invite Ă regarder le monde avec les yeux de l'amour et la puissance du cĂ
âur. Il vous rappelle que le beau est partout et qu'il ne tient qu'Ă vous de l'incarner Ă travers votre parole, vos gestes et l'Ă©lĂ©gance de vos actes. CoopĂ©rer avec le Paon comme animal totem est le privilĂšge des ĂÂȘtres d'exception prĂ©dits Ă une action rayonnante sur la Terre. Le Paon vous aide Ă accroĂtre votre popularitĂ©, votre rayonnement et votre image. Il accompagne les orateurs, les auteurs, les artistes, les organisateurs d'Ă©vĂ©nement et toute personne souhaitant diffuser la beautĂ© sur le monde. Si vous devez parler en public, le Paon vous accompagnera Ă soigner votre Ă©locution, Ă trouver les images poĂ©tiques les plus pertinentes pour appuyer vos propos, Ă donner un style littĂ©raire et imagĂ© Ă vos propos. LĂąâŹâąĂ
âil que vous ouvre le paon est celui de l'intuition, de l'authenticitĂ© et de la vision pure. Le Paon inspire votre perspicacitĂ© pour voir au-delĂ des apparences. Il vous invite Ă Ă©couter davantage votre sagesse. Il vous aide Ă ouvrir votre troisiĂšme Ă
âil. Dans tous les cas, le paon vous invite Ă ouvrir les yeux, ou Ă les fermer, pour mieux voir. Mots-clĂ©s Le sacrĂ© - La magie - L'intuition - Le raffinement - La beautĂ© - L'Ă©lĂ©gance - Le discernement - L'acuitĂ© - La vue - La perspicacitĂ© - L'aura - La poĂ©sie. Signification renversĂ©e Le Paon renversĂ© peut vous signaler que vous ne voyez pas ce qui est Ă©vident, que vous passez peut-ĂÂȘtre actuellement Ă cĂÂŽtĂ© d'une situation qui pourtant vous ferait du bien. Il vous invite Ă vous concentrer sur votre lumiĂšre plutĂÂŽt que de ressasser ce qui ne fonctionne pas. Le Paon peut vous signaler que vous vous laissez envahir par des situations ou des ĂÂȘtres qui vampirisent votre Ă©nergie vitale. Le paon renversĂ© vous invite Ă agir Ă partir de ce qui est possible pour vous. Il peut vous signaler que vous ne voyez pas assez votre beautĂ© ou qu'au contraire, vous vous prĂ©occupez trop de votre image. Le message du Paon Je viens prĂ©senter ma beautĂ© Ă ton regard. La beautĂ© que je te montre dĂ©passe tout ce que tu peux ordinairement voir et mĂÂȘme concevoir. Car pour que la beautĂ© nous apparaisse dans notre quotidien, c'est notre regard que nous devons transformer. Tu sais de quoi je parle, car tu es reliĂ© dĂ©jĂ Ă cette beautĂ©. Tu ressens au plus profond de toi qu'il existe un espace d'absolu harmonie et de magnificence. Toute ton ĂÂąme te rappelle que tu as goĂ»tĂ© Ă cet espace en d'autres Ă©poques. Tu as cette aspiration Ă retrouver le beau en toi et autour de toi. Aujourd'hui, je viens te dĂ©livrer de ce qui t'empĂÂȘche d'exprimer ta beautĂ© naturellement dans tes actes et dans tes gestes. Collaborer avec le totem du Paon, c'est faire le vĂ
âu de l'absolu et du divin. Je suis heureux de te reconnaĂtre. Le rituel du Paon Je rends hommage au Paon. Aujourd'hui, je m'autorise Ă retrouver dans mon regard la beautĂ© du monde. Je reconnais la beautĂ© de mes gestes. Je m'autorise Ă laisser rayonner mon image. Je suis digne de cĂ©lĂ©brer en moi et autour de moi ce qu'il y a de plus beau, de plus raffinĂ©. Je visualise dans ma poitrine une lumiĂšre jaune. A chaque inspiration, cette lumiĂšre s'intensifie. A chaque expiration, je visualise la roue du paon se dĂ©velopper Ă partir de ma poitrine. Celle-ci densifie mon aura, la colore, la rĂ©gule. Je sens ainsi autour de mon ĂÂȘtre une aura lumineuse semblable Ă celle de la roue du Paon." ** Pour Melissa Alvarez, auteure de A la Rencontre de votre Animal Ă©nergĂ©tique LLewellyn Publications, 2017 ; traduction française Ăâ°ditions VĂ©ga, 2017, le Paon est dĂ©fini par les caractĂ©ristiques suivantes Traits Le Paon symbolise la projection astrale les rĂÂȘves lucides, le rĂÂȘve Ă©veillĂ©, les objectifs et les mouvements entre les royaumes visible et invisible. Le paon est un gros oiseau, trĂšs voyant et ostentatoire, avec une queue de m appelĂ©e sa traĂne qu'il perd aprĂšs chaque saison des amours. "Paon" est aussi le nom donnĂ© Ă plusieurs espĂšces de cette mĂÂȘme famille les phasianidĂ©s. Le mĂÂąle s'appelle "paon", la femelle "paonne" et les petits "paonneaux". Ces gros volatiles peuvent voler sur de courtes distances. Les motifs des plumes de leur traĂne ressemblent Ă des yeux, ce qui veut dire que vous avez une grande perspicacitĂ©, que vous ĂÂȘtes intuitif et mĂÂȘme souvent clairvoyant, et que vous avez de formidables visions et rĂ©vĂ©lations. Talents BeautĂ© ; ColorĂ© ; DĂ©termination ; Endurance ; Mode ; Ăâ°clatant ; Glamour ; GrĂÂące ; Patience ; Autodiscipline ; Attire l'attention ; A du style ; Vibrant ; VivacitĂ©. DĂ©fis Arrogant ; Faux ; Hautain ; Vaniteux. Ăâ°lĂ©ment Terre. Couleurs primaires Bleu ; Vert ; Blanc. Apparitions Le Paon est connectĂ© aux royaumes spirituels. Lorsqu'il se prĂ©sente Ă vous, cela veut dire que vous devez vous lancer davantage dans l'apprentissage et la comprĂ©hension de ce qui touche la spiritualitĂ©, l'intuition, le rĂÂȘve, la projection astrale, la transformation et la façon d'approcher la vie Ă partir d'un espace en vous de joie et d'amour. En grandissant depuis cet espace en vous, votre lumiĂšre intĂ©rieure deviendra plus Ă©clatante et, comme le paon, vous brillerez de toute votre magnifique gloire intĂ©rieure. Le paon est un oiseau dĂ©terminĂ©, ce qui veut dire que vous ne devez jamais abandonner les quĂÂȘtes dans lesquelles vous vous ĂÂȘtes lancĂ©. Et mĂÂȘme, vous devriez faire valoir vos compĂ©tences pour obtenir ce que vous voulez. En matiĂšre d'amour, le paon lance un cri de coĂÂŻt lorsqu'il s'accouple. Pour attirer Ă lui davantage de paonnes, il va lancer de faux cris pour qu'elles croient qu'il est trĂšs affairĂ©, bien plus qu'il ne l'est en rĂ©alitĂ©. C'est lĂ une façon trĂšs inventive de chercher Ă plaire Ă la gent fĂ©minine. Lorsque le paon apparaĂt, cela veut dire que vous ĂÂȘtes peut-ĂÂȘtre un peu trop vaniteux. Rabaissez votre prĂ©tention et revenez Ă la modestie pour retrouver un Ă©quilibre. Aide Vous avez besoin d'une aide, quelle qu'elle soit. Le cri du paon rĂ©sonne comme s'il Ă©tait en train d'appeler Ă l'aide "HĂ©, ho, hĂ©, ho, hĂ© ,ho !". Mais bien que ce cri ressemble Ă une demande d'aide, sa signification symbolique est que l'aide dont vous pouvez avoir besoin est lĂ il vous suffit de demander l'assistance du paon pour l'obtenir. Lorsque vous vous sentez d'humeur maussade ou triste, le paon peut redonner de la vitalitĂ© Ă l'estime que vous avez de vous-mĂÂȘme. Il va vous stimuler et vous faire avancer dans un esprit positif. Si vous vous sentez abattus, vous ne serez pas longtemps dĂ©primĂ© parce que l'Ă©clatant sens du spectacle du paon va allumer en vous une flamme colorĂ©e qui va vous pousser Ă aller de lĂąâŹâąavant. Le paon signifie Ă©galement que vous ĂÂȘtes protĂ©gĂ© de toute nĂ©gativitĂ© que vous pourriez rencontrer, que vous avez de la chance dans votre vie, que vous pouvez ĂÂȘtre populaire et au centre de l'attention. A travers toutes ces expĂ©riences, n'oubliez pas de rester sincĂšre envers vous-mĂÂȘme et vos idĂ©aux pour que, lorsque vous perdez votre beautĂ©, de la mĂÂȘme façon que le paon perd sa traĂne, vous restiez magnifique Ă l'intĂ©rieur. FrĂ©quence L'Ă©nergie du paon est le battement rĂ©gulier d'une grosse caisse, lĂąâŹâąaugmentation graduelle, progressive, de la rĂ©sonance d'une corde de harpe. Il se tient avec grandeur, fiertĂ©, et se pavane de son Ă©lĂ©gance. Cela donne la sensation d'un feu qui enflamme votre Vous ĂÂȘtes en train de visiter un parc en dehors de la ville, lorsque vous remarquez un oiseau bleu avec des ailes aux plumes grises et blanches et une longue traĂne derriĂšre lui. Ils sont quelques-uns pas loin les uns des autres qui vont de-ci de-lĂ en picorant sur le sol. Les paonnes ont seulement des couleurs irisĂ©es autour du cou et leurs corps est d'un gris brunĂÂątre. Vous sortez votre portable et vous vous prĂ©parez Ă filmer le paon au cas oĂÂč il dĂ©ciderait de faire son spectacle. Vous n'ĂÂȘtes pas déçu. Le gros mĂÂąle se dirige vers une paonne, il lĂšve sa traĂne et dĂ©ploie ses plumes en Ă©ventail tout autour de lui, en laissant ses ailes tomber vers le sol. Il se pavane, secoue ses ailes et agite dans l'air les plumes de sa traĂne. La paonne le remarque, mais elle s'Ă©loigne. Le paon la suit, en accentuant ses efforts pour lui faire sa cour afin d'obtenir son attention. Il se met Ă tourner autour d'elle pour lui montrer tout lĂąâŹâąĂ©clat de ses plumes. Lorsqu'elle se remet Ă manger et s'en va errer plus loin, il ramĂšne sa traĂne vers le sol, rabat les plumes de ses ailes sur le dessus et se met lui aussi Ă picorer sur le sol.*Symbolisme celte Pour Sabine Heinz, auteure de Les Symboles des Celtes, Ă©dition originale 1997 ; traduction française Guy TrĂ©daniel Ăâ°diteur, 1998, "Le paon, surtout apprĂ©ciĂ© en Orient Perse, Chine, fait partie des oiseaux qui apparaissent le plus souvent sur les blasons. Il est liĂ© au culte du soleil. Son superbe Ă©ventail de plumes peur symboliser soit le firmament soit la roue solaire. La tradition ne nous a transmis que peu d'Ă©lĂ©ments concernant les cultes celtiques, entre autres celui du soleil. Dans la littĂ©rature, on trouve Ă©galement peu de rĂ©fĂ©rences au paon. Le fait que les reprĂ©sentations de paons soient trĂšs connues vient essentiellement du fait que l'on se servit souvent de cet animal pendant la christianisation. Il devient alors le symbole de l'immortalitĂ©, sa queue portant les couleurs de l'arc-en-ciel. En hĂ©raldique, il reprĂ©sente la fiertĂ©." D'aprĂšs Divi Kervella dans EmblĂšmes et symboles des Bretons et des Celtes 2001, Le paon est "l'insigne emblĂ©matique qui fut l'origine celui de la maison de Rennes, une des familles rĂ©gnantes de Bretagne Xe-XIe siĂšcles. On sait que le duc Konan Ier le Tort 958-992 portait trois plumes de paon Ă son casque. La plume de paon est un motif de la broderie bigoudĂšne, dĂ©rivĂ© du motif de la palmette. Il combine les cornes de bĂ©lier surmontĂ©es de demi-cercles concentriques. Il est considĂ©rĂ© comme l'emblĂšme du pays bigouden."*Symbolisme alchimique D'aprĂšs Patrick RiviĂšre, auteur de L'Alchimie, science et mystique Ăâ°ditions De Vecchi, nouvelle Ă©dition augmentĂ©e 2013, "cet oiseau superbe fut consacrĂ© Ă Junon, l'Ă©pouse de Jupiter. Dom PernĂ©ty, dans son Dictionnaire Mytho-HermĂ©tique, nous conta admirablement son aventure "Cette DĂ©esse Junon jalouse demanda Ă Jupiter la nymphe Io changĂ©e en vache, et aprĂšs l'avoir obtenue, elle la donna en garde Ă Argus qui avait cent yeux. Jupiter chargea Mercure de la dĂ©faite de ce gardien importun. Mercure le fit en effet pĂ©rir, et Junon transporta ses cent yeux sur la queue du Paon." C'est toute l'allĂ©gorie du TroisiĂšme Ă
âuvre oĂÂč les couleurs du paon se succĂšdent Ă l'intĂ©rieur du vase philosophal dans la voie humide, rĂ©alisĂ©e traditionnellement sur un feu de lampe. Quant Ă l'ours, au sanglier, au bĂ©lier, Ă l'ĂÂąne, au loup, au chien et Ă la tortue, le symbolisme en est le mĂÂȘme, puisqu'il rejoint celui du dragon qui concerne directement la Prima Materia ou matiĂšre brute du Grand Ă
âuvre alchimique." Pour en savoir davantage sur la complexitĂ© de ce symbole en alchimie, vous pouvez lire l'article suivant, tirĂ© du site onirique Selon Georges Romey, auteur du Dictionnaire de la Symbolique, le vocabulaire fondamental des rĂÂȘves, Tome 1 couleurs, minĂ©raux, mĂ©taux, vĂ©gĂ©taux, animaux Albin Michel, 1995, Ă Tous les trĂ©sors accumulĂ©s au cours des ĂÂąges de la terre par la nature ou par la main des hommes, par les rĂÂȘves de ceux-lĂ , par leurs imaginations les plus ruisselantes de pierreries, toutes les Ă©toiles de tous les infinis de la rĂÂȘverie, toutes les parures naturelles ou créées par l'homme, tous les reflets de tous les aciers bleus, de toutes les matiĂšres brillantes, tous les yeux, toutes les fleurs colorĂ©es, le paon les porte ĂąâŹâ ou les supporte ĂąâŹâ sur sa queue dĂ©ployĂ©e. Des siĂšcles d'expression littĂ©raire ont dĂ©versĂ© sur ses plumes la charge de tous les trĂ©sors du monde. Et tous les trĂ©sors du monde, mĂÂȘme littĂ©raires, sont un pesant fardeau. Ă» Par ces phrases colorĂ©es s'ouvrait, dans Le Test de l'Arche de NoĂ©, le chapitre concernant le paon. Par elles, nous tentions de rĂ©aliser la synthĂšse de ce que nous avions ressenti au cours de nos recherches parmi les mĂ©taphores inspirĂ©es aux poĂštes par l'oiseau de Junon. A l'instant oĂÂč s'achĂšvent nos investigations relatives Ă ce symbole dans le rĂÂȘve Ă©veillĂ©, comme nous souhaiterions pouvoir nous appuyer sur un matĂ©riau d'une richesse Ă©gale Ă celle dont s'entoure l'oiseau littĂ©raire ! Les faits, cependant, n'exauceront pas un tel vĂ
âu. Le poĂšte ne voit pas le paon il le rĂÂȘve ! Le rĂÂȘveur ne rĂÂȘve pas le paon, il le voit ! La formule paraĂtra facile. Elle propose pourtant l'approche la plus objective de la symbolique de l'oiseau aux cent yeux. Le paon est un centre d'inspiration Ă partir duquel le poĂšte dĂ©ploie les inĂ©puisables mĂ©taphores de la profusion colorĂ©e. L'oiseau rĂÂȘvĂ© ne favorise pas ces envols dans les lumiĂšres multipliĂ©es. Il est un signe douloureux. Il tĂ©moigne d'une aspiration déçue, de l'Ă©chec d'un rĂÂȘve de paraĂtre. La nature symbolique d'une image ne varie pas. Le poĂšte pourra disperser Ă l'infini les joyaux de son inspiration, le rĂÂȘveur pourra se prĂ©server de l'inflation imaginative, il ne s'agira, chez l'un comme chez l'autre, que d'une diffĂ©rence d'attitude. Les projections auxquelles se prĂÂȘte le symbole sont immuables. S'il fallait rĂ©duire l'introduction lyrique de cet article au point de n'en conserver qu'une image, nous garderions les yeux. S'il fallait concentrer les plus belles allĂ©gories inspirĂ©es aux poĂštes par le paon en un seul mot, nous choisirions regard. Nous montrerons plus loin, que l'oiseau, dans les rĂÂȘves, ne prend son plein sens que lorsqu'il accompagne l'aveu d'un regard attendu. Notre projet, consistant Ă ne tenir compte que des observations cliniques pour Ă©tablir les interprĂ©tations d'images, peut supporter quelques dĂ©rives. Le paon incite Ă de si jolies dĂ©rives ! Une trĂšs ancienne tradition chinoise affirme que le regard de l'oiseau est tellement pĂ©nĂ©trant qu'il suffit Ă fĂ©conder une femme. Ovide relate ainsi la victoire de CyllĂšne sur Argus, le veilleur aux cent yeux Ă Argus, tu gis inanimĂ©, toute la lumiĂšre, pour tant de prunelles, s'est Ă©teinte et sur tes cent yeux s'appesantit une mĂÂȘme nuit. La fille de Saturne les recueille et les place sur les plumes de son oiseau... Ă» D'innombrables Ă
âuvres littĂ©raires associent les Ă©toiles, les yeux et les plumes du paon. Une citation de Gaston Bachelard constituera la transition opportune entre les images du poĂšte et les productions oniriques Ă Que de fois, dans nos recherches sur l'imagination, nous avons surpris cette inversion de la beautĂ© contemplĂ©e soudain, c'est ce qui est beau qui regarde... ! Ă» L'admiration pour ce qui est beau contient l'aveu du dĂ©sir d'ĂÂȘtre contemplĂ©. Cette affirmation est une borne qui marque la fin de la route sur laquelle le paon littĂ©raire et le paon du rĂÂȘve cheminaient ensemble. LĂ , leurs chemins se sĂ©parent et, pour l'essentiel, leurs traductions divergent ! Elles se rejoindront, au terme de l'analyse, aprĂšs s'ĂÂȘtre dĂ©ployĂ©es sur des champs bien distincts. Le paon des Ă
âuvres littĂ©raires baigne dans les brillances d'une imagerie superlative qui trahit un narcissisme secrĂštement exaltĂ©. Un narcissisme qui incite le Moi Ă se donner Ă voir les images les plus belles pour avoir le plaisir de se reconnaĂtre en elles. L'esthĂ©tisme, souvent, se fait complice de l'auto-contemplation. Il sera facile de montrer que l'oiseau de Junon, lorsqu'il apparaĂt dans le rĂÂȘve, dirige aussi la traduction vers les valeurs du paraĂtre, mais les images qui l'entourent, loin dĂąâŹâąĂ©difier les dĂ©cors de la magnificence, s'attachent Ă maintenir une atmosphĂšre de sobriĂ©tĂ©, une ambiance un peu triste, mĂÂȘme, par lesquelles s'exprime la navrance d'une attente déçue. Nos recherches dans les deux univers, littĂ©raire et onirique, imposent une constatation. Les Ă
âuvres littĂ©raires peuvent ĂÂȘtre rangĂ©es en deux grandes classes les Ă
âuvres littĂ©raires peuvent ĂÂȘtre rangĂ©es en deux grandes classes les Ă
âuvres inspirĂ©es et les Ă
âuvres raisonnĂ©es. On nous pardonnera cette simplification. Les scĂ©narios de rĂÂȘve Ă©veillĂ© peuvent faire l'objet de la mĂÂȘme classification. Certains rĂÂȘves se dĂ©veloppent trĂšs librement, au fil de l'inspiration, d'autres restent assujettis au contrĂÂŽle mental. Curieusement, le paon littĂ©raire apparaĂt dans les Ă
âuvres inspirĂ©es et le paon onirique dans les scĂ©narios raisonnĂ©s. Le paon rĂÂȘvĂ©, lui aussi, conduit au regard. Un rĂÂȘveur qui voit l'oiseau de Junon est sur le point d'admettre qu'un regard lui a manquĂ©. Le symbole est un auxiliaire insĂ©parable du besoin d'ĂÂȘtre remarquĂ©. La parure du paon rĂÂȘvĂ© est lourde de la souffrance de n'avoir pas Ă©tĂ© vue. Ă ĂąâŹÂŠ Des poules, des canards, tout ça... et puis, lĂ , je vois un paon, qui fait la roue... et un dessin fait par ma mĂšre, avec un paon, une girafe, un Ă©lĂ©phant... plein d'animaux.... [ĂąâŹÂŠ] Maintenant, je revois le bureau du prof de sciences nat... avec un crĂÂąne posĂ© dessus... J'ai le souvenir d'un malaise, Ă l'Ă©cole, en permanence.... le besoin d'ĂÂȘtre remarquĂ© et la peur de l'ĂÂȘtre !... La ligne blanche qui dĂ©limitait la cour des grands et celle des petits... l'obligation de se mettre en rang avant d'entrer... les portemanteaux, tout au long du couloir... c'Ă©tait l'uniformitĂ©... le manque d'identitĂ©... les deux cĂÂŽtĂ©s de la cour d'un cĂÂŽtĂ© les Ă©checs, les humiliations... de l'autre, les rĂ©ussites... un cĂÂŽtĂ© nĂ©gatif et un cĂÂŽtĂ© positif, trĂšs tranchĂ©s... c'est marrant ! Tout un cĂÂŽtĂ© valorisant et un cĂÂŽtĂ© culpabilisant.. je sors, maintenant, du cĂÂŽtĂ© valorisant... Ă» Qu'ils sont loin les ruissellements de pierreries dont s'enorgueillit le paon littĂ©raire ! Ici, le symbole affiche gravement sa liaison avec les valeurs du paraĂtre et de l'ĂÂȘtre, du regard quĂÂȘtĂ© et du regard redoutĂ©. Cette association se fait encore plus explicite dans un scĂ©nario de la cure de William Ă ĂąâŹÂŠ LĂ , c'est drĂÂŽle, je n'ai plus d'image... j'ai vu un cercle rouge avec des lettres dorĂ©es... et puis... plus rien ! Rien qu'une pensĂ©e, qui tourne autour... du paraĂtre !... Le paraĂtre aussi a droit de vie ! Ce qu'il faut c'est ne pas en tirer satisfaction... on ne peut pas laisser qui que ce soit juger sur le paraĂtre mais le refuser c'est aussi... c'est s'amputer de quelque chose... c'est empĂÂȘcher sa rĂ©alisation complĂšte... je fais une association bizarre j'ai eu l'autre jour une attitude un peu obsĂ©quieuse vis-Ă -vis du prĂ©sident. Il m'a dit Ă Votre humilitĂ© est excessive. Ă» Il a raison, je dois corriger ça... [ĂąâŹÂŠ] LĂ , je vois les plumes d'un paon, bleues, avec ce petite centre super-brillant, comme un Ă
âil... je suis trĂšs profond, lĂ ... Ă la lisiĂšre du sommeil... Ă» La corrĂ©lation entre le paon rĂÂȘvĂ© et les valeurs d'apparence s'exprime ainsi, clairement, dans 70% des scĂ©narios pris en rĂ©fĂ©rence. Un homme de cinquante-cinq ans, qui a perdu sa mĂšre lorsqu'il avait dix-huit mis, expose, sans en ĂÂȘtre conscient, en quelques images, sa quĂÂȘte douloureuse d'un regard de mĂšre Ă ĂąâŹÂŠ Je vois, lĂ , une sorte d'enclume qui se met Ă tourner sur elle-mĂÂȘme, comme un tourbillon... elle est le lieu de colorations diverses... cela Ă©voque les plumes du paon, mouchetĂ©es... y a du rouge, du bleu foncĂ©, du gris... et... c'est bizarre, une sorciĂšre traverse cet endroit... elle est en robe marron... elle passe sans faire attention Ă moi... et, maintenant, je suis dans un cimetiĂšre... je cherche quelque chose.. je ne sais pas quoi... Ă» Dans l'article consacrĂ© au marron, nous montrons que cette couleur exprime une altĂ©ration de la relation positive l'image maternelle. La sorciĂšre vĂÂȘtue de marron ne peut ĂÂȘtre que la mĂšre dont la disparition fut, pour l'enfant, synonyme d'abandon. Sans faire attention Ă moi ! La plante fait Ă©cho au malaise d'Alain, le besoin d'ĂÂȘtre remarquĂ© et la peur de l'ĂÂȘtre. On retiendra cette ambivalence, qui s'amplifie lorsqu'on la mesure Ă l'Ă©chelle de l'histoire des civilisations. La survie de l'individu, dans le cadre de la vie sauvage, dĂ©pend de son aptitude Ă passer inaperçu. Son Ă©panouissement, dans la sociĂ©tĂ©, tend Ă dĂ©pendre, de plus en plus, de sa capacitĂ© Ă se faire remarquer ! Ăâ°trange renversement ! ĂĆ tre c'est devenir. Devant l'image du paon, cette proposition, par laquelle je rĂ©sume l'efficience Ă©volutive, se brise sur la formule de George Berkeley Ă ĂĆ tre, c'est ĂÂȘtre perçu. Ă» Devenir, c'est vivre l'ĂÂȘtre jusqu'en ses renoncements et ses oublis. Comment pourrait-on renoncer, quand le Moi reste Ă l'ancrage de frustrations lamentables ? Ne sera jamais vraiment vu que celui ou celle dont l'ĂÂȘtre ne dĂ©pend plus d'un regard extĂ©rieur. Le narcissisme, aprĂšs tout, n'est peut-ĂÂȘtre qu'une rĂ©ponse dĂ©sespĂ©rĂ©e au besoin insatisfait d'ĂÂȘtre regardĂ© ! Alors le paon rĂÂȘvĂ© rejoint le paon des poĂštes.* L'oiseau de Junon, dans le rĂÂȘve Ă©veillĂ©, intervient lorsque l'imaginaire engage le patient dans une dialectique du paraĂtre et de l'ĂÂȘtre qui ne pouvait se dĂ©velopper avant la prise de conscience de la privation. On s'Ă©tonnerait lĂ©gitimement si nous ne faisons aucune mention concernant le paon de l'imagerie alchimique. La cauda pavonis ou queue de paon symbolisait, pour celle-lĂ , l'avant-dernier stade de la rĂ©alisation de l'Ă
âuvre. Elle Ă©tait l'exposition simultanĂ©e de toutes les couleurs, prĂ©cĂ©dant leur intĂ©gration dans le lapis, la pierre blanche. Nous n'avons pas recueilli d'images oniriques qui autoriseraient un rapprochement avec celles de l'alchimie, si l'on excepte, bien entendu, la commune Ă©numĂ©ration des couleurs. La teinte dominante de l'oiseau de Junon, dans les rĂÂȘves est le bleu. Le poĂšte qui s'Ă©tourdit dans la fĂ©erie colorĂ©e, le patient qui gravement des images pesantes, rĂ©vĂšlent l'un et l'autre, Ă travers l'Ă©vocation du paon, ce que leur a coĂ»tĂ© l'absence d'un regard. Le praticien qui recueille le symbole, en observant les contenus du scĂ©nario, mettra trĂšs vite une personne autour de ces yeux-lĂ . Le paon apporte l'unique antidote du besoin d'ĂÂȘtre vu l'ouverture de lĂąâŹâąĂ
âil intĂ©rieur. Ici, le psychologue a rejoint l'alchimiste ! **Oracle Carte extraite du Tarot persan de madame Indira, le paon fait partie des arcanes majeures. Voici l'interprĂ©tation qu'en donne le site "Le paon est un oiseau originaire dĂąâŹâąAsie. Il est connu pour ses couleurs brillantes et sa queue magnifique quĂąâŹâąil peut dĂ©ployer en forme de roue solaire. D'aprĂšs la mythologie grecque, les Ă yeux Ă» visibles sur la queue du paon y furent placĂ©s par HĂ©ra pour commĂ©morer son fidĂšle gardien, Argos, qui avait cent yeux. Il est considĂ©rĂ© et respectĂ© par les uns qui lui accordent le pouvoir du Ă troisiĂšme Ă
âil Ă» et craint par les autres qui voient en lui Ă le mauvais Ă
âil Ă»." Carte extraite du Grand Tarot impĂ©rial dont le site propose la signification suivante "Symbole de rĂ©surrection et de bonne vitalitĂ©, cet arcane promet un renouveau dans les domaines concernĂ©s ou sur le thĂšme de la question. Un renouveau qui peut sĂąâŹâąeffectuer par le biais dĂąâŹâąautrui. Le consultant va enfin aller de lĂąâŹâąavant, ne sera plus freinĂ© par le passĂ© ou la nostalgie qui le tiraillait derniĂšrement. CĂÂŽtĂ© vitalitĂ©, un mieux important est Ă noter. Vous vous ressentez revivre, une seconde jeunesse sĂąâŹâąoffre Ă vousĂąâŹÂŠ."**LittĂ©rature Le Geai parĂ© des plumes du paonUn paon muait un geai prit son plumage ; Puis aprĂšs se l'accommoda ; Puis parmi d'autres paons tout fier se pavana, Croyant ĂÂȘtre un beau personnage. Quelqu'un le reconnut il se vit bafouĂ©, BernĂ©, sifflĂ©, moquĂ©, jouĂ© Et par messieurs les paons plumĂ© d'Ă©trange sorte ; MĂÂȘme vers ses pareils s'Ă©tant rĂ©fugiĂ©, Il fut par eux mis Ă la porte. Il est assez de geais Ă deux pieds comme lui, Qui se parent souvent des dĂ©pouilles d'autrui, Et que l'on nomme plagiaires. Je m'en tais, et ne veux leur causer nul ennui Ce ne sont pas lĂ mes de La Fontaine, Fables, Livre IV, 9, 1668. Le Paon se plaignant Ă JunonLe paon se plaignait Ă DĂ©esse, disait-il, ce n'est pas sans raison Que je me plains, que je murmure Le chant dont vous m'avez fait don DĂ©plaĂt Ă toute la nature ; Au lieu qu'un rossignol, chĂ©tive crĂ©ature, Forme des sons aussi doux qu'Ă©clatants, Est lui seul l'honneur du printemps. Junon rĂ©pondit en colĂšre Ă Oiseau jaloux, et qui devrais te taire, Est-ce Ă toi d'envier la voix du rossignol, Toi que l'on voit porter Ă l'entour de ton col Un arc-en-ciel nuĂ© de cent sortes de soies, Qui te panades, qui dĂ©ploies Une si riche queue, et qui semble Ă nos yeux La boutique d'un lapidaire ? Est-il quelque oiseau sous les cieux Plus que toi capable de plaire ? Tout animal n'a pas toutes propriĂ©tĂ©s. Nous vous avons donnĂ© diverses qualitĂ©s Les uns ont la grandeur et la force en partage ; Le faucon est lĂ©ger, l'aigle plein de courage ; Le corbeau sert pour le prĂ©sage ; La corneille avertit des malheurs Ă venir; Tous sont contents de leur ramage. Cesse donc de te plaindre ; ou bien, pour te punir, Je t'ĂÂŽterai ton de La Fontaine, Fables, Livre II, 17, Paon, la Colombe et le RossignolLes avantages extĂ©rieurs ne sont rien, en comparaison de ceux du cĂ
âur et de lĂąâŹâą cher Ă Junon, roi dĂąâŹâąune basse-cour, SĂąâŹâąy pavanait tout Ă son aise, Se contemplant, plein dĂąâŹâąorgueil et dĂąâŹâąamour. Pigeons, poulets, dindons, peuple, par parenthĂšse, Non moins stupide que ce roi, Il voyait tout dans lĂąâŹâąesclavage Recevoir humblement sa loi ; Tous, les regards fixĂ©s sur son brillant plumage, Lui payaient un constant hommage. Quand tout Ă coup le chantre ailĂ© des bois, Ăâ°garĂ© loin de son bocage, Vint prĂšs de lĂ chercher un peu dĂąâŹâąombrage. Notre Paon dĂ©daigneux lui cria dĂąâŹâąune voix Qui faillit effrayer lĂąâŹâąaimable solitaire ĂąâŹâ Pauvre petit, dans mes Ă©tats, Je veux bien tĂąâŹâąaccorder un abri tutĂ©laire. Ah ! que je te plains ! tu nĂąâŹâąas pas De quoi bĂ©nir la nature ta mĂšre. Pourquoi te mettre sur la terre Si faible, si pauvre, si laid ? Un bout de mon aigrette, un brin de mon plumage, Le plus menu de mon duvet EĂ»t de magnificence ornĂ© tout ton corsage ; TĂąâŹâąeĂ»t chargĂ© dĂąâŹâąun manteau pompeux. Le Rossignol lui dit ĂąâŹâ JĂąâŹâąadmire lĂąâŹâąopulence Dont vous ont fait prĂ©sent les Cieux. Si vous en ĂÂȘtes digne, eh bien ! rĂ©gnez, tant mieux! Je ne cherche point la puissance ; Moins on est, plus on est heureux. ĂąâŹâ Une Colombe, sous lĂąâŹâąombrage, Avait tout Ă©coutĂ©, dans son simple ramage, Elle voulut de ce Paon orgueilleux Corriger le sot verbiage. ĂąâŹâ Paon, dit-elle, cĂąâŹâąest vrai, votre habit est fort beau ; Mais lĂąâŹâąhabit fait-il le mĂ©rite ? Quand vous chantez, on vous Ă©vite, Et lĂąâŹâąon dit tout bas Le fourreau Est pompeux ; mais il cache un pauvre personnage. Lorsque mon jeune ami chante au fond du bocage, Tous les habitants du hameau PrĂÂȘtent lĂąâŹâąoreille Ă son ramage. Durant la nuit, pour en jouir, Tout se plonge dans le silence Le lion cesse de rugir, LĂąâŹâąautan retient sa violence, La lune mĂÂȘme qui sĂąâŹâąavance Sur son char parsemĂ© de feux, Semble sĂąâŹâąarrĂÂȘter dans les cieux Et goĂ»ter la vive cadence De ses transports harmonieux. Jouissez de votre plumage, Beau sire, il nĂąâŹâąen est point jaloux ; Mais la nature, en apanage, En lui donnant un chant si doux, LĂąâŹâąa partagĂ© plus noblement que et beautĂ© sont pour la crĂ©ature Des prĂ©sents qui viennent des Cieux ; Mais le talent, une ĂÂąme sage et pure, Un bon cĂ
âur, nous parent bien Louis-Maximilien Duru, Ă Le Paon, la Colombe et le Rossignol Ă», Fables nouvelles, ou Leçons dĂąâŹâąun maĂtre Ă ses Ă©lĂšves, 1855.**Dans ses Histoires naturelles 1894, Jules renard propose une galerie de portraits animaliers saisissants Le paon Il va sĂ»rement se marier aujourdĂąâŹâąhui. Ce devait ĂÂȘtre pour hier. En habit de gala, il Ă©tait prĂÂȘt. Il nĂąâŹâąattendait que sa fiancĂ©e. Elle nĂąâŹâąest pas venue. Elle ne peut tarder. Glorieux, il se promĂšne avec une allure de prince indien et porte sur lui les riches prĂ©sents dĂąâŹâąusage. LĂąâŹâąamour avive lĂąâŹâąĂ©clat de ses couleurs et son aigrette tremble comme une lyre. La fiancĂ©e nĂąâŹâąarrive pas. Il monte au haut du toit et regarde du cĂÂŽtĂ© du soleil. Il jette son cri diabolique LĂ©on ! LĂ©on !CĂąâŹâąest ainsi quĂąâŹâąil appelle sa fiancĂ©e. Il ne voit rien venir et personne ne rĂ©pond. Les volailles habituĂ©es ne lĂšvent mĂÂȘme point la tĂÂȘte. Elles sont lasses de lĂąâŹâąadmirer. Il redescend dans la cour, si sĂ»r dĂąâŹâąĂÂȘtre beau quĂąâŹâąil est incapable de rancune. Son mariage sera pour demain. Et, ne sachant que faire du reste de la journĂ©e, il se dirige vers le perron. Il gravit les marches, comme des marches de temple, dĂąâŹâąun pas officiel. Il relĂšve sa robe Ă queue toute lourde des yeux qui nĂąâŹâąont pu se dĂ©tacher dĂąâŹâąelle. Il rĂ©pĂšte une derniĂšre fois la cĂ©rĂ©monie. ** Nicolas Bouvier dans son rĂ©cit de voyage intitulĂ© Le Poisson-Scorpion Co-Ăâ°ditions Bertil Galland et Gallimard, 1982 ; Ăâ°ditions Gallimard, 1996 livre sa vision particuliĂšre du paon "La nuit Ă©tait royale ; la mer Ă©tale et silencieuse. A quelques pas de moi, perchĂ© sur l'angle de la balustrade, un paon dormait la tĂÂȘte sous l'aile. De temps en temps un frisson parcourait son plumage de la tĂÂȘte aux ocelles comme s'il Ă©tait aux prises avec un mauvais rĂÂȘve. Dans mon dos, la chambrĂ©e Ă©tait plus bruyante qu'une voliĂšre. [ĂąâŹÂŠ] Je battais un peu la campagne Ă me demander ce que je pouvais bien faire ici. Ce paon aussi, je le regardais, flairant je ne sais quelle supercherie. MalgrĂ© sa roue et son cri intolĂ©rable, le paon n'a aucune rĂ©alitĂ©. PlutĂÂŽt qu'un animal, c'est un motif inventĂ© par la miniature mogole et repris par les dĂ©corateurs 1900. MĂÂȘme Ă l'Ă©tat sauvage ĂąâŹâ j'en avais vu des troupes entiĂšres sur les routes du Dekkan ĂąâŹâ il n'est pas crĂ©dible. Son vol lourd et rasant est un dĂ©sastre. On a toujours l'impression qu'il est sur le point de s'empaler. A plein rĂ©gime il s'Ă©lĂšve Ă peine Ă hauteur de poitrine comme s'il ne pouvait pas quitter cette nature dans laquelle il s'est fourvoyĂ©. On sent bien que sa vĂ©ritable destinĂ©e est de couronner des pĂÂątĂ©s gĂ©ants d'oĂÂč s'Ă©chappent des nains joueurs de vielle, en bonnets Ă grelots. Je mourrai sans comprendre que LinnĂ© l'ait admis dans sa classification..."**
demain nous appartient en avance 958