đŸȘ” Demain Nous Appartient En Avance 958

4 958) En ligne | (47 475) En ligne 24h | Cherche Femme | Cherche Homme | Nouveaux | Recherche avancĂ©e. Recherche Âge: À Pays: RĂ©gion/Province: RĂ©gion/Province: Mise Ă  jour du formulaire Femme cĂ©libataire Lassy CĂ©libataire Lassy | Homme cĂ©libataire Lassy PLUME44400, 66 ans Reze, Pays de la Loire 8 photos . Une belle histoire-femme cĂ©libataire de 66 ans cherche DansDemain nous appartient, Olivier compte faire chanter Sacha. Judith s'agace de voir Souleymane prendre ses distances. Hadrien fait le buzz Ă  la paillote. Quelquesminutes plus tard, Flore s'exĂ©cute donc et propose Ă  Arnaud de l'Ă©pouser. Jeanne et Robin reviennent au mas. En effet, un spĂ©cialiste l’a aidĂ©e Ă  dĂ©couvrir Ă  qui appartient la chevaliĂšre retrouvĂ©e chez Franck ! Elle reconnaĂźt avoir postĂ© des photos de Victoire Lazzari sur le site “trashe ta blonde”. Alex part en bataille, il ne veut pas tout perdre lors du divorce Voiren replay et en streaming Demain nous appartient - 1026. Episode 1026 - Episode 1026 - Victoire se montre de plus en plus imprĂ©visible. Georges - Orange . Toutes les chaĂźnes CinĂ©ma Divertissement SĂ©ries et fictions Jeunesse Documentaires Info / Mag Sport Musique Plus. Toutes les chaĂźnes CinĂ©ma Divertissement SĂ©ries et fictions Jeunesse Demain nous appartient » en avance du 02 septembre 2021 : Mona est Ă©lĂšve au lycĂ©e AgnĂšs Varda, ClĂ©ment sait des choses sur Bart (RĂ©sumĂ© et Spoilers Ă©pisode 1005) #DemainNousAppartient #Spoilers Dansle cadre de la loi de finances initiale pour 2020, l'AssemblĂ©e nationale et le SĂ©nat ont votĂ© la mise Ă  niveau du tarif des droits d'accise sur le gazole non routier ( GNR ). Cette mesure devait s'appliquer en 2021, mais le retour Ă  un tarif normal a Ă©tĂ© renvoyĂ© Ă  2022, puis Ă  2023. Demainnous appartient saison 4 Ă©pisode 252 : Épisode 958 : La chute #12 - VidĂ©os, acteurs, rĂ©sumĂ©, notes, commentaires, audiences, courbe des moyennes, citations Les avantages du compte Donnez votre avis et commentez Devenez contributeur CrĂ©ez et gĂ©rez votre sĂ©riethĂšque Et bien plus. RĂ©serverTUI BLUE Cabo Verde, Santa Maria sur Tripadvisor : consultez les 1 835 avis de voyageurs, 2 788 photos, et les meilleures offres pour TUI BLUE Cabo Verde, classĂ© n°5 sur 28 hĂŽtels Ă  Santa Maria et notĂ© 4,5 sur 5 sur Tripadvisor. Demainnous appartient : Mercredi 30, Ă  18h30 Ă©pisode 958 : La police a une piste concernant Vinciane Allard, une ancienne maĂźtresse de Sacha. Olivier est prĂȘt Ă  tout pour apaiser les Demainnous appartient # 4 252: Episode 958. La police a une piste concernant Vinciane Allard, une ancienne maĂźtresse de Sacha. Olivier est prĂȘt Ă  tout pour apaiser les souffrances de sa fille, quitte Ă  prendre des risques inconsidĂ©rĂ©s. Hadrien s’improvise barman Ă  La paillotte, contre l’avis de Tristan. Judith et Noa se rapprochent. PopularitĂ©. 5 - 1 vote. PremiĂšre diffusion en rĂ©sumĂ© Ă©pisode 958 en avance) Plus belle la vie spoiler : Emma prĂȘte Ă  dĂ©noncer Justine (vidĂ©o PBLV Ă©pisode n°4605) Les 12 coups de midi : StĂ©phane dĂ©croche l’étoile mystĂ©rieuse (indices expliquĂ©s) Demain nous appartient spoiler : le dĂ©part de Samuel (vidĂ©o Ă©pisode du 26 aoĂ»t) LesĂ©pisodes d’Ici tout commence et Demain nous appartient sont Ă©galement disponibles en avant-premiĂšre sur la plateforme Salto, avec 48h d’avance. C.S Les derniĂšres news tĂ©lĂ© Les32 jours de Besson Besson menteur : "En personnes ont Ă©tĂ© interpelĂ©es pour des faits d'aide illicite Ă  l'entrĂ©e et au sĂ©jour d'immigrĂ©s en situation irrĂ©guliĂšre. Nous vous demandons de viser un objectif de 5000 pour l'annĂ©e 2009." (Extrait de la lettre de mission adressĂ©e Ă  Eric Besson - Ă  tĂ©lĂ©charger ici) De l'usage des "cojones" en politique. PlayRTS vous permet de visionner ou d'Ă©couter de nombreuses Ă©missions tv ou radio, quand et aussi souvent que vous le souhaitez. Cetarticle prend appui sur une ingĂ©nierie Ă©valuative courte que nous avons dĂ©veloppĂ©e puis testĂ©e auprĂšs d’élĂšves. ConsacrĂ©e Ă  la lecture en fin de cours prĂ©paratoire, l’ingĂ©nierie s’inscrit dans le cadre des approches psycho-didactiques des Ă©valuations (APDE). Il s’agit d’approches qualitatives dont la spĂ©cificitĂ© est de prendre comme point de dĂ©part les q2FC. PoĂšme sur la paix dans le monde. Il compte 3087 vers et 1037 auteurs diffĂ©rents de partout dans le monde, dont RaĂŽul Duguay, y ont contribuĂ©. 1- La PAIX dans notre monde, est un RÊVE qui s’éveille ; 2- Il s’étire, il respire, sourit et s’émerveille, 3- Regarde par sa fenĂȘtre Bonheur et PauvretĂ©, 4- Amour et Solitude, MisĂšre et AmitiĂ©. 5- Pourquoi tant de souffrances ? Pourquoi tant d’injustices ? 6- Quand on peut s’entraider en devenant complices 7- Des Sourires de la Vie, des Caresses enjouĂ©es 8- OĂč s’évaporent la haine, et la rivalitĂ©. 9- Mais, pourquoi ce beau RÊVE s’est-il donc envolĂ© ? 10- Était-ce trop pernicieux pour lui que de rester ? 11- N’affichions-nous pas de la crĂ©dibilitĂ© ? 12- La dĂ©ception l’a dĂ©fait, l’a empoisonnĂ©. 13- À tout prix, nous devons reconquĂ©rir ce RÊVE. 14- Pour qu’il soit prĂ©sent bien plus qu’une minute brĂšve. 15- Et enfin vivre en Symbiose avec l’Amour. 16- Reviens PAIX ! Fais de nous des Êtres dignes de toi 17- Rends-nous heureux, fabuleux et remplis de Joie 18- Nous sommes nombreux Ă  porter la lourdeur 19- De la haine et l’envie qui donne mal au coeur 20- RĂ©sistons au goĂ»t de la vengeance qui nous habite 21- Quand Ă  notre porte la violence s’agite 22- Visionner dans sa tĂȘte un RÊVE si magnifique 23- C’est semer l’Espoir, vibrer en Harmonique. 24- Simple Ă  dire, tellement complexe Ă  rĂ©aliser! 25- La RĂ©alitĂ© nous fait voir tant d’iniquitĂ©s. 26- La derniĂšre chose Ă  faire
 sĂ»rement d’abdiquer. 27- Et si on commençait d’abord par s’engager. 28- Si on osait prendre nos ResponsabilitĂ©s. 29- De lĂąches, d’indiffĂ©rents, on ne pourrait ĂȘtre taxĂ©s. 30- Assumons-nous, faisons de la PAIX notre panacĂ©e 31- Serrons-nous fort pour que l’Amour nous envahisse. 32- Semons le Bonheur sur cette Terre pour qu’il grandisse. 33- Les Yeux d’Enfants ne devraient pas voir toutes ces guerres. 34- Pas plus que ceux des grands qui ne savent qu’en faire. 35- Ne pas faire la guerre, ça ne servira Ă  rien. 36- L’Amour, la Joie et le Bonheur c’est vraiment bien. 37- La guerre sanglante ne changera rien aux VĂ©ritĂ©s. 38- Faire la PAIX, c’est semer l’Amour et l’AmitiĂ©. 39- DĂ©ployez votre coeur, n’ayez surtout pas peur. 40- Montrez tous vos Sentiments et votre grand Coeur. 41- Enterrez la hache de guerre et aimez-vous. 42- Si vous aimez la guerre, vous ĂȘtes vraiment des fous. 43- Pourquoi si on a la CapacitĂ© d’Amour, 44- On ne se sert pas de ce beau Talent toujours ? 45- Pour ces jours que logeront nos Vies dĂ©sormais 46- Avec leurs Joies, leurs inĂ©vitables tourments 47- Pour ce possible Destin s’abreuvant de PAIX 48- J’aime le plus possible et je souris, hĂ©sitant 49- À chaque pas fragile que le conquĂ©rant fait 50- Alors qu’il trĂ©buche dans la haine si facilement 51- Il nous faut tous les jours chanter, rire et danser 52- Donner le Soleil de nos yeux aux mal-aimĂ©s 53- Un Partage spontanĂ©, gratuit et si volage 54- Que les Coeurs tristes chĂ©riront cette belle Image 55- Avons-nous perdu le Sentier de l’Innocence 56- Pour que nos RÊVES se trouvent prisonniers de l’absence 57- Laisserons-nous nos Voix Ă©teintes pour l’instant 58- Car l’Imagination nous habite pourtant 59- L’Amour, la PAIX et l’AmitiĂ©, c’est bon pour nous. 60- La guerre et l’injustice, ce n’est pas bon pour tous. 61- Ne faites pas la guerre, parlez-vous pour notre Bonheur. 62- Ne faites pas la guerre, mais vivez avec votre Coeur. 63- La PAIX aide contre la guerre, mais la guerre rĂ©plique 64- On veut toujours la PAIX, mais la guerre met des piques 65- La PAIX dans le Monde, c’est mon RÊVE le plus cher. 66- Pourquoi ne pas arrĂȘter la guerre sur la Terre ? 67-Tuez si vous voulez, mais on va vous arrĂȘter. 68- Cessez de tuer et vous serez rĂ©compensĂ©s. 69- Vivez en PAIX, en Amour et en AmitiĂ©. 70- Vivez en sĂ©curitĂ© et bien protĂ©gĂ©s. 71- Sur la Terre, vivons tous en PAIX et en FiertĂ©. 72- Vivons tous ensemble avec joie et sĂ»retĂ©. 73- Pourquoi sur ce Monde, il y a beaucoup de guerres ? 74- Pourquoi la guerre et la souffrance sur cette belle Terre ? 75- J’aperçois au loin un nuage de dĂ©sespoir. 76- Faites la PAIX, comme ça personne ne pourra le voir. 77- Soyons en PAIX, en Harmonie et non vulgaire. 78- Sur la Terre, pourquoi il n’y a que la guerre ? 79- Dieu nous a créés pour la Paix et l’Harmonie. 80- Ne faites pas la guerre, devenez des bons Amis 81- ArrĂȘtez la guerre, aimez-vous s’il vous plait. 82- ArrĂȘtez la guerre et goĂ»tez au Pain de PAIX. 83- Pourquoi sur la Terre, la guerre continue encore ? 84- Pourquoi sur la Terre, les enfants vivent tant de morts ? 85- Sous une bonne Étoile, il y a beaucoup de PAIX. 86- Quand la guerre sera finie, nous serons en PAIX. 87- Pourquoi ne pas s’aimer autant sur notre Terre ? 88- C’est si beau la PAIX dans une belle annĂ©e scolaire. 89- Les bagarres ne sont pas souhaitĂ©es, les Paroles, oui. 90- Les Mots sont idĂ©aux pour rĂ©gler les conflits. 91- Les gens prĂ©fĂšrent la PAIX, mais la guerre continue. 92- La guerre en Afghanistan n’est pas bien, elle tue. 93- Au lieu de crier, voler et de faire du tort, 94- Parlez-vous, aidez-vous, allez jouer dehors. 95- La PAIX ça commence par battre dans le Coeur. 96- Ça insuffle Ă  la Vie un goĂ»t de grand Bonheur 97- Si tout le Monde s’aime, on sera bien mieux. 98- Faites la PAIX, pas la guerre pour l’Amour de Dieu 99- La PAIX! Quel beau Mot rempli de Messages d’Espoir! 100- À quoi ça nous sert de toujours broyer du noir ? 101- Car vivre dans l’Amour, c’est l’Essence de la Vie. 102- Et la Vie est faite pour vivre en Harmonie! 103- Quoi de mieux Ă  vivre qu’une Vie en Amour ? 104- Rien, sinon, mieux chĂ©rir la PAIX Ă  tous les jours. 105- Si elle ne revient pas, un Amour disparaĂźtra 106- Alors plus de toi, seulement du moi voilĂ  107- Et de notre Ă©goĂŻsme, de cela naĂźtra 108- Un Hymne final, un Hymne au trĂ©pas. 109- ArrĂȘtez les guerres avant qu’il ne soit trop tard, 110- ArrĂȘtez avant que la PAIX soit dĂ©jĂ  dans l’histoire, 111- Et qu’elle ne revienne plus sur cette Terre sans pitiĂ©, 112- OĂč les hommes haĂŻssent, oĂč ils ne savent pas Aimer. 113- La PAIX, c’est deux Hommes qui se serrent la main 114- Un jour tout le Monde sera uni
 demain ? 115- L’Enfant s’épanouit, Embryon d’un jour, 116- Commencement de la Vie, Espoir de grand Amour. 117- La PAIX c’est la Famille, Partage de bon Pain 118- OĂč jaillit l’Émerveillement dans l’Esprit Divin. 119- L’Essentiel est dans la Parole et dans le Geste 120- Lever un Regard, MajestĂ© des montagnes 121- Ficeler son AmitiĂ© au grĂ© des campagnes 122- Libres dans un Vent oĂč la PAIX se manifeste. 123- Le grand voile lumineux de la PoĂ©sie 124- Est le TĂ©moin de notre besoin d’Harmonie 125- Il est le Souffle qui nous protĂšge, nous libĂšre 126- Et qui nous pousse Ă  croire en un Monde sans guerre. 127- Si nous nous entraidons, nous rĂ©ussirons enfin. 128- Si on croit en la PAIX, nous irons trĂšs trĂšs loin, 129- Nous aurons un Monde sans guerre pour de bon
 130- Et pour toujours, Ensemble, nous sourirons. 131- Comme on serait bien si le Monde Ă©tait Parfait 132- Et que pour toujours nous vivions dans la PAIX 133- Pour que la Vie ne soit que de bons Moments, 134- Une Ronde de toutes Races, toutes couleurs 135- Se tenant par la main, ce serait le Bonheur. 136- Si on veut l’AmitiĂ©, il faut la rĂ©vĂ©ler. 137- Si on fait la bataille, la Jeunesse va payer. 138- ArrĂȘtez l’injustice, arrĂȘtez de dĂ©truire, 139- Les Enfants veulent aimer, les Enfants veulent rire. 140- Ils devront s’ingĂ©nier, s’aider les uns les autres 141- Pour qu’un jour, de la PAIX, ils soient tous les apĂŽtres. 142- Sur notre belle Terre, pour tous les habitants, 143- Qu’ils soient catholiques, luthĂ©riens ou musulmans, 144- Nous voulons qu’ils soient fiers de leur Comportement. 145- Souhaitons que les Enfants influencent leurs parents. 146- Je fais cette PriĂšre d’une Vie impeccable, 147- Pour Ă©viter la guerre, soyons irrĂ©prochables. 148- Que la LumiĂšre sur cette belle Terre, coule enfin Librement 149- Tant d’Amour dans nos Coeurs Ă  dĂ©verser sans jugement. 150- La PAIX est toujours possible si nous voulons vraiment. 151- Pourquoi continuer Ă  faire souffrir notre prochain 152- Alors que c’est notre Monde que nous blessons de nos mains ? 153- Peut-ĂȘtre est-ce lĂ  notre Nature profonde
 154- Et bien, osons des activitĂ©s plus fĂ©condes! 155- À la guerre comme Ă  la guerre nous mourrons 156- D’avoir tenu la PAIX tout fiers Ă  bout de bras 157- Comme pas un jour naĂźt sans LumiĂšre Ă  fond 158- Au puits aprĂšs son tour quotidien dans mes bras. 159- Comme la Vie sur Terre est curieusement bĂątie 160- Le CerbĂšre nous punit lorsqu’on fait conflit 161- Prenons notre palot pour chercher l’Harmonie. 162- Creusons plus creux pour trouver la ClĂ© de la Vie. 163- Pour faire la PAIX il faut s’entraider les uns les autres 164- Un monde de PAIX, ce serait une vraie Merveille. 165- Une bonne Vie, c’est une suite de Bonheurs 166- Allons vers la PAIX et oublions nos peurs. 167- Que la peur se transforme en Coeur de Bonheur. 168- Que la diffĂ©rence qui sĂ©pare nos Peuples qui s’inquiĂštent 169- Devienne un Enrichissement pour chaque Être de cette PlanĂšte, 170- La violence dĂ©vore mes FrĂšres et Soeurs dans des pays lointains 171- HĂ©las, trop court est mon bras et trop petite est ma main 172- Qui donc leur portera la PAIX tant attendue ? 173- Mon Amie, mon FrĂšre, la PAIX commence ici, Ă  ta table, dans ta rue. 174- Que la diffĂ©rence, les pleurs, la violence, la douleur 175- Soient remplacĂ©s par l’Éternel Bonheur. 176- Que tout le monde ne fasse qu’un, que l’Amour surgisse, 177- Qu’il soit la Vie, que nos Coeurs, de Bonheur se remplissent. 178- J’ai un RĂȘve, qui pour beaucoup de personnes est le mĂȘme, 179- Je rĂȘve d’une Existence oĂč tout le monde s’aime. 180- C’est le RĂȘve de plusieurs, Ce que chacun Ă©crit le prouve ici , 181- C’est pour cela que nous Ă©crivons ce poĂšme infini, 182- C’est la Communication, la PAIX dans le Monde, 183- C’est vraiment important, la PAIX dans le Monde, 184- Ce n’est pas difficile faire la PAIX dans le Monde. 185- La PAIX de notre pays est nĂ©e un jour 186- Mais est-ce que nous allons l’avoir pour toujours ? 187- Respectez la belle Nature et les Animaux, 188- Les Fleurs, les Roses, les Chats, les Chiens et les Oiseaux. 189- Il ne faut pas faire la guerre, car ça coĂ»te cher. 190- Il faut faire la PAIX, car on est tous de bons FrĂšres. 191- Faites, chacun en soi, ce chemin d’ÉternitĂ©. 192- Faites, chacun en soi, ce chemin de LibertĂ©. 193- Regarde la violence et devient Sage. 194- Tu changeras le Monde rempli de rage. 195- Faisons la PAIX pour vivre en SĂ©curitĂ© 196- PlutĂŽt que la guerre, la souffrance, la pauvretĂ©! 197- La guerre et la pollution, il faut arrĂȘter 198- Mais la PAIX et l’Amour, il faut prĂ©server. 199- Il fait doux au Jardin et tu grattes la Terre 200- Parmi les bruits de guerre quels grains vas-tu semer ? 201- Il fait doux au Verger et tu traites les Arbres 202- Comme si le bruit des armes ne peut te dĂ©ranger. 203- Il fait doux aux Tilleurs et je bĂ©nis la Terre 204- Pour que les faits de guerre ne touchent pas un seul. 205- Sans avoir Ă  nous soucier de ce que sera demain, 206- Sur les innombrables Sillons de notre Terre-MĂšre 207- Gravons des Odes immortelles Ă  l’Amour sans chimĂšres. 208- Entendez-vous retentir les Cloches de la LibertĂ©? 209- Entendez-vous rĂ©sonner le canon de la DĂ©livrance? 210- Je vous dĂ©clare Hommes du Monde entier Libres d’aimer. 211- La Terre sans guerre c’est une Terre en PAIX. 212- Ce Monde serait Unique, Pur et Parfait. 213- Les conflits ne se produiraient jamais 214- Car ce Monde serait toujours en PAIX. 215- Il faut Aimer pour ne pas nous ruiner. 216- Le Monde n’est pas fait pour la guerre. 217- L’Amour est plutĂŽt la Solution de notre Ăšre. 218- Il faut aussi prĂ©server l’éternitĂ© du Monde entier. 219- N’oublie pas de partager la Gentillesse avec la pauvretĂ©!!! 220- La PAIX est ce qu’il y a de plus beau 221- Dans le Monde des Humains et des Animaux. 222- Alors faites la PAIX et enrayons la guerre Ă  jamais! 223- Car la guerre et la rage ne servent Ă  rien! 224- Puis l’Amour et la PAIX c’est bien. 225- Plus jamais de guerre ni d’armes sur la Terre 226- Faisons la PAIX, non la guerre partout sur Terre 227- Moins de Monde malheureux dans chaque Famille 228- Ne plus lancer, ni missiles, ni escadrilles. 229- La PAIX c’est un Oiseau qui chante au bord de l’eau. 230- Moins de gens malheureux, plus de guerre de feu 231- GrĂące Ă  la PAIX, ce sera la Vie sans sanglots. 232- ArrĂȘtez d’exploiter les Enfants malheureux. 233- Avec la PAIX, nous pourrons survivre sans peur 234- En Ă©coutant la mer, je pense au Bonheur. 235- En cette nouvelle Ère, plus jamais de guerre! 236- Si les pays sont unis, que des Fleurs sur la Terre! 237- Pourquoi faire la guerre sur ces Terres appauvries ? 238- Seulement pour faire du territoire et du profit ? 239- Pour que l’Irak ne soit qu’anĂ©anti ? 240- 
Et cet Espoir ne serait qu’affaibli. 241- Quel est l’Esprit logique? Ou plutĂŽt quel sophiste! 242- Des morts, par idĂ©al, sont portĂ©s dans la liste, 243- Des Âmes Ă©levĂ©es tombĂ©es dans un combat; 244- Des Sages n’y sont pas, pourtant idĂ©alistes, 245- Qui n’aimaient que le vin, l’Amour et le tabac. 246- Il n’est pas Ă©tonnant, depuis des temps mythiques, 247- Que des guerres sont nĂ©es de petits diffĂ©rends 248- Car cette lutte Ă  grande Ă©chelle est identique 249- À l’incomprĂ©hension totale entre Parents. 250- Que l’Amour continue et que la guerre arrĂȘte, 251- S’aimer comme on est et pas comme on devrait ĂȘtre. 252- NĂ©s dans l’Amour, pour grandir et vivre heureux 253- Sans peur, sans crainte de la mitraille ni du feu. 254- Si chacun se laissait imprĂ©gner de PAIX, 255- Les conflits de la Terre, sans doute, disparaĂźtraient, 256- Pour toujours rĂ©gnera la PAIX sur notre Terre 257- Si un nouveau Sauveur naĂźt pour stopper la guerre, 258- ArrĂȘter la guerre, pourrait-il vraiment le faire ? 259- Si on se met ensemble, peut-ĂȘtre qu’on va rĂ©ussir! 260- Cessons ces guerres militaires dans notre atmosphĂšre. 261- Faisons la PAIX, faisons la Joie et vivons le Bonheur; 262- Ouvrons nos Coeurs sinon ce sera le malheur. 263- Mettons fin au racisme et faisons une Ronde, 264- Il faut que tous les Gens soient Ă©gaux dans notre Monde. 265- À la place de vous battre, donnez-vous de l’Amour. 266- Si vous faites du vandalisme, la PAIX n’est pas lĂ . 267- Venez voir! La guerre n’est pas lĂ  au Canada. 268- Le silence de la PAIX est dans notre Coeur Ă  nous. 269- Vivre en Harmonie, plus de Joie, plus de Vie. 270- Il faut beaucoup d’Amour pour avoir de belles Vies, 271- Il faut ĂȘtre gentils pour vivre en Harmonie. 272- Que l’Eau et la Nourriture pleuvent Ă  l’horizon; 273- Chantons ensemble la PAIX, dans ce sens, continuons. 274- La haine jamais, jamais n’abolit la haine 275- C’est une loi bien plus ancienne que la guerre. 276- Non Ă  la guerre ! Oui Ă  la PAIX! 277- Paix entre nous
 AmitiĂ© pour tous
 278- ProtĂ©geons des Vies
 ArrĂȘtons les querelles. 279- Écoutez-moi bien; laissez tomber vos armes rebelles 280- Et Ă©coutez votre Âme pour abolir la faim. 281- Non Ă  la guerre ! Attention ! Non Ă  la violence
 enfin ! 282- Il faut que la PAIX rĂšgne
 283- Je souhaite de l’AmitiĂ© au Monde entier. 284- Pas de guerre s’il vous plaĂźt !
 Aimons-nous les uns, les autres. 285- On ne veut pas de peine, on veut des Sourires. 286- On veut rĂ©pandre l’AmitiĂ© mais pas la violence. 287- Soyons un Monde paisible, rempli de TolĂ©rance. 288- La guerre annonce la violence dans le Monde. 289- La violence apporte la mĂ©chancetĂ© immonde. 290- La mĂ©chancetĂ© cause la tristesse. 291- La tristesse favorise la pauvretĂ©. 292- Non, pas la guerre. Il faut qu’on arrĂȘte. 293- Si tout le Monde participait, c’est sĂ»r, on y arriverait. 294- On ne veut pas de mĂ©chanceté  295- Mais on veut la TranquillitĂ©. 296- Tout le Monde Ă©prouve de la tristesse, 297- Mais je suis sĂ»re qu’ils veulent de la Tendresse. 298- Ce qu’on veut dans le Monde, est Amour
 299- Mais il y a la guerre qui nous entoure. 300- On veut en nous et partout rĂ©pandre l’Amour. 301- Nous dĂ©sirons vivre dans l’AmitiĂ©. 302- Nous ne voulons pas ĂȘtre en danger
 303- 
À cause de la guerre! Car la PAIX c’est fantastique. 304- PAIX rime avec Bonheur. 305- Avant qu’il ne soit trop tard, 306- EspĂ©rons que ça ne sera pas l’horreur 307- Car il y aurait trop de morts et de pleurs. 308- Place Ă  l’AmitiĂ©, Ă©loignons la pauvretĂ©. 309- Entraidons-nous les uns les autres, Ă  notre maniĂšre, 310- Tendons-nous la main sur toute la Terre. 311- Je voudrais autour du Monde, faire une ronde 312- Afin de plonger dans le Bonheur Ă  chaque seconde. 313- Cessez cette guerre inutile car elle dĂ©truit des Vies prĂ©cieuses. 314- Pourquoi bombarder notre PlanĂšte si merveilleuse ? 315- AnĂ©antissons la terreur qui hante certains Peuples de la Terre 316- Par une Vague de PAIX et d’Amour qui traversera toutes les Mers. 317- Les Gens sont malheureux
 Il faut ĂȘtre heureux. 318- À cause de la guerre, notre PlanĂšte sera polluĂ©e; 319- On veut la garder en SantĂ©, en Abondance. 320- La guerre sĂšme la tristesse, nous ne voulons pas de violence. 321- Les gens sont en danger, il y aura plus de pauvretĂ©. 322- Nous, ce qu’on dĂ©sire, c’est la PAIX dans le Monde entier. 323- Je vous en prie, ayez pitiĂ© des Petits, ils sont prĂ©cieux ! 324- ArrĂȘtez la guerre, pensez aux gens malheureux. 325- Nous on est heureux qu’il y ait de la Tendresse dans l’Air. 326- Neutralisons les esprits destructeurs, 327- Afin de prĂ©server notre Monde, ouvrons notre Coeur. 328- Ne tuons pas la PAIX, elle doit reluire
 329- La Vie est si belle, pourquoi s’amuser Ă  la dĂ©truire ? 330- Assurons la QuiĂ©tude Ă  tous les Innocents de ce conflits. 331- GĂ©rons nos Actions pour le Bien d’autrui; 332- Un brin de Pacifisme, nous devrions semer Ă  jamais. 333- Effaçons la guerre et Ă©crivons la PAIX
 334- RĂȘver d’un Monde meilleur c’est fabuleux; 335- Le rendre vraiment meilleur, c’est encore mieux. 336- Rappelons aux dirigeants que les armes ne sont pas nĂ©cessaires, 337- Éliminons la guerre de notre vocabulaire . 338- 
OĂč vivent les gens, la PAIX devrait rĂ©gner, sans conflit. 339- 
Un pays ou l’autre, tous devraient avoir le Droit Ă  la Vie. 340- Il y a ceux qui souffrent et il y a ceux qui font souffrir. 341- Alors
 choisissons le bon camp, sans mentir. 342- La PAIX Ă  tout prix, la guerre pour rien au Monde. 343- Allons pacifier ce Monde qui en a tant besoin. 344- Pourquoi perdre notre temps Ă  faire la guerre en vain ? 345- Alors que, pour vivre, nous ne prenons pas le temps. 346- Illuminons le Regard des Enfants 347- ApeurĂ©s par les oiseaux de fer. 348- XĂ©nophiles, nous devrions tous ĂȘtre, sans misĂšre.. 349- Nous ne voulons pas d’une troisiĂšme guerre mondiale 350- L’Harmonie devrait tous nous unir, ce serait idĂ©al. 351- On ne veut pas de milliers de morts, 352- Restons Solidaires, nous ne donnerons pas notre accord, 353- Nous souhaitons l’Entente entre tous les pays simplement 354- Trouvons d’autres solutions, ruiner nos Efforts de PAIX
 jamais! 355- Unissons-nous pour conserver un Monde de PAIX. 356- Nous dĂ©sirons la PAIX pour tous les Peuples du Monde entier 357- Nous vivons comme des Chevaliers qui prĂŽnent la FraternitĂ©. 358- Que les guerriers trouvent en eux une Source inĂ©puisable de BontĂ© 359- Qu’ils soient guidĂ©s d’une LumiĂšre de PAIX et de BeautĂ©. 360- Pourquoi les Enfants subissent tant de souffrance et de malheur ? 361- Envoyons un message d’Espoir qui soulagera cette cruelle douleur. 362- Voir tous ces Gens verser des larmes dans la noirceur 363- Traverse les continents pour atteindre leurs Coeurs. 364- Pas de chicane
 ArrĂȘtez la violence et les guerres. 365- Écrire des Mots montrant notre colĂšre, 366- En rouge, en Vers et longs, contre la guerre. 367- Savoir Ă©crire oui, mais savoir aussi agir, 368- Agir! Sois sĂ»r que ce n’est pas mourir, 369- C’est refuser la haine de tes voisins, 370- C’est apaiser les Pauvres et leurs chagrins. 371- Agir avec Justesse, Justice et ComprĂ©hension 372- La guerre attise les passions, annihile la raison; 373- Puis tĂ©moigner, se souvenir, fĂȘter la Vie, 374- La guerre, horrible soit-elle, bien pire est l’oubli. 375- D’un moment de guerre, nos Vies deviennent Ă©phĂ©mĂšres 376- À cause de tout ça, cela devient trop prĂ©caire. 377- Puisque ce PoĂšme Ă©claire l’ombre guerriĂšre, 378- Que la colĂšre ne fait qu’armer la colĂšre, 379- Regardons ce passĂ© noir de Monde en dĂ©tresse 380- D’un oeil de Sagesse et d’un autre de Tendresse. 381- La Vie m’a longtemps fait languir, 382- Elle m’a aussi fait souffrir, 383- Aujourd’hui, je crois que ça change, car tu es mon Ange. 384- Que le paysage se fonde pour voir enfin la PAIX dans ce Monde. 385- Il en est qui ne souhaitent qu’une BouchĂ©e de Pain 386- Et d’autres, patiemment, leur Mariage en juin, 387- Mais tous insistent pour que nous leur portions Soutien. 388- Que nos Enfants puissent vivre heureux sur cette Terre, 389- Dans la PAIX, le Bonheur et loin de la misĂšre! 390- Deux Colombes tenant chacune un Rameau d’Olivier, 391- Se croisent au-dessus de chaque Pays pour rĂ©pandre la PAIX, 392- Elles veulent que le Monde entier crie LibertĂ©! 393- Et que la guerre soit arrĂȘtĂ©e pour que la PAIX puisse rĂ©gner. 394- ArrĂȘtez les bombes et aimez-vous comme tout le Monde. 395- Essayez la PAIX et non la guerre s’il vous plaĂźt! 396- Il ne faut pas lancer de bombes nuclĂ©aires 397- Sinon, il y aura des cratĂšres sur la Terre. 398- J’espĂšre que tu deviendras mon Ami 399- Nous allons bien nous entendre, je te le dis. 400- Si nous construisions une Maison de la PAIX, 401- Nous la bĂątirions solide, moulĂ©e de Respect; 402- Elle nous protĂ©gerait de ces guerres infernales, 403- Sa Chaleur apaisante nous Ă©loignerait du mal; 404- Elle serait accueillante
 la plus belle du quartier. 405- Entrons dans ce Royaume d’Amour et d’AmitiĂ© 406- OĂč l’essentielle PAIX, comme le Sang dans nos Veines, 407- Coule comme un charmant Ruisseau qui court dans la Plaine. 408- Je veux la PAIX et le Bonheur dans le Monde 409- Parce que la PAIX fait vivre, parce que la guerre tue. 410- J’aimerais qu’on arrĂȘte la guerre. 411- Pour que la LibertĂ© vienne sur Terre, 412- Pour que le Monde soit des Ondes de Bonheur. 413- Que l’on cesse de se bombarder Ă  cause de la guerre, 414- Que l’on commence Ă  penser Ă  ceux qui doivent se taire. 415- Je voudrais que toutes les Personnes de l’Univers 416- Vivent en Harmonie, arrĂȘtent la guerre et la misĂšre. 417- Aujourd’hui, pour la PAIX, j’aimerais faire un Souhait 418- Que l’Important soit fait
 comme une belle Colombe sage, 419- La guerre s’emprisonnera seule
 dans sa cage. 420- L’Amour est si joli, la Musique aussi ! 421- Avec la PAIX, pourquoi l’homme de guerre 422- Ne sent-il pas le Parfum du Bonheur ? 423- Je veux la PAIX et faire sourire le Monde 424- Car ainsi, les Anges seront heureux, 425- La Terre n’aura plus, ni colĂšre, ni honte, ni mensonge, 426- Ni ce mal qui nous dĂ©monte le Coeur, l’Âme et la Raison. 427- La PAIX dans toutes les langues
 et pourquoi pas PAX 428- Celle du Calme, de la TranquillitĂ©, qu’on nomme Relax
 429- Enfin moi, je vous demande d’arrĂȘtez tous les fax », 430- Les coups de feu, les missiles ou les lettres Ă  l’anthrax!
 431- Aujourd’hui, tout est clair, le Monde ne fonctionne plus; 432- Oui, c’est Ă  cause de ces guerres qui n’en finissent plus! 433- J’aimerais la PAIX et le Bonheur pour voir le Monde sourire, 434- Et non, Ă  cause des malheurs de la guerre, le voir mourir. 435- Mais pourquoi Dieu ne fait-il rien Ă  ces guerres 436- Qui Ă©clatent partout sur cette ferme Terre ? 437- Car un peu de Pain en temps de PAIX est meilleur 438- Que ces GĂąteaux en trop
 et en temps de guerre, 439- Pour toutes ces Victimes et leurs fils chĂ©ris
 440- Soyez gourmands de Foi et de TolĂ©rance; 441- Pour ces futures Vies et leurs filles chĂ©ries
 442- Soyez friands de SĂ©rĂ©nitĂ© et de BontĂ©. 443- Avant, ce n’était pas aussi charmant, 444- C’était toujours noir comme le soir. 445- Mais plus tard, le CrĂ©ateur mit le Bonheur. 446- Il crĂ©a la Terre
 447- Mais malheureusement, nous avons fait des guerres. 448- Par chance, la moitiĂ© a rĂ©ussi Ă  s’entendre; 449- Sinon, ce ne serait pas aussi tendre. 450- Les annĂ©es ont passĂ© et les choses ont Ă©tĂ© inventĂ©es 451- Si ça ne s’était pas produit, 452- On ne serait pas comme aujourd’hui, 453- Il faut remercier nos AncĂȘtres
 de merveilleux Êtres. 454- Reviens PAIX et donne la LongĂ©vitĂ© 455- À cette belle PlanĂšte bleue oĂč il fait bon demeurer. 456- Pourquoi tant de haine et de mĂ©chancetĂ© ? 457- Soyons tous FrĂšres dans l’AmitiĂ©. 458- Un RÊVE est si facile Ă  rĂ©aliser
 459- Mais la PAIX, plus difficile Ă  conserver. 460- Promenons nous tous Main dans la Main 461- Pour que la PAIX ait toujours un Lendemain. 462- Toujours errant sur le globe de loin en loin 463- La mort et la guerre brĂ»lent trop de Destins, 464- Mais un RÊVE anime ceux qui voient bien plus loin 465- La PAIX, la PAIX, la PAIX, comme une Flamme d’airain! 466- La PAIX peut devenir RĂ©alité  467- Le RÊVE peut se rĂ©aliser
 468- Alors Lydia et Mathieu, souriez! 469- Mais ce RÊVE, il faut que tout le Monde le veuille, 470- Le veuille pour qu’enfin nous puissions faire le deuil, 471- Le deuil de cette Terre oĂč tout pourrit en un clin d’oeil, 472- Car ce RÊVE sera une RĂ©alitĂ© pleine de Bonheur. 473- Prends ma Main et marchons au-delĂ  de la peur; 474- Traversons les FrontiĂšres, les OcĂ©ans, la Terre; 475- Partageons nos Cultures, tout notre Savoir Faire. 476- Pour que le Monde entier vive du mĂȘme Air. 477- PAIX
 Tu plais, quelque soit le Pays oĂč tu vis, 478- Tu apportes SĂ©rĂ©nitĂ©, Joie de vivre. 479- PAIX ? Tel le Chant doux, rond et heureux du Merle, 480- Tu siffles ton Air joyeux au Coeur de nos Vies. 481- PAIX! Que ceux qui n’ont jamais entendu ton Chant 482- Ne dĂ©sespĂšrent point; viendra une Ère nouvelle! 483- CrĂ©ons un nouveau Monde de TolĂ©rance, 484- Afin que la PAIX nous porte encore Chance. 485- Pour surmonter finalement les FrontiĂšres, 486- Rien de tel que la FraternitĂ© humaine, 487- Les mortelles querelles seraient bien d’hier
 488- Tous en avant pour une Terre plus sereine! 489- Tournons-nous tout d’abord vers l’Autre sans haine, 490- Regardons dans ses Yeux pour trouver la LumiĂšre. 491- DissimulĂ©e parfois par un voile de douleur, 492- Elle n’attend qu’un Sourire pour reprendre sa Vigueur. 493- Sois pour l’Autre cette Étincelle d’oĂč jaillit la PAIX 494- Pour que cette Flamme Ă©claire la Terre Ă  tout jamais. 495- RĂȘver un Monde d’Amour oĂč les Enfants du Jour, 496- Pourront rire sans blessure, se lever Jour aprĂšs Jour, 497- Se dire qu’on pourra faire face aux hypocrisies, 498- Aux batailles, aux diffĂ©rences. Avec mes Amis, 499- Ma Famille, Ă  toute heure, se dire que Demain sera meilleur. 500- Il faut construire ce Monde tout au long de notre Vie 501- Avant qu’il ne soit trop tard, que tout soit fini. 502- Soyez-en sĂ»rs, ça vaut la peine, il faut se battre
 503- Le RÊVE est grand, le RÊVE est beau, Statue d’albĂątre. 504- Unissons-nous, Main dans la Main, faisons une ChaĂźne 505- Pour que la PAIX domine le Monde et chasse la haine. 506- La PAIX, la Joie et l’Amour sont dans nos Coeurs; 507- Pourquoi ne pas partager la PAIX sans peur. 508- La Joie des Hommes est contagieuse et agrĂ©able, 509- C’est l’Amour qui rend les Gens tellement aimables, 510- Capables de faire de ce Monde un Paradis enviable 511- Par toute CrĂ©ature, soit-elle Ange ou diable. 512- La PAIX sur Terre commence chez soi
 513- Ainsi le Bonheur sera le plus grand qui soit 514- Dans le fond de nos Coeurs
 et sans contredit, 515- Nous ferons de ce Monde une vraie Utopie. 516- À toi de dĂ©cider ce que tu veux pour le Monde entier 517- Car chaque Effort naĂźt d’un Coeur bien guidĂ© 518- Et chaque Coeur bien guidĂ© redonne une Lueur d’Espoir 519- Et cette Lueur d’Espoir, elle est pour l’HumanitĂ©. 520- Ta simple VolontĂ© peut graver nos MĂ©moires 521- Et Ă  jamais, tout changer pour ceux qui ne cessent d’y croire. 522- Allez dans la PAIX, parterre fleuri 523- Rendez grĂące au PrĂȘtre sociologue 524- Celui-lĂ  mĂȘme qui vous souffle et en rit, 525- Gentil serpent venimeux, piĂštre ventriloque, 526- Ah! Tu fais bien la pair mais parterre! 527- Car celui qui rit est aux Anges monsieur 528- Et il souffle Ă  Verlaine le prix du PoĂšme 529- Alors promenez dans la PAIX aux Cieux fanĂ©s 530- Masse amorphe au Missel fidĂšle et moi, 531- Marchand de tapis, PrĂȘtre sociologue, 532- Je n’ai que la Foi contre mes IdĂ©es 533- Regarde luire la Lune au Coeur des Étoiles, 534- L’Humain n’a rien Ă  porter nourri de sang voile. 535- De quelque Religion et de quelque Pays, 536- Peu importe les Coutumes et la Patrie, 537- Des mĂȘmes MolĂ©cules, nous sommes construits, 538- MĂȘme la Nature d’oĂč l’on naĂźt, nous unit. 539- Nous sommes arrosĂ©s par une mĂȘme Pluie 540- TombĂ©e d’un unique Ciel, elle remplit les Puits 541- Et fait pousser les Arbres, qui donne les Fruits 542- Dont chacun se dĂ©lecte, dont chacun se nourrit. 543- Sous l’unique AtmosphĂšre, peut se crĂ©er la Vie, 544- Comme les Atomes de l’Air, soyons unis. 545- Dans l’ombre, aucun corps; il ne reste que l’Esprit. 546- l’Esprit
 l’Esprit n’a pas de Couleur, il est la Vie. 547- Pour cette PAIX, il nous faudra bannir 548- Tous ceux qui engendrent le mal et l’attirent. 549- Ceux-lĂ  ne mĂ©ritent point nos GrĂąces. 550- Ils sont vicieux et ils sont lĂąches. 551- Demande Ă  l’Enfant qui se cache des combats 552- Pourquoi cette guerre fait rage en ce jour 553- Et il te rĂ©pondra de sa plus triste Voix 554- Que l’humanitĂ© arrive Ă  son dernier jour. 555- Tant de vanitĂ©, d’orgueil brisent les AmitiĂ©s. 556- Par un Amour plus pur, nos justes PensĂ©es 557- Tisseront la Toile de la PAIX de tous dĂ©sirĂ©e. 558- Moins de dieux vengeurs, nĂ©s de l’utilitĂ©, 559- Fomenteraient nos guerres aux moeurs dĂ©passĂ©es. 560- Si nos faiblesses n’étaient surexploitĂ©es, 561- Par des Hommes aux bornes dĂ©mesurĂ©es. 562- À l’aide de nos technologies, 563- ArrĂȘtons, par le nombre, cette dĂ©magogie. 564- Les Humains sont si cruels, il faut leur dire 565- D’arrĂȘter de tuer, de dĂ©truire tant de BeautĂ©, Ă©tant la Vie. 566- l’Amour frappera et ce sera un moment inoubliable. 567- Je me sens transportĂ©e dans le bleu de la nuit 568- Et c’est dans ton Regard que mon Âme sourit. 569- Respect pour la MĂšre qui enfante 570- Respect pour cette nouvelle Vie 571- Surgie d’une Union triomphante 572- Pour que demain soit son Paradis 573- Respect pour l’Espoir qui transcende 574- Respect pour ce Sentiment contagieux 575- Qui se propage comme une Offrande 576- Pour que la PAIX rĂšgne, ce serait prodigieux 577- Respect pour la LibertĂ© retrouvĂ©e 578- Respect pour ces Femmes dĂ©livrĂ©es 579- De tant de privations abreuvĂ©es 580- Dans ces Pays lointains si proches enfiĂ©vrĂ©s 581- Respect pour la Terre qui rĂ©siste 582- Respect pour les Peuples oubliĂ©s 583- Pour leurs Appels qui persistent 584- Comme des Cris, des Chants singuliers . 585- Faudra-t-il encore beaucoup de guerres 586- Faudra-t-il toujours que le sang coule 587- Alors que nous sommes dĂ©jĂ  poussiĂšre 588- Dans ce Monde qui perd la boule , 589- À tous ces conflits de l’absurde pour des conquĂȘtes illusoires 590- Je dĂ©clare la guerre de l’Amour sans histoire. 591- Dans le Monde entier, on s’arrĂȘtera, s’embrassera et fĂȘtera la PAIX. 592- La Lune va-t-elle pleurer si on se met Ă  aimer ? 593- Pourquoi donc se le cacher ? 594- Un Monde de RÊVE ! On en a tous dĂ©siré  595- Encore est-il un RÊVE de voir la PAIX ? 596- Car aujourd’hui, tout ça nous semble abstrait. 597- O mon Fils ! Ă©coute le bruit sourd des canons 598- C’est la mort qui dĂ©vale le long des Terres brĂ»lĂ©es 599- Regarde ces pleutres soldats qui violent nos Maisons 600- Pense Ă  nos RÊVES d’antan qui se sont Ă©croulĂ©s. 601- C’est la guerre mon Fils ! inique et cruel dĂ©mon 602- Sa douleur est atroce, tant est fĂ©roce son flĂ©au 603- Sombre qu’elle est , grande et lĂąche est sa dĂ©raison 604- Elle ne fait ni vainqueur , ni vaincu, ni hĂ©ros. 605- Entends mon Fils ! ces cris qui dĂ©chirent le Silence 606- Venant des Épouses navrĂ©es et des MĂšres Ă©plorĂ©es 607- Apprends Ă  bon escient que la pire des souffrances 608- Est le plus souvent un Livre de Sagesse avĂ©rĂ©e. 609- Prends acte Fils ! que l’Histoire est la MaĂźtresse du Temps 610- Nul ne ressent l’ardente Braise d’un Coeur mortifiĂ© 611- Et lorsque coulent sur des Joues des larmes d’Innocents, 612- Alors renonce Ă  ta haine que tu dois Ă©touffer. 613- Tresse une Couronne de PAIX de Rameaux d’Olivier 614- Indique la Voie cĂ©leste Ă  la blanche Colombe 615- Pour que vit en Concorde l’Espoir recouvrĂ© 616- Ainsi je peux reposer en PAIX dans ma tombe. 617- Pour ne plus ĂȘtre un RÊVE, Ă  nous d’y travailler, 618- Que toutes ces misĂšres fuient notre RĂ©alitĂ©, 619- Alors, c’est sans crainte que nous nous retrouverons, 620- Quelques soient les Couleurs ou bien les Religions, 621- À ce grand Banquet, nous entendrons les Rires 622- De nos Enfants heureux de ce bel Avenir. 623- Donnons Ă  nos Enfants des RÊVES de Devenir, 624- Pour mettre fin au dĂ©sespoir des jeunes Martyrs. 625- Dans ces ruines de RÊVES, je cherche de l’Espoir
 626- De l’Espoir pour que ce Monde ne soit plus noir. 627- Puisqu’il y a des Amours, comme les OrchidĂ©es les plus rares, 628- Pour qui seul un Miracle leur permet de naĂźtre
 629- Seuls les soins prodiguĂ©s leur permettent de survivre. 630- Oh! Que la PAIX universelle prenne source 631- Dans la PAIX intĂ©rieure de chacun de nous
 632- Dans la force des PensĂ©es positives et douces 633- Pour goĂ»ter aux Fruits des Efforts qui forment un Tout! 634- Que la PAIX se rĂ©veille dans chacun de nos Coeurs, 635- Que chacun s’émerveille dans un RÊVE de Douceur, 636- Les bombes ne pleuvront plus sur le Monde dĂ©chirĂ©, 637- Nous n’aurons alors qu’à le reconstituer. 638- Pourquoi faut-il toujours regarder plus loin 639- Quand le Bonheur est tout prĂšs de nous
 640- Il suffit de s’ouvrir et de le laisser aller, c’est tout ! 641- Alors sans rire, sans reproche, dirigeons-nous 642- Vers l’Amour pour que l’Histoire reprenne goĂ»t 643- Et ce Monde dĂ©solant deviendra le nĂŽtre, 644- Le seul
 celui de l’Amour tout simplement; 645- L’Amour
 dont nous reprendrons goĂ»t. 646- L’Amour
 transmis par un Baiser si doux. 647- Sans cet Amour, nous ne sommes rien du tout. 648- Dans le Silence, Ă©coute l’Écho des maux non dits 649- Et vois l’HumanitĂ© souffrante qui te supplie, 650- T’implore de redonner GoĂ»t Ă  sa triste Existence. 651- La Terre pleure, mais personne n’essuie ses larmes 652- Initions-nous Ă  l’Amour, extirpons l’intolĂ©rance. 653- La haine, la mĂ©fiance, l’exclusion rendent la Vie invivable. 654- L’Air
 totalement irrespirable. 655- Prenons notre Vie en Main, soyons responsables 656- Combattons vanitĂ©, stupiditĂ©, facilitĂ© 657- sans jamais user l’Arme
 Larme de tous les Peuples, 658- De tous les Temps
 entre haine et sang. 659- PAIX! Quel beau Mot
 Mot Espoir entre tous. 660- La PAIX est un RÊVE inachevĂ© 661- Qui abrite tous les Hommes dans son infinie AmitiĂ©. 662- Qui nous transporte vers des Cieux libĂ©rĂ©s. 663- Allons vers tout ce qui peut ĂȘtre explorable, 664- Tout ce qui est du domaine de l’inconcevable; 665- Soyons fous, soyons heureux et soyons sereins. 666- Il ne faut pas vouloir la PAIX jusqu’à demain, 667- Il faut la faire vivre en nous jusqu’à la Fin, 668- Tout cela reste utopique
 mon utopie. 669- La PAIX Est-ce un RÊVE ou la RĂ©alitĂ© ? 670-A force de chanter au-delĂ  de nos RÊVES 671- A force de briser tant de murs de bĂ©ton 672- Il se fera trĂšs tard et j’en peine Ă  la longue 673- Je sourirai au Vent dans un Chant de misĂšre 675- Écouter le Silence qui bruisse sous l’Étang 676- Et dormir une nuit sous l’Étoile indolente 677- Sentir tous les Ruisseaux me filer sous les Doigts 678- Aimer, aimer ma Belle, lui faire des Enfants 679- Qui aimeront chanter au-delĂ  de nos RÊVES. 680- La PAIX Ă©tait un magnifique et trĂšs grand Fait 681- Mais aucune Nation ou Pays ne l’a vue durer 682- Ce qui est comme toutes belles et grandes Choses 683- Qui n’auront jamais durĂ© indĂ©finiment. 684- RĂȘvons mes FrĂšres que les Hommes du Monde entier 685- Jettent Ă  terre leurs armes, leur haine et leurs simagrĂ©es 686- Afin que les guerres disparaissent Ă  jamais 687- Et les Enfants de tout Pays vivent en PAIX. 688-Je voudrais un Monde, oĂč tout le Monde s’aime, 689- Se veuille du Bien et que l’on ne soit que soi-mĂȘme, 690- Un Monde ou l’Amour et la Joie seront les MaĂźtres 691- Qu’on joue un Air de Victoire sur l’oubli des Êtres, 692- Un jour oĂč les Enfants du Monde demanderont 693- Qu’est ce que la guerre ? Qu’est-ce la faim ? Qu’est-ce une bombe ? 694- Et c’est toi qui leur rĂ©pondra et leur dira 695- Ce ne sont que des Mots, des Mots dĂ©saffectĂ©s, 696- Comme les diligences, les galĂšres ou l’esclavage, 697- C’est pourquoi ils ne sont plus dans le dictionnaire ! 698- Un Ami aujourd’hui, c’est trĂšs bien dans notre Vie ! 699- La guerre dĂ©truit la Vie
 et la Vie c’est une Amie. 700- Quel Bonheur ce serait pour les Enfants 701- S’il n’y avait plus jamais de guerre
 702- L’Avenir offrirait aux Petits comme aux Grands 703- Moins d’inquiĂ©tude et plus de bon Temps. 704- Fuyons ce cauchemar et entrons dans la Gloire 705- La Vie
 c’est aussi une longue MĂ©lodie. 706- Il faut savoir rĂ©pondre de tous ses actes 707- Et arrĂȘtons de signer de simples pactes. 708- Pour un Avenir meilleur, charmeur et rĂȘveur, 709- ArrĂȘtez-vous, rendez-vous bande de menteurs ! 710- Il faut savoir faire l’Amour par Terre
 711- Surtout pas la guerre sur notre Terre ! 712- RĂȘvons Ă  l’éradication de l’égoĂŻsme, 713- Bannissons le pouvoir, le sexe et l’argent 714- Et n’oublions surtout pas en prime, 715- Comme nous recevons
 de donner autant; 716- MĂ©langer d’abord les Esprits avant les Corps 717- Ne plus s’occuper seulement de son propre sort. 718- Sans la guerre, la Vie est bien plus belle, 719- Le Bonheur se trouve mĂȘme dans les poubelles. 720- Nous ne sommes pas encore libres 721- Nous avons juste atteint la LibertĂ© d’ĂȘtre libres. 722- 
Je veux planer dans l’Air du Temps, 723- DĂ©voiler la BeautĂ© des Nues, 724- Caresser le Souffle du Vent, 725- Convoyer toutes les Vertus
 726- 
Figer le Bonheur de l’Instant 727- Et vivre Ă©ternellement 728- Dans un Monde rĂ©conciliĂ©, 729- Avec l’Amour, la Joie, la PAIX. 730- Cette Amie, la Vie, Ă  qui il faut sourire chaque matin, 731- Une Amie qu’il faut aimer, mĂȘme si parfois elle nous fait du mal 732- Mais qui essuie chacune de nos larmes avec ses douces Mains 733- Sans pourtant empĂȘcher nos regrets nous devenir fatals. 734- Il y aura toujours un mal dans l’Amour 735- Mais il faudra encore continuer 736- Pour continuer Ă  vivre ce Temps trop court 737- Qu’une guerre Ă©vitĂ©e nous fera tant aimer. 738- Je vois partout les horreurs, le malheur; 739- Mais j’ose espĂ©rer une nouvelle Pacification 740- Qui pourra nous ramener dans un Monde sans peur 741- Et nous fera avancer avec la PAIX adorĂ©e 742- Sans craindre l’orage, le ciel noir et l’horreur. 743- Bien que sa MĂ©moire nous fasse souffrir, 744- Elle nous inonde d’une RiviĂšre de Fleurs qui font rougir. 745- Le Reflet d’elle-mĂȘme, colore nos Visages bleutĂ©s, 746- Enfants de la meurtrissure, esquissant
 la voie lactĂ©e. 747- La PAIX est un RÊVE sans fin qui ne sera jamais fini; 748- Ça m’en coupe la faim, mais c’est la Vie. 749- Le Bonheur c’est ta PrĂ©sence, 750- Ton Regard doux et tendre, La Chaleur de ton Corps; 751- Le Bonheur
 c’est toi tout simplement. 752- Si entre nous rĂšgne l’incomprĂ©hension et le doute; 753- Alors, sans aucun doute, il faut ouvrir nos Yeux 754- Pour mieux voir derriĂšre eux tout l’Amour que Dieu 755- A mis en nos Coeurs et que, sans peur et pour toujours 756- Nous fassions la distinction entre le mal et le Bien. 757- Si Dieu seul dĂ©cide de nous unir par l’Amour 758- Alors en lui, croire et aimer, je veux toujours. 759- Dans ce vaste OcĂ©an qu’est mon Existence, 760- Les Mots sont ma seule BouĂ©e de Sauvetage 761- Contre ce raz-de-marĂ©e de souffrance 762- Qui transforme mes PensĂ©es en naufrage
 763- Le Soleil de la PAIX se lĂšvera un Jour 764- Et ce sera pour tous un tendre Éclair d’Amour. 765- Tous les Peuples en FĂȘte se donneront la Main 766- Pour accueillir ensemble l’Espoir du Jour qui point. 767- Et grĂące Ă  ce PoĂšme qui se dĂ©ploie sans fin, 768- EspĂ©rons que la PAIX, Ă  la guerre, mettra fin. 769- Ne prenons pas les armes, mais Ă©crivons des Vers 770- Pour faire reculer de la guerre l’hiver. 771- De toute ma Joie, de tout mon tendre Amour 772- Je souhaite que ce NoĂ«l apporte la PAIX 773- Dans le Coeur des Hommes pour toujours, 774- RĂ©unis en un seul Monde, une seule Union Ă  jamais. 775- ArrĂȘtons de rĂȘver de PAIX sur la Terre 776- Et agissons; rendons cette PAIX rĂ©elle 777- Afin qu’à tout jamais, nos Enfants puissent s’envoler vers le Ciel, 778- Libres
 tel des Anges dĂ©ployant leurs ailes. 779- La guerre est un mot machiavĂ©lique 780- Qui fait rĂ©sonner en nos Coeurs, un son cynique. 781- ArrĂȘtons les coups de feu qui crĂ©ent l’hĂ©morragie 782- Et faisons de la PAIX notre Énergie
 783- Pour que meurt la dĂ©tresse
 784- Et que jamais la Vie ne cesse. 785- Vivons l’Amour et la SincĂ©ritĂ© 786- Oublions la haine et la mĂ©chanceté  787- La haine apporte plus de mal que de Bien, 788- La guerre m’emmĂšne dĂ©sormais Ă  rien 789- Mais avec l’Amour, rĂšgne la PAIX et la SĂ©rĂ©nitĂ© 790- Dans nos Vies et cela
 avec FacilitĂ© 791- Laissez-nous vivre, laissez-nous sentir 792- Laissez-nous nous exprimer et agir 793- Laissez-nous parler et dĂ©fendre l’Amour, 794- L’AmitiĂ© ainsi que la PAIX, 795- Retrouver notre Innocence d’Enfance 796- Pour supprimer toutes les diffĂ©rences 797- Qui nous emportent vers l’intolĂ©rance 798- Et surtout, qui font grandir cette violence
 799- IntolĂ©rable dĂ©gĂ©nĂ©rescence
 800- Amour, Vie, PAIX de la Vie sont les Essences 801- Qui mettront sur la Terre toute l’EspĂ©rance. 802- Unissons-nous Ă  cette non violence 803- Qui nous apporte la DĂ©livrance. 804- La PAIX n’est qu’un Espoir 805- Contrairement Ă  la guerre qui est RĂ©alitĂ©, 806- J’ai ma peine et mes pleurs pour seuls tĂ©moignages
 807- Je vous en fait profiter. 808- OĂč se trouve l’Amour pour nos enfants ? Rentrez! 809- Nos Enfants apprendront la haine
 sans la PAIX! 810- La PAIX du Monde amĂšne l’Amour
 811- La PAIX n’amĂšne pas la douleur. 812- Pourquoi vivre dans un Monde de guerre 813- Si tout le Monde peut vivre en AmitiĂ© ? 814- La guerre dans nos Coeurs s’écoeure et se tire Ă  terre, 815- D’entendre tous ces Peuples crier 816- Rempli ce Monde d’encore plus de misĂšre. 817- La Vie sur cette Terre n’est pas digne de guerre. 818- L’Amour vient par la PAIX comme la Vie par la Naissance. 819- La guerre tue l’Amour comme le feu brĂ»le les bois 820- Et pourtant malgrĂ© cela
 la guerre est toujours lĂ . 821- La PAIX commence Ă  l’intĂ©rieur de chacun de soi 822- Et puis s’étend au-delĂ  de toutes les Voix; 823- Que chaque Souffle de Vie sur Terre rĂ©alise 824- Qu’il appartient Ă  la profonde UnitĂ© l’HumanitĂ©. 825- Que la PAIX dans le Monde rĂšgne 826- Pour que les Sourires sur les Visages, s’imprĂšgnent; 827- Que les larmes s’effacent et que tout ce chagrin passe. 828- Il y a trop de haine
 trop de peine. 829- Il y a trop de Gens qui saignent. 830- PAIX quatre Lettres qui pourraient changer la Terre. 831- La PAIX un Mot qui devrait parcourir les Mers. 832- Un Monde sans PAIX est un monde qui a mal, 833- Et qui cache ses blessures sous des larmes. 834- Il n’y a pas de mĂ©trique ni de rĂšgles, 835- Pas de strophes ni de stances. 836- C’est le survol d’un Aigle 837- Qui dĂ©ploie la TranquillitĂ© et le Silence. 838- De ses Ailes lĂ©gĂšres et gracieuses, 839- Il sĂšme ses Plumes au grĂ© du Vent, 840- Magnifiques et fastueuses, 841- Elles tombent pour les Enfants. 842- La jeunesse s’en trouve que plus heureuse 843- De pouvoir prendre la Plume Ă  son tour ; 844- Afin de faire passer le Message
 845- Des Phrases dites tour Ă  tour, 846- OĂč chacun marque son Passage, 847- Juste le Temps d’un dĂ©tour, 848- Puisqu’il faut tourner la Page 849- En vue d’une Suite infinie; 850- Car ce poĂšme n’a pas de fin
 851- Un jour le dernier mot sera dit, 852- Ce jour-lĂ  auront cessĂ©s enfin ; 853- La guerre, le malheur et la peur, 854- TroquĂ©s pour quelque chose de plus beau
 885- Les Hommes vivront dans l’UnitĂ©, sans aucune peur 886- Et l’Amour s’élĂšvera au plus haut Niveau. 887- L’Amour en ce moment, est un Mot qui dĂ©chire, 888- Comme pleure mon Coeur de sanglots vides, 889- Comme pleure mon Coeur de sanglots livides 890- À force de me butter contre tous ces murs, 891- Je ne peux me retourner, je ne peux que sauter 892- Par dessus ces ChĂąteaux forts et refaire un effort 893- Pour marcher un peu plus, pour aller plus loin
 894- Seule, au bord du Chemin. 895- La PAIX pousse des cris contre le mur de la guerre 896- Avec pour Ă©cho
 l’indiffĂ©rence. 897- Beaucoup semblent vibrer au vacarme splendide, 898- Ne nous laissons pas emporter par la vague rapide. 899- Je veux encore croire que le Fantasme de la PAIX, 900- Une fois accompli, ne sera pas un RÊVE dĂ©chu. 901- Les Hommes perpĂ©tueront-ils leur infĂąme folie ? 902- Le DĂ©sir de PAIX ne restera-t-il qu’une utopie. 903- La RĂ©ponse est lĂ , en chaque Être humain, 904- PrĂȘte Ă  naĂźtre, au creux de nos Mains. 905- En chaque Sourire d’Enfant, sera la souffrance 906- Remplie de haine et dĂ©jĂ  le Pardon deviendra vengeance. 907- Dans leurs larmes, tombera la haine de leurs gĂšnes; 908- Il ne reste Ă  nous que de briser cette chaĂźne
 909- Que la PAIX soit toujours prĂ©sente dans le Monde. 910- La TolĂ©rance existe et sans elle, la PAIX est compromise. 911- Chante mon Coeur! Chante ton Hymne Ă  l’Amour, 912- Comprends la Vie et son Humour, 913- Que mon Âme joue sur les cordes de la Vie, 914- Que tu m’entendes enfin
 Oh Amie
 915- Jouer cette merveilleuse MĂ©lodie 916- Pour Ă©liminer de ce Monde, la famine et la Maladie, 917- Bravons les griffons d’un coup de crayons, 918- Écrivons d’une Main sur un bouquin ancien 919- Les exquises Passions de nos ExpĂ©ditions. 920-Aimons-nous sans violence, ni guerre et autres bagarres. 921- Aime-moi et laisse-moi t’aimer pour toujours; 922- Je n’ai que toi dans mon Coeur et il t’appartient. 923- Un Coeur violent ne peut aimer correctement; 924- Alors, cessons la guerre et aimons pleinement 925- Jusqu’à ce que nos Coeurs ressentent au prĂ©sent 926- Pour un peu de Bonheur, le Sourire des Enfants. 927- Le Coeur est une Île au milieu de l’Amour, 928- Les Vagues de Tendresse la baigne toujours. 929- Que la PAIX, un soir, arrive sur le Monde 930- Portant au creux des bras, cent et mille Colombes 931- Que nous pourrons lĂącher aux quatre coins de Terre, 932- Porteuses de Rameau d’olivier! O mystĂšre, 933- Nous verrons en tous lieux pĂ©rir les exactions; 934- Les armes vont tomber, les fĂ©roces lions 935- Boiront, sans Ă©gorger les peureuses Gazelles. 936- De tous les Horizons, viendront Ă  tire d’ailes, 937- Les Anges de l’Amour, porteurs d’HumanitĂ©, 938- Et nous entonnerons des Chants de LibertĂ©! 939- Il faut rĂȘver toujours, il faut rĂȘver sans fin, 940- Et pour tous ces Enfants qui connaissent la faim, 941- Qu’enfin cessent leurs pleurs, et leur chagrin. 942- Qu’enfin le bruit des bottes fasse place aux Oiseaux, 943- Le Sommeil des Petits n’en sera que plus beau. 944- Nos Enfants sont notre Avenir, 945- J’ai peur pour eux et ceux Ă  venir, 946- Nos RÊVES de PAIX et d’HumanitĂ© 947- Arriveront-ils Ă  les rĂ©aliser ? 948- Notre PlanĂšte est en triste perdition, 949- Donnons-nous tous la Main et luttons 949- Contre nos envies de domination
 950- Ainsi nos RÊVES ne resteront pas illusion. 951- Dans la Douceur du Soir, MessagĂšre divine, 952- Apportez-nous la PAIX, dans le Soleil couchant, 953- Sur l’Eden idĂ©al de l’Extase approchant, 954- Un dernier Soleil s’offre Ă  la Terre cĂąline. 955- Dans le Matin vermeil, mĂ©lancolique Amie, 956- Quand le Prince de la PAIX se mire sur les Eaux, 957- Vers les grands Horizons, au milieu des Roseaux, 958- Un Ange fidĂšle protĂšge la Terre endormie, 959- LibertĂ© Ă©ternelle et Amour infini, 960- Naissance sur Terre du nouveau Paradis 961- LumiĂšre de Vie, Reflet d’un Regard de l’Enfant, 962- Dans un monde futur oĂč l’amour sera prĂ©sent. 963- Chacun en son Coeur, s’ouvrira pour des Horizons meilleurs, 964- Vers l’Amour universel qui nous rĂ©unira enfin, sans peur. 965- Les Elfes aux cheveux d’Ange aurĂ©olĂ©s de Ciel 966- Sur le Chemin d’un autre Monde nous emmĂšnent 967- OĂč tous les Êtres ont une Forme immatĂ©rielle 968- S’abreuvent Ă  la Source d’un RÊVE perpĂ©tuel 969- Loin de l’hypocrisie, des querelles, de la haine 970- Leurs Regards, leurs Mots ont la Douceur du Miel 971- Il est en nous cet Univers parallĂšle 972- Oasis de PAIX en dehors du rationnel 973- Trace d’un Paradis perdu pour les mortels 974- Souvenir nostalgique du Jardin d’Eden
 975- Oasis oubliĂ© qui jamais se rĂ©veille. 976- Pour l’Amour, admirons nos DiffĂ©rences; 977- FĂȘtons la joie, l’Amour, l’AmitiĂ© avec Aisance; 978- Cessons nos querelles au nom de la DiffĂ©rence. 979- La Vie est un Cadeau envoyĂ© du Ciel, 980- Elle est triste, heureuse, joyeuse
 mais pas Ă©ternelle. 981- Je voudrais un Monde
 un Monde oĂč tout le Monde s’aime 982- Que l’on ne soit
 que soi-mĂȘme 983- Que l’on puisse faire le bien 984- Sans se faire voir de travers enfin! 985- Un Monde oĂč l’Amour et la Joie soient les maĂźtres 986- OĂč les Guitares, les FlĂ»tes et tous les Violons, 987- Jouent un Air de Victoire sur l’oubli des autres 988- Un Monde vĂ©cu au ras du sol, 989- OĂč nous pourrions nous embrasser 990- Sans passer pour des pĂ©dĂ©s ou des obsĂ©dĂ©s, 991- Un Monde oĂč l’on puisse dire aux Personnes qui passent 991- Je t’aime
 992- OĂč elles rĂ©pondraient par ces grands Sourires, 993- Ces grands Yeux surpris, mais plein de folie ! 994- Je voudrais un Monde, un Monde de RÊVES
 995- Est-ce lĂ  une utopie ? 996- Ou un RÊVE qui se concrĂ©tise ? 997- Toi Monde meilleur; tu seras notre Sauveur. 998- Je voudrais ce Monde entre ses bras, 999- Celui oĂč je lui murmurerais tout bas
 1000- 
Mon Plaisir et mes DĂ©sirs. 1001- Sachons ĂȘtre heureux de ce que l’on a, plutĂŽt 1002- Que de vouloir encore plus
 car c’est ça l’entrave 1003- À la PAIX dans le Monde et Ă  l’EspĂ©ranto, 1004- Et elle nous contraint Ă  devenir des esclaves. 1005- Si je suis esclave d’Amour, le bel canto 1006- Est son Chant, la PAIX lui donne son octave 1007- Sonnez les aigus et raisonnez les graves 1008- Au vestiaire, veuillez dĂ©poser vos couteaux. 1009- C’est beaucoup plus joli de vivre en Harmonie. 1010- Oubliez vos rancoeurs et ouvrez votre Coeur. 1011- Haine, jalousie, mensonge, ces mots sont Ă  bannir, 1012- Avançons ensemble vers un meilleur Avenir 1013- Nous avons tous sur Terre un rĂŽle Ă  jouer 1014- Faisons en sorte de ne rien laisser de cĂŽtĂ©, 1015- Peu importe notre Couleur ou notre Religion, 1016- Tout le monde dit vrai mais personne a raison. 1017- Ce Monde oĂč l’on pourrait exprimer ses Sentiments, 1018- Je l’attends, j’en rĂȘve depuis si longtemps maintenant. 1019- Je commence doucement Ă  perdre tout espoir, 1020- Mais j’ai tant besoin pour vire, d’encore y croire. 1021- Peut-ĂȘtre que ce n’est pas qu’un rĂȘve, qu’il n’est pas si loin! 1022- Peut-ĂȘtre qu’il est tout simplement remis Ă  demain. 1023- Mais si cela pouvait un jour se rĂ©aliser, 1024- Je sortirais embrasser tous ceux que j’ai aimĂ©s, 1025- Mais aussi, ceux qui ici, se sont dĂ©testĂ©s. 1026- Ce Jour merveilleux sera bientĂŽt Ă  leur PortĂ©e; 1027- Apprenons Ă  nos Enfants Ă  aimer, Ă  donner. 1028- Apprenons Ă  nos Enfants Ă  sourire aux Passants, 1029- Mais apprenons leur tout en se dĂ©barrassant 1030- Des prĂ©jugĂ©s, mais surtout Ă  bien se mĂ©fier 1031- De la Vie, des maladies et des gens mauvais. 1032- La Vie est un Cadeau, elle est fragile, 1033- À nous de ne pas la gĂącher et d’ĂȘtre agiles. 1034- Nous ferons du mal
 le Bien, nous deviendrons Rois 1035- D’un Monde oĂč les lois seraient votĂ©es par Joie 1036- OĂč malheur serait absent, oubliĂ©, rayĂ© 1037- RemplacĂ© par Joie, Rire et HonnĂȘtetĂ©. 1038- EspĂ©rons encore cette Paix nouvelle, 1039- Celle par qui n’existent que pĂ©chĂ©s vĂ©niels, 1040- Donnons-lui la chance de voir le Jour, 1041- Que sa bienfaisance nous donne l’Amour. 1042- Que de lourds fardeaux sur tes frĂȘles Épaules 1043- Te donnent raison de fuir ton rĂŽle. 1044- Ne va pas croire Ă  ce qui nous est mal 1045- L’Humain n’a pas que l’Instinct animal 1046- Certains sont dĂ©jĂ  perdus
 il est vrai
 1047- Mais tant d’autres, pour ta Venue, son prĂȘts. 1048- Reste pour eux
 Tiens-toi Ă  leur cĂŽtĂ© 1049- Tu verras la PAIX qu’ils ont mĂ©ritĂ©e. 1050- Et si plutĂŽt tes Mains, ton Coeur, tu Lui tendais 1051- Pour qu’ Elle puisse, par un Geste, enfin y dĂ©poser 1052- Les graines de l’Amour que tu pourras semer 1053- Sur les Terres abreuvĂ©es du sang de tes AĂźnĂ©s
 1054- Alors par ce Geste tu pourras contribuer 1055- Non pas Ă  effacer, mais Ă  faire germer 1056- Ces Mots tant espĂ©rĂ©s par toute l’HumanitĂ© 1057- Amour, Vie, Espoir, Paix et Fraternité  1058- Voici cinq Mots qui nous expriment simplement 1059- Que dans la Vie l’Amour est le plus important. 1060- Mortifiante Lueur libĂ©ratrice, Éveil, censure de souffrance, 1061- Donne au joug d’un Quotidien libĂ©rateur. 1062- Certains tuent en Ton Nom, et d’autres meurent pour Toi 1063- Mais tous ont en commun de garder cette Foi, 1064- Une lueur d’Espoir qui brille en chacun d’eux. 1065- Et comme un CrĂ©puscule qui meurt Ă  petit feu, 1066- Tu renais. Une Étincelle et le Ciel s’embrase
 1067- Regarde, regarde les vraies Fleurs de ce Monde de souffrance 1068- Le Sourire de l’enfance, les Feuilles d’automne qui dansent 1069- Et m’inspirent ces Vers en Hommage Ă  la PAIX. 1070- Vivons en totale ÉgalitĂ©, vivons en totale FraternitĂ©, 1071- Vivons en totale Harmonie, une Harmonie de diffĂ©rence 1072- Contre une diffĂ©rence d’Harmonie
 1073- Pour la PAIX, soyons tous des ApĂŽtres, 1074- Quelque soit ta Religion, tu es des nĂŽtres. 1075- Je ne demande pas un Monde parfait, 1076- Mais seulement un Monde de PAIX 1077- OĂč vivre est une Jouissance et non une souffrance; 1078- Juifs, Musulmans, ChrĂ©tiens
 tous des Gens de Bien. 1079- Donnons-nous la Main et partageons le Pain. 1080- Pour vous, cela est de l’utopie, pour moi c’est un Cri, 1081- Un Cri de rage et de douleur qui cause ces guerres de couleurs, 1082- Un quelque part, indicible, qui romprait la nuit, 1083- Un petit quelque chose qui pourrait vaincre la peur 1084- Et si demain Elle vient Ă  ta porte frapper 1085- Penses-tu que dehors tu devras La laisser ? 1086- Car sans Amour, il n’y a vraiment plus de Vie 1087- Le simple quotidien parsemĂ© de soucis 1088- Fera une Place Ă  la Joie et la bonne Humeur 1089- La Vie vaut d’ĂȘtre vĂ©cue malgrĂ© les erreurs 1090- Voyez devant et tournez le dos au passĂ© 1091- Pourquoi repenser Ă  ce qui ne peut changer 1092- Ne perdez plus de Temps Ă  vous battre contre tout 1093- Baissez vos gardes et ayez Confiance en vous 1094- Regardez autour de vous les Gens qui vous aiment 1095- Donnez naissance Ă  un Monde bĂąti d’Amour 1096- Et gardez le meilleur de la Vie pour toujours. 1097- LumiĂšre rouge crĂ©pusculaire caresse notre Terre, 1098- Gomme les bleus Ă  l’Âme des Femmes, des Enfants en pleurs, 1099- Éclaire le Coeur des Hommes les moins solidaires, 1100- Charme tous les canons pour un lancer de Bonheur! 1101- Amour, Ă  la fois souffrance, BeautĂ© et Puissance, 1102- TĂ©tez au sein de l’Amour, remplissez votre Anse 1103- De Fruits au doux GoĂ»t d’Eden, au doux GoĂ»t de gĂšne, 1104- Et que jamais rien ne freine votre carence de peine, 1105- Dans les sombres mĂ©andres de la mĂ©lancolie, 1106- Dans les doux RÊVES narguant votre insondable folie. 1107- La Vie n’est qu’un PoĂšme sans fin 1108- Qui ne peut se briser en un coup de main. 1109- S’arrĂȘter, enfin se reposer; bĂątir la PAIX, 1110- N’avoir en toi qu’un seul Pouvoir celui d’aimer. 1111- N’oubliez pas le Sentiment de votre Coeur; 1112- La PAIX est la ClĂ© du Bonheur
 1113- Oubliez un instant vos diverses Croyances; 1114- Ne foncez pas la TĂȘte baissĂ©e et inconsciente; 1115- Oubliez les mythes qui transcendent l’infini, 1116- Qui vous pousse parfois, malgrĂ© vous, Ă  obĂ©ir. 1117 Le Bonheur et la PAIX ne rimeront JAMAIS 1118- Avec forces ou actes sauvages insensĂ©s! 1119- Ne rĂȘvons plus de PAIX, combattons la guerre, 1120- Armons-nous de l’Amour, oubliant le linceul, 1121- Enfin, crĂ©ons la Vie, pour couronner la PAIX! 1122-Oublions un instant ce RÊVE de Bonheur, 1123- Pour penser quelque peu Ă  nos propres erreurs, 1124- N’est-ce pas l’Homme la source de son propre malheur 1125- Ce Monde parfait nous y avons tous pensĂ© 1126- Beaucoup se sont rĂ©siliĂ©s 1127- Moi mĂȘme je l’avoue j’ai cessĂ© d’espĂ©rer 1128- On ouvre les Yeux au fil des annĂ©es 1129- DĂ©solĂ© si ma vision peu choquer 1130- Mais l’homme ne pourra jamais changer
. 1131- Sur le Chemin de la Vie, on y passe qu’une fois; 1132- Mais dans le Coeur d’un Ami, on y reste toujours prĂ©sent. 1133- Ne piĂ©tinons pas l’Espoir, renforcissons l’Espoir; 1134- Qu’il ne devienne pas dĂ©sespoir
 suffit d’y croire. 1135- Il porte de si beaux noms Toi, eux, moi, Nous. 1136- Multiplions-le, il sera fort grĂące Ă  nous! 1137- Oh, mes Amis, soyez certains 1138- Des joies que l’on peut prĂ©parer
 1139- À toute Âme, Ă  tout Être humain, 1140- Avec un peu d’HumanitĂ©. 1141- L’Amour sans fin
 la PAIX sans chagrin. 1142- La Mer fait ses vagues
 comme c’est morose! 1143- Les Fleurs reviennent
 ça va sentir bon. 1144- La PAIX sur Terre devrait ĂȘtre comme le Soleil 1145- Des Enfants qui meurent de faim et qui ont du chagrin. 1146- Cette PAIX tant recherchĂ©e et pourtant redoutĂ©e, 1147- Sera-t-elle le dĂ©but d’un nouveau Monde 1148- OĂč les Enfants diront Je t’aime » comme on dit Bonjour »? 1149- C’est tellement plus simple dire Je t’aime » 1150- Mais pourquoi sans fin une Vie de bohĂšme? 1151- Les Enfants seront le Reflet de notre BeautĂ©. 1152- La TolĂ©rance
 c’est une Fleur de la Sagesse 1153- Et quand j’y pense
 de la Jeunesse Ă  la Vieillesse 1154- Une Semence
 dans le Jardin des amitiĂ©s 1155- Et quand j’y pense
 c’est du Soleil dans ma JournĂ©e, 1156- Une Semence
 pour cette PAIX pleine de Promesses 1157- Et quand j’y pense
 c’est dans ma Vie de la Tendresse 1158- La TolĂ©rance
 c’est le Fruit de mes Rencontres 1159- Et quand j’y pense
 un Oeil ouvert sur le Monde 1160- Et quand j’y pense
 l’Espoir de changer le Monde 1161- Et quand je m’éveille
 pour changer le Monde 1162- En un milliĂšme de seconde, 1163- Je vois germer la PAIX sur des ruines immondes. 1164- La PAIX fait partie de ce qu’il y a de plus beau 1165- Quand j’y pense, sĂ©rieux, je la veux trop 1166- Mais dans ce Monde austĂšre, elle ne peut t’arriver 1167- Car les gens ne sont pas prĂȘts Ă  partager, 1168- Alors qu’ils pourraient respirer la Joie de vivre, 1169- Alors ils prĂ©fĂšrent s’enterrer de leur rĂ©alitĂ© 1170- Tels des vampires en Soif de rĂ©demption, 1171- Ils ne peuvent voir la LumiĂšre de la PAIX. 1172- MĂȘme si Ă  chaque seconde je n’arrĂȘte d’y penser, 1173- On ne peut rien y changer! 1174- La PAIX, l’Amour n’ont pas de prix, 1175- La guerre elle en a un, la misĂšre, la haine, la mort. 1176- À l’aube, lors de notre Éveil, 1177- Tout ne nous semble plus pareil. 1178- Pour une Cause tans espĂ©rĂ©e, 1179- Tant de morts et de blessĂ©s. 1180- La PAIX est au seuil de notre porte, 1181- Unissons-nous contre les ordres 1182- Pour gagner ce qui nous est dû  1183- Un Monde oĂč la guerre ne serait plus. 1184- Implorer le Ciel, Dieux de toutes Religions, 1185- Grandes supplications. Est-ce la Solution ? 1186- Ne sommes-nous pas assez grands, nous les Hommes 1187- Pour s’apercevoir de l’horreur de ces guerres ? 1188- Pensons Ă  nos Enfants, posons les Actions qui en somme, 1189- Retourneront la situation et rendront la PAIX Ă  cette Terre, 1190- Car si nous ne mettons pas fin Ă  ces guerres, 1191- Pour nos Enfants, ce sera un enfer. 1192- Il nous faudrait un jour, vivre sans les conflits raciaux 1193- Des grandes guerres internationales 1194- Jusqu’aux batailles les plus banales 1195- Qui feront rĂȘver tous ces gens, 1196- Des esquisses sans Ă©gal 1197- Gisant sur les bancs de guerre. 1198- Guerres, conflits et pauvreté  allez-vous en! 1199- Un Monde sans vous est plus que tentant. 1200- Je rĂȘve d’un Univers qui n’existe point. 1201- Alors peut-ĂȘtre prĂ©fĂšrerais-je aller dans mon coin 1202- Pour continuer de rĂȘver 1203- Et espĂ©rer qu’un jour mon RÊVE deviendra RĂ©alitĂ© 1204- Car jamais on a voulu de guerre, 1205- Mais l’Univers Ă©tant lui-mĂȘme issu d’un point, 1206- Point besoin de chercher midi Ă  quatorze heure 1207- Nous sommes ici assujettis Ă  un Destin 1208- Celui de parvenir Ă  l’auguste Bonheur. 1209- Grandir et faire grandir tout ce qui nous entoure 1210- Vivre l’Économie , la seule, l’unique 1211- Celle qui appelle Ă  gĂ©rer les Instants du Jour 1212- Les PlongĂ©es et Envols de la nuit mystique. 1213- La guerre se trouve partout, Dieu n’y est pour rien 1214- La PAIX se cache en nous, dans la cage thoracique 1215- OĂč le Coeur alourdi par le manque de lien 1216- Entre l’Âme et le Corps et l’Esprit, c’est classique, 1217- Finit par calcifier alors qu’une dĂ©cision 1218- Suffirait largement Ă  changer la PlanĂšte, 1219- Prenons-lĂ  en Puissance et le proche Horizon 1220- Montrera comment se prĂ©pare la FĂȘte 1221- Lorsque le Ciel est clair les nuages sont beaux, 1222- DĂ©cidons d’allumer Flambeaux et Chandelles 1223- PlutĂŽt que de maudire la nuit, les yeux clos, 1224- Nous pouvons tellement pour que la Vie soit belle. 1225- Quand la LumiĂšre jaillit du Phare de l’EspĂ©rance, 1226- Le Monde offre Ă  nos Yeux de nouvelles Couleurs 1227- Pour que dans notre Vie, oubliant les souffrances, 1228- Un Arc-en-ciel ami partage notre Bonheur. 1229- Que ce Bonheur soit digne d’une Fleur. 1230- Autrefois, les Gens recherchaient l’Harmonie; 1231- Aujourd’hui, c’est la haine, la violence et la guerre. 1232- Mon Dieu! Il est grand temps que ça change. 1233- Le Monde est dans la misĂšre, le Monde est Ă  l’envers; 1234- Les Principes sont bafouĂ©s, les Lois controversĂ©es, 1235- Les Familles divisĂ©es, les Enfants rĂ©voltĂ©s. 1236- De tous les coins de la PlanĂšte, 1237- La mort rafle les Coeurs et les Corps, 1238- Les Enfants, les Adultes, mĂȘme les Vieillards
 1239- Dans les AnnĂ©es deux mille, avant de tout faire sauter, 1240- Il y a tant d’autres Façons de bien communiquer. 1241- Oh ma Terre si chĂšre Ă  ma Vie, si chĂšre Ă  mon Coeur! 1242- Pourquoi n’es-tu que tourment, violence et mĂ©pris? 1243- Tonnerre, Ă©clairs et orage ont remplacĂ© le Bonheur 1244- Qui avait pris chaire Ă  mon Corps sans rĂ©pit. 1245- Dieu si bon, Ă©coute ma plainte; 1246- Écoute mes secrets
 1247- Crie pour me sauver, pour Ă©carter mes craintes; 1248- Reste, mon Divin, reste pour m’instaurer la PAIX. 1249- Crions, Ă©crivons, Ă©tirons ce Parchemin 1250- Car encore notre Route pavĂ©e d’or, s’est noircie! 1251- Crions, affichons Ă  la face d’un Monde meurtri, 1252- Notre En-Vie » de nous souhaiter de beaux Lendemains, 1253- Notre Vie sans besoin de trimer pour s’offrir du bon Pain. 1254- Je rĂȘve d’un Univers qui n’existe point. 1255- Si le Soleil s’incline face Ă  ces regards, 1256- C’est que seul, il sait que demain sera plus noir. 1257- Je ne vais pas Ă©crire cent mots 1258- Pour dire qu’il faut arrĂȘter de se battre dans le Monde, 1259- Les guerres commencent et ne s’arrĂȘtent jamais, 1260- Il faut cesser de s’entretuer et faire la PAIX; 1261- Effaçons de notre Vision le mal que nous faisons, 1262- Car pour nous en dĂ©livrer, nous devrons d’abord le repousser 1263- De nos Vies si malmenĂ©es puis espĂ©rer 1264- De beaux Lendemains faits d’Amour , 1265- Faits d’un Amour qui durera toujours. 1266- Un Monde sans guerre dons nous pourrons enfin ĂȘtre fiers, 1267- Un Monde que nous aurons tous construit, 1268- Un Monde qui tous
 nous rĂ©unit. 1269- Si nos Amours ne sont pas rĂ©alisables, 1270- Faisons en sorte qu’elles soient heureuses 1271- Et si ce n’est qu’une Ă©preuve passable, 1272- Faisons qu’elles ne tombent pas dans cette roue creuse. 1273- Humains, Faunes et Flores vivent sans dĂ©dain. 1274- Aujourd’hui utopie, mais sait-on Demain? 1275-RĂȘvons tous Ă  ce Monde aux failles assagies. 1276- Miroitant de Couleurs, nos Esprits Ă©largis 1277- Osent s’associer en un chatoyant Soleil, 1278- Nuit et jour, la Terre cohĂ©rente s’égaye
 1279- Indiens et Africains vivaient dans la Sagesse, 1280- Éternelle Nature, comme la loi, leur maĂźtresse. 1281- Toute IdĂ©e, sourde ou mĂ»re, ou pesante, ou futile, 1282- S’élĂšve et de son Souffle Ă©closent cent Soleils; 1283- Nos RÊVES sont si purs qu’à nus autre pareils 1284- Ils n’en restent pas moins universels. 1285-La guerre encore est lĂ  au pas de notre porte 1286- Attendant pour semer de sa moite main morte 1287- Les obscures pensĂ©es d’une affreuse discorde. 1288- Mais les Hommes Ă  leur arc ont bien plus d’une corde! 1289- Et sous le Ciel tĂ©nu d’une aurore sanglante 1290- Se dresse libre et fier le Bonheur en orante, 1291- Attendant que le vent de la dĂ©solation 1292– Ne soit plus qu’une peur dans le Coeur d’un Garçon, 1293- Petit Être tĂ©nu au fond d’un lit douillet, 1294- Ne connaissant de Dieu que ses Oeuvres de PAIX. 1295-Pourquoi cette Route vers la PAIX se montre-t-elle si difficile ? 1296- Alors que les Hommes pourraient ensemble s’unir, s’entraider, se soutenir, 1297- Un mal les pousse Ă  se haĂŻr, Ă  s’entretuer pour un morceau de Terre 1298- Quel est ce mal
? Peut-on l’exorciser pour que la PAIX s’installe enfin
 1299- Et pour que nous puissions nous tendre la Main. 1300- Que la Vie coule entre nos Mains. 1301- Pour que plus personnes n’ait faim ou froid, 1302- Mettons fin Ă  l’effroi!
 1303- Que le Coeur des Hommes soit empli de PAIX; 1304- Que la peur n’y trouve plus sa Place
 1305- Que cette Place soit remplie d’Amour et de Bonheur! 1306- Qu’elle est merveilleuse la PAIX partagĂ©e au quotidien, 1307- S’en prier pour quelque raison que ce soit est appauvrissement. 1308- Le malheur d’autrui ne devrait jamais rĂ©jouir l’Humain 1309- Heureux sont ceux qui en siĂšcle, sĂšment la Graine de PAIX, 1310- Ils moissonneront certainement le Bonheur en belle Saison. 1311- La notion du Bonheur diffĂšre, mais Ă©coutez-moi mes frĂšres humains; 1312- Laissez parler votre Coeur qu’à travers chaque Battement
 1313- Il vous dit qu’aimer sincĂšrement, 1314- C’est le vrai Bonheur. 1315- Aimer, c’est la plus belle chose qui puisse exister
 1316- Il faut s’aimer les uns les autres pour vivre en PAIX! 1317- Ne laissez pas autrui vous maltraiter. 1318- Croyez en vous et au Bonheur 1319- Que vous pouvez apporter au Monde entier 1320- Pour qu’enfin dans ce Monde haineux
 1321- Il n’y ait plus de pleurs? 1322- Pour que mĂȘme Ă  Bagdad, on s’aime, 1323- Jetons une Bouteille Ă  la Mer
 1324- Qui par les OcĂ©ans, portera l’IdĂ©e mĂȘme, 1325- InĂ©puisable, d’une PAIX pour notre Terre. 1326- Et ton sac Ă  dos, oĂč fleurit 1327- La latence de l’oekoumĂšne, 1328- SĂšmera les Fruits de la croix 1329- Et l’AubĂ©pine vibrera en Irak 1329- Dans l’Alliance
 inĂ©puisable. 1330- Le Monde est sens dessus dessous, aucune structure, 1331- Notre peine depuis la nuit des temps n’est pas mure, 1332- Les mĂ©chants ne sont pas des mauviettes; des tueurs, 1333- Les Écritures n’ont plus de sens, l’écho de la rumeur. 1334- L’Homme est sans cesse en knock-down, jusqu’oĂč? 1335- Le sang toujours le sang pour martyriser notre goĂ»t, 1336- Rien n’est plus beau que la Vie sous le Soleil radieux, 1337- Enfant source du Bonheur, une Étoile dans les Cieux. 1338- Les Voyages ne forment plus la Jeunesse dans l’Esprit, 1339- Prix Ă  payer, l’arrivĂ©e de bombes humaines qui crient, 1340- Je vois la Rose de l’Avenir, mais oĂč sont les Ă©pines? 1341- La piqĂ»re est bien plus vive, tout vient des racines. 1342- La plante du mĂ©chant est mitigĂ©e, elle doit vivre, 1343- Et la taille mĂ©thodique, rĂ©flĂ©chie, suivent le livre, 1344- Afin que le mot exterminer » soit anĂ©anti, banni 1345- Beaucoup de Soins et de Sagesse pour la Vie. 1346- La Vie se construit avec le Coeur, 1347- Mais la Raison, altĂšre son Labeur. 1348- Ô Terre! MĂšre de notre Univers, 1349- Rejette l’Esprit de l’Homme pervers 1350- Et que de l’ombre
 surgisse la LumiĂšre et la Lueur 1351- De l’Espoir Ă©ternel d’un Monde sans guerre, 1352- D’un Monde sans terreur, 1353- Une LumiĂšre sacrĂ©e qui brillera sans fin
 Ă  jamais 1354- Pour enfin rĂ©gler l’ÉgalitĂ© et la PAIX. 1355- Cette Perle lumineuse, brillera dans nos Coeurs, 1356- Les animant d’un RĂ©chauffement sans terreur; 1357- C’est peut-ĂȘtre cela qu’on nomme naturellement PAIX » 1358- Ce Mot que nous graverons en lettre dorĂ©es. 1359- Je fais ce RÊVE
 que les Enfants de la Terre 1360- Marchent un Jour, Main dans la Main, tels de vrais FrĂšres 1361- Jaunes, blacks, blancs, beurs, l’UnitĂ© dans leurs Coeurs. 1362- Pour enfin pouvoir aimer en PAIX 1363- Pour que le soleil brille 1364- Et que l’Amour envahisse nos Coeurs et nos Âmes. 1365- De nos Âmes apaisĂ©es, naĂźtra la LumiĂšre, 1366- De nos Âmes en colĂšre, naĂźtront les tĂ©nĂšbres. 1367- Suivons ces tĂ©nĂšbres pour voir des Lueurs, 1368- Suivons ces Lueurs pour voir la LumiĂšre, 1369- Suivons la LumiĂšre pour pouvoir vivre cette Vie
 1370- Elle a tant Ă  offrir malgrĂ© les gĂąchis. » 1371- PAIX et Joie rĂšgneront lorsque le Jour se lĂšvera 1372- Et que ce Monde le mĂ©ritera, 1373- Alors faisons en sorte que ce soit le cas
 1374- MĂ©ritera tous ces moments de pur Bonheur, 1375- Moments que seul l’Amour et l’AmitiĂ© apporteront, 1376- Qui ne sont lĂ  que pour Ă©gayer nos Coeurs 1377- Et que depuis toujours, jamais rien n’emporte, 1378- À ces doux et rares instants, ouvrez votre porte. 1379- Peut-ĂȘtre que la PAIX est plus que le Bonheur? 1380- Reviens-moi, ma PAIX, toi que j’aime, 1381- Que je cherche partout dans la douleur, 1383- MalgrĂ© la fatigue, les maux et les pleurs 1384- Toi l’Essence de ma Vie, 1385- Toi CrĂ©atrice de mon Paradis, 1386- Reviens-moi afin qu’on soit unis. 1387- Si tu veux que je vive toujours prĂšs de toi, 1388- Alors tu accepteras toute Langue, toute Race, 1389- Et tu retrouveras ton vĂ©ritable Rang et ta Place. 1390- De mon Amour, je lutterai et chasserai l’étranger de mon CƓur la guerre, 1391- Afin que tu puisses y habiter en moi et sur toute la Terre, 1392- Afin que je puisse y vivre avec toi et sans jamais avoir peur. 1393- Quand viendra cette heure? 1394- Seigneur, nous savons ce que nous sommes, 1395- Mais nous ne savons pas ce que nous pouvons ĂȘtre. 1396- Et dans chaque Être demeure une multitude d’Essences 1397- Dont les Parfums se dĂ©posent au RĂ©veil des Sens 1398- Afin que toutes les Graines semĂ©es Ă  la Naissance 1399- Poussent en PAIX dans le Jardin de la Connaissance. 1400- En PAIX, nous vivrons nos Amours et nos Bonheurs 1401- En PAIX, nous Ă©changerons nos Joies et malheurs 1402- En PAIX, nous serons fiers de nous Ă  toutes les heures 1403- En PAIX, nous partagerons nos Vies sans heurts 1405- La PAIX est une chose recherchĂ©e par tous 1406- Mais personne ne donne un coup de pouce 1407- Pour bĂątir un nouveau Monde basĂ© sur la PAIX. 1408- Mais nous ne sommes pas dans un conte de fĂ©e 1409- Et pour que cela ne soit pas une utopie, 1410- Nous devons cesser de nous voir en ennemis 1411- La PAIX est la chose la plus convoitĂ© au Monde. 1412- Pour que nos Enfants puissent croire encore aux RÊVES, 1412- Et puissent grandir dans un Univers de PAIX. 1413- Et qu’éclate en mille morceaux la violence, 1414- Pour qu’à jamais rĂšgne la PAIX de l’Indulgence, 1415- Pour que nous vienne la Chance. 1416- Que la PAIX, l’Union, l’Amour et la FraternitĂ© 1417- Soient une BĂ©nĂ©diction pour tous les Hommes de la Terre. 1418- Pour avoir la PAIX dans notre Monde, 1419- Il ne faudrait plus aucune personne raciste 1420- Et comprendre que tous pareils nous sommes 1421- Et que tous, on existe
 1422- La PAIX est affaire d’ intĂ©rieur 1423- Mais il y a toujours une salle 1424- Verte Ă  Versailles, blanche Ă  Washington. 1425- LĂ  ils sont peu mais trĂšs bosseurs. 1426- Nous sommes nombreux jeteurs de balles, 1427- Mais leurs boulets pĂšsent des tonnes 1428- Oeuvrons chacun dans nos Vies, 1429- Coupons leurs infos mercantiles, 1430- Soyons moins sots buveurs de lies 1431- Et pensons d’ĂȘtre un peu utiles. 1432- N’ayons crainte de nous rassembler 1433- Comme des millions d’épis de blĂ©, 1434- C’est marquĂ© La Vie nous souhaite de beaux lendemains 1435- Jusqu’à notre fin et peut-ĂȘtre plus loin! » 1436- On ne doit pas se laisser faire 1437- Et regarder au delĂ  de l’enfer. 1438- Nous pouvons devenir mieux que ce que nous sommes; 1439- Il n’y a aucune limite, mĂȘme si nous ne sommes que des Hommes. 1440- La PAIX doit rĂ©gner. Nous devons nous rassembler 1441- Et avancer ensemble vers l’Avenir 1442- Qui risque de nous sourire. 1443- Si nous sommes assez patients et tolĂ©rants
 1444- Il faut assurer l’Avenir de nos enfants, 1445- Qu’ils suivent l’Étoile qui brille au firmament. 1446- Pour qu’ils puissent grandir et nous sourire en retour
 1447- Mes Soeurs et mes FrĂšres de la Terre entiĂšre 1448- Rassemblons-nous, ouvrons nos Coeurs Ă  l’Amour 1449- Que nos PensĂ©es et nos Actions soient MessagĂšres 1450- D’un Nouveau Monde de LumiĂšre pour toujours ! 1451- DĂ©couvrir les BeautĂ©s du Monde Ă  tous moments. 1452- Sans se demander le Temps qu’il nous reste 1453- Avant la fin du Monde catastrophe ou peste
 1454- Profitons de le Faune et de la Flore, 1455- Soyons Ă©merveillĂ©s Ă  chaque nouvelle Aurore. 1456- Il faut maintenant devenir des Adultes 1457- Pour transformer enfin ce Monde de brutes. 1458- Que notre Terre devienne un petit Paradis 1459- OĂč chacun de nous rĂȘvera de faire sa Vie. 1460-Alors aujourd’hui, des maintenant, 1461- Nous qui sommes Parents, 1462- Retrouvons cette Harmonie universelle 1463- Qui nous redonnerait nos Ailes 1464- Pour que chaque petite Parcelle 1465- Fasse vivre chaque Jour Ă  nos Enfants, un Amour Éternel. 1466- Amenez votre enfant Ă  ne vouloir que le Bonheur 1467- Pour que chacun de nous ait l’Honneur 1468- D’avoir participĂ© Ă  un Monde meilleur. 1469- Et que la PAIX un soir, arrive sur ce Monde 1470- Portant dans ses Bras blancs cent et mille Colombes 1471- Que nous pourrons lĂącher aux quatre coins de Terre 1472- Porteuses de Rameaux d’olivier! O MystĂšre, 1473- Nous verrons en tous lieux, pĂ©rir les exactions 1474- Les armes vont tomber, les fĂ©roces lions 1475- Boiront, sans Ă©gorger les timides Gazelles 1476- De tous les Horizons, viendront Ă  tire-d’aile 1477- Les Anges de l’Amour, porteurs d’HumanitĂ© 1478- Et nous entonnerons des Chants de LibertĂ© 1479- Pour qu’enfin tous les Hommes soient aimĂ©s 1480- Que tous les Pays enlĂšvent leurs armĂ©es
 1481- De ces Terres affamĂ©es 1482- Et que la violence soit remplacĂ©e par la PAIX! 1483- Demandez Ă  ĂȘtre aimĂ©s, faites pour que vous soyez aimĂ©s, 1484- Donnez ce que vous aimez, aidez les Gens autour de vous, 1485- Ce sera trĂšs apprĂ©ciĂ©, prenez-vous en main pour une vraie fois, 1486- Pardonnez Ă  votre ennemi. Il faut avoir du Courage, 1487- Avancez vers ce que vous voyez au fond de vous; 1488- Vous serez rĂ©compensĂ©s par votre Bonheur. 1489- Veillez sur chacun et chacun veillera sur vous. 1490- Une Étoile scintille en signe d’AllĂ©gresse ; 1491- Transformons par l’AMOUR ce qui n’est que tristesse 1492- Quand dĂ©ferle soudain l’horreur du TSUNAMI 1493- L’Homme est universel, l’étranger un Ami , 1494- Un FrĂšre dĂ©muni dont la grande dĂ©tresse 1495- Nous imprĂšgne si bien
 que gagne la Tendresse, 1496- Puissions-nous terrasser l’effroyable ennemi 1497- Pourfendeur d’innocence en un Monde endormi
 1498- Et nous dĂ©couvrirons la plus belle des Saisons 1499- Notre Existence effectuera sa Floraison 1500- La dĂ©raison ne cherchera plus de Raisons 1501- Les portes de l’Amour ouvriront notre Maison. 1502- Afin que chacun propage ce DĂ©sir de PAIX avec Passion, 1503- Il nous faut la cultiver sans modĂ©ration. 1504- Mais ce PoĂšme si long apporte Ă  notre cour 1505- Tout l’Amour nĂ©cessaire pour combattre la douleur, 1506- Il permet au plus faible de connaĂźtre le Bonheur, 1507- Et il montre aux plus forts, l’existence du malheur ! 1508- Il ne s’arĂȘte pas lĂ , il montre aux dĂ©munis, 1509- À quoi servent les vrais Amis, 1510- Mais il explique Ă©galement, 1511- Que le monde entier va de l’avant. 1512- Personne ne sera plus piĂ©tinĂ©! 1513- Par quelqu’un d’enragĂ©, 1514- Qu’il soi homme, femme, ou bĂ©bĂ©, 1515- Car nous sommes tous la pour l’aider! 1516- Laissons Ă  nos Enfants cette douce LumiĂšre 1517- D’une Terre fleurie de Bonheurs qu’ils espĂšrent 1518- Remplie d’une douce Odeur d’Amour et de Compassion. 1519- La PAIX toute petite et si fragile. 1520- Sait-elle que sa Vie ne tient qu’a un mince fil? 1521- Certaines personnes sont tombĂ©es dans un trou noir. 1522- Trouver la sortie, elles en ont perdu l’Espoir. 1523- Comment les aider Ă  sortir par l’aventure? 1524- Il faudrait d’abord que nous trouvions cette fissure! 1525- Oublions quelques instants la tristesse et la douleur. 1526- Laissons entrer le Bonheur et pas le malheur. 1527- La PAIX, un Bateau qui ne doit pas faire naufrage. 1528- Sinon il faudrait un pĂ©rilleux Sauvetage. 1529- Ne laissons pas place Ă  l’hypocrisie. 1530- Mais laissons entrer le Bonheur de la Vie. 1531- La Colombe de la PAIX ramĂšne la FiertĂ© 1532- Qui fait augmenter l’Espoir de FraternitĂ©. 1533- Au lieu de leur faire la guerre, de s’entre-tuer, 1534- Faisons la PAIX et soyons Ă  Ă©galitĂ©. 1535- Dans le Monde , on voudrait de l’Amour. 1536- Mais la peur nous entoure, pas de vautours. 1537- Partout la PAIX dans le Monde c’est fabuleux. 1538- Pas de guerre car on prĂ©fĂšre un Monde prĂ©cieux. 1539- Pourquoi cette guerre fait rage en ce beau jour, 1540- Et pourquoi les Gens ne pense pas Ă  l’Amour. 1541- La PAIX nous donne la Vie et la SĂ©rĂ©nitĂ©. 1542- S’il y avait moins de racistes sur la Terre, 1543- Nos poumons respireraient une bonne bouffĂ©e d’Air. 1544- Et le Bonheur pour voir le Monde sourire. 1545- A cause des malheurs de la guerre le voir mourir. 1546- Il faut donner, aimer, partager l’AmitiĂ©, 1547- Afin qu’on puisse avoir de la SĂ©rĂ©nitĂ©. 1548- Oublions le triste et Ă©trange malheur 1549- Et laissons venir enfin, toujours le Bonheur. 1550- Vive la Joie qui monte Ă  doux petits pas 1551- Et n’oublierons jamais plus que tu es lĂ . 1552- Pour que tous les Hommes sur cette Terre 1553- Puissent enfin vivre en FraternitĂ©, 1554- S’unir et pouvoir s’entraider est la seule raison. 1555- Que les Couleurs des arcs-en-ciel 1556- Et la ClartĂ© des Étoiles du haut de cette Terre 1557- Éblouissent toute l’HumanitĂ© 1558- Pour qu’enfin l’Amour, la Joie et le Partage 1559- Puissent s’unir Ă  travers les peuples, malgrĂ© les Ăąges. 1560- La Terre en guerre c’est comme l’ Enfant avec un cancer 1561- Alors luttons pour que revienne la PAIX sur la Terre. 1562- Toi, moi, nous, marchons fiĂšrement Main dans la Main 1563- Que nos Regards se posent dĂ©jĂ  sur Demain. 1564- Pour que la PAIX avec la Joie d’alliance tressent 1565- Avec l’Amour, des noeuds de LibertĂ©, de liesse 1566- Que nos Chants et nos IdĂ©aux clament plus haut 1567- Ce que nos Coeurs et nos Esprits rĂȘvent de beau 1568- Que le grand Homme comme le petit sans Esprit 1569- Confectionnent ensemble un Monde pour y vivre 1570- Parce que de nous encore, dĂ©pend l’Avenir 1571- Et que la Paix ne se construit pas dans les livres 1572- Mais dans le simple et si futile quotidien 1573- Comme dans nos assemblĂ©es malhabiles d’Anciens 1574- La PAIX tout comme l’Amour semble un fardeau 1576- Pour le meilleur du Bonheur et dans le pire 1577- Conscients du risque de nous affranchir de ce DĂ©fi. 1578- J’aimerais tant y croire. Mais vois ce Temps qui passe 1579- Toutes ces minutes et toutes ces secondes. 1580- Homme! Jamais vierge jamais de par le Monde 1581- Un moment libre de haine. Je me lasse. 1582- Faudrait-il en changer de cette Race humaine 1583- Oh! Grande prĂ©tention s’est dĂ©nommĂ©e sapiens » 1584- Et l’étape suivante, j’en aurais moins de peines 1585- Verrait naĂźtre l’enfant qui dirait allez viens 
 » 1586- Il n’y aurait qu’une chose Ă  bannir 1587- Les bombes et les armes Ă  venir 1588- Il n’y aurait qu’une chose Ă  souhaiter 1589- Des Sourires et des rires Ă  jamais 1591- Et si je peux, par ma contribution Ă  ce poĂšme, 1592- Apaiser les Âmes des Gens qui ont trop de haine 1593- La PAIX c’est aussi dire aux Enfants du Monde entier 1594- Que chaque Personne il faut aimer et regarder, 1595- Surtout ne pas juger les diffĂ©rences d’ethnies et de couleurs, 1596- Faire de ces DiffĂ©rences un arc-en-ciel de Bonheur. 1597- Si tous les Enfants du Monde se prenait la main 1598- Alors c’est sĂ»r il n’y aurait plus jamais de chagrin; 1599- Il faut se battre encore et toujours 1600- Pour que ces diffĂ©rences deviennent de l’Amour. 1601- Pour que ces diffĂ©rences s’effacent pour toujours. 1602- Faisons passer un Sourire de Joie et de Bonheur, 1603- Celui-lĂ  nous rĂ©chauffera tous le Coeur. 1604- Chaque Personne sait 1605- Qu’il y a une Place dans nos CƓurs pour la PAIX 1606- Ceux qui causent des attentats 1607- Qui mettent le Monde dans un tel Ă©tat
 1608- Qui provoquent la mort de leurs Parents, 1609- Finiront en vrais perdants! Malheureusement
 1610- La guerre n’est pas le Paradis, mais c’est l’enfer. 1611- Elle pollue l’environnement, elle tue des Innocents. 1612- La PAIX pour moi c’est un Jardin de Fleurs sauvages. 1613- Ta mĂšche blonde, Ă©clairĂ©e par un Rayon de Soleil en matinĂ©e
 1614- Rayon de PAIX qui t’a choisi toi, parmi des milliers 1615- Est belle et bien l’élu de la FraternitĂ©. 1616- La guerre n’apporte que des remords 1617- Et la PAIX empĂȘche les morts. 1618- Imagine un Monde parfait sans armes
 1619- Commence une Vie de Joie, sans drames! 1620- Un Monde sans guerre c’est un Monde merveilleux 1621- Dans lequel on est heureux, 1622- C’est aussi aimer la Vie, c’est vivre en Harmonie, 1623- Quand on vit en AmitiĂ©, la Vie vient en premier. 1624- Parfois on rit ou on pleure mais la Vie 1625- Est beaucoup plus belle quand on sourit. 1626- Mon IdĂ©al ne peut pas tenir Ă  ce jour 1627- Car le Monde est encore trop lourd. 1628- La guerre est aussi pour rĂ©jouir les gens qui ont plus d`autoritĂ©. 1629- Pourquoi doit-on souffrir pour vous faire plaisir? 1630- S’il y avait la PAIX dans le Monde, 1631- Ce ferait le Bonheur
 C’est Ă©pouvantable vivre dans la terreur 1632- Et toutes les journĂ©es, dans l’horreur. 1633- LĂąchez la guerre, mettez votre CƓur du bon bord 1634- Pour ainsi trouver un TrĂ©sor. 1635- Fusil et Harmonie ne seront jamais unis; 1635- Alors pourquoi les mettre dans la mĂȘme Vie? 1636- La guerre, elle qui tue, ne laisse point de Vie oĂč elle passe, 1637- Incendie, Ă©pidĂ©mie et maladie
 malmĂšnent la Vie. 1638- Et puis la guerre ne rĂšglera jamais rien. 1639- Avec la PAIX sur Terre, vaincra le Bien. 1640- Vous les soldats, vous avez des FrĂšres et Soeurs. 1641- Ne soyez pas sans CƓur, ça vous brise le CƓur. 1642- Sur la Terre nous ne voulons pas de meurtriers! 1643- Soyons pacifiques, allons au bout de nos RÊVES. 1644- Toute Vie sur la Terre va bien finir, 1645- Les Enfants vivront bien Ă  l’Avenir. 1646- Pourtant, nous pouvons arranger cela
 1647- Il ne suffit que d’un Drapeau blanc
 et voilĂ . 1648- Si nous vivons en Harmonie, 1649- Nous aurons une belle QualitĂ© de Vie.] 1650- Mais se battre mĂȘme pour la PAIX n’est-il pas 1651- Ce qu’on tente en PoĂšme de fuir Ă  grands pas 1652- Un combat – encore un – contre nous cette fois 1653- Vain combat tant il naĂźt d’une idĂ©e, d’une foi 1654- Que les Hommes ont en eux le dĂ©sir d’ĂȘtre bons 1655- Alors que bien trop avides souvent ils sont 1656- D’ĂȘtre les meilleurs, les plus ceci, les plus cela 1657- A savoir qui le plus long PoĂšme Ă©crira ? 1658- Ô Performance, toi qui dĂ©tournes notre Foi 1659- Ne pourrais-tu pas nous conduire sur la Voie 1660- Celle que dans nos PoĂšmes en vers nous dĂ©crivons 1661- Comme l’accĂšs Ă  la PAIX que nous espĂ©rons ? 1662- Peut-ĂȘtre est-ce Ă  nous de nous Ă©loigner de toi 1663- De chercher en nous-mĂȘmes la LumiĂšre et la Joie 1664- Sans convoiter ni ta Brillance ni ton Éclat 1665- Ni l’Importance que tu ne mĂ©rites pas
 1666- La guerre est dans l’air
 1667- Pourquoi pas la PAIX sur cette Terre! 1668- Que les quatre coins du Monde s’unissent enfin! 1669- Ainsi, nous aurions la Vie dĂ©livrĂ©e aux Saints, 1670- Sans laisser de traces au malheur malsain. 1671- Nous aurons des Enfants curieux 1672- Qui souhaitent ĂȘtre heureux; 1673- Qui prennent les choses au sĂ©rieux. 1674- Il existe chez l’homme une Soif pour la PAIX 1675- Qui par la LibertĂ© peut s’étancher. 1676- Reliant en profondeur notre Âme Ă  l’Univers 1677- Elle clame avec Ardeur que nous sommes FrĂšres. 1678- Elle dĂ©voile souvent le meilleur de nous-mĂȘmes 1679- Quand dans un Cri d’Amour, en un PoĂšme, 1680- Elle peut restituer nos Richesses intĂ©rieures. 1681- Puisse-t-elle toujours construire notre Bonheur. 1682- Citoyens du Monde, traversez les FrontiĂšres. 1683- Voyagez pour que votre Pays devienne La Terre. 1685- Soyez un Étranger au lieu d’ĂȘtre un touriste 1686- Vous verrez bien vous deviendrez Humaniste. 1687- Si on vous rejette de la haine et du mĂ©pris 1688- Servez vous en pour ne pas en faire autant 1689- DĂšs que vous serez rentrĂ© dans votre logis. 1690- Aimer », mot si sur Ă  dire, mais combien simple Ă  ressentir. 1691- Aimer » sentence de l’Amour, Douceur en nos Coeurs. 1692- Ce Coeur battant dans chaque poitrine de l’Être humain, 1693- Ce Coeur qui attend cette PAIX toujours remise Ă  demain
 1694- Cependant l’Âme humaine est remplie d’EspĂ©rance. 1695- VoilĂ  pourquoi aurons-nous peut-ĂȘtre un jour la Chance 1696- De vivre dans un Monde ou la PAIX est devenue Tendance. 1697- Dans un RÊVE, j’ai vu de jour, que l’on pouvait 1698- Vivre sur notre Terre l’Amour, Main dans la Main. 1699- J’ai pris mon RÊVE par le bras, et lui ai dit 1700- Va Ă  chacun expliquer ça, je t’en supplie; 1701- S’aimer pour le Meilleur, sans arrĂȘt, tout se donner; 1702- Remplacer tout par le Bonheur, sans compter, 1703- Tirer dans l’oubli les colĂšres, quelles qu’elles soient, 1704- Condamner Ă  Vie la misĂšre par une loi 1705- Pour qu’au Bonheur sur notre Terre, chacun ait droit. » 1706- L’Amour, si excitant, vibrant comme le bruit du tambour, 1707- Il est en nous et tout autour
 1708- Pour nous faire palpiter et pour nous donner 1709- Des ailes, des rĂȘves et de nouvelles rĂ©alitĂ©s. 1710- Et nous dĂ©couvrirons la plus belle des Saisons 1711- Notre Existence effectuera sa Floraison 1712- La dĂ©raison ne cherchera plus de raisons 1713- Les Portes de l’Amour ouvriront notre Maison. 1714- Un Oiseau tombe de son nid 1715- Seul, triste, soufrant
 il crie 1716- À l’aide Ă  l’aide, toi qui es loin Ă  l’abri, 1717- Tu ne te soucies de rien, tu vis ta Vie. » 1718- Dans un Monde meilleur, il aurait dit 1719- Je suis ton sauveur cher ami. » 1720- Dans notre Monde, il dit 1721- Je viens Ă  ton secours malgrĂ© les dĂ©fis, 1722- Rendons le Monde meilleur et uni, 1723- Pour que la PAIX rĂšgne, pour vivre au Paradis. » 1724- Et faire que le Paradis, soit aussi
 ici; 1725- Que plus jamais personne ne souffre, 1726- Ou ne soit abandonnĂ© dans un gouffre. 1727- Et nous Ă©crivons tous ces vers, 1728- Pour le Bien de notre bonne vieille Terre 1729- Qui ressemble plus Ă  l’enfer qu’au Paradis sur terre. 1730- Je me demande parfois comment nos Enfants nous voient! 1731- Regardez ce qu’on leur laisse
 ils grandissent dans le stress! 1732- Ils voient la blanche Colombe annĂ©e aprĂšs annĂ©e, 1733- Qu’on leur promet depuis si longtemps, s’éloigner. 1734- Mais il tient Ă  chacun de faire de cet Univers 1735- Un Monde un peu moins laid
 mĂȘme Ă©phĂ©mĂšre. 1736- La PAIX, chose si difficile Ă  obtenir 1737- Tant de Gens ne font que s’abstenir 1738- La violence
 sa trace, elle l’a laissĂ©e 1739- Il y a dĂ©jĂ  plusieurs annĂ©es. 1740- Tant de Gens ne peuvent plus se regarder dans les yeux, 1741-Il faudrait tous se mettre ensemble et faire un voeu 1742 demander d’aimer notre voisin
 notre prochain, 1743- Vivre chaque Jour comme s’il Ă©tait le dernier, 1744- Dire aux gens que vous les aimez, 1745- Faire un sourire Ă  ceux que vous rencontrez durant la journĂ©e, 1746- Prendre la Main de ceux qui en ont besoin. 1747- Les prendre dans tes bras comme s’ils Ă©taient les tiens. 1748- Ne laisse pas la colĂšre t’envahir
 1749- Dis Ă  la violence de s’enfuir! 1750- Ne renie pas celui qui te tourne le dos, 1751- Prends-lui la Main et montre-lui ce qu’il y a de plus beau. 1752- Va te coucher dans ton lit et passe une bonne nuit, 1753- RĂȘve Ă  tout ce qui pourrait arriver 1754- Si tout le Monde pouvait s’aimer. 1755- S’aimer sans fin, comme ces vers
 ne plus s’arrĂȘter. 1756- Pourquoi faut-il des Mots pour exprimer les maux ? 1757- Depuis toujours, l’homme veut le pouvoir et l’argent. 1758- En chemin, il a perdu son Coeur. Maintenant 1759- Il pleure de ne pas ĂȘtre aimĂ© de tous ses FrĂšres. 1760- Quand enfin, vont s’arrĂȘter toutes ces guerres ? 1761- Si nos Coeurs s’ ouvraient tout entier sur cette arrivĂ©e, 1762- Si toutes nos Âmes pouvaient enfin se libĂ©rer
 1763- Comme si la Terre en son Coeur s’animer, 1764- D’un RÊVE dĂ©licieux devenu RĂ©alitĂ© 1765- Vivre
 Plus pour fuir et Ă©viter le Pire 1766- Que la triste guerre et la tension font subir, 1767- À des Gens pleins d’Espoir, mais qui ont perdu Pieds 1768- Sur cette Terre oĂč ils sont NĂ©s, et un jour vont mourir
 1769- Pardonnez! RĂȘvez! Ensemble, Ă©crivons ce Livre! 1770- Tant qu’il y a de la vie, il y a de l’espoir. 1771- Mais la Vie sans la Paix fait mal Ă  voir. 1772- Les Paradis sont toujours ceux que l’on a perdus 1773- Mais nous ne recherchons que la PAIX! 1774- Sans trop demander, sans trop dĂ©sespĂ©rer. 1775- Imaginez un Paradis pour ne pas le perdre de vue ? 1776- Ou rĂȘvez d’un petit Espoir de PAIX ? 1777- DĂ©sormais j’ai choisi, Ă  vous maintenant de dĂ©cider
 1778- Il ne suffit pas que de rĂȘver ou d’imaginer; 1779- La Vie, nous devons la voir de tous ses cĂŽtĂ©s, 1780- Elle est parfois , maganĂ©e, dĂ©figurĂ©e
 1781- Comment avons nous pu arriver Ă  un Monde sans pitiĂ© 1782- OĂč la criminalitĂ© ne cesse d’augmenter? 1783- Nous devons sortir de notre conte de fĂ©e, 1784- Nous ouvrir les yeux pour voir un peu la rĂ©alitĂ©! 1785- la changer
 nous pouvons encore y arriver 1786- Il ne suffit pas que d’espĂ©rer, mais de rĂ©agir. 1787- Cette Terre, nous pouvons encore la guĂ©rir. 1788- Un Monde en PAIX nous le voulons
 1789- Pour le crĂ©er
 nous combattrons. 1790- Respectons les Anciens qui ont tout bĂąti 1791- Et aidons les Petits qui assureront notre survie. 1792- Face Ă  la loi du plus fort, la PAIX doit l’emporter. 1793- Si vous voulez tous nous Ă©pargner, 1794-Changez ce Monde qui est en danger. 1795- Dehors, je vois les Fleurs qui perdent leurs pĂ©tales 1796- C’est la loi des Hommes qui tuent le Monde pour tuer le mal. 1797- Il serait temps qu’on se lĂšve pour le sauver 1798- Avant qu’il ne soit trop tard pour le changer ! 1799- Faisons en sorte de crĂ©er une AmitiĂ© 1800- Qui soit internationalement enseignĂ©e 1801- Et que notre Descendance 1802- Puisse prendre conscience 1803- Qu’un Monde qui fait rĂȘver 1804- C’est un Monde de PAIX! 1805- Qui d’entre nous pourrait rĂ©parer les torts causĂ©s? 1806- Si par malheur, nous pouvions la garder, 1807- Cette PAIX tant dĂ©sirĂ©e et si souvent clamĂ©e, 1808- La Paix n’est-elle pas ce qu’il y a de mieux, 1809- Alors, allions-nous et faisons du mieux qu’on peut, 1810- Pour pouvoir ĂȘtre vĂ©ritablement heureux. 1811- Pourquoi la guerre dans le Monde? Pourtant c’est si immonde
 1812- Le Monde est fait pour s’aimer! Pourquoi ne pas pardonner ? 1813- Priez pour ces malheureux qui se font la guerre. 1814- N’ont-ils jamais eu de mĂšre qui les a aimĂ©s ? 1815- N’ont-ils jamais connu l’AmitiĂ© ? 1816- La PAIX et le Respect ne sont-ils pas plus humains 1817- Depuis qu’un Homme est venu sur Terre pour rompre le pain ? 1818- Donnez un Sens Ă  votre Existence 1819- Semez donc l’Amour et l’Indulgence. 1820- Mais puisque le mot rĂȘver ne rime point avec PAIX; 1821- Il nous faudra alors chanter encore ce mĂȘme Couplet
 1822- La MĂ©lodie du Bonheur se tarit en vos Coeurs; 1823- Sachez en prodiguer toutes ses Douceurs; 1824- Car, devant la haine et le mĂ©pris, 1825- L’Amour et la Confiance dĂ©sarment Ă  tout prix
 1826- Cessons donc ma foi, de nous battre 1827- Comme des primates pour un champ de patates 1828- Et donnons-nous plutĂŽt la Main 1829- Puisqu’à la toute fin, on ne se souviendra que du Bien! 1830- Mais pourquoi donc la guerre? 1831- Vite faisons quelques priĂšres
 1832- Pour sauver cette Terre 1833- Qui nage dans l’inquiĂ©tude et l’EspĂ©rance, 1834- En attendant que l’Humain rĂ©agisse 1835- Aux horreurs de son existence. 1836- Peut-ĂȘtre qu’un jour il ferra bon vivre 1837- Dans ce Monde, qui de Bonheur sera ivre 1838- Mais pour l’instant, cette heure et lointaine 1839- Et il n’appartient qu’à vous de rĂ©gler ce problĂšme! 1840- Si nos Coeurs eux-mĂȘmes n’ ont pas la PAIX, 1841- Comment peut-elle naĂźtre et demeurer ? 1842- Cherchons la PAIX de notre Âme d’heure en heure, 1843- Car notre vie est le Reflet du Coeur. 1844- Surfant sur le net, je suis tombĂ© sous le charme, 1845- De ce PoĂšme, rempli d’Espoir et de larmes, 1846- EntamĂ© il y a un peu plus de trois ans, 1847- Par plusieurs Enfants et jeunes Adolescents. 1848- Le sujet en est grave ; il s’agit de la PAIX. 1849- Cette initiative mĂ©rite le Respect, 1850- Car c’est, de nos tout Jeunes, une Plaidoirie, 1851- DĂ©nonçant, de notre Monde, les barbaries, 1852- HĂ©ritage empoisonnant les annĂ©es futures, 1853- Augurant pour eux de tristes mĂ©saventures. 1854- Comme l’Émotion m’a Ă©treint devant l’Espoir, 1855- De nos descendants que guette le dĂ©sespoir, 1856- J’ai dĂ©cidĂ© de me joindre Ă  leur noble QuĂȘte, 1857- Ajoutant quelques Vers Ă  leur belle RequĂȘte. 1858- Il me semble que je resterais sur ma faim, 1859- En ne poursuivant pas ce PoĂšme sans fin ». 1860- Voici ma Contribution Ă  un tel Sujet, 1861- Des prĂ©occupations, universel objet. 1862- La lecture de ce qui prĂ©cĂšde me touche ; 1863- Certains Extraits auraient pu sortir de ma bouche, 1864- Et je veux ajouter ma Pierre Ă  ce Texte, 1865- Qui, par sa Teneur, m’en fournit le prĂ©texte. 1866- La PAIX, que beaucoup appellent de leurs VƓux pieux, 1867- Ne sera possible que si les plus envieux, 1868- Renoncent, au plus tĂŽt Ă  leur cupiditĂ©, 1869- Pour, enfin, choisir TolĂ©rance et CharitĂ©, 1870- Acceptant des Humains toutes les DiffĂ©rences. 1871- Ce n’est qu’à ce Prix que nous aurons l’EspĂ©rance. 1872- Pour que la drĂŽle de guerre » soit la derniĂšre, 1873- Ne suffiront pas, plaintes, regrets et PriĂšres. 1874- Il faut unir toutes les bonnes VolontĂ©s, 1875- Pour Ă©viter d’incroyables absurditĂ©s. 1876- Nos jeunes doivent continuer le combat 1877- Ardu, entamĂ© par les Anciens, ici-bas, 1878- En ne cĂ©dant jamais au dĂ©couragement, 1879- Qui les menacera inĂ©vitablement, 1880- Car, toujours, les bonnes Causes sont critiquĂ©es, 1881- Par les incrĂ©dules, souvent mĂ©prisĂ©es. 1882- On peut, Ă  l’envie, disserter sur ce sujet, 1883- Car la PAIX restera le principal objet, 1884- Des prĂ©occupations de tous nos Descendants, 1885- De tout le Genre humain au repos aspirant. 1886- J’arrĂȘte, maintenant, ma Participation, 1887- A cette trĂšs noble Cause pour les Nations, 1888- Afin de permettre Ă  bien d’autres d’étayer, 1889- Et de poursuivre, sans arrĂȘt, ce Plaidoyer. 1890- Vouloir la PAIX , c’est bien ; y croire, encore mieux ; 1891- La rĂ©aliser, assurĂ©ment, plus glorieux. 1892- N’oublions pas que notre Monde est Ă©phĂ©mĂšre; 1893- Son Destin, fixĂ©, dans les prochains millĂ©naires, 1894- Est de disparaĂźtre Ă  l’explosion du Soleil. 1895- Il est temps, maintenant, que tous soient en Éveil. » 1896- Cette BĂ©atitude apporte le Repos 1897- Mais elle court plus loin que l’Âme des pipeaux 1898- Dans un cessez-le-feu rayonnant d’artifice 1899- Qui croirait cependant dĂ©couvrir l’Armistice? 1900- Saisissante Existence aux diffĂ©rents aspects, 1901- Sublime explosion, apparaĂźt le mot PAIX, 1902- Lors d’une relecture et non sans frĂ©nĂ©sie 1903- Tonne ton Nom illustre, ardente PoĂ©sie. 1904- Quand l’icĂŽne de la Terre dĂ©ploie sa Vastitude 1905- L’Humain n’a choix que d’assumer la solitude 1906- Ainsi naĂźtront du creux de la Montagne bleue 1907- Conscience, Amour et Paix en un PrĂ©lude Ă  Dieu ! 1908- Ouvrons nos Coeurs et anĂ©antissons ce qui 1909- Fait de nous des bĂȘtes la guerre, les tueries 1910- Et les larmes pour laisser libre cours Ă  l’Esprit, 1911- Pour rĂ©flĂ©chir et laisser les anges nous toucher, 1912- DĂ©ployer nos ailes et nous repentir des actes odieux 1913- Dont nous sommes capables et coupables 
 1914- Offrir un peu d’Espoir et de Croyances Ă  ceux 1915- Qui accablĂ©s de tristesse, ont perdu la foi. 1916- La Paix seule mĂšne son combat 1917- Contre les Hommes
 un jour elle gagnera 1918- Et le malheur sera fortement diminuĂ©; 1919- Et peut ĂȘtre rasĂ© 
. 1920- Cependant hors de ce RÊVE de PAIX, 1921- Quelques combattants continuent d’en rĂȘver 1922- EntraĂźnant avec eux l’espoir d’y arriver 1923- En comblant l’insouciance des Jeunes 1924- d’un merveilleux Secret! 1925- Alors venez fortifier cette PAIX 1926- Qui jamais ne perdure
 Oui je sais ce sera dur, 1927- Mais venez combattre le malheur 1928- Pour laisser place au Bonheur! 1929- Pour que cette PAIX ne soit plus utopie, 1930- Dans l’Amour, soyons unis 1931- Pour que la haine soit Ă  jamais punie. 1932- ConnaĂźtrons-nous un jour cette osmose sur Terre? 1933- Pourquoi pas connaĂźtre l’Extase, et le Bien-ĂȘtre! 1934- la PAIX, ce mot sonnant si doux Ă  une oreille 1935- Le RÊVE de PAIX, souillĂ© par maintes gouttes rouges vermeilles 1936- Devrait-on continuer Ă  vivre ainsi tachĂ©s? 1937- Et derriĂšre le rocher de la honte se cacher? 1938- Non, je vous le dis, la Vie peut ĂȘtre trop belle
 1939- Avancez en PAIX sur cette monture Éternelle. 1940- Un Monde en PAIX, tout le Monde en veut! 1941- Allons tous essayer de notre mieux. 1942- Faisons un Effort pour combattre le mal 1943- Avant que la fin du Monde soit fatale. 1944- La violence
 sa trace, elle la laisse 1945-Dans ce Monde ensanglantĂ©. 1946- Dans le Coeur des Hommes, la Colombe a plantĂ© 1947- Trois gouttes de son sang et malgrĂ© sa faiblesse 1948- Dans ce Monde en cloisons, les Hommes se parleront 1949- Un peu, beaucoup, peut-ĂȘtre et par un grand mystĂšre. 1950- La guerre en CĂŽte d’Ivoire, on en veut plus! 1951- Serrons nous plutĂŽt les Mains 1952- Tout en cultivant la PAIX dans nos Coeurs 1953- Pour avancer vers le progrĂšs. 1954-Écoute ton Coeur, pour obtenir PAIX sans fin; 1955- Pour avancer vers le Respect 1956- Hier, aujourd’hui, ici, ailleurs, demain, 1957- Allons, tous ensemble
 resserrons nos liens 1958- PAIX dans les Coeurs des sans abris, des dĂ©munis
 1959- De par cet Ă©tat
 eux ont pourtant tout compris
 1960- Que la luxure et le pouvoir pouvaient tout dĂ©truire
 1961- La raison des RÊVES insolites 1962- Pour nous l’Espoir est vĂŽtre, rĂȘvons de jouir de la PAIX. 1963- La sĂ©rĂ©nitĂ© fera partie de nous, rĂȘvons Ă  l’HumanitĂ© des Gens, 1964- Rassemblons-nous et construisons ce Monde. 1965- Je voulais arrĂȘter cette guerre et faire la PAIX 1966- En croyant que tout le Monde m’aimerait. 1967- J’aimerais que quelqu’un lĂšve son Regard sur le Monde abĂźmĂ© 1968- Que quelqu’un tende la Main Ă  cette Terre Ă©puisĂ©e, 1969- À cette HumanitĂ© torturĂ©e, 1970- EmpoisonnĂ©e par la haine des autres
 1971- Je voudrais que l’on arrĂȘte tous un instant de se battre, 1972- Tant avec les armes qu’avec les mots, 1973- Et qu’on s’attarde Ă  ce qui est simple et beau; 1974- Que l’on regarde pour une fois la Vie en face, tous rĂ©unis; 1975- Que l’on se rappelle que ce Monde aussi, 1976- Nous l’avons tous bĂąti ensemble
 ensemble et unis. 1977- L’arme de guerre la plus dĂ©vastatrice c’est l’argent. 1978- Les peuples, rĂ©putĂ©s les plus civilisĂ©s pourtant, 1979- Trouvent toujours de l’argent pour faire la guerre, 1980- HĂ©las, il en manque toujours pour vivre en PAIX. 1981- La PAIX n’a pas de prix, c’est l’HĂ©ritage ultime 1982- À partager entre tous les Hommes de façon unanime. 1983- Investir dans la PAIX c’est s’assurer un Avenir serein. 1984- Et pourquoi? Pourquoi chercher cette PAIX si loin? 1985- Elle est tout prĂšs de toi! Regarde ton Voisin! 1986- Tant qu’il y aura des fenĂȘtres tant qu’il y aura des murs 1987- L’Espoir pourra renaĂźtre d’un Monde oĂč la PAIX perdure. 1988- Plus proche encore, dans ton coin mĂȘme
 elle est, 1989- Et dans mon coin, en attente , prĂȘte Ă  jaillir, 1990- PrĂȘte Ă  cĂ©lĂ©brer la Joie de vivre
 si telle est notre VolontĂ©, 1991- Relaxer avec elle pour s’envoler vers la Douceur 1992- Et ainsi, apercevoir sa BeautĂ©, 1993- Comme un Cristal lumineux 1994- Qu’on aperçoit dans les Cieux, 1995- Nous faisant penser Ă  Dieu. 1996- Un seul regard nous suffit 1997- Pour regarder cette belle Vie qu’il nous a donnĂ©e 1998- Et pour, enfin, vraiment l’apprĂ©cier. 1999- Pourquoi faire le guerre et vivre la colĂšre? 2000- Il y a tant Ă  faire ici-bas sur cette Terre 2001- Aimer, aimer, aimer arrĂȘter de juger, 2002- Vivre l’Amour Ă  chaque Jour
 2003- TaillĂ© de mille facettes, 2004- Éblouissant l’Univers de ses multitudes de Couleurs. 2005- Les Gens sont tous pareils, tout le Monde veut ĂȘtre aimĂ©, 2006- Tout le Monde possĂšde un RÊVE
 Un RÊVE de LibertĂ©. 2007- En nos RÊVES, nous devons toujours croire, 2008- Un Ă  un, ils sortiront de ce tiroir. 2009- Tous ces grands Sentiments, 2010- Sont beaucoup trop importants, 2011- Pour les enfermer, les oublier dans le noir
 2012- Car cela voudrait dire qu’il n’y a plus d’Espoir. 2013- Pour que mes Enfants vivent dans la LibertĂ© 2014- LibĂ©rez votre Esprit de l’orgueil destructeur 2015- Pour moi, le sentiment de haine, 2016- De faire souffrir ceux qui nous aiment, 2017- N’est rien comparĂ© Ă  l’amour! 2018- Bien sĂ»r, la haine est partout, 2019- Mais l’Amour est quand mĂȘme, 2020- La plus Belle chose au Monde!!! 2021- Je rĂȘve d’une Terre qui serait simple et belle 2022- OĂč les fous d’Amour seraient les Princes du ciel 2023- Mon Enfant, mon Être, je te laisse un Testament, 2024- Garde cette plume que la blanche Colombe, 2025- Un matin sous le feu du fusil aux abois, 2026- Dans sa chute violente, livra Ă  nos Parents. 2027- Mon Enfant, mon Être, garde le souvenir, 2028- Entends le bruit assourdissant des bombes noires 2029- Vois le reflet planant des mines assassines. 2030- Mon Enfant, mon Être, garde cette douce Plume, 2031- Arme de tes combats, vers la Sagesse, Ă  l’aube, 2032- Face Ă  la LumiĂšre levant, elle t’emmĂšnera. 2033- Mon Enfant, mon Être, lutte contre tes craintes, 2034- Cherche la richesse en ton Coeur et ton Esprit, 2035- Accorde Ă  l’autre la DiffĂ©rence et la Confiance, 2036- Et, au rĂ©veil, transmets au Monde ce Testament 2037- Et n’oublie pas de pardonner, car bien vite passe le temps.. 2038- Chers Grands-parents, vous qui ĂȘtes partis 2039- Pour dĂ©fendre la Patrie, notre Pays, 2040- Nous vous disons merci et vous Ă©crivons cette PoĂ©sie. 2041- Vous qui ĂȘtes partis avec la Fleur au fusil 2042- Pour dĂ©fendre la Patrie, 2043- Vous qui ĂȘtes partis avec un large Sourire 2044- En croyant que vous alliez vite revenir, 2045- C’est la fleur du mal que avez trouvĂ©e
 2046- Sans jamais la chercher. 2047- C’est la fleur du mal que vous avez cueillie 2048- Sans jamais la semer 2049- Pour nourrir cette Fleur qui vous a fait souffrir 2050- Pour nourrir cette Fleur qui vous a fait mourir. 2051- Vous l’avez nourrie avec vos larmes 2052- Vous l’avez abreuvĂ©e avec le sang des armes 2053- Vous avez livrĂ© votre Âme Ă  cette fleur infĂąme 2054- Vous avez rendu l’Âme sur cette Terre en flammes. 2055- Nous avons compris tout ce que vous avez endurĂ© 2056- Le phare de Lorette nous a Ă©clairĂ©s 2057- Les combattants qui nous ont accompagnĂ©s 2058- Nous ont expliquĂ©, les tombes alignĂ©es nous ont choquĂ©s, 2059- Les tranchĂ©es de Vimy nous ont touchĂ©s 2060- Parce que nous avons marchĂ© lĂ  oĂč vous avez rampĂ© 2061- Nous avons respirĂ© lĂ  oĂč vous avez expirĂ©. 2062- Aujourd’hui la guerre est finie 2063- Nous sommes Amis. L’Amour a refleuri 2064- Et aujourd’hui si nous sommes ici, 2065- C’est pour nous souvenir des Noms gravĂ©s ici 2066- Afin qu’ils ne tombent pas dans l’oubli. 2067- Nous venons fleurir vos Noms 2068- Et dans nos Souvenirs
 ils resteront. 2069- De tout temps la guerre rythme la vie de l’Homme. 2070- Mais aujourd’hui faisons de la PAIX le baume 2071- Qui nous permettra de panser nos blessures. 2072- Hommes, Femmes, Enfants, levons nous d’un seul coup, 2073- Pour scander haut et fort d’une mĂȘme Voix pure 2074- A bat la haine, nous ne souhaitons que la PAIX » 2075- PAIX, que ce mot devienne un jour universel. 2076- PAIX n’aie plus honte de dĂ©ployer tes Ailes ! 2077- Et dĂ©truit la haine de ta tranchante Ă©pĂ©e. 2078- Jusqu’à ce jour, nous sommes les seuls ĂȘtres vivants 2079- Connus dans tout cet immense et hostile univers. 2080- Alors ne gĂąchons pas nos Vies avec des vers 2081- Comme la haine ou la guerre et partons de l’avant, 2082- Pour bĂątir un Monde qu’on appellera » PAIX . 2083- Sans la paix on ne peut rien bĂątir de durable, 2084- Ce serait Ă©tablir sur la vase ou le sable. 2085- Quel est ce Monde si cruel oĂč nos Enfants sont si purs? 2086- Pourquoi tant de haine et de souffrance 2087- Alors que le Bonheur est tout prĂšs de nous? 2088- Plus de regrets
 2089- Que des Souhaits et des RĂ©alitĂ©s Ă  exploiter 2090- Pour s’aimer sans frontiĂšres
 2091- Si l’enfer te remplace, on sait que jamais 2092- Tu ne retrouveras ta place! 2093- Ô grand jamais sans oublier 2094- La dĂ©finition du mot PAIX 2095- Et de ce fait, pense Ă  respecter tes AĂźnĂ©s. 2096- Écoute ton Coeur, pour obtenir PAIX sans fin; 2097- La guerre est dans l’air
 mais pourquoi pas la PAIX sur Terre! 2098- Nous sommes capables de faire revenir la PAIX dans le Monde
 2099- Il faut simplement prononcer le mot PAIX Ă  haute Voix. 2100- La Magie de la Transformation se fait alors Ă  l’IntĂ©rieur de soi. 2101- Et bats-toi jusqu’à la fin pour lever le Drapeau de la PAIX
 2102- Pour vivre avec ceux que tu aimeras pour toujours, 2103- RĂȘve ta Vie et vis tes RÊVES. 2104- RelĂšve la TĂȘte, sois fier et bats-toi, 2105- Bats-toi pour que ce Monde soit meilleur 2106- Pour que ce Monde soit nouveau, 2107- Bats-toi pour la LibertĂ©!!! 2108- La guerre c’est la vengeance 2109- Quand on ne peut plus se faire confiance
 2110- C’est ĂȘtre violent, c’est jouer avec la Vie, 2111- C’est se dire des mauvais mots et faire de la peine Ă  ses Amis! 2112- La guerre, c’est triste ça brise des AmitiĂ©s, ça brise des Vies. 2113- La PAIX, c’est respecter les GoĂ»ts des autres, 2114- C’est respecter leurs diffĂ©rences 2115- C’est s’amuser Ă  faire plaisir 2116- C’est s’aider, c’est se dire la VĂ©ritĂ© 2117- La PAIX, c’est plein de Bonheur pour rĂ©jouir nos Coeurs. 2118- Puisse, tel un doux Foyer, la PAIX devenir, en somme, 2119- Le plus sĂ»r des Refuges, que l’on soit Femme ou Homme. 2120- Il m’arrive de rĂȘver Ă  un Monde en couleur 2121- Tout Ă©tant LumiĂšre sans misĂšre sans douleur 2122- OĂč l’homme est reflĂ©tĂ© comme un Astre de douceur 2123- Au CƓur bienveillant s’offrant avec Chaleur 2124- Les Êtres Ă©tant Ă©gaux, ayant les mĂȘmes Valeurs 2125- Il n’y a plus de conflits et donc pas de guerre. 2126- Je veux un Monde oĂč, l’ombre des sabres, 2127- La PAIX, fera sourire la Terre
 2128- Qu’on voit sur le Visage de l’HumanitĂ© 2129- Le reflet de la SĂ©rĂ©nitĂ© de la BeautĂ©. 2130- Loin de lĂ , parmi les endroits 2131- Fleuris de Nourriture et de serrures, 2132- Les clĂ©s n’ouvrent rien, ni portes, ni jardins. 2133- Loin de lĂ , des Gens meurent de faim; 2134- Mais moi, au-delĂ  de l’Espace, j’aimerais bien, 2135- Trouver ce qui n’effacera pas la Liaison entre nous 2136- Et donner aux Enfants que nous avons nourris. 2137- S’ils ont dĂ©figurĂ© l’éloquence des larmes, 2138- Le Sourire de l’Ange est Promesse d’Espoir. 2139- J’aurais deux Âmes, je t’en offrirais une 2140- Pour protĂ©ger le reste de l’HumanitĂ©; 2141- Si j’avais deux Âmes, je te les donnerais 2142- Pour pardonner l’HumanitĂ©. 2143- Pourquoi tuer des Gens quand on peu en sauver? 2144- Pourquoi ĂȘtre malheureux quand on peu ĂȘtre heureux? 2145- Pourquoi faire la guerre quand on peu faire la PAIX? 2146- Je vous dis sincĂšrement PAIX Ă  tous! 2147- On changera le Monde en bien avec la PAIX et non la guerre. 2148- Au-delĂ  de nos barriĂšres, 2149- L’Amour n’a qu’une seule Couleur 2150- Et dans la pauvretĂ© ou la misĂšre, 2151- Nous sommes tous pareils. 2152- Telle notre DestinĂ©e je lis dans tes PensĂ©es 2153- Comme un Rayon de Soleil. 2154- À l’ombre de mes paupiĂšres, la nuit j’aimerais 2155- Entre deux MurĂšnes et une Colombe 2156- Mettre de l’Argile et du Bronze 2157- Pour y graver le Finie la fin 2158- Et si la PAIX commençait par un dĂ©but
 » 2159- J’aimerais dĂ©couvrir ce lien brisĂ© 2160 Lui redonner ces millions de fils dorĂ©s 2161- Pour que la PAIX puisse enfin 2162- Fleurir les Jardins de tout les Humains 2163-La QuĂȘte sera encore longue, 2164- Mais tous ensemble combinons nos Ondes 2165- Pour qu’arrive un jour prochain 2166- La PAIX Ă©ternelle et sans fin. 2167- Biffer le mal qui plombe au dessus de nous 2168- Laisser jaillir la Lueur d’un Espoir meilleur 2169- Voir l’Harmonie meurtrir ces annĂ©es de terreur 2170- Pousser l’HumanitĂ© Ă  affirmer sa LibertĂ© 2171- Dans un Monde oĂč la PAIX sera prĂŽnĂ©e. 2172- Tu me manques, j’ai besoin de ta PrĂ©sence, 2173- Que suis-je sans l’odeur de ta Conscience, 2174- Tout au haut de sa Puissance, 2175- Elle en fait un Havre de PAIX 2176- OĂč on aime se rĂ©fugier, se blottir. 2177- Trouver le vrai Chemin de l’HumanitĂ© 2178- Celui de l’Amour et la SĂ©rĂ©nitĂ© 2179- Ensemble, main dans la main, 2180- Nous pouvons tout recommencer, 2181- Reconstruire cette Terre adorĂ©e 2182- Et en faire notre Paradis d’Harmonie. 2183- J’aimerais trouver un RemĂšde plus que fou 2184- Qui nous permettrait d’oublier rage, violence et coups 2185- Pour ça, il faudrait une Justice partout 2186- Qui permettrait d’avoir une Loi en tout et pour tout, 2187- Pour bĂątir la Raison et extirper les fous; 2188- Mobilisons-nous, mettons-nous debout 2189- Pour qu’enfin ce RÊVE de PAIX devienne RĂ©alitĂ© 2190- Et ainsi nous pourrons prospĂ©rer 2191- En vivant avec des Mots qui auront Ă©tĂ© oubliĂ©s 2192- Car ils n’étaient plus d’aucune utilitĂ©. 2193- la PAIX est fragile, comme les tourments, 2194- Nous, Peuples de la Terre qui, de notre vanitĂ©, 2195- Ont su assujettir tous les misĂ©reux, 2196- Ayons la Compassion aujourd’hui Ă  jamais, 2197- De libĂ©rer les opprimĂ©s et de transmettre la PAIX. 2198- Aucune raison n’est bonne, pour une Âme, de pleurer, 2199- Ainsi que pour un Enfant, de ne pas jouer. 2200- Ce n’est pas la peine de pleurer, 2201- Il y a tant de choses encore Ă  prĂ©parer! 2202- C’est le temps de faire le vide
 sans que ce soit tout vide. 2203- Quand la PAIX arrivera
 2204- On commencera Ă  s’amuser et tout le Monde chantera. 2205- Ce sera le moment que tout le Monde a tant espĂ©rĂ©; 2206- Enfin ils arrĂȘteront de dĂ©sespĂ©rer 2207- Sur la Terre, il y a beaucoup trop de guerre, 2208- La guerre est faite pour dĂ©truire la Terre. 2209- Comment avoir la PAIX sur la Terre en faisant la guerre? 2210- Plusieurs personnes y perdent la Vie 2211- S’il vous plaĂźt, arrĂȘtez cette galĂšre 2212- Car elle n’a rien amenĂ© de bon jusqu’ici 2213- Dans le Monde, il faut faire la PAIX, 2214- Si le Monde Ă©tait en PAIX, on serait parfaits. 2215- Pourquoi la guerre a-t-elle existĂ©? 2216- La PAIX peut nous aider Ă  nous faire des Amis; 2217- La guerre ne sert qu’à se faire haĂŻr
 2218- L’Amour amĂšne la PAIX et l’AmitiĂ©, 2219- La guerre n’amĂšne que la mĂ©chancetĂ©. 2220- La guerre c’est mal! 2221- La Terre est sale quand il y a de la guerre. 2222- Il y a plein de militaires qui ont mal 2223- Tous les gentils se cachent de la guerre. 2224- La guerre est comme un cauchemar sans fin
 2225- Mais toute chose a une fin. 2226- La guerre est comme un Monde rempli de haine, 2227- AttachĂ© Ă  des milliers de chaĂźnes. 2228- Les guerres mondiales ont mis des Vies en pĂ©ril, 2229- Des gens ont sacrifiĂ© leur Vie pour sauver nos Vies. 2230- La PAIX ce n’est pas laid. 2231- La guerre dĂ©truit la Terre, elle dĂ©truit aussi des Vies. 2232- Ceux qui font la guerre meurent sans priĂšres, 2233- Alors leur Vie est finie. 2234- Le Bonheur ne fait pas peur car la Joie est en toi. 2235- L’Amour, pour toujours, ne joue que des tours. 2236- Le Vent, chaque instant, te guide au Sommet de la pyramide. 2237- La Terre est faite pour vivre sans guerre, 2238- La guerre apporte du malheur sur la Terre. 2239- Amenons un Monde sans chicane et sans guerre 2240- La PAIX amĂšnera la BeautĂ© sur la Terre. 2241- Sur la Terre, il y a la guerre et ça pollue l’air, 2242- Ce n’est pas trĂšs gentil d’avoir des fusils. 2243- La Terre n’est pas faite pour la guerre, 2244- Ce Message est pour notre Ăšre. 2245- Tout le Monde doit collaborer, pour qu’on puisse tous s’amuser. 2246- Chaque jour l’Amour crie au secours. 2247- La guerre s’abat sur les Gens autour de toi, 2248- Elle n’a aucune pitiĂ© comme l’armĂ©e. 2249- Les soldats tuent sans refus. 2250- Laissons lĂ  les regrets, la colĂšre ou la haine. 2251- Construisons l’Avenir pour que vivent sans chaĂźne 2252- Tous les Élans de PAIX vers ceux qui ont perdu 2253- Au milieu des malheurs, leurs RÊVES les plus purs. 2254- Regardons l’Horizon, le Soleil se lever. 2255- Fermons nos cicatrices et nous pourrons aimer 2256- Les Peuples de la Terre qui nous sont Ă©trangers 2257- Sans qu’influent sur nos Coeurs, les douleurs du passĂ©. 2258- Apprenons Ă  aimer comme les autres ont aimĂ© 2259- Sans jamais en douter ou se justifier 2260- Juste laisser faire nos Coeurs et nos Paroles 2261- Et ainsi faire le tour du Monde en farandole 2262- J’ai rĂȘvĂ© d’une PlanĂšte rĂ©chauffĂ©e par le Soleil, 2263- J’ai vu des Hommes faire des Merveilles, 2264- J’ai entendu au loin des Champs d’Amitié  2265- J’étais bien dans mon Sommeil. 2266- Les Couleurs de peau Ă©taient harmonieuses, 2267- Les Origines et les Cultures gracieuses, 2268- La Vie des Hommes soudain radieuse, 2269- L’Existence se faisait merveilleuse. 2270- J’étais lĂ  sans bouger dans le Silence 2271- Au milieu d’un Espoir immense, 2272- Celui d’une rĂ©elle EspĂ©rance. 2273- La PAIX Ă©tait en transe. 2274- Les Hommes avaient changé  2275- Ils s’écoutaient, se parlaient. 2276- OĂč Ă©tais-je ? Avais-je rĂȘvĂ© ? 2277- J’étais heureux et comblĂ©. 2278- Plus d’Innocents sous les bombes, 2280- Les Femmes hors de l’ombre, 2281- Les Rires des Enfants qui me comblent, 2282- La PAIX sur la mappemonde. 2283- Utopique ? non, question de VolontĂ© ! 2284- Je l’ai rĂȘvĂ© avec le droit d’espĂ©rer. 2285- Je vous en prie, arrĂȘtez de prier; 2286- Dansez, chantez, riez
 2287- S’il n’y a qu’une seule PriĂšre
 2288- Demandez aux armes de se taire, 2289- Aux Hommes d’ĂȘtre FrĂšres 2290- Sans arriĂšre pensĂ©e guerriĂšre. 2291- Regardez-vous avec le CƓur, 2292- Ne parlez plus avec la terreur, 2293- Rapprochez-vous de l’Amour, de l’AmitiĂ© 2294- Et vous serez des Hommes, des vrais tout simplement. 2295- La PAIX vous attend impatiemment. 2296- Tous ensemble engageons-nous dans le dĂ©sarmement 2297- Pour montrer que nous voulons aller de l’avant 2298-Dans ce Chemin prometteur qu’est la PAIX, 2299-Celle que tous les Hommes voudraient. 2300- D’oppresseur il n’y doit plus y avoir, 2301- Aux conflits disons » Au revoir. » 2302- Puisse ĂȘtre hier un jour sans guerre 2303- Puisse ĂȘtre aujourd’hui un jour sans pluie 2304- Puisse ĂȘtre demain un jour sans faim 2305- Puisse ĂȘtre toujours un jour d’Amour 2306- Puisse ĂȘtre plus que jamais un jour de PAIX. 2307- Mais quand ce RÊVE de PAIX dĂ©ploiera-t-il ses ailes 2308- Pour qu’ainsi, la guerre obscure rentre chez elle? 2309- La LibertĂ© rĂšgnera sur la Terre entiĂšre 2310- Lorsque les fusils s’éclipseront en enfer. 2311- Que les Chemins de l’Harmonie nous rĂ©unissent 2312- Et qu’ils nous mĂšnent dans un Univers de Justice. 2313- Les Origines de sont pas d’une grande importance, 2314- Sauf pour ceux qui prĂ©fĂšrent rester dans l’ignorance, 2315- À nos Enfants, chers Acteurs de notre DestinĂ©e, 2316- LĂ©guons cette PAIX que nous avons tant dĂ©sirĂ©e, 2317 – Qu’ils ravivent sa Flamme d’un Souffle innocent 2318 – Pour mettre fin au rĂšgne des larmes de sang 2319 – Quand sonnera enfin l’hallali des souffrances, 2320 – Peut-ĂȘtre liront-ils ces versets d’EspĂ©rance. 2321- La vĂ©ritable PAIX est l’un de ces Cadeaux 2322- Qui peuvent bousculer tous nos faux idĂ©aux 2323- Pour redonner confiance aux Hommes dĂ©laissĂ©s, 2324- Ou apprendre Ă  tous les Enfants comment s’aimer. 2325- La vraie PAIX est donc un des Dons rares et gratuits 2326- Qu’il faudrait envoyer dans chacun des Pays, 2327- Surtout lĂ  oĂč il y a la guerre et la mort, 2328- Mais ne pas en exclure de ce petit TrĂ©sor. 2329- La PAIX est un Regard serein qui se promĂšne 2330- Sur les Monts des jours, les Lacs des nuits, sur les Plaines, 2331- Calmant la Brise avant comme le Vent arriĂšre, 2332- Les moues d’Enfants comme les colĂšres guerriĂšres. 2333- La PAIX est un RÊVE tapi au creux des Coeurs 2334- Que l’Intelligence pourrait joindre en une heure 2335- OĂč, lors d’un Échange d’une infinie Tendresse, 2336- Elles Ă©voqueraient leurs Amours de Jeunesse. 2337- La PAIX est un Espoir qui guide nos Coeurs 2338- Ensemble, sans avoir peur, 2339- Battons-nous avec ampleur 2340- Pour que s’efface nos pleurs 2341- Et qu’enfin la guerre meurt 2342- Et que soient rĂ©unis nos FrĂšres et Soeurs. 2343- Pour un Monde de PAIX et de ComprĂ©hension, 2344- Parlons EspĂ©ranto et nous nous comprendrons. 2345- Qu’arriverait-il s’il fallait qu’à jamais 2346- Ne disparaissait tout l’Espoir de demain 3347- Que sont ces petits Êtres humains 2348- Qui meurent par milliers Ă  chaque journĂ©e Ă©coulĂ©e? 2349- Pourrons-nous, un matin d’étĂ©, nous pardonner? 2350- De nos erreurs passĂ©es, 2351- Vivre en PAIX pour l’ÉternitĂ© 2352- Et donner cette PAIX
 2353- À tous les Êtres qui ont Ă©tĂ© créés. 2354- Sachons toujours mieux semer l’Amour autour de nous 2355- Car oui, peu importe oĂč on se trouve, 2356- Il est au rendez-vous 2357- Pour tous ces Gens de partout. 2358- Dans les plaines verdoyantes, oui je rĂȘve 2359- Des Visages d’Enfants, libres, riants au Soleil, 2360- Blancs, jaunes, noirs, mĂ©tis, ils se lĂšvent 2361- Pour construire, la PAIX et l’Amour qui s’éveillent. 2362- Scandons haut et fort qui veut la PAIX veut les moyens, 2363- Donc, allons semer l’Espoir dans tous les chemins, 2364- La planĂšte Terre est bien un Univers hors pair, 2365- Dans la voie lactĂ©e, il faut la garder sans colĂšre, 2366- Et que rĂšgne la PAIX tant convoitĂ©e par le Monde. 2367- Un univers de TolĂ©rance crĂ©e la Confiance. 2368- Dans le dessein de vivre dans un Ă©clat d’Harmonie, 2369- Soyons tous unis pour aider les dĂ©munis, 2370- Et surmonter enfin cette fumĂ©e de violence, 2371- Pour exister au sein d’une chaleureuse Ambiance, 2372- Celle de la Terre tout entiĂšre en effervescence! 2373- C’est Yassir du Canada qui vous lance ce cri, 2374- De FĂ©licitĂ©, de Joie et SĂ©rĂ©nitĂ© ! 2375- En dĂ©pit de tous ces tares et ces torts 2376- Qui secouent aujourd’hui notre Monde 2377- Clamons Ă  l’unisson haut et fort 2378- Soyons futuristes, tolĂ©rants et clĂ©ments 2379- Pour que rĂšgnent la PAIX et la TolĂ©rance 2380- Et se dissipent la haine et la violence » 2381- Donc, place Ă  l’Échange et Ă  la Symbiose! 2382- Et au diable la guerre et la violence! 2383- C’est Ilyes qui vous appelle Ă  agir 2384- Afin que rĂšgnent QuiĂ©tude, Bonheur et ProspĂ©ritĂ© 2385- Dont nous avons un besoin urgent 2386- Dans les circonstances du temps prĂ©sent ! 2387- Mais le temps prĂ©sent passe, et le futur reste sombre. 2388- Faut-il qu’un jour noir se lĂšve aux cris de la bombe, 2389- Faut-il qu’un soir trop de Gens pleurent sur les tombes, 2390- Pour qu’à l’aube, volent enfin, malgrĂ© tout, des Colombes, 2391- Et les Gens de sortir, marchant, fous, tels une ombre. 2392- Gageons qu’un jour l’un d’eux, juste sorti du nombre, 2393- Trouvera les mots justes pour raisonner le Monde. 2394- ÉgarĂ© dans mes PensĂ©es, je flĂąne au grĂ© des MarĂ©es. 2395- Et dans leur doux cocon, 2396- Elles bercent mon Âme et ma QuiĂ©tude. 2397- La Terre, c’est plus que la Vie, 2398- C’est l’Amour, la Famille, les Amis. 2399- Rien n’arrĂȘte la PAIX quand les Hommes s’envolent, 2400- Ignorant les conflits, vers un Monde plus drĂŽle. 2401- La PAIX des Hommes et des Âmes devra se construire 2402- Sur les ruines des guerres nourries Ă  tout dĂ©truire 2403- Chacun portant grain de sable ou brillant galet 2404- Sous une musique guidant les pas de nos ballets 2405- Nous bĂątirons un mur, rempart de toute haine 2406- Pour que l’Amour, enfin, triomphe en ce Domaine. 2407- La souris et l’élĂ©phant s’y promĂšneront 2408- Trompe dans patte en sifflotant de gaies chansons 2409- Les Enfants y grimperont Ă  la courte-Ă©chelle 2410- Pour jouer aux billes en suçant des caramels. 2411- Et si pourtant un jour, tel un RÊVE voulu, 2412- Tel un Souffle divin, telle une Illusion chĂšre, 2413- Tel un profond MystĂšre, toujours irrĂ©solu; 2414- Tel un Songe insensĂ©, authentique chimĂšre, 2415- Et si pourtant un jour rĂ©gnait parmi nous 2416- Ce qu’une Colombe frĂ©quemment symbolise, 2417- Cette PAIX qu’on devrait implorer Ă  genoux, 2418- Si un jour arrivait qu’elle se rĂ©alise ! 2419- Si un jour cette PAIX enfin existait 2420- Au travers des Nations, sur toute la PlanĂšte, 2421- Le Monde, sĂ»rement, un Paradis serait, 2422- La joie inonderait cette incroyable FĂȘte. 2423-Et si pourtant un jour ce n’était plus un RÊVE, 2424- Partout enfin l’Amour se rĂ©pandrait sans trĂȘve 
 2425- Ensemble, transformons ce RÊVE en RĂ©alitĂ©. 2426- J’ai rĂȘvĂ© une nuit d’un Bonheur sans pareil 2427- D’un beau Soleil levant, d’une Fleur nommĂ©e PAIX 2428- Tant et tant d’Hommes se sont rĂ©veillĂ©s meurtris 2429- En confondant leur RÊVE et la RĂ©alitĂ© 2430- Mais j’espĂšre quand mĂȘme on ne sait jamais si 2431- Les Oiseaux ont des ailes, les Oiseaux ont des nids 2432- Les PoĂštes ont des mots, l’HumanitĂ© aussi. 2433- C’est avec cela que la PAIX prendra Vie! 2434- Pourquoi toutes ces guerres? 2435- Pourquoi semer autant de misĂšres? 2436- Au nom de quel dieu ou libertĂ© sanguinaire 2437- Vous tuez vos Enfants, Enfants de la Terre? 2438- À tous les politiciens et militaires, 2439- Aux hommes de lois et religionnaires, 2440- Aux exĂ©cutants et mercenaires 2441- Écoutez les cris de vos consciences vulnĂ©raires 2442- Écoutez ceux de vos Âmes tĂ©mĂ©raires. 2443- Que les colombes investissent les aires 2444- Sous Ciel bleu, sans frontiĂšres 2445- Qu’ils s’envolent libres et salutaires 2446- Au dessus des MosquĂ©es et Sanctuaires 2447- Des CathĂ©drales, aux Espoirs tributaires 2448- Des Synagogues aux lĂ©gendes sĂ©culaires. 2449- Tenons nous tous la Main 2450- Et chantons ensembles le refrain 2451- De la PAIX, de Jours meilleurs et sereins 2452- Pour la Joie, le Bonheur de tous un chaque un 2453- Semons l’Amour, la LibertĂ© et le Bien 2454- Sous Ciel bleu et aux Pays lointains 2455- Chantons pour demain. 2456- Certains jours, il m’arrive de dire bien haut 2457- Que l’Homme sur la Terre est souvent de trop. 2458- Il a domptĂ© beaucoup d’élĂ©ments pour rĂ©gner 2459- Sans en mesurer le prix qu’il faudra payer. 2460- Guerres, pollution, conscient, il a engendrĂ©es 2461- Pour satisfaire des rĂȘves dĂ©mesurĂ©s. 2462- Mais certains jours, je me plais Ă  rĂ©aliser 2463- Que l’Homme peut aussi agir avec BontĂ© 2464- Inventions, DĂ©couvertes, il a peaufinĂ©es 2465- Pour permettre Ă  chacun de mieux Ă©voluer. 2466- Un jour, capable du meilleur » ou du pire », 2467- Je rĂȘve qu’enfin, il dĂ©cide di dire 2468- On ne trouve pas le Bonheur dans les palais; 2469- Il rĂ©side lĂ  oĂč nous cultivons la PAIX. » 2470- Dans la longue marche de nos Vies, 2471- Nous arrivons pas Ă  pas Ă  cette fin, 2472- Sans jamais connaĂźtre la PAIX. 2473- Tout le mystĂšre qui entoure notre Existence, 2474- Et nous laisse parfois inassouvis. 2475- Parfois par trop d’orgueil, restant dans l’ignorance, 2476- Et souvent, nous sommes, Ă  nous-mĂȘmes, inconnus. 2477- Faire face Ă  cette PAIX, faire face Ă  l’incompris, 2478- C’est le Courage des HĂ©ros et des Saints
. 2479- Pauvres Hommes, que nous sommes ! 2480- Combattons nos faiblesses, nos trahisons. 2481- C’est Ă  nous seuls, que nous mentons, 2482- C’est Ă  nous seuls, que blessures s’infligent. 2483- Grand et sage est celui qui le comprend ! 2484- Homme d’Honneur, Homme de Grandeur. 2485- Dans notre petitesse, les Hommes sont Ardeurs ! 2486- Flamboyant, combattant, l’Homme est grand ! 2487- Grand, dans sa dĂ©mesure, il atteint le meilleur. 2488- Grand, dans sa dĂ©mesure, il atteint le malheur. 2489- Mais c’est l’Oeuvre d’une lutte de toute une Vie. 2490- Une Vie de petitesse, qui fait la PAIX ! 2491- Alors, je vous salue Homme de rien, Homme de Tout. 2492- Je vous salue, et c’est en vous que naĂźt l’Espoir. 2493- Je m’agenouille, humble serviteur de ma Vie. 2494- Je m’incline, respectueuse de ce vaste Lieu. 2495- Je vous salue dans Le respect de ce Tout. 2496- Grain de sable pour votre Grandeur sans borne 2497- Je vous salue pour la grande Oeuvre inachevĂ©e. 2498- Je vous salue pour ces Demains dans la BontĂ©. 2499- Je salue ce grand Chantier qu’est L’HumanitĂ©. 2500- Je remercie d’ĂȘtre, moi, si petite, dans ce grand Tout. 2501- Grain de sable, parmi tous tes grains de sables. 2502- Petite Vie, pour cet achĂšvement final. 2503- PoussiĂšre d’Étoile, PoussiĂšre de l’Esprit Saint. 2504- PoussiĂšre est infinie


et infini est uni. 2505- Unis ensemble pour une PAIX durable 2506- Forts de nous, de nos AĂŻeux, insĂ©parables, 2507- BĂątissons, la PAIX de ce Monde, en Harmonie 2508- Croyons en nous, en cette PAIX, en cette Vie. 2509- Cherche, tu la trouveras dans les Coeurs heureux 2510- Elle rayonnera jusqu’au fond de tous les Yeux 2511- Partage-la avec ton Ami, ton Voisin 2512- Elle s’agrandira jusqu’au bout de ton Chemin. 2513- Nous sommes tous purs Ă  la naissance. 2514- Pourquoi gĂącher notre croissance 2515- En nous montrant la guerre et ses souffrances 2516- Qui feront de nous, des Âmes sans consciences. 2517- Montrez-nous plutĂŽt la PAIX 2518- Et faites que nous y ayons accĂšs. 2519- Il faudrait qu’il n’y ait plus aucun mĂ©fait 2520- Pour que notre Monde soit parfait. 2521- Si tous ensemble nous nous impliquions 2522- Au lieu de nous construire un cocon, 2523- Nous pourrions chanter Ă  l’unisson 2524- La PAIX sur cette Terre qui est notre Maison. 2525- Partageons tous ensemble de grandes IdĂ©es 2526- De PAIX, d’Amour et d’AmitiĂ©. 2527- Cette Attitude nous permettrait d’évoluer. 2528- Et de crĂ©er un Monde parfait pour l’ÉternitĂ©, 2529- Qui nous unira toute la Vie 2530- Et qui nous aidera pendant des dĂ©cennies. 2531- Tu fais parler de toi, sur tous les continents. 2532- Les Princes et les Rois, t’attendent depuis longtemps. 2533-On te sait trĂšs fragile, et souvent menacĂ©e ; 2534- Des accords difficiles; te voilĂ  apeurĂ©e. 2535- La guerre te contrarie, et modifie tous tes plans ; 2536- Sur la Terre trop de Vies, s’apparentent avec sang. 2537- Tu restes alors cachĂ©e, comme au creux d’un rocher ; 2538- EspĂ©rant, mais en vain, qu’on se tienne par la main. 2539- Mais j’ai trouvĂ© tes traces, dans celles de JĂ©sus-Christ. 2540- LĂ , est bien ta place, c’est lui qui nous l’a dit. 2541- Et comme tu viens de Dieu, c’est la PAIX vĂ©ritable ; 2542- Pour chacun et pour ceux, qui veulent qu’elle soit durable 2543- Celle-ci nous est donnĂ©e, sans devoir l’acheter ; 2544- À nous de la garder, de la communiquer. 2545- Pour toujours, nous allons t’aimer chĂšre Terre. 2546- Donne-nous ce Monde de PAIX tant dĂ©sirĂ©. 2547- Lentement l’Homme dĂ©truit sa belle PlanĂšte, 2548- Avidement, impunĂ©ment, depuis perpĂšte 2549- Pour des guerres inutiles sans prophĂštes. 2550- Avec des militaires cela inquiĂšte, 2551- Insidieusement mettons les Ă  la diĂšte 2552- XĂ©rographie du Paradis d’un PoĂšte. 2553- Pour la gloriole de gĂ©nĂ©raux en goguette, 2554- Entendez les cris des populaces en disette, 2555- Au feu et au fourneau les baĂŻonnettes, 2556- Chassez de nos contrĂ©es ces maudites gĂąchettes, 2557- Et venez tous danser au soir dans les guinguettes. 2558- Je possĂšde en moi la PAIX tant convoitĂ©e 2559- Elle est le reflet de mes PensĂ©es, de mes IdĂ©es. 2560- Elle commence par un Je et dĂ©rive dans le Nous 2561- Mille fois merci Ă  l’Univers de qui je reçois beaucoup. 2562- Je n’ai le contrĂŽle que sur mon Être et mes PensĂ©es 2563- Alors j’investis dans ma ProspĂ©ritĂ© 2564- Afin d’en faire fructifier la planĂšte en entier. 2565- Pourquoi chercher dans de futiles matĂ©rialitĂ©s 2566- Quand ici maintenant flotte la SensibilitĂ© 2567- Permettant de goĂ»ter le confort, essentielle donnĂ©e 2568- D’une PAIX dĂ©jĂ  existante et Ă  peine engagĂ©e
 2569- Jouissance de cette Vie, Ă  la dĂ©couverte de l’Amour pur, 2570- Je voyage sur cette Terre Ă  la recherche de Gens prospĂšres. 2571- Faut croire en soi, ainsi qu’à son RÊVE, pour que ça dure. 2572- Pour ceux qui n’en ont pas et qui ont besoin de repĂšre, 2573- Je vous dis, je vous aime avec tout mon CƓur pur, 2574- Vous n’ĂȘtes pas seuls, il y a SƓur, FrĂšre, MĂšre et PĂšre, 2575- Amie, Ami, ConsƓur, ConfrĂšre des Êtres qui sont sĂ»rs 2576- De vous donner un Destin prospĂšre sur cette Terre, 2577- Sans aucune haine et sans frontiĂšre. 2578- Terre d’ici, Monde qui grandit, pourquoi la guerre? 2579- Pourquoi toujours ces conflits entre SƓurs et FrĂšres? 2580- Que de sanglants ravages, que de dĂ©solations! 2581- Tristes rĂ©alitĂ©s qu’ensemble nous subissons. 2582- Des soldats sans pitiĂ©, des combattants sans CƓur, 2583- Assassinent la Vie et sĂšment la terreur 2584- Dans tous les villages oĂč leurs fusils dominent 2585- Le doux Chant des Oiseaux, l’Innocence enfantine. 2586- Guerre et PAIX, guerre ou PAIX, troublante Association 2587- Qui ne laisse qu’un choix entre ces deux notions 2588- Car si la guerre on sait, est affaire d’extrĂȘme 2589- La PAIX alors ainsi n’en serait qu’anathĂšme ? 2590- Rien n’est plus faux que cette agreste idĂ©e qui veut 2591- À la guerre la PAIX sobrement affronter. 2592- C’est contrebalancer mort et Vie, rien et tout 2593- Gober l’idĂ©e que tout mot possĂšde opposĂ© 2594- Mais il en est certains qui sont beaucoup trop laids 2595- Pour qu’on puisse Ă  quelque autre pouvoir les associer, 2596- Les garder sous scellĂ©, dans leur boite de pandore 2597- Est l’unique attitude Ă  pouvoir adopter. 2598- La guerre est une fin, la paix philosophie 2599- Que l’on vit chaque minute, un combat quotidien 2600- Dont l’issue n’est que de se perpĂ©trer sans fin 2601- Le vivant Ă©quilibre d’un poĂšme infini. 2602- Parce que l’Amour est notre douce Naissance 2603- Parce que l’Amour est une Luminescence 2604- On doit chĂ©rir les Personnes qui nous aiment 2605- Et il ne suffit point que d’un simple poĂšme 2606- Mais d’un appel lancĂ© aux Peuples de la Terre 2607- Pour mettre fin Ă  cette malheureuse guerre. 2608- La guerre n’est qu’une idĂ©e noire pour combler nos dĂ©sespoirs. 2609- Il nous suffit d’un malheur pour voir que nous avons du Coeur. 2610- Le plus grand PoĂšme du Monde, 2611- Quelle idĂ©e gĂ©nĂ©reuse et fĂ©conde 2612- Pour sceller l’AmitiĂ© entre les Peuple de la Terre
 2613- Un Espoir naĂźt 2614- Un jour, un jour peut-ĂȘtre, moins d’inĂ©galitĂ©s! 2615- Chacun sa place au Soleil de l’AmitiĂ© 2616- Sur cette Terre d’Amour reconstituĂ©e. 2617- La Paix sur notre Boule perdue
 2618- Grande Aspiration humaine, humble et sincĂšre. 2619- Et Ă  chacun de dĂ©fendre sa VĂ©ritĂ© apprise et crue
 2620- Paradoxe ! Que faire ? 2621- DĂ©fendre la RĂ©alitĂ©, ĂȘtre net et clair, 2622- Ensemble nous rĂ©unir pour tout un Avenir; 2623- Nous rassembler pour ce poĂšme qui ne peut finir. 2624- Nous arriverons Ă  notre Destination 2625- Et rĂ©aliserons tous nos RÊVES immenses 2626- Qui ne cessent de naĂźtre et de grandir partout dans le Monde. 2627- Je vous dis adieu mes ConfrĂšres
 sans aucune portiĂšre. 2628- Pour moi, c’est bien ça la PAIX, 2629- Pas de guerre ni de vers, mais juste un peu de PAIX. 2630- Faudrait peut-ĂȘtre ĂȘtre aveugle pour voir 2631- Qu’on est dans la misĂšre. Mais pourquoi voir 2632- Si tout ce qu’on voit c’est la haine. 2633- Mais aujourd’hui giclez comme une veine 2634- Et sortez dehors en criant tout fort. 2635- Pour moi c’est ça l’Effort d’une PAIX bien saine, 2636- Celle d’agrĂ©menter jusqu’à la fin de nos jours
 2637- 
Notre LibertĂ©. 2638- Qu’à cela ne tienne, un jour les Gens comprendront 2639- Que la PAIX sur Terre scintille parfois dans les airs 2640- Et chaque fois que nos yeux pointent leur Regard en l’air, 2641- Ils dĂ©couvrent, non seulement Étoiles des Chaudrons, 2642- Mais aussi Soleil et Lune, pluie et nuages, 2643- Peu importe l’Image, la PAIX n’est pas un mirage 2644- Ni violence ni frontiĂšre ni outrage 2645- Et pourtant tant de larmes sous les paupiĂšres, 2646- Tant de sang, tant de cendre dans les riviĂšres, 2647- Des cornes de brumes errent aux frontiĂšres 2648- Comme des Airs espĂ©rant PĂšlerinage 2649- OĂč nos pieds fouleraient d’atroces chimĂšres 2650- Pour que la PAIX chante une unique PriĂšre. 2651- Pour sauver sur quoi l’on vit, c’est Ă  dire la Terre. 2652- Rassemblons nos Énergies pour sauver des Vies. 2653- Que cesse la mĂ©galomanie des Ă©lus racornis, 2654- Que le centre du Monde soit celui de la Terre 2655- Et non celui des Ă©lus
 2656- Pour que chaque individu soit reconnu 2657- Comme Membre Ă  part entiĂšre de cette Terre. 2658- Laissons-nous guider par cette Force qui, 2659- Par sa Puissance, nous condamne au dĂ©sir d’aimer. 2660- La Vie est un abcĂšs qui cherche Ă  aboutir, 2661- La haine peut tuer, mais l’Amour sait guĂ©rir 2662- Et l’Amour, c’est la PAIX, l’UnitĂ© dans la Joie; 2663- Il n’y a plus dĂšs lors ni prĂ©dateur ni proie. 2664- Si seulement on pouvait dire je t’aime 2665- Sans que la luxure en soit l’emblĂšme, 2666- Le monde ne serait plus jamais le mĂȘme 2667- Si on savait seulement dire je t’aime. 2668- Et si la VolontĂ© Ă©tait aussi grande que nos Coeurs, 2669- Le Monde entier en serait que meilleur. 2670- Nous serions tous debout face aux grands dirigeants 2671- Pour qui la guerre n’est fait que d’argent; 2672- Nous serions tous debout face Ă  l’ignorance, 2673- Face Ă  la souffrance
 Ă  l’indiffĂ©rence. 2674- PAIX! Couleras-tu un jour dans nos Veines 2675- Pour soulager la douleur de nos peine? 2676- Un Sourire ou un Geste, ouvrons-nous Ă  la Vie, 2677- Accueillir, faire la FĂȘte, faisons que tout le Monde rit. 2678- Puissions-nous un jour trouver la Solution 2679- Avec beaucoup d’Amour et de Raison 2680- Il faudra, tous ensemble, unir nos Forces 2681- XĂ©nophobie tu vies ta dĂ©chĂ©ance. 2682- Rire de Joie, rire d’Amour lĂ  oĂč nous sommes, 2683- Peu importe l’heure
 2684- Que la peur des prĂ©dateurs ne soit plus. 2685- La BeautĂ© du Monde est dans les Yeux, 2686- D’un Enfant aimĂ©, Ă©panoui et heureux. 2687- D’ĂȘtre en PAIX et ne pas se soucier de demain, 2688- De faire Confiance et aimer son Prochain. 2689- N’ai nul besoin de vers, qu’ils soient bons ou mauvais 2690- Pour vivre avec vous tous ce poĂšme de PAIX, 2691- Seulement quelques mots, ces mots d’Amour sincĂšre 2692- Vers l’autre que je ne connais pas, toi mon FrĂšre. 2693- Il faut dĂ©samorcer cette colĂšre, 2694- Qui envahit toute cette Ăšre, 2695- Ce sentiment dĂ©vastateur, 2696- Qui est l’objet de tant de labeur, 2697- Il faut apprendre Ă  faire Confiance, 2698- À oublier toute cette vengeance, 2699- Ne pas nourrir l’ignorance, 2700- Pour assouvir nos souffrances, 2701- Il faut faire preuve d’Intelligence, 2702- Pour ces Enfants remplis d’Innocence, 2703-Faire preuve de PersĂ©vĂ©rance, 2704- Et crĂ©er un Monde d’Alliances, 2705- DĂ©truire toutes ces manigances, 2706- Pour effacer ces outrances, 2707- LibĂ©rer ce sentiment tant Ă©prouvĂ©, 2708- Ne servira qu’à dĂ©truire ce Monde tant dĂ©vastĂ©. 2709- Nous, ĂȘtres créés dans la PAIX et l’Amour, 2710- Ne devrions pas mourir de la haine qui nous entoure ! 2711- Toutes ces persĂ©cutions, 2712- Qui sont les causes de tous ces affronts, 2713- Ne devraient avoir le droit d’ĂȘtre, 2714- De ce Monde, elles devraient disparaĂźtre, 2715- Pour laisser place Ă  ce Monde parfait, 2716- Le RÊVE de tous ces ĂȘtres non pas niais
 2717- Simplement remplis d’impuissance. 2718- Il faut maintenant encourager la Renaissance. 2719- Ce Chant mĂ©lodieux annonce une Naissance, 2720- Mais sa soif incessante, nourrit l’Espoir du futur 2721- Car son arĂŽme apaisante 2722- Embaume l’Air frais de ce Commencement. 2723- Adage Si vis PACEM para bellum »; 2724- Puissante formule, mais triste pour un vade mecum 2725- Moi je prĂ©fĂšre Si vis PACEM, pars en vĂ©lo » 2726- Et sĂšme sur ton Chemin, le vrai sens de ce mot. 2727- Elle est intĂ©rieure avant de se manifester, 2728- Elle gĂ©nĂšre Amour, BontĂ©, GĂ©nĂ©rositĂ©. 2729- PrĂ©pare la guerre si tu veux la PAIX? 2730- Non! Si tu veux la PAIX, RÊVE de PAIX. 2731- Conscience et TolĂ©rance forment un RemĂšde vital 2732- Qui apaisera l’angoisse par sa Vertu de santal 2733- Qui laissera dans nos CƓurs rĂ©sonner dĂ©sormais 2734- Une douce Harmonie que nous appellerons la PAIX 2735- Et le blĂ© reviendra habiter les prairies 2736- Les Semeurs de PAIX, Mains offertes aux affamĂ©s 2737- Et le Lait de la Terre coulera joyeux 2738- Au fond des gorges et des ventres de toutes couleurs
 2739- Nature que tu es, souviens-toi comment 2740- Tu Ă©tais quand tout Ă©tait encore marquant. 2741- Regarde un peu le Monde tout autour de toi 2742- Puisque plus personne n’a de Respect pour soi. 2743- La SĂ©rĂ©nitĂ© de chacun n’est pas sans fin
 2744- Un jour ou l’autre, nous en viendrons aux mains. 2745- Alors, si vous souhaitez la guerre, 2746- Laissez tomber vos armes et regagnez vos Terres. 2747- Quand la mort des Innocents s’arrĂȘtera-t-elle? 2748- La Vie des Hommes et des Femmes sera plus belle. 2749- Maintenant, il est venu le temps de refaire 2750- Ce bas Monde qui sans cesse me dĂ©sespĂšre! 2751- Quand les Hommes arrĂȘteront cette guerre entre eux, 2752- Les Habitants de la Terre seront heureux. 2753- Les nuits, les Hommes prient pour un Monde nouveau; 2754- Pour un Monde oĂč la Vie ne sera pas fardeau, 2755- Source de dĂ©cĂšs, de tueries entre ces ĂȘtres. 2756- Cette PAIX, aussi paisible puisse-t-elle ĂȘtre, 2757- Chantons en chƓur notre vĂ©ritable bonheur. 2758- Quand tremblera donc le Soleil sur mon Visage 2759- Pour enfin disperser ces nuages grisĂątres. 2760- Envole-toi loin dans ces pays Ă©loignĂ©s 2761- OĂč le sang ne cessera jamais de couler. 2762- Cesse ces cris et ces larmes, laisses-y un voile 2763- Plus fort que les armes oĂč se propage le mal 2764- Agissez tous de bon CƓur avec vos Valeurs 2765- Pour combattre la misĂšre, la guerre et la peur. 2766- Comment on se bĂątit dans un Monde imparfait 2767- Alors que c’est facile de faire la PAIX! 2768-La BeautĂ© pure entre dans un Monde mĂ»r. 2769- Pourquoi toujours vouloir ce que l’autre possĂšde? 2770- Semer le Bonheur serait un meilleur remĂšde
 2771- Voici mes sens oĂč, aujourd’hui, vibre l’Essence 2772- D’un Monde qui, enfin, file dans le bon sens. 2773- Que ma Vie soit donnĂ©e pour tous les malheureux 2774- Qui en auront besoin et ainsi, vivre vieux. 2775- La guerre prend tellement de place dans nos Vies 2776- Que nous en oublions ce qu’est la sainte PAIX. 2777- Depuis le dĂ©but de notre HumanitĂ©, 2778- L’Homme recherche Ă  bien vivre en SĂ©rĂ©nitĂ©. 2779- La Vie est telle qu’une petite souris 2779- Qui tourne et recherche sans arrĂȘt la PAIX, 2780- LĂ  oĂč il n’y aura pas de ces gros rats gris 2781- Ceux-lĂ  qui rendent notre Monde plus laid. 2782- ÉgoĂŻsme, trahison et excĂšs de rage, 2783- N’y voyez-lĂ  aucune leçon de courage. 2784- Fragilement maintenue par un fil de soie, 2785- Inexorablement tenue du bout des doigts, 2786- La PAIX doit ĂȘtre notre Souhait le plus cher
 2787- Nous possĂ©dons une seule Vie sur la Terre. 2788- Comment atteindre un but semblant inaccessible 2789- Lorsque nous vivons tous dans un Monde insensible? 2790- La violence ne rĂšgle pas les problĂšmes, 2791- Donc, dis aux gens qui t’entourent que tu les aimes. 2792- Militons pour un drapeau blanc sans mille taches, 2793- Pour un Monde sans rouge oĂč PAIX rĂšgne sur place 2794- Comme une sorte d’utopie, cessons la guerre 2795- Et tous ensemble, partons une nouvelle Ère. 2796- La guerre n’est pas une maniĂšre de s’aimer; 2797- ArrĂȘter ne pourrait que nous avantager. 2798- DĂ©chirures et blessures laissent des traces; 2799- Toutefois, l’amour reste toujours plus tenace. 2800- Tout ce qu’il y a de plus beau, c’est le Bonheur; 2801- Être serein et zen pour Ă©loigner nos peurs. 2802- Rouge sur peau, la violence rĂšgne partout 2803- Les armes et les jurons amusent les fous. 2804- Tels les flots qui roulent sous les ponts de la France, 2805- Guerres passĂ©es amĂšnent PAIX et RĂ©compenses. 2806- Unissons nos Forces et hissons le drapeau blanc; 2807- De nos tombes, ne sortira rien d’important. 2808- Nous nous battrons avec force contre la guerre, 2809- Car c’est la PAIX que nous voulons durant notre Ăšre. 2810- Aujourd’hui, la Terre nous est promise, mais
 2811- Faisons face au problĂšme d’Harmonie et PAIX. 2812- Toi, PAIX, qui amĂšne tant de bienfaits, 2813- Toi, PAIX, qui manifeste Bonheur et regret; 2814- Changer la Vie est plus facile que tuer
 2815- Alors pourquoi tuer quand nous pouvons aimer? 2816- Chaque jour, nous voyons tous nos soldats en guerre 2817- Tandis que le prĂ©sident joue sur son parterre
 2818- Endormi, sans soucis dans l’herbe ensoleillĂ©e, 2819- Je rĂȘve d’un lendemain sans disparitĂ©s. 2820- Le Bonheur est de vivre en PAIX et non en guerre; 2821- L’Amour et la Joie pour une Vie sur la Terre. 2822- Le lion et la rose, s’il ont tous deux des pointes, 2823- Portent la Douceur sur leur dos, prĂȘts Ă  l’étreinte. 2824- L’un vaque et l’autre s’enracine dans la brousse 2825- Laissant lĂ  une odeur de SĂ©rĂ©nitĂ© douce. 2826- Dans la PAIX, la lionne cĂąline son petit, 2827- Dans la PAIX la fleur parfumĂ©e s’épanouit. 2828- Et Si dans ton Coeur cette PAIX fait face; 2829- Dans le Coeur du Monde, elle prendra place. 2830- La haine, la violence et la guerre mĂšnent Ă  rien, 2831- Pausez votre regard et regarder d’oĂč je viens, 2832- Il y a plus de Monde que vous pensez dans le besoin, 2833- Ne regardez plus ailleurs; arrĂȘtez de regarder au loin. 2834- La PAIX, l’Amour, l’Harmonie
 comme un effet papillon, 2835- A changĂ©, change et changera le sirocco sanglant, 2836- Les nations ne cessent de juger les opinions des bons, 2837- Car unis, il ne peut y avoir que des Gagnants. 2838- Un jour, la PAIX rĂšgnera sur la Terre, 2839- Pour vivre en Harmonie et toucher au Bonheur, 2840- Il faudrait bien qu’un jour tout cela s’arrĂȘte, 2841- Pour qu’enfin nous puissions avoir un Monde meilleur. 2842- Comprendre une chose nous sommes tous pareils, 2843- Unissons nos Forces pour atteindre un but la Vie, 2844- Soyons Homophile, aimons les diffĂ©rences qui s’éveillent, 2845- Loin des racistes, des violents et des sans gĂ©nie. 2846- Enfants armĂ©s, Ă  construire une triste PAIX, 2847- Tous ces jeux perdus, ces Vies Ă  reconstruire, 2848- Ne laissons tomber aucun de ces gringalets, 2849- Aidons ces Enfants Ă  retrouver leur Sourire. 2850-L’Amour l’Amour
 c’est notre seul besoin la PAIX, 2851- Le chanter, le crier le danser
 mais jamais l’oublier, 2852- L’écrire si souvent n’a pas vraiment d’effet, 2853- Si personne n’ose toucher au RÊVE d’y arriver. 2854-Amour et PAIX, abstrait ou concret, tu es Paloma, 2855- DĂ©ploie tes Ailes sur les ombres qui font peur, 2856- Je suis amoureux d’une idĂ©e qui s’envola ailleurs, 2857- Lorsque qu’une Colombe s’est pausĂ©e entre moi et mon dealer ». 2858- Drogue, alcool, et paradis artificiels, 2859- Violence, guerre et famine inconnues, 2860- Rien n’importe Ă  tous, c’est le chien qui sommeille, 2861- Qui attend un maĂźtre Ă  suivre, une Vie sans rue. 2862- J’ai fait un RÊVE fou qui n’est pas de ce Monde 2863- OĂč le rire est prĂ©sent, dans un grand champ de Fleurs 2864- OĂč Amour et Chants rythment le Coeur du Monde 2865- OĂč la guerre et le sang, n’ont jamais peint l’horreur 2866- J’ai fait un RÊVE fou, oĂč les Hommes sont FrĂšres 2867- OĂč la Couleur de peau n’est que fleuron de plus 2868- ÉpinglĂ© au drapeau qui flotte sur la Terre 2869- Comme Vent d’Harmonie, Coeurs amoureux Ă  nu 2870- J’ai fait un RÊVE fou, oĂč la PAIX triomphe 2871- OĂč nous luttons ensemble pour son implantation 2872- OĂč la Foi, le Courage planteront Ă  la ronde 2873- Leurs Pousses d’EspĂ©rance, dans toutes les Nations. 2874- Je la perçois dans les yeux de chaque Enfant 2875- Comme une Lueur d’Espoir brillant, magique 2876- Elle procure SĂ©curitĂ©, SĂ©rĂ©nitĂ© et Bonheur, 2877- Elle Ă©clairera ce Monde plongĂ© dans le noir, 2878- Le guĂ©rira de toutes ses souffrances. 2879- Toi le chercheur de PAIX, 2880- Tu rĂ©unis Force, Courage et Espoir 2881- Ils te conduiront Ă  un Monde meilleur 2882- Un Monde oĂč la PAIX rĂšgnera 2883- C’est si difficile de la trouver
. PAIX! OĂč es tu? 3884- Que le Coeur soit d’Enfants, d’Ados ou de Parents, 2885- Seule la PAIX peut le combler convenablement. 2886- Mais sont-ils donc tous devenus vraiment trop fous 2887- Pour ainsi, sans hĂ©siter, lui tordre le cou? 2888- Tant de souffrance qu’on peut infliger Ă  l’Enfance 2889- N’est que théùtre pour ces visages 2890- Qui la font Ă©coper Ă  outrance. 2891- PropagĂ© Ă  travers les Ăąges, 2892- RÊVE de PAIX, belle tendance, 2893- Éliminerait toute violence. 2894- La PAIX n’est pas facile Ă  trouver sur cette Terre 2895- Partout oĂč l’on regarde il y a plein de misĂšre 2896- Mais malgrĂ© tout, il faut aimer la Vie 2897- Et s’émerveiller de tout ce qui nous Ă©blouit ! 2898- Le Sourire d’un Enfant, des cheveux dans le vent 2899- Une plage au sable blanc et nous tous bien vivants. 2900- Mais maintenant, c’en est assez de ne pas voir 2901- Arriver la PAIX en ce Monde de dĂ©sespoir. 2902- La guerre en Irak ne fait pas que dĂ©truire les lacs; 2903- Elle enlĂšve la Vie Ă  quelques pays. 2904- Il faut arrĂȘter cette manie
 cette folie 2905- Pour que tout le Monde puisse rire quand ça va finir. 2906- Quand un Homme traverse la frontiĂšre, 2907- Il voit au delĂ  de l’imaginaire. 2908- Il n’y a personne d’éternel, 2909- Nous mourons comme une chandelle. 2910- Et si la PAIX Ă©tait partout dans l’univers
 2911- Elle devrait ĂȘtre sur Terre, en mer et dans l’air. 2912- Bien des Gens d’ici, rĂȘvent que la PAIX soit prĂ©sente; 2913- GĂ©nĂ©rositĂ© et Joie doivent rester vivantes. 2914- On doit se parler entre nous, sans se blesser. 2915- ArrĂȘtons la violence et les grossiĂšretĂ©s; 2916- Le Respect devrait ĂȘtre partout dans les maisons. 2917- Cessons de nous chicaner pour de mauvaises raisons; 2918- ArrĂȘtons les conflits, montrons ce qui est mieux; 2919- Oublions les chicanes entre jeunes ou vieux, 2920- Surtout ne plus jamais souffrir
 2921- Mais sentir que l’on respire. 2922- La PAIX c’est comme un Soleil souriant de Joie. 2923- Seulement la PAIX nous ferait vraiment guĂ©rir 2924- Les Espoirs que les Hommes ne peuvent plus sentir. 2925- Je voudrais voir les Enfants grandir 2926- Je ne voudrais pas lire qu’ils sont nĂ©s pour souffrir. 2927- Qu’on arrĂȘte de mentir, qu’on jouisse avant de mourir 2928- en Ă©vitant la guerre pour ne pas souffrir. 2929- Vivons en PAIX pour ne pas pĂ©rir. 2930- Hommes, Femmes, il nous faut rĂ©agir 2931- Avant qu’un Ă  un, nos Coeurs se mettent Ă  mourir 2932- Pour ne pas voir pĂ©rir notre Avenir. 2933- Il faut puiser dans le passĂ© pour avancer. 2934- Le temps de se retourner et nous avons oubliĂ©; 2935- Amour PAIX et Amitié  que de beaux mots! 2936- Et pour que d’utopie, ils se muent en RĂ©alitĂ©, 2937- La PAIX, tapie en nous-mĂȘmes, doit se rĂ©vĂ©ler, 2938- Pour arrĂȘter les chicanes, il faut ĂȘtre honnĂȘte, 2939- L’HonnĂȘtetĂ© et l’AmitiĂ© sont reliĂ©es. 2940- Il ne faut pas se dĂ©tester; il faut s’aimer. 2941- Il faut se respecter pour mieux s’amuser; 2942- Il faut aussi sur Terre, un peu plus de gentillesse 2943- Puisque la grande PAIX ici
 est notre Bien-ĂȘtre. 2944- La Vie est parfaite; pourquoi l’avons-nous dĂ©truite? 2945- Les plus forts ne sont pas toujours les plus gentils. 2946- ArrĂȘtez ces guerres ignobles dĂšs aujourd’hui. 2947- Respect et AmitiĂ© sont les ClĂ©s de la PAIX. 2948- Nourrissez-la et l’Univers serait parfait; 2949- Elle est un Besoin existentiel, 2950- Elle durera jusqu’à l’ÉternitĂ©. 2951- C’est tout ce qui devrait ĂȘtre dans le Monde. 2952- Il ne faut pas se battre, mais plutĂŽt s’expliquer. 2953- Le secret de l’AmitiĂ©, c’est l’HonnĂȘtetĂ©. 2954-La paix est un secret que l’on devrait garder 2955-La guerre est une plaie qui sĂšme l’hĂ©catombe 2956- Alors, Ă©cris partout et dans tous les idiomes 2957- Que la PAIX, Fruit d’azur, nous ouvrira les paumes. 2958- Nous croyons en la PAIX. Pourquoi ces guerres immondes? 2959- Toutes ces Familles dĂ©truites, toutes ces Vies gaspillĂ©es, 2960- Tous ces RÊVES envolĂ©s; que de tristesses profondes 2961- Dans un futur perdu
 quel destin atrophiĂ©! 2962- Nous, Gens de LibertĂ©, espĂ©rons le Bonheur 2963- De toute l’HumanitĂ©, de nos FrĂšres et nos SƓurs. 2964- Que la PAIX soit rendue Ă  ces Gens dĂ©chirĂ©s 2965- Qui subissent la souffrance et l’horreur dĂ©chaĂźnĂ©es. 2966- Moi, je voudrais ĂȘtre le grand GĂ©nie de la lampe 2967- Pour qu’ensemble, les bons Hommes dansent et chantent 2968- Sur un Monde de PAIX avec ses DiffĂ©rences, 2969- Mais je ne suis qu’un Homme qui pleure les consĂ©quences. 2970- PAIX! Un mot doux-charmant caressant l’ouĂŻe 2971- Amour de soi-mĂȘme, des autres et de la Terre 2972- Insuffler le Bonheur telle une Brise salutaire 2973- XĂ©nophile averti pour l’Avenir d’un pays. 2974- Que chacun d’entre nous s’oublie pour son Prochain 2975- Et que le terme Amour » ne soit pas un mot vain. 2976- Aimer c’est partager, oeuvrer Ă  s’entraider
 2977- Aimer c’est rechercher PAIX et FraternitĂ©. 2978- On marierait le blanc avec le noir 2979- Pour arrĂȘter la guerre
 2980- Et on s’embrasserait heureux, malheureux 2981- De diffĂ©rentes Religions, noirs et blancs 2982- Pour redessiner le Sourire d’un Enfant
 2983- Et les Couleurs de l’AmitiĂ©. 2984- Je suis nĂ©e dans la ville Amour » 2985- Quartier du Coeur et de la Tendresse
 2986- La Vie s’épanouit pour le plus pauvre des Hommes; 2987- Sur les Ailes du Coeur, elle se dĂ©pose sans une cause. 2988- Tel un voleur, elle dĂ©robe les ombres profondes; 2989- Elle crĂ©e ainsi une Force d’ondes qui transforme le Monde. 2990- FraĂźche nuit bleu d’étĂ©, Mon Dieu doux, ma Lueur, 2991- Je vous supplie d’aimer mes Enfants querelleurs. 2992- Je m’appelle Abraham; entendez-vous mon Âme 2993- Qui tremble de penser Ă  ses Fils divisĂ©s
 2994- L’Amour vient un beau jour aux persiennes charmantes, 2995- La VolontĂ© d’Amour est l’Aube intelligente. 2996- D’un jour nouveau qui saura faire naĂźtre en nous, 2997- En toi, en moi, en lui, la foi Sybille d’un mot maĂźtre, 2998- D’un Dieu qui crĂ©a homme, Femme, Terre et ContrĂ©e; 2999- Scellant dans nos Âmes, ce pacte de la FraternitĂ©. 3000- Sans oublier un seul instant nos Soeurs bien aimĂ©es, 3001- Je ne peux qu’espĂ©rer d’autres moments privilĂ©giĂ©s, 3002- Bien qu’il en manque, pour me rappeler les bons. 3003- Pour cette PlanĂšte, qui est la seule que nous ayons, 3004- Cesser de nous battre, pour en possĂ©der une partie! 3005- Nous devrions
 3006- Et la Vie s’épanouira pour le plus pauvre des Hommes. 3007- Au devant s’épanchent nos Cieux lamĂ©s sans fins. 3008- Nous serons ce Pont bref, l’Infini de la somme 3009- Envers d’atroces voix, parvis des corps dĂ©funts, 3010- Qui perdurent au-delĂ  de ce cercle uniforme. 3011- Ailleurs nous allons. Quelle crainte s’étend au loin? 3012- Cette crainte est l’Oeuvre de Croyances 3013- Entretenues par des gens
 insolents. 3014- La PAIX, elle, est sans dĂ©faillance. 3015- Elle se vit Ă  travers tous nos Gestes
 3016- MĂȘme les plus petits demeurent importants. 3017- Ils se rĂ©percutent sur tout, sans manifeste. 3018- Il suffirait d’ĂȘtre un peu plus patients 3019- Pour que le Monde entier en soit reconnaissant. 3020- La PAIX ne demande pas l’impossible; 3021- Ni soleil, ni lune, ni droits inaccessibles. 3022- Immense Grandeur, Ciel bleu, blanc et rouge, 3023- Ta couronne s’enfonce dans la Terre 3024- Et tu es insouciant de nos malheurs. 3025- Les Hommes te regardent et prient
 3026- Les Femmes le font aussi. 3027- Les petits t’admirent le jour et ont peur de toi la nuit! 3028- Pourquoi n’exauces-tu pas notre volontĂ©? 3030- Pourquoi ne vivrions-nous pas en PAIX? 3031- Livre-nous tes mystĂšres, tends-nous tes bras 3032- Pour qu’on aille vers toi. Hisse-nous vers tes Étoiles 3033- Laisse-nous te voir, enlĂšve ton voile. 3034- Fais pleuvoir ta richesse, fais tenir ta promesse 3035- Montre-nous la porte du TrĂŽne pour que la Joie rayonne 3036- Sur ce Monde en dĂ©tresse. 3037- Sois, comme notre Terre Charitable et bonne MĂšre
 3038- Laisse-nous planter sur ton toit des Arbres, de l’Herbe, de la Joie 3039- Et laisse-nous cueillir leurs Fruits. 3040- Je ne peux pleurer cette guerre 3041- Car celui qui me console, pleure encore plus. 3042- Je ne peux fuir ce malheur, car ma Demeure est dĂ©truite 3043- Et me voilĂ , pour l’ÉternitĂ©, un parmi les Ă©garĂ©s, 3044- Sans terre, sans abris. Tout en moi a disparu 3045- Sauf l’Espoir de vivre encore
 en PAIX. 3046- Pourquoi assommer le rire de nos Enfants 3047- Par des coups de feu des guerres 3048- Toujours en espĂ©rant ĂȘtre gagnants 3049- Mais jamais nous serons fiers. 3050- À vous, petits-enfants, je veux dĂ©dier ces mots 3051- La PAIX sur notre Terre est le plus beau Cadeau. 3052- Mais le bras de la PAIX ne s’essouffle 3053- Sous le poids de la haine, honni qui y pense 3054- RĂȘvez, rĂȘvez et retenez votre Souffle 3055- Pour la Joie renouvelĂ©e qu’on ensemence. 3056- J’entends de fortes voix qui me disent Assez! » 3057- L’Espoir est Ă©phĂ©mĂšre dans l’ñtre du Monde, 3058- Mais moi, si je ravale mes larmes passĂ©es, 3059- Celles qui vont venir, jamais ne m’inondent. 3060- Les Hommes veulent la Victoire, la richesse; 3061- Homme, je suis envoĂ»tĂ© par ces deux diablesses. 3062- Faire preuve d’irrĂ©vĂ©rence, me conformer aux appĂ©tences, 3063- M’adonner Ă  l’effronterie, ne faire que des žùneries 3064- Agir avec dĂ©sinvolture, chĂ©rir, me plaire Ă  la luxure; 3065- Me dĂ©dire de tout principe, et faire que je m’émancipe; 3066- Mieux, dĂ©fier ce que dit l’usage et renier mon apanage; 3067- Ignorer tout ce qui m’oppresse et ĂȘtre fier de mes faiblesses. 3068- Je ne peux y prĂ©tendre, hĂ©las! Car comme le gĂ©ant Atlas, 3069- Je porte le poids des prĂ©ceptes, parfois judicieux, d’autres ineptes. 3070- Si chacun suivait mon Exemple, nous ferions de cette Terre
 3071- Un Temple pour la PAIX! 3072- La PAIX
 c’est aimer avant tout. 3073- Et si tu y arrives; tu peux changer le Monde! 3074- Un Monde meilleur Ă  vivre. 3075- À nous d’oeuvrer ce soir, chacun y met son Coeur 3076- Ensemble nous pouvons Ă©touffer la violence 3077- Ayons des Mots lĂ©gers, aimants, des Mots sans peur, 3078- Apaisons nos PensĂ©es, toujours avec Conscience, 3079- Regardons l’Autre venir et prenons-lui la Main, 3080- Unissons nos Bonheurs et marchons vers Demain. 3081- Pour qu’un jour enfin, tous puissent manger Ă  leur faim 3082- Et que l’eau aussi soit distribuĂ©e sans fin. 3083- Unissons-nous pour que tous les jours les Enfants 3084- Puissent ĂȘtre bercĂ©s tendrement par leur MĂšre 3085- Pour que les cris d’effroi fassent place aux Chants de Joie. 3086- Et que cette Joie illumine et jalonne nos Ă©lans parfumĂ©s envers autrui 3087- Afin que chacun se dise de son intĂ©rieur profond Il a du Regard pour moi. À ce jour, plus de 1036 auteurs ont contribuĂ© Ă  l’élaboration de ce poĂšme sans fin, Ă  ce RÊVE de PAIX. Liste des auteurs IdĂ©e originale Jean-Claude Fournier Enseignant au primaire Commission scolaire des Trois-Lacs École Notre-Dame de Lorette 70 rue Lussier, Pincourt, QuĂ©bec, Canada J7V 5B2 1 Ă  8 classe de 6e A 2001-02 de l’école Notre-Dame de Lorette de Pincourt, groupe de Jean-Claude Fournier. Alexandre Brouillard, Charles-Alexandre Cardinal, Vicky Chartier-Jacques , Josiane Chevrier , Maxime Cousineau , Samuel Cuerrier Auclair, Maxime Daoust-DubĂ©, Marc Desjardins , Marie-Émilie GrĂ©goire , Ryan Kelly , Martin Alexandre Lalonde , Jonathan Laplante, Jean-François Lavigne SauvĂ© , Tanya Lemieux , Isabelle Mazerolle , Marie-Soleil Mc Phee , Dominique Mitchell CarriĂšre , Patrick Neale , Marie Ouellet , Sophie Parent , StĂ©phanie Poirier , Anthony Ruel, Robyn Symmers-Wilken , Simon Tremblay , Matthiew VallĂ©e, Laurence Varin , Khadija Ziad, Pincourt, QuĂ©bec. 9 Ă  16 Sylvie Vannier, Laval, QuĂ©bec. 17 Michel Sanders et Isabelle Anampa, Pincourt, QuĂ©bec. 18 Ă  21 Julie Hamel, Pincourt, QuĂ©bec. 22 Ă  30 Michel Huard, Notre-Dame de l’Île Perrot, QuĂ©bec. 31 Ă  34 HĂ©lĂšne Corbeil, St-Lazare, QuĂ©bec. 35-36 Christelle Doyon, Pincourt, QuĂ©bec. 37-38 MĂ©lanie Ranger, Pincourt, QuĂ©bec. 39-40 Benjamin Vincent, Pincourt, QuĂ©bec. 41-42 Vanessa Poitras, Pincourt, QuĂ©bec. 43-44 Anne-Marie Langlois, Pincourt, QuĂ©bec. 45-50 Yvon Fournier, Ste-Anne des Plaines, QuĂ©bec. 51-54 Nicole Fournier, Ottawa. 55-58 Marcel Fournier, Terrasse-Vaudreuil,QuĂ©bec. 59-60 Annie Robichaud, Pincourt, QuĂ©bec. 61-62 Pascal Morin, Pincourt, QuĂ©bec. 63-64 Dominic Bessette, Pincourt, QuĂ©bec. 65-66 StĂ©phanie Walker-Robitaille, Île Perrot, QuĂ©bec. 67-68 Francis Chartier Jacques, Pincourt, QuĂ©bec. 69-70 Christine La FlĂšche, Pincourt, QuĂ©bec. 71-72 Jonathan PĂ©ladeau, Pincourt, QuĂ©bec. 73-74 Cody Rousseau, Pincourt, QuĂ©bec. 75-76 Marc-AndrĂ© Gauthier, Pincourt, QuĂ©bec. 77-78 David Joly, Pincourt, QuĂ©bec. 79-80 Caroline Gagnon Benoit, Pincourt, QuĂ©bec. 81-82 MichaĂ«l Fontaine, Pincourt, QuĂ©bec. 83-84 Mitch Richard, Pincourt, QuĂ©bec. 85-86 Marie-Pier Rousseau, Pincourt, QuĂ©bec. 87-88 Karine Boyer, Pincourt, QuĂ©bec. 89-90 Maxime Durocher, Pincourt, QuĂ©bec. 91-92 Yanik Lemieux, Pincourt, QuĂ©bec. 93-94 Famille de J-F Courty, Claude, Maya et Sandrine, Pincourt, QuĂ©bec. 95 RaĂŽul Duguay, poĂšte quĂ©bĂ©cois » Saint-Armand-les-Vents, QuĂ©bec.96 Jean-Claude Fournier, Vaudreuil-Dorion, QuĂ©bec. 97-98 VĂ©ronique LĂ©vesque Sabourin, Pincourt, QuĂ©bec. 99-104 Guylaine Ouellette, Pincourt, QuĂ©bec. 105-108 Nadine Lacaze. 109-112 Thenon Priscillia, Belleville sur SaĂŽne, France. 113-114 Ornella Raad, 4Ăšme CollĂšge Paul Langevin Ă  Rouvroy, France. 115-118 Suzanne Roberge, Vaudreuil-Dorion, QuĂ©bec. 119-122 Martin Robillard, Danielle Fournier, Vaudreuil-Dorion, QuĂ©bec. 123-126 Evelyne Fournier, Vaudreuil-Dorion, QuĂ©bec. 127-130 Cyntia Dagenais et Catherine Lacaille Foster, Pincourt, QuĂ©bec. 131-132 Carole et Guy. 133 Micheline Dassylva, 134-135 Yolande Crivellaro, Val d’Or, Abitibi, QuĂ©bec. 136-147 Classe de 5iĂšme annĂ©e, Marie-AndrĂ©e PĂ©ladeau, Marie-Ăšve Clautier, Katherine Bui-Pitre, Marie-Lise Grenier, StĂ©phanie Gauthier, Karl Handfield, Karen Vallejos-Espinoza, Nicolas Desjardins, Alexandre BĂ©riault, Catherine Lemire, Maxime Brunet-GagnĂ©, Pincourt. 148-149 Lynda Franks, Otterburn Park, QuĂ©bec. 150 Mar, Tenerife Ăźle de l’archipel espagnol des Canaries. 151-152 Lorrain SĂ©nĂ©chal, Strasbourg, France. 153-154 RaphaĂ«l Hertzog, HĂ©singue, France. 155-158 Alain Gravel, MontrĂ©al, QuĂ©bec. 159-162 Collectif classe de Isabelle Gauthier, 5iĂšme annĂ©e, Ă©cole de Lorette, StĂ©phanie B. Trow, Maxime Berryman, Marie-Eve Bouchard, Jonathan Brousseau, Fany Chartrand, Carl Coulombe B., Tricia Crivellaro G., Pascal De Ladurantaye, KĂ©vin Fraser-M., JoĂ«l FrĂ©chette, Christel Gignac, Alexandre Grenier, Ludovic Hamelin, Jean-François Joly, Dominique Lamer, Colin Lanthier-D., Nicholas Laroche, Catherine Lefebvre, Anabel LĂ©ger, Coralie Lemieux, Jesse Levac, Eliane LĂ©vesque, Francesca LĂ©vesque, Karelle M. Lapointe, Isabelle Martin, Caroline Mazerolle, MĂ©lina Meloche Sassos, Laurence Pilon, Alex Poirier, Pincourt, QuĂ©bec. 163-164 Marie-Eve Pichette et Kim Tessier, Ă©cole Jouvence, QuĂ©bec. 165-166 William Pierre LĂ©vesque et Philippe Laforest-Jean, QuĂ©bec. 167 Éric Langevin, Paris, France. 168-169 Raymond Fournier, Pincourt, QuĂ©bec. 170-173 Kees Vanderheyden,’écrivain’ Mont St-Hilaire, QuĂ©bec. 176-181 Marie Schockweiller, Angerville, Ile-de-France. 182-184 Éliane St-Germain-Lapointe, Cynthia Morissette, ValĂ©rie Kohnen, Ă©cole Wilfrid-LĂ©ger, Waterloo, QuĂ©bec. 185 Ă  198 École Anne-HĂ©bert, 5iĂšme et 6iĂšme annĂ©es, MontrĂ©al, QuĂ©bec.185-186 Julien Lafleur. 187-188 K. Sigak, LĂ©anne Krystel, Panti Cabrera. 189-190 Alex Cowan, Brandyn Barker, Li Shen, Andrei Florea, Thierry Dorion, MontrĂ©al, QuĂ©bec. 191-19j2 Sandro BĂ©lisle-Bruno, Tania Benyaminov. 193-194 Julien Fontaine Benedetti, Madami Anderson Reeve. 195-196 German Lim, Charles Bentata. 197-198 Antoine Richer, Étienne Vuignier. 199-204 Monique Poncet, Ambierle France. 205 Caroline Roy, QuĂ©bec, QuĂ©bec.206-207 François Martel, Pincourt, QuĂ©bec. 208-210 Bruno Constant Lagadec, Ă©crivain’ Plouvien Bretagne, France.211-214 Ruby Clark et Cassandra Daniel, Ă©cole de Sutton, QuĂ©bec. 215 Kathleen Felber Charbonneau, Sutton, QuĂ©bec.216-217 Alexis Moquin-Papin et GeneviĂšve Bergeron Piette, Sutton, QuĂ©bec.218-219 Mikael Carey, Sutton, QuĂ©bec. 221-222 Sabine Boisvert et Roxane Richard, Sutton, QuĂ©bec. 223-224 Nicolas Bertrand, Sutton, QuĂ©bec. 225-236 Groupe de 4iĂšme collectif de Marie-Lise Pinault. 237-240 Julien Dettwiller et Vincent Lengacher, Sutton, QuĂ©bec. 241 JC. 242-249 Guy Julien, poĂšte’, Aix en Provence, France. 250-251 Robyn Symmers Wilken, Pincourt, QuĂ©bec. 252-253 Annie Boudin, Canton de Melbourne, QuĂ©bec. 254-271 Classe de 5iĂšme A, École de Lorette, Pincourt, QuĂ©bec. 254-255 Chantal Boudin Macleod. 256 Christopher Dom. 257 Hugo Doucette. 258 VĂ©ronic Tremblay. 259 Jessy Lemieux. 260 Maxime Duguay Ricard. 261 ValĂ©rie Forget Bronquard. 262 Myriam Legault Rioux. 263 JoĂ«lle Bernard. 264 Mathieu Lapointe. 265 RaphaĂ«l Maltais-Tariant. 266 Mathieu Paquet-Lavoie. 267 JĂ©rĂ©mie Pilon. 268 Ariane Fournier Viau. 269 Samantha Kelly. 270-271 Julien Laurendeau. 272-273 Mathieu et Mario Maher, Pincourt, QuĂ©bec. 274-275 Marc Fisher, Ă©crivain’ Notre-Dame de l’üle Perrot, QuĂ©bec. 276-363 ÉlĂšves de 8 Ă  12 ans, École le Tremplin, Labelle, QuĂ©bec. 276-278 Joanie Gervais. 279-280 Philippe Gagnon. 281-283 Dany BĂ©land. 284-287 Benjamen Gareau-Blais. 288-291 Kimberly Cadieux. 292-300 MylĂšne Groulx. 301-303 Sarah Deguire. 304-307 Virginie Raby. 308-310 Marie-Pradelle Gareau-Valiquette. 311-312 CharlĂšne VĂ©zina. 313-316 Miguel Brassard, Anthony Blais, Bobby Rock, Miko Leblanc. 317-319 Katherine Chalifoux Nadeau. 320-321 Keven David-Provost. 322-323 Isaac Brunet. 324-325 Myriam Bentounsi. 326-348 Collectif 5iĂšme annĂ©e Maxime Bergeron, Samuel Bergeron, Alexandra Charette-Caron, Ariane Choquette, Erick Denis Duque, Molly Fournier, Pierce Graham, Elisabeth GrĂ©goire Sauriol, Marie-Eve L. Machabee, Alexis Labelle, Mishkam Lamontagne, Jean-Philippe LaramĂ©e, SĂ©bastien Leduc-Labelle, Josiane Nantel, Olivia Ouellet-Chenu, Camille Paiement, StĂ©phanie Parent, ValĂ©rie Riendeau, Samuel Robberts, Olivier Vincent Terreault, Maxime VĂ©zina, ChloĂ© Venne-Brassard, MĂ©lissa Vaillancourt-Paradis. 349-355 Olivia Ouellet-Chenu.356-363 Nadine Bray, Maxime Moisan Roussel. 364 Sabrina Michaud. 365-366 Philips Euprosin, Paris, France. 367-370 Emmanuelle Semper, France. 371-374 AurĂ©lie Pachomoff, Paris, France. 375-376 Marc Hsu, Paris, France. 377-380 StĂ©phane Ghesquiere, Lille, France. 381-383 ?. 384- Magali Lamy, Saint Aubin Sur Mer, France. 384-387 MĂ©linda Basly, Le Mans, France. 388-389 Micheline Merizzi Brault, Vaudreuil-Dorion, QuĂ©bec. 390-393 AliĂ©nor Martin, Toulouse, France. 394-395 Vanessa Poitras, Pincourt, QuĂ©bec. 395-396 Collectif, Ă©lĂšves de 2iĂšme annĂ©e, groupe de MarylĂšne, Ă©cole Bruno-Choquette, St-Jean sur le Richelieu, QuĂ©bec MigaĂ«l Audette, Jason Beaudry, Julien BĂ©langer, Julien Boulais, Jennie Brisson Thibault, Camille Charest, Marc-AndrĂ© Cloutier, Samuel CĂŽtĂ©, Vincent De bellefeuille, Caro-Ann Duchesne, MichaĂ«l Goddard, Alexandre Gourde, Jimmy HĂ©bert, Kamie Huneault, FrĂ©dĂ©rick Kane, Sabrina LalibertĂ©, NoĂ©mi Lavoie-FrĂ©geau, Laurence Lessard-Thibodeau, Jessika Mailloux Deslauriers, Alexandre Nadeau, Émile Rivest,Samuel Rouleau, Marc-Antoine Santerre Lepage, Louis-Philippe Soucy, Anne Tremblay et Katherine VĂ©zina 398-399 Classe de Josiane Paquette, 2iĂšme annĂ©e, Ă©cole Bruno-Choquette, St-Jean sur le Richelieu, Beaudry, Ariel Cadieux, Kim Bessette, Zacharie Bessette, Mathieu Bolduc, Sabrina Brault-Depres, Jonathan Camerlin,Yannick Cassista, Shannen Couture, Guillaume Day, Julien-Pier Fortin, Francheska Guy, Virginie Landry, Éric LaramĂ©e, Pascale Lechasseur, Chrystophe Letendre, Sarah Mc Ardle, Karine Melillo, Rosemary Morel, Christopher Paquette, Samantha Pemberton, Olivier Perron, Rebecca Plante, Nicolas Poulin, Mehdi Sargha, Marc-Olivier Valiquette, Hugo Veronneau. 400-407 Collectif, 6e A 2003-4, classe de Jean-Claude Fournier, Ă©cole Notre-Dame de Lorette, Pincourt, QuĂ©bec Maxime Auger, Marco Aumais, Francis BĂ©riault, MĂ©lanie BuissiĂšre, Marie-Chantale C. Deroo, Cyntia Dagenais, Christian Daoust, Denys Fournier, Benjamine Gaudet-GiguĂšre, Michael Godin, Guillaume Imbeau, Maxie-AndrĂ©a L. Beauregard, Catherine Lacaille Foster, Cynthia Lavoie, Samuel M. Motreff, Mathieu Maher, GeneviĂšve Martineau, Dominik MĂ©nard, Catherine PĂ©ladeau, Jean-François Perreault, Sila Sanders-Anampa, Filip SauvĂ©, Christine Tuzet, Alexandre Wolford. 408 Ă  426 École St-Paul, Gatineau, QuĂ©bec 408-409 Jessica Dompierre. 410 Ă  412 Alexandra SampĂ©rĂ©. 413-414 AurĂ©lie Turgeon. 415-416 Émilie Simard. 417-419 Émilie Cyr. 420-422 Katherine L. L. 423-424 Hanna Zheng. 425-426 AmĂ©lie Roux. 427-430 Martin Pasquier, Lyon, France. 431-432 Jonathan De Laere, Collonges-sous-SalĂšves, Haute Savoie, France. 433-434 Matea Grubesic, 5iĂšme annĂ©e, Ă©cole St-Paul, Gatineau, QuĂ©bec. 435-436 Maxime Saumier Demers et Éric Neron, Rock-Forest. 437-442 Muriel Valesmes, Annecy 74 France. 443-453 Michelle, Ottawa, Ontario. 454-461 Romuald Dethier,Gembloux, Belgique. 462-465 Yann Geay, Toulouse, France. 466-468 Delphine Bouvier, France. 469-472 Adeline Alquier, Haute Normandie, France. 473-475 Elsa Doyen Meuse, France. 476 Marilou Paquin, Laval, QuĂ©bec. 477-482 Anne-Catherine Siegenthaler, Blonay, Suisse. 483-488 Dominique Pirbakas, Guadeloupe, France. 489-490 Marc Jean Marie Baudoin, Rochefort sur Mer en Charente Maritime. 491-494 Marie-AndrĂ©e Fournier, Pincourt, QuĂ©bec. 495-501 Dina Dieuzede-Cophire, la Martinique. 502-505 Annie Ruelens, Talmontiers, France. 506-509 Maxime et Pier-Luc Fournier ainsi que Claudette Richer, Pincourt, QuĂ©bec. 510-511 Fatma Zohra, Boumerdes, AlgĂ©rie.512-514 Philippe Vaes, Bruxelles, Belgique. 515 Patrick Frances, ?. 516-521 StĂ©phanie Goulet, QuĂ©bec. 522-532 FrĂ©dĂ©rique Riety, France. 533-534 Edgar Bori, auteur-compositeur, interprĂšte, MontrĂ©al, QuĂ©bec. 535-546 Estelle Renuy, Bully-les-Mines, France. 547-550 Sylvie Tremblay, QuĂ©bec. 551-554 Franchon Adam, Florenville, Belgique. 555-563 Yvan Charron, Longueuil, QuĂ©bec. 564-565 Mariette Sabourin, Longueuil, QuĂ©bec. 566 ?. 567-568 Magalie Blanchard. 569-590 Jean-Michel Bartnicki, Enseignant et poĂšte Lille, France. 591 Snyny Aubert, Suisse. 592-596 Jessica Corneau, St-CĂ©saire. 597-616 Mohamed El-ouahed, poĂšte d’expression française’ AlgĂ©rie. 617-622 Nicolas Jaunais, Charleville-MeziĂšres, France. 623-624 Daniel Laurendeau. 625 Stefano Ponzetta, Yverdon-les-Bains, Switzerland. 626 SĂ©phane Bachet, Reims 51, France. 627-629 Claude Martin Dupuis, St-JĂ©rĂŽme, QuĂ©bec. 630-633 Martine Girard, Saint-Jean-sur-Richelieu, QuĂ©bec. 634-637 Kelly, Makles, Lille, France. 638-640 Sabrina Gagnon. 641-645 Armani Lorenzo, L’AthĂ©nĂ©e Royal Verdi Ă  Verviers. 646-647 Vince Ghuy. 648-649 Sylvain Michaud, Boisbriand, QuĂ©bec. 650-654 Mjigal Mohammed, Paris, France. 655-658 ?. 659 Dolores. 660-661 Annie-Claude DubĂ©-Leduc, Longueuil, QuĂ©bec. 662 Michel Nourtier. 663-668 Gabryelle Chebroux, Nantes, France. 669 Sonya Larose, LĂ©vis, QuĂ©bec. 670-679 Obni, France. 680- 683 Ivan Bannwarth, France. 684-687 Marie Claire VĂ©ritĂ©, Vitrolles, France. 688-697 M. Claire, 13, France. 698-699 École Bruno-Choquette, classe 212, 3e annĂ©e, St-Jean-sur-Richelieu, QuĂ©bec. 700-703 Georgeline Pelletier Fournier, Vaudreuil-Dorion, QuĂ©bec. 704 Sophie Massart, Namur, Belgique. 705 Lucie Bortot, Rabastens, prĂšs de Toulouse, France. 706-711 Carole. 712-717 Denis RiviĂšre, Biarritz, France. 718-719 Sacha Bury, France. 720-721 Jocelyn Marcil, Mirabel, QuĂ©bec. 722-729 Jean-François GrĂ©goire, Metz, France. 730-733 StĂ©phanie Welsh, Cocheren, France. 734-741 Cabinet Jacques Bre
France. 742 Jean-Claude Fournier, Vaudreuil-Dorion, QuĂ©bec. 743-746 Missy Anthea, Forbach, France. 747-748 The Prophet, Villeurbanne, France. 749-751 Vanessa Émond, Ste-Foy, QuĂ©bec. 752-756 Louise Grenier, Black Lake, QuĂ©bec. 757-758 Mikeouze Chambery, France, Savoie. 759-762 Laurent Tourville-B, MontrĂ©al, QuĂ©bec. 763-770 Le collectif des poĂštes urbains, Paris, France. 771-774 Dominique Williame, Bordeaux, France. 775-776 Gonzague Bridault, Neuilly-sur-Seine, France. 777-778 Karim Eloutmani, France. 779-784 Samantha Duc, Valais, Suisse. 785-794 Haroli Bahia, Settat, Maroc. 795-803 Michel Ramos, Marseille, France. 804-807 ?. 808-809 Melina Paden, Missouri Western, St. Joseph, Missouri, USA. 810-811 David Young, Missouri Western, St. Joseph, Missouri, États-Unis. 812-813 Karin Steiner, Schweiz. 814 Jacques. 815-816 Julien Belek, Caen, France. 817-820 Antoine Ribeiro, Michael, Haute Savoie, France. 821-824 Vanessa Gassleer, CH GenĂšve, Suisse. 825-828 Thierry Guillaumin. 829 Valere Jasson, Paris, France.830-833 Solange JĂ©sus , St-Germain. 834-854 Yohann Couede, Bretagne, France. 885-886 ?. 887-894 Marie-Pierre Despiau, BagnĂšres de Bigorre, France. 895-900 Thomas Lefebvre Anderlues Belgique. 901-902 Françoise Jachimowski, Tilloy-Bellay, France. 903-904 Virginie Fleury, Romans sur IsĂšre, France. 905-908 Myriam Minville, Contrecoeour, QuĂ©bec. 909-910 Nina. 911-914 Florence Saillen, Monthey, Valais, Suisse. 915-916 Carol-Ann Dom, Pincourt, QuĂ©bec. 917-919 AurĂ©lie Morisson. 920-922 AurĂ©lie Guymarc, Soindres, France. 923-924 Francis Richer, Thurso, QuĂ©bec. 925-926 VĂ©ronique Beramelo, Vaux le PĂ©nil, France. 927-928 Anita Lamberti, Haute-Corse, France. 929-938 MichĂšle Corti, RosiĂšres, France. 939-943 ?. 944- 950 Claude Hirel, Agen, France.951-958 Odile Buchbach, La Seyne sur Mer, France. 959-960 Éric Favard, Villiers sur Orge, France. 961-962 ?. 963-964 Catherine Guyonneau, Claix 16, France. 965-974 Maria Garcia P., Isle d’Abeau, France. 975 Patrick VasiliĂšres, Bordeneuve, Goudourville, France. 976-978 El Mokhtar el Hazoumi, Ecquevilly, France. 979-980 Bilal Rahzi Pamandzi, Mayotte, France. 981-995 Vitrolles, France. 996-997 Balletti Sauveur, Aubagne en Provence, France. 998-1000 Manon, Namur, Belgique. 1001-1004 François DelĂ©mont, GenĂšve, Suisse. 1005-1008 Jean Devriendt, Strasbourg, France. 1009-1016 CĂ©line Baret, Dunkerque, France. 1017-1024 Anthony Digrado, Fleurus, Belgique. 1025 Vincent Goffin, LouveignĂ©, Belgique. 1026-1038 Marianne Patissier, Verneuil l’Étang, France. 1039-1049 Sylvie Tremblay, Sillery, QuĂ©bec. 1050-1051 AimĂ©-Guy Beaulieu, artiste peintre, Mandeville. 1052-1060 David Busto, Wavre, Belgique. 1061-1073 El Mokhtar El Hazoumi Ecquevilly Yvelines, France. 1074-1075 HĂ©lĂšne Guillot, Marsillargues, France. 1076-1085 Martine Lattuca, Bouches du Rhone, Marseille. 1086-1098 Aude Lattuca, Bouches du RhĂŽne, Marseille. 1099-1102 Jacqueline, St-Cyprien, France. 1103-1108 Nicolas-Julian Hilbold, Sarrebourg, France. 1109-1110 AdĂ©laĂŻde, Suisse. 1111-1112 Louise Hain, Mouvaux, France. 1113-1114 AurĂ©lie MĂ©nage, collĂšge de Neville aux Bois, France. 1115- 1120 Setiao Tone, Toulouse, France. 1121–1123 Sophie, Paris, France. 1122-1130 Jordan Gomez, Yvelines, France. 1131-1132 Adeline. 1133-1136 Monique Vermette, St-Eustache, QuĂ©bec. 1137-1140 Sabine Senol, Verviers, Belgique. 1141-1145 Audrey-Anne, Amos, QuĂ©bec. 1146-1148 Samira Zarif, France. 1149-1150 Manon. 1151 Marie-Eve Thibault, MontrĂ©al. 1152-1160 Lucien Miron Lulu, parolier au QuĂ©bec. 1161-1162 Lorianne. 1163 Paulo D’Horta, Tours, France. 1164-1171 Vampire, Nantes, France. 1172-1174 FĂ©lix-Antoine Matteau, Shawinigan, QuĂ©bec. 1174-1175 Frank. 1176-1183 Laura et Paola Scarnecchia. 1184-1189 Johanne Gravel, St-Jean de Matha, QuĂ©bec. 1190-1194 Gernando Gasse. 1195-1197 Tania Plourde. 1198-1199 Isabel Prignac, Guadeloupe. 1200 Gabrielle Cadot Le Gardeur, QuĂ©bec. 1020j1-1204 Karine, QuĂ©bec. 1205-1224 Georges Perucki, Gif-sur-Yvette, Essone 91, France. 1225-1228 Édouard-Henry Dulac, Ă©crivain français, Montsoult, France. 1229 Alb. Avallone. 1230-1240 RĂ©jeanne Auger Ross, Club d’écriture les Plumes Jasantes, Marieville, QuĂ©bec. 1241-1248 Matthieu Salazar, LiĂšge, Belgique. 1249-1252 JĂ©rĂ©my Comet, Paris, France. 1253 GaĂ«lle Christ, Moulins03, France. 1254 Gabrielle Cadot, Le Gardeur, QuĂ©bec. 1255-1256 Lucie TĂ©nart, CompiĂšgne, France. 1257-1260 Julie Desrochers, St-Polycarpe, QuĂ©bec. 1261-1263 FrĂ©dĂ©rique Lebel-ThĂ©berge, St-Hubert, QuĂ©bec. 1264-1268 Nicolas Jelinski, Wasquehal, France. 1269-1272 Mohamed Elomri. 1273-1280 Romain Bonan, Arouet, France. 1281-1284 RĂ©mi Costantino, Marseille, France. 1285-1294 Mathieu Baiget, Pia, France. 1295-1298 Isabelle Vieux, JouĂ©-les-Tours, France. 1299 ValĂ©rie Paquette, Laval, QuĂ©bec. 1300-1302 Eva Monica, Perouse, France. 1303-1304 ?. 1305 MariĂšve, Ste-ThĂ©rĂšse, QuĂ©bec. 1306-1310 ChouaĂŻbou Njl Mfenjou, Origine Cameroun, RĂ©sidence France, avocat et Ă©crivain. 1311-1314 Boukri Nissrine, Maroc. 1315-1319 Sophie Lagreca. 1320-1321 Jonathan Duchesne, Repentigny, QuĂ©bec. 1322-1325 ?. 1326-1329 ?. 1330-1345 Jean-Paul M. Seuret, Clermont-Ferrand, France. 1346-1349 Jean-Claude Gili, Istres, France. 1350-1353 LoĂŻc Volat,. 1354 Sophie LefĂšbvre, Pointe-Calumet, QuĂ©bec. 1355-1358 AmĂ©lie Nicolas, Reims, France. 1359-1361 Fanny Joffrois, Aix en Provence, France. 1362-1370 Irina Russu, Paris, France. 1371-1372 Tayssir Kouachi, Alger, AlgĂ©rie. 1373 Caroline Seghezzi, GrĂŽne, Suisse. 1374-1377 Nicolas Merry, London, UK. 1378 MaĂ«lis Thibon, Maule, 78 Yvelines. 1379 Jessyca Roy Landry, MontrĂ©al, QuĂ©bec. 1380-1392 Hamid Baki, Luxembourg. 1393-1395 Jessyca Roy Landry, MontrĂ©al, QuĂ©bec. 1396-1399 Corinne Bardon, Aix-en-Provence, France. 1400-1403 Eric Boisclair, gestionnaire du site Le Parolier ». 1405-1412 Mounoussamy Fabrice, Saint Denis, France. 1413-1414 Marion Quilliot, lycĂ©e du Noordover, Grande-Synthe Dunkerque 1415-1417 Jaya Isasi, St-Hubert. 1418-1419 Marion Bouli. 1420-1421 Jessica Cattin, Suisse. 1422-1431 Jean-Carlo Speranza, Lausanne, Suisse. 1432-1434 Antoine Baldacchino, St-Romans, IsĂ©re. 1435-1436 Mimiam. 1437-1444 Jessyca Roy Landry, MontrĂ©al, QuĂ©bec. 1445 Michel Charpentier, Auvers sur Oise, France. 1446 Allison, Grande-Synthe, France. 1447-1450 Maryse Marconi, Nice, France. 1451-1455 Josiane Rietmann, Tavaux, France. 1456-1459 Caroline GrĂ©geois, Osny, France. 1460-1468 Cynthia Jacques, MontrĂ©al, QuĂ©bec. 1469-1478 MichĂšle Corti, RosiĂšres, France. 1479-1481 Julie Michel, Fribourg, Suisse. 1482 Margot Derumaux, Nord Pas de Calais, France. 1483-1488 MĂ©lissa Lapierre. 1489 Allison Sampe, Grande Synthe, France. 1490-1491 Claudine Bagni-Dubois, Ollioules, France. 1492-1493 Maurice Alain Floch, Toulon, France. 1494-1495 Nicole Care, Toulon, France. 1496-1497 Solange Eymard, Toulon, dĂ©partement du Var. France. Les quatre auteurs prĂ©cĂ©dents sont sociĂ©taires de l’acadĂ©mie des poĂštes classiques de France. 1498-1551 Philippe LerĂȘtre, France. 1502-1503 Louise Mathieu-Mills, Saint-Jean-de-Matha, QuĂ©bec. 1504-1515 Colin SĂ©bastien, Troves, France. 1516-1517 Marie Line Cola, Var, France. 1518 Allison Sampe, Grande Synthe, France. 1519-1551 Mr. Lardinois, Abeloos Quentin, Bardy YnĂšs, Bergeret Valentin, Dechamps Cassandra, El isaoui Kamel, El mahmoudi Fatima Zahra, Feys Dylan, Fontaine Romain, Ghyssens Louise, Houdart Fanny, Lachambre Xavier, Lemborelle Eric, Roelandt FĂ©licia, Vandervaeren Kevi, École communale de Soignies la RĂ©gence, Soignies, Belgique. 1552-1559 Lilianne Ruel, Salaberry-de-Valleyfield. 1560-1561 Oumeima Lamzibri Rabat, Maroc. 1562-1577 MichĂšle Schibeny, Histoire d’aimer, Nice, France. 1578-1585 Vincent Castanet, Avignon, France. 1586-1589 Elodie Abbacus, Bordeaux, France. 1590-1600 Sandrine, Pauline, Julien, Marseille, France. 1601 Allison Sampe, Grande Synthe, France. 1602-1603 StĂ©phanie Merll, prĂšs de Thionville, France. 1604-1649 Classe de 6e annĂ©e, 2004-05, Ă©cole Notre-Dame de Lorette, Pincourt, QuĂ©bec, enseignant Jean-Claude Fournier, Ă©lĂšves Kevin Alarie, StĂ©phanie B. Trow, Jessica Berger, Claudia StĂ©phanie Boyer, Mackenzie Brasloff, Francis Burelle, Roxanne Chamberland, Jessie Dandurand-Laporte, Robert De Ladurantaye, ValĂ©rian Dru, Marie-AndrĂ©e Dufour, Francis Fontaine, Anthony Fournier, Maude Gaulin, Louise-JosĂ©e Gauthier, Kabir Kassanov, Camille Lanthier Riopel, Cherilyne Larocque, Marc-Antoine Legault, Maxime Leroux, Marie-Claude LĂ©vesque, Francis McKenty, Francis Patenaude, MĂ©lanie PĂ©ladeau, Nicolas Robichaud. 1650-1665 Ronan Dussin, Rennes, France. 1666-1667 Marie-Soleil Lejeune, Laurierville, QuĂ©bec. 1668-1673 Devaki Grenier, Lavaltrie, QuĂ©bec. 1674-1681 GĂ©rard Sandifort, Sandipoete, Bazuel, France. 1682-1689 Guillaume Soubirian, Bordeaux, France. 1690-1696 Marie-Chantal Dionne, Laprairie, QuĂ©bec. 1697-1705 Michel Skutnik, Angleur, Belgique. 1706-1709 Audrey-Ann GĂ©nĂ©reux, PrĂ©vost, QuĂ©bec. 1710-1713 Philippe Leretre. 1714-1723 Houda Mjigal, Paris, France. 1724-1726 Martine Langlois, QuĂ©bec. 1727-1731 JĂ©rĂŽme. 1731-1732 Diane, France. 1733-1734 Jessica Delhaye, France. 1735-1754 Nancy Aspirot, Laval, QuĂ©bec. 1755 AurĂ©lie Motta Bergerac, France. 1756 Jean-Guy Hayeur. 1757-1760 Christine, Auterive, Haute Garonne. 1761-1762 Yasmina Meunier, Haute Savoie 74, France. 1763-1769 Patrick Launey D’almaida, Montpellier, France. 1770-1777 Kim Bounoua. 1778-1787 Sabrina Doucet, Trois-RiviĂšres, QuĂ©bec. 1788-1792 Samira Benyoub, Paris, France. 1793-1794 GwĂ©naĂ«lle, Nantes, France. 1795-1798 Judith Galipeau, St-Jean-Sur-Richelieu, QuĂ©bec. 1799-1804 Manddy Zalesny, Sarcelles, France. 1805-1810 Martine St-Louis. 1811-1819 Jean-François Perrault, École de Lorette Pincourt, QuĂ©bec. 1820-1829 Solange Vachon, Pincourt, QuĂ©bec. 1830-1831 Lauriane Jestin, Brest, France. 1832-1839 Jessica Stöckl, Nouvelle-CalĂ©donie. 1840-1843 Yoann Escach, Falence, France. 1844-1895 Gilbert Dekerck en collaboration avec Annie Samyn Gauthron,LycĂ©e Maurice Ravel, Paris, Bruxelles, Belgique. 1896-1903 Yves Primault, Paul Mirtyves,Longwy, France. 1904-1907 Francine Larose, MontrĂ©al, QuĂ©bec. 1908-1919 Henriot Nytia, Saint Claude, France. 1920-1924 Jennifer Simon, Bruxelles, Belgique. 1925-1928 Guillaume Gaubert, Caen, France. 1929-1930 Hinerava Huri, Tahiti. 1931 Michael Lucquiaud, Romainville, France. 1932-1933 Lisa Mathieu, Bretagne, France. 1934-1939 Milan, Osny, France. 1940-1945 Natalie Seneque, Sydney, Australie. 1946-1949 Florence Desvergnes, Villejuif, France. 1950-1953 Nah-TĂ©nĂ© Coulibaly, Abidjan, CĂŽte d’Ivoire. 1954 AurĂ©lien Taillandier, Voves, France. 1955-1957 Rose DeraĂ«ve, Pressagny l’Orgueilleux, France. 1958-1960 Linda Roy, Chambly, QuĂ©bec. 1961-1963 Carolynn Cossette, Trois-RiviĂšres, QuĂ©bec. 1964 Marc BĂ€rtschi, La Neuville, Suisse. 1965-1966 Alexandra Blanchet, La Prairie, QuĂ©bec. 1967-1976 Marie-Eve Caron, Ancienne-Lorette, QuĂ©bec. 1977-1983 Jean-Claude Éthier, Laval, QuĂ©bec. 1984-1985 Denise Reeves, St-Bazile-le-Grand, QuĂ©bec. 1986-1987 Marcel Grenon, Beauport, QuĂ©bec. 1988-1990 Jean Fred Pirault, Centreville, Virginie, États-Unis. 1991-1993 Louise Gagnon, Maria, GaspĂ©sie, QuĂ©bec. 1994-1995 Didier Foucher, Escalquens, France. 1996-2002 Sylvie Bernatchez, MontrĂ©al, QuĂ©bec. 2003-2004 Didier Pirault, Seynod, France. 2005-2006 Kim Beaudry, Ste-Julie, QuĂ©bec. 2007-2012 Chantal Michaud, Rimouski, QuĂ©bec. 2013-2014 Huguette Paquet, QuĂ©bec, QuĂ©bec. 2015-2020 Gilbert Dahlia, Bruxelles, Belgique. 2021-2022 Chantal FurgĂ©, St-Georges les Baillargeaux, France. 2023-2036 Claire Bourlet, Lille, France. 2037 Sara Anne Bazinet, MontrĂ©al, QuĂ©bec. 2038-2068 Les Ă©lĂšves de CM de l’école Notre-Dame du SacrĂ©-Coeur, la classe de Patricia Ramette en collaboration avec Olivier Segard, Alexis Anthony, Bui Minh-Chau, Dubrunfaut Laurane, Dufourt Alexis, Dussart Marie GĂ©ralde, Jacquet ChloĂ©, Pelgrim Iris, Pellegrino Alexandra, Roger Sophie, Alglave Arnaud, Bally Emilie, Bessaoud SĂ©bastien, Bronsart MaĂźtĂ©, Bronsard Margaux, Brouet LĂ©o, Comin Matthieu, Decourt Benoit, Defontaine GrĂ©goire, Delsart Dorine, Dozier Margot, Duffosset Laura, Lagace Antoine, Piette Anthony, Serin Thomas, prĂšs de Valenciennes, France. 2069-2082 Fabrice Mounoussamy, St-Denis, France. 2083-2084 Bloch. 2085-2090 Sophie. 2091-2092 Mathilde Krikken, Montauban. 2093-2095 Marie Font Landes. 2096 AurĂ©lien Taillandier, Voves, France. 2097 Marie-Soleil Lejeune, Laurierville, QuĂ©bec. 2098-2099 Élysa Couture, Fabreville, QuĂ©bec. 2100 Nelly Cid, Rouen, France. 2101 Amine Alhousseima, Maroc. 2102 MĂ©lanie Doucet, QuĂ©bec, QuĂ©bec. 2103 Benoit Gilbert. 2104-2105 JosĂ©phine Bordeaux 33. 2106-2117 Collectif, 3e annĂ©e, Ă©lĂšves de Chantal DĂ©saulniers, Ă©cole de la ClĂ©-des-Champs, Mirabel, QuĂ©bec. 2118-2119 Joelle Rochet, Paris, France. 2120-2125 Teghbit Saliha, MontrĂ©al/AlgĂ©rie. 2126-2129 Nfally Diatta, Ziguinchor, SĂ©nĂ©gal. 2130-2135 Olivia Morelli. 2136 Alain Beaulieu, QuĂ©bec. 1237-1238 Anne-Marie CarriĂšre, Gradignan, France. 2139-2142 Michael Bastien. 2143-2147 Kim Payette, Ste-Hyacinthe, QuĂ©bec. 2148-2151 Aram Mazakian. 2152-1153 Françoise Porquiet, Verberie, Oise. 2154-2158 Guillaume Elmassian, Fontainebleau, France. 2159-2166 Raymonde MĂ©nard, Laval, QuĂ©bec. 2167-2171 Alex Fortin. 2172-2173 Didier Foucher, Escalquens, France. 2174-2176 Louise GĂ©linas, GaspĂ©sie, QuĂ©bec. 2177-2182 Isabelle gagnĂ©, Sainte-Julienne, QuĂ©bec. 2183-2186 Maud Breton, VendĂŽme, France. 2187 Joseph Muradieu, International Union. 2188-2192 Marjolaine Le Du, LĂ©cousse, Ille et Vilaine, Bretagne, France. 2193-2197 Sarra Mechmech au Peurreux sur Marne, France. 2198-2199 Laure, Chabeuil 26, France. 2200-2206 Christina Chouinard, Legardeur, QuĂ©bec. 2207-2249 Collectif 6iĂšme annĂ©e, Ă©cole Val-Joli, classe de Nancy Pilote. 2005-2006, Marie-Ève Caron stagiaire, , Benjamin Beausoleil, Roch Parent-Lortie, Keven Dussault-Boulet, Claudia Lapointe, Samuel Paradis, Didier Maltais-Caron, Simon GĂ©linas, Simon Taillon-Boulerice, Laurence Gauthier, Vivianne Desmeules, Kristopher Dion, Jamie Horlick, Thomas BĂ©langer-Goupil, Yannick Morin, JĂ©rĂ©my Livernoche, Lydia Giraldeau, Joany Giasson, MĂ©lanie Moreault, Dave Lamontagne, GaĂ«l Tremblay, Meryll Lapointe, Marie Vicuna, Phanie Monette, Val-BĂ©lair, QuĂ©bec. 2250-2257 MichĂšle Duval-Leuwers, Montberon, France. 2258-2261 Marie-Laure CondĂ©jĂ©ro, Malissard, France. 2262-2295 Christian Morel, auteur, ville d’Avray, France. 2296-2301 Dimitry ThĂ©bault, Ploermel, Morbihan, Bretagne, France. 2302-2306 Djo-Art, artiste peintre-auteur, Paris, France. 2307- 2312 Collectif 6e annĂ©e, 2005-2006 Ă©cole Notre-Dame de Lorette, , enseignant Jean-Claude Fournier, Ă©lĂšves RenĂ©e-Anne Archambault, Laurence BĂ©dard-Poudrier, Patrick-Arthur Bisaillon, VĂ©ronique Couture, Marc-Antoine Gagnon, JĂ©rĂ©mie Goyer, Alexandra LagacĂ©, Karianne Lalonde, Simon Laplaine, Kevin Lefebvre-Tuck, Jade Legault-Trudeau, Christophe LĂ©ger, Simon LĂ©vesque-Sabourin, Catherine Lussier, Patrick Martineau, Jonathan Montreuil, David Paquette, Hugo Pepin, Alexandra Prince, GeneviĂšve Rossi, Marina Shaw, GeneviĂšve Trudel, Joannie Ulley-Lafrance, Nicolas VallĂ©e, Pincourt, QuĂ©bec. 2313-2314 MarlĂšne Jemin, Rennes, France. 2315-2316 Paolo Atzori, Le ChĂątelet en Brie, France. 2317-2320 Christophe Martin, Le Puy-en-Velay, France. 2321-2328 AmĂ©lie Barrier, Ambillou, France. 2329-2336 Claude Sauvage, auteur, Vaudreuil-Dorion, QuĂ©bec. 2337-2342 Chakir El fatih, Khouribga Maroc. 2343-3244 Solange Bonhomme, Entrevaux, France. 2345-3248 Micheline Savard, Pincourt, QuĂ©bec. 2349 Louise Lapointe, Notre-Dame de l’Île Perrot, QuĂ©bec. 2350 Ginette Lapointe NoĂ«l, Brossard, QuĂ©bec 2351 Danielle Fraser, Blainville, QuĂ©bec. 2352-2353 Diane Bouchard, Saint-Basile Le Grand, QuĂ©bec. 2354 Claudine AndrĂ©, Verny, France. 2355-2356 Cyndie Landry Fortin, Ste-Catherine-de-la-Jacques-Cartier, QuĂ©bec. 2357 Marcel Lapointe, LĂ©vis, QuĂ©bec. 2358-2361 Sylvie Hoelt, Toulouse, France. 2362-2374 Yassir El Ouarzadi, poĂšte, MontrĂ©al, QuĂ©bec. 2375-2386 Ilyes El Ouarzadi, poĂšte, MontrĂ©al, QuĂ©bec. 2387-2393 Laurent ML. Budapest, Hongrie. 2394-2396 Real Gagnon, GaspĂ©, QuĂ©bec. 2397-2398 Éliane Turcotte, Drummondville, QuĂ©bec. 2399-2400 AgnĂšs Kerboriou, auteure, France. 2401-2406 Roland Belin, Amance, France. 2407-2410 Ghalia El Boustami, Neuss, Allemagne. 2411-2424 Feu RĂ©mi Goffin, vers envoyĂ©s par son petit-fils GrĂ©gory Chabeuil Drome, France. 2425 Baruzzo Christine, Drancy, France. 2426-2433 Marie Nuel, Valence, France. 2434-2455 Marri Mohamed SafirBleu », Rabat, Maroc. 2456-2469 Pierre Lacombe, Notre-Dame de l’Île Perrot, QuĂ©bec. 2470-2508 Josette Candre, Cantal, France. 2509-2512 Richard Bradley, Vaudreuil-Dorion, QuĂ©bec. 2513-2528 Linda Archambault, Charlemagne, QuĂ©bec. 2529-2530 Marie-Eve Mercier, Le Gardeur, QuĂ©bec. 2531-2544 Yves Prigent, Lannebert, France. 2545-2546 Myriam Brunet, Les CĂšdres, QuĂ©bec. 2547-2557 Yves Delhoume, Canet, France. 2558-2568 Marie-Lyne GuĂ©nette, Plume d’Amour, St-Hippolyte, QuĂ©bec. 2569-2576 Daniel Tremblay, Corbeau, Rigaud, QuĂ©bec. 2577 Johanne Aubut, MontrĂ©al, QuĂ©bec. 2578-2585 Collectif, classe de Jean-Claude Fournier, 6e annĂ©e, École Notre-Dame de Lorette Philippe Bolduc, Maxime BriĂšre, JoĂ«l Carpentier, Maude Chamberland, Davis He, Alexandre Kalasnikow-Lampron, Pier-Alexandre Laflamme, Roxanne Leduc, Claudia Lefebvre-Fustos, Pascale Legault-Rioux, RĂ©mi Legresley, Michael Nairn, Maxime Patenaude, Linzee Perreault-Hodgson, RaphaĂ«le Potvin-Cadieux, Mariah Ratsch-Geraghty, Karolane Ricard, Alexandre Richard, Rachelle SĂ©guin, Anthony Smith, Zondre Stephen, Shelleen Sterling, Benjamin Tremblay, Vanessa Trow, Danielle Yefman. Pincourt, QuĂ©bec. 2586-2601 GĂ©raud Larroque, Aurillac, France. 2602-2607 Schnebel, France. 2608 Élizabeth Chevrier, Île-Perrot, QuĂ©bec. 2609 Lisette Pinault, Île-Perrot, QuĂ©bec. 2610-2616 Christiane Manin, Vinay, France. 2616-2620 HĂ©lĂšne Parent, Notre-Dame de l’üle Perrot, QuĂ©bec. 2621-2626 Caroline ChĂ©hade, MontrĂ©al, QuĂ©bec. 2627-2635 Élisabeth Daigle. 2636-2637 Marie-Claude Samson, Sainte-Julie, QuĂ©bec. 2638-2643 Nelson Bouffard, St-Apollinaire, QuĂ©bec. 2644-2650 Marie-Claire Laberge, Verdun, QuĂ©bec. 2651 Kristopher Lacasse, St-Colomban, QuĂ©bec. 2652-2653 Lisette Giroux, Elle est membre des Écrivains francophones d’AmĂ©rique, rĂ©cipiendaire du prix Arcade de PoĂ©sie 2003, MontrĂ©al, QuĂ©bec. 2654-2655 Nancy BĂ©rubĂ©, Val-BĂ©lair, QuĂ©bec. 2656-2657 ValĂ©rie Morin, Chicoutimi, QuĂ©bec. 2658-2659 Caroline Gilbert, Magog, QuĂ©bec. 2660-2663 Nicole de la ChevrotiĂšre, LotbiniĂšre, CtĂ© LotbiniĂšre. 2664-2673 Daniel Bisson, St-Émile de Suffolk, QuĂ©bec. 2674-2675 Lyne Gosselin, Beloeil, QuĂ©bec. 2676-2677 Corinne Pruvost, Vouziers, Ardennes, France. 2678-2681 Laurence Le Roux, Tilloy et Bellay, France. 2682-2684 Adrien Imbeault, QuĂ©bec, QuĂ©bec. 2685-2688 Nathalie Lemieux, Pincourt, QuĂ©bec. 2689-2692 Jacques Sigot, Montreuil-Bellay, France. 2693-2718 AmĂ©lie Germain, Bois-des-Filion et Lydia Desjardins, Sainte-ThĂ©rĂšse, QuĂ©bec. 2719-2722 GisĂšle Chevalier, Trois-RiviĂšres, QuĂ©bec. 2723-2730 Paul-Émile Parent, Boisbriand, QuĂ©bec. 2731-2734 Vincent DĂ©sirĂ©, Lyon, France. 2735-2738 Marie-Claire Laberge, Verdun, QuĂ©bec. Les vers qui suivent, 2739 Ă  2821 proviennent des Ă©tudiants du cours Écriture et LittĂ©rature » au collĂšge Montmorency Ă  Laval, QuĂ©bec. Professeur Olivier MĂ©nard. 2739-2740 Pierre-Luc Letarte. 2741-2742 AmĂ©lie Raymond. 2743-2744 Anthoine PrĂ©fontaine. 2745-2746 Maxime D’Arcy. 2747-2748 MĂ©lanie Grand’Maison. 2749-2750 Marc Todari. 2751-2752 Marie-HĂ©lĂšne Dion. 2753-2754 Annick Campeau. 2755-2756 Giscard Prismy. 2757 Julie-Hanh Leclair. 2758-2759 Sarah Robillard. 2760-2763 MĂ©lissa Demers. 2764-2767 Lili Des Neiges Perreault et Sarah ThĂ©riault. 2768 Yannick Pilote. 2769-2770 Gabrielle Chabot. 2771-2772 Vicky Laroque. 2773-2774 MĂ©gane Durocher. 2775-2776 Pierre-Alexi PichĂ©. 2777-2778 Tommy Samson. 2679-2681 Alexandre AubĂ©. 2782-2783 Simon Charest. 2784-2785 FĂ©lix Venne. 2786-2787 Alexandre Bastien. 2788-2789 Annie Forest. 2790-2791 Marie-Christine Courcy. 2792-2793 Cynthia HĂ©bert. 2794-2795 Yan Sylvestre. 2796-2797 Danny LĂ©onard. 2798-2799 Virginie Chaloux-Gendron. 2800-2801 FrĂ©dĂ©ric Sagala-Girouard. 2802-2803 Mehdi Sabrah. 2804-2805 Audrey Leboeuf. 2806-2807 Audrey PrĂ©vost. 2808-2809 Vicki Lalande. 2810-2811 HervĂ© Joseph. 2812-2813 Sarah ThĂ©riault. 2814-2815 LoucinĂ© Solakian. 2816-2817 Ben Geneus. 2818-2819 Francis Bissonnette-Binet. 2820-2821 Marie-Jade Loiselle. 2822-2827 Olivier MĂ©nard, Laval, QuĂ©bec. 2828-2829 Eliane Angeli, Martinique. Les vers 2830 Ă  2861 sont rĂ©alisĂ©s par des Ă©lĂšves de l’école GĂ©rard-Filion de Longueuil, QuĂ©bec. 2830-2833 Olivier Pichette, Longueuil, QuĂ©bec. 2834-2837 Guillaume Duchaine Harnois, Longueuil, QuĂ©bec. 2838-2841 Maxime Leblanc, Longueuil, QuĂ©bec. 2842-2845 CĂ©drick Pepin, Longueuil, QuĂ©bec. 2845-2849 Sophie Caron, Longueuil, QuĂ©bec. 2850-2853 Vanessa St-Pierre, Longueuil, QuĂ©bec. 2854-2857 Brian Romano, Longueuil, QuĂ©bec. 2858-2861 Billy Rail, Longueuil, QuĂ©bec. 2862-2873 MichĂšle ChrĂ©tien, Boischatel, QuĂ©bec. 2874-2883 Meriem Fattoum Selma Rahmani, Djelfa, AlgĂ©rie. 2884-2885 CĂ©cile Legendre Parent, Boisbriand, QuĂ©bec. 2886-2887 Vincent Guillory, Rennes, France. 2888-2890 Jean-François Tremblay Djiii, La Baie, QuĂ©bec. 2891-2893 Patrice Perreault, Notre-Dame de l’Île Perrot, QuĂ©bec. 2894-2899 GaĂ©tane MĂ©nard, Pincourt, QuĂ©bec. 2900-2901 Maimiti Maraea, Wangen, France. 2902-2909 Luca Fullum, LĂ©vis, QuĂ©bec. Les vers 2910 Ă  2919 ainsi que de 2938 Ă  2952 sauf pour le 2951, proviennent de la classe de Chantal Macleod 5Ăšme annĂ©e de l’école Notre-Dame-de-Lorette de Pincourt 2910 AndrĂ©a Sanders-Anampa, Pincourt, QuĂ©bec. 2911 Kim Wolford, Pincourt, QuĂ©bec. 2912 Mathieu GĂ©ronimo, Pincourt, QuĂ©bec. 2913 Chantal Macleod, Pincourt, QuĂ©bec. 2914 Julien Leduc, Pincourt, QuĂ©bec. 2915 JoĂ«lle Boyer, Pincourt, QuĂ©bec. 2916 Alexa Duhamel-VallĂ©e, Pincourt, QuĂ©bec. 2917 Yasmin Abou Sharbin, Pincourt. 2918-2919 Cameron Daoust, Pincourt, QuĂ©bec. 2920-2921 Evelyne. 2922 David Giefert, Pincourt, QuĂ©bec. 2923-2930 Établissement scolaire IES PLA DE LES MORERES Classe Français Seconde Langue ÉtrangĂšre Raquel Santano, Dani Loarte, Julia Shimbatori, Lorena FernĂĄndez, Erminia Gonzalez, NoemĂ­ Nevado, Laura Orellana, Wiame Taibi, Marta BartrolĂ­, Vilanova del CamĂ­, Barcelone, Espagne. 2931 Annick Auger, LotbiniĂšre, QuĂ©bec. 2932 Sarah P., Gatineau, QuĂ©bec. 2933-2935 Serge Lapointe, GaspĂ©, QuĂ©bec. 2936-2937 Ky Van Kalitka, Aquitaine, France. 2938 Joanie Couture, Pincourt, QuĂ©bec. 2939 Alicia Vaillancourt, Pincourt, QuĂ©bec. 2940 CĂ©dric Vanier, Pincourt, QuĂ©bec. 2941 Élainie Voyer-Leblanc, Pincourt, QuĂ©bec. 2942 Vanessa Beaulieu, Pincourt, QuĂ©bec. 2943 Sarah Oleszczuk, Pincourt, QuĂ©bec. 2944 Brandon Hughes, Pincourt, QuĂ©bec. 2945 Anthony Simard, Pincourt, QuĂ©bec. 2946 Patrick Rozon, Pincourt, QuĂ©bec. 2947 Isabelle Robert, Pincourt, QuĂ©bec. 2948 Carrie Li Leung, Pincourt, QuĂ©bec. 2949 MarlĂšne Iradukunda, Pincourt, QuĂ©bec. 2950 Catherine St-Pierre, Charlemagne, QuĂ©bec. 2951 Dany FrĂ©chette, Pincourt, QuĂ©bec. 2952 Vanessa Latour-L’Heureux, Pincourt, QuĂ©bec. 2953 Tysen-Otis Copeland, Pincourt, QuĂ©bec. 2954-2955 Denise Girard, poĂ©tesse/paroliĂšre, Laval, QuĂ©bec. 2956-2957 Charly Bouchara, Parolier, MontrĂ©al, QuĂ©bec. 2957-2965 Collectif Classe de Jean-Claude Fournier, Ă©cole Notre-Dame de Lorette, Pincourt, QuĂ©bec Farah Abou Sharebain, Laurianne Bernard, MĂ©lanie Bolduc, Marco Bourboin-Robichaud, FrĂ©dĂ©ricke Cholette, Mathieu Daoust, MĂ©lina Filiatreault, Élisabeth Gamache-Lavoie, Jade Gendreau, Kristen Huard, Marie-Eve La FlĂšche, Alexis Labrecque-Goulet, Roxanne Le Duc, FrĂ©dĂ©ric Ledoux, Isabelle LĂ©vesque, Tina Martel, Jordan Meloche-Sassos, FredĂ©ric Poirier, Nathan Reid, Patricia Robichaud, Danny Roux-Dufault, Anthony Smith, Myriam Tremblay, Cedric Vansteene-Madore. 2966-2969 Gilles Fournier, Vaudreuil-Dorion, QuĂ©bec. 2970-2973 Steve Gauthier, MontrĂ©al, QuĂ©bec. 2974-2977 AndrĂ©e Nave, Strasbourg, France. 2978-2983 Karima Boukarra, Bourges, France. 2984-2985 Murielle Vigneron. 2986 Abdessatar Abrougui, France. 2987-2989 Isabel Marceau, QuĂ©bec, QuĂ©bec. 2990-2995 Jean DĂ©serh, France. 2996-2999 Ben Youssef Wadi, Tunis, Tunisie. 3000-3002 Jacques Carle, Trois-RiviĂšres, QuĂ©bec. 3003-3005 Sylvain Martin, Pincourt, QuĂ©bec. 3006 Abdessatar Abrougui, France. 3007-3011 Nicolas Behal, 19 ans, Paris, France. 3012-3019 Pascal Vouligny, Pierreville, QuĂ©bec. 3020-3021 Ahmed Kerrouch, Azrou, Maroc. 3022-3039 Mouelhi Mohamed, Faouzi, Tajerouine, Tunisie. 3040-3045 Mouelhi Leila, Tajerouine, Tunisie. 3046-3049 MĂ©lissa Jourdain, Sep-Îles, QuĂ©bec. 3050-3051 Serge Poirier Papi Serge. 3052-3059 Med Faouzi Tajine, Sousse, Tunisie. 3060-3070 Mohamed Anis Abrougui, Gafsa, Tunisie. 3071-3074 Louise Gagnon, RiviĂšre au Renard, QuĂ©bec. 3075-3080 Nathalie Bousquet, Valbonne, France. 3081-3084 Michel Roussel, Gordes, France. 3085 Yolande Nizet, Bruxelles, Belgique. 3086-3087 Aziz-Mohamed-Aubin Camara, Hannover, Allemagne. MACIF Description de l'entreprise Entreprise de l'Économie Sociale, la Macif n'appartient ni Ă  des actionnaires, ni Ă  l'État, mais Ă  ses sociĂ©taires. Chaque jour, prĂšs de 10 000 salariĂ©s se mobilisent pour apporter la meilleure qualitĂ© de service Ă  nos 5,6 millions de sociĂ©taires et adhĂ©rents en assurances dommages, santĂ©-prĂ©voyance et finance-Ă©pargne. Rejoindre la Macif, c'est s'engager dans une entreprise qui innove et qui dĂ©veloppe ses expertises sur le marchĂ© globalisĂ© des services, notamment ceux de demain. C'est aussi s'engager dans une entreprise mutualiste, qui place les femmes et les hommes au coeur de sa stratĂ©gie de dĂ©veloppement, notamment grĂące Ă  notre politique de ressources humaines axĂ©e sur le dĂ©veloppement et le renforcement des compĂ©tences de nos salariĂ©s. Nous sommes Ă  la recherche d’un Conseiller commercial F/H pour notre agence d’ArmentiĂšres 59 280. Acteurs clĂ©s du fonctionnement de la Macif, les conseillers commerciaux guident et accompagnent les sociĂ©taires en fonction de leurs besoins liĂ©s Ă  leur projet de sein d’une Ă©quipe de 7 collaborateurs, vos principales missions sont RĂ©pondre aux besoins du sociĂ©taire par tĂ©lĂ©phone/en face Ă  faceOptimiser chaque contact pour mener des actions commerciales de fidĂ©lisation sur les produits MACIF adaptĂ©s aux besoins des sociĂ©taires IARD, SantĂ©/PrĂ©voyance, Finance/EpargneParticiper au dĂ©veloppement de l’activitĂ© de nos points d’accueil par de la prise de rendez vousVotre talent commercial et votre goĂ»t prononcĂ© pour la vente sont des gages de rĂ©ussite. Vous savez convaincre et Ă©tablir une relation de confiance en privilĂ©giant l’écoute ce poste est fait pour vous !Afin de vous accompagner, une formation professionnelle et rĂ©munĂ©rĂ©e vous sera dispensĂ©e en interne pour une durĂ©e de 3 mois. Elle alterne entre thĂ©orie et pratique sur nos produits, techniques de vente et outils informatiques, afin que vous ayez toutes les clĂ©s pour rĂ©ussir votre prise de poste. A la fin de cette formation, en cas de rĂ©ussite, vous recevrez la certification professionnelle CAPA CapacitĂ© Professionnelle en Assurance reconnue par l’Etat. PrĂ©sentation du poste Nous sommes Ă  la recherche d'un Conseiller commercial F/H pour notre agence d'ArmentiĂšres 59 280. Acteurs clĂ©s du fonctionnement de la Macif, les conseillers commerciaux guident et accompagnent les sociĂ©taires en fonction de leurs besoins liĂ©s Ă  leur projet de sein d'une Ă©quipe de 7 collaborateurs, vos principales missions sont RĂ©pondre aux besoins du sociĂ©taire par tĂ©lĂ©phone/en face Ă  faceOptimiser chaque contact pour mener des actions commerciales de fidĂ©lisation sur les produits MACIF adaptĂ©s aux besoins des sociĂ©taires IARD, SantĂ©/PrĂ©voyance, Finance/EpargneParticiper au dĂ©veloppement de l'activitĂ© de nos points d'accueil par de la prise de rendez vousVotre talent commercial et votre goĂ»t prononcĂ© pour la vente sont des gages de rĂ©ussite. Vous savez convaincre et Ă©tablir une relation de confiance en privilĂ©giant l'Ă©coute ce poste est fait pour vous !Afin de vous accompagner, une formation professionnelle et rĂ©munĂ©rĂ©e vous sera dispensĂ©e en interne pour une durĂ©e de 3 mois. Elle alterne entre thĂ©orie et pratique sur nos produits, techniques de vente et outils informatiques, afin que vous ayez toutes les clĂ©s pour rĂ©ussir votre prise de poste. A la fin de cette formation, en cas de rĂ©ussite, vous recevrez la certification professionnelle CAPA CapacitĂ© Professionnelle en Assurance reconnue par l' requises Vous avez un niveau Bac+2/3 dans le domaine commercial/relation client ou un niveau similaire justifiĂ© par votre expĂ©rience professionnellele sens du service client une Ă©coute active et une aisance orale une appĂ©tence commerciale une capacitĂ© d'adaptation et d'ouverture au changementun esprit d'Ă©quipe qui aide Ă  atteindre des objectifs collectifs Quelques informations supplĂ©mentaires Temps de travail 35h par semaine, du lundi au vendredi de 09h Ă  18h RĂ©munĂ©ration mensuelle brute fixe 27 euros 13Ăšme mois, prime de vacances et indemnitĂ© de lieu travail inclusRĂ©munĂ©ration variable annuelle en fonction des objectifs rĂ©alisĂ©sPrime de participation et intĂ©ressement avec accĂšs Ă  un plan d'Ă©pargne entreprise et retraiteOeuvres sociales du CSE dont tickets restaurant ...PossibilitĂ© d'Ă©volutions professionnelles au sein du groupe Aema accompagnĂ©es par un suivi de proximitĂ© managĂ©rial et RH ET DEMAIN ?RÉMUNÉRER LES HOMMES POUR DEVOIR D'APPRENDRE UN MARCHÉ DE L’ remercie chaleureusement Monsieur Bernard CAZEAUX pour l’aide qu’il m’a apportĂ©e Ă  la rĂ©alisation de cet remercie Ă©galement tous ceux que j’ai usĂ©s par mes controverses, et auxquels j’ai fait supporter mes dĂ©bats essai commence par l’avertissement oĂč le lecteur trouvera les grandes lignes qui le sous-tendent, prĂ©cĂ©dĂ©s du rĂ©sumĂ© LES HOMMES POUR les hommes pour apprendre c’est mĂȘme mettre un pied dans l’incertitude, c’est mettre un pied dans un monde Ă  inventer, et cela n’est pas rien. Pas forcĂ©ment comme je le vois, car ce n’est que le mien, mais c’est poser les marques d’une il ne pourra pas ĂȘtre plus effrayant que celui qui est le nĂŽtre aujourd’hui. Dans lequel, pour sortir d’une existence passĂ©e que nous avons apprĂ©ciĂ©e cruelle, nous avons, en dĂ©veloppant nos cultures sociĂ©tales », construit aussi des organisations eugĂ©niques».L’Homme n’a jamais eu autant de moyens Ă  sa disposition pour le comprendre, et cependant il reste sur la dĂ©fensive. Il ne fait pas dans l’ensemble la dĂ©marche de s’ouvrir au monde Ă  l’univers, pour rester dans son mensonge culturel». Alors pourquoi ne pas forcer la main de l’évolution, en rĂ©munĂ©rant les hommes pour apprendre, et essayer de dĂ©couvrir si dans notre suffisance nous ne nous Ă©tions pas fourvoyĂ©s par ignorance existentielle ». Je vais donc essayer de m’en signifierait-il que l’actuelle organisation Ă©conomique est immuable, et que nous aurions trouvĂ© la pierre philosophale dans ce domaine ? Alors que nous avons encore 800 000 ans estimĂ©s avant notre prochaine Ă©volution.Aussi, je comprendrais mal que l’on vienne dire au nom de l’entreprise, que les hommes n’ont pas le droit de dĂ©velopper une autre source de richesse en dehors d’ je comprends que les dĂ©tenteurs du pouvoir Ă©conomique disent qu’ils n’entendent pas le partager, car l’entreprise » est aussi une arme, une arme de conquĂȘtes. Si bien que, c’est une dĂ©cision politique qui intervient n’emploiera du personnel que si elle y trouve un intĂ©rĂȘt, et c’est bien qu’elle fonctionne ainsi ; l’entreprise n’a pas pour finalitĂ© de donner du travail, mais de produire des biens et des services. C’est aux hommes Ă  se trouver une autre source de revenu ou modifier le systĂšme monĂ©taire. C’est Ă  eux de s’interroger sur leur devenir, pas Ă  l’entreprise. Encore faudrait-il que dans leurs majoritĂ© ils connaissent les mĂ©canismes de l’économie qu’ils gĂ©nĂšrent consciemment ou de fait, et ne pas prendre des relatives pour des valeurs absolues ou que la LibertĂ© n’est que la comprĂ©hension de la somme des contraintes dans lesquelles nous enserrons notre corps et notre esprit, et ne pas entretenir avec l’entreprise des rapports de maĂźtre Ă  esclave, oĂč quand le maĂźtre disparaĂźt, l’esclave cherche Ă  qui se vendre. Nous dĂ©sirons tous ĂȘtre des maĂźtres, alors que nous ne sommes que les esclaves les uns des autres. Pourtant ce qui est important ce n’est pas d’ĂȘtre maĂźtre ou esclave, ce ne sont que des mots. C’est de savoir ĂȘtre ce que nous sommes aussi, des Êtres communicants linguistiquement et sĂ©mantiquement, mais cela se dĂ©couvre par l’instruction, la connaissance, le Savoir, et comprendre que ce n’est jamais acquis indĂ©finiment puisqu’il s’agit d’une dĂ©marche culturelle ». Cela demande des annĂ©es d’apprentissages, pour ne pas dire la vie, et c’est si difficile que la plupart du temps nous prĂ©fĂ©rons utiliser un langage plus rapide et universellement connu, les armes. Une dĂ©finition estime que l’homme est un ĂȘtre Ă©conomique l’homo oeconomicus, Être rationnel motivĂ© par son seul profit, coĂ»t avantage » parce qu’il effectue un travail pour cueillir et chasser. Cette extension de la dĂ©finition de l’économie nous conduirait Ă  dire que notre Univers est un univers Ă©conomique, parce que chaque association atomique, et ce qui en dĂ©coule, exige un travail et un coĂ»t association Ă©change. Il ne serait donc pas stupide de dire que l’univers est Ă©conomique puisqu’il y existe un perpĂ©tuel Ă©change, et il n’appartient qu’à notre observation d’y trouver un rapport coĂ»t avantage. Il conviendrait donc de redĂ©finir notre monde sur cette base. Ainsi nos relations affectives et sociales deviendraient Ă©conomiques, ce qui ne changerait rien Ă  leur qualitĂ©, mais trĂšs vite nous verrions apparaĂźtre une nouvelle dĂ©finition de notre activitĂ© productrice, pour que ceux, qui justifient au travers d’elle l’exploitation d’autrui puissent le Ă©conomique ne peut qualifier ce que nous sommes, elle n’est qu’un moyen de parvenir Ă  la rĂ©alisation, Ă  la production, et Ă  la satisfaction de nos besoins et dĂ©sirs humains. Et parmi cela, celui important du rĂȘve absolu» de chacun. Un rĂȘve pour lequel, quand nous ne prenons ni le temps ni les moyens pour le construire, certains d’entre-nous nous vendent Ă  sa place des illusions qui nous empĂȘchent de voir que nos rĂȘves sont Le rĂȘve » c’est de devenir riche en accumulant de la monnaie, ce que permet l’instauration des modĂšles simplifiĂ©s de millions de dĂ©cisions indĂ©pendantes, prises par les individus organisĂ©s pour se rĂ©partir des biens rares, et effectuer un choix parmi cette organisation Ă©conomique s’est dĂ©veloppĂ©e grĂące Ă  d’innombrables penseurs, dĂ©couvreurs, entrepreneurs et acteurs qui exerçaient dans des cadres sociopolitiques divers, nous pouvons aisĂ©ment comprendre qu’opter pour le modĂšle structurant l’activitĂ© sociale peut en retour fixer un cadre rigide, des modĂšles Ă©conomiques difficilement rĂ©formables suivant leur Ă©tendue qui interfĂ©reront sur constat ne permet pas d’affirmer pour autant que l’économie crĂ©e le social comme l’idĂ©e s’en est rĂ©pandue, mĂȘme s’il l’imprĂšgne et l’empreigne, parce que nous avons bĂąti des dĂ©pendances structurelles Ă  l’égal de notre parce que nous ne sommes plus au fait des mutations ou Ă©volutions, Ă  cause de la diffusion d’un savoir sociologique trop pauvre, face Ă  une Ă©volution technologique trop rapide, et d’un encodage relationnel devenu un code complexe d’initiĂ©s. Mais Ă©galement parce que nous croulons sous une information dantesque, que plus personne n’a le temps ni de lire ni d’écouter dans son ensemble. Parfois cela conduit au paradoxe d’étouffer l’originalitĂ© soit d’idĂ©es ou d’Ɠuvres, pour rester accolĂ© au systĂšme mercantile dans lequel se vend mieux tout ce qui est racoleur, scabreux, polĂ©mique ; et oĂč le voyeurisme a pris le pas sur l’information. Ceci, alors que des hommes ont payĂ© un lourd tribut, par leur vie, pour nous en sortir, afin que par l’intelligence » nous soyons aptes Ă  la il nous faudra encore certainement quelques siĂšcles de dĂ©veloppement de l’intelligence pour ne plus nous complaire Ă  fabriquer des morts, nous dĂ©lecter de l’odeur des cadavres, Ă  tel point que nous en faisons un divertissement. Je ne veux pas par-lĂ  ignorer la violence, ni croire que c’est en l’interdisant qu’elle va disparaĂźtre, mais souligner que si notre Ă©ducation tend encore Ă  mettre en exergue nos caractĂšres de charognards, c’est que nous avons dĂ» nous Ă©garer quelque conclure cet essai, je ferai un pari sur le futur des progrĂšs de notre intelligence cĂ©rĂ©brale », d’un cerveau relaie transcripteur sensoriel dotĂ© d’une capacitĂ© psychique extraordinaire pour dĂ©velopper une nouvelle crois Ă  l’instar de l’imprimerie qui a marquĂ© une Ă©tape importante dans la diffusion du savoir et de l’information, la connaissance des sciences de la physique, par la mĂ©canique quantique, va marquer une autre Ă©tape dans le dĂ©veloppement sociĂ©tal de notre civilisation. Il nous faudra rĂ©examiner beaucoup de nos relations ou les requalifier » sous son auspice, inventer d’autres mots. Si la thĂ©orie du chaos permet d’exploiter la plus petite donnĂ©e Ă©conomique, elle peut Ă©galement nous permettre d’en mesurer son incidence Ă  trĂšs long terme et d’envisager un regard sur notre existence, non plus Ă  la seule mesure de nos perceptions sensorielles, mais aussi Ă  celle de notre intelligence. NĂ©anmoins, il nous faudra pour cela faire le mĂȘme effort qui a suivi la dĂ©couverte de l’imprimerie, crĂ©er un enseignement gĂ©nĂ©ral Ă  destination des adultes tout au long de l’existence, sans attendre quatre cents ans pour le mettre en Ɠuvre. Ceci, pour que la dĂ©marche d’apprendre devienne un plaisir, et non pas une souffrance, comme celle Ă  laquelle nous avons rĂ©duit nos relations vitales avec le travail ; surtout parce que le Savoir est l’élĂ©ment dans lequel baigne notre nature culturelle, et il nous faudra regarder notre existence Ă  l’échelle de l’espĂšce et de sa durĂ©e, tout en sachant chacun prendre au quotidien au travers des mots qui dĂ©finissent l’humain et son monde, le plaisir que cela nous offre d’y ceci commande d’ĂȘtre convaincu qu’il y a un absolu oĂč tout ce que nous concevons s'Ă©croule, Il est donc nĂ©cessaire de comprendre que quelqu’un qui dispose d’une certitude absolue peut se suicider car il est dĂ©jĂ  mort. En fait c’est un mort vivant qui ne pourra plus rien apporter au monde, hormis sa destruction, car pour vivre il ne peut dĂ©velopper que la mort qu’il est devenu commun d’entendre certains hommes dire de leurs prochains, Ils pĂštent plus haut que leur cul ». Un tantinet vulgaire certes, mais efficace comme effet, l’homme en dĂ©couvrant ses facultĂ©s s’est installĂ© en maĂźtre du monde, illustre produit de grands nombres de Dieux. Ces mĂȘmes facultĂ©s l’ont poussĂ© et entraĂźnĂ© en levant les yeux Ă  comprendre son monde, et dĂ©crypter en partie l’Univers qui l’entourait. Bien que Tous nous n’ayons pas encore admis que nous en Ă©tions une totale partie en tant qu’Être d’une hommes ont consacrĂ© leur temps Ă  comprendre le fonctionnement de cet Univers, et ils nous ont laissĂ© des traces de leur quĂȘte par un savoir se prĂ©cisant sans telle maniĂšre qu'aujourd’hui ces traces nous donnent les ou des clefs pour concevoir y nous avons mis en Ă©vidence que notre propre existence est rĂ©gie par des RĂšgles », et nous ne pouvons plus les ignorer. Leur validitĂ© n’en demeure pas moins toujours conditionnĂ©e Ă  la comprĂ©hension et aux dĂ©finitions, que nous en avons donnĂ© dans la limite imposĂ©e par notre condition humaine. Condition humaine qui nous pousse Ă  Ă©laborer un monde que nous croyons maĂźtriser ; pourtant nous percevons assez exactement qu’il existe un infini objectif auquel nous n’avons pas accĂšs ; du moins c’est comme cela que nous le dispose d’une vision du monde Ă  partir de ce qu’il a appris, retenu, oubliĂ©, mal compris, ignorĂ©, imaginĂ© et avec cet acquis individuel et Ă  la fois partagĂ©, de par notre condition humaine singuliĂšre et semblable ; il n’en est pas un d’entre-nous qui n’est pas refait le monde dans les soirĂ©es entre Ă  cela que je me livre, en ayant retenu l’importance du dĂ©veloppement de l’intelligence. Je vais essayer de vous faire partager ce que j’ai pu en comprendre sur la base de quelques lois physiques fondamentales connues Ă  aujourd’hui, et que j’ai retenu, pour essayer de vous exposer que nous pouvons dĂ©velopper une nouvelle richesse en rĂ©munĂ©rant tout au long de l’existence les hommes afin d’ essai sera sous-tendu par ces lois. Non comme des lois qui expliquent tout, mais comme des lois aidant Ă  plus de comprĂ©hension, relevant de notre regard et de notre technologie, mais qui ne sont pas indĂ©pendantes de notre activitĂ© culturelle vĂ©hiculant un grand nombre de valeurs mystiques et relatives, issue de nos reprĂ©sentations nĂ©es du conflit conventionnel permanent de l’innĂ© et du culturel. Elles offrent le caractĂšre de crĂ©dibilitĂ© de valeurs scientifiques rĂ©futables, car elles sont traduites dans un langage mathĂ©matique universel. Langage qui s’offre aujourd’hui Ă  la critique et qui donne lieu Ă  des dĂ©bats philosophiques. Langage qui lorsqu’il est dĂ©cryptĂ©, par l’homme mĂ©decine Navajo, le Hopi, le moine TibĂ©tain ou l’AborigĂšne australien, les introduit dans un paysage de connaissances ancestrales que nous avons estimĂ© barbaresques par ostracisme considĂšre donc, que les Forces ou Ă©nergies ou flux» qui composent l’Univers, combinent toutes choses. Toutes choses de ce que nous sommes, et que nous assemblons et non pas crĂ©ons qui laisse sous entendre que nous partons de rien, mĂȘme si nous ne pouvons encore en dĂ©finir certaines, et peut-ĂȘtre ne jamais accĂ©der Ă  l’ consĂ©quence, en observant les lois que nous connaissons de cet univers, il est plus aisĂ© de comprendre ce que nous sommes et faisons. Cet effort intellectuel consiste Ă  s’observer, comme Ă©tant ces forces, Ă©tant dans ces forces, et Ă©tant le produit de ces forces, et non soumis Ă  ces forces. D’une autre maniĂšre, si nous considĂ©rons que l’univers est la circulation d’une information depuis son origine, nous sommes cette information dans l’information, et produisant de l’information, et non pas seulement soumis Ă  l’ nuance est fondamentale car elle modifie l’image, la reprĂ©sentation que nous pouvons avoir de notre monde cĂ©rĂ©bral » Ă  partir du monde sensible ». Parce que, au lieu d’y ĂȘtre soumis, qui peut ĂȘtre interprĂ©tĂ© comme une condition irrĂ©versible, nous serions sous condition de la connaissance de l’organisation de ces forces, de cette information. Nous serions un Être conditionnel », conditionnĂ© Ă  ce qu’il est capable d’en unes de ces lois sont 1° - le deuxiĂšme principe de la thermodynamique qui postule que tout va de l'ordre vers le dĂ©sordre, et la thĂ©orie du chaos qui indique qu’il est ordonnĂ© par - le principe de l’incertitude d’Heisenberg, la relativitĂ© GĂ©nĂ©rale d’Einstein qui exclut l’incertitude.3° - l’état quantique de notre Univers en dilatation qui inclut l’incertitude ; rĂ©alitĂ© d’une information ou produit d’un imaginaire humain. Sujet qui est toujours d’actualitĂ© avec La thĂ©orie des super cordes » ou la supra gravitĂ© » loi potentielle d’unification qui fait toujours l’objet d’études ayant nĂ©cessitĂ© la construction d’accĂ©lĂ©rateurs de particules.Le paradoxe de Schrödinger[1] mettant en Ă©vidence une frontiĂšre au passage direct entre la mĂ©canique quantique et la matiĂšre atomiste et la physique classique, ainsi que la matiĂšre organique qui nous compose comment des informations quantiques peuvent ĂȘtre quantifiĂ©es et donner la matiĂšre ? PhĂ©nomĂšne de dĂ©cohĂ©rence»[2] , ou, pour nous, don d’ubiquitĂ©, pouvoir vivre deux histoires de vie qui n’interfĂšrent pas.Le noir cosmologique, dont les chercheurs sont de plus en plus convaincu qu’il est constituĂ© de quelque chose, Les Wimps».[3]Je laisse volontairement de cĂŽtĂ© les ondes Ă©lectromagnĂ©tiques[4] produit de deux thĂ©ories initialement distinctes que Maxwell a unifiĂ© pour fixer les bases de l’électromagnĂ©tisme. Sa thĂ©orie a permit d’élucider la nature des ondes radio, de la lumiĂšre, des rayons X et nous ne pouvons pas sĂ©rieusement penser ĂȘtre tenu en dehors que l’existence de ces lois. La longueur d’ondes de notre regard nous donne accĂšs Ă  un monde diffĂ©rant des ultras violet ou des rayons en tenant compte arbitrairement de ces lois et en observant que certains de nos comportements s’y conforment, que je pense que nous sommes Ă  la fois des ĂȘtres analyseurs et synthĂ©tiseurs des dĂ©codeurs et des encodeurs, individualistes et Etres connaissant la difficultĂ© d’accĂ©der Ă  la synthĂšse finale », Ă  la comprĂ©hension finale », aux raisons de cet univers » dont nous mesurons et cherchons les limites. Tout cela, comme nous nous livrons Ă  la recherche d’une loi d’unification citĂ©e ci-dessus pour comprendre notre est donc une Ă©vidence pour moi de considĂ©rer la distinction que nous faisons entre le naturel et le culturel, comme purement conventionnelle, car cela rĂ©sulte d’une sensation Ă  considĂ©rer que nos innovations donnant lieu Ă  des rĂ©alisation Ă©chapperaient Ă  la nature », Ă  ses forces », parce que nous rĂ©aliserions des produits qui supposent d’associer, d’assembler ou de combiner une quantitĂ© innombrable de connaissances de dĂ©couvertes de savoir faire que nous nous transmettons. Purement conventionnelle, car il n’y a pas dĂ©cohĂ©rence » entre les deux car cette opposition ne donne pas une valeur nulle, mĂȘme si nous n’avons pas dĂ©fini une loi d’ pouvons le comprendre par la capacitĂ© combinatoire de l’intelligence associative dont notre cerveau est dotĂ©. Et lorsque celui-ci reçoit les informations envoyĂ©es par les cellules de notre organisme qui ont enregistrĂ© une ou des perturbations de son environnement, notre structure cĂ©rĂ©brale commande alors les comportements qui satisferont Ă  cette ou ces perturbations. C’est ainsi que nous donnons corps Ă  toutes choses matĂ©rielles ou abstraites par projection de la pensĂ©e symbolique, lorsque les Ă©vĂ©nements favorisent leurs Ă©mergences en perturbant notre organisme. Dans ce prolongement ayant conscience de la limite de notre regard, et ayant Ă©galement par des moyens techniques mis en Ă©vidence certaines lois, nous ne pouvons pas contester quelles ne soient pas issus d’autres chose que de la perturbation de notre organisme relayĂ© par le cerveau. Y compris des perturbations liĂ©es Ă  des Ă©vĂ©nements environnementaux dont nous ignorons tout. Ce culturel que nous dĂ©finissons, appartient donc entiĂšrement au naturel, parce qu’il se trouve dans l’univers, et que celui-ci le constitue, et qu’il est bien le produit d’une structure innĂ© qui favorise l’aptitude Ă  l’ faisons cette distinction parce que notre regard, par sa structure sa forme et sa nature, est limitĂ©, et donne au cerveau les images de notre monde sensible[5] que celui-ci redistribuera Ă  tout l’ de lĂ  nos concepts, induit par notre reprĂ©sentation du monde, considĂšrent comme naturel ce qui est en l’état matĂ©riel dans la nature, ou reconnu hĂ©rĂ©ditairement transmissible, ou se manifestant par des rĂ©gularitĂ©s observables Ă  notre Ă©chelle la vie, la mort, la pensĂ©e, se nourrir etc.
.Cela relĂšve du fait que, pour exister nous sommes exemptĂ©s, dispensĂ©s de connaĂźtre, de comprendre et d’établir des repĂšres. Des repĂšres de liens de comprĂ©hension normalisateurs, rĂ©gulateurs de l’émergence d’un Homme qui se dit CrĂ©ateur. Pour exister nous n’avons pas besoin de comprendre notre monde sensible, c’est l’état que nous qualifions Ă  tort ou raison d’animalier». Également peut-ĂȘtre cela relĂšve-t-il aussi du fait d’une approche eschatologique de l’Homme créé,[6] ou Ă  notre ignorance due Ă  nos difficultĂ©s Ă  retrouver, ou Ă  vouloir chercher le rĂ©el » dans l’image que nous en faut ĂȘtre convaincu pour penser autrement que l’Univers permet toute chose que nous inventons. Telle la voiture qui ne nous paraĂźt pas issue de l’univers parce que nous disons que nous la crĂ©ons, et ce n’est pas parce que nous rĂ©alisons de tels assemblages qu’ils ne sont pas naturels, car tout Ă©vĂ©nement est dĂ©terminĂ© par ce qui l’a est de constater que l’univers autorise des formes bien plus complexes, telle que nous les Humains ou un flocon de neige, dont la structure complexe n’apparaĂźt pas Ă  notre regard. L’univers n’a nul besoin de voiture pour se dĂ©placer, cet outil est inhĂ©rent Ă  nos contingences humaines planĂ©taires. Avec une force de gravitation plus faible nous nous dĂ©placerions sans vĂ©hicule, oĂč bon il nous semble. Dans de telles conditions, nous n’aurions pas créé de vĂ©hicules, les oiseaux n’auraient pas besoin d’ailes, et notre monde serait tout autre, comme il le serait Ă©galement avec une gravitation plus forte, mais dans ces conditions nous aurions rĂ©alisĂ© peut-ĂȘtre d’autres par nous, l’Univers sous-tend ces crĂ©ations puisque nous la rĂ©alisons, et qu’elle est le produit d’un empilement d’évĂ©nements successifs. Pour autant nous ne naĂźtrons pas au volant d’une voiture, de la mĂȘme maniĂšre que notre planĂšte n’est pas apparue sĂ»r, en l’état cette voiture n’est pas codifiĂ©e dans nos gĂšnes. Elle l’est par contre dans la capacitĂ© combinatoire cĂ©rĂ©brale projective qui va associer innĂ© et acquis. Elle se transmet par l’apprentissage, et par l’information que nous nous enseignons les uns aux autres pour la concevoir, et dĂ©termine d’autres Ă©vĂ©nements. Ainsi Ă  un moment donnĂ© les comportements culturels vont enregistrer que cet acquis est une exigence vitale pour la survie de son organisme innĂ© ; c’est tout notre discours sur la telle maniĂšre que si nous regardons le culturel comme autant d’essais C’est Ă  dire que chacune de nos rĂ©alisations, dĂ©pendantes de nos capacitĂ©s crĂ©atrices produit de l’univers et non pas de notre cerveau, ne durera qu’en fonction de son aptitude Ă  subsister, comme constante d’un dĂ©veloppement, dans un systĂšme d’évolution universel dans lequel la culturalitĂ© favorise et facilite l’adaptation, l’acculturation, la rĂ©gression, la progression, ou son suicide aptitude Ă  une structure d’engendrĂ© son autodestruction.Alors le culturel peut ĂȘtre regardĂ© comme un Ă©vĂ©nement en soi. ÉvĂ©nement en soi que transmet l’Univers » pour assurer la survie de toutes les espĂšces dans leur ensemble Ă©volutif, Ă  l’exemple du monde vĂ©gĂ©tal, et dont nous ne devons pas ĂȘtre les dĂ©positaires Ă©vĂ©nement en soi, j’entends toute l’activitĂ© qualifiĂ©e de culturelle qui constitue dans son ensemble un Ă©vĂ©nement global. ÉvĂ©nement capable d’interaction au mĂȘme titre que l’activitĂ© mĂ©tĂ©orologique et l’activitĂ© tectonique sont des Ă©vĂ©nements. L’utilisation du terme culturel devra toujours ĂȘtre interprĂ©tĂ©e et comprise dans ce sens.Dans cette perspective, il y a des chances pour que certains de ces essais s’inscrivent dans nos gĂšnes ou dans le substratum qui est Ă  leur origine, ou leur quantum quantique. Ceci si, l’environnement Ă©volutif, le mouvement, la nature, Dieu, la conscience primordiale, l’indĂ©finissable, l’ordre sous-jacent, la mĂ©connaissance, et quel que soit le nom, que nous lui donnons par nos dĂ©finitions suivant nos cultures, le retiennent comme une permanence nĂ©cessaire Ă  notre processus s’applique Ă©galement Ă  nos schĂ©mas abstraits. Un chercheur amĂ©ricain a soumis des mouches drosophiles Ă  de rĂ©guliĂšres disparitions de leurs Ɠufs. Les mouches ainsi traitĂ©es produisent des Ɠufs plus rĂ©sistants. Dans nos schĂ©mas abstraits soumis aux tensions stress de l’existence exobiotopique » extĂ©rieure Ă  son biotope naturel originel, rien ne nous garanti que notre descendance ne deviendra pas plus rĂ©sistante ou plus fragile. De la mĂȘme maniĂšre notre Ă©volution technologique nous ayant permis d’échapper aux rythmes biologiques, en fonction de la durĂ©e de cette Ă©chappatoire une incidence se j’ai pris l’exemple choquant de la voiture, c’est pour souligner que dans notre logique humaine cela est inconcevable qu’une innovation culturelle puisse affecter le biologique. C’est lĂ  une partie de notre problĂšme. Nous regardons l’univers avec la logique humaine culturalisĂ©e,[7] et nous ne savons pas s’il peut en ĂȘtre ?Parce qu’à l’échelle de la durĂ©e de notre vie humaine, il nous est difficile de percevoir ou d’admettre notre dĂ©veloppement intellectuel comme une Ă©volution que nous vivons en direct, nous devons lĂ , faire le distinguo important entre, ĂȘtre l’acteur participatif d’un potentiel en Ă©mergence et penser ou ĂȘtre l’auteur de sa source En consĂ©quence, s’il n’y avait pas de corrĂ©lation entre des Ă©vĂ©nements, soutenir que le culturel » est ce qui s’ajoute Ă  la nature, serait avoir trouvĂ© le premier cas d’une non corrĂ©lation dans l’univers. NĂ©anmoins, si notre culturel » n’imprĂšgne pas toujours hĂ©rĂ©ditairement et systĂ©matiquement nos gĂšnes, il se reproduit par l’apprentissage[8] comme une rĂ©gularitĂ© dynamique qui affecte notre Ă©volution biologique et psychique psychosomatique suscitant cet Ă©vĂ©nement. L’organe ayant en charge la codification de notre monde sensible culturel », est le certaine maniĂšre, nos sens enregistrent les Ă©vĂ©nements extĂ©rieurs qui conduisent Ă  la recherche de toute nourriture » au sens d’informations aussi nĂ©cessaire pour permettre au cerveau de concevoir ce dont nous avons besoins, en rĂ©ponse aux informations intĂ©rieures qui commande Ă  notre organisme de distinction conventionnelle du culturel s’appuie aussi sur le qualificatif d’apprentissage donnĂ© Ă  une fonction. Cette fonction qui consiste Ă  se communiquer, s’enseigner l’usage de nos aptitudes[9] stimulĂ©es par les Ă©vĂ©nements environnementaux. L’inverse signifierait que de maniĂšre instinctive nous portions tout notre futur, avenir » dĂ©jĂ  Ă©laborĂ©, dĂ©terminĂ© dans notre innĂ© futur l’est certainement, mais sous une autre image, une idĂ©e autre que notre vision de la destinĂ© soumise aux erreurs de la dĂ©finition de nos l’est, mais cachĂ© pour notre comprĂ©hension. Nous devons pour le comprendre, le dĂ©crypter, rĂ©unir et assembler les piĂšces dĂ©tachĂ©es de la connaissance et du savoir » que nous en prenons conscience au fur et Ă  mesure en sĂ©lectionnant les piĂšces de ce puzzle qu’est la vie, mĂȘme si la piĂšce théùtrale finale est jouĂ©e la mort.Ce futur, nous le portons dans la capacitĂ© de modĂ©lisation du plus petit Ă©lĂ©ment infinitĂ©simal qui, associĂ© Ă  d’autres donnera la perception de l’image future, mĂȘme si nous savons que le futur n’est qu’une capacitĂ© de projection cĂ©rĂ©brale. Futur dont la rĂ©alitĂ© repose sur la perception du temps en fonction de la vitesse Ă  laquelle tout se dĂ©place, suivant trois flĂšches, celle thermodynamique sens dans lequel l’entropie croĂźt, psychologique direction suivant laquelle nous sentons le temps passer, cosmologique direction du sens dans lequel l’univers se dilate. Une brĂšve histoire du temps. Ă  197.Soutenir que le culturel » s’ajoute au naturel, c’est comme si nous considĂ©rions qu’étaient culturelles toutes les associations auxquelles donnent corps les particules Ă©lĂ©mentaires» en mĂ©canique quantique. Ne comprenant pas la loi d’unifications qui les unis, nous dirions quelles s’ajoutent aux autres de cet assemblage, notre planĂšte serait donc du culturel », par consĂ©quent, nous serions donc du culturel » produisant du culturel », ou plus justement de l’information produisant de l’information. Une information qui se diffĂ©rencie par des frĂ©quences ondulatoires. Ainsi, si notre vision se faisait au rayon X, nous ne serions que des os s’articulant activement, et pourtant la matiĂšre organique qui les enrobe est bien existante. Dirions nous alors que les perceptions du squelette, qui ressent les consĂ©quences de la matiĂšre organique qui l’enrobe mais qu’il ne voit pas tout en la supputant, sont culturelles. Par exemple une vision squelettique qui constaterait la perte de son bras, conduirait inĂ©vitablement Ă  la mort de l’ĂȘtre vivant squelettique, puisque ce dernier ignorerait tout de l’hĂ©morragie due Ă  la circulation sanguine qui se serait produite entraĂźnant le dĂ©cĂšs du squelette. Nous pouvons donc comprendre qu’au-delĂ  de notre perception actuelle, notre organisme puisse contenir des informations qui ne nous sont pas perceptible, mais que nous supputons en essayant dans donner une dĂ©finition produite par ce que nous sommes, qui inclus forcĂ©ment celles que nous ignorons mais qui nous affecte, et constitue l’incertitude et l’alĂ©atoire de l’ plus, si les particules » n’ont pas besoin de bibliothĂšque d’apprentissage pour crĂ©er des galaxies, peut ĂȘtre qu’un jour, dans notre Ă©volution, nous pourrions Ă©galement nous en il n’est pas inconcevable de soutenir qu’une partie de l’activitĂ© humaine puisse se qualifier de culturelle, pourvue que cette dĂ©finition ne conduise pas Ă  une dissociation de l’ĂȘtre, et que nous n’en faisions pas une aptitude dĂ©ifiĂ©, alors qu’elle n’a qu’une origine animale, voir question reste ouverte en disant que le culturel est un Ă©vĂ©nement en soi ». Il me paraĂźt Ă©vident, et c’est lĂ  ma rĂ©ponse, que nous ne couvrirons pas la planĂšte de bĂ©ton, de voitures, et de produits toxiques. Cela, Ă  cause d’une mĂ©canique qui nous Ă©chappe et par laquelle se manifestent toujours des ĂȘtres plus intelligents » que d’autres, pour jalonner leur Ă©poque[10]. L’époque des scientifiques de toutes nations est proche, et ils ne resteront pas Ă©ternellement alarmistes naturellement je ne pense pas Ă  ceux qui suivent leur maĂźtre financier ou idĂ©ologique. Ce n’est pas lĂ  la marque du hasard, mais celle d’une espĂšce dont l Ă©vĂ©nement culturel gĂ©nĂšre ses propres Ă©lĂ©ments devant concourir Ă  son Ă©volution, parce que toute cellule qui prolifĂšre produit des dĂ©chets qui entraĂźnent sa destruction, si elle ne reçoit rien de l’extĂ©rieur ou n’est pas capable de se tout Ă©vĂ©nement, le culturel », Ă©vĂ©nement en soi, dĂ©terminera le sien, et Ă  la richesse matĂ©rielle en succĂ©dera une autre. Il ne peut en ĂȘtre qu’ainsi en raison du deuxiĂšme principe de la thermodynamique appliquĂ© Ă  notre systĂšme. Un systĂšme Ă©volue de maniĂšre irrĂ©versible, quel que soit son Ă©tat initial, quand il tend toujours vers le mĂȘme Ă©tat final unique, et fixe une direction d’évolution qui ne peut ĂȘtre inversĂ©e sans intervention extĂ©rieure au exemple, un corps chaud mis au contact d’un corps froid la chaleur ira spontanĂ©ment vers le corps froid de maniĂšre irrĂ©versible jusqu’à l’ peut-ĂȘtre que ce successeur du Cro-Magnon n’aura pas besoin de bibliothĂšque, sous rĂ©serve que son prĂ©dĂ©cesseur ait su gĂ©rer l’abondance et son dĂ©veloppement, ait su gĂ©rer l’évĂ©nement Culturel, car c’est lĂ , une de nos limites conclusion, la notion de culturel ne sert qu’à distinguer les innovations humaines, et ne prĂ©suppose pas de leur innocuitĂ© Ă  interfĂ©rer sur l’espĂšce, et doit aprĂšs comprĂ©hension ĂȘtre replacĂ© dans son culturel » n’est donc pas sĂ©parĂ© des lois fondamentales qui nous rĂ©gissent, et si toutes nos innovations se concrĂ©tisent, c’est qu’elles existent en tant que Forces, Flux, Énergies ou informations» [11].Partant de lĂ , tout ce que nous imaginons existe en potentialitĂ© dans le temps, en puissance d’ĂȘtre, dans le dĂ©roulement de l’expansion. Cependant, la forme sous laquelle nous concevons aujourd’hui nos innovations, n’est pas obligatoirement celle qui sera, car nous sommes limitĂ©s en tant qu’ĂȘtre par notre matĂ©rialitĂ© prĂ©sente s’exprimant dans des langages rĂ©ducteurs. MatĂ©rialitĂ© prĂ©sente en constant devenir le devenir / l’évolutionnisme.L’inverse, pour nous, signifierait la capacitĂ© de crĂ©er ou maĂźtriser des Forces, Flux Énergies ou informations ». Elles situeraient l’Homme au-dessus de l’Univers l’obsession de la toute puissance. Un Dieu, un supra humain, un Être n’existant que par sa pensĂ©e », ou le qualificatif que chacun voudra lui la seule possibilitĂ© d’imaginer ce concept signifie qu’il existe en potentialitĂ© d’ĂȘtre, mais pas forcĂ©ment sous la dĂ©finition que nous en d’ĂȘtre, puisque nous l’imaginons, sous-tendu par une rĂ©flexion construite ou non, et issu en tout Ă©tat de cause de ce que nous appelons l’indĂ©finissable[12].Ceci dans un raisonnement infini, oĂč il est nĂ©cessaire d’accepter des postulats invĂ©rifiables, avant d’en arriver Ă  des exactitudes expĂ©rimentales rĂ©futables. Je dis cela, parce qu’issu du Big-bang, ou d’un quelconque dieu nous sommes le rĂ©sultat des sa source originelle ».Toute notre activitĂ© cĂ©rĂ©brale, que nous observons, par la psychologique, la psychanalyse[13], et essayons d’en comprendre les mĂ©canismes par les neurosciences, bĂątit les raisonnements dont la preuve de leur exactitude ne dĂ©pend que de la raison ». Une raison qui nous fait considĂ©rer la vĂ©ritĂ© comme la non-contradiction d’un systĂšme de jugement, comme la contradiction des opinions, comme la rĂ©gression Ă  l’infini prouve ta preuve », comme postulat invĂ©rifiable, comme un cercle vicieux » le di’allĂȘlĂŽn Les uns par les autres, comme opinion relative, comme vĂ©ritĂ© expĂ©rimentale, comme hermĂ©neutique sens cachĂ©. Toutes formes de vĂ©ritĂ© que nous utilisons Ă  notre convenance pour justifier nos toutes nos innovations comme nombre d’essais ne favorisent pas le dĂ©veloppement de l’espĂšce pour autant. Et quelles que soient les Ă©chelles de valeur que nous leur appliquons, et leur appliquerons, nous n’avons, et n’aurons que la possibilitĂ© d’un choix restreint, choix restreint dans toutes les innovations Culturelles » que l’Univers sous-tend par l’évolution, ou la CrĂ©ation pour les restreint, puisque celui-ci est dĂ©pendant de la rĂ©duction de la mĂ©connaissance de toutes les associations possibles d’informations que nous ne serons peut-ĂȘtre jamais en mesure de connaĂźtre sur notre planĂšte. Bien que nous puissions le comprendre, et Ă©valuer certaines de ces associations grĂące au travail des scientifiques, et de ceux qui dans les sociĂ©tĂ©s ancestrales avaient compris la mĂȘme chose sans disposer des moyens d’une vĂ©rification techniciste. Toutefois, ce travail des scientifiques n’est qu’une mesure, elle aussi limitĂ©e par notre psychique, notre technologie et l’infini ».Einstein a dit La nature ne nous montre que la queue du lion. Mais il ne fait aucun doute pour moi que le lion Ă  qui elle appartient est au bout, bien qu’il ne puisse se montrer tout d’une piĂšce Ă  cause de son Ă©norme taille ». [14] Si bien, que d’une certaine maniĂšre notre existence se dĂ©roule par chaque fois que nous dĂ©finissons un concept pour expliquer l’indĂ©finissable. Ce concept dĂ©fini entre dans ce que j’appelle l’indĂ©terminĂ©. Un indĂ©terminĂ© que nous parvenons Ă  prĂ©ciser par des thĂ©ories, lesquelles entrent Ă  leur tour dans les divers degrĂ©s de l’incertitude. Cette incertitude a pour principe, qu’aprĂšs la conceptualisation d’une thĂ©orie, nous ne pouvons ĂȘtre assurĂ©s que ses Ă©lĂ©ments dans le temps » trouvent la place que nous leur avons imaginĂ©e. Également, qu’ils resteront ce qu’ils sont, Ă  la place oĂč nous les avons mis ou du seul fait que l’Univers est en mouvement, et si ceci pouvait Ă©chapper au regard du primitif, cela ne peut plus l’ĂȘtre au sommes dans ce mouvement et en mouvement, et durant ce laps de temps d’autres Ă©vĂ©nements interviennent ou se modifient. Ces Ă©vĂ©nements se produisent entre autres dans une logique issue du deuxiĂšme principe de la savoir, qu'il impose que tout va de l’ordre vers le dĂ©sordre et se rĂ© associe dans un nouvel ordre, et ainsi de suite. Le Tout, dans un mouvement en dilatation comme caractĂ©ristique d’une dans lequel, les chercheurs espĂ©rer dĂ©couvrir un ordre sous-jacent, ou imaginer que notre Big-bang ne sera pas unique ou encore toutes les autres hypothĂšses Ă©mises par les scientifiques concernant l’univers plat, courbe, chiffonnĂ©, bulle, l’existence supposĂ©e de sept autres forces, l’étude des trous noirs etc. sources revues Science et Vie, et en arriver finalement et heureusement Ă  une interrogation philosophique et si notre univers n’était que le produit de notre structure cĂ©rĂ©brale qui relie toutes nos indĂ©finissable, j’entends la question Pourquoi ? ». Avec comme rĂ©ponse je ne sais pas ! ».Par indĂ©terminĂ©, j’entends imaginer une rĂ©ponse Ă  la incertitude, j’entends possĂ©der une rĂ©ponse temporairement exemple supposons que j’ignore Ă  quelle tempĂ©rature l’eau bout ? Je me pose la question pourquoi l’eau bout ? J’imagine mesurer l’ébullition. Je vĂ©rifie qu’elle bout Ă  100°à 76 millibars, Ă  plus de 76 millibars elle bout Ă  plus de 100°, Ă  moins de 76 millibars elle bout Ă  moins de 100°.Dans cet exemple l’élĂ©ment incertain est la pression. Si je n’en avais pas connaissance, en affirmant que l’eau bout Ă  100° j’aurais Ă©tabli une fausse rĂ©gularitĂ©, car il y a des situations oĂč cela est inexact, qui aurait gĂ©nĂ©rĂ© de faux schĂ©mas aux effets postulat sera vrai tant que les Ă©lĂ©ments qui le constituent seront stables. Dans notre mode de fonctionnement, cette mĂȘme incertitude nous permet d’espĂ©rer. D’espĂ©rer trouver une rĂ©alisation aux concepts que nous Ă©laborons, lorsque nous parviendrons Ă  en dĂ©finir les dĂ©terminants qui les composent. Leur dĂ©finition rĂ©duira l’indĂ©termination de ces concepts, dans la limite de ce qui nous apparaĂźt toujours monde est un mouvement. Un mouvement qui va du dĂ©sordre Ă  l’ordre, et de l’ordre au dĂ©sordre. De l’indĂ©finissable vers l’indĂ©terminĂ©, puis vers l’incertitude avec un certain degrĂ© de stabilitĂ© cyclique. Aussi, en retour, l’incertitude est produite par l’indĂ©terminĂ© qui est issu de l’indĂ©finissable. De sorte que chaque innovation est vouĂ©e Ă  se rĂ©organiser, et chaque rĂ©ponse fait apparaĂźtre une question qui oblige Ă  se plus, ce mouvement est Ă  la base de toutes nos difficultĂ©s pour saisir notre monde sensible. Il nous est alors indispensable pour apprĂ©hender ce mouvement, d’élaborer des repĂšres et d’établir un ordre humain» que nous voulons stable, gĂ©nĂ©rant des Ă©chelles de valeur de comprĂ©hension, mais il ne peut ĂȘtre que des jalons ouvrant de nouvelles voies. L’exemple le plus probant est l’interprĂ©tation de nos rĂȘves polluĂ©s par nos dĂ©finitions des Ă©vĂ©nements, oĂč ce qu’ils racontent n’est pas le produit de l’image que nous en percevons au conclusion, Les forces, flux Ă©nergies ou informations», qui composent l’Univers et Nous-mĂȘmes, ne valent que dans la mesure oĂč il y a un mouvement. C'est donc ce mouvement qui paraĂźt ĂȘtre la clĂ© de toute crĂ©ation et vie de systĂšmes simples et d’hommes pour comprendre notre monde ont dĂ©veloppĂ© des thĂ©ories philosophiques. Certains ont mis l’accent sur l’expĂ©rience le Positivisme instrumental ; le Positivisme d’Auguste Conte ;D’autres sur l’objet l’Etre est, le NĂ©ant n’est pas » ParmĂ©nide ; Le RĂ©alisme DĂ©mocrite, Newton ;Les Empiristes, Locke, Hume ;Le RĂ©alisme faible et fort ;Le Dualisme Descartes ;Le Monisme ;Le MatĂ©rialisme Epicure, Holbach, la Mettrie, Hegel, Marx ;Le Spiritualisme Leibniz ;D’autre encore sur la relation Tout s’écoule » HĂ©raclite ;Le Solipsisme Je pense dont je suis » ;L’idĂ©alisme Platon ;Les rationalistes Kant ;Puis d’autres sur le Tout », l’Holisme David Bohan, Ervin Laszlo.Pour beaucoup d’entre eux l’univers quantique n’existait pas, et ils ne pouvaient imaginer que la matiĂšre et l’esprit Ă©taient composĂ©s des mĂȘmes Forces, Flux, Énergies et Informations. » Ils ne pouvaient tenir compte du fait que la rĂ©alitĂ© matĂ©rielle, et la rĂ©alitĂ© spirituelle pouvaient ĂȘtre dĂ©finies par les mĂȘmes forces, Ă©nergie, flux, informations.Ainsi, ils n’avaient raison que dans leurs certitudes, qualifiant de substance, selon le cas, ce que nous appelons aujourd’hui particules », qui en s’associant vĂ©hiculent aussi bien la lumiĂšre que notre propre particules, entre cent et deux cents de masse faible, d’autres plus massive, en nombre infini, possĂšdent une valeur. Elles pourraient tout aussi bien dĂ©rouler leur existence dans l’univers, indĂ©pendamment les unes des autres, si un ordre sous-jacent ou une interaction ne leur permettait pas de s’associer. Je pense, au-delĂ  de la recherche sur les thĂ©ories d’unification, au mystĂšre du Noir qui enveloppe l’Univers, et qui demeure une Ă©nigme du nous est devenu commun de voir des chercheurs se pencher sur le fonctionnement de l’univers. Ces chercheurs disent qu’il est apparu d’un Tout, le Big-bang, et nous ne le contestons plus, sauf les nihilistes, mĂȘme si cela ne rĂ©pond pas Ă  toutes nos questions, et que nous sachions qu’il y a un seuil oĂč toutes s’ questions ! Nous n’avons que cela dĂšs notre naissance. Une particuliĂšrement rĂ©currente sommes-nous des individualistes ou des collectivistes » ? Lorsque nous nous observons, la controverse est vive entre les tenants de l’individualisme, et les collectivistes.[15]En consĂ©quence, nous nous soumettons toujours Ă  cet antagonisme organisĂ© autour de ces concepts, de cette dualitĂ©, nous imposant toujours de devoir choisir entre l’un ou l’ peu bien sĂ»r, que nous nous efforcions d’observer ce que nous connaissons de l’Univers, nous y observons alors schĂ©matiquement, que la valeur gĂ©nĂ©rique de chaque particule ne vaut que par ses propriĂ©tĂ©s lui donnant sa capacitĂ© Ă  s’associer Ă  d’autres, et ainsi donner corps Ă  des mĂȘme pour nous, l’individualisme n'a de valeur que par sa personnalisation lui donnant sa capacitĂ© associative interactive, sa capacitĂ© Ă  s’associer dans un collectivisme fractal» [16] globalisation qui favorise le dĂ©veloppement individuel pour s’en enrichir. Nous ne serions, ni individualiste ni collectiviste, mais une structure interactive»,[17] dont l’holisme est la plus proche et insuffisante dĂ©finition, car il peut inclure l’analyse individuelle. Objectivement, tous nos comportements vont en direction des autres, sont induits par les autres, car notre valeur n’a de valeur que si elle peut ĂȘtre observĂ©e, reconnue, et ainsi trouver son espace ou un espace temporaire dans une l’existence de la communautĂ© de ses semblables qui fait de chaque homme un Être conscient.[18] Il n’en dĂ©coule pas pour autant, comme Ă©tant une Ă©vidence, la conscience de l’ structure interactive » nous poussant Ă  l’association, chacun d’entre nous la possĂšde comme si nous Ă©tions enveloppĂ©es dedans, Ă  l’exemple du Noir cosmologique enveloppant notre ce serait soutenir que seul les organes de notre corps sont essentiels, tandis que d’autres diraient que c’est l’enveloppe humaine qui l’est. Les organes, aussi essentiel qu’ils soient, sans une structure de liaison, ne donneraient pas plus un Homme que des bouts de ferrailles mises cĂŽtes Ă  cĂŽtes donneraient une voiture. Souvent il est difficile de percevoir les Ă©vidences les plus que nous sommes, n'aurait de valeur que par la structure interactive» qui permet l’association serait-ce pour l’homme en voie d’hominisation Le Culturel Ă©vĂ©nement en soi» ? L’absence d’une thĂ©orisation d’une loi gĂ©nĂ©rale sur cette association interactive » conforte l’idĂ©e qu’elle n’existe pas. De mĂȘme que celles thĂ©orisĂ©es durant plus de deux mille ans sur Le Noir du cosmos, exceptĂ©, si nous considĂ©rons que l’association est seulement motivĂ©e par la procrĂ©ation. Toutefois, dans ce but ci, nous n’avons pas besoin d’une structure cĂ©rĂ©brale aussi Ă©laborĂ©, hormis, si elle doit concourir Ă  l’élaboration d’un Etre nouveau » non par prĂ©destination mais par synergie se regarder sous un aspect mĂ©caniste froisse notre ego, tant notre affect est puissant. Pourtant, si nous partons du principe que l’enveloppe de notre corps mĂ©rite les soins que nous lui apportons, sa fonction essentielle rĂ©side dans sa facultĂ© d’associer l’ensemble des informations qu’elle reçoit analyser et synthĂ©tiser, dĂ©coder et dans quel but ?ProcrĂ©er certainement !Mais aussi, repousser la mort !Deux motivations qui en gĂ©nĂšrent une troisiĂšme que nous nous refusons Ă  vouloir regarder, celle de tout organisme apte Ă  produire sa capacitĂ© rĂ©gulatrice, qui n’est pas seulement la chaĂźne la mort sur une planĂšte oĂč nous n’avons aucune chance de vieillir paisiblement, au milieu des risques reprĂ©sentĂ©s par les autres espĂšces ou d’autres organismes viral microbien etc.. Des risques que reprĂ©sente aussi la vie de notre espace terrestre glaciation, rĂ©chauffement, dĂ©rive des continents, percussion d’astĂ©roĂŻdes, risques mĂ©tĂ©orologiques, et des risques Culturels accident et organisation de la violence.L’apprentissage pour chacun d’eux permet d'accĂ©der aux choix utiles, reculer l’échĂ©ance mortelle d’un ultime but Ă©nigmatique, la apprentissage n’ayant pas que des adeptes. En particulier les obscurantistes d’hier et de toujours s’opposant Ă  toutes les Ă©tudes de la connaissance de notre crĂ©ation et Ă©volution, par crainte des rĂ©ponses scientifiques. Heureusement, pour des chercheurs la science n’est ni une Ă©thique ni une religion ni une affaire d’argent, mais un questionnement. Une recherche demandant une haute conscience Humaine, nĂ©cessitant des prĂ©cautions quand elle nous concerne, et nous pouvons la rĂ©sumer en une question Pourquoi ?J’ai utilisĂ© pour rĂ©aliser cet essai les ouvrages des auteurs qui ont eu la volontĂ© de vulgariser leur savoir, pour apprendre ce que n’a pas pu m’apporter l’enseignement gĂ©nĂ©ral. Mais il m’a donnĂ© les moyen de comprendre les choses complexes que d’autres Ă©crivaient dont la liste figure en bibliographie, et particuliĂšrement James Gleick journaliste scientifique au New York Times expose dans son ouvrage LA THEORIE DU CHAOS » l’origine de cette thĂ©orie, les divers aspects qu’elle ouvre Ă  la connaissance classique du monde, les explications de bien des phĂ©nomĂšnes naturels qui Ă©taient demeurĂ©s totalement incomprĂ©hensibles, et qui se sont rĂ©vĂ©lĂ©s gouvernĂ©s par un ordre dynamique cycles.Werner Heisenberg physicien dans LA PARTIE ET LE TOUT » apporte des idĂ©es essentielles Ă  la thĂ©orie de la mĂ©canique quantique[19], en particulier ses fameuses relations d’incertitude, et raconte ses souvenirs professionnel et humain ;Robert Shapiro professeur de chimie et spĂ©cialiste de recherche sur l’ADN, dans son ouvrage L’ORIGINE DE LA VIE », met l’accent sur la difficultĂ© de saisir l’origine de la vie par l’étude seulement de l’ADN. Il dit que la rĂ©ponse Ă  la question comment est apparue la vie », est Je ne sais pas. » Mais qu’en apprenant de plus en plus sur les phases les plus reculĂ©es de l’évolution de la vie, tout se rĂ©sumera Ă  un sourire », [20] un principe de complĂ©mentaritĂ© structurelle entre sous unitĂ©s monomĂšres».Stephen Hawkins, cosmologiste et physicien, vulgarise dans UNE BREVE HISTOIRE DU TEMPS », par un langage simple et comprĂ©hensible les grandes thĂ©ories de GalilĂ©e et Newton, en passant par Einstein et PoincarĂ©. Il en est de mĂȘme pour ses travaux, comme ceux sur la recherche d’une thĂ©orie unitaire combinant la relativitĂ© gĂ©nĂ©rale et la mĂ©canique quantique[21], du Big-bang aux trous noirs ;Murray Gell-mann, Ă  Ă©crit LE QUARK ET LE JAGUAR » ou aventure dans le simple et le complexe. Professeur Ă©mĂ©rite au California institutes de Technology Le Caltech expose de maniĂšre prĂ©cise ce qui relie la physique des particules aux objets de notre quotidien et comment se dĂ©ploient les interrelations des systĂšmes, des plus simples aux plus complexes, de la rĂ©sistance des bactĂ©ries aux antibiotiques Ă  l’enfant qui apprend Ă  lire, comme de la formation des galaxies Ă  celles des diffĂ©rentes cultures ;Edgar Morin philosophe dont LA COMPLEXITE HUMAINE » retrace l’essentiel de la pensĂ©e Moricienne. Dans un ouvrage prĂ©sentĂ© par Heinz Weinmann, Edgar Morin expose l’homme dans toute sa complexitĂ© mise Ă  nu Ă  la lumiĂšre des connaissances contemporaines. Son Ɠuvre conserve l’espoir que la connaissance permette une rĂ©forme de la pensĂ©e ;Pierre Daco, psychologue et psychanalyste membre de l’institut international de psychothĂ©rapie et de psychologie analytique. Au travers de, LES VOIES DE LA NOUVELLE PSYCHOLOGIE » Pierre Daco mentionne l’appel vers la psychologie que provoque notre monde en mutation. Un monde dans lequel les anciens critĂšres sont en voie de disparition, et il espĂšre dans les nouvelles gĂ©nĂ©rations les cadets». Des cadets qui, plus et mieux Ă©duquĂ©es du savoir fondamental de ce que nous sommes, pourront dĂ©velopper une sociĂ©tĂ© plus Ă©panouie grĂące une nouvelle Ă©ducation, afin d’échapper Ă  notre monde nĂ©vrosĂ©, qui dĂ©veloppe la culpabilisation ;Edwards Harrison professeur de physique et d’astronomie Ă  l’universitĂ© du Massachusetts. Dans son ouvrage, LE NOIR DE LA NUIT », relate l’histoire de cette Ă©nigme du cosmos qui passionne toujours le monde des chercheurs, et qui est selon lui, une lumiĂšre, autrefois brillante, disparue dans le refroidissement de l’expansion cosmique, et transformĂ©e en tĂ©nĂšbres infrarouges invisibles Ă  l’Ɠil nu ».LA PLUS BELLE HISTOIRE DU MONDE, les secrets de nos origines co-Ă©crit par Hubert Reeves, JoĂ«l de Rosnay Yves Coppens et Dominique Simonnet, dont j’ai retenu la question cruciale en guise de conclusion. Sommes-nous prĂȘts Ă  coexister avec notre propre puissance » ? En conclusion, dans cet essai je veux tenter de dĂ©velopper la nĂ©cessitĂ© qu’a notre espĂšce de devoir d’apprendre, au-delĂ  du prĂ©sent, sans s’écarter des pratiques de notre monde mercantiliste actuel, en raisonnant en un Tout comme nous le propose notre cerveau au quotidien. Bien que nous le censurions par des sophismes m’ont Ă©chappĂ©, ils n’ont pas pour vocation d’induire le lecteur en erreur, car ils se situent au-delĂ  du regard conventionnel que nous portons sur notre monde, analysĂ© par champs, sĂ©riĂ©, chacun dans sa est Ă©galement important de retenir que notre intelligence ne peut dĂ©couvrir que ce qu’elle comprend, et ce que j’ai compris de notre Univers, je l’illustre dans le poĂšme qui pionniers de l’ d’ d’étoiles et d’ de lumiĂšre de ma vie sorti les hommes de l’ brodant un voile pour les ont tissĂ© des dentelles avec des rĂ©unir des atomes Ă  d’étoiles et des temps bing bang s’éclate pour me offert aux hommes une saphir d’un disque galactique Ă  ont accordĂ© des champs d’ondes pour s’ portĂ©e de lune ils vont s’ d’étoiles et de la le grand dĂ©sordre je me suis poussĂ© les hommes vers la une piĂšce borĂ©ale de ont nommĂ© les planĂštes comme il leur du soleil leur maĂźtre le temps d’une d’étoiles et de l’ temps de trois flĂšches pour me donnĂ© aux hommes l’illusion d’ faussant les cartes de leur ont fait de grands cirques pour s’ sur la tĂȘte pour se d’étoiles et de l’ un cƓur quantique bien des super cordes pour m’harmoniserDes trous Ă©normes noirs de cueilleurs d’étoiles m’ont appelĂ© l’ dĂ©risoire Ă  un indĂ©finissable de la poussiĂšre et d’ Ă©lĂ©mentaire dans des temps de la poussiĂšre et de la colorĂ©s dans l’ poussiĂšre d’étoiles que les hommes ont peut-ĂȘtre un jour la » guide de l’ DEVOIR D'APPRENDRE UN MARCHE DE L’INTELLIGENCE1 - Pourquoi apprendre ? ; Cela dĂ©pend de apprendre ?Parce que l'existence n'est qu'un long apprentissage jamais achevĂ©, et il en dĂ©coule de constants efforts nĂ©cessitant une forte motivation. Son utilitĂ© cachĂ©e ne se dĂ©voile jamais de prime Ă  bord, sauf pour ceux qui ont la clairvoyance d'entre voir leurs insuffisances, ou faire appel pour leur rĂ©flexion, Ă  un Savoir et des connaissances qu’ils avaient jugĂ©es en un temps apprendre, Ă©quivaut-il Ă  pourquoi l’on vit ?A cette interrogation pourquoi vit-on », la premiĂšre rĂ©ponse venant Ă  l’esprit, peut ĂȘtre d’ordre physiologique pour se fut la conclusion d’un chercheur amĂ©ricain qui consacra 10 annĂ©es de sa vie Ă  rechercher si l’ĂȘtre humain avait une mission supĂ©rieure Ă  accomplir sur cette planĂšte. Personnellement je dirai, d’abord pour apprendre Ă  vivre, et ensuite pour continuer Ă  cette interrogation demeure et nous habite Ă  divers degrĂ©, avec pour rĂ©ponse des conceptions individuelles et collectives plus rĂ©pandue au monde demeurant celle en la CrĂ©ation, avec comme finalitĂ©, une existence immortelle dans un lieu intemporel auprĂšs d’un Dieu indescriptible. Cependant, aujourd’hui le lien entre ce questionnement et ce qui l’induit est rarement fait, tant il nous paraĂźt normal que la rĂ©flexion va de soi avec notre existence, qu’elle soit considĂ©rĂ©e immanente ou transcendantale ; mĂȘme en essayant d’en comprendre les Ă©lĂ©ments physiologiques et biologiques qui la mĂȘme rĂ©flexion a conduit bien des hommes au paradoxe d’en arrĂȘter le cours par leur notion de crĂ©ation et de transcendance, et d’autres d’en rechercher l’origine par celle d’ conclusion, c’est bien Ă  partir de cette capacitĂ© de rĂ©flexion reposant sur la connaissance et le Savoir emmagasinĂ©, que nous tentons d’apporter une rĂ©ponse, Ă  la question, pourquoi vivons-nous » ?
Cela dĂ©pend de en nous observant rĂ©flĂ©chir, nous ne pouvons que constater que cette rĂ©flexion dĂ©pend de ce que nous avons appris. Pourtant cette capacitĂ© rĂ©flexive c’est Ă©laborĂ© au fil du temps par l’apprentissage. Au fil du temps, d’instinctif l’apprentissage est devenu initiatique, pour atteindre aujourd’hui une prĂ©tention scientiste et, si nous nous demandons pourquoi nous apprenons », nous dĂ©couvrons autant de rĂ©ponses individuelles que collectives. Toutefois dans l’immĂ©diat nous devrons nous contenter de l’explication de ce chercheur amĂ©ricain dont j’ai oubliĂ© le nom parce que nous sommes conçus pour cela. » Il appartient donc aux hommes de faire fructifier cette facultĂ© rĂ©flexive par l’appris, et je propose pour cela la mise en place d’un enseignement rĂ©munĂ©rĂ© tout au long de l’existence ; et cela ne dĂ©pend que de nous. Mais cela suppose de s’ĂȘtre construit une approche de l’existence que je vais vous faire – Une raison qui se construit sur la conservation, de milliards de donnĂ©es et de concepts, pour nous interroger, pour notre usage harmonieux, et vivre parce que nous existonsUne raison qui se construit sur la conservation, de milliards de donnĂ©es et de concepts
Dans le monde animal pour dominer, nul besoin d’avoir une intelligence n’égale Ă  la nĂŽtre. NĂ©anmoins, d’une situation similaire et concurrentielle dans laquelle nous devions nous protĂ©ger Ă©ventuellement d’espĂšces plus fortes[22], nous sommes devenus l’espĂšce hĂ©gĂ©monique par grĂące Ă  notre cerveau associatif qui nous permet de percevoir les perturbations que reçoit notre organisme, et d’y donner la rĂ©ponse comportementale qu’il gĂ©nĂšre. Ainsi nos prĂ©dateurs sont devenus si petits qu’il nous faut dĂ©sormais l’aide d’un microscope pour les pense particuliĂšrement Ă  certains virus qui sont des organismes vivants » en quĂȘte de nourriture, et dont nous sommes Ă  la fois l’habitat et le garde manger ; et qui ne sont pas la main cĂ©leste punissant d’une vision thĂ©ologique, ou celle de l’ignorance qui les qualifia de tabous et leur Ă©leva des totems culte des morts liĂ© Ă  la contamination, interdiction de le toucher, quarantaine etc..Entre ces deux clichĂ©s, c’est ce que nous avons su apprendre, analyser et faire prospĂ©rer Ă  divers degrĂ©s, qui font la diffĂ©rence, et nos motivations interviennent comme freins ou faut donc savoir que la structure de notre cerveau fonctionne d’une maniĂšre globale et incessante en dehors de notre volontĂ©. Il traite les stimulus de l’information les maintenant dans le cortex prĂ©frontal en les classant dans des bassins ou des fosses plus ou moins profondes », en interrelation avec la totalitĂ© du cerveau, dans une permanence de rĂ©ajustement de l’ d’une maniĂšre instantanĂ©e, dite par analogie, nous nous rĂ©fĂ©rerons Ă  ce stock d’informations, stock qui sert Ă©galement Ă  son traitement par la rĂ©flexion dite cognitive, qui le complĂšte Ă  son tour. Nous perdons Ă©galement d’une maniĂšre consciente de l’information, l’oublie, que nous retrouvons parfois de maniĂšre inconsciente au cours du sommeil, le milliards d’informations garantissent ainsi Ă  chacun d’entre nous par l'usage de son raisonnement, qu’il sera toujours unique et semblable. Toutefois, au-delĂ  de cette approche mĂ©caniste », [23] le mystĂšre de la pensĂ©e demeure pour expliquer les effets psychologiques dĂ©nommĂ©s psychĂ©, ipsĂ©itĂ©, Ăąme, conscience primordiale ». Leurs noms ne varient que suivant les philosophies, les cultures ou les croyances, pour qualifier une observation dont ils ignorent la structure qui l’organise. Tout comme la neurobiologie se heurte par exemple, Ă  l’ignorance du phĂ©nomĂšne qui guide les dendrites pour aller chercher ou recevoir l’information dont l’émotionnel et le cognitif ont besoin, afin d’assurer les connexions des consĂ©quence notre raison se construit ainsi, en ayant au prĂ©alable assimilĂ© et emmagasinĂ© tout au long de notre existence, des milliards d’images, des milliers de concepts et de stratĂ©gies, en ayant appris. Mais la rĂ©ponse de notre raison ne sera que celle que notre structure cĂ©rĂ©brale lui aura ordonnĂ© et que nous croirons ĂȘtre le choix de notre libre arbitre.
et s’interroger...NĂ©anmoins l’on peut apprendre et ne pas s’interroger. ÉlaborĂ©s au fil du temps, l’apprentissage de notre savoir et de nos connaissances accumulĂ©es ont dĂ©bloquĂ© grĂące Ă  notre rĂ©flexion nourrie d’informations, des verrous imposĂ©s par des schĂ©mas sacralisĂ©s et sanctifiĂ©s. Non que ces schĂ©mas structurels fussent faux en fonction des connaissances en vigueurs aux moments de leur Ă©laboration, mais les dĂ©fauts qu’ils prĂ©sentaient, consistaient dans leur certitude affichĂ©e d’empĂȘcher l’homme de s’interroger. NĂ©anmoins, notre interrogation dĂ©bridĂ© en a dĂ©veloppĂ© d’autres qui comportent les mĂȘmes blocages, les mĂȘmes odeurs sanctificatrices, dont les clĂ©s se trouvent toujours dans l’apprentissage, et ainsi de suite. De telle maniĂšre que s’interroger ne peut pas se faire sans prĂ©senter des risques, comme celui de mettre Ă  mal le fait moral constitutif du effet, si le fait moral »[24] est fixĂ© par une rĂšgle de conduite sanctionnĂ©e, Le sacrĂ© » ne sont que des rĂšgles de conduite Ă©levĂ©es au-dessus des autres, revĂȘtant un caractĂšre immuable, Ă©laborĂ© par historicitĂ© du fait religieux, ou la conscience constitutive supĂ©rieure du groupe État, qui renforcent la conscience individuelle, et ne supportent aucune contestation, ni interrogation, ni doute, et organise d’autoritĂ© la Connaissances le Savoir, et la suivant la rĂ©ponse que nous apporterons Ă  comment je vis ? » Nous nous interrogeons sur pourquoi j’apprends ? » et rĂ©ciproquement. 
pour notre usage
Mais s’interroger et apprendre pourquoi faire ? Compte tenu de sa longĂ©vitĂ© l'humain n'est pas une espĂšce Ă©phĂ©mĂšre ni un procrĂ©ateur in fine, mĂȘme si la procrĂ©ation demeure sa fonction premiĂšre, de la mĂȘme maniĂšre qu’elle rĂ©gule la prolifĂ©ration de toutes les bien, que devant l’accroissement de sa longĂ©vitĂ© l’usage que nous ferons de notre apprentissage dans nos relations sociales, notamment par la production de biens, affectera notre rĂ©gulation. En effet, nous pouvons observer une plus forte dĂ©natalitĂ© dans les pays riches[25] et une politique anti-natalistes dans d’autres ; mais il est Ă©galement important de comprendre qu’une sociĂ©tĂ© oĂč l’espĂ©rance de vie s’accroĂźt modifie de fait ses relations affectives et si l'apprentissage n'est pas exclusif du bonheur, il l'est de la qualitĂ© de notre existence humaine ; et personne aujourd’hui n'envisage un retour vers l'Ăąge de pierre, tout en envisageant plus probable notre auto- destruction nuclĂ©aire et autres.En consĂ©quence l’usage que nous faisons de l’apprentissage n’est pas anodin, il fixera les projets d’existence. Ainsi quand l’espĂ©rance de vie est de vouloir frĂŽler l’immortalitĂ©, il est plus probant d’avoir un projet d’existence qui ne soit pas de s’exterminer. 
harmonieux...D’autant plus que la planĂšte nous ignore. La planĂšte, elle, se moque Ă©perdument de notre existence, que nous soyons ignorant ou gĂ©nie, que nous vivions ou que nous nous exterminions, que nous lui fassions un trou d'ozone ou que nous la rĂ©chauffions. Elle s'est créée sans nous, et mourra de y a deux cent mille ans, la planĂšte vivait sans nous ses transformations terrestres. Aujourd'hui notre activitĂ© humaine y contribue, et c'est en cela qu'il y a aussi un devoir d'apprendre pour harmoniser, non seulement notre propre existence, mais Ă©galement celles futures Ă  l’univers auquel nous sommes rattachĂ©s. Un univers auquel nous ne pouvons Ă©chapper, dont aujourd’hui nous connaissons certaines de ses lois qui nous conditionnent ; lois et Univers auquel je me rĂ©fĂ©rerai harmoniser[26] j’entends, prendre conscience qu’il n’y a pas de Paradis » Ă  trouver et Ă  conserver sur une planĂšte condamnĂ©e, et peut ĂȘtre pas plus ailleurs. C’est cette prise de conscience lĂ , qui peut ĂȘtre un Ă©vĂ©nement fondateur de notre dĂ©veloppement vers un inconnu ; ce qui n’empĂȘche nullement le bonheur par la suppression de la peut-ĂȘtre, parce que nous ne chercherons plus ce Paradis » c’est alors qu’il apparaĂźtra, car nous aurons pris la mesure de ce que nous sommes pour Ă©laborer des paradis » humains accessibles, grĂące Ă  la connaissance que nous dĂ©couvrons des lois » qui rĂ©gissent notre Être, notre monde et notre qui nous permettent dĂ©jĂ  de comprendre ceci Si nous avions la capacitĂ© de suivre le dĂ©roulement de nos actes dans leurs plus petites unitĂ©s, nous nous rendrions compte qu’ils interfĂ©rent sur chacun d’entre nous, et que dans les rĂšgles que nous avons dĂ©finies pour la recherche de la source nourriciĂšre ou l’affirmation de soi, nous nous auto dans notre ordre actuel nous sommes conscients de ces nuisances rĂ©ciproques, nous Ă©tablissons des rĂšgles punitives. Si bien qu’avec une telle approche, si chacun avait la connaissance absolue de l’incidence de nos actes au quotidien, nous sanctionnerions les Hommes du monde entier, car il y a toujours un acte juger nocif qui interfĂšre sur un autre. Heureusement nous n’avons pas une perception consciente aussi Ă©laborĂ©e, de telle maniĂšre que celui qui nuit, de fait ne le sait pas, tout comme celui Ă  qui nous avons nui l’ignore. C’est seulement notre intelligence qui nous permettra de saisir ces interrelations complexes, car notre existence n’a d’importance que pour nous, et nous devrons nous harmoniser ».Comme nous en prenons conscience de plus en plus, et il me paraĂźt donc Ă©vidant, que notre organisation punitive et mĂ©ritocratique actuelle ne peut pas conduire Ă  une harmonie, car elle maintient seulement nos ordres actuels, qui malgrĂ© les rĂšgles punitives se Monod en disait La terre est un jardin bordĂ© de nuit. Tels des aveugles nous avançons, mais sĂ»rs de nous, fiers, cruels, consommateurs, assoiffĂ©s de profit. Moderne ? Que restera-t-il Ă  nos enfants de cette oasis si humaine ? Seront-ils seulement lĂ  pour contempler nos mĂ©faits ? »[27]
et vivre parce que nous utilisons donc notre cerveau, pour apprendre et nous interroger, pour notre usage harmonieux, afin de vivre parce que nous existons. Et comme exister exige de regarder comment nous vivons, nous ne pouvons pas Ă©viter de regarder notre sociĂ©tĂ© capitaliste. MĂȘme si nous situons dans le temps l’avĂšnement de la sociĂ©tĂ© capitaliste,[28] nous pouvons mĂȘme dire la civilisation capitaliste, car l’activitĂ© Ă©conomique induit Ă©galement des comportements sociaux, elle n’a pas encore atteint l’ñge de raison, bien que certains parlent dĂ©jĂ  de post capitalisme. De post capitalisme parce que la nature des produits qui nĂ©cessitent une capitalisation changent services ou monnaies, parce que son autoritĂ© s’anonymise » sociĂ©tĂ©s anonymes et circuits nĂ©buleux parce que l’évolution technologique Ă  permis une rapiditĂ© de tout Ă©change; mais la structure qui conduit Ă  l’enrichissement demeure la effet, si nous apprĂ©cions une civilisation Ă  sa facultĂ© de durer la notre se donne les moyens d’ĂȘtre des plus courte. MalgrĂ© son Ă©laboration dramatique et ses inĂ©galitĂ©s flagrantes, si chacun peut Ă  juste titre se fĂ©liciter de ses rĂ©ussites elle s’est Ă©galement dotĂ© des moyens de s’éradiquer dans un hier trĂšs proche par ignorance des risques de sa technologie, aujourd’hui en conscience, par inaptitude Ă  gĂ©rer ses compĂ©tences en rĂ©organisant ses appĂ©tits financiers. Si bien que compte tenu des lois sur les probabilitĂ©s, la question n’est pas Si », mais Quand ». Il nous faudra donc au quotidien employer toute la connaissance et le Savoir que nous avons Ă©laborĂ©, pour comprendre que l’évolution de nos rĂ©alisations, et celles de toutes les activitĂ©s que nous avons mis en Ɠuvre, interfĂ©rent sur notre Ă©volution, du fait de la deuxiĂšme loi de la thermodynamique[29] qui accroĂźt l’entropie. Pour cela la thĂ©orie du chaos[30] peu Ă©galement nous aider Ă  cerner ces risques technologiques et idĂ©ologiques » pour en prĂ©server les effet, comme cet Ensemble notre existence communautaire Ă©volue de maniĂšre non linĂ©aire, ceci rend difficile l’apprĂ©ciation de son incidence rĂ©troactive, et la plus petite variation d’un de ses paramĂštres peut engendrer d’énormes effets sur l’ensemble ou une partie de l’ensemble. Effet papillon.C’est ainsi que Robert May[31] disait, tout irait mieux dans le monde, si les gens prenaient conscience que les systĂšmes non linĂ©aires Ă©lĂ©mentaires ne possĂšdent pas nĂ©cessairement de propriĂ©tĂ©s dynamiques simples »[32].Un Physicien s’interrogeant sur les consĂ©quences de la thermodynamique, formula sa question en ces termes Comment un flux d’énergie qui s’écoule sans but peut-il rĂ©pandre la vie et la conscience dans le monde ? »Aussi, si rien aujourd’hui ne justifie notre existence, elle seule justifie que nous y tenions, et lĂ , alors, cela commence par apprendre, et toujours apprendre ce n’est pas seulement rĂ©pĂ©ter ce que nous avons appris, c’est aussi associer ces connaissances pour conceptualiser, et prĂ©server ce qui est essentiel, la vie, et vivre parce que nous – Ainsi, un jour, j’eus une idĂ©e nĂ©e d’une problĂ©matique pas si simple, entre utopie et un jour...En 1975, Ă  la tribune d’un congrĂšs fĂ©dĂ©ral Ă  Lyon, j’eus l’idĂ©e de rĂ©clamer dans les annĂ©es Ă  venir une rĂ©duction du temps de travail hebdomadaire, et de porter la semaine Ă  35 h. Le temps ainsi dĂ©gagĂ© devait ĂȘtre utilisĂ©, pour une moitiĂ© au grĂ© des salariĂ©s, pour l’autre Ă  s’éduquer. J’avais observĂ© que l’accĂšs au savoir, ensemble des connaissances acquises par l’étude, permettant de comprendre, de maĂźtriser les rouages de l’activitĂ© socio-Ă©conomique, Ă©chappait, Ă  leur dĂ©triment Ă  la majoritĂ© des m’a Ă©tĂ© donnĂ© Ă  de nombreuses reprises, durant l’exercice de mes mandats syndicaux, d’en vĂ©rifier l’exactitude. Je dus approfondir plusieurs sujets, lois, droit, Ă©conomie, sociologie, relations humaines, politique et autres, et je me heurtais inĂ©vitablement au mur incontournable du temps disponible.
j’eus une idĂ©e...En 1978, je retenais comme fait marquant de la dĂ©gradation de l’économie la situation de l’emploie qui englobait, d’une part les difficultĂ©s rencontrĂ©es par les chĂŽmeurs pour changer d’emploi, et d’autre part l’allongement de la durĂ©e du dans ces annĂ©es que je rĂ©flĂ©chissais Ă  une source de richesse perpĂ©tuelle pour que chacun puisse s’assurer un prĂ©conisais donc de faire du dĂ©veloppement de l’intelligence humaine une source de revenu direct, sans l’obligation de transiter par la production d’un bien monnayable
 nĂ©e d’une problĂ©matique...En 1982 durant mon activitĂ© de militant, j’en retirais la problĂ©matique suivante. Si dans le futur, grĂące aux nouvelles technologies, dix millions de personnes suffisent au fonctionnement de l’économie, et que l’espĂ©rance de vie s’allonge, qu’elle sera la source de revenu des citoyens ?Cette idĂ©e de dĂ©veloppement de richesse intellectuelle, source de revenu individuel direct, me revint Ă  l’ alors, qu’elle ne devait plus seulement concerner que les seuls chĂŽmeurs, mais elle devait s’étendre obligatoirement Ă  l’ensemble de la population adulte, active ou non, et cela jusqu’à l’ñge de la retraite.
pas si simple
Les annĂ©es suivantes, je rĂ©pĂ©tais, que dans une sociĂ©tĂ© riche, possĂ©der le savoir et les moyens de communication Ă©taient des atouts vitaux. Par moyen de communication, je ne songe pas Ă  la manipulation et Ă  la dĂ©sinformation qui se camoufle sous ce concept de communication mis au service de la duperie.En effet, je considĂ©rais comme une aberration de ne pas structurer l’accession Ă  la richesse intellectuelle pour chacun tout le long de l’existence, tout en rĂ©alisant, en plus, l’objectif de n’avoir aucun citoyen dĂ©pourvu de nous verrons que ce n’est pas aussi simple. Bien que disposant de la quasi-totalitĂ© du savoir disponible, il ne peut se contenir dans un cerveau, aujourd’hui, comme consĂ©quence, un choix qualitatif s’imposera sur plusieurs gĂ©nĂ©rations, tout en dĂ©finissant des ce faire, la montĂ©e en puissance durera des annĂ©es pour ne pas dĂ©structurer l’ temps y consacrer ?Quel type d’enseignement ?Qui le dispensera ?Quelles seront les consĂ©quences sur la vie au quotidien des actifs ou non actifs ?Quelles incidences sur l’appareil productif ?Quel financement ?Quels impacts sur la production de richesse ?Autant de domaine qu’il va falloir motivations incitatrices doivent ĂȘtre dĂ©veloppĂ©es ? L’argent, l’idĂ©al futuriste, la rĂ©flexion rationnelle, la contrainte partielle ou totale. Autant de rĂ©flexion Ă  revanche, que doit-on craindre ?Les effets, d’agrĂ©gations ?Les dĂ©viations idĂ©ologiques ?Que pouvons-nous espĂ©rer grĂące aux technologies de la communication ? Quels rĂȘves pouvons-nous nourrir grĂące Ă  la gĂ©nĂ©tique ou la neurologie ?Ne pas oublier l’essentiel, clora cet part, ces questions ne doivent pas nous faire oublier que les hommes et les femmes rĂ©agissent avec leurs symboles, leurs idĂ©aux, leurs philosophies, leur mysticisme, leurs valeurs, leurs classes sociales, leurs pouvoirs Ă©tablis, leurs rĂȘves, et le tout imbriquĂ© dans le mensonge culturel[33] » comme huilage de la sociabilitĂ©.
 entre utopie et mon dĂ©veloppement je m’efforcerai d’éviter toute approche idĂ©ologique, sachant par avance que cela sera inconscient. D’une part, parce que je ne peux pas faire abstraction de mon vĂ©cu, et que je formulerais bien Ă©videmment des critiques. D’autre part parce que vouloir que chacun dispose de ressources peut paraĂźtre un idĂ©al utopiste, et en consĂ©quence mon dĂ©veloppement peut n’ĂȘtre qu’un dĂ©ploiement idĂ©ologique. Ce en quoi, je paraphraserai Bergson On ne lui avait pas dit que c’était impossible il la fait ».[34]RÉMUNÉRER LES HOMMES POUR les hommes pour apprendre ce n’est pas rien, c’est mĂȘme mettre un pied dans l’incertitude, c’est mettre un pied dans un monde Ă  inventer. Pas forcĂ©ment comme je le vois, car ce n’est que le mien, mais c’est poser les marques d’une aventure inconnue que nous aimons dans les contes, d’autant plus quand ce sont les autres qui les vivent. C’est forcĂ©ment aller vers un monde qui sera diffĂ©rent de celui que nous connaissons, et cela ne peut que nous il ne pourra pas ĂȘtre plus effrayant que celui qui est le nĂŽtre aujourd’ dans lequel, pour sortir d’une existence passĂ©e que nous avons apprĂ©ciĂ©e cruelle, en dĂ©veloppant nos cultures sociĂ©tales » nous avons aussi construit des organisations eugĂ©niques»[35]. Pourtant, l’Homme n’a jamais eu autant de moyens Ă  sa disposition pour le comprendre, Ă©tudier, et nous restons sur la dĂ©fensive, et nous ne faisons pas dans l’ensemble la dĂ©marche de nous ouvrir au monde Ă  l’univers, pour rester dans notre mensonge culturel». Alors pourquoi ne pas forcer la main de l’évolution, en rĂ©munĂ©rant les hommes pour apprendre, et essayer de dĂ©couvrir si dans notre suffisance nous ne nous Ă©tions pas fourvoyĂ©s par ignorance existentielle ».Je vais donc essayer de m’en expliquer, tous au long de ce chapitre et de ceux qui - Pour cela, il faut seulement comprendre un questionnement sans le Savoir, que serions-nous ?Pour cela, il faut seulement comprendre un questionnement
C’est quoi Ă©laborer un projet ? Élaborer un projet, quel qu’il soit, suppose une finalitĂ©. Or en matiĂšre d’organisation humaine, un projet sociĂ©tal ne peut ĂȘtre que transitoire, et sa finalitĂ© momentanĂ©e, car il Ă©voluera au grĂ© et au rythme de la qualitĂ© de ses telle maniĂšre que souvent, ce que nous prĂ©sentons comme une finalitĂ© qui inclut la notion d’aboutissement, n’est qu’un but.
 sans le Savoir
Des buts nous n’avons que cela, et notre espĂšce Ă©volue au grĂ© de son environnement, et de sa possibilitĂ© Ă  conceptualiser abstraitement autour d’un schĂ©ma initial adaptable au raisonnement humain. Celui-ci repousse sans cesse l’indĂ©terminĂ©, grĂące Ă  la technologie qui supplĂ©e la faiblesse du regard de notre cette capacitĂ© Ă  raisonner et cette technologie ne peuvent rester la propriĂ©tĂ© de quelques les SumĂ©riens, environ 2500 av. auxquels l’écriture permettait de nommer le monde, de l’inscrire, d’en faire un recensement prĂ©cis, considĂ©raient que la chose Ă©tait sacrĂ©, et devait rester secrĂšte. C’est ce que nous rapportent des tablettes d’argile Que l’initiĂ© instruise l’initiĂ©, le profane ne doit pas savoir. » Pour bĂątir le projet salvateur ou dĂ©tenir la vĂ©ritĂ© suprĂȘme accessible qu’aux initiĂ©s, il y aura toujours des hommes, et mĂȘme eux, il vaut mieux qu’ils le fassent dans la clairvoyance que dans l’ pourquoi je dĂ©veloppe l’idĂ©e inverse Qu’il est important d’alimenter de connaissance l’intelligence humaine, et nourrir sa rĂ©flexion de maniĂšre continue tout le long de son existence, et cela ne peut se faire sans le Savoir.
 que serions-nous 
 ?Imaginons-nous aujourd'hui dans les pays riches, privĂ©s d’électricitĂ© !Imaginons la vie des individus sans leurs lunettes !Imaginons qu’un cataclysme ne laisse que quelques survivants !Quelques gĂ©nĂ©rations plus tard dans ce cas de figure par l’oralitĂ© parabolique, les survivants expliqueraient avec des lĂ©gendes que dans les temps passĂ©s de gigantesques temples abritaient la puissance du Dieu NuclĂ©aire, qui donnait aux hommes l’électricitĂ©, et peut-ĂȘtre que pour les survivants, l’individualisme Ă©goĂŻste deviendrait l’objet d’un sans l’apprentissage, l’enseignement, nous serions toujours Ă  l’aube des temps, mĂȘme s’il n’a fait, pour une part que remplacer en plus prĂ©cis scientisme, les intuitions que les hommes avaient de ce qu’ils Ă©taient, et oĂč ils se trouvaient. Car nos ancĂȘtres ne pouvaient qu’ĂȘtre intelligents, et heureusement qu’ils n’ont pas pu arrĂȘtĂ© le dĂ©veloppement de l’intelligence parce qu’ils y trouvaient un intĂ©rĂȘt. Nous ne pouvons pas en dire de mĂȘme de nous autres, dans un passĂ© pas si lointain les autodafĂ©s, mais cela fait partie du dĂ©roulement de l’ seulement, c’est quoi l’Univers, le monde, l’Homme ; ils ne sont que de l’information perçue par nos sens que certains d’entre-nous ont dĂ©fini et que nous nous transmettons des uns aux autres sans cesse pour cela qu’il faut seulement comprendre un questionnement sans le Savoir, que serions-nous ? 5 - Que sommes-nous ? Avec notre agressivitĂ©, au-delĂ  de l’égocentrisme et de l’instinct naturel ; d’Etre intelligent capable d’assumer notre savoir, malgrĂ© nos erreurs comme sommes-nous ? Avec notre agressivité Le Savoir impose d’apprendre ou d’essayer de comprendre ce que nous sommes avec notre agressivitĂ© parce que nous l’observons. L’agressivitĂ© naturelle» est indispensable Ă  la survie de toutes les espĂšces, dont la nĂŽtre. La socialisation nous permet d’en dĂ©finir diffĂ©rents concepts, de maniĂšre Ă  pouvoir en bannir quelques-uns comme asociaux. NĂ©anmoins, l’agressivitĂ© » reste l’élĂ©ment moteur, bien que socialisĂ©e et de ce fait durant l’évolution de nos aptitudes et de notre capacitĂ© cĂ©rĂ©brale, elle a façonnĂ© l’homme et lui en retour son agressivitĂ© naturelle» [36], j’entends la capacitĂ© d’action de l’homme d’inter agir sur lui-mĂȘme, sur les autres, ainsi que sur toutes choses de son environnement, mĂȘme si un jour il doit rĂ©organiser son existence en ayant compris qu’il ne disposait d’aucun libre arbitre. Il impose de ce fait, contrainte, transformation ou destruction dans l’ignorance partielle du TOUT qu’il est, dans un TOUT plus grand que lui dont il est le semblable, l’univers. Il ne s’agit donc de ne pas confondre ici agressivitĂ© et effet, chaque Être ou sujet ou individu, n’est qu’un Ă©lĂ©ment insĂ©parable d’un ensemble, d’un Tout, que nous appelons l’espĂšce humaine[37]. Elle-mĂȘme Ă©tant contenue dans un ensemble plus grand dont elle est issue, l’univers. Elle ne peut donc qu’ĂȘtre rĂ©gie par les mĂȘmes lois qui ont construit l’univers, et qui ont donnĂ© naissance Ă  des singularitĂ©s telle que notre planĂšte. Des lois que nous commençons Ă  mieux cerner aux travers des leurs sujets, Stephen Hawkins disait L’histoire des sciences tout entiĂšre n’est que la comprĂ©hension progressive du fait que les Ă©vĂ©nements n’arrivent pas de maniĂšre arbitraire, mais qu’ils reflĂštent un certain ordre sous-jacent qui peut ou non, avoir Ă©tĂ© inspirĂ© du divin » [38]. Cette remarque est d’autant plus importante qu’elle s’applique Ă  nous, elle s’applique au dĂ©roulement de notre telle maniĂšre que les Ă©vĂ©nements de notre existence ne proviennent que des ordres systĂšmes, organisations qui les ont inspirĂ©s, et notre cerveau par la construction de son psychique en est un producteur efficace dans la reprĂ©sentation de ses affects Ă  partir de la nĂ©cessitĂ© vitale fondatrice de se nourrir, s’accoupler et s’ de lĂ  l’agressivitĂ© prendra des nuances capables de rĂ©pondre Ă  toutes les Ă©ventualitĂ©s de 0 Ă  l’infini que nos schĂ©mas conceptualisĂ©s lui suggĂ©reront, suivant la traduction et la reprĂ©sentation des informations que nos sens auront recueillies du monde, pour façonner les moyens de vivre ou s’entre-tuer. Ceci est d’autant plus important Ă  prĂ©ciser que nous essayons en permanence de rĂ©duire l’éventualitĂ© de s’entre-tuer, et nous regardons l’agressivitĂ© comme nĂ©cessitĂ© naturelle motivĂ©e par la frustration, ou bien dans une approche morale, comme la nocivitĂ©, le mĂ©fait, le crime qui se justifie quand l’homme est un loup pour l’homme, le contraire de la bienveillance dans un idĂ©al d’amour ou d’harmonie sociale. Pour en saisir toutes les nuances il nous faudrait avoir accĂšs Ă  l’infini, un infini pour lequel nous n’avons ni de dĂ©part ni d’arrivĂ©e, mais qui au lieu de nous dĂ©courager doit nous permettre de comprendre Ă©ventuellement que, si depuis 2000, voire 3000 ans ou plus nous appliquons toujours les mĂȘmes principes punitifs ou mĂ©ritocratiques sans rĂ©sultat, qui souvent s’apparente Ă  de la persĂ©cution[39], il serait peut-ĂȘtre temps de s’ la capacitĂ© d’agressivitĂ© ne doit pas ĂȘtre prise comme seulement l’expression de violence, mais en un sens plus gĂ©nĂ©rique qui est la capacitĂ© d’agir pour aller prendre chez l’autre son alter ego et le monde ce qu’il vous donne afin d’exister quelles qu’en soient les motivations. LHomme n’est donc pas irrĂ©vocablement un ĂȘtre violent. Il est lui-mĂȘme la construction d’un amalgame d’informations ordonnĂ©es qui ont Ă©laborĂ© son psychique ; mais il a la difficile responsabilitĂ© Ă  partir de celui-ci, de quantifier et qualifier les informations[40] qu’il perçoit dans l’ignorance la plus totale du monde objectif, en bĂątissant au fil des millĂ©naires l’image de ce qu’il a pu comprendre de lui et du monde. Et ce n’est qu’à partir des dĂ©finitions qu’il leur donne qu’il est en mesure de transformer une agressivitĂ© innovatrice en violence mortelle intra espĂšce en l’absence d’un inhibiteur innĂ©. Donc l’information est capitale pour l’homme, et traiter l’information oblige d’apprendre, d’apprendre en permanence, sinon on la subit. Nous la subissons dans toutes les formes imparfaites et barbares dans lesquelles nous la figeons en nous croyant possesseur de la comprĂ©hension ultime. De ce fait nous faisons en permanence le procĂšs de l’Homme, au lieu de celui de sa construction psychique, mĂȘme si celle-ci porte un nom par acteur, tout en n’ayant jamais appris Ă  cet acteur comment fonctionnait un organe aussi essentiel que son cerveau, avec lequel il allait devoir passer sa parce que quels que soient les raisonnements que nous tenons au travers d’un psychique organisĂ©, bornĂ© par sa culture, bonne ou mauvaise, de maniĂšre close par nĂ©cessitĂ© structurelle, afin d’évacuer l’incertitude et la peur qui dĂ©veloppe craintes et angoisse. Cette construction structurelle du psychique retransmettra l’aptitude de son organisme Ă  s’ouvrir Ă  l’autre ou au monde, en fonction d’une multitude de paramĂštres environnementaux. Je me suis expliquĂ© sur ce sujet dans l’avertissement, mais l’on peut retenir deux types d’évĂ©nements, ceux stressants et ceux rassurants. Ce raisonnement sera sous-tendu par l’inconscient qui contrĂŽlera en permanence, si les dĂ©cisions, que notre psychique" "culturalisĂ© prend en retour sous sa direction, sont compatibles avec les informations dont il dispose ; informations qui sont de veiller Ă  ce que la structure organique qui le porte puisse se nourrir, copuler, s’abriter Vivre. Et il en est ainsi au quotidien indĂ©pendamment de nous dans toutes les dĂ©cisions que nous prenons. C’est pour cela qu’il est si important que l’Homme soit assurĂ©, Ă©panoui, pour que son agressivitĂ© innovante au travers d’organisations systĂ©miques sociĂ©tales ne se retourne pas contre lui et son alter ego ; mais, si nous ne pouvons pas agir sur l’inconscient nous pouvons le tromper, et c’est un autre conclusion l’hominisation vers laquelle nous tendons ne consiste pas Ă  dĂ©finir nos pulsions originelles comme Ă©tant criminelles ce qui l’est, c’est l’organisation culturelle qui lexhibe, car peut ĂȘtre dans quelques milliers d’annĂ©es ou quelques siĂšcles, ce sont elles les pulsions qui sauvegarderont l’espĂšce ; mais d’en instruire l’Homme de sorte qu’il les contrĂŽle par la comprĂ©hension de ce qu’il s’interdit, en attendant que ce qui caractĂ©rise l’hominisation, le dĂ©veloppement et la comprĂ©hension de son psychique, poursuive son Ă©volution.
au-delĂ  de l’égocentrisme
Une Ă©volution qui nous faudra aller chercher au-delĂ  de l’égocentrisme. C’est peut-ĂȘtre pourquoi par la rĂ©flexion cognitive, n’ayant pu encore extirper de notre conscience » ou prendre conscience du dĂ©veloppement d’autres capacitĂ©s fonctionnelles,[41] sensorielles existantes, refoulĂ©es ou en constructions Ă©volution, nous qualifions de naturelles issu de l’innĂ© des constructions sociologiques imparfaites.[42] Cela, au-delĂ  de la notion d’égocentrisme que nous observons, activitĂ© de soi pour soi Ă©largie Ă  l’entitĂ© familiale. Cette nĂ©cessitĂ© commune Ă  tout organisme d’assurer son dĂ©veloppement innĂ©e gĂ©nĂ©tique qui n’inclut pas inĂ©vitablement la notion de tuer son semblable et inclut celle d’altruisme restreint ».[43]Par exemple il nous est nĂ©cessaire de pouvoir supporter l’agonie d’un animal que nous tuons pour nous nourrir mĂȘme si l’homme Ă  du apprendre Ă  chasser, si cela n’était pas le cas, nous serions seulement herbivores ou autre[44] ; mais cela indique aussi que nous pouvons Ă©galement Ă©prouver une rĂ©pulsion Ă  le faire. Or, cette fonction innĂ©e rĂ©pond Ă  l’identification de la NĂ©cessitĂ©, et de tout ce qui est un obstacle ou perçu comme tel au dĂ©veloppement de son Être. Si bien que notre activitĂ© culturelle innovante dans sa production d’outils, et dans la multiplication des mobiles de percevoir l’autre comme concurrent, un Ă©tranger, a accru les raisons, les prĂ©textes de retourner contre sa propre espĂšce la performance de ses outils, en construisant mĂȘme des outils spĂ©cifiques armes, et l’organisation gĂ©ographique concurrentielle de sa communautĂ© humaine diversitĂ© culturelle.Ceci malgrĂ© la raison ou le processus d’auto rĂ©gulation de toute espĂšce, dont nous ignorons la nĂŽtre, qui nous pousse Ă  concevoir une rĂ©gulation socialisante, temporisant cette disposition Ă  nous auto regarder comme de potentiels agresseurs spĂ©cifiques. Cela par l’altruisme, l’humanisme, la morale, la religion, le droit, dont le paradoxe est qu’ils gĂ©nĂšrent eux-mĂȘmes une capacitĂ© de confrontations destructrices organisĂ©e autour de leurs parce que le raisonnement organise lui-mĂȘme la reprĂ©sentation des objets justifiant une rĂ©ponse agressive Ă©motionnelle, violente et parfois meurtriĂšre, impulsive meurtre ou organisĂ©e accident, assassinat, guerre. Il transpose de ce fait la capacitĂ© d’une fonction innĂ©e culturalisĂ©, celle de tuer par nĂ©cessitĂ© de survie, dans la construction de la personnalitĂ© de chacun dans le regard des autres. Ceci au travers de valeurs quantitatives et qualitatives culturelles de la perception de l’image du monde que nous vĂ©hiculons de gĂ©nĂ©ration en gĂ©nĂ©ration par l’image du pĂšre » dans les diverses organisations familiales ; et rien ne nous permet d’affirmer que l’image du pĂšre, qui c’est construit sur des interdits dont nous ignorons l’origine, soit dans sa totalitĂ© la meilleure, soit la juste ce que nous ne pouvons qu’observer, c’est qu’elle est porteuse de violence, soit parce que nous ne respectons pas ses interdits, pourquoi ? Ou bien parce que chacun veut ĂȘtre le pĂšre ? Ou bien une fois que l’on Ă  construit avec elle son psychique il faut savoir la rĂ©former, car elle n’échappe pas Ă  l’égocentrisme qui la sous-tend et qui l’a formĂ©, et qu’elle veut juguler peut ĂȘtre Ă  cause d’une interprĂ©tation erronĂ©e effet, le processus Ă©motionnel s’extĂ©riorise sous forme physiologique, somatique et est traitĂ© cognitivement suivant le stade d’évolution et de dĂ©veloppement de cette fonction en rĂ©organisant son schĂšme rĂ©action normale du corps qui est examinĂ© par la rĂ©flexion et rĂ©organisĂ© par elle, sa structure rĂ©flexive. La capacitĂ© d’information sensorielle accumulĂ©e modifiera la rĂ©action Ă©motionnelle dans un rapport connu/inconnu. A partir de celle-ci s’organiseront toutes constructions sociologiques, notamment celle du langage au sens le plus large, comprenant l’expression corporelle et la codification instrumentale et linguistique. L’usage de ce langage dĂ©veloppera et communiquera des concepts dont l’exactitude dĂ©pendra du degrĂ© de rĂ©duction de l’incertitude, de l’indĂ©terminĂ© et de l’indĂ©finissable. Ceci permettra la dĂ©finition comprĂ©hensible de notre propre existence relationnelle certaine maniĂšre nous domestiquons l’innĂ© primitif» en apportant une rĂ©ponse Ă  ses interrogations. Par exemple nous n’avons plus peur du tonnerre, mais nous sursautons Ă  un bruit non identifiĂ©. Mais nous lui apportons aussi des informations culturelles auxquelles il rĂ©agira instinctivement quand elles s’inscriront dans le conscient profond. Par exemple s’enlever du devant d’une voiture pour ne pas ĂȘtre Ă©crasĂ©, ou dogmatique lui dire qu’un bon indien est un indien mort ou bien l’inverse, ou pour un tireur Ă  l’arc, tirer par sensation plus efficacement que par le calcul raisonnĂ©. Quel que soit le centre de formation de l’émotion, il dĂ©clenche un processus interrogatif actif pour l’interprĂ©tation de l’évĂ©nement consĂ©quence, la traduction ou l’interprĂ©tation de ce que nous avons compris de notre existence au-delĂ  de l’égocentrisme, et leurs dĂ©finitions revĂȘt tant d’importance. Je peux mĂȘme dire d’une importance cruciale, et doit ĂȘtre sue dans sa diversitĂ©.
 et de l’instinct naturel
C’est peut-ĂȘtre pourquoi, nous sommes Ă©galement emmenĂ©s Ă  nous entre-tuer, non pas par instinct naturel », mais par construction sociologique[45], qui ont pu affecter le dĂ©veloppement de notre psychique durant l’enfance[46] et se rĂ©percuter par gĂ©nĂ©ration. Nous utilisons alors la notion d’instinct naturel [47]», pour nous dispenser ou nous justifier de ne pas toucher Ă  certains aspects de nos constructions sociales issus de nos relations sociologiques, et en admettre ses imperfections, mĂȘme quand le naturel est confondu ou assimilĂ© Ă  notre dĂ©finition conventionnelle du culturel, par mĂ©connaissance, et j’effectue une sĂ©paration de seuil, entre l’innĂ© primitif acculturĂ© issu des Ă©vĂ©nements prĂ©cĂ©dents qui c’est construit lentement tout le long de l’évolution, comme source de l’innĂ© dotĂ© de cette conscience culturalisatrice » qui est le nĂŽtre d’aujourd’hui inconscient vers le conscient, non pas pour faire des parts, mais pour faire comprendre que c’est notre intelligence qui apprĂ©cie ce qui est l’innĂ©e part le seuil minimal innĂ© primitif acculturĂ© [48] qui est la fonction innĂ©e de tuer pour se nourrir ou se protĂ©ger en tant qu’activitĂ© de soi pour soi ou pour les siens survivre. D’autre part, un seuil plus Ă©laborĂ© complĂ©tĂ© d’appris acquis culturel, dans lequel nous perpĂ©tuons les rĂ©flexes de ce que nous avons compris de l’innĂ© primitif acculturĂ©, pour toutes nos reprĂ©sentations de nouveaux modĂšles dynamiques d’organisations de notre activitĂ© aujourd’hui nous le faisons toujours, mĂȘme dans notre organisation Ă©conomique, ceci dans le but d’acquĂ©rir, de conserver ou de fabriquer la raretĂ©, quelle soit matĂ©rielle ou socioculturelle dans l’évolution de notre espĂšce, comme si la raretĂ© Ă©tait le seul corollaire de diversitĂ©, d’occurrence, de multitudes d’essais, au nom de la sĂ©lection naturelle », et qui est source, autant de progrĂšs que de pourquoi il est utile de se servir des dĂ©couvertes de la science, biologie, neurologie ou de la physique, telle La ThĂ©orie du chaos » qui met en Ă©vidence un ordre sous-jacent que nous ne pouvons pas observer de visu, et que la science Ă  mis Ă  la disposition de notre rĂ©flexion, qui nous permet d’agir sur nos constructions psychiques culturalisĂ©es. Et l’économie est une partie intĂ©grante d’une construction psychique culturelle sous-tendue par l’inconscient qui peut ĂȘtre trompĂ©, particuliĂšrement par un plan comptable, mais j’en parlerai ordre sous-jacent dont nous sommes parties intĂ©grantes, que nous l’ignorions oĂč que nous en acceptions l’hypothĂšse. Or, les rĂ©gularitĂ©s que met en Ă©vidence la thĂ©orie du chaos, ne sont pas celles que nous observons de visu quand nous regardons notre monde. Pourtant quand nous Ă©tablissons notre ordre humain qui s’est calquĂ© sur ce que l’humain a pensĂ© comprendre de son monde, sans le savoir nous concourons, sous l’aspect d’un ordre », au dĂ©sordre » le chaos dans l’ordre sous-jacent[49], dont les effets exhibent des comportements diffĂ©rents. Cela du fait de la ThĂ©orie du chaos qui indique qu’une lĂ©gĂšre modification d’un des paramĂštres quelconques d’un ensemble dĂ©voile des comportements d’une nature complĂštement les trois français Jean Chaldine, Laurent Nottale et Pierre Grou qui ont mis en Ă©vidence une loi de l’évolution[50] Ă  partir de la gĂ©omĂ©trie fractale de Mandelbrot. Cette loi prĂ©voit une Ă©volution de l’espĂšce humaine dans 800 000 mille ans. Or, cette loi repose sur des observations de l’ordre palĂ©ontologique antĂ©rieur, sur lequel, l’ordre introduit par la technologie de l’homme n’a pas encore engendrĂ© ses effets. Effets qui se sont mis en Ɠuvre que depuis cinq cents ans civilisation capitaliste industrielle. Si demain les hommes par leurs productions militaires s’irradient, l’évolution de l’espĂšce aura Ă©tĂ© trĂšs courte, mĂȘme si nous considĂ©rons qu’il s’agit d’une hypothĂšse catastrophique, elle n’en demeura pas moins le produit d’une Ă©volution, celle du cerveau de notre espĂšce. Si les hommes empoisonnent l’atmosphĂšre par leurs activitĂ©s industrielles, et qu’ils s’y adaptent physiologiquement, il y aura eu une Ă©volution anticipĂ©e. Cela parce que nous aurons modifiĂ© un des paramĂštres de notre ensemble, la quantitĂ© de CO de la justesse ou non des donnĂ©es palĂ©ontologiques, dans cette loi de l’évolution apparaĂźt, entre chaque Ă©volution quelle que soit la sĂ©rie testĂ©e, une accĂ©lĂ©ration des rythmes de renouvellement des espĂšces sĂ©riĂ©es, qui se font de plus en plus rapidement. Ce qui permet de penser que chaque successeur bĂ©nĂ©ficiant de l’apprentissage de son prĂ©dĂ©cesseur, par accumulation d’apprentissage, les successeurs suivants apparaissent plus rapidement, et cela met en Ă©vidence un phĂ©nomĂšne d’adaptation dynamique acculturĂ© liĂ© aux Ă©vĂ©nements, suivant les espĂšces ne signifie pas qu’il faille avoir peur, et retourner Ă  l’ñge de pierre, mais accĂ©lĂ©rer notre comprĂ©hension du monde par le dĂ©veloppement de l’intelligence qui accĂ©lĂ©rera notre propre pour cela que je disais, qu’ fallaient nous harmoniser » avec cet ordre sous-jacent » qu’il ne peut pas venir de l’idĂ©e humaine empirique actuelle que nous nous faisons du paradis ni de ce que nous considĂ©rons comme naturel », mais de la connaissance que nous aurons de ce que nous sommes. Et le dĂ©veloppement de l’intelligence y apportera sa si l’instinct naturel permet aux Êtres de percevoir la sensation indĂ©finissable qui les relie Ă  l’univers[51], le Savoir et la connaissance leur permet d’en cerner plus justement les contours.[52]Ainsi, dans le chaos omniprĂ©sent, stable et structurĂ©[53], nous avons introduit par notre ordre ignorant », un dĂ©sordre » qui se rĂ©percutera.
d’un Être intelligent
Notre intelligence serait-elle encore si atrophiĂ©e ou si primaire qu’il nous serait impossible de sortir de cette matĂ©rialitĂ© matĂ©rialitĂ© rĂ©elle », au sens de rĂ©s. » Ă©gale Ă  la chose ». MatĂ©rialitĂ© qui, si elle est indispensable Ă  notre survie, emprisonne aussi notre intelligence matĂ©rialisme[54] ne s’intĂ©resserait-il donc qu’à la partie matĂ©rielle de l’existence, en ignorant le spiritualisme[55], lui-mĂȘme est-il tenu d’ignorer le matĂ©rialisme, comme si chacun d’eux disposait de la vĂ©ritĂ© d’un monde sensible et non objectif ».En effet, si nous nous situons dans la logique de l’évolution de notre espĂšce, sa survivance est assurĂ©e par l’innĂ©. Elle n’a pas toujours revĂȘtu l’aspect que nous lui connaissons, ce qui signifie que l’innĂ©e gĂ©nĂ©tique est rĂ©ceptive aux acquis. Sans cela peut-ĂȘtre existerions-nous toujours sous la forme de procaryotes[56] qui vivaient sur terre, il y a plus de trois milliards d’annĂ©es. Alors ? Les procaryotes ils Ă©taient matĂ©rialistes ou spiritualistes ? Ni l’un ni l’autre ! Car si l’un des deux Ă©taient la VĂ©ritĂ© » l’autre n’existerait pas et vice-versa, pourtant l’un et l’autre nous permettrons peut-ĂȘtre de trouver le mouvement » indispensable Ă  notre Ă©volution, sous rĂ©serve que nous n’établissions pas de fausses rĂ©gularitĂ©s. Par exemple, que tout est source d’affrontements, et les fabriquer, parce nous ne savons pas comment nous y prendre pour maintenir l’émulation, la tension ou l’aiguillon qui rend imaginatif et est d’autant plus important qu’ayant compris que le biologique n’est pas soudainement ou brutalement affectĂ© par les Ă©vĂ©nements pour justifier d’une Ă©volution, s’il y a eu modification gĂ©nĂ©tique, nous pouvons considĂ©rer que des groupes cellulaires perçoivent les variations Ă©vĂ©nementielles et disposent d’un systĂšme sensoriel » autonome ou sont soumis Ă  leur Ă©volution dynamique, mais aussi qu’elle a pu se faire par transmission sensible dont la traduction se fait dans le cerveau. Ce qu’ignoraient nos ancĂȘtres qui en ont attribuĂ© une partie au divin, tout en Ă©tant des Êtres intelligents ayant saisi la distinction entre le matĂ©riel et le spirituel, sans avoir, tout comme nous, rĂ©ussi Ă  en faire une jonction, une application harmonieuse.
capable d’assumer son savoir
Pour apprĂ©cier cette innĂ©e gĂ©nĂ©tique, cet innĂ© primitif, ces lois naturelles », nous prenons communĂ©ment, faute de mieux, nos rĂ©fĂ©rences dans l’observation d’équivalence de l’existence d’espĂšces animales. Nous y trouvons toutes les formes de pratiques assurant la survie de chaque espĂšce suivant nos dĂ©finitions, le cannibalisme, le parricide, le fratricide, l’inceste, l’organisation matriarcale, patriarcale, la famille restreinte, conjugale, Ă©largie, la fidĂ©litĂ© et l’infidĂ©litĂ© conjugale, la vie individuelle, collective, la sĂ©lection du meilleur reproducteur, la prolifĂ©ration de naissance, le suicide Ă©quilibrant, l’égoĂŻsme, l’altruisme tout cela ?Serions-nous tout cela, avec en plus ce que nous ne trouvons pas chez les espĂšces animales, la glorification de s’entre-tuer et le plaisir de faire souffrir. Cette remarque anthropomorphique n’est que la dĂ©finition de concepts pensĂ©s Ă  partir de l’observation de nos propres comportements, mise en parallĂšle Ă  la vie d’autres le ou les schĂ©mas, le ou les structures qui seront les plus adaptĂ©s Ă  notre propre dĂ©veloppement seront de plus en plus confirmĂ©s par la connaissance scientifique de notre espĂšce qu’apporte le savoir biologie, neurologie, la physique atomique, quantique etc.. Sous rĂ©serve qu’à un moment de leur existence, ces scientifiques aient aussi entendu parlĂ© de la philosophie et de la littĂ©rature, ce par quoi nous accĂ©dons Ă  une fraction de la pensĂ© humaine de nos ancĂȘtres ; ce qui donne une Ăąme » Ă  notre existence et Ă  leur devrons alors, assumer la consĂ©quence de l’élargissement de notre savoir incomplet, et encore certainement nous tromper.
malgrĂ© ses erreurs
Si par idĂ©e de la morale » nous excluons des comportements innĂ©s telle la rĂ©gulation naturelle de la prolifĂ©ration de l’espĂšce » dont nous nous en faisons certainement une fausse image en la calquant sur notre observation du monde animalier. Non pas que la comparaison soit inopportune, mais nos analyses anthropomorphiques nous ont conduite Ă  bien des Ă©garements. Pourtant l’existence de cette rĂ©gulation nous impose de nous substituer Ă  l’innĂ© » du moins c’est le sentiment que nous en avons, mais je m’expliquerais plus sur cela dans un essai consacrĂ© Ă  l’image du pĂšre, ce que nous avons dĂ©jĂ  commencĂ© Ă  faire par le contrĂŽle des contrĂŽle ne peut nous paraĂźtre que de caractĂšre culturel, mĂȘme si nous pouvons estimer, que le dĂ©veloppement de cette responsabilitĂ© culturelle est issu de l’innĂ© d’oĂč nous l’avons fait surgir qui n’est autre que l’innĂ© innĂ© primitif ancrĂ© en nous pour assurer la sauvegarde du dĂ©veloppement de notre espĂšce et sa mutation, face aux Ă©checs et aux erreurs de jugement de valeur que nous ne manquerons pas de commettre en assumant la responsabilitĂ© de gĂ©rer » ce dĂ©veloppement, comme autant d’essais qu’il rester dans l’exemple de la rĂ©gulation de la population, ce n’est pas tant son nombre qui pose un problĂšme aujourd’hui que le rapport entre son nombre, et son aptitude Ă  produire et Ă©vacuer ses dĂ©chets. DĂ©chets qui sont les consĂ©quences Ă©cologiques du besoin d’assurer notre subsistance et notre existence, en fonction des techniques que nous mettons en effet, si nous devions vivre Ă  partir des seuls moyens primitifs, la cueillette et la chasse, compte tenu de la population actuelle, notre planĂšte serait un dĂ©sert et la famine nous n’en demeurons pas moins toujours soumis Ă  une analyse malthusienne, n’osant imaginer d’autres formes de nourriture, tant sa production naturelle » est partie intĂ©grante d’un rythme sociobiologique »,[57] et d’un statut ce, mĂȘme si cette production alimentaire Ă©levĂ©e au rang d’art gastronomique ou de mode dans les pays riches y tue par excĂšs et par pĂ©nurie Ă©lĂ©mentaire dans d’autres, malgrĂ© les prouesses que nous permet la chimie molĂ©culaire ou la nous prĂ©fĂ©rons mourir d’un cholestĂ©rol que nous connaissons, et voir d’autres mourir d’une famine saine», plutĂŽt que de faire face aux risques de produits, dit artificiel ou aux risques gĂ©nĂ©tiques inconnus. Ceci, plus parce que nous avons aussi des scientifiques qui n’ont jamais entendu parlĂ© de philo ou de littĂ©rature, et encore moins de condition humaine si elle ne ressemble pas Ă  un dollar. Naturellement le risque zĂ©ro n'existe pas, et il est de plus en plus mal espĂ©rĂ© par les hommes, donnant lieu Ă  des polĂ©miques sur les responsabilitĂ©s, parce que les hommes se sont illusionnĂ©s autour du progrĂšs technique et scientifique croyant que grĂące Ă  lui tous les problĂšmes peuvent ĂȘtre Ă©vitĂ©s, encouragĂ©s en cela par leurs promoteurs Ă©conomiques et politiques, confortĂ© par notre sournois dĂ©sir latent de ne pas vouloir pour cela que l’usage de certaines dĂ©couvertes de la science ne peut ĂȘtre laissĂ©e au seul domaine marchant mĂȘme, si le contrĂŽle citoyen n’est pas une garantie en soi, du fait de leurs compĂ©tences limitĂ©es et d’une espĂ©rance parfois nous trouvons donc sous la double problĂ©matique de laisser Ă  un domaine marchant, dont le but affichĂ© est le profit, l’usage de dĂ©couvertes sensibles, et en mĂȘme temps nous demandons Ă  ces mĂȘmes dĂ©couvreurs et producteurs de nous garantir dans l’absolu le risque zĂ©ro ; ensuite nous leur demandons de devoir nourrir une population grandissante que nous cherchons Ă  rĂ©guler et qui exige toujours plus de nourriture, en mĂȘme temps que la nourriture naturelle » se rarĂ©fie. Pourtant malgrĂ© les risques scientifiques l’erreur critiquable est de disposer de la capacitĂ© de nourrir la population et de considĂ©rer qu’elle est trop nombreuse, non par rapport Ă  notre capacitĂ© productrice, mais par rapport Ă  la circulation des disponibilitĂ©s financiĂšres qui voudront bien s’investir dans ce si nous considĂ©rons encore comme Malthus que des hommes ne doivent pas ĂȘtre invitĂ©s au banquet, c’est moins par absence de nourriture que des profits qui ne peuvent se rĂ©aliser sur sa production, et de ce fait nous gĂ©rons notre rĂ©gulation sur des critĂšres de rapports financiers
comme Malthus n’avait pas su extrapoler les consĂ©quences de la technologie de son Ă©poque, nous, nous avons peur de la nĂŽtre, et nous en connaissons les raisons. Bien que nous n’en finirons jamais dans la dĂ©finition de ce qui est normal ou pas, naturel ou pas » si nous n’accordons pas plus d’importance Ă  la rĂ©flexion intellectuelle. Cette rĂ©flexion intellectuelle peut ĂȘtre utilisĂ©e pour examiner nos comportements face Ă  l’accroissement de la connaissance de notre espĂšce et des mĂ©canismes Ă©motionnels qui assurent son dĂ©veloppement et qui la pousse Ă  se gaver » et exiger toujours plus de nourriture » au sens gĂ©nĂ©rique biens et services en fonction d’une construction psychique qui boulimise ».Cette intelligence en rĂ©amĂ©nageant nos schĂ©mas, engendrant tant de paradoxes, devrait nous permettre de ne pas recommencer les erreurs de Malthus en justifiant l’exclusion de celui qui est en trop Ă  notre table, mĂȘme s’il vient un jour oĂč il aura eu raison, car la planĂšte n’est pas - Face Ă  la sĂ©lection naturelle, Ă  l’exclusion, et Ă  la production de nos maux qui ne sont pas Ă  la sĂ©lection naturelle » Depuis longtemps, la sĂ©lection naturelle » Ă  laquelle nous nous rĂ©fĂ©rons si souvent, en ayant Ă  l’esprit celle de certaines espĂšces d’oĂč Ă©mane un dominant rĂ©fĂ©rentiel guide ou meilleur reproducteur, n’existe plus Ă  notre regard dans la plus part de nos structures sociales affectĂ©es par le culturel ».Nous pouvons estimer quelle s’est Ă©tiolĂ©e, Ă  partir de l’instant oĂč l’humain s’est dotĂ© de sa reprĂ©sentation qui a dĂ©fini des organisations sociales basĂ©es sur la morale » sacrĂ©e ou profane, et ensuite des d’outils pour produire et s’entre-tuer qui ont permis Ă  certains d’accĂ©der au rĂŽle de guide divin ou d’élu de cette nos organisations fluctuent constamment entre l’ordre et le dĂ©sordre pour prĂ©server l’espĂšce de tous schĂ©mas qui se sclĂ©roseraient, cela conduit Ă  ce que se substitue Ă  un fait social un autre fait social qui devient Ă  son tour majoritaire, cela sous la direction d’un rĂ©fĂ©rant, mystique, idĂ©ologique, structurel ou utopique. Donc l’absence de dominant rĂ©fĂ©rentiel permettra aux moins aptes, en utilisant les structures organisationnelles d’accĂ©der au pouvoir. Structure organisationnelle qui gĂ©nĂšre ce que j’ai appelĂ© les dominants systĂ©miques » et que je traiterai dans l’essai sur les des rois de France en fourmille d’exemples, et notre monde contemporain en est si nous devons accepter l’idĂ©e que celui que je qualifie d’inapte dans les organisations dĂ©mocratiques est notre propre reflet, uniquement parce qu’il est la reprĂ©sentation de la majoritĂ© de ceux qui l’ont Ă©lu. Nous pouvons le constater quand le dĂ©bat politique se situe au-dessous de la ceinture ou a l’odeur d’excrĂ©ment, je vous laisse en tirer les fut parfois le cas des formules populistes qui, si elles peuvent ĂȘtre aptes Ă  soulever des besoins, et ĂȘtre le reflet d’une opinion publique, fabriquent aussi du fascisme et l’intolĂ©rance sĂ©lection naturelle » populaire n’est donc que le rĂ©sultat produit par nos organisations sociales systĂ©miques[58], puisque nous avons refoulĂ© certains de nos comportements, correspondant Ă  une sĂ©lection primitive culturelle[59] », comme asociaux. Nous ne dĂ©veloppons donc pour notre comprĂ©hension qu’une sĂ©lection culturelle systĂ©mique phagocytaire par le fait social, phagocytaire parce qu’elle ne recherche pas le dĂ©bat, mais l’absorption, la destruction de ce qui ne correspond pas Ă  l’unicitĂ© de sa construction, qu’elle soit mystique, idĂ©ologique, structurelle ou utopique. Il est bien donc difficile de dĂ©terminer ce qui est objet de la sĂ©lection naturelle, de ce qui est la rĂ©ponse de cette sĂ©lection naturelle qui se recompose sans limite par les fantasmes, comme une rĂ©ponse pour outrepasser les interdits culturels qui lui font obstacles, et qui en gĂ©nĂšrent certains qui vont bien au-delĂ  de ce que la sĂ©lection naturelle permettrait. Afin d’en avoir une idĂ©e, pour toutes mesures il ne nous reste comme rĂ©fĂ©rence que les fonctions propres de nos organes, tout en sachant qui peuvent rĂ©pondre Ă  des usages pour lesquels ils n’étaient pas conçus dans le cadre de l’évolution, et ĂȘtre destinĂ©s Ă  des fins culturelles que nous leur assignons qui se pĂ©renniseront ou bien que quand nous disposons des moyens de crĂ©er l’abondance et que nous maintenons l’exclusion quels qu’en soient les justifications, nous sommes dans le mythe de la sĂ©lection naturelle ». Nous sommes dans la culture idĂ©ologique de l’individualisme[60], car elle conduit des hommes qui vivent au quotidien les uns des autres Ă  dĂ©nier leur intĂ©rĂȘt communautaire et leur laisser entrevoir une finalitĂ© humaine qui serait la recherche de l’individualisme, parce que enfin ultime nous sommes dotĂ©s des attributs du monde du vivant pour survivre envers et contre tous.
à l’exclusion
Je prendrais l’exemple des citĂ©s dites difficiles. L’exclusion, Ă©conomique et xĂ©nophobe, qui s’appliquent Ă  certaines personnes de la population, les pousseraient Ă  la nĂ©vrose, et au-delĂ  au suicide, si elles Ă©taient individuellement isolĂ©es. Si ces personnes survivent, c’est parce qu’elles se sont regroupĂ©es dans des zones, oĂč elles y dĂ©veloppent une communautĂ© d’exclus Ă©difiants leurs propres rĂšgles, assurant ainsi leur quand des responsables politiques nous demandent ou pas, de remettre en cause les raisons qui les y ont conduite, l’absence de ressources, et la reconnaissance de leur diffĂ©rence culturelle pour certains, par regroupement communautaire, intĂ©gration, etc., nous nous y refusons inconsciemment ou non. Nous prĂ©fĂ©rons ne regarder que les manquements Ă  l’ordre Ă©tabli et employer la rĂ©pression policiĂšre plutĂŽt que faire appel Ă  une » politique budgĂ©taire, que nous avons limitĂ© communautairement Ă  3%, qui permettrait d’élaborer les ponts nĂ©cessaires aux confrontations culturelles ethniques. Quand nous savons qu’il faut deux ou trois gĂ©nĂ©rations pour une acculturation. Cette politique restreint ainsi notre action sociale et Ă©conomique en direction de ces zones, et nous croyons que les structures libĂ©rales » qui ont créé ces exclus vont y remĂ©dier, ou bien nous imaginons que c’est parce ses membres seront rĂ©partis individuellement dans le groupe, qu’ils ne seront pas isolĂ©s pour autant, Ă©conomiquement ou par la nous n’avons pas compris que dans la sociĂ©tĂ© riche du consumĂ©risme actuel l’identification s’effectue par sa propension Ă  consommer, par le statut social qu’offre le travail, et que nous refusons aux exclus cette nous n’avons pas compris que la variation d’un Ă©lĂ©ment de notre ensemble se rĂ©percute inĂ©vitablement en gĂ©nĂ©rant des dĂ©veloppements inattendus, de telle maniĂšre que les exclus exhiberont des modifications[61] dans l’organisation de l’ensemble d’une population ; alors nous ferons de nos Ă©lus des inaptes que nous accableront de nos propres turpitudes, et nous rechercherons une rĂ©ponse policiĂšre Ă  un problĂšme socio-Ă©conomique qui se confondra avec le maintien de l’ordre public, voire engendrera l’autoritarisme, le totalitarisme et au pire le l’exemple choisi, la rĂ©pression policiĂšre n’y changera rien, sauf Ă  accroĂźtre la frustration si nous conservons encore Ă  l’esprit que la morale » institutionnelle, familiale, religieuse, scolaire, a pour but de faire accepter la misĂšre et la pauvretĂ©, et nous cacher de nos propres responsabilitĂ©s d’acteurs sociaux.
et Ă  la production de nos maux
Il en rĂ©sulte que faute dapporter une rĂ©ponse socio-Ă©conomique, nous fabriquons des dĂ©linquants et des criminels. Plus actuel, nous sommes en passe de crĂ©er des criminels de la effet l’évolution des performances mĂ©caniques fait de nos vĂ©hicules des machines fiables rĂ©pondant Ă  un dĂ©sir d’accĂ©lĂ©ration qui dĂ©coule de nos structures sociales dans lesquelles nous y vivons pressĂ©s, qu’illustre correctement l’idiome le temps c’est de l’argent. » Il n’est donc pas anormal de retrouver ce besoin de vitesse quand nous sommes au volant d’un vĂ©hicule, dont la vitesse et la puissance leurs performances sont un argument de vente incitatif, et dont les dites performances sont de moins en moins perceptibles dans la conduite de ces vĂ©hicules grĂące au confort de conduite. Or notre rĂ©seau routier hors auto route date d’époques oĂč il n’y avait que des chevaux et une circulation restreinte de vĂ©hicule peu rapide. Faute d’avoir pu adapter le rĂ©seau routier au nombre et Ă  la vitesse des vĂ©hicules d’aujourd’hui, ou la vitesse des vĂ©hicules Ă  celles du rĂ©seau, nous avons accru la lĂ©gislation routiĂšre, imposant ainsi de plus en plus de contraintes. Naturellement, il aurait Ă©tĂ© plus facile de demander aux constructeurs de rĂ©duire la vitesse de leur vĂ©hicule, mais cela ne convenait pas aux besoins de consommation qui ont Ă©tĂ© un support du dĂ©veloppement de l’industrie automobile, et la mise aux normes d’un rĂ©seau routier appropriĂ©, n’aurait pu soutenir le rythme des innovations technologiques des vĂ©hicules en matiĂšre de vitesse. De telle maniĂšre que pour faire face Ă  cette Ă©volution gĂ©nĂ©ratrice d’accidents nous rĂ©glementons jusque dans les comportements sociaux. Comportements sociaux qui sont mis en exergue dans d’autres champs de nos activitĂ©s ou loisirs comme qualitĂ© vitesse par exemple, on veut que tout aille et se face rapidement, et qui deviennent synonyme de dangerositĂ© au volant d’un vĂ©hicule. Pour ne prendre que le plus rĂ©pandu, l’alcoolĂ©mie, nous incitons Ă  consommer par raisons culturelles, Ă©conomique, par sa fonction dĂ©s inhibitrice conviviale, et nous l’interdisons avec de justes raisons au volant d’un vĂ©hicule, par des campagnes d’informations qui sensibilisent, mais Ă©galement cristallisent l’opinion quelles que soient les mesures de rĂ©torsion qui pourront ĂȘtre prises ou d’appel Ă  la responsabilitĂ© ou amĂ©nagements techniques routiers et autres pour rĂ©duire les accidents, il existera toujours un nombre de concordances d’évĂ©nements qui conduiront Ă  des accidents mortels, non par fatalisme, mais par occurrence, suivant en cela la rĂšgle des probabilitĂ©s ; qui indique que les Ă©vĂ©nements sont dĂ©terminĂ©s par ceux qui les prĂ©cĂ©dent, et que forcĂ©ment leur conjonction produira l’évĂ©nement tant que ceux qui le prĂ©cĂ©dent existeront. Et toutes actions menĂ©es dans le sens de leurs rĂ©ductions feront apparaĂźtre ceux qui subsisteront comme intolĂ©rables. De telle maniĂšre que, parce que leur nombre d’accidents se rĂ©duira nous aurons tendance Ă  juger criminels ceux qui subsisteront. Ainsi, autour de l’émotion mĂ©diatique que les accidents de la route suscitent, nous sommes en passe de dĂ©finir un statut du criminel de la route par facilitĂ©, en pensant que faire passer une infraction de dĂ©lit Ă  crime fera disparaĂźtre les occurrences que nous avons consiste Ă  avoir une demande de vĂ©hicules qui roulent de plus en plus vite, et s’interdire d’utiliser leur puissance parce que nous n’avons pas créé les infrastructures adĂ©quates. Pour que les rĂšgles de la circulation routiĂšre soient respectĂ©es d’une maniĂšre quasi instinctive il faudrait qu’elles s’inscrivent dans le conscient profond. Alors, si nous voulons rĂ©duire les nuisances liĂ©es Ă  l’utilisation des vĂ©hicules, c’est la demande qu’il faudrait modifier, sommes-nous prĂȘt pour le faire ?Pour l’instant nous avons fait le choix de la criminalisation ; sous la pression complexe d’une part des familles de victimes avec de comprĂ©hensibles raisons, ensuite des campagnes mĂ©diatiquo-politiquo-socios affectives » Ă©lectoralistes » et de l’hypocrisie des constructeurs qui se dĂ©chargent sur la responsabilitĂ© des citoyens. Citoyens qui eux mĂȘme prĂ©fĂšrent criminaliser certains d’entre eux, comme si c’était une condition qui allait de soi, plutĂŽt que de remettre en cause la construction automobile et la globalitĂ© des moyens de transports. Et pour ĂȘtre cruel jusqu’au bout du raisonnement, s’il Ă©tait envisageable d’interdire l’alcool, des technocrates Ă©valueraient les profits Ă©conomiques qu’ils rapportent et les emplois qu’ils induisent, face au coup des pertes de vie qu’ils causent. Ainsi l’on ne peut pas sous le coup d’une Ă©motion terrible se laisser aller Ă  qualifier de criminel n’importe lequel de nos comportements, mĂȘme s’il faut revoir nos activitĂ©s Ă  risques mortelImaginer seulement un instant que le tabac tombe sous le coup de la lĂ©gislation de la drogue. Les fumeurs deviendraient des dĂ©linquants, les fabricants et les revendeurs des criminels. C’est un pas que n’ont pas osĂ© franchir les AmĂ©ricains, se contentant d’indemnisations, parce qu’il y a des millions de gens qui fument, et qu’ils ne sont pas encore assez fou dans leur jugement pour si auto proclamer criminel, mais ils n’hĂ©siteraient pas Ă  le faire s’il s’agissait d’une ces rĂ©flexions n'ĂŽtent rien Ă  la souffrance des victimes auxquelles il ne peut ĂȘtre demander de raisonner quand leur souffrance Ă©motionnelle rĂ©clame ceci peut nous faire comprendre que l’évolution technologique et scientifique de ces cinquante derniĂšres annĂ©es ont bousculĂ© des structures sociales qui ne leur sont plus adaptĂ©es. Ces Ă©volutions n’ont pu ĂȘtre encore intĂ©grĂ©es dans les structures et dans l’acquis culturel par toutes les gĂ©nĂ©rations, et la rĂ©fĂ©rence Ă  certaines lois empiriques» et valeurs traditionnelles Ă©cole, famille, religions, patrie ne nous sont d’aucun recours, lĂ , oĂč doit se dĂ©velopper la rĂ©flexion et la insuffisances des lieux de repĂšres traditionnels sont ressenties comme un effondrement, lĂ , oĂč il ne s’agit que d’une transformation trop rapide de valeurs qui s’adaptent Ă  l’évolution des structures sociales et Ă©conomiques, mĂȘme si certaines, comme dans l’enseignement, laissent Ă  dĂ©sirer ou aggrave la rĂ©fĂ©rence de l’école. Transformation socioĂ©conomique particuliĂšrement par la double reprĂ©sentation hiĂ©rarchie de l’image du pĂšre » qui peut ĂȘtre exercĂ©e par la mĂšre » qui a acquise une autonomie. Sauf pour ceux qui les utilisent pour justifier ou maintenir leurs vues intĂ©gristes ou qui proposent seulement Ă  la place de la rĂ©flexion Ă©ducative devant la complexitĂ© croissante, l’action judiciaire et policiĂšre. Actions judiciaires et policiĂšres qui indiquent que nous fabriquons de plus en plus de consĂ©quence, Ă©tant les producteurs de nos maux il nous est indispensable d’en connaĂźtre les raisons quand nous devons les apprĂ©hender, et comprendre qu’ils ne sont pas inĂ©vitables.
qui ne sont pas inĂ©vitables !C’est peut-ĂȘtre Ă©galement pourquoi aussi, la vulgarisation de la connaissance des lois gĂ©nĂ©riques fondamentales connues aujourd’hui serait de nature Ă  faire franchir un nouveau seuil Ă  l’acquis culturel » notre capacitĂ© innovante, en rĂ©duisant les Ă©vĂ©nements qui mettent en exergue notre capacitĂ© Ă  nous auto dĂ©truire, anticipant sottement une fin programmĂ©e. Mais pour cela, il faudra peut-ĂȘtre repenser l’enseignement, et y intĂ©grer assez tĂŽt ce qui est devenu une affaire de spĂ©cialistes, la sociologie et la psychologie, et d’autres ; mais surtout revenir Ă  une formation gĂ©nĂ©raliste solide qui puisse permettre la comprĂ©hension de disciplines plus dures dont on ne pourra pas faire l’économie si l’on veut s’assurer d’une progression intellectuelle. Pour l’instant ce n’est pas ce choix qui a Ă©tait fait. Il ne faut pas pour autant imaginer que cela nous dispensera de l’effort et de l’envie de la rĂ©flexion tant notre existence est complexe. Alors peut ĂȘtre en prenant conscience grĂące au savoir qu’il n’y a pas de fatalitĂ© mais seulement des conjonctions d’évĂ©nements, nous rĂ©duiront nos maux qui sont en augmentations exponentielles. Des conjonctions d’évĂ©nements qui ont gĂ©nĂ©rĂ© ce que je prĂ©sente comme image gĂ©nĂ©rale de notre monde dans les paragraphes qui conjonctions d’évĂ©nements dont nous sommes seulement les acteurs d’une piĂšce collective, car mĂȘme quand nous nous considĂ©rons en ĂȘtre les auteurs individuels crĂ©atifs » nous le devons aux conjonctions Ă©vĂ©nementielles prĂ©cĂ©dentes. Ceci, limite de fait cette obsession de la responsabilitĂ© totale de l’individu Ă  laquelle nous tenons tant, parce que nous ne pouvons pas mettre en prisons l’évĂ©nement culturel en soi», et encore moins la thĂ©orie sur les probabilitĂ©s. Et lĂ , oĂč la connaissance de la genĂšse des Ă©vĂ©nements devrait nous conduire Ă  une rĂ©flexion conciliatrice rĂ©paratrice, nous dĂ©veloppons les pulsions et passions Ă©motionnelles source d’ de nos maux ne sont donc pas inĂ©vitables pour peu que l’on veuille s’instruise de leur genĂšse qu’il faut dĂ©couvrir dans un ensemble oĂč l’espace est occupĂ© par les possĂ©dants7 – Perdu au milieu d’un ensemble allant, du clan Ă  l’État et au clan financier, dans un espace occupĂ© par les possĂ©dantsPerdu au milieu d’un ensemble allant du clan Ă  l’État et au retour au clan financier
Cependant rĂ©duire nos maux c’est une voie plus que difficile dans la rĂ©alitĂ© que nous cours de son Ă©volution, l’Homme s’est sĂ©dentarisĂ© dans des espaces dĂ©limitĂ©s Ă  la mesure de ses besoins Ă©conomiques, et de son esprit » conquĂ©rant, le clan, la tribu, l’État. Aussi dramatique que soit son histoire Humaine », ce besoin demeure vivace, et se manifeste encore aujourd’hui par des luttes concurrentielles, dont certaines Ă  visĂ©es monopolistiques, les deux allant parfois de concert, ou parfois encore, dans des conflits territoriaux espace culturel et politique, qui donnent le plus souvent des confrontations dominatrices par l’accumulation de puissance militaire, Ă©conomique ou financiĂšre, Ă  l’échelle la puissance militaire demeure l’apanage des États, la puissance, Ă©conomique ou financiĂšre, ou les deux Ă  la fois, peuvent ĂȘtre dĂ©tenues par des particuliers, qui de ce fait confĂšrent Ă  certains d’entre eux, plus de puissance que beaucoup d’États[62], et qui peuvent ĂȘtre regardĂ©s dans l’ensemble comme des clans la sorte un Homme peut dans un tel ensemble se sentir perdu et renoncer.
 dans un espace occupé D’autant plus qu’il naĂźt dans un espace occupĂ©. Dans sa sĂ©dentarisation, l’homme s’est appropriĂ© la planĂšte. Il y a dĂ©fini des rĂšgles propriĂ©tales » arbitraires, Ă  tel point qu’à l’extĂ©rieur des communautĂ©s humaines, aucun espace disponible n’existe, pour qu’un Etre puisse s’y dĂ©velopper. Ces rĂšgles modifient en cela l’interdĂ©pendance de l’individu et du groupe, des groupes entre eux, et la circulation d’individus d’un groupe Ă  un autre par opposition au nomadisme dans un espace libre.Ainsi, c’est de son habiletĂ© Ă  ordonner cette interactivitĂ©, Ă  rĂ©guler la sĂ©lection naturelle culturalisĂ©e» pour l’accession aux ressources des diffĂ©rents groupes, que surgiront ou non des possĂ©dants, des exclus et nos maux.
par des possĂ©dants sans limites. En façonnant son espace, l’homme a dĂ©couvert des matiĂšres premiĂšres, et a créé des matĂ©riels et matĂ©riaux, sources de mieux ĂȘtre, eux-mĂȘmes enviables pour plus de bien ĂȘtre, tel le machinisme, dont il retire au-delĂ , plus de considĂ©rations, de puissances, d’autoritĂ©s pour s’affirmer individuellement ou le sens de la possession, il en a Ă©tendu sa pratique Ă  tout bien matĂ©riel ou non culture, Ă©levage, domestication animale, services. Également Ă  sa propre espĂšce, en s’assujettissant et s’esclavagisant », pour se contenir dans une organisation mercantile puis monĂ©tariste, et consumĂ©riste en dehors de laquelle n’apparaĂźt pas d’autres possibilitĂ©s de croissance, que la production exponentielle in fine de biens et les biens et services sont devenus le dĂ©nominateur commun de richesses, qui repose sur un capital confiance et de – Sur quoi repose cette richesse, si ce n’est sur un capital confiance ou une crĂ©dulitĂ©, dans un puzzle infini de contraintesSur quoi repose cette richesse, si ce n’est sur un capital confiance ou une crĂ©dulitĂ© 
Son intelligence a permis Ă  l’homme de dĂ©couvrir des mĂ©canismes de la connaissance de soi, comme celle de son Univers. Au passage, il crĂ©a des sociĂ©tĂ©s mystiques, dĂ©montrant s’il le fallait, que d’un concept paraissant dĂ©nuĂ© de rĂ©alité» peuvent jaillir des organisations sociales durables, et des courants de pensĂ©es omniprĂ©sents, mettant en exergue l’indispensable capital confiance ou crĂ©dulitĂ© suivant les circonstances. Bien que ce que nous appelons mystique ne soit que la perception d’une appartenance concrĂšte Ă  un ensemble dont nous ne pouvons donner une juste dĂ©finition autrement que par des schĂ©mas abstraits mal dĂ©finis, souvent invalidant d’absolutisme, du fait mĂȘme de l’Être inachevĂ© que nous sommes qui se bonifiera ou disparaĂźtra dans la logique de l’évolution. Bien que le mysticisme ne soit que la piĂštre dĂ©finition de la comprĂ©hension d’un Être intelligent, qui Ă  un moment de son histoire en prenant conscience de la mort, a du vouloir exercer un contrĂŽle sur les rĂ©gularitĂ©s qu’il devait observer y conduire, et qui pouvaient n’ĂȘtre que la sĂ©lection naturelle de toute espĂšce vivante, qu’il a bornĂ© d’interdits ?Un mysticisme qui se recompose par les sciences, et nous passera de la crĂ©dule confiance Ă  la confiance mesurĂ©e sur la route conduisant Ă  l’hominisation.
 dans un puzzle de comportements naturels » en concepts dits irrĂ©els, l’homme s’est construit un monde de connaissance et de savoir, oĂč cohabitent apparemment » des le mĂȘme temps, la connaissance approfondie, le savoir grandissant, les ressources surabondantes, les idĂ©aux et courants de pensĂ©es multiples ont complexifiĂ© l’organisation et la comprĂ©hension du analogie, notre monde ressemblerait Ă  un puzzle en expansion oĂč chaque piĂšce se renouvelle, se multiplie, varie de forme, de couleur, de place, et modĂšlerait une image sans cesse changeante. Un puzzle que nous n’avons aucune chance de lire dans son ensemble par notre seul regard, et mĂȘme si nous nous situions dans une position hypothĂ©tique d’observateur, nous ne pourrions observer et comprendre que le passĂ©, car le temps de dĂ©coder ce que nous observons, l’image que nous dĂ©finissons n’existe plus. Si bien que l’étroitesse de notre regard ne nous permet d’exister que par dĂ©faut tout en Ă©tant partie intĂ©grante du monde objectif. Monde objectif que nous devons percevoir par nos sens, et c’est cet apparent paradoxe qui a certainement donnĂ© naissance Ă  la rĂ©currente querelle des matĂ©rialistes et des toute cette complexitĂ© peut ĂȘtre formulĂ©e par des rĂšgles mathĂ©matiques, qui sans ĂȘtre absolues, rĂ©duisent l’incertitude des probabilitĂ©s dans la survenance d’un Ă©vĂ©nement, et elles nous ont ouvert la porte Ă  ce que nous ne voyons pas.
 de comme hier, le ou les dominants demeurent, le ou les possesseurs des ressources Ă©conomiques, et ceci indĂ©pendamment des moyens pour y parvenir, qui vont de la force brute Ă  l’intelligence la plus subtile. Je pense Ă  toutes les conquĂȘtes territoriales, comme Ă  toutes les unions et alliances d’intĂ©rĂȘts d’hier, et aux concentrations et fusions d’aujourd’ que soient les visages multiples et Ă©phĂ©mĂšres qu’ils revĂȘtent, qu’ils soient personnifiĂ©s, institutionnalisĂ©s ou thĂ©orisĂ©s, leurs pouvoirs rĂ©sultent de l’action contraignante exercĂ©e sur le ou les groupes exemple, la Bible relate que le Seigneur a mis toutes choses au service des hommes. Cette contrainte, pour ceux qui l’acceptent, leur retire la paternitĂ© de toutes leurs innovations, puisque le postulat Ă©noncĂ© sous-entend qu’elles ne peuvent l’ĂȘtre que grĂące Ă  la bienveillance du Seigneur. Dans cet exemple, le dominant Dieu est irrĂ©el, et se manifeste par la confiance accordĂ©e Ă  un postulat. Dans celui des thĂ©ories monĂ©taires, c’est la masse des capitaux qui influencent ou contestent les dĂ©cisions politiques les contraint, par ex FMI, fuite des capitaux et repose Ă©galement sur la confiance accordĂ©e Ă  un systĂšme tout aussi irrĂ©el et fictif qu’un dieu, la monnaie, cela dans un parcours qui fut long, Ă  l’image de l’organisation du temps 5000 ans. Temps, dont il est impensable dans nos sociĂ©tĂ©s productivistes de ne pas d’évoquer, puisqu’il est aussi structurant qu’un livre d’histoire ou de – Un puzzle dans lequel il existe deux constantes incontournables d’une rĂ©alitĂ© » persistante mise en Ă©vidence depuis puzzle dans lequel il existe deux constantes incontournables
Toutefois, l’homme a dĂ» gĂ©rer deux constantes Le temps qui s’écoule ou la vie qui passe nous a conduit Ă  des innovations de mesures. Une des premiĂšres mesures de temps connus sera le nilomĂštre » chez les Égyptiens. Ils mesuraient les crues annuelles du Nil. Ensuite ils mirent en place l’annĂ©e du Nil » de 360 + 5 j, 4241 avant Puis, viennent d’autres instruments de conservation de l’heure, du clepsydre » au cadran solaire et horloges Ă  Ă©chappement, jusqu’à notre montre actuelle. Ensuite il a fallu passer des heures locales Ă  une rĂ©fĂ©rence universelle, ce sont les 24 fuseaux horaires qui divisent le globe, issus d’une proposition canadienne, et dont le mĂ©ridien rĂ©fĂ©rence de Greenwich sert de base de dĂ©part. La France y adhĂšre le 9 mars l’observation de la lune et du soleil, l’Homme en a tirĂ© la notion de mois et d’annĂ©es. Ensuite, il a dĂ©comptĂ© le temps en semaines inĂ©gales, au grĂ© des croyances il a Ă©tĂ© dĂ©couvert au moins quinze façons de regrouper les jours par paquets » de cinq Ă  dix[63]. C’est ainsi que notre semaine est d’origine romaine et astrale dimanche / soleil, lundi / lune, mardi / mars, mercredi / mercure, jeudi / Jupiter, vendredi / vĂ©nus, samedi / saturne. Un autre Ă©vĂ©nement participe Ă  l’utilisation optimale du temps, la lumiĂšre. Du flambeau Ă  la bougie et Ă  l’éclairage tel que nous le connaissons, elle permet l’utilisation de la pĂ©riode nocturne pour toute temps ainsi segmentĂ©, aprĂšs 5000 ans et plus de tergiversations, scande notre existence. Il est devenu un Ă©lĂ©ment fondateur de notre Ă©conomie productiviste ce que nous pouvons faire dans un temps donnĂ©, mais aussi un sujet important de controverse dans l’utilisation de sa rĂ©partition par les hommes travail / repos, mĂȘme s’il s’agit du temps conventionnel. Si fondateur, que donner l’heure » est devenu aussi banal que de boire, comme si elle Ă©tait apparue Le renouvellement de l’espĂšce, par la gestion de l’accroissement de la population, au travers de directives religieuses multipliez-vous et peuplez toute la terre[64], puis toujours au travers de politique de natalitĂ© ou dĂ©natalitĂ©, et de migration en fonction des structurations socio-Ă©conomique, et des limites territoriales des États. De maniĂšre que la pensĂ©e Malthusienne dans ce domaine soit devenue une rĂ©fĂ©rence indicative la mort et la fĂ©conditĂ© sont deux constantes incontournables de la rĂ©alitĂ© de hier et d’aujourd’hui qui ont gĂ©nĂ©rĂ© des rĂ©fĂ©rences structurantes.
 d’une rĂ©alitĂ© persistante
Je peux ici rappeler la pensĂ©e Malthusienne, Un homme qui nĂ© dans un monde dĂ©jĂ  occupĂ©, s’il ne peut obtenir de ses parents la substance, et si la sociĂ©tĂ© n’a pas besoin de son travail, n’a aucun droit de rĂ©clamer la plus petite portion de nourriture, et en fait, il est de trop. Au grand banquet de la nature, il n’y a pas de couverts mis pour lui. Elle lui commande de s’en aller, et elle met ses ordres Ă  exĂ©cution, s’il ne peut recourir Ă  la compassion de quelques convives du banquet[65] ». En partant simplement de l’observation de la nature si nous sommes bien convaincus des maux qu’entraĂźnent un excĂšs de population
. Je ne vois pas comment un homme qui base sa morale sur le principe de l’utilitĂ© peut Ă©chapper Ă  la conclusion que la contrainte morale ou abstention du mariage est pour nous un devoir jusqu’au moment oĂč nous sommes en mesure d’entretenir une famille »[66].Pour ceux que cela choque, qu’ils me disent si dans leur quotidien ils n’ont jamais entendu dire Une guerre rĂ©glerait le problĂšme du chĂŽmage », il faudrait une bonne guerre » ou pour me marier j’attends de trouver un emploi stable », ce n’est pas tout d’avoir des enfants, il faut pouvoir les Ă©lever », etc. Si l’occident a souvent menĂ© une politique nataliste et migratoire, d’autres faisaient leur la pensĂ© Malthusienne.
 mise en Ă©vidence depuis rĂ©alitĂ© de la pensĂ© malthusienne Ă  trouvĂ© son Ă©vidence en Inde en fonction des rĂ©alitĂ©s de l’époque. C’est ainsi qu’en Inde et en Chine depuis 1950, sont menĂ©es des politiques de planification familiale anti-natalistes, allant de la simple incitation avantages sociaux aux familles acceptants de limiter leurs naissances, Ă  la dissuasion, voire la contrainte campagnes de stĂ©rilisation forcĂ©e, menace de prison, nombre et choix du sexe de l’enfant. Ceci pour rappeler la prĂ©occupation constante de la nĂ©cessaire apprĂ©ciation de l’évolution dĂ©mographique de notre espĂšce qui engendre la maĂźtrise de ses sources nourriciĂšres et ces deux constantes de nos vies sont des rĂ©alitĂ©s pesantes dont aujourd’hui l’utilisation infinitĂ©simal du temps et la fĂ©conditĂ© globale croissante modifient nos existences et engagent l’avenir – Avenir qu’il faudra bĂątir de compassion pour affronter les peurs au-delĂ  de nos certitudes, dans une dynamique progressiste pour se rĂ©partir le temps, vers une dynamique de temps qu’il faudra bĂątir de compassion
Nous sommes lĂ , avec Malthus 1766/1834, en pleine interprĂ©tation de l’innĂ© primitif, comme objectivation de ce que nous nommons les lois naturelles », reportĂ© Ă  l’examen de l’accroissement des populations, par une observation en un instant donnĂ© de l’histoire humaine qu’il effet, en 1800, il y avait 954 millions d’humains[67] aujourd’hui nous sommes 6 milliards. Comme quoi quand nous nous rĂ©fĂ©rons aux lois naturelles », il est utile de les interprĂ©ter avec une certaine prudence ! D’une part parce que nous n’avons pas accĂšs au futur, bien qu’il puisse ĂȘtre contenu dans notre capacitĂ© rĂ©flexive l’idĂ©al, l’utopie, le but, la dĂ©sidĂ©rabilitĂ©, d’autre part, parce qu’en l’espĂšce, dans les citations de Malthus, la compassion » aurait eu de meilleur effet que la valeur d’utilitĂ©. Cette compassion altruisme, que nous pouvons attribuer Ă  cet innĂ© primitif que nous ne cessons d’essayer de dĂ©finir et de complĂ©ter par acquis, nous pousse aussi Ă  la survivance de l’espĂšce, au travers de la filiation et de l’acculturation, et cela, malgrĂ© l’individualisme affichĂ© et notre hĂ©gĂ©monisme culturel d’humain inculte » de lui-mĂȘme par dĂ©faut[68].
 pour affronter les peurs...Rien ne nous empĂȘche aujourd’hui d’imaginer une nourriture molĂ©culaire, parce que nos connaissances biologiques et autres le permettent, et demain entrer dans un appareil de nano frĂ©quences nuclĂ©aires »[69] pour nous peut nous effrayer, car nous sommes toujours tournĂ©s vers notre passĂ©. Nous ne connaissons partiellement que lui et nous voulons le maintenir parce qu’il est Ă  ignorer tous les Ă©lĂ©ments qui nous signalent, que nous sommes, comme d’autres espĂšces, condamnĂ©es Ă  Ă©voluer, sauf Ă  dĂ©nier toutes les preuves d’existences disparues les Ă©tudes palĂ©ontologiques, a moins que comme certains organismes ou espĂšces nous soyons dans un biotope idĂ©al qui conserve notre espĂšce en l’état. C’est ainsi que nous confions aux lois naturelles ou l’innĂ© primitif » le rĂŽle de vouloir nous maintenir tel que nous sommes contre toute Ă©vidence, et de qualifier toute innovation, manipulations gĂ©nĂ©tiques en la matiĂšre, d’ouverture de boĂźte Ă  Pandore ».Comme si l’univers ne l’avait pas ouverte !Nous sommes nous demandĂ© combien d’Etres avaient pu mourir avant que nous ne dĂ©celions la toxicitĂ© de certains champignons, plantes ou animaux que nous Ă©vitons soigneusement ? Nous sommes nous interrogĂ©s sur la toxicitĂ© de tout ce dont nous faisons usage[70] ? Ainsi que le nombre d’inepties ou de lĂ©gendes que nous avons construites autour d’eux par je comprends compte tenu de tous usages Ă  des fins mercantilistes ou dominatrices que nous faisons de toutes choses, que certaines craintes soient fondĂ©es[71]. Nous faisons usages de tant de produit nocif !Mais, il y a un phĂ©nomĂšne auquel nous ne prĂȘtons pas suffisamment d’attention, et qui ne pouvait qu’échapper Ă  Malthus C’est l’utilitĂ© d’un Ă©goĂŻsme m’explique Je ne me prive pas de critiquer l’égoĂŻsme prĂ©sentĂ© comme une fin en soi, justifiant tous les buts, et exposĂ© comme un but par notre culturalisation ».NĂ©anmoins cet Ă©goĂŻsme instrumentalisĂ© » par notre culture technologique, apporte une rĂ©ponse Ă  la surpopulation, car nous pouvons observer que les taux de fĂ©conditĂ© sont les plus bas dans les pays pays dans lesquels nous pratiquons l’hĂ©donisme technologique».Si bien qu’avec un peu de rĂ©flexion, nous pouvons nous rendre compte que pour rĂ©guler l’espĂšce, il n’est pas nĂ©cessaire de s’entre-tuer, ou de laisser mourir dans la famine ses semblables, mais que bien au contraire, plus notre espĂšce peut jouir » de la vie, moins elle procrĂ©e. Il y a bien lĂ  un intĂ©rĂȘt Ă©vidant Ă  se trouver une source de richesse qui ne nous conduise pas Ă  la progression n’y a rien de fantastique en cela, c’est ce que nous observons dans ce que nous appelons l’équilibre de l’écosystĂšme », sauf que nous pensons, que notre Culturel y Ă©chappe », parce que nous avons refoulĂ© sa condition originelle, sauf que les lois universelles physiques ou biologiques ne raisonnent pas comme cela, et mĂȘme notre activitĂ© culturelle porte sa propre auto si nous n’avions pas peur de nous regarder en tant qu’espĂšce, plutĂŽt qu’entre Ă©trangers, il ne serait plus nĂ©cessaire de faire encore notre ce vieil adage de Malthus, que celui qui n’est pas invitĂ© au banquet de la nature doit se retirer », en croyant chaque fois que c’est Ă  notre table personnelle.
 au delĂ  de nos certitudes
NĂ©anmoins, si l’évolution de notre espĂšce nous a dotĂ©s d’un cerveau cognitif, c’est parce qu’il doit concourir Ă  une Ă©volution. Bien sĂ»r, la question reste entiĂšre quant Ă  savoir, comme toutes les cellules qui se dupliquent, quelles erreurs le dĂ©veloppement de notre intelligence engendre ou engendrera. De toute Ă©vidence, l’histoire est lĂ  pour nous montrer que nous ne choisissons pas de l’utiliser ou non. Tout dĂ©pendra des Ă©vĂ©nements environnementaux, dans lesquels nous prenons aussi notre part, sinon les peuplades de Papouasie ou d’Amazonie ne seraient pas telles qu’elles sont, serons donc toujours contraint d’affronter nos sens qui poussent les hommes Ă  s’assembler autour de symboles qui trouvent leur pouvoir agrĂ©gatifs au plus profond de la mĂ©moire collective originelle, sans jamais arriver peut ĂȘtre Ă  en faire le tour dont au cours du renouvellement des populations qui se transmettent toujours plus d’acquis, nous avons vu apparaĂźtre Des DĂ©couvreurs, des Entrepreneurs, des Philosophes, des Élites, et des Masses ƒuvrant, opĂ©rant dans les conditions les plus diverses des sociĂ©tĂ©s, et des dominants du moment. Leurs interactions, et l’histoire de nos certitudes, constituent l’histoire de l’humanitĂ©, dont les Ă©pisodes de vie ne se reproduiront plus tels qu’ils ont Ă©tĂ©, mĂȘme si beaucoup d’entre eux ont des similitudes pour n’ĂȘtre que recomposĂ©s, quel que soit notre dĂ©sir de le vouloir ou de l’éviter, nous sommes contraints d’aller au-delĂ  poussĂ© par l’ quand nous parlons d’évolution, comme nous le faisons et comme je le prĂ©sente d’en l’espĂ©rance d’une amĂ©lioration, rien n’est moins certain, car une rĂ©gression ou une disparition constituerait aussi une Ă©volution qui n’intĂ©resse que nous.
 dans une dynamique progressiste
Aller au-delĂ  de cette incertitude pour assurer une progression dynamique, c’est aussi la faire sur des territoires inĂ©galement pourvus en ressources avec des cultures sociĂ©tales dans lesquelles chaque sociĂ©tĂ© a effectuĂ© la gestion du temps et de sa population, en mettant en Ɠuvre des moyens indissociables les uns des autres. En effet, chaque progrĂšs ou invention a trouvĂ© une adaptation et un usage dans des domaines divers et variĂ©s, favorisant ainsi une dynamique progressiste Ă©voluant Ă  des rythmes exemple, autour du IV iĂšme siĂšcle, l’horloge est inventĂ©e par un moine pour sonner les moments de la priĂšre. Puis, en 1330, ces horloges modifiĂ©es, marquent les 24 premiĂšres heures issues de la division du temps. Depuis le XVIII iĂšme siĂšcle et le dĂ©but de l’industrialisation, dans les rapports sociaux et ceux du travail, l’heure est synonyme de ponctualitĂ©. Cette derniĂšre notion est importante, car elle marque une rupture symbolique avec la ponctualitĂ©, marque de biensĂ©ance en vigueur aux Ă©poques antĂ©rieures en Europe.[72] Ainsi une innovation qui avait une fonction cultuelle est devenue un des piliers de la que dans des sociĂ©tĂ©s dites indigĂšnes durant ce mĂȘme laps de temps la dynamiques progressiste aura Ă©tĂ© infime, Ă  tel point que nous, nous la considĂ©rerons nulle si elle ne se mesure pas aux pourquoi un enseignement dont la mission rĂ©publicaine est d’instruire ne pourrait-il pas devenir une source de richesse, et reprĂ©senter une dynamique progressiste.
 pour se rĂ©partir le temps
Dans le mĂȘme temps, les tĂąches se sont rĂ©parties en structures productivistes, gĂ©nĂ©rant entre autres, la division du travail en de multiples disciplines spĂ©cialisĂ©es, fragmentĂ©es en sous disciplines. De lĂ , la sociologie industrielle » naĂźt en AmĂ©rique, rĂ©plique Ă  la rationalisation du travail mise en place par TAYLOR, dont H. FORD applique la technique Ă  l’extrĂȘme, en inventant les chaĂźnes de montages. DĂ©s lors, la sociologie s’applique aux problĂšmes de l’industrie et du travail en gĂ©nĂ©ral, sous le nom de sociologie du travail. Celle-ci a remis en cause les techniques qui avaient conduit Ă  son Ă©laboration, aidĂ© en cela par l’automatisation, et par un retour Ă  la notion de tĂąches d’ensembles pouvant conduire Ă  des mĂ©tiers spĂ©cifiques ou des emplois valorisants, humanisant les chaĂźnes de une forme de taylorisme gagne le secteur des industries agricoles et alimentaires en France, oĂč la masse ouvriĂšre travaillant Ă  la chaĂźne est passĂ©e de 20% en 1984, Ă  30% en 1998, et les ouvriers qualifiĂ©s, dans la mĂȘme pĂ©riode, de 7,5% Ă  15%.Dans cette rĂ©partition fluctuante, la contestation ouvriĂšre s’est structurĂ©e pour formuler des revendications, notamment celle des 3 huit, Ă  partir de 1884 en France. Puis en 1936, le Front Populaire dĂ©finissait la semaine de 40 h qui n’est devenue effective qu’à partir de 1975 42 h contre 48 h en 1936. Ensuite en 1985, une Ă©tape supplĂ©mentaire portait la semaine Ă  39 h, et enfin, l’an 2000 la voyait dĂ©finie pour 35 nous sommes passĂ©s d’une durĂ©e moyenne de 3 232 heures annuelles en 1820, Ă  1355 h en 2000 pour les salariĂ©s français concernĂ©s par les 35 h. Ces rĂ©ductions successives ont entraĂźnĂ© une Ă©volution technologique compensatoire, avec comme consĂ©quence la substitution du travail par le capital, au travers des investissements en machines-outils dont le transfert d’activitĂ© ne fut pas suffisant pour aboutir au plein emploi, malgrĂ© le concourt de l’innovation technologique poussĂ©e par l’obsolescence des les salariĂ©s privĂ©s d’emplois sont passĂ©s de 260 000 en 1950, Ă  3 060 000 en 1999, suivant les critĂšres du bureau international du travail[73]. ParallĂšlement, l’activitĂ© de services et de loisirs n’offre pas une alternative suffisante faute de capitaux dans le cadre d’une demande existante soumise aux rapports prix/ effet, en France de 1886 Ă  1999 les salariĂ©s du secteur agricole sont passĂ©s de 47% de la population active Ă  4,2%. Dans l’industrie c’est la productivitĂ© qui s’est accrue, les salariĂ©s sont restĂ©s stables passant de 25,7% Ă  24,9% des actifs, avec une crĂȘte Ă  35,9% en 1980. Quant aux services ils ont progressĂ© de 27,3% Ă  70,9 % des actifs. Toutefois, il me paraĂźt nĂ©cessaire de signaler que n’est pas estimĂ©, le transfert d’activitĂ© de services » qu’effectuaient elles-mĂȘmes antĂ©rieurement les entreprises, et qui se trouvent aujourd’hui comptabilisĂ©s dans les services ».Il est important de noter Ă  cet instant, que pour ceux qui seraient prĂȘts Ă  travailler gratuitement, le travail ne manquerait rĂ©flexion conduit inĂ©vitablement Ă  la nĂ©cessaire harmonisation de l’utilisation des masses monĂ©taires et du temps dans notre existence, face Ă  l’insatisfaction permanente, de nos dĂ©sirs, qui nous conduirait Ă  toujours trouver une justification pour travailler telle maniĂšre que la rĂ©partition du temps nous commande d’élaborer des projets de sociĂ©tĂ©s. Pourquoi pas vers une dynamique du temps libre.
 vers une nouvelle dynamique du temps pourquoi dans l’évolution de la durĂ©e du travail, ce qui m’intĂ©resse particuliĂšrement, c’est le temps libre. Car c’est cette quĂȘte lĂ , aussi, qui nous a sorti du seul labeur, et il ne servirait Ă  rien de consigner notre savoir dans des millions d’ouvrages s’il ne pouvait ĂȘtre lu ou pour cela que l’usage que je prĂ©conise de ce temps libre peut y ĂȘtre consacrĂ©, comme une activitĂ© productrice, de la mĂȘme maniĂšre que le sont toutes les autres activitĂ©s auxquelles nous nous livrons durant ce temps libre, c’est simplement une nouvelle nouvelle dynamique qui nĂ©cessite de forcer son – Mais nous sommes un animal » pas encore civilisĂ©, qui doit forcer son nous sommes un animal », pas encore civilisé Si j’ai rappelĂ© quelques aspects de comportements humains, c’est pour souligner, que l’ensemble forme un systĂšme adaptatif complexe. C’est Ă  dire une organisation en mouvement difficile Ă  cerner, dont la comprĂ©hension nĂ©cessite une accumulation de connaissances, qui croissent, au fur et Ă  mesure que l’Homme rĂ©pond Ă  ses besoins et interrogations. C’est pour signaler que l’Homme n’est qu’un animal » en stage d’apprentissage, et qu’il n’y a que notre suffisance qui nous empĂȘche de le comprendre. C’est Ă  dire que notre apprentissage consiste Ă  prendre la mesure de notre capacitĂ© intellectuelle et psychique. Pour cela l’Homme doit se regarder comme il regarde les autres espĂšces, locataire passager de notre planĂšte. Il ne doit pas avoir honte de n’ĂȘtre qu’un mammifĂšre parmi tant d’autres. Certes un mammifĂšre intelligent, mais un mammifĂšre intelligent qui s’est fabriquĂ© pour l’instant l’arme la plus meurtriĂšre La VĂ©rité», la VĂ©ritĂ© absolue, pour ne pas sombrer dans la folie, l’angoisse, la peur de l’incertitude en dĂ©couvrant la conscience de Soi ».Une VĂ©ritĂ© plus meurtriĂšre que nos instincts primitifs, mais il est plus facile de le comprendre aujourd’ si nous retenons l’idĂ©e que l’homme a Ă©tĂ© créé par le divin ou qu’il est venu d’ailleurs, la communication avec le divin ou l’ailleurs » doit ĂȘtre difficile ou incomprĂ©hensible, pour que ses prophĂštes inspirĂ©s du divin ou ses thĂ©oriciens de l’ailleurs » aient traduit et dictĂ© tant de VĂ©ritĂ© » qui assassinent ?Ainsi, l’Homme devra se dĂ©barrasser de la vĂ©ritĂ© absolue, comme Newton nous a dĂ©livrĂ©s de l’idĂ©e de position absolue dans l’espace et Einstein du temps absolu, cela pour mieux comprendre ce que ces absolus nous empĂȘchaient de voir. C’est Ă  dire que les vĂ©ritĂ©s absolues sont comme des verrous qui ferment des portes et empĂȘchent d’aller au-delĂ . La vĂ©ritĂ© absolue, c’est aussi celle que dĂ©tiennent les psychiques clos, au-delĂ  de leurs constructions nĂ©cessaires, incapables de se corrĂ©ler. De sorte qu’ayant refoulĂ© l’animal dans son cerveau primitif, il dĂ©veloppe ce qui fait sa fragilitĂ© pour survivre[74] et sa force pour Ă©voluer, son en gardant Ă  l’esprit, que les mathĂ©matiques qui ont fait sauter tant de verrous, ne pouvant calculer de nombres infinis, il y a forcĂ©ment un point oĂč tout cela s’effondre ; et tout raisonnement, Ă©galement, a un point oĂč il y a un absolu, un point ou il y a une place pour ceux qui ont besoin d’une VĂ©ritĂ© », une place oĂč l’on peut mettre un Dieu, un abri oĂč l’homme peut reposer sa vigilance et poser ses telle maniĂšre que l’animal que nous sommes qui a besoin de vĂ©ritĂ©, et qui se croit civilisĂ© parce qu’il se dit bonjour », ne s’ouvre aux autres que de maniĂšre hĂ©gĂ©monique, et il laisse le travail de corrĂ©lation, d’acculturation au temps », parce qu’il n’a pas de contrĂŽle sur lui.
 qui doit forcer son ce systĂšme adaptatif complexe qu’est notre monde, ce qui est le plus intĂ©ressant Ă  mes yeux et de savoir comment y intĂ©grer le dĂ©veloppement de l’intelligence comme source de revenu direct, en clair rĂ©munĂ©rer les hommes pour apprendre. Certaines formes de financements existent actuellement suivant les États les prestations versĂ©es par les allocations familiales, le versement de bourses, la rĂ©munĂ©ration de stages professionnels etc. Dans l’organisation monĂ©taire codifiĂ©e par la comptabilitĂ© nationale, les sommes dĂ©pensĂ©es Ă  cet effet, suivant leurs provenances, sont qualifiĂ©es de charges, d’investissements ou de dĂ©penses ; et cette codification n’est pas plus absolue, que ne l’est notre place dans l’espace. Enfin nous pouvons observer que l’enseignement est d’autant mieux perçu que ceux qui le reçoivent y trouvent une utilitĂ© immĂ©diate ; mais nous pouvons aussi observer qu’il n’a pas suffit Ă  Ă©radiquer la violence et la pauvretĂ© ; certainement peut ĂȘtre parce que les personnes de ces milieux difficiles font le lien direct et immĂ©diat, entre ce que leur apporte l’enseignement et son inutilitĂ© pour les sortir de leurs situations prĂ©sentes. S’ils percevaient une rĂ©munĂ©ration pour apprendre, il en irait peut-ĂȘtre autrement du moins pour une partie d’entre y a donc une place pour l’imagination. Je peux mĂȘme dire qu’il n’y a que cela, mais Ă  une condition, que nous libĂ©rions du temps pour cela, avec un espace de rĂ©flexion dans ce champ clos qu’est notre un choix tout nous est permis, nous ne disposons pas pour autant du temps dont nous aurions besoin individuellement, sauf si nous le concevons dans la continuitĂ© de l’espĂšce, et cela nĂ©cessite des choix qualitatifs, et le temps dans sa durĂ©e comme permanence ne peut pas ĂȘtre - Le temps, un dĂ©terminant social, mais c’est quoi le temps ? Un temps relatif qui n’avait pas Ă©chappĂ© Ă  Aristote et dont notre civilisation a acquis les moyens d’une certaine temps, un dĂ©terminant social...Aujourd’hui personne ne conteste le bien fondĂ© de scolariser ses enfants pour assurer l’éveil de leur intelligence, l’apprentissage des bases de culture gĂ©nĂ©rale indispensables Ă  leur insertion dans la communautĂ©, et leur spĂ©cialisation pour les mĂ©tiers ou emplois correspondants aux besoins l’enseignement dispensĂ© couvre tout le savoir disponible, Ă  l’exception de celui issu du travail des dĂ©couvreurs qui ne viendra s’y rajouter que plus tard. Le temps qui est imparti Ă  cet apprentissage est lĂ©gislativement fixĂ©, pour une pĂ©riode estimĂ©e suffisante Ă  l’assimilation d’un niveau de culture gĂ©nĂ©rale » minimale obligatoire. Il est suivi des filiĂšres, techniques, universitaires et spĂ©cifiques de grandes Ă©coles, ENA scolaritĂ© terminĂ©e, une fois, que chacun a rĂ©alisĂ© ou subi sa sĂ©lection, le solde restant Ă  apprendre est immense, et inaccessible dans sa exemple, si l’on voulait avoir le niveau de doctorat dans dix disciplines diffĂ©rentes, il faudrait au minimum Ă©tudier durant soixante-dix pour l’accĂšs au savoir le temps demeure un dĂ©terminant, dont la disponibilitĂ© s’est accrue puisque nous vivons plus longtemps, et que nous le consacrons moins au labeur.
c’est quoi le temps ?...Comme cet exemple le dĂ©montre, il surgit une contrainte rigide, celle du temps, du temps social ou conventionnel simple paramĂštre culturel qui permet d’ordonner les Ă©vĂ©nements, que nous gĂ©rons sur notre quoi ce temps ?Pour en gagner, nous pouvons toujours imaginer des voyages cosmiques Ă  la vitesse de la lumiĂšre permettant d’apprendre dans un laps de temps qui s’écoulerait moins vite que sur la planĂšte. Mais c’est lĂ , plus une prospective futuriste due Ă  notre ignorance, qui fait, que si tout le monde a entendu parler de la relativitĂ© gĂ©nĂ©rale d’Einstein,[75] peu d’entre nous sont capables de l’expliquer. De fait nous vivons par nĂ©cessitĂ© avec une mesure de temps structurant dont nous nous accommodons, sauf, entre autres, dans l’utilisation de systĂšmes de navigation basĂ©s sur les signaux de satellites, car sans tenir compte de la RelativitĂ©, les calculs en seraient sorte que sur le temps structurant nous ne pouvons rien gagner, hormis l’ dans notre quotidien il n’est pas rare que nous nous querellions au cours de la perception d’un Ă©vĂ©nement autour du temps. Je pense aux alignements litigieux du hors jeux au football. Est-ce que nous allons le mesurer Ă  299 792 458 mĂštres par seconde ? Vitesse de la lumiĂšre en Ă©talon historique normalisĂ©, le mĂštre social, alors que nous, nous percevons une image entre 180 et 360 millisecondes, et nous, en sommes conscients entre 540 et 720 millisecondesMĂȘme si nous pouvions le faire, pour avoir la mĂȘme vision, il faudrait que tous les spectateurs soient Ă  la mĂȘme place, et que nous soyons assurĂ©s que la perspective ne dĂ©forme pas notre la tĂ©lĂ©vision ?Elle nous renvoie son temps, et elle nous trompe en exigeant de nous, que nous fassions notre le sien, au nom de l’impartialitĂ© tĂ©lĂ©visuelle, alors que ce n’est que celui du cadreur ; Ă  qui, il est tout aussi impossible de saisir l’instant rĂ©el qui va trancher le litige. Ensuite nous ferons appel Ă  la technique pour rĂ©soudre le litige. Cette mĂȘme tĂ©lĂ©vision ne nous explique-t-elle pas qu’elle nous fait vivre en direct instantanĂ© des Ă©vĂ©nements qui se produisent Ă  l’autre bout du monde. Naturellement c’est faux. Nous n’avons ni l’odeur ni la sensation ni une vue personnelle car il s’agit d’un langage commercial sĂ©lectif, d’une rĂ©alitĂ© partielle, dont chacun tire l’émotion qui l’arrange. Ceci parce que l’information nous arrive dans un temps que nous ne pouvons pas mesurer rĂ©alitĂ© ne nous est pas perceptible du fait de nos limites, mais l’intelligence peut la connaĂźtre et tenir en compte, au-delĂ  des luttes d’images m’explique, je veux dire que l’image tĂ©lĂ©visĂ©e, n’est qu’une suite de photos. Autant nous avons conscience qu’une photographie fixe un Ă©vĂ©nement passĂ©, et suscite l’imaginaire, autant nous perdons cette rĂ©serve de vue, Ă  cause du mouvement qui est donnĂ© Ă  la succession de photographies qui dĂ©filent, parce qu’elles ressemblent Ă  un instant de vie proche. Un Ă©vĂ©nement retransmis n’est qu’un fragment de vie, il est partiel et partial, il n’a toute sa valeur de rĂ©alitĂ© qu’à partir du moment oĂč vous l’avez vĂ©cu, ou que vous connaissez l’histoire des Ă©vĂ©nements qui l’ont le film d’un Ă©vĂ©nement reste des photos qui nous parlent, comme nous disons improprement, car le dialogue c’est nous qui le faisons avec notre imaginaire. Nous en oublions trop souvent, que les mĂ©dias et la tĂ©lĂ©vision en particulier sont un commerce d’audience. Ils sont une loupe grossissante, tant ils sont le reflet de la notoriĂ©tĂ© qui est sous-jacent en le seul fait d’avoir rĂ©duit le temps Ă  sa plus petite expression nous fait entrer dans la vie virtuelle des autres, dont nous gardons le plus souvent des caricatures. Sauf que nous, nous croyons connaĂźtre la vĂ©ritĂ© parce que nous en avons vu des fragments. Ce phĂ©nomĂšne n’est pas nouveau puisque c’est lĂ  nos limites. De tout temps les hommes se sont distribuĂ©s des bribes d’informations qu’ils ont reliĂ©es pour en tirer une suite historique dont leurs connaissances et leurs imaginaires ont comblĂ© les blancs, quand par soucis politiques, ils ne les ont pas par l’information mĂ©diatique, nous sommes entrĂ©s dans une tendance Ă  l’anticipation par soucis de gain de temps dans une concurrence Ă  l’information, qui conduit les commentateurs et spĂ©cialistes Ă  donner leur avis sur les Ă©vĂ©nements avant mĂȘme que soit connu les Ă©lĂ©ments ayant concourus au dĂ©veloppement de l Ă©vĂ©nement survenu. Cela n’est pas sans incidence sur l’apprĂ©ciation de l’évĂ©nement sociĂ©tal, car parfois il devient plus dangereux de corriger une contre vĂ©ritĂ© que de laisser s’en dĂ©velopper la rumeur. D’autres fois nous sommes déçus d’avoir cru que l’anticipation est une science sĂ»re statistiques, ou nous nous glissons dans la peau de l’anticipation, confirmant de fait ce qui n’était qu’une interprĂ©tation. Nous passons ainsi d’un outil de lecture Ă  un outil qui nous la perception du temps et son utilisation va organiser aussi notre rĂ©flexion, et par elle nos relations sociales.
Un temps relatif
Nous le vivons en mesurant sa durĂ©e en temps conventionnel », par nos sensations Ă©motionnelles. Quand nous vivons des heures trop longues ou trop courtes, nous le mesurons Ă©galement par notre temps biologique, les rythmes circadiens sommeil.Je m’attarde sur cette notion de temps car elle est devenue essentielle dans notre existence comme je l’ai dĂ©jĂ  dit, d’autant plus que nous nous contraignions Ă  nous adapter au temps social, et nous culpabilisons le temps biologique Ă©vĂ©nementiel, avec les consĂ©quences nĂ©vrotiques qui s’en suivent et en particulier dans l’enseignement des enfants, au travers des rythmes chacun d’entre nous peut fournir un exemple d’un temps biologique qui l’a conduit Ă  ne pas ĂȘtre Ă  l’heure, d’oĂč s’en est suivie une sanction. Sanction nous conduisant ainsi au paradoxe que par culturalisation », nous nous punissons d’ĂȘtre seulement des Humains. Nous avons mĂȘme fait mieux, il y a peu de temps, en considĂ©rant que faire travailler de nuit[76] les femmes au mĂȘme titre que les hommes Ă©tait une marque d’égalitĂ©, comme si dĂ©caler les cycles de repos Ă©tait sans incidence, et reprĂ©sentait un pour de l’argent nous serions prĂȘts Ă  redire que la terre est cela je ne remets pas en cause la nĂ©cessitĂ© d’organisation qui dĂ©coule de l’usage de la rĂ©fĂ©rence du temps ni sa sociabilitĂ© politesse discipline respect etc. ; je veux seulement faire observer que dans les pays industrialisĂ©s, c’est l’organisation productrice mise en place par les hommes qui rĂšgle aussi le temps des Hommes. Ceci jusqu’à nous en faire oublier que nous ne sommes que cela, des Hommes, et qu’il n’y a pas lieu de s’étonner d’un certain nombre de maladies qui en dĂ©coule, qu’ensuite nous qualifierons de charges ». Alors que trĂšs souvent nous nous refusons Ă  admettre ces biorythmes, et nous ne voulons retenir par confort de dĂ©culpabilisation » de nos systĂšmes d’organisations, que la volontĂ© du malade de l’ en cela une interrogation lĂ©gitime qui n’avait pas Ă©chappĂ© aux Grecs.
 qui n’avait pas Ă©chappĂ© Ă  Aristote
En parlant du temps, ignorant qu’il parlait du temps biologique Aristote ne s’interrogeait-il pas, la question est de savoir si, sans l’ñme, le temps existerait ou non » ? Einstein a donnĂ© une rĂ©ponse avec la relativitĂ© et la recherche biologique Ă©galement avec la dĂ©couverte des biorythmes, et il y a quelque part forcĂ©ment un point de dans notre civilisation c’est surtout la vitesse Ă  laquelle il s’écoule qui nous intĂ©resse.
 et dont notre civilisation a acquis les moyens une certaine maĂźtrise du temps, tant dans la circulation des biens et des personnes que dans celle des informations. Mais, faute de voyage cosmique, l’Homme a recours Ă  des Ă©quipements qui le supplĂ©ent dans ses nĂ©cessitĂ©s du quotidien, de mĂ©morisation, de calcul, et de diffusion, lui offrant ce gain de temps dont il a besoin. Cela, tout en restant dans une perception biologique, mĂȘme si nous savons que ce n’est pas l’ñme, pour le vivre bien ou mal, malgrĂ© nos Ă©quipements et nos fuseaux horaires ce qui nous a donnĂ© la meilleure maĂźtrise du temps c’est l’ - Pourtant tout comme l’écriture ces moyens ne sont pas neutres. Aujourd’hui cette Ă©criture » est mĂ©diatique ; et prendre conscience que rien n’est simple pour se surpasser est une nĂ©cessitĂ© existentielle que nous restreignons, lĂ , oĂč la pluridisciplinaritĂ© devient une tout comme l’écriture ces moyens ne sont pas neutres
Nous allons le lire dans quelques exemples. TrĂšs tĂŽt des hommes se sont interrogĂ©s sur ces moyens techniques, particuliĂšrement celui qui permet de diffuser l’information dans le temps, l’écriture. Je laisse Ă  votre mĂ©ditation le dialogue de Socrate Ă  PhĂšdre, regrettant que le dieu Égyptien Thot, inventeur de l’écriture, ait mal pesĂ© les consĂ©quences de sa dĂ©couverte, propos rapportĂ©s par Platon. Toi, pĂšre de l’écriture, tu lui attribues une efficacitĂ© contraire Ă  celle dont elle est capable ; car elle produira l’oubli dans les Ăąmes en leur faisant nĂ©gliger la mĂ©moire ; confiants dans l’écriture, c’est du dehors, par des caractĂšres Ă©trangers, et non plus du dedans, du fond d’eux-mĂȘmes, que ceux qui apprennent chercherons Ă  susciter leurs souvenirs ; tu as trouvĂ© le moyen, non pas de retenir, mais de renouveler le souvenir ; et ce que tu vas procurer Ă  tes disciples, c’est la prĂ©somption qu’ils ont la science, non la science elle-mĂȘme ; car, quand ils auront beaucoup lu sans apprendre, ils se croiront trĂšs savants, et ils ne seront le plus souvent que des ignorants de commerce incommode, parce qu’ils se croiront savant sans l’ĂȘtre ». Toutefois, en Orient, la pensĂ©e est tout Chine, elle est considĂ©rĂ©e comme permettant de pĂ©nĂ©trer les secrets du monde. Shiato un moine chinois du XII iĂšme siĂšcle a dit, Quand le poignet est animĂ© par l’esprit, les montagnes et les fleuves rĂ©vĂšlent leur Ăąme ».En Inde elle se veut conservatrice des Ă©noncĂ©s religieux, comme chez les Musulmans qui selon la stricte doctrine, le Coran, bien qu’écrit par l’homme sous la dictĂ©e du prophĂšte, elle est incréé » car l’Homme reproduit l’original Ă©ternel situĂ© dans le ciel. Chacune de ces civilisations au travers de l’écriture a ses visions du monde, Il en Ă©tait ainsi des Glyphes Mayas[77]et OlmĂšques, des hiĂ©roglyphes Égyptiens, de l’écriture cunĂ©iforme, de celles de l’Indus et du confĂšre Ă  toute Ă©criture un caractĂšre Ă©sotĂ©rique, car elle est le reflet d’une civilisation, d’un mode de pensĂ©e sans pouvoir ĂȘtre l’expression totale. Parce que, les Êtres, ayant formĂ© la civilisation et ayant exprimĂ© leur pensĂ©e par des Ă©crits, ont retranscrit leur propre Ă©sotĂ©risme, puisque derriĂšre les mots, qu’il faut d’abord connaĂźtre dĂ©terminant, se trouve leur insuffisance Ă  exprimer toute la pensĂ©e sensible de celui qui a un simple Ă©crit qui rapporte des faits, n’a rien d'insignifiant, il peut tout Ă  la fois, Ă©noncer et raconter les Ă©vĂ©nements, les rĂ©vĂ©ler et permettre de les comprendre, les affirmer et assurer de leur exactitude, les cacher, s’exprimer en non dit et malgrĂ© les omissions et les interrogations qu’elle suscite l’écriture nous a permis de situer notre histoire dans le temps.
 aujourd’hui cette Ă©criture est mĂ©diatique
Aussi, dans le droit fil du dialogue de Socrate, nous pouvons nous interroger sur le caractĂšre et le rĂŽle Ă©ducatif » des mĂ©dias.[78] MĂ©dias dans lesquels n’est pas faite la diffĂ©rence, par souci d’audience, entre l’information Ă©ducative et l’information Ă©ducatrice qu’ils veulent parfois jouer sans le pouvoir, ou que nous lui accordons Ă  tort. La diffĂ©rence tient au fait que quelle que soit la valeur de l’information Ă©ducative, il n’y a pas le contact humain de l’éducateur ou de l’éducatrice, qui peuvent s’assurer de la comprĂ©hension de l’auditeur ou du lecteur cette difficultĂ© vaut Ă©galement pour certains jeux vidĂ©o mis entre les mains d’adolescents.Or, ils sont un moyen de communication incontournable pour qui veut rester en contact avec le monde, diffuser ses messages. Et dire seulement qu’ils ne font que transmettre l’information, cela est encore appartenir au monde des demeurent aussi comme tous les moyens de communication dont l’information circule dans le temps, un support Ă  la rumeur par distorsion de leurs auditeurs ou lecteurs, soit par incomprĂ©hension de ces derniers ou parce qu’ils y trouvent les Ă©lĂ©ments qui concourent au but qu’ils poursuivent, je ne vise pas ici la dĂ©sinformation organisĂ©e.Donc dans ce monde lĂ , l’ignorant est une proie facile, et en prendre conscience n’est pas facile.
 et prendre conscience que rien n’est simple pour se surpasser
Rien n’est donc simple et en avoir conscience c’est dĂ©jĂ  se surpasser. Non pour tomber dans l’indiffĂ©rence ou le dĂ©faitisme, mais pour aller apprendre Ă  ne pas ĂȘtre des Yo-Yo, et ce temps lĂ  existe car, au-delĂ  de la contrainte du temps pour l’usage productif de bien, auxquels l’homme consacre une partie de ses capacitĂ©s cĂ©rĂ©brales, il dispose de toute son existence pour apprentissage d’autant plus aisĂ© qu’il vit dans un pays riche, et ne consacre pas tout son temps au effet, en dehors du temps consacrĂ© Ă  l’acquisition des connaissances socioprofessionnelles, le temps passĂ© Ă  l’apprentissage d’autres connaissances ou de complĂ©ment de connaissances, qui n’ont pas Ă©tĂ© apprises durant la pĂ©riode d’enseignement classique, relĂšve de la prĂ©rogative personnelle qui s’exerce sur la volontĂ© de se cultiver et de s’informer selon sa dans cette masse, ce solde d’informations, de connaissances et de savoir que tous ne possĂšdent pas au-delĂ , de l’enseignement gĂ©nĂ©ral, qu’il faut effectuer un choix qualitatif, et le rendre disponible Ă  toutes les personnes sorties des circuits d’ il ne s’agit pas de faire de chacun un petit gĂ©nie possĂ©dant tous le savoir, et toutes les compĂ©tences, mais apporter en complĂ©ment, les connaissances[79] qui pourront dĂ©boucher sur des vocations n’ayant pu ĂȘtre rĂ©alisĂ©es au moment de la sĂ©lection structurelle et sociale, et au minimum, lire son monde sensible ».Car lire son monde est devenu une exigence pour tout homme qui veut ĂȘtre Libre, car c’est la connaissance et le Savoir qui repoussent les limites de nos prisons, mĂȘme si nous nous en servons pour en faire, ou en dĂ©couvrir de nouvelles.
 et une nĂ©cessitĂ© existentielle
Toutefois, effectuer un choix parmi les diverses disciplines, suppose d'avoir conscience que ce choix aura comme aboutissement, d’apporter du savoir. Savoir qui trouvera une application dans la vie active afin d’accroĂźtre la capacitĂ© de rĂ©flexion des hommes en agissant sur leurs dĂ©cisions et dĂ©sirs de citoyens, de producteurs, de consommateurs, et dans l’affirmation de ce qu’ils deux titres, un pour produire, deux parce que nous sommes entrĂ©s dans un tel dĂ©veloppement de notre intelligence et de ses innovations, qu’il ne supportera pas l’ignorance sans que s’instruire pour de meilleures compĂ©tences, rĂ©flexions, analyses, dĂ©cisions, est devenu une nĂ©cessitĂ© existentielle, pas seulement productrice, comme je l’ai indiquĂ© dans le la mĂȘme maniĂšre toutes les organisations sociales humaines, en ayant structurĂ© ce besoin existentiel sous divers aspects, sorciers, chamans, sages, dieux, etc., oĂč il est naturellement toujours plus facile de consulter celui qui sait ou soutient avoir la rĂ©ponse Ă  toutes choses, que de l’apprendre. Organisations sociales oĂč apparaissaient clairement en lien direct que le pouvoir s’associait au savoir[80]. Un pouvoir qui parfois par volontĂ© ou incompĂ©tence le restreint. Apprendre ce n’est pas seulement savoir, c’est aussi ĂȘtre, ĂȘtre Ă  la hauteur de ce qu’il peut nous apporter pour nous civiliser, et pouvoir un jour nous passer des interdits, et cela est une nĂ©cessitĂ© existentielle, car d’interdits, en lois et rĂ©glementations, nous avons construit aussi des prisons culturelles pouvions-nous faire autrement ?
 que nous restreignons
Certainement si l’éducation avait visĂ© Ă  l’émancipation de l’ĂȘtre. NĂ©anmoins, l’instruction qui permet d’accroĂźtre la connaissance, le savoir, et tout le potentiel crĂ©atif humain, et toutes les aptitudes que nous qualifions d’artistiques dont chacun d’entre nous est capable, s’est structurĂ©e dans un systĂšme d’enseignement qui est devenu insuffisant, car nous ne lui confions de dĂ©velopper, pour l’essentiel, que l’art de la consommation, et de la confrontation pour le plus grand nombre, et rĂ©servons celui de la comprĂ©hension Ă  une Ă©lite sciences humaines, enseignement supĂ©rieur, etc..Cela, dans une sociĂ©tĂ©, oĂč il n’y a pratiquement plus de systĂšme simple, et oĂč la moindre interrogation nĂ©cessite une rĂ©ponse complexe, sauf dans le monde des il n’y a qu’à, il faut qu’on
 », Sauf chez ceux auxquels nous avons restreint le monde restreint duquel il faudra que nous nous extirpions.
 LĂ , oĂč la pluridisciplinaritĂ© devient une entrer dans la pluridisciplinaritĂ© ; afin d’illustrer mon propos je prendrais comme exemple le dĂ©bat autour du clonage Son interdiction a Ă©tĂ© votĂ©e en France pour des raisons que je qualifie D’éthico religieuse», car pour la chrĂ©tientĂ©, il est inacceptable que l’homme se fasse l’égal de Dieu, qu'il s'auto crĂ©e scientifiquement. Pour les tenants de l’éthique, c’est une rĂšgle qu’ils s’imposent par morale. On rejoint lĂ  un peu le religieux, c’est Ă  dire qu’elle se prĂ©sente comme sacralisĂ©, par crainte de risques inconnus ou supposĂ©s, par refus de dĂ©fier le traumatisme Ă©motionnel, psychique, social et culturel qu’il sous-tend, par les fantasmes et par peur du marchandisage[81] » qu’il NĂ©anmoins, hormis la prouesse scientifique que cela reprĂ©sente, crĂ©er un des ĂȘtres humains Ă  partir d’un tissu d’embryon humain ne prĂ©sente aucun intĂ©rĂȘt s’il s’agit de crĂ©er des armĂ©es de clones aux fins d’esclavagisme, de former des envahisseurs conditionnĂ©s, de rĂ©pliquer des disparus, chĂ©ris, puissants, gĂ©niaux. On a su le faire en partie sans clones par le conditionnement fanatique ; car bien sur il y a chez ces demandeurs lĂ  un problĂšme existentialiste. De plus tous ces rĂ©pliquĂ©s, chĂ©ris, puissant, et gĂ©niaux, mis Ă  part leur aspect ne pourraient ĂȘtre que de superbes Ce qui reprĂ©sente un objectif dĂ©coulant de cette prouesse, c’est produire des organes pour remplacer ceux dĂ©fectueux sur un patient atteint d’une dĂ©ficience, et non pas crĂ©er un ĂȘtre pour les lui c’est peut-ĂȘtre crĂ©er un clone pour examiner, dans l’intĂ©rĂȘt de notre espĂšce, ce qui peut ĂȘtre retenu du processus d’élaboration. Et c’est enfin recueillir de l’observation de son existence les enseignements qui pourraient l’ĂȘtre. Les conditions de l’évĂ©nement Ă©tant rĂ©unies, quel est l’homme sĂ©rieux qui peut croire que cela ne se rĂ©alisera pas. Et au lieu d’assumer les consĂ©quences de notre puissance », en confiant cela Ă  des hommes de haute conscience humaine, nous prĂ©fĂ©rons qu’un mĂ©galomane ou pas le fasse discrĂštement dans son coin. Comme si ceux qui avaient voulu arrĂȘter la divulgation que la terre Ă©tait ronde, y Ă©taient Par notre activitĂ© innovante, nous tuons des milliers de nos semblables volontairement ou non, nous en laissons mourir dans l’indiffĂ©rence tout autant, nous mettons en danger la planĂšte par un surarmement et l’utilisation civile ou militaire du nuclĂ©aire, par la pollution. Pourtant, par manipulation gĂ©nĂ©tique, des chercheurs mutent des animaux de laboratoire. Dans le mĂȘme temps nous crĂ©ons des prototypes de robot qui seront dans quelques dĂ©cennies des androĂŻdes interactifs ; nous avons rĂ©alisĂ© en laboratoire un Big-bang, nous travaillons sur un essai de crĂ©ation de l'antimatiĂšre, nous essayons de prolonger la vie en recherchant des ralentisseurs du vieillissement de nos cellules, pouvant aller thĂ©oriquement jusqu’à leur immortalitĂ©, pour revivre nous utilisons la cryotechnique[82] etc. etc. Ce diffĂ©rentiel de risque, prenant en compte les consĂ©quences nĂ©gatives de nos rĂ©alisations et celles incertaines de nos recherches, relĂšgue loin derriĂšre elles, le risque minimal que reprĂ©sente un clonage humain, pour un rĂ©sultat certes cet exemple, ce qui m’intĂ©resse n’est pas l’opinion que j’ai Ă©mise, j’aurais pu dĂ©velopper le contraire, mais quels sont les types de savoir que j’ai associĂ©, pour dĂ©velopper l’argumentaire du savoir, j’entends l’ensemble de connaissances qui ont Ă©tĂ© acquises par l’étude ou la pratique conduisant Ă  l’exercice d’une qu'il y a une connaissance Scientifique ?Non. A aucun moment je ne fais Ă©tat d’un ensemble cohĂ©rent obĂ©issant Ă  des lois vĂ©rifiĂ©es par une mĂ©thode ressort-il un Savoir professionnel ?Non. Je ne fais rĂ©fĂ©rence pour dĂ©velopper les arguments choisis Ă  aucun mĂ©tier dont j’ai acquis le savoir- faire. Cela ne signifie pas que je ne puisse ĂȘtre plombier, dentiste ou artisan. Je ne suis certainement, ni gĂ©nĂ©ticien, ni prĂ©lat, ni psychologue, sinon mon argumentation aurait Ă©tĂ© tout ressort-il une culture ? J’entends par culture les ensembles de connaissances qui ont Ă©tĂ© acquises dans un ou plusieurs domaines, exemple, dans les sciences humaines.Non. Je ne dĂ©veloppe pas d’ensembles de connaissances acquises, dans un ou plusieurs domaines sur le sujet. Je pourrai toutefois ĂȘtre incollable en Égyptologie ou Ă  Questions pour un champion », en Ă©tant plombier ou l’exemple montre que si je n’ai aucun savoir dans les domaines concernĂ©s, je dĂ©veloppe un point de vue qui Ă  nĂ©cessitĂ© que je sois informĂ© ou que je me sois documentĂ©, dans diffĂ©rents domaines, des conceptions chrĂ©tiennes Ă  la recherche je pourrais multiplier les exemples sur des thĂšmes de sociĂ©tĂ© faisant appel Ă  plusieurs je n’ai fait rien de plus que ce que les sociologues appellent la tranversalitĂ© de disciplines », oĂč j’ai utilisĂ© des portions de connaissances pluridisciplinaires pour sĂ»r, j’aurais Ă©tĂ© un professionnel ou spĂ©cialisĂ©, dans chacune d’entre elles, mon raisonnement aurait Ă©tĂ© diffĂšrent ou mieux absence de tranversalitĂ©, nous la voyons rĂ©guliĂšrement dans les dĂ©bats, oĂč il est fait appel parfois Ă  des spĂ©cialistes dont la rĂ©flexion est la limite mĂȘme de leur spĂ©cialisation, ou chacun pense que sa spĂ©cialitĂ© suffit Ă  fournir la bonne rĂ©ponse. Cette tranversalitĂ© n’est pas infuse, elle s’acquiert. Et en cela il y a des exemples Ă  - Les plus intelligents l’ont fait, Ă  quand nous tous ?Les plus intelligents l’ont transdisciplinaritĂ© » est peut-ĂȘtre une Ă©vidence pour les scientifiques d’aujourd’hui. Pourtant c’est une dĂ©marche qu’ils ont dĂ» apprendre Ă  faire, en battant en brĂšche l’idĂ©e selon laquelle ne peut ĂȘtre prises en compte que les recherches pointues compĂ©titives dans une spĂ©cialitĂ© donnĂ©e. Encore en 1950 des scientifiques s’opposaient sur l’idĂ©e que seulement leur spĂ©cialitĂ© spĂ©cifique Ă©tait la plus capable d’expliquer le dĂ©marche de transdisciplinaritĂ© a Ă©tĂ© qualifiĂ©e de vision sommaire du Tout » par Murray Gell-mann prix Nobel 1969 pour la thĂ©orie des quarks qui a contribuĂ© Ă  la crĂ©ation d’un institut pluridisciplinaire, le Santa Fe Institut[83], et BenoĂźt Mandelbrot polytechnicien qui dĂ©crivit la gĂ©omĂ©trie Fractale en 1975 exprime la mĂȘme idĂ©e[84] en se qualifiant de pionnier par nĂ©cessitĂ© ».Quand des hommes aussi intelligent, l’on fait, qu’est-ce donc qui empĂȘche les plus humbles de le faire ; si ce n’est qu’ils se croient plus intelligent que ce qui le sont, et qui eux sont humbles.
à quand nous tous ?Pourtant, nous restons dans une version gĂ©nĂ©raliste d’un maximum minimal » du Tout, Ă  cause d’un enseignement gĂ©nĂ©ral tronquĂ©. Certaines disciplines manquant du fait mĂȘme de sa limite arbitraire, fixĂ©e dans sa durĂ©e par nos contraintes Ă©conomiques, et nos pratiques situation dont nous devrons tous sortir, pour entrer dans le maximum possible dans l’intĂ©rĂȘt socio-Ă©conomique de l’ – Pourtant certains s’en excluent, mais qu’il y a une tendance, malgrĂ© un certains s’en excluent
Certains s’en exclus de fait par le choix des orientations professionnelles, dans lequel l’exercice de leur profession ne nĂ©cessitera pas d’avoir une compĂ©tence pluridisciplinaire, disons la majoritĂ© d’entre-nous. Quant Ă  l’apprentissage professionnel, s’il offre la souplesse d’un enseignement gĂ©nĂ©ral plus lent, ce dernier est relĂ©guĂ© Ă  un rang subsidiaire par les acteurs eux-mĂȘmes, et il ressort de ce processus, des professionnels qui auront Ă  construire leur bagage de culture gĂ©nĂ©rale sans aide, et il en est de mĂȘme pour les filiĂšres professionnelles. Des professionnels pour qui Platon est une planĂšte pluton ou un militaire, De Gaule un porte-avions en panne, et que nous les laisserons aux soins Ă©ducatifs » des mas mĂ©dia, parce que disons-nous, ils ont la libertĂ© indĂ©pendance financiĂšre que donne le revenu du travail de rester des ignorants faute de temps Ă  leur autre maniĂšre, nous disons, si durant leur scolaritĂ© nous n’avons pas les moyens techniques de suivre les retardataires, au moins s’ils ne deviennent pas instruits ils auront un certes une rĂ©alitĂ© cruelle, mais elle pĂšsera bien Ă©videmment sur les choix qu’exige l’exercice de la citoyennetĂ©.
 mais il y a une tendance...Dans une Ă©tude sur les tendances » des français il ressort de l’analyse sur la formation Ă©ducation permanente, qu’elle jouera un rĂŽle essentiel, de mĂȘme que la culture gĂ©nĂ©rale, et de dire Les connaissances resteront sans aucun doute importantes, mais c’est surtout la capacitĂ© de les relier entre elles et de faire une synthĂšse intelligible qui seront dĂ©terminantes ». Les employĂ©s et les cadres seront emmenĂ©s Ă  chercher les informations pertinentes, Ă  les actualiser et Ă  les appliquer dans un contexte particulier. Dans cette optique, la Culture gĂ©nĂ©rale redeviendra essentielle. Les lettres pourraient alors prendre leur revanche sur les mathĂ©matiques. La sociologie, la gĂ©opolitique, la philosophie, l’art, l’histoire des civilisations ou des religions seront des outils de plus en plus nĂ©cessaires aux cadres et aux dirigeants, dont le mĂ©tier pour ceux-ci est d’intĂ©grer le prĂ©sent afin d’inventer l’avenir ».[85]Si je me fĂ©licite de cette tendance, elle ne correspond pas tout Ă  fait Ă  celle que je dĂ©fends, et qui va au-delĂ  des seuls actifs cadres et dirigeants. Cette tendance est exclusive, donc Ă©litiste, confiant toujours aux dominants l’exclusivitĂ© de la connaissance, comme s’il devait toujours exister des privilĂšges ou des privilĂ©giĂ©s, comme si les dirigeants Ă©taient investis d’une fonction prĂ©destinĂ©e de guide, voire elle prĂ©sente encore les spĂ©cialitĂ©s en terme de confrontation.
 malgrĂ© un n’est qu’une IdĂ©e reçue que les mathĂ©matiques et la littĂ©rature s’opposent. Cette tendance des français ne tient Ă©videmment pas compte de ceux qu’ils ignorent, que notre monde et nous y compris sommes conçus de particules » ondes et corpuscules en mĂ©canique quantique. Son approche par la seule pensĂ©e philosophique[86] n’a pas suffit Ă  ouvrir les voies de la comprĂ©hension du fonctionnement de notre Univers et de notre Être, sans passer par une traduction mathĂ©matique qui quantifie, nous Ă©claire donc, mais figent les choses dans une mesure. Une mesure qu’il nous faut regarder comme une rampe de lancement. Et ainsi la pensĂ©e ayant conçu les mathĂ©matiques, il n’y a pas d’opposition entre connaissances littĂ©raires et mathĂ©matiques. Cela Ă©vitera Ă  des commentateurs de dire au cours d’un matche de football lors d’un tir, que le ballon s’accĂ©lĂšre en touchant la pelouse effet, ce sont les mathĂ©matiques[87] qui sont devenues le langage de la concrĂ©tisation scientifique, de l’ensemble de nos thĂ©ories bĂąties par la pensĂ©e, et elles ont permis d’en faire la vĂ©rification et l’application. Bien que ce soit les deux, littĂ©rature et mathĂ©matique, qui associĂ©es et vulgarisĂ©es, permettent Ă  chacun, de naviguer dans toutes les autres disciplines. La construction du raisonnement repose tout autant sur la connaissance du langage lexical qui permet le dĂ©veloppement de la pensĂ©e abstraite, que des mathĂ©matiques qui offre la logique dĂ©ductive, et sĂ©parer les deux n’est pas sans incidence sur l’apprĂ©ciation de notre permet Ă  chacun d’y trouver les repĂšres dont il a besoin. L’inverse est aller Ă  contre sens de la nĂ©cessitĂ© de transdisciplinaritĂ©, parce qu’il est aussi nĂ©cessaire dans notre sociĂ©tĂ©, d’avoir des dirigeants compĂ©tents que des citoyens qui le soient tout hommes cĂ©lĂšbres ont dĂ©crit cette nĂ©cessitĂ© d’ĂȘtre compĂ©tent en raillant l’ ainsi que Chateaubriand dans RenĂ© » disait on ne hait les hommes et la vie que faute de voir assez loin », et Lamartine infini dans sa nature, bornĂ© dans ses vƓux, l’homme est un dieu tombĂ© qui se souvient des cieux ». PrĂ©vert, lui Ă©crivait il poursuivait une idĂ©e fixe, il s’étonnait de ne pas avancer ».Et comme rien n’est jamais simple je conclurai avec ce propos de Victor Hugo l’homme qui ne mĂ©dite pas vit dans l’aveuglement, l’homme qui mĂ©dite vit dans l’obscuritĂ©. Nous n’avons que le choix du noir ».Il nous reste donc Ă  l’ - Non pour ĂȘtre des gĂ©nies, mais assez pour nous comprendre, en y consacrant du temps pour ne pas s’ pour ĂȘtre des gĂ©nies mais assez pour nous comprendre
Comme je l’ai Ă©crit, il n’est pas concevable aujourd’hui de devenir de petits gĂ©nies. Quand nous avons besoin de compĂ©tences pointues », nous faisons appel Ă  des spĂ©cialistes ou Ă  des experts, car nous nous sommes rĂ©partis le savoir comme nous nous sommes rĂ©partis les tĂąches, les deux Ă©tant nous ne pouvons ĂȘtre experts en tout, nous pouvons accroĂźtre notre niveau gĂ©nĂ©ral de Connaissance et de c’est ce qui s’est produit avec le dĂ©veloppement de l’instruction gĂ©nĂ©rale, et aujourd’hui l’objectif est le BAC pour tous, avec en fond, l’incomprĂ©hension populaire de trouver des techniciens de surface en relevant que le CEPE est tombĂ© dans l’oubli et que le BES suit la mĂȘme voie, comme diplĂŽmes permettant d’accĂ©der Ă  des malgrĂ© ce nous prĂ©tendons, nous perpĂ©tuons ce vieil adage SumĂ©rien que l’initie instruise l’initiĂ©, l’ignorant ne doit pas savoir, de telle maniĂšre que certaines disciplines ne sont accessibles qu’à certains, qu’elle que soit la sĂ©lection par laquelle cela procĂšde, et que nous qualifions de sĂ©lection naturelle », pour devoir nous dispenser de la il y a aujourd’hui d’impĂ©rieuses raisons socio-Ă©conomiques Ă  enclencher une vitesse supĂ©rieure, pour maĂźtriser notre puissance technologique, rĂ©duire la rĂ©surgence de l’intolĂ©rance, et rĂ©duire la violence pour cela il n’est pas nĂ©cessaire d’ĂȘtre des gĂ©nies, mais bien obligĂ© d’en savoir un peut plus, d’accĂ©der Ă  se savoir que se rĂ©serve l’élite pour ne pas se tromper de cible, en croyant que le bac d’aujourd’hui est un ascenseur social, alors qu’il est tout juste l’équivalant du BEPC d’aprĂšs guerre.
 en y consacrant du temps
Pour accroĂźtre notre niveau de Connaissance, il est inĂ©vitable d’y consacrer plus de temps et de choisir dans la masse d’informations et du savoir choix devra se faire en fonction d’un projet d’enseignement complĂ©mentaire pour adultes. Adultes sortis des circuits d’enseignement traditionnel, auquel ils seront libres de souscrire. A l’avenir c’est sous son initiale ECPA que je le mentionnerai. ECPA qui n’est que le pendant gĂ©nĂ©raliste de la formation professionnelle, et qui ne s’est pas dĂ©veloppĂ© dans le projet d’éducation permanente initiĂ© par Messieurs J. Delors et J. Chaban-Delmas, et lancĂ© en France dans les annĂ©es 1955-1959 par un inspecteur principal de l’éducation populaire et de la jeunesse Pierre sera au travers de ce projet que je qualifie de politique », fixĂ© par la reprĂ©sentation nationale, que seront construits des modules d’enseignements incluant ces peuvent ĂȘtre d’ordre social ou Ă©conomique ou les Le besoin de la population, devant le dĂ©veloppement des techniques de communication, Ă  maĂźtriser l’utilisation de ces techniques, plutĂŽt que de les laisser Ă  un apprentissage civique que les citoyens sachent, comment fonctionne, l’État, les reprĂ©sentations sociaux professionnelles, l’État budgĂ©tise, ce qu’est un circuit, financier, Ă©conomique, anthropologique par les sciences humaines et rĂ©flexif, par la littĂ©raire, lyrique, artistique tout Ă©tat de cause ce projet doit aboutir Ă  la vulgarisation de la Connaissance et du Savoir, rendant ainsi comprĂ©hensible notre activitĂ© humaine culturelle. Une activitĂ© humaine qui creuse un abĂźme entre ceux qui affrontent la puissance dangereuse du Savoir, et ceux qui se retranchent derriĂšre un fondamentalisme passĂ©iste protecteur, parce que simple et anesthĂ©siant par crainte de s’ comme rien ne vient seul il nous faudra bien consacrer du temps Ă  ce qui nous permet de rĂ©flĂ©chir pour ne pas s’égarer, car toutes les connaissances sont disponibles.
 pour ne pas s’ s’en convaincre, il suffit de suivre l’évolution du suffrage universel et des propagandes politiques. Depuis 1983 devant la dĂ©ception des promesses Ă©lectorales, ce sont des votes de dĂ©fiance qui se sont exprimĂ©s. A partir de 1993, la propagande est devenue du marketing importĂ© made USA » vĂ©hiculant des portraits de jeunes premiers idylliques qui se vendent, et chacun fustige l’autre ; Ă  qui lave plus blanc et laisse croire que la politique est un antre de conduit Ă  partir Ă  la recherche de reprĂ©sentants politiques vertueux, c’est dangereusement massacrant », car nous risquons de partir Ă  la recherche d’une race politique et d’une politique vertueuse, comme d’autres sont allĂ©s Ă  la recherche de celle qui Ă©tait supĂ©rieure, alors qu’en permanence nous dĂ©veloppons les conditions de la citoyens se sont vus imposĂ©s une transformation, pas toujours comprise en dehors des spĂ©cialistes, qu’ils qualifient de post capitalisme, ou postindustrielle », qui a conduit les Etats Ă  rĂ©duire leur rĂŽle d’influence » politique sur l’économie dites du marchĂ© », et les projets de sociĂ©tĂ© ne sont presque plus que de contradictoires cahiers de en donner une image, je serais tenter de dire que les organisations professionnelles d’intĂ©rĂȘts corporatifs, sont devenus des plaignants, l’État est devenu le syndicat qui s’adresse Ă  son employeur les financiers. Cela, parce que nous ne sommes plus au fait des mutations ou Ă©volutions, Ă  cause de la diffusion d’un savoir sociologique trop pauvre, face Ă  une Ă©volution technologique trop rapide, et d’un encodage relationnel devenu un code complexe d’ Ă©galement parce que nous croulons sous une information dantesque, que plus personne n’a le temps ni de lire ni d’écouter dans son ensemble, ce qui parfois conduit au paradoxe d’étouffer l’originalitĂ© soit d’idĂ©es ou d’Ɠuvres, pour rester accolĂ© au systĂšme mercantile dans lequel se vend mieux tout ce qui est racoleur, scabreux, polĂ©mique, et oĂč le voyeurisme a pris le pas sur l’ vais le redire d’une maniĂšre plus primaire qui trouverait sa place dans Charlie hebdo. J’ai dĂ©jĂ  mentionnĂ© le rĂŽle important de l’information, qui dĂ©passe de loin son seul rĂŽle d’organe informateur. Et dans un monde oĂč l’on se personnalise aussi par leur intermĂ©diaire, Ă  vendre de la merde » tout le monde veux devenir comment le savoir ?Une histoire l’illustre. Deux hommes discutent sur un trottoir et s’arrĂȘtent. – tu crois que cela en est ? – Je ne sais pas. Un des deux mais le doigt dedans et goĂ»te. - Oui ceci en est ! - Et bien on a bien fait de ne pas mettre le pied dedans ! »Cette histoire illustre la rĂ©gression oĂč nous sommes, encore contraints aujourd’hui de mettre le doigt dedans pour nous rendre compte quand cela en est afin de ne pas y alors que des hommes ont payĂ© un lourd tribut, par leur vie, pour nous en sortir, pour que par l’intelligence » nous soyons aptes Ă  la il nous faudra encore certainement quelques siĂšcles de dĂ©veloppement de l’intelligence pour ne plus nous complaire Ă  fabriquer des morts, nous dĂ©lecter de l’odeur des cadavres, Ă  tel point que nous en faisons un divertissement. Je ne veux pas par-lĂ  ignorer la violence, ni croire que c’est en l’interdisant qu’elle va disparaĂźtre, mais souligner que si notre Ă©ducation tend encore Ă  mettre en exergue nos caractĂšres de charognards, c’est que nous avons dĂ» nous Ă©garer quelque part. Je ferme la page Charlie – L’enseignement complĂ©mentaire pour adulte ne doit pas rester une exclusivitĂ© sans relation avec le systĂšme Ă©ducatif, mais il va susciter des choix difficilesL’enseignement complĂ©mentaire pour adulte ne doit pas rester une exclusivitĂ© sans relation avec le systĂšme Ă©ducatif
Le choix qualitatif du contenu des ECPA devra ĂȘtre suivi d’un autre, Ă  l’intĂ©rieur de chaque discipline, pour sĂ©lectionner les niveaux du savoir qui devront ĂȘtre vulgarisĂ©s, d’initiatiques Ă  spĂ©cialisĂ©s ; pour apporter les bases qui permettent de comprendre et assimiler la discipline enseignĂ©e, sans en devenir des effet, le niveau professionnel existe dans les circuits universitaires, mais il n’y a pas d’objection Ă  concevoir que celui-ci soit accessible Ă  l’occasion des ECPA, en Ă©laborant des cycles qui permettent son accĂšs. Cela pour tenir compte que les ECPA puissent Ă©venter, dĂ©voiler des vocations professionnelles. Le choix qualitatif consiste Ă  faire le mixage appropriĂ© au projet envisagĂ© dans la construction des modules et des niveaux dans la durĂ©e, pour rendre accessible un savoir universitaire supĂ©rieur, qui sera adaptĂ©, reformulĂ©, simplifiĂ©, mais pas dĂ©figurĂ©. Je n’ai pas d’attachement Ă  formuler en l’espĂšce, sinon de ne pas m’accorder l’idĂ©e de vouloir faire croire qu’il suffirait de faire le bon choix pour que tout soit pour le je reste attachĂ© Ă  l’idĂ©e qu’un savoir supĂ©rieur ne doit pas rester de la seule comprĂ©hension des spĂ©cialistes, et que pour le partager, il n’est pas nĂ©cessaire d’en devenir un.
 mais il va susciter des choix la comprĂ©hension de qualitatif » semble Ă©chapper Ă  personne, il est plus difficile de s'accorder sur les sĂ©lections des matiĂšres qui sont de qualitĂ© pour dĂ©marrer le projet. Ceci dĂ©pendra de la qualitĂ© de discernement des concepteurs des programmes, et de leur reprĂ©sentation l’étape suivante devra ĂȘtre la mise Ă  disposition de la totalitĂ© du savoir disponible, dans une sociĂ©tĂ© oĂč les exigences Ă©conomiques et sociales inhibent ou conditionnent nos sensations, pour que les hommes puissent y trouver la part du savoir qui concourt Ă  la comprĂ©hension de leur ĂȘtre inachevĂ©[88], et y trouver l’expression de leur Moi. Il y a donc la matiĂšre Ă  avoir des dĂ©bats difficiles pour fixer des choixUn Être inachevĂ© comme l’a dĂ©veloppĂ© Égard Morin, et qui m’a inspirĂ© le poĂšme regard se dresse vers des constructions,Vers des Ɠuvres closes comme des maisons,Je masque les brĂšches pour conserver mon paradisJe colmate les fissures pour ne pas laisser entrer la n’y a pas de paradis Ă  conserverPas de futur Ă  Ă©difier,Pas d’histoire Ă  n’y a pas de terre promise oĂč allerPas de messie Ă  espĂ©rer,Pas de vĂ©ritĂ© Ă  toit se lĂ©zarde oĂč vais-je m’abriter ?Quel Ă©difice vais-je pouvoir Ă©lever ?Je veux une masure en ordre pour me protĂ©ger,Des murs de certitudes pour me n’y a pas d’harmonie Ă  trouver,Pas de solution Ă  donner,Pas de bonne n’y a pas de dĂ©sordre Ă  Ă©liminerPas de contradiction Ă  effacer,Pas d’inĂ©galitĂ© Ă  quel est ce monde oĂč j’ai mis les pieds ?D’oĂč vient cette existence toujours inachevĂ©e ?Je vais briser les portes des systĂšmes fermĂ©sEt je trouverai dans ma tĂȘte la thĂ©orie y a des notes de musiques dans la voie portĂ©es d’étoiles pour espĂ©rer,Que c’est sur terre que je sais y a des plĂ©iades ithyphalliques dans l’empyrĂ©eLa robe d’AndromĂšde pour penser,Que c’est sur terre que je sais prochaine demeure sera faite d’harmonieSous un toit de gammes Ă©tendu dans l’ une clĂ© qui n’ouvre que des mĂ©lodiesEt je me nourris des mesures d’une y a un orchestre pour jouerQue tous les jours sont fĂȘtes,Pour qui sait y a un orchestre pour chanterQue la vie est faite,De plaisirs y a un orchestre pour rĂȘverAux bonheurs Ă©phĂ©mĂšresQue j’ai inventĂ© !SUR DES telle idĂ©e de rĂ©alisation de ECPA n’est pas concevable sur une gĂ©nĂ©ration, pourtant devant l’évolution de la technologie il nous faudra aller vite. Ce que nous savons faire quand il s’agit de vendre un - Par transmission et transmission et est aisĂ©ment comprĂ©hensible qu’un Enseignement ComplĂ©mentaire pour Adultes, demande une mise en service Ă©talĂ© sur des gĂ©nĂ©rations, puisqu’il s’adresse Ă  l’ensemble de la population. Toutes les nouvelles organisations modifient des habitudes et divisent les points de vue, un tel objectif ne pouvant s’inscrire que dans une planification modulable. Aussi, le choix qualitatif Ă©voluera Ă©galement au fil des gĂ©nĂ©rations, pour prendre en compte les connaissances et le savoir qui circulent par transmission. Ensuite pour prendre en compte les connaissances qui sont aussi dĂ©veloppĂ©es par apprĂ©ciation subjective liĂ©e aux Ă©vĂ©nements existentiels dĂ©veloppĂ©s par les constructions sociales, ou par discernement de besoins futurs, les deux Ă©tant parfois liĂ©s. Cela en espĂ©rant qu’elles se vĂ©hiculent au sein du groupe familial aussi simplement que nous apprenons Ă  gratter une allumette sans se brĂ»ler, non comme certitude, mais comme repĂšre d’un tremplin pour aller plus savons le faire dĂ©veloppement du marchĂ© du loisir en est un – ArrĂȘtons un instant dessus pour regarder comment l’on passe d’une tradition Ă  un marchĂ© planifiĂ© qui a dĂ©veloppĂ© un savoir-faire l’on passe d’une tradition Ă  un marchĂ© planifié Par exemple, aujourd’hui personne ne s’étonne de voir les uns et les autres s’adonner au bricolage ou au jardinage. Il suffit d’observer l’expansion des magasins spĂ©cialisĂ©s pour s’en entrer dans toutes les conditions de son dĂ©veloppement, deux au moins m’intĂ©ressent ; le temps libre et la vulgarisation du savoir-faire. Pour n’observer que sa vulgarisation, elle s’est fait d’une part, par la publicitĂ© de produits ou matĂ©riels facilitant soi-mĂȘme la rĂ©alisation de travaux et par la parution de manuels spĂ©cialisĂ©s ; et d'autre part, par simple circulation orale par le bouche Ă  oreille. Rien de moins traditionnel, si ce n’est que la disposition de temps libre a facilitĂ© l’émergence d’un marchĂ©. Pour les connaisseurs, ce marchĂ© existait, il suffit pour cela de se rĂ©fĂ©rer Ă  la date de parution de la revue du bricoleur SystĂšme D».Pour continuer dans cet exemple, observons le savoir-faire mis Ă  la disposition des consommateurs bricoleurs. Du seuil de l’astuce ou du truc pour se dĂ©brouiller seul, il est passĂ© Ă  celui d’un niveau initiatique et spĂ©cialisĂ© de la connaissance mĂ©thodologique d’un mĂ©tier. Ensuite, il s’est professionnalisĂ© du fait de la demande des utilisateurs, et de leurs aptitudes Ă  rĂ©aliser une mĂ©thodologie complĂšte de tĂąches appartenant Ă  d’autres mĂ©tiers que le leur, mĂ©tiers qu’ils n’avaient pas pu apprendre du fait de la rĂšgle de la sĂ©lection scolaire, et du marchĂ© du travail.
 qui a dĂ©veloppĂ© un savoir-faire sur une courte pĂ©riode de quelque 30 ans, la qualitĂ© du savoir-faire dĂ©livrĂ© par les revues spĂ©cialisĂ©es d’informations et autres sur le bricolage a Ă©voluĂ©. Le bricolage est devenu une activitĂ© de loisir et de faire soi-mĂȘme », incitĂ© en cela, par la disparition de certaines tĂąches non rentables des mĂ©tiers de la rĂ©paration ou par simple souci d’économie voire de certain mĂ©tier qui se sont rarĂ©fiĂ©s, en mĂȘme temps que par l’individualisation et l’amĂ©nagement de l’habitat, et la production de biens de sĂ©ries et du jetable, ainsi que des productions de masse rĂ©alisĂ© dans des États il y a 60% des français qui bricolent, contre 45% en 1969. Dans ce seul secteur, la dĂ©pense par personne atteint 244 Euros 1600 f, le jardinage 213,50 Euros 1400 f, et le bricolage automobile 396 Euros 2600 f par mĂ©nage motorisĂ©. Ces quelques chiffres montrent Ă  l’évidence que le marchĂ© du loisir se porte qu’en est-il du marchĂ© de la Connaissance et du Savoir, le marchĂ© de la - Le savoir se vend mal sauf parmi ceux qui le possĂšdent, mais la culture populaire enrichit leur protagonistes. Elle est l’objet de dĂ©bats, dans lesquels il faut un dĂ©codeur qui existe en kit et en piĂšces dĂ©tachĂ©es dans le magasin de la mĂ©connaissanceLe savoir se vend mal sauf parmi ceux qui le possĂšdent
Si on regarde Ă  partir de l’exemple ci-dessus, le dĂ©veloppement de l’enseignement complĂ©mentaire auxquels actuellement les adultes s’adonnent, cet enseignement, mis en parallĂšle Ă  celui du loisir, en est au stade embryonnaire du bricolage. Cela, parce que chacun se cultive Ă  sa convenance dans le marchĂ© » de la culture existant, et que la part correspondant Ă  un apport de Savoir, dans ce marchĂ©, est apport de savoir complĂ©mentaire se fait essentiellement au travers de la lecture. Il faut donc Ă  la fois examiner et trier la part qui conduit Ă  une accumulation de savoir, ceci par rapport Ă  la culture ludique, quand les deux ne sont pas cumulĂ©s comme beaucoup d’ouvrages, ou le ludique permet de rĂ©aliser la vulgarisation de sciences dures, ou qu’il vient en complĂ©ment pĂ©dagogique de l’enseignement ne veux pas dire par-lĂ  que j’écarte l’activitĂ© ludique comme moyen d’enseignement, ni l’utilitĂ© des ouvrages purement rĂ©crĂ©atifs », s’ils existent c’est que leur usage correspond Ă  un dĂ©sir exprimĂ© ; mais je ne les retiens pas comme constituant un apport de connaissances correspondant au sens oĂč je l’ai dĂ©veloppĂ© pour les ECPA. Je reconnais par ailleurs que mon analyse est arbitraire, car des ouvrages rĂ©crĂ©atifs » sont parfois des supports Ă  un enseignement, et j’ai Ă  l’esprit des ouvrages de romans ou de sciences-fictions, comme tout un chacun peut en avoir, qui sont conseillĂ©s parfois comme rĂ©fĂ©rence Ă  lire Ă  l’occasion d’un enseignement ce sont les gens les plus instruits qui s’adonnent Ă  la lecture, et les achats sont comme je l’indiquais rĂ©crĂ©atif ».En effet, les diplĂŽmĂ©s de l’enseignement supĂ©rieur ont reprĂ©sentĂ© en 1998, 24% de la totalitĂ© des achats pour ne reprĂ©senter que 9% de la population. Les femmes ont effectuĂ© 57% de ces ailleurs 51% du total de ces achats sont des ouvrages de littĂ©rature gĂ©nĂ©rale, pour l’essentiel des romans. Les livres des sciences humaines ne reprĂ©sentent que 5% des achats, les ouvrages de sciences et techniques 3%.Si je peux, Ă  tort ou Ă  raison, considĂ©rer que les livres de sciences sont vecteurs de savoir[89], parce qu’ils permettent d’accĂ©der aux mĂ©canismes du savoir, ils reprĂ©sentent seulement 6,2% des achats pour 9553 titres vendus Ă  25476 exemplaires, les livres scolaires 17,3% pour 7274 titres vendus Ă  71209 exemplaires, les livres pour la jeunesse 7697 titres vendus Ă  70470 exemplaires chiffres donnĂ© par le syndicat national de l’édition en 1999.NĂ©anmoins, les livres sont prĂ©sents dans 91% des foyers, et les Ă©carts entre catĂ©gories sociales demeurent. Les ouvriers et employĂ©s ont trois fois moins de livres que les cadres et professions libĂ©rales. La dĂ©pense par personne toutes catĂ©gories confondues reprĂ©sentent 38,1 Euros 250 f[90]. Nous sommes donc loin des sommes consacrĂ©es aux loisirs 858,65 Euros, 5600 f.Pourtant il y a un autre marché» celui de la culture populaire, mais le but n’est pas d’éduquer.
 mais la culture populaire enrichit leurs protagonistes
Si je fais cette distinction, et si j’ai mis entre guillemet le mot marchĂ©, c’est parce que nous vivons dans une sociĂ©tĂ© oĂč se dĂ©veloppe une culture populaire commercialiste » universaliste qui va du fast-food aux sĂ©ries tĂ©lĂ©visĂ©es, et films amĂ©ricains je les cite symboliquement parce que se sont eux qui sont en position hĂ©gĂ©monique, ce serait vrai pour tous ceux qui voudraient les supplanter. Cette culture populaire passe Ă©galement par les multitudes de magazines Ă  caractĂšre informatif, et passera demain par les multimĂ©dias constitue un espace commercial qui favorise l’acculturation, mais qui ne constitue pas un objet propre au dĂ©veloppement du savoir. Cette acculturation nous pouvons, soit la vivre malgrĂ© nous, au travers de notre culture populaire publicitaire, soit l’accompagner par plus de connaissances didactiques, pour ne pas la subir, parce que nous le comprenons et la comprenons. La culture populaire a toujours Ă©tĂ© un espace commercial, il n’y a aucune nouveautĂ© en cela. Ce qui l’est, c’est que ce marchĂ© dĂ©pend de plus en plus de groupes oligarchiques idĂ©ologiques anonymes actionnariat, dont le but est certes de faire de l’argent, mais aussi de maintenir les conditions socio-Ă©conomiques qui leur sont favorables. Ainsi, la diffusion de masse de la culture populaire devient Ă  tort ou Ă  raison le fait majoritaire », voire s’universalise par recherche d’extension de son marchĂ©. Cela n’a donc rien Ă  voir avec le savoir et la connaissance didactique, bien que dans la culture populaire se trouve l’activitĂ© artistique rĂ©sultant d’un enseignement didactique ou autodidacte. Ce que je veux dire par-lĂ , c’est que si toute la population Ă©tait mĂ©lomane, ces groupes vendraient des mĂ©lodies, et ferait tout pour conserver cet esprit mĂ©lomane parce qu’il lui rapporte des profits ; si la population est ignorante ils vendront ce qui satisfait cette ignorance. Vendre du loisir ce n’est pas, mĂȘme dans la culture populaire se rencontre le problĂšme de la concentration et de son incidence sur le dĂ©veloppement de la ce que nous appelons culture sous-entend aussi la possibilitĂ© d’élever ses connaissances, de se cultiver, or la culture populaire consiste Ă  fournir une culture qui ne demande aucun effort de comprĂ©hension pour ne pas rĂ©duire la capacitĂ© de commercialisation espĂ©rĂ©e du produit mis sur le marchĂ© correspondant Ă  l’image de la culture qu’il culture populaire est toujours en rapport avec le niveau de connaissance de la population concernĂ©e en fonction de sa propre culture, et ne contient aucun but d’ soulignĂ© ce passage, et que je le laisse tel quel, car il illustre parfaitement l’ambiguĂŻtĂ© des mots aux sens multiples, dont il faudra que l’on se dĂ©partisse, quand il s’agira de faire l’usage des dĂ©couvertes du gĂ©nome ou celles neurologiques qui ne supporteront aucune il y aura toujours quelqu’un pour nous vendre de la culture populaire pour de la culture culture populaire, c’est aussi apprendre seul chez soi sans aide pĂ©dagogique, un marchĂ© qui va devenir exponentiel avec Internet, et qui est dĂ©jĂ  l’objet de dĂ©bats autour d’intĂ©rĂȘts financiers.
Elle est l’objet de dĂ©bats...Cependant, cette culture populaire vĂ©hicule aussi des constructions sociĂ©tale » que nous subissons par mimĂ©tisme, si nous n’avons pas un minimum de connaissances en sociologie, et qui faute de rĂ©ciprocitĂ© constitue aujourd’hui, par imprĂ©gnation commerciale, une conquĂȘte culturelle. D’oĂč le dĂ©bat qui a existĂ© sur l’espace Culturel français qui Ă©tait celui de l’opposition entre le modĂšle anglo-saxon,[91] et le modĂšle francophone. Elle vĂ©hicule Ă©galement des modĂšles de pensĂ©e destructrice tant au nom de la diversitĂ© que de la spĂ©cificitĂ© culturelle Autonomisme »[92], qu’au nom de l’universalisation mondialisme[93].Il n’y est donc pas facile de s’y retrouver sans repĂšres, ceci, pour parvenir Ă  concevoir ce qu’est la diversitĂ© qui engendre le mouvement socioculturel et socio-Ă©conomique, pour ne pas arriver Ă  un stade ultime oĂč il ne se passe plus rien, parce qu’un modĂšle serait dominant. Également pour ne pas faire comme corollaire de la diversitĂ©, des races » ou des cultures hĂ©gĂ©moniques, lĂ  oĂč il n’y a qu’une espĂšce humaine diversifiĂ©e gĂ©o historiquement ».Il ne faut donc pas avoir peur de trouver une diversitĂ© qui existe de fait, parce qu’elle est liĂ©e Ă  la vie tellurique de notre planĂšte, gĂ©ographie, climatologie etc. et qui concourt Ă  Ă©difier notre culture gĂ©ohistorique[94] » que nous agrĂ©mentons de nos passions concrĂštes ou mystiques, qui sont l’objet de nos dĂ©bats faussement Identitaires, mais parfaitement meurtriers, et bougrement lucratifs pour ceux qui savent en saisir l'opportunitĂ© au sein de la culture le dĂ©bat n’est pas simple devant l’acculturation inĂ©vitable des peuples par la culture populaire, sauf que le pouvoir de l’information peut devenir un pouvoir colonisateur pour ceux qui ont les moyens financiers de s’approprier sa production et sa distribution, sur d’autres qui non que l’ignorance de le subir.
dans lesquels il faut un dĂ©codeur
Une culture pseudo scientiste s’est Ă©galement dĂ©veloppĂ©e avec le mĂȘme type de support. Elle consiste Ă  faire appel aux personnes ayant une compĂ©tence reconnue pour apporter des rĂ©ponses aux problĂšmes qui leur ont Ă©tĂ© soumis dans des domaines qui ne relĂšvent pas de la science, Ă©conomie, droit, politique, religion. Ne pas confondre avec la recherche scientifique des mĂ©canismes qui nous animent, parmi lesquels les mĂȘmes phĂ©nomĂšnes existent, mais pour lesquels je n’ai aucune compĂ©tence pour me autant l’une et l’autre n’influent pas moins sur nos analyses et comportements, car ils font partie du nĂ©cessaire de notre quotidien. Ceci rend indispensable l’accumulation de connaissances pour essayer de choisir, comprendre et non subir cette effet, devant cette explosion d’informations et de dĂ©sinformations, il est devenu indispensable de pouvoir discerner ce qui est exact, d’autres diraient vrai ou la vĂ©ritĂ©, mais comme ces deux mots ont fait tant de morts, je prĂ©fĂšre ne pas les utiliser. Ceci, car dans cette immensitĂ© d’informations composĂ©es d’idĂ©es, de donnĂ©es, de positions, d’affirmations, dont une part peut ĂȘtre erronĂ©e, voire dĂ©libĂ©rĂ©ment fausse, ĂȘtre mal comprise ou embrouillĂ©e, il faut disposer d’un dĂ©codeur intelligent, pour ne pas ĂȘtre simplement plus abusĂ©, ou colporteur de rumeurs, ce qui est dĂ©jĂ  le propre de nos relations sociales et retrouver la perception de nos sensations affectĂ©es ou dĂ©veloppĂ©es par des siĂšcles de constructions sociales. C’est Ă  dire que quand nous traitons l’information, elle l’est, Ă  partir de notre apprentissage initial organisĂ©, nĂ©vrosĂ©, conditionnĂ©. Pour n’en citer qu’un exemple en le prenant dans l’histoire de la misogynie culturelle la femme tentatrice, pĂ©cheresse, soumise, etc., le regard que nous portons sur elles, par culture, affecte les informations les tel point, que certains Ă©voquaient l’idĂ©e d’inscrire les droits de la femme dans la dĂ©claration des droits de l’homme, comme si la notion, mĂȘme religieuse, d’Être suprĂȘme ne l’incluait pas, mĂȘme si l’on sait que ceux qui ont Ă©laborĂ© cette dĂ©claration ne pensaient pas Ă  elle, ou pensaient Ă  elle comme moitiĂ© conjugale appartenant Ă  l’homme par culture, ce qui est biologiquement contre ces dĂ©codeurs existent dans l’enseignement supĂ©rieur, sauf qu’il nous faut avoir la volontĂ© d’en assembler les piĂšces, et apprendre Ă  s’en servir. Ils existent aussi dans la littĂ©rature et la philosophie encore faut-il en lireMalheureusement, les statistiques que j’ai donnĂ©es sur la lecture montrent qu’en dehors de l’enseignement organisĂ©, il y a peu de citoyens qui ont cette dĂ©marche.
 qui existe en kit...C’est pour cela que j’indiquais ci-dessus que la connaissance et le savoir collectif ne se construisent pas plus dans des kiosques Ă  journaux et magazines, que dans les fractions informatives radio ou tĂ©lĂ©vision la culture populaire. Ceci, mĂȘme s’ils y contribuent ou donnent envie de savoir, et mĂȘme si le dĂ©veloppement du savoir a commencĂ© par-lĂ  la communication orale, puis Ă©crite et leurs supports, mĂȘme si la culture populaire a servi, et sert de creuset, de foyer dont sont sorties toutes les ce n’est pas la contester que de reconnaĂźtre aujourd’hui, que la diffusion du savoir et de la connaissance ne peuvent exister pleinement que par une structure d’enseignement permanent le long de l’existence compte tenu de sa quantitĂ©, et de la qualitĂ© nĂ©cessaire quelle effet, une partie de notre culture Humaine est dans des bibliothĂšques, et elle pourrait y rester si par l’ensemble de mĂ©thodes didactiques nous n’avions pas vulgarisĂ© et spĂ©cialisĂ© le contenu de cette culture, au travers de l’enseignement organisĂ© qui assure sa diffusion, et en gĂ©nĂšre en retour. En retour signifiant qu’il n’est lĂ  que pour nous permettre, d’utiliser notre Etre sensible » Etre sensoriel, producteur et penseur, fragile et fort, ordonnĂ© et dĂ©sordonnĂ©, non pour rĂ©pĂ©ter bĂ©atement nos souvenirs comme dirait Socrate, mais aussi pour nous lire et ĂȘtre inventif. Et inventif, nous ne manquons pas de l’ĂȘtre, mais plus dans le domaine technologique que dans celui de la pensĂ©e qui subit une rĂ©gression bien que devant l’abondance de dĂ©couvertes qui complexifient notre monde, nous allons devoir rĂ©organiser d’autres ensembles de Kit d’enseignement pour les rendre disponibles Ă  chacun d’entre nous, du moins pour ceux qui en voudront.
et en piĂšces dĂ©tachĂ©es
Les autres formes mĂ©diatiques et littĂ©raires n’en resteront pas moins un moyen constant d’expression individuel ou collectif, concourant au dĂ©veloppement de la culture personnelle, dont les publications de certains travaux et autres Ă©crits ou images passeront en fonction de leur impact, dans l’enseignement collectif cinĂ©mathĂšques, Ă©vĂ©nements historiques, dĂ©couvertes scientifiques, Ă©ditions, etc.. Ils passeront ainsi de la culture populaire Ă  la culture les Ă©crits des penseurs ont donnĂ© naissance Ă  la philosophie, la philosophie se nourrit de nouvelles pensĂ©es qui se façonnent au fil des Ă©vĂ©nements, et qui circulent. Naturellement le penseur n’écrit pas dans l’objectif d’un enseignement philosophique, quoique l’enseignement puisse y trouver un intĂ©rĂȘt collectif Ă  en faire usage. Ainsi son ouvrage passe du domaine de la culture personnelle, Ă  celui du savoir comme personne n’est dĂ©tenteur de la vĂ©ritĂ©, chaque Ă©crit et information sont des piĂšces dĂ©tachĂ©es de cet immense puzzle qu’est notre existence, dans lequel chacun de nous peut puiser Ă  sa convenance, et en ĂȘtre un au travers des ECPA, il ne s’agit pas de dĂ©finir un enseignement Étatique ou confessionnel, mais de mettre Ă  la disposition de chacun les moyens de devenir en retour un maillon du Savoir ; pour que chacun puisse ĂȘtre une future piĂšce dĂ©tachĂ©e d’un nouveau kit de connaissance, car il n’y a pas de gĂ©nĂ©ration spontanĂ©e d’ĂȘtres intelligents, mĂȘme si par soucis historiques nous les avons classĂ©s dans leur comme repĂšre du dĂ©part d’un Ă©vĂ©nement vers un nouvel essai dans le magasin de la mĂ©connaissance.
 dans le magasin de la mĂ©connaissance...Ainsi, devant la nĂ©cessitĂ© qu’il y aurait de faire un tri dans la diffusion d’écrits, d’informations, tri qu’il ne faut pas assimiler Ă  la censure existante, sans remettre en cause le droit de penser, d’écrire librement, et aussi de se tromper, je pense qu’il vaut mieux, pour assurer une diffusion d’informations sĂ©rieuses, instruire les lecteurs et auditeurs en actualisant leur connaissance et leur savoir au fil de l’existence, afin qu’ils soient toujours aptes Ă  faire le tri impliquera que les ECPA soient au fait des innovations et s’ajustent, car nous le savons, la connaissance est aussi faite de mĂ©connaissances[95] qui surgissent grĂące Ă  dans ce magasin lĂ , celui de la mĂ©connaissance dont nous n’avons aucune idĂ©e, si nous y accĂ©dions sans connaissance bornĂ©e, structurĂ©e nous sombrerions trĂšs certainement dans la folie faute d’avoir les capacitĂ©s cĂ©rĂ©brales suffisamment organisĂ©es pour y faire face, comme sombre dans la folie tout sujet qui n’a plus d’identitĂ©, de passĂ© rĂ©fĂ©rentiel, de un peu ce qui se passe quand nous rĂȘvons, nous accĂ©dons Ă  tout notre magasin d’information, dont leur assemblage nous paraĂźt dĂ©sordonnĂ©, et associe des donnĂ©es que notre raison ne ferait pourtant cela qui attend les hommes de demain, car ils ne feront pas face au monde quantique et Ă  la gĂ©nĂ©tique avec l’enseignement d’aprĂšs guerre recomposĂ© et appauvri comme serviteur du libĂ©ralisme Ă©conomique, qui a son intĂ©rĂȘt comme essai ou marche pied ; mais qu’il nous faudra dĂ©passer pour ne pas en libĂ©ralisme que nous avons Ă©laborĂ© par dĂ©faut de connaĂźtre le monde objectif auquel nous appartenons, mais dont bien des hommes avaient pressenti qu’il ne pouvait pas ĂȘtre un monde de - Le savoir en expansion reste difficile Ă  suivre pour savoir en expansion
La mise en Ɠuvre et l’évolution des ECPA nĂ©cessite une impulsion et une dĂ©termination, et ne peut se concevoir que sur des gĂ©nĂ©rations, du fait mĂȘme du nombre de personnes qu’elle implique, du temps nĂ©cessaire Ă  l’apprĂ©ciation des choix qualitatifs Ă  effectuer, de la mise en Ɠuvre d’une mĂ©thodologie d’estimation qu’il faudra Ă©laborer, mĂ©thodologie dont je n’ai aucune Ă  l’enseignement public ou privĂ© dispensĂ© suivant les pays auprĂšs des populations, quelles qu’en soient les motivations, si nous observons la progression de la crĂ©ativitĂ© » engendrĂ©e par le Savoir durant ces derniĂšres dĂ©cennies, et ce, dans tous les domaines, et si nous Ă©tablissons le rapport entre les rĂ©sultats obtenus par les niveaux de Savoir diffusĂ©s, et les populations instruites dans le laps de temps imparti, nous ne pouvons que constater que plus les populations se sont instruites, plus il nous a fallu consacrer du temps Ă  l’instruction, cela pour produire des biens et des services performants et du fait de l’apparition de nouveaux mĂ©tiers, au dĂ©triment de certains qui ont pĂ©riclitĂ© ou qui se sont industrialisĂ©s dans le cadre de la concurrence, et surtout des dĂ©couvertes scientifiques qui se sont multipliĂ©es grĂące au dĂ©veloppement de l’ordinateur qui offre une capacitĂ© de calcul sans commune mesure avec la exemple, quatre-vingt-dix ans se sont tout juste Ă©coulĂ©s entre la dĂ©couverte de la fonction des chromosomes par Thomas Morgan en 1910, avec, au passage en 1953 la dĂ©couverte de la double hĂ©lice d’ADN, et le dĂ©codage du gĂ©nome humain en avril 2000 par des laboratoires privĂ©s et les deux il y a l’usage de la puissance de l’ordinateur guidĂ© par l’intelligence et le savoir de l’homme, qui ont permis l’expansion du descendons donc toujours plus dans l’infiniment petit pour parvenir Ă  trouver cette loi unifiĂ©e chĂšre aux physiciens ou ce sourire » de Sapiro Note 20. Mais lĂ , ce ne sont plus nos yeux qui regardent, c’est notre tĂȘte qui comprend, et dans ce monde lĂ , qui modifiera nos relations et valeurs sociales, ceux qui n’auront pas appris seront aveugles. De fait, il leur sera difficile de suivre, comme nous pouvons dĂ©jĂ  le constater au travers des dĂ©bats politiques, dans lesquels celui qui n’a pas un langage vulgarisĂ© n’est pas compris, et fait de petites phrases assassines dont les partisans ou les ignorants se ce monde lĂ , les traĂźnards se tourneront vers leur passĂ©, parce qu’il est connu et rassurant, en ignorant qu’ils ne peuvent le reproduire parce que les Ă©vĂ©nements l’ayant produit n’existent plus ; et mĂȘme s’ils croient en imiter l’image celle ci en est une autre. Et ce passĂ© est dangereux si entre-temps nos sens ne nous ont pas permis de concevoir que nous appartenons Ă  une espĂšce.
reste difficile Ă  suivre pour l’instruction gĂ©nĂ©rale ne reste accessible qu’aux scolaires, et bien qu’elle s’adapte Ă  l’évolution des connaissances et des technologies, la population n’attend d’elle qu’une formation dĂ©bouchant sur un emploi, avec les frustrations que cela engendre quand ce n’est pas le cas, et elle ne peut plus rien apporter Ă  ceux qui au moment de leur scolarisation n’avaient accĂ©dĂ© qu’au minimum. En cela ils n’ont rien Ă  envier Ă  leurs cadets, car l’instruction des sciences sociales et humaines demeure comme par le passĂ© une spĂ©cialisation, alors qu’au quotidien nous les vivons. Ceci n’est pas en contradiction avec l’augmentation du niveau d’instruction pas forcĂ©ment du Savoir qui est observable depuis les annĂ©es 1970, avec une accĂ©lĂ©ration Ă  partir de 1980. [96] Ce que je veux indiquer c’est que notre systĂšme Ă©ducatif, s’il donne accĂšs Ă  une augmentation de diplĂŽmĂ©s. MalgrĂ© les connaissances acquises ces diplĂŽmes ne sont pas suffisants pour rendre comprĂ©hensible notre organisation socio-Ă©conomique, car ce sont des filiĂšres de l’enseignement Ă  visĂ©es productivistes. VisĂ©es qui Ă©limine de fait, parce que non commercialisable, des pans de culture gĂ©nĂ©rale qui constitue le cƓur d’une Ă©galitĂ© des chances d’accĂšs au Savoir. C’est par ce travers en autre chose que sont apparu des spĂ©cialisations d’établissements scolaires pour privilĂ©giĂ©s. Ainsi l’accĂšs au Savoir devient difficile pour le plus grand nombre. Ce seront pourtant les dĂ©tenteurs de ce savoir pluridisciplinaire, qui dĂ©jĂ  se diffuse sĂ©lectivement auprĂšs des cadres et dirigeants depuis plus de quarante ans dans un but spĂ©cifique. Et ce sont eux qui seront le cas Ă©chĂ©ant sollicitĂ©s Ă  formuler leur avis. Les autres, les plus nombres devront se contenter de l’apprĂ©cier avec les seuls critĂšres de leur culture populaire nous savons que lorsque les Ă©carts sont trop grands entre les uns et les autres, s’instaure une incomprĂ©hension source de conflits ou d’ – Mais l’espĂ©rance peut venir la loi du loi du nombre qui fixe le fait social est une maĂźtresse courtisĂ©e, et si elle n’offre aucune garanti de vĂ©ritĂ©, elle constitue le socle d’un maximum de circonstances favorables Ă  la mise en Ɠuvre de la rĂ©alisation d’un loi du pouvons Ă  juste titre espĂ©rer qu’une plus large diffusion de l’enseignement de la connaissance et du savoir, en complĂ©mentaritĂ© sur des gĂ©nĂ©rations tout au long de la vie, apporterait mĂ©caniquement son lot de crĂ©ativitĂ© », sans prĂ©juger dans quels domaines, mĂȘme si cet enseignement peut ĂȘtre orientĂ© par des projets sĂ©lectifs. Et tout cela malgrĂ© une rĂ©partition inĂ©galitaire comme nous la connaissons dans les pays qu’en ayant multipliĂ© sa diffusion nous auront accru la possibilitĂ© que des informations trouvent une association qui n’aurait pu ĂȘtre faite. Mais il faut ĂȘtre lucide le Savoir ce n’est pas l’instruction de l’ignorance ; car l’ignorant instruit devient souvent un tyran – Au fil des que, ĂȘtre individuellement performant est devenu une clĂ© de la rĂ©ussite matĂ©rielle, nous perdons de vue la fonction Ă©ducative de la cellule familiale inter gĂ©nĂ©rative qui est devenue presque obsolĂšte par ignorance, Ă©clatement, sollicitation mercantiliste et par disparitĂ©s sociales mĂȘme si elles gĂ©nĂ©ration, il faut entendre aussi le temps que mettra la connaissance pour devenir partie intĂ©grante de sa diffusion par le biais de la cellule familiale, entre adultes et d’adultes Ă  enfants, de maniĂšre qu’elle s’enracine dans l’acquis. Cela en restant disponible au travers des ECPA, qui seront ouverts Ă  toute future dĂ©couverte ou connaissance dĂ©mentant celles prĂ©cĂ©demment acquises afin de ne pas vĂ©hiculer des donnĂ©es, dĂ©passĂ©es, ou en rĂ©habilitant d’autres qui avaient Ă©tĂ© Ă©cartĂ© par pensĂ©e occidentalisĂ©e je pense par exemple Ă  l’acupuncture qui n’est pas partie intĂ©grant de l’enseignement. Alors qu’aujourd’hui, faute d’organismes comme les ECPA, ce sont souvent les enfants qui sont en mesure d’instruire leurs parents, qui eux vĂ©hiculent encore des pensĂ©es erronĂ©es, au nom du culturel de leur temps, et par absence d’un enseignement auquel ils n’ont pas eu accĂšs, ou comme dans certains États, d’un enseignement confessionnel ou traditionnel. Nous avons donc des enfants possesseurs d’une connaissance didactique, sans vĂ©cu et des parents avec un vĂ©cu qui ne peut pas prendre en compte les nouvelles connaissances didactiques, et donc encore moins apprĂ©cier leur incidence sur le savons parfaitement que dans les familles les plus Ă©duquĂ©es se trouvent les rĂ©ussites les plus probables.[97]Pour la petite histoire, du moins en ce qui concerne l'Europe, c’est Ă  Gutenberg invention des caractĂšres mobiles fondus qu’il revient d’attribuer le mĂ©rite de notre crĂ©ativitĂ© actuelle », car son invention Ă  permis de vulgariser et propager le savoir, n’en dĂ©plaise Ă  Socrate, alors dĂ©tenu par l’empire des lettrĂ©s s’exprimant en Latin, dans toute l’ a permis ainsi l’impression de livres dans toutes les langues vernaculaires qui aboutirent aux langues nationales, et Ă  une meilleure communication par la connaissance, mise Ă  la disposition du plus grand nombre. MĂȘme si ce nationalisme linguistique sĂ©para les lettrĂ©s qui vinrent aprĂšs, qui durent se regrouper et se retrouver dans des sociĂ©tĂ©s de savants, dont les colloques sont aujourd’hui la continuitĂ©, ayant perdu de fait leur langue de liaison le Latin, que nous remplaçons petit Ă  petit par l’anglais commercial, sans pouvons lĂ©gitimement nous poser la question de savoir si le capitalisme serait nĂ© sans la popularisation du savoir. Peut-ĂȘtre. Mais pas en occident. Il serait peut-ĂȘtre plutĂŽt arrivĂ© en Asie, si les Chinois avaient eu un alphabet au lieu de trente mille caractĂšres Ă  classer 44 905 suivant diverses sources dont 3000 d’usage courant, car en 1041-1048 un nommĂ© Pi ShĂȘng inventa le caractĂšre mobile avant Gutenberg 1394-1468, et leur Ă©norme quantitĂ© de caractĂšres reprĂ©senta un handicap pour l’édition. Comme quoi, le dĂ©roulement de l’histoire n’a peut-ĂȘtre tenu qu’à un nombre de caractĂšres, Ă  un moyen technique de D’ACCEUILS, D’ENSEIGNEMENT COMPLÉMENTAIRE POUR – il en existe pour les actifs Ă  hauteur de 30%, mais ECPA on une autre vocation et la capacitĂ© Ă  atteindre est importante. Cela sera fonction d’un choix politique, car nous couvrons bien d’autres existent pour les actifs
Il existe un certain nombre de structures d’accueil destinĂ©es Ă  l’enseignement des adultes, les instituts universitaires du travail, les centres de formation professionnelle, les organismes de formation professionnelle, de perfectionnement, d’adaptation, bref tout l’arsenal lĂ©gislatif en vigueur sur la formation et l’éducation permanente. Arsenal auquel il faut rajouter les organismes de formation Ă  destination des employeurs, et ceux Ă  destination des familles, dans le cadre, des actions sociales de la caisse d’allocation familiale C A F.Ce cadre actuel, Ă  l’exception des spĂ©cificitĂ©s de la CAF, est destinĂ© aux actifs ou en passe de le devenir et les prĂ©pare Ă  l'exercice d’une activitĂ© professionnelle.
à hauteur de 30%.MĂȘme si la formation professionnelle ne couvre qu’une population d’actifs restreints[98], elle remplit sa mission considĂ©rerais pour les besoins du raisonnement, qu'un salariĂ© sur trois suit une semaine de formation de trente heures par ans en roulement turn-over, une sortie Ă©galant une entrĂ©e. Sur une population d’environ vingt-six millions dactifs en 1999, 25,983 millions cela nous donne 8,7 millions de personnes suivant une formation, et un total de deux cent cinquante un millions d’heures de formation, soit les emplois Ă©quivalant de 185 240 personnes/an. Cela donne un aperçu des capacitĂ©s d’accueil actuelles.
 mais ECPA on une autre vocation et la capacitĂ© Ă  atteindre est importante
Si l’on voulait fournir un enseignement Ă  la totalitĂ© de la population française, cela en excluant les vingt millions d’adolescents et d’adultes scolarisĂ©s sur soixante millions de français, ce calcul ne tient pas compte des populations immigrer qui sont bien Ă©videmment aussi concernĂ©s, il faudrait multiplier par quatre et demi les capacitĂ©s d’accueil actuelles pour seulement une semaine de formation annuelle. Nous sommes donc loin des moyens Ă  mettre en Ɠuvres pour couvrir la population.
 cela sera fonction d’un choix politique
Je ne vais pas entrer dans les dĂ©tails de la mise en Ɠuvre pour estimer avec quelle frĂ©quence celle-ci doit–ĂȘtre faite, car tout peut-ĂȘtre envisagĂ©, enseignements journaliers, hebdomadaires, mensuels etc. Naturellement les structures d’accueils devront ĂȘtre de proximitĂ©, du lieu du travail et de l’habitation, et seront fonction de la durĂ©e de l’enseignement choisi, de sa frĂ©quence, du taux de participation, et des cycles mis en relĂšve de l’organisation structurelle Ă  mettre en place Ă  la suite d’un choix politique, comme nous en avons fait d’autres dans l’espĂ©rance Ă©ducative du loisir en couvrant d’autres besoins. Ou comme aprĂšs guerre nous avons dĂ©cidĂ© d’un plan Marshall.
car nous couvrons bien d’autres faudrait au mieux un centre d’enseignement pour adulte ECPA dans chaque ville, ce qui est parfaitement rĂ©alisable. Quelle est la ville qui n’a pas son centre culturel, sa salle des fĂȘtes, ou au minimum son stade de football ?Ne comprenez, au travers de cette image, que mon dĂ©sir de signifier que n’importe quelle municipalitĂ© peut disposer de locaux Ă  l’usage d’un ECPA. Nous avons donc un parc d’accueil existant, celui qui couvre nos besoins actuels et les moyens de l’accroĂźtre par une volontĂ© s’agit lĂ  de structures collectives, mais il peut ĂȘtre mis en place la formule d’enseignement par correspondance, qui ne nĂ©cessite que peu de structures hormis celles Ă  consacrer Ă  la logistique et, qui couvre actuellement un certain nombre de besoins d’éducation. L’une ou l’autre des formules, Ă  mon avis les deux Ă  la fois, ne nĂ©cessite qu’une mise en place de quelques annĂ©es. Cette utilisation des structures d’accueil s'effectuera en fonction des populations au sein desquelles apparaĂźtront des prioritĂ©s, le besoin en connaissance d’un SDF n’étant pas le mĂȘme que celui d’un la tĂąche n’est pas insurmontable car nous disposons d’un TYPES D ENSEIGNEMENT ?25 - Un enseignement pour des adultes, dans un Ă©change particulier auquel nous ne pouvons Ă©chapper, parce que nous sommes des rĂ©pĂ©titeurs qui pourront s’évaluer et afficher leurs rĂ©flexions librement dans des limites enseignement pour des adultes 
Évidemment, l’enseignement devra prendre en compte la diversitĂ© des situations professionnelles, sociales et scolaires. Il devra ĂȘtre modulaire, dans le cadre des projets initiaux dĂ©finis et des programmes d'enseignements. Il s’adresse d’évidence Ă  une population d’adultes parmi lesquels nous pouvons distinguer au moins quatre groupes les actifs qui disposent d’un savoir dans le cadre de l’activitĂ© qu’ils exercent, les pĂšres ou mĂšres au foyer, les retraitĂ©s, et les exclus. Par prendre en compte, j'entends aussi, utiliser les diverses situations, et groupes, pour que les expĂ©riences individuelles viennent s'ajouter Ă  l'enseignement dispensĂ©.
 dans un Ă©change particulier
Comme je le soulignais plus haut, l'enseignement s'adresse Ă  une population d’adultes, dont chacun d'eux a emmagasinĂ© un capital Ă©ducatif autodidacte ou non qui constitue son patrimoine d’entendement et de savoir-faire un enseignement dispensĂ© Ă  des adultes nous n'Ă©chappons pas au croisement des connaissances et du savoir, scolaire ou empirique qui interfĂšre sur celui qui leur est de l’entrevoir comme parasite, il faut le regarder comme un ajout, car il est le reflet du quotidien oĂč chacune des nouvelles informations qui s’échangent, sont immĂ©diatement traitĂ©es par nos cerveaux. Elles sont alors classĂ©es dans les structures cognitives en fonction de l’organisation de nos rĂ©fĂ©rences de valeurs d’utilitĂ© personnelle. Ensuite notre cerveau les classe en fonction de son acquis, pour un usage immĂ©diat ou cet Ă©change croisĂ© entre enseignant et enseignĂ©, qui doit constituer une particularitĂ© de l'enseignement pour adulte.
 auquel nous ne pouvons Ă©chapper
Dans notre monde, le traitement moderne de l’information ou de la dĂ©sinformation, occupe une place quotidienne Ă  tel point, qu’il est apparu des experts et spĂ©cialistes en traitement, de la communication, de l’image pour l'essentiel la presse Ă©crite et audio- visuelle, informations qui, Ă  moins d’ĂȘtre un ermite nous atteint. Ainsi, toutes ces informations, et le langage qui les vĂ©hicule, façonnent le raisonnement et le comportement individuel, et elles sont parties intĂ©grantes de nos Ă©changes faisons donc au quotidien sous notre seul arbitraire un Ă©change d’informations croisĂ©es, qui en dehors d’une structure d’enseignement didactique s’appelle la conversation.
 parce que...S’il en a Ă©tĂ© ainsi, et en sera ainsi quelles que soient les diverses formes sous lesquelles se diffuseront les informations, celles mĂ©diatiques ne rencontrent pas de contrepoids ou pouvoir, si ce n'est celui de leurs propres rĂšgle gĂ©nĂ©rale, ces informations mĂ©diatiques constituent une information descendante qui, si elle se nourrit des manifestations d'opinions collectives ou individuelles exprimĂ©es le vote, les sondages d'opinions, les porte-parole de groupements associatifs, les manifestations populaires sporadiques, et tout Ă©vĂ©nement, cette information descendante s'impose par sa quotidiennetĂ© et est subie, en l’absence de droit de rĂ©ponse les types d'informations inters actives sont rares et ne peuvent ĂȘtre que sĂ©lectives, du fait de la loi des nombres.Elles sont donc souvent prises Ă  tort comme reprĂ©sentant la rĂ©alitĂ© sociale, politique et Ă©conomique d’un effet loupe » qui se rĂ©pand, et donne tout son poids aux mĂ©dias.
 nous sommes des rĂ©pĂ©titeurs
De ce fait dans ce marchĂ© de l'esprit », si je peux me permettre de l’appeler ainsi, la variĂ©tĂ©, la crĂ©dibilitĂ© de l'information s'atrophient malgrĂ© une libertĂ© acquise. Le commentateur, faiseur d'opinion, a pris de l'ampleur pour le meilleur ou le pire, car il est Ă  but lucratif, et il doit d’abord se vendre, tandis que le rĂŽle de l’auditeur ou du lecteur se rĂ©duit presque exclusivement Ă  celui de rĂ©pĂ©titeur pour plaire Ă  Socrate. L’Homme moderne rĂ©pĂ©ter ne prend jamais le temps d’interroger de l’intĂ©rieur, d’autres cultures disent c’est lĂ  une aptitude essentielle dans le cadre de l’appris qui fonde notre sociabilitĂ© et nos cultures, une autre fonction est aussi essentielle celle d’évaluer son appris.
 qui pourront s’évaluer
De fait, dans le type d'enseignement croisĂ©, oĂč l'enseignĂ© intervient dans l’enseignement dispensĂ©, cet enseignĂ© est aussi partiellement porteur d'une rĂ©flexion mĂ©diatique conditionnante », qu’il pourra comparer, mesurer Ă  un enseignement de connaissances et du savoir reconnu aujourd' en mĂ©moire une discussion sur la GenĂšse. Mon interlocuteur avait comme rĂ©fĂ©rence des extraits mĂ©morisĂ©s du film la Bible », de la mĂȘme maniĂšre que les gens du moyen Ăąge avaient les reprĂ©sentations picturales, les fresques etc. qui se trouvaient dans les Ă©glises pour les Ă©difier sur le sujet. Si c’est amusant, c’est aussi cela que nous faisons quotidiennement, car bien Ă©videmment, faute de pouvoir tout savoir nous glanons au fil de notre existence, des informations provenant de peintures ou de fresques » sur les sujets les plus divers, que nous vĂ©hiculons ensuite en ayant que peu de possibilitĂ©s d'en dĂ©battre avec des professionnels. C’est ce que je fais entre autres au travers de cet ouvrage, sinon il faudrait que je sois un gĂ©nie pour maĂźtriser tous les sujets que j’aborde. Et comme Ă  glaner des informations non vĂ©rifier on risque la rumeur, moi je risque le disposer d’un lieu d’enseignement, vulgarisant ou dĂ©mocratisant un enseignement supĂ©rieur qui n’est accessible qu’à une minoritĂ©, permettrait Ă©galement de s’auto Ă©valuer.
 et affiner leurs rĂ©flexions...C’est pourquoi, le type d'enseignement croisĂ© permettra d’affiner totalement ou en partie notre rĂ©flexion, et d'avoir autour des sujets enseignĂ©s une discussion Ă©largie par une rĂ©flexion dirigĂ©e, guidĂ©e. Parce que nous construisons avec notre culture gĂ©nĂ©rale restreinte et notre culture populaire des schĂ©mas parfois erronĂ©s, quand ce n'est pas de contre exactitudes, faute d'interlocuteur patentĂ© ou de discussion Ă©clairĂ©e. Parfois cela va jusqu’à façonner des opinions publiques aberrantes oĂč des individus ou des groupes d’individus s’inventent des maux ou des attitudes pour correspondre Ă  l’évĂ©nement ambiant que la circulation de l’information type d'enseignement croisĂ© permettra de pallier partiellement un certain nombre d’erreur, sous rĂ©serve, qu'il reste dans son rĂŽle d'enseignement complĂ©mentaire, et non pas celui de porteur d’une quelconque VĂ©ritĂ©, et ceci Ă  charge de rĂ©ciprocitĂ© pour les enseignĂ©s.
 librement
L'enseignement croisĂ© offrira ainsi l'acquisition d'un peu plus de connaissance, de savoir, par l’expĂ©rience du vĂ©cu appartenant aux enseignĂ©s. Quant Ă  la la VĂ©ritĂ© », elle est d'une construction plus irrationnelle de l'adĂ©quation entre la rĂ©alitĂ© et ce que pense d'elle l'ĂȘtre humain, individuellement ou en ne doit dĂ©livrer, quel que soit le sujet, qu'un contenu programmĂ©, mĂȘme s'il reste ouvert Ă  la discussion, au dĂ©bat, Ă  l’ les Ă©changes sont libres, il ne peut toutefois l'ĂȘtre au point de se transformer en tribune de confrontation d’idĂ©es propagandistes, chacun restant libre de conserver ses libertĂ©s de point de vue.
 dans des limites type d'enseignement ne couvrira certainement pas tous les besoins. NĂ©anmoins il peut inciter Ă  une dĂ©marche personnelle de recherche Ă©ducative, ou au dĂ©veloppement de la connaissance de ses propres aptitudes qui ne s'Ă©panouissent pas toujours en temps et en heures dans l'enseignement traditionnel. J’ai dĂ©jĂ  dit que le milieu familial et social Ă©tait facteurs de disparitĂ©s de chance devant l’éducation, ce qui ne retire rien Ă  des capacitĂ©s latentes chez ceux qui les vivent. CapacitĂ©s latentes qui Ă©mergent parfois durant l’exercice de la vie socio-Ă©conomique, mais ne se trouvent plus dans le processus Ă©ducatif pour bĂ©nĂ©ficier d’un entraĂźnement mĂ©canique, ceux qui le font sont peu les ECPA tout en demeurant dans leurs limites crĂ©eront un environnement incitatif DISPENSERA CET ENSEIGNEMENT ?26 – Ceux qui ont dĂ©jĂ  la connaissance et le savoir, aprĂšs une formation comme cela qui ont dĂ©jĂ  la connaissance et le savoir,
Je ne vais pas aborder l’aspect quantitatif, non qu'il ne prĂ©sente aucun d'intĂ©rĂȘt, mais il dĂ©coulera de la mise en place du projet Ă©ducatif. Les personnes chargĂ©es de dispenser l'enseignement des programmes, je les appellerai pour la convenance formateurs ».Il y aurait donc comme formateur, certes, une partie du personnel du corps enseignant qui pourrait ĂȘtre partiellement utilisĂ©, je pense aux enseignants universitaires, mais pour subvenir Ă  un enseignement de masse comme j’en Ă©mets l’idĂ©e, il serait nettement plutĂŽt vers ceux qui exercent dĂ©jĂ  leur savoir ou sont dĂ©positaires d’un savoir, qu’il faut se tourner. Cela revient Ă  dire que chaque citoyen pourrait devenir un formateur, soit partiellement ou Ă  temps complet en fonction des programmes Ă©tablis, et d’une disponibilitĂ© Ă  organiser, ceci inclus les retraitĂ©s qui voudraient s’ y a donc lĂ  des milliers d’emplois Ă  crĂ©er et donner un intĂ©rĂȘt Ă  la vie de ceux qui ayant cessĂ© leur activitĂ© professionnelle se sentent mis en marge de la sociĂ©tĂ©.
 aprĂšs une formation
Toutefois, si possĂ©der un savoir est un atout, l’enseigner ou suivre un programme préétabli, tout en rĂ©alisant les conditions d’un enseignement croisĂ©, est plus difficile. Chaque formateur devra recevoir un minimum de formation pĂ©dagogique d’enseignant.
 comme cela notre organisation actuelle, ce type de formateur existe. Nous appelons ces personnes des intervenants extĂ©rieurs ». TrĂšs souvent, dans le cadre, de la formation professionnelle pour adulte, les centres de formation y font appel, la pĂ©dagogie Ă©tant assurĂ©e par l’animateur du stage. VoilĂ  donc une forme d’enseignement effective, concrĂšte, tangible et rodĂ©e aprĂšs un passage, oĂč il y a eu beaucoup de marchand de soupe », comme cela se disait dans le milieu de la formation professionnelle, pour signifier que certains organismes de formation n’étaient pas trĂšs regardants sur les programmes, pourvu qu’ils vendent leur – Sous un ministĂšre tout dĂ©signĂ© l’éducation ministĂšre tout mise en place de formateurs, comme l’élaboration des programmes, nĂ©cessitera l’utilisation d’une structure administrative Ă  l’égale de celle existante dans l’enseignement national sous l’égide du ministĂšre de l’éducation nationale et non pas du ministĂšre du travail comme la formation formateurs ainsi recrutĂ©s prĂ©sentent, comme les intervenants extĂ©rieurs, l’avantage d’avoir ou d’avoir eu une expĂ©rience professionnelle dans leur spĂ©cialitĂ© respective, qui apporte un plus notable, par rapport Ă  un enseignement acadĂ©mique de toute personne connaissant le sujet qu’il a Ă  enseigner peut ĂȘtre, formateur. Ces personnes interviendront en fonction de leurs propres aptitudes pĂ©dagogiques, ayant nĂ©cessitĂ© ou non une formation, sous la conduite ou non, d’un corps de formateurs corps de formateur aura pour fonction de mettre en Ɠuvre l’exĂ©cution des programmes sous la responsabilitĂ© des responsables de centre d’ INCIDENCES SUR LA VIE DES CITOYENS ?28 – Il faut l’imaginer, car nous nous imposons d’apprendre, alors que l’adulte est ostentatoire et conservateur par peur, et que notre futur est presque faut l’imaginer
Inciter une population adulte Ă  s’insĂ©rer dans un enseignement de masse, conduira Ă  gĂ©nĂ©rer une nouvelle rĂ©partition du temps revient Ă  exclure, d’entrĂ©e de trouver des paramĂštres prĂ©existants. Les seuls quelques peu approchant seraient ceux dĂ©coulant de la FPA formation professionnelle pour adulte. Les comportements seront des plus divers en fonction des situations individuelles. Comme pour toutes actions globales en direction d’une population, Ă  l’équivalent de l’application d’une loi, se dĂ©gageront des comportements types, guidĂ©s par l’intĂ©rĂȘt immĂ©diat d’une source de devrait ĂȘtre les populations les plus dĂ©munies qui devraient en faire usage en tout premier lieu, d’oĂč l’importance que revĂȘtira le systĂšme rĂ©munĂ©rateur de ces journĂ©es.
 car nous nous imposons d’apprendre
Je dis qui devraient », car nous n’avons pas une propension naturelle Ă  aller nous instruire et nous nous imposons d’apprendre. Ceci, mĂȘme si chacun d’entre nous est conscient de l’importance de l’instruction, voire parfois intolĂ©rant vis Ă  vis de ceux qui reconnus comme possĂ©dant le savoir, se trompent. C’est Ă  dire que nous ne concevons plus l’erreur comme partie intĂ©grante de notre existence, comme corollaire de la non-existence du zĂ©ro dĂ©faut, et comme probabilitĂ© certaine d’un Ă©vĂ©nement qui se produira du fait mĂȘme de toute l’activitĂ© culturelle que nous avons dĂ©veloppĂ©e, comme causalitĂ©, comme approche qui nous a fait dĂ©finir des systĂšmes punitifs personnifiĂ©s, qui pousse Ă  cacher l’erreur et en gĂ©nĂšre d’autres. C’est parce que nous confondons la responsabilitĂ© d’acteur », auteur d’une erreur, et les occurrences de cette erreur qui Ă©manent des auteurs de l’évĂ©nement culturel sociĂ©tal » incluant l’acteur, occurrences que nous transposons en totalitĂ© sur l’acteur. En effet, nous ne pouvons pas sanctionner La SociĂ©tĂ© culturelle» pour la part qui est la sienne au travers de l’appris qu’elle vĂ©hicule, dans une existence oĂč le libre arbitre n’existe pas, sauf pour ceux qui considĂšrent disposer de la rĂ©duire les erreurs et ses occurrences dĂ©pendent aussi de la quantitĂ© de la connaissance et du savoir accumulĂ©. Et bien des erreurs commises durant l’apprentissage familial ou scolaire pourraient ĂȘtre rattrapĂ©es ou arriver Ă  cela, nous n’avons pas lĂ©gitimĂ© le dĂ©veloppement permanent organisĂ© de la connaissance individuelle destinĂ©e Ă  chacun tout au long de son l’existence, comme une partie intĂ©grante et intĂ©grale de l’évĂ©nement culturel humain ; ce rĂŽle Ă©tant gĂ©nĂ©ralement imparti au groupe familial et il est Ă©minemment liĂ© Ă  l’environnement.
alors que l’adulte est ostentatoire
En dehors du processus professionnel, la diffusion des connaissances, du savoir, des informations demeure comme je l’ai dĂ©jĂ  dit, un marchĂ© » bien que je trouve ce mot mal appropriĂ©.Aussi, plus gĂ©nĂ©ralement, acquĂ©rir l’habitude d’aller rĂ©guliĂšrement dans un centre d’enseignement pour adulte, c’est dĂ©jĂ  s’accepter soi-mĂȘme dans une position dĂ©valorisante en constatant ses insuffisances. Cela alors que nous utilisons toutes les situations de l’existence pour nous valoriser, dans des confrontations permanentes, faisant parfois Ă©talage de pseudo savoir, et surtout en dĂ©valorisant autrui ».Ceci parce que nous sommes poussĂ©s Ă  correspondre aux images de marque imposĂ©es par les autres, de nous couler dans un ordre qui ouvre ses portes aux meilleurs compĂ©titeurs. Parce que nous n’avons de valeur qu’aux yeux des autres, et nous en oublions de cultiver la nĂŽtre, celle qui nous est unique. Qui nous est unique, parce que c’est celle de notre vie unique dans la vie des autres, au milieu de milliards d’informations Ă  traiter par notre intelligence et nos sens. Non pas pour cultiver la diversitĂ© lĂ  oĂč nous avons des goĂ»ts communs, mais pour ĂȘtre nous-mĂȘmes, mĂȘme si nous avons des chances de ressembler Ă  d’autres. En cela parfois il est plus intelligent de dire je ne sais pas » que d’ĂȘtre son propre ennemi pour paraĂźtre l’ami ou l’ennemi d’un autre, ce que nous reprochera, de toutes les façons, notre miroir conscient notion de mal ou inconscient mal ĂȘtre.Ainsi, dans une sociĂ©tĂ© oĂč choisir le meilleur exclut l’autre, une pratique sĂ©lective d’efficacitĂ© est devenue aussi une source de paraĂźtre ostentatoire, cause de nombreux maux.
 et conservateur par peur
Nous n’avons pas trop l’habitude de nous inscrire dans un processus d’éducation sans limite, sauf pour quelques personnes, quelques professionnels, mĂ©decins, scientifiques, certains dirigeants par exemple ; cela dans un univers oĂč l’incertitude effraie, et oĂč tout doit aboutir par nĂ©cessitĂ© Ă  un objectif perceptible. L’exemple le plus significatif au plus haut niveau en est l’opposition, absurde d’ailleurs, entre la recherche appliquĂ©e et la recherche fondamentale la recherche pure, chercher pour chercher sans limite, pour ceux, bien sĂ»r, qui considĂšrent que c’est du gaspillage que de mettre trop d’argent dans la recherche fondamentale. Etre conservateur par peur n’est naturellement pas une anomalie, cela correspond Ă  une exigence biologique de la construction de notre psychique que la socialisation nous impose en permanence de dĂ©passer. Car aucune socialisation ne peut espĂ©rer perdurer dans la forme ou elle s’est dĂ©finie, et ceci impose d’apprĂ©cier ce que nous considĂ©rons ĂȘtre une progression vers hominisation. Hier, cette incertitude inquiĂ©tante Ă©tait rĂ©gulĂ©e par les croyances et les convictions. Aujourd’hui c’est l’argent qui tient ce rĂŽle. En possĂ©der c’est s’assurer ses lendemains, et quand l’argent est rejetĂ© ou fait dĂ©faut, nous retournons vers les croyances et les je n’ai jamais entendu dire que les hommes aient eu l’idĂ©e de se tourner vers le Savoir en tant que but, pour affronter l’incertitude.
 alors que notre futur est presque dans un processus d’éducation sans limite demande de comprendre que nous puissions choisir de vivre totalement, pleinement notre Ă©volution comprĂ©hensible en l’accompagnant consciemment, je pense Ă  celle de notre espĂšce humaine, car les autres se suffiraient Ă  elles seules si nous n’existions pas, car nous altĂ©rons le monde qui est le leur dans un accroissement de toute connaissance du prĂ©sent, en utilisant notre intelligence cognitive estimĂ©e employĂ© Ă  10% de ses possibilitĂ©s ce qui ne signifie pas que notre cerveau ne fonctionne pas Ă  100%. Je vous laisse tirer les conclusions sur une intelligence qui demande d’emmagasiner sans cesse du savoir, car si ce qui reste Ă  apprendre est proportionnel Ă  l’usage de cette intelligence qui nous reste Ă  parfaire, la marge est Ă©norme. Cela, dans un futur dont la seule Ă©chĂ©ance que nous connaissions, comme certaine, est la fin de notre systĂšme solaire et de notre forme de qui, Ă  notre Ă©chelle humaine, donne au futur un caractĂšre presque – Mais ce »futur » c’est aussi une incertitude, que nous rejetons par illusoire grandeur parmi ce que nous pensons d’essentiel, mais il est toujours temps d’ ce futur » c’est aussi une incertitude
Je vais m’attarder un instant sur l’incertitude car c’est un principe fondamental pour les scientifiques, et ceci l’est aussi dans notre existence de mortel avec laquelle nous vivons au quotidien[99].Lorsqu’en 1900, Max Planck, un chercheur allemand, suggĂ©ra que la lumiĂšre, les rayons X, et les autres ondes ne puissent ĂȘtre Ă©mises que par paquets, il les appela des quanta », et avec lui naissait la mĂ©canique quantique. Ensuite, en 1926, un autre allemand, Werner Heisenberg, essaya de mesurer avec exactitude un quanta. Pour ce faire, il faut Ă©clairer un quanta, et les ondes de cette lumiĂšre incidente seront Ă©parpillĂ©es par la particule Ă  mesurer, indiquant ainsi sa position. Cependant, comme la lumiĂšre suivant l’hypothĂšse de Planck fait appel Ă  un quanta », celui-ci dĂ©rangera la particule Ă  mesurer, et modifiera sa vitesse de façon imprĂ©visible. Et plus on recommencera la tentative de mesure, plus on accroĂźtra l’imprĂ©cision. Il dĂ©montra ainsi que l’incertitude de la position de la particule, multipliĂ©e par l’incertitude de sa vitesse, multipliĂ©e par sa masse ne peut jamais ĂȘtre plus petite qu’une certaine quantitĂ© que l’on nomme la constante de Planck ».Cette dĂ©monstration est appelĂ©e le principe de l’incertitude ».Hawkins a Ă©crit Ă  ce sujet, le principe d’incertitude a eu de profonde rĂ©percussion sur la façon dont nous envisageons le monde ; mĂȘme si ses implications n’ont pas Ă©tĂ© entiĂšrement admises par nombre de philosophes et font l’objet de polĂ©mique. Le principe de l’incertitude indique la fin du rĂȘve d’une thĂ©orie de la science, d’un modĂšle de l’univers complĂštement dĂ©terminĂ© Ă©laborĂ© par Laplace. Comment Ă  partir de cela prĂ©dire les Ă©vĂ©nements futurs avec exactitude si l’on n’est mĂȘme pas capable de mesurer l’état prĂ©sent de l’univers avec prĂ©cision ? Ainsi le principe d’incertitude de Heisenberg est une propriĂ©tĂ© fondamentale inĂ©luctable du monde d’aujourd’hui ». [100]Nous comprenons donc trĂšs bien que, si Heisenberg avait eu toute la connaissance et les informations nĂ©cessaires pour effectuer sa mesure il ne s’en serait pas privĂ©. Ainsi, cette incertitude est liĂ©e aux moyens de notre connaissance, et dans sa mĂ©connaissance il utilisa cette incertitude pour en faire une valeur indicative. Ce que nous pouvons retenir de cet exemple c’est que comme un quanta qui mesure un autre quanta ne suffit pas Ă  dĂ©finir avec exactitude, dans la mĂȘme mesure la position et la vitesse d’un quanta, il est peu probable que l’homme se mesurant par lui-mĂȘme puisse se dĂ©finir avec prĂ©cision, mais il ne nous est pas interdit d’en connaĂźtre sa valeur moyenne. Ainsi l’incertitude peut ĂȘtre utilisĂ©e pour dĂ©finir une certitude moyenne. Ceci en attendant que les informations que nous recueillons sur nous puissent trouver des dĂ©finitions prĂ©cises et exactes, de telle maniĂšre que la dĂ©finition ne soit pas l’objet d’erreurs dans l’interprĂ©tation des Ă©vĂ©nements, et c’est lĂ  un dĂ©fi des plus difficile, voire, l’optimisme me pousse Ă  ne pas dire impossible car quelque par il doit y avoir la sourire, d’autres techniques existent aujourd’hui pour cerner au plus juste la position d’une particule, dans les limites fixĂ©es par le principe d’incertitude, notamment en la refroidissant ce qui ralentit son dĂ©placement. Il ne faut pas en conclure qu’il faudrait refroidir les hommes pour qu’ils se connaissent mieux, bien que dans les pays froids nous puissions constater une plus grande sociabilitĂ©, du fait mĂȘme que leurs dĂ©placements sont restreints, et que cela les conduit plus facilement Ă  une auto acceptation pacifiste. Nous retrouvons cette tendance au travers des pratiques religieuses, dont leurs dieux donnent une image. Les Germains, Baltes ou Slaves n’avaient que peu de pratiques guerriĂšres, contrairement aux Celtes qui Ă©taient un peuple querelleur et batailleur. Et si nous vĂ©hiculons encore sur eux des idĂ©es de peuples barbares, ce n’est dĂ» qu’à une lecture chrĂ©tienne de leur histoire idĂ©alisĂ©e, et non Ă  une lecture historienne. Source encyclopĂ©die de religions.Mais le dĂ©bat est plus difficile que ce que je viens de l’exposer. Si l’on retient que la mĂ©canique quantique est la quantification d’informations qui donnent corps Ă  la matiĂšre par un processus que nous ignorons, ces informations donnent Ă©galement des images de ce qui est, mais qui n’est qu’une information virtuelle, un reflet, un double sans consistance physique aux consĂ©quences effectives pour ceux qui les observent, les paradoxes[101]. Ceci rapportĂ© Ă  la conceptualisation de nos schĂ©mas abstrait par notre cerveau, se pose de fait une question qu’elle est la part de nos rĂ©ponses Ă  des schĂ©mas cĂ©rĂ©braux qui pourraient n’ĂȘtre que virtuel », parce que nous sommes Ă©galement le produit d’informations quantiques ?N’est-ce pas ce que nous faisons Ă  tous les instants ? Cela en recevant l’information d’un Ă©vĂ©nement qui c’est produit ailleurs, et y donner une rĂ©ponse conforme Ă  notre affect dans lieu oĂč nous sommes pour bĂątir une image mentale; Ă  la diffĂ©rence que dans le monde quantique la loi d’unification ou l’ordre sous-jacent ne se trompe pas aussi souvent que notre cerveau par son langage sĂ©mantique, peut-ĂȘtre parce qu’elle ou ils ignorent l’incertitude.
 que nous rejetons
Dans notre existence, l’incertitude s’associe Ă  la probabilitĂ© de la survenance d’un dĂ©sir dont nous anticipons les possibilitĂ©s de rĂ©alisation en fonction des connaissances objectives ou subjectives que nous possĂ©dons de lui[102].Ainsi, nous n’aurons toujours » qu’une connaissance limitĂ©e, d’autant plus que l’ensemble sera complexe ou bien qu’un ensemble simple fasse intervenir un ensemble plus complexe qui nous conduira Ă  des Ă©checs. Ces Ă©checs eux-mĂȘmes accroĂźtront notre connaissance de toutes choses. Sauf que l’échec, produit de l’incertitude, culturellement nous nous en culpabilisons, et nous en punissons. De plus notre apprentissage est basĂ© aussi sur un systĂšme punitif, qui va de la gifle au paradis, par dĂ©faut de connaissance de ce que nous sommes, car l’évĂ©nement culturel accroĂźt les contraintes de son exercice. Contraintes qui engendrent autant de systĂšmes punitifs inappropriĂ©s, que des approches superstitieuses, ou divinatoires pseudo scientifiques, graphologie, numĂ©rologie, astrologie etc. qui relĂšvent de l’escroquerie, car si cela pouvait ĂȘtre, ces gens serait des dieux. Le jour oĂč l’un d’entre eux vous dira, Ă  la seconde, Ă  quelle heure le lendemain vous allez vous laver les dents, alors vous pourrez lui baiser les pieds. Pour l’instant les seuls qui soient exercĂ©s Ă  de telles prĂ©dictions sont des scientifiques, et eux, qui sont capables de prĂ©voir quand il y aura une Ă©clipse, ils se gardent bien de prĂ©dire quand vous allez vous laver les dents. Si il en Ă©tait autrement, il y a longtemps que les casinos de jeux et les jeux auraient fait puisque nous les humains, qui sommes au-dessus de l’incertitude, nous avons depuis la nuit des temps nos devins, nos astronomes, nos messies, il n’est pas nĂ©cessaire de s’instruire, car nous sommes justes Ă  cĂŽtĂ© de l’univers, dans une planĂšte taillĂ©e Ă  notre mesure livrĂ©e Ă  notre c’est pour cela que lorsqu’un projet, une espĂ©rance, une rĂ©alisation ne se concrĂ©tisent pas suivant la prĂ©vision escomptĂ©e, qu’une erreur survient, nous sanctionnons, nous licencions, nous pĂ©nalisons car il n’est pas normal que nous nous avec tous ces carcans censĂ©s nous apporter la certitude, nous ne parvenons pas Ă  tous les coups Ă  gagner au tiercĂ©. Pourquoi ?
 par illusoire grandeur
Savez-vous pourquoi nous ne parvenons pas Ă  gagner Ă  tous les coups ?Parce que nous ne sommes pas aussi grand que nous le croyons, nous n’avons qu’une illusion de notre pour comprendre l’évĂ©nement, il nous faut arrĂȘter les choses, arrĂȘter le mouvement, peut-ĂȘtre parce que notre propre existence s’arrĂȘte aussi, et que nous ne savons pas, et ne pouvons pas raisonner en un Tout. En effet, mĂȘme si notre cerveau photographie un paysage nous ne retiendrons que ce qui aura arrĂȘtĂ© notre attention, des fragments le reste se fixera dans notre cerveau sans que nous en soyons conscients de maniĂšre plus ou moins durable. Fragments que nous figerons dans une image passĂ©iste, alors que le paysage aura changĂ© dans la seconde mĂȘme ou nous l’avons fixĂ©. Ce changement aura Ă©chappĂ© Ă  notre regard, et heureusement, car sans cela, avec le traitement sĂ©lectif de notre cerveau actuel, nous ne pourrions rien fonder. Aussi, nous pourrions dire que nous sommes intelligents parce que le reste du Tout nous Ă©chappe, nous pourrions dire que nous sommes intelligents parce que nous n’avons pas accĂšs Ă  notre nous perdons au tiercĂ© parce que nous fixons une limite Ă  la course. Mais imaginez qu’elle n’en est pas dix 10 chevaux s’élancent de 0 Ă  l’infini, difficile de savoir quel est le meilleur, non ! C’est simple. Tous les 10 kilomĂštres vous relever les ordres de passage. ArrivĂ© Ă  l’infini nous faisons la moyenne de celui qui est passĂ© le plus de fois en tĂȘte aux bornes des dix kilomĂštres, et nous avons gagnĂ©. Nous avons trouvĂ© le meilleur cheval en Ă©tablissant des positions moyennes, nous pouvons miser certain ? Non !Si vous faites le point tous les 15 kilomĂštres, cela en sera un le meilleur ne sera pas le rĂ©el meilleur, mais celui que notre ordre aura Ă  l’infini, au Tout nous n’y avons pas accĂšs, nous faisons donc partir 10 chevaux sur mille mĂštres. Il nous faudra alors Ă©tudier toutes les courses qu’ont faites ces chevaux, Ă©tudier l’état du terrain, Ă©tudier le parcours professionnel des jockeys, Ă©tudier la santĂ© physiologique des chevaux et des jockeys, ainsi qu’étudier leur santĂ© psychique. En procĂ©dant ainsi, nous aurons rĂ©duit l’incertitude. Il ne nous restera que la pĂ©riode entre la clĂŽture des paris et le dĂ©part de la course, puis les alĂ©as de la course elle-mĂȘme. OĂč alors, comme nous le faisons, nous jouons au hasard faute d’arriver Ă  dĂ©terminer la probabilitĂ© de rĂ©gularitĂ©s gagnantes qui apparaĂźtront en fonction du nombre de chevaux et de en est Ă©galement ainsi de notre existence et de son systĂšme mĂ©ritocratique » punitif. Son Ă©volution est symptomatique de notre facultĂ© Ă  comprendre les Ă©vĂ©nements, et faute de tout comprendre, nous recherchons toujours une imputabilitĂ© rassurante.
parmi ce que nous pensons essentiel
Pourtant, le plus souvent pour gagner, nous ne comptabilisons que les probabilitĂ©s gagnantes, pas les perdantes. Ainsi, quand nous regardons ce que nous pouvons faire avec la monnaie, nous ne comptabilisons pas ce que nous ne pouvons pas faire parce que nous en manquons, parce que nous la rarĂ©fions. Nous avons Ă  l’esprit, avec l’argent, une Ă©chelle de rapport comme si c’était un biorythme. Or, ce rapport est seulement culturel. Si nous nous demandions combien d’argent il nous faudrait pour rĂ©aliser les dĂ©sirs que nous n’avons pas comptabilisĂ©s, l’impossibilitĂ© rĂ©elle n’est plus une question de quantitĂ© d’argent, mais de temps et de technologie travail plus outils parce que la vie ne suffirait pas Ă  rĂ©aliser tous nos pour rĂ©soudre cette problĂ©matique, nous rarĂ©fions la monnaie, nous posons une borne de 0 Ă  l’infini, et nous organisons des courses autour d’elle que nous pensons essentielles. En consĂ©quence de quoi nous sommes amenĂ©s Ă  nous poser des questions existentielles autour d’elle Ă  la mesure de ce que nous avons appris. Pourtant, rien ne nous empĂȘche den dĂ©finir une nouvelle Ă  cĂŽtĂ© de celle qui existe la raretĂ© pour que de 0 Ă  l’infini, il y ait plus de gagnants. Puis nous en posons une autre, et encore une n’y a que nous, pour nous empĂȘcher d’en poser, car nous avons fait de la diversitĂ© une confrontation, et non un Ă©change en acceptant par facilitĂ© l’hĂ©ritage de nos ancĂȘtres qui avaient un besoin social de fabriquer des VĂ©ritĂ©s conquĂ©rantes.
mais il est toujours temps d’ Au fait, çà ne vous intĂ©resserez pas d’étudier tout au long de votre vie pour rĂ©duire l’incertitude liĂ©e Ă  la comprĂ©hension de votre existence ?Je vous pose cette question parce qu’il y a des personnes qui utilisent le principe de l’incertitude, celui de la thĂ©orie sur le chaos, pour anticiper vos dĂ©sirs et vous proposer des individualitĂ©s clĂ©s en main, en vous expliquant que vous ĂȘtes libre de choisir entre toutes les ! Si ! Je le savais moi, dit le papi Mouseau si j’étais Ă  leur place, les hommes seraient tous libres de faire ce que j’ai dĂ©cidĂ©, comme cela il n’y aurait plus d’ – Car la seule terre Ă  dĂ©couvrir est l’incertitude, mais avec modĂ©ration pour ne pas faire du savoir un Dieu, alors qu’il n’est que culture, mĂȘme s’il est lent et la seule terre Ă  dĂ©couvrir est l’incertitude
Cette incertitude nous l’avons pourtant rĂ©duite. C’est ce qu’il s’est produit avec la scolarisation obligatoire, Nous avons instruit les populations pour un objectif, en ignorant les consĂ©quences qui en dĂ©couleraient au-delĂ  de l’objectif affichĂ©. C’est ainsi que la connaissance, qui hier faisait la gloire de quelques Ă©rudits, est devenue banalitĂ© en se peut donc contester aujourd’hui le bouleversement engendrĂ© par l’alphabĂ©tisation dans notre organisation sociale mise au service de nos motivations ?Sans Ă©mettre un jugement de valeur, elle a engendrĂ© un dĂ©veloppement sans commune mesure dans l’histoire humaine connue Ă  aujourd’hui, qui, elle-mĂȘme, sera aussi sans commune mesure avec la potentialitĂ© humaine qui nous est encore inconnue, sauf Ă  prĂ©tendre comme les obscurantistes d’hier, que nous allons trop nĂ©cessite que je prĂ©cise deux comme je l’ai indiquĂ© dans l’avertissement, si nous regardons le culturel comme un Ă©vĂ©nement en soi, l’accumulation de savoir d’une gĂ©nĂ©ration sur l’autre soit de maniĂšre empirique ou organisĂ©e, par son extension constante dans les populations, ne peut qu’engendrer des consĂ©quences issues de cet Ă©vĂ©nement. Ceci par la simple application de la thĂ©orie du chaos » qui indique qu’une modification d’un des paramĂštres de son ordre, suffit pour influencer l’ensemble. Mais luciditĂ© oblige rien n’indique que c’est pour un donc tout ce domaine inconnu et incertain, incident Ă  l’accumulation exponentielle de savoir, qui nous reste Ă  tout ordre culturel, ignorant de ce qu’il est, tend dans sa majoritĂ© Ă  ĂȘtre despotique, et exclut de fait toute forme de pensĂ©e qui lui paraĂźt hostile. Aujourd’hui ce phĂ©nomĂšne existe toujours, mĂȘme si nous nous pensons civiliser, et il se trouve liĂ© Ă  l’ordre majoritaire actuel, qui fixe une Ă©thique par morale ou qui Ă©touffe par raison commerciale ou confessionnelle ce qui ne se coule pas dans son nous est moins visible, car nous ne pendons plus ou nous ne brĂ»lons plus sur la place publique, car nous disposons d’autres armes pour chasser l’hĂ©rĂ©tique. Dans les faits, cette incertitude qui nous effraie est aussi le propre produit de nos actes ignorants, et la seule chose qui devrait nous effrayer est notre certitude ignorante, une certitude ignorante qui fabrique aussi du doute paralysant. Et c’est lĂ  que se trouve la difficultĂ©, comme dans le cadre de la recherche de la position de la particule, devoir situer leur place, et trouver quand nous sommes dans la certitude ignorante et le doute plus nous apprendrons plus nous aurons une chance, de les situer, et de conquĂ©rir l’incertitude.
 mais avec modĂ©ration
En consĂ©quence de quoi nous pouvons donc espĂ©rer qu’une gĂ©nĂ©ralisation d’un enseignement pour adulte tout au long de l’existence, qu’il est possible d’assimiler Ă  une forme d’alphabĂ©tisation du Savoir, produise des bouleversements analogues dans leur ampleur, et si possible sans les effets nĂ©fastes que nous dĂ©couvrons au quotidien, du fait mĂȘme de l’utilisation de nos rĂ©alisations dans l’accroissement de nos ce sujet les scientifiques devraient se soucier que leurs dĂ©couvertes soient vulgarisĂ©es car ils encourent le risque qu’elles soient rejetĂ©es par les populations Ă  cause du diffĂ©rentiel de connaissance et de savoir croissant entre elles et eux. Cela, parce que l’usage commercial ou politique qui est fait de leurs dĂ©couvertes ne sert pas toujours l’intĂ©rĂȘt de notre espĂšce.
 pour ne pas faire un dieu du savoir
Toutefois, les consĂ©quences d’un accroissement de connaissance ne sont pas linĂ©aires et rationnelles. D’autres facteurs sociologiques sont Ă  considĂ©rer. J’en veux pour exemple l’éminent personnage que fĂ»t Jules Ferry, qui n’en considĂ©rait pas moins la population africaine comme une sous race, et encore aujourd’hui, toute notre connaissance n’a pas fait disparaĂźtre ce syndrome de la actuel, le dĂ©veloppement de certains jeux vidĂ©o est plus proche de l’abĂȘtissement que du dĂ©veloppement de l’intellect, tout en Ă©tant le produit de l’utilisation d’une technologie Ă©laborĂ©e, qui permet d’accomplir par ailleurs des tĂąches grandioses. N’y apprenons nous pas Ă  des enfants, au travers de certains jeux virtuels Ă  faire peu cas de la vie, d’autres Ă  jouer avec des jeux apologiques, dans lesquels il suffit de tuer et de racheter une vie si l'on y meurt soi-mĂȘme, ou de supprimer la civilisation du que dire d’une tendance Ă  un individualisme mercantile excessif qui pousse au repli sur soi, Ă  une idolĂątrie Ă©litiste, Ă  fabriquer des exclus. Des exclus pauvres qui s’enferment dans des ghettos autonomistes, et des exclus riches qui s'auto ghettoĂŻsent » dans des espaces sous vidĂ©o cernĂ© de forces de ne faut donc pas croire que le savoir est le remĂšde Ă  toute chose et qu’il pourra remplacer ce que nous nommons l’intuition ou le bon sens commun », son affect, ce qui fait l’Homme, et qui appartient Ă  sa conscience, son esprit, son Ăąme qu’elles soient mĂ©canistes ou spirituelles, ou Ă  ces 90% de potentialitĂ© du cerveau Ă  dĂ©couvrir. A cette sagesse Ă  laquelle se rĂ©fĂšre certaine culture pour ne pas confondre sciences interprĂ©tatives et sciences expĂ©rimentales, afin de ne pas transformer ce qui n’est qu’un outil de dĂ©couverte la science », en un dieu oppresseur, pour remplacer l’image du pĂšre » qui se recompose.
 alors qu’il n’est que culture,
Cela Ă©tant, il me faut prĂ©ciser qu’apprendre ne suffit pas, si nous oublions de nous regarder pour ce que nous sommes, une espĂšce animale suivant notre propre qualification, s’auto qualifiant d’humaine » par la culture. Un qualificatif qui pourrait lui laisser croire qu’elle n’aurait pas de successeur dans le futur, et que son activitĂ© est pourquoi, l’utopie serait de croire qu’un enseignement permanent pourrait conduire Ă  façonner en chacun d’entre nous, une espĂšce de philosophie populaire ou de gĂ©nie permanent dans un monde, oĂč l’usage est d’utiliser toutes choses pour asseoir sa supĂ©rioritĂ© et sa richesse. Un monde oĂč il ne faut rien attendre des constructions dominantes, qui sont sourdes Ă  autre chose qu’au rapport de force. Constructions dominantes qui n’existent telles quelles sont, que parce qu’elles sont le propre reflet de nos espĂ©rances contingentĂ©es dans un processus d’apprentissage millĂ©naire, de ce que les Hommes ont compris, de ce qu’ils pensent pour cela que tant de rĂ©volutions sont devenues des dominations, croyant faire celle de l’esprit, elles n’aboutirent qu’a faire celle de la matiĂšre, clouant, la plupart du temps, au pilori tour Ă  tour penseurs et philosophes pour Ă©rĂ©thisme ».
 mĂȘme s’il est lent
Car le Savoir est une lente Ă©dification. En consĂ©quence de quoi, il faut plutĂŽt escompter une lente modification des comportements et de la rĂ©flexion. Ceci me paraĂźt ĂȘtre une Ă©vidence, mais n’ĂȘtre surtout qu’une certitude optimiste, car l’évolution poursuit sa route, et se fait avec nous, indĂ©pendamment du fait que nous ayons ou non conscience d’y si jamais pour la nature » l’humain doit ĂȘtre un essai manquĂ©, il reste encore quelques milliards d’annĂ©es d’existence Ă  notre planĂšte, pour gĂ©nĂ©rer une autre espĂšce.
 et Savoir est aussi incertain. Donc, rien ne peut garantir que ce soit pour un mieux comme je le soutiens, parce que nous vivons dans un Univers qui maĂźtrise la totalitĂ© de son ordre sous-jacent », alors que nous, nous organisons le nĂŽtre dans l’ignorance de cet ordre sous-jacent » et de cet Univers l’univers objectif ; de telle maniĂšre que les connaissances que nous en avons ne sont en rien une garantie d’un dĂ©veloppement harmonieux, car l’univers n’existe pas, pour nous, c’est nous qui existons dans l’univers mĂȘme si nous y sommes intervenants, en le sachant ou donner une image de mon propos, c’est comme si le foie s’interrogeait sur les raisons de son existence dans le corps en mĂ©connaissance de son fonctionnement et dans l’ignorance de l’existence du cette difficultĂ© que nous rencontrons, et ce qui nous en est le plus perceptible dans nos sociĂ©tĂ©s est le nombre grandissant de textes rĂ©glementaires et l’accroissement des systĂšmes punitifs devant la modification des repĂšres traditionnels, famille, Ă©cole, religion et parce que nos organisations sont des systĂšmes fermĂ©s. C’est Ă  dire qu’ils regroupent les sujets, les individus, les Hommes dans des organisations mĂ©canistes lisibles par eux, qui engendrent une homogĂ©nĂ©itĂ© de comportements culturels que nous nous acharnons Ă  conserver en l’ parce que nous n’avons pas trouvĂ© la clĂ© qui nous permet de comprendre et d’organiser le dĂ©sordre » qui est l’ordre universel. Ce dĂ©sordre qui n’est qu’apparent car c’est un ordre en perpĂ©tuel changement, en Ă©quilibration[103] » en Ă©change permanent. Alors que nous, ne sachant pas pourquoi nous existons, nous nous construisons des finalitĂ©s dans des ordres qui s’affrontent, parce qu’ils nous sont comprĂ©hensibles et remplissent l’incertitude ».Ce faisant j’intĂšgre sans prĂ©caution le second principe de la thermodynamique, conçu pour traiter des problĂšmes de la dĂ©gradation de l’énergie, dans l’ordre parce que nous ne sommes nous mĂȘme qu’énergie, Ă©nergie que nous consommons plus ou moins en fonction mĂȘme des organisations systĂ©miques que nous Ă©laborons, et cette consommation affecte directement notre systĂšme Ă©motionnel et engendre des comportements qui interagissent Ă  leur tour dans/et sur l’ordre des organisations comprendre tout cela nous disposons de systĂšmes dĂ©terministes que nous pouvons lire pour faire des prĂ©dictions. Nous disposons de systĂšmes alĂ©atoires, oĂč y lire le dĂ©terminisme qu’ils incluent est long et fastidieux, et nous en retenons les probabilitĂ©s. Nous disposons du systĂšme dit chaotique que nous concevons ĂȘtre, mais dont nous ne parvenons toujours pas Ă  y lire la consĂ©quence qu’entraĂźne la modification d’un de ses plus petits Ă©lĂ©ments effet papillon de Edwards Lorentz, dĂ©couvert au cours de l’étude des phĂ©nomĂšnes mĂ©tĂ©orologiques, sauf au travers des deux prĂ©cĂ©dents. Tout cela nous le vivons par la perception et nous l’avons mĂȘme traduit populairement, nous connaissons ce principe de l’effet papillon » comme l’illustre cette comptine,Faute de clou, on perdit le fer ;Faute de fer, on perdit le cheval ;Faute de cheval, on perdit le cavalier ;Faute de cavalier, on perdit la bataille ;Faute de bataille, on perdit le consĂ©quence diffuser le savoir Ă  six milliards d’individus reste incertain, il y a de forte probabilitĂ© qu’un seul d’entre eux gĂ©nĂšre l’effet inverse Ă  celui escomptĂ©, mais autant qu’un l’induise. Et puis l’optimisme, c’est de considĂ©rer qu’il nous a fallu seulement plus de cinq mille ans pour dĂ©finir un temps conventionnel, et comprendre qu’il n’est que cela, ceci autorise une – Une espĂ©rance qui nous astreint Ă  l’effort du fait de notre espĂ©rance
Cependant, les progrĂšs de l’espĂšce humaine ont apportĂ© un petit coin d’ordre dans la comprĂ©hension du dĂ©sordre croissant de l’univers »,[104] et notamment par la thĂ©orie du chaos qui laisse espĂ©rer une comprĂ©hension du dĂ©sordre[105]. Cette rĂ©flexion qui concernait la connaissance de l’univers cosmique est aussi applicable Ă  celle de notre existence. Ainsi, malgrĂ© nous l’homme n’échappera pas Ă  l’obligation de s’éduquer en permanence pour avoir une comprĂ©hension plus complĂšte du dĂ©roulement de son existence, et faire face Ă  cette entropie inĂ©vitable pour la maĂźtriser ou l’accompagner, Ă  l’exemple de ce que nous dĂ©montre la thĂ©orie sur le chaos Note 30, 53. Et une fois de plus comme par le passĂ©, malgrĂ© nous, nous devons trouver des indicateurs Ă  notre existence, non plus seulement en levant les yeux vers l’univers, pour l’interprĂ©ter, mais en comprenant de maniĂšre rĂ©futable ce qui s’y passe. Non pas en levant les yeux pour y trouver quelques VĂ©ritĂ©s, car dans ce cas nous avons dĂ©jĂ  perdu, mais pour comprendre, et lĂ  nous risquons de l’entrevoir, car elle va toujours nous aspirer jusqu’au point oĂč il y a un absolu, un point oĂč tout ce que nous aurons bĂąti s’ maniĂšre que le Savoir dont nous disposons aujourd’hui, malgrĂ© nous, nous aspire vers cet absolu, si nous voulons en faire l’effort.
 qui nous astreint Ă  l’effort
Aujourd’hui, la rupture qui existe entre la scolaritĂ© et la vie active demande un effort d’adaptation pour ceux qui dĂ©sirent se rĂ©insĂ©rer dans un cycle de formation, auquel s’ajoute parfois une perte plus, la fin de la scolaritĂ© est perçue comme un soulagement, et ce, certainement parce qu’elle s’est construite ou conçue dans un dĂ©veloppement historique matĂ©rialiste[106], et non pensĂ© aussi dans le cadre de l’épanouissement de l’intelligence humaine, malgrĂ© sa spiritualitĂ© Ă©vidente comme substrat du dĂ©veloppement de l’idĂ©e du matĂ©rialisme qui s’y substitue. Car, hier comme aujourd’hui, la plupart des hommes ont plutĂŽt demandĂ© Ă  leurs dieux de gagner au loto ou cru que leurs dieux aimaient les biens terrestres, et y ont associĂ© toute la pensĂ©e. Laissant, en cela, le domaine du dĂ©veloppement de la PensĂ©e Ă  une minoritĂ© devant la construire avant de la dissĂ©miner. Pourtant, chacun de nous est un penseur, mais parfois j’ai l’impression que nous la regardons comme propriĂ©tĂ© individuelle spontanĂ©e chacun rĂȘve d’ĂȘtre un petit gĂ©nie qui ne nĂ©cessite pas un apprentissage pour ĂȘtre plus Ă©laborĂ©. Cela, parce la pensĂ©e entraĂźne des controverses quant Ă  son origine, et qu’il est plus facile de se retrouver par la pensĂ©e dans le but de la production d’un bien matĂ©riel. Ceci, parce que nous avons peur de la regarder comme une organisation mĂ©caniste biologique qui se perfectionne, craignant en cela d’altĂ©rer l’Humain, de le dĂ©possĂ©der de son cĂŽtĂ© spirituel, alors que nous nous contenterons d’en repousser plus loin la limite, alors que la PensĂ©e est Ă  la base des effets culturalisĂ©s, comme Ă©vĂ©nement en soi, et que maintenir la PensĂ©e » dans un dĂ©veloppement seulement empiriste, ou Ă©litiste, ou transcendantal, conditionnera l’évĂ©nement culturel. Ainsi, considĂ©rer le dĂ©veloppement de la PensĂ©e » comme rĂ©sultante de l’accumulation de savoir et de connaissances en permanence organisĂ©s, c’est un effort auquel nous serons astreints, et nos stratifications sociales devront l’ elles intĂšgrent de fait toutes nos dĂ©couvertes, qui bouleversent nos repĂšres antĂ©rieurs qui nous laissent ce sentiment actuel de dĂ©sordre, tout simplement parce que l’ordre antĂ©rieur qui nous permettait de nous lire, n’est plus adaptĂ© aux modifications qu’il a engendrĂ©es, il c’est mĂȘme appauvri.
 du fait de notre sommes bien fait de matiĂšre organique mais certainement aussi de particules ». L’un se touche et se voit, l’autre s’imagine et se dĂ©tecte. Cette derniĂšre remarque entre la matĂ©rialitĂ© et la pensĂ©e, nĂ©cessite que je prĂ©cise qu’il ne s’agit pas d’un jugement de valeur, mais d’un ordre de prĂ©sĂ©ance naturel du biologique ou physiologique, oĂč l’esprit ne peut se dĂ©ployer sans passer par la satisfaction des contingences de la matiĂšre qui en est son support le corps. Cela, malgrĂ© les pratiques traditionnelles culturelles, et les ordres religieux spiritualisateurs » qui assujettissent la pensĂ©e dans la constance d’une VĂ©ritĂ© » spirituelle transcendante, et qui en voulant figer l’évĂ©nement culturel » l’altĂšre, ce qui permettrait peut-ĂȘtre de comprendre pourquoi tous nos changements de civilisations ou essais comme je l’ai dit » sont si violents. De plus, philosophiquement, quand nous examinons de plus prĂ©s ce qui relie les tenant du matĂ©rialisme et du spiritualisme, c’est que tous les deux le justifient par quelque chose de commun, un moyen de communication, qu’il soit mĂ©caniste et immanent ou transcendantal, notre cerveau. Pourtant, ce qui fait la diffĂ©rence fondamentale, c’est que dans le premier des cas nous pouvons espĂ©rer comprendre le mĂ©canisme, dans l’autre nous en sommes m’explique lorsque deux avis contradictoires s’affrontent, tous les deux sont justifiĂ©s par les Ă©lĂ©ments, les informations retenus par chacun pour les dĂ©velopper, et chacun d’eux a raison. Car je l’ai dit nous ne pouvons pas concevoir des choses qui n’existe pas ou qui ne soit pas en potentialitĂ© d’ĂȘtre. De maniĂšre que si l’un et l’autre ne se n’échangent pas leurs Ă©lĂ©ments et informations, ils ne parviendront jamais Ă  trouver ce qui manque Ă  l’un et Ă  l’autre. Ils n’arriveront jamais au lieu, au seuil, oĂč leurs avis forcĂ©ment se rejoignent. Et le frein ou la dissuasion Ă  cela, est le Temps ; le temps qu’il a pu manquer pour apprendre. L’impossibilitĂ© de passer tout notre temps Ă  nous comprendre parce qu’utilisĂ© Ă  d’autres tĂąches ; temps que nous compensons par des absolus rigidifiant, dissuasifs. Également, par une impossibilitĂ© physiologique oĂč la vitesse de la pensĂ©e est plus lente que les Ă©motions, et supĂ©rieure Ă  celle de son expression orale, de maniĂšre qu’avec l’oralitĂ© nous soyons toujours en retard sur l’évĂ©nement perçu par nos sens, et traduit par la pensĂ©e, de maniĂšre que nous soyons condamnĂ©s en n’en faire qu’une traduction partielle, et concevoir des termes qui englobent des concepts de pensĂ©e pour gagner du sommes donc attachĂ©s par notre matĂ©rialitĂ© Ă  avoir l’expression de notre Raison qui a d’une certaine maniĂšre un temps de retard sur nos Émotions, et comprendre cela ce n’est pas rien, surtout quand nous devons en apprĂ©cier les consĂ©quences dans notre existence d’obsession punitive. Ainsi, si nous considĂ©rons que la communication c’est avoir un tĂ©lĂ©phone », mĂȘme avec dieu, nous pouvons l’amĂ©liorer, car nous ne sommes tenus que par notre pouvons donc trouver du temps, et appliquer des techniques pour communiquer ĂȘtre en relation, et elles seront d’autant plus efficaces que nous y intĂ©grerons les dĂ©couvertes des mĂ©canismes de la pensĂ©e, et de la conscience qu’apporte la recherche par les neurosciences mĂȘme si elles ne sont pas unanimes, car elles aussi parviendront un jour Ă  trouver le seuil qui les – Comment se faire une idĂ©e du comportement de la population face Ă  la formation, qui est une dĂ©marche limitĂ©e par l’idĂ©e de se faire une idĂ©e du comportement de la population face Ă  la formation 
Aussi, imaginer le comportement d’une population pour laquelle entrer dans la vie active n’entraĂźnerait pas forcĂ©ment une scission avec un processus d’enseignement gĂ©nĂ©ral permanent qui serait rĂ©munĂ©rĂ©, ne peut ĂȘtre fait que part analogie avec des formes qui s’en rapprochent, car je ne connais pas de sociĂ©tĂ©s qui l’aient intĂ©grĂ© dans leur nous examinons les donnĂ©es sur la formation professionnelle qui se rapprochent par la forme des ECPA, 30% des actifs, en moyenne, sont concernĂ©s actuellement. Bien que son dĂ©veloppement ait Ă©tĂ© lent, la cotisation obligatoire des entreprises est passĂ©e de 0,8 en 1970 Ă  1,5% aujourd’hui de leur masse salariale. Les grandes sociĂ©tĂ©s y consacrent jusqu’à plus de 3%, certaines d’entre elles possĂšdent leur centre de formation, tandis que les branches professionnelles ont créé des centres de formation spĂ©cifiques, et des structures de collecte et de redistribution des fonds pouvons en dĂ©duire que l’enseignement professionnel public convient Ă  la prĂ©paration aux mĂ©tiers, mĂȘme s’il ne peut pas satisfaire aux exigences de productivitĂ© et d’adaptabilitĂ© micro-Ă©conomique que formulent les entreprises. Il y a des rĂŽles qui ne faut pas inverser, l’école enseigne et donne des bases d’émancipation qui trouveront leur application dans le dĂ©roulement de l’existence. Mais c’est l’activitĂ© Ă©conomique qui gĂ©nĂšre les aptitudes nĂ©cessaires Ă  la production d’un produit et autres services. Ces aptitudes deviendront des mĂ©tiers et des filiĂšres professionnelles que l’école enseignera, mais elle n’a pas pour rĂŽle d’ĂȘtre le pourvoyeur d’esclaves du monde du travail, ni d’enseigner cette tarte Ă  la crĂšme qu’est l’esprit d’entreprise. C’est pour cela que la formation professionnelle permet de faire les ajustements nĂ©cessaires entre l’école et le monde de l’entreprise. Comme celles qui nĂ©cessite des actions particuliĂšres en direction des chĂŽmeurs devant trouver une activitĂ© dans d’autres branches professionnelles ou favoriser l’accĂšs Ă  de nouveaux emplois dus au dĂ©veloppement de nouvelles technologies. Cet outil d’adaptation et d’ajustement est restĂ© peu utilisĂ©, seulement 4% des salariĂ©s ont une dĂ©marche personnelle de formation, et son regain d’intĂ©rĂȘt est rĂ©cent Ă  bon ou mauvais escient. Mais il faut prĂ©ciser que la lĂ©gislation n’a pas toujours facilitĂ© dĂ©marche. Enfin, l’usage d’Internet se dĂ©veloppe, l’E-LEARNING made in USA qui considĂšre que le savoir Ă©tant disponible sur Internet, chacun n’a qu’à se dĂ©brouiller tout seul pour apprendre. NettoyĂ© de ses marchands de soupe, et de ses modĂ©lisations propagandistes, c’est lĂ , entre les mains de professionnels, un outil de grande diffusion de la formation professionnelle, voire du savoir et de la connaissance ne ressort pas de ceci une tendance de la population de se former en dehors des besoins ces quelques chiffres donnent une notion de l’effort Ă  consentir, pour accepter l’idĂ©e d’un enseignement gĂ©nĂ©raliste permanent pour adulte.
 qui est une dĂ©marche limitĂ©e par l’idĂ©e de mĂȘme dans un secteur d’activitĂ© oĂč il existe une possibilitĂ© permanente de formation, elle reste un palliatif, et n’est pas intĂ©grĂ©e comme un processus constant pour tous d’acquisition ou de perfectionnement de connaissance. La formation professionnelle caractĂ©rise cette permanence dans notre esprit, d’une rupture entre enseignement gĂ©nĂ©ral et vie active. Si, pour l’accĂšs Ă  un emploi, l’exercice d’un mĂ©tier, son attrait se manifeste, il cesse dĂ©s que nous nous estimons suffisamment formĂ©s, car l’idĂ©e de soi est essentiellement tournĂ©e vers l’activitĂ© professionnelle, et les ressources qui en fait, nous rĂ©duisons donc l’exercice de nos potentialitĂ©s Ă  la poursuite d’un but unique, sans lequel nous ne nous reconnaissons plus d’existence sociale, source des plus grands destins, ou des plus sombres misĂšres. Et cette idĂ©e de soi nous apparaĂźt impossible Ă  changer, comme si nous craignions de passer derriĂšre notre pour ce mĂȘme but nous ne craignons pas de le faire, en allant au-delĂ  de notre rythme biologique circadien en ayant une activitĂ© 24 h/24, et mĂȘme sanctionner les erreurs auxquelles elles nous suffit donc d’avoir une autre idĂ©e de soi, par exemple avoir une dĂ©marche – Avoir une dĂ©marche estudiantine plutĂŽt qu’ĂȘtre spectateur, et socialement riche pour rompre un isolement, dans une sociĂ©tĂ© civile trĂšs sollicitĂ©e Ă  consommer. Consommation Ă  laquelle il est dur de rĂ©sister, malgrĂ© quelques une dĂ©marche estudiantine
Ce sont les groupes sociaux comme les mĂšres ou pĂšres au foyer, les retraitĂ©s, les "sans emplois", groupe dans lequel nous trouvons particuliĂšrement la jeunesse des citĂ©s dites Ă  risques, qui auront leur quotidien transformĂ© par la frĂ©quentation des ECPA, car ils peuvent disposer un peu plus aisĂ©ment de leur temps libre que les actifs, et devront intĂ©grer une dĂ©marche estudiantine ».DĂ©marche qu’ils considĂšrent ne plus ĂȘtre de leur ressort, fort de leur statut d’adulte, de leur expĂ©rience du vĂ©cu, et de notre notion de libertĂ© », qui nous laisse croire que nous Ă©chappons Ă  l’apprentissage », parce que nous nous soustrayons Ă  celui organisĂ©. PrĂ©fĂ©rant en cela avancer Ă  tĂątons pour analyser toutes les informations que nous enregistrons. Informations qui sont parties intĂ©grantes de l’apprentissage » empirique, auquel nous n’échappons pas en fin ultime, et qui dĂ©bouche sur la pensĂ©e individuelle et la crĂ©ativitĂ© », mĂȘme si nous suivons un enseignement fait l’enseignement organisĂ© nous permet de gagner du temps pour ne pas redĂ©couvrir soi-mĂȘme ce qui l’a dĂ©jĂ  Ă©tĂ© par d’autres d’ĂȘtre d’éternels Ă©tudiants plutĂŽt que spectateurs de notre existence.
 plutĂŽt qu’ĂȘtre spectateur
Dans ces groupes que la tĂ©lĂ©vision totalise plus de 3 h d’audience quotidienne, Ă  l’exception des 9% de foyers qui n’en possĂšdent effet, les postes de tĂ©lĂ©vision restent allumĂ©s en moyenne 5 h15 par jour, les inactifs y consacrent 3 h50 en moyenne, et les personnes ĂągĂ©es de plus de 50 ans, 4 h. Ainsi, en moyenne, un inactif occupe environ 1300 h annuelle d’audition tĂ©lĂ©visuelle », soit presque autant de temps que celui que consacre un actif au travail 1355 heures en 2000.Et il n’y a que ceux qui ont un intĂ©rĂȘt Ă  le dire, pour affirmer que la tĂ©lĂ©vision n’a pas d’incidence sociologique sur les individus.
 et sociologiquement riche pour rompre un isolement
Cette utilisation de leur temps qu’ils voudront consacrer aux ECPA les emmĂšnera Ă  organiser leurs journĂ©es en gĂ©rant leur occupation journaliĂšre de toute autre maniĂšre. Pour les sans emplois, et particuliĂšrement les exclus et les marginaux, la frĂ©quentation des ECPA serait de nature Ă  rompre leur isolement sociologique par le cĂŽtoiement inter cĂŽtoiement inter gĂ©nĂ©ration devrait ĂȘtre un facteur sociologique essentiel des effets seconds des ECPA, car naturellement l’ñge induit sociologiquement des seuils de sĂ©parations que nous retrouvons dans certains de nos comportements et activitĂ©s.
 dans une sociĂ©tĂ© civile trĂšs sollicitĂ© Ă  consommer
Notre sociĂ©tĂ© a mis en exergue l’individualisme, et la rĂ©ussite individuelle comme Ă©panouissement devant se faire au dĂ©triment de la relation cette optique, tous les dĂ©veloppements technologiques individuels sont privilĂ©giĂ©s, car ils offrent plus de dĂ©bouchĂ©s Ă©conomiques pour les offrent l’illusion d’avoir le monde avec soi sur le simple clic d’un quelconque appareil. Si nous pouvons nous fĂ©liciter de la mise Ă  disposition de toutes sortes d’informations dont nous avons besoin en un temps record, toutes ces innovations ont eu tendance Ă  sĂ©parer, et isoler les hommes d’un contact social qui forge la discussion collective, et donne naissance Ă  ce que nous appelons la sociĂ©tĂ© nous assistons au paradoxe oĂč dans une sociĂ©tĂ© dont les moyens de communication sont en surabondance, nous nous parlons de moins en moins directement. Et nous trouvons de moins en moins de temps pour l’échange relationnel communiquant. Alors que dans le mĂȘme temps nous ne nous sommes jamais autant croisĂ©s, et autant parlĂ© par appareil est certainement dĂ» aux espaces libres occupĂ©s par les publicistes, les logiciels, les centres commerciaux, les parcs Ă  thĂšme, tous ces lieux oĂč l’on va d’abord pour Ă  laquelle il est dur de rĂ©sister
OĂč sont donc les espaces oĂč nous exerçons la citoyennetĂ© ?La coupe du monde ! Cela fait peu une fois tous les vingt ans. Heureusement il y a encore le monde associatif, exclusion faite des associations de sports et loisirs qui reprĂ©sentent 13% du monde associatif sur 39% qui se disent adhĂ©rents d’une association. Le monde associatif s’est ouvert et tournĂ© vers l’intĂ©rĂȘt individuel, et les associations de dĂ©fense d’intĂ©rĂȘts communs sont en l’école ? Nous avons vu effectivement ces derniĂšres annĂ©es des lycĂ©ens se prendre en charge pour dĂ©fendre leur point de vue. Seront-ils en mesure de poursuivre leur expression citoyenne, ou seront-ils absorbĂ©s par la sociĂ©tĂ© de consommation, comme l’ont Ă©tĂ© leurs aĂźnĂ©s de 68, d’autant plus qu’ils s’identifient par rapport aux biens de consommation. Ils se coulent parfaitement en cela, dans le moule qui consiste Ă  exister parce que nous Ă©glises ? Il y a bien une recrudescence de religiositĂ©, mais les Ă©glises ont fait la preuve de leur inaptitude Ă  diriger la sociĂ©tĂ© par frilositĂ© rĂ©formatrice, et constituent plus un refuge, un soutien psychologique Ă  nos peurs, et ce n’est pas non plus en se tournant vers des gourous de tous poils, qu’ils auront les rĂ©ponses qui nous Ă©chappent, parce que le futur sur terre n’existe pas avant que nous ne le construisions au prĂ©sent dans la mĂ©moire du pour oublier que penser c’est difficile on consomme.
 malgrĂ© quelques tentatives
Ce rĂŽle si important de communication directe, et d’échange tend Ă  s’amenuiser malgrĂ© quelques tentatives de cafĂ©s Ă  thĂšme philosophie, astrophysique ou de rĂ©union de quartier, et comme ce n’est pas l’engouement sportif qui constitue un support Ă  la dĂ©mocratie, il nous faudra bien trouver un autre moyen de vitaliser la citoyennetĂ©. En cela les ECPA pourront y contribuer de fait, parce que les citoyens ne se retrouveront pas dans des lieux, oĂč on leur demandera de produire et de se taire, de prier, de consommer, d’apprendre que ces lieux ne soient pas ceux de notre existence, mais l’on nous demande d’y ĂȘtre des spectateurs participants, et non des Ă©tudiants – Il faut maĂźtriser notre intelligence culturelle pour ne pas ĂȘtre faut maĂźtriser notre intelligence culturelle
Vous dire ce qu’il adviendra, je ne le peux pas. Pourtant, ce que je peux dire, c’est qu’une intelligence culturelle » comme celle qui caractĂ©rise notre espĂšce ne se construit pas dans l’isolement. Parce que l’isolement est un danger pour des institutions dĂ©mocratiques s’il met la sociĂ©tĂ© civile Ă  mal ou en autant, si la consommation de technologie n’est pas opposĂ©e Ă  la sociĂ©tĂ© civile ou Ă  la dĂ©mocratie, sa maĂźtrise doit ĂȘtre exercĂ©e par l’une et l’autre, car elle nous affecte. Parce que comme je l’ai dĂ©jĂ  indiquĂ©, nous allons continĂ»ment de l’ordre vers le dĂ©sordre, et n’importe quelle variation engendre des effets. Cela, mĂȘme si nous ne les percevons pas avant un laps de temps rien ne nous garantie dans cette dynamique d’une loi physique, qu’à une organisation dĂ©mocratique en succĂšde une autre, et que le mot de dĂ©mocratie suffit Ă  la chacun de nos actes engendrĂ©s par notre ordre social modifiera ce mĂȘme ordre. Et ce n’est pas parce que nous avons dĂ©fini seulement la responsabilitĂ© individuelle, plus facile Ă  saisir, qu’elle efface, raye, gomme, lave la responsabilitĂ© collective inductive dans la survenance d’un Ă©vĂ©nement. Cela, parce que dans l’approche de cette responsabilitĂ© collective nous craignons qu’elle serve Ă  se cacher de celle de responsabilitĂ© d’acteur ».C’est lĂ , encore une approche dĂ©pendante du dĂ©bat dualiste traditionnel individuel/collectif » que nous sommes loin de maĂźtriser. Et si dans la plupart des pays nous avons encore des sanctions punitives, de l’ordre de la peine de mort, de dĂ©tention Ă  perpĂ©tuitĂ©, ou des peines dites exemplaires », il s’agit moins de justice au sens noble ou nous l’entendons, que l’exercice de la vengeance individuelle ou vindicte populaire, qui a Ă©tĂ© retirĂ©e Ă  l’individu, comme engrenage Ă  la violence vendetta, Ɠil pour Ɠil dent pour dent etc. pour ĂȘtre confĂ©rĂ© Ă  la communautĂ© organisĂ©e. Il apparaĂźt donc bien difficile que la communautĂ© puisse Ă©valuer la part de responsabilitĂ© qui lui incombe dans tout manquement d’un des acteurs de la dite communautĂ©. C’est ainsi que chacun connaĂźt le vieil adage qui dit nul n’est censĂ© ignorer la loi », une maniĂšre comme une autre de se dĂ©douaner, de fuir ses responsabilitĂ©s communautaires d’enseignant », et dont la raison est moins dans la capacitĂ© de le comprendre, que d’estimer que ceci retire des sommes de monnaies du systĂšme productif vers l’organisation d’une activitĂ© sociologique qui se comptabilise comme un coĂ»t dans une organisation libĂ©rale qui pousse Ă  l’ est donc plus facile de comprendre pourquoi nous construisons plus des lieux d’exclusions en tout genre que d’intĂ©grations. Est-il possible de maĂźtriser notre intelligence culturelle » pour ne pas se robotiser ?
 pour ne pas ĂȘtre nous en rendre compte nous possĂ©dons de fait une culture franco amĂ©ricaine, comme la plupart des pays de la communautĂ© europĂ©enne, et d’autres dans le monde. Cela par la position dominante du commerce amĂ©ricain dans les Ă©changes qui s’est installĂ©e comme rĂ©fĂ©rence type des relations commerciales, notamment le lobbying groupe de pression. De nombreuses Ă©coles primaires et secondaires sont en AmĂ©rique sponsorisĂ©es par des producteurs de produit de consommation dits serait navrant que nos futurs penseurs soient le cafĂ© X, le soda Y, ou des clips vidĂ©o, et que nos innovations nous les apprenions par l’intermĂ©diaire des Ɠuvres de sciences fictions, comme des robots qui reçoivent leur culture en mĂȘme tant que la – Faire une place aux Enseignements ComplĂ©mentaires Pour Adultes, par l’incitation financiĂšre ou par une pensĂ©e d’utilitĂ© potentielle, pour ne pas rester des hommes des une place au ECPA
Pour les actifs, c'est leur activitĂ© professionnelle, la durĂ© horaire du travail et le temps de loisirs, qui seront dĂ©terminants pour ajuster leur participation, et faire une place aux ECPA.
 par l’incitation financiĂšre
Pourtant, je ne crois pas que ce sera l’envie de s’instruire qui conduira Ă  la participation aux ECPA. En effet, si l’envie de savoir et connaĂźtre durant son existence dans le but de dĂ©velopper la pensĂ©e crĂ©atrice » existait chez les hommes, il y a bien longtemps qu’une organisation se serait structurĂ©e en se sens du seul fait de la demande. Comme ce besoin Ă©mane de l’évĂ©nement culturel, c’est notre raison qui le ce seront plutĂŽt les effets du gain financier qui auront l'incidence la plus immĂ©diate, d’autant que la rĂ©munĂ©ration proposĂ©e constituera un appel d’offre comme source de revenu, ou complĂ©ment de revenu, et dont sa rĂ©percussion sur la vie Ă©conomique engendrera de profondes transformations chapitre suivant. Sans vouloir ignorer l’incidence que peut avoir notre propre estimation d’un seuil de revenu autosuffisant sur nos espĂ©rances attendues d’une organisation sociale pour satisfaire nos dĂ©sirs insatiables, je ne vois pas qui refuserait un moyen de complĂ©ter ses moins que nous prenions subitement conscience de l’utilitĂ© de la pensĂ©e.
 ou une pensĂ©e d’utilitĂ© potentielle » Or, le dĂ©veloppement de la pensĂ©e crĂ©atrice » passe par trois Ă©tapes. Ces Ă©tapes sont, la saturation, l’incubation et l’illumination suivant la conception de Hermann von Helmhonltz un physicien physiologiste 1821 1894. Le conscient, l’inconscient, et le prĂ©conscient ou l’antichambre de la conscience », dans la premiĂšre topique de Freud 1856 1939 remplacĂ© par une seconde, çà, moi, surmoi, suivit par celle de Piaget, l’assimilation, l’accommodation, l’ j’ai citĂ© Helmhonltz c’est qu’on comprend facilement qu’il n’y a pas de dĂ©veloppement de la pensĂ©e crĂ©atrice » sans une structuration et une accumulation de savoir et connaissances recueil d’information, rĂ©flexion, action.Ce qui est particuliĂšrement difficile, c’est d’adjoindre Ă  la notion de pensĂ©e utilitaire », qui sous-entend un but, mĂȘme si ce n’est celui que d’exister », une pensĂ©e d’utilitĂ© potentielle » vers un but inconnu, vers cette incertitude qu’il nous reste Ă  conquĂ©rir. D’une certaine maniĂšre de faire consciemment ce que nous faisons inconsciemment, de telle façon que ce mĂ©canisme structurel mis en Ă©vidence par ces chercheurs » produise ses pas que nous vivons des certitudes du passĂ© que nous projetons sans cesse dans un futur inexistant, en dehors de notre conscience du pourquoi, qu’apprendre nous prĂ©pare Ă  l’évĂ©nement futur dont nous ne connaĂźtrons les effets qu’une fois l’évĂ©nement rĂ©alisĂ©. En effet, nous ne pouvons mĂȘme pas l’imaginer, si ce n’est qu’au travers d’images issus du passĂ©, limitĂ©es par notre comprĂ©hension actuelle qui n’est pas une garantie de l’innocuitĂ© de l’ pourquoi, contre toute logique universelle connue Ă  l’heure actuelle, nous continuons Ă  ne dĂ©velopper qu’une pensĂ©e dĂ©terministe, laissant le soin Ă  notre inconscient » de faire les adaptations alĂ©atoires qui sont les bases de notre Ă©volution.
 pour ne pas rester des hommes des nous avons un certain choix. Le dĂ©veloppement de la pensĂ©e crĂ©atrice » peut se faire, par la seule observation de l’existence en fonction de nos seules aptitudes rĂ©duites Ă  leur environnement, dans le but d’un seul intĂ©rĂȘt immĂ©diat, comme nos ancĂȘtres Cro-Magnon pour les plus lointains. Ou bien par l’observation de notre existence, grĂące Ă  des structures d’un apprentissage permanent, pour enseigner tout ce que nous avons accumulĂ© comme savoir et connaissance depuis nos illustres ancĂȘtres durant notre existence, afin de se prĂ©parer Ă  des Ă©vĂ©nements que cette accumulation de connaissances et savoir induiront nous passons au mieux 13 annĂ©es dans un enseignement de culture gĂ©nĂ©rale, et nous restons environ 55 ans Ă  considĂ©rer que nous avons assez appris, tout en restant en permanence conditionnĂ©s Ă  notre apprentissage empirique, ou Ă  ceux qui en font l’effort, Ă  l’éducation permanente. En effet, nous sommes aussi cela, un animal qui apprend en permanence, mais nous y donnons aussi un autre nom, le vĂ©cu ».Faute de comprendre cela nous ne trouverons aucune raison qui justifie un apprentissage permanent tout au long de l’existence, et nous demeurerons socialement des hommes des cavernes », mĂȘme si nous sommes capables d’aller en trouver sur Mars, parce que nous transporterons ces cavernes avec nous, pour nous ĂȘtre abandonnĂ©. J’ai utilisĂ© le terme caverne » pour l’image erronĂ©e populaire qu’il vĂ©hicule.36 – Nous voulons ĂȘtre des Dieux, plutĂŽt que de relever le dĂ©fie humain !Nous voulons ĂȘtre des Dieux
Si je devais en donner un exemple, je choisirais celui de l’existence des multitudes de croyances religieuses qui soutiennent dĂ©tenir la VĂ©ritĂ© du vrai Dieu. Ce sont les flux de rĂ©gularitĂ©s observĂ©s la vie, la mort, le besoin de se nourrir et notre comportement existentiel qui ont nourri la rĂ©flexion humaine, et qui ont Ă©tĂ© compressĂ© par elle, en un ou des schĂ©mas conceptuels les livres religieux d’aujourd’hui, avec ses sources d’erreurs d’établir des rĂ©gularitĂ©s lĂ  oĂč il n’y en a pas, et rĂ©ciproquement. Notamment celle de penser qu’il suffit de crĂ©er un DIEU, ou prendre conscience qu’il puisse exister un Dieu comme guide de la transmission d’une organisation humaine rĂ©gulĂ©e le pĂšre, pour qu’il n’y ait plus d’interrogations. Ce comportement consistant Ă  trouver des schĂ©mas rĂ©guliers stables se retrouve sur toute la planĂšte, et s’il y a une rĂ©gularitĂ©, ce n’est pas tant dans le contenu du schĂ©ma, que dans sa nous avons toujours cette prĂ©occupation[107].
 plutĂŽt que de relever le dĂ©fie dĂ©fi est d’accepter aussi l’idĂ©e qu’un ECPA soit une source de revenu. Ce concept est de nature Ă  perturber la rĂ©flexion de chacun, ce chacun » Ă©tant enfermĂ© dans des valeurs judĂ©o-chrĂ©tiennes ou hellĂ©no-judĂ©o-chrĂ©tiennes » ancrĂ©es au fils du temps dans l’apprĂ©ciation d’une valeur mĂ©ritocratique » constante tu gagneras ton pain Ă  la sueur de ton front[108]. Longtemps cette notion a conduit celles et ceux qui ne participaient pas directement Ă  la production d’un bien ou d’un service Ă  ĂȘtre perçus comme des improductifs, pour ne pas dire fainĂ©ants. Si les employĂ©s ont gagnĂ© leur galon de salariĂ©, du fait peut-ĂȘtre de la lente Ă©rosion de la classe ouvriĂšre traditionnelle, cette apprĂ©ciation affecte toujours les personnels de la fonction qu’en sera-t-il de l’idĂ©e de rĂ©munĂ©rer les hommes pour apprendre ? Oserons-nous relever le dĂ©fie ?37 – Un dĂ©fi qui sera d’abord rejetĂ© si l’enseignement n’est pas dĂ©fi qui sera d’abord rejeté Alors, il ne faudra pas ĂȘtre surpris que l’idĂ©e soit dans un premier temps rejetĂ©e il y en a Ă©tĂ© ainsi lors de la mise en place de la scolaritĂ© obligatoire, et considĂ©rĂ©e comme, gagner de l’argent sans rien faire ».Bien sĂ»r nous n’apprenons pas que la scolaritĂ© obligatoire avait Ă©tĂ© rejetĂ©e par ses contemporains, par ceux lĂ  mĂȘme qui en avaient le plus besoin, et qui se lamentaient sur leur sort, comme nous nous lamentons aujourd’hui sur le nĂŽtre, toutes proportions gardĂ©es. Ils justifiaient pour cela du besoin de conserver la part de revenu complĂ©mentaire qu’apportait le travail des enfants. Aujourd’hui ce refus se formulerait plutĂŽt sous une autre forme apprendre pour quoi faire ?» Comme si le mot intelligence ne se suffisait pas tout voilĂ  nous sommes presque six milliards Ă  penser que nous possĂ©dons l’intelligence que n’ont pas les autres, parce que nous disons, que l’intelligence et l’instruction sont deux choses distinctes. C’est peut-ĂȘtre vrai, pourtant, quand les deux sont rĂ©unies, c’est tout de mĂȘme bien bien vrai çà, dirait le papi Mouseau, on ne sait pas d’oĂč vient l’intelligence, mais cela fait avancer le schmilblick ».
 si l’enseignement n’est pas notre souci de valorisation l’emploi ou l’activitĂ© exercĂ© est plus ou moins considĂ©rĂ© comme gratifiant. Un dicton populaire dit bien "il n’y a pas de sot mĂ©tier". Ce n’est pas pour autant, que nous nous levons le matin en disant, moi aujourd’hui je veux ĂȘtre Ă©boueur ».Si chacun reconnaĂźt son utilitĂ© salutaire, ce travail n’en demeure pas moins un mĂ©tier Ă  connotation pĂ©jorative, comme tant d’autres d’ailleurs, pour lesquels nous changeons d’appellation afin que leur exercice, soit dissimulĂ© ou moins fruste. Pourtant il suffirait que leurs rĂ©munĂ©rations s’élĂšvent, ou que leur place sociale s’affirme pour qu’ils s'ennoblissent le saltimbanque quĂȘtant hier, n’est-il pas devenu l’artiste opulent d’aujourd’hui, et l’éboueur d’aujourd’hui ne tend-t-il pas Ă  devenir le nettoyeur Ă©cologique de en sera de mĂȘme pour l’enseignement pour adulte, malgrĂ© son utilitĂ© reconnue, comme celui gĂ©nĂ©ral ou spĂ©cialisĂ©, il ne sera reconnu que par la valorisation financiĂšre qu’il apporte, car il aura ses Bien sur il y aura des opposants par pragmatisme opportuniste Ă  cause d’une vue restrictive. Alors il faut Ă©largir notre rĂ©flexion, dans une addition, oĂč un plus un Ă©gale sur il y aura des opposants
L’enseignement ayant poursuivi un cheminement similaire, nous ne nous levons pas un beau matin en nous disant je veux m’instruire». Il a dĂ» sortir de l’emprise des lettrĂ©s, et s’ennoblir auprĂšs des populations incultes au cours d’un long cheminement oĂč il n’a pas manquĂ© d’opposant Ă  l’instruction populaire, comme il y a eu des opposants Ă  l’éducation permanente formulĂ©e dans le projet de nouvelle sociĂ©tĂ© de J, Delors et J. Chaban-delmas.
par pragmatisme opportuniste
Aujourd’hui, l’enseignement est presque exclusivement synonyme de dĂ©bouchĂ© vers un emploi, d’autant mieux rĂ©munĂ©rĂ© que cet emploi est il n’est pas rare d’entendre ces derniĂšres annĂ©es Ă  quoi cela sert-il d’envoyer nos enfants acquĂ©rir des diplĂŽmes s’ils ne donnent pas accĂšs Ă  un emploi ? Maintenant pour ĂȘtre balayeur il faut le bac ».Est-il impensable d’imaginer que l’on puisse, Ă  l’excĂšs, ĂȘtre agrĂ©gĂ© de lettres et occuper un emploi d’éboueur ?Faut-il forcĂ©ment ĂȘtre con», pour occuper un tel emploi ?Les inactifs devraient-ils ĂȘtre des ignorants ?Cela parce que par pragmatisme opportuniste nous considĂ©rons qu’un emploi ne justifie qu’une complĂ©mentaritĂ© de connaissance en seule liaison avec son lĂ  un point de vue restrictif
à cause d’une vue restrictive
Cette difficultĂ© provient de notre façon de considĂ©rer l’enseignement sous ses deux aspects Ă©troitement liĂ©s et dynamiques, qui Ă©laborent au fil des gĂ©nĂ©rations, l’apprentissage d’un langage culturel commun qui Ă©difie et façonne toute sociĂ©tĂ©, le sociologique » et le technique ».L’enseignement sociologique » enseignement gĂ©nĂ©ral qui conduit Ă  la satisfaction de nos exigences matĂ©rielles par l’enseignement technique. Lesquelles, s’élevant en qualitĂ©, nous libĂšrent, et nous offrent la possibilitĂ© d’accĂ©der Ă  un Ă©chelon supĂ©rieur, d’indĂ©pendance simplement, plus nous nous libĂ©rons des tĂąches de production et mĂ©nagĂšres, et plus nous disposons de temps pour un autre usage qui va dĂ©pendre aussi, de notre indĂ©pendance contingentĂ©e, je veux indiquer que la technologie, due au dĂ©veloppement du langage social, nous offre des possibilitĂ©s qui sont restreintes par l’usage que nous faisons de la monnaie, dans notre organisation sociale, du fait mĂȘme des concepts que nous Ă©laborons Ă  travers elle, par le poids des m’explique. Si je veux dĂ©finir ma notion d’interdĂ©pendance entre l’individuel et le collectif comme partie insĂ©parable d’une fonction organique de l’espĂšce, je n’ai pas de mot, car nos analyses prĂ©sentent toujours cette fonction, sous une les deux notions examinĂ©es sĂ©parĂ©ment sont fondĂ©es. Mais trouvez-moi un ĂȘtre humain qui n’ait pas dĂ©terminĂ© sa personnalitĂ© au travers des autres, et que, mĂȘme s’il Ă©prouve le besoin de s’isoler, ne recherche-t-il pas la sociĂ©tĂ© de ses semblables pour se prouver qu’il existe, parce qu’il est cela, En dehors des schizophrĂšnes ou des autistes, ou des isolĂ©s que nous fabriquons par la technologie, comme de potentiels schizophrĂšnes, comme d’autres ont fabriquĂ© des ermites.Pourtant, nous n’avons pas de mot pour dĂ©finir cette fonction vitale de l’individu qui lui permet de se collectiviser en collectif d’individualiste », en dehors de l’holisme[109] que j’ai dĂ©signĂ© dans l’avertissement sous le terme de collectivisme fractal ». Nous serions donc des Holistes ».Si nous spĂ©cifions un mot pour cela, nous pourrons dĂ©velopper un concept qui englobera les deux autres. Il agira sur notre construction psychique par le poids du mot dĂ©fini son sens, de la mĂȘme maniĂšre que le mot individualisme induit dans notre conscient historique une notion de libertĂ©, qui ne peut qu’ĂȘtre affectĂ©e par le concept collectiviste, ou collectif qui dĂ©jĂ  par son terme, indique une dĂ©pendance Ă  un ensemble, et restreint de fait la libertĂ©, en rĂ©fĂ©rence aussi Ă  un usage historique qui en a Ă©tĂ© fait dans les ex-pays dit socialistes. Et dans le dĂ©bat qui les oppose, il s’agit moins de trouver la rĂ©alitĂ© d’une relation, que de soutenir un point de vue arbitraire fondĂ©, moins par la raison, que par l’intĂ©rĂȘt individuel Ă©goĂŻste exacerbĂ© dans les deux bien que notre existence ne soit qu’un Ă©norme assemblage, la communautĂ©, oĂč la place de l’individu, de l’individualitĂ© ne consiste qu’à composer l’ensemble, dont l’individu exhibera sa crĂ©ativitĂ© ». CrĂ©ativitĂ© » Ă  laquelle concourt cet ensemble par acculturation assimilation, accommodation, Ă©quilibration, et qui ne peut s’exprimer qu’au travers de l’individu comme consĂ©quence d’un ensemble dont il est issu, et avec lequel il devra s’associer ou cette approche individualiste contingente Ă©galement l’apprĂ©ciation que nous portons sur notre enseignement. Si bien que lorsque nous en sortons diplĂŽmĂ©, nous croyons que c’est grĂące Ă  notre seul travail, parce que nous avons oubliĂ© toutes les pressions exercĂ©es pour nous inciter ou nous forcer Ă  apprendre. Notre seul mĂ©rite, c’est d’avoir appris. Appris, du patrimoine collectif, ce qu’aucun de nos parents n’aurait pu nous apporter. Pourtant, nous n’en retiendrons que l’aspect qui se coule ou se glisse dans l’idĂ©ologie que vĂ©hicule la bien que nous ne retiendrons de l’enseignement, que le moyen d’accĂ©der Ă  un emploi rĂ©munĂ©rateur et, nous reprocherons Ă©ventuellement Ă  cette collectivitĂ© que nous contestons tant de ne pas toujours savoir nous y de lui, que de la monnaie », qu’elle serait donc la raison qui nous pousserait Ă  utiliser une part du temps libre, que l’enseignement technologique a permis de dĂ©gager, pour suivre un enseignement complĂ©mentaire ?Aucune ! Notre organisation socio idĂ©ologique ne conduit pas Ă  cela, et c’est en cela que nous restreignons notre enseignement.
alors il faut Ă©largir notre rĂ©flexion
Aussi, il faut Ă©largir notre enseignement idĂ©ologique, par l’ajout d’un enseignement plus complet Ă  organiser, qui est un enseignement permanent pour adultes. Celui qui concerne le dĂ©veloppement intellectuel de l’espĂšce humaine tout au long de son existence par accumulation de connaissances et Savoir, sans but immĂ©diat de production d’un bien consommable, car ce but est contenu dans l’accumulation des connaissances dont il Ă©mergera un jour, demain ou dans mille effet, dĂ©s que l’homme connaĂźt deux mots de plus, il les associe pour y trouver une utilitĂ©, et ce, mĂȘme si l’équilibre ou l’épanouissement intellectuel, pour certains, doit transiter par l’apprentissage d’une activitĂ© ne pourra pas faire l’économie d’un apprentissage sociologique » s’il veut cesser de s’opposer parce qu’il croit lui ĂȘtre en propre sa culture, Ă  laquelle il pense toujours que les autres doivent se oublions trop souvent que nous avons un esprit mallĂ©able », et qu’élevĂ© par des canards nous bougerions du cul en faisant coin-coin.
 dans une addition qui est un plus un Ă©gale consĂ©quence de quoi, cette accumulation de connaissances aura des consĂ©quences sociales et Ă©conomiques certaines pour le futur, et forcĂ©ment productrices, pour peu que nous sachions faire les associations crĂ©atives » positives ». Plus nous accumulons de Savoir plus nous avons de chances qu’une association crĂ©atrice » se rĂ©alise, et plus nous aurons de chances de comprendre ce que nous observons et percevons, et alors peut ĂȘtre nous Ă©laborerons des sociĂ©tĂ©s moins fragiles, et plus vue Ă©litiste nous fait toujours regarder les dĂ©couvreurs comme des gĂ©nies ou des ĂȘtres exceptionnels que la grĂące aurait touchĂ©s, mais leur parcours n’est jamais celui d’un ignorant. Cela, mĂȘme, si certains conservent le cerveau d’Einstein dans l’espĂ©rance que notre technologie permette de dĂ©celer quels gĂšnes ont rendu Einstein intelligent. [110]LĂ  on est au bord du dĂ©lire, car il vaut mieux supputer qu’il Ă  su ajouter un plus un pour faire - Il faut savoir se remettre en cause pour un projet avec beaucoup d’interrogations sur l’existence, que d’autres on traduit avec leurs faut savoir se remettre en cause 
Accepter l’idĂ©e que nous puissions percevoir un revenu Ă  partir de la diffusion d’un enseignement peut heurter nos esprits conditionnĂ©s Ă  produire pour consommer, et consommer pour produire sans dĂ©marche peut aussi nous choquer puisqu’il s’agit, Ă  court terme, de donner de son temps pour recevoir en Ă©change, du savoir, des connaissances, et en plus un long terme, inĂ©vitablement, une apparente opposition avec le systĂšme actuel de production de la richesse basĂ©e sur la celle de biens et de services se produira. Cela, si nous ne voyons pas dans la rĂ©munĂ©ration des ECPA un systĂšme concurrentiel stimulant. SystĂšme concurrentiel qui nous est si cher, dont nous nous gaussons Ă  tout moment. Et quel est le capitaliste ou le libĂ©ral qui pourrait s’en plaindre, sauf Ă  dĂ©montrer que leurs dĂ©clarations, pour certains, ne cachent que des visĂ©es dominatrices, ce qui Ă  mon sens n’est qu’une disais une apparente opposition, car chacun utilisera ses acquis pour les aux capitalistes », je n’ai aucune crainte. Ils sont suffisamment prompts Ă  s’insĂ©rer dans n’importe lequel des systĂšmes pour conserver leur qu’ils ne soient pas si futĂ©s, car, si au lieu de soumettre les pays sous-dĂ©veloppĂ©s ou en voie de dĂ©veloppement Ă  des emprunts drastiques auprĂšs du FMI, ils favorisaient la crĂ©ation » de monnaie par la mise en place d’une activitĂ© Ă©ducative, ils rĂ©cupĂ©reraient mĂȘme de l’argent, lĂ  oĂč il n’y a que du quoi l’altruisme peut ĂȘtre aussi une source de richesse, et mĂȘme une source de conflits, car l’altruisme n’est qu’une forme supĂ©rieure d’égoĂŻsme, pour ne citer que le patriotisme en exemple, Ă  ne pas confondre avec le suicide nous ne sommes pas choquĂ©s quand le principe de la rĂ©munĂ©ration s’applique Ă  la formation professionnelle, car la relation est directe avec l’emploi, et que nous sommes depuis de nombreuses annĂ©es dans une logique de court terme, soit par souci de rentabilitĂ©, ou par une remise en cause due Ă  la rapide Ă©volution technologique. S’il nous est nĂ©cessaire d’ĂȘtre comme je l’ai dit assurĂ© pour s’épanouir, ce n’est pas pour vĂ©gĂ©ter car cela nous est interdit, mais pour disposer de la facultĂ© de nous remettre en cause, pour poursuivre une marche en avant vers une espĂ©rance que nous qualifions D’ encore faut-il savoir se remettre en cause et avoir des projets pour cela.
pour un projet
Aussi, il faudra peut-ĂȘtre renouer avec ce qui manque le plus Ă  notre sociĂ©tĂ©, savoir changer d’optique, en la faisant surgir de notre rĂ©flexion plutĂŽt que de nos confrontations un projet de sociĂ©tĂ© hominisant.
pleins d’interrogations sur l’existence
Nous pouvons estimer, Ă  plus long terme, que la dĂ©marche s'intĂ©grera dans le processus production consommation », qui lui est inĂ©vitablement prĂ©curseur, pour produire ses effets sur la sociĂ©tĂ©, mais peut-ĂȘtre d’une autre nature que ceux que nous connaissons, et que les hommes auront plus une consommation d’utilitĂ© raisonnĂ©e. La dĂ©marche n’en reste pas moins orthodoxe, l’individu vend-il » sa capacitĂ© cĂ©rĂ©brale » ou la sociĂ©tĂ© humaine investit-elle » en celle-ci dans son propre intĂ©rĂȘt ?
 que d’autres ont traduit avec leurs conviction est faite, savoir changer d’optique, c’est dans notre propre intĂ©rĂȘt d’espĂšce humaine. Mais nous savons aussi que ce dernier passe par une vocation mercantile, car de tout temps il y a eu des initiĂ©s, qui faute de moyens de comprĂ©hension scientifique moyens matĂ©riels, n’ont pu traduire correctement que la conscience qu’ils avaient de ce qui se passait dans leur esprit, correspondait Ă  une image de la rĂ©alitĂ© » de ce qui se passait dans la nature » univers/ terre/humain.Et ils nous ont laissĂ© la plupart du temps en guise de preuves ou de thĂ©ories explicatives, des panthĂ©ons de dieux et des livres fermĂ©s[111].40– Je peux rĂȘver que la volontĂ© serait de le faire, mais rien de moins Ă©vident en dehors du peux rĂȘver
J’espĂšre naturellement que l’accumulation de connaissances emporte en logique que l’individu ne demeurera pas un enseignĂ© passif se contentant d’apprendre, et qu’il s’interrogera au-delĂ  de l’association naturelle d’ mĂȘme s’interrogera-t-il peut-ĂȘtre un peu plus sur les formes de ses relations au travail, face Ă  une forme d’activitĂ© sociale qui l’émancipe un peu ceci n’est que mon propre transfert...
 que la volontĂ© serait de le faire
Si aujourd’hui ce type d’interrogation est le privilĂšge de quelques minoritĂ©s, une interrogation de masse induira des comportements rĂ©actionnels, dans ce secteur ou d'autres, en fonction de la place sociale des ne faut pas en dĂ©duire, par utopie », qu’il n’y aura plus de dominants, car nous confondons toujours, diriger et guider avec dominer ; car les dominants nous les fabriquons par lĂąchetĂ©, peur, indiffĂ©rence ou ignorance ».Si au quotidien la frĂ©quentation des ECPA pousse les hommes Ă  plus de rĂ©flexion, ce sera dĂ©jĂ  un n’est pas seulement l’Ɠuvre laborieuse qui est Ă©mancipatrice de l’ĂȘtre, mĂȘme en lui en fournissant les moyens, c’est aussi le temps qu’il pourra consacrer Ă  nourrir sa disposons des deux, il ne manque que la volontĂ© de le faire, mais rien n’est moins Ă©vidant.
 mais rien de moins Ă©vidant
Pour en avoir dĂ©battu avec des acteurs sociaux, je ressentais en chacun d’eux la crainte ancestrale des dominants face Ă  l’émancipation intellectuelle des populations, et la crainte que trop de rĂ©flexions nuisent Ă  leur fond de l’idĂ©e est intĂ©ressante, mais la libertĂ©, c’est que les hommes choisissent, de quoi ils veulent s’ dĂ©veloppement culturel c’est l’affaire de chacun. Il y a suffisamment d’informations et de pluralisme d’idĂ©es pour l’idĂ©e est intĂ©ressante, mais sous condition que l’enseignement aille dans le sens de leurs faire des confusions de genres, nous en avons connu quelques spĂ©cimens dont la rĂ©volution culturelle Chinoise en est l’ n’est pas surprenant, car nous sommes tous enclins Ă  considĂ©rer que notre point de vue est le mieux fondĂ© et voulons le faire partager, voire l’ cela nous disposons d’un outil relationnel qui est le dĂ©bat.
en dehors du ce domaine il n’y a pas de rĂšgle, en dehors du dĂ©bat d’idĂ©es, pacifistes ou non. Pour ne fournir qu’un exemple, je choisis celui d’un lumineux personnage qui avait avancĂ© l’idĂ©e de supprimer le bac de philosophie », parce qu’il ne dĂ©bouche pas sur des emplois, et qui a dĂ» renoncer Ă  son – Un dĂ©bat dans une sociĂ©tĂ© dominĂ©e par le libĂ©ralisme, oĂč le mot libertĂ© est un arbre qui cache la forĂȘt, une forĂȘt oĂč nous pouvons nous dĂ©bat dans une sociĂ©tĂ© dominĂ©e par le libĂ©ralisme...Pourtant aujourd’hui, insidieusement, l’organisation libĂ©rale mondiale du commerce, comme de la finance, qui pourraient ĂȘtre un fabuleux moteur du dĂ©veloppement des populations, sert une mĂ©canique hĂ©gĂ©monique Ă  laquelle nous participons activement, au travers d’une forme de pensĂ©e unique, pseudo libĂ©rale. Je dis pseudo, car dans son application elle constitue un leurre intellectuel, en ce sens que chacun s’imagine ĂȘtre la piĂšce centrale du puzzle, et nie que la puissance concurrentielle impose ses lois Ă  l’accession d’un marchĂ©, et transforme en idĂ©al, ce qui n’est qu’un combat de pouvoir entre, l’individuel qui ne veut suivre que ses rĂšgles, et celui de l’individuel collectivisĂ© » en schĂ©ma communautaire ETAT qui ordonne la sociĂ©tĂ© par le fait au travers d’un capitalisme qui se veut libĂ©ral, comme si le capitalisme pouvait ĂȘtre libĂ©ral sans se que nĂ© d’une volontĂ© de LibertĂ©[112], il a fini par remplacer le despotisme monarchique pour devenir lui-mĂȘme un capitalisme despote, lequel a certes eu un avantage, celui de nous faire passer de sujets pauvres, Ă  citoyens possĂ©dants. Pourtant, les deux Ă  y rĂ©flĂ©chir se rĂ©fĂ©rent Ă  des valeurs supĂ©rieures Ă  l’homme, pour que celui-ci puisse se justifier de sa condition et de ses actes, et s’y rĂ©signer. Ainsi la monarchie Ă©tait de droit Divin », d’en Haut, le capitalisme est des droits naturels, des lois naturelles », d’en Bas. De maniĂšre que celui ou ceux qui se rĂ©fĂšrent de cette origine s’érige en Roi de droit divin ou de droit naturel la sĂ©lection naturelle. Dans les deux cas nous avons droit au mĂȘme despotisme. Cela, alors que ce ne sont que des droits, d’un ĂȘtre ignorant de lui-mĂȘme qui ne sait pas ou ne peut pas se gouverner sans imiter ce qu’il comprend ou a compris de son monde la nature, et se rĂ©fĂšre Ă  des concepts de lois naturelles, dĂ©veloppĂ©s par des hommes certes instruits et intelligents, mais qui Ă  leur Ă©poque, ne connaissaient de leur monde que l’antiquitĂ© et le moyen Ăąge trĂšs chrĂ©tien. Et ils ne pouvaient donc pas tenir compte de notre prĂ©histoire et protohistoire dont nous avons commencĂ© la conquĂȘte de sa connaissance qu’à partir de 1860, et encore moins de celles apportĂ©es par la science caricature ne remet pas en cause l’efficacitĂ© attestĂ©e du capitalisme, mais se veut souligner que pour ĂȘtre despote, il ne suffit pas d’en avoir le titre, mais les moyens de l’ĂȘtre. C’est ce que fait Le systĂšme capitaliste » dans ses excĂšs d’efficacitĂ©, par les moyens dont il s’est dotĂ©s, la loi du marchĂ© financier. Pourtant nous savons que toute sociĂ©tĂ© dominatrice produisant son antidote, y succombe un peut-ĂȘtre jusqu’à dire que le capitalisme ou post capitalisme pourrait ĂȘtre le fossoyeur du libĂ©ralisme qui s’est identifiĂ© au symbole de l’individualisme absolu laisser faire, laisser passer », car le langage courant tend Ă  rendre, Ă  tort, synonyme Capitalisme et donc une sociĂ©tĂ© dominatrice qui a perdurĂ©. Je ne prends aucun risque, c’est la simple application du principe de la thermodynamique, et de l’évolution biologique d’une cellule, naturellement ceci dĂ©passe un peu la seule durĂ©e d’une existence humaine, mais il est phĂ©nomĂšne fait partie des rĂ©gularitĂ©s observables, mais que nous rejetons quand elles concernent la sociĂ©tĂ© dans laquelle nous vivons, sauf peut-ĂȘtre, pour ceux qui ont l’esprit rĂ©formiste.
 oĂč le mot libertĂ© est l’arbre qui cache la forĂȘt
En cela, le mot libertĂ© sous-entendu dans libĂ©ralisme, cache Ă  ceux qui ne sont pas clairvoyants, que les richesses produites ne sont destinĂ©es qu’à ceux qui sont solvables, et s’organisent entre eux. Et, que la libertĂ© n’est autre qu’ĂȘtre esclave volontaire de ses propres dĂ©sirs, limitĂ©s par les autres ou l'Holisme ». De maniĂšre que de nombreuses dictatures s’y soient rĂ©fĂ©rĂ©es, mais dans nos dĂ©mocraties nous nous y rĂ©fĂ©rons le plus souvent sous une forme insidieuse, pour dire qu’au nom de la libertĂ© nous avons celle de dominer les autres, pourvu que cela se fasse par un moyen communĂ©ment admis.
 une forĂȘt oĂč nous pouvons nous libĂ©ralisme, certains entendent le droit qu’ont quelques groupes d’amasser des richesses capitaliser s’en rĂ©trocĂ©der sous quelques formes que se soit le coĂ»t collectif de l’existence humaine qui a Ă©tait nĂ©cessaireles discours sur les charges en sont l’élixir. Et ce, sous ses divers aspects quitte Ă  si auto gĂ©nĂ©rer par des circuits financiers spĂ©culatifs analogie au dopage sportif, et structurer le marchĂ© mondial dans un fĂ©odalisme[113] au sein duquel les pouvoirs politiques celui des citoyens n’ont qu’à se soumettre ou se dĂ©mettre. D’autres y voient le dĂ©veloppement individuel comme une extorsion de la sociĂ©tĂ©. Une sociĂ©tĂ© Ă  laquelle il faut tout prendre, de laquelle il faut tout attendre sans rien rĂ©trocĂ©der. Durkheim a appelĂ© cette forme d’égoĂŻsme le suicide Ă©goĂŻste »[114], en ce sens sont suicidaires les discours qui prĂŽnent le dĂ©sengagement de l’État en tant que garant et reprĂ©sentant de cette fonction Holistique » au sein du groupe, de la sociĂ©tĂ©, de l’espĂšce, et de l’existence, suivant la maniĂšre dont nous nous structurons, car un État peut ĂȘtre despotique nous le savons. Ce qui donne Ă©galement la possibilitĂ© Ă  l’État citoyen d’ĂȘtre propriĂ©taire, dans le secteur industriel ou non, pour sauvegarder ses intĂ©rĂȘts vais prendre un exemple par l’absurde. Quelle diffĂ©rence il y a entre 60 millions de français qui dĂ©tiennent les actions d’une sociĂ©tĂ©, et 60 millions de français propriĂ©taires de la mĂȘme sociĂ©tĂ© par l’État du fait de leur statut de citoyens. Je n’en vois aucune. Dans le premier cas les actionnaires Ă©liront un PDG, dans l’autre un PrĂ©sident de la rĂ©publique. Ainsi la diffĂ©rence ne se fait pas dans le titre de propriĂ©tĂ©, mais dans la gestion, l’usage et l’image que nous nous en faisons, cela au travers des relations socio-Ă©conomiques historiques que nous avons dĂ©veloppĂ©es le monde, et de leurs lisibilitĂ©s au travers des circuits Ă©conomiques. A l’inverse, par les phĂ©nomĂšnes de concentration capitalisme, des groupes financiers peuvent devenir propriĂ©taires de secteurs complets ou pluri-sectoriels ».A quand ? Une sociĂ©tĂ© multinationale qui devient propriĂ©taire d’un État ?Je ne dirais pas que c’est fait en Italie, mais ?
Cette remarque n’est pas anodine, par les groupes de pression financiers ou de grands groupes, nous pourrons bientĂŽt affirmer que ce sont eux qui choisissent les chefs d’États, que bĂ©atement les citoyens Ă©lisent. De sorte qu’au nom de la libertĂ© nous nous construisons Ă©galement les moyens de nous en priver. Comme je le disais, nous construisons nos dominants, et eux aussi s’insurgent au nom de la libertĂ© contre toutes les rĂ©glementations qui limitent leur pouvoir de dominer. Ainsi, cet arbre qu’est la LibertĂ©, cache une forĂȘt de relations complexes dans lequel il suffit aujourd’hui de prononcer le mot LibertĂ©, comme la clĂ© d’ouverture de la caverne d’Ali Baba, pour que sans discernement tous les hommes s’y que seulement un certain nombre s’y servent, et expliquent aux autres qu’ils sont libres parce qu’ils ont la libertĂ©, l’illusion d’y – A rĂ©pĂ©ter un leitmotiv on l’accepte, car soumis au mĂȘme discourt nous n’entendons que lui, malgrĂ© mes rĂ©pĂ©ter un leitmotiv on l’accepte
A se rĂ©pĂ©ter que seul le privĂ© est performant, faisons l’effort d’imaginer une telle situation. Nous en arriverions rapidement, Ă  considĂ©rer les vicissitudes de l’existence comme des charges Ă  bannir, et ceux qui les subissent avec, c’est Ă  dire rejeter tout ce qui fait de nous des humains fragiles, mortels, et non pas des androĂŻdes parfaitement huilĂ©s qui conviendraient mieux pour une rentabilitĂ© l’économie nous en sommes arrivĂ©s, Ă  considĂ©rer toutes interventions de l’État citoyen comme parasitaire, et considĂ©rer la revendication collective comme inopportune, parce qu’elle contrarie notre quotidien cet ordre d’idĂ©e, celle de gĂ©rer la sociĂ©tĂ© comme une entreprise est souvent avancĂ©e. C’est sous une certaine forme la reconnaissance de l’aptitude des dirigeants d’entreprises. Pourquoi pas ?Mais les inaptes, les incompĂ©tent, les licenciĂ©s, les en trop », nous les rejetterions Ă  la mer ? Un jour j’ai osĂ© dire dans une rĂ©union qui m’excĂ©dait, si nous irions jusqu’à crĂ©er des fours crĂ©matoires pour ces en trop », le silence de mort qui s’en suivit fut en disant cela, seulement pour dire qu’il y a des limites Ă  la comptabilisation de l’existence, je voulais signifier au travers de cet Ă©pisode dramatique que son enseignement doit dĂ©passer le seul cadre dans lequel il s’est exercĂ© ; et que notre aptitude Ă  Ă©carter ce qui nous paraĂźt hostile au fonctionnement d’une organisation systĂ©mique, peut nous entraĂźner vers des choix de solutions effet, dans l’organisation Ă©conomique nous avons besoin de repĂšres et d’ordres de grandeur, mais quelles que soient les constructions abstraites que nous bĂątirons pour cela, elles ne peuvent tenir lieu de finalitĂ©, car elles ne seront jamais une dans l’exemple que j’ai pris pour la course du tiercĂ© P. 137, notre existence va de 0 Ă  l’infini, et nous pouvons y dĂ©finir nous y sommes mĂȘme astreints, tout au long d’elle, des repĂšres pour savoir oĂč nous sommes. Pour autant, ils n’ont et n’auront de valeur que celle issue de notre rĂ©flexion, sauf Ă  dĂ©montrer qu’ils constituent une rĂ©gularitĂ© rien ne nous empĂȘche, comme nous le faisons, d’organiser toutes les compĂ©titions que nous voulons, et de nous convaincre des certitudes comptables comme d’un leitmotiv.
car soumis au mĂȘme discourt nous n’entendons que lui
Ne sourions pas. C’est ce que nous avons, en partie, rĂ©alisĂ© dans les faits, en comptabilisant notre existence. Mais surtout, c’est dans l’esprit que nous l’avons rĂ©alisĂ©, en ne nous regardant que comme des prĂȘts Ă  porter » que nous sommes, pourvu que nous nous rĂ©pĂ©tions les choses longtemps, et que le systĂšme soit taillĂ© Ă  notre mesure. C’est lĂ , toute l’importance du pouvoir mĂ©diatique, du slogan publicitaire, et de la exemple, il a fallu des luttes de classes pour Ă©laborer des systĂšmes de protection de solidaritĂ© sociale, que n’importe lesquelles des organisations de systĂšmes Ă©conomiques libĂ©raux ne gĂ©nĂšrent pas, hormis en systĂšme caritatif. Un systĂšme de protection sociale sĂ©curitĂ© sociale qui peut changer de statut d’intĂ©rĂȘts collectifs des individus, Ă  intĂ©rĂȘts particuliers, seulement par la propagation d’une tendance Ă  l’individualisme, Ă  l’efficacitĂ© prĂ©sumĂ©e du privĂ© sur le public » je dis public pour conserver une image, car dans l’esprit il est perçu comme une administration, alors que son organisation relĂšve du droit privĂ©, dans laquelle l’État s’est introduit en lĂ©gifĂ©rant.Parce qu’à se rĂ©pĂ©ter les choses, nous finissons par croire comme exact ce qu’elles racontent. Cela prĂ©vaut bien sĂ»r dans tous les sens, et repose sur l’absence de vĂ©rifications n’ayez crainte, lorsque la sĂ©curitĂ© sociale passera au privĂ© » gestion Ă  but lucratif, les bien-portants, comme les malades qui ne se font pas soigner, auront droit Ă  leur bonus, les autres au malus, jusqu’à ce que chacun dĂ©cide de ne plus s’assurer, faute de ressources suffisantes. Stupide ce que je dis ? Non ! La vocation affichĂ©e d’un systĂšme comme celui de la sĂ©curitĂ© sociale, est de faciliter l’accĂšs aux soins, sans but lucratif par un systĂšme de pĂ©rĂ©quation et de rĂ©partition. Celui d’une compagnie privĂ©e d’assurance est de prendre en compte un besoin physiologique pour faire des bĂ©nĂ©fices avec je crois que la nuance est de la question est moins dans la querelle public privĂ© » en ce domaine, que celui de savoir si notre protection sociale » doit dĂ©pendre d’un marchĂ© financier, qui dĂ©pend d’une noblesse financiĂšre qui spĂ©cule et de leur humeur confiance ou de notre solidaritĂ© citoyenne et communautaire, que la gestion du systĂšme de protection, soit publique ou toujours soumis au mĂȘme discours nous n’entendons que lui.
malgrĂ© mes comme je viens de le caricaturer, on peut railler, et contester les travers de n’importe lequel des systĂšmes d’organisation qui demeure important est d’en comprendre les fonctionnements pour que la collectivitĂ© en conserve la maĂźtrise. Or la collectivitĂ© rĂȘve et elle est sensible aux illusions. Si bien qu’au travers d’un comportement constant de nĂ©cessaire rĂ©partition obligatoirement inĂ©quitable, elle rĂ©gĂ©nĂšre des stratifications de classe pour se sĂ©rier, donnant une classification recomposĂ©e et redĂ©finie dans laquelle nous avons l’illusion d’avoir abolie les anciennes. Les reconnaĂźtre est notre plus grande difficultĂ© car il nous faut saisir des sĂ©rialisations recomposĂ©es d’un passĂ© disparu dont nous ne conservons la mĂ©moire par l’éducation et l’instruction ; que par l’appris, et cette mĂ©moire lĂ  disparaĂźt petit Ă  petit de l’ ne se devine pas au grĂ© de la rumeur, cela s’apprend, que nous soyons pour ou contre, car ils conditionnent notre existence, et ils nous servent de repĂšres pour choisir ce que nous allons nous permettre, et ce que nous voulons devenir, pour sortir de conflits d’anticipations mortels, pour allez vers une harmonisation au terme – Un libĂ©ralisme productiviste auquel nous participons souvent sans discernement qui modifie l’organisation du travail et pĂšse sur notre personnalisation construction de la personne.Un libĂ©ralisme productiviste
Pour rester dans la caricature, mĂȘme si l’on s’abrite derriĂšre l’outil et la structure, la dĂ©cision de sa mise en Ɠuvre reste humaine. Aussi, quand certains hommes nous expliquent qu’une fois aux commandes d’une organisation productrice, cette humanitĂ© doit s’effacer devant les exigences productivistes, nous avons conçu une espĂšce d’avorton androĂŻde cĂ©rĂ©bral » qui dĂ©cline toutes ses limites d’acteur social. Alors, quand certains avancent l’idĂ©e de gĂ©rer l’État comme une entreprise, l’idĂ©e est clair, un systĂšme issu de l’homme sera toujours insuffisant pour lui donner toute sa dimension si nous y restons soumis. Et ce n’est pas parce que nous remplacerons notre gestion sociale humaine imparfaite par une gestion comptable pseudo scientiste », pourvoyeuse de prĂ©textes Ă©goĂŻstes sĂ©lectifs, qu’il en ira il est nĂ©cessaire de se comptabiliser pour lire notre activitĂ©, mais l’histoire sociale a dĂ©montrĂ© que cette comptabilisation n’est pas suffisante en elle-mĂȘme pour couvrir tous les dĂ©sirs ce n’est pas sans incidence que de vouloir maintenir nos relations sociales Ă©motionnelles dans des critĂšres productivistes, car nous en arrivons et arriverions Ă  dĂ©finir des anormalitĂ©s gĂ©nĂ©tiques comptables.
auquel nous participons
Nous participons d’autant plus Ă  Ă©laboration du libĂ©ralisme depuis que nous avons atteint cette nouvelle condition de client intransigeant, condition qui nous a Ă©tĂ© vendue, et que nous portons souvent comme un masque flatteur et obscurantiste. En effet, autour des annĂ©es 1980, nous nous sommes orientĂ©s vers une production de renouvellement de biens de consommation, oĂč le slogan essentiel Ă©tait, que devant l’offre extĂ©rieure Ă  prix inconcurrensable » compĂ©titivitĂ© hors prix » , il fallait privilĂ©gier la qualitĂ© et le service les annĂ©es suivantes le terme client entre dans le langage des services et entreprises de l’État, comme message clair d’un passage Ă  une seule Ă©conomie de marchĂ©.
 souvent sans discernement
Flatteur le client, car la notion de client roi valorise notre ego, car nous possĂ©dons un moyen de domination. Moyen qui conduit les plus sots, Ă  faire subir parfois aux autres les humiliations et les frustrations que nous refoulons au quotidien, lorsque nous sommes nous mĂȘme soumis Ă  la domination. Je paie moi, Monsieur j’exige, je veux, je ne tolĂšre pas, je suis le client, vous devez me respecter.Obscurantiste, parce qu’en tant que client, il dĂ©nie toutes les vicissitudes qu’ils connaissent en tant que producteur eux-mĂȘmes des produits qu’ils vont consommer, et pousse Ă  croire que tout leur est permis, ou que notre technologie n’a pas de parce qu’il ne voit pas qu’il conditionne par ses exigences les plus sottes, les conditions de travail, et de production qui sont les parce qu’il condamne comme client la gĂȘne que lui occasionne la grĂšve qui a Ă©tĂ© l’outil de son Ă©mancipation comme parce qu’il gĂ©nĂšre des frustrations chez ceux qui ne peuvent disposer des moyens de se draper dans un nouveau statut social de client ne faut pas se mĂ©prendre sur mon propos. Je ne vise pas, et ne remets pas en cause l’utilitĂ© des organismes de dĂ©fense du consommateur devant les abus de certains processus de commercialisation, ni toute la connaissance qu’ils ont accumulĂ©e depuis, afin de formuler l’exigence d’un rapport qualitĂ© prix, et de traçabilitĂ© sur la provenance des produits, ou leurs consĂ©quences sur l’ absence de discernement modifie les relations de travail puisque c’est le client, le statut de consommateur, qui devient la rĂ©fĂ©rence de classe sociale et non pas l’activitĂ© professionnelle.
 qui modifie l’organisation du travail
C’est lĂ  une orientation que nous retrouvons dans l’organisation de l’entreprise, et qui concourt ou justifie bon nombre de rĂ©organisations, parce qu’il faut ĂȘtre Ă  la disposition du client, et oĂč, le mĂȘme salariĂ© rĂąle, parce qu’il travaille tardivement, tout en se plaignant que son bureau de tabac ferme trop tĂŽt. C’est cette interaction lĂ , que mon propos publicitĂ© d’un distributeur de colis est Ă©difiante Ă  ce sujet. On y voit un livreur s’interrompre de manger pour livrer son colis. En clair l’homme doit interrompre ses exigences humaines les plus fondamentales quand la productivitĂ© exige de satisfaire un client. Ce n’est lĂ  qu’un retour aux pratiques du passĂ©, pour ceux qui ont connu la pĂ©riode, toute proche, oĂč les besoins naturels des individus Ă©taient rĂ©glementĂ©s.
et pĂšse sur notre personnalisation
L’autre, beaucoup plus prĂ©occupante est l’orientation Ă  une consommation d’identification. Ici, cela consiste Ă  personnaliser un produit de masse pour que le client se personnifie en lui, et transfĂšre ses Ă©motions sensorielles vers ce produit. L’inverse d’une approche sensorielle des produits, et qui conduit Ă  une individualisation d’une personnalisation illusoire. Ceci parce que la personnalitĂ© ne s’achĂšte pas, mĂȘme, si nous pouvons nous personnaliser Ă  souhait de cette maniĂšre, si nous avons les moyens de disposer de biens ou de produits personnalitĂ© c’est autre chose, c’est une construction intellectuelle qui dĂ©finit l’expression de caractĂšres qui se forgeront durant l’enfance et l’adolescence, pour façonner notre Moi, qui naĂźt du contact des autres, de son ego avec l’alter ego et le monde, et forcĂ©ment nous ressemblerons Ă  quelqu’un. D’une part, par l’apprentissage culturel, d’autre part et surtout, parce que s’il ne nous Ă©tait pas possible de ne pas nous reconnaĂźtre dans l’autre innĂ©, et rĂ©ciproquement, avant mĂȘme le culturel, il n’y aurait jamais eu de sociĂ©tĂ©. Et cela, nous y sommes conduits par cet Holisme », que j’ai indiquĂ© insuffisant pour dĂ©finir ce que nous sommes, qui nous protĂ©gera malgrĂ© nous du suicide Ă©goĂŻste dĂ©fini par Durkheim. Pour autant, ces pĂ©riodes de construction de la personnalitĂ© n’échappent pas Ă  cette tendance Ă  se personnifier par la consommation. Si nous comprenons que la nourriture organique façonne notre ĂȘtre biologique, nous concevons moins que la nourriture technologique et sociĂ©tale puissent nourrir les schĂ©mas de notre conscience, et qu’elle puisse s’inscrire dans des structures profondes de notre cerveau, et resurgir comme un rĂ©flexe Ă  la sollicitation des qu’elle marque ou non durablement le devenir d’adulte ?Je ne saurais l’affirmer, mais je le crois fermement. Il y a tant d’enfants qui avant de reconnaĂźtre l’autre, reconnaissent d’abord le cartable ou le blouson. La difficultĂ© est de saisir la limite de la consommation langage de communication et celle identifiable d’une personnification consommation ostentatoire, consommation de signes sociaux. Si avoir un modĂšle de reprĂ©sentation de l’expression de ses affects le pĂšre » est une nĂ©cessitĂ© pour construire son Moi. Contenir ce modĂšle dans une reprĂ©sentation instrumentale dogmatique ou mercantile est limitative, voire sclĂ©rosante s’il devient un handicap d’adaptabilitĂ© et de crĂ©ativitĂ© ou une source de rejet et d’exclusion de son semblable l’autre, l’Homme, l’espĂšce, car l’image du pĂšre » est influençable. Elle se transforme facilement dans le marchĂ© de l’ego en valorisation cette image du pĂšre » symbolique n’échappe pas aux lois de la physique ou de la biologie, elle peut coller Ă  l’image qu’on lui – Le transfert d’émotions vers des objets et un fait social, mais sa marchandisation est autre chose, un marchĂ©, contre lequel nous avons un transfert d’émotions vers des objets et un fait social mais sa marchandisation est autre chose 
Le transfert d’émotions vers des objets n’est pas une nouveautĂ©. Toutes les sociĂ©tĂ©s y souscrivent et y ont souscrit. C’est grĂące Ă  cela que nous les diffĂ©rencions. Mais la particularitĂ© aujourd’hui, c’est d’ĂȘtre devenu un marchĂ© qui peut pousser Ă  croire que nous sommes ce que nous achetons, des si nous allons au bout du monde rencontrer des chinois encore en tenu Mao, ou des noirs avec encore un os en travers du nez, nous y croiserons obligatoirement un ĂȘtre dans lequel nous nous reconnaĂźtrons. Et cela, grĂące Ă  tous les objets que nous utilisons qui sont un langage extĂ©rieur culturel d’identification, authentique ou trompeur, humble ou ostentatoire, malgrĂ© le fait que chacun d’entre-nous dispose de critĂšres morphologiques diffĂ©renciĂ©s pour se peur de la ressemblance ou sommes nous incapable de nous reconnaĂźtre dans l’Autre ?Pourtant, nous sommes tous identiques, et ce qui nous diffĂ©rencie c’est moins les critĂšres morphologiques qui ne sont lĂ  que pour nous permettre de savoir qui est qui, que la probabilitĂ© infime de dĂ©velopper Ă  l’identique la mĂȘme rĂ©flexion, car les facteurs d’occurrence qui l’a sous-tende sont infinis, dans une existence qui nous est unique, gĂ©rĂ©e par les mĂȘmes facteurs innĂ©s. Mais surtout que mon existence est unique. Ainsi, pour former une communautĂ© nous devons renoncer Ă  une part de notre rĂ©flexion individuelle pour accommoder la part que nous avons en commun dans un fait social. De maniĂšre que le discours individualiste, s’il devait trouver sa plĂ©nitude, serait suicidaire. Ce discours n’est donc qu’un marchĂ© publicitaire Ă  l’intĂ©rieur d’un fait social. Il est nuisible, car il ne peut donner naissance Ă  un autre fait social que par opposition au suicide dont il est porteur, plutĂŽt que de faire appel aux sommes de rĂ©flexions dont nous sommes dĂ©positaires si l’apprentissage culturel sait les dĂ©velopper, et qui peuvent ĂȘtre regroupĂ©es pour donner de nouveaux faits cela il faut comprendre que notre ego est l’instrument qui nous permet de prendre la mesure de notre dimension physique, et d’accumuler des informations sur l’autre et le monde pour exister dans l’image d’un futur dynamique que notre conscience futur dynamique nous le dĂ©veloppons sous forme de marchĂ© la loi du marchĂ© », et exister n’est plus vivre mais se vendre.
 un marchĂ© contre lequel nous avons un la dĂ©cision reste humaine, cela signifie quelle a Ă©tĂ© Ă©laborĂ©e par une rĂ©flexion, et c’est cette rĂ©flexion crĂ©atrice qui est Ă  la source de notre dĂ©veloppement. Notre regard seul ne nous permet plus de saisir la complexitĂ© de ce que nous sommes monde compris, mĂȘme si nous nous en diffusons, dĂ©crivons, montrons les regard passe par la rĂ©flexion et la comprĂ©hension, aujourd’hui X fois plus qu’hier, et ceux qui ne sauront pas, ceux qui ne se seront pas suffisamment, instruits, Ă©duquĂ©s, cultivĂ©s, seront des aveugles Ă©triquĂ©s colporteurs de rumeurs et de superstitions. Et, le cas Ă©chĂ©ant, conduits par d’autres aveugles qu’ils se seront choisis ou Ă©lusAussi, entretenir la rĂ©flexion crĂ©atrice et l’élargir tout au long de son existence, par un enseignement complĂ©mentaire permanent, ne peut ĂȘtre qu’une exigence profitable, un recours pour exercer les dĂ©cisions et les choix, que nous effectuons tout en favorisant inĂ©vitablement le discernement et l’émergence d’idĂ©es crĂ©atrices ».45 – Il faut favoriser l’échange autre que celui qui nous est proposĂ© au faut favoriser l’échange
Notre Ă©volution technologique permet pratiquement en restant chez soi, d’ĂȘtre non seulement Ă  l’écoute du monde, mais Ă©galement par le tĂ©lĂ©travail, de mener une existence de reclus si nous le souhaitons. Nul ne peut contester l’apport des technologies de la communication et du transport individuel dans notre mode de vie au certains restreignent l’exercice de la rencontre de proximitĂ©, en offrant individuellement l’évasion virtuelle vidĂ©o, tĂ©lĂ©vision, et il est donc nĂ©cessaire de disposer d’espaces, de lieux de les ECPA favorisera cette rencontre de proximitĂ© oĂč nous prendrons le temps de l’échange. Chacun l’utilisera en fonction de son statut social, un retraitĂ© et un sans emploi par exemple seront plus enclins Ă  enchaĂźner derriĂšre, une activitĂ© qu’un actif. En dehors de cela, parler, c’est aller Ă  la rencontre de l’autre et se dĂ©couvrir, non sans risque, celui d’apparaĂźtre comme l’on cela est moins grave que l’isolement frileux, ce qui ne retire en rien la nĂ©cessitĂ© de se constituer des havres de solitude ou des antres de mĂ©ditation qui sont Ă  l’égal du besoin de se rencontrer.
 autre que celui qui nous est proposĂ© par le notre Ă©change est globalement fixĂ© par les mĂ©dias, et en ordre croissant, plus particuliĂšrement par les informations tĂ©lĂ©visĂ©es 14%, la presse nationale 18%, la presse rĂ©gionale 31%, les magasines 34,5 millions de personnes, dont 17 millions sont des hebdomadaires de tĂ©lĂ©vision[115].Si les mĂ©dias, dans leur grande acceptation, demeurent notre source d’information pour percevoir cet Holisme » auquel je faisais allusion, cette information relate ce que les rĂ©dacteurs ont sĂ©lectionnĂ©, soit parce qu’ils entreprennent une croisade, soit parce qu’ils nous donnent les informations correspondant Ă  notre image, et qui assureront dans les deux cas la vente ou l’écoute. C’est le seul moyen de recevoir l’information de l’extĂ©rieur, que va certainement bouleverser l’ monde du travail fournit aussi son lot d’échange, et Ă©galement la vie familiale. Mais ce sont lĂ , les Ă©changes du quotidien qui vĂ©hiculent des uns vers les autres ce que nous savons, pensons, faisons et oĂč nous apprenons aussi des uns aux autres. Ces Ă©changes sont le fruit de nos occupations, et ils sont incidents du milieu sociologique, c’est l’échange local morcelĂ© et hĂ©tĂ©roclite, c’est la chaĂźne par "le bouche Ă  oreille" pour le meilleur et le dans cet Ă©change local, la place incidente qu’occupe l’information avec l’extĂ©rieur et grande, puisqu’elle rythme notre quotidien, mais pauvre en variĂ©tĂ© et en qualitĂ© de fait, pour ne pas ĂȘtre dispersive. Non parce que la variĂ©tĂ© et la qualitĂ© n’existent pas, mais parce que nous consacrons peu de temps Ă  toute forme de lecture, et de ce fait le souci financier impose une distribution de masse sĂ©lectivement telle maniĂšre que pour en disposer d’une autre il faut aller la - Quels effets la frĂ©quentation des ECPA aura au sein de la effets la frĂ©quentation des ECPA aura au sein de la la frĂ©quentation des ECPA quelles nouvelles relations pourront se dĂ©velopper dans la cellule familiale ? Je nen ai pas d’idĂ©es prĂ©cises, hormis quelques caricatures, comme celle des enfants qui, voyant leurs parents frĂ©quenter une Ă©cole », accepteront mieux la leur. Est-ce que ces derniers censĂ©s, un temps reprĂ©senter le Savoir et l’autoritĂ© de l’adulte, n’en seront pas affaiblis, amenuisant ainsi chez les enfants l’idĂ©e de leur enfance, puisqu’ils font la mĂȘme chose qu’un adulte ? Nous rencontrons cette problĂ©matique avec les diffusions tĂ©lĂ©visĂ©es, dans lesquelles il est propose aux enfants de se comporter comme des adultes, et non pas de jouer aux parents seront-ils capables de fournir de meilleures rĂ©ponses ?Je ne sais pas ? Avoir la connaissance, comme je l’ai dĂ©jĂ  dit, ne rĂ©sout pas tout, par contre elle y contribue suivant l'application que nous en - Certains s’en excluront de s’en excluront de les actifs, il y a ceux qui pensent, fondĂ©s ou non, que ce qu’ils font ne peut ĂȘtre bien fait que par eux. Ils se rencontrent Ă  tous les niveaux de la hiĂ©rarchie, mais plus particuliĂšrement chez les dĂ©cideurs. L’absence d'une banalisation de la dĂ©lĂ©gation de pouvoir et les excĂšs de la culture Ă©litiste, conduit cette classe Ă  ne jamais sortir de son environnement, et Ă  ne se cĂŽtoyer qu’entre elle. Pourtant, celui Ă  qui nous n’avons pas osĂ© dĂ©lĂ©guer une partie de nos pouvoirs nous remplacera un jour, et parfois s’avĂ©rera plus performant. Parfois aussi, c’est l’opinion publique qui conduit Ă  ne pas dĂ©lĂ©guer. Ce sont les travers de la notoriĂ©tĂ© notamment quand se prĂ©sente une situation dramatique pour laquelle il faut dĂ©signer absolument un responsable Ă  donner en pĂąture aux Ă©motions, car il n’est pas possible de citer en justice une collectivitĂ© sociale impersonnelle. Tel l’exemple de la ministre de l’environnement face au naufrage de l’Erika, devant rentrer de vacances, alors que son absence ou sa prĂ©sence n’avait aucune incidence sur les Ă©vĂ©nements. Son absence fĂ»t reçue et prĂ©sentĂ©e comme une faute portĂ©e Ă  son discrĂ©dit ; et depuis lors cela n’a plus cessĂ© si bien que chaque responsable soigne son image comme un le traitement Ă©motionnel de l’information, l’opinion publique a une tendance Ă  court-circuiter les structures administratives, peut-ĂȘtre avec des raisons qui tiennent Ă  la dĂ©lĂ©gation de pouvoir, mais surtout aux dĂ©bats politiques théùtraux, en perpĂ©tuelle campagne Ă©lectorale discriminante qui est devenue l’art de communiquer, qui nourrissent notre raison Belges se racontent, qu’en France pour vider une salle de confĂ©rence il suffit de rentrer, et de dire que l’on demande le prĂ©sident, et tout le monde sort. C’est toute la confusion que nous faisons avec le rĂŽle indispensable de l’élite, et sa reprĂ©sentation publicitaire ou théùtrale. La stupiditĂ© n’a pas de limite mĂȘme quand elle se pare du vocable de communication. Toute cette Ă©lite, de fait ou fabriquĂ©e, s’en exclura. L’humour mis Ă  part, une coupure dans leurs activitĂ©s dĂ©bordantes serait aussi nĂ©cessaire qu’à d’autres. Sauf qu’ils Ɠuvrent dans un univers, oĂč se poser, c’est un moyen sĂ»r d’ĂȘtre englouti par un s’en excluront tous ceux qui se considĂšrent ĂȘtre guides confessionnels ou idĂ©ologiques, pour avoir lu dans des livres qu’ils Ă©taient instruits de la destinĂ©, comme d’autres lisent dans une multitude de choses, censĂ©es par leur structure, dĂ©tenir la dĂ©finition de l’ s’en excluront tous ceux, qui trouveront en eux une justification pour le incidences sur l’appareil productif ?Avant d’en arriver aux incidences prospectives des ECPA sur l’organisation Ă©conomique, je vais consacrer un long dĂ©veloppement Ă  cette Ă©conomie dont nous pouvons retirer quelques fiertĂ©s, mais qui est loin d’ĂȘtre mature. Ceci, parce qu’elle est empĂȘtrĂ©e dans des luttes idĂ©ologiques Ă©goĂŻstes qui l’enserrent comme un carcan au travers de tous ses symboles de domination et de puissance usant outrageusement d’un langage libertaire de façade, et de la raretĂ© comme moteur de la dĂ©sidĂ©rabilitĂ© produit de l’innĂ© remaniĂ© par nos cultures. Je vais donc commencer par ce qui en est son symbole, l’ – Les symboles, tel l’or, qui repose sur deux constantes rĂ©unies dans un schĂ©ma abstrait collectif par ordonnance, mais avec des valeurs contestables par qu’elles sont symboles
Pour cela, il faut faire l’effort de regarder nos comportements Ă  la lumiĂšre des symboles que nous poussent Ă  composer nos motivations. L’affirmation de soi nous a conduit de tout temps Ă  nous valoriser, et dans une trĂšs large mesure dans le but sĂ©duire, exprimer la sexualitĂ© humaine comme Ă©lĂ©ment de sociabilitĂ© et pour c’est la monnaie qui nous permet de rĂ©aliser ces affirmations. L’envie qui nous pousse Ă  dominer se matĂ©rialise aussi par l’attribution de valeurs subjectives Ă  des matĂ©riaux, pourvu qu’ils soient rares, et que les hommes aient convenu de leur raretĂ© tel l’or, ou organisĂ© leur raretĂ©, la production de monnaie.
tel l’or
S’il doit y en avoir un symbole, l’or l’est par excellence. Pourtant, l’or, les pierres dites prĂ©cieuses, et tous les autres matĂ©riaux auxquels nous accordons cette valeur symbolique, pour toutes les raisons qui sont les nĂŽtres, n’ont de valeur rĂ©elle, que par leurs propriĂ©tĂ©s physiques, et l’énergie que nous consacrons Ă  leur les Ă©motions et les envies qu’ils suscitent nous font oublier que ce ne sont que des mĂ©taux ou des pierres, dont la valeur relative se situe dans la reprĂ©sentation symbolique que nous leur attribuons, et ce, afin de satisfaire nos dĂ©sirs dĂ©sidĂ©rabilitĂ©. Ainsi durant des siĂšcles les hommes se sont transmis un mĂ©tal qui ne leur servait technologiquement Ă  rien contre toutes sortes de biens, tout simplement parce qu’un autre dĂ©sirait sa possession pour affirmer sa puissance spirituelle, politique, individuelle. Aujourd’hui nous connaissons ce qu’a Ă©tĂ© sa fonction la plus importante, ĂȘtre un moyen d’échange, un moyen d’échange qui convenait Ă  l’illettrisme ambiant, car il fallait bien quantifier les Ă©changes et les reprĂ©sentations; de telle maniĂšre que dans l’Histoire de l’homme, nous le retrouvons en partie comme le symptĂŽme d’une affection psychosomatique.
 qui repose sur deux constantes
Cette valeur symbolique repose sur deux constantes. L’existence de la matiĂšre, tel la rĂ©alitĂ© de l’or, un matĂ©riau aux propriĂ©tĂ©s physiques scientifiquement attestĂ©es, et l’écoulement du temps car sans cette perception nous ne rechercherions pas des Ɠuvres qui durent, car la nature a toujours fourni des matĂ©riaux organiques pour satisfaire Ă  la symbolique. Ces deux constantes sont la caractĂ©ristique de l’évolution de notre activitĂ© cĂ©rĂ©brale capable de conceptualiser toutes les Ă©motions comportementales de la perception d’une rĂ©alitĂ© abstraite observable, les dĂ©sirs, et de dĂ©finir Ă  partir d’eux une organisation miniĂšre et mĂ©tallurgique, qui nous conduira jusqu’à l’ c’est cette fonction, cette aptitude Ă  conceptualiser issue des perceptions Ă©motionnelles durables qui dĂ©termineront une valeur autre, et une fonctionnalitĂ© Ă  un matĂ©riau qui n’a que le seul mĂ©rite de ses propriĂ©tĂ©s, et dont nous ignorons la motivation profonde qui peut tenir aussi bien Ă  sa raretĂ© qu’à ses piĂštres propriĂ©tĂ©s de rĂ©silience qui ont conduit les hommes Ă  en faire l’usage symbolique que nous lui notre temps universel, mĂȘme s’il n’est qu’une valeur conventionnelle mesurable par des outils horloge, montre, etc., est une partie intĂ©grante de la rĂ©alisation des dĂ©sirs ; mĂȘme s’il y a des variations que nous ne pouvons pas ressentir Ă  notre Ă©chelle, qui sont Ă  la fois infinitĂ©simales et mesurables,[116] et qui ne sont pas une mesure de durĂ©e de temps mais d’écoulement du temps, qui dĂ©montre que le temps s’écoule plus lentement Ă  mesure que l’on se rapproche du centre de gravitĂ© terrestre. L’écoulement du temps est donc reconnu pour les propriĂ©tĂ©s qui sont les siennes, donner une indication un mouvement » Ă  notre quand il servira de mesure d’une activitĂ© de travail, il aura une autre fonction que simplement donner l’heure, il fixera le dĂ©roulement d’une activitĂ© et sa valeur horaire sera convertie en dans le cas de notre temps, il s’agit d’un Ă©vĂ©nement cosmologique que nous avons formalisĂ© en mesure et qui acquiert une valeur dans l’organisation Ă©conomique, par la structure biologique de notre cerveau qui nous donne la capacitĂ© de concevoir un face Ă  ce temps l’or c’est avĂ©rĂ© conserver son Ă©clat car il durait au-delĂ  des siĂšcles, et aprĂšs avoir reprĂ©sentĂ© l’éternitĂ© et l’embellissement signe de richesse, il devint aussi le bien d’échange inaltĂ©rable.
reliĂ©es dans un schĂ©ma abstrait
Mais, ce qui relie ces deux constantes, n’est que notre activitĂ© cĂ©rĂ©brale humaine Ă  conceptualiser Ă  partir des observations que nous parachevons par des dĂ©finitions. Ainsi, la confiance que nous accordons aux schĂ©mas qui dĂ©finissent la valeur satisfaisant nos motivations ne repose sur aucune thĂ©orie scientifique exacte, ils sont subjectifs, ils sont la rĂ©sultante de la relation constante de l’inconscient vers le conscient. Un conscient qui interprĂšte et dĂ©crypte son environnement gĂ©ographique, adapte ses reprĂ©sentations en fonction d’un apprentissage inĂ©galement dĂ©veloppĂ© en fonction mĂȘme de la richesse des territoires sur lesquels les hommes se sont parce que ces schĂ©mas sont issus de notre imagination, de notre capacitĂ© Ă  associer des informations et ils correspondent Ă  l’observation et aux pratiques de nos relations communautaires culturelles.
 collectif
Ainsi, tout l’or que nous pourrions amasser ne donnera pas la richesse, s’il n’y a pas un consensus collectif autour d’un comportement si l’un de nous possĂ©dait tout l’or de la terre, il mourrait pauvre, car la communautĂ© s’organiserait en dehors de lui, parce qu’elle choisirait une autre rĂ©fĂ©rence, et il n’y a lĂ , rien de que l’oxyde aurique protĂšge l’or de l’altĂ©ration, le fer mis au contact de l’eau donnera de maniĂšre constante de l’oxyde ferrique, que nous le souhaitions ou pas, et cela est scientifiquement dĂ©montrable rĂ©futable. Et si nous pouvons dĂ©montrer l’existence du temps, la mesure que nous utilisons est avons donc Ă©laborĂ© des concepts communs par accords collectifs pour mesurer, ce qui est le produit de nos dĂ©sirs, les biens et les services.
par ordonnancement
Les instruments de ces concepts se sont Ă©laborĂ©s et ordonnĂ©s au fil du temps de l’histoire des hommes, et ont glissĂ© dans la mesure de nos rapports commerciaux, desquels nous avons fini par retenir un certain nombre de constantes comportementales liĂ©es Ă  nos dĂ©sirs. Nous les avons codifiĂ©s grĂące au raisonnement mathĂ©matique, pour autant, l’usage des mathĂ©matiques ne leur confĂšre aucune exactitude hormis celle d’exister, et de servir de repĂšre, car il est nĂ©cessaire de faire la distinction entre les mathĂ©matiques qui quantifient des rĂ©alitĂ©s » physiques, et celles qui quantifient les qualifications suggestives de la les thĂ©ories Ă©conomiques qui en sont sorties ne mesurent que des valeurs relatives, que nous reconnaissons comme valeurs rĂ©elles, par nĂ©cessitĂ© d’ordre, de perspective et de prospective. Ces valeurs, que nous reconnaissons comme rĂ©elles, sont des valeurs mĂ©thodiques adaptatives, et elles ne valent que pour autant que nous les reconnaissions comme telles, dans notre majoritĂ©, en fonction du siĂšge de leur formation, inconscient, conscient profond, et ses valeurs constitutives du fait social Ă©volutif sont contestables
mais avec des valeurs contestables
Heureusement qu’il en est ainsi, leur absence de fondement scientifique, que nous nous efforçons d’y trouver par nĂ©cessitĂ© d’ordre, ne les rend donc pas immuables, elles sont donc contestables. Dans le cas contraire, cela signifierait que nous ne pourrions pas en changer, pas progresser, pas nous rĂ©former, ni l’AmĂ©rique est puissante, ce n’est pas parce qu’elle a un bout de papier qui s’appelle le dollar, autour duquel la communautĂ© internationale s’est reconnue, comme monnaie de rĂ©fĂ©rence. C'est parce qu’elle domine Ă©conomiquement par toute sa capacitĂ© productrice, d’oĂč dĂ©coule sa puissance militaire au travers des valeurs que nous admettons conventionnellement. Avant 1914 c’était l'Europe qui dominait Ă©conomiquement, avant la France et avant, et avant, et avant etc.
parce qu’elles sont sont pourtant de ces valeurs relatives que dĂ©pendent nos valeurs sont adaptatives, parce qu’elles rĂ©sultent, Ă  la fois, de la raison sensible, et d’une connaissance plus approfondie des mĂ©canismes intelligibles de notre raison, apportĂ©e parce que nous connaissons de NOUS, dans les lois de l’univers, que cette mĂȘme raison nous a permis de valeurs, que nous identifions par sensation Ă©motionnelle et dĂ©finissons et dĂ©signons par la raison, restent adaptatives, mĂȘme si nous retenons la thĂšse que notre existence est dĂ©terminĂ©e ou créée, parce que nous ne disposons pas pleinement du libre Ă  dire, pour rester dans l’échelle des jugements valeurs, de la capacitĂ© d’apprĂ©cier toutes les probabilitĂ©s de valeurs possibles, qui excluraient l’incertitude, l’indĂ©terminĂ©, mais qui incluraient nĂ©cessairement celles du passĂ© connu, et celles du passĂ© que nous ignorons, et qui nous permettraient une vĂ©rification voilĂ , chaque jugement de valeur est le produit d’une Ă©motion, et nous ne disposons d’aucun outil pour mesurer la valeur rĂ©elle d’une Ă©motion, sauf d’en observer ses effets que nous rĂ©pertorions, et Ă  partir desquels nous Ă©tablirons des Ă©chelles de valeur dĂ©signĂ©es par un vocabulaire restreint, et nous quantifierons le nombre de personne se rĂ©fĂ©rant Ă  cette Ă©chelle de valeur pour la normaliser. Nous pouvons tout de mĂȘme mesurer l’intensitĂ© de certaines Ă©motions grĂące aux rythmes cardiaques par exemple, qui eux-mĂȘmes demeurent restreints par leur organisation biologique et sont limitĂ©s de ce fait. L’amour c’est toujours identifiĂ© au cƓur, bien que celui-ci n’y soit pour rien, se bornant Ă  apporter du sang Ă  l’ensemble des organes ayant rĂ©agi Ă  une Ă©motion amoureuse. Ils ne pourraient pas pour autant servir d’échelle de valeur Ă  toutes les nuances dont nos Ă©motions sont porteuses, pour pouvoir sĂ©rier de 0 Ă  l’infini celles de six milliards de personnes. Ainsi par soucis d’organisation nous dĂ©terminons des normes par l’usage du vocabulaire et des mathĂ©matiques, et de fait, ces dĂ©terminants restent alĂ©atoires car ils peuvent se dĂ©placer sur une Ă©chelle de 0 Ă  l’infini, ils sont donc ne sert alors Ă  rien d’espĂ©rer trouver une valeur marchande se dĂ©finissant par une loi invariable qui nous dispenserait de la responsabilitĂ© d’acteur afin d’apprĂ©cier nos agissements sociaux alĂ©atoires, issue de l’évĂ©nement culturel gĂ©nĂ©rĂ© par notre activitĂ© c’est justement cette ignorance de toutes les probabilitĂ©s de valeurs qui est notre chance, cela, parce que, ignorant je ne sais jusqu’à quand qu’elles sont les justes valeurs, nous pouvons donc dĂ©cider d’en dĂ©finir d’autres, autant qu’il nous plaĂźt dans le cadre du consensus communautaire, ou pouvons donc choisir dans les probabilitĂ©s connues, ou bien Ă©laborĂ©es celles qui sont encore indĂ©terminĂ©es, et que notre raison acculturĂ©e peut assembler, pour autant qu’elle ait emmagasinĂ© plus de connaissance et plus de savoir, ce que nous appelons la crĂ©ativitĂ© ».Ainsi, l’homme peut combiner autant d’échelles de valeurs qu’il le veut, rĂ©pondant aux mĂȘme motivations ou Ă  de nouvelles, notamment pour assurer sa diversitĂ© holistique, comme source d’échange crĂ©atif ».Par consĂ©quent, il est indispensable de prendre conscience que nos valeurs sont relatives mĂȘme si nous devons nous y rĂ©fĂ©rer, et donc adaptatives que nous pouvons en changer. Mais, il est tout aussi important d’ĂȘtre clairvoyant pour comprendre qu’il est illusoire d’espĂ©rer atteindre, pour chacun des ĂȘtres humains, cette richesse absolue tant dĂ©sirĂ©e dans sa dĂ©finition actuelle, qui n’est que la rĂ©ponse au cueillir paresseux primitif inscrit dans la mĂ©moire de nos gĂšnes qui a parce qu’elle n’existe que comme espĂ©rance d’un dĂ©sir qui ne peut pas ĂȘtre atteint par tous, du moins Ă  court terme sous la forme la plus rĂ©pandue. Une forme qui se traduit le plus souvent dans notre esprit, par avoir de l’argent et jouir seulement de la vie, ou tout simplement pour ceux qui autour de l’argent se sont Ă©laborĂ©s un pouvoir, le conserver, car il leur Ă©chappera un jour, comme il a Ă©chappĂ© Ă  d’autres avant aussi, d’ĂȘtre conscients que par espĂ©rance d’un dĂ©sir, que nous avons structurĂ© inaccessible pour tous en sa forme actuelle, nous maintenons des valeurs relatives qui nous accablent ou nous – La monnaie est une valeur fictive dont nousmesurons l’usage avec l’État comme statisticien, et les libĂ©raux comme joueur de pipeau qui incitent Ă  s’ monnaie une valeur fictive
Le phĂ©nomĂšne le plus important est l’organisation sociale qui s’est constituĂ©e autour de la monnaie depuis des siĂšcles. Si sa circulation a facilitĂ© le dĂ©veloppement Ă©conomique, sa raretĂ© est en mĂȘme temps un frein au monnaie n’en demeure pas moins une valeur relative fictive rĂ©glementĂ©e qui n’a de valeur que celle que nous lui dans un dĂ©sert, et devoir choisir entre un verre d’eau ou un compte bancaire opulent. Nul doute que c’est votre raison qui l’emporterait sur votre envie de possĂ©der un compte opulent, et vous choisiriez le verre d’eau. Car c’est bien notre existence qui est une valeur fondamentale, et non pas une ligne d’écriture sur un compte, qui sans lui dĂ©nier son utilitĂ©, n’est pas une fin en dans la mĂȘme situation un tiers vous proposait le verre d’eau pour le prix de votre capital vous l’achĂšteriez. Si un autre tiers vous offrait ce verre d’eau vous le deux cas donnent un rĂ©sultat identique pour l’assoiffĂ©. Pourtant, dans le premier cas, la valeur de votre compte qui valait, Ă  un cours imaginaire un million de litres d’eau, n’en vaut plus que celui d’un verre. Dans le deuxiĂšme cas vous ĂȘtes bĂ©nĂ©ficiaire de tout. Dans le premier cas vous ĂȘtes sauvĂ© mais ruinĂ©, dans l’autre, sauvĂ© Ă©galement et propriĂ©taire d’un capital qui ne reprĂ©sente rien parce qu’il n’a pas Ă©tĂ© est rĂ©ducteur et exclusif des autres types de situations possibles, mais indique ceci Que l’éducation sociale de l’un et de l’autre n’engendre pas la mĂȘme Ă©chelle de valeur pour l’ensemble des Ă©lĂ©ments qui composent la situation. D’autres appellent cela la loi du marchĂ© », et ramĂšnent de ce fait nos relations sociales Ă  un seul Ă©change commercial dĂ©nudĂ© de l’humanisme que notre espĂšce a su dĂ©finir en thĂ©ories et qu’elle a tant de mal Ă  ramĂšne un long processus d’organisation subsistantiviste[117] » Ă  la plus stricte expression d’égocentrisme, comme la justification d’une impossibilitĂ© Ă  concevoir d’autres types de relation Ă©conomique.
 dont nous mesurons l’usage
Heureusement il n’en est rien, en crĂ©ant nos outils de mesures Ă©conomiques nous gĂ©rons au mieux nos relations socio-Ă©conomiques, et nous pouvons savoir si nous allons vers un excĂšs ou un autre. Comme ce ne sont que des instruments de mesure, ils peuvent ĂȘtre dĂ©cision appartient aux hommes, et non Ă  quelques hommes, bien que ni les uns ni les autres ne soient une garantie quelconque sans un dĂ©bat de citoyens avertis. Sauf que la connaissance approfondie des thĂ©ories Ă©conomiques et monĂ©taires n’est connue que des spĂ©cialistes, et ceci limite de fait la capacitĂ© de comprĂ©hension des autres qui ne choisissent qu’en fonction des thĂ©ories apologĂ©tiques exprimĂ©es, sans en connaĂźtre souvent les bases les plus simples, se fiant Ă  leur bon sens commun », ou leurs intĂ©rĂȘts Ă©goĂŻstes dont chacun peut avoir une apprĂ©ciation de son Ă  propos.Bon sens commun » qui n’est pas toujours dans ce domaine suffisant. C’est ainsi que nous avons des citoyens qui votent pour des gouvernements nĂ©olibĂ©raux, voire ultra libĂ©ral, et ensuite demandent Ă  l’État d’intervenir en toutes choses, de mener des politiques dĂ©cision de modifier ces instruments de mesure Ă©conomique est Ă©minemment politique. C’est aussi Ă  travers eux le pouvoir du choix de leur destinĂ©e, et peu importe Ă  qui ils en confient la gestion ce qui est un autre dĂ©bat. Il suffit que les dĂ©cisions ne leur Ă©chappent pas, et s’opĂšrent en connaissance de cause. Ce qui exige d’y consacrer du temps que nous ne dĂ©gageons pas. Il n’est donc pas surprenant d’entendre autour de la monnaie et de ses thĂ©ories se dĂ©velopper des dĂ©bats pseudo scientistes, puisque nous sommes en pleines valeurs relatives et fictives qui sont la projection de nos fondamentaux besoins, se nourrir, s’abriter, copuler. Fondamentaux qui servent de justificatifs Ă  une approche pseudo scientiste pour servir un dĂ©sir non moins clair, dominer, qui est l’étroit Ă©gocentrisme que l’image du pĂšre » mĂȘme imparfaite a tempĂ©rĂ©, et dont nous confions de plus en plus le rĂŽle Ă  des systĂšmes la loi du marchĂ© » qui rĂ©gĂ©nĂšrent les impulsions que l’image du pĂšre » a mis des siĂšcles Ă  contenir, et qui nous laisse comme de naĂŻfs bĂ©ats devant la modification d’un certain nombre de valeurs socialisantes.
 avec l’État comme statisticien
Dans le dĂ©bat Ă©conomique le rĂŽle de l’État citoyen est toujours prĂ©sent, et il ne peut pas en ĂȘtre autrement. Pourtant, pour ceux qui considĂšrent que l’État ne doit pas intervenir dans l’économie, c’est nier le droit d’intervention de la communautĂ© dans un secteur qui dĂ©termine son existence, et d’en fixer son orientation. Au-delĂ , c’est dĂ©nier la relation qui existe, entre l’usage de biens et de services, et les modifications qu’ils entraĂźnent dans la sociĂ©tĂ©, au travers des pouvoirs Ă©conomiques qui s’exercent par leur entremise, c’est le soustraire Ă  la communautĂ© citoyenne pour le concĂ©der Ă  des particuliers, quel que soit le mĂ©rite de ces l’État citoyen joue aussi un rĂŽle important et obscur celui de collecteur d’informations socio-Ă©conomiques. Pour jouer ce rĂŽle l’État dispose d’institutions collectant toutes les informations, telle l’INSEE ou celles produites par la BANQUE de France pour les plus connues, sans lesquelles le monde Ă©conomique serait aveugle, et auxquelles, plus d’un entrepreneur se rĂ©fĂšrent, tant pour une apprĂ©ciation micro-Ă©conomique, que macro-Ă©conomique.
 et les libĂ©raux des joueurs de pipeau, qui incitent Ă  s’ les tenants de la suppression du rĂŽle de l’État dans le domaine Ă©conomie ne manquent pas. Leurs justifications se fondent sur le laisser faire et le laisser passer », ou la loi du marchĂ©, sous-entendu les rĂšgles se fixeront d’elles-mĂȘmes. Ce qui est drĂŽle, si je puis dire, c’est que les tenants de ce discours, quand ils parlent de l’organisation politique de la sociĂ©tĂ©, mettent l’accent sur l’importance de notre sociĂ©tĂ© de Droit ». SociĂ©tĂ© dans laquelle chacun doit respecter les rĂšgles lĂ©gifĂ©rĂ©es pour prĂ©server la libertĂ© de chacun, sous peine de sombrer dans l’anarchie au sens de sans aucun ordre. Tiens donc, l’anarchie ?La loi du marchĂ© » serait donc en l’absence de rĂšgles l’anarchie ?Non !Je crois qu’il faut plutĂŽt entendre, la loi de ceux qui sauront s’organiser Ă©tablir un ordre de fait pour ĂȘtre les plus forts. Cest comme cela qu’il faut l’entendre, car c’est comme cela que ça se loi du marchĂ© signifiant en l’espĂšce absence de lois lĂ©gifĂ©rĂ©es, mais pas absence d’un ordre, car alors c’est l’ordre du plus puissant qui s’impose, voire l’ordre de ceux qui commercent, celle du dominant ; pas du meilleur reproducteur capable d’assurer la survie du groupe, car nous ne sommes plus sous l'influence primitive de la sĂ©lection naturelle, mĂȘme si cette rĂ©gulation seffectue recomposĂ©e, mais celle du dominant phagocytaire, le dominant qui nourri le groupe pour mieux le dĂ©vorer. Et c’est cette loi du marchĂ© lĂ , qui nous est souvent prĂ©sentĂ©e comme rĂ©pondant Ă  une loi organique immuable naturelle moderne, une fatalitĂ© Ă  accepter. Il n’en est heureusement rien, tout cela, ce n’est qu’une forme d’organisation commerciale, ne rĂ©pondant Ă  aucun critĂšre scientifique, et dĂ©pendant seulement des valeurs relatives culturelles que nous accordons Ă  nos relations sociales d’origine biologique et n’empĂȘche pas la rĂ©alitĂ© des pouvoirs Ă©conomiques. Pouvoirs qui se construisent par le truchement des prises de participation, de toutes les sortes de fusions ou de concentrations de capitaux, qui ne sont que la mise en commun de leur capacitĂ© productrice ou dit mise en commun ? J’ai du me tromper de terme. Pourtant, leurs propriĂ©taires se rĂ©unissent collectivement dans des organisations internationales pour s’ordonner. Je trouve cela amusant que des nĂ©olibĂ©raux capitalistes se rĂ©unissent collectivement autour d’une idĂ©e commune, et ainsi avoir une communautĂ© d’intĂ©rĂȘts. CommunautĂ© d’intĂ©rĂȘts qu’ils dĂ©nient Ă  d’autres, en les traitant de dĂ©fense d’intĂ©rĂȘts corporatistes ou pouvons tenir les discours que nous voulons, ou s’amuser comme je le fais, cela ne fera pas disparaĂźtre la communautĂ© d’existence qui est la nĂŽtre, quelles que soient les rĂšgles inĂ©galitaires que nous instaurerons, fĂ»t-ce en se regardant le nombril comme nous le pour cela que j’ai tant insistĂ© sur le deuxiĂšme principe de la thermodynamique. Lorsque l’on a compris que l’on tend toujours vers le dĂ©sordre structurel, nous ne devons pas ĂȘtre surpris que tous les ordres que nous Ă©laborerons, que ce soit au nom du libĂ©ralisme ou autre, seront condamnĂ©s Ă  se transformer. Pour deux raisons, l’une, parce que vivre dans l’ordre que nous avons Ă©tabli le modifie de fait c’est pour cela qu’une mĂ©nagĂšre est toujours en train de ranger chez elle, ou ne serait-ce que par le renouvellement des gĂ©nĂ©rations dans lesquelles, Ă©videmment, l’ancienne ne peut rĂ©percuter en totalitĂ© son ordre culturel » sur la nouvelle. L’autre, parce que notre ordre culturel » fait partie de l’ordre universel, et que cet ordre universel tend toujours vers le il devrait nous apparaĂźtre clairement que lorsque des hommes rĂ©clament au non du libĂ©ralisme leur ordre, ou d’autres un ordre pour leurs semblables, et que ceux-ci doivent lĂ©gifĂ©rer sans cesse pour maintenir les dits ordres, cela signifie au minimum que notre ordre culturel » repose sur des normes ou des rĂ©fĂ©rences dĂ©suĂštes. Toutefois, si nous ne pouvons pas dĂ©brouiller le dĂ©sordre » universel, nous pouvons nĂ©anmoins comprendre que nos organisations communautaires, que nous voulons ordonner, tendront au dĂ©sordre pour se rĂ©organiser, et ceci rend Ă©phĂ©mĂšres toutes nos constructions closes, qui plus est rend comprĂ©hensible la nĂ©cessitĂ© permanente de se rĂ©former, y compris rĂ©former nos idĂ©aux, et Ă©largir son horizon intellectuel. Ceci est un exercice pĂ©rilleux qui exige d’apprendre et toujours apprendre, d’apprendre et dĂ©sapprendre P .327.De ce fait, il faudra nous sĂ©parer de la notion de libertĂ© absolue » comme nous nous sommes sĂ©parĂ©s du temps absolu, dans un monde oĂč nous pouvons tout emprisonner mĂȘme la pensĂ©e, et regarder notre monde comme il est, sous condition, sous rĂ©fĂ©rence de notre le libĂ©ralisme a eu le privilĂšge de sortir les hommes du statut de sujet de sa MajestĂ© » et d’avoir de multiples facettes[118], il s’identifie de plus en plus Ă  un excĂšs de l’individualisme Ă©goĂŻste. ÉgoĂŻsme des hommes attirĂ©s par la douce musique d’un libĂ©ralisme salvateur, et qui ouvre la porte au totalitarisme Ă©conomique la loi du marchĂ© financier, comme son antonyme le collectivisme soviĂ©tique a ouvert celle du despotisme d’État, par la pensĂ©e ni l’un ni l’autre ne sont venus Ă  bout de l’exclusion, parce que ce sont des systĂšmes exclusifs et qu’ils prĂ©conisent la raretĂ©. L’un la raretĂ© Ă©conomique, l’autre celle de la pensĂ©e, sauf que le pseudo nĂ©olibĂ©ralisme[119] d’aujourd’hui c’est dotĂ© des le libĂ©ralisme se veut le juge du monde au nom de l’humanitĂ©, la sienne, celle du droit qu’il s’est dĂ©fini, qui trouve ses limites dans la puissance des États qu’il juge ou dans ses propres paradoxes, tel celui d’avoir dĂ©fini le crime de guerre, comme si la guerre en elle-mĂȘme n’était pas un crime ; ce qui conduit Ă  l’indĂ©cence d’estimer que l’on peut tuer, pourvu que ce soit proprement, suivant les rĂšgles dĂ©finies par les ainsi qu’ayant dĂ©fini un tribunal international pour crime contre l’humanitĂ©, il s’y verra un jour assignĂ© lui-mĂȘme, pour pollution, non-assistance Ă  peuple en danger, assassinat Ă©conomique, bref, de quoi changer le nom de la Terre pour l’appeler Prison. Non pas que l’intention ne soit pas gĂ©nĂ©reuse ou louable et nĂ©cessaire, mais on ne peut tout Ă  la fois considĂ©rer qu’il est inhumain de se livrer Ă  la barbarie et soutenir que cela est une marche Ă  franchir vers l’hominisation, sans oser dire que l’est tout autant la production de toutes les armes qui ne visent qu’à la suppression de son semblable, et en rĂ©pression se livrer aux mĂȘmes comportements de maniĂšre plus douce pour qu’ils puissent ĂȘtre qualifiĂ©s d’humain. Nous savons que l’idĂ©e de la mort est moins effrayante que la durĂ©e de la souffrance ou des humiliations qui y mĂšnent, et notre Ă©motion nous fera plus regarder comme insupportables les conditions qui y conduisent, car un Être torturĂ© crie, alors que sous une bombe il est anonyme, ce qui nous pousse Ă  condamner les moyens plutĂŽt que les schĂ©mas culturels qui y prĂ©disposent. Et dans le cadre de l’hominisation, devrions-nous alors dire que la production d’armes capables d’exterminations est une Ă©tape vers cette hominisation ? Ou bien ne pas y renoncer parce que nous ne pouvons pas nous passer des profits que leurs productions gĂ©nĂšrent et ne pas trouver d’emplois Ă  ceux qui y contribuent. Surtout ne pensez pas que c’est pour nous protĂ©ger d’éventuels agresseurs, car ceux que nous identifions comme tels aujourd’hui, c’est l’occident qui leur a fourni ces armes, ou donnĂ© les moyens techniques, pour se protĂ©ger eux aussi contre d’éventuels agresseurs qui n’étaient autres que nous mĂȘme par pays interposĂ©. C’est un pas que nous ne franchirons pas car nos relations Ă©conomiques imposent de prĂ©server sa richesse, ses intĂ©rĂȘts Ă©goĂŻstes de la convoitise des autres, tout en se donnant les moyens d’une puissance militaire supĂ©rieure Ă  celle que nous vendons pour s’autoriser d’aller la chercher chez les autres. Ainsi nous sommes en permanence dans une dichotomie du raisonnement qui nous a conduits Ă  organiser, par des accords, l’art de s’entre-tuer, pour rĂ©glementer un Ă©vĂ©nement sociĂ©tal que nous jugeons irrĂ©versible, qui nous entraĂźne jusqu’à estimer que ceux qui ne disposent pas des moyens de faire la guerre comme les puissants l’on dĂ©finit, deviennent des criminels, parce que les puissants savent qu’en organisant la confrontation sur leur dĂ©finition de la guerre, leur puissance ne peut ĂȘtre vaincue. Ainsi un ordre qui se voulait rĂ©gulateur a fini par rĂ©gĂ©nĂ©rer la guerre totale qui touche les civils et que nous appelons terrorisme, qui se qualifie aussi d’armes des pauvres ». Il s’agit moins, par une Ă©motion comprĂ©hensible de la qualification des consĂ©quences de justifier de l’horreur des actes qui n’ont rien Ă  envier Ă  ceux de la guerre, que de maintenir cette dĂ©finition dans l’illĂ©galitĂ© de son recours, car notre histoire regorge de terrorisme qui est devenu rĂ©volution avant de finir en armĂ©e rĂ©guliĂšre. Le respect de la vie comme pas vers l’hominisation, ne souffre pas de partage, mĂȘme si des atrocitĂ©s nous Ă©meuvent au point de dĂ©sirer la mort pour ceux qui les commettent, car impulsivement nous sommes aptes Ă  la donner Ă  tous les instants pour des raisons les plus insignifiantes qui ne sont rĂ©vĂ©latrices que d’une inadĂ©quation ou d’une nĂ©vrose plus profonde. Oser faire ce pas vers l’hominisation en dĂ©clarant la guerre comme crime contre l’humanitĂ© est aujourd’hui impensable tant les intĂ©rĂȘts politiques, idĂ©ologiques, religieux, Ă©conomiques y sont Ă©troitement liĂ©s. Pour que cette voie se jalonne, il sera nĂ©cessaire de l’ancrer dans le conscient profond de chaque Être qui naĂźt, et pour cela il n’y a que l’éducation. Nous ne pouvons plus conserver ce vestige archaĂŻque de l’ignorance culturelle, s’entre-tuer, et se dire Humain ; le plus difficile est de convaincre les hommes que cette aptitude n’est pas une normalitĂ© », mĂȘme si elle est le produit d’une rĂ©action Ă©motionnelle violente pour supprimer ce qui est perçu comme l’obstacle source de sa souffrance, d’autant plus que ceux mĂȘmes Ă  qui vous expliqueriez ce point de vue seront prĂȘts Ă  vous tuer comme obstacle hĂ©rĂ©tique Ă  leur pensĂ©e. A moins qu’un État relĂšve ce dĂ©fie historique de l’hominisĂ© contre l’homo sapiens, car il faudra bien un jour qu’il y en ait un qui le il ne faut pas se tromper quand l’on nous parle de libertĂ©, d’évolution ou de rĂ©forme de la sociĂ©tĂ©. D'ailleurs quand les libĂ©raux parlent le plus souvent de rĂ©formes, ce n’est pas pour rĂ©former l’organisation libĂ©rale de telle maniĂšre que son organisation Ă©conomique soit moins gĂ©nĂ©ratrice de conflits, d’exclus, de violences, de barbaries, et donc des lois qui s’en suivent pour les rĂ©guler, mais de la suppression de ce qu’ils jugent reprĂ©senter un frein Ă  la pĂ©rennisation d’un systĂšme du passĂ© qui leur assurait richesse et domination. Ils espĂšrent qu’en le reproduisant dans le futur recomposĂ©, il leur garantira ce qui leur a assurĂ© dans le certaine maniĂšre ils se comportent comme les Romains qui, assurĂ©s de ce que leur avaient garanti leurs dieux dans le passĂ©, ne s’écartaient pas de leur rituel cultuel afin d’avoir leur futur garanti[120]par eux. Nous savons ce qui en reste mĂȘme si cela a durĂ© plus de mille ans, car leurs dieux n’ont pu arrĂȘter l’évolution, le mouvement, la marche en avant de l’univers dans lequel nous sommes inscrits. Nous, nous avons cinq cents ans de libĂ©ralisme Ă©conomique et en cinquante ans nous nous sommes dotĂ©s aussi des moyens de dĂ©truire la vie sur la ainsi qu’il faut pouvoir dĂ©celer parmi tous ceux qui nous proposent une rĂ©formation action de rĂ©former pour s’inscrire dans le mouvement universel, ceux qui nous proposent une rĂ©formation pour maintenir dans le futur un systĂšme libĂ©ral du passĂ© qui les sert ; mĂȘme si nous sommes dans une sociĂ©tĂ© dite, postindustrielle et que le profit se rĂ©alise plus autour du produit par les besoins qu’il a fait naĂźtre et par la rentabilitĂ© du retour d’investissement que cela a de comprendre cela le systĂšme libĂ©ral ou la civilisation libĂ©rale mourra, comme est morte la civilisation romaine pour ne pas vouloir accepter que l’existence est un mouvement », et que nous ne pouvons pas reproduire dans le futur » le passĂ© qui nous rassure. Sauf que cela demande des gĂ©nĂ©rations si ce n’est des siĂšcles, alors que notre vue se rĂ©trĂ©cie sous le dĂ©sir du gain rapide qui gĂ©nĂšre une incertitude Ă©conomique, qui raccourcit le champ de vision de certains de ses acteurs, en gĂ©nĂ©rant une inquiĂ©tude lĂ©gitime qui les conduit Ă  se replier dans leur Ă©goĂŻsme comprĂ©hensible, le plus souvent guidĂ© par leur ignorance, face Ă  la complexitĂ© du monde qui s’est fait jour grĂące Ă  la l’homme pour donner le meilleur de lui-mĂȘme a besoin d’ĂȘtre assurĂ©, mĂȘme si c’est pour conquĂ©rir l’incertitude, et s’il doit en permanence se rĂ©former pour suivre le mouvement », puisque le passĂ© meurt et que seul son souvenir reste Ă©ducatif, il faut qu’il puisse espĂ©rer y trouver une meilleure existence, et non des exclusions ; de telle maniĂšre que le passĂ© serve Ă  construire les reprĂ©sentations des futurs possibles sans que l’incertitude ne l’oblige Ă  se recroqueviller sur ce ne pouvons donc pas faire l’économie de la nĂ©cessitĂ© de nous interroger Ă  savoir si notre organisation libĂ©rale permet aux hommes d’ĂȘtre assurĂ©s ?Et bougrement se mĂ©fier des joueurs de pipeaux dont chacun connaĂźt l’ L’appĂąt du gain reste-t-il l’adversaire de la dĂ©mocratie ?L’appĂąt du gain reste-t-il l’adversaire de la dĂ©mocratie ?Certainement s’il conduit Ă  rĂ©duire le rĂŽle de la sociĂ©tĂ© civile et celui de l’État. Car je ne vois pas comment en rĂ©duisant tout ce qui reprĂ©sente un coĂ»t de coexistence sociale, et ne le faisant supporter qu’aux citoyens en rĂ©duisant dans le mĂȘme temps leur pouvoir d’achat, il serait possible d’assurer le fonctionnement d’une sociĂ©tĂ© civile et les services publics, sans devenir les vassaux de seigneurs en tout en rĂ©sultera que les citoyens n’ayant pas suffisamment de revenus pour remplir ces fonctions civiles ou vouloir le faire, renoncerons Ă  ce que nous soutenons ĂȘtre le plus cher, la capacitĂ© d’agir », ou la libertĂ© d’agir ».Si j’ai prĂ©sentĂ© la loi du marchĂ© », comme signifiant, absence de lois Ă©tablies, j’ai Ă©galement indiquĂ© que ses partisans s’organisaient, pour en dĂ©finir, de fait, dans les relations mondiales, car les marchĂ©s nationaux se sont structurĂ©s internationalement au fil de leur ne vivons donc pas dans une Ă©conomie dĂ©structurĂ©e, bien au contraire, et le discours sur la loi du marchĂ© » signifie aussi, laissez-nous faire dans la structure autour de laquelle nous voulons organiser le marchĂ© ». Structures conditionnĂ©es par la concurrence des coĂ»ts de production et des taux de rentabilitĂ©s crois que nous oublions toujours que l’homme culturel que nous avons dĂ©veloppĂ© n’est pas une espĂšce dĂ©mocratique, sur ce que nous connaissons de son histoire. L’exigence de vivre en commun n’emporte pas la dĂ©mocratie de fait, mĂȘme dans une consĂ©quence de quoi, il est peu probable que ses organisations le seront, mĂȘme si elles en portent le nom. C’est pour cela que l’entreprise n’est pas une organisation dĂ©mocratique non plus, et qu’il persiste une confusion entre libertĂ© d’entreprendre, et celle d’exploiter son semblable, l’une n’entraĂźnant pas obligatoirement l’autre, le tout dĂ©pend des rĂšgles que nous instituons. La dĂ©mocratie emporte de fait que les citoyens aient une connaissance avertie du fonctionnement de l’ensemble de ses relations dans nos sociĂ©tĂ©s la plupart du temps ils n’en ont qu’une connaissance caricaturale qui se rapproche plus du slogan publicitaire, car il n’y a pas d’éducation gĂ©nĂ©rale en ce sens, de maniĂšre que, pour l’image, pourvu que le slogan du flacon qu’on leur vend soit beau, peu importe qu’à l’intĂ©rieur il y ait de la piquette. De telle maniĂšre que tous nos rĂ©publicains fier de leur slogan, n’ont oubliĂ© qu’une chose c’est que la rĂ©publique a fondĂ© ses bases sur l’éducation n’oublions pas de dire aussi que le mot libertĂ© » sous-entend un choix. Or en Ă©conomie il n’y en a pas, puisqu’il n’y a qu’une seule source de richesse, la production de biens et de services. Une richesse dont le dĂ©tenteur fera un usage Ă©goĂŻste, ce qui permet de comprendre que les postulants Ă  cette richesse se rĂ©fĂ©rent si souvent aux services de l’État citoyen comme rĂ©gulateur ou au contrat pour se la rĂ©partir. Un contrat qui n’a de valeur que s’il est en mesure d’opposer au pouvoir financier, un pouvoir de classe, parfois tout aussi Ă©goĂŻste, car le contrat de grĂ© Ă  grĂ© dans le domaine des relations salariales n’est qu’une duperie, parce qu’il ne peut pas Ă  lui tout seul ĂȘtre un contrepoids au pouvoir financier. C’est pour cela que le contrat collectif est le plus capable de prendre en compte des intĂ©rĂȘts communs ou corporatistes, et fixer des seuils Ă  partir desquels le contrat de grĂ© Ă  grĂ©, acquiert une rĂ©elle consĂ©quence, le choix des instruments de mesure qui vont rĂ©guler les intĂ©rĂȘts Ă©goĂŻstes de l’entreprise et des citoyens, et qui les Ă©dite, revĂȘt tout son importance pour se rĂ©partir ou crĂ©er la richesse donnant Ă  la sociĂ©tĂ© civile et Ă  l’État citoyen la libertĂ© d’agir », faute de quoi leur insuffisance ou leur disparition est un danger pour la dĂ©mocratie. Cette insuffisance pousse les citoyens Ă  la tendance actuelle Ă  rĂ©clamer la suppression des impĂŽts ou des prĂ©lĂšvements en direction de État, tout en lui rĂ©clamant des services, des aides, et des solutions aux phĂ©nomĂšnes d’exclusions, cela en lui ayant restreint sa capacitĂ© d’action par le certaine façon nous organisons l’impuissance de l’État et nous nous plaignons d’elle, sauf pour les tenant d’un nĂ©olibĂ©ralisme pour lequel ce choix est - Y aurait-il une loi invisible du marchĂ© ?Y aurait-il une loi invisible du marchĂ© ?Comme le principe essentiel du libĂ©ralisme repose sur un comportement rationnel des individus dans un ordre naturel », cela exclurait de fait la capacitĂ© altruiste de l’homme. Ce que dĂ©ment toute l’activitĂ© associative, et ce, notamment, lorsqu’elle tend Ă  s’entraider, et qu’elle est donc gĂ©nĂ©rĂ©e par un comportement collectif d’intĂ©rĂȘts identificatoires » issus d’un dĂ©veloppement culturel, par opposition Ă  l’altruisme instinctif qui concerne la cellule familiale. Plus gĂ©nĂ©ralement, ce sont les comportements identifiĂ©s par le patriotisme des citoyens de l’Etat nation, qui s’apparente au suicide altruiste, je prĂ©fĂšre celui issu de l’action caritative ou de solidaritĂ© et en Ă©conomie les minimums vitaux ou le indique aussi, que contrairement Ă  l’idĂ©e qui s’est rĂ©pandue, c’est la loi du marchĂ© qui doit fixer les rĂšgles », comme si une main invisible dĂ©finissait cette loi, cette loi c’est NOUS. NOUS dans la contestation de l’image du pĂšre » quand il se veut oppresseur plutĂŽt que guide, totalitaire plutĂŽt que dĂ©mocrate je le souligne dans mon exemple P. 189, l’eau restera de l’eau, l’homme un homme, et la loi du marchĂ© » ce que nous en toutes nos valeurs respectives Ă©volueront, non seulement dans l’ordre universel, mais aussi suivant l’usage que nous en ferons, parce qu’elles sont des valeurs relatives assujetties Ă  la vision de nos dĂ©sirs, et des comportements sociaux qui en bien que l’eau, d’un bien libre, est devenue un bien lire notre coexistence nous qualifions nos comportements, altruisme, Ă©goĂŻsme, individualisme ou collectivisme, et nous en faisons des entitĂ©s qui les conditionnent. Nous allons mĂȘme utiliser ces entitĂ©s pour nous dĂ©culpabiliser d’ ainsi que, s’il est nĂ©cessaire d’établir des normes pour mesurer notre activitĂ© coexistante, par exemple la richesse, la pauvretĂ©, nous finissons par admettre que si quelqu’un et pauvre ce n’est pas de notre faute, c’est parce qu’il n’a pas correspondu aux normes Ă©tablies. Cela, tout aussi naturellement que nous avons acceptĂ© que l’eau devienne un bien rare. Pourtant hier il y avait des points d’eau potable libre, et aujourd’hui chacun doit la payer ou la mendier s’il n’a pas de revenu. Est-ce la main invisible ? Je dirais plutĂŽt que cette main, c’est notre dĂ©sir de bĂ©nĂ©ficier du confort de sa distribution, et notre activitĂ© polluante qui en a fait un bien rare, mĂȘme dans les pays oĂč elle est abondante. Si des compagnies vendent des graines d’OGM qui ne se rĂ©ensemencent pas, je ne crois pas non plus, qu’il s’agisse lĂ  d’une loi invisible du marchĂ© qui les guident, pas plus celle qui laisse se dĂ©velopper l’épidĂ©mie du Sida en toute connaissance de cause. Bien sĂ»r nous ne pouvons pas rĂ©sorber techniquement tous les maux de la planĂšte, mais contenir par exemple l’assistance pharmaceutique abondante, et l’organisation des soins dans une structure seulement de marchĂ©, s’appelle clairement faire du profit sur le marchĂ© de la souffrance et de la mort ; c’est autre chose qu’en percevoir un revenu pour les services qui sont dispensĂ©s. Il n’y a rien de dĂ©sobligeant Ă  le dire, sauf d’avoir peur des mots, car souffrir et mourir est notre destinĂ©e. Que ces industries et structures de soins l’amĂ©liorent me semble une Ă©vidence, sauf qu’à s’inscrire dans une structure libĂ©rale de rapport financier sur retour d’investissement, conduit Ă  ne privilĂ©gier que ce qui est rentable, qui entraĂźnera
. pouvez Ă©crire la suite de quelques opinions que vous soyez, et vous verrez que ce n’est pas une main invisible qui vous Papiers pour papiers monnaie.Papiers pour il serait absurde de refuser l’évidence, nos motivations sont porteuses de crĂ©ativitĂ© ». Il serait Ă©galement absurde d’opposer rĂ©flexions et motivations. De cette interaction nous gĂ©nĂ©rons des valeurs adaptatives qui sont souvent muselĂ©es ou modifiĂ©es par notre culture. Cette mĂȘme culture dont nous dĂ©veloppons le plus souvent le particularisme destructeur, par le souci d’identification du groupe. Nous nous laissons aller par-lĂ  Ă  nos penchants archaĂŻques de rivalitĂ©s culturelles, d’affrontements en tous genres, de compĂ©titions pour les pour cela, que dans notre culture nous avons acceptĂ© le concept, le travail donne accĂšs Ă  des bouts de papiers » argent/monnaie. Papiers sans valeur rĂ©elle, autre que celle du concept qui s’y pouvons donc de la mĂȘme maniĂšre accepter l’idĂ©e, le concept, qu’aller s’instruire procure ces mĂȘme bouts de papiers », pourvus qu’ils accomplissent leur fonction n’aurons rien fait d’autre que de dĂ©velopper un – Mais pour cela je l’ai dĂ©jĂ  Ă©crit il faut un capital capital bout de papier derriĂšre lequel il y a tout le pouvoir politique que nous lui confĂ©rons, au-delĂ  de sa seule fonction de moyen d’échange. Celui qui le possĂšde est puissant, celui qui le dĂ©sire est soumis, et il faut ajouter les rĂȘves qu’il suscite, y compris le rĂȘve de ceux qui voudraient bien modifier sa rĂ©partition, mais qui espĂšrent en un renversement du destin Et si je modifie un processus qui peut me rendre puissant » ? Pourtant, du pouvoir rĂ©galien de battre monnaie, nous sommes passĂ©s Ă  une organisation qui enverrait en prison pour escroquerie, tout particulier qui s’y livreraient. Organisation du pouvoir des banques d’émettre de la monnaie, en prĂȘtant de l'argent qu’elles n’ont pas, sous rĂ©serve qu’elles se garantissent auprĂšs de la banque centrale, et que tout le monde ne la convertisse pas en de la monnaie pas merveilleux la confiance ?N’est-ce pas la le sommet de la crĂ©ativitĂ© » ?Au dĂ©but les hommes n’avaient rien. Ils créÚrent, le troc, puis la monnaie mĂ©tallique, puis fiduciaire en papier normalisĂ©, puis scripturale, un peu d’encre sur un bout de papier, demain une puce, autant dire plus ! Un capital confiance dans une valeur fictive qui ne vaut que par la crĂ©dibilitĂ© du fonctionnement de sa structure, et qui constitue un paradoxe, car elle rĂ©duit le capital confiance des hommes entre pour conserver cette valeur fictive qui permet d’espĂ©rer ĂȘtre rentier, les hommes regardent leurs semblables comme de potentiels voleurs », et avec cela nous ne craignons pas de nous qualifier d’ĂȘtres civilisĂ©s. Bien des auteurs se sont penchĂ©s sur ce thĂšme qu’est-ce ĂȘtre civilisĂ© ? Je crois que nous le saurons le jour ou nous pourrons tourner le dos Ă  nos semblables sans arriĂšre pensĂ©e, parce que quelles que seraient les pensĂ©es qu’ils auraient, ou que nous aurions, nous pourrions nous faire confiance. Notre intelligence a lĂ  un dĂ©fi de taille Ă  relever, avec le paradoxe d'avoir la nĂ©cessitĂ© de mentir par sociabilitĂ© et par protection. J’ai dit paradoxe, la mĂ©canique quantique ne nous apprend-t-elle pas que les paradoxes se rĂ©solvent par l’analyse de l’information qui les constituent. Nous serait-il donc impossible d’appliquer son enseignement Ă  nos images mentales, et trouver la distorsion d’information qui fait que l’image de la confiance dans un systĂšme vicie son reflet chez ceux qui l’on dĂ©fi n’est pas impossible, si grĂące Ă  la science et Ă  l’éducation nous pouvons nous dĂ©couvrir tel que nous sommes, en tant qu’Être, et dans la complexitĂ© de nos relations humaines. Alors peut-ĂȘtre, la confiance remplacera le mensonge socialisant ou protecteur, individuel ou devrait peut-ĂȘtre commencer par l’enseignement de l’histoire de France qui abreuve les enfants de mensonges ou de lĂ©gendes qu’ils vĂ©hiculeront adultes comme images incidentes certaines, s’ils n’ont pas la chance de prĂ©parer un professorat ou devenir historien. Par exemple notre bon roi Saint-Louis si rĂ©putĂ© pour sa justice qui a Ă©tĂ© un pourfendeur d’hĂ©rĂ©tiques, et qui a fait porter la rouelle aux juifs il est inutile que je prĂ©cise pourquoi j’ai choisi cette image etc. etc.
. Je ne crois pas que la nĂ©cessitĂ©, d’avoir des repĂšres historiques temporels affectifs d’identitĂ©, impose la tromperie, et le mensonge politique. Cette idĂ©alisation de personnages ou de tous les autres Ă©vĂ©nements qui certes ont construit notre pays, engendre des reconstitutions mĂ©diĂ©vales certainement touristiques, mais caricaturales et erronĂ©es, et leur donne une fausse identitĂ© de ce qu’ils sont. Cette idĂ©alisation souvent Ă©rigĂ©e en symbole pĂ©trifiĂ© constitue une entrave Ă  la reconstruction inĂ©vitable des individus et des sociĂ©tĂ©s dans l’existence, et devient aussi source de fascisme gĂ©nocidaire », qui est la part violente exĂ©crable de notre agressivitĂ©, qui trouve dans les images qu’on lui prĂ©sente le fermant pour s’en justifier de nouvelles qui donnent cours Ă  une violence sous-jacente. Pour Ă©voquer et illustrer cette indispensable relation de confiance, et pour ne fĂącher personne j’ai pris une image de notre lointain passĂ©. A vous de l’actualiser, et vous comprendrez pourquoi encore aujourd’hui des hommes se rĂ©unissent sous Jeanne d’Arc, d’autres sous la faucille et le marteau[121], et suivant vos convictions vous pouvez allonger la liste, comme il en est de mĂȘme dans chaque la confiance ne se dĂ©crĂšte pas, elle se construit, elle est donc accessible Ă  notre intellect, que ce soit Ă  l’occasion de nos relations sociales ou Ă©conomiques. Et dans ce dernier domaine, comment voulez vous faire confiance dans une organisation productive, dont le but affichĂ© est de nous rĂ©munĂ©rer le moins possible, voire se passer de nous, de s’ériger en organisations Ă©gocentriques. Pourtant aussi imparfaites soient-elles, tous les hommes affichent le mĂȘme respect de la vie sous diverses dĂ©finitions, mais avec des valeurs et configurations qui les conduisent Ă  vouloir si auto supprimer en leur cela sans conflit n’est possible que si derriĂšre, il y a un projet de sociĂ©tĂ© pour l’espĂšce humaine qui dĂ©veloppe la confiance – Y a-t-il des valeurs rĂ©elles » ou scientifiques et des valeurs relatives ? Dans un marchĂ© qui Ă  des limites, et un surcoĂ»t, oĂč le client achĂšte le tout, une valeur sociale, comme il achĂštera les ECPAY a-t-il des valeurs rĂ©elles » ou scientifiques 
De valeurs rĂ©elles », il n’y a que les valeurs physiques des produits et celles des matĂ©riaux, quand nous les utilisons ou les transformons, et celle de leur valeur d’usage intrinsĂšque », ensuite notre capacitĂ© de travail Ă©nergĂ©tique, aussi bien pour penser qu’agir. Pourtant, nous avons maintenant les moyens de dĂ©finir une valeur du travail scientifique » nĂ©e de l’observation de la rĂ©alitĂ© » des mĂ©canismes physiques. Sauf que dans un cheminement dynamique semĂ© d’embĂ»ches idĂ©ologiques et Ă©goĂŻstes, oĂč nous avons donc dĂ» Ă©laborer, livrĂ© Ă  notre seule apprĂ©ciation Ă©motionnelle, d’abord des valeurs subjectives dont certaines reposent sur des conventions universelles, et d’autres qui fluctuent suivant nos jugements qualitatifs. Cela avant d’en arriver Ă  dĂ©finir des valeurs scientifiquement rĂ©futables, mĂȘme si ces donnĂ©es scientifiques ne sont pas absolues, elles permettent de stabiliser la qualitĂ© de nos jugements issus de notre conscience dans l’analyse du moi d’autrui et du monde dans nos relations de l’homme au travail.
et des valeurs relatives ?
Toutes les valeurs que nous dĂ©finissons ne sont donc que des valeurs relatives fictives rĂ©gulant nos comportements sociaux, les Ă©changes et la rĂ©partition de la raretĂ© des ressources, issus de notre raisonnement, elles ne sont donc pas intangibles. Elles peuvent ĂȘtre rĂ©interprĂ©tĂ©es Ă  un moment ou un autre. En ce sens, elles sont la transcription, la figuration, la copie de nos motivations aux effets concrets biens et services, elles sont l’expression de principes gĂ©nĂ©raux, d’orientations reconnues par la collectivitĂ© comme fondamentaux aux vues de ses prĂ©fĂ©rences ou croyances, et au demeurant la rĂ©flexion peut s’exercer sur l’exemple d’une personne qui offre Ă  une autre une bague en dĂ©sir de sĂ©duire nous a fait produire un bien pour cela. C’est la satisfaction d’un comportement social ou biologique s’il conduit Ă  l’accouplement, sĂ©duire par sa richesse, par l’éclat comme une pie et tant d’autres. C’est aussi la contrainte d’avoir dĂ» extraire ses constituants de base, et la produire. Il a fallu pour son extraction dĂ©velopper les infrastructures, les techniques et les enseignements spĂ©cifiques aux exploiteurs de gisements aurifĂšres, il a fallu aussi Ă©laborer le mĂ©tier d’orfĂšvre. Il a fallu aussi assurer la rĂ©alisation et distribution de tous les Ă©lĂ©ments concourant Ă  son Ă©laboration, et enfin il a fallu organiser sa distribution de produit fini. Jusque lĂ , nous sommes dans des activitĂ©s concrĂštes, dont la capacitĂ© crĂ©atrice, et les efforts consentis pour la production la force de travail de la bague peuvent se mesurer. Nous les mesurons en temps, mais c’est le temps de travail que nous mesurons, et nous savons aussi que notre temps est un temps conventionnel. L’histoire de son Ă©laboration aurait tout autant pu nous conduire Ă  considĂ©rer qu’une saison Ă©tait une annĂ©e, et que la journĂ©e ne comportait que douze la valeur d’usage » de la bague est Ă©gale au temps de travail consenti pour sa de lĂ , la valeur d’usage de la bague est une valeur relative, et nous pourrions tout aussi bien mesurer le temps de travail en Ă©nergie consommĂ©e, et cela correspondrait plus Ă  la nature de l’effort consenti pour effectuer un travail ; de telle maniĂšre que ce qui Ă©tait impossible au siĂšcle dernier, par la science et la technologie l’est aujourd’hui, il suffit de lui ouvrir la en regardant un bilan nous pourrions transformer tous les contenus de ses comptes de classes, en temps de travail, puis le temps de travail en Ă©nergie calorie, conventionnellement une calorie Ă©gale 4,185 joules, et fixer une valeur monĂ©taire universelle du le dĂ©sir de sĂ©duire ?Le dĂ©sir de sĂ©duire est le coĂ»t de production de la bague temps/travail, auquel s’ajoute la valeur d’utilitĂ© demande, plus la valeur de la raretĂ© disponibilitĂ© du produit, plus la plus value bĂ©nĂ©fice.Par consĂ©quent, quand nous crĂ©ons un produit, nous fabriquons sa valeur intrinsĂšque en dĂ©finissant des valeurs relatives, qui ne dĂ©pendront que de nos comportements vĂ©cus, et de la subjectivitĂ© qualitative de notre conscience ou esprit, Qualia.[122]C'est pourquoi, notre Ă©conomie n’a rien de scientifique, et ne repose que sur l’étude de nos comportements sociaux, Étude que nous effectuons au travers de ce que nous avons appelĂ©, les sciences l’or symbolisant la puissance ou la prĂ©voyance, ne repose sur aucune valeur rĂ©elle. Il acquiert seulement une valeur relative, qui ne repose que sur le dĂ©sir collectif d’en possĂ©der, et de s’en disputer l’obtention par tous les moyens, car sa symbolique est culturellement ancrĂ©e, et se perpĂ©tue socialement au travers des cellules parce que sa valeur d’utilitĂ© historique repose sur l’erreur culturelle, de la reprĂ©sentation spirituelle de l’homme Ă  l’objet, et ainsi d’avoir cru qu’il avait une valeur rĂ©elle aux yeux des dieux.
dans un marchĂ© qui a des limites
Or, si sa beautĂ©, son rĂŽle religieux et sa raretĂ© ont fait de l’or un symbole, et un Ă©talon monĂ©taire pour assurer un certain dĂ©veloppement Ă©conomique, sa raretĂ© a Ă©galement fixĂ© les limites du dĂ©veloppement que l’on peut en attendre comme agent de l’expansion rĂ©fĂ©rence comme agent d’expansion a pris presque fin en 1944 par l'accord Bretton Woods qui instaurait la rĂ©fĂ©rence Dollar comme seule monnaie convertible, puis en 1971 aux accords du Smithsoniam Instituts. Cette valeur relative sociale d’échange ne fluctuera donc plus, qu’au travers de l’offre et la demande, comme valeur refuge dans le marchĂ© libre de l’ au moins un cas oĂč l’usage de la raretĂ© a atteint ses limites. Et comme le marchĂ© des riches se fait entre riches il porte en lui ses limites qu’il atteindra.
et un surcoĂ»t 
Quelles incidences ont sur la bague, la valeur de la fonction sociale que nous lui accordons ?D’abord d’en avoir fait le symbole de l’affirmation de sa puissance sur les autres, un signe ostentatoire ou humble, dans le domaine affectif un signe de ferveur. Puis d’en avoir fixĂ© un prix d’échange subjectif par rapport au dĂ©sir de la possĂ©der Ă  hauteur de la symbolique que nous lui accordons. Ensuite elle a gĂ©nĂ©rĂ© tout un systĂšme de protection pour la prĂ©server tout au long de son existence, et se garantir contre sa avons donc ainsi limitĂ© l’utilisation des propriĂ©tĂ©s techniques de l’or dans l’industrie en renchĂ©rissant le prix du produit contenant ce matĂ©riau de base, ceci du fait d’un surcoĂ»t qui est celui du besoin d’affirmation de soi, correspondant au coĂ»t du prix de nos Ă©motions.
 oĂč le client achĂštera le tout, une valeur sociale
Si nous regardions au microscope atomique le prix de la bague, nous y trouverions derriĂšre toute l’activitĂ© humaine qui a concouru Ă  son Ă©laboration, et celle de tous ceux qui n’en Ă©taient pas concernĂ©s Ă  dire, tous les dĂ©sirs humains qui se sont rĂ©alisĂ©s Ă  partir du revenu distribuĂ©, que chaque acteur de la production de la bague a reçu tout au long de sa fabrication, en partant de la dĂ©couverte du filon jusqu'Ă  la prĂ©servation de la bague. Ce revenu a Ă©tĂ© lui-mĂȘme le facteur de la rĂ©alisation du dĂ©sir de ceux Ă  qui il a Ă©tĂ© reversĂ©, que ce soit au tabac du coin, pour se garantir de risques, faire un voyage au bout du monde ou rĂ©gler ses comme chacun entre au contact de tous les autres par l’intermĂ©diaire d’un tiers, nous sommes donc dans une longue chaĂźne, aussi bien en contact avec le plus proche d’entre nous que nous ignorons, que du plus lointain que nous connaissons, et cela Ă  maniĂšre qu’aussi long soit le chemin socio-Ă©conomique, l’achat de la bague, en rĂ©percussion par l’intermĂ©diaire de la circulation de la monnaie en interaction, aboutira jusqu'Ă  chacun des six milliards autres humains, y compris jusqu'Ă  l’achat par un chinois d’un bol de riz, et en retour Ă  ceux qui ont produit la dans le prix de la bague il y a un six milliardiĂšme de notre existence humaine, dont celle de notre chinois. Mais Ă©galement le prix de nos guerres, de nos plaisirs, de nos rĂ©ussites, de nos Ă©checs, de nos espĂ©rances de vie, de notre mort. De telle maniĂšre, que quand nous offrons une rose Ă  l’ĂȘtre aimĂ©, le prix de cet acte reprĂ©sentera une sous fraction de ce un six milliardiĂšme. De la mĂȘme maniĂšre se rĂ©percutera la guerre, la xĂ©nophobie, le racisme auxquels se livrent des hommes Ă  l’autre bout de la planĂšte, bien que nous ne nous sentions pas concernĂ©s par mĂ©tĂ©orologie nous comprenons cela, puisque aujourd’hui nous connaissons l’effet papillon qu’un battement d’aile de papillon puisse influencer le temps, car cela nous a Ă©tĂ© expliquĂ©, et s’est en Ă©conomie, il en est de mĂȘme, mais personne ne nous l’ nous connaissons ce phĂ©nomĂšne sous la forme d’un jeu, celui du labyrinthe. Jeu oĂč nous savons qu’en cherchant, nous dĂ©couvrirons toujours au bout un chemin qui nous conduit Ă  l’autre. De la mĂȘme maniĂšre en cherchant bien nous trouverions celui qui nous conduirait Ă  chacun des six milliards d’autres nous ne sommes plus ni dans la macroĂ©conomie ou micro-Ă©conomie, mais dans la X fois nano Ă©conomie ». De fait, cela ne nous laisse aucune chance de rĂ©guler durablement l’économie, mais comme pour l’univers il y a certainement un ordre sous-jacent, et si nous ne pouvions comprendre que cela une part de l’intolĂ©rance culturelle s’ lorsque le client achĂšte la bague, il acquiert certes un produit concret, mais il le paie au prix de toutes nos valeurs sociales achĂšte par sa force de travail », une fraction du prix de notre organisation sociale humaine qui se trouve rĂ©unie, condensĂ©e, concentrĂ©e dans le prix d’échange de la bague.
comme il achĂštera les pourquoi le coĂ»t de la mise en place des ECPA, quel que soit son mode de financement, c’est chacun d’entre nous qui l’ sans que les Chinois et bien d’autres ne le sachent, humour.55 - Le poids des mots et la dialectique qui enserre la pensĂ©e et la ghettoĂŻse » mais pour combien de poids des mots
Je viens d’utiliser l’expression valeurs sociales codifiĂ©es », et comme cette codification organise aussi les Ă©changes, nous avons qualifiĂ© cette activitĂ© d’économie ». Mais je considĂšre que le terme activitĂ© socio-Ă©conomique convient mieux pour dĂ©finir ce que nous appelons simplement l’économie. En effet, les termes, social et Ă©conomique, sont indissociables Ă  partir de l’instant, oĂč la quasi-totalitĂ© de nos Ă©motions passe par une reprĂ©sentation instrumentale les illustrant l’amour, la mort, la joie, l’amitiĂ© etc..Je m’en explique dans l’exemple jour oĂč l’homme a pratiquĂ© le culte des morts, oĂč l’émotion est devenue rite, sans rentrer dans les explications, cette ritualisation s’est concrĂ©tisĂ©e en occident par l’usage de produits, exemple le ce cercueil est devenu la reprĂ©sentation de l’expression du degrĂ© d’affliction et de la conception de la vie qu’avait le dĂ©funt testament ou ses proches il voulait ĂȘtre enterrĂ© simplement, sa famille lui a offert ce qu’il y avait de plus beau.Ainsi, le cercueil, un simple produit, a acquis du seul fait de l’expression d’une Ă©motion humble ou ostentatoire, une valeur marchande diffĂ©rente, incluant cette marchande d’ailleurs perceptible par les personnes extĂ©rieures Ă  l’évĂ©nement ou satisfaisant Ă  l’idĂ©e de l’hommage qu’avaient les personnes liĂ©es Ă  l’ maniĂšre que l’usage culturel d’un enterrement le cercueil, au-delĂ  des mots, s’évalue au montant de la dĂ©pense inutile ou superflue que justifie la nĂ©cessaire communication de son affliction tournĂ©e vers l’extĂ©rieur, tournĂ©e vers la communautĂ©, organisĂ©e, rĂ©glementĂ©e, et codifiĂ©e par cette façon, nous pouvons quantifier, en valeur de marchĂ©, l’expression de chacune de nos quelqu’un regardant la sociĂ©tĂ© peut Ă  juste titre penser que c’est l’économie la production de biens qui tire le marchĂ©, puisqu’il existe des produits pour valoriser chacune de nos Ă©motions parce que les hommes ont utilisĂ© cet usage culturel, le cercueil pour en faire une source de revenu, puisqu’il nĂ©cessite une activitĂ© bien que nous considĂ©rons en consĂ©quence, que la valeur marchande du produit que nous utilisons est le dĂ©terminant de la valeur de l’émotion dĂ©clarĂ©e, et ce, mĂȘme s’il est difficile de quantifier la valeur de la reprĂ©sentation sociale la surjection qualitative, le signe social, par des paramĂštres autres que financiers dĂ©penses sĂ©curitĂ© sociale, maladie retraite, les divers budgets de l’État par exemple.En consĂ©quence, l’homme a donc par l’invention, de rĂšgles et de structures Ă©laborĂ©es Ă  l’aide de mots et de concepts, quantifiĂ© et appliquĂ© une valeur Ă  toute chose, pour pouvoir lire son activitĂ© sociale[123], ce que personnellement j’appelle- la qualification mesurable de notre activitĂ© sociale – et que nous nommons, l’économie ».De ce fait, la lisibilitĂ© de notre activitĂ© sociale a fini par dĂ©limiter deux secteurs distincts dans cette activitĂ© sociale, le social et l’économique, que nous opposons en qualification fait l’objet, de ce que j’appellerai une manipulation linguistique selon les mots que nous utilisons pour dĂ©finir ou dĂ©signer ses se caractĂ©rise par l’approche que nous faisons de terme qualifiant nos besoins sociaux ». Ainsi, depuis quelques annĂ©es, les contributions Ă  l’activitĂ© sociale, cotisations sociales ou impĂŽts de toutes sortes prĂ©lĂšvements obligatoires, sont qualifiĂ©es de charges, et perçues comme telles par de plus en plus de derniers en viennent alors Ă  rĂ©clamer leurs rĂ©ductions, en pensant qu’en disposant de la plus grande part de leur revenu Ă©conomique, ils Ă©viteront le coĂ»t de l’organisation sociale, tout en pouvant en espĂ©rer les mĂȘmes services, pourtant nous le retrouverons dans le prix de chacun de nos produits, seulement il sera cachĂ© Ă  notre regard, et pour le retrouver il faudrait se livrer Ă  une analyse comptable, ce que nous ne ferons pas. Analyse que nous ne ferons pas par ignorance ou simplement parce que nous en avons ni le temps ni les moyens, tandis que lorsqu’on nous les prĂ©lĂšve, lĂ  nous le voyons. Alors voulons nous ĂȘtre des autruches ?Culturellement, le mot impĂŽt nous rappelle toujours qu’il pĂ©nalise les plus faibles, et que les plus riches y Ă©chappent, ce qui est certainement vrai dans l’apprĂ©ciation du revenu dĂ©claration du revenu. Il nous renvoie Ă  des images d’Épinal de notre histoire. L’impĂŽt de Philippe le Bel, en passant par Colbert et bien d’autres, a forgĂ© l’identitĂ© nationale et a toujours mĂ©contentĂ© l’ contributions - elles - revĂȘtent ce caractĂšre de participation Ă  quelque chose dont nous ne serons pas nĂ©cessairement cotisations – elles - sont mieux perçues, car en cotisant, nous nous ouvrons l’accĂšs Ă  un charges – elles - sont des horreurs ; C’est le fardeau, le poids, la douleur, la gĂȘne. Il ne manque pas de qualificatifs qui rappellent la pĂ©nibilitĂ© de toute chose, dont nous essayons de nous quand nous regardons de plus prĂšs ces prestations que nous qualifions de charges, nous nous rendons compte qu’elles sont la couverture financiĂšre de nos vicissitudes humaines, et celles de tous les besoins collectifs et individuels que nous tout ce qui reprĂ©sente les ressources obligatoires de l’État ou des collectivitĂ©s territoriales, ou encore des organismes de protection sociale, lĂ©gifĂ©rĂ©es et organisĂ©es par lui, se qualifient de plus en plus, de charge Ă  la charge de l’État.De fait, elles perdent leur caractĂšre de rĂ©gulation des inĂ©galitĂ©s type, taux et tranches d’impositions, tandis que leurs corollaires, les dĂ©penses Ă  usage collectif, perdent leur caractĂšre redistributif ».Cela, au bĂ©nĂ©fice d’organismes privĂ©s Ă  but lucratif qui paraissent concurrentiels, offrant l’illusion que nous ne payons que pour nous-mĂȘmes. Pourtant, quand l’on remonte le circuit Ă©conomique, l’on s’aperçoit que l’on paie tout de mĂȘme pour les autres, sous toutes les formes, avec en plus les dividendes des actionnaires. Mais voilĂ , nous les adultes, nous sommes comme les enfants, nous aimons les contes merveilleux qui nous disent que nous serons roi ou reine pour nous cacher que nous ne sommes que des serfs, et nous sommes contents, pourvu que nous ne voyions pas de quelle maniĂšre nous rĂ©glons l’addition, mĂȘme si elle est plus automobile est un exemple flagrant de cette approche, entre le systĂšme privĂ© et le systĂšme bonus et le malus, conçus pour responsabiliser les conducteurs, ont Ă©tĂ© fournisseurs de poubelles roulantes de la part de ceux qui ne pouvaient ou ne voulaient couvrir les rĂ©parations d’un accident ; ensuite ce sont les impĂŽts de tous qui ont dĂ» les retirer du marchĂ© en finançant les frĂšres et sƓurs des Plans Jupettes. Ils ont instaurĂ© de fait l’inĂ©galitĂ© devant le risque par l’argent, en personnalisant la le mĂȘme temps, les compagnies d’assurances se sont autorisĂ©es Ă  refuser ou rompre, avec un client trop coĂ»teux, tandis que l’État Ă©purait et sĂ©curisait le parc automobile tout en soutenant sa donc d’imaginer la mĂȘme application, avec l’enseignement scolaire, et la sĂ©curitĂ© sociale c’est le systĂšme la suite, s’instaure dans notre esprit un ajustement de rapport commercial Ă©goĂŻste qui fait que, contraints aux prĂ©lĂšvements, nous en attendons en retour un service Ă  hauteur de l’apprĂ©ciation optimale de notre intĂ©rĂȘt pour cent 69% des français considĂšrent que le rapport, entre le versement des prĂ©lĂšvements obligatoires et les prestations dont ils bĂ©nĂ©ficient, n'est pas et un pour cent 61% sont favorables Ă  l’ouverture de la protection sociale au privĂ©,Pour soixante-dix pour cent 70% de la population l’impĂŽt est intolĂ©rable 18%, trop Ă©levĂ© 52%, enquĂȘtes d’opinions, contribuables associĂ©s/BVA, octobre 1999 et avril 2000.Les impĂŽts indirects reprĂ©sentent 63% des recettes fiscales dont 44% de TVA, 19% taxes sur l’essence et le impĂŽts directs reprĂ©sentent 7% du revenu d’un cadre, 29% d’un chĂŽmeur en fin de droit. Epsy, 1999.Cinquante et un pour cent 51% estiment qu’il faut baisser les impĂŽts, mĂȘme si cela doit remettre en cause le niveau des prestations de la protection sociale ou les services de l’État le Point/Ipso, septembre, 1999.Cinquante-quatre pour cent 54% sont favorables Ă  une rĂ©duction des pour cent 34% sont favorables Ă  une limitation des remboursements des prestations pour cent 28% sont favorables Ă  la rĂ©duction des prestations minimales RMI, chĂŽmage.[124]Cela, parce que le terme de charge »[125], en sortant du plan comptable pour entrer dans le langage commun, s’est rĂ©pandu et vulgarisĂ©, jusqu’à devenir un enjeu de propagande politique, comme Ă©lĂ©ment freinant la crĂ©ation d’emplois, rĂ©duisant le revenu, caractĂ©risant la lourdeur des administrations, et il est devenu un catalyseur de toutes les lors, nous assistons au glissement de la protection collective institutionnalisĂ©e, vers la protection individuelle privĂ©e, qui sape, ce qui fait le lien de toute communautĂ© l’entraide, la et solidaritĂ© qui sont la reconnaissance d’une prise de conscience d’appartenance Ă  une communautĂ© assume la diversitĂ© des alĂ©as qui affectent individuellement ses membres dans un but, celui qu’ils n’en soient pas exclus du seul fait de l’organisation de ses activitĂ©s socio-Ă©conomiques, et des imprĂ©vus de la vie inhĂ©rents Ă  toute communautĂ© d’ et solidaritĂ© ont Ă©tĂ© affublĂ©es du terme assistance ». Cette appellation concernait l’aide apportĂ©e Ă  l’activitĂ© Ă©conomique de certaines entreprises, et Raymond Barre Premier ministre d’alors ne se gĂȘnait pas pour les appeler les canards boiteux.» Ce terme d’assistance » rapidement reçut une connotation nĂ©gative. Rapidement, le terme et la connotation glissĂšrent jusqu’au domaine de la protection sociale, laissant suggĂ©rer que s’assurer soit s’assumer, et percevoir des prestations ĂȘtre connotĂ© qui a trouvĂ© une assise en mĂȘme temps que la tertiarisation » des effet, l’entraide et la solidaritĂ© sont nĂ©es Ă  la fin du 19 iĂšme siĂšcle Ă  la suite de la revendication ouvriĂšre, et elles caractĂ©risaient le monde cette fin de siĂšcle, E. Durkheim a dĂ©veloppĂ© le concept de solidaritĂ© organique, 1893, et L. Bourgeois, le Solidarisme » 1899 dont s’inspirera l’État sous la pression les politiques de solidaritĂ© mettent en Ɠuvre un faisceau de procĂ©dĂ©s multiformes de redistribution et de rĂ©gulation qui conjuguent la redistribution et l’ le monde ouvrier n’a cessĂ© de se rĂ©duire Ă  l’image de ce tiers ouvriers, 8,118 millions ; 1999 7, 096 millions,1975 employĂ©s, 5,362 millions ; 1999 7, 705 millions,1975 professions intermĂ©diaires, 3,480 millions ; 1999 5,153 millions,1975 cadre, 1,552 millions ; 1999 3,246 millions, source INSEE.Ceci explique que les mots, de part leur poids pour ceux que j’ai retenu, charge, assistance et solidaritĂ©, sont diffĂ©remment perçus, suivant la catĂ©gorie dans laquelle nous exerçons notre activitĂ©, et que la notion ouvriĂ©riste » de l’entraide et de la solidaritĂ©, se soit amenuisĂ©e sous la conjonction des deux phĂ©nomĂšnes. Toutefois ils reposent encore sur une dĂ©nomination valorisante du terme d’employĂ©, dont certains ont des revenus, et des conditions sociales Ă©gales Ă  ceux qu’ils considĂšrent d’un statut infĂ©rieur Ă  l’absolu, ce glissement n’est pas notre activitĂ© d’entraide et de solidaritĂ© pourrait ĂȘtre parfaitement gĂ©rĂ©e par des organismes privĂ©s, bien sur sous rĂ©serve qu’une loi les obligent Ă  prendre en charge, les citoyens dĂ©munis, ceux aux revenus insuffisants ou mis en marge de la cela conduirait les compagnies privĂ©es Ă  relever leurs tarifs afin d’assurer cette rĂ©gulation, et cela en plus, du coĂ»t de la rĂ©munĂ©ration des dividendes des cette maniĂšre, par l'intermĂ©diaire de la cotisation, Ă  une compagnie d’assurance privĂ©e, nous nous acquitterions de ce que nous refusons Ă  l’État par l’impĂŽt ou la contribution, et cela Ă  un tarif plus cher. Ce tarif qui sert Ă  dĂ©gager ce qui fait la diffĂ©rence entre la finalitĂ© d’une gestion publique », et celle d’une gestion privĂ©e, la destination du profit, avec en plus la disparition d’un droit qui est pour tout citoyen de pouvoir rĂ©clamer les comptes de la nation, allez donc rĂ©clamer les comptes d’une sociĂ©tĂ© en dehors de celles qui sont tenu de les par le truchement d’un langage Ă©conomique, ce qui ne sont en fait que des prĂ©lĂšvements conçus pour couvrir des besoins humains soumis Ă  la gestion rĂ©gulatrice de l’État ou d’organismes privĂ©s Ă  vocation sociale protection sociale, etc. sont devenus des en sommes arrivĂ©s Ă  un tel rĂ©sultat, grĂące au mot charges » qui recouvre les contributions versĂ©es par les agents Ă©conomiques qui disposent de ressources entreprise et particuliers Ă  l’organisme reprĂ©sentant l’organisation citoyenne l’État ou les organismes de ne veux pas dire par-lĂ  qu’il faille passer par l’obligation d’une gestion veux seulement souligner l’obligation qu’ont toutes les communautĂ©s dite rĂ©publicaines, d’assumer cette identitĂ© communautaire par la redistribution d’une part de ses ressources vers les moins nantis, vers ses besoins collectifs, et permettre aussi Ă  chacun d’assumer ses responsabilitĂ©s de citoyen, et ce, mĂȘme si nous savons qu’il y a des seuils psychologiques Ă  malgrĂ© le rĂŽle de redistribution jouĂ© par l’État, il y a un français sur dix 10% qui vit avec 533 Euros 3 500 f par mois, et peut se considĂ©rer comme pauvre[126]. Il y en a deux fois plus qu’en Hollande, mais deux fois moins qu’au États pouvons ne pas ĂȘtre d’accords, et estimer que ceux qui n’ont pas de revenu doivent pĂ©rir Malthusianisme. Encore faut-il avoir des couilles » pour le dire, et ne pas se cacher derriĂšre le mot que dire hypocritement, l’État doit s’en charger », et lui en refuser les moyens, tant par le refus des prĂ©lĂšvements que par le rejet d’une politique budgĂ©taire, ou parler de l’État comme s’il s’agissait d’un tiers par lequel nous ne sommes pas pouvons aussi considĂ©rer, que l’entraide et la solidaritĂ© ne doivent ĂȘtre que de la charitĂ© compassion ou une redistribution du pouvons aussi nous rassurer en Ă©pargnant, pour bĂ©nĂ©ficier des revenus du capital moins imposĂ©s, mais Ă  long terme reconstitutifs » d’une catĂ©gorie de rentiers, celle lĂ  mĂȘme, que la rĂ©volution a voulu nous pouvons aussi admettre tout simplement, que plus nous nous enrichissons moins nous avons envie de partager, et cela porte un les Français se sont enrichis. De 1949 Ă  1999, le patrimoine moyen des français est passĂ© hors inflation de 2744 Euros 18 000 f Ă  182927 Euros 1 200 000 f, avec un accroissement des inĂ©galitĂ©s que cela ainsi que 5% des mĂ©nages dĂ©tiennent la moitiĂ© des actifs financiers. Parmi eux 1% dĂ©tiennent 20% de la richesse totale. La moitiĂ© des mĂ©nages se partagent 5% des actifs, dont 60% de ceux qui ont un patrimoine supĂ©rieur Ă  1,2 millions d’Euros 8 millions de francs, sont des indĂ©pendants actifs ou retraitĂ©s, et 30% d’entre eux sont, soit Chefs d’entreprise ou ont des professions mĂ©nages sur dix possĂšdent un patrimoine financier livret d’épargne, valeurs mobiliĂšres, assurance-vie, 9% en possĂšdent toutes les formes de patrimoine, six sur dix possĂšdent des biens immobiliers, et 6% des français ne possĂšdent patrimoine total des particuliers est estimĂ© Ă  4345 milliards d’Euros 28 500 milliards de francs. Francoscopie 2001.Ainsi, les mots s’imposent dans d’autres domaines que ceux pour lesquels ils ont Ă©tĂ© Ă©laborĂ©s. Je vais dire improprement, suivant nos conventions grammaticales, vivent », j’aurais de cette maniĂšre attribuĂ© aux mots une existence assimilable a celle pour laquelle le mot vivre » Ă©tait destinĂ© dĂ©finir dĂ©finir la vie physiologique. Par exemple le mot santĂ© qualifie aujourd’hui aussi bien la santĂ© humaine ou d’un ĂȘtre vivant, que celle d’une entreprise, d’un schĂ©ma abstrait ou d’une construction structurelle. Et ceci n’est pas insignifiant quand nous savons que le langage conditionne notre pensĂ©e, et que nous pouvons par lui nous tuer ou vivre, nous soigner ou nous rendre malade, prospĂ©rer ou dĂ©pĂ©rir ; et ce que mon exemple indique, c’est qu’à ne pas exercer une distinction, banaliser, Ă©tendre l’usage de certains mots comme celui aussi important que vivre qui finit par dĂ©signer aussi bien la vie biologique que celle d’instruments inertes, nous risquons de ne plus distinguer ce qui est essentiel. C’est ainsi que nous entendons aussi bien parler de morts d’entreprises, lĂ  oĂč, il n’y a que des faillites. Cela mĂȘme si je comprends que par l’usage de mots aussi forts, les personnes qui vivaient du travail de l’entreprise considĂšrent, qu’ils meurent avec leur fermeture ou faillite, parce qu’ils n’auront plus de sources de ne veux pas dire par-lĂ  qu’il ne faille pas s’intĂ©resser au fonctionnement de l’entreprise et de sa production, mais que ce lien quasi spirituel entre l’homme et sa source nourriciĂšre le conduit Ă  effectuer des transferts Ă©motionnels aux moyens du langage.
et la dialectique
Dans notre sociĂ©tĂ© la communication, comme je l’ai dit, est un art qui passe aussi par la reprĂ©sentation qu’évoquent les mots. Ainsi, les filles mĂšres sont devenues les mĂšres cĂ©libataires, le concubinage est devenu l’union libre, les concierges des gardiennes, les bonnes des employĂ©es de maison, les emplois de mĂ©nage dans les entreprises des techniciens de surface, le CNPF acronyme est devenu MEDEF. Le Conseil du Patronat français, terminologie dans laquelle s’affirme le poids de l’autoritĂ© de celui qui commande dans son seul intĂ©rĂȘt image pĂ©jorative du profit, a optĂ© pour une image plus fluide et moderne Le Mouvement des Entreprises de idĂ©e de mouvement signifie nous sommes agissants, nous faisons vivre les entreprises qui vous emploient sous-entendu ses dirigeants, les entreprises agissent sous-entendu la structure collective, mais elle signifie Ă©galement beaucoup plus que effet, la captation par l’entreprise du mot mouvement a une connotation sociologiquement importante, celle d’entreprise collective visant Ă  Ă©tablir un nouvel ordre de vie ou y rĂ©sister pour maintenir un ordre de vie existant, mouvement fĂ©ministe, Ă©cologiste, mouvement syndical etc. mouvements millĂ©naristes, messianiques, mouvements religieux nouveaux, etc.. Cette idĂ©e veut dire aussi, nous sommes vision de l’entreprise, beaucoup plus dynamique, dilue dans l’intĂ©rĂȘt collectif de l’entreprise, qu’affirme la caractĂ©ristique de la SociĂ©tĂ© Anonyme, la notion de profit Ă  partir du sigle CNPF, qui est le reflet d’une organisation corporatiste, dĂ©fendant ses intĂ©rĂȘts particuliers, nous passons au sigle MEDEF qui affiche une volontĂ© de dĂ©velopper son ordre de vie. Dans cette logique un jour des candidats, du MEDEF, se prĂ©senteront au suffrage ĂȘtre Ă©quitable avec le MEDEF, il y a le mĂȘme phĂ©nomĂšne chez les politiques, oĂč les sigles changent en conservant les mĂȘmes personnages. Le sigle reste, et l’orientation politique est tout autre que le concept qu’il suggĂšre. Par exemple le parti socialiste PS qui suggĂšre par son origine une conception Ă©conomique autre que nĂ©olibĂ©rale, est entrĂ© dans la pratique de la social-dĂ©mocratie entre 1983 1993, si bien que par son sigle il entretient une confusion qui peut rendre incomprĂ©hensible ses choix politiques, car le sigle en suggĂšre d’ n’est lĂ  qu’un phĂ©nomĂšne normal de mouvement qui ne demande que d’ĂȘtre lu, comme je viens de le faire avec le MEDEF et le PS, ou chacun conserve son but initial, la puissance financiĂšre oĂč politique, en s’adaptant aux modifications environnementales, Ă  l’ quand j’utilise le mot socio-Ă©conomique, je fais la mĂȘme chose, j’utilise sa connaissons tous le sens des mots social et Ă©conomie, que je mets dans cet ordre, parce que je considĂšre que c’est l’ordre naturel du dĂ©veloppement de notre espĂšce, et par sa pensĂ©e symbolique je considĂšre que c’est notre comportement social qui a permis le dĂ©veloppement Ă©conomique, et non l’ cette structure », ce processus mĂ©canique qui nous pousse les uns vers les autres, il n’y aurait jamais eu de communautĂ© organique. Nous qualifions ses interactions de sociales, et par elle, interactions sociales sous le regard de l’homme qui s’observe l’organisation de la production de biens et services qui en dĂ©coulent, l’ parce que, la production a suivi l’organisation sociale, et j’observe que si les hommes ne trouvaient pas d’utilitĂ© sociale aux produits que nous Ă©laborons, ils ne seraient d’aucun service, donc de valeur nous utilisons une hache, c’est que nous avons eu envie de couper du bois en ayant Ă©tablie une relation entre nous et l’objet bois, dans un espace dĂ©terminĂ©, vers un but, pour satisfaire Ă  une perception sensorielle le besoin de se rĂ©chauffer par exemple, et non pas parce que quelqu’un a inventĂ© la hache, que l’ayant inventĂ© nous avons ensuite coupĂ© du bois pour justifier son utilisation. Alors qu’aujourd’hui nous recherchons quels sont les besoins de l’homme inexprimĂ©s qui me permettrait de lui vendre un autre dĂ©finition estime que l’homme est un ĂȘtre Ă©conomique l’homo oeconomicus, ĂȘtre rationnel motivĂ© par son seul profit, coĂ»t avantage » parce qu’il effectue un travail pour cueillir et chasser[127]. Cette extension de la dĂ©finition de l’économie je la trouve excessive et inappropriĂ©e, car poussĂ©e dans sa plus petite dimension, elle nous conduirait Ă  dire que notre Univers est un univers Ă©conomique[128], parce que chaque association atomique, et ce qui en dĂ©coule, exige un travail et un coĂ»t association Ă©change qui se mesure comme le nĂŽtre, guidĂ© par un ordre sous-jacent, que dans le cadre de l’analyse des motivations humaines, nous appelons conscience ou esprit, avec sa part raisonnĂ©e et celle insufflĂ©e en relation inconscient et conscient.Ainsi, l’organisation Ă©conomique ne peut qualifier ce que nous sommes, elle n’est qu’un moyen de parvenir Ă  la rĂ©alisation, Ă  la production, et Ă  la satisfaction de nos besoins et dĂ©sirs humains. Et parmi cela, celui important du rĂȘve absolu» de chacun. Un rĂȘve pour lequel, quand nous ne prenons pas le temps et les moyens pour le construire, certains d’entre-nous nous vendent Ă  sa place des illusions qui nous empĂȘchent de voir que nos rĂȘves sont Le rĂȘve » c’est de devenir riche en accumulant de la monnaie, ce que permet l’instauration de modĂšles simplifiĂ©s thĂ©ories Ă©conomiques, de millions de dĂ©cisions indĂ©pendantes prises par les individus organisĂ©s agents Ă©conomiques pour se rĂ©partir des biens rares biens produits exigeant une force de travail, et effectuer un choix parmi cette organisation Ă©conomique s’est dĂ©veloppĂ©e grĂące Ă  d’innombrables penseurs, dĂ©couvreurs, entrepreneurs et acteurs qui exerçaient dans des cadres sociopolitiques divers, nous pouvons aisĂ©ment comprendre que le modĂšle choisi pour structurer l’activitĂ© sociale la dĂ©sidĂ©rabilitĂ©, peut en retour fixer un cadre rigide modĂšle Ă©conomique, difficilement rĂ©formable suivant son Ă©tendue, qui interfĂ©rera sur constat ne permet pas d’affirmer pour autant que l’économie crĂ©e le social comme l’idĂ©e s’en est rĂ©pandue, mĂȘme s’il l’imprĂšgne et l’empreigne, parce que nous avons bĂąti des dĂ©pendances structurelles publicitĂ©, crĂ©ation de besoins.Ceci, parce que des acteurs Ă©conomiques anticiperaient nos besoins invention, et que d'autre part nous voudrions affirmer l’importance d’une structure productrice politique ou parce que les hommes se sont Ă©mancipĂ©s des limites de la production naturelle » cueillette, chasse.NĂ©anmoins, l’idĂ©e est acceptable quand on la dĂ©veloppe Ă  partir un instant choisi de l’histoire de l’organisation Ă©conomique des hommes, par exemple, l’urbanisation industrielle, l’effet automobile, car l’on se forge une opinion en fonction du niveau, du palier de rĂ©fĂ©rence conditionnant que l’on a ne retenir que l’idĂ©e que l’économie crĂ©e le social, c’est occulter une part de l’histoire humaine, du dĂ©veloppement socio-Ă©conomique, dans le but de ne soutenir qu’un point de vue partisan. Les hommes se sont toujours regroupĂ©s dans des grottes, des citĂ©s, et dĂ©placĂ©s avec ou sans automobiles, cela avec plus ou moins de facilitĂ©s.Ce serait alors oublier toutes les luttes sociales qui ont accompagnĂ© le dĂ©veloppement Ă©conomique, d’oĂč le nom de mouvements sociaux », qui est l’expression de l’homo-sociabilis ».Ce serait tout autant oublier que l’idĂ©e l’économie crĂ©ant le social a rĂ©duit la condition sociale humainement parlant de certains d’entre eux par le biais du servage, de l’esclavage, du racisme, et que sans penseurs libertaires, monsieur Ă©conomie » serait restĂ© muet. Je voudrais bien reconnaĂźtre que l’économie a créé la sociĂ©tĂ© esclavagiste si mon but Ă©tait de dĂ©montrer l’inhumanisme » de l’ je sais que toute structure que dĂ©veloppent les hommes, ne dĂ©pend que des relations que ces derniers entretiennent avec l’image qu’ils ont d’ reconnaĂźtre l’efficacitĂ© d’une organisation Ă©conomique est une chose, en faire un dieu crĂ©ateur en est une autre, d’autant plus qu’elle est Ă  l’image de ses acteurs culturalisĂ©s, c’est Ă  dire une image violente et nombriliste ; car nous apprĂ©cions nos Ă©vĂ©nements Ă  la mesure de nos vies, et non de celle de la planĂšte, et nous nous confrontons autour de dĂ©finitions pour affirmer notre dĂ©sir de puissance, et le justifier aux yeux des Ă©conomique le modĂšle structural rĂ©pond Ă  nos dĂ©sirs, mais surtout correspond Ă  ceux des hommes qui les ont inspirĂ©s ou qui s’en inspirent, et de ceux qui en font leur modĂšle ou l’ s’exerce toujours dans le cadre d’une organisation politique qu’elle ramĂšne Ă  son usage, et dont elle cherche Ă  s’émanciper ou prendre le contrĂŽle par le biais de ses plus actifs reprĂ©sentants, parce qu’il n’y a pas de frontiĂšre dans la communautĂ© organique ou mĂ©caniste entre l’organisation sociale et l’ grĂące Ă  la dialectique, nous avons dans notre ensemble fini par reconnaĂźtre l’économie comme variable dĂ©terminante sur la sociabilitĂ© humaine. Pourtant, cela ne relĂšve que d’un point de vue, et d’une maniĂšre de s’observer, de regarder notre image comme acteur intĂ©ressĂ© par cette ce faisant, nous transfĂ©rons en elle toute notre angoisse de mourir, et cela se traduit par la terreur masquĂ©e de manquer de subsistance. Cette pĂ©nurie conduisant presque toute espĂšce Ă  se gaver par ignorance du lendemain, guidĂ©e par un cycle innĂ©, en l’absence de cerveau cognitif comme le nĂŽtre, capable d’envisager un futur afin d’y rĂ©flĂ©chir. Comme la possession est la maniĂšre d’assouvir cette peur, il est facile d’imaginer les confrontations qu’elle dĂ©termine et fait consĂ©quence, toute organisation structurĂ©e autour de la raretĂ©, comme notre systĂšme Ă©conomique, ne peut que gĂ©nĂ©rer des oppositions que nous aggravons en organisant cette raretĂ© pour satisfaire Ă  nos rĂšgles d’ me rĂ©pĂšte en disant que l’économie est la qualification financiĂšre de la rĂ©alisation de nos dĂ©sirs sociaux la quantification mesurable.Si cette confusion existe encore, c’est certainement que l’entitĂ© entreprise » a su faire la preuve de son efficacitĂ©, et que nous attendons beaucoup d’elle. N’oublions pas au passage que l’entreprise c’est aussi nous qui la faisons, que les mĂ©rites dont elle se pare sont les nĂŽtres, et que les capacitĂ©s crĂ©atrices dont elle s’honore nous les avons dĂ©veloppĂ©es dans les Ă©coles au frais de la collectivitĂ©, financĂ©es par notre contribution Ă  l’impĂŽt ou sous d’autres formes confusion existe, parce que la contrainte que l’entreprise » exerce, en tant que seul lieu de ressources, l’autorise Ă  dĂ©velopper des concepts d’appartenance l’esprit de l’entreprise X ou Y. Ceci n’est en fait, qu’une allĂ©geance mercantile dangereuse pour l’épanouissement de la personnalitĂ©, laquelle est conditionnĂ©e par la structure. Cette allĂ©geance vaut parfois de trĂšs loin certains conditionnements sectaires, car l’entreprise est une organisation totalitaire ». C’est Ă  dire que l’entreprise se prĂ©sente parfois comme un Totem qui demande d’ĂȘtre adorĂ©, le totem n’est pas gĂȘnant en lui-mĂȘme, ce qui l’est, c’est de ne pas savoir dĂ©terminer s’il protĂšge et concours aux intĂ©rĂȘts du groupe de la communautĂ© oĂč Ă  ceux de particuliers qui n’ont rien Ă  faire du groupe et de la communautĂ©, dans la recherche de la toute veux dire par-lĂ , que l’épanouissement individuel qu’offre l’esprit d’entreprise » restera liĂ© Ă  un but dĂ©fini ou reprĂ©sentĂ© par la quĂȘte du profit, de la plus value, du bĂ©nĂ©fice, bref de l’argent, aux profits d’intĂ©rĂȘts individuels, dirigĂ©s par des systĂšmes autoritaires directs, ou par un autoritarisme participatif passons ainsi de l’homme se servant d’un outil », Ă  l’homme au service d’un outil », de l’homme ayant besoin de biens », Ă  l’homme dĂ©pendant des biens », et ce, sous l’égide d’une hiĂ©rarchie pyramidale qui s’est livrĂ©e Ă  tous les excĂšs, en interdisant parfois les plus Ă©lĂ©mentaires besoins humains, rire, parler, se n’avons toujours pas assimilĂ© qu’un homme Ă©panoui dans son travail est plus productif, car il ne produit pas de dĂ©chets » maladies liĂ©s aux stress. Je n’ai en tĂȘte que le souvenir d’un industriel anglais du milieu du XIX iĂšme siĂšcles avait eu l’audace de dire qu’il avait observĂ© que les salariĂ©s qui avaient eu le temps de se reposer Ă©taient plus les enfants que nous Ă©duquons dans l’enseignement manifestent souvent entre 15 et 25 ans un esprit critique, et cherchent souvent Ă  s’émanciper de ce qui leur apparaĂźt ĂȘtre des contraintes. Mais quand ils entrent dans le monde actif, dans l’univers de l’entreprise, la structure despotique de l’entreprise ou son efficacitĂ© finit par les phagocyter, et ils deviennent porteurs des mĂȘmes concepts, d’autant plus qu’ils se situent haut dans la explique qu’aujourd’hui, le concept l’État doit se gĂ©rer comme une entreprise » ne choque pas limitation voire suppression du dĂ©ficit budgĂ©taire, sauf pour ceux qui connaissent le KeynĂ©sianisme.[129]Les surplus dans l’agriculture l’illustrent parfaitement. La capacitĂ© de production dĂ©passe de loin les besoins, et fait baisser les prix. Cette rĂ©duction les rend trĂšs accessibles, et leur vente ne suffit pas Ă  fournir un revenu convenable aux agriculteurs. Une rĂ©gulation de ces surplus a nĂ©cessitĂ© une aide au maintien du revenu des agriculteurs par une politique agricole politique est apprĂ©ciĂ©e diffĂ©remment. Les petits exploitants s'en plaignent, en percevant leur travail comme Ă©tant dĂ©prĂ©ciĂ© en recevant l’aide communautaire presque comme insultante, tant qu’il n’est pas envisagĂ© de la supprimer, tandis que les grandes entreprises agricoles en jouent, en les petits et grands exploitants, s’ils pouvaient vendre au prix de leur revenu annuel un pigeon, Ă  un pigeon », ils le feraient. C’est cela la limite de l’épanouissement individuel de l’esprit d’entreprise. MĂȘme s’ils ont pu s’épanouir faire Ă©tat de leur capacitĂ© et de leur savoir-faire au travers de l’étude ornithologique du pigeon, et de la crĂ©ation de leur industries pharmaceutiques face aux maladies rares ou aux thĂ©rapies coĂ»teuses sida ont cette problĂ©matique, entre leur activitĂ© humanitaire, et l’approche mercantile de cette activitĂ©. Si c’est la loi du marchĂ© qui l’emporte tout ce qui n’est pas productif sera Ă©cartĂ©. Si nous appliquons une politique KeynĂ©sienne, l’État nous citoyens viendra rĂ©guler cet antagonisme entre intĂ©rĂȘt particulier et intĂ©rĂȘt humain l’espĂšce.Nous retrouvons la mĂȘme problĂ©matique dans l’utilisation de certaines licences de dĂ©couverte dans le domaine mĂ©dical, et nous devons nous poser la question Quand doivent-elles appartenir au patrimoine de l’humanitĂ© ?Si nous observons nos comportements Ă©conomiques, il n’échappe Ă  personne que nous passons notre temps Ă  tirer profit de tous nos rapports d’échanges en essayant de nous auto exploiter au mieux, de nous auto duper s’il le faut, considĂ©rant parfois que la meilleure affaire, c’est quand nous avons pu gruger l’ le mĂȘme temps, chacun essaie d’échapper Ă  l’exploitation ou Ă  la duperie en essayant de mettre en place, par des rĂ©glementations dans tous les domaines, y compris celui Ă©conomique, des contres poids ou contres nous continuons Ă  considĂ©rer et dire, que nos rapports doivent ĂȘtre la rĂ©sultante d’une libre concurrence, que le bon sens commun moralisĂ© interprĂšte comme concurrence en Ă©quitĂ© », ce qui est tout, sauf une libre concurrence cache seulement le discours que les charges d’exploitations comprenant impĂŽts et salaire doivent ĂȘtre rĂ©duites, et comparables dans l’élaboration d’un mĂȘme ce fait, la confrontation avec des produits Ă©laborĂ©s dans des États au niveau social bas, conduit la concurrence Ă  s’aligner sur eux, discours sur la rĂ©duction des charges, suppression du SMIC, dĂ©localisation. Conduit aussi Ă  faire du dĂ©veloppement social, non plus un enjeu politique, mais un enjeu exclusivement Ă©conomique, oĂč il faut dĂ©montrer qu’une Ă©volution sociale doit coĂŻncider avec les masses monĂ©taires disponibles. Je ne sais pas si nous nous rendons compte de cette absurditĂ©. C’est comme si quelqu’un nous disait La vie sur terre ne peut exister que parce qu’il y a la monnaie ou la vie nous vient de la libre concurrence engendre seulement la primautĂ© du plus fort, dĂ©finit la primautĂ© qui conduit les intĂ©rĂȘts antagonistes des employeurs et des salariĂ©s, Ă  s’aligner sur des critĂšres opposĂ©s, car ce qui est charge pour l’entreprise est revenu pour le salariĂ©, avant que ce revenu ne redevienne en retour, ressource pour l’ avons donc construit notre dĂ©veloppement sur des rapports nĂ©gatifs », nous contraignant ainsi au collectivisme » plutĂŽt que de reconnaĂźtre ce collectivisme » comme une capacitĂ© fabuleuse d’association d’un ĂȘtre Holistique » recevant et donnant, au lieu de s’accaparer et rendre, et d’un Être qui sait inventer parce qu’il rĂȘve individuellement, et dont l’accomplissement de son rĂȘve ne peut se faire qu’avec les m’ l’essai dĂ©viant du Marxisme dans les pays de l’Est, le mot collectivisme[130] s’est pĂ©jorĂ©[131]». Pourtant il n’est rien de plus que la reconnaissance de la mise en commun de notre accoutumance structurant de la force de travail », de la capacitĂ© de s’associer pour ĂȘtre plus fort, dans le but de produire, et de devenir copropriĂ©taire » des moyens de production. C’est malgrĂ© tout cette tendance qui s’opĂšre par des voies dĂ©tournĂ©es, voies qui ne veulent pas dire leurs noms intĂ©ressement, participation, actionnariat. Ainsi, cette communautĂ© de travail s’exprime toujours, quel que soit le nom que nous lui donnons, et ce dont nous dĂ©battons, ce sont de ses formes. Et dans un Univers oĂč tout est association, il est illusoire de croire que les dĂ©sirs refoulĂ©s ou rejetĂ©s, ne finirons pas par trouver l’expression d’une forme d’association. Alors, ils s’arrangeront de mots et d’un langage pour mĂȘme si passagĂšrement nous sommes capables d’aller vers le suicide altruiste, Ă©goĂŻste ou serait donc aussi faux que je dise, que l’économie Ă©trangle le social », que de dire que l’économie crĂ©e le social », mĂȘme s’il ne manque pas lĂ  non plus, d’instant arrĂȘtĂ©, de niveau de palier pour le dĂ©montrer, tout comme nous pouvons dĂ©montrer que l’économie est facteur de guerres, ou qu’elle Ă©vite les effet, s’il y avait une seule de ces assertions d’absolu, depuis le temps nous le d’un dĂ©bat dialectique Ă  un autre, chacun essaie de convaincre souvent le moins aguerri, de telle sorte que nous pourrions expliquer avec autant de dĂ©monstrations avĂ©rĂ©es, que l’économie crĂ©er le social, comme son inverse, et que l’économie fomente des guerres, ou qu’elle relie les diffĂ©rence tient Ă  notre apprentissage d’un dĂ©veloppement intellectuel partialitĂ© c’est aussi Lui, l’homme, qui la saisira par son intelligence, quand nous dĂ©velopperons ce qu’il y a de positif » en nous par l’apprentissage, notre fabuleuse capacitĂ© d’emmagasiner des informations pour rĂȘver et dĂ©couvrir, comme nous le faisons avec ce qu’il y a de nĂ©gatif » nous convaincre de passer, dans l’actuelle organisation, notre temps exclusivement au travail, et que nous le prĂ©sentons comme une effet, l’histoire de presque tous les États est formĂ©e des louanges faites Ă  l’élite dirigeante, celle-lĂ  mĂȘme qui guerroie sans cesse, et pour laquelle la consĂ©cration est, possĂ©der, convertir, et s’enfermer dans ses possessions et ses concepts ».Aujourd’hui, nous sommes toujours sous ce mĂȘme rapport, sauf que la possession hors patrimoine est le revenu du marchĂ©, et le fief l’Entreprise ». Entre les deux, c’est le langage qui a changĂ©. Je suis, certes, volontairement excessif dans la comparaison, mais mĂȘme les moins naĂŻfs savent que ce sont des rapports guerriers que nous entretenons au travers des rapports inĂ©luctable ?Est-ce qu’il serait stupide d’imaginer qu’un entrepreneur fasse appel au partenariat pour son projet plutĂŽt qu’au salariat ?Doit-on rester en Ă©tat de servitude, mĂȘme si sa forme moderne s’appelle le salariat, si la forme moderne de la vente d’esclaves s’appelle le placement ou l’intĂ©rim, parce que nous nous abusons en disant, nous avons la libertĂ© de ne pas nous y soumettre » ?Est-ce impossible d’imaginer que le travail devienne une part de l’actif auquel il contribue ?Est-ce impossible de compter diffĂ©remment l’activitĂ© sociale ?Doit-on rester sous la forme de dĂ©personnalisation des S A ou doit-elle poursuivre sa collectivisation par l’actionnariat jusqu’au bout en y intĂ©grant tout son personnel jusque dans les dĂ©cisions ?Pourquoi le salariĂ© de l’entreprise X doit-il passer par les placiers pour obtenir une part de plus value Ă  laquelle il contribue en tant que salariĂ© ?Pourquoi faut-il que le salariĂ© soit stupide pour ne pas comprendre que les taux de rendements qu’il exige de la part de ses placements, c’est lui qui les paiera par et dans son travail ?Doit-il ne pas comprendre que dans certains cas, c’est lui-mĂȘme qui se poussera au licenciement, lorsqu’il est client, et qu’il est dĂ©montrĂ© quelque part de maniĂšre absolue que la condition humaine voue les Etres Ă  ĂȘtre exploiteurs ou exploitĂ©s ?Est-ce que notre imagination ne fonctionne qu’avec de l’adrĂ©naline causĂ©e par la peur ?Le monde de la recherche fondamentale nous dĂ©montre que non, tout comme bien des philosophes grecs et autres. Ils dĂ©montrent qu’il suffit parfois d’avoir seulement envie de savoir, envie de crĂ©er, envie de repousser plus loin notre fragile condition humaine. Envie de voir notre futur autre que notre passĂ©, envie d’ĂȘtre un individu avec les autres, plutĂŽt qu’ĂȘtre la prison des autres. Envie de rĂȘver...D’ĂȘtre un individu qui aura dĂ©veloppĂ© sa personnalitĂ© culturalisĂ©e, toutes ses capacitĂ©s, pour s’associer comme le monomĂšre de Sapiro dans un sourire » note 20 avec d’autres semblables ou diffĂ©rents, suivant le regard que nous portons sur lui, et non pratiquer le culte de la personnalitĂ©, car en s’associant il ne pourra pas rester ce qu’il par des jeux du langage, nous nous dessaisissons parfois de notre humanitĂ©, comme si, lorsque nous Ɠuvrions au sein de l’entreprise, s’en Ă©tait fini de notre personnalitĂ© humaine. Comme si l’économie ne devait ĂȘtre que l’expression de notre violence ! J’entends par la violence, l’agressivitĂ© innĂ©e due Ă  l’espĂšce apte Ă  survivre que nous sommes, et que nous Ă©rigeons en violence culturelle, dont certains y attribuent les progrĂšs de notre intelligence en concevant l’entreprise », a conçu un merveilleux outil qui est un outil crĂ©ateur de biens et de services Ă  notre usage, et oĂč notre intelligence devrait y trouver sa fonction d’utilitĂ© essentielle produire pour satisfaire nos besoins, mais nous continuons Ă  relĂ©guer cette fonction au rĂŽle de subsidiaritĂ© de recherche de la richesse. C’est pourquoi, si nous devons y travailler dans des structures plus ou moins Ă©laborĂ©es, il ne faut pas perdre de vue que l’intĂ©rĂȘt auquel cet outil contribue aujourd’hui, animĂ© par ceux qui le dirigent, est Ă  finalitĂ© lucrative[132].Pourtant, ce n’est pas l’outil qui dirige l’entreprise, mais bien les hommes. Les hommes avec leurs difficiles relations envers leur Pouvoir », un pouvoir qu’ils Ă©duquent d’esprit de domination des uns envers les autres, cela mĂȘme au travers de tous les instruments de leurs crĂ©ations, instruments qu’ils figent pour les servir, lorsqu’ils en retirent une toute-puissance. Cela conduit les hommes Ă  prendre, Ă  la fois le risque du suicide Ă©goĂŻste Ă  titre individuel ou y conduire une sociĂ©tĂ© quand le fait devient majoritaire, et de se maintenir par l’organisation industrielle dans un suicide altruiste ĂȘtre accro du travail, ou y sacrifier sa vie. Pour reprendre l’exemple du suicide altruiste de Durkheim, qui dit que l’homme se tue quand il est trop intĂ©grĂ© dans une sociĂ©tĂ© quand on est habituĂ© dĂšs l’enfance Ă  ne pas faire cas de la vie, et Ă  mĂ©priser ceux qui y tiennent avec excĂšs, il est inĂ©vitable qu’on s’en dĂ©fasse pour le plus lĂ©ger prĂ©texte
 ».[133] Il en est ainsi de l’organisation de l’entreprise qui s’est personnifiĂ©e effaçant de ce fait l’individuation individualisme socialisant de la plus part de ses membres, pour n’en retenir que ceux qui pratiquent l’individualisme excessif ne vivent que pour l’entreprise, l’esprit d’entreprise conduisant au suicide Ă©goĂŻste ou altruiste, ceci par l’usage des mots et de la dialectique, au service d’un but individualiste, qui les pousse Ă  croire que chacun pourrait exister sans les autres. Ce qu’ils n’en retirent en fait, n’est que le choix d’une cette mort, elle se mesure moins en suicides effectifs, qu’en dose de tranquillisants ou de thĂ©rapies de toutes les sortes pour pouvoir continuer Ă  la vivre.
qui enserre la pensĂ©e
Cela signifierait-il que l’actuelle organisation Ă©conomique est immuable, et que nous aurions trouvĂ© la pierre philosophale dans ce domaine ? Alors que nous avons encore 800 000 ans[134] estimĂ©s avant notre prochaine Ă©volution.Aussi, je comprendrais mal que l’on vienne dire au nom de l’entreprise, que les hommes n’ont pas le droit de dĂ©velopper une autre source de richesse en dehors d’ je comprends que les dĂ©tenteurs du pouvoir Ă©conomique disent qu’ils n’entendent pas le partager, car l’entreprise » est aussi une arme, une arme de conquĂȘtes. Si bien que, comme je le disais plus haut, c’est une dĂ©cision politique qui intervient n’emploiera du personnel que si elle y trouve un intĂ©rĂȘt, et c’est bien qu’elle fonctionne ainsi, l’entreprise n’a pas pour finalitĂ© de donner du travail, mais de produire des biens et des services. C’est aux hommes Ă  se trouver une autre source de revenu ou modifier le systĂšme monĂ©taire. C’est Ă  eux de s’interroger sur leur devenir, pas Ă  l’entreprise. Encore, faudrait-il que leur majoritĂ© connaisse les mĂ©canismes de l’économie, et ne pas prendre des valeurs relatives pour des valeurs absolues ou que la LibertĂ© n’est que la comprĂ©hension de la somme des prisons » dans lesquelles nous enserrons notre corps et notre esprit, et ne pas entretenir avec l’entreprise des rapports de maĂźtre Ă  esclave, oĂč quand le maĂźtre disparaĂźt, l’esclave cherche Ă  qui se vendre. Nous dĂ©sirons tous ĂȘtre des maĂźtres, alors que nous ne sommes qu’interdĂ©pendants les uns des autres. Pourtant ce qui est important ce n’est pas d’ĂȘtre maĂźtre ou esclave, ce ne sont que des mots. C’est de savoir ĂȘtre ce que nous sommes, des Êtres communicants, mais cela se dĂ©couvre par l’instruction, la connaissance, le Savoir, et comprendre que ce n’est jamais acquis indĂ©finiment puisqu’il s’agit d’une dĂ©marche culturelle, que cela demande des annĂ©es d’apprentissage, pour ne pas dire la fait c’est si difficile que la plupart du temps nous prĂ©fĂ©rons utiliser, dans bien des cas, un langage plus rapide et universellement connu, les armes, cela mĂȘme quand nous savons qu’aprĂšs la confrontation il y aura la rĂ©conciliation.
et la ghettoĂŻse[135] » Sans nous en rendre compte, par souci de clairvoyance, dans la complexitĂ© de nos sociĂ©tĂ©s nous nous sommes ghettoĂŻsĂ©s » dans des mots conceptuels [136]LibertĂ©, VĂ©ritĂ©, Dieu, Loi, etc. qui sont issus de nos comportements, et qui en gĂ©nĂšrent de nouveaux, assurant ainsi un renouvellement du langage n’en retenir que deux, nous sommes passĂ©s d’ouvrier marmonnant au salariĂ© participatif », et d’usager patient Ă  client exigeant ». Nous avons créé une sĂ©paration, une dichotomie entre ces deux maniĂšres d'ĂȘtre, par des appellations nouvelles pour la mĂȘme personne, concrĂ©tisant en cela ce que nous pensons ĂȘtre une adaptation ou une par rĂ©ciprocitĂ©, il est possible que le salariĂ© interroge le client, comme hier l’ouvrier interrogeait l’usager, c’est toujours la mĂȘme personne, sauf que les hommes endossent aussi facilement des mots conceptuels, qu’ils endossent les costumes du prĂȘt Ă  porter », mĂȘme s’ils n’ont pas Ă©tĂ© taillĂ©s pour eux, mais pour un systĂšme. Tout comme nous laissons Ă  d’autres, les spĂ©cialistes de l’économie, le soin de nous dire quels doivent ĂȘtre nos comportements dans l’un ou l’autre de ces rĂŽles sociaux, aprĂšs qu’ils les aient soigneusement au travers du mot performance dans un commentaire sportif. Assez souvent, l'on nous explique, pour remplacer le mot performance, que les acteurs d’un sport se dĂ©pensent Ă  deux cents pour cent, indiquant peut-ĂȘtre, qu’à l’exactitude du propos se substitue l’impĂ©tuositĂ© Ă©motionnelle, feinte ou non, mais, constituant une inflation du verbe, signifiant que pour ĂȘtre performant il faut dĂ©passer ses propres normalisent en cela une activitĂ© hors norme nĂ©cessitant une prĂ©paration particuliĂšre, pour en faire la norme, et relĂ©guer ainsi Ă  l’anormalitĂ© le normal rythmes biologiques.Cela serait amusant, si, dans les faits, nous ne mesurions pas cette inflation verbale et verbeuse en quantitĂ©s de tranquillisant ou dopants de toutes sortes. C’est Ă  dire, si l’exigence de la performance au quotidien dans notre organisation Ă©conomique ne nous poussait pas Ă  dĂ©passer les rythmes biologiques, et cela sans aucune l’habillement le mĂȘme phĂ©nomĂšne d’enfermement existe ce que nous appelons le phĂ©nomĂšne de au-delĂ , c’est Ă  dire, mĂȘme au-delĂ  de la seule identification sociale, il y a l’habit d’appartenance que nous impose parfois de porter la sociĂ©tĂ© idĂ©ologique X, il y a celui de l’entreprise Y que nous devons vĂȘtir sous peine de licenciements de la mĂȘme maniĂšre que nous marquions les esclaves jadis. Il y a l’habit physiologique, celui du physique de toutes les hĂŽtesses d’accueil et autres, oĂč l’on rejette les laides, les boutonneuses, les grosses, les trop typĂ©es, oĂč l’on mute dans le meilleur des cas les belles devenues trop y a aussi l’habit de marque au nom cĂ©lĂšbre, et celui qui transporte la marque rĂ©fĂ©rentielle ostentatoire, qui est celui qui nous transforme en support publicitaire de plein le plus insidieux est quand l’habit fait le moine, et surtout quand l’instrument exprimant la personnalitĂ© la façonne Ă  notre insu, quand nous nous personnifions Ă  la est difficile d’échapper Ă  ce phĂ©nomĂšne qui organise toute notre existence, nous pouvons tout de mĂȘme en prendre conscience, en comprendre par exemple que ce n’est pas nous qui organisons notre vie autour de notre sociabilitĂ©[137]. Celle-ci s’organise autour de la monnaie, et Ă  travers le mot magique de rĂ©duction des coĂ»ts dans sa forme actuelle », et de fait nous rĂ©duisons aussi notre risque est de ne pas s’apercevoir qu’à des mots et concepts nouveaux, correspondent des comportements parfois archaĂŻques, rĂ©actionnaires ou des cocasse, ce n’est pas de contester la libertĂ© de chacun, ni le rĂŽle d’identification ou de repĂšres qui dĂ©coulent de ces cocasse, c’est d’observer que le discours libĂ©ral s’accommode parfaitement des comportements collectifs, en les suscitant quand l’esprit compĂ©titif productif s’harmonise parfaitement avec l’ cocasse, c’est Ă©galement d’observer que chacun veut ĂȘtre maĂźtre de ses choix, tout en y enfermant les autres, cela revient Ă  dire que chacun voudrait que l’autre lui soit acquis, plutĂŽt que de se retrouver en sur dix personnes nous aurions dix groupes potentiels de dix, puisque chacun voudrait que les autres lui soient acquis, et cela, parce que nous lui avons rĂ©pĂ©tĂ© de gĂ©nĂ©ration en gĂ©nĂ©ration, que dans tous les groupes se dĂ©gagent toujours un dominant naturel issu de la confrontation primitive dont nous avons fait l’interprĂ©tation et qui ne se retrouve pas dans les traces de l’art pariĂ©tal. Alors qu’il ne domine que par dĂ©faut, parce que les autres ont une bonne ou mauvaise » raison de le laisser dominer pour que s’exprime la reprĂ©sentation du groupe, de la consĂ©quence, je peux dire que chacun d’entre nous est par un mauvais apprentissage un collectiviste » ou/et que l’individualisme est une sociabilitĂ© quoi, le dĂ©bat pour ceux qui penseraient encore que l’individuel et le collectif s’opposent, peut se rĂ©sumer Ă  compter le nombre de personnes qui portent la mĂȘme paire de chaussettes que leur, moi je», c’est Ă  dire qu’au quatre coins du monde il y a peu de chance que l’on trouve un individu que sa personnalitĂ© lui suggĂšre de sans chausser la tĂȘte, sauf dans l’art conceptuel, car inĂ©vitablement les hommes ont des goĂ»ts et comportements communs, cela dans un choix restreint par l’espace gĂ©ographique, et aujourd’hui Ă©tendu par les moyens de communication, et qu’il s’en trouvera toujours pour vous dire qu’ils veulent la mĂȘme chose qu’un hommes sont condamnĂ©s Ă  se rencontrer, et Ă  se retrouver ou se reconnaĂźtre dans un autre, et Ă  agir limite toute la pensĂ©e pseudo libĂ©rale qui ne peut trouver son expression que dans une organisation collective. Elle y parvient en organisant la soumission Ă©conomique par le revenu au travers d’entitĂ©s totalitaires » entreprises nĂ©es du vocable libertĂ©, de la libertĂ© d’entreprendre, des hommes qui rĂȘvaient d’ĂȘtre roi Ă  la place du soumission hĂ©gĂ©monique ne cessera que lorsque le systĂšme actuel entrera en concurrence avec un autre, faute de le comprendre, pour se que j’ai trouvĂ© de merveilleux dans le libĂ©ralisme, c’est qu’il s’arrĂȘte aux portes de l’entreprise, oĂč il y fait l’apologie du despotisme au nom de la propriĂ©tĂ© entretient la confusion que tout propriĂ©taire qui, s’il dispose Ă  sa convenance de son bien, croit qu’il dispose Ă©galement de la mĂȘme maniĂšre des personnes qu’il emploie d’oĂč le code du travail.Aujourd’hui, la propriĂ©tĂ© d’entreprise que je vise, s’est dĂ©personnalisĂ© au travers de la SociĂ©tĂ© Anonyme » sous toutes ses formes, permettant Ă  ses gestionnaires de ne pas assumer la responsabilitĂ© de leurs gestions en cas de faillite, en la transfĂ©rant Ă  des formes impersonnelles ou multi personnelles, reprĂ©sentant les actionnaires. Actionnaires qui ne sont jamais inquiĂ©tĂ©s, alors qu’ils disposent de titres de propriĂ©tĂ©s par l’actionnariat.[138] Le seul risque de l’actionnaire est, la fluctuation de la valeur de l’action, et la perte de la mise de que je veux souligner par cette observation, c’est que le libĂ©ralisme prĂŽne la responsabilitĂ© individuelle de nos actes, et que si les hommes ont des droits ils ont aussi des devoirs, hormis le fait, qu’il sait aussi trouver les formes qui permettent de s’y soustraire, d’y Ă©chapper, et laisser Ă  la charge de la collectivitĂ© les consĂ©quences d’une mauvaise gestion d’entreprises faillite. C’est ce que j’appelle l’ambiguĂŻtĂ© du discours, discours qui varie en fonction de ses cela, mĂȘme si c’est pour faciliter la prise de risque des entrepreneurs, en minimisant celle-ci pour permettre des constructions industrielles qui ne pourraient ĂȘtre couvertes par les biens personnels des dits entrepreneurs, ou qui conduiraient Ă  la faillite tous les actionnaires, s’ils devaient la couvrir sur leurs biens y aurait moins de spĂ©culation si une loi obligeait les actionnaires Ă  couvrir les passifs des entreprises, ne serait-ce que par un prĂ©lĂšvement obligatoire sur les actions, palliant ainsi ce risque en alimentant les ASSEDIC, le fond de garanti, et une caisse Ă  destination des crĂ©anciers fournisseurs, sous traitants, car tous les prĂ©lĂšvements versĂ©s par l’entreprise sont payĂ©s par le voilĂ , nous nous fabriquons des ghettos artificiels, et ensuite nous nous Ă©tonnons des effets de leurs interactions.
pour combien de nos relations issues de nos Ă©motions sont presque encadrĂ©es, formalisĂ©es encodĂ©es pour nous permettre d’assurer une certaine fluiditĂ© homogĂ©nĂ©itĂ© Ă  notre multitude humaine, et y lire notre activitĂ© le cadre des contraintes physiques que l’univers nous impose, dont la maĂźtrise de certaines a permis notre essor technologique, nos jugements de valeur sont Ă©motionnels et suggestifs. Leur normalisation permet d’assurer la cohĂ©sion des groupes d’individus et constitue leur puisque ce sont des jugements de valeur subjectifs, ils sont tous contestables dans l’absolu, et cela permet aux civilisations de se succĂ©der. C’est le relativisme culturel », dont l’acculturation est la ne pouvons pas dire d’aprĂšs les traces archĂ©ologiques et les lectures qui nous ont permises de comprendre et d’apprendre l’existence des civilisations passĂ©es, que les dominants de chacune d’elles, assurĂ©s de leurs certitudes aient voulu laisser leur place, et considĂ©rer leur propre culture comme une valeur relative. Pourtant, le temps a eu raison de leurs certitudes le comprendre Ă  prĂ©sent afin que le travail des anthropologues et archĂ©ologues ne soit pas vain !Ces mĂȘmes certitudes, nous les affirmons aujourd’hui avec heureusement beaucoup plus de moyens et de le risque demeure le mĂȘme que par le passĂ©, c’est Ă  dire celui de croire que les idoles que nous bĂątissons suffisent Ă  nous prĂ©munir de l’ avons toujours des hommes qui ont besoin de titres de rois », comme si ĂȘtre simplement un ĂȘtre humain n’était pas difficile en soi, et d’autres qui ont besoin de les cette orientation qui transpire parfois de tous les accrocs » Ă  l’économie de marchĂ©, sans trop s’apercevoir pour autant qu’ils entrent en prĂȘtrise, et limitent l’activitĂ© de leur idole l’homo oeconomicus Ă  leur propre condamnent ainsi l’Homme Ă  n’ĂȘtre que le tube digestif de l’ limitent ainsi sa substance, et son entitĂ©, Ă  n’ĂȘtre que deux trous, l’un mangeur de bien et service, l’autre Ă©vacuateur de monnaie et de dĂ©chets, et ce, quel que soit l’intĂ©rĂȘt que celui-ci y faisant, ils rĂ©cupĂšrent la monnaie et laissent les dĂ©chets Ă  la charge de la collectivitĂ© nous le savons aujourd’hui, il n’y a de gĂ©nĂ©ration spontanĂ©e dans aucun domaine, tout notre futur est contenu dans notre passĂ©, d’oĂč nous le faisons Ă©merger grĂące Ă  notre intelligence. Bachelard disait Le futur ce n’est pas ce qui va arriver, mais ce que nous allons faire ».C’est pourquoi, notre futur Ă©conomique est contenu dans l’organisation de notre prĂ©sent Ă©conomique. Dans cette loi du marchĂ©, qui basculera lorsqu’elle atteindra son seuil critique ordre / dĂ©sordre, de la mĂȘme maniĂšre qu’ont basculĂ© les civilisations passĂ©es, lorsqu’elles l’ont atteint, et qui a entraĂźnĂ© leur allons nous attendre le seuil critique, ou allons nous l’anticiper ?Allons nous attendre le seuil critique, ou rĂ©veiller l’homo-sociabilis ?Nous pouvons aujourd’hui estimer que la suprĂ©matie du Blanc » d’origine indo-europĂ©enne va s’éteindre d’elle-mĂȘme, compte tenu du taux de natalitĂ© infĂ©rieur Ă  son propre renouvellement. L’activitĂ© Ă©conomique importera de fait des populations extĂ©rieures, et nous seront conduit vers un mĂ©tissage. Au-delĂ  de la couleur, qui n’a d’intĂ©rĂȘt que pour les racistes, qui sont d’ailleurs condamnĂ©s d’avance et qui en perpĂ©tuant la xĂ©nophobie fabriquent de futurs martyrs, c’est le mĂ©lange des croyances qui va constituer la difficultĂ© maximale, et ce, au travers de celle qui se prĂ©sente sous son aspect le plus hĂ©gĂ©monique aujourd’hui, l’Islam. Non parce que c’est l’Islam, mais parce qu’elle est dans sa pĂ©riode obscurantiste, la dogmatisation », et constitue, et la voix, et la voie d’une forme d’opposition politique aux pays riches. Pays riches pris aussi dans leurs reprĂ©sentations dogmatiques, le judĂ©o-hĂ©lĂ©no-christianisme et la colonisation Ă©conomique ». Nous savons d’expĂ©rience, que contre des convictions les armĂ©es sont de peu de poids. Alors il faudra que l’homo oeconomicus », dans ses rapports et ses Ă©changes catĂ©goriels, comme dans ceux avec l’extĂ©rieur, songe Ă  laisser une place Ă  l’homo-sociabilis », afin d’y dĂ©velopper l’émancipation intellectuelle, de maniĂšre que le langage Ă©conomique ne se limite pas Ă  poser seulement des entraves de geĂŽliers».En effet, la comparaison des tendances dĂ©mographiques entre les pays industrialisĂ©s et les pays en voie de dĂ©veloppement ne va cesser de s’accroĂźtre. Les rĂ©gions dĂ©veloppĂ©es, Australie, AmĂ©rique du Nord, Europe, Japon, Nouvelle-ZĂ©lande, abritent 1,2 milliards d’habitants avec un taux de fĂ©conditĂ© de 1,57 enfants par femme. Dans les 50 prochaines annĂ©es, leurs populations ne devraient pas Ă©voluer car leur taux de natalitĂ© va rester infĂ©rieur au taux de renouvellement qui est de 2,1, avec des disparitĂ©s. On notera un affaiblissement dans des pays comme l’Espagne, la FĂ©dĂ©ration de Russie, Hongrie, Italie, Lettonie et Portugal, parce que leur taux de renouvellement avoisinera le zĂ©ro. Celle des pays comme L’Australie, le Canada, la Nouvelle-ZĂ©lande et les États Unis seront ceux qui auront un taux de renouvellement le plus Ă©levĂ© autour de 1, en parti du fait de l’ le mĂȘme temps, les populations des pays en dĂ©veloppement qui abritent 4,9 milliards d’habitants auront doublĂ©, passant Ă  8,2 milliards d’habitants avec un taux de fĂ©conditĂ© de 3,1 ; parmi lesquels les pays les moins avancĂ©s, se situant en Afrique, auront eu triplĂ© la leur, passant de 269 millions Ă  un milliard, avec les taux de fĂ©conditĂ© les plus Ă©levĂ©s ; alors que l’ensemble des pays les moins avancĂ©s passera de 658 millions Ă  1,8 milliards. CorrĂ©lativement l’urbanisation s’accroĂźtra Ă©galement les villes de plus de 1 million d’habitants passeront de 4,3% en 2000 Ă  5,2% en 2030 et celles de moins de un million passeront de 28,5% en 2000 Ă  30,6% en 2030. Source, UNFPA rĂ©alisĂ© sur la pĂ©riode de 1995 Ă  2000.Comme je ne vois pas toute cette population aller sur les bancs de l’école pour apprendre la relativitĂ© de nos valeurs, et celles du monde sensible ».Il est facile d’imaginer que le souci de se nourrir donnera plus d’acuitĂ© aux penchants d’aller chercher ailleurs ce dont ils ont besoin, et ils deviendront de fait rĂ©ceptifs Ă  toute idĂ©ologie porteuse d’une – Mais il ne faut pas rejeter ce qui fonctionne dans une organisation de il ne faut pas rejeter ce qui fonctionne
Toutefois, l’avantage que prĂ©sente cette loi du marchĂ©, c’est offrir des biens et des services dans le cadre d’une anticipation qui peut ĂȘtre Ă  la fois planifiĂ©e projet, suscitĂ©e publicitĂ©, offre, suivie demande, et ce, peut importe qui pourra bien s’enrichir au passage dans une loi du marchĂ© sociabilisĂ© et pourvu que nous comprenions que ce ne sera jamais, tous les hommes, quel qu’en soit notre dĂ©sir, et que les hommes qui le seront, ne le seront jamais Ă  titre dĂ©finitif perpĂ©tuellement. Donc, rien ne nous contraints Ă  fabriquer des pauvres ou d’en conserver, pour se reconnaĂźtre riches. Tout comme la richesse peut reposer sur d’autres critĂšres, que ceux que nous avons cela nous est permis ! Permis, justement parce que la monnaie est fictive, et qu’elle peut ĂȘtre utilisĂ©e pour dĂ©velopper des marchĂ©s lĂ  oĂč il n’y a demeurant que son organisation monĂ©taire permette Ă  chacun de disposer d’un revenu sans altĂ©rer la capacitĂ© Ă  produire, et s’est lĂ  le plus difficile au travers des normes mĂ©ritocratiques » en place. ParticuliĂšrement devant le difficile problĂšme de la motivation, celle qui consiste Ă  dĂ©velopper, consentir un effort contre une rĂ©compense l’effet carotte.
dans une organisation de il est plus facile d’aller sur la lune, que de persuader les hommes qu’ils vivent dans un systĂšme monĂ©taire est tout aussi difficile de les persuader que la circulation rĂ©glementĂ©e de monnaie ne doit pas ĂȘtre un mur infranchissable, car ce mur n’existe que dans notre esprit, et ce n’est pas ce mur de papier virtuel qui est infranchissable, mais seulement certains de nos comportements et vous comprenez mieux Ă  prĂ©sent pourquoi je vous propose de dĂ©velopper la connaissance, car c’est elle qui nous permet de porter un regard critique sur toutes nos la loi Moore[139] pouvait s’appliquer Ă  notre intelligence cela serait merveilleux, car nos Ă©chelles de valeur n’ont pas heureusement, un caractĂšre hĂ©rĂ©ditaire. Faute de loi Moore, nous devons Ă©voluer par succession de civilisations, par acculturation, et culturalisation »[140], mais dans cette culturalisation » nous pouvons y inclure le dĂ©veloppement permanent de notre pourquoi, pour utiliser un terme adorateur, et rester ainsi dans notre culturel aux pratiques cultuelles, il faut dĂ©velopper le marchĂ© de l’intelligence », sans quoi les grands prĂȘtres financiers ne le bĂ©niront pas, et cela, s’ils n’en perçoivent pas leur - Quel est donc ce marchĂ© de l’intelligence qui intĂ©resserait les capitalistes, et qui pourrait ĂȘtre estimĂ© Ă©conomiquement plus facilement que ses incidences idĂ©ologiques, structurelles, sans occulter le risque d’un effet est donc ce marchĂ© de l’intelligence qui intĂ©resserait les capitalistes ?
Je peux me hasarder Ă  un petit raisonnement apagogique. [141]L’intĂ©rĂȘt d’une entreprise de production de biens et services serait que les hommes soient au quotidien des clients, et que la production soit assurĂ©e par des ce schĂ©ma dans et vers lequel nous Ă©voluons, et qui est lisible dans l’industrie et l’agriculture. SchĂ©ma que nous redoutons, car il est synonyme de suppressions d’ cela s’est traduit par une rĂ©duction du temps de travail avec une augmentation des revenus, et le dĂ©veloppement des services et que les employeurs se soient opposĂ©s de maniĂšre constante Ă  toute rĂ©duction du temps de travail, ils n’en ont pas moins su utiliser les entreprises pour couvrir le marchĂ© dĂ©gagĂ© par ce crĂ©neau du temps libre, et rĂ©aliser des affaires. Le marchĂ© du loisir reprĂ©sente environ un quart du budget total des sont leurs facultĂ©s Ă  rebondir », Ă  s’adapter aux Ă©volutions des tendances socio-Ă©conomiques, et quand nous faisons le rĂ©capitulatif de leurs possessions, en France elles ne se sont pas appauvries, formation brute de capital fixe, 218 milliards Euro 1430,6 milliards F en 1994 Ă  milliards d’Euro 1813,9 milliards F en 2000, notamment pour celles qui ont su investir dans les diffĂ©rents secteurs. Cela s’entend bien sĂ»r malgrĂ© le jeu de la concurrence.Pour revenir Ă  l’hypothĂšse retenue, le simple client » non propriĂ©taire de moyens de production qui fournissent des revenus devra, lui, se trouver une source de revenu indĂ©pendante de l’activitĂ© Ă©conomique cela, nous disposons et nous avons Ă  notre disposition le systĂšme de la redistribution circulation de la monnaie, et celui de la crĂ©ation de monnaie banques et pouvoir rĂ©galien de l’État par l’ premier, la redistribution, exigerait que les producteurs redistribuent leurs richesses vers les clients, afin que ces derniers disposent de revenus pour leur acheter les biens qu’ils produisent c’est cela qui se passe dans la rĂ©alitĂ©, en Ă©change de la capacitĂ© de travail des individus pour satisfaire Ă  la production.En tenant compte de la pratique de nos relations socio-Ă©conomiques, qu’elle serait la raison, dans ce raisonnement absurde, qui pousserait les producteurs Ă  redistribuer ? Aucune ! Nous n’avons pas un sens assez dĂ©veloppĂ© de la notion d’espĂšce Humaine pour cela, espĂšce humaine en tant que communautĂ© deuxiĂšme, le client peut, faute de redistribution, avoir recours Ă  l’emprunt pour consommer, mais comment le rendre puisque le client n’a plus de source de revenu, si ce n’est, que par un endettement perpĂ©tuel. Le client peut Ă©galement dĂ©cider en tant que citoyen, que l’État assurera indĂ©finiment ses ressources par une politique un instant que cela fonctionne, les producteurs vont donc accumuler des fortunes colossales. Mais pour en faire quoi ? Allez, je vous laisse poursuivre ce raisonnement absurde. Cependant, suivant l’idĂ©e que vous en avez de ce qu’est l’existence humaine de votre alter ego, du monde, vous le ferez vivre ou que, si nous regardons l’existence au travers de l’Humain, il n’y a que des solutions, si nous le regardons qu’au travers d’un systĂšme monĂ©taire Ă©goĂŻste, il n’y a que des fins. Mais, que nous fassions de l’humain un Être libre de savoir ou esclave d’ignorance, nous n’échapperons pas, et c’est en cela que je voulais aboutir, Ă  l’utilisation de notre intelligence pour raisonner. Une intelligence dont il est plus facile de parler que de l’expliquer[142], et dont le dĂ©veloppement dĂ©pend Ă©galement Ă©troitement des contextes gĂ©ohistorique » qui ont engendrĂ© la sociologie et les idĂ©ologies qui l’ si dans ce schĂ©ma absurde, rien ne m’empĂȘche de distribuer de la monnaie, je peux m’interroger avec quelle contre partie, pour ceux qui retiennent la notion de dĂ©sirs raisonnĂ©s» ?Avec quelle carotte, pour ceux qui sont adepte du laisser faire » ?Une question qui intĂ©resse autant les clients qui ont besoin de revenus pour acheter des biens et des services, que l’entreprise dont les produits n’ont de valeur, que si elle peut les peut avoir son idĂ©e ! Pour ma part, je propose de dĂ©velopper le marchĂ© de l’intelligence» ! Cela parce que j’arrive Ă  extraire mon raisonnement de ses contraintes socio idĂ©ologique » dans le dĂ©veloppement des ECPA, la part de marchĂ© qui intĂ©resserait les capitalistes serait celle de toutes les fournitures scolaires traditionnelles, mĂȘme si elles sont un produit de plus value restreinte, car ce sont des fournitures de masse. Toutefois leur intĂ©rĂȘt est un peu plus Ă©vident si pour ce faire nous y substituons l’application des nouvelles technologies issues de l’informatique et de la en est Ă©galement de mĂȘme pour toutes les structures d’accueil Ă  dĂ©velopper qui concernent la branche du BTP bĂątiment et travaux public et les activitĂ©s peux souligner que je ne raisonne qu’en terme de marchĂ©s nationaux, qui sont des marchĂ©s solvables, mais de petite envergure par rapport Ă  ce que reprĂ©sente aussi cette demande des pays pauvres ou en voie de dĂ©veloppement.
 qui pourrait ĂȘtre estimĂ© avoir une idĂ©e du marchĂ© national, il suffit de multiplier le coĂ»t unitaire actuel de l’enseignement, par le nombre de personnes susceptibles d’accĂ©der Ă  un projet des trente millions de personnes qui suivent Ă  mi-temps un ECPA, Ă  5670,5 Euros 37200 Frs le coĂ»t moyen unitaire par Ă©lĂšve source ministĂšre de l’éducation nationale, soit 170,1 milliards d’Euros 1116 milliards de Frs. A ce coĂ»t il faudra ajouter la mise en place des structures d’accueil Ă  estimer. Ensuite, il faudrait Ă©valuer le fond du financement des revenus des ECPA. Admettons pour cela 5860 Euros 45000 Frs par an environ sur la base du SMC pour des mi-temps, soit 205,8 milliards d’Euro 1350 milliards de F. Ainsi, Ă  partir de deux des Ă©lĂ©ments sur trois estimĂ©s, nous sommes Ă  hauteur de la moitiĂ© du budget de l’État, 722,9 milliards d’Euros 4740,9 Milliards de Frs, ce qui correspond Ă  37% du PIB produit intĂ©rieur brut 1404,6 milliards d’Euros 9214,7 milliards de Frs en 2000 ou du RNB revenu national brut 1415,9 milliards d’Euros 9288,8 milliards de Frs.[143]
plus facilement que ses incidences idĂ©ologiques
...L’autre intĂ©rĂȘt se trouve dans l’incidence qu’engendre une rĂ©partition du temps de travail. Lorsque la main d’Ɠuvre est abondante, nous ne nous soucions guĂšre de pallier son remplacement, d’autant plus, si nous pouvons facilement vendre son coĂ»t. Les contreparties sont de contenir les crises sociales que cela provoque en les finançant par des prestations. Ceci, plus facilement dans les pays riches oĂč les intĂ©rĂȘts corporatifs sont relativement structurĂ©s pour leur dĂ©fense. Malheureusement, ce n’est pas le cas dans le reste du monde, et ce coĂ»t pĂšse sur les Ă©changes, et les marges bĂ©nĂ©ficiaires dans la concurrence internationale, et pousse les États Ă  s’aligner par le discours libĂ©ral, comme je l’ai soulignĂ©, tend constamment Ă  rĂ©duire cette masse financiĂšre charges, soit parce que les entreprises ne parviennent pas toujours Ă  la vendre ou qu’elle rĂ©duit leurs pourraient en ĂȘtre soulagĂ©es si l’on opĂšre un transfert de son coĂ»t social vers les ECPA par exemple, et par extension, le coĂ»t d’autres charges sociales suivant des modalitĂ©s Ă  dĂ©finir. Ce qui entre autres excluraient les entreprises de la gestion paritaire des dits organismes auxquels elles versent ces charges » prĂ©lĂšvements, et satisferait quelques discours d’organisations syndicales, qui considĂšrent, que les prestations versĂ©es par les employeurs ne sont qu’un salaire indirect. Mais ce n’est lĂ  qu’un raisonnement idĂ©ologique, car dans les organismes sociaux les partenaires ne gĂšrent que par ceux qui pourraient penser que c’est lĂ  un cadeau royal aux capitalistes, les entreprises devront en Ă©change rĂ©trocĂ©der Ă  l’État la comptabilisation de la valeur de leur propriĂ©tĂ© fonciĂšre. Ils en garderont la jouissance totale, mais la valeur fonciĂšre comptabilisĂ©e dans leur bilan, le sera Ă©galement dans un compte de l’État, qui constituera avec un fond de garantie. Exemple quand une entreprise achĂšte Ă  l’État un terrain de 150 Euros 1000 Frs, ce n’est pas un achat du sol qu’elle effectue, mais elle achĂšte le droit d’en jouir Ă  titre de propriĂ©taire dĂ©membrement de propriĂ©tĂ© », le Nue propriĂ©tĂ© demeure propriĂ©tĂ© de l’État, Usufruit celle du particulier ou de l’entreprise, tout comme la valeur nĂ©gociable du nue-propriĂ©tĂ©, qui pourrait s’appeler l’Usufruit nu » pour le diffĂ©rencier. Rien de cela ne changera les usages en vigueur concernant les droits privĂ©s attachĂ©s au titre de propriĂ©tĂ©. L’ÉTAT enregistrera sa valeur de transaction, en ayant Ă©tabli une rĂ©fĂ©rence conventionnelle d’un seuil minimum des prix du sol. Ce procĂ©dĂ© s’appliquera Ă  toute transaction de terrains entre agents de l’économie ou particuliers. Ceci sans autres interventions que celles existantes pour leurs opĂ©rations commerciales ou leur succession patrimoniale, mais en rĂ© actualisant tous les ans la valeur comptable des terrains figurant au bilan. Je reparlerai de cela dans le chapitre quel financement».IdĂ©ologiquement, c’est un moyen de satisfaire l’intĂ©rĂȘt collectif et individuel. La collectivitĂ© conserve la valeur du territoire commun Nue-propriĂ©tĂ©, et permet Ă  chacun d’en recevoir un usage financier au travers de la rĂ©munĂ©ration des ECPA. Ceci, sans lĂ©ser ceux qui pourront acquĂ©rir l’usage privĂ© des sols Usufruit nu, et ne pas remettre ainsi en cause la propriĂ©tĂ© le transfert d’une partie du coĂ»t social prĂ©lĂšvements sociaux, les entreprises dans leurs Ă©changes internationaux ne seront plus pĂ©nalisĂ©es, et celles-ci ne seront plus un facteur de dĂ©localisation et de chantage Ă  l’emploi. MĂȘme, si pour certaines le transfert de ces prĂ©lĂšvements constitue une rĂ©duction de leur marge bĂ©nĂ©ficiaire, quand elles spĂ©culent dans les Ă©changes mondiaux avec les charges ».Les fondamentalistes du collectif se rĂ©approprient la partie fonciĂšre des moyens de production en la valorisant suivant les mĂȘmes critĂšres de la loi du marchĂ©, et ce, dans l’intĂ©rĂȘt la propriĂ©tĂ© privĂ©e est prĂ©servĂ©e, et la propriĂ©tĂ© collective Ă©galement tout en Ă©tant valorisĂ©e.
et structurelle
Si la rĂ©duction des coĂ»ts facilite l’emploi, celui-ci ne doit pas ĂȘtre dans ce cas l’objectif essentiel. Ce doit ĂȘtre plutĂŽt la recherche d’un rééquilibrage en vue de dĂ©gager du temps libre, en rĂ©duisant la durĂ©e du travail pour gĂ©nĂ©rer un plein emploi. Ceci inĂ©vitablement dans une comptabilisation annuelle et une rĂ©partition hebdomadaire autre du temps de travail, en fonction des activitĂ©s professionnelles. Ce qui offrira certes des emplois supplĂ©mentaires, mais Ă©galement une orientation vers des investissements productifs faisant appel Ă  l’innovation technologique, pour faire face Ă  un accroissement de la demande issue des revenus des ECPA, en permettant, de ne plus avoir Ă  craindre les investissements robotiques » perçus comme supprimant des emplois. Cette orientation permet Ă©galement aux actifs de disposer de temps libre, afin de s’inscrire dans les ECPA. Ceci, de maniĂšre que le temps d’activitĂ© d’un citoyen puisse se fractionner en quatre parties, travail, enseignement, repos, maniĂšre subsidiaire les ASSEDIC pourraient ĂȘtre refondues ou disparaĂźtre au bĂ©nĂ©fice des ECPA, offrant la souplesse d’une recherche d’emploi, et d’une activitĂ© le problĂšme le plus important n’est pas structurel, mĂȘme si l’introduction de revenus issus des ECPA induit une augmentation du pouvoir d’achat qui, dans l’ajustement offre demande peut susciter un risque d’inflation.
 sans occulter les risques
Un de ces risques rĂ©side dans le glissement des actifs potentiels, inscrits dans des ECPA, vers le milieu professionnel. C’est Ă  dire, ce qui nous motive pour occuper un emploi, car il ne s’agit pas de transfĂ©rer les actifs productifs, vers les ECPA, pour en faire des actifs cĂ©rĂ©braux qui ne produisent rien, ou d’opposer deux sources de richesse, mais de les dans une sociĂ©tĂ© oĂč nous occupons des emplois par dĂ©faut, ce risque est grand. D’autant plus que, dans notre culture, nous avons l’art d’opposer ce qui est complĂ©mentaire. Il serait sot d’opposer travail et dĂ©veloppement intellectuel. Notre sociĂ©tĂ© est parfaitement capable d’absorber et d’ajuster cette nouvelle activitĂ©, elle en a les moyens intellectuels et Ă©conomiques. Il en a Ă©tĂ© ainsi des congĂ©s payĂ©s, des rĂ©ductions d’horaires, et du marchĂ© des loisirs qu’ils ont gĂ©nĂ©rĂ©s par une augmentation du pouvoir d’achat, contre vent et marĂ©es, des Ă©conomistes biens pensants, des intellectuels idĂ©ologues bloquĂ©s, et des entrepreneurs Ă©goĂŻstes n’y a rien de pĂ©joratif dans mon propos, car les risques sont rĂ©els du fait mĂȘme de ces comportements qui sont leur reprĂ©sentation dynamique du monde d’un effet boomerang.
d’un effet risque, cette motivation essentiellement financiĂšre optimalisation de son intĂ©rĂȘt personnel, est le propre produit d’un discours libĂ©ral, qui par idĂ©ologie a fait du dĂ©veloppement individuel optimalisation de son intĂ©rĂȘt la clĂ© de voĂ»te de son systĂšme. Celui-ci s’est dĂ©veloppĂ© sous le poids de sa conception de classe le diktat des possĂ©dants, gĂ©nĂ©rant son antonymie tout aussi nĂ©faste, le collectivisme au sens strict. De maniĂšre que la victoire idĂ©ologique du libĂ©ralisme ait renforcĂ© nos comportements de type culturel au naturel Ă©goĂŻste ou Ă©gocentrique», bien que dans la rĂ©alitĂ© des Ă©conomies nationales les États masquent leurs comportements l’idĂ©e demeure de fustiger de telles interventions, et il en dĂ©coule que toute rĂ©glementation est perçue comme une agression des droits Ă©goĂŻstes ».Ainsi, la tradition dans le monde Ă©conomique est de dissĂ©quer toutes les prĂ©cĂ©dentes rĂ©glementations qui permettent d’échapper, ou de bĂ©nĂ©ficier des nouvelles, suivant le cas, s’est renforcĂ©e. Comme se sont renforcĂ©s en ce sens les conseils en tout genre, et chacun d’entre-nous Ă  titre individuel pratiquons de la mĂȘme maniĂšre. Donc dans cet esprit lĂ , chacun utilise les sources de revenus disponibles au mieux de ses intĂ©rĂȘts, et les libĂ©raux seraient plutĂŽt mal venus de s’en plaindre, puisqu’ils sont les stimulateurs de tels n’y a donc, aucune raison que la rĂ©munĂ©ration, et la frĂ©quentation des ECPA Ă©chappent Ă  cet effet boomerang. D’autant plus que le comportement civique et le collectivisme au sens Ă©tendu note 15 ont quasiment disparu dans notre enseignement, et de fait, dans la collectivisme, un mot qui est devenu pĂ©joratif, un mot qui s’est opposĂ© Ă  l’individualisme pendant plus de 70 ans. Heureusement, il retrouve toutes ses vertus sous la citation d’AimĂ© Jacquet[144] On a gagnĂ© parce que chacun s’est mis au service du collectif mĂȘme si des individualitĂ©s en sont ressorties ».Naturellement, ceci s’observe tous les jours dans notre quotidien, et l’entreprise » a essayĂ© de le mettre en place par le biais de tous les projets participatifs. Projets qui ne rĂ©sistent ni aux rĂ©ductions de salaires ni aux licenciements, car seule la contrainte du chĂŽmage a assurĂ© une rĂ©conciliation d’intĂ©rĂȘt avec l’ pourrait-on penser que les salariĂ©s se soient rĂ©conciliĂ©s avec l’entreprise ! Mais dans le mĂȘme temps la cĂ©lĂšbre participation active des salariĂ©s japonais, bĂątie sur leur relation paternaliste d’intĂ©gration» avec l’entreprise, ne les a pas mis Ă  l’abri du dit » chĂŽmage. Car bien sĂ»r ce n’est pas ĂȘtre bien intĂ©grĂ© ou pas, avoir l’esprit d’entreprise ou pas qui sera dĂ©terminant, mais comment l’intĂ©rĂȘt que nous formulons par nos dĂ©sirs sociaux de produire nous allons le relier, l’associer pour en donner une image globale qui sera lu et suivi par l’individuel dans une rĂ©troaction d’auto justification, qui inĂ©vitablement Ă  ce jeu de va et vient nous ramĂšne plus vers une sociĂ©tĂ© Ă©gocentrique que de naturellement cette image affectera tout type d’organisation qu’on lui – Ce serait une nouvelle approche sociĂ©tale aux effets inĂ©vitables, comme il y en a eu dans d’autres circonstances, que nous avons toujours surmontĂ©es, mĂȘme en inversant un serait une nouvelle approche sociĂ©tale
Ces deux approches des rapports salariĂ©s / entreprises n’offrent pas une quelconque assurance quant Ă  la conservation d’un emploi rĂ©munĂ©rateur, car les salariĂ©s recherchent une stabilitĂ© dans des structures exclusives rĂ©duction des coĂ»ts. Ce en quoi les ECPA peuvent pallier, non sur une durĂ©e dĂ©terminĂ©e comme les ASSEDIC, mais sur une durĂ©e permanente tout au long de la vie active, et ce, en interaction avec l’entreprise, jusqu’à bien sĂ»r l’inĂ©vitable seuil critique de tout systĂšme qui limite toutes les organisations s’ensuivra de nouveaux rapports, salariĂ©s / entreprises, et peut-ĂȘtre que la notion de collaborateur partenaire remplacera-t-elle celle de salariĂ©, et de nouvelles formes de rĂ©munĂ©ration participative se composeront, de nouvelles motivations partenaires sociaux devront Ă©laborer d’autres garde-fous, les entreprises disposeront d’un peu plus de marge de manƓuvre pour ajuster leurs effectifs, la souplesse Ă©tant leur leitmotiv permanent. Les salariĂ©s alors n’auront plus Ă  craindre de façon excessive le couperet du chĂŽmage, puisqu’ils pourront demeurer ou s’inscrire dans une activitĂ© d’enseignement rĂ©munĂ©rĂ©e pour disposer d’une source de revenu. Ceci parce que les actifs en perte d’emploi, pour toutes raisons passeront avec plus de facilitĂ© vers les ECPA Ă  temps complet ou pas suivant leur volontĂ©, car ils auront pris par ailleurs l’habitude de leur frĂ©quentation, et ne percevront plus leur mise Ă  l’écart temporaire comme pouvons convenir que lorsqu’un particulier prend l’initiative d’un investissement crĂ©atif, il est normal qu’il dispose des revenus et profits de ce dont il est le lorsque son projet doit utiliser l’aide de tiers, alors c’est lui qui est demandeur ; et c’est une Ă©vidence que de comprendre que sans ces aides, il ne parviendrait pas Ă  ses fait une collaboration s’impose, et si le propriĂ©taire veut ĂȘtre le maĂźtre absolu de ses dĂ©cisions, s’il veut disposer du fait du prince, alors il doit rester seul. Dans tous les autres cas il y a une collaboration Ă  imaginer pour que le propriĂ©taire conserve les profits de son investissement et atteigne ses buts, sans s’approprier ceux gĂ©nĂ©rĂ©s par les tiers. L’histoire de l’impuissance collective a conçu des maĂźtres plutĂŽt que des guides, mais le reconnaĂźtre ne le rend pas irrĂ©ductible ; et si le code civil a analysĂ© en 1804 la marchandisation » de la force de travail comme du louage de service », donc du marchandisage. Je pense que depuis 1804, il est intervenu bien des Ă©vĂ©nements culturels dĂ©veloppement des sciences qui nous permettent de concevoir notre activitĂ© de travail complexes entre adultes culturalisĂ©s, comme une relation humaine, et non un conflit d’ naturellement nĂ©cessite une approche plus Ă©ducative de ce que j’ai appelĂ© le collectivisme fractal », ou entreprendre avec les autres.
 aux effets certain nombre d’activitĂ©s inĂ©vitablement disparaĂźtra ou devra se restructurer, et d’autres naĂźtront. Pour ceux, que cela choquerait, qu’ils pensent que ce sont les mĂȘmes effets que les hommes engendrent en tant que consommateur, quand ils modifient leurs choix de consommation ou quand se fixe politiquement le taux du SMIC. Je n’ai aucune inquiĂ©tude pour les grandes entreprises, mais les petits employeurs auront Ă©galement accĂšs aux Ă  petit, la notion de salaire a cĂ©dĂ© le pas Ă  celle de ressource incluant d’autres revenus que les seuls salaires, notamment ceux de transferts issus du versement de prestations, et d’exonĂ©rations en tout salaire, vacation et autre, en fonction des divers mĂ©tiers, dans l’organisation Ă©conomique et sa comptabilisation actuelle, les revenus comportent un paradoxe inĂ©vitable, celui de crĂ©er une ressource pour celui qui en perçoit la rĂ©munĂ©ration, une charge pour celui qui la verse. Pour les entreprises les plus averties, elles savent qu’en versant des revenus, elles refinancent » une partie de leur futur chiffre d’affaires, en mĂȘme temps que celui d’autres entreprises. Donc, la stabilitĂ© de ressources qu’apportera les ECPA modifiera certaines modalitĂ©s de la circulation de la monnaie, particuliĂšrement celui du pouvoir des marchĂ©s financiers, parce qu’un Ă©ventuel surplus d’épargne, issu de la rĂ©munĂ©ration des ECPA, pourra rendre les taux d’intĂ©rĂȘt des banques plus attrayant pour les investisseurs, et moins cher les taux de l’argent au jour le jour.
 et comme il y en a eu dans d’autres circonstances que nous avons toujours surmontĂ©es
Pourtant, le point de rencontre de cet antagonisme, entre salariĂ© et entreprise, est quand l’un et l’autre sont des clients, chacun voulant faire une acquisition au moindre coĂ»t. Nous tournons donc dans une spirale de flux circulatoire Ă  la recherche d’un perpĂ©tuel Ă©quilibre, qui ne peut pas exister au sens strict du terme, sauf de maniĂšre transitoire, l’équilibre stationnaire, l’égal du stade ultime oĂč il n’y a plus de mouvement, oĂč c’est la mort de toute chose, qui gĂ©nĂšre des crises ». Des crises variant au grĂ© de leurs ajustements de l’équilibre gĂ©nĂ©ral, Ă  la recherche de l’équilibre revenu dĂ©pense, de l’équilibre monĂ©taire, de l’équilibre de l’emploi et de l’équilibre extĂ©rieur. C’est donc une ineptie que d’avoir l’obsession de la recherche d’un Ă©quilibre. Crises que nous avons toujours surmontĂ©es par des politiques d’intervention publique, budgĂ©taires ou exonĂ©rantes, parfois les deux Ă  la fois, donc par un dĂ©sĂ©quilibre. Ceci, parce que le LibĂ©ralisme ne peut conserver son ordre que dans une communautĂ© organisĂ©e, vers laquelle il se tourne toujours en dernier ressort, parce que les exigences de l’existence Humaine s’imposent de fait Ă  une existence d’équilibre comptable, et dont, il a besoin de la force coercitive de l’État dĂ©mocratique ou non pour rĂ©guler les dĂ©rapages d’exigences humaines qui se manifeste çà et lĂ . Ceci car il ne s’agit en fait, pour prendre une image Ă  la psychologie, que la reconstruction recomposĂ© du dominant Ă©gocentrique de la mĂȘme somme de monnaie soit inscrite sous des appellations diffĂ©rentes suivant son usage, cela ne nous choque pas. Cette somme, par exemple, s’appelle charges » quand c’est le paiement d’un salaire, revenu » quand c’est l’encaisse du salaire, Ă©pargne » quand elle sera dĂ©posĂ©e dans une banque, emprunt si l’on dĂ©sire se la faire prĂȘter. Car bien Ă©videmment son appellation sert Ă  dĂ©finir son usage, et parmi ses usages, le plus important, c’est celui qui constitue une ressource, celui qui passe par la case bien que la rĂ©munĂ©ration des ECPA, par l’apport de ressources nouvelles, crĂ©era un dĂ©sĂ©quilibre » Ă  l’avantage de la demande, et l’entreprise s’organisera pour en tirer il appartiendra aux acteurs socio-Ă©conomiques d’effectuer les ajustements et les orientations utiles en fonction de projets, prenant en compte l’offre, la demande, les besoins d’épargne, et d’effectuer les anticipations.
 mĂȘme en inversant un les pays sous-dĂ©veloppĂ©s la demande est Ă©norme, donc une entreprise a devant elle un marchĂ© auquel elle peut faire des offres, puisque les hommes sont demandeurs. Pourtant, rien ne s’y rĂ©alise. Ce n’est pas que les entreprises manquent de moyens financiers, ce n’est pas que la demande n’existe pas. C’est seulement que la demande ne peut pas ĂȘtre formulĂ©e en masse financiĂšre disponible, et reconnues par la communautĂ© financiĂšre comme ayant une valeur sur le marchĂ© des changes. Par consĂ©quent, l’entreprise X n’ira pas s’y installer tant que la demande ne sera pas solvable, parce que la valeur de la monnaie dĂ©pend de la capacitĂ© industrielle des États et de leur commerce extĂ©rieur la rentrĂ©e de devises.Ainsi, cette situation durera jusqu’au jour oĂč le pays Y aura trouvĂ© un moyen d’avoir des ressources, et ce jour lĂ  l’entreprise X fera ses offres. Ce fut le cas des pays d'Asie Mineure avant la dĂ©couverte du pĂ©trole, et Ă  contrario, c’est en micro-Ă©conomie le triste sort des sidaĂŻques » d’ rien n’empĂȘche une banque de dĂ©veloppement d’organiser, dans le pays Y, le financement d’un marchĂ© de l’intelligence » suscitant une demande, comme amorce, devant conduire Ă  un dĂ©veloppement Ă©conomique circonstanciel n’ignore pas les difficultĂ©s culturelles que cela reprĂ©sente dans certains États, oĂč en plus des multiples communautĂ©s confessionnelles et ethniques, s’y ajoutent des rapports culturels de l’homme au travail diffĂ©rents des nĂŽtres, en plus de leurs besoins, pour des raisons faut pour ainsi dire renverser le processus, oĂč l’offre Ă©ducative crĂ©era la demande de biens, et les moyens d’un dĂ©veloppement. C’est certainement plus valorisant que l’action caritative qui est forcĂ©ment restreinte je ne vise pas les actions d’urgences. Inverser un processus par lequel, pousser, inciter, exhorter Ă  apprendre gĂ©nĂšre la rĂ©flexion qui engendre la crĂ©ativitĂ©, et oĂč l’incitation Ă  apprendre procure les moyens de se Ă  ce long processus de dĂ©veloppement historique que nous avons vĂ©cu, et dans lequel il faut d’abord se nourrir pour avoir une force de production en utilisant pas Ă  pas son intelligence d’oĂč sort, par rĂ©partition des tĂąches, les biens et le temps qui nous permet de nous contrevenir dans les États qui n’ont rien Ă  Ă©changer ou si peu, n’est pas un acte dĂ©pourvu d’égoĂŻsme, car nous savons que les États riches ne peuvent accueillir la population de la planĂšte, et si nous souhaitons que leurs populations demeurent dans leurs États, encore faut-il pour que cela soit possible, qu’ils puissent y vivre, et non plus, que par les moyens de communication audio visuels, tous les pays ont connaissance de la richesse de certains autres, et les marchands d’audio visuel accroissent incidemment les dĂ©sirs de richesse, et les rĂȘves d’ ne ferons qu’accĂ©lĂ©rer un processus, par acculturation, pour les États qui en seraient demandeurs. En effet, Ă  chacun d’entre- nous, nous ne demandons pas de rĂ©inventer l’écriture pour apprendre Ă  Mais il faut maintenir un nouveau dĂ©sĂ©quilibre sous surveillance de l’ensemble des acteurs et de notre intelligence. Pour gĂ©rer l’abondance en tenant compte de ce qu’est notre mondeMais il faut maintenir un nouveau dĂ©sĂ©quilibre
Je mentionnais plus haut qu’un phĂ©nomĂšne important serait le glissement des adultes de l’ECPA vers l’appareil productif, car en supprimant le chĂŽmage, et non pas l’offre d’emploi des adultes [145], de fait, le dĂ©sĂ©quilibre tournera Ă  l’avantage du une rarĂ©faction de l’offre d’emploi des adultes serait nĂ©faste Ă  la production de biens et services, si elle devait se traduire par une augmentation des coĂ»ts de production, sans qu’une compensation soit rĂ©alisĂ©e par des investissements technologiques de productivitĂ©, et une rĂ©partition du temps de se comprend aisĂ©ment, si nous considĂ©rons que l’intĂ©rĂȘt d’un bien et d’un service est d’ĂȘtre d’un usage de masse, donc accessible Ă  bas prix, caractĂ©risant aussi l’élĂ©vation du niveau de vie. Pourtant l’effet boomerang est latent, face aux politiques d’embauches d’employeurs qui ont usĂ© et abusĂ© du dĂ©sĂ©quilibre qui leur Ă©tait favorable, et ont nourri bien des rĂ©guler cet aspect, nous pouvons utiliser les rĂ©fĂ©rences que nous avons Ă©tablies les trois cents articles, qui peuvent ĂȘtre rĂ©examinĂ©es, pour servir d’indicateurs de seuil d’un revenu rĂ©fĂ©rentiel, sans interfĂ©rer dans l’usage que font les hommes de leur revient Ă  instaurer un revenu social type comme certaines organisations professionnelles le proposent, cela en ce qui concerne le niveau de vie auquel peut prĂ©tendre tout un chacun, et qui donne un aperçu, une Ă©valuation du minimum de la masse monĂ©taire qui doit ĂȘtre mise Ă  disposition des Ă©galement introduire une rĂ©fĂ©rence Ă  la population, c’est remettre l’Homme Ă  sa place, sa place d’Être social qui a gĂ©nĂ©rĂ© l’ les annĂ©es 1970 une organisation syndicale ouvriĂšre suggĂ©rait le salaire binĂŽme, un salaire composĂ© du salaire social auquel s’ajouterait le salaire professionnel. L’idĂ©e n’a pas prospĂ©rĂ©, si bien que cette idĂ©e, a gĂ©nĂ©rĂ© le SMIC, et que celui-ci a fini par gommer la part du revenu professionnel. De telle maniĂšre que l’on peut dire de certains emplois, que s’ils Ă©taient rĂ©munĂ©rĂ©s Ă  leur valeur commerciale professionnelle qui se trouvent ĂȘtre en dessous du SMIC, ne permettent pas Ă  un salariĂ© de disposer d’un revenu lui assurant un niveau de vie convenable tout en passant son temps au travail. Un comble que nous justifions par notre organisation Ă©conomique au travers de ses rĂšgles peut-on accepter humainement, en production d’abondance, qu’une personne qui travaille ne puisse pas vivre de son travail pour bĂ©nĂ©ficier, Ă  un certain seuil social, des produits et des prestations auxquelles elle me fait penser une histoire Celle d’un agriculteur qui acquiert un Ăąne, et dĂ©cide de le faire travailler sans manger parce que la nourriture lui coĂ»te trop cher. Un ami le rencontre au bout d’un certain temps pour prendre des nouvelles de son Ăąne. Bien ! Au dĂ©but c’était parfait, puis, je ne sais pas ce qu’il a eu, car quand il commençait Ă  s’y habituer, il est mort ». Nous sommes un peu dans cette dĂ©marche et nous nous plaignons en plus que l’ñne dĂ©sĂ©quilibre de l’emploi en faveur du salariĂ© ne doit pas tendre vers un Ă©quilibre, mais s’organiser autour des acteurs Ă©conomiques, et demeurer constamment une source de croissance, dont une part sera captĂ©e par la collectivitĂ©, et une autre part par l’entreprise qui pourra en affecter une partie pour la prĂ©servation des nuisances industrielles ou autres, sans accroĂźtre ses coĂ»ts, ou en faire ce que bon lui semble. Car les chefs d’entreprises sont des hommes responsables dont la compĂ©tence globale n’est pas en cause, mais qui, partisans ou non d’une organisation systĂ©mique nĂ©olibĂ©rale, sont tenus de s’y conformer, sinon c’est le systĂšme qui les naturellement, partant de lĂ  ce n’est pas sur eux qu’il faut compter pour en changer, personne ne se dĂ©fait du pouvoir qu’il s’est construit.
sous surveillance de l’ensemble des ne peut pas se concevoir au travers des seules rĂšgles naturelles » guidĂ©es par une main invisible ». Mais plutĂŽt au travers d’organismes comme ceux du genre des conseils Ă©conomiques et sociaux, qui sont une des rares formes de dĂ©mocratie de la vie civile, mĂȘme s’ils n’ont qu’une fonction l’incidence de la crĂ©ation des ECPA sur l’appareil productif ne peut pas ĂȘtre laissĂ©e Ă  la seule rĂ©gulation dite naturelle », puisqu’il s’agit d’une construction intellectuelle pour laquelle nous ne disposons pas d’exemples existants, et pour laquelle j’ai au moins une certitude, c’est que le nĂ©olibĂ©ralisme seul ne peut pas en assurer la mĂȘme s’il peut continuer d’exister sous la forme qui consiste Ă  dire que tout individu recherche Ă  optimaliser tout ce qui peut prĂ©senter pour lui un enrichissement. Pourtant, il a aussi la capacitĂ© d’affirmer qu’optimaliser peut signifier ne pas s’enrichir sans discernement, et devoir Ă©galement utiliser cette richesse pour compenser les dĂ©gĂąts causĂ©s par une vision Ă  court terme de l’ espĂšces il ne s’agit pas de dire qu’une main invisible » viendra rĂ©guler l’organisation de deux sources de revenus diffĂ©renciĂ©es et plutĂŽt de demander Ă  tous les cerveaux imaginatifs de s’associer sur une vision Ă  long terme, dont le plus difficile est d’entraĂźner les hommes sur le terrain de la rĂ©flexion pour imaginer une organisation, oĂč peuvent coexister des antagonismes qui aujourd’hui hypothĂšquent notre existence mĂȘme, pour satisfaire des critĂšres de rentabilitĂ©, ignorant des systĂšmes de prĂ©cautions, ou capable d’atteindre les limites du zĂ©ro dĂ©faut suivant l’objectif Ă©conomique.
et de notre cette notion de main invisible » du XVIII iĂšme siĂšcle n’a plus de sens aujourd’hui, tant il existe des systĂšmes de rĂ©gulation, elle retrouve une fausse nouvelle vigueur avec les tenants de la loi du marchĂ©. Ceci, comme s’il nous Ă©tait impossible, Ă  nous, humains qui tendront Ă  une durabilitĂ© de nos relations les uns avec les autres, d’élever la compĂ©tition pour les ressources Ă  un autre niveau que celui qui altĂšre nos modes de vie, et transforme toute notre crĂ©ativitĂ© en un effet boomerang. Cela, simplement parce que l’évolution biologique est trop lente pour soutenir le rythme dans lequel notre Ă©volution culturelle plus rapide a pu modifier ses tendances ; une Ă©volution biologique trop lente pour ingĂ©rer tous nos avons une difficultĂ© Ă©norme Ă  gĂ©rer une fuite en avant ; d’autres diraient une Ă©volution exponentielle, et c’est pour cela que je faisais aussi allusion Ă  la thĂ©orie du chaos, car il arrive un moment, oĂč il nous devient difficile de lire l’entropie d’un systĂšme comme celui que nous nous bĂątissons tous les consĂ©quence, c’est Ă  nous d’effectuer une transition idĂ©ologique, et de modifier nos modes de pensĂ©e, nos schĂ©mas, nos paradigmes. Cela ne signifie pas qu’il faille renoncer Ă  senrichir, mais seulement compter la richesse d’une maniĂšre diffĂ©rente, pour que personne ne soit dĂ©pourvu de ne nous oblige Ă  convoiter la richesse des autres, puisque nous sommes capables de la gĂ©rer l’abondance
Compte tenu que l’économie repose sur l’idĂ©e de raretĂ©, un bien abondant devient inĂ©vitablement un bien presque libre », et de lĂ , il perd Ă  nos yeux tout l’attrait qui nous permet de nous dĂ©finir par rapport Ă  sa d’imaginer que tout ce que nous produisons soit en abondance, notre nature humaine devrait bien trouver d’autres substituts pour s’ une illusion ou bien est-ce cela que nous faisons en partie au travers des loisirs ?La raretĂ© est-elle une contrainte incontournable ou l’expression de notre violence ?Comme je l’indiquais dans le prĂ©liminaire, nous sommes conçus pour survivre, et nous reproduisons hĂ©rĂ©ditairement nos caractĂšres originels avec une Ă©volution cĂ©rĂ©brale trĂšs lente. Parmi ceux-ci, notre capacitĂ© d’agression est omniprĂ©sente, et elle utilise tous les supports pour sa manifestation individuelle ou collective, cela y compris au travers de notre capacitĂ© Ă  produire, Ă  Ă©changer, Ă  possĂ©der, au-delĂ  de la seule valeur d’usage de ces supports utilitaire, comme nous ne voyons personne se battre pour un bien abondant, sauf si nous avons su crĂ©er le moyen d’en faire un bien dĂ©sirable. C’est sous une certaine forme le cas de l’air qui devient source de conflit, parce que nous rarĂ©fions sa mon sens, cette difficultĂ© que nous avons Ă  gĂ©rer l’abondance trouve sa source, dans le fait que nous rĂ©agissons toujours avec des paramĂštres hĂ©rĂ©ditaires interprĂ©tĂ©s au fil des Ăąges. ParamĂštres dans lesquels toute l’activitĂ© humaine crĂ©atrice Ă©tait Ă  l’état latent, ou plus exactement en l’état de probabilitĂ© d’ĂȘtre, et que malgrĂ© toutes les tentatives idĂ©ologiques altruistes, notre Ă©panouissement individuel reste axĂ© sur une domination qui s’exerce instrumentalement toujours vers autrui, et dont sa gestion exige l’apprentissage de la consĂ©quence, soutenir que la raretĂ© est la clĂ© de voĂ»te de l’économie est encore un constat de sous qu’ayant les moyens de vivre dans l’abondance nous faisons de la raretĂ© le moteur de l’émulation pour nous contraindre Ă  une activitĂ© culturelle qui se transmet par l’apprentissage, et dont la place de l’activitĂ© cognitive grandissante devrait nous conduire Ă  trouver d’autres formes de motivations que celle de la confrontation, car nos caractĂšres innĂ©s ne sont pas fait pour nous entre-tuer, mais pour vivre. Et c’est Ă  notre intelligence de ne pas dĂ©velopper des systĂšmes d’exclusions, dans lesquels nos caractĂšres innĂ©s, de leur fonction de nous assurer de vivre corrĂ©lation dans le systĂšme cognitif entre le conscient et l’inconscient, passe Ă  celle de survivre qui conduit toute espĂšce au sacrifice de certains de ses semblables. Une fois de plus, c’est seulement, notre intelligence qui saisi la subtilitĂ© entre vivre et survivre. Ainsi lorsque sciemment nous continuons Ă  fabriquer de la raretĂ© en ayant perçu toutes ses incidences assassines nĂ©fastes, et en les acceptant et les reconduisant de fait, tout en les dĂ©nonçant hypocritement, nous sommes forcĂ©ment des sous primates. Car les primates ne rĂ©pondent qu’à leurs Ă©motions innĂ©es, dont la recherche en neurobiologie a Ă©tabli que certains disposaient d’une capacitĂ© de rĂ©flexion, et d’une certaine forme de conscience, des sous primate puisqu’il nous manque, ce dont je doute, d’un inhibiteur de violence qui constituerait alors par rapport aux autres espĂšces une tare congĂ©nitale qui ferait de l’homme une erreur de la nature vouĂ©e Ă  disparaĂźtre. Si bien que si notre intelligence nous conduit vers les Ă©toiles, elle se montre limitĂ©e dans sa capacitĂ© Ă  dĂ©velopper une sociabilitĂ© d’émulation, autre qu’ nous en sommes intellectuellement capables, et c’est lĂ  toute la question ?
en tenant compte de ce qu’est notre en tenant compte que si nous comparions nos 4,5 milliards connus de la vie terrestre Ă  une journĂ©e, nos deux mille derniers ans n’égaleraient que 2 secondes, et notre rĂ©volution industrielle n’a commencĂ© que depuis 1 centiĂšme de seconde[146].Cela nous laisse imaginer la place qu’occupe la thĂ©orie de la raretĂ©, d’autant que nous avons en partie les moyens de gĂ©nĂ©rer l’abondance, les capacitĂ©s de la gĂ©rer, et du temps devant nous restons dans des concepts sociĂ©taux Ă©laborĂ©s aux derniers siĂšcles, sĂ©lectifs des connaissances d’aujourd’hui, dont la mĂ©morisation, la pĂ©rennitĂ©, la circulation, et l’usage de ces connaissances restent nous avons fait un bon technologique sans Ă©gal, il n’en est pas de mĂȘme de nos schĂ©mas sociaux, oĂč nous prenons un plaisir inconscient Ă  faire souffrir, confondant au passage l’affirmation de soi, et la domination dont nous ne cessons de faire l’ financement ?60 – Celui que nous pouvons crĂ©er, un moyen non que nous pouvons crĂ©er
Je vais parler d’argent maintenant, mais d’une maniĂšre un peu diffĂ©rente de celle qui consiste Ă  aligner des chiffres, bien que j’y vienne en fin de il n’est pas question de demander Ă  l’entreprise de financer le projet de crĂ©ation » d’ECPA. Tout au plus, les entreprises les mieux structurĂ©es consacrent 2% Ă  3% pour la formation professionnelle 1,5 % lĂ©gal obligatoire pour les entreprises de plus de dix salariĂ©s depuis 1992.Alors, il faudra trouver une rĂ©fĂ©rence crĂ©dible qui permettra de ne pas s’écarter de l’organisation monĂ©taire afin d’émettre de la monnaie. C’est pour cela que je mentionnais dans le prĂ©cĂ©dent chapitre de prendre en rĂ©fĂ©rence le territoire national comme garantie de l’émission de monnaie, mais il peut ĂȘtre envisagĂ© d’autres types de garanties, puisque Ă  l’origine la monnaie n’est qu’un moyen facilitant l’échange[147]. Échange Ă©rigĂ© sur un capital confiance rĂ©ciproque entre les hommes dans leurs relations commerciales, et ce, pour en accepter la pratique[148]. Aujourd’hui, la monnaie sous ses diverses formes est une marchandise gĂ©rĂ©e par des spĂ©cialistes, dont la comprĂ©hension des mĂ©canismes Ă©chappe Ă  la plupart d’entre nous bornons donc Ă  accorder notre confiance aux institutions financiĂšres existantes la plupart privĂ©es constituant un passage hier comme aujourd’hui, nous disposons de la capacitĂ© de crĂ©er de la monnaie Ă  tout moment. Il suffit pour cela d’échanger un bien ou un service contre une reconnaissance de dette, sous rĂ©serve de ne jamais la convertir, et de la faire circuler. Cela nĂ©cessite comme je l’ai dĂ©jĂ  mentionnĂ© un rapport de confiance entre agents Ă©conomiques. C’est ce que font les utilisateurs du sel et de la pomme » ; c’est ce qui se fait avec les effets de commerce, les billets Ă  ordre, la je fais cette observation, ce n’est pas pour pousser Ă  l’insurrection monĂ©tariste, mais pour indiquer que devant l’hĂ©gĂ©monie des marchĂ©s financiers peuvent se dĂ©velopper des circuits parallĂšles, et Ă©galement pour indiquer que les citoyens de n’importe quel État, et mĂȘme une entente entre un nombre suffisant d’États, pourraient se livrer Ă  une rĂ©volution monĂ©taire, ce qui serait une aussi pour soutenir que l’argument, l’argent est le nerf de la guerre », n’est qu’une capitulation de la rĂ©flexion devant l’ parce que nous savons tous que l’ignorance se façonne des idoles, et qu'elles survivent grĂące Ă  la crĂ©ation de leurs que je veux dire, c’est qu’un peuple intelligent, qui n’existe pas aujourd’hui, sans argent au sens de nerf de la guerre », peut affronter n’importe quelle adversitĂ© sans passer par une motivation demain un illuminĂ© parvenait Ă  convaincre les pauvres de notre planĂšte d’entreprendre un exode vers les pays riches, que ferions-nous ?Ce qui nous sauve de cela, c’est que l’ignorance va avec la pauvretĂ©, et rĂ©ciproquement, et les pauvres dans leur ignorance sont les premiers Ă  rĂ©clamer ou inventer des idoles. Ils sont encore les premiers Ă  s’enfermer dans des espaces Ă  la mesure de leur comprĂ©hension, ou de leur n’échappons pas Ă  cette rĂšgle, car dĂšs qu’un Ă©vĂ©nement dĂ©passe notre comprĂ©hension, nous verrouillons notre intellect dans des paramĂštres qui nous rassurent. Non parce que l’intelligence nous fait dĂ©faut, mais seulement parce que nous sommes ignorants des connaissances que nous n’avons pas acquises. La dĂ©monstration Ă©vidente de la limite de notre intelligence contemporaine est contenue dans l’expression, l’argent est nerf de la guerre ».C’est pour cela qu’aujourd’hui, les centres de circulation ou de crĂ©ation de monnaie comme moyens d’échanges deviennent des temples du pouvoir financier, et certains Ă©conomistes, les encenseurs actuels d’une devons Ă©galement reconnaĂźtre que plus cette croyance se dĂ©veloppe, plus notre intelligence socialisante s’atrophie ou se conditionne. Nous glissons alors vers un plus grand besoin de croyances, car nous avons cru et croyons en des contes de comptes, et comme Socrate le disait En lisant seulement dans des livres nos souvenirs, nous croirons ĂȘtre Savants P. 88. C’est cela que nous faisons, nous lisons notre existence dans des livres de comptes et nous croyons ĂȘtre cela nous sommes atteints dans ce domaine du mĂȘme syndrome que les religieux qui refusent de réécrire ou rĂ©interprĂ©ter leur livre rĂ©vĂ©lĂ©. Livres qui, Ă©crit ou rĂ©vĂ©lĂ© pour donner la vie, sous certaines lecture creusent des tombeaux. C’est ainsi que nous, nous refusons de remettre en cause la comptabilisation de notre activitĂ©, parce que des prĂȘtres de l’économie » nous disent qu’il ne peut pas en ĂȘtre autrement.
 comme un moyen
Cette ignorance, Ă  laquelle je fais allusion, est celle de l’aveuglement Ă  ne pas admettre que nous avons la capacitĂ© et les moyens de gĂ©nĂ©rer un dĂ©veloppement durablement harmonieux ». Pour cela, il nous faut regarder la monnaie sous son aspect le plus productif, comme un moyen, et non comme une fin. C’est Ă  dire un moyen de produire des biens et des services comme but de libĂ©ration, et non d’ la complexitĂ© humaine, nous avons fait de la croissance notre arbitre tutĂ©laire, laissant Ă  la monnaie Ă©lĂ©ment fictif, le soin de rĂ©guler notre suivons en cela notre Culture » qui nous emmĂšne Ă  culturaliser» des comportements conflictuels considĂ©rĂ©s Ă  cause d’elle, comme innĂ©s, parce qu’inscrit dans le conscient profond qui, s’ils ont Ă©tĂ© l’élĂ©ment dĂ©tonnant au sein de notre progrĂšs peuvent nous ĂȘtre mortels si nous poursuivons notre Ă©volution sur le seul critĂšre de la confrontation violente et irraisonnĂ©e pour l’obtention de le fallait, nous dĂ©montrons par-lĂ , malgrĂ© toutes nos crĂ©ations, notre insuffisance intellectuelle Ă  intĂ©grer dans nos concepts sociĂ©taux » que nous ne sommes que les maillons d’une Ă©volution hĂ©ritant Ă  notre naissance de la charge de vivre et ce, en toute que notre maturitĂ© intellectuelle a du mal Ă  assumer, parce que nous l’avons dĂ©couverte depuis peu, parce que ne vivons pas assez longtemps pour la dĂ©velopper au travers de l’apprentissage, parce qu’elle repose sur une organisation intellectuelle fragile, parce que nous avons du mal Ă  extirper les archaĂŻsmes religieux, parce que nous ne consacrons pas assez de temps Ă  nous connaĂźtre, et enfin, parce qu’elle nous fait peur, car si nous Ă©tions les maĂźtres de l’univers, nous arrĂȘterions son expansion pour nous ignorer les mĂ©rites revenant au dĂ©veloppement Ă©conomique qui a contribuĂ© Ă  une meilleure connaissance de notre existence, nous pouvons tout de mĂȘme noter que l’intellectualisme[149] spirituel la rĂ©flexion sur les expressions de notre pensĂ©e s’appauvrit ou/et ne peut pas rĂ©sister face Ă  l’attrait de la monnaie ne se vend pas. Il semblerait qu’ainsi nous ayons mis la main sur la sociĂ©tĂ© parfaite, pourvu que nous puissions intelligemment l’expliquer est difficile d’admettre pour certains d’entre nous, que notre cerveau soit remplacĂ© par un tiroir caisse, et que nous nous laissions diriger Ă  l’excĂšs par jusqu’à ĂȘtre conscient des catastrophes que nous avons mis en marche, et que nous refusons d’accepter comme rĂ©elle sauf pour une minoritĂ© dans une sorte de fatalisme mystique par un replie jugĂ© Ă©gocentrique entraĂźnant une dyslexie » du monde.
non y ait des hommes riches, Ă  ne plus savoir que faire de leur richesse, n’est pas qui l’est, c’est que nous pensions qu’ils doivent se dĂ©faire de leur richesse pour que d’autres puissent l’ĂȘtre, et ce faisant nous contribuons au maintien de leur richesse, car nous avons créé un processus oĂč ils rĂ©cupĂšrent ce qui leur a Ă©tĂ© pris, et parfois qui l’est, c’est qu’étant riche ils se croient investi du droit divin » qu’offre la monnaie, d’un pouvoir de dĂ©cision sur la vie des qui l’est, c’est qu’il y en ait qui soient dĂ©munis par le simple fait qu’à un moment ou Ă  un autre de leur existence, ils se trouvent Ă©cartĂ©s de cette richesse. Ceci, parce qu’un systĂšme normatif et rĂ©gulateur le plan comptable, conduit Ă  se passer du prix de la force du travail humain. Cela, parce qu’à un moment de cette comptabilisation nous interprĂ©tons notre force de travail comme un coĂ»t, alors qu’elle en est la richesse, et ce, pour deux parce qu’elle s’ajoute au capital et qu’il conviendrait donc de dĂ©terminer un facteur comptable qui la dĂ©finisse, afin que cette force de travail figure en apport de que dans notre logique, ou dans ce qui est admis comme tel, nous croyons que nous payons par le revenu notre force de travail, mais en fait nous ne rĂ©munĂ©rons que notre capacitĂ© de consommer, c’est Ă  dire, seulement le dĂ©sir de possĂ©der un bien en Ă©change d’un autre et rĂ©ciproquement.Ainsi, toutes les discussions autour de la rĂ©munĂ©ration de la force de travail ne sont que du vent », sauf si nous nous dĂ©cidons Ă  la comptabiliser en Énergie, puisque cela nous est techniquement possible, contrairement au siĂšcle raison tenant Ă  ce que notre force de travail consomme et utilise ce que produit le capital, y compris le capital lui-mĂȘme, qui concourt au dĂ©veloppement et Ă  l’accroissement des capacitĂ©s de cette force de travail machines-outils, Ă©tudes ou Ă  son remplacement robotique. Ainsi, sans remettre en question le capital, celui-ci se verrait accru de l’apport de celui de chaque individu, et nous sortirions de cette forme de mendicitĂ© que sont les participations en tous genres, car en plus de trente ans d’expĂ©riences, il n’y a bien que les employeurs qui y ceux qui opposent la certitude de la pleine et entiĂšre responsabilitĂ© personnelle comme auteur des choix que nous effectuons, il est bon de rappeler ce que j’ai indiquĂ© dans mes propos. C’est Ă  dire qu’il n’existe aujourd’hui aucun espace disponible, pour qu’un ĂȘtre puisse se dĂ©velopper en dehors du groupe, et dire d’une dĂ©cision qu’elle a Ă©tĂ© prise librement signifierait qu’elle n’est pas strictement dĂ©terminĂ©e par ce qui l’a prĂ©cĂ©dĂ©e note 42, or vivant dans le groupe cela est impossible, ce qui rĂ©duit d’autant cette responsabilitĂ© personnelle qui nous plaĂźt tant, parce qu’elle nous dispense de nous interroger sur la nĂŽtre, que nous reportons sur l’autre, l’Homme ne s’est jamais bĂąti une aussi belle excuse consĂ©quence, si quand nous naissons nous hĂ©ritons malgrĂ© nous, de la responsabilitĂ© d’assurer l’évolution de notre espĂšce, il n’en est pas de mĂȘme du phĂ©nomĂšne d’exclusion que nous construisons, et auquel il nous appartient d’apporter une sans laquelle, les exclus, Ă©tant en parfaite harmonie avec les lois naturelles » si chĂšres au libĂ©ralisme, peuvent aller se servir pour survivre, mĂȘme par la violence, lĂ  oĂč se trouvent les richesses, parce que leur innĂ©e gĂ©nĂ©tique a Ă©tĂ© faite pour cela, pour qu’ils survivent. Sauf Ă  pratiquer l’eugĂ©nisme, Ă  leur retirer les gĂšnes qui les motivent Ă  survivre, il n’y a pas de solution en dehors de la ne dis pas cela pour inciter Ă  la violence, mais seulement pour indiquer, et faire comprendre que nous ne pouvons tout Ă  la fois nous approprier, et les territoires, et les richesses qu’ils fournissent au bĂ©nĂ©fice de quelques particuliers et collectivitĂ©s, afin d’en interdire l’accĂšs Ă  ceux qui ne possĂšdent pas un moyen d’échange, et se plaindre que les exclus ont tort d’avoir faim, sous prĂ©texte que les assister » reprĂ©sente une charge qui rĂ©duit les les critĂšres mĂ©ritocratiques » ne peuvent suffire Ă  contenir l’innĂ© poussĂ© dans ses que mes propos ne soient pas mal interprĂ©tĂ©s, je vais rappeler la notion de loi naturelle de Locke, reformulĂ©e par Thomas Paine dans son ouvrage les droits de l’homme » 1791/Belin, 1987, axiome[150] du libĂ©ralisme lockĂ©en qui a inspirĂ© la dĂ©claration amĂ©ricaine des droits.Les droits naturels sont ceux qui appartiennent Ă  l’homme en raison de son existence de cette nature sont tous les droits intellectuels ou droit de l’esprit, comme aussi tous les droit d’agir comme individu, pour sa propre satisfaction et pour son bonheur, en tant qu’il ne blesse pas les droits naturels d’autrui ». Cette notion de loi naturelle est un axiome, une Ă©vidence, facilement comprĂ©hensible jusqu’à son bonheur », car ensuite, Ă  partir de en tant qu’il ne blesse les droits naturels d’autrui », c’est notre nature culturelle » le fait social qui va fixer les rĂšgles, particuliĂšrement celles qui vont consister Ă  apprĂ©cier Ă  partir de quand les droits des uns blessent les droits des autres. Plus simplement cet axiome peut se rĂ©sumer ainsi chaque animal humain parce qu’il EST, tient les moyens de vivre devant un autre », ou chaque hominoĂŻde par son innĂ©, tient les moyens de vivre devant un autre », et comme chacun peut le comprendre, ce n’est pas parce que nous avons dĂ©fini qu’est naturel ce qui est naturel, que cela suffit aujourd’hui Ă  expliquer les choses, car, du moins dans les dĂ©mocraties, nous ne sommes plus dans le contexte du 17 et 18 iĂšme siĂšcle sous l’absolutisme, oĂč les hommes Ă©taient considĂ©rĂ©s comme des sujets, et oĂč leurs Ă©mancipations du droit divin avaient un pour cela qu’aujourd’hui, devant la complexitĂ© mĂȘme de cet axiome, la science nous a apportĂ© quelques notions de ce que nous sommes. La physique que nous sommes des particules identiques condamnĂ©es Ă  s’associer, n’ayant aucune existence individuelle en dehors des autres dans un monde sensible relatif au dĂ©sordre stable, et la biologie que nos gĂšnes sont conçus pour assurer notre survie, et que nous sommes un ĂȘtre Ă©motionnel rĂ©actif impulsif sensible avant d’ĂȘtre un lent permet de comprendre que cet axiome peut ĂȘtre lui-mĂȘme porteur d’absolutisme individuel, Ă  partir d’une part de toutes les rĂšgles qui s’en sont inspirĂ©es, particuliĂšrement celles qui organisent la soumission, mĂȘme contractuelle, car elles sous-entendent un rapport de force inĂ©gal entre les possĂ©dants et les autres, Ă  moins de s’associer d’égal Ă  Ă©gal,Et d’autre part, des rĂšgles mĂ©ritocratiques qui ne parviendront pas Ă  convaincre celui qui n’a rien qu’il doit disparaĂźtre, au motif qu’il n’a pas mĂ©ritĂ© ce qu’il convoite chez les d’autant plus qu’aujourd’hui les moyens de communication en supprimant les cloisonnements, en Ă©talant la richesse, ne peuvent que susciter les dĂ©sirs, et qu’y a-t-il de plus naturel en cela, Ă©tant donnĂ© que c’est ce qui commande notre pour cela que je disais dans le paragraphe prĂ©cĂ©dent qu’il fallait dĂ©finir une valeur capitalisable de la force de travail, justifiĂ© par, ce que l’on EST, et dont nous tenons de vivre, qui, quand elle ne se capitalise pas sous forme de force de travail, se capitalise sous forme de part, n’oublions pas que sur six milliards d’ĂȘtres humains, tout juste plus d’un milliard mange parfaitement Ă  sa faim rassasiĂ©, et que nous ne pourrons pas Ă©ternellement contenir Ă  nos frontiĂšres la poussĂ©e des milliards d’ l’instar de l’empire romain aux frontiĂšres duquel les barbares,[151] qui l’ont envahi, se encourons le mĂȘme risque, mĂȘme si notre puissance militaire ne laisse passer que les clandestins, car les Ă©trangers » s’arment Ă©galement, idĂ©ologiquement, militairement, Ă©conomiquement, et - L’argent comme but est une illusion dangereuse s’il se dogmatise Ă  l’ comme but est une illusion
J’ai certes pris un schĂ©ma rĂ©ducteur pour formuler cette responsabilitĂ© individuelle et collective qui nous incombe, parce que les moyens d’informations et de communications nous permettent d’en prendre conscience, sauf Ă  vouloir les ignorer, et mĂ©connaĂźtre que l’utilisation de la monnaie au travers de ses systĂšmes financiers et des thĂ©ories monĂ©taires y joue un le cas d’une banque qui consent un prĂȘt, elle en exige le remboursement, plus les coĂ»ts de gestion, de rĂ©serve et de rĂ©munĂ©ration de placement. Est-ce une obligation incontournable que d’en demander le remboursement ?Non ! La banque pourrait se refinancer pour ses besoins auprĂšs d’un organisme Ă©metteur de monnaie, et l’emprunteur ferait disparaĂźtre de ses comptes sa ! Mais celui qui place son argent en banque pour avoir des intĂ©rĂȘts, et bien il n’en recevra pas, la banque se bornera Ă  lui tenir ses comptes. Cela ne cause aucune gĂȘne, puisque le crĂ©dit est libre, il n’y a pas Ă  craindre de voir se crĂ©er un marchĂ© parallĂšle, qui serait assez fou pour aller payer ce qu’il peut avoir alors tous les hommes vont aller emprunter ?Bien sur ! Ils pourraient mĂȘme ne plus aller travailler Ă©tant donnĂ© que le crĂ©dit est gratuit, et acquĂ©rir tous les biens qu’ils dĂ©jĂ  indiquĂ© que si le rĂȘve de tout employeur Ă©tait d’avoir des salariĂ©s qui travaillent gratuitement, celui de tout homme, n’est-il pas d’ĂȘtre riche ?Vous voyez c’est facile, il suffit de libĂ©rer totalement le crĂ©dit, ce qui serait plus intĂ©ressant, ce serait de savoir combien de personnes s’y opposeraient, et quelles seraient leurs motivations compte tenu de la place qu’occupe l’argent je ne dis pas monnaie dans le conscient collectif. Nous pouvons en avoir un petit aperçu par le nombre de joueurs aux jeux d’argent sans mĂ©connaĂźtre le rĂŽle du rĂȘve dans notre existence, et le besoin de jouer.Tout le monde a compris que nous rĂ©gresserions en un Ă©clair, et que l’illusion que l’argent » la monnaie est la richesse », brĂ»lerait comme un feu de paille. Il semblerait donc qu’il soit nĂ©cessaire de faire l’apologie du cela qu’ont essayĂ© de rĂ©aliser l’ex URSS et la Chine MaoĂŻste, en l’imposant par un encadrement leurs Ă©checs n’enlĂšvent rien au nĂ©cessaire besoin de comprendre que nous travaillons pour produire nos biens et services, dont nous retirons la prolongation de notre existence, mĂȘme si nous pouvons souhaiter nous faire remplacer Ă  terme dans cette tĂąche, et non pour fabriquer de l’argent.
 dangereuse
Mais, tel n’est pas notre comportement. A partir d’une satisfaction physiologique lĂ©gitime, il s’agit de trouver ce qui pourra satisfaire une demande ou constituer une offre contre de l’argent, ceci jusqu’à l’excĂšs, et pour cela, nous sommes arrivĂ©s Ă  nous regarder comme une lors, dans ce contexte nous ne dĂ©veloppons pas nos facultĂ©s ou nos capacitĂ©s, nous dĂ©veloppons notre capital humain ». Je n’ai rien contre, mais la nuance se situe dans le vocable, et dans le choix des aptitudes que nous sĂ©lectionnons, et qui nous conduisent Ă  privilĂ©gier un dĂ©veloppement intellectuel comptable, nous rendant ainsi dĂ©pendant d’un outil, la monnaie, qui devrait avoir comme fonction de nous ordonner, de nous comprendre et d’évoluer ensemble, rester un langage » de communication.
s’il se dogmatise
Dans l’élaboration historique d’un schĂ©ma abstrait ou culturalisĂ© », la difficultĂ© consiste Ă  saisir l’instant oĂč, un concept quel qu’il soit devient dogmatique, perdant ainsi le bĂ©nĂ©fice de son idĂ©e gĂ©nitrice. Il en est ainsi du libĂ©ralisme Ă©conomique qui, ayant dĂ©montrĂ© son utilitĂ©, se dogmatise, Ă©tendant ses rĂšgles Ă  des Ă©conomies qui ne peuvent pas les effet, nous ne pouvons demander Ă  certains d’entre eux de faire en quelques annĂ©es, une rĂ©volution industrielle qui nous a exigĂ© deux siĂšcles. De plus, nous ne pouvons pas leur demander d’inventer des matiĂšres premiĂšres que leur territoire ne possĂšde ce n’est pas le concept qui le plus souvent est en cause, mais les hommes qui l’imposent par dogme ou l’instrumentalisent par intĂ©rĂȘt, le rendant ainsi difficilement rĂ©formable ou adaptable, comme c’est le cas au travers de l’utilisation de la monnaie, ou dans l’acquisition de la devise de rĂ©fĂ©rence le dollar dans les Ă©changes entre pays plus ou moins riches.
à l’ ne concevant la circulation de la monnaie que comme contre partie d’un bien ou service marchand nous poussons chacun d’entre nous Ă  tout vendre, y compris son propre corps. Et lĂ , je ne pense pas particuliĂšrement Ă  la prostitution[152], mais aux ventes d’organes, d’enfants, Ă  tout ce qui peut ĂȘtre considĂ©rĂ© comme le patrimoine de l’humanitĂ©, Ă  tout ce qui peut, par sa vocation humanitaire ĂȘtre sorti du service marchand, c’est Ă  dire tout ce qui permet Ă  l’homme de vivre, et de prĂ©server sa peut paraĂźtre excessif, pourtant, si nous n’y prenons garde, nous achĂšterons un jour le droit de vivre sur catalogue dans l’entreprise X. C’est le risque du clonage humain, des cliniques et hĂŽpitaux privĂ©s, je ne veux pas nier par-lĂ  qu’il y a des hommes de haute conscience humaine pour gĂ©rer de tels organismes, ce que je veux dire c’est que la comptabilisation actuelle ne conduit pas Ă  avoir un monde dupliquĂ©, c’est le conduire Ă  l’extinction car la vie naĂźt de l’interaction et du mĂ©lange. L’arrĂȘter serait se suicider, car le clonage d’humain n’est qu’une multiplication vĂ©gĂ©tative[153], d’autant plus que nous avons, par de meilleures conditions de vie, modifiĂ©e depuis longtemps la sĂ©lection naturelle » permettant au plus faible de vivre, de se multiplier ou de se bonifier au hasard des croisements gĂ©nĂ©tiques. Nous suspendons de plus en plus nos existences Ă  notre technicitĂ©, Ă  notre savoir, Ă  nos connaissances, de maniĂšre que tout recul, ou retour en arriĂšre serait dramatique. Il faudra bien un jour que nous envisagions de revoir la maniĂšre dont nous comptabilisons notre activitĂ© humaine, pour ne pas le ne fantasme pas. Dans un autre domaine, dĂ©jĂ  certains États parlent d’acheter le droit de polluer. Je ne fais pas Ă©tat de formalisme en l’espĂšce. Mais, nous sommes bien obligĂ©s de constater, que nous confions Ă  la monnaie le soin d’arbitrer des problĂšmes qui relĂšvent de la conscience humaine. Parce que, comme je l’ai dĂ©jĂ  dit certains d’entre nous ont remplacĂ© leur intelligence par un tiroir caisse, ne donnant aucune limite Ă  la loi du marchĂ©. Ce que je veux dire, c’est que pour prĂ©server une rentabilitĂ© du capital au travers d’une organisation monĂ©taire, nous mettons en balance, le risque des dĂ©ficits d’une politique budgĂ©taire pour financer le traitement de nos dĂ©chets et pollution, car ils sont comptabilisĂ©s comme un surcoĂ»t, face Ă  la vie de l’espĂšce. Il faudra bien un jour que nous comprenions, que ce qui fait notre individualitĂ©, n’est pas que nous puissions nous dĂ©compter dans notre plus petite unitĂ©, et nous personnaliser, mais bien notre espĂšce. Et il faudra aussi que nous regardions nos dĂ©chets et pollutions, comme nous regardons nos pathologies, comme la pathologie d’une espĂšce au travers de tel comportement, que nous pouvons dire que le systĂšme libĂ©ral conduit Ă  des excĂšs, et qu’il indique contrairement au sens de son thĂšme libĂ©ralisme que nous nous rendons esclave de certains de nos sens, et qu’il a atteint un apogĂ©e, car il ne reste plus grand chose Ă  marchandiser », Ă  part l’ puisque je suis dans l’excĂšs, autant poursuivre. J’ai dĂ©jĂ  dit que rien n’est dĂ» au hasard ni dĂ©terminĂ©, car tout est crĂ©ation Ă  partir d’un ordre sous-jacent, d’une loi d’unification, de Dieux, je ne veux oublier personne. Et il apparaĂźt que presque chaque espĂšce s’acculture et se succĂšde, sans que nous ayons pu en dĂ©finir les modalitĂ©s, sauf Ă  les expliquer par des changements environnementaux, le dĂ©luge et autre pour les croyants. Pourtant, s’il y a eu transformation, mutation, apparition, il fallait bien que quelque chose en soit porteuse. Sauf Ă  concevoir une agression extĂ©rieure subite, qui peut ĂȘtre porteur de cette capacitĂ© d’évolution de l’espĂšce ? Sinon allons jusqu'Ă  l’excĂšs, essayons d’imaginer ce qui nous pousse vers les excĂšs du systĂšme libĂ©ral comme facteur d’une Ă©volution dans l’écosystĂšme ». La premiĂšre des choses que nous allons faire sans y penser, c’est y rĂ©flĂ©chir. Puis nous allons essayer de comprendre, et de rĂ©pondre Ă  la question, mais nous le ferons par rapport Ă  notre Savoir, Ă  notre apprentissage bĂąti d’informations la question est suffisamment ouverte, nous l’analyserons Ă  la vue de nos propres dĂ©sirs, et nous ne nous Ă©viterons pas de passer par le schĂ©ma instrumentaliste, l’argent, et cela que nous ayons ou non donnĂ© une rĂ©ponse Ă  la question ; parce que, dans notre existence nous savons que nous allons tenter d’en possĂ©der par tous les moyens. L’argent symbole de la possession aujourd’hui, l’argent qui a Ă©tĂ©, et est une motivation dans la mise en application de techniques polluantes et destructrices, pour satisfaire un dĂ©sir de possession, que nous retrouvons tout au long de notre courte histoire humaine possession serait-elle l’élĂ©ment moteur, le facteur hĂ©rĂ©ditaire de toute Ă©volution qui, quoi que nous fassions, de la simple cueillette comme nos ancĂȘtres, au rĂȘve le plus secret de possĂ©der la vie Ă©ternelle en passant par la mise en Ɠuvre de tous les produits de notre technologie, engendrera l’acculturation pour notre que ce serait cela, face Ă  quoi il faut que nous fassions preuve d’intelligence ?Est-ce ce dĂ©sir qui peut transformer l’émancipation de notre espĂšce, en accĂ©lĂ©rateur de sa mutation ou de sa disparition ?Alors, il y a beaucoup Ă  dire sur la gestion de ce dĂ©sir, et si j’avais une image du comble de sa stupiditĂ© Ă  donner, je choisirais celle du gros qui prend des mĂ©dicaments pour devenir maigre, afin de pouvoir continuer ainsi Ă  manger ce qui le fait donc plus excessif, de penser Ă  aller dans un ECPA pour avoir de l’ mieux cultiver des champs de pavot ou de coca pour avoir de l’argent, produire des armes, continuer Ă  construire des vĂ©hicules polluants plutĂŽt qu’électriques, parce qu’ils nous font perdre quelques minutes, et des masses financiĂšres aux producteurs de pĂ©trole qu’ils pourraient se les procurer par ailleurs etc. ?Faut-il se passer de la capacitĂ© rĂ©cursive budgĂ©taire pour supprimer le coĂ»t rĂ©dhibitoire de la suppression des dĂ©chets et frein, Ă  envisager cela, est le pouvoir de possession qu’offre le systĂšme actuel de comptabilisation, j’en reparlerai plus – Il y a un homme Ă  abattre, l’ignorant que nous portons pour nous y a un homme Ă  abattre
Il ne faut pas perdre de vue que tous les concepts que nous Ă©laborons sont le rĂ©sultat de notre capacitĂ© cĂ©rĂ©brale associative, et que la conception libĂ©rale qui repose sur ce que nous appelons les lois naturelles », n’est donc rien d’autre que le reflet de notre aptitude Ă  rĂ©guler nos sens, Ă  rĂ©guler nos sens pour en extraire ce qui Ă©tablit ce concept libĂ©ral qui s’érige en Loi en s’appuyant sur une vue restrictive des lois naturelles ». Lois naturelles perçues par leurs concepteurs riches et Ă©duquĂ©s dans l’ignorance de leur ce TOUT que nous n’apprĂ©hendons toujours pas aujourd’hui, et dont seulement certains de ses aspects observables, prĂ©sentĂ©s comme fondamentaux par les libĂ©raux, sont exclusifs des l’individualisme et la compĂ©tition qui demeurent des aiguillons indispensables Ă  leurs motivations extrĂȘmes, lesquelles poussent l’homme Ă  regarder l’autre comme, un homme Ă  abattre ». Individualisme et compĂ©tition Ă  l’excĂšs qui dĂ©veloppent entre autres, la suspicion, la mĂ©fiance, le secret, l’égoĂŻsme, engendrent l’irritation et la colĂšre, et nous poussent Ă  possĂ©der des papiers pour prouver que l’on » est bien s’il y a chez homme quelque chose Ă  abattre ce n’est pas lui.... l’ignorant que nous portons
Ainsi, si demain le crĂ©dit Ă©tait libre, ce n’est pas sa libĂ©ralisation qui serait Ă  mettre en cause, mais l’aptitude individualisĂ©e actuelle de l’homme Ă  maĂźtriser son dĂ©sir exacerbĂ©. Son dĂ©sir de se valoriser et dominer par l’accumulation de biens, de son penchant naturel Ă  la paresse de cueilleur primitif, son incapacitĂ© Ă  gĂ©rer l’abondance. Cela, parce que nous sommes ignorants de nous mĂȘme par mĂ©connaissance de notre modeste place dans l’univers, ignorance que nous cachons par l’ diraient incapables d’ĂȘtre raisonnables », de gouverner nos dĂ©sirs. Gouverner, un sens non hĂ©rĂ©ditaire qui se construit, qui se transmet, et lĂ  encore nous laissons Ă  la monnaie le soin de justifier notre pourquoi je disais plus haut que devant la complexitĂ© humaine nous avons capitulĂ©. Nous avons substituĂ© Ă  notre intelligence, la monnaie, considĂ©rant quelle justifie son rĂŽle, parce qu’elle repose sur une norme mĂ©ritocratique » obtenu par le travail.En consĂ©quence de quoi, la monnaie se substitue Ă  notre gouvernement.
 pour nous nous sommes capables de dĂ©finir l’ensemble de biens et de services moyens auxquels peut aspirer un homme dans une sociĂ©tĂ© comme la nĂŽtre. C’est le revenu dont il doit disposer pour y parvenir, tout en lui laissant un usage arbitraire. C’est le rĂŽle tellement contestĂ© du SMIC un des cas oĂč le raisonnement rĂšgne » sur la monnaie, oĂč l’économie doit se plier ou intĂ©grer des exigences rĂ©sumer cette mĂ©ritocratie, je dirais que l’homme qui naĂźt nu, va devoir occuper une place dans un schĂ©ma qui se veut fermer. Un schĂ©ma, dans lequel la clĂ© d’accĂšs est la monnaie, et qu’il devra se la procurer en se conformant Ă  des normes d’acquisitions. Des normes qui le conduiront essentiellement Ă  des dualitĂ©s, plutĂŽt qu’à des complĂ©mentaritĂ©s. Bien que la complĂ©mentaritĂ© fasse partie d’une structure psychologique pour laquelle nous sommes conçus par surcroĂźt, et que nous persistons Ă  vouloir donc incapable de nous soustraire aux limites d’un systĂšme normatif relatif ?Non, bien sur ! Mais toute transformation rĂ©formiste est lente, et se gouverner dĂ©mocratiquement exige de longs dĂ©bats d’ – Mais peut-il y avoir un dĂ©bat d’idĂ©e si nous laissons des mĂ©canismes systĂ©miques rĂ©flĂ©chir Ă  notre place ?Mais peut-il y avoir dĂ©bat d’idĂ©e
Si nous nous rĂ©fĂ©rons Ă  celui qui a animĂ© le vingtiĂšme siĂšcle le libĂ©ralisme contre le communisme, nous pouvons le rĂ©sumer Ă  la mĂȘme opposition qui a donnĂ© naissance au l’espĂšce, il s’agissait pour le libĂ©ralisme de demander Ă  la monarchie de laisser ses sujets libres de s’enrichir par le communisme, lui, rĂ©clamait Ă  ces mĂȘmes commerçants que les travailleurs par le commerce de leur force de travail puissent s’enrichir, conditionnant ce commerce Ă  l’appropriation collective des moyens de production. Il est donc facile de comprendre que les uns refusaient aux autres ce que eux-mĂȘmes avaient le mĂȘme but affichĂ© est l’enrichissement, le libĂ©ralisme a suivi un parcours rĂ©formateur Ă  la suite d’une rĂ©volution expropriatrice de possĂ©dants privilĂ©giĂ©s noblesse. Cela au bĂ©nĂ©fice de particuliers riches bourgeoisie, tandis que le communisme a rĂ©alisĂ© en Russie la rĂ©volution expropriatrice de l’État nobiliaire au bĂ©nĂ©fice de la collectivitĂ© Ă©tatique. Cela Ă  retardement, Ă  contre temps et l’histoire a tranché  pour l’ nous sommes actuellement dans le cadre d’une seule forme de pensĂ©e. Et pour retenir une notion libĂ©rale importante, nous pouvons mĂȘme dire en l’absence de toute pensĂ©e concurrente. Une absence de concurrence idĂ©ologique ou d’expressions de pensĂ©es diffĂ©rentes rĂ©unissant un poids politique suffisant pour offrir une alternative. Comme quoi nous pouvons parfaitement soutenir un concept et nous accommoder d’une position dominante contraire Ă  ce regretter l’absence de dĂ©bat de pensĂ©e ?Les puristes vous diront oui, mais moi je serais plus nuancĂ©, si le dĂ©bat consiste Ă  discuter des moyens Ă  mettre en Ɠuvre pour que tous les hommes deviennent riches en l’état actuel des choses, et du type d’économie que nous dĂ©veloppons. Nous savons que c’est une illusion. Si cela signifie se rĂ©partir la richesse des autres, cela l’est tout autant. Si c’est pour choisir son Roi » cela se comprend, et ne justifie que des passions s’il s’agit de dĂ©battre jusqu’à quelle limite nous devons laisser une fiction[154] » la monnaie nous gouverner, alors lĂ , je le dis fiction pour faire la diffĂ©rence avec le rĂȘve c’est pouvoir un jour espĂ©rer voyager dans l’ fiction c’est de croire que notre salut ne dĂ©pend que de la seule croissance issue de la production de biens et services. Comme le clonage vĂ©gĂ©tal, son effet est rapide, mais son homogĂ©nĂ©itĂ© porte sa le regrette d’autant plus que l’effondrement du communisme a entraĂźnĂ© un recentrage de l’idĂ©al socialiste laissant des vides idĂ©ologiques qui se sont remplis d’acrimonies confessionnelles et le dĂ©bat du Nord contre le Sud est devenu un dĂ©bat du libĂ©ralisme contre l'islamisme ou des chefs de guerre de tout poil, car les pays pauvres, ne trouvant plus d'Ă©chos et de soutiens dans un idĂ©al politique Ă©teint, se sont rĂ©fugiĂ©s dans la religion et l’identitĂ© culturelle pour porter leurs espĂ©rances. Cela, faute de trouver un Nord qui leur propose comme idĂ©al autre chose qu’une exploitation Ă  terme dans laquelle la rĂšgle est de manger les autres. Alors que l’islamisme par exemple leur offre de retrouver une espĂ©rance et une dignitĂ© d’humain et, y dĂ©veloppe une instruction coranique dont nous ignorons ce qu’elle engendrera. Mais une chose est sĂ»re, c’est qu’ils ne sont pas instruits dans l’amour de l’occident.
si nous laissons des mĂ©canismes systĂ©miques rĂ©flĂ©chir Ă  notre nous avons des conflits de dĂ©sirs d’achat, dans bien des situations nous recherchons un arbitrage, c’est encore la monnaie qui nous sert d’arbitre. L’existence de ces encaisses monnaie dont l’on dispose est la preuve que la monnaie est demandĂ©e en tant qu’actif par les agents de l’économie, qu’elle fait partie de la richesse de ces agents, et qu’en tant que telle elle dĂ©termine leurs choix[155] ».Pourtant, si tout un chacun voulait acheter un Airbus et se faire construire un palais de Versailles, et que nous ayons la monnaie nĂ©cessaire, c’est le temps qui nous ferait dĂ©faut. Nous serions loin des 35 h par semaine, car devant effectuer un choix de mode d’existence choisir de travailler toute notre existence durant des gĂ©nĂ©rations pour satisfaire un dĂ©sir qui n’est pas indispensable, qui est le dĂ©sir de possĂ©der au-delĂ  de l’utile, dont chacun est arbitrairement maĂźtre du le cas de figure exposĂ© nous aurions le plein emploi, et la seule difficultĂ© serait de dĂ©finir quel serait l’ordre d’attribution de ces biens, c’est Ă  dire la file d’ rappelle quelques caricatures de l’ancienne Ă©conomie de l’Est. Pourtant dans notre Ă©conomie libĂ©rale cette attente existe, mais ce rĂŽle c’est la monnaie qui le remplit, le rĂ©gule. C’est le rĂŽle de la thĂ©saurisation aujourd’hui l’épargne, de la rĂ©glementation du crĂ©dit. Faute d’argent suffisant nous ne nous dĂ©plaçons pas pour acheter, et cela entraĂźne la baisse des prix. Trop d’argent, nous faisons la queue, et alors les prix montent inflation, et ceux qui n’ont pas assez d’argent restent chez eux. C’est ce fameux Ă©quilibre du marchĂ© qui nous Ă©vite d’avoir Ă  si nous regardons en arriĂšre, et que nous observons toutes les crĂ©ations des hommes, des pyramides aux stations orbitales, nous examinons tout notre potentiel crĂ©atif humain, toute notre capacitĂ© innovante et toute notre rĂ©flexion. D’un regard historique nous y voyons aussi une accĂ©lĂ©ration exponentielle durant ce dernier demi-siĂšcle, due aujourd’hui Ă  la technologie, et je crois que nul ne peut douter de notre capacitĂ© Ă  la rĂ©flexion. Pourtant, il est un domaine qui est Ă  la traĂźne, notre regard sur nous-mĂȘmes, comme si par peur de nous dĂ©couvrir, nous prĂ©fĂ©rions nous abriter derriĂšre des justifications instrumentales, hypothĂ©quant par-lĂ  mĂȘme la possibilitĂ© d’une sociabilitĂ© plus rapide, en laissant le soin Ă  des mĂ©canismes financiers de nous – Nous nous laissons gouvernĂ© par une monnaie qui donne le pouvoir, Ă  qui se l’approprient et nĂ©vrose les nous laissons gouverne par une monnaie qui donne le pouvoir
Cependant la question est de dĂ©terminer le rĂŽle de la monnaie dans cette Ă©volution, car le potentiel humain est le mĂȘme qu’aujourd’hui que du temps des pharaons, et il n’y a pas d’observation notable de notre Ă©volution cĂ©rĂ©brale sont donc certainement nos structures sociales qui ont jouĂ© un rĂŽle dĂ©terminant dans tout ce qui fut utile ou effet, durant de longs siĂšcles toutes les initiatives personnelles devaient se trouver un blanc seing de la part du dominant pour naĂźtre, et recueillir les moyens de sa mise en bien que mĂȘme en possĂ©dant les moyens, il Ă©tait difficile de mener Ă  bien une rĂ©alisation qui enfreignait les rĂšgles de l’idĂ©ologie dominante du moment. C’est le propre de toute pensĂ©e inquisitrice, dont notamment celle qui a existĂ© dans les anciens pays de l’Est oĂč il fallait penser de cette contrainte statutaire, il restait Ă  dĂ©velopper les moyens. Les banques et les marchĂ©s financiers les ont fournis en crĂ©ant de la monnaie. De ce fait, la libertĂ© d’entreprendre et les moyens disponibles, de maniĂšre rĂ©sumĂ©e, ont conduit Ă  notre essor avec tous les soubresauts que nous lui le pouvoir a glissĂ© vers ceux qui dĂ©tiennent les moyens de crĂ©er de la monnaie, conditionnant de fait les dĂ©cisions politiques.
 Ă  qui se l’approprie
Or, cette libertĂ© d’entreprendre ne dit pas qu’elle s’applique sous une forme restrictive. C’est Ă  dire que pour disposer des moyens il faut, soit les avoir, et dans ce cas nous pouvons nous construire un Airbus ou un Versailles, sinon il faut les obtenir auprĂšs d’un prĂȘteur, la banque d’émission en gĂ©nĂ©ral ou les marchĂ©s financiers. Ces derniers nous accorderons les moyens demandĂ©s en fonction du risque que reprĂ©sente le projet, ou de l’anticipation d’une rĂ©alisation de profit sur les marchĂ©s au fil du temps est survenu un transfert du rĂŽle inquisiteur si contestĂ© des dominants politique, vers les organismes financiers, qui Ă  leur tour se justifient de leur rĂŽle inquisiteur par la loi du ainsi que les banques centrales se sont Ă©mancipĂ©es du pouvoir politique, et dĂ©tiennent par la libĂ©ralisation des capitaux et la fixation des taux d’intĂ©rĂȘts des banques centrales indĂ©pendantes, celui de s’opposer Ă  toutes les autres orientations Ă©conomiques qui lui seraient ainsi que des dĂ©tenteurs de masse financiĂšre peuvent fragiliser des sommes donc, Ă  notre insu ou avec une acceptation rĂ©elle ou confuse, passĂ©s en quelques siĂšcles de la domination d’une noblesse divine Ă  celle d’une noblesse les mĂȘmes causes produisant les mĂȘmes effets, nous aurons notre Ă©niĂšme rĂ©volution », ce n’est qu’une question de consĂ©quence, la monnaie a suivi un parcours qui, de sa seule fonction d’échange l’a conduite Ă  occuper un pouvoir politique. Cela illustre Ă©galement l’illusion des pouvoirs dĂ©mocratiques qui ne brassent que des mots, faute de se donner les moyens d’avoir de la monnaie et donc d’ĂȘtre donneur d’ordre, et subissent ainsi la dictature des marchĂ©s dirait certains ; moi je vise plutĂŽt la dictature du suicide Ă©goĂŻste, auquel s’ajoute parfois le suicide altruiste pour le justifier[156].De maniĂšre, que tous les projets sociaux relevant de la solidaritĂ© nationale ou de la communautĂ© se voient contestĂ©s, sauf Ă  s’inclure dans un systĂšme marchand producteur de profits La SĂ©cu, les Retraites, projets de sociĂ©tĂ© etc..De maniĂšre que les secteurs non rentables tombent dans le don et la charitĂ©, qui par le pouvoir des mots sont devenus la capacitĂ© des individus Ă  prendre des initiatives pour s’entraider. Si je fais cette analogie, ce n’est ni pour nier ni pour minimiser ni pour fustiger la solidaritĂ© et la prise d’initiative dont fait preuve autant ceux qui donnent que ceux qui organisent, mais c’est pour souligner qu’elle s’adresse en rĂšgle gĂ©nĂ©rale, et presque toujours, Ă  ceux qui ont le moins de ressources parmi les particuliers. Il n’y a rien de pĂ©joratif dans mon propos, car ces initiatives donnent parfois corps Ă  d’authentique institution, l’histoire de la naissance de la sĂ©curitĂ© sociale en est l’exemple le plus flagrant ou la croix rouge ; tandis que ceux qui disposent de la concentration des moyens financiers subventionnent sponsoring les rĂȘves Ă©litistes et autres, en rĂȘvant aux bĂ©nĂ©fices publicitaires de leur aide, puisque ce sont les clients qui achĂšteront la subvention. Ainsi, toute une activitĂ© socioculturelle passe sous le pouvoir de leurs mĂ©cĂšnes, ou des groupes industriels qui acceptent de financer sous cette forme une activitĂ© socioculturelle, qu’ils refuseraient de financer sous la forme d’un impĂŽt. La diffĂ©rence est notable, d’un cĂŽtĂ© on conserve le pouvoir que confĂšre la monnaie, de l’autre on le perd au bĂ©nĂ©fice de la n’y a aucune malveillance Ă  comprendre dans mon propos malgrĂ© des dĂ©rives, comme celles qui touchent au dopage dans le monde sportif, mais plutĂŽt comprendre qu’au travers d’une dĂ©pendance financiĂšre, suivant ses formes, l’on peut perdre son autonomie d’initiative, y compris la dĂ©mocratie effective, au profit de ceux qui s’approprient le pouvoir d’émettre de la monnaie et de contrĂŽler sa circulation, et c’est moins un ou des individus qu’un systĂšme.
et nĂ©vrose les que j’aie expliquĂ© le caractĂšre fictif » de la monnaie, et reconnu sa fonction essentielle, nous la regardons tellement avec des yeux de ChimĂšne, qu’elle est devenue notre prison. Cela, comme si sans elle, il n’y avait plus de imaginer que notre intelligence pourra prendre conscience de ses capacitĂ©s socialisantes[157] paraĂźt relever du fantasme, tant notre violence culturalisĂ©e » nous effraie, et mĂȘme imaginer un monde sans monnaie, c’est frĂŽler l’asile comme si sans monnaie, nous ne pouvions plus apprendre, plus produire, plus crĂ©er, plus aimer ou dĂ©tester. C’est lĂ  toute la limite, entre utiliser un outil le langage Ă©conomique, et croire ne dĂ©pendre que de cet outil jusqu’à en faire un guide c’est lĂ  aussi une source de nĂ©vroses individuelles ou collectives. Individuelle pour tous ceux qui peuvent ou ne peuvent accĂ©der Ă  la monnaie, et qui se construisent des univers personnels. Collective pour des sociĂ©tĂ©s entiĂšres qui s’opposent des schĂ©mas culturels auxquels ils voudraient que les autres adhĂšrent, dont l’histoire rĂ©cente de l’Iran est l’exemple me semble important de dĂ©finir briĂšvement ce que j’entends par comme toutes les autres espĂšces, communique avec son environnement. Son environnement n’est pas seulement la planĂšte terre avec ses habitants mais tout l’univers, et nous rĂ©agissons comme un Ă©metteur rĂ©cepteur. Donc notre bon fonctionnement dĂ©pend de ce que nous puissions parfaitement Ă©mettre et recevoir. Ainsi chaque fois qu’une partie de ces fonctions est altĂ©rĂ©e, il y a dysfonctionnement et dyscommunication » ou dysharmonie bruits.L’altĂ©ration peut provenir aussi bien de notre environnement que de nos semblables, que de la culture dĂ©veloppĂ©e par les sociĂ©tĂ©s que nous formons leurs normes, et la diversitĂ© culturelle fermĂ©e et exclusive.Ainsi, bien rĂ©ussir sa vie comme nous le disons », dĂ©pend de notre facultĂ© Ă  concevoir un langage qui est l’expression de nos sens Ă©metteur, qui peut ĂȘtre reçu sans distorsions rĂ©cepteur, et chaque fois que nous Ă©mettons un message qui n’est pas reçu, compris, refusĂ© ou dĂ©formĂ© nous le refoulons, et son intĂ©riorisation constitue une nĂ©vrose entraĂźnant le repli sur soi qui dĂ©forme les messages Ă©mis ou reçus avec l’ nombre important de nĂ©vroses ou une profonde nĂ©vrose entraĂźne une tendance Ă  se crĂ©er un monde Ă  soi, Ă  s’isoler[158].Pour Sigmund Freud, la nĂ©vrose est caractĂ©risĂ©e par le fait, qu’elle donne Ă  la rĂ©alitĂ© psychique le pas sur la rĂ©alitĂ© de fait, qu’elle rĂ©agit Ă  l’action des idĂ©es avec le mĂȘme sĂ©rieux avec lequel les ĂȘtres normaux rĂ©agissent devant les rĂ©alitĂ©s ». Totem et Tabou, Ă©dition Payot 1965, p 223.A la longue, ces dysfonctionnements provoquent d’authentiques complexes d’infĂ©rioritĂ©, de culpabilitĂ© ou /et des angoisses, qui consument une plus grande quantitĂ© d’énergie interne sans en recevoir de l’extĂ©rieur par le relationnel, et conduisent Ă  de graves maladies paranoĂŻa et schizophrĂ©nie[159].En consĂ©quence je peux dire que pour les sociĂ©tĂ©s ou les États il en est presque de mĂȘme[160], c’est l’incommunicabilitĂ© des diversitĂ©s culturelles. Cette incommunicabilitĂ© entraĂźne la perception de l’autre comme Ă©tranger, l’obsession de l’agression, l’hĂ©gĂ©monie comportementale, l’ comportements nĂ©vrotiques dus Ă  la peur engendrent les guerres qui consument l’énergie de ces États ou ces SociĂ©tĂ©s. Énergie que sont les vies humaines, pour conduire Ă  une maladie grave, la misĂšre. Pourtant dans encore beaucoup d’esprits grĂ©gaires la guerre et la misĂšre sont prĂ©sentĂ©es comme une rĂ©gulation naturelle », lĂ , oĂč il n’y a que les consĂ©quences de la recherche d’une conquĂȘte Ă©conomique et la prĂ©servation de sa qui aujourd’hui ose dire Ă  nouveau que la multiplicitĂ© des langues et dialectes sont un frein Ă  la communication des ĂȘtres entre eux et un facteur de violence. Nous traĂźnons ce boulet comme symbole d’une identification culturelle et nationale, alors qu’il n’est plus aujourd’hui oĂč tout circule de par le monde, que l’expression du refus de souvrir aux autres par l’apprentissage d’une langue commune universelle, et le refuge de ceux qui ont peur par ignorance de ce qui se trouve au-delĂ  de leur horizon de comprĂ©hension, et qui l’exprime en justifiant la nĂ©cessiter de recouvrer leur racine ; en rĂ©duisant au plus petit espace leur communautĂ© linguistique dans celle du passĂ©, ceci porte un nom, cela s’appelle une rĂ©gression ; et la nĂ©cessitĂ© pour l’individu de se reconnaĂźtre dans son semblable, sa famille, son groupe son genre, ne devraient ĂȘtre que des Ă©tapes, des sous-ensembles rassurants, pour aller en toute confiance vers l’espĂšce. De structurer son psychisme dans un espace limitĂ© et tranquillisant, pour pouvoir s’ouvrir aux autres, au qu’à faire pour ĂȘtre certain de retrouver nos origines il suffit de ne pas apprendre Ă  y a un intĂ©rĂȘt culturel et sociologie voire scientifique Ă  les conserver et les Ă©tudier pour comprendre le sens que leurs mots dĂ©finissent, les effets du son que leur consonance Ă©mette, pour ne pas perdre un savoir qu’elles contiennent ; leur existence n’en reste pas moins un handicap d’incommunicabilitĂ© pour l’espĂšce humaine. Imaginer que chaque pays dispose de ses propres caractĂšres de chiffres et de rĂšgles mathĂ©matiques au nom de la diversitĂ©, que serait-il advenu des sciences ? Ceci fait partie intĂ©grante de certains de nos comportements sociologiques, qui, tout en percevant que nous nous trompons nous persistons dans l’erreur, car nos langues ne peuvent pas plus rester un systĂšme fermĂ© que les autres, et pour celles qui se sont perdus, elles ont emportĂ© avec elle les secrets de l’influence de leur consonance ou assonance sur notre systĂšme biologique qu’il y a les mathĂ©matiques pour reconstruire la tour de Babel, car avec nos 1500 langues et dialectes nous ne sommes pas prĂȘts de nous entendre pour poser les pierres de l’édifice. Et si vous pensez avec juste raison que nous n’en faisons pas toujours un bon usage, je rappellerai que c’est, d’une part au nom de ces identifications culturelles que sont les langues, et d’autre part, faute d’avoir une communautĂ© de langage, que d’autres utilisent ce handicap pour se construire autour du langage universel que sont les mathĂ©matiques une communautĂ© financiĂšre comptable qui fait peut cas des espaces que la diversitĂ© disparaĂźtra parce que nous aurons une langue commune est une phobie, car je l’ai dĂ©jĂ  dit c’est l’espace gĂ©ohistorique qui est le corollaire de diversitĂ©, un montagnard vivra toujours comme un montagnard, et nous aurons beau apprendre Ă  un bĂ©douin la pĂȘche Ă  la truite il n’en deviendra jamais un car ans le dĂ©sert il n’y a pas d’eau, mais s’il parle le mĂȘme langage que vous il pourra vous le dire sans devoir s’exprimer par le langage primitif est complĂ©mentaire, la une langue n’est pas limitĂ©e par les seuls mots qu’elle contient, d’autres peuvent ĂȘtre créés pour dĂ©finir ou redĂ©finir nos dĂ©couvertes et nos perceptions dans tous les domaines, ne pas confondre avec ceux qui analphabĂštes inventent leurs mots pour redĂ©finir ce qui l’est dĂ©jĂ , et se reconnaĂźtre dans leur monde qui entre en confrontation avec celui duquel ils sont autre consĂ©quence de la peur, et celle de la policiarisation de proximité». Cela peut se comprendre, d’une part, depuis que les espaces frontaliers ont Ă©tĂ© ouverts, car l’activitĂ© de contrĂŽle et de filtre qui Ă©tait le leur, si elle doit ĂȘtre effectuĂ©e, s’effectue dorĂ©navant au niveau de chaque individu dans leur quotidien. Cela entraĂźne une multiplication de contrĂŽles de la vie privĂ©e papier et vidĂ©o. D’autre part, cela se comprend surtout par le phĂ©nomĂšne d’insĂ©curitĂ© » d’une sociĂ©tĂ© qui est nĂ©vrotique. En l’espĂšce, je ne veux pas dĂ©velopper un point de vue naĂŻf, ignorant des besoins de sĂ©curitĂ©, d’un État, du civil et du pĂ©nal. Mais, je veux m’attarder sur le phĂ©nomĂšne de la perception du besoin de sĂ©curisation constant, comme indicateur d’un symptĂŽme d’une sociabilitĂ© socio-Ă©conomique » qui Ă©volue mal, puisqu’elle sĂ©crĂšte ses propres agents agresseurs quelle qu’en soit la cause, et suffisamment pour que la communautĂ© dĂ©sire que sa sociabilitĂ© s’exerce sous le contrĂŽle des forces de coercitions, police, justice ou en si auto protĂ©geant. Ceci, non plus comme l’exercice de la correction d’un taux inĂ©vitable de violences et de dĂ©viances inhĂ©rentes Ă  toute sociĂ©tĂ© dans le cadre de concomitances d’évĂ©nements probabilistes, mais, comme force de compensation, d’une sociĂ©tĂ© ayant une tendance Ă  gĂ©nĂ©rer de la violence, comme caractĂ©ristique d’une absence ou d’une diminution de ses capacitĂ©s Ă  communiquer, sous son autoritĂ© de fait, par son dĂ©sintĂ©rĂȘt pour l’exercice de sa citoyennetĂ© socio-Ă©conomique de ses relations socialisantes, et qui se sent en permanence menacĂ©e dans son Ă©goĂŻsme, courant le risque de l’enfermement, de l’isolationnisme, et de la effet, le taux de crimes et dĂ©lits s’élevait Ă  13,73 pour 1000 habitants en 1950 ; 15,05 en 1960 ; 22,37 en 1970 ; 48,90 en 1980 ; 61,69 en 1990 ; 63,17 en 1995 ; et 60,97 en 1999 Francoscopie, source ministĂšre de l’intĂ©rieur. Les crimes et dĂ©lits contre les personnes sont passĂ©s de 58 356 de 1950 Ă  233 194 en 1999, soit 398%. Les vols y compris recels, infractions Ă©conomiques et financiĂšres, et autres infractions dont stupĂ©fiants sont passĂ©es de 515 933 infractions Ă  3 334 670 soit une progression de 650%. Ce que l’on peut observer c’est la croissance liĂ©e Ă  des motifs de recherche d’une ressource illĂ©gale. Globalement ces taux doivent ĂȘtre regardĂ©s avec prudence, car ils ne font pas Ă©tat des modifications de comptabilisations des crimes et dĂ©lits intervenus, ni de la suppression de certains dĂ©lits par abrogation de dispositions lĂ©gislatives ou de l’apparition de nouvelles. Mais ils sont suffisants, afin d’y voir une progression et en comprendre sa source la plus probante, et qu’il est nĂ©cessaire que cette progression repose sur un support, sur un terrain favorable, pour que des individus passent Ă  l’acte, car personne ne se lĂšve un beau matin en se disant, tient aujourd’hui il fait beau je vais ĂȘtre un dĂ©linquant ». GĂ©nĂ©ralement, il s’agit d’un support ambiant de relations qui baignent dans les prĂ©misses d’une banalisation de rapports relationnels violents. C’est Ă  dire que pour qu’il y ait autant d’accroissement d’agissements dĂ©lictueux, il faut que les chances de probabilitĂ©s des conditions Ă©vĂ©nements dĂ©lictueux se soient accrues, que la communicabilitĂ© » baisse, ou les deux Ă  la fois, et c’est cela qu’indiquent ces taux globaux. C’est cela que les citoyens ressentent quand ils parlent d’insĂ©curitĂ©, quelles que soient les sources Ă  quoi ils les attribuent [161], et c’est contre cela qu’ils veulent se protĂ©ger, en dĂ©signant des boucs Ă©missaires qui ont toujours existĂ©. Et si d'ordinaire la rĂ©pression policiĂšre peut s’avĂ©rer rassurante, elle ne peut rĂ©soudre durablement une tendance sociĂ©tale Ă  la violence dans ses rapports citoyens, sans que la sociĂ©tĂ© ausculte elle-mĂȘme son organisation socio-Ă©conomique, qui est comment avoir un revenu pour cet appel excessif Ă  l’autoritĂ© coercitive nous fera entrer dans une dĂ©mocratie policiĂšre vers laquelle nous nous dirigeons. Une dĂ©mocratie qui surveillera la vie privĂ©e de ses citoyens comme n’importe quel État policier, que nous fustigions, il y a trente ans. Une dĂ©mocratie qui se judiciarisera », en installant la justice l’organisation judiciaire, non la justice prise en son sens moral qui consiste Ă  ĂȘtre juste et respecter les droits d’autrui au-dessus de la citoyennetĂ©, comme un dieu vertueux. Dans ce cas l’énergie qui se consume est celui de la libertĂ©, ce qui nous conduit au paradoxe de tuer la libertĂ© au non de la protection de la libertĂ©, protection qui tue en mĂȘme temps la sociabilitĂ©, car il est impensable de vivre en se demandant Ă  chaque instant si nous n'avons pas contrevenu Ă  une rĂ©glementation, s’il faut soumettre son diffĂ©rent Ă  la justice, il n’est pas concevable de vivre sous contrĂŽle vidĂ©o de tiers qui jugeraient si vos comportements sont sociologiquement compatibles, et au bout de cela, la dĂ©mocratie devient de sĂ©curitĂ© conduirait inĂ©vitablement Ă  l’insĂ©curitĂ© psychique, car chacun deviendrait presque transparent, et ne disposerait plus d’abri, de refuge oĂč poser tous ses secrets, d’abri oĂč suspendre sa vigilance qui est une exigence vitale du monde des espĂšces vous invite Ă  la fiction sur quelques lignes. La technologie nous permet donc de mettre nos rues sous contrĂŽle vidĂ©o, ainsi que nos lieux publics, mais par plus de sĂ©curitĂ© nous pouvons mĂȘme en installer chez chaque particulier. Nous disposons Ă©galement des techniques d’écoutes qui peuvent ĂȘtre personnalisĂ©es, Ă©galement d’appareils dĂ©tecteurs de mensonges qui pourraient le signaler chaque fois que nous en ferions un, imaginer le bruit s’il Ă©tait sonore, des techniques d’identification la biomĂ©trie, la technologie iridian » contrĂŽle par l’iris. Nous pourrions mĂȘme trĂšs tĂŽt dĂ©finir si un enfant est adaptable Ă  une sociĂ©tĂ© type, nous pourrons mĂȘme dans quelques annĂ©es rĂ©orienter sa pensĂ©e le cas Ă©chĂ©ant Ă  l’aide des champs magnĂ©tiques, dĂ©celer qui nourri des pensĂ©es criminelles, mais Ă  qui confier cette mission, si ce n’est Ă  des vous le comprenez la marge n’est pas Ă©crite oĂč les moyens utilisĂ©s pour assurer sa sĂ©curitĂ© conduisent Ă  la pratique d’une ce fait l’appĂąt du gain facile dĂ©lits et crimes, la xĂ©nophobie, le terrorisme, la peur paranoĂŻaque sont entrain de remporter une victoire, celle de transformer les dĂ©mocraties en fossoyeurs des libertĂ©s, car s’il fut un temps oĂč chacun Ă©tait prĂ©sumĂ© honnĂȘte, aujourd’hui chacun est prĂ©sumĂ© coupable et doit se soumettre Ă  tout contrĂŽle. Nous commençons Ă  ne plus rien Ă  avoir Ă  envier aux anciennes dĂ©mocraties de l’ plus sur moyen pour l’éviter reposent plus sur de confiantes relations socio-Ă©conomiques socialisantes que sur la construction de blockhaus individuels, sur une Ă©ducation socialisante plutĂŽt que seulement technique, mais encore faut-il exercer sa citoyennetĂ©, qui ne se limite pas Ă  aller voter, mais comprendre aussi les mĂ©canismes sous lesquels nous vivons et occuper l’espace des affaires de financement des parties politiques et des emplois fictifs en est une illustration. En tant que citoyens nous ne pouvons pas Ă  la fois demander Ă  des parties politiques de s’occuper de nous de reprĂ©senter la diversitĂ© d’opinions de la communautĂ©, ce qui nĂ©cessite de disposer, de moyens techniques, de moyens administratifs, de moyens de dĂ©placement et de rĂ©unions, de moyens de propagandes et d’informations, et ensuite, parce que c’est notre libertĂ© ne pas adhĂ©rer, faire en sorte ne pas leur donner les moyens de trouver les financements que cela nĂ©cessite. Moyens de financement qu’ils devront se procurer par ailleurs malgrĂ© les financements publics de maniĂšre licite ou non, puisque la demande de service existe. S’il y a problĂšme, c’est parce qu’il y a une inadĂ©quation entre la demande des citoyens, et ce qu’ils acceptent de bien vouloir payer pour cette activitĂ©. Si cette inadĂ©quation est intervenue, c’est parce qu’il y a eu une modification du comportement des citoyens ; c’est que les rĂšgles Ă©ditĂ©es ou tacites sont devenues dĂ©suĂštes, et elles ne permettaient pas Ă  un besoin recomposĂ© d’exister. Sans entrer dans l’analyse des intĂ©rĂȘts hypocrites, la prise en compte de ce besoin relĂšve du dĂ©bat de l’exercice de la citoyennetĂ©, et non pas de la justice. Ce qui relĂšve de la justice, est seulement l’enrichissement personnel qui peut en cela laisse entiĂšre la question Comment dĂ©cĂšle-t-on ce genre d’évolution dans notre sociĂ©tĂ© ? Tous les acteurs sociaux que vous interrogerez vous rĂ©pondront, par la discussion nĂ©gociation dans les faits, dans l’organisation de notre sociĂ©tĂ©, cela se fait toujours au travers du rapport de force. Et dans ce cas d’espĂšce, le rapport de force a surgi de l’action de la justice saisie par les acteurs mĂȘmes de ces passe-droits ou d’abus de droits, dans le but clair d’affaiblir l’autre. Justice qui disciplinĂ©e, applique une lĂ©gislation, et qui n’a pas Ă  s’interroger en tant qu’institution sur les Ă©volutions de tendance des relations de la sociĂ©tĂ©, mais qui n’exerce pas non plus son action en dehors ou au-dessus de la dites » dans ce cas d’espĂšce c’est la reprĂ©sentation politique qui c’est discrĂ©ditĂ©, mĂȘme si c’est par carence d’une certaine conscience politique des citoyens, en une forme de libertĂ© qui les conduit Ă  partager une opinion politique, mais ne pas si aliĂ©ner par une adhĂ©sion, qui en leur donnant les moyens financiers, leur garantie aussi l’autonomie d’ ce n’est ni a la justice ni a la police de dĂ©finir de nouvelles rĂšgles, ce qui ne limite nullement le droit d’expression de ses acteurs, par contre, l’appel Ă  leurs services sont clairement symptomatiques d’un dysfonctionnement ou de carence, et s’il doit ĂȘtre fait appel Ă  leurs services pour les contenir, celui-ci ne peut ĂȘtre durable sans risque, car ils ne peuvent se substituer Ă  la nĂ©cessiter d’une communautĂ© de s’ausculter sur les tendances qu’elle dĂ©veloppe par ses propres concepts, et ce, parce que la sociĂ©tĂ© est en mouvement, et va d’un ordre vers un nouvel ordre. Pour oser allez jusqu’au bout du raisonnement, et pour expliquer pourquoi j’ai dit que la justice ne devait pas se situer au-dessus des citoyens, je rappellerai que j’ai dĂ©jĂ  dit, que nous avions un regard limitĂ©, et qu’il ne nous permettait pas de saisir l’infiniment petit, ceci mĂȘme dans nos relations Ă©conomiques, comme j’ai essayĂ© de l’expliquer avec l’exemple du chinois qui achĂšte un bol de riz P. 206.Ainsi, ce qui prĂ©vaut dans le domaine physique mĂ©tĂ©o, effet papillon, prĂ©vaut Ă©galement dans le domaine Ă©conomique, et pour qu’elle raison ne prĂ©vaudrait-il pas dans le domaine relationnel, serait-il Ă  l’écart ? Ainsi, quand nous pensons que tout acte qui nuit Ă  autrui doit faire l’objet d’une dĂ©cision judiciaire pour rĂ©tablir les droits du lĂ©sĂ©, c’est ignorer, que dans le labyrinthe de nos interrelations, forcĂ©ment ce que nous avons fait causera du tort Ă  un autre. Ne pouvant saisir ces infinitĂ©simales relations, la justice s’exerce donc dans un champ restreint, s’il en Ă©tait autrement nous passerions notre temps Ă  nous condamner. Elle ne peut de ce fait, se situer au-dessus de l’homme, ne serait-ce enfin, que parce que c’est la communautĂ© qui la met en place. Ce qui n’îte rien Ă  son rĂŽle de garante du droit que se donnent les citoyens, tout en Ă©mettant une rĂ©serve historique important ; la justice garante du droit est toujours installĂ© par l’idĂ©ologie dominante, quelle soit transcendantale ou immanente, et ne prĂ©figure pas cette justice pure » dont chacun dentre nous nourri l’ essayez d’imaginer qu’un Inuit habitant du Groenland porte plainte contre les États qui polluent les mers, parce que de ce fait lĂ , il doit se nourrir de poissons qui contiennent des taux de mercure nuisible Ă  leur santĂ©. Il pourrait donc considĂ©rer qu’on l’empoisonne, un pas que nous n’avons pas hĂ©sitĂ© Ă©motionnellement Ă  faire dans le l’affaire du sang contaminĂ©, poursuivi dans l’affaire des farines animales, avec celle du nuage de Tchernobyl ; et que nous appelons pollution quand il s’agit d’empoisonnement par l’oxyde de carbone rejetĂ© par nos propres vĂ©hicules et industries. Qui condamne-t-on ? Les prĂ©sidents, les industriels, les citoyens ? Cela fixe les limites de n’importe lesquelles des institutions judiciaires, car sinon autant porter plainte contre Dieu parce que nous mourrons. Cela fixe aussi la limite du langage et des mots que nous utilisons pour qualifier des manquements aussi individuels que collectifs, sans entacher la nĂ©cessitĂ© de dĂ©finir des responsabilitĂ©s d’acteurs. C’est ainsi que le mot de crime se banalise. Ne dit-on pas ce qu’il fait est criminel », comme il se conduit c’est criminel », ce qu’il pense est criminel », etc.
 pour qualifier de plus en plus la dangerositĂ© d’évĂ©nements ou de comportements, et cela nous conduira incidemment Ă  regarder notre activitĂ© humaine comme une activitĂ© criminelle. Ce qui est certainement vrai, mais nous passerons de la notion d’humain Etre violent », Ă  celle d’Humain criminel ». Cela, parce que sans nier le rĂŽle important de la justice comme valeur institutionnelle, nous voulons lui confier celui de nous apporter La Solution, La Justice ». Solution et Justice inexistantes en dehors de nous, et de l’usage que nous faisons de notre intelligence, et des dĂ©bats que nous sommes capables d’avoir entre citoyens. Quand l’on sait que l’activitĂ© criminelle se justifie par l’égocentrisme, en dĂ©signant celui-ci comme criminogĂšne, nous qualifions ainsi les bases mĂȘmes du dĂ©veloppement biologique de toutes les espĂšces vivantes ; nous petit humain narcissique nous qualifions l’origine, la genĂšse de la vie de criminel, si cela n’est pas se prendre pour Dieu, qu’est-ce ?Ainsi, suivant que nous voulions une justice rĂ©paratrice des mauvais essais de notre Ă©volution culturalisĂ© et acculturĂ© » ou une justice vengeresse de nos Ă©motions impulsives, nous criminaliserons nos rapports et nous condamnerons encore Ă  titre individuel des Etres Ă  la mort ou Ă  perpĂ©tuitĂ©, tout en qualifiant d’humaniste la substitution de la perpĂ©tuitĂ© Ă  la peine de mort. D’autres condamneront des hommes Ă  deux, voire trois cents ans de peine de prison, sans qu’un seul n’en relĂšve l’absolu absurditĂ© ; et c’est dramatique de confier le destin de certains Êtres Ă  des hommes qui, campĂ©s dans la reprĂ©sentation d’une instance lĂ©gislative essentielle, ne font pas plus preuve de bon sens que ne le ferait un robot. Cela dĂ©montre au moins que multiplier la durĂ©e des peines n’apporte pas de solution radicale Ă  la violence, que dans une telle dynamique nous en arriverions vite Ă  punir sa descendance jusqu'Ă  mille ans, et que ceux qui jugent opinion publique sont parfois porteurs de plus de violence que ceux qu’ils condamnent. Il n’y a rien d’anormal en cela, car nos Ă©motions violentes rĂ©actionnelles comme nos impulsions, n’ont pas de notion de temps et leur apaisement n’a pas de raison, c’est seulement la connaissance de ce que nous sommes qui fait entrer cette raison. Et dans cette irraison » qui perdure et se fortifie, nous sommes arrivĂ©s Ă  considĂ©rer des Êtres comme des dĂ©chets qu’il faut Ă©liminer parce qu’ils perturbent le systĂšme qui les produit, de la mĂȘme maniĂšre que nous Ă©vacuons nos dĂ©chets Ă©conomiques. Ceci toujours pour la mĂȘme raison parce qu’investir dans d’autres mesures coĂ»tent de l’argent, alors que nous disposons de l’intelligence pour le faire et des moyens de produire cet argent Ă  discrĂ©tion autant que nous le voulons, afin d’apprendre Ă  comprendre les schĂ©mas qui transforment notre agressivitĂ© naturelle en violence irraison » qui fait que nous habillons la vengeance du qualificatif de justice pour exercer nos mĂȘmes impulsions criminelles par le biais d’un tiers État; tiers qui soumis Ă  une opinion publique rĂ©gressive Ă©goĂŻsme, isolationnisme, peurs paranoĂŻaques, n’ose plus s’en Ă©carter, soit parce qu’ils en sont le prolongement Ă©lu ou bien parce qu’ils n’en ont pas le courage. Le danger en cela est de rĂ©veiller un Eichmann culturalisĂ© qui sommeille encore en chacun d’entre-nous[162].Il est bon de se rappeler ce que disait Hawkins des systĂšmes physiques qu’il y a un absolu oĂč tout s’écroule. Ainsi quand nous condamnons un individu au-delĂ  de sa propre existence, quand nous demandons encore Ă  des hommes de prononcer des peines de morts ou que nous concevons des crimes comme imprescriptibles, au nom d’une religion ou d’un droit, nous avons atteint cet absolu. Et encore nous le dĂ©passons quand ceux qui disposent du moyen d’exercer le crime le plus grand, celui d’éradiquer la planĂšte par leurs armes, oublient de se mettre au banc des les guerres sont aussi les rĂ©sultats de nĂ©vroses collectives, par dysfonctionnement de l’émetteur/rĂ©cepteur Culturel, elles le sont aussi du dysfonctionnement du langage Ă©conomique ».En effet, aujourd’hui dans une Ă©conomie organisĂ©e, le langage de communicabilitĂ© » Ă©change Ă©conomique, est la monnaie. Lorsque ce langage ne permet pas de communiquer Ă©changes uniquement qu’entre pays solvables, ou Ă©changes hĂ©gĂ©moniques nous dĂ©veloppons des nĂ©vroses. En consĂ©quence ceux qui possĂšdent ce langage la monnaie ont tendance Ă  s’isoler dans des blockhaus aux entrĂ©es sĂ©lectives, pendant que les autres dĂ©veloppent rancƓurs, amertumes, frustrations, dont la phase aiguĂ« est la rĂ©volte, l’insurrection, la psychiatre examine un patient il recherche les causes ayant conduites le sujet Ă  encadrer ses Ă©motions dans des constructions cognitives qui lui nuisent. Pour une sociĂ©tĂ© il en est de mĂȘme, toutes les organisations systĂ©miques qui encadrent nos relations et la crĂ©ation de la monnaie ne sont pas forcĂ©ment bonnes, si elles engendrent l’ part vous pensez, Sommes-nous des Etres nĂ©vrotiques » ?Certainement ! Chaque fois que nous avons peur de communiquer avec celui qui est exactement comme nous, de partager des Ă©motions, et plus gĂ©nĂ©ralement avec ce qui est l’état d’équilibre de notre vie, la mort, et que comme un malade nous paraissons conscients du caractĂšre pathologique » de la violence humaine que nous avons organisĂ©e, pourtant cette luciditĂ© ne nous sert Ă  rien pour nous dĂ©barrasser des pensĂ©es ou des schĂ©mas qui l’ je me suis hasardĂ© Ă  transposer une maladie humaine » Ă  nos pratiques culturelles ou Ă  nos relations Ă©conomiques C’est pour essayer de faire ressortir, qu’étant des ÊTRES nĂ©vrosĂ©s » depuis la sortie de notre biotope, pourquoi voudrions-nous, en dehors des systĂšmes physiques, que nos constructions de systĂšmes relationnels ne le soient pas ?C’est pour faire ressortir cette notion de raisonnement en un Tout » qui nous est si difficile d’apprĂ©hender. Cela, parce que pour essayer de le comprendre, il nous a fallu le dissocier, et que trop souvent par la suite nous ne voulons l’expliquer que par un de ses composants, parce qu’il Ă©merge Ă  notre regard partial, alors que son historicitĂ© partielle demande une analyse globale, et que celle infinitĂ©simale nous Ă©chappe. Je ne prĂ©tends pas que mes exemples soient justes car c’est plus complexe que cela. MĂȘme isolĂ©s, nous sommes tous en interaction ; c’est pourquoi les effets de l’isolationnisme sont ceux-ci donnent un Ă©clairage sur cette fonction essentielle et complexe de communiquer comme antidote Ă  l’autisme » Je peux rĂȘver mais le rĂ©alisme s’ peux rĂȘver
En effet, notre monde n’est que le monde que nous regardons issu des circonstances Ă©vĂ©nementielles dont nous avons fait l’expĂ©rience, et que nous avons reconnu cognitivement. Il n’est en rien un monde objectif » comme il doit ĂȘtre, car nous ne le connaĂźtrons pas, du moins de notre vivant. Celui que nous voyons est le monde de notre regard, mĂȘme technologique, car nous n’atteignons que les buts que notre raisonnement s’est pour cela que si demain nous nous fixions comme but de nourrir, d’instruire tous les hommes, et de ne pas se faire la guerre, nous atteindrions notre but, parce que nous formerions notre structure cognitive pour l’atteindre, et dĂ©velopperions nos connaissances en ce il faut tenir compte du paradoxe suivant les Hommes atteignent les but qu’ils poursuivent mais diffĂ©remment de ce qu’ils les avaient nous n’y parvenons pas, c’est parce que nous dĂ©veloppons une mauvaise » notion libĂ©rale de nos rapports, dans laquelle tout homme doit tout optimaliser dans son seul intĂ©rĂȘt, et donc nous poursuivons ce but, et rĂ©alisons les structures pour l’atteindre, et donc les structures pour se le mĂȘme temps, nous n’avons pas pris conscience de cette fabuleuse possibilitĂ© que nous offre l’Univers de ne pas connaĂźtre le monde objectif », mĂȘme s’il nous conduit par l’évolution jusqu’à son ignorance lĂ  nous donne la possibilitĂ© de changer notre existence, par notre capacitĂ© vais essayer de m’en expliquer. J’ai dit que la conscience humaine n’entraĂźnait pas automatiquement celle de l’espĂšce. Si la conscience de soi et son corollaire la pensĂ©e se sont Ă©laborĂ©s trĂšs lentement au fil de centaines de milliers ou millions d’annĂ©es et plus, nous avons pu le comprendre par les traces que nous a conservĂ©es la nature de la migration de nos lointains prĂ©dĂ©cesseurs. Traces de la pensĂ©e symbolique telle par exemple, les traces de rites, de sĂ©pultures sĂ©lectives, d’un art pictural ou instrumental, et des traces d’organisations nous continuons toujours par l’examen des vestiges du passĂ©, ancien ou moderne le moderne s’estimant conventionnellement Ă  partir de l’ñge du bronze, Ă  retracer nos origines et nos cultures civilisations, et cela nous paraĂźt d’une banalitĂ© sidĂ©rante, tout en restant sĂ©parĂ© sur la notion de l’homme créé ou issu d’une Ă©volution. Pourtant, essayez d’imaginer que la conscience de soi, avec pour consĂ©quence la pensĂ©e crĂ©atrice », ne se soit pas manifestĂ©e par des usages symboliques. Cela n’aurait certainement rien changĂ© Ă  la conscience de soi en elle-mĂȘme. Mais son expression aurait certainement Ă©tait tout autre, et comment aurions-nous fait, pour prendre conscience que nous constituons une espĂšce. Nous aurait-il fallu pour cela allez serrer la main des six milliards d’autres humains, en se demandant si chacun Ă©tait comme soi ?Ainsi, bĂȘtement la conscience de l’espĂšce passe par les traces que nous laissons comprenant le langage et l’écriture, de la pensĂ©e symbolique, qui nous permettent entre autres de dire que, oĂč que se trouvent les hommes, ils dĂ©veloppent les mĂȘmes schĂ©mas, quels que soient les noms dont ils les habillent, et le rythme auquel ils le font en fonction de leur vestiges nous ont permis aussi de nous situer dans la durĂ©e, dans les millĂ©naires, au-delĂ , de la seule capacitĂ© de la mĂ©moire humaine. Ainsi, dans notre monde contemporain, grĂące Ă  notre intelligence que la pensĂ©e symbolique a permis de cerner et de dĂ©velopper, aboutissant ainsi Ă  notre technologie, nous savons que le monde que nous nous sommes construit est celui de notre pensĂ©e, et non un monde reposant sur une quelconque vĂ©ritĂ© absolue. Pour l’illustrer je vais reprendre l’exemple du ballon de foot que notre regard voit s’accĂ©lĂ©rer lorsqu’il rebondit sur de l’herbe mouiller, si sur cette hypothĂšse totalement fausse scientifiquement, parce que la vitesse du ballon se rĂ©duit et cela d’autant plus vite que les forces de frottements que reprĂ©sentent la pelouse sont nombreuses, si nous dĂ©veloppions une organisation sociale sur la base de cette pensĂ©e chacun comprend dans cet exemple qu’elle serait erronĂ©e et n’aurait rien avoir avec la rĂ©alitĂ© des lois de la physique. Ainsi ayant conscience de tout ceci, nous avons donc tout le loisir d’en changer quand "bon nous semble". Mais pour cela, il faut encore nous doter de quelque chose qui nous fait dĂ©faut, la conscience de l’espĂšce. Non pas celle qui nous classe biologiquement, ni la conscience de l’espĂšce qui conduit Ă  nous comparer Ă  celle que nous connaissons chez les animaux et formĂ©s des clans territoriaux, mais celle qui nous est propre ou plus dĂ©veloppĂ©e que chez d’autres espĂšces, parce que nous disposons de la conscience de soi qui nous entraĂźne vers la conscience plus celle qui conduit l’individu Ă  s’effacer dans l’espĂšce, ou de s’en extraire, mais celle de l’individu qui s’associe pour donner corps Ă  l’espĂšce, parce que nous en prenons conscience effet papillon. Ceci, nous permettant de nous auto gĂ©rer dans la connaissance de plus en plus grande du monde physique et psychique.
 mais le rĂ©alisme s’impose
Pour autant, je ne peux ignorer le rĂŽle et l’importance qu’accordent les hommes Ă  la monnaie, fut-elle construire un financement qui appauvrirait les riches, contesterait le pouvoir de la monnaie, ne tiendrait pas compte du systĂšme de mĂ©ritocratie, serait vouĂ© Ă  l’ ne peux donc pas m’appuyer pour cela, ni sur un pouvoir politique qui Ă©chappe aux hommes citoyens qui dĂ©sertent l’espace public, au profit de celui des banquiers et des financiers » qu’ils se sont bĂąti sur la confusion de la notion d’espace privĂ©, ni sur de nouvelles idĂ©ologies ou utopies qui n’habitent presque plus ni les uns ni les retrouver ce pouvoir politique ou idĂ©ologique, face aux excĂšs du pouvoir Ă©goĂŻste, il y a un effort de comprĂ©hension Ă©norme Ă  faire qui demandera certainement des gĂ©nĂ©rations et auquel peuvent concourir les hommes de science, les philosophes, pour peu qu’ils s’organisent politiquement pour ĂȘtre au service de l’humanitĂ©, et les jeunes Ă©tudiants, car Ă  ces Ăąges lĂ  l’on est toujours idĂ©aliste et crĂ©atif. D’une certaine maniĂšre pour faire une analogie avec l’histoire biblique il faudra que des scientifiques, des philosophes, des intellectuels s’organisent, pour une fois de plus chasser les marchands du temple qui ont installĂ© leur bourse aux quatre coins du monde, qu’ils s’organisent pour ne pas se faire crucifier par le poids de l’information dogmatique des marchands. Ceci, car l’on peut observer dans ces trente derniĂšres annĂ©es qu’ils ont disparu du dĂ©bat, sauf quand ils servent de justification Ă  l’idĂ©ologie dominante, car pour exister dans le monde mĂ©diatique d’aujourd’hui, ce n’est pas seulement des livres qu’ils leur faut mais des heures d’antennes oĂč ils peuvent enchaĂźner un dĂ©veloppement au-delĂ  de trente secondes sans que le commentateur vedette ne leur coupe la parole. Cela ne met pas en cause les capacitĂ©s des commentateurs, mais souligne une information qui est devenu avant tout spectacle pour fidĂ©liser l’auditeur auquel l’on soumettra des publicitĂ©s qui fourniront les ressources financiĂšres. Pour ces raisons lĂ  malgrĂ© la multitude d’évĂ©nements, toutes les chaĂźnes nous proposent les mĂȘmes, en nous assurant qu’il y a pluralitĂ© de l’information parce que les rĂ©dactions et les commentateurs les personnalisent. Il est important de ne pas ignorer cela, car Ă  croire que le monde ne ressemble qu’aux quelques informations qui sont diffusĂ©es, nous finissons par leur donner et leur fabriquer une rĂ©alitĂ© globale qu’elles n’ont pas si nous n’avons pas les moyens de les c’est Ă  la communautĂ© citoyenne de fournir les conditions et les moyens d’analyse de ses – Cela nĂ©cessite de rechercher en quoi y a-t-il un individu unique qui ne soit pas un composant d’une structure collective ?En quoi y a t il un individu unique
DĂ©jĂ , dĂšs la naissance, chaque ĂȘtre va devenir le rĂ©sultat d’une Ă©ducation normative reconnue par la collectivitĂ©. De telle sorte que ses comportements ne puissent ĂȘtre autre chose dans la plupart des cas que ceux attendus par la collectivitĂ©. Tous les autres seront considĂ©rĂ©s comme dĂ©viants. Ainsi, d’entrĂ©e de jeu, l’individu va adopter la structure du groupe culturel dans lequel il vient au monde. Il va donc devenir une image de ce groupe, rien de bien individuel en nous savons que chacun reçoit la moitiĂ© d’une subdivision des chromosomes des parents. Aujourd’hui nous savons que chacun a une carte gĂ©nĂ©tique qui porte une distinction. Cependant de lĂ  Ă  dire que cette distinction gĂ©nĂšre un psychique propre, le pas n’a pas Ă©tĂ© franchi. NĂ©anmoins nous savons que cette spĂ©cificitĂ© nous protĂšge de la dĂ©gĂ©nĂ©rescence, assure la diversitĂ© des caractĂšres qui nous personnalisent, mais nous savons aussi que nous sommes tous composĂ©s des mĂȘme forces et matĂ©riaux, y compris ceux qui donnent Ă©mergence Ă  notre il y a la somme invraisemblable d’informations collectĂ©es et perçues consciemment ou non, avec leurs distorsions que nous traitons, comportant un nombre considĂ©rable d’occurrences associatives qui limitent la probabilitĂ© d’en trouver d’identiques, qui nous fait apparaĂźtre unique et assure notre ainsi qu’il est ressorti de l’étude des enfants sauvages retrouvĂ©s dans la nature, libĂ©rale l’enfant loup, l’enfant gazelle dans le dĂ©sert de Transjordanie et les deux filles loup trouvĂ©es par le pasteur Singh en Inde 1920/1929, que ce qui diffĂ©rencie l’homme de l’animal est qu’il naĂźt prĂ©maturĂ©ment. Ce fut la conclusion du psychiatre Sivadon qui suivait la rĂ©adaptation de ces deux filles loups qui vivaient et se comportaient comme des loups. Au point que la personnalitĂ© de l’Être s’élabore essentiellement dans les matrices culturelles aprĂšs sa naissance, et qu’elles sont aussi importantes pour son dĂ©veloppement que la matrice ce n’est pas parce qu’il nous est impossible de dĂ©montrer que faire vivre Ă  deux ĂȘtres la mĂȘme existence conduirait Ă  une mĂȘme analyse de leur part, que nous pouvons dire qu’il y a Être unique, aux motifs, que chacun entend, voit, sent, goĂ»te, perçoit rĂ©cepteurs thermiques, tactiles, algiques la mĂȘme n’est pas parce que chaque homme ignorant de ce qu’il est peut faire tour Ă  tour, tout au long de son existence, une variĂ©tĂ© incalculable d’analyses et de synthĂšses, Ă  partir des informations qu’il collecte, et qui nourrissent les suivantes qu’il y a un Être unique, mĂȘme si cela contribue Ă  dĂ©finir ou recomposer sa personnalitĂ©, son Moi-je ego.Ce n’est pas parce qu’il y aurait une possession dont disposerait chaque Être vivant du Virus Ă  l’Homme, qui est d’hĂ©riter des critĂšres de la survie de son espĂšce et de tout rapporter Ă  lui l’égocentrisme par nĂ©cessitĂ© de prĂ©server le potentiel duplicateur, qu’il y a un Être unique, puisque cet innĂ©, cette fonction est commune Ă  toute espĂšce n’est pas parce qu’il y a une variĂ©tĂ© infinie de caractĂšres spĂ©cifiques qui sont regroupĂ©s sous diffĂ©rent type Ă  partir d’un ou plusieurs traits dominant qui donne une image diffĂ©renciĂ©e de chacun tout en restant reliĂ© au tronc commun la construction biologique humaine qu’il y a un Être y a individu unique, seulement parce qu’il ne vit qu’une fois sa vie, et il ne peut jamais emprunter deux itinĂ©raires. En consĂ©quence, aucun autre individu n’empruntera sa vie et son itinĂ©raire. MĂȘme si un sujet avait aujourd’hui la carte gĂ©nĂ©tique de NapolĂ©on, il n’en resterait pas moins un autre ĂȘtre unique, car d’aucune maniĂšre il ne pourrait rĂ©emprunter l’itinĂ©raire qui avait Ă©tĂ© le mĂȘme, si nous sommes composĂ©s constituĂ©s en partie d’informations, de particules qui ont pu composer elles-mĂȘmes, des existences antĂ©rieures, et qu’elles en ont gardĂ© la mĂ©moire. Parce qu’elles demeureraient des images mortes du passĂ©. Si cela s’avĂ©rait Ă  partir des quelques exemples qui existent [163]rĂ©els ou imaginaires, pourrions nous remonter au-delĂ  du Big-bang ?Partant de lĂ , ce que nous appelons individualitĂ© n’est que le rĂ©sultat d’une cognition maternĂ©e et culturelle, consciente ou non, qui se complexifie par accumulation en rĂ©troaction Ă©quilibration[164] et conduit Ă  la personnalitĂ© dans le cadre de son environnement historique auquel s’ajoute l’Instruction, l’Éducation, le Savoir, et la Connaissance. L’individualitĂ© ou l’individualisme serait plutĂŽt la perception du sentiment de ce que nous sommes, auquel comme toujours, nous donnons la signification que nous avons pu en comprendre ou qui nous arrange dans notre ordre sociĂ©tal[165], car ce qui nous rend individuel est notre temps personnel que nous avons dissout dans un temps collectif, et que de toutes les maniĂšres nous ne pouvons pas apprĂ©cier tant les Ă©carts son infinitĂ©simaux note 74.Tout ceci Ă  moins d’admettre les erreurs d’informations dans la transmission du message conceptuel ARN qui expliqueraient que la formation du psychique sera diffĂ©rente chez chaque individu, comme Jacquard l’expose dans son ouvrage La lĂ©gende de la vie», [166] Ă  propos de celles ayant conduit Ă  la diffĂ©renciation des bactĂ©ries. Aujourd’hui depuis bientĂŽt une dizaine d’annĂ©es ont Ă©tĂ© dĂ©couverts de micro ARN qui s’insĂšrent et modifie L’ARN si cette capacitĂ© psychique a pu ĂȘtre diffĂ©renciĂ©e par son volume cĂ©rĂ©bral, c’est dans le cadre de l’évolution cĂ©rĂ©brale globale de l’espĂšce Ă  diffĂ©rents stades de sa mĂ©tamorphose dont nous n’avons aucune trace sauf des capacitĂ©s volumiques crĂąniennes, et aujourd’hui des Ă©tudes qui expliquent en partie que plus le nĂ©ocortex et gros, plus l’espĂšce dĂ©veloppe une sociabilitĂ© n’y a donc lĂ  rien de bien individuel, mais toute la source de l’apprĂ©ciation de notre communautĂ© humaine, par l’individu, qui se croit d’immanence ou de transcendance, repose sur le fait qu’il se voit Ă  juste titre sujet unique non parce qu’il est diffĂ©rant de l’espĂšce mais parce qu’il n’a qu’une existence et personne d’autre ne peut la vivre.
qui ne soit pas le composant d’une structure donc, six milliards d’Etres uniques possĂšdent les mĂȘmes outils sensoriels. Ils se composent des mĂȘmes matĂ©riaux, portent le mĂȘme innĂ© » de survie. MalgrĂ© cela nous ne parvenons pas Ă  admettre, qu’il y a une construction psychique unique non individuelle, mais commune, qui est celle de notre espĂšce par rapport aux autres espĂšces plus, nous sommes les uns aux autres en interrelation obligĂ©e, ce qui nous permet d’exister, et de n’exister qu’au travers les uns des autres. Ce que nous percevons alors, comme psychique individuel, est la consĂ©quence de notre apprentissage culturalisĂ©, et notre incapacitĂ© Ă  percevoir le temps qui est le nĂŽtre, notre espace Ă  l’instar de l’Univers existant par ses crĂ©ations, nous existons par les assemblages qui sont les nĂŽtres sur la base des mĂȘmes matĂ©riaux. Si nous pouvions nous voir Ă  l’état de paquet de forces concentrĂ©e », comme un infime trou noir qui va exploser pour donner naissance Ă  un Etre, cet Etre serait de l’ordre de grandeur de quelques particules, soit moins dix puissance dix-huit mĂštre la taille d’une particule -10ˉ18. Alors, notre dĂ©veloppement apparaĂźtrait comme un soufflĂ© se dilatant, et essentiellement composĂ© de vide » l’espace qu’il y a entre un noyau et son Ă©lectron.Nous pouvons donc Ă  juste titre nous interroger, notamment A quel instant le psychique apparaĂźt dans ce dĂ©veloppement de forces se matĂ©rialisant ?Chacun d’entre nous en a une idĂ©e, si l’ĂȘtre au psychique personnalisĂ© fait sur mesure pour lui inclut une dimension supra humaine transcendantale issue d’une relation de l’individu au divin, alors cela ne se discute pas c’est une affaire de moins nette que d’admettre Ă©galement le fait qu’il puisse y avoir une diversitĂ© de psychique due Ă  l’influence de la position de la planĂšte dans son systĂšme solaire ou galactique astrologie, trop de marge est laissĂ©e Ă  l’interprĂ©tation. Dans ce mĂȘme ordre d’idĂ©es, le physicien Evan Walter a dĂ©veloppĂ© le concept que les photons Ă©tant dotĂ©s d’une certaine conscience[167], la conscience peut ĂȘtre associĂ©e Ă  tous les phĂ©nomĂšnes quantiques, et partant de lĂ  toutes les suppositions sont il y aurait un individu au sens ou certains l’imaginent c’est Ă  dire, naissant avec son psychique individualisĂ© spontanĂ©, psychique individualisĂ© dĂ©terminant une conscience spontanĂ©e capable de lui assurer, de fait, une existence propre indĂ©pendamment des autres, ou une capacitĂ© d’analyse personnelle, parce que c’est Lui. Cet individu n'existe pas, puisqu’il se construit biologiquement et culturellement dans un processus identique pour tout un chacun, comportant des milliards ou plus de quantitĂ©s d’occurrences. De telle maniĂšre que quand nous observons cela dans son unitĂ©, l’individu paraĂźt unique. Également nos observations constatent des caractĂšres qui se sont modelĂ©s durant des millĂ©naires d’interactions par l’hĂ©motypologie, mais ne justifie pas plus d’une structure psychique n’existe pas, car nous descendons d’une combinaison molĂ©culaire identique pour toute chose. Cela n’exclut pas, en ce qui nous concerne des distorsions dans ces assemblages, mais indique que sa contexture est une construction en duplication modĂ©lisante » sensible aux informations de l’environnement dans lequel il s’inscrit, pour s’assurer une pĂ©rennitĂ© incertaine, une par la psychologie et la psychiatrie, nous connaissons les relations Ă©troites reliant le psychique et le somatique, nous vĂ©rifions expĂ©rimentalement et cliniquement ce que nos ancĂȘtres dĂ©duisaient empiriquement, par l’intuition et l’observation ou pour certains comme les chamans, les grecs mystĂšres d’Éleusis liĂ©s au culte de DĂ©mĂ©ter par l’usage de psychotropes champignons hallucinogĂšnes et autres plantes, et aux quatre coins du monde nous exprimons nos Ă©motions de la mĂȘme dans lesquelles l’homme machiste s’est installĂ© en dominateur, et en a dĂ©veloppĂ© la culture, par l’image du pĂšre le dominant rĂ©fĂ©rentiel de la horde, les rois par exemple dont les fils Ă©taient les sujets; la dĂ©mocratisant sous les coups de boutoir du dĂ©veloppement Ă©conomique, au travers de la notion de libertĂ© et d’intĂ©rĂȘt individuel qui a exigĂ© la recomposition de l’image du pĂšre, redevenu accessible Ă  ses fils, pour que les nouveaux pĂšres redeviennent les fils de leurs nations Ă©mancipĂ©es, qui se charge de prĂ©server et garantir leur nouveau statut de pĂšre frĂšre » par des principes universalistes libertĂ© Ă©galitĂ© fraternitĂ©, droit de l’homme, tout en cohabitent avec les reprĂ©sentations historiques du pĂšre », les religions, les cultures diffĂ©renciĂ©es d’origines ancestrales, syncrĂ©tiques ou idĂ©ologiques qui constituent l’image cĂ©rĂ©brale de l’espace temporel dont tout psychique a besoin pour se construire et ensuite Ă©changer, communiquer, et s’acculturer ; et dont la transmission de l’image du pĂšre » essentiellement patriarcale devient bicĂ©phale avec l’émancipation de la femme, et bouleverse quelques repĂšres. Non pas ceux dĂ©finissant l’expression du Moi de chaque Être, mais ceux confirmant sa notion de dominateur machiste la diffĂ©rence entre autoritĂ© et autoritarisme marque d’une infĂ©rioritĂ©. DiffĂ©rence n’allant pas sans poser des problĂšmes dans l’égalitĂ© politico-Ă©conomique de l’homme et de la femme. ÉgalitĂ© oĂč souvent, pour la reconnaĂźtre les hommes demandent Ă  la femme d’exercer le mĂȘme autoritarisme et l’égalitĂ© consiste Ă  donner Ă  la femme la direction d’une sociĂ©tĂ© machiste pour la reproduire, c’est n’avoir façonnĂ© que des femmes hommes[168].Si l’égalitĂ© c’est concevoir un dieu fĂ©minin qui crĂ©a la femme, l’essence mĂȘme dont l’homme est extrait, ce n’est pas mieux. Par contre si un jour, sans rejeter la religiositĂ© humaine », elles rejettent simultanĂ©ment la Vierge Marie, le Tchador et autres pour ĂȘtre Elle, alors lĂ  commencera l’égalitĂ© diffĂ©renciĂ©e et l’espĂ©rance d’avoir une sociĂ©tĂ© autre que machiste, autre que patriarcale ou matriarcale, dont je n’ai aucune idĂ©e, et que j’ai qualifiĂ© d’harmonie » note 25.Je peux donc dire qu’en continuant Ă  dĂ©velopper et maintenir dans notre Ă©ducation la notion d’intĂ©rĂȘt individuel culturalisĂ© synonyme de domination comme base fondamentale de notre dĂ©veloppement Ă©conomique, cette notion a pour but de maintenir une constatation, une observation dont nous avons fait une mauvaise Ă©valuation par mĂ©connaissance. Mauvaise Ă©valuation de ces constats, les estimant plus importants que notre Ă©panouissement psychique. De ce fait nous les perpĂ©tuons aujourd’hui par des constructions idĂ©ologiques, parce qu’ils donnent la puissance, et s’y auto construction idĂ©ologique va jusqu'Ă  la mĂ©tonymie[169] de notre collectivisme, qui est que l’intĂ©rĂȘt individuel concourt Ă  l’intĂ©rĂȘt collectif dans lequel il s’exerce, et sans lequel il n’existerait pas la partie du Tout. Il n’a jamais Ă©tĂ© dĂ©montrĂ© qu’un Homme, Ă©levĂ© isolĂ©ment, dĂ©veloppait un intĂ©rĂȘt individuel autre que celui d’un animal, qui est pour certains de dĂ©velopper un esprit de clan et non d’espĂšce, avant que son psychique ne le conduise au fil des siĂšcles par l’éducation Ă  concevoir qu’il est un Tout difficile Ă  pouvons constater tous les jours que la mise en commun de notre force de travail, de notre intelligence, dĂ©veloppent et suscitent celles des autres. Son contraire peut ĂȘtre aussi dĂ©montrĂ© par ailleurs, dans des pays oĂč il ne manque ni d’intĂ©rĂȘts individuels, ni alors oĂč se situe le niveau de la scolaritĂ© et de l’enseignement dans les uns et les autres, et nous pouvons donc avoir une idĂ©e, au-delĂ  des slogans idĂ©ologiques, de ce qui freine l’usage culturel qui peut ĂȘtre fait de notre psychique dans son environnement ce qui pourrait ĂȘtre gĂ©nĂ©rĂ© si les masses de monnaies, dĂ©pensĂ©es pour se protĂ©ger de nos semblables du fait de notre incommunicabilitĂ©, Ă©taient utilisĂ©es Ă  l’ comprendrions alors que le liant collectif est l’apprentissage dans lequel nous baignons, et qu’il convient certes qu’il soit structurĂ©, mais ouvert et – L’on doit dĂ©passer le connu, pour ouvrir des voies pour dĂ©passer le connu
Pour se convaincre que notre capacitĂ© rĂ©flexive est le produit de forces cognitives, il suffit de s’intĂ©resser Ă  la recherche robotique qui a dĂ©veloppĂ© des robots Ă  informations ascendantes. Tel le prototype nu, dont le cerveau » se compose d’une collection de microprocesseurs Motorola 68332, de f cadencĂ©s Ă  16 Mhz, modifiĂ©s pour former un rĂ©seau neuronal, conçu sur le patron du cĂąblage de notre propre cerveau, et qui apprend Ă  la maniĂšre d’un enfant en interagissant avec son environnement[170]. Ainsi, les forces qui nous ont créés sont capables par rĂ©troaction, de pouvoir crĂ©er Ă  leur tour un humanoĂŻde auquel il ne manquera qu’une autonomie Ă©nergĂ©tique pour nous supplanter. Et peut-ĂȘtre que dans quelques milliers d’annĂ©es, la future Bible racontera que Dieu ayant trouvĂ© que les ĂȘtres qu’il avait faits Ă  son image Ă©taient imparfaits, il a inspirĂ© quelques prophĂštes initiĂ©s pour concevoir l’humanoĂŻde Ă  son image. Pourvu que nous n’allions pas crucifier ces chercheurs, car s’est peut ĂȘtre grĂące Ă  eux que nos futures gĂ©nĂ©rations se consacreront Ă  l’oisivetĂ© cela permet surtout d’indiquer que ce robot ne rĂ©agira, qu’à partir des informations que sa conceptrice lui aura donnĂ©es, tout comme l’intelligence artificielle ».Mais sera-t-il en mesure de nommer une relation inconnue de son concepteur et donc non programmĂ©, ou une association autre que par des mots prĂ©dĂ©finis ?Sera-t-il capable de ressentir un membre fantĂŽme[171] ?Sera-t-il capable de pressentir l’indĂ©finissable ? Certainement pas, et cela nous le comprenons trĂšs il est moins Ă©vident de le comprendre quand cela nous toutes les informations sensibles ou culturelles que nous nommons ou nous reprĂ©sentons, constituent la base de toute structure cognitive en interactions successives pour aboutir Ă  la solution d’un problĂšme ou atteindre un le risque demeure que l’usage des dĂ©nominations et des reprĂ©sentations supplante et distorde l’information sensible et le rĂŽle important de la circulation de l’apprentissage du Savoir, pour qu’il s’ajoute et rĂ©duise cet individualisme excessif qu’illustre le slogan moi je me suis fait seul ». Expression d’une approche exclusivement dualiste d’appropriation, par incomprĂ©hension de la machine » humaine et au de-lĂ  d’elle, de l’Humain, dont ses observateurs s’évertuent Ă  attribuer Ă  une personne la crĂ©ation » d’une collaboration humaine, qui plus est leur Ă©chappe, mais c’est un autre sujet. Ce qui par ailleurs ne retire rien aux capacitĂ©s et nĂ©cessaires initiatives personnelles.
et ouvrir des voies
Or, nous sommes sans exception habitĂ©s des mĂȘmes sensations liĂ©es aux mĂȘmes fondements ; des lois naturelles diraient certains ». Ces lois naturelles aujourd’hui nous les connaissons en partie, nous nous Ă©tudions ainsi que notre monde, mais elles demeurent l’apanage de quelques initiĂ©s, ethnologues, biologistes, neurologistes, astrophysiciens, cosmologistes, des psychologues, psychiatres, des sociologues, la liste de toutes les sciences serait longue Ă  Ă©numĂ©rer, et l’on peut les regrouper sous le terme Ă©pistĂ©mologie Ă©tude de la science. Elles sont Ă©tudiĂ©es pour certains dans un langage commun, les mathĂ©matiques et la chimie, ou l’observation de corrĂ©lations et de rĂ©gularitĂ©s. Pourtant, elles devraient ĂȘtre connues de tout un chacun, car nous en avons aujourd’hui les moyens, sans passer par des paraboles religieuses, selon les États dans lesquels elles s’exercent. Car si quelqu’un prenait le temps de réécrire les livres religieux afin de les ajuster aux rĂ©sultats de nos sciences, nous nous apercevrions qu’ils ne sont que les consĂ©quences de l’étude interprĂ©tative de l’homme et du monde avec les seuls moyens dont les hommes de l’époque disposaient leur rĂ©flexion. Et il n’est pas dit que certains de ces hommes, s’ils avaient disposĂ© des moyens technologiques qui sont les nĂŽtres, n’auraient pas Ă©taient pour quelques-uns des gĂ©nies, et d’autres de terribles tyrans. Et si JĂ©sus expliquait par une parabole qu’il n’y avait pas lieu de jeter des pierres Ă  la prostituĂ©e, j’ai expliquĂ© la mĂȘme chose en m’appuyant sur ce que la science a mis en Ă©vidence par la thĂ©orie du chaos. Mais voilĂ , JĂ©sus ne disposait pas d’ordinateur, et il a du se servir d’une mĂ©thode psychanalytique que l’on appelle l’ tout ce que nous dĂ©couvrons sur nous et notre monde doit ĂȘtre regardĂ©, non comme vĂ©ritĂ© absolue, mais comme information/communication d’une voie rationnelle dynamique Ă  tendance non linĂ©aire », offrant comme repĂšres ordre une route de circulation jalonnĂ©e d’oĂč peuvent partir toutes bifurcations. Cela, jusqu'Ă  ce que l’une ou plusieurs d’entre elles deviennent Ă  leur tour des routes jalonnĂ©es offrant d’autres voies de bifurcations. Des voies oĂč le rationnel et le non linĂ©aire demeurent la voie commune pour avancer ensemble, sans constituer la voie obligatoire, bordĂ©e d’interdictions de sorties idĂ©ologiques ou de sachant Ă©galement que la linĂ©aritĂ© et la rationalitĂ© ne sont pas la vĂ©ritĂ©, mais seulement une mĂ©thodologie de comprĂ©hension et de rĂ©alisation de notre Tout, car nous ne pouvons l’exprimer que par le seul langage. Et ce, d’autant plus que nous le conditionnons Ă  une expression rĂ©duite par nos dĂ©finitions en refoulant une partie d’elles sous le paraĂźtre biensĂ©ant ainsi que nous avons sĂ©parĂ© le raisonnement Ă©conomique, politique, et religieux, comme si nous les vivions sĂ©parĂ©ment, sans qu’ils soient les uns dans les autres conduit Ă  de faux discours moi je ne me prĂ©occupe que d’économie », l’État ne doit pas s’occuper d’économie », moi je ne m’occupe que de l’esprit » etc. qui sont de vrais prĂ©textes hypocrites pour se voiler la face sur ce qui nous gĂȘne ou nous arrange dans les responsabilitĂ©s que nous voulons ou pas assumer dans la en connaissons l’histoire, mais quel est l’imbĂ©cile qui croirait que notre cerveau a fait cette sĂ©paration, d’autant plus que notre cerveau les relie au quotidien, et quand cela nous gĂȘne nous avons un inhibiteur tout trouvĂ© la monnaie.
pour monnaie c’est aussi notre miroir, et ce miroir reflĂšte notre insuffisance Ă  nous prendre en charge, puisque nous lui dĂ©lĂ©guons le rĂŽle de tout dĂ©terminer dans notre existence. Il n’est pas un problĂšme qui ne soit Ă©voquĂ© sans que nous en fassions un problĂšme Ă©conomique. Pour y conserver son rĂŽle, nous organisons la raretĂ© par l’utilisation d’un plan comptable qui est une voie commune qui quantifie le rapport offre/demande en monnaie, oĂč l’homme ne se regarde pas pour son devenir, mais par sa capacitĂ© Ă  produire et consommer, avec l’interdit de produire l’abondance, ce que se charge de rĂ©guler la voie ne signifie pas qu’il faille la rejeter, mais peut-ĂȘtre bifurquer ?D’autre part, nous passons une bonne partie de notre Ă©ducation Ă  nous convaincre que nous ne pouvons pas nous passer de la monnaie. Nous ne choisissons notre existence professionnelle et parfois privĂ©e, qu’en fonction du revenu d’un mĂ©tier, avec les frustrations de l’échec lorsque nous n’atteignons pas notre objectif. Ce choix raisonnĂ© de la production de nos besoins ne peut satisfaire Ă  l’expression de toutes nos sensations intĂ©rieures. Celles-ci se manifestent indĂ©pendamment de nous, et nous devons les refouler quand elles ne trouvent pas un terrain favorable Ă  leur ECPA offriront Une bifurcation, en dĂ©veloppant un terrain favorable Ă  l’expression de toutes nos – Ceci dans un monde oĂč je n’ai rien dĂ©couvert qui ne l’eut Ă©tĂ© par d’ un monde oĂč je n’ai rien dĂ©couvert
En rĂ©sumĂ© nous appartenons Ă  l’univers qui nous a créés et vers lequel nous retournons, nous sommes une de ses composantes, et comme lui nous reposons sur des lois qui exigent une Ă©quilibration de notre Être que nous perturbons par un ensemble de normes, et dont certaines nous empĂȘchent de constituer des groupes elles, particuliĂšrement le MĂ©rite, la norme mĂ©ritocratique, qui comme l’explique Pierre DACO Le MĂ©rite est une expression de pauvretĂ©. Ce terme disparaĂźtra sans doute avec l’évolution de l’humanitĂ©, et de l’éducation qui en dĂ©coulera. Il aboutit Ă  la peur angoissĂ©e de mal faire, de faire moins que le voisin, et d’ĂȘtre rejetĂ© pour incapacitĂ© ou impuissance, car ses critĂšres sont Ă©tablis par d’autres, et pour obtenir le MĂ©rite il s’agit de ressembler Ă  ces critĂšres ou de s’obliger Ă  leur ressembler ». Mais Ă  mon sens ce qui est le plus important dans son explication c’est que par ce bais, il explique que L’on peut ĂȘtre conduit Ă  vivre Ă  l’envers de Soi, pour obtenir cette ressemblance » car c’est une carotte, non pour aider quelqu’un Ă  devenir ce qu’il est, mais pour l’obliger Ă  ĂȘtre ce que l’on veut qu’il soit ». [172]Ceci n’est pas incompatible avec l’effort qui doit ĂȘtre accompli pour prendre sa place dans la sociĂ©tĂ© et de fait apprendre et subvenir Ă  nos besoins. Si pour poursuivre notre route matĂ©rialiste il est nĂ©cessaire que nous nous façonnions encore, Ă  la mesure d’un emploi, ne nous faudrait-il pas aussi comprendre la limite de la mĂ©ritocratie pour libĂ©rer des espaces pour l’affirmation de ce que nous sommes capable de vouloir ĂȘtre pour exister ?Encore un rĂŽle que peut remplir les pas triste de voir des retraitĂ©s dĂ©sabusĂ©s ne pas savoir-faire autre chose que celles pour lesquelles ils ont Ă©tĂ© façonnĂ©s, travailler ?N’est-il pas triste de voir des retraitĂ©s se sentir devenir inutile, quand ils doivent tĂŽt ou tard laisser leur place ?Quel est celui qui na pas Ă©prouvĂ© une sensation de rupture au moment de son dĂ©part Ă  la retraite ?Au-delĂ  de toutes les bonnes raisons que nous nous trouvons pour effectuer cette transition, c’est un changement existentiel. Il marque le choix d’une sociĂ©tĂ© de reconnaĂźtre Ă  partir d’un certain Ăąge un juste repos Ă  tous ceux qui ont contribuĂ© au dĂ©veloppement de cette consĂ©quence, la place que donne une sociĂ©tĂ© Ă  ses citoyens devenus ĂągĂ©s, ou en Ăąge de se retirer de la vie active, est l’image que chacun aura entretenue avec la notion de communautĂ© humaine. Sans cela, la notion de solidaritĂ© inter gĂ©nĂ©ration est je comprends difficilement que pour des raisons fictives de financement, une sociĂ©tĂ©, aussi technologique et aisĂ© que la nĂŽtre, envisage de prolonger l’ñge de la retraite sous le fallacieux prĂ©texte que chacun est libre de travailler jusqu’à l’ñge qui lui m’excuserez de ne pas vous citez les sources de l’image que je vais dĂ©velopper, car je ne fais appel qu’aux souvenirs de mes navigateur dans la dĂ©couverte des Ăźles ocĂ©aniennes rapportait la curieuse tradition d’une tribu, oĂč l’usage consistait Ă  faire grimper leur vieux Ă  un cocotier. Si le vieux tombait en montant, ou une fois en haut en ayant secouĂ© le cocotier, la tribu le mangeait. Nous, nous sommes devenus civilisĂ©s, nous nous envisageons de leur raccourcir la durĂ©e de vie de repos aprĂšs la pĂ©riode de travail, en augmentant la durĂ©e de celui-ci, et qui plus est parfois avec leur aval, car s’ils ne peuvent plus prouver qu’ils sont encore capables de grimper au cocotier ils ont l’impression de ne pas exister. Mais chacun peut avoir sa conception du progrĂšs, et de son intĂ©rĂȘt.
qui ne l’eut Ă©tĂ© par d’autres
Tout ce que j’écris, des hommes l’avaient compris bien avant moi, et avant nos scientifiques avec moins de moyens Ă  leur disposition ; les orientaux avec le Yin et le Yang taiji, hindouisme, etc., les occidentaux au travers des mythologies, de la Bible, le Coran et tant d’autres. Encore fallait-il que leurs successeurs aient les moyens de dĂ©coder et traduire les messages, plutĂŽt que d’en faire une codification religieuse immuable oĂč dans certains de ces ouvrages, le savoir y est prĂ©sentĂ© comme la connaissance spontanĂ©e transmise aux codification stricte leur a fait perdre le bĂ©nĂ©fice de toutes rĂ©formes en muselant l’agir social capacitĂ© d’une sociĂ©tĂ© de s’interroger et de se rĂ©former. Elle instaure l’immobilisme lĂ , oĂč nous savons qu’il n’y a que mouvement, l’équilibre lĂ , oĂč il n’y a que encore aujourd’hui le cas, sous la forme naĂŻve, quand les religions rapportent le message universel » ou la comprĂ©hension de la vie qu’elles ont toutes perçue[173]. NĂ©anmoins je dois reconnaĂźtre que leur stabilitĂ© offre une assise qui a pu absorber toutes les erreurs commises dans l’élaboration des sciences, et qu’il peut en ĂȘtre de mĂȘme aujourd’hui, tout en Ă©tant accessible au moins instruit ; mais la stabilitĂ© n’est qu’une Ă©tape cyclique vers une nouvelle entropie, tel le fait social, ou ce que nous appelons l’impuissance collective sont aussi des stabilisateurs nĂ©cessaires, car il est essentiel de comprendre que notre psychique ne rĂ©sisterait pas Ă  une perpĂ©tuelle remise en cause sans un apprentissage, mais c’est seulement quand ces stabilisateurs se figent se pĂ©trifient qu’ils deviennent une avons vis Ă  vis des thĂ©ories monĂ©taires le mĂȘme comportement qui reflĂšte celui humain de si auto justifier. De fait, ceux qui nous les expliquent nous les prĂ©sentent quelles qu’en soient les variantes comme Ă©tant incontournables, parce que calquĂ©es sur le comportement dit naturel ».C’est l’histoire de la poule et de son Ɠuf, L’un ne peut que donner l’autre et rĂ©ciproquement. Toute personne qui vous expliquerait que son Ɠuf peut donner un canard, passerait pour nos comportements ne sont pas immuables puisqu’ils dĂ©pendent fortement de notre apprentissage, et s’interroger Ă  leur sujet revient Ă  nous interroger sur nous revient Ă  nous remettre en cause, et naturellement ceux qui devraient le faire parce qu’ils en subissent les mĂ©faits, n’en ont pas les moyens intellectuels, aujourd’hui comme hier. Ce sont ces mĂȘmes qui vous traiteraient de fou si vous leur disiez qu’un Ɠuf de poule peut donner un canard. Alors ils se contentent parfois de rĂȘver de remplacer ceux qui les accablent, de prendre les armes, ou d’en appeler Ă  Dieu, ou de confondre la nĂ©cessitĂ© pour l’homme de rĂȘver d’ĂȘtre, et l’illusion d’ retrouvons lĂ  cette dichotomie de la mĂ©canique quantique, la rĂ©alitĂ© » et l’image de la rĂ©alitĂ©. Ce qui permet de faire la diffĂ©rence n’est que la capacitĂ© d’information que nous pouvons associer et quantifier pour concevoir quand nous sommes dans la rĂ©alitĂ© » ou son image. Une image rĂ©elle » qui peut tout aussi efficacement que la rĂ©alitĂ© » se concrĂ©tiser conceptuellement et somatiquement ; c’est le propre de toutes les pratiques Ă©sotĂ©riques ou occultistes[174] ; c’est le monde dans lequel nous vivons en le qualifiant soit de naturel ou de culturel. Mais pour cela encore faut-il trouver le temps d’apprendre ; ce qu’avaient fait les prĂȘtres initiĂ©s et les prophĂštes de toutes les confessions et philosophies, qui aujourd’hui seraient considĂ©rĂ©s comme des sociologues ou des psychiatres et psychologues, et autres capables de comprendre l’esprit humain de lui suggĂ©rer des cadres de sociabilitĂ©, mĂȘme si nous ne savons toujours pas d’oĂč nous viennent les totems et les tabous, et qu’ils aient Ă©tĂ© dans leur totalitĂ© la bonne rĂ©ponse au phĂ©nomĂšne ou aux phĂ©nomĂšnes qui les ont gĂ©nĂ©rĂ©s. Il y a des millĂ©naires que des hommes ont compris cela, pour y parvenir ils leur fallaient des annĂ©es interminables d’études et de mĂ©ditation pour, en lisant leurs Ă©motions en arrivaient Ă  avoir une image du monde, et de la relation qui les y unissaient, de telle sorte que les plus avertis, les autres les qualifiaient de sages, de maĂźtres et autres. Aujourd’hui une partie de cette sagesse est comprĂ©hensible Ă  tout un chacun par l’intermĂ©diaire des lois que nous pensons rĂ©gir l’univers avertissement grĂące Ă  l’invariance d’échelle[175], car en nous dĂ©couvrant nous dĂ©couvrons notre l’univers celui de notre regard et de nos techniques, et en dĂ©couvrant notre univers nous nous n’ai donc rien dĂ©couvert, nous n’avons rien dĂ©couvert d’autres que la capacitĂ© de rĂ©aliser, de dĂ©finir, et dĂ©montrer l’existence des images mentales que faisaient nos pour comprendre l’univers, il a Ă©tĂ© nĂ©cessaire de descendre dans l’infiniment petit, nous devons ensuite remonter jusqu’à l’ensemble, car c’est dans le TOUT que l’humain vit, ou du moins dans l’idĂ©e que nous avons de ce scientifiques ont fait la descente dans l’infiniment petit. Ce fut la dĂ©couverte de l’an deux mille, l’état quantique ». Il reste Ă  l’assembler et en comprendre ses l’Homme il en est de mĂȘme, il est nĂ©cessaire de comprendre de quoi il se compose, et comment il fonctionne pour en comprendre son ensemble, tout comme l’agir de son ensemble est indicateur des voies Ă  Ă  dire sa collectivitĂ©, sa communautĂ©, car la seule rĂ©alitĂ© agissante qui existe est sa collectivitĂ©, et sa collectivitĂ© commence Ă  deux, et fini Ă  six milliards en relations. Ceci mĂȘme s’il s’avĂšre nĂ©cessaire par souci d’efficacitĂ© de la personnifier pour se regrouper, en famille, clans, groupes, cultures. En effet si chacun suivait son individualitĂ©, nous vivrions sans contacts, tous sĂ©parĂ©s, et l’espĂšce culturalisĂ©e que nous sommes en mourrait. Analyser cette collectivitĂ©, dĂ©pense et le TOUT, ce fut et c’est toujours lĂ  le travail de la psychologie, sociologie, etc., ainsi que de chacun d’entre nous, c’est cette action d’analyse qui se comprend aussi sous le terme de philosopher ». Un terme qui est connotĂ© aujourd’hui, comme ne reprĂ©sentant presque que des irrĂ©alistes, des coupeurs de cheveux en quatre, le plus souvent par des cartĂ©siens qui vivent sans en prendre conscience dans un monde plus virtuel que celui des philosophes, celui de la pour la monnaie il est aussi nĂ©cessaire d’analyser son usage, sauf que ses thĂ©oriciens ont fini malgrĂ© eux par lui donner un caractĂšre de science qu’elle n’a pas, et c’est cela que je lui conteste le caractĂšre de dĂ©itĂ© qu’elle a acquis ; je lui conteste l’image du pĂšre » auquel elle se substitut ; son caractĂšre de structuration » du le comprendre il faut remonter jusqu’à la prĂ©histoire. De tout temps l’Homme a entretenu des relations indicibles avec ceux qu’il reconnaissait ĂȘtre les sources nourriciĂšres ou structurantes de son existence que nous avons dĂ©finie. Il en a vĂ©nĂ©rĂ© les plantes, les animaux, les astres, et il s’est toujours identifier Ă  ce dont il percevait devoir sa dĂ©pendance et son pouvoir. Il a conçu des dieux dont il s’est fait l’interprĂšte pour gĂ©rer sa vie socio-Ă©conomique, s’appuyant pour toute science, sur la divination, l’exorcisme, l’astrologie, la prophĂ©tie etc.
. En cela nos constructions conceptuelles n’ont pas Ă©voluĂ©. C’est ce que nous faisons quand pour expliquer nos thĂ©ories monĂ©taires, nous utilisons le terme de science Ă©conomique et sociale », laissant entendre qu’il ne peut pas ĂȘtre fait autre chose, puisque c’est de la science, comme d’autres disaient Ă  leur Ă©poque c’est la cela n’est pas, mĂ©connaĂźtre la monnaie comme instrument d’utilitĂ© fonctionnelle ou comme gĂ©nĂ©ratrice de rĂȘve. Ce serait une erreur monstrueuse de vouloir tuer le rĂȘve qui en dĂ©coule, cela reviendrait Ă  tuer l’ pour cela qu’il faut du temps millĂ©naires et de l’intelligence informations pour transporter le rĂȘve » vers d’autres buts, au travers de la qualification mesurable » Ă©conomie de ces que nous avons installĂ© au travers du systĂšme libĂ©ral peut se rĂ©sumer en une phrase cĂ©lĂšbre dans l’histoire de France attribuĂ©e Ă  Louis XV, aprĂšs moi le dĂ©luge ».Si devoir se mesurer » permet de s’organiser, ce n’est pas pour se construire Ă  la mesure de la mesure » pour devenir elle ; l’utilisateur d’un vĂ©lo devient cycliste et nous savons que l’homme n’est pas conçu pour vivre sur un vĂ©lo. A utiliser la monnaie nous devenons monĂ©taristes et nous ne sommes pas fait pour cela non Mais il ne faut pas se tromper de cible pour essayer de vivre mieux, et ne pas rejeter tout du systĂšme libĂ©ral parce qu’il flatte l’individualisme qu’il a mis en Ă©vidence par il ne faut pas se tromper de cible
Ce n’est pas le rĂŽle d’échange de la monnaie que je mets en cause, mais les nĂ©vroses qu’elle dĂ©veloppe au travers des critĂšres d'obtention, particuliĂšrement celui de culpabilitĂ©, d’infĂ©rioritĂ© et de libĂ©ration de dĂ©sirs ce n’est pas une maladie que d’ĂȘtre riche, tous ceux qui ne peuvent l’ĂȘtre deviennent malades, et c’est ce mal lĂ  qu’il faut soigner. Comme je ne suis pas docteur en Ă©conomie ce n’est pas de moi que viendra la solution, mais de nous tous, quand nous aurons cessĂ© de croire que chacun d’entre nous est un petit nous apprĂ©henderons, le fait que ceux qui nous le font croire se nourrissent de notre espĂ©rance ; quand nous aurons assimilĂ© que la monnaie est notre reflet ; quand nous comprendrons et changerons nos comportements, alors nous modifierons son rĂŽle, tout comme celui de la loi du monnaie n’à jamais tuĂ© personne, et si des ĂȘtres se sont donnĂ©s la mort Ă  son sujet se sont leurs projections nĂ©vrotiques qui les ont tuĂ©s, et non une ligne de chiffres sur un bout de en est de mĂȘme pour la Bible, le Coran et autres Ă©crits qui, posĂ©s sur une mĂȘme table se couvrent de poussiĂšre, et jaunissent Ă  la ne faut donc pas se tromper de cible.
 pour essayer de vivre mieux
Nous ne devons pas oublier que nous ne sommes, comme je l’ai dit, que des particules », perçus Ă  nos yeux comme matiĂšre. Cette matiĂšre au mĂȘme titre que n’importe quel ensemble de l’univers en mouvement produit et consume de l’énergie. De ce fait tous nos agissements en consument, et nous l’usons d’autant plus vite que nous vivons ou fonctionnons qui nous permet de le savoir, ce sont nos sensations qui peuvent ĂȘtre traduites par un seul mot, aimer j’aime ou je n’aime pas.Si nous aimons, nous consumerons le minimum d’énergies et en recevrons de l’extĂ©rieur des autres. Nous serons donc en harmonie » avec l’ l’inverse, si nous n’aimons pas, nous consumerons beaucoup plus d’énergie sans en recevoir et nous nous userons plus vite, en un mot nous tomberons signifie que nous devons apprendre Ă  traduire les conflits qui dĂ©terminent nos besoins, et ceux qui nous minent. Nous devons pouvoir recevoir de l’extĂ©rieur ou de notre propre capacitĂ© psychique, l’énergie qui lĂ  contre ce que nous faisons chaque fois qu’une activitĂ© professionnelle ne nous plaĂźt pas, et que nous trouvons un Ă©panouissement dans une autre activitĂ© qui nous aide Ă  supporter la premiĂšre, faute de la comprendre. Ce que nous faisons chaque fois que notre construction psychique close s’ouvre Ă  l’autre, au message est entre autres dans la Bible et bien d’autres Ă©crits, mais qui donc cette Ă©poque, pouvait expliquer aux hommes que, aimez-vous les uns les autres » ou aimez votre prochain comme vous-mĂȘme », ne signifiez qu’ĂȘtre en harmonie » avec les lois physiques universelles qui rĂ©gissent la matiĂšre. Lois que nous connaissons imparfaitement, mais dont une chose est sure, elles nous habitent puisque nous sommes parties intĂ©grantes de l’univers et pas au-dessus. Ceci bien qu’il nous plaise parfois de le croire, et nous ignorons qu’elles sont faites pour nous permettre de nous Ă©panouir, mĂȘme si elles incluent notre propre propre mort comme salut de l’ n’est donc pas nĂ©cessaire de l’anticiper, surtout quand nous sommes capables de maĂźtriser la production de nos ressources alors que nous organisons la raretĂ© de la monnaie pour justifier d’une sĂ©lection naturelle, quand nous pouvons dĂ©velopper son abondance et maĂźtriser notre dĂ©veloppement psychique, pour ne pas ĂȘtre la mesure », le vĂ©lo. De ce fait, en maintenant des luttes fratricides, nous justifions notre vue de la sĂ©lection naturelle », ces lois naturelles » qui ont souvent bon dos pour justifier nos actes Ă  voir le nombre de maladies que nous dĂ©veloppons, hors luttes inter organismes bactĂ©ries, virus et dĂ©ficiences, nous ne sommes que dans une perpĂ©tuelle dysharmonie ». Dysharmonie que nous nous transmettons culturellement, dont nous prenons consciences, aussi par intuition, mais qui demande beaucoup de temps de comprĂ©hension, et de rĂ©formation Ă©ducative. D’autant que nous ne l’exprimons pas toujours clairement comme nous l’avons fait en 1968 par le slogan Il est interdit d’interdire ».Ainsi, certaines de nos relations avec la monnaie issues de nos nĂ©vroses nous en crĂ©ent en retour. Cela signifie clairement que nos thĂ©ories monĂ©taires ne rĂ©pondent pas Ă  notre universalitĂ© ou au fonctionnement des lois communes qui rĂ©gissent notre espĂšce depuis que l’homme est sorti de son biotope. Ainsi pour vivre mieux dans des espaces qui ne sont pas ceux de son origine, l’homme a rĂ©alisĂ© les images de son cerveau. Et si notre inconscient nous rappelle nos origines, par l’enseignement et la connaissance tout au long de l’existence de maniĂšre dynamique, nous pouvons le domestiquer » pour vivre mieux et Ă©viter les usages nĂ©fastes que nous faisons du nous retenons que chez l’humain le mĂąle ne songe qu’à s’accaparer les femelles, qu’à s’accoupler avec sa fille, et que le fil ne songe qu’à tuer le pĂšre pour refaire la mĂȘme chose, en l’absence d’inhibiteur structurant pour prolifĂ©rer, il apparaĂźt donc que le meilleur moyen d’éviter la consanguinitĂ©[176] soit l’isolement individuel ; sous rĂ©serve que le biotope en offre les conditions pouvons-nous dĂ©rouler un raisonnement qui nous conduirait Ă  dire que l’espĂšce Humaine, de part sa capacitĂ© destructrice intra espĂšce qui Ă©mane de chaque individu, est vouĂ©e Ă  vivre isolĂ©ment et ne se retrouver que pour la copulation sĂ©lective pour ĂȘtre en harmonie ?Et ne peut-il y avoir de communautĂ© que parce que l’Un est capable de soumettre les Autres Ă  partir de l’instant oĂč l’homme a dĂ» se regrouper pour chasser ?Certainement je peux oser le dire pour imaginer l’origine de nos comportements qui se sont structurĂ©s autour d’interdits afin d’assurer une cohĂ©sion et une sociabilitĂ© du groupe ; et partant de lĂ  considĂ©rer que toute organisation et idĂ©ologie qui conduiraient Ă  favoriser l’individualisme Ă©gocentrique et la famille mono parentale mĂšre enfant exclusivement nous rapprocherait de nos origines qu’aucune trace d’étude palĂ©oanthropologique ne permet de le dire, hormis le constat suivant Avec les premiers hommes naĂźt une notion nouvelle formĂ©e de la flexibilitĂ© adaptative, c’est Ă  dire la possibilitĂ© de s’intĂ©grer au groupe, et de l’homogĂ©nĂ©isation par la culture ; dans la mesure oĂč l’apport culturel pĂšse plus que le milieu naturel».[177] Mais voilĂ  cela nous ramĂšne Ă  idĂ©ologique Africanus entre 2 et 3 millions d’annĂ©es, avant l’homo habilis 2 millions d’annĂ©es qui lui dĂ©jĂ  vivait en groupe et utilisait des outils qui se transmettent par l’appris, preuve d’une intelligence[178] ; et je doute que l’instinct suffise Ă  fabriquer des outils pour chasser sans conscience de la mort et de soi. Aujourd’hui nous avons une conscience culturalisĂ©e, qu’elle soit due ou non Ă  une erreur de l’évolution, qui est capable de tromper » l’innĂ©e, de tromper l’inconscient. C’est Ă  dire que nous sommes capables de lui donner une image de lui, de lui donner une projection de lui-mĂȘme recomposĂ©e par notre activitĂ© cognitive. C’est cela que nous faisons en ayant dĂ©veloppĂ© une activitĂ© culturelle, et cette activitĂ© se trouve souvent en confrontation avec l’innĂ©, duquel nous exigeons qu’il se plie aux usages culturels. Nous demandons Ă  la rĂ©alitĂ© sensible biologique de se conformer Ă  l’image de la rĂ©alitĂ© qu’elle a traduite cognitive pour donner une nouvelle rĂ©alitĂ© bio cognitive » qui affectera Ă  nouveau le biologique et le cognitif. Sauf que les Ă©volutions demandent des millions d’annĂ©es avant de s’inscrire peut-ĂȘtre dans les gĂšnes, et que durant ce laps de temps ceux-ci veillent Ă  reproduire les structures pour lesquelles ils ont Ă©tĂ© conçus. Ainsi l’individualisme Ă©gocentrique ne serait qu’un retour aux sources, et il ne supporterait pas l’Autre. Il se serait ou aurait Ă©tĂ© contraint Ă  s’identifier dans la famille, le clan, le groupe, la culture, il se serait ou serait sorti de la soumission Ă  l’autre, et il ne manquerait qu’à lui permettre se s’associer pour le conduire Ă  l’espĂšce. Pourquoi alors un Ă©gocentrisme qui nous aurait conduit Ă  l’évolution durant 2 millions d’annĂ©es en quelque 4000 mille ans premier charnier de l’ñge du bronze, nous mĂšne Ă  l’auto destruction ? Peut-ĂȘtre parce que l’égocentrisme s’accommode fort mal d’une organisation Ă©conomique construite autour de lui et dĂ©finie par l’axiomatique d’Adam Smith P. 349. C’est Ă  dire que l’égocentrisme permet de faire face aux situations qu’il juge lui ĂȘtre hostile pour le dĂ©veloppement de l’organisme biologique qui le porte. On peut donc en conclure que son expression ne tient qu’au constat de la perception d’un environnement hostile, or aujourd’hui celui-ci est le produit et la crĂ©ation d’une conscience, d’une intelligence, que nos sens seuls ne peuvent plus dĂ©crypter sans apprentissage, sans intelligibilitĂ© du global par le local, du monde par l’Homme, sauf que c’est l’Homme qui regarde le monde et en donne une dĂ©finition. Et cet apprentissage va lui proposer des schĂ©mas de fausses certitudes sans cesse hostiles, que l’on doit en permanence anticiper, car toute organisation va se dĂ©sorganiser et crĂ©er une incertitude ressentie comme hostile. Et si nous regardons l’univers, notre monde, nos cultures, nos États, nos rĂ©gions, nos communes, nos villes, nos groupes, nos clans, nos familles, un individu, une cellule organique, tous rĂ©pondent Ă  cette constante. Cela correspond au principe de la gĂ©omĂ©trie fractale dĂ©couverte par Mandelbrot que tout ensemble est composĂ© dans l’infiniment petit de la mĂȘme structure que l’ensemble qu’il compose d’une invariance d’échelle note 173. Ainsi, rien n’échappe Ă  l’égocentrisme, ni nous, ni nos États, ni nos cultures, ni le monde, et s’est de notre habiletĂ© Ă  l’ordonner que dĂ©pende notre bonheur Ă©phĂ©mĂšre sans cesse renouvelĂ© ; et il semblerait que nos illustres ancĂȘtres, que nous qualifions de primates, y soient parvenus mieux que n’y a donc aucune raison que nos organisations Ă©conomiques ne soient autre chose que le reflet inconscient de l’Un qui soumet les Autres ou de l’Un qui veut vivre seul, et cela se retrouve jusque dans la course Ă  la production de notre armement. Nous pouvons donc nous interroger pourquoi elles ne conduisent pas Ă  un Ă©panouissement harmonieux malgrĂ© le confort qu’elles ont apportĂ©. Et Ă  travers elles, nous mettons donc en danger cette fabuleuse capacitĂ© qu’est la conscience qui nous donne la facultĂ© de nous associer, de synthĂ©tiser les informations que nous captons pour nous associer, parce que nous baignons dans une structure » note 17 qui nous le permet. Et en cela il n’y a rien de contre nature, car la nature c’est notre universalitĂ©, l’univers de forces physiques en mouvement qui favorise la crĂ©ation par l’organisation Ă©volution Humaine, certains la qualifient d’hominisation, mais les individus n’en seront porteurs que si l’environnement est de nature Ă  exiger l’adaptation de l’innĂ©, c’est Ă  dire que cela peut venir d’une activitĂ© collectiviste » de ses membres, du culturel Ă©vĂ©nement en soi ». Car je ne pense pas qu’il y ait un dĂ©terminisme absolu, mais plus une dynamique dĂ©pense » alĂ©atoire du traitement des informations qui nous constituent, que nous devons ajuster Ă  la mĂ©moire originelle universelle de ce que nous sommes, notre inconscient qui gĂ©nĂšre l’égocentrisme. Les maĂźtres anciens de l’Inde et de la chine l’appelaient le Vieil homme » ; celui qui se cramponne Ă  cette conscience qu’il a durement acquise aprĂšs que sa vie est traversĂ©e d’innombrables souffrances et plaisirs anonymes pour ĂȘtre ce qu’il est. Et qui ne voulant pas abdiquer se cramponne dans notre mĂ©moire inconscient, et agit dans ce sens en notre est donc nĂ©cessaire de comprendre que quelqu’un qui dispose d’une certitude absolue peut se suicider car il est dĂ©jĂ  mort. En fait c’est un mort vivant qui ne pourra plus rien apporter au monde, hormis sa destruction, car pour vivre il ne peut dĂ©velopper que la mort qu’il pour vivre mieux cela ne dĂ©pend que de tout ce que nos prĂ©dĂ©cesseurs avaient compris, et pourvu que nous parvenions Ă  mieux les redĂ©finir ou dĂ©montrer.
 et ne pas rejeter tout du systĂšme libĂ©ral parce qu’il flatte l’individualisme » Il me reste tout de mĂȘme Ă  rendre un hommage Ă  la monnaie celui d’avoir par sa fonctionnalitĂ©, facilitĂ© et permis Ă  l’Homme de se doter du temps et d’outils pour se a dĂ» pour cela se libĂ©rer, contre vents et marĂ©es, de la contrainte de produire exclusivement soutenue par tous les libĂ©raux attardĂ©s et autres qui font du travail une vertu, ou une punition lui reste Ă  se libĂ©rer de la cupiditĂ© financiĂšre, et il reste Ă  permettre aux Hommes de comprendre pour ceux qui en feront l’effort, qu’ils ne sont rien, parce que l’évolution se fera avec ou sans eux. Mais aussi qu’ils sont Tout » parce qu’ils appartiennent Ă  un univers qui a fourni Ă  l’espĂšce humaine un cerveau rĂ©troactif qu’elle doit encore si grĂące au libĂ©ralisme l’homme a accĂ©dĂ© Ă  cette fonction de pĂšre frĂšre » P. 291 il lui faut arriver Ă  gĂ©rer l’obsession de la toute puissance, dont la monnaie fournit les moyens.
 qu’il a mise en Ă©vidence par la veux dire par-lĂ , que l’ego habite chaque Etre Ă  l’identique. Que ce que nous appelons individualitĂ© n’est qu’une lecture imparfaite de notre ego diffĂ©renciĂ© s’associant aux autres alter ego que nous croyons ĂȘtre le seul Ă  possĂ©der pour dĂ©velopper des sociĂ©tĂ©s aux normes imparfaites le monde. Ces sociĂ©tĂ©s qui façonnent obligatoirement des organisations systĂ©miques imparfaites, culture sociĂ©tale», enseignement, justice, notre ego diffĂ©renciĂ© dans un monde en relation pour concourir Ă  la crĂ©ation de ses ressources recherche malgrĂ© nous son reflet dans l’autre, et chacun de nous se livre Ă  cette activitĂ© la recherche de l’esprit de l’autre. Cet ego n’existe que par les autres ajoutĂ©s au mien forment un Tout. Ce Tout c’est la collectivitĂ© des ego » identiques au mien, et sans ces autres, le mien ne crĂ©erait rien, et n’existerait mon ego se trouve dans celui des autres, si je complĂšte le mien avec ceux des autres je n’ai plus besoin de haĂŻr ou tuer, puisqu’ils sont mon reflet et que je suis le leur, mĂȘme si nous ne devons pas dĂ©velopper les parts de nos ego » que nous n’aimons n’empĂȘche nullement le dĂ©veloppement de la personnalitĂ©, qu’elle soit liĂ©e aux diffĂ©renciations gĂ©nĂ©tiques, caractĂšres morphologiques et caractĂšres psychologiques dominants ou aux diffĂ©rences gĂ©ohistorique » cultures.Ceci n’empĂȘche nullement la diversitĂ© identificatrice le besoin d’une identitĂ©.Ceci n’empĂȘche pas de s’attacher, par transfert, Ă  des objets, des animaux, car ils sont des interfĂ©rents du nous permet de ne pas personnifier des concepts qui ne sont qu’agrĂ©ments au-delĂ  de ce qui est nĂ©cessaire pour rendre compte de la satisfaction que nous en retirons, dont beaucoup comblent des vides relationnels ou d’ ne conduit pas au fantasme de l’uniformitĂ© agitĂ© comme un Ă©pouvantail, car cette uniformitĂ© est dĂ©jĂ  rĂ©alisĂ©e, c’est l’espĂšce, et que l’infini nous est interdit, et qu’il nous sera donc toujours possible de nous situer sur une Ă©chelle de 0 Ă  l’ est donc important de comprendre que nous sommes semblables et nous avons fixĂ© une limite Ă  cela en dĂ©veloppant la concurrence hĂ©gĂ©monique des ego » atrophiĂ©s ou Ă©triquĂ©s par mĂ©connaissance. Je vais en dĂ©velopper l’exemple Ă  partir de la nĂ©cessitĂ© de se diffĂ©rencier instrumentalement, pour appartenir Ă  ses semblables, sa famille, son clan, son groupe, sa d’entre nous porte un signe culturel pour se distinguer des autres, malgrĂ© les signes morphologiques ; pourtant certains de ces signes distinctifs remontent Ă  des pratiques coutumiĂšres qui se perdent dans les Ăąges de notre histoire. NĂ©anmoins certaines demeurent vivaces, comme le tatouage, le piercing, la scarification cicatrices dans les chairs, les mutilations d'organes gĂ©nitaux, etc. Heureusement le monde occidental et d’autres sont passĂ©s Ă  des reprĂ©sentations moins traumatisantes ou plus discrĂštes et esthĂ©tiques, telle le baptĂȘme, les boucles d’oreilles, mais elles n’en demeurent pas moins prĂ©sentes. Et si pour nous reconnaĂźtre dans l’autre, il fallait se partager les signes identificatoires, nous ne serions que plaies, nous croulerions sous le poids des fĂ©tiches. Il y a donc lĂ , pour tous se reconnaĂźtre au travers des symboles une incapacitĂ© technique Ă  se les partager, les adopter, qui est forcĂ©ment source de conflits par la sacralitĂ© confĂ©rĂ©e souvent Ă  leur symbolisme. MalgrĂ© cela comme je l’ai dĂ©jĂ  dit, mĂȘme Ă  l’autre bout du monde nous rencontrerons quelqu’un qui nous ressemble ; mais cela c’est l’intelligence qui le saisit, pas les symboles. MĂȘme s’ils sont d’utilitĂ© sociologique et psychique pour conceptualiser la diversitĂ© gĂ©ohistorique et pour nous sĂ©rier ; ils doivent ĂȘtre conçus et interprĂ©tĂ©s de telle maniĂšre que l’on puisse s’en sĂ©parer face Ă  notre Ă©volution acculturante ».Et aujourd’hui oĂč la connaissance complexe des relations humaines peut nous aider Ă  mieux nous harmoniser », nous la relĂ©guons au seul rĂŽle de support de la monnaie. Nous l’utilisons le plus souvent comme moyen de flatter au mieux, celui que nous dĂ©sirons exploiter au maximum. Les relations humaines, contrairement Ă  leur nom, ne sont pas toujours utilisĂ©es pour faciliter les relations entre les individus, mais plus pour les mouler, et chaque fois qu’apparaĂźt une dĂ©couverte scientifique permettant de mieux dĂ©finir les capacitĂ©s ou les insuffisances des individus, certains responsables de groupement voient dans ces innovations l’utilitĂ© d’une sĂ©lection des meilleurs jusqu’à prĂ©sent la graphologie, le thĂšme astral Ă  l’usage d’une embauche, ou autres, de part leur mise en Ɠuvre ne concernaient qu’un groupe restreint d’individus, mais avec la gĂ©nĂ©tique il est Ă  craindre des tentations de recherche d’individus sains » dans tous les domaines, comme d’autres en voulaient des purs ». Ceux lĂ  le faisaient pour un idĂ©al racial, tandis que nous risquons de le faire seulement pour une rentabilitĂ© financiĂšre. Ceci si nous ne savons pas faire la diffĂ©rence entre se prĂ©munir des risques pathologiques, et rechercher des individus correspondant aux critĂšres de l’efficacitĂ© industrielle et sociĂ©tale nous justifier de tout cela, nous vĂ©hiculons une affirmation qui stipule qu’il ne peut y avoir crĂ©ation qu’à l’occasion de la concurrence ou de l’affrontement. Cette vision justifiant nos excĂšs ne repose que sur la propre observation de notre existence imparfaite, Ă©rigĂ©e en rĂšgle par nous mĂȘme et renouvelĂ©. Pourtant nous savons maintenant qu’en excitant trop fortement notre cerveau reptilien thalamus, pour solliciter une rĂ©ponse du cortex frontal, nous jouons avec la violence. Nous jouons avec cette violence quand, quelles qu’en soient les raisons, au nom de l’individualitĂ© nous poussons chacun d’entre nous Ă  se dĂ©finir comme supĂ©rieur Ă  l’autre, se reprĂ©senter l’alter ego comme un obstacle Ă  ses dĂ©sirs, et s’en Ă©carter plutĂŽt qu’à s’assembler. C’est Ă  dire de n’accepter la collaboration que dans le cadre de la domination de l’ si nous estimons que les rĂšgles qui ont créé l’univers, qui ont bĂąti un ensemble universel aussi animĂ© » et variĂ© pour le peu que nous en connaissons et voyons, il y a peu Ă  craindre d’une harmonisation » note 26 des ego », et peut-ĂȘtre tout en ces ego », composĂ©s des mĂȘme forces que celles de l’univers qui donnent naissance Ă  la variĂ©tĂ© d’opinions issues de l’impossibilitĂ© de voir se dĂ©rouler deux existences Ă  l’identique, car se reconnaĂźtre est se comprendre, s’associer, vivre ensemble, n’est pas vivre Ă  l’ – Et nous prendrons sur nous d’expliquer le mystĂšre des choses, par ceux qui ne sont pas forcĂ©ment les plus aptes, mais ils nous nous prendrons sur nous d’expliquer le mystĂšre des choses
Ainsi, notre imperfection nous a conduits Ă  dĂ©tenir le seul vĂ©ritable pouvoir dont nous disposons sur l’univers, l’aptitude Ă  nous Ă©radiquer avant notre terme par la production d’armes de destruction de masses. Un paradoxe pour des ĂȘtres dont le souci est l’inquiĂ©tude de la mort et l’espĂ©rance de vivre aurait-il pas une autre voie Ă  dĂ©velopper dans la recherche d’une harmonisation » oĂč la monnaie aurait toujours son rĂŽle ?Shakespeare a Ă©crit dans le Roi Lear, v, 3, et nous prendrons sur nous d’expliquer le mystĂšre des choses. Comme si nous Ă©tions des espions de dieu ? ».Aujourd’hui nous avons pas mal avancĂ©, mĂȘme si nous ne sommes que des enfants de l’univers, et nous le devons Ă  de grands nombres de dĂ©couvreurs, dont chaque Ă©poque les a vus contestĂ©s ou qu’ils ont dĂ©couvert et ce que dĂ©couvrent nos contemporains ne doit pas rester l’affaire d’ connaissances doivent ĂȘtre connues de chacun et nous ne devons pas nous y opposer au motif qu’elles ne peuvent pas conduire Ă  une source de profits remet en cause certaines bases de notre enseignement, particuliĂšrement l’absence de la philosophie appropriĂ©e dans l’enseignement primaire, la rĂ©duction du temps consacrĂ© Ă  la maĂźtrise du français les outils utiles pour ĂȘtre un citoyen, Ă©galement ses moyens pĂ©dagogiques. Car dans un monde de connaissances pluridisciplinaires approfondies nous continuons Ă  fabriquer des rationalitĂ© n’est pas suffisante pour saisir la rĂ©alitĂ© », nous le savons trĂšs bien en Ă©tant contraint de nous exprimer dans un ordre Ă©tabli construit, alors que notre esprit pense en un Tout que nous n’exprimons jamais complĂštement. Ceci nous conduit Ă  construire des champs de pensĂ©e, corriger, rectifier, prĂ©ciser des pensĂ©es que d'autres nous prĂȘtent, et que nous n’avons pas su exprimer. En plus, nous supprimons la gestuelle et la mimique comme inconvenantes, demandant aux hommes de s’exprimer comme des glaçons, comme si le dictionnaire pouvait contenir tous les mots exprimant le certains scientifiques ne craignent pas de vulgariser leurs travaux, et certaines revues de les relayer pour les mettre Ă  la disposition des nous continuons Ă  vouloir ignorer notre rĂ©alitĂ© », qu’une partie de la science a mise Ă  notre que notre monde, et notre vie ne sont qu’une image de notre cerveau qui transforme des signaux, comme nous le faisons pour transporter des images, des sons ou crĂ©er des mondes virtuels sur nos que nous ne voyons pas le monde tel qu’il est, sans couleur et sans bruit, que si nous ne passons pas au travers des murs, ce n’est pas parce que le mur est dur, cette notion de duretĂ© est essentiellement humaine. Le mur est dur parce que les champs forces qui lient ses atomes ne peuvent pas ĂȘtre dissociĂ©s sans une intervention qui casse leur liaison, sans cela nous nous mĂ©langerions au diffĂ©rence se fait dans la composition des molĂ©cules et des informations » qui concourent Ă  leur formation. Ensuite, il est facile d’imaginer la quantitĂ© d’informations nĂ©cessaire pour constituer et organiser un organisme macromolĂ©culaire comme l’humain ou toutes espĂšces vivantes, pour passer de la matiĂšre inerte comme le mur Ă  de la matiĂšre organique interactive, agissante. Il en est ainsi de toutes choses, et pas parce que notre nombrilisme humain nous fait considĂ©rer que nous sommes un ĂȘtre supĂ©rieur issu de je ne sais pas vais me permettre un parallĂšle avec la Bible, sans vouloir froisser les croyant. Dans la Bible, GENESE 1 /27, il est Ă©crit Dieu crĂ©a les ĂȘtres humains Ă  sa propre ressemblance ; Il les crĂ©a homme et femme. »Je peux l’interprĂ©ter en disant propriĂ©taire, par les informations qu’il dĂ©livre ou dĂ©tient, assemble les ĂȘtres humains Ă  sa ressemblance. Il les assemble homme et femme. Les deux veulent dire la mĂȘme chose, pour la bible, c’est Ă  dire que la puissance de Dieu se trouve en chacun homme et femme les deux Ă©tant liĂ©s, puisqu’ils sont Ă  la ressemblance de Dieu. Pour ma libre interprĂ©tation, cela signifie que les forces qui composent l’Univers sont dans chacun homme et femme, l’anima et l’animus qui sont Ă  la ressemblance de l’ que nous a apportĂ© la science, c’est que nous ne sommes qu’énergie Ă  l’égale de celle qui compose l’univers, que quand nous mourons elle retourne Ă  l’Univers, de la mĂȘme maniĂšre que la Bible enseigne que le corps devient poussiĂšre, et que l’ñme retourne Ă  la vie les croyants se rassurent, il reste de la place pour un Dieu crĂ©ateur de l’univers, et encore pour quelque temps pour la conscience, jusqu'Ă  ce que les chercheurs aient pu trouver la grande thĂ©orie UnifiĂ©e[179]. ThĂ©orie dont ils pensent qu’elle nous ouvrira l’esprit Ă  la comprĂ©hension des interactions qui unissent les forces de l’univers que nous connaissons, et qui nous il restera toujours une place pour des dieux, car comprendre l’univers ne signifie pas y inhĂ©rent Ă  un matĂ©rialisme et un spiritualisme qui ne sont que deux philosophies sĂ©parant ce qui est uni, la crois que sans trop de risque je peux avancer, sans connaĂźtre Ă  la perfection toutes les croyances humaines qui se sont idĂ©alisĂ©es, qu’elles sont toutes sous-tendues par le mĂȘme questionnement[180]. Qu’elles y donnent toutes la mĂȘme rĂ©ponse avec des imageries qui sont le reflet de leur environnement culturel, et du degrĂ© de connaissances ou d’initiation du moment. Toutes avaient compris empiriquement ou non, que la vie venait d’ailleurs, et que pour vivre en harmonie » cet ailleurs devait les c’est dans l’explication de cet ailleurs » donnĂ©e par leurs prophĂštes et autres, et dans les rĂšgles Ă  suivre pour y accĂ©der que le bĂąt blesse, que chacun s’est entre-tuĂ©, et s’entre-tue encore. Nous le voyons encore quand certains États en appellent Ă  dieu pour faire la guerre, mais l’oubli quand il s’agit de partager la richesse. Nous le voyons Ă©galement quand une religion, pour expliquer que les hommes ont besoin d’une langue unique pour se comprendre, nous dit que c’est la leur, parce que c’est la langue de dieu, ou encore lorsque plusieurs nous expliquent quelle langue utiliser ou la maniĂšre dont il faut prier, psalmodier, parce qu’à l’époque ils ne savaient pas expliquer comment nos propres vibrations vocales pouvaient stimuler le psychique, et lui le ne conteste en cela ni le droit de croire en un Dieu, ni d’avoir la foi, ni le repĂšre sociologique de toutes les religions, dans lesquelles des hommes nous disent qu’ils communiquent avec dieu, mais leur immobilisme qui enferme la rĂ©flexion dans la recherche de la comprĂ©hension du message divin, au travers d’un nombre limitĂ© de mots dĂ©finissant des existences du passĂ© qui ne peuvent plus ĂȘtre reproduites. Je ne conteste pas le fait de dialoguer avec un dieu, je conteste le fait que sa rĂ©ponse puisse ĂȘtre la VĂ©ritĂ©. Ceci du fait mĂȘme, que celui qui l’interroge n’aura jamais tout le Savoir dont nous pouvons disposer. De telle maniĂšre que la rĂ©ponse du Dieu dont il se prĂ©vaudra ne sera qu’à la hauteur de l’ignorance ou de la connaissance de celui qui l’ croire en un ou des dieux n’est pas dangereux, ce qui l’est, c’est quand ces Dieux sont Ă  la hauteur de l’ignorance de ceux qui y savons tous avec le recul de l’histoire qu’aprĂšs un temps de clartĂ© donnant un sens et ordonnant l’existence humaine, les religions se sont figĂ©es dans un obscurantisme dogmatique pour s’ĂȘtre dĂ©finies comme la VĂ©ritĂ©, incapable de pouvoir actualiser l’intuition qui les avait créés, parce que leurs magistĂšres en ont fait un instrument de pouvoir temporel schismatique, et aussi, parce que leurs adeptes, pour gommer les imperfections explicatives de leurs croyances, s’adressaient Ă  ceux mĂȘmes qui, imbus de leur vĂ©ritĂ© en faisaient une application et une traduction imparfaite c’est lĂ , dans cette traduction irrĂ©versible, que se formulent les prĂ©ceptes erronĂ©s, les fondamentalismes, les extrĂ©mismes, les exactitudes obscures et les idĂ©aux tel que libertĂ©, solidaritĂ©, fraternitĂ©, Ă©galitĂ©, particuliĂšrement dans le monde occidental Ă  la suite de la RĂ©forme et des Ă©glises protestantes qui en sont jusqu’à ce que les hommes effectuent la sĂ©paration des Ă©glises et de l’État, qui ne sont, Ă  mon sens, aucunement sĂ©parĂ©s. Si ce n’est que parce que les Ă©glises continuent Ă  ne pas vouloir, comme par le passĂ©, actualiser Ă  la lumiĂšre de notre comprĂ©hension scientifique les messages » qu’elles ont entrevu, et le caractĂšre sociologique qui sont le leur. Une situation dont les divers croyants s’accommodent parfaitement et oĂč l’économie est un espace interdit Ă  la religion. Cet espace Ă©conomique peut ĂȘtre regardĂ©, soit comme la justification d’entorse Ă  la croyance religieuse, ou comme une organisation facilitant l’acculturation religieuse, car la religiositĂ© humaine ne disparaĂźt pas le besoin de croire.ReligiositĂ© humaine dans laquelle l’activitĂ©, spirituelle, politique et Ă©conomique a trĂšs souvent Ă©tĂ© confondus sous l’égide tantĂŽt du spirituel ou bien du politique. Ceci jusqu’au dĂ©veloppement du capitalisme, oĂč l’économique s’est imposĂ© en apparence tant face au religieux qu’au politique ; bien qu’il existe un certain retour vers des organisations d’États confessionnels, ou vers d’autres qui ne craignent pas d’afficher le libĂ©ralisme Ă©conomique comme valeur chrĂ©tienne et d’en faire un instrument de dit en apparence, car nous recomposons nos constructions cognitives d’une gĂ©nĂ©ration sur l’autre dans le lit de la prĂ©cĂ©dente et nous dĂ©veloppons des schĂ©mas qui rĂ©pondent aux mĂȘmes espĂ©rances. De telle maniĂšre qu’aujourd’hui nous plaçons nos espĂ©rances dans une monnaie dĂ©ifiĂ©e, dont les prĂȘtres sont les Ă©conomistes l’expliquant, comme autrefois le faisaient et aujourd’hui le font les religieux, qu’il n’y a point de salut en dehors de leurs comprendre cela, il faut, du moins pour l’occident, remonter jusqu'Ă  la pĂ©riode mĂ©sopotamienne[181] oĂč les hommes ne se percevaient que comme des serviteurs de dieu. Cette relation de serviteur Ă  maĂźtre, nous nous la sommes transmise de gĂ©nĂ©ration en gĂ©nĂ©ration depuis des siĂšcles, transformant seulement l’image du Dieu, et nos relations de servitudes,[182] comme Ă©niĂšme reflet de l’image toujours cette relation qui nous lie, transmise au libĂ©ralisme par le protestantisme. Si le protestantisme fut un Ă©lĂ©ment d’émancipation de l’individu[183], le libĂ©ralisme auquel il a donnĂ© naissance s’est transformĂ© en un petit Dieu systĂ©mique qui n’accepte des autres que la soumission au nom d’autres dieux qu’il se fabrique inconsciemment la monnaie, parce qu’il lui est insupportable d’ĂȘtre lui-mĂȘme un Dieu ignorant et m’en explique en remontant dans la prĂ©histoire. L’homo sapiens sapiens a laissĂ© son empreinte sur toutes les surfaces rocheuses des terres oĂč il s’est installĂ©. Cet art visuel » donne une diversification progressive conceptuelle qui constitue un tĂ©moignage originel. L’art de ces peuples chasseurs permet de distinguer un processus d’analyse logique qui caractĂ©rise l’esprit humain, et leurs problĂšmes revĂȘtaient un caractĂšre existentiel et philosophique. Ils reconnaissaient le repas comme l’acte au travers duquel se rĂ©alise la symbiose entre la consommation de la viande animale et la force de vie qu’elle lui apportait, et qui concrĂ©tisait l’intĂ©gration de l’esprit de l’animal dans le corps de l’ relation lĂ , nous la perpĂ©tuons au travers de toutes les reprĂ©sentations que les hommes lui ont donnĂ©. Des reprĂ©sentations qui se caractĂ©risent par toutes les figures des Dieux du panthĂ©on Humain la cĂšne pour les chrĂ©tiens. Dieux qui revĂȘtaient tour Ă  tour la figure de ce qui caractĂ©risait cette relation. Pourtant, la prise de conscience de l’importance de la pensĂ© insaisissable qui se caractĂ©rise par un Dieu Ă  l’identique, n’a pas fait disparaĂźtre la sensation de dĂ©pendance Ă©troite, de cette relation matĂ©rielle et directe de complĂ©tude, oĂč l’on acquiert la force de ce que l’on consomme. Aujourd’hui cette relation s’établit avec la monnaie de maniĂšre diffuse, et c’est cela que je veux souligner. De telle sorte que nous consommons de la monnaie, comme nos ancĂȘtres leurs animaux. Vous comprenez mieux pourquoi dans et essai je n’ai jamais proposĂ© d’appauvrir le riche, et qu’il ne faut pas espĂ©rer que les pauvres le resteront, qu’elles que soit les rĂšgles mĂ©ritocratiques misent en quand nous observons notre monde nous y trouvons cette soumission, la soumission qui nous arrange, lĂ  oĂč il n’y a qu’association dans l’intĂ©rĂȘt de la prĂ©servation de l’évolution des espĂšces. Les idĂ©es d’altruisme et d’abondance nous effraient, nous n’y voyons qu’effacement de l’individu dans le groupe ou absence de motivation crĂ©atrice. Cela, ne rĂ©sulte que d’un seul regard, car nous ne tenons pas compte du fait que nous avons une existence unique qui nous prĂ©serve du suicide altruiste.[184]Pourtant, elles peuvent ĂȘtre tout aussi crĂ©atives que n’importe quelles autres motivations, et soutenir n’importe quelle organisation Ă©conomique. En effet, elles sont aussi Nous, puisque nous sommes capables d’en avoir une image, elles existent donc en potentialitĂ© d’ĂȘtre voir avertissement, et demeurent partie intĂ©grante de l’ordre » qui nous sous-tend thĂ©orie du chaos, parce que l’individu est partie intĂ©grante de cet ordre, et n’y est pas soumis voir avertissement. Ceci, si nous ne confondons pas association et soumission, si nous ne confondons pas ordre et soumission, si nous ne confondons pas apprentissage et soumission, si ceux qui y croient ne confondent pas Dieu et Ă  nous regarder Nous et notre planĂšte comme une crĂ©ation divine, nous oublions d’en retenir que nous pourrions n’ĂȘtre qu’une exception, qu’une erreur » de toutes ces particules qui dĂ©cohĂ©rent » note 2, et qu’il y a autant de chance pour que dans les autres galaxies notre type de vie existe, ou qu’il n’y ait rien, Ă  moins d’y comme hier il nous appartient d’expliquer le mystĂšre des choses, et aucune civilisation connu Ă  ce jour n’a eu autant de moyens que la nĂŽtre, Ă  nous de les utiliser pour le bĂ©nĂ©fice de tous, et d’en faire une source de richesse.
par ceux qui ne sont pas forcĂ©ment les plus aptes mais qui nous ce long dĂ©veloppement d’un chapitre consacrĂ© au financement des ECPA, j’essaie de faire comprendre la relation nĂ©cessaire qu’il faut Ă©tablir entre les thĂ©ories monĂ©taires, et les connaissances grandissantes de ce que nous sommes dans l’univers qui nous font toucher du doigt un monde non monde non objectif Ă  partir duquel nous pensons que le dĂ©veloppement de la conscience nous a Ă©loignĂ©s du monde nous pouvons aussi estimer que cette conscience a fait de nous un animal perdu » dans un univers qui le dĂ©passe. Pour s’en convaincre, il suffit de constater le nombre de tueries auxquelles nous nous sommes livrĂ©s, souvent prĂ©sentĂ©e comme une rĂ©gulation naturelle de l’espĂšce, idĂ©e qui demeure encore dans le subconscient des gens parce que nous avons interprĂšte la rĂ©gularitĂ© de la mort Ă  notre ce n’est pas cela qui en est le signe le plus probant. Ce signe est le nombre de Dieux d’en haut » que nous avons inventĂ©, Symbole d’un commandement nĂ©cessaire. Ce besoin de croire, de se rassurer, d’expliquer des Ă©vĂ©nements, gĂ©nĂšre des rĂ©gularitĂ©s schĂ©matiques que nous pouvons observer dans notre comportement, et lorsque ces schĂ©mas incertains deviennent contestables, pour qu’ils ne puissent plus l’ĂȘtre nous les Ă©levons Ă  une dimension inaccessible ; une dimension qui rĂ©fute toute preuve contraire pour qu’ils restent immuables. Nous les inscrivons pour cela au plus profond de notre mĂ©connaissance, la foi. Pourtant, mĂȘme quand nous les rejetons ce n’est que pour les remplacer par des dieux d’en bas », les lois naturelles, les lois Ă©conomiques, les lois rĂ©publicaines, les lois universelles etc., pour compenser la certitude qu’offre les dieux d’en haut, pour restructurer ce besoin de croire ; parce que nous sommes encore des ĂȘtres perdus » qui ont besoin d’avoir foi, foi qui devient conviction. Je ne conteste pas ici le besoin de s’ordonner, mais de vouloir rendre nos ordres immanents lois, droits immuables, De telle sorte que lorsque nous confondons croyance et but besoin d’exister parce que l’on EST, nous ne pouvons que nous perdre un peu plus, parce que nous rejetons ce qui est essentiel Ă  notre existence le Mouvement. Je ne veux pas dire par-lĂ  que l’apprĂ©ciation de l’existence ne doit ĂȘtre que cognitive la raison, et qu’il ne faut pas se rĂ©fĂ©rer Ă  nos sens, mais seulement qu’ils ne doivent pas conduire Ă  crĂ©er de nouveaux Dieux qui ne seraient autres choses que des soutiens psychologiques consĂ©quence en est qu’à l’exception de quelques idĂ©alistes, nous n’élisons plus dans toutes les instances politiques que des hommes Ă  notre ressemblance, de grands chefs religieux, argentiers ou pieux, quand ils ne cumulent pas les revanche, nous relĂ©guons aux oubliettes les philosophes et les penseurs ou bien nous les prĂ©sentons comme des ĂȘtres d’un ancien temps, qui n’ont plus de place dans le dĂ©bat nous ne nous sommes jamais Ă©cartĂ©s d’une gestion religieuse » des hommes. Mais comme nos nouveaux dieux savent compter, ils assurent une gestion financiĂšre des humains. Nous ne quittons de fait qu’une croyance pour une autre, parce qu’elles nous ressemblent, parce que notre besoin de foi ou de conviction recomposĂ©e s’empare de toutes nos innovations pour les beaucoup ont compris que cette religiositĂ© Humaine que je nous attribue, est le rĂ©sultat d’une organisation biologique ou autre de notre cerveau, qui est une nĂ©cessitĂ© existentielle comme inhibiteur de la violence intra humaine ; et ce besoin de placer cet inhibiteur au-dessus de sa conception cĂ©rĂ©brale le dĂ©ifier, comme puissance qui s’exerce sur notre rĂ©flexion pour accepter toute forme de socialisation, est indispensable en l’état actuel de notre dĂ©veloppement intellectuel par l’appris. C’est le mĂȘme problĂšme que rencontre les valeurs dites rĂ©publicaines », bien que leur UniversalitĂ© leur ait confĂ©rĂ© une situation rĂ©fĂ©rentielle idĂ©ologique supĂ©rieure. Elles ne sont que la reprĂ©sentation imparfaite, comme les liturgies, de notre aptitude Ă  comprendre que la sociabilitĂ© est notre inhibiteur de la violence, mais aussi que les rĂšgles de sociabilitĂ©s que nous dĂ©veloppons le sont Ă©galement sur la base de l’influence de notre inconscient incluant notre agressivitĂ© naturelle ». Ceci nous conduit Ă  concevoir des systĂšmes punitifs meurtriers ou invalidants par le processus de vengeance, qu’ils soient individuels ou statutaires, pour rĂ©pondre Ă  des droits qui, tout en se voulant supĂ©rieurs, par l’ambiguĂŻtĂ© qu’ils gĂ©nĂšrent, font appel Ă  la violence qu’ils se voulaient subjuguer par exemple le droit Ă  la propriĂ©tĂ© privĂ©e. Dans le domaine punitif que nous dĂ©veloppons aussi par dĂ©faut, nous avons d’éminents praticiens scientifiques », qui explique qu’une victime ne peut se sentir soulagĂ©e que si elle a pu exercer Ă  son tour sa violence sur celui qui lui a nui. Ainsi en toute bonne fois nous perpĂ©tuons un processus d’expression de notre violence, alors que le christianisme avait su dĂ©velopper la notion rĂ©volutionnaire d’empathie comme inhibiteur du dĂ©sir de vengeance, que le catholicisme n’a pas su faire prospĂ©rer, ĂȘtre capable de s’imprĂ©gner de la souffrance que l’on fait ou voulons faire subir Ă  l’autre pour ne pas la dĂ©sirer pour soi-mĂȘme et les autres, et donc ne pas ĂȘtre tentĂ© de la maniĂšre que par un processus de rĂ©ponse Ɠil pour Ɠil dent pour dent codifiĂ© par le judaĂŻsme[185] de l’expression de notre agressivitĂ© persĂ©cutrice et tortionnaire, nous en sommes arrivĂ©s, dans une escalade incessante, Ă  nous doter d’instruments armes d’éradication de l’espĂšce qui faute d’ĂȘtre supprimĂ©s par clairvoyance ou sagesse, seront un jour utilisĂ©. Parce qu’en ayant contestĂ© la notion des dieux d’en haut religions Ă  cause des leurs reprĂ©sentations imparfaites immuables et obscurantistes, nous avons construit des dieux d’en bas lois naturelles, pires, sapant la sociabilitĂ© par leurs phĂ©nomĂšnes d’auto exclusion. Il ne reste plus aux laĂŻques que l’alternative d’un dĂ©veloppement culturel par un apprentissage sociologique, parce que un retour des dieux d’en haut qui ne se sont aucunement rĂ©formĂ©s, faute d’avoir compris qu’ils Ă©taient la cellule biologique exogĂšne[186] » de la reprĂ©sentation inhibitrice de notre violence. C’est au nom des diverses reprĂ©sentations et dĂ©finitions absolues de cette cellule » dieux que nous risquons un jour de nous Ă©radiquer, ce qui serait le comble absolu de la bĂȘtise ; que ce qui est l’essence de notre sociabilitĂ©, par notre construction biologique ou autre conscience, soit la cause de notre destruction parce qu’à un moment de notre histoire les dieux d’en bas leur en ont donnĂ© les moyens, pour ne pas avoir su s’élever autrement que par les mĂȘmes dĂ©fauts de ceux qu’ils se voulaient est donc souhaitable pour l’ĂȘtre inachevĂ© absence d’inhibiteur biologique de violence intra espĂšce que nous sommes, de concevoir pour ceux qui n’ont pas la connaissance de cela, un inhibiteur de violence au-dessus de nous, quel que soit son nom pourvu qu’en son nom nous puissions dire que la guerre est un crime. C’est dans cette optique que j’ai pris des rĂ©fĂ©rences dans les thĂ©ories de la physique, parce qu’elles nous obligent Ă  une rĂ©flexion qui dĂ©passe notre seule condition humaine qui en est partie intĂ©grante, et ne qualifie pas ses associations ou interactions de valeurs de comprendre cela, nous ne serons pas en mesure de rĂ©former nos systĂšmes actuels, qui ne correspondent qu’à une utilisation imparfaite du potentiel crĂ©atif que nous fournit l’ensemble des forces universelles qui nous sous-tendent, et dont l’utilisation dysharmonique » que nous commençons Ă  mesurer, nous conduit vers l’anticipation d’une destruction programmĂ©e par l’usage que nous faisons de ces mĂȘme forces si nous passons ce cap, alors il y a fort Ă  parier que nos sociologues, nos mĂ©decins, nos psychologues et puis nous, seront aussi des philosophes mathĂ©maticiens » de la mĂ©canique quantique, et dans ce cas nos Ă©lus nous Le capitalisme peut-il ĂȘtre un vecteur de l’évolution, et comment ?A force d’avoir criĂ© haro idĂ©ologiquement sur le capitalisme, nous en avons oubliĂ© qu’il est une forme associative de monnaies dispersĂ©es, d’énergies cumulatives. Pour un enfant nous disons, il se fait une tire lire, un mĂ©nage familial des Ă©conomies ou Ă©pargne, et l’industrie capitalise. De la sorte que c’est moins le cumul de monnaie qui pose problĂšme, que de savoir qui la dĂ©tient, comment elle se rĂ©partit ou se comptabilise au travers de nos organisations et relations Ă©conomiques lesquelles permettent Ă  certains de pouvoir imaginer redevenir ces dieux tombĂ©s du capitalisme peut-il ĂȘtre un vecteur de l’évolution
Pouvons-nous regarder le systĂšme capitaliste et son organisation monĂ©tariste, comme un vecteur de l’évolution humaine ?Pour rĂ©pondre Ă  cette question je vous invite Ă  repenser au processus d’invariance d’échelle note 173 et Ă  imaginer les humains comme des cellules. Ces cellules humaines, par nĂ©cessitĂ© oĂč par sens de la propriĂ©tĂ© en vu de possĂ©der ce qu’elles produisent, se sont regroupĂ©es dans une organisation cellulaire ou sociĂ©tĂ© cellulaire. Organisation fabriquant des enveloppes protectrices que l’on appelle les frontiĂšres d'États qui leur offrent la protection d’une zone de ressource, mais Ă©galement qui les isolent des autres groupes de cellules identiques Ă  leur isolement elles dĂ©veloppent des spĂ©cificitĂ©s internes qu’elles considĂšrent comme Ă©tant leurs caractĂšres culturels, leurs ADN culturels. Pourtant, il survient un moment oĂč ces organisations cellulaires doivent Ă©voluer, car leurs cellules prolifĂšrent. Et leur Ă©volution va dĂ©pendre du message qu’elles auront dĂ©veloppĂ©, de la structure qu’elles auront prise, et des moyens d’expansion qu’engendrera son organisation cellulaire, en quelque sorte leur ARN culturel, celui qui s’assurera que les ordres qui seront donnĂ©s pour former le nouvel ADN soient bien conformes Ă  ceux qu’a mĂ©morisĂ© l’ARN nous appelons cela la colonisation.Ainsi, nous pouvons considĂ©rer que l’ADN est la reprĂ©sentation de l’organisation cellulaire humaine, et qu’il se compose de la diversitĂ© culturelle, Ă  laquelle l’ARN veillera, en faisant en sorte que le message soit toujours le mĂȘme, pour que la duplication cellulaire soit toujours identique et recompose la mĂȘme diversitĂ© culturelle. Si nous rapportons cette construction analogique au systĂšme capitaliste et que nous considĂ©rons que ce systĂšme est l’ADN, il convient de rechercher ce qui constitue l’ARN qui lui permet de reproduire toujours le mĂȘme schĂ©ma. De sorte que si nous voulons que le capitalisme se socialise, ce n’est pas Ă  ses masses monĂ©taires qu’il faut toucher, puisque celui-ci et l’ADN qui se recompose en fonction du message structurel, mais Ă  ce qui veille au respect des ordres qui l’organise, c’est Ă  dire son ce qui veille Ă  cela n’est rien d’autre qu’une codification que nous appelons le plan comptable, le schĂ©ma structurel dans lequel nous avons enfermĂ©, codifiĂ© nos relations sociales aprĂšs les avoir qualifiĂ©es qualification mesurable. Un plan comptable qui a formalisĂ© au fil du temps nos relations Ă©conomiques, et les conditionne. Ainsi, quoique nous puisions faire ou dĂ©velopper comme idĂ©al, si nous l’inscrivons dans une structure dont la fonction est de faire de l’argent, et de dĂ©finir comment il se ventile, nous n’aurons donc en rien modifiĂ© dans le systĂšme capitaliste de ce qui nous chagrine ou nous souci. Ce qui nous souci Ă©tant que tous ceux qui concourent Ă  la richesse s’en trouvent, dans un tour de rĂŽle d’espĂ©rance, inĂ©galement pourvus, voir exclus. Pour poursuivre l’analogie, nous savons que ce sont les enzymes qui vont structurer la fiabilitĂ© de l’ARN messager, et cet enzyme ou ces enzymes qui vont Ă©laborer l’ARN messager c’est nous, sous-tendus par un mandant qui est notre Ă©gocentrisme, et que nous avons cet ADN monĂ©tariste qui prolifĂšre, produit des dĂ©chets et empoisonne en les rejetant dans son environnement toutes les autres espĂšces et menace la planĂšte Terre, tout en prĂ©sentant son ARN comptable comme seul messager valable du message initial, en s’appuyant sur les lois naturelles. Le systĂšme capitaliste peut donc, tout en conservant l’utilitĂ© de concentration du capital, se comptabiliser de maniĂšre diffĂ©rente et donc se trouver un rĂŽle socialisant, sans passer par la forme Ă©tatique concentrationnaire qu’ont connu les pays socialistes, je m’en suis dĂ©jĂ  expliquĂ©. Il suffit pour cela que nous codifions diffĂ©remment notre Ă©gocentrisme, pour que dans le plan comptable l’activitĂ© humaine ne soit pas une charge mais une richesse. Pour que le travail ne soit pas un coĂ»t mais un produit, pour que ce ne soit pas nos projections Ă©gocentriques instrumentalistes » qui nous dirigent seulement, mais aussi la raison de notre ce langage commun commercial est devenu un organisme» fictif ou abstrait, qui nous dirige par notre entremise soumise Ă  son ARN pu choisir une autre analogie se rapprochant de l’analyse psychanalytique. Notamment le fait que la projection Ă  laquelle se livre notre pensĂ©e ne fait que reproduire les mĂȘmes schĂ©mas dans tous les champs que nous avons sĂ©riĂ©s, et donc dans celui de l’économie, que j’ai dĂ©fini comme la qualification mesurable de notre activitĂ© sociale P. 224. Nous devrions donc y retrouver tous les tabous et totems recomposĂ©s, corrigĂ©s de l’apport scientifique, avec la mĂȘme ignorance de la structure interactive » qui gĂ©nĂšre notre rĂ©gulateur naturel que nous ne cernons consĂ©quence, le systĂšme capitaliste et son vecteur la monnaie sont bien devenus des dĂ©terminants de notre Ă©volution, car ce systĂšme capitaliste se comporte comme un organisme vivant, dont nous constituons les Ă©lĂ©ments contrĂŽlĂ©s qui le nourrissent, organisme capable d’engendrer une Ă©volution de notre espĂšce.
 et comment ?Comment ? En modifiant l’écosystĂšme au-delĂ  de celui qui est dĂ©jĂ  dĂ©terminĂ© du fait mĂȘme de l’évolution de notre planĂšte et qui a donnĂ© naissance aux espĂšces qui nous ont prĂ©cĂ©dĂ©es. Ainsi, le systĂšme capitaliste est en passe d’anticiper la venue du successeur de l’homo sapiens sapiens par les modifications environnementales qu’il engendre, par la technologie mise en Ɠuvre, de part les tensions nerveuses auquel il soumet ses acteurs, et de part sa mutation postindustrielle oĂč c’est lui qui dĂ©finit et vend les besoins, y compris ce que je voulais surtout souligner, la tendance Ă  l’eugĂ©nisme, Ă  la capacitĂ© de pouvoir modifier les caractĂšres innĂ©s je m’en suis dĂ©jĂ  expliquĂ© note 35.. Cela pour obtenir le maximum d’un symbole de richesse, la monnaie, bien qu’il lui manque quelque chose que nous lui avons abandonnĂ©, la conscience de soi, d’appartenir Ă  une espĂšce. Conscience d’appartenir Ă  une espĂšce qui s’acquiert par une structure Ă©puisante auto rĂ©gulatrice, l’éducation de l’incertitude de la raison, laquelle impose d’apprendre sans cesse pour vivre les rĂ©alitĂ©s de notre assistons donc Ă  un phĂ©nomĂšne de rĂ©troaction auto rĂ©gulateur d’un systĂšme abstrait, et s’il doit y avoir un dĂ©bat d’idĂ©e, ce n’est pas allons-nous utiliser une organisation individuelle ou collective pour nous enrichir, mais oĂč voulons nous aller, et comment ? ».72 - Pourtant le langage » commercial serait une chance inespĂ©rĂ©e, une fois dĂ©barrassĂ© de ses excĂšs, pour changer le le langage » commercial est une chance inespĂ©rĂ©e
Notre espĂšce s’est trouvĂ©e un langage commun au travers du rapport commercial. Il faut espĂ©rer qu’il produira ses effets d’acculturation mondiale, en gommant ce que nous prenons comme la richesse de la diversitĂ©, et qui ne sont que des freins Ă  la communication entre membres de notre espĂšce, la langue, la culture identificatrice» en tant que culture passĂ©iste, car il n’y a pas de retour possible dans le passĂ©. Ce qui ne signifie pas, ne pas se diffĂ©rencier, ni connaĂźtre et tenir compte de notre passĂ© sujet est polĂ©mique et difficile Ă  aborder aujourd’hui, car l’anglais commercial entre dans les Ă©tablissements scolaires en us et place de l’anglais classique justement Ă  cause d’un langage commercial de mode d’emploi qui ne constitue en rien une langue ni une quelconque acculturation mais un langage minimaliste n’est donc pas celui-ci auquel je songe. Je songe Ă  celui qui se fera jour peut-ĂȘtre dans des siĂšcles si le langage de communication que constitue l’échange commercial facilite le rapprochement humain malgrĂ© le prĂ©sent impĂ©rialisme du marchĂ© qui tant Ă  imposer une parodie de langue. AccĂ©der Ă  un langage commun n’impose pas d’abandonner le sien, bien au contraire. Car le futur langage s’enrichira de toutes les spĂ©cificitĂ©s des diverses langues. C’est autre chose que la beurification » que j’ai fustigĂ©. Mais je dois me rendre Ă  l’évidence que ce n’est pas dans ce sens que le futur se prĂ©sente. Surtout que nous savons que l’évolution d’un langage dĂ©pend aussi d’un rapport de force au travers du rĂŽle de l’État. Mais malgrĂ© cela l’histoire nous montre que le langage humain se modifie surtout au tour des conquĂȘtes. Qui donc est le grand conquĂ©rant aujourd’hui, l’AmĂ©rique Ă  la place de l’Europe d’hier, mais elle devra demain cĂ©der sa place au continent Chino-indien, Ă  mois que ? Peut-ĂȘtre une catastrophe Ă©cologique ne sera peut-ĂȘtre qui nous poussera Ă  mieux nous prĂ©occuper de nouveaux Ă©changes commerciaux tout en apportant une solution Ă  la raretĂ© de la monnaie, dont nos thĂ©ories sur l’inflation et la ventilation du plan comptable, nous conduisent Ă  persister dans la production de nos dĂ©chets. Pire, il nous entraĂźne Ă  imaginer des Ă©quilibres idĂ©ologiques, tel les trois pour cent de dĂ©ficit de la communautĂ© EuropĂ©enne qui, s’ils ont eu un effet confĂ©dĂ©rateur, ne peuvent ĂȘtre maintenus sous peine d’éclatement, car l’équilibre n’existe pas, sauf sous le regard momentanĂ© d’un ne signifie pas qu’il faut faire un monde unique, puisque c’est impossible du fait de la diversitĂ© gĂ©ographique, mais un monde qui se parle, discute, Ă©change, alors que l’on est dans un monde qui s’affronte.
une fois dĂ©barrassĂ© de ses excĂšs
Ce langage commercial est encore empreint de nos vieux dĂ©mons guerriers, car nous n’y parlons que de conquĂȘtes de parts de marchĂ©, de luttes ou guerres commerciales, et nous nous laissons diriger par des chefs guerriers pĂ©dants et suffisants, auxquels, l’actionnariat et autres, donnent un justificatif Ă  l’exercice de leurs intĂ©rĂȘts personnels, dans notre culture Ă©litiste. Alors que l’histoire des plus humbles a favorisĂ© leur Ă©mergence, et que nantis du savoir et de la compĂ©tence, ils ne savent que former des clubs de rentiers bourse. Comme tout bon dominant, il faudra que la conscience de Soi conscience de l’espĂšce, dont ils sont dĂ©pourvus, se manifeste comme toujours dans des petits groupes agissants de la collectivitĂ©, pour s’opposer Ă  leurs dĂ©rives. Ceci, car ils sont incapables d’utiliser au bĂ©nĂ©fice de l’humanitĂ© la richesse de compĂ©tences dont ils sont dĂ©tenteurs. Nous en avons l’exemple avec la mise en place de la nouvelle Ă©conomie dans les anciens pays de l’EST[187], les nouveaux managers » n’y ont vu qu’une opportunitĂ© d’enrichissement. Dans le mĂȘme temps la contestation anti-mondialiste naissante fustige tous les organismes rĂ©gulateurs qui essaient de se construire, car elle n’y voit, souvent avec de justes raisons, qu’une rĂ©gulation de nantis pour des nantis. Ces contestataires proposent comme alternative des solutions suicidaires comme le retour Ă  une agriculture traditionnelle qui conforteraient le Malthusianisme, et n’ont toujours pas vu lĂ , oĂč le bĂąt blesse en restant dans un schĂ©ma de rĂ©partition de richesse qui rĂ©clame toujours aux riches de se dĂ©partir d’une richesse qui est leur but, comme ces deniers demandent aux pauvres de le rester pour ne pas envier leur des siĂšcles nous nous traĂźnons » ce rapport comme un boulet, malgrĂ© toutes les approches philosophiques, religieuses ou idĂ©ologiques de rĂ©partition Ă©quitable ou Ă©galitaire, cela sans il est possible d’ouvrir d’autres voies pour gommer les excĂšs d’une organisation Ă©conomique qui vicie nos relations sociales. Je dis ouvrir, car cela ne peut pas se faire dans un nivellement culturel populaire par le bas, mais en prenant en compte ce que nous apporte comme capacitĂ© de raisonnement, les sciences.
pour changer le le cadre de nos relations sociales l’économie a un rĂŽle confĂ©dĂ©rateur Ă  jouer pour offrir tout son potentiel aux communautĂ©s. Il faudra qu’elle s’expurge d’un archaĂŻsme nĂ©o-libĂ©ral, qui repose sur le constat qu’il est inĂ©luctable que les hommes s’affrontent autour d’une seule source de richesse. Il ne faut pas non plus s’en culpabiliser, parce que dans la jungle qui est encore la notre aujourd’hui, chacun fourbit ses armes pour manger l’ par imprĂ©gnation de Connaissances et Savoir, il est possible de changer cela il est possible d’imaginer qu’une autre source de richesse basĂ©e sur l’éducation, bien structurĂ©e, serait de nature Ă  apporter cette capacitĂ© sociale qui fait tant dĂ©faut au capitalisme. Il est mĂȘme possible d’imaginer qu’elle rĂ©duirait les tensions belliqueuses qu’il dĂ©veloppe, peut-ĂȘtre mĂȘme la production d’argent sale », en introduisant de fait un peu de moralitĂ© » dans les relations Ă©conomiques plus dĂ©tendues, le plus difficile est d’en convaincre ceux qui s’affrontent, c’est Ă  dire tout le – C’est pour cela je poursuis un but, qui est d’une certaine maniĂšre, d’arriver Ă  faire pondre Ă  une poule un Ɠuf de canard sans tuer la poule aux Ɠufs d’ cela je poursuis un but
Dans ce chapitre concernant le financement des ECPA, je me suis appesanti sur la place de la monnaie et son rĂŽle politique, sur la place de l’individu, du culturel, et leur place dans un univers non objectif ».Si j’ai insistĂ© sur le critĂšre infinitĂ©simal » de ce qui nous compose, c’est pour faire comprendre que l’évolution s’effectue Ă  une Ă©chelle qui Ă©chappe Ă  notre regard sensible, et cela, Ă©chappe aussi Ă  l’intelligent de la plus grande majoritĂ© d’entre nous. Et si je me sers du plus grand de nos bagages intellectuels, l’ignorance, la mĂ©connaissance, c’est pour nous inciter Ă  ne pas avoir peur d’ dirait mĂȘme, que l’ordre sous-jacent » attend que soient rĂ©unies les conditions de son instant pour apparaĂźtre Ă  notre comprĂ©hension, c’est Ă  dire la rĂ©union de conditions car nous sommes tellement imbus de nous mĂȘme, de nos certitudes peureuses, que si nous percevions les critĂšres de notre Ă©volution nous les dĂ©truirions pour demeurer dans nos certitudes et conformes Ă  nous tuerions DIEU sans distinction de nom » pour rester ce que nous sommes, parce que nous sommes incapables de le reconnaĂźtre. C’est aussi vrai pour ceux qui croient en la VĂ©ritĂ© de la forme de leur dieu, car ils s’accultureront sĂ©culairement, comme ces mĂȘmes dieux sont le rĂ©sultat d’une acculturation. Tuer dieu, c’est peut-ĂȘtre ce que nous faisons lorsque nous tuons un seul d’entre nous.
 qui est d’une certaine maniĂšre, d’arriver Ă  faire pondre Ă  une poule un Ɠuf de canard sans tuer la poule aux Ɠufs d’ long dĂ©veloppement permet aussi de comprendre que le montage financier que je vais dĂ©veloppĂ© n’a aucune importance pour moi. Hormis le fait de satisfaire Ă  l’importance que nous lui accordons, car pour moi il n’est qu’un moyen de gĂ©nĂ©rer de la monnaie pour atteindre un but, et non pas de croire que je vais trouver le mĂ©canisme cachĂ©, qui me conduira Ă  mon but. En effet ce but, c’est un choix de sociĂ©tĂ©, et il doit ĂȘtre celui des citoyens, et non celui de la monnaie, il doit ĂȘtre le choix de l’ADN pas de l’ARN, celui de la raison connue du totem pas des effets totĂ©miques facile Ă  rĂ©sumer beaucoup moins Ă  rĂ©aliser. Il faut pour cela rĂ©soudre le paradoxe de devoir apprendre, et ensuite car il nous faut structurer notre intelligence cognitive de connaissances crĂ©dibles et rassurantes, jusqu'Ă  sa maturation. Savoir que toutes organisations qu’elle gĂ©nĂ©rera en seront le reflet s’auto confirmant par la recherche de rĂ©gularitĂ©s rĂ©futables ou dĂ©sapprendre, pour savoir que tout ce que nous avons appris est relatif, et n’est qu’une construction intellectuelle. Une construction dans laquelle, il nous faut faire des choix restreints non objectifs », des choix du monde sensible sans libre arbitre, hormis le sentiment d’en possĂ©der un, pour se libĂ©rer l’intelligence et se donner des buts qui ne sont que les nĂŽtres. Il ne s’agit pas de dĂ©structurer le psychique, mais de le soustraire aux fantasmes gĂ©nĂ©rĂ©s par les interdits culturels et les certitudes absolues, afin de les regarder pour ceux qu’ils sont, des voies jalonnĂ©es devant nous permettre de dĂ©terminer les rĂ©gularitĂ©s de notre rĂ©alitĂ© objective » et non celles de son image ; image aux effets somatiques concrets qui Ă©gare souvent notre raisonnement et notre affect, et qui exigent Ă©galement la dĂ©finition de repĂšre de convient dont de facilitĂ© une construction mallĂ©able ordonnĂ©e adaptĂ©e Ă  l’évolution qui ne peut se passer de suivre une voie ouverte, pour des Etres lisant ce chapitre sur le financement des ECPA vous devez vous demander et mĂȘme penser qu’il s’agit d’une erreur de ma bien sĂ»r, j’ai dĂ©fendu l’idĂ©e que le social crĂ©e l’économie, et indiquĂ© que pour moi l’économie n’était que la qualification mesurable » de notre activitĂ© ainsi, qu’en ayant philosophĂ© » autour de tous les sujets que j’ai pu dĂ©velopper dans ce chapitre, tous ces sujets peuvent ĂȘtre traduit en temps de travail sous tous leurs aspects, de lĂ , en monnaie, et en Ă©nergie dont le futur la verra peut-ĂȘtre comme monnaie de rĂ©fĂ©rence universelle. Cela, parce qu’il n’y a pas une once de ce que j’ai dit qui ne demande l’usage d’une production Ă©crit en homo-sociabilis, et par l’utilisation des mathĂ©matiques[188] je peux tout traduire en homo traduire dans un langage mathĂ©matique commercial ne signifie pas se laisser diriger par lui, et si je dis que un et un font deux, c’est aussi bien pour pouvoir mesurer quand un et un font plus ou moins de deux, suivant que nous additionnons de la matiĂšre tel l’or l’univers physique ou des valeurs l’univers interprĂ©table le tout issu de notre univers par les mathĂ©matiques tout notre univers, nous y compris, permet d’avoir trouvĂ© un langage universel qui peut nous permettre de comprendre les interactions des forces, de la matiĂšre, de la vie organique, et de dĂ©finir des autre chose que de s’en servir pour dire Que les hommes ne peuvent pas produire plus que ce que les masses monĂ©taires en circulation le leur permettent ».C’est lĂ  que se situe la confusion que nous faisons avec l’usage des mathĂ©matiques. Une confusion qui ne cache que l’absurditĂ© Ă  laquelle nous avons abouti, en faisant du travail qui est une nĂ©cessitĂ©, qui est le lien de l’homme avec sa source nourriciĂšre, une source de souffrance[189].Non dans le sens oĂč le travail demande un effort qui justifie que nous y substituions des machines, mais dans le sens oĂč, par les relations sociales qui se sont dĂ©veloppĂ©es autour de lui, nous le rejetons pour y substituer la monnaie, Ă  condition qu’il n’y en ait pas trop, de maniĂšre que d’autres se sentent obligĂ©s d’aller faire le travail auquel nous voulons nous lĂ  que je considĂšre qu’il y a une anomalie, car nous sommes arrivĂ©s Ă  rejeter ce qui est le fondement de notre existence, la CommunautĂ©. Sans remettre en cause le droit d’ĂȘtre riche, de se rĂ©partir toutes les tĂąches de l’agriculteur au poĂšte, de disposer du droit Ă  la propriĂ©tĂ© individuelle de disposer d’un habitat, le lieu ou l’on se sent Ă  labrit, le lieu Ă  soi d’oĂč l’on ne peut pas ĂȘtre dĂ©logĂ© et y reposer sa vigilance, ou du droit Ă  la propriĂ©tĂ© Ă©conomique, mais il faut savoir alors dans ce cas Que lorsque nous devenons propriĂ©taire Ă©conomique dans notre seul intĂ©rĂȘt, nous assumons la responsabilitĂ© de l’existence de tous ceux que l’acquisition de notre titre de propriĂ©tĂ© a exclu. Et les mathĂ©matiques comptabilisation ne pourront pas Ă©ternellement nous servir de prĂ©texte pour nous dispenser de cette responsabilitĂ©, mais nous nous en servirons toujours pour redĂ©finir de nouvelles relations de si l’axiome de Smith indique que chacun Ă  titre individuel doit pouvoir concourir Ă  la recherche de son intĂ©rĂȘt personnel », je pense que lorsqu’il accĂšde Ă  ce titre un titre de propriĂ©tĂ© Ă©conomique, il acquiert sans le savoir la charge fonction de concourir Ă  l’existence de ceux qu’il en exclut ; et confier ce rĂŽle Ă  l’État la communautĂ© n’est pas s’en raison ?Certainement pas !J’ai seulement raison, parce que dans la course de ZĂ©ro Ă  l’infini j’ai posĂ© une borne diffĂ©rente de celle des autres, en prenant pour rĂ©fĂ©rence des lois de certaines sciences avertissement, afin d’atteindre le BUT que je serait aussi sot d’essayer de dĂ©montrer scientifiquement que j’ai tort, que moi de vouloir faire la dĂ©monstration scientifique que j’ai raison. Cela, parce que je ne cherche pas Ă  Ă©tablir des VĂ©ritĂ©s, lĂ  oĂč il ne s’agit que de trouver des rĂ©fĂ©rences durables et crĂ©dibles que je dĂ©sire convaincantes, et qui peuvent ĂȘtre questions restent toujours les mĂȘmes L’économie est-elle une science ?Non ! Parce que nous ne pouvons pas la rĂ©futer de l’idĂ©ologie ?Non ! Car c’est une capacitĂ© Ă  produire et une activitĂ© d’ une quasi-science ?Oui ! Si nous dĂ©montrons que l’économie est une science par elle-mĂȘme, aprĂšs avoir postulĂ© que c’était une science raisonnement en cercles vicieux, je postule que A est vrai en supposant que B l’est, et rĂ©ciproquement.Est-ce une quasi- idĂ©ologie ?Oui ! Si la pensĂ©e et la raison s’y la pensĂ©e symbolique qui passe par tous les instruments rĂ©futables la science, l’observable, et les instruments interprĂ©tables nos valeurs, le subjectif, doit se parfaire et non pas se conditionner, parce que rien n’est achevĂ© et nous sommes une partie active de cet – Choisir une rĂ©fĂ©rence rassurante non convertible pour Ă©mettre de la monnaie, en utilisant une politique budgĂ©taire ou une rĂ©fĂ©rence rassurante
Donc, comme je l’avais indiquĂ© nous pouvons prendre comme rĂ©fĂ©rence l’évaluation du territoire national, pour avoir une base Ă  l’émission de monnaie nĂ©cessaire au financement des ECPA. Cette Ă©valuation s’entend de tout le territoire collectif ou individuel, privĂ© ou non, sans nuire au droit de la propriĂ©tĂ©, dont chacun gardera la jouissance suivant les rĂšgles en vigueur. Cette valeur sera rĂ©pertoriĂ©e dans un compte national, et sera Ă©tablie en fonction de la valeur marchande des sols, avec une Ă©valuation de base pour les surfaces j’ai choisi le sol c’est seulement pour le symbole qu’il reprĂ©sente dans l’esprit des hommes. Symbole comme surface d’identification de la nation, donc propriĂ©tĂ© collective, espace sur lequel se produisent les richesses, terres cultivables ou industrielles, biens de consommation pour particulier, logement, jardin, espace d’agrĂ©ment, propriĂ©tĂ© privĂ©. Naturellement, rien ne nous empĂȘche d’y inclure aussi l’espace maritime, rien ne nous empĂȘche de prendre la population en rĂ©fĂ©rence, ou bien tout autre chose rechercher les valeurs des sols, dans les entreprises il suffit de se rĂ©fĂ©rer au compte et sous compte 211 du plan comptable d’immobilisations corporelles. Pour celles agricoles, aux dĂ©clarations fonciĂšres, et pour les autres Ă  la valeur des zones constructibles, puis se livrer Ă  une estimation des espaces du patrimoine collectif. L’ensemble de ces valeurs sera rĂ©actualisĂ© tous les ans. Comme je le disais, nous pouvons nous rĂ©fĂ©rer Ă  d’autres critĂšres, inclure les espaces maritimes ou extraire du plan comptable des Ă©lĂ©ments de rĂ©fĂ©rence, faire une Ă©valuation moyenne des besoins d’un citoyen dans notre sociĂ©tĂ©, etc. En un mot, trouver une base de rĂ©fĂ©rence qui puisse ĂȘtre Ă©ventuellement je me rĂ©fĂšre au sol, c’est que chaque État disposant d’un territoire, celui-ci peut ĂȘtre estimĂ©, mĂȘme pour ses zones les plus arides ou les plus glacĂ©es, puisqu’il ne s’agit pas de dĂ©finir une richesse du sol mais une rĂ©fĂ©rence. La valorisation de la richesse des sols interviendra plus tard en fonction de leur utilisation, et des ressources qu’ils est donc de donner une base tangible Ă  un systĂšme conventionnel. SystĂšme qui entrera en relation avec une base tout aussi conventionnelle commune qui est le temps consacrĂ© Ă  une activitĂ©.
 non convertible pour Ă©mettre de la entendu, la valeur financiĂšre de ce Compte National suivra l’évolution de la valeur monĂ©taire, et constituera un fond rĂ©fĂ©rentiel d’émission de monnaie Ă  destination exclusive du financement des ECPA. Ce fond ne pourra pas ĂȘtre convertible en nature, le but n’étant pas de transfĂ©rer par ce biais la propriĂ©tĂ© rĂ©fĂ©rentielle de leurs propriĂ©taires Ă  des choix de l’émetteur de monnaie sera l’ensemble des banques de deuxiĂšme rang qui s’assureront la disponibilitĂ© de liquiditĂ© auprĂšs de la banque centrale, et disposeront du crĂ©dit des dĂ©pĂŽts versĂ©s Ă  titre de rĂ©munĂ©ration aux participants aux effectuera le versement des rĂ©munĂ©rations ?Le trĂ©sor public, par l’intermĂ©diaire de la banque centrale, aprĂšs avoir Ă©mis de la monnaie en utilisant ou non l’émission de bons du trĂ©sor correspondant Ă  l’usage estimĂ© du fond de rĂ©fĂ©rence du ECPA, pour se refinancer. Naturellement, il s’agit d’une possibilitĂ©, et chacun peut avoir Ă  l’idĂ©e d’autres soulignĂ© prĂ©cĂ©demment qu’il pouvait ĂȘtre effectuĂ© un transfert des charges des entreprises vers les ?Chaque fois que des adultes s’inscrirons dans un ECPA, le montant des cotisations sociales issu de ses ressources versĂ©es aux organismes de sĂ©curitĂ© sociale, viendra rĂ©duire le taux des cotisations des employeurs, cela sans affecter les comptes de la sĂ©curitĂ© sociale, suivant des modalitĂ©s fixĂ©es par les acteurs exemple, supposons que 25 millions d’adultes suivent un ECPA Ă  mi-temps sur la base du SMIC est au 29 06 2001 Ă  1126,32 Euros 7388,68 f mensuel hors charge nous donnerait un revenu Ă  mi-temps pour l’ECPA de 563,16 Euros 3694,34 f incluant les cotisations ne retiens arbitrairement pour simplification du raisonnement que les cotisations suivantes, sans tenir compte de l’ des retenues. Employeur. SalariĂ©. Taux globalAssurance maladie. % % %Assurance veuvage. A seulement. % au logement Fnal. chĂŽmage. de construction 0,45Formation professionnelle. de transport au logement. des cotisations % % %Ainsi, le montant total des cotisations s’élĂšvera Ă , 225,88 Euros 1481,81f mensuel, soit 39,20% de 563,16 Euros mensuel 3694,34 f.Sur une annĂ©e pour la population prise en hypothĂšse 25 millions d’habitants, cela nous donne un montant global de cotisations de 66,2 milliards d’Euros 434,45 milliards de francs, soit 225,88 Euros 1481,18 F multipliĂ©s par 12 mois et 25 millions d’ au 23 07 2001, le montant des cotisations sociales Ă  la charge des employeurs dans le partage de la valeur ajoutĂ©e Ă  prix courant s’élevait Ă  199,14 milliards d’Euros 1306,4 milliards de Frs.Ainsi, ce transfert possible reprĂ©sente une rĂ©duction de 33,25% des cotisations d’employeurs, de quoi jouer sur les coĂ»ts sans mettre en danger le systĂšme de sĂ©curitĂ© sociale, qui augmentera du montant des cotisations de la contribution sociale gĂ©nĂ©ralisĂ©e, de celle du RDS, et autres incidences liĂ©es au fait, d’une part que le montant des ressources versĂ©es au titre des ECPA sera consommĂ© Ă  hauteur de 152,89 milliards d’Euros 1003,01 milliards de francs dans l’hypothĂšse d’un idĂ©ologique 563,16 Euros 3694,34 F moins 9,5% de cotisations dĂ©jĂ  versĂ©es, multipliĂ© par 12 mois, multipliĂ© par 25 millions d’ part ces ressources seront soumises Ă  toutes les taxations en montant de ces ressources reprĂ©sente 11,9% du montant de la valeur ajoutĂ©e en francs courant au 23 07 2001, qui Ă©tait de 1288,20 milliards d’Euros 8450,6 milliards de francs.Ces ressources reprĂ©sentent aussi 20,8% de la rĂ©munĂ©ration des salariĂ©s dans le partage de la valeur ajoutĂ©e Ă  la mĂȘme date, qui Ă©tait de 196,37 d’Euros 4811,9 milliards de francs.Les ECPA devront donc ĂȘtre considĂ©rĂ©s comme une activitĂ© rĂ©munĂ©rĂ©e en fonction de la durĂ©e du temps que chacun y comme j’ai essayĂ© de le faire comprendre, il n’y a en cela pas de vĂ©ritĂ©, et la dĂ©monstration que je viens de faire n’en est pas une, elle repose uniquement sur la rĂ©flexion conduite par le but que je poursuis, et sur le regard que poseront sur elles ceux qui la liront. Si bien que n’étant qu’un outil, son usage peut ĂȘtre ou utile ou mortel, tout dĂ©pend si nous y rĂ©flĂ©chissons avec intelligence pour gĂ©rer l’abondance ou si nous nous contentons de nourrir notre boyau.
 en utilisant une politique budgĂ©taire ou d’autres
Dans les faits, il s’agit de mener une politique budgĂ©taire qui repose sur la rĂ©fĂ©rence Ă  une valeur inconvertible, garantie par ce qui est indĂ©fectible, l’État communautĂ©. Mais l’État que j’évoque, ce n’est pas le prĂ©sident ou l’exĂ©cutif, ou quelque chambre que ce soit, cela n’en est que la reprĂ©sentation. Ce qui est indĂ©fectible c’est Vous, Nous, organisĂ©s en communautĂ© responsable rĂ©formable. Et s’il n’y a pas de contre indication Ă  ce que chacun vaque Ă  ses intĂ©rĂȘts personnels, il y en a une quand l’intĂ©rĂȘt de quelques-uns dĂ©cide du sort de la communautĂ©. Ainsi, la politique budgĂ©taire n’est que le propre pouvoir financier de la communautĂ©, et s’il n’y a pas de contre indication Ă  ce que la communautĂ© fixe des orientations, et se donne les moyens d’y arriver, il y en a une quand les reprĂ©sentants de la communautĂ© se prennent pour elle. Je ne fais que rappeler ce que tout le monde sait, mais le lire dans l’activitĂ© sociopolitique » du quotidien demande une culture politique gestion de la citĂ© chez les grecs autre qu’un positionnement essayĂ© d’expliquer la relativitĂ© de notre monde, il est plus facile de comprendre la dĂ©magogie des propos tel que l’État doit ĂȘtre gĂ©rĂ© comme une entreprise », non que cela ne puisse se faire, mais seulement parce que l’entreprise n’est pas une organisation dĂ©mocratique, que son but affichĂ© est de faire des profits, et qu’elle n’est pas une garantie indĂ©fectible, car elle ne reprĂ©sente pas la systĂšme de comptabilitĂ© n’est pas non plus la reprĂ©sentation de la sociĂ©tĂ©, il compte son activitĂ©, il la mesure, il sert d’indicateur, il sert Ă  s’ordonner, et la communautĂ© n’est pas tenue de le suivre s’il l’asservit, car c’est elle qui l’a créé pour s’en servir, pour ĂȘtre une voie jalonnĂ©e et non en ĂȘtre captif. Et si nous y voyons un paradoxe, car il y en a un, entre des particuliers qui doivent suivre un plan comptable et une communautĂ© qui peut y contrevenir, ce paradoxe n’est qu’apparent. En effet, la communautĂ© peut entreprendre des projets qui sont hors de portĂ©e d’un particulier, s’en donner les moyens, inciter les particuliers Ă  l’initiative, et mener des politiques dĂ©ficitaires. Je pense que l’on peut facilement comprendre qu’une entreprise peut ĂȘtre liquidĂ©e, mais en rĂ©publique l’État ne peut pas ĂȘtre liquidĂ©. Mais, chacun se souvient que les seigneurs, les monarques, les empereurs s’achetaient ou sĂ©changeaient des territoires. Ce dĂ©sir lĂ  n’a toujours pas quittĂ© les hommes l’esprit colonisateur et il ne serait pas amusant qu’un matin un prĂ©sident de la rĂ©publique annonce qu’il a liquidĂ© l’actif, parce que quelques mĂ©galomanes rĂȘveraient par l’intermĂ©diaire d’un plan comptable de justifier qu’ils peuvent s’approprier des territoires, parce qu’ils auraient Ă©tĂ© pris en rĂ©fĂ©rence pour Ă©mettre de la monnaie. Ainsi, un sentiment de communautĂ© ne peut pas reposer sur un indicateur comptable, or nous sommes dans cette dĂ©marche, je l’ai dĂ©jĂ  expliquĂ© en parlant de tout ce que nous dĂ©signons comme charges. Il est donc peut-ĂȘtre nĂ©cessaire de se trouver d’autres repĂšres pour comptabiliser notre activitĂ© Ă©conomique et notre dĂ©sir de j’ai privilĂ©giĂ© le budget, cela ne veut pas dire que je serais contre le fait que les financiers veuillent investir dans le financement des ECPA. Mais c’est seulement peut-ĂȘtre parce que j’ai un prĂ©jugĂ©, et que je les soupçonne Ă  tort d’ĂȘtre incapables d’un investissement social, en n’oubliant pas ce que j’ai indique, notamment que le social se traduit toujours Ă©conomiquement. Peut-ĂȘtre que c’est Ă  tort que je les crois compĂ©tents, lĂ  oĂč il n’y a que des Louis XV qui se disent que lorsque le systĂšme se rĂ©formera, ils ne seront plus lĂ  depuis chambre » un peu, mais plus sĂ©rieusement, un investissement dans les ECPA de leur part reviendrait Ă  s’assurer une durabilitĂ© d’un systĂšme libĂ©ral qui n’a pas que des dĂ©fauts, sauf Ă  ne pas vouloir comprendre qu’il y a un seuil ou la richesse ne sert Ă  rien, si elle na pas une utilitĂ© communautaire, hormis satisfaire son ego. Cela, d’autant plus que la communautĂ© a le pouvoir de dessaisir tout particulier de sa richesse, mais ce n’est pas tant cela qui est important. C’est surtout, que l’évolution de notre civilisation s’est construite sur la technologie. Cette technologie se manifeste aujourd’hui par la puissance de cerveaux qui ne sont pas les nĂŽtres, les ordinateurs, et il y a un danger Ă  leur confier notre existence, si leur puissance ne peut-ĂȘtre comprise de ceux qui y sont soumis, si le moindre incident les pousse Ă  la panique et Ă  la paranoĂŻa, si les hommes ne peuvent pas comprendre leur destin au moyen de leur Etre sensible. Ceci n’est pas en contradiction avec le fait que toute notre activitĂ© sociale ou/et notre univers puissent ĂȘtre traduis en langage mathĂ©matique. Il ne faut pas se mĂ©prendre entre les mathĂ©matiques qui tentent de dĂ©finir ce que nous sommes, et qui sont d’une utilisation scientifique, et celles qui comptabilisent notre organisation sociale culturelle qui ne sont que le reflet de cette activitĂ©, et par-lĂ  mĂȘme sont relatives, comme les valeurs que nous dĂ©finissons en avons l’exemple quand il suffit de dire aux hommes qu’ils manquent de l’argent, pour voir aussitĂŽt tout le monde stocker, se jeter dans des valeurs refuges, alors qu’ils ont tout Ă  leur disposition, la matiĂšre premiĂšre, la technologie, leur capacitĂ© de travail, et qu’ils ne risquent rien, qu’ils ne manquent ni de nourriture, ni de quoi se vĂȘtir, ni de quoi s’abriter, ni de la capacitĂ© d’émettre de la au seul cri de il manque de l’argent » tous croient que ce qu’ils ont n’existe plus. C’est cela la paranoĂŻa ; se croire menacĂ© par un danger imaginaire, ce qui est le cas avec la monnaie qui n’est qu’un systĂšme fictif, systĂšme fictif sur lequel la communautĂ© a tout pouvoir. Tout pouvoir parce que nous disposons des moyens de suivre efficacement notre activitĂ© micro Ă©conomique grĂące Ă  notre je ne vois vraiment pas pourquoi les hommes s’affoleraient parce que quelques rentiers vont ĂȘtre ruinĂ©s, d’autant plus que ces rentiers ne perdent rien, puisqu’ils leur restent leur force de travail, ce qui n’est pas le cas de tous handicapĂ©s.Il en est de mĂȘme pour les entreprises, pour lesquelles leur garantie rĂ©side dans la demande de leurs productions, et non pas dans leur force de travail, comme pour les bien que la monnaie qui disparaĂźt du marchĂ© financier peut ĂȘtre aussitĂŽt remplacĂ©e. Ceci en ayant recours Ă  l’escompte ou autre, Ă  des relations de confiance. Le seul risque qui subsiste est pour les entreprises qui vivent de la consommation des rentiers. De toute maniĂšre ce n’est pas parce que quelques bulles financiĂšres Ă©clatent, parce que des rentiers vont se remplacer, parce que le rĂȘve de tous d’ĂȘtre riches s’écroule, qu’il faut confiance lĂ  ce n’est pas un particulier qui peut nous la donner, car cette confiance se trouve dans l’intelligence » de la communautĂ©, et cela, il n’y a que la communautĂ© qui peut l’apporter, mais encore faut-il que ses acteurs en prennent conscience, car la communautĂ© sera Ă  la hauteur de leur aptitude et connaissance l’aura compris, je faisais bien Ă©videmment allusion Ă  la bourse, et je peux tout de mĂȘme dire que nous sommes dans ces situations, au comble de la dĂ©bilitĂ©, mourir d’angoisse quand nous avons tout Ă  notre disposition. Un comble de dĂ©bilitĂ© qui autorise les plus intelligents Ă  se sĂ©parer de ceux qui ne sont pas capable d’assumer leur responsabilitĂ© de chaque individu est libre de prendre les risques qu’il veut avec son argent, cette libertĂ© peut s’exercer tant qu’il n’altĂšre pas l’existence d’autrui. Cela, au nom mĂȘme de la fameuse loi naturelle » qui dit que chacun peut faire ce qu’il veut pourvu qu’il ne mette pas en danger quoi, avec la dialectique comme je l’ai dĂ©jĂ  expliquĂ©, on peut faire des miracles. Si j’avais parlĂ©, en abordant le cas de la SociĂ©tĂ© Anonyme, de la dilution de la responsabilitĂ© des dirigeants, c’était pour mentionner la responsabilitĂ© qu’a la communautĂ© de prĂ©lever sur ceux qui sont en droit de jouer avec les risques, un pourcentage de leur revenu afin de couvrir les risques qu'ils engendrent, et qu’ils font courir Ă  cette mĂȘme communautĂ© dont ils tirent leurs j’ai déçu en n’ayant pas trouvĂ© le financement miracle nous permettant de nous Ă©panouir en jouissant seulement de la vie, ce n’est pas parce qu’il n’existe pas, c’est parce que nous n’avons pas encore su couper le cordon ombilical qui nous relie Ă  l’homme prĂ©historique. De plus nous nous sommes barbarisĂ©s » comme nulle autre espĂšce ne l’a fait, y compris nos ancĂȘtres que nous qualifions de sauvage. Nous disposons des moyens de notre Ă©volution harmonieuse, il suffit de les dĂ©velopper lĂ  oĂč il se trouve, dans notre ?En apprenant tous les souvenirs » que nous avons inscrits dans nos livres », non pour y dĂ©couvrir la solution miracle, mais pour nourrir notre intelligence d’oĂč elle Ă©mergera. Cela en interrogeant avec notre ĂȘtre sensible, afin de ne pas croire que nous sommes savant parce que nous avons appris nos souvenirs, ne pas croire que nous sommes savant parce que nous savons comptabiliser notre existe certainement dans l’expression de notre sensibilitĂ© qui s’échelonne de zĂ©ro Ă  l’infini beaucoup d’autres rĂ©fĂ©rences rĂ©gulatrices qu’il nous appartient de dĂ©sirer impacts sur la production de richesse ?En l’espĂšce il s’agit d’envisager les consĂ©quences de la sĂ©curitĂ© de ressources apportĂ©es par les ECPA, sur la production de richesse que constitue le type de consommation que nous elle est prĂ©sentĂ©e dans l’analyse de GĂ©rard Mermet Francoscopie 2001 comme tendance Ă  une consommation hĂ©doniste, aprĂšs une pĂ©riode de frustration qui est caractĂ©risĂ©e par la recherche du plaisir sensoriel, plutĂŽt qu’intellectuel. Les dĂ©penses d’alimentation ont Ă©tĂ© divisĂ©es par deux en valeur relative depuis les annĂ©es 1960, ainsi que celles de l’habillement, alors que les dĂ©penses de santĂ© ont doublĂ© en trente ans, que les dĂ©penses de loisirs reprĂ©sentent un cinquiĂšme du budget des mĂ©nages, et que le logement est le premier poste de autre caractĂ©ristique de notre mode de consommation est celle du crĂ©dit. Un mĂ©nage sur deux est endettĂ©, un mĂ©nage sur trois a recours au crĂ©dit Ă  la consommation, poussĂ© par l’utilisation des cartes bancaires qui incitent Ă  un crĂ©dit Ă  court terme. Mais de nouveaux modes d’acquisition de biens se dĂ©veloppent, comme les systĂšmes de location vente, les vacances en temps partagĂ©s, l’achat d’occasion pour pallier l’obsolescence de certains produits technologiques sans oublier les Français qui s’intĂ©ressent au troc, et frĂ©quentent de plus en plus les posĂ©, il est difficile sans une Ă©tude de prĂ©ciser quoi que ce soit dans ce domaine ;, NĂ©anmoins en conservant le schĂ©ma d’origine oĂč 25 millions de personnes suivraient un ECPA Ă  mi-temps, le temps consacrĂ© Ă  cet enseignement viendrait remplacer d’autres occupations ou activitĂ©s. Suivant le taux de participation des groupes concernĂ©s les exclus, les parents au foyer, les actifs, les retraitĂ©s, la consommation de biens et de services sera diffĂ©rente, mais viendra renforcer la tendance actuelle Ă  court terme, Ă  l’exception du troc. Cependant, nous pouvons aussi imaginer qu’une activitĂ© intellectuelle engendre un type de consommation qui en sera issu ? Tout comme une activitĂ© oisive et associative a entraĂźnĂ© une sĂ©lection de biens et de services ce qui concernerait une consommation des pays sous dĂ©veloppĂ©s ou en dĂ©veloppement, ayant besoin de presque tout, ce serait plutĂŽt l’offre qu’il faudrait orienter pour ne pas tomber dans des travers de la consommation ostentatoire, comme nous en connaissons de nombreux exemples dans les pays trop d’imagination, nous pouvons penser qu’une plus grande consommation de biens et de services, compte tenu de notre production polluante, va nĂ©cessiter une plus grande coordination internationale, et conduira Ă  forcer le libĂ©ralisme Ă©conomique Ă  s’organiser, non plus comme force de vente et de production de n’importe quoi n’importe comment, mais d’acquĂ©rir une dimension politique » autre que celle de soumettre les États Ă  ses appĂ©tits financiers, ceci sans tomber dans une planification doctrinaire. En cela je ne fais pas allusion Ă  ce qui ce fait actuellement, car ce type de relations existe dĂ©jĂ . Je vise un libĂ©ralisme qui se situerait dans une sociĂ©tĂ© ou une communautĂ© qui aurait pris conscience de son espĂšce, comme je m’en suis expliquĂ©. Nous pouvons espĂ©rer alors que ce soit le dĂ©veloppement de l’intelligence qui devienne un signe extĂ©rieur de richesse pour tous, plutĂŽt que de demeurer la possession d’une Ă©lite, dont certains vendent de la mĂ©diocritĂ© aux autres, parce ces derniers se reconnaissent dans leur propre misĂšre nos entrepreneurs Ă©conomiques qui forment pour la plupart l’élite de nos sociĂ©tĂ©s sont tout Ă  fait aptes Ă  s’associer Ă  de grands desseins, pourvu que la sociĂ©tĂ© les fixes. Et avoir critiquĂ© leurs excĂšs ou celui du systĂšme libĂ©ral n’est pas nier leurs compĂ©tences, ni leurs efficacitĂ©s. En consĂ©quence leur fixer un objectif de transfert de source de richesse avec leur participation, serait une tĂąche dont-il pourraient parfaitement s’ parce qu’envisager de dĂ©velopper un enseignement pour adulte tout au long de l’existence, modifierait la vie de chaque village et ville et rĂ©organiserait les besoins et services dont ils sont aussi les maĂźtres d’ motivations incitatrices doivent ĂȘtre dĂ©veloppĂ©es ?75 – De l’homme ĂȘtre communicant, Ă  l’homme utopique, un mot que la connaissance a banalisĂ© pour qu’il vive l’homme ĂȘtre communicant
J’ai beaucoup insistĂ© en mettant l’accent sur la nĂ©cessitĂ© de la communication, parce que l’Homme est un Être communicant de fait, comme toute espĂšce vivante entrant en interrelation avec son environnement suivant, ses propres moyens de communication, ses sens. Nous exerçons sur ces sens qui nous relient au monde sensible, une certaine maĂźtrise nous conduisant Ă  notre monde culturel ». L’usage le plus communĂ©ment connu, comme moyen de communication, Ă©tant le le tout n’est pas de savoir communiquer, encore faut-il avoir quelque chose Ă  communiquer. J’ai donc essayĂ© de vous communiquer, bien ou mal, l’idĂ©e que je me fais de notre monde, et cela pour vous convaincre de la nĂ©cessitĂ© d’apprendre tout au long de l’existence en l’assujettissant Ă  l’appĂąt sociĂ©tal» par excellence, l’ n’est donc pas cette motivation lĂ  que je vais puisque j’ai parlĂ© de communication, qu’il soit clair que par cet essai je ne communique pas, puisque je ne suis en relation personnelle avec aucun des lecteurs, je n’ai donc aucun Ă©change relationnel, je n’utilise qu’une des formes de la communication, une forme tronquĂ©e, une forme restreinte. Le seul impact rĂ©el de mon essai sera celui de tout Ă©crit, c’est Ă  dire donner une information argumentĂ©e pour atteindre l’imaginaire du que je ne pourrai pas influencer ni par la dialectique ni par la rhĂ©torique, mais seulement par le poids des mots assemblĂ©s nus, des morphĂšmes lexicalisĂ©s. De ce fait, vous ne pourrez pas avoir accĂšs Ă  mon affect, et celui que vous ressentirez ne sera que le n’y a donc pas communication, je vous Ă©cris seulement. Le seul intĂ©rĂȘt de mon essai est qu’il peut ĂȘtre lu par beaucoup de personnes, personnes que je ne rencontrerai certainement jamais, et qu’il peut ĂȘtre diffusĂ© au mĂȘme titre que la parole ou les seules personnes avec lesquelles j’ai communiquĂ© durant l’élaboration de cet ouvrage sont celles qui m’ont aidĂ© Ă  le rĂ©aliser, celles avec lesquelles j’en ai discutĂ©, et dans cet ouvrage, il y a une portion de chacune d’elles, parce que nous Ă©tions en relation personnelle, et que dans ce cas nous communiquions avec notre affect autour d’une raison, d’un pouvant rĂ©aliser cela avec le lecteur, j’ai le choix entre vanter mon ouvrage comme un produit de commercialisation, ou vous laisser trouver les motivations qui pourraient vous sĂ©duire, comme si vous pouviez percevoir mon affect derriĂšre le sens cachĂ© des mots. C’est cette option que j’ai choisie autour d’un mot symbolique l’UTOPIE.
à l’homme Utopique
L’utopie pour la plupart d’entre nous relĂšve du rĂȘve, mais du rĂȘve non accessible Ă  la au fait ?De quelle rĂ©alitĂ© parlons-nous ? La nĂŽtre celle de nos dĂ©sirs personnels de l’image que nous avons de notre existence, ou la rĂ©alitĂ© qui inclut les autres ?Pourtant dans l’un ou dans l’autre cas, il nous faudra des Ă©lĂ©ments de mesure », il nous faudra comparer, Ă©valuer, mais comment faire si nous n’avons rien appris. Dans ces cas lĂ , nous Ă©coutons ce qui se dit, s’écrit, tout ce qui se fige dans le temps, par des lĂ©gendes, des maximes, des usages, des habitudes, et dans tout cela nous prenons ce qui nous convient, pour vivre notre ce quotidien ce n’est pas rien, il est mĂȘme Tout. Alors, en l’observant, ce que nous ne faisons pas la plupart du temps, nous verrons que nous Ă©changeons un grand nombre d’informations, mais que nous n’avons que trĂšs peu de communication relationnelle, faute de temps et Ă  cause du nombre qui fait que la masse dilue et absorbe les individualitĂ©s, au point d’empĂȘcher toute relation inter de bien nouveau, de tout temps il en a Ă©tĂ© ainsi, du moins dans le monde contemporain. Pourtant les hommes en ayant sous leurs yeux le monde sensible avec un but Ă  leur communication, la procrĂ©ation, ne s’en sont pas contentĂ©s, et, concomitamment certainement, ils ont dĂ©veloppĂ© deux mondes, le monde physique et le monde Utopique. Le monde physique, celui de tous les instruments que nous avons rĂ©alisĂ©, et celui de la pensĂ©e abstraite, notre imaginaire, que je qualifie volontairement d’utopique. NĂ©anmoins, aucun des deux n’est sĂ©parĂ© de l’autre, car tous les deux sont le produit de la pensĂ©e symbolique[190]. Au-delĂ  du fait d’ĂȘtre interdĂ©pendants, ils s’entrechoquent ou s’associent sous la baguette de notre pensĂ©e. J’y je qualifie notre imaginaire d’utopie ?Simplement pour banaliser le mot utopie », comme d’autres ont banalisĂ© le mot charges », afin qu’il ne nous fasse plus peur, qu’il ne nous fasse plus peur pour le but que je poursuis, celui de vous expliquer qu’il n’y a pas d’utopie ne suffit pas pour autant de penser Ă  son dĂ©sir pour qu’il se rĂ©alise. Tout dĂ©pendra du niveau oĂč il se situe, en fonction des moyens qui sont les nĂŽtres si nous voulons seul changer le monde, quelle que soit l’idĂ©e Ă©mise, il nous faudra la sortir de notre pensĂ©e, la communiquer, pourtant ce ne sera pas suffisant ; il faudra qu’elle soit diffusĂ©e ; il faudra qu’elle reprĂ©sente aussi un attrait pour ĂȘtre partagĂ©e par d’autres sans les gĂȘner ; il faudra qu’elle ne tombe pas dans l’oubli pour rĂ©sister au temps ; de telle maniĂšre que c’est moins l’utopie en elle-mĂȘme qui est irrĂ©alisable que les conditions de son l’exemple choisi, les conditions de dĂ©veloppement de cette utopie vont dĂ©pendre de l’idĂ©e qu’ont les autres du monde rĂ©el » qui est le leur, non celui des penseurs » et des scientifiques, mais surtout celui de leur monde rĂ©el » au quotidien. De ce monde loin du raisonnement philosophique ou scientifique, ce monde rĂ©el » pragmatique qui est celui de l’expĂ©rience humaine Ă©lĂ©mentaire, celui des simples exigences pour vivre, qui font que nous ne nous dĂ©partirons pas de ce qui nous donne des assurances pour un inconnu bien que nous utilisons le mot utopie pour qualifier une idĂ©e Ă©mise et ainsi masquer le manque d’audace personnel pour se lancer dans une rĂ©alisation qui sort des rĂ©fĂ©rences d’un passĂ© normatif, dans lequel nous nous sommes installĂ©s. Cette utopie sert Ă  combattre aussi bien une idĂ©e qui modifie les rapports envers les dominants, qu’à permettre la dissuasion intĂ©ressĂ©e personnelle, celle d’idĂ©es mythiques, progressistes ou rĂ©trogressives », et qualifier toutes les demandes de ceux qui, vivant mal leur prĂ©sent, imaginent des mondes ce titre lĂ  l’utopie devient un mot rĂ©actionnaire » qui entre en contradiction avec l’expĂ©rience de notre rĂ©el ».L’expĂ©rience de notre rĂ©el s’effectue par la dĂ©termination d’objectifs Ă  partir d’une reprĂ©sentation du dĂ©sirable en valeurs relatives, qui systĂ©matiquement ordonnĂ©es, organisent une vision du monde qui apparaĂźt stable et vision du monde est une nĂ©cessitĂ© pour lui assurer une viabilitĂ© culturelle stable, mais est un frein lorsque la stabilitĂ© devient la permanence irrĂ©ductible d’une organisation dictionnaire de la sociologie donne un aperçu de diffĂ©rents types d’idĂ©es se qualifiant d’utopiques. Je vais reprendre le texte en entier.L’utopie se propose de transformer, de façon plus ou moins radicale selon les cas, les structures et les valeurs sociales en vigueur. On peut qualifier d’utopique » des Ă©crits l’utopie de Thomas More, 1516, fut le premier d’une longue sĂ©rie, des pratiques celles de certains mouvements sociaux, des rĂȘves » toutes utopies non encore pratiquĂ©es, Ă©crites. On peut Ă©galement distinguer 1. Des utopies absolues » en contradiction avec l’expĂ©rience humaine la plus Ă©lĂ©mentaire ; ce sont des mythes pays de cocagne, fontaine de jouvence, etc. ; 2. Des utopies relatives » projets sans prĂ©cĂ©dent historique mais de rĂ©alisation partielle ou totale l’OcĂ©ana de Francis Bacon, ou le programme du parti communiste » de Marx et Friedrich Engels ; 3. Des utopies nĂ©gatives pronostiquant des sociĂ©tĂ©s oĂč la technique la plus perfectionnĂ©e est mise au service d’un projet d’asservissement a opposĂ© une sociĂ©tĂ© ouverte, libĂ©rale, dĂ©mocratique Karl Raymond Popper. Marx et Engels ont distinguĂ© socialisme utopique » les prĂ©-marxistes et socialisme scientifique ». K. Mannheim 1929 a mis en parallĂšle idĂ©ologie conservatrice des classes supĂ©rieures et utopie progressiste des classes subalternes ; il a aussi dĂ©signĂ© une intelligentsia sans attaches » comme la couche sociale apte Ă  produire des utopies.[191]On peut considĂ©rer que toute utopie critique le prĂ©sent au non d’un passĂ© archĂ©typique ou d’un principe censĂ©ment Ă©lĂ©mentaire, et en vue d’un avenir dĂ©clinĂ© sur le changement social valorisĂ© utopie progressive ou dĂ©noncĂ© utopie rĂ©trogressive.On appelle groupements volontaires utopiques ceux qui rĂ©pondent Ă  ce modĂšle de fonctionnement sectes, ordres religieux, certain groupement politiques et syndicaux, certaines formes de communautĂ© et de coopĂ©ratisme, etc.Plus que tout autre membre de l’école de Francfort, Herbert Marcuse 1964 a vu venir l’avenir ouvert Ă  l’utopie d’une libĂ©ration humaine totale, une fois la technique mise au service d’un projet humaniste. Il devait, en 1968, dĂ©crĂ©ter pourtant la fin de l’utopie ». Aujourd’hui, dans les Ă©crits de JĂŒrgen Habermas, la communication » joue le rĂŽle de l’utopie ».Ces quelques lignes donnent un aperçu des diverses idĂ©es qui ont Ă©tĂ© ou sont qualifiĂ©s d’utopiques, et Ă  leurs lectures, il est difficile de dĂ©finir dans notre existence ce qui ne relĂšve pas de l’ apparaĂźt donc que nous brandissons de tout temps ce mot utopie comme un Ă©pouvantail de dissuasion, pour se prĂ©server de toute perturbation venant bousculer notre tranquillitĂ© quotidienne. Et, dans le mĂȘme temps, il a qualifiĂ© toutes les Ă©tapes de l’évolution de nos sociĂ©tĂ©s, et bien des inventions, cela au prix d’un grand nombre de vie.
 un mot que la connaissance a banalisé Aujourd’hui, pour moi ce mot a perdu son sens projet dont la conception, la rĂ©alisation est impossible, imaginaire, il est devenu obsolĂšte, nous pouvons Ă  la rigueur l’utiliser par habitude pour signifier que nous remettons Ă  plus tard une rĂ©alisation, ou que nous refusons tout simplement de la rĂ©aliser parce qu’elle nous dĂ©range, ou parce que nous n’avons pas les moyens de la mĂ©canique quantique nous a fait entrer dans un monde oĂč il sera possible de tout assembler, sous rĂ©serve d’en avoir la clĂ©, ce qui nous manque aujourd’hui. De la mĂȘme maniĂšre nous avons un cerveau qui peut tout assembler, et il nous manque aussi la clĂ©, si j’ose une mĂ©taphore la clĂ© d’harmonie », comment la raison peut prendre le pas sur l’innĂ©, tout en remplissant le rĂŽle de l’innĂ© qui est de garantir la survie de l’espĂšce et son Ă©volution, ceci sans manipulation de l’innĂ©e gĂ©nĂ©tique de sauvegarde. Comment prendre le pas sur le cerveau primitif sans l’altĂ©rer ?La mĂ©canique quantique nous a ouvert les portes de la rĂ©volution informatique, et celles de la rĂ©volution bio molĂ©culaire ».Leurs associations nous permettent actuellement de ne plus concevoir comme utopique, la quĂȘte de la fontaine de jouvence, laquelle, s’il devait bien y avoir une imagerie Utopiste, reprĂ©senterait cette derniĂšre. Aujourd’hui nous pouvons espĂ©rer mourir ĂągĂ© comme de robustes vieillards », d’envisager une civilisation planĂ©taire, d’imaginer des machines temporelles, d’aller habiter l’espace, et crĂ©er des ĂȘtres qui n’existent pas[192]. Cela n’ira pas sans soulever de nombreuses questions, d’éthique ou de morale, ou de type de sociĂ©tĂ©, suivant les approches sociĂ©tale des uns et des point dĂ©cisif dans une dĂ©mocratie est qu’un dĂ©bat ait lieu, mais un dĂ©bat de citoyens avertis, instruits de ces questions, un dĂ©bat Ă©clairĂ©, et tout naturellement cela ne dĂ©pendra que de ce que nous voudrons bien apprendre. Apprendre, car de simples informations sur de tels sujets ne peuvent suffire, et se limiter aux avis Ă©clairĂ©s des scientifiques est se dĂ©charger de ses y faire face je doute que l’économie marchande, comme finalitĂ© en soi, soit suffisante. Si elle y a contribuĂ© en produisant les technologies nĂ©cessaires, elle exclut toutes les autres crĂ©ations de richesse en dehors d’elle, et maintient par la violence de ses rapports Ă©conomiques ce qui fonde nos craintes sur ces sujets. Toutefois, si nous regardons l’économie marchande comme une Ă©tape sur une Ă©chelle de durĂ©e qui est celle de l’espĂšce, en millions d’annĂ©es, elle n’est plus qu’un passage obligĂ© d’une acculturation culturalisĂ©e »,[193] qui engendrera une nouvelle Ă©tape. Cela, sans faire de l’apocalyptique, ce qui n’est qu’une vue catastrophĂ©e de notre monde que je n’ai pas. Aujourd’hui, nos connaissances scientifiques nous permettent d’affirmer que tous les produits de base miniers s’épuiseront[194]. Un jour il n’y aura plus de pĂ©trole pour faire fonctionner des tracteurs, et il n’y aura plus de mĂ©tal pour les fabriquer sur notre planĂšte, mĂȘme si nous organisons leur rĂ©cupĂ©ration car elle ne peut se faire Ă  100%. Dans 1000 ans 2000, 5000, je n’en sais rien, mais il n’est pas nĂ©cessaire d’ĂȘtre scientifique pour comprendre, que lorsque l’on a bu le contenu de son verre il ne reste plus rien que cela se produise brutalement aujourd’hui ! Il n’y aurait mĂȘme pas suffisamment d’animaux de traits pour y supplĂ©er. Il y a ne serait-ce que 100 ans cette idĂ©e ne me serait pas venue Ă  l’esprit, aujourd’hui elle est dans la tĂȘte de beaucoup gens lucides qui savent que notre avenir repose sur la recherche Ă  conserver une organisation mercantile comme la nĂŽtre, basĂ©e uniquement sur l’individualisme Ă©goĂŻste, voire ostentatoire, dont la finalitĂ© est de faire de l’argent avec tout ce qui est bon Ă  vendre, il faut que les chercheurs se dĂ©pĂȘchent dans leurs travaux, car dans quelques siĂšcles, ils n’auront mĂȘme plus de matĂ©riaux pour construire leurs instruments, et le monde d’Internet sans ses supports se ramĂšnera Ă  jouer du tam-tam. Cela, parce que nous n’aurons pas su gĂ©rer » l’instrument le plus perfectionnĂ© que nous connaissons, notre je suis dans l’imagerie, nous pouvons sourire un peu. Imaginez la tĂȘte que feraient ceux qui, fort de leur argent, se sont fait marxistes » dans l’espoir d’un monde meilleur que celui qu’ils ont quittĂ©, et qui rĂ©apparaĂźtraient dans celui oĂč nous avons tout Ă©puisĂ©, et dans lequel il nous faille aller Ă  cheval comme sous l’angle dont je viens de vous prĂ©senter le trĂšs long terme, la conquĂȘte spatiale n’est plus une utopie, ni celle de vouloir organiser notre activitĂ© productrice sous d’autres rapports que ceux du libĂ©ralisme Ă©conomique actuel.
 pour vivre dĂ©jĂ  dit que notre monde Ă©tait celui de notre regard. Si nous ne le regardons donc qu’avec notre ventre, nous pouvons parfaitement nous passer de notre cerveau intelligent, les animaux s’en sortent trĂšs bien comme qui serait regrettable, c’est qu’aprĂšs que notre cerveau nous ait permis de vivre debout, nous dussions revenir Ă  quatre ressources, Ă  la mesure d’une vie humaine un individu paraissent inĂ©puisables. A la mesure d’un milliard et demi de consommateur cela semble moins Ă©vident ; Ă  celle de six milliards l’éventualitĂ© devient plus probable ; Ă  environ plus de dix milliards en 2070, cela se prĂ©cise, l’échelle d’une vie humaine, on ne perçoit que soi, c’est l’individualisme, la conscience de soi, on n’entrevoie que un milliard et demi, c’est la conscience de soi dans une communautĂ©, Ă  six milliards et plus, c’est la conscience de soi dans l’ six milliards et plus, c’est avoir conscience de l’existence de un six milliardiĂšme d’une conscience de soi, que nous ne rencontrerons peut-ĂȘtre jamais, et qui interfĂšre dans notre propre existence de maniĂšre infinitĂ©simale effet papillon, de sorte que nous en ignorerons ses effets, car notre ventre » ne peut pas le savoir, mais notre intelligence qui le supplĂ©ait peut le – Il y a un axiome Ă  rĂ©viser pour un mode meilleur qui appartient Ă  la y a un axiome Ă  rĂ©viser
Ce que notre intelligence devra comprendre Ă©galement ce sont les dangers de l’axiome libĂ©ral fondateur de notre Ă©conomie.Chaque individu met sans cesse tous ses efforts Ă  chercher, pour tout le capital dont il peut disposer, l’emploi le plus avantageux il est bien vrai que c’est son propre bĂ©nĂ©fice qu’il a en vue, et non celui de la sociĂ©tĂ© ; mais les soins, qu’il se donne pour trouver son avantage personnel, le conduisent naturellement, ou plutĂŽt nĂ©cessairement, Ă  prĂ©fĂ©rer prĂ©cisĂ©ment ce genre d’emploi mĂȘme qui se trouve ĂȘtre le plus avantageux Ă  la sociĂ©té  », A la vĂ©ritĂ©, son intention en gĂ©nĂ©ral n’est pas en cela de servir l’intĂ©rĂȘt public, et il ne sait mĂȘme pas jusqu’à quel point il peut ĂȘtre utile Ă  la sociĂ©té . », Il ne pense qu’à son propre gain en cela, comme dans beaucoup d’autre cas, il est conduit par une main invisible Ă  remplir une fin qui n’entre nullement dans ses intentions ; et ce n’est pas toujours ce qu’il y a de plus mal pour la sociĂ©tĂ©, que cette fin n’entre pour rien dans ses intentions. Tout en ne cherchant que son intĂ©rĂȘt personnel, il travaille souvent d’une maniĂšre bien plus efficace pour l’intĂ©rĂȘt de la sociĂ©tĂ©, que s’il avait rĂ©ellement pour but d’y travailler. » A. Smith, Recherche sur la nature et les causes de la richesse des nations.Adam Smith est naturellement pardonnable, Ă  son siĂšcle tout devait ĂȘtre vu comme inĂ©puisable et non polluant. Mais les enfants de Smith le sont moins, car c’est en toute connaissance de causes qu’ils continuent Ă  agir en ce sens en pensant que l’intĂ©rĂȘt individuel concourt inĂ©vitablement Ă  celui de la sociĂ©tĂ©, comme si c’était un bien de respirer du monoxyde de carbone, ne plus trouver d’eau potable, et ne rĂ©pondre Ă  l’exclusion que par la nous avons d’autres moyens que ceux dont il disposait afin de mesurer notre activitĂ© polluante et incidente. Nous pouvons donc nous rendre compte que si cet axiome avait tout son sens Ă  son Ă©poque, il ne l’a plus aujourd’hui, si nous le cantonnons au seul domaine de la production de biens, et continuons Ă  nous y rĂ©fĂ©rer aveuglĂ©ment en ce sens. C’est d’une certaine maniĂšre aller au suicide Ă  long terme, non parce qu’il en est ainsi par une quelconque fatalitĂ© ou main invisible », mais seulement pour ĂȘtre restĂ© dans une utilisation Ă©triquĂ©e de notre intelligence, en rĂ©fĂ©rence Ă  un passĂ© qui n’est revanche je modifierai un peu cet axiome de la maniĂšre suivante chaque individu met ses efforts Ă  chercher, pour tout son capital, dont il peut disposer, l’emploi le plus avantageux Ă  dĂ©velopper son intelligence tout au long de son existence ; il est bien vrai que c’est son propre bĂ©nĂ©fice qu’il a en vue et non celui de la sociĂ©tĂ© ; mais les soins qu’il se donne pour trouver son avantage personnel le conduisent naturellement Ă  prĂ©fĂ©rer ce genre d’emploi mĂȘme, qui se trouve ĂȘtre le plus avantageux pour la sociĂ©tĂ©. »Allez ! Un clin d’Ɠil, certains ont tellement d’argent qu’il leur faudra plusieurs vies pour l’utiliser Ă  dĂ©velopper leur intelligence, mais comme j’ai dit que nous rĂ©munĂ©rerions les hommes pour apprendre, peut-ĂȘtre iront-ils apprendre, mais je ne le crois pas car dans notre monde, c’est l’épaisseur du portefeuille qui confĂšre l’ Ă©galement dit qu’un ĂȘtre qui ne reçoit rien de l’extĂ©rieur meurt, pareil pour une sociĂ©tĂ©, et il en est de mĂȘme pour notre monde. Si s’ouvrir pour recevoir, est vivre j’entends prendre conscience de notre espĂšce, vers quoi l’espĂšce va donc pouvoir se retourner pour recevoir ?Vers ce que nous avons entrepris depuis dĂ©jĂ  bien longtemps, vers le monde infinitĂ©simal, celui qui Ă©chappe Ă  nos 10% d’intelligence[195], celui qui nous permettra peut-ĂȘtre de remplacer l’épuisement des ressources miniĂšres et conserver le confort auquel nous ne voulons pas renoncer, que nous promettons aux autres, et qui sera peut-ĂȘtre le rĂ©gulateur de notre ne sera peut-ĂȘtre pas seulement de la matiĂšre comme celle Ă  laquelle nous sommes habituĂ©s, mais quoi que ce soit, cela ne se fera pas sans nous, et ne dĂ©pendra que de nous. Si nous avons la charge d’inventer le monde de demain, il n’apparaĂźtra pas sur un Ă©cran de tĂ©lĂ©vision dans le billet gagnant d’un loto ou dans une priĂšre Ă  un dieu. Il naĂźtra de notre intelligence, parce que nous ne consacrerons pas tout notre temps courbĂ© sur un mĂ©tier, en balade dans un super marchĂ©, suspendu devant un Ă©cran de tĂ©lĂ©vision en consacrant un peu de notre temps au dĂ©veloppement de notre intelligence, lĂ  ou rĂ©side notre futur. 
pour un monde meilleur
Pour un monde meilleur ! Certainement pas, car je ne suis pas assez fou pour vous dire cela. Seulement parce qu’il en va ainsi de l’évolution dans un univers en mouvement, et qu’en toute conscience nous pouvons l’accompagner. Le monde meilleur il est dans notre tĂȘte, hier comme aujourd’hui et demain, je ne suis ni devin ni prophĂšte, je me suis contentĂ© de regarder comment nous vivions et d’en tirer une quand nous nous observons vivre nous savons que nous pouvons crĂ©er un monde meilleur, il n’y a pour cela qu’à se regarder quand nous rions.
 qui appartient Ă  la disais que la pensĂ©e symbolique regroupait le monde physique et le monde abstrait utopique qui s’entrechoquaient ou s’associaient. Nous avons façonnĂ© des millions d’instruments pour nous servir et nous identifier qui appartiennent au monde physique, nous avons Ă©galement façonnĂ© des instruments abstraits de mesures conventionnelles et d’échelles de valeurs dans le mĂȘme but. Pourtant, plus qu’il ne le faudrait, les uns passent dans le domaine des autres, nous en arrivons Ă  personnifier de la matiĂšre inerte, considĂ©rer nos instruments comme ayant une vie sensible par transfert, et pĂ©trifier», rendre inerte, intangibles des conventions abstraites qui relĂšvent de l’interprĂ©table dont la caractĂ©ristique essentielle est d’ĂȘtre mallĂ©able, transformable, modifiable, bref, Ă©volutive. Ceci nous conduit trop souvent Ă  accorder plus d’importance Ă  un objet qu’a une vie, et dans le mĂȘme temps nous figeons des conventions au point de les rendre immuables, mĂȘme quand elles coĂ»tent des vies, de maniĂšre que ce qui est inerte en devenant l’expression d’une Ă©motion nous le rendons vivant, et les Ă©chelles de nos Ă©motions qui sont mallĂ©ables, mobiles, interchangeables nous les rendons inertes intangibles Ă  l’image de leurs reprĂ©sentations. De telle maniĂšre que nous finissons par vivre au rythme de l’instrument plutĂŽt qu’à celui de la bien sĂ»r ne dĂ©pend que de l’idĂ©e que nous nous faisons de nous mĂȘme au travers de l’apprentissage qui a Ă©tĂ© le nĂŽtre, car notre monde s’est construit sur cette confusion qui a dĂ©veloppĂ© bon nombre de superstition que nous voyons encore de nos jours. Pour n’en prendre qu’une image, je prendrai celle d’un religieux bĂ©nissant un canon. Je ne discuterai pas cela, chacun d’entre nous tient de ce qu’il est le fait d’avoir la reprĂ©sentation de son monde, comme moi je dĂ©veloppe la que, que ce soit l’autre ou moi, nous ne la tenons que pour telle qu’elle nous a Ă©tĂ© – DĂ©couvrir le sens cachĂ© du vĂ©cu comme celui des le sens cachĂ© du vĂ©cu
Ainsi, la vĂ©ritĂ© de chacun d’entre-nous ne nous est pas apparue spontanĂ©ment Ă  la naissance, mais elle s’est construite, cela ne signifie pas qu’il faille dans toutes les circonstances apporter la preuve de sa VĂ©ritĂ© ». Nous savons que de l’adolescence Ă  la vieillesse, elle aura bien changĂ© d’aspect au fil de la comprĂ©hension du sens de notre vĂ©cu, mais elle demeurera notre vĂ©ritĂ©, car elle appartient au monde de l’interprĂ©table. C’est Ă  dire qu’au travers de la comprĂ©hension du sens de notre vĂ©cu, nous pouvons en l’interprĂ©tant y trouver un sens cachĂ©, car notre organisme perçoit tous les champs qui l’affectent, et qui demeurent encore in interprĂ©tables » Ă  notre sens qui afin de ne pas souffrir nous motive pour alterner entre l’égoĂŻsme et l’altruisme, l’assurance et l’aventure, la peur et l’audace, les pleurs et le aussi Ă  celui-ci que je fais appel chez vous pour que vous y trouviez une motivation rendant acceptable ou comprĂ©hensible mon regard sur le donc Ă  chacun d’entre nous de savoir lire sa vĂ©ritĂ©, c’est Ă  chacun de lire sa vĂ©ritĂ© au-delĂ  du sens vĂ©cu, non pas pour tomber exclusivement dans la VĂ©ritĂ© scientifique, mais pour y dĂ©couvrir les sens cachĂ©s que nous pouvons y dĂ©celer, aussi bien dans notre sens du vĂ©cu que dans celui cachĂ© du monde scientifique[196], comme je l’ai fait en m’appuyant sur trois principes fondamentaux.
 comme celui des reprochĂ© la VĂ©ritĂ© comptable de notre monde Ă©conomique, non parce que ce n’est pas notre expĂ©rience du vĂ©cu, mais parce que ce monde comptable se veut scientiste, et cela, parce que notre activitĂ© peut ĂȘtre traduite en langage mathĂ©matique. Le domaine des mathĂ©matiques ne dĂ©finira des vĂ©ritĂ©s expĂ©rimentales, que si elles peuvent ĂȘtre rĂ©futables faire l’objet de vĂ©rifications expĂ©rimentales. Nos thĂ©ories Ă©conomiques ou monĂ©taires, bien que s’appuyant sur les mathĂ©matiques, sont irrĂ©futables en elles-mĂȘmes puis qu’elles reposent sur une acceptation conventionnelle de valeurs relatives. Elles ne sont donc vrai que parce qu’il y a une majoritĂ© de faits ou de forces pour les essayer de vous motiver pour accepter une modification de la vĂ©ritĂ© de votre vĂ©cu, nĂ©cessite que je vous demande de rechercher dans votre vĂ©ritĂ© son sens cachĂ©, celui qui se trouve au-delĂ  de la seule reprĂ©sentation financiĂšre de nos pas le sens que tout le monde connaĂźt, c’est Ă  dire vouloir disposer de revenus pour jouir du produit des ressources matĂ©rielles ou intellectuelles sans participer Ă  l’effort de leur crĂ©ation ; mais le sens qui a fait, que des hommes se sont toujours manifestĂ©s pour envisager des mondes meilleurs, pour avoir des utopies. Celui qui fait, qu’ignorant de la source cachĂ©e de leur Ă©lan, ils ont fait Ă©voluer le monde culturalisĂ©, mĂȘme si c’était pour le tailler Ă  leur existaient hier, ils existent aussi aujourd’hui, mĂȘme si je considĂšre qu’il y en a de moins en moins dans le monde des adultes installĂ©s », qui ont dĂ» lutter pour modifier leur monde et, en parvenu, ils laissent le flambeau Ă  d’autres. Je suis peut-ĂȘtre injuste, mais pour ce qui relĂšve encore de l’utopie c’est vers les cadets qu’il vaut mieux espĂ©rer. Pour ce faire, ils entreront en confrontation avec leurs aĂźnĂ©s qui leur expliqueront qu’ils leur ont construit et organisĂ© un monde comptable meilleur, dont ils auraient tort de se plaindre, d’une certaine maniĂšre ils leur passeront par succession leurs chaĂźnes. Tort de se plaindre car de leur temps c’était pire ; une maniĂšre de faire accepter un mode de vie comme irrĂ©versible, de la mĂȘme maniĂšre que nos ancĂȘtres ont dĂ» le dire Ă  leurs enfants, comme nous le rĂ©pĂ©tons aux nĂŽtres, alors que tout notre passĂ© historique le dĂ©ment, sinon nous vivrions toujours comme l’homme de Cro-Magnon. C’est vers une jeunesse plus instruite Ă  la fois de littĂ©rature et de mathĂ©matique, de philosophie et de science, qu’il faudra placer nos espoirs, mĂȘme si ce n’est pas une garantie en soi dans un monde de conditionnement trĂšs Ă©laborĂ©, car il leur faudra se crĂ©er des espaces de dĂ©bats et de rĂ©flexions, parce qu’aujourd’hui leur parent » ne leur offre que des Entreprises, des distractions commerciales, des expĂ©dients de toutes sortes, et des prisons. Le comble en est que ces parents » se plaignent des images que vĂ©hiculent leurs enfants, alors que se sont eux qui les ont conçues, et sont incapables de reconnaĂźtre leur Ɠuvre. Incapables de comprendre que la structure hiĂ©rarchique est un vĂ©hicule qui doit ĂȘtre Ă  la mesure de ses nouveaux occupants, et non pas pour tailler le nouvel occupant seulement Ă  la place de l’ancien. De maniĂšre plus claire et idyllique, l’enfant doit ĂȘtre Ă©levĂ© pour le nouvel ĂȘtre qu’il est, et l’enseignement hiĂ©rarchique qu’il reçoit ne doit pas aboutir Ă  fabriquer le clone » dont nous exprimons le besoin, mais lui apprendre Ă  comprendre les dĂ©finitions de toutes les informations que nous avons traduites, pour qu’il puisse associer les siennes ou en dĂ©finir de nouvelles, tant dans la nĂ©cessitĂ© que dans le rĂȘve. Et dans cet enseignement, les mathĂ©matiques sont devenues un langage Ă  part entiĂšre qui nous permettent de quantifier toutes les informations que nous collectons, et si elles ne se suffisent pas Ă  elles seules pour ĂȘtre qualifiĂ©es, elles doivent contenir un sens cachĂ©, car elles sont l’expression d’une rigueur de notre esprit et de nos – Il importe d’élargir son regard pour ne pas importe d’élargir son conçois que j’aie lĂ  une tĂąche difficile, celle d’essayer de vous motiver pour mon essai, car j’ai aussi expliquĂ© que le bonheur, comme nous le concevions, n’existait pas. C’est Ă  dire que nous le concevons toujours dans un instant arrĂȘtĂ© » dans le cadre d’une situation qui se perpĂ©tuera, qui restera stable, et nous nous sentirons heureux d’autant plus que cette situation nous retire toute souffrance j’ai dit que nous Ă©tions en perpĂ©tuel mouvement pour une fin mortelle, si bien que ma plaidoirie consisterait plus Ă  vous pousser vers l’égoĂŻsme de la recherche de tous les instants que nous jugeons de bonheur, cela sans se prĂ©occuper des autres, sauf si nous pouvons nous apercevoir ou concevoir que dans nos interrelations aussi infinitĂ©simales soient-elles, l’autre, l’étranger, l’inconnu peut ĂȘtre source de notre souffrance Ă©conomique, s’il en souffre lui-mĂȘme et cela mon point de vue limite l’axiome de Smith qui ne va pas dans ce sens, restreignant le regard de l’homme qu’à lui-mĂȘme en postulant que l’homme tout en cherchant que son intĂ©rĂȘt individuel, il travaille souvent d’une maniĂšre plus efficace pour la sociĂ©tĂ©, que s’il avait rĂ©ellement pour but d’y travailler. » La partie qui en est contestable est Il travaille souvent d’une maniĂšre plus efficace pour la sociĂ©tĂ© ».Or, comme nos organisations Ă©conomiques reposent sur les conditions d’utilisation de la force de travail de tout un chacun, si elles dĂ©veloppent de la souffrance Ă©conomique », celle-ci en retour se rĂ©percutera sur ceux qui se sont installĂ©s dans leur bonheur. Ce bonheur qui repose sur un instant arrĂȘtĂ© », de telle maniĂšre que nous ne pouvons pas faire l’économie d’un regard sur l’existence des autres, des Ă©trangers, des inconnus, bref de l’espĂšce humaine, pour examiner l’incidence des structures que nous mettons en place dans la recherche de notre intĂ©rĂȘt cela notre organisation Ă©conomique basĂ©e sur la raretĂ© est un fabriquant de souffrance, par l’usage d’un instrument de mesure qui est le plan comptable », qui indique que notre existence est une souffrance charges pour une structure l’entreprise faite pour servir l’intĂ©rĂȘt personnel. Cette souffrance se rĂ©percutera inĂ©vitablement en retour sur notre intĂ©rĂȘt personnel.
 pour ne pas en j’utilise le mot souffrance ?Notre finalitĂ© Ă©tant la mort, nous entrons dans un processus de construction dĂ©construction » maturation / vieillissement qui ne s’observe qu’au travers des souffrances qu’il suscite. D’un bout Ă  l’autre de notre existence la souffrance est l’indicateur de cette derniĂšre, et notre bonheur ne dĂ©pend que de la fabrication d’un immunisant », que ce soit dans le monde de la pathologie, ou dans celui de la systĂ©mique sociale. Il nous faut donc constamment diffĂ©rencier la souffrance constructrice de celle destructrice, de telle maniĂšre que celle qui nous emportera vers la mort ne soit que le terme de la vie biologique. Pourtant si nous immunisons » notre souffrance, comment la conserver comme repĂšre ? De la mĂȘme maniĂšre que nous regardons si nous sommes beaux, en observant l’autre, l’étranger, l’inconnu, l’espĂšce. Notre existence ne dĂ©pend donc que des repĂšres que nous choisissons pour mesurer la souffrance constructive Ă  conserver. L’erreur Ă  ne pas faire serait de se la cacher, par des processus ascĂ©tiques ou extatiquesMais comment la mesurer ?Par nos deux mondes, le monde abstrait ou utopique qui nous a conduit par exemple Ă  considĂ©rer que la souffrance Ă©tait une Ă©tape pour accĂ©der Ă  un monde meilleur, ou encore faire de la souffrance une RĂ©demption, et le monde physique qui nous a conduit vers la science pour nous permettre de considĂ©rer que la souffrance Ă©tait un indicateur de tout systĂšme, et dont sa disparition Ă©tait la base de nos motivations grĂące Ă  la satisfaction de nos dĂ©sirs. Il est donc plus aisĂ© de comprendre pourquoi je ne remets pas en cause l’envie d’ĂȘtre riche et l’envie de la propriĂ©tĂ© », parce qu’il serait stupide pour supprimer une souffrance d’en crĂ©er d’ passons donc notre temps Ă  supprimer la souffrance, et c’est lĂ  le sens cachĂ© de notre pourquoi vouloir la maintenir par un systĂšme Ă©conomique en dysharmonie » ?Les plus courageux pourront rĂ©pondre parce que j’ai besoin d’un pauvre pour me sentir riche, j’ai besoin d’un mort pour me sentir vivant, j’ai besoin d’un con pour me sentir intelligent etc.». Ceci est la limite de notre intelligence actuelle. Pouvons-nous la changer ?Oui !Pour cela il n’y a pas de remĂšdes miraculeux en dehors de notre propre cerveau. Celui-ci ne rĂ©gurgitera que le produit des donnĂ©es que nous avons accumulĂ©es en fonction du but que nous leur assignons. Si bien qu’inventer, mettre un pied dans l’indĂ©finissable, est le produit du Hasard », non que le hasard existe en tant que tel, mais parce que dans la recherche d’un but, c’est souvent un autre qui apparaĂźtra. Ceci parce que le hasard n’est que notre dĂ©finition d’une absence complĂšte d’informations sur notre monde ou dans le cadre d’une recherche quelconque, et il n’apparaĂźtra donc que l’interprĂ©tation du produit des Ă©lĂ©ments que l’on aura su telle maniĂšre que moins nous aurons emmagasinĂ© d’informations, moins nous aurons de chance de trouver le but, plus nous serons conditionnĂ©s autour d’une VĂ©ritĂ©, moins il pourra nous le domaine du monde des sciences physiques cela nous paraĂźt actuellement une Ă©vidence mĂ©canique quantique. Une Ă©vidence que nous avons bien du mal Ă  transposer dans celui de la pensĂ©e, dans cette pensĂ©e mĂȘme qui a Ă©laborĂ© cette Ă©vidence, pour en tirer un et je me rĂ©pĂšte notre cerveau est notre monde, et il nous appartient d’en prendre soin, de le cultiver, c’est cela que je propose en s’instruisant tout au long de l’ plus loin de vous en convaincre au-delĂ  de notre minuscule et importante existence, dans celle plus grande qu’est notre espĂšce, et comment nous risquons de nous suicider dans une confrontation de cultures bonheur serait-il introuvable ?Certainement pas, il est Ă  l’intĂ©rieur de la tĂȘte de chacun dans son rapport avec les autres, mais non pas spontanĂ©ment. Il est interdĂ©pendant de notre monde physique, et de notre monde utopique, si bien que selon que nous le ferons dĂ©pendre de l’un ou de l’autre, nous en aurons des reprĂ©sentations diffĂ©rentes, et il nous apparaĂźtra plus ou moins l’importance de la reprĂ©sentation instrumentale que je faisais observer, qui fait que nos productions contribuent au bonheur me paraĂźt une Ă©vidence, alors que ne faire dĂ©pendre notre bonheur que d’elles, sans discernement, est ?Dans 100 ans et plus il n’y aura plus d’énergie fossile pĂ©trole. Qu’à cela ne tienne, nos chercheurs planchent sur des Ă©nergies de remplacement Ă©nergie solaire, Ă©olienne, gĂ©othermique, cogĂ©nĂ©rative » association de plusieurs sources d’énergie, et celle de l’antimatiĂšre dont les plus optimistes espĂšrent en voir l’émergence vers 2100. A cette date lĂ  nous serons plus de 10 milliards d’habitants sur la planĂšte. Si nous en sommes encore Ă  considĂ©rer que pour ĂȘtre heureux il faut ĂȘtre riche de biens ostentatoires, qu’il faut seulement possĂ©der pour montrer son bonheur nous avons quelques soucis Ă  avoir ; d’autant que dans le mĂȘme temps les ressources miniĂšres se rarĂ©fieront. Pour continuer jusqu'Ă  l’excĂšs, en l’absence de toutes ressources miniĂšres, nous serait-il impossible alors de trouver le bonheur ?Bien sĂ»r que non, nous nous le crĂ©erions sur d’autres pourquoi l’idĂ©e de la rĂ©munĂ©ration du dĂ©veloppement de l’intelligence comme source de richesse vous ferait-elle peur ?79 – Notre avenir dĂ©pend de notre univers, et de la conquĂȘte de notre Notre avenir dĂ©pend de notre univers
Nous avons pris dĂ©finitivement conscience de la notion d’espĂšce humaine grĂące au progrĂšs technologique qui a mis un terme Ă  la notion de race, quelles que soient les erreurs que nous ayons pu commettre, et tout ceci n’aurait pu l’ĂȘtre sans moyens de science nous permet d’estimer Ă  tort ou Ă  raison que notre monde, Ă  l’échelle des 10 000 ans Ă  venir, subira un autre Ăąge glaciaire aprĂšs une courte pĂ©riode de rĂ©chauffement dans laquelle nous vivons, et je vais retenir celle-ci comme hypothĂšse de raisonnement bien qu’il en existe d’ cycle peut ĂȘtre perturbĂ© par un rĂ©chauffement qui proviendrait au sein de notre galaxie, de l’explosion d’une Super Nova » dans un rayon de quelques annĂ©es lumiĂšre de la terre, et qui bombarderait la planĂšte de rayons X mortels pour toute vie qui y serait soumise, ce n’est donc pas cette hypothĂšse que je vais retenir, mais celle de la glaciation[197]comme je l’ai prĂ©cisĂ© plus vais dans cette perspective essayer d’expliquer que l’utilisation de notre langage est le facteur dĂ©terminant pour dĂ©velopper nos facultĂ©s psychiques, qui sont, elles, aptes Ă  supplĂ©er ou s’associer Ă  nos innovations dĂ©jĂ  indiquĂ© que l’occident avait une approche duale du monde en bien et mal, tandis que les Asiatiques en avaient une approche associative le Yin le l’illustrer, je prendrai l’exemple du monde mĂ©dical. Dans le nĂŽtre pour anesthĂ©sier au cours d’une opĂ©ration nous utilisons un produit synthĂ©tique issu de notre recherche sur les propriĂ©tĂ©s de la matiĂšre physique ou organique. Dans le mĂȘme but les Chinois utilisent pour le mĂȘme effet l’acupuncture issue de la connaissance empirique ancestrale accumulĂ©e sur le corps un cas nous risquons un choc post traumatique, et ceci nĂ©cessite une salle de rĂ©veil, alors que dans l’utilisation de l’acupuncture rien de tout cela, ils retirent les aiguilles. Mais, quelle que soit l’origine de la performance de l’un ou de l’autre, le langage sert Ă  rassurer le patient sur l’efficacitĂ© de l’intervention, avec dans le cas de l’acupuncture une confiance dans un processus qui s’appuie autant sur quelques vĂ©rifications scientifiques, que sur son impact psychosomatique, et chacun choisit le mot, le langage leur quotidien certains asiatiques utilisent la connaissance de leurs capacitĂ©s psychologiques comme hygiĂšne de vie, par exemple les Yogis, pendant que nous, de cette connaissance nous en avons fait une mĂ©decine curative psychologie, psychiatrie.Dans le cas de l’anesthĂ©sie pour un mĂȘme but, nous passons, par un procĂ©dĂ© fabriquĂ© », eux, ils pourraient se servir aussi bien d’une Ă©pine d’acacia, que d’une arĂȘte de se transmettent leurs techniques de l’utilisation du psychique, par l’apprentissage familial, monastique ou par caste, tandis que pour nous, elles sont une spĂ©cialitĂ© thĂ©rapeutique que dans notre passĂ© occidentalisĂ© nous avons disposĂ© d’une approche extrĂȘme-orientale ?Jetons un regard chez les Grecs. Dans l’AntiquitĂ© ces derniers connaissaient le langage de la l’art de la rhĂ©torique qui leur est bien connu, un grec Antiphon d’AthĂšnes, nommĂ© le guĂ©risseur, Ă©tait connu comme l’inventeur de l’art de l’apaisement », il Ă©tait reconnu comme guĂ©rissant les malades avec des mots par l’usage de la rhĂ©torique,[198]par le a gardĂ© l’Occident ?Dans l’écoulement des ans, cette utilisation nous ne l’avons plus conservĂ©e que pour des incantations spirituelles ou celles dites sataniques », et relĂ©guĂ© certains autres de ses usages dans le monde du paranormal, jusqu’à sa rĂ©apparition grĂące Ă  la psychologie et Ă  la psychanalyse la psychosomatique, ou l’ revanche cette capacitĂ© de se convaincre par le langage nous l’appelons par tous les noms que nous avons bien voulu lui donner dans l’art de communiquer ĂȘtre en relation. Suivant les circonstances nous le dĂ©signons comme, influence, conditionnement, persuasion, manipulation, priĂšre, mĂ©ditation, etc., ce qui met en Ă©vidence l’impact de la parole sur le somatique via le pour un mĂȘme but, celui de vivre, nous utilisons le pouvoir de la parole, du langage, avec des approches diffĂ©rentes suivant l’objectif visĂ©, parce que notre monde est aussi celui de la dĂ©finition que nous en donnons par les l’utilisons pour dĂ©finir aujourd’hui le langage spĂ©cifique du monde Ă  finalitĂ© Ă©conomique qui fixe une valeur financiĂšre Ă  toute chose, et qui ne dĂ©finit aucune valeur intrinsĂšque de la valeur d’usage d’un produit, et sert essentiellement Ă  Ă©tablir une sĂ©lection, une sorte de file d’attente, pour l’acquisition du dit produit par la monnaie, laquelle organisera sa propre production et la l’utilisons aussi pour dĂ©finir celui du monde psychique, pour persuader un pauvre qu’il est riche parce qu’il n’a rien, ou un riche qu’il est pauvre parce qu’il a pouvoir du langage dont nous ignorons les limites sur notre psychique, a vĂ©hiculĂ© le monde passĂ© en donnant aussi bien la sagesse chinoise[199] avec ses restrictions, que le dualisme Occidental avec ses dĂ©couvertes scientifiques, et porte le monde futur par sa capacitĂ© de conviction. Il faut tout de mĂȘme constater que l’art de l’apaisement », qu’il soit prĂŽnĂ© par des Ă©crits religieux, des convictions politiques, des considĂ©rations humanitaires, ne tient pas la distance devant l’art de la confrontation ».Cela, tout simplement, pour rester dans l’exemple, parce que nous pouvons tirer un profit de la production d’anesthĂ©siques, peu de la production d’aiguilles, et aucun de la production du langage. De telle maniĂšre que dans le cadre d’une activitĂ© Ă©conomique nous serons peu enclins Ă  dĂ©velopper une technique qui ne se concrĂ©tise pas par la consommation d’un bien ne vois pas un industriel construire une usine » pour produire des mots », par contre nous savons utiliser le langage pour vendre un produit Ă  qui n’en Ă  pas besoin, et lĂ  ils construisent des usine » Ă  faire des mots », les centres de formations de la force de vente ; cette mĂ©taphore, qui met en exergue notre savoir-faire sĂ©lectif, atteste du pouvoir du dĂ©celer lequel des usages du pouvoir du langage sera le plus Ă  mĂȘme d’assurer notre futur ?PosĂ© comme cela ma question suscite un choix, mais je ne suis pas obligĂ© d’opposer l’une et l’autre, rien ne m’oblige Ă  considĂ©rer qu’un usage est supĂ©rieur Ă  l’autre, sauf ma reviens Ă  l’exemple des anesthĂ©siants, si la parole qui me conduit Ă  considĂ©rer que par intĂ©rĂȘt individuel pour ĂȘtre riche je dois vendre un produit, j’essaierai pour n’enrichir de vendre un procĂ©dĂ© anesthĂ©siant issu d’une production Ă  ceux qui n’en ont pas besoin, ne serait-ce tout simplement pour maintenir les emplois qu’ils gĂ©nĂšrent, qui sont eux-mĂȘmes source de je peux soigner avec des mots, je le rejetterai, car si je ne peux pas expliquer comment j’y parviens cela est inquiĂ©tant et s’apparente Ă  un Ă©sotĂ©risme qui suscite l’ une mĂ©dication est rassurante mĂȘme si ce n’est qu’un placebo, il est issu d’une production pharmaceutique rassurante, qui a connu un essor presque idyllique aprĂšs la deuxiĂšme guerre mondiale, et il est estampillĂ© du sceau de la science, il donne dans le cas du placebo nous utilisons volontairement une duperie, celle qui consiste Ă  miser sur la confiance dans une culture mĂ©dicamenteuse pour gĂ©nĂ©rer un effet ne veux pas par cet exemple mettre en opposition deux techniques, mais souligner leur complĂ©mentaritĂ© qui tourne autour de l’importance du langage, mĂȘme s’il doit passer par une reprĂ©sentation physique, qui peut ĂȘtre dans l’exemple du placebo, supprimĂ©e. Ce langage qui conditionne notre existence et l’usage que nous faisons de toute chose, met en exergue l’Etre psychique que nous sommes, fort ou fragile suivant les connaissances culturelles que nous aurons acquises au travers de sa nous faudra donc dans l’avenir avoir une idĂ©e du futur lointain, celui oĂč nos ressources miniĂšres se rarĂ©fieront. Cest lĂ  que je voulais en venir, quand il ne restera que notre psychique pour faire face au nouvel Ăąge nous faudra-t-il de nouveau avoir peur de souffrir, pour faire la redĂ©couverte de nos capacitĂ©s psychiques, et revenir Ă  la rhĂ©torique et Ă  l’art de l’apaisement ?Ces capacitĂ©s psychiques que les scientifiques cernent de mieux en mieux, qui nous permettrons de rĂ©parer les cellules » et peut-ĂȘtre de comprendre les mĂ©canismes qui nous permettrons de rĂ©aliser des prouesses Ă©gales Ă  celles des yogis, si nous savons utiliser les mots qui lĂ  notre espĂšce ne bĂ©nĂ©ficiera que de ce que nous aurons su bĂątir, que ce soit dans le monde physique ou dans le monde psychique. Mais c’est lĂ  une tĂąche qui demande d’autres perspectives que celles Ă  court terme que nous vĂ©hiculons. Il y a les hommes pour le faire, sauf que le monde mĂ©diatique ne leur laisse guĂšre de temps d’écoute ; et puis cela nous arrange tellement de ne pas regarder au-delĂ  de notre propre l’instant l’Occident parie sur le monde physique grĂące Ă  la puissance de la recherche scientifique qui nous permet d’envisager d’aller coloniser la planĂšte Mars si nous parvenons Ă  y diriger une comĂšte les comĂštes qui sont de gigantesques icebergs, afin d’y crĂ©er un monde viable pour notre espĂšce, ou d’autres formules. Il y a tout de mĂȘme une difficultĂ© dans ce schĂ©ma, non pas qu’il ne soit pas rĂ©alisable, mais pour arriver Ă  une vĂ©gĂ©tation identique Ă  celle de notre planĂšte permettant de faire vivre une population de plus de dix milliards d’habitants, les scientifiques n’ont pas indiquĂ© de temps. Mais, nous pouvons en avoir une idĂ©e avec celui qu’il a fallu Ă  notre planĂšte pour dĂ©velopper la sienne qui se chiffre en milliard d’annĂ©es. Si bien que si la prĂ©vision des scientifiques se rĂ©alise, nous ne disposons que de 10 000 ans. Exit l’espĂ©rance gĂ©nĂ©rale dans ce domaine. Reste celle dans la dĂ©couverte de planĂštes telluriques Ă  l’extĂ©rieur de notre systĂšme solaire, avec la difficultĂ© non rĂ©solue de les atteindre. Dans le mĂȘme temps ces scientifiques se questionnent pour savoir sur quel astre ou astĂ©roĂŻde trouver des ressources miniĂšres[200].Cette vision de notre futur est tout Ă  fait respectable et n’est en rien utopiste, nous disposons de 10 000 ans pour trouver une solution. Mais nous disposons Ă©galement de ce temps pour explorer notre monde psychique[201].Encore faut-il ĂȘtre convaincu qu’un enseignement permanent pour adulte, accroissant le nombre gens instruits, crĂ©era en consĂ©quence plus d’intelligence pour relever le dĂ©fi. Tout en prenant soin d’éviter que l’utilisation de cette intelligence ne soit pas rĂ©servĂ©e seulement Ă  l’endoctrinement culturel, Ă  l’art de la confrontation ».Peut-ĂȘtre que ceux qui savent que notre monde est malade pour ĂȘtre sorti de son biotope originel, oserons s’organiser pour, malgrĂ© l’incertitude expliquer qu’ĂȘtre sain c’est connaĂźtre ses maux, et vulgariser leur savoir plutĂŽt que de rester des docteurs de la loi », car l’avenir est toujours notre existence dĂ©pend de l’univers, notre vie dĂ©pend aussi des mots avec lesquels nous la dĂ©finissons, et les mots sont un univers, ils sont devenus notre univers Ă  eux tout seul.
 et de la conquĂȘte de notre savons que ce monde psychique a des dispositions extraordinaires, mĂȘme si l’étude clinique de celui-ci ne nous permet pas d’en comprendre toutes les interactions. Nous disposons d’une capacitĂ© d’autosuggestion et de conviction permettant d’agir sur notre mĂ©tabolisme. Les yogis asiatiques sont connus pour cela. Il n’est qu’à citer le cĂ©lĂšbre cas d’un marin enfermĂ© dans un compartiment frigorifique qui fut retrouvĂ© mort des symptĂŽmes du froid, alors que le systĂšme de rĂ©frigĂ©ration ne fonctionnait pas. Sans parler des opĂ©rations cliniques qui sont rĂ©alisĂ©es sous hypnose, rĂšgle gĂ©nĂ©rale l’exploration de ce domaine nous effraie, non parce qu’il est effrayant, mais parce que nous lui avons reconnu un pouvoir dĂ©moniaque par culture ignorante et nous conservons l’image d’une sociĂ©tĂ© qui utilise toutes les dĂ©couvertes dans un but d’auto domination », une jolie expression pour ne pas dire pour s’entre-tuer » ; cela parce que quand nous Ă©teignons la lumiĂšre nous avons encore peur. Peur de mourir, de souffrir, de l’incertitude, peur de nos refoulements, et la domination nous permet de les circonscrire. L’observation de tout Ă©vĂ©nement nuisible Ă  l’homme par lui-mĂȘme a de tout temps existĂ©, l’observation de son existence en l’absence de comprĂ©hension a gĂ©nĂ©rĂ© tous nos totems et tabous, interdits et obligations, qui se sont prĂ©sentĂ©s comme des rĂ©gularitĂ©s, parfois lĂ  oĂč elles n’avaient pas lieu d’ĂȘtre en concevant des superstitions. Alors que la rĂ©gularitĂ© rĂ©elle » est, que l’Homme dans l’ignorance fabrique des tabous et totems pour se protĂ©ger, recevoir des faveurs, ou se donner une origine. C’est pour cela que quels que soient les endroits oĂč nous trouvons un humain, nous retrouvons ces schĂ©mas et que nous vĂ©hiculons encore l’idĂ©e que le mal c’est Satan, alors qu’il ne s’agit que de mauvais schĂ©mas sociĂ©taux qui transforment notre agressivitĂ© naturelle en lĂ  une Ă©vidence pour tout le monde, une Ă©vidence que tout le monde veut Ă©viter, mais dont chacun d’entre nous dĂ©veloppe au quotidien les conditions de sa rĂ©alisation. Ce n’est pas pour cela qu’il faut renoncer, mais cela suppose un rapport de confiance dans notre facultĂ© d’ le domaine clinique cette confiance existe. Dans celui de notre existence au quotidien elle est soumise Ă  notre type de culture, et nous pouvons aussi bien conditionner un Être pour qu’il soit un ouvrier docile ou un Kamikaze, ou nous convaincre de croire qu’un jour il nous faudra aller vivre dans les vous dire que je dĂ©tiens quelques vĂ©ritĂ©s que ce soit pour vous convaincre, serait irrespectueux parce que ce n’est pas moi qui le peux, c’est votre psychique, suivant qu’il se laissera conditionner ou non, non parce que j’écris, mais parce que c’est vous qui le lui aurait suggĂ©rĂ©, suivant votre apprentissage vous aurez fait un choix induit par votre existence auto organisĂ©e par toutes les gĂ©nĂ©rations qui nous ont prĂ©cĂ©dĂ©es. Nous vivons de cette maniĂšre depuis que nous connaissons la faire pour trouver la bonne voie ?Suivre les capacitĂ©s de notre psychique en accompagnant son Ă©volution, mais encore faut-il ne pas en avoir peur, pour l’examiner, le connaĂźtre, apprendre comment il fonctionne, quelles sont les possibilitĂ©s qu’il nous peut-ĂȘtre l’ascĂ©tisme des Yogis, les danses Chamaniques », les transes des Vaudous », tout ce monde du dĂ©lire et de la folie que nous attribuons Ă  l’inconscient nous apparaĂźtra un peu plus clair. Nous aurons un autre regard sur les TibĂ©tains, les Navajo, Hopis, les AborigĂšnes peut-ĂȘtre dans ce monde lĂ , si nous ne perdons pas ces cultures qui nous semblent obscures, que nous puiserons, en l’associant Ă  celui de la science, les moyens de faire face aux dĂ©fis des futurs millĂ©naires. Car mĂȘme si je ne dĂ©tiens aucune vĂ©ritĂ© chacun peut comprendre que nos ressources miniĂšres ne sont pas inĂ©puisables, et que pour affronter un nouvel Ăąge glaciĂšre que j’ai pris en rĂ©fĂ©rence ou seulement le futur, il ne nous restera plus que notre cerveau, sous rĂ©serve que nous n’en ayons pas fait d’ici lĂ  un organe atrophiĂ© ou infantilisĂ© par nos peurs et nos intĂ©rĂȘts vais faire une analogie entre notre cerveau et notre monde, une analogie qui n’est pas de moi, mais d’un ami, Francis, et qui m’a inspirĂ© le dĂ©veloppement qui dĂ©jĂ  Ă©crit que notre monde nous effrayait par son immensitĂ© et qu’il Ă©tait l’image de notre structure cĂ©rĂ©brale. Dans ce paragraphe je viens de dire que la comprĂ©hension de notre psychique cerveau nous effraie aussi, et ce qu’avait observĂ© mon ami, c’est la ressemblance qu’il y avait entre une vue satellite de l’implantation de la vie humaine et l’image du circuit neuronal de notre nos villes sont des neurones avec leurs noyaux, mairie, Ă©glises, centre ville, reliĂ©s par des axones qui sont les grandes voies de circulation, les synapses reprĂ©sentent tous les embranchements permettant la circulation de l’information d’un neurone Ă  l’autre, d’une ville Ă  une autre, les dendrites prolongement d’un neurone pour recueillir l’information etc. je pourrais poursuivre autant que je le dĂ©sire, ne serait-ce que parce que c’est mon but. La ressemblance est si frappante, qu’il est difficile de ne pas concevoir que l’ordre sous-jacent dieux pour les croyants, la structure inter active, ne nous conduise pas Ă  reproduire les schĂ©mas qui nous constituent parce que nous sommes aussi cet ordre. Alors on peut espĂ©rer que les sciences neurologiques, en mĂȘme temps qu’elles nous permettent la dĂ©couverte de notre cerveau, nous apportent les moyens de mieux organiser notre existence. Par exemple serait-il stupide de faire un rapprochement entre la structure fonctionnelle d’un neurone et celui d’une ville ? Afin de dĂ©velopper un art de vivre pour nous survivre
Naturellement il ne s’agit pas de notre art de vivre actuel, mais de celui de toutes les gĂ©nĂ©rations qui vont nous succĂ©der. Avec nos vĂ©ritĂ©s dĂ©istes ou idĂ©ologiques, nous ralentissons son Ă©volution. Le cerveau est comme une pĂąte Ă  modeler, pour y donner une expression il est nĂ©cessaire de le travailler, et en l’espĂšce les doigts qui le façonnent c’est le nombre d’informations dont nous l’alimentons, afin de rĂ©pondre Ă  une question comment vais-je faire pour ne pas souffrir, et vivre le plus longuement jusqu’à 
?Cela nĂ©cessite une seule chose, dĂ©velopper un art de vivre et ne pas se gaver de ce qui nous tue. DĂ©velopper un art de vivre ne signifie pas pratiquer l’ascĂ©tisme, ne plus avoir de passions, ne plus rĂȘver. C’est entrer dans un monde oĂč l’outil, l’instrument, la rĂšgle, l’organisation, la systĂ©mique, servent le psychisme, oĂč la pensĂ©e symbolique se servira du monde physique pour dĂ©velopper le monde psychique, et non pour l’ ne peut pas se comprendre si nous ne retournons pas sur le banc d’un enseignement permanent. Sinon nous confierons nos existences Ă  des Raiders » financiers fraĂźchement promus, diplĂŽmĂ©s, certes compĂ©tents dans leur spĂ©cialitĂ©, mais totalement dĂ©pourvu du sens du vĂ©cu, car ils ne peuvent pas en avoir, et encore moins du sens cachĂ© du vĂ©cu, si aucun d’eux n’a, d’une maniĂšre ou d’une autre, jamais entendu parlĂ© ou ouvert un livre de n’y a aucune aberration Ă  associer le monde du confort et celui de l’utopie, car le monde du confort est nĂ© de l’utopie, et son seul ennemi est la VĂ©ritĂ©. Pas la vĂ©ritĂ© » du monde Scientifique, pas celle de la Foi, mais celle de tous les potentiels dominants ignorants que nous voulons ĂȘtre, parce que nous nous l’auto suggĂ©rons par culture de ceux que nous pouvons ĂȘtre, mais rassurĂ©s de ce que nous pouvons vendre et de la loi du marchĂ© par sa vue Ă  court terme et son sens du profit immĂ©diat risque d’entraĂźner notre espĂšce dans une dĂ©marche irrĂ©versible, car il n’y a aucune possibilitĂ© de retour en conquĂȘte mondialisĂ©e dans laquelle se lancent les pays industrialisĂ©s dans le sillage de la culture amĂ©ricaine, vise le marchĂ© des pays asiatiques, la Chine en particulier, qui elle-mĂȘme tend par hĂ©gĂ©monie Ă  faire disparaĂźtre une culture tout aussi riche, celle TibĂ©taine. Il n’y aurait Ă  avoir qu’une inquiĂ©tude relative dĂ©chets si l’industrialisation de la Chine se faisait en prĂ©servant sa culture ancestrale. J’ai dĂ©jĂ  dit que le confort et la jouissance de la vie peuvent ĂȘtre un rĂ©gulateur si devant la culture commerciale colonisatrice s’effacent des quasi-sciences ancestrales et sa philosophie, nous aurons fait un pas de plus vers un monde unidimensionnel, donc totalitaire. Cela en perdant la possibilitĂ© d’apprendre ou comprendre les mĂ©canismes d’une culture riche en connaissances psychologiques, comme nous avons presque effacĂ© l’art de l’apaisement » de la culture grecque avec notre culture chrĂ©tienne. Ceci parce que si la philosophie asiatique n’a pas Ă©tĂ© un stimulateur de l’évolution technologique taoĂŻsme non agir », Bouddhisme renoncement au monde » comme chez les occidentaux, elle a dĂ©veloppĂ© l’art d’utiliser nos capacitĂ©s psychiques, et c’est peut-ĂȘtre cela qui nous sauvera un jour, si lointain, la vie. Ce serait donc un crime contre l’humanitĂ©, pour utiliser un terme Ă  la mode, que de vouloir soumettre l’activitĂ© sociale de ces pays Ă  l’adoration d’un totem » qui est celui de l’obsession de la toute puissance de l’ cette hĂ©gĂ©monie qui nous vient d’un pays qui n’a pas de passĂ© gĂ©ohistorique » pour l’avoir mis en rĂ©serve, il n’y a plus que la vielle Europe. Cela, si elle ne laisse pas les 50% d’identitĂ© europĂ©enne qui lui reste s’amĂ©ricaniser. Ne traduisait pas mes propos comme de l’antiamĂ©ricanisme primaire, mais comme la contestation d’une politique du tout dollar tout de suite avec n’importe quoi, alors qu’ils ont, avec leurs cerveaux » et leurs technologies, les compĂ©tences pour mener d’autres politiques. Sauf qu’ils possĂšdent, comme c’était le cas des communistes, une idĂ©ologie de vie, et non une quelque part le choix que je propose s’instruire en permanence pour une utilitĂ© potentielle » qui ne peut nous apparaĂźtre que si nous faisons la dĂ©marche d’apprendre, non pour ĂȘtre le champion de rĂ©ponse Ă  toutes les questions, pour cela nous avons des encyclopĂ©dies, mais pour avancer, seulement avancer, le cerveau ouvert Ă  la comprĂ©hension. Quant au monde futur il ne sera que celui que nous nous auto suggĂ©rerons !Pour le moment nous lui suggĂ©rons que de recommencer les erreurs du m’explique schĂ©matiquement. Lorsque l’Europe a pu se doter de routes maritimes, elle a installĂ© ses comptoirs de commerce ou son dĂ©sir de recherche de richesse, sur tous les territoires oĂč elle a pu poser les pieds. Dans le mĂȘme temps elle a entrepris la colonisation de ces pays en imposant par la force de ses propres convictions persuasives, ses dieux, et sa culture. Il a fallu quelques siĂšcles pour que tous ces États recouvrent leur indĂ©pendance plus ou moins heureuse. Durant cette longue pĂ©riode, le nombrilisme obscurantiste d’une civilisation qui se voyait supĂ©rieur aux autres a rĂ©gnĂ©, s’entre-dĂ©chirant dans son berceau. AprĂšs la deuxiĂšme guerre mondiale, c’est la guerre froide amĂ©ricano-russe et son support idĂ©ologique qui a assurĂ© cette fonction de colonisateur du monde, remplaçant en cela la vieille Europe condamnĂ©e au strapontin. Les dieux avaient laissĂ© entre temps la place Ă  l’idĂ©ologie, sans en ĂȘtre absent pour autant, et ces deux pays ont menĂ© leur lutte par pays interposĂ©s, dĂ©veloppant leurs idĂ©aux, l’un et l’autre en s’appuyant sur des dictatures. Une nouvelle fois nous avons vĂ©rifiĂ©, et lĂ , de visu les mĂ©faits de la colonisation dans tous ces pays oĂč s’est exercĂ©e la guerre froide. Sauf, qu’il est plus facile de regarder l’histoire de la vieille Europe, car nous avons sur elle un recul historique, que quand nous vivons la colonisation. Pourtant la quantitĂ© de conflits qui se sont dĂ©veloppĂ©s pour essayer de remplacer les dictatures installĂ©es par les uns et les autres devraient nous inspirer quelque prudence quant Ă  la facultĂ© de la seule des deux puissances qui reste, Ă  dĂ©velopper la conscients des propres erreurs de la colonisation europĂ©enne, comme de celle amĂ©ricano-russe, nous devrions ĂȘtre sur nos gardes quand certains nous proposent la colonisation Ă©conomique mondiale par le libĂ©ralisme Ă©conomique vu par l’AmĂ©rique. Nous devrions savoir que toute forme de colonisation s’accompagne d’un obscurantisme idĂ©ologique ou religieux, et qu’il gĂ©nĂšre des dictatures dont les seuls qui les ignorent sont les colonisateurs eux-mĂȘmes ou les colonisĂ©s est d’usage dans notre monde Ă©conomique de dire que l’économie amĂ©ricaine tire celle de l’Europe avec un temps de retard. Je crois qu’il n’échappe plus Ă  personne que notre Ă©conomie, s’est amĂ©ricanisĂ©e, et que notre culture s’est amĂ©ricanisĂ©e en ce que je ne comprends pas, c’est pourquoi nous sommes surpris de voir plus de xĂ©nophobie exister, pourquoi nous sommes surpris de voir d’autres formes de violence arriver, se dĂ©velopper et s’intensifier. Pourriez-vous m’expliquer pourquoi, alors qu’important les pratiques d’une organisation Ă©conomique qui produit chez elle plus d’exclus, de racistes, de violence, l’Europe et la France en particulier devraient ĂȘtre Ă©pargnĂ©es de ces mĂ©faits, ceux-ci s’arrĂȘter Ă  nos frontiĂšres comme le nuage de Tchernobyl, et ne pas redonner vigueur aux multiples visages de l’ostracisme dont nous sommes culturellement porteurs. Ce n’est pas parce que les tĂȘtes de turcs » n’ont pas les mĂȘmes visages, que le phĂ©nomĂšne les ayant produits sont ne fais pas le procĂšs du libĂ©ralisme, du droit d’entreprendre j’espĂšre que vous l’avez compris, mais celui de l’obscurantisme que nous portons. Obscurantisme que nous reproduisons dans toutes les idĂ©ologies, y compris dans celle du libĂ©ralisme Ă©conomique, l’obscurantisme de l’homme bloquĂ©[202] ».Enfin, si nous pensons que construire une Europe compĂ©titive sur le mĂȘme terrain Ă©conomique avec les mĂȘmes approches libĂ©rales que celui dĂ©veloppĂ© par l’économie amĂ©ricaine est le meilleur moyen de voir l’avenir, je souhaite bien du plaisir aux futures gĂ©nĂ©rations. Cela, parce que pour surpasser l’économie amĂ©ricaine dans ses rapports conquĂ©rants, il nous faudra ĂȘtre meilleur qu’elle, et vu les effets dĂ©viants que nous pouvons constater par son approche libĂ©rale, il faut nous attendre au pire de nous ce dont Ă©galement j’ai essayĂ© de vous convaincre c’est que l’évolution suit son cours emportant avec elle toutes les certitudes, et qu’il n’y a donc aucune fatalitĂ© Ă  conserver la pauvretĂ©, il faut seulement envisager de s’organiser diffĂ©remment. Il faut Ă©galement comprendre que si la monnaie a son utilitĂ© et sa motivation, il y a un seuil oĂč elle devient un frein au dĂ©veloppement que nous pouvons attendre de ce qu’elle a elle-mĂȘme contribuĂ© Ă  construire. Et c’est cela le plus difficile, trouver le seuil oĂč se situe l’art de vivre pour je devais rĂ©sumer ce chapitre j’en dirais que j’ai recomposĂ© l’éternel dĂ©bat entre le matĂ©rialisme et le spiritualisme, dĂ©bat qui a animĂ© les Grecs, les JudĂ©o-chrĂ©tiens, les Orientaux ; et il n’y a dĂ©bat que parce que nous l’avons fabriquĂ© ; parce que nous avons dĂ©liĂ© le monde pour le comprendre. Le matĂ©rialisme a contribuĂ© Ă  dĂ©finir le monde physique et nous avons pu accĂ©der partiellement Ă  la structure du spirituel psychique. Le spiritualisme a permis de comprendre que notre psychique est une puissance de somatisation » qui nous donne la capacitĂ© d’agir par ce que j’ai appelĂ© l’agressivitĂ© naturelle » dont nous recrĂ©ons le modĂšle dans toutes nos rĂ©alisations pour vivre et mourir. Il n'est donc pas Ă©tonnant qu'en utilisant Ă  l’excĂšs ou par mauvais essais les interrelations de nos crĂ©ations matĂ©rielles et spirituelles nous aboutissions plus tĂŽt Ă  la mort ; aussi faire en sorte que ce ne soit pas nous qui nous suicidions » relĂšve de l’utopie. Or nous savons aujourd’hui que l’utopie n’est qu’une attente de l’évolution dĂ©pense » [203]progressive devant la difficultĂ© et l’ignorance, il y a donc une espĂ©rance, mais encore faut-il le comprendre et s’en donner les moyens. Il nous reste Ă  trouver cette harmonie » dont je parlais dans l’avertissement, elle dĂ©coule, elle ne rĂ©sulte que d’un long mĂ©canisme de dĂ©couverte de l’infiniment petit, de recherche rĂ©duisant l’ignorance de nos sens, qui nous est devenu accessible. Un infiniment petit dans lequel l’usage du spirituel dĂ©pend grandement de l’utilisation de l’influence du vocabulaire sur lui pour nous situer dans le monde physique et rĂ©duire la souffrance soucis d’historicitĂ© nous faisons remonter le spiritualisme Ă  la pensĂ©e grecque avec Anaxagore qui exprime cette tendance, et le matĂ©rialisme dĂ©coulera de l’atomisme antique dont nous attribuons l’école Ă  Leucippe, un grec d’Asie Mineure, cinq siĂšcles avant notre Ăšre. Toute la pensĂ©e Occidentale s’est nourrie de ce dĂ©bat avec toutes ses dĂ©clinaisons. Il est donc comprĂ©hensible qu’il nous soit difficile d’envisager que nous puissions redĂ©finir notre monde sur d’autres pourtant l’opportunitĂ© que nous offre la dĂ©couverte du monde quantique, oĂč il n’y a ni matiĂšre ni esprit. L’idĂ©e peut ĂȘtre effrayante, mais ce qui est rassurant c’est que ce monde quantique est le produit de l’activitĂ© de notre structure psychique, et peut-ĂȘtre par le pouvoir des mots nous serons en mesure de le faire exister. Un philosophe français, Bergson, dans son Ɠuvre propose de penser l’inconcevable et d’exprimer l’inexprimable, il propose de penser autrement pour que, grĂące Ă  une connaissance absolue, que nous n’atteindrons jamais, nous soyons capables d’atteindre la rĂ©alitĂ© elle-mĂȘme, sans intermĂ©diaire. Alors, si un esprit humain est capable de penser cela, ceci signifie que c’est en potentialitĂ© d’ĂȘtre voir avertissement, que cela est prĂ©sent dans la structure psychique. Ce qui nous manque alors, ne sont que les moyens dĂ©finis par des mots pour y parvenir. A partir de lĂ  il est facilement comprĂ©hensible qu’ils ne peuvent pas ĂȘtre puisĂ©s dans un passĂ© dĂ©jĂ  dĂ©fini qui n’existe plus, hormis dans notre mĂ©moire, et qu’il faut par intelligence intuitive, s’écarter de toutes les habitudes de pensĂ©e, des connaissances acquises, non par rejet, mais parce que de zĂ©ro Ă  l’infini elles n’occupent que la place qui est la leur, et qu’il en reste pour dĂ©finir le mouvement » qui s’apparente Ă  la rĂ©alitĂ© pour cela il faut dĂ©jĂ  avoir acquis les connaissances disponibles afin de ne pas redĂ©couvrir par intuition ce qui l’a dĂ©jĂ  Ă©tĂ© depuis des millĂ©naires, telle la puissance des capacitĂ©s psychiques mise en Ă©vidence dans la culture Est Orientale. Et lorsque Bergson soutient qu’il faut s’écarter des reprĂ©sentations de l’intelligence pour espĂ©rer rejoindre le rĂ©el, je prĂ©fĂšre dire qu’il faut redĂ©finir les certitudes qui font de nous des ĂȘtres BloquĂ©s » note 200. Ainsi nous redĂ©couvrirons par l’art et la science des mots » ce langage qui est l’auxiliaire indispensable de nos sensations que d’autres voudraient ramener Ă  un anglais mercantiliste que nous pouvons mieux voyager peureusement dans notre psychique et par-lĂ  dans notre monde matĂ©riel et spirituel qui en est sa doit-on craindre ?81- D’un effet d’ les organisations, rĂ©organisations entraĂźnant un ensemble d’actions ou de rĂ©actions individuelles, peuvent dĂ©velopper des effets non recherchĂ©s par les acteurs sociaux. Il va de soi que dans le domaine de l’organisation sociale, qui ne rĂ©pond pas aux critĂšres scientifiques rĂ©futables, ils ne peuvent qu’apparaĂźtre. Nous pourrions mĂȘme dire que nous ne gĂ©rons que cela. Les effets collectifs qu’ils engendrent ne se distinguent des autres que par le fait qu’ils n’ont pas Ă©tĂ© telle maniĂšre que l’effet d’agrĂ©gation suivant, qu’il soit dĂ©sirable ou indĂ©sirable, qu’il concerne un petit nombre de personnes ou une foule, est nommĂ©e diffĂ©remment par les acteurs est indĂ©sirable nous parlons deffets pervers, et Ă  l’inverse s’il est dĂ©sirable nous parlons d’une mise en place des ECPA n’échappera pas Ă  ce phĂ©nomĂšne d’agrĂ©gation, non pas celui pouvant ĂȘtre envisagĂ© comme dĂ©coulant d’un raisonnement logique structurel par rapport Ă  l’environnement socio-Ă©conomique dans lequel les ECPA s’insĂšrent, mais de celui appartenant Ă  l’inconnu, Ă  la mĂ©connaissance, celui dĂ©coulant de nos dĂ©sirs conscients ou refoulĂ©s qui trouveront un nouveau territoire d’expression. Celui qui est dans l’indĂ©finissable. Celui qui Ă  ce titre nous fait peur, avant qu’il ne devienne, pour certains, des traits de gĂ©nies, l’expression de la crĂ©ativitĂ©, le fruit du hasard, le destin, les dĂ©viances. Celui des comportements qui s’agrĂšgent dans une tendance, regroupe les hommes jusqu’à ce qu’ils soient assez nombreux pour dĂ©finir un nouveau fait conclusion, le phĂ©nomĂšne d’agrĂ©gation est l’expression de la limite de notre raisonnement culturalisĂ© face au cours de l’évolution. Il ne nous empĂȘche pas d’atteindre un but, il lui assure une continuitĂ© Des dĂ©viations propres limites d’Être perdu » exigent le nĂ©cessaire besoin de disposer de repĂšres visibles prĂ©hensiles. C’est l’objet de toutes les vĂ©ritĂ©s, de tous les idĂ©aux, de tous les projets de sociĂ©tĂ©. C’est le but de tous nos rĂȘves, de toutes nos Ă©tudes scientifiques et interprĂ©tatives. Cet amas de dĂ©terminants, nous le censurons et nous y choisissons ceux qui nous paraissent part, parce que nous n’avons pas les moyens intellectuels de tous les connecter entre eux, et d’autre part parce que nous nous Ă©duquons en censeur. De telle maniĂšre qu’en systĂ©matisant un certain nombre de dĂ©terminants qui suscitera l’adhĂ©sion individuelle ou collective, nous aurons Ă©laborĂ© une mon essai, qui est le reflet d’un choix de dĂ©terminants censurĂ©s par mon Ă©ducation, porte le germe de l’idĂ©ologie, il lui manque la systĂ©matisation et l’ un mot dĂ©finissant une notion s’apprĂ©ciant de diverses maniĂšres. Avec Marx son sens est nĂ©gatif, il dĂ©signe les fausses idĂ©es que se font les hommes de la rĂ©alitĂ© sociale. Chez les politiques il dĂ©signe des systĂšmes d’idĂ©es. Aujourd’hui, les sociologues considĂšrent qu’il dĂ©signe un ensemble d’idĂ©es relatives au politique et au social sans prĂ©juger de leur validitĂ©. Cela parce que s’interroger sur leur validitĂ© nous conduit Ă  deux analyses une oĂč, mus par leurs sentiments et leurs intĂ©rĂȘts, les hommes se laissent facilement aveugler par des idĂ©es ou croyances douteuses, voire fausses, pour peu quelles s’enchaĂźnent logiquement ; l’autre met en Ă©vidence le fait qu’un homme en tant qu’acteur social ne peut, de maniĂšre certaine et affirmative, pĂ©nĂ©trer, traduire son environnement sans devoir l’interprĂ©ter Ă  l’aide d’idĂ©es, de reprĂ©sentations, de conjectures, de thĂ©ories et de jugements dont la dĂ©termination de leur validitĂ© est toujours incertaine et partielle. Et ce, quel que soit le poids de la science et de la raison. Mais leur poids peu nous aider Ă  rĂ©duire l’incertitude, Ă  fixer des voies. Des voies jalonnĂ©es pour bifurquer sans se perdre, et permettre l’émergence de nouvelles ne devons pas oublier que notre intelligence ne dĂ©couvre que ce qu’elle peut comprendre, et Ă  partir de lĂ , nous ne devons pas faire comme nos prĂ©dĂ©cesseurs, croire avoir atteint des sommets alors que nous venons peut-ĂȘtre que de franchir un le seuil de la connaissance de ce que nous est, tant Biologiquement, Psychiquement », que quantiquement ».Alors, imaginer que de ces connaissances ne naĂźtront pas de nouveaux idĂ©aux, de nouvelles valeurs, est une maniĂšre de ne pas avoir d’espĂ©rance. Pourtant, rien n’est Ă©crit d’avance, d’autant plus que les sociĂ©tĂ©s LaĂŻques porteuses d’un idĂ©al rĂ©publicain sont en dĂ©clin. Elles ont trop cru qu’une Ă©conomie libĂ©rale Ă©tait synonyme de dĂ©mocratie, et qu’il suffisait de se faire l’apĂŽtre du libĂ©ralisme, pour voir l’idĂ©al rĂ©publicain se dĂ©velopper ; qu’il suffisait, d’une part, d’aboutir Ă  une employabilitĂ© » capitaliste en amenuisant l’activitĂ© socialisante syndicale des citoyens pour qu’ils fassent l’éloge de la rĂ©publique ; qu’il suffisait d’autres part de respecter les confessions, pour qu’elles ne deviennent pas un recours idĂ©ologique identitaire devant la faiblesse et la rĂ©duction de l’action socialisante du travail, dĂ©finie comme charge. D’une certaine maniĂšre la laĂŻcitĂ© rĂ©publicaine est attaquĂ©e de tout bord, autant par les initiatives privĂ©es, que par celles confessionnelles. Si bien que les responsables politiques, qui ne sont que le reflet de leurs Ă©lecteurs, s’appauvrissent dans leur dĂ©bat, incapables de reformuler des idĂ©aux qui se rĂ©forment devant les Ă©vĂ©nements. Et leur rĂŽle de guide s’est transformĂ© en celui de gardien d’un potentiel mercantile, sans philosophie autre que son a-t-il alors dĂ©viation, reformulation ou transformation idĂ©ologique ?C’est Ă  chacun d’en avoir une idĂ©e. En dehors de cela, il n’y a aucune raison que l’idĂ©al rĂ©publicain reste intangible. Pourquoi Ă©chapperait-il Ă  l’évolution ?L’histoire humaine nous dĂ©montre que rien n’est spontanĂ©, que tout s’élabore dans le creuset des prĂ©dĂ©cesseurs, mĂȘme les religions qui dĂ©clament la VĂ©ritĂ© se sont construites au cours des siĂšcles Ă  partir de fragments de celles qui les ont prĂ©cĂ©dĂ©es. Ce n’est pas pour autant mĂ©caniste. Cela repose sur la transmission du message » et aucune civilisation n’a disposĂ© d’autant de donnĂ©es que la notre sur ce qu’était son existence, et de ce que nous pensions ĂȘtre. Toutes les idĂ©ologies que nous Ă©laborons sont des idĂ©aux Ă©culĂ©s, transfigurĂ©s par la technologie et les nouvelles s’élaborent sans que nous en ayons conscience, quels que soient les efforts dĂ©ployĂ©s pour les maintenir dans le creuset du m’en explique. Je n’aime pas particuliĂšrement les comparaisons avec le monde animal, mais je vais me servir pour l’exemple d’une Ă©tude rĂ©alisĂ©e sur une population de scarabĂ©es parue dans Science et Vie N° 112 du 01 Ă©quipe de chercheurs, biologistes et mathĂ©maticiens ont Ă©tudiĂ© pendant six ans une centaine de scarabĂ©es. Pour modĂ©liser cette dynamique, ils doivent faire un choix. Soit, ils considĂšrent les scarabĂ©es comme un ensemble d’entitĂ©s discrĂštes » dĂ©finies chacune par des probabilitĂ©s de mortalitĂ© et de reproduction, soit, ils les voient comme un ensemble continu, dont les variations ne sont plus individuelles, mais les prĂ©visions sur la dynamique des populations peuvent ĂȘtre radicalement diffĂ©rentes selon le modĂšle utilisĂ©. Leur modĂšle discret individuel produit une population rĂ©guliĂšre cyclique ; leur modĂšle continu, une dynamique chaotique
 Pis encore, les variations de la population observĂ©e ne correspondent Ă  aucun de ces deux modĂšles, mais un peu des deux Ă  la fois
Les chercheurs suggĂšrent qu’un mĂ©lange des deux modĂšles, continu et discret, sera sans doute nĂ©cessaire pour avoir une comprĂ©hension complĂšte des systĂšmes de populations ».Ainsi, vu la difficultĂ© que reprĂ©sente la comprĂ©hension de l’évolution d’un systĂšme simple, Ă©volution d’une population de cent scarabĂ©es, il est aisĂ© d’imaginer, et c’est lĂ  le parallĂšle que je voulais faire, qu’avoir une idĂ©e d’une idĂ©ologie future d’un ĂȘtre qui pense, ne peut venir d’une Ă©tude discrĂšte individualiste ou continu collective ou holisme du comportement des hommes, d’oĂč, Ă  partir de lĂ , la nĂ©cessiter de regarder nos idĂ©ologies comme des Ă©tapes une idĂ©ologie doit faire rĂȘver en une espĂ©rance pour ĂȘtre convaincante, et c’est lĂ  nos limites aimons tellement rĂȘver, et le libĂ©ralisme y contribue si fort et si bien par l’illusion de l’expression de nos Ă©motions, que toutes les autres idĂ©ologies d’approches commerciales apparaissent dĂ©viantes, et que nous sommes dans une rĂ©gression sociologique dynamique violente, d’agrĂ©gations d’effets DOIT-ON ESPERER DES TECHNOLOGIES DE LA COMMUNICATION ?83– Un gain de temps, et une aide technologique Ă  nos choix, en conservant le droit d’ĂȘtre Ă©mu par la gain de temps 
Tous, nous connaissons la concurrence Ă  laquelle se livrent les mĂ©dias pour disposer de l’information dans les plus courts dĂ©lais. Nous savons tous Ă©galement que c’est un moyen de disposer de l’information avant qu’elle ne soit devenue obsolĂšte, et d’en faire ainsi le meilleur usage pour ĂȘtre au contact de la rĂ©alitĂ© » des Ă©vĂ©nements. Nous disposons pour cela aussi de la pandĂ©mie du tĂ©lĂ©phone portable et d’ technologies nous permettent de parler entre nous, et supplĂ©ent, aux nĂ©cessaires rencontres pour s’écouter et Ă©changer des informations ; mais ce n’est pas de ces moyens dont je veux parler, mais des appareils auxquels nous demandons d’avoir une capacitĂ© de communiquer avec nous, Ă  l’aide d’une intelligence dite artificielle ».Ainsi, dans un futur trĂšs proche nous disposerons de toutes les innovations auxquelles travaillent les fusion d’Internet et de la tĂ©lĂ©vision, l’apparition d’écrans muraux, la reconnaissance vocale, des agents intelligents[204] appareil capable de distinguer la pacotille d’une information prĂ©sentant un intĂ©rĂȘt certain, des systĂšmes experts[205] capables de formuler un diagnostic, d’appareils dotĂ©s du sens commun, de robots qui pensent[206].NĂ©anmoins, toutes ces innovations auxquelles nous avons donnĂ© corps ou bien que nous nous apprĂȘtons Ă  donner corps, sont le produit de l’outil de communication » qu’est notre cerveau, et les appareils que nous concevons sont Ă  notre n’inventons donc rien que nous n’ayons pu comprendre de nous mĂȘme, mĂȘme s’il demeure des secteurs incomprĂ©hensibles, ou bien que nous ne sachions pas encore reproduire. MĂȘme si nous avons conçu des outils qui associent et traitent des informations dans des temps record, ils ne peuvent qu’ĂȘtre le produit de ce que nous sommes Ă  la puissance vais reprendre l’exemple de la voiture pour m’en notre comprĂ©hension des mĂ©canismes physiques, nous avons donnĂ© une structure et un mouvement Ă  de la matiĂšre inerte. En faisant cela, nous avons fait franchir un seuil Ă  des matĂ©riaux inertes en les faisant communiquer entre eux pour satisfaire Ă  notre but dynamique, celui de se dĂ©placer. Certes ce seuil est minime, car tous nos moyens de transport ne se suffisent pas Ă  eux seuls sans intervention humaine, mais ce qu’il est important d’observer, c’est que cette capacitĂ© de rĂ©flexion crĂ©atrice ainsi dĂ©veloppĂ©e, se situe au mĂȘme niveau du passage qui nous est toujours incomprĂ©hensible, celui oĂč l’atome et la molĂ©cule formeront, soit une matiĂšre inerte, soit une matiĂšre organique dotĂ©e de vie, dont Nous qui sommes donc le lien organique de vie, pour la voiture et de tous les objets et instruments de notre quand ?Tout dĂ©pendra de l’utilisation que nous ferons de la technologie pour communiquer. C’est Ă  dire mettre en relation tous les Ă©lĂ©ments d’informations que nous pouvons accumuler, afin qu’ils puissent ĂȘtre utilisables dans des temps les plus rĂ©duits, et ceci n’est pas dĂ©jĂ  dit qu’en Ă©conomie nous utilisions la thĂ©orie du chaos et celle des fractales de sont les citoyens qui le savent ?NĂ©anmoins dans notre quotidien nous y sommes soumis par l’analyse micro Ă©conomique, dans lesquelles des informations traitĂ©es par ces thĂ©ories nous permettent de saisir de micro Ă©volutions que nous essayons de rentabiliser au mieux, alors qu’elles Ă©chappaient avant Ă  notre comprĂ©hension. Cette approche nous impose, ce qui a Ă©tĂ© communĂ©ment convenu d’appeler, la rentabilitĂ© optimale, qui est accessible Ă  notre raison, mais pas toujours absorbable par notre systĂšme Ă©motionnel qui se rĂ©volte en dĂ©veloppant un excĂšs de stress, et bon nombre de organisme rĂ©agit Ă  la vitesse de 180 Ă  360 millisecondes pour la perception d’une image, et nous en avons conscience entre 540 et 720 millisecondes ; alors qu’une machine peut traiter des millions d’informations Ă  la vitesse de la lumiĂšre. Et nous ne pourrons demander Ă  notre organisme de vivre Ă  la vitesse de recherche d’un gain Ă©quivalent Ă  celui des capacitĂ©s de traitement des informations par ordinateurs et autres appareils qui ne cessent de dans notre Ă©conomie concurrentielle, dans les entreprises utilisant les mĂȘmes capacitĂ©s technologiques, les diffĂ©rences se font le plus souvent sur l’accumulation de gains minimes qui demandent aux hommes un effort maximum pour les pour cela qu’à mon sens, les moyens de traitement des informations doivent pouvoir nous servir Ă  Ă©laborer des agents intelligents pour des systĂšmes experts, afin de nous aider Ă  Savoir, Ă  Apprendre, et Comparer dans notre quotidien ; alors que cette mĂȘme tache demanderait Ă  notre cerveau des annĂ©es de rĂ©flexion pour un rĂ©sultat ce gain de temps que nous apporte la technologie, il nous appartient de l’utiliser non pour fabriquer des exclus et des consommateurs ignorants, mais pour prĂ©parer la singularitĂ© individualitĂ© communautaire communautĂ© de demain, et prĂ©server le libĂ©ralisme de l’obscurantisme absolutiste vers lequel il glisse.
 et une aide logistique 
L’exemple d’un systĂšme expert que nous utilisons presque tous, ce sont les appareils de diagnostic, dont les plus connus et simples sont ceux que nous trouvons dans les garages de la rĂ©paration automobile. Qui ne connaĂźt pas sur son vĂ©hicule cette prise souvent nous opposons avec crainte la pensĂ©e humaine et une potentielle pensĂ©e d’une intelligence artificielle » de quelques robots que nous sommes en train de toujours, ce n’est pas de ces outils qu’il y a Ă  craindre quelque chose, mais de l’usage auxquels nous les ne pas craindre d’aborder ce domaine, il faut ĂȘtre convaincu pour cela que ce que nous crĂ©ons est issu de nous, et quelque appareil que ce soit, ne sera dotĂ© que des fonctions que nous lui aurons transmises, y compris celle de faire inter activement des associations. C’est lĂ  Ă  mon sens que se trouve un certain intĂ©rĂȘt de l’intelligence dite artificielle ». Aussi quand nous nous opposons Ă  l’intelligence artificielle », nous nous opposons Ă  une fraction de notre propre capacitĂ© de rĂ©flexion que nous avons transmise Ă  des appareils, dont la principale qualitĂ© est de traiter les mĂȘmes informations que nous, en des temps record. Mais, c’est aussi savoir que se laisser diriger par eux, serait comme se limiter Ă  n’utiliser qu’une fraction de notre capacitĂ© de rĂ©flexion, amputĂ©e de nos perceptions me souviens de l’émotion soulevĂ©e par la victoire de eux f en version amĂ©liorĂ©e sur Kasparov. Pourtant tous les jours, la machine Ă  calculer nous bat Ă  plate couture dans le calcul mental, et quel est le commerçant ou l’élĂšve qui veut sen sĂ©parer ou bien renoncer Ă  cette aide logistique. Mais ce n’est pas pour autant qu’il ne nous faudra plus apprendre Ă  compter, sans cela l’aide logistique deviendra une structure d’asservissement. Et au lieu de nous servir de l’aide des appareils dit intelligents », nous en deviendrons les esclaves.
à nos choixJ’ai consacrĂ© cet essai Ă  expliquer la nĂ©cessitĂ© d’apprendre. Mais voilĂ , plus nous apprenons, plus les possibilitĂ©s de choix augmentent, plus il devient difficile de faire un tri, de faire un choix parce que les occurrences se sont tri et un choix entre des informations sensorielles perçues, nous savons faire cela, c’est ce que nous faisons tous les jours de notre existence. Nous le faisons sans nous en apercevoir sans que cela ne nous coĂ»te en apparence plus d’effort, sauf quand nous sollicitons la rĂ©flexion de notre cerveau. Aussi, concevoir une intelligence artificielle » pour dupliquer l’homme jusque dans ses Ă©motions, ne me paraĂźt pas le plus important, compte tenu de la violence dont nous sommes dĂ©tenteurs, sauf pour la prouesse si nous pouvons faire inter agir une intelligence artificielle » dotĂ©e d’un sens commun, hors systĂšme Ă©motionnel, nous risquons de trouver des associations auxquelles nous ne pourrions pas nous livrer du fait mĂȘme de notre systĂšme Ă©motionnel. Demandez donc Ă  un anticommuniste de vous trouvez une seule vertu dans le communisme. Son systĂšme Ă©motionnel l’en empĂȘche, et il ne pourra jamais dĂ©terminer d’autres relations que celles issus de ses Ă©motions. Une intelligence artificielle » peut le faire, mais sous condition que ses programmes ne soit que des programmes mathĂ©matiques formulant la traduction de notre langage et non pas nos vĂ©ritĂ©s, sinon chacun va faire formuler Ă  la machine ses convictions et prĂ©texter d’une analyse mĂ©caniste, aussi performante soit-elle, pour soutenir qu’il n’y a pas d’autre choix, comme nous le faisons actuellement en Ă©conomie. A dĂ©faut ce serait soumettre l’homme Ă  la gestion d’une activitĂ© minutĂ©e au plus rentable, hors de portĂ© des capacitĂ©s Ă©motionnelles normales, comme l’est la gestion d’un rĂ©seau ferroviaire, d’un espace aĂ©rien etc., dans laquelle toute Ă©motion humaine n’a pas lieu d’ĂȘtre.
 en conservant le droit d’ĂȘtre Ă©mu par la pour penser Ă  notre place ?Non !C’est pour faire communiquer entre elles des informations de plus en plus nombreuses afin de les mettre Ă  notre disposition, et ensuite, comme pour la voiture, ce sera nous qui y donnerons nous qui devons continuer Ă  penser, Ă  analyser et synthĂ©tiser, car il ne s’agit pas non plus de demander Ă  la machine de remplacer notre activitĂ© cĂ©rĂ©brale, nous voyons ce que cela produit, tant avec le plan comptable », qu’avec les Livres fermĂ©s. Cette relation vous paraĂźtra incongrue, sauf si vous considĂ©rez l’Écriture, expression graphique de notre pensĂ©e, compilĂ©e dans des livres comme une base de donnĂ©es Ă  consulter. Nous avons lĂ  l’ancĂȘtre de nos appareils Ă  intelligence artificielle », et ce n’est pas parce que nous avons remplacĂ© des lettres par des bits, et demain par le code ADN A, T, G, C et autres particules du monde quantique, que nos appareils seront plus dangereux que nos appareils Ă  intelligence artificielle » ne deviennent dangereux que lorsque nous voulons trouver une VĂ©ritĂ© en eux, comme nous le faisons dans certains de nos Ă©crits. Ce qui justifie pleinement la position de Socrate que j’ai mentionnĂ©e ce n’est pas en lisant nos souvenirs que l’on deviendra savant, car l’on se croira savant sans l’ĂȘtre ».Cela, parce que la machine n’a aucune chance d’ĂȘtre reproduite autrement que par duplication, mĂȘme si nous pouvons imaginer sa capacitĂ© autonomiste Ă  le faire s’auto rĂ©parer. Et j’ai dĂ©jĂ  dit que tout systĂšme de duplication finit par entraĂźner une dĂ©gĂ©nĂ©rescence, mĂȘme si nous rĂ©alisons des machines intelligentes » Ă  notre ressemblance. Vous voyez l’allusion ?Dans la chaĂźne de l’évolution, la matiĂšre initiale revĂȘt diverses structures dont leurs assemblages demeurent une Ă©nigme pour nous. Et nous ne pouvons pas reproduire ce que nous ignorons ou bien ne comprenons pas, mĂȘme si nos crĂ©ations prĂ©sentent des capacitĂ©s supĂ©rieures Ă  la nĂŽtre pour nous supplĂ©er, parce que nous sommes capables de les il n’y a pas Ă  avoir peur de se faire supplĂ©er par des appareils partiellement intelligents », s’ils nous permettent de faciliter nos analyses et synthĂšses, et rĂ©aliser les choix qui facilitent la communication du savoir pour apprendre. Car mĂȘme si nous devons compiler ce que nous jugeons essentiel face Ă  la masse d’informations disponibles, nous devons permettre Ă  chacun d’ĂȘtre libre de s’attacher Ă  ce que d’autres ont pu juger ĂȘtre de la pacotille. Cela parce que nous sommes toujours incapables de saisir les effets infimes qui modifient des ensembles stables, et nous ne devons donc pas transformer une aide logistique en un organe de parce que nous sommes le Mouvement », et que nous avons du mal Ă  le vivre, pour faire cohabiter sĂ©curitĂ© de l’existence et crĂ©ativitĂ© ou innovation. Il nous faut donc laisser notre sensible ressentir ses Ă©motions environnementales, mĂȘme si notre raison peut ĂȘtre informĂ©e de ce que fait le Chinois Ă  l’autre bout du technologie de la communication doit nous permettre aussi la DĂ©couverte », de franchir des seuils dans l’IndĂ©finissable, en laissant Ă  l’Homme Ă©motionnel et raisonnĂ© le choix d’apprĂ©cier les risques de l’Incertitude du dĂ©veloppement de son intelligence assistĂ©e. En espĂ©rant que tous ces appareils qui peuvent mettre Ă  notre disposition par accumulation des fragments de ce que nous avons compris de notre univers, de notre globalitĂ© fractale », nous permettent de sortir d’une politique Ă©goĂŻste de gestion » Ă  court terme de l’espĂšce humaine et de son risque qui me paraĂźt ĂȘtre Ă  craindre est celui que les Canuts ont exprimĂ© dans leur rĂ©volte la peur de pĂątir des effets de la technologie et d’ĂȘtre laissĂ©s pour compte. Non pas parce que la technologie est nĂ©faste en elle-mĂȘme, malgrĂ© les risques qu’elle inclut, mais parce que notre sociabilitĂ© mercantiliste n’est pas Ă  la hauteur de la sagesse » que requiĂšrent les technologies que nous mettons en Ɠuvres, et parce que nous laissons les populations dans l’ignorance de leur existence et de leurs usages. Nous creusons ainsi un abĂźme entre ceux qui savent, et ceux qui se contentent de bĂ©nĂ©ficier ou d’utiliser ce je ne crois pas que nous puissions Ă©viter durant toute notre vie, de consacrer un temps Ă  frĂ©quenter des ECPA, et de devoir utiliser des machines intelligentes pour filtrer, analyser une quantitĂ© d’informations, de connaissances qui ne cessent de croĂźtre, cela, sans croire Ă  l’idĂ©alisme et Ă  l’objectivitĂ© dont nous sommes rĂȘves pouvons-nous nourrir grĂące Ă  la gĂ©nĂ©tique ou la neurologie ?84 – Quels rĂȘves pour ĂȘtre en adĂ©quation avec une terre nourriciĂšre, mais serons nous plus intelligent pour autant ?Quels rĂȘves pour ĂȘtre en adĂ©quation avec une terre nourriciĂšre
Dans le prĂ©cĂ©dent chapitre j’ai pris soin de mettre entre guillemets le mot intelligence chaque fois qu’il s’agissait de celle d’une machine. Machine dont la performance rĂ©sulte de la vitesse Ă  traiter un maximum d’informations dans un minimum de temps et que nous pouvons destiner Ă  des fonctions dont nous avons un quand il s’agit d’envisager ce qu’est l’intelligence humaine, la question reste plutĂŽt ouverte aux la capacitĂ© de traiter nos perceptions, de faire des associations Culturelles ?Est-ce la capacitĂ© de dĂ©couverte ?Est-ce la capacitĂ©, d’intuition, de prĂ©monition ?Est-ce la conscience ?Ayant ainsi dĂ©fini un mot pour qualifier nos capacitĂ©s rĂ©flexives, nous sommes un peu enfermĂ©s par lui, qui suggĂšre une fonction unidimensionnelle, dont nous pourrions trouver le gĂšne ou bien la fonction cĂ©rĂ©brale. Ou bien est-ce la capacitĂ© Ă  s’insĂ©rer dans une organisation humaine stĂ©rĂ©otypĂ©e que nous illustrons par la rĂ©flexion il est instruit, mais pas forcĂ©ment intelligent ».En regardant le rĂ©sultat de cette fonction d’intelligence, nous pouvons la qualifier de meilleure ou de pire, et discuter si c’est Ă  100% Ă  cause de l’innĂ© ou du culturel. De nombreuses recherches ont Ă©tĂ© effectuĂ©es dans ce sens. Certaines ont abouti Ă  mettre en place des systĂšmes de psychomĂ©trie pour la ce ne sont que des systĂšmes qui mesurent des Ă©carts rĂ©actionnels du cerveau Ă  des tests qui ont au moins le mĂ©rite de dĂ©celer des dysfonctionnements, des performances et des Ă©volutions de notre Quotient Intellectuel nous vĂ©hiculons une idĂ©e, que j’ai d’ailleurs utilisĂ©e, c’est que nous n’utilisons que 10% de notre cerveau. Cela ne signifie pas qu’il n’y a que 10% de notre cerveau qui est utilisĂ© pour la rĂ©flexion, mais suggĂšre que nous avons en lui une marge d’utilisation potentielle importante, et aujourd’hui grĂące Ă  la tomographie il n’est pas un jour oĂč ne soit dĂ©fini une zone d’activitĂ© de la cet aspect de potentialitĂ© rĂ©elle, infinie ou non, qui me paraĂźt intĂ©ressante, si nous n’avons aucune idĂ©e certaine de la capacitĂ© du stock d’informations de notre cerveau, nous dĂ©couvrons par les sciences neurologiques quels sont les influx nerveux qui guident nos neurones pour aller se connecter Ă  la source de l’information sensorielle ou cognitive que nous dĂ©sirons utiliser, et les relations biologiques qui dĂ©veloppent la pensĂ©e[207]. Ce que nous savons aussi c’est que nous ne pouvons lui demander de traiter les informations plus vite que les capacitĂ©s de circulation de son l’influx nerveux, le VTN la vitesse de transmission nerveuse dans le cerveau. Le professeur Athur R. Jansen, psychologue Ă  l’universitĂ© de Californie Berkeley et humaine Reed, professeur de zoologie Ă  l’universitĂ© de Toronto, et chercheur canadien, rĂ©alisĂšrent une Ă©tude sur 147 Ă©tudiants pour mesurer la vitesse de transmission de l’information visuelle jusqu’à l’instant oĂč les neurones sollicitĂ©s deviennent actifs. Ils dĂ©terminĂšrent ainsi une vitesse de transmission neuronale entre 1,75 mĂštres seconde et 2,22 m/s. Le VTN fut ensuite comparĂ© aux quotients intellectuels des Ă©tudiants. De cette corrĂ©lation ils dĂ©finirent que le quotient intellectuel variait en fonction des divers groupes d’étudiants, et en conclurent qu’un gain d’une vitesse de transmission neuronale de 0,05 m/s correspondait Ă  un point de QI en plus[208]. Naturellement il y a des exceptions qui confirment la rĂšgle, telles des personnes dotĂ©es ni de QI exceptionnel ou de VTN extraordinaire qui effectuent des calculs mentaux prodigieux, mais cette Ă©tude a mis en Ă©vidence qu’il y a d’autres corrĂ©lations d’ordre physiologique le mĂ©tabolisme, la circulation sanguine, ou l’efficacitĂ©, la dĂ©gradation des neurotransmetteurs, et l’environnement social qui dĂ©terminent notre intelligence. Ainsi, il est acquis que notre intelligence repose sur plusieurs paramĂštres soumis Ă  des facteurs tant innĂ©s que culturel acquis. Également Jean Delacour dans la conclusion de son essai, Conscience et cerveau, Ă©crit page 293 La neurobiologie montre aussi que, si l’on considĂšre l’ensemble des niveaux d’organisation et non pas ceux correspondant aux reprĂ©sentations, les fonctionnements inconscients sont bien plus nombreux que les fonctionnements conscients. Ceux-ci n’ont de corrĂ©lats cĂ©rĂ©braux spĂ©cifiques qu’à des niveaux d’organisation et en raison de leur intermittence, de leur faible capacitĂ© et de leur lenteur relative, ne traitent qu’une petite partie de l’information utilisĂ©e par l’organisme. Cette asymĂ©trie n’a pas de cause mystĂ©rieuse ; elle s’explique aisĂ©ment par le fait que l’état conscient a un coĂ»t Ă©nergĂ©tique Ă©levĂ© et n’est utile que pour certain fonctionnement de l’organisme ; la lenteur, la faible capacitĂ© de ses processus peuvent mĂȘme ĂȘtre un inconvĂ©nient. Cela ne signifie nullement que la conscience est un Ă©piphĂ©nomĂšne, une phosphorescence » inutile sur la mer de l’inconscient ».Nous pouvons donc espĂ©rer que notre intelligence qui repose sur plusieurs paramĂštres puisse ĂȘtre amĂ©liorĂ©e par les rĂ©centes dĂ©couvertes du gĂ©nome humain, et l’étude de notre activitĂ© cĂ©rĂ©brale par l’utilisation des techniques de l’imagerie mĂ©dicale et l’imagerie par rĂ©sonance magnĂ©tique de lĂ , il n’est pas Ă  exclure que nous puissions Ă©laborer une hygiĂšne alimentaire profitable Ă  l’équilibre voire la performance des paramĂštres innĂ©s, et une gymnastique cĂ©rĂ©brale pour conserver la plasticitĂ© de notre cerveau face aux agressions » hygiĂšne alimentaire je ne veux pas sous-entendre que nous n’aurons plus Ă  profiter de l’art de la table, qui est un des plaisirs qu’offre l’existence, mais plutĂŽt une diĂ©tĂ©tique favorisant l’équilibre de nos neurotransmetteurs. Et cela sera de nature Ă  remettre en cause notre activitĂ© commerciale de l’agro-alimentaire et son approche exclusivement mercantiliste et mĂ©ritocratique qui pousse Ă  la surconsommation, en espĂ©rant que nous ne produirons plus pour bouffer », mais pour nous nourrir, sans tomber dans l’ascĂ©tisme, en conservant les plaisirs de la table, dont la distribution devra se la gymnastique cĂ©rĂ©brale, c’est entretenir ses capacitĂ©s de travail et de mĂ©morisation par une activitĂ© sociale qui sollicite la rĂ©flexion, et donner ou redonner Ă  cet organe ce qui fait sa plus prestigieuse qualitĂ©, penser, alors que notre activitĂ© sociĂ©tale montre que nous cherchons en permanence Ă  la maintenir dans des carcans culturels endogĂšnes peut-ĂȘtre, la science nous fera sortir sans le vouloir de cette sociĂ©tĂ© de relations violentes dans laquelle nous nous enfermons chaque jour un peu plus au titre de la compĂ©titivitĂ©. Une sociĂ©tĂ© ou chaque nouvelle dĂ©couverte est d’abord utilisĂ©e pour tuer l’autre ou l’asservir physiquement ou psychologiquement, soit parce qu’il mange trop, et il est pris d’une boulimie assassine, ou parce qu’il crĂšve de faim, et il est pris de convulsions assassines.
 serons-nous pour autant plus intelligent ?Je ne peux y rĂ©pondre que par une autre question Est-ce que les machines intelligentes » nous ont rendu plus intelligent ?Il ne faut donc pas confondre capacitĂ© d’assimilation et de travail du cerveau avec l’intelligence, donc se doter du temps pour apprendre, d’appareils Ă  intelligence artificielle » pour nous aider, et d’une hygiĂšne physiologique et psychique de vie, ne me semble pas garantir une quelconque intelligence, tout juste conserver Ă  l’Homme un bon fonctionnement, Ă©ventuellement parce qu’est considĂ©rĂ© comme intelligent une personne qui gruge son voisin pour lui vendre au prix le plus fort un produit qui ne lui sert Ă  rien, comme celui qui fera comprendre au dit voisin qu’il s’est fait rouler. Tout dĂ©pendra des lieux dans lesquels sera portĂ© le jugement, et par qui, suivant, selon que l’on est le vendeur ou dĂ©fenseur du consommateur, donc selon le but poursuivi. Mais pour poursuivre un but, faut-il encore l’extraire des Ă©lĂ©ments dans lequel il est contenu. C’est Ă  cette activitĂ© que nous passons notre existence, et ceci me fait penser que les dĂ©couvertes scientifiques doivent nous apporter toujours plus d’élĂ©ments prĂ©cis, non pour diriger l’existence Ă  notre place, mais pour rĂ©duire notre mĂ©connaissance Ă  nous reste donc de la place pour penser notre existence. Et mĂȘme si la science nous permet de comprendre ce que nous sommes, et mĂȘme si nous sommes capables d’équilibrer les neurotransmetteurs de nos Ă©motions violentes, ils n’en demeureront pas moins actifs si nous les sollicitons par des schĂ©mas abstraits, basĂ©s sur la richesse obtenue par la raretĂ© et l’inadĂ©quation de la complĂ©tude nĂ©cessaire entre nous et l’ est-ce lĂ  que se situe l’intelligence aprĂšs laquelle nous courrons depuis des millĂ©naires, et que tous les Hommes ont exprimĂ© au cours des siĂšcles, aussi bien au travers de la religion que de la philosophie. Que d’autres ont exprimĂ© au travers de comportements eugĂ©niques et gĂ©nocidaire » Ă  la recherche de l’homme parfait, et qui resurgissent du fait des nouvelles dĂ©couvertes dans le domaine de la gĂ©nĂ©tique et de la ces dĂ©bats que soulĂšvent les progrĂšs scientifiques, des hommes de qualitĂ© soulignent les risques d’entrĂ©e dans des pratiques qui conduiraient Ă  de tel excĂšs par une sĂ©lection prĂ©ventive de l’embryon, ou bien des risques de sĂ©grĂ©gation sociale, ethnique, et de revenu, auxquels pourraient conduire ces progrĂšs scientifiques, pour bĂ©nĂ©ficier des perfectionnements dont nous pourrions faire de ces hommes que nous ne pouvons pas qualifier d’inintelligent sont Ă©galement de fervents dĂ©fenseurs du libĂ©ralisme Ă©conomique, qui est lui-mĂȘme le ferment de bien des craintes qu’ils expriment. Ceci le plus souvent par culte de l’élitisme, et si des hommes ont envie d’ĂȘtre ressemblants Ă  l’image qu’on leur vend, ce n’est pas dĂ» aux dĂ©couvertes des scientifiques, mais plus au commerce de l’image parfaite de l’homme ; non qu’elle n’ait pas toujours existĂ©, les Grecs avaient bien leur Apollon, mais ils n’avaient pas les moyens d’en vendre les nous trouvons donc devant le paradoxe de vouloir se prĂ©munir de risques alors que nous maintenons l’existence des systĂšmes qui les dĂ©montre notre difficultĂ© Ă  concilier nos perceptions Ă©motionnelles, notre raison, et les organisations systĂ©miques que nous avons créées qui cimentent par le fait social majoritaire notre reste convaincu que si la science ne nous apprendra pas pourquoi nous vivons, elle sera en mesure de nous apprendre comment nous fonctionnons, ce qui nous permettra de filtrer les informations les plus favorables Ă  notre existence, et donner ainsi Ă  notre tĂȘte, un regard sur elle plus large que celui que nous offre la traduction directe de nos sens Ă©motionnels contenus dans et par leur environnement immĂ©diat. Et mĂȘme pourrons-nous espĂ©rer pouvoir devenir de petits gĂ©nie » grĂące Ă  la recherche sur la mĂ©morisation[209], sans passer par l’obsession de l’homme alors pourrons nous rĂȘver Ă  l’Être presque parfait », non par l’élimination du plus faible, du plus laid, du plus sot au titre de notre sĂ©lection naturelle culturelle technico comptable», mais parce que nous saurons vivre notre Ă©volution, et rĂ©parer nos dĂ©ficiences, ce qui n’est pas le propre des espĂšces qui n’ont pas notre intelligence pour la ne devrait pas ĂȘtre mesurĂ©e Ă  l’aune de la capacitĂ© intellectuelle, mais en fonction de l’usage que l’on en fait pour se pas oublier l’ - Un grand absent dans cet absent auquel je fais allusion est l’impact de l’activitĂ© de nos relations sexuelles sur nos dĂ©cisions n’ai jamais lu un ouvrage en ce sens du mĂȘme style que celui de Guy Breton le dessous des petites histoires de l’Histoire de France » qui rapporte l’influence des femmes dans les dĂ©cisions politiques des rois. N’ayant pas les connaissances pour le faire, je me contente de signaler cet oubli volontaire dĂ» Ă  mon ignorance, non des promotions canapĂ©s, des agressions sexuelles, et de l’économie de la prostitution, mais de l’influence du pourvoir de sĂ©duction qui impose aux hommes de devoir plaire, eux qui pensent en moyenne huit 8 fois par jour Ă  l’amour. Il me semble que maintenir hors d’une analyse cet aspect, c’est avoir omis un Ă©lĂ©ment fondamental d’un comportement social qui ne peut que se rĂ©percuter dans l’économie, car j’ai dĂ©jĂ  dit que je considĂ©rais l’économie comme la quantification mesurable de notre activitĂ© sociale. Nous savons que l’apprentissage culturel dans bien des pays est diffusĂ© par la femme au sein du foyer, que son rĂŽle est primordial, mĂȘme si nous avons dĂ©veloppĂ© un monde machiste dans lequel elle recouvre une place, sa place dont le mĂąle l’a exclue il y a bien longtemps, Ă  l’époque ou elle faisait l’objet de vĂ©nĂ©ration car elle donnait, dans l’incomprĂ©hension, la illustrer mon propos je prendrai l’exemple dans le moyen Ăąge grec » qui commence vers le II iĂšme siĂšcle AV. comprenant la CrĂȘte et les AchĂ©ens qui se partagent le monde GrĂ©co Ă©gĂ©en, et la GrĂšce archaĂŻque que les historiens situent entre le VIII iĂšme et V iĂšme siĂšcle. Les origines du monde sont Ă©voquĂ©es par le Chaos sans attribut, Gaia la terre dĂ©finie par son large sein », Gaia au grand sein », donc capable de donner la vie Ă  d’autres vies, relayĂ©e par le mythe en dĂ©esse qui est Ă  la fois premiĂšre, la plus ancienne, incroyablement vaste, et qui peut Ă  elle seule, sans mĂąle, par ses propres forces et secrĂštes vertus, donner la vie. En troisiĂšme lieu Éros, l’amour. C’est l’amour qui n’aime pas, la reprĂ©sentation d’un surgir », d’un apparaĂźtre ». La mer, voie d’eau dans la rĂ©alitĂ© Ă©conomique grĂ©co-Ă©gĂ©ene engendre une dĂ©esse de la mer vĂ©nĂ©rĂ©e, Amphitrite, dont le nom apparaĂźt historiquement avant celui restĂ© cĂ©lĂšbre dans notre Ă©ducation patriarcale », PosĂ©idon, dieu de la mer. PosĂ©idon est d’origine Asianique, une des religions antiques du Moyen-Orient. Amphitrite l’épouse dans la version de la ThĂ©ogonie d’HĂ©siode datant du VI iĂšme siĂšcle. C’est lĂ , la rĂ©alitĂ© d’une culture gynĂ©ocratique qui subira de lentes et visibles transformations. Ensuite dans la version 1970, plus rĂ©cente, ce fut Amphitrite qui fut prise pour Ă©pouse par PosĂ©idon. Les positions se sont donc totalement inversĂ©es signe d’une modification exemple parmi certainement beaucoup d’autres, indique clairement une inversion des rĂŽles par acculturation d’influence, et Ă  la longue, une mise sous silence du rĂŽle politique et religieux de la femme qui n’en a pas moins poursuivit, secrĂštement ou non, son influence au travers des dĂ©sirs dont elle faisait l’ a fallu attendre l’activitĂ© des femmes protestantes, avec Sarah 177 en 1838 qui publia aux États-Unis un manifeste fĂ©ministe nu on the Esquality of he sexes and the condition of Women » ; en Angleterre Elisabeth Cady humaine avec sa Women’s bible » en 1890, et une autre protestante française Sarah Monod qui devint prĂ©sidente du conseil national des femmes Ă  sa crĂ©ation en 1901, pour qu’elles revendiquent leur Amphitrite et Sarah Monod il n’y a pas moins de 3000 ans. Dire que c’est seulement l’histoire religieuse qui leur a usurpĂ© leur place, serait dĂ©placer le problĂšme des organisations sociĂ©tales Ă  leurs reprĂ©sentations[210]. ReprĂ©sentations dont les rĂŽles ont Ă©tĂ© de les maintenir en l’état en fonction de l’adaptation Ă©volutive Ă  l’environnement gĂ©ohistorique, et auxquelles elles ont largement contribuĂ© par inculture ou tradition au travers de l’apprentissage, tout comme nous le faisons aujourd’hui pour perpĂ©tuer les organisations qui nous asservissent. Pour qu’il en soit autrement, il faut avoir un choix mĂȘme restreint, et pour qu’il existe il faut avoir le temps d’y rĂ©flĂ©chir la tĂȘte remplie de connaissances. Et dans cette connaissance rien ne nous interdit d’envisager qu’une sociĂ©tĂ© matriarcale[211] ne serait pas meilleure que la notre. A condition comme je l’ai dĂ©jĂ  dit que nous n’ayons pas fabriquĂ© des femmes hommes. Car, quand au nom de l’égalitĂ© nous envoyons des femmes faire la guerre, et tuer ce Ă  quoi elles donnent la vie, je crois que nous avons atteint lĂ  aussi le point d’un absolu dans le raisonnement d’hommes qui veulent se prĂ©tendre civilisĂ©s. C’est aussi exact pour les hommes, mais cela fait tant de millĂ©naires que nous pratiquons l’exercice de nous entre tuer que c’est devenu une banalitĂ©, et il est bien inutile de l’étendre aux femmes. Ce qu’il ne faut pas interprĂ©ter comme signifiant qu’il devrait y avoir des secteurs rĂ©servĂ©s. Bien sur nous trouverons mille et une raison de justifier qu’il en soit ainsi, au nom de la patrie, du droit de se dĂ©fendre, de lutter pour un idĂ©al ; et si nous pensons qu’il y a une espĂ©rance de voir un jour la guerre rĂ©gresser, ce n’est pas en poussant le sexe humain, le plus apte Ă  soutenir ce point de vu, Ă  la guerre que nous avancerons vers l’hominisation, car c’est dans cette matrice maternelle que nous avons une chance d’inscrire dans le conscient profond de l’enfant l’horreur de la guerre ; bien Ă©videmment je conçois toute la difficultĂ© d’une telle dĂ©marche qui s’oppose Ă  notre culture guerriĂšre. Sinon pourquoi avoir combattu et supprimĂ© l’anthropophagie[212] qui a caractĂ©risĂ© une Ă©tape vers cette hominisation. Aucun groupe culturel n’aime particuliĂšrement se rappeler cet Ă©tat de fait oĂč par nĂ©cessitĂ©, par pĂ©nurie alimentaire les hommes n’hĂ©sitaient pas Ă  manger femmes, enfants, vieux et captifs, et dont nous avons conservĂ© des rituels cultuels les offrandes. Aujourd’hui pour disposer du nĂ©cessaire alimentaire, industriel ou territorial nous faisons des guerres avec les mĂȘmes morts sauf que nous ne les mangeons plus, est-ce cela ĂȘtre civilisĂ© ? Dans l’étude de nos mƓurs il ne manque pas de scĂšnes rapportĂ©es oĂč la femme fait cuire des morceaux d’humains, doit-on encore lui demander de le faire, mĂȘme si l’image est recomposĂ©e. La comparaison peut choquer et mĂȘme paraĂźtre inopportune voire dĂ©placĂ©e. Pourtant nos ancĂȘtres ne trouvaient pas leurs pratiques barbares, tout comme nous nous ne trouvons pas barbares les nĂŽtres qui conduisent Ă  la mĂȘme finalitĂ©, pour les mĂȘmes raisons, sauf que nous, aujourd’hui nous maintenons cette raison parce qu’elle donne un but Ă  l’existence, cela bien que nous disposions des moyens je l’ai dĂ©jĂ  dit qu’il en soit autrement ce qui n’était pas le cas de nos ancĂȘtres. Ainsi peut-ĂȘtre, que si les femmes n’endossent pas le manteau de plomb des hommes, pourront-elles imaginer d’autres organisations sociales, non pas parce qu’elles seraient investies d’un quelconque pouvoir, car l’histoire nous livre aussi des communautĂ©s oĂč elles se montraient aussi cruelles qu’un homme, mais parce qu’elles font ce qu’aucun homme ne peut connaĂźtre, enfanter notre espĂšce ; et cela lui donne bien le droit de redĂ©finir une image du pĂšre » pour une finalitĂ© meilleure que celle que leur proposent les hommes de puis des millĂ©naires, en mangeant ou en envoyant Ă  la guerre sa progĂ©niture. Si nos ancĂȘtres avaient Ă©ventuellement l’excuse de ne rien savoir de leur origine, avec le dĂ©veloppement des sciences nous n’avons plus cette excuse, si ce n’est celle de refuser d’ - Ne pas oublier l’ a-t-il de plus essentiel que la Vie. Or, notre histoire humaine est une longue liste d’atrocitĂ©s d’une espĂšce qui, passant de la cueillette Ă  la chasse puis Ă  l’agriculture, a dĂ©couvert la notion de propriĂ©tĂ© par la sĂ©dentarisation, et s’est entre-tuĂ©e pour acquĂ©rir les butins » produits sur ces territoires, et pour les territoires eux-mĂȘmes. Ce n’est pas lui faire injure que de le reconnaĂźtre comme un fait historique. Les frontiĂšres de tous nos États se sont Ă©tablies dans la souffrance, tout comme nos rĂ©gimes politiques et religieux qui n’ont Ă©tĂ© que le reflet des pratiques sociĂ©tales, et cela se poursuit comme une gangrĂšne qui nous relatons cela dans une trĂšs grande partie de la littĂ©rature qui nous abreuve de crimes individuels toujours punis, et de grandes Ă©popĂ©es d’armĂ©es libĂ©ratrices ou conquĂ©rantes, avec Ă  la clĂ© pour les vainqueurs, statues, mĂ©dailles et encensements pour avoir avec de justes raisons, torturĂ©, violĂ©, et tuĂ© l’ennemi, l’opposant, l’incroyant, l’envahisseur, l’agresseur ou l’infidĂšle. Chaque État a donc construit une histoire rose pour s’en dĂ©douaner, que les historiens dĂ©florent depuis une trentaine d’annĂ©es. Il serait bien inutile de chercher Ă  savoir qui a commencĂ©, ni de condamner ceux qui ont sacrifiĂ© leur vie pour une cause. Mais aujourd’hui nous savons analyser et anticiper nos comportements sociologiques, et au terme de conquĂ©rant s’est substituĂ© celui de rĂ©sistance Ă  l’agression qu’elle soit religieuse, culturelle ou Ă©conomique, et chacun s’évertue Ă  dĂ©signer l’autre comme agresseur, pour justifier de devoir le tuer. Ce que je veux souligner c’est que notre littĂ©rature, notre cinĂ©mathĂšque, nos tĂ©lĂ©films, nos jeux vidĂ©o, qu’ils soient Ă  destination d’enfants ou d’adultes relatent pour une bonne part de la criminologie, de la violence et de l’aventure guerriĂšre, et il ne manque pas d’ouvrages faisant l’apologie de la guerre Ă  en banaliser la notion de tuer ; avec un double effet, celui de ne pas vouloir s’investir dans l’activitĂ© publique d’une sociĂ©tĂ© qui ne nous revoie qu’une image violente, et ensuite d’avoir comme rĂ©ponse Ă  des Ă©vĂ©nements qui nous agressent qu’une rĂ©plique presque instinctivement violente, parce que nous aurons mĂ©morisĂ© les images de notre violence. Ainsi, pour en revenir Ă  la GrĂšce, comme sa cosmogonie relatait par ses mythes les pratiques de sa sociĂ©tĂ©, par nos sources mĂ©diatiques nous relatons les nĂŽtres, et comme les Grecs aimaient leurs dieux sanguinaires, Nous, nous aimons la reprĂ©sentation de notre violence. Sinon ce marchĂ© du livre et de l’image ne serait pas produit s’il n’y avait pas une vente serait donc sot et absurde de vouloir se le cacher, se serait le moyen le plus sĂ»r d’en mourir, comme quelqu’un qui se cacherait le mal dont il souffre, et n’aurait ainsi aucune chance de se soigner. Prendre conscience que notre espĂšce prend du plaisir, Ă  la souffrance et au malheur d’autrui n’a rien de honteux ; ce qui l’est, c’est de vouloir se faire passer pour vertueux, ou de rechercher des raisons vertueuses pour y donner cours. Depuis 2000 ans qu’il a Ă©tĂ© dit, tu ne tueras point », les pires punitions, les prisons les plus sordides, les accords de rĂ©glementation les plus sophistiquĂ©s n’ont pu l’imposer. Ces mesures ont mĂȘme servi Ă  transgresser ce tu ne tueras point » chacun avec sa juste raison issue des informations qu’il a traitĂ© dans l’identitĂ© qu’il s’est construite, contestĂ© parfois par d’autres avec d’aussi justes informations analysĂ©es dans le mĂȘme cadre. Et nous allons comme cela, dans nos langues, nos États, nos ethnies, nos religions, nos idĂ©ologies, nos racines disons-nous pour disposer d’une identitĂ©. Les connaĂźtre est une chose, les reproduire avec leurs erreurs ou se venger en leur nom en est une autre. Si enfin la dĂ©finition de crime contre l’humanitĂ© peut apporter une quasi-solution dans des situations spĂ©cifiques, elle sera un jour confrontĂ©e Ă  son dĂ©sir de voir tout homme respectĂ© dans sa dignitĂ© humaine, sauf que cela commence par les fondements naturels les plus primaires, se nourrir, copuler, s’abriter. Et sa juridiction qui se veut universaliste n’échappera pas au problĂšme de la pauvretĂ© que gĂ©nĂšre l’organisation libĂ©rale, qui engendre en rĂ©troaction des idĂ©ologies hĂ©gĂ©moniques, car quand l’on souhaite rĂ©genter le droit universel, on ne peut longtemps se limiter aux champs qui nous arrangent, car on devient une bouĂ©e de sauvetage pour les plus meurtris. Alors peut-ĂȘtre vaudrait-il mieux mettre notre espĂ©rance dans un long processus d’éducation, diffusant un enseignement rĂ©munĂ©rĂ© tout au long de l’existence, qui permettrait d’employer Ă©galement ceux qui ne fabriqueraient plus d’armes ; et dĂ©velopper un commerce ou un capitalisme socialisant plutĂŽt qu’ - Alors y a-t-il une solution ?Certainement, car tout nous est permis grĂące Ă  notre intelligence, mais pour cela encore faut-il le vouloir, et savoir trouver les dieux que nous adorons et qui nous demande de tels sacrifices humains ; et Ă  mon sens il n’y a qu’en luttant contre l’ignorance de ce que nous sommes. Je pense donc que le Savoir et la Connaissance peuvent nous y aider, Ă  condition que l’instruction et l’éducation dĂ©bouchent sur cet inconnu qu’est l’intelligence ; mais sur cette intelligence heuristique que nous percevons par intuition. Cette intelligence apte Ă  traduire pour notre instinct, pour le vieil homme » une autre image du pĂšre Ă©gocentrique » qui nous conduit Ă  la destruction, dans la rĂšgle stricte d’un processus d’évolution qui conduit toute cellule Ă  mourir sous ses propres dĂ©chets ou Ă  se rĂ©former. La solution passe Ă  mon sens par cette intelligence ressentie, qui fait Ă  tout un chacun refaire le monde entre trouverons-nous en elle le moyen de parvenir Ă  ce que nous avons dĂ©fini d’essentiel, et auquel nous ne pouvons pas nous tenir ?Cela peut paraĂźtre curieux que mon essai se termine par une interrogation, s’il en avait Ă©tĂ© autrement cela aurait signifiĂ© pour le moins que je n’avais moi-mĂȘme rien compris Ă  ce que j’avais Ă©crit. Parce que lorsque nous nous interrogeons sur notre existence, si nous ne dĂ©bouchons pas sur une question, c’est que quelque chose a dĂ» nous conclure cet essai oĂč je fais un pari sur un futur fondĂ© sur les progrĂšs de notre intelligence cĂ©rĂ©brale, d’un cerveau dotĂ© d’une capacitĂ© psychique extraordinaire pour dĂ©velopper une nouvelle richesse, je me sens intellectuellement parfaitement limitĂ© pour le dĂ©velopper, tant j’ai abordĂ© de disciplines dont je n’ai que quelques fragments de connaissance. Si d’aventure quelques Ă©rudits voulaient le reprendre, le sujet est crois qu’à l’instar de l’imprimerie qui a marquĂ© une Ă©tape importante dans la diffusion du savoir et de l’information, la connaissance des sciences de la physique, par la mĂ©canique quantique, va marquer une autre Ă©tape dans le dĂ©veloppement sociĂ©tal de notre civilisation. Il nous faudra regarder beaucoup de nos relations, ou requalifier » beaucoup de nos relations sous son auspice, inventer d’autres mots, alors que d’autres rejoindrons les dictionnaires des mots rares et prĂ©cieux, en mĂ©moire du passĂ©. Si la thĂ©orie du chaos permet d’exploiter la plus petite donnĂ©e Ă©conomique, elle peut Ă©galement nous permettre d’en mesurer son incidence Ă  trĂšs long terme et d’envisager un regard sur notre existence, non plus Ă  la seule mesure de nos perceptions sensorielles mais Ă  celle de notre intelligence. NĂ©anmoins, il nous faudra pour cela faire le mĂȘme effort qui a suivi la dĂ©couverte de l’imprimerie, crĂ©er un enseignement. Mais non plus seulement Ă  destination des enfants, mais pour tous les adultes tout au long de l’existence, sans attendre quatre cents ans pour le mettre en Ɠuvre. Ceci, pour que la dĂ©marche d’apprendre devienne un plaisir et non pas une souffrance, comme celle Ă  laquelle nous avons rĂ©duit nos relations vitales avec le surtout, parce le savoir est l’élĂ©ment dans lequel baigne notre nature culturelle et il nous faudra regarder notre existence Ă  l’échelle de l’espĂšce et de sa durĂ©e. Chacun sachant prendre au quotidien au travers des mots, le plaisir que cela lui offre d’y appartenir. Pour rĂ©aliser cet objectif les hommes existent aujourd’hui, et si j’en ai critiquĂ© certains d’entre eux c’est parce qu’ils peuvent mieux faire. Il suffit peut-ĂȘtre de leur donner seulement un autre but qui soit autre qu’un but nous l’avons appelĂ© Demain,Le jour oĂč elle est nĂ©e, le mĂ©decin l’a dit,Elle sera jolie !Elle a les cheveux moutonneux de fils soyeux,Son corps naissait. Le ciel a le regard bleu de cils heureux,Ses yeux pleuraient. La nuit a les lĂšvres enneigĂ©es de blanc lactĂ©, Sa bouche happait. La pluie est un univers ĂȘtres s’imaginent le nĂ©ant,DEMAIN, nous l’avons baptisĂ© Demain,L’aube oĂč elle est nĂ©e, son parrain l’a Ă©crit,Elle sera nantie !Elle a des bras d’eau bĂ©nissant,L’ocĂ©an fraĂźchit. Son nez a des seins d’étĂ© sĂ©millant,L’orage bleuit. Sa peau a des doigts de jeux sablonneux,La plage rougit. Ses mains est un monde hommes se l’imaginent nous l’avons dĂ©signĂ© lĂšve sa journĂ©e. Dieu l’a le paradis !En se signant des mains, les rondes l’ont chantĂ©Les toits mitraillaient ses mots rentrant dans les chairs, les balles l’ont sifflĂ©La victoire hurlait, bientĂŽt demain !Contre un bout de papier, je vous promets la paix,Je feins de vous aimer, contre un bout de papier,Contre un bout de papier, je vous ferai rĂȘver,Demain ! Contre un bout de papier. Je suis barbier !DEMAIN nous l’avons soupirĂ© matin lĂšve sa journĂ©e. L’Oracle l’a n’est qu’aujourd’hui !Nos Ăąmes parent ses heures italiques,Fleurs Cardinal ou pierres d’ passions brassent avec leurs maniquesSon portrait aux couleurs de notre dans cet univers dĂ©coupĂ©,Demain tintera douze fois mondes divisĂ©s, aux jours dĂ©chirĂ©s,Elle est si dĂ©sirĂ©e cette journĂ©e !BibliographiesAmiel Anne. 50 grandes citations philosophiques expliquĂ©es. Éditeur Marabout. Francis et 1990. GĂ©rard. Les nouveaux mĂ©dias. Éditions presses universitaire de France. Benjamin R. Djihad versus Mc World. Éditeur DesclĂ©e de Brouwer. Michel. L’histoire du capitalisme. Édition Du Seuil. Henri. L’évolution crĂ©atrice. Éditeur Presse universitaire de France. Jean-Michel. La construction de la sociologie. Édition Presses universitaire de France. GĂ©rard. L’incertitude. Édition presses universitaire de France. Daniel. Les dĂ©couvreurs. Éditeur Robert laffont. Michel. Le Guide Des Toxicitudes. Édition Robert Laffont. Janine, Marie-Martine Salort. Initiation Ă  l’économie. Édition Hatier. de l’imaginaire. Mythologie et vie sociale. Édition L’harmattan. Jean Yves, Olivier Garnier. Dictionnaire de l’économie. Édition Hatier. Marcel. Le crime contre l’humanitĂ©. Édition Eres. la dictature des marchĂ©s. Édition f, La dispute, Dyllepse, VO Ă©dition. Pierre. Les prodigieuses victoires de la psychologie. Éditeur Marabout. Pierre. Les voies Ă©tonnantes de la nouvelle psychologie. Édition Marabout. Rosnay JoĂ«l. Le macroscope, vers une version globale. Éditions du Seuil. Jean. Conscience et cerveau. Edition DeBoeck UniversitĂ©. Morin, Heinz Weinmann. La complexitĂ© humaine. Édition Flammarion. septembre 1999 n° Pierre. De bienfaits de la dĂ©pression. Édition Odile Jacob. Sigmund. Tatou et Totem. Édition Payot et Rivages. Murray. Le Quark et le Jaguar. Éditeur Flammarion. Jean-Claude. Jouez et gagner en bourse. Éditeur Jean-Claude LattĂ©s. La thĂ©ories du chaos. Éditeur Flammarion. Jean. Dieu et la science. Éditeur Edwards T. La dimension cachĂ©e. Éditions du Seuil. Edwards. Le noir de la nuit. Édition du Une brĂšve histoire du temps. Editions Flammarion. La partie et le tout. Éditeur Albin Michel. Pierre. La folie de Sophocle Ă  l’antipsychiatrie. Édition Bordas. Albert. La lĂ©gende de la vie. Éditeur Flammarion. Michio. Visions. Éditeur Albin Michel. et la sociĂ©tĂ©. Anthropologie de l’espace habitĂ©. Édition L’harmattan. Bible. Édition SociĂ©tĂ© biblique française. recherche. Le cerveau d’Einstein. 1999 DĂ©cembre n° Henri. Éloge de la fuite. Éditeur Gallimard. Alain. Les grands courants du libĂ©ralisme. Edition Armand Colin. FrĂ©dĂ©ric et YsĂ© Tardan-Masquelier. EncyclopĂ©die des religions. Éditions Bayard. paradis fiscaux. Éditions Mille et une nuit. Claude. Race et histoire. Éditeur Gonthier. Paris de la pensĂ©e. EncyclopĂ©die Investissement et capital. Édition du Seuil. Jean-Claude. La SystĂ©mique Sociale. Éditeur presse universitaire de France. M. Éloge de la philosophie. Éditeur Gallimard. 1953 et GĂ©rard. Francoscopie. Édition Larousse. ThĂ©odore. RĂ©vĂ©rence Ă  la vie. Edition, Bernard Grasset. Thomas. L’utopie. Édition la dispute. Michelle. La monnaie. Éditeur Économie. Robert A.. La tradition sociologique. Édition Quadrige/ presses universitaire de France. Roques Aline. La botanique redĂ©couverte. Éditeur Belin INRA. Claude. L’interprĂ©tation des textes. Édition Les Ă©ditions de minuit. Alain. Les rythmes biologiques. Éditions presse universitaire de France. Hubert, JoĂ«l de Rosnay, Yves Coppens, Dominique Simonnet. La plus belle histoire du monde. Édition du club France loisirs rĂ©alisĂ© avec l’autorisation des Éditions du Seuil. et vie. N° 1016. Mai 2002Science et vie. N° 889 – octobre et vie. N° 932. Mai et vie. N° 933. Juin et vie. N° 953. FĂ©vrier Jean. Ces dieux qui firent le ciel et la terre. Editions, Robert laffont. Edouard. Les grands InitiĂ©s. Éditeur Librairie acadĂ©mique Perrin. Philippe. La sociologie de Durkheim. Édition la dĂ©couverte. AndrĂ© et Huisman Denis. Nouveau cours de philo ». Éditeur Fernand Nathan. Yvette, Pierre Pech. L’homme et l’environnement. Éditeur Presse universitaire de France. Paul. La rĂ©alitĂ© de la rĂ©alitĂ©. Édition le Seuil. Paul. Le langage du changement. Éditions du Seuil. des 1GIARDINO AndrĂ©. 1RĂ©sumĂ©. 3REMUNERER LES HOMMES POUR APPRENDRE. 3AVERTISSEMENT. 6Aux pionniers de l’univers. 17LE DEVOIR D'APPRENDRE UN MARCHE DE L’INTELLIGENCE_ 19AVANT-PROPOS. 191 - Pourquoi apprendre ? ; cela dĂ©pend de nous. 19Pourquoi apprendre ? 19
Cela dĂ©pend de nous. 19PRELÉMINAIRE. 202 – Une raison qui se construit sur la conservation, de milliards de donnĂ©es et de concepts, pour nous interroger, pour notre usage harmonieux, et vivre parce que nous existons 20Une raison qui se construit sur la conservation, de milliards de donnĂ©es et de concepts
_ 20
et s’interroger... 20
pour notre usage
__ 21
harmonieux... 21
et vivre parce que nous existons. 223 – Ainsi, un jour, j’eus une idĂ©e nĂ©e d’une problĂ©matique pas si simple, entre utopie et idĂ©ologie. 24Ainsi un jour... 24
j’eus une idĂ©e... 24
 nĂ©e d’une problĂ©matique... 24
pas si simple
__ 25
 entre utopie et idĂ©ologie. 25CHAPITRE, I 26REMUNERER LES HOMMES POUR APPRENDRE. 264 - Pour cela, il faut seulement comprendre un questionnement sans le Savoir, que serions-nous ? 26Pour cela, il faut seulement comprendre un questionnement
_ 26
 sans le Savoir
_ 27
 que serions-nous 
 ? 275 - Que sommes-nous ? Avec notre agressivitĂ©, au-delĂ  de l’égocentrisme et de l’instinct naturel ; d’Etre intelligent capable d’assumer notre savoir, malgrĂ© nos erreurs comme Malthus. 27Que sommes-nous ? Avec notre agressivité _ 27
au-delĂ  de l’égocentrisme
__ 30
 et de l’instinct naturel
__ 31
d’un Être intelligent
__ 34
capable d’assumer son savoir
__ 35
malgrĂ© ses erreurs
__ 35
comme Malthus. 366 - Face Ă  la sĂ©lection naturelle, Ă  l’exclusion, et Ă  la production de nos maux qui ne sont pas inĂ©vitables. 37Face Ă  la sĂ©lection naturelle » __ 37
à l’exclusion
__ 38
et Ă  la production de nos maux
__ 39
qui ne sont pas inĂ©vitables ! 417 – Perdu au milieu d’un ensemble allant, du clan Ă  l’État et au clan financier, dans un espace occupĂ© par les possĂ©dants 41Perdu au milieu d’un ensemble allant du clan Ă  l’État et au retour au clan financier
__ 41
 dans un espace occupé __ 42
par des possĂ©dants. 428 – Sur quoi repose cette richesse, si ce n’est sur un capital confiance ou une crĂ©dulitĂ©, dans un puzzle infini de contraintes 42Sur quoi repose cette richesse, si ce n’est sur un capital confiance ou une crĂ©dulitĂ© 
__ 42
 dans un puzzle infini. 43
 de contraintes. 439 – Un puzzle dans lequel il existe deux constantes incontournables d’une rĂ©alitĂ© » persistante mise en Ă©vidence depuis 1950. 44Un puzzle dans lequel il existe deux constantes incontournables
__ 44
 d’une rĂ©alitĂ© persistante
__ 44
 mise en Ă©vidence depuis 1950. 4510 – Avenir qu’il faudra bĂątir de compassion pour affronter les peurs au-delĂ  de nos certitudes, dans une dynamique progressiste pour se rĂ©partir le temps, vers une dynamique de temps libre. 45Avenir qu’il faudra bĂątir de compassion
__ 45
 pour affronter les peurs... 46
 au delĂ  de nos certitudes
__ 47
 dans une dynamique progressiste
__ 47
 pour se rĂ©partir le temps
__ 48
 vers une nouvelle dynamique du temps libre. 4911 – Mais nous sommes un animal » pas encore civilisĂ©, qui doit forcer son intelligence. 49Mais nous sommes un animal » pas encore civilisé __ 49
 qui doit forcer son intelligence. 50Chapitre II 52Faire un choix qualitatif. 5212 - Le temps, un dĂ©terminant social, mais c’est quoi le temps ? Un temps relatif qui n’avait pas Ă©chappĂ© Ă  Aristote et dont notre civilisation a acquis les moyens d’une certaine maĂźtrise. 52Le temps, un dĂ©terminant social... 52
c’est quoi le temps ?... 52
Un temps relatif
__ 54
 qui n’avait pas Ă©chappĂ© Ă  Aristote
__ 54
 et dont notre civilisation a acquis les moyens une certaine maĂźtrise. 5513 - Pourtant tout comme l’écriture ces moyens ne sont pas neutres. Aujourd’hui cette Ă©criture » est mĂ©diatique ; et prendre conscience que rien n’est simple pour se surpasser est une nĂ©cessitĂ© existentielle que nous restreignons, lĂ , oĂč la pluridisciplinaritĂ© devient une Ă©vidence. 55Pourtant tout comme l’écriture ces moyens ne sont pas neutres
__ 55
 aujourd’hui cette Ă©criture est mĂ©diatique
__ 56
 et prendre conscience que rien n’est simple pour se surpasser
__ 56
 et une nĂ©cessitĂ© existentielle
__ 57
 que nous restreignons
__ 58
 LĂ , oĂč la pluridisciplinaritĂ© devient une Ă©vidence. 5814 - Les plus intelligents l’ont fait, Ă  quand nous tous ?_ 59Les plus intelligents l’ont fait. 59
à quand nous tous ?_ 6015 – Pourtant certains s’en excluent, mais qu’il y a une tendance, malgrĂ© un archĂ©type. 60Pourtant certains s’en excluent
__ 60
 mais il y a une tendance... 61
 malgrĂ© un archĂ©type. 6116 - Non pour ĂȘtre des gĂ©nies, mais assez pour nous comprendre, en y consacrant du temps pour ne pas s’égarer. 62Non pour ĂȘtre des gĂ©nies mais assez pour nous comprendre
__ 62
 en y consacrant du temps
__ 63
 pour ne pas s’égarer. 6317 – L’enseignement complĂ©mentaire pour adulte ne doit pas rester une exclusivitĂ© sans relation avec le systĂšme Ă©ducatif, mais il va susciter des choix difficiles 65L’enseignement complĂ©mentaire pour adulte ne doit pas rester une exclusivitĂ© sans relation avec le systĂšme Ă©ducatif
__ 65
 mais il va susciter des choix difficiles. 65L’INACHÉVEMENT. 65Pas de contradiction Ă  effacer, 66CHAPITRE, III 68SUR DES GENERATIONS. 6818 - Par transmission et planification. 68Par transmission et planification. 6818 – ArrĂȘtons un instant dessus pour regarder comment l’on passe d’une tradition Ă  un marchĂ© planifiĂ© qui a dĂ©veloppĂ© un savoir-faire seul. 68Comment l’on passe d’une tradition Ă  un marchĂ© planifié __ 68
 qui a dĂ©veloppĂ© un savoir-faire seul. 6920 - Le savoir se vend mal sauf parmi ceux qui le possĂšdent, mais la culture populaire enrichit leur protagonistes. Elle est l’objet de dĂ©bats, dans lesquels il faut un dĂ©codeur qui existe en kit et en piĂšces dĂ©tachĂ©es dans le magasin de la mĂ©connaissance 69Le savoir se vend mal sauf parmi ceux qui le possĂšdent
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 mais la culture populaire enrichit leurs protagonistes
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Elle est l’objet de dĂ©bats... 71
dans lesquels il faut un dĂ©codeur
__ 71
 qui existe en kit... 72
et en piĂšces dĂ©tachĂ©es
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 dans le magasin de la mĂ©connaissance... 7321 - Le savoir en expansion reste difficile Ă  suivre pour tous. 74Le savoir en expansion
__ 74
reste difficile Ă  suivre pour tous. 7521 – Mais l’espĂ©rance peut venir la loi du nombre. 75La loi du nombre. 7522 – Au fil des gĂ©nĂ©rations. 76Par gĂ©nĂ©ration. 76CHAPITRE, IV. 77STRUCTURES D’ACCEUILS, D’ENSEIGNEMENT COMPLÉMENTAIRE POUR ADULTE. 7724 – il en existe pour les actifs Ă  hauteur de 30%, mais ECPA on une autre vocation et la capacitĂ© Ă  atteindre est importante. Cela sera fonction d’un choix politique, car nous couvrons bien d’autres besoins. 77Elles existent pour les actifs
__ 77
à hauteur de 30%. 77
 mais ECPA on une autre vocation et la capacitĂ© Ă  atteindre est importante
__ 77
 cela sera fonction d’un choix politique
__ 77
car nous couvrons bien d’autres besoins. 78CHAPITRE, V. 79QUELS TYPES D ENSEIGNEMENT ?_ 7925 - Un enseignement pour des adultes, dans un Ă©change particulier auquel nous ne pouvons Ă©chapper, parce que nous sommes des rĂ©pĂ©titeurs qui pourront s’évaluer et afficher leurs rĂ©flexions librement dans des limites incitatrices. 79Un enseignement pour des adultes 
__ 79
 dans un Ă©change particulier
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 auquel nous ne pouvons Ă©chapper
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 parce que... 80
 nous sommes des rĂ©pĂ©titeurs
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 qui pourront s’évaluer
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 et affiner leurs rĂ©flexions... 80
 librement
__ 81
 dans des limites incitatrices. 81CHAPITRE, VI. 83QUI DISPENSERA CET ENSEIGNEMENT ?_ 8326 – Ceux qui ont dĂ©jĂ  la connaissance et le savoir, aprĂšs une formation comme cela existe. 83Ceux qui ont dĂ©jĂ  la connaissance et le savoir,
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 aprĂšs une formation
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 comme cela existe. 8327 – Sous un ministĂšre tout dĂ©signĂ© l’éducation nationale. 83Un ministĂšre tout dĂ©signĂ©. 83CHAPITRE, VII. 85QUELLES INCIDENCES SUR LA VIE DES CITOYENS ?_ 8528 – Il faut l’imaginer, car nous nous imposons d’apprendre, alors que l’adulte est ostentatoire et conservateur par peur, et que notre futur est presque illimitĂ©. 85Il faut l’imaginer
__ 85
 car nous nous imposons d’apprendre
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alors que l’adulte est ostentatoire
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 et conservateur par peur
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 alors que notre futur est presque illimitĂ©. 8629 – Mais ce »futur » c’est aussi une incertitude, que nous rejetons par illusoire grandeur parmi ce que nous pensons d’essentiel, mais il est toujours temps d’apprendre. 87Mais ce futur » c’est aussi une incertitude
__ 87
 que nous rejetons
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 par illusoire grandeur
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parmi ce que nous pensons essentiel
__ 90
mais il est toujours temps d’apprendre. 9030 – Car la seule terre Ă  dĂ©couvrir est l’incertitude, mais avec modĂ©ration pour ne pas faire du savoir un Dieu, alors qu’il n’est que culture, mĂȘme s’il est lent et incertain. 90Car la seule terre Ă  dĂ©couvrir est l’incertitude
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 mais avec modĂ©ration
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 pour ne pas faire un dieu du savoir
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 alors qu’il n’est que culture,
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 mĂȘme s’il est lent
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 et incertain. 9231 – Une espĂ©rance qui nous astreint Ă  l’effort du fait de notre matĂ©rialitĂ©. 94Une espĂ©rance
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 qui nous astreint Ă  l’effort
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 du fait de notre matĂ©rialitĂ©. 9532 – Comment se faire une idĂ©e du comportement de la population face Ă  la formation, qui est une dĂ©marche limitĂ©e par l’idĂ©e de soi. 96Comment se faire une idĂ©e du comportement de la population face Ă  la formation 
__ 96
 qui est une dĂ©marche limitĂ©e par l’idĂ©e de soi. 9633 – Avoir une dĂ©marche estudiantine plutĂŽt qu’ĂȘtre spectateur, et socialement riche pour rompre un isolement, dans une sociĂ©tĂ© civile trĂšs sollicitĂ©e Ă  consommer. Consommation Ă  laquelle il est dur de rĂ©sister, malgrĂ© quelques tentatives. 97Avoir une dĂ©marche estudiantine
__ 97
 plutĂŽt qu’ĂȘtre spectateur
__ 97
 et sociologiquement riche pour rompre un isolement
__ 98
 dans une sociĂ©tĂ© civile trĂšs sollicitĂ© Ă  consommer
__ 98Consommation Ă  laquelle il est dur de rĂ©sister
__ 98
 malgrĂ© quelques tentatives
__ 9934 – Il faut maĂźtriser notre intelligence culturelle pour ne pas ĂȘtre robotisĂ©. 99Il faut maĂźtriser notre intelligence culturelle
__ 99
 pour ne pas ĂȘtre robotisĂ©. 10035 – Faire une place aux Enseignements ComplĂ©mentaires Pour Adultes, par l’incitation financiĂšre ou par une pensĂ©e d’utilitĂ© potentielle, pour ne pas rester des hommes des cavernes. 100Faire une place au ECPA
__ 100
 par l’incitation financiĂšre
__ 100
 ou une pensĂ©e d’utilitĂ© potentielle » __ 100
 pour ne pas rester des hommes des cavernes. 10136 – Nous voulons ĂȘtre des Dieux, plutĂŽt que de relever le dĂ©fie humain ! 101Nous voulons ĂȘtre des Dieux
__ 101
 plutĂŽt que de relever le dĂ©fie humain. 10237 – Un dĂ©fi qui sera d’abord rejetĂ© si l’enseignement n’est pas gratifiant. 103Un dĂ©fi qui sera d’abord rejeté __ 103
 si l’enseignement n’est pas gratifiant. 10338– Bien sur il y aura des opposants par pragmatisme opportuniste Ă  cause d’une vue restrictive. Alors il faut Ă©largir notre rĂ©flexion, dans une addition, oĂč un plus un Ă©gale trois. 103Bien sur il y aura des opposants
__ 103
par pragmatisme opportuniste
__ 104
à cause d’une vue restrictive
__ 104
alors il faut Ă©largir notre rĂ©flexion
__ 105
 dans une addition qui est un plus un Ă©gale trois. 10639 - Il faut savoir se remettre en cause pour un projet avec beaucoup d’interrogations sur l’existence, que d’autres on traduit avec leurs moyens. 106Il faut savoir se remettre en cause 
__ 106
pour un projet
__ 107
pleins d’interrogations sur l’existence
__ 107
 que d’autres ont traduit avec leurs moyens. 10740– Je peux rĂȘver que la volontĂ© serait de le faire, mais rien de moins Ă©vident en dehors du dĂ©bat. 107Je peux rĂȘver
__ 107
 que la volontĂ© serait de le faire
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 mais rien de moins Ă©vidant
__ 108
en dehors du dĂ©bat.. 10841 – Un dĂ©bat dans une sociĂ©tĂ© dominĂ©e par le libĂ©ralisme, oĂč le mot libertĂ© est un arbre qui cache la forĂȘt, une forĂȘt oĂč nous pouvons nous perdre. 109Un dĂ©bat dans une sociĂ©tĂ© dominĂ©e par le libĂ©ralisme... 109
 oĂč le mot libertĂ© est l’arbre qui cache la forĂȘt
__ 110
 une forĂȘt oĂč nous pouvons nous perdre. 11042 – A rĂ©pĂ©ter un leitmotiv on l’accepte, car soumis au mĂȘme discourt nous n’entendons que lui, malgrĂ© mes railleries. 111A rĂ©pĂ©ter un leitmotiv on l’accepte
__ 111
car soumis au mĂȘme discourt nous n’entendons que lui
__ 112
malgrĂ© mes railleries. 11243 – Un libĂ©ralisme productiviste auquel nous participons souvent sans discernement qui modifie l’organisation du travail et pĂšse sur notre personnalisation construction de la personne. 113Un libĂ©ralisme productiviste
__ 113
auquel nous participons
__ 113
 souvent sans discernement
__ 113
 qui modifie l’organisation du travail
__ 114
et pĂšse sur notre personnalisation
__ 11444 – Le transfert d’émotions vers des objets et un fait social, mais sa marchandisation est autre chose, un marchĂ©, contre lequel nous avons un recours. 115Le transfert d’émotions vers des objets et un fait social mais sa marchandisation est autre chose 
__ 115
 un marchĂ© contre lequel nous avons un recours. 11545 – Il faut favoriser l’échange autre que celui qui nous est proposĂ© au quotidien. 116Il faut favoriser l’échange
__ 116
 autre que celui qui nous est proposĂ© par le quotidien. 11646 - Quels effets la frĂ©quentation des ECPA aura au sein de la famille. 117Quels effets la frĂ©quentation des ECPA aura au sein de la famille. 11747 - Certains s’en excluront de fait. 117Certains s’en excluront de fait. 117CHAPITRE, VIII. 119Quelles incidences sur l’appareil productif ?_ 11948 – Les symboles, tel l’or, qui repose sur deux constantes rĂ©unies dans un schĂ©ma abstrait collectif par ordonnance, mais avec des valeurs contestables par qu’elles sont relatives. 119Les symboles
__ 119
tel l’or
__ 119
 qui repose sur deux constantes
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reliĂ©es dans un schĂ©ma abstrait
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 collectif
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par ordonnancement
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mais avec des valeurs contestables
__ 121
parce qu’elles sont relatives. 12147 – La monnaie est une valeur fictive dont nous 123mesurons l’usage avec l’État comme statisticien, et les libĂ©raux comme joueur de pipeau qui incitent Ă  s’interroger. 123La monnaie une valeur fictive
__ 123
 dont nous mesurons l’usage
__ 123
 avec l’État comme statisticien
__ 124
 et les libĂ©raux des joueurs de pipeau, qui incitent Ă  s’interroger. 12450- L’appĂąt du gain reste-t-il l’adversaire de la dĂ©mocratie ?_ 127L’appĂąt du gain reste-t-il l’adversaire de la dĂ©mocratie ?_ 12751 - Y aurait-il une loi invisible du marchĂ© ?_ 129Y aurait-il une loi invisible du marchĂ© ?_ 12952- Papiers pour papiers monnaie. 130Papiers pour papiers. 13053 – Mais pour cela je l’ai dĂ©jĂ  Ă©crit il faut un capital confiance. 130Un capital confiance. 13054 – Y a-t-il des valeurs rĂ©elles » ou scientifiques et des valeurs relatives ? Dans un marchĂ© qui Ă  des limites, et un surcoĂ»t, oĂč le client achĂšte le tout, une valeur sociale, comme il achĂštera les ECPA_ 131Y a-t-il des valeurs rĂ©elles » ou scientifiques 
__ 131
et des valeurs relatives ?
__ 132
dans un marchĂ© qui a des limites
__ 133
et un surcoĂ»t 
__ 133
 oĂč le client achĂštera le tout, une valeur sociale
__ 133
comme il achĂštera les ECPA. 13455 - Le poids des mots et la dialectique qui enserre la pensĂ©e et la ghettoĂŻse » mais pour combien de temps. 135Le poids des mots
__ 135
et la dialectique
__ 139
qui enserre la pensĂ©e
__ 146
et la ghettoĂŻse » __ 147
pour combien de temps. 14956 – Mais il ne faut pas rejeter ce qui fonctionne dans une organisation de papiers. 151Mais il ne faut pas rejeter ce qui fonctionne
__ 151
dans une organisation de papier. 15157 - Quel est donc ce marchĂ© de l’intelligence qui intĂ©resserait les capitalistes, et qui pourrait ĂȘtre estimĂ© Ă©conomiquement plus facilement que ses incidences idĂ©ologiques, structurelles, sans occulter le risque d’un effet boomerang. 152Quel est donc ce marchĂ© de l’intelligence qui intĂ©resserait les capitalistes ?
__ 152
 qui pourrait ĂȘtre estimĂ© Ă©conomiquement.. 153
plus facilement que ses incidences idĂ©ologiques
__ 153... 153
et structurelle
__ 154
 sans occulter les risques
__ 155
d’un effet boomerang. 15558 – Ce serait une nouvelle approche sociĂ©tale aux effets inĂ©vitables, comme il y en a eu dans d’autres circonstances, que nous avons toujours surmontĂ©es, mĂȘme en inversant un processus. 156Ce serait une nouvelle approche sociĂ©tale
__ 156
 aux effets inĂ©vitables.. 157
 et comme il y en a eu dans d’autres circonstances que nous avons toujours surmontĂ©es
__ 157
 mĂȘme en inversant un processus. 15859- Mais il faut maintenir un nouveau dĂ©sĂ©quilibre sous surveillance de l’ensemble des acteurs et de notre intelligence. Pour gĂ©rer l’abondance en tenant compte de ce qu’est notre monde 159Mais il faut maintenir un nouveau dĂ©sĂ©quilibre
__ 159
sous surveillance de l’ensemble des acteurs.. 160
et de notre intelligence. 160Pour gĂ©rer l’abondance
__ 161
en tenant compte de ce qu’est notre monde.. 162CHAPITRE, VIX. 163Quel financement ?_ 16360 – Celui que nous pouvons crĂ©er, un moyen non exclusif. 163Celui que nous pouvons crĂ©er
__ 163
 comme un moyen
__ 164
non exclusif. 16561 - L’argent comme but est une illusion dangereuse s’il se dogmatise Ă  l’excĂšs. 167L’argent comme but est une illusion
__ 167
 dangereuse
__ 168
s’il se dogmatise
__ 168
à l’excĂšs. 16862 – Il y a un homme Ă  abattre, l’ignorant que nous portons pour nous gouverner. 170Il y a un homme Ă  abattre
__ 170... l’ignorant que nous portons
__ 170
 pour nous gouverner. 17163 – Mais peut-il y avoir un dĂ©bat d’idĂ©e si nous laissons des mĂ©canismes systĂ©miques rĂ©flĂ©chir Ă  notre place ? 171Mais peut-il y avoir dĂ©bat d’idĂ©e
__ 171
si nous laissons des mĂ©canismes systĂ©miques rĂ©flĂ©chir Ă  notre place. 17264 – Nous nous laissons gouvernĂ© par une monnaie qui donne le pouvoir, Ă  qui se l’approprient et nĂ©vrose les autres. 173Nous nous laissons gouverne par une monnaie qui donne le pouvoir
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 Ă  qui se l’approprie
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et nĂ©vrose les autres. 17565- Je peux rĂȘver mais le rĂ©alisme s’impose. 181Je peux rĂȘver
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 mais le rĂ©alisme s’impose
__ 18266 – Cela nĂ©cessite de rechercher en quoi y a-t-il un individu unique qui ne soit pas un composant d’une structure collective ?_ 183En quoi y a t il un individu unique
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qui ne soit pas le composant d’une structure collective. 18567 – L’on doit dĂ©passer le connu, pour ouvrir des voies pour bifurquer. 187Pour dĂ©passer le connu
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et ouvrir des voies
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pour bifurquer. 18965 – Ceci dans un monde oĂč je n’ai rien dĂ©couvert qui ne l’eut Ă©tĂ© par d’autres. 190Dans un monde oĂč je n’ai rien dĂ©couvert
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qui ne l’eut Ă©tĂ© par d’autres
__ 19169– Mais il ne faut pas se tromper de cible pour essayer de vivre mieux, et ne pas rejeter tout du systĂšme libĂ©ral parce qu’il flatte l’individualisme qu’il a mis en Ă©vidence par cupiditĂ©. 194Mais, il ne faut pas se tromper de cible
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 pour essayer de vivre mieux
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 et ne pas rejeter tout du systĂšme libĂ©ral parce qu’il flatte l’individualisme » __ 197
 qu’il a mise en Ă©vidence par la cupiditĂ©. 19770 – Et nous prendrons sur nous d’expliquer le mystĂšre des choses, par ceux qui ne sont pas forcĂ©ment les plus aptes, mais ils nous ressemblent. 199Et nous prendrons sur nous d’expliquer le mystĂšre des choses
__ 199
par ceux qui ne sont pas forcĂ©ment les plus aptes mais qui nous ressemblent. 20371- Le capitalisme peut-il ĂȘtre un vecteur de l’évolution, et comment ?_ 205Le capitalisme peut-il ĂȘtre un vecteur de l’évolution
__ 205
 et comment ?_ 20672 - Pourtant le langage » commercial serait une chance inespĂ©rĂ©e, une fois dĂ©barrassĂ© de ses excĂšs, pour changer le monde. 207Pourtant le langage » commercial est une chance inespĂ©rĂ©e
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une fois dĂ©barrassĂ© de ses excĂšs
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pour changer le monde. 20873 – C’est pour cela je poursuis un but, qui est d’une certaine maniĂšre, d’arriver Ă  faire pondre Ă  une poule un Ɠuf de canard sans tuer la poule aux Ɠufs d’or. 209Pour cela je poursuis un but
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 qui est d’une certaine maniĂšre, d’arriver Ă  faire pondre Ă  une poule un Ɠuf de canard sans tuer la poule aux Ɠufs d’or. 20974 – Choisir une rĂ©fĂ©rence rassurante non convertible pour Ă©mettre de la monnaie, en utilisant une politique budgĂ©taire ou autre. 211Choisir une rĂ©fĂ©rence rassurante
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 non convertible pour Ă©mettre de la monnaie.. 212
 en utilisant une politique budgĂ©taire ou d’autres
__ 213CHAPITRE, X. 216Quels impacts sur la production de richesse ?_ 216CHAPITRE, XI. 219Quelles motivations incitatrices doivent ĂȘtre dĂ©veloppĂ©es ?_ 21975 – De l’homme ĂȘtre communicant, Ă  l’homme utopique, un mot que la connaissance a banalisĂ© pour qu’il vive debout. 219De l’homme ĂȘtre communicant
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à l’homme Utopique
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 un mot que la connaissance a banalisé __ 221
 pour vivre debout. 22376 – Il y a un axiome Ă  rĂ©viser pour un mode meilleur qui appartient Ă  la pensĂ©e. 223Il y a un axiome Ă  rĂ©viser
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pour un monde meilleur
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 qui appartient Ă  la pensĂ©e. 22577 – DĂ©couvrir le sens cachĂ© du vĂ©cu comme celui des mathĂ©matiques. 225DĂ©couvrir le sens cachĂ© du vĂ©cu
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 comme celui des mathĂ©matiques. 22675 – Il importe d’élargir son regard pour ne pas souffrir. 227Il importe d’élargir son regard.. 227
 pour ne pas en souffrir. 22779 – Notre avenir dĂ©pend de notre univers, et de la conquĂȘte de notre cerveau. 229- Notre avenir dĂ©pend de notre univers
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 et de la conquĂȘte de notre cerveau. 23280- Afin de dĂ©velopper un art de vivre pour nous survivre
_ 234CHAPITRE XII. 239Que doit-on craindre ?_ 23981- D’un effet d’agrĂ©gation. 23982– Des dĂ©viations idĂ©ologiques. 239CHAPITRE, XIII. 243QUE DOIT-ON ESPERER DES TECHNOLOGIES DE LA COMMUNICATION ?_ 24383– Un gain de temps, et une aide technologique Ă  nos choix, en conservant le droit d’ĂȘtre Ă©mu par la pacotille. 243Un gain de temps 
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 et une aide logistique 
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à nos choix_ 245
 en conservant le droit d’ĂȘtre Ă©mu par la pacotille. 245Quels rĂȘves pouvons-nous nourrir grĂące Ă  la gĂ©nĂ©tique ou la neurologie ?_ 24784 – Quels rĂȘves pour ĂȘtre en adĂ©quation avec une terre nourriciĂšre, mais serons nous plus intelligent pour autant ?_ 247Quels rĂȘves pour ĂȘtre en adĂ©quation avec une terre nourriciĂšre
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 serons-nous pour autant plus intelligent ?_ 248CHAPITRE, XV. 251Ne pas oublier l’essentiel. 25185 - Un grand absent dans cet essai. 25186 - Ne pas oublier l’essentiel. 25387 - Alors y a-t-il une solution ?_ 254Conclusion. 254Et Demain. 255DEMAIN_ 2550[1] Schrödinger Erwin, Vienne 1887/1961. Il a donnĂ© en 1926 une nouvelle formulation de la mĂ©canique quantique, en Ă©tablissant l’équation de propagation qui permet de calculer la fonction d’onde » d’une particule dans un champ donnĂ© une approche diffĂ©rente de celle d’Heisenberg. Elle a permis de prĂ©ciser la position des raies spectrales, d’expliquer l’effet Zeeman, l’effet Stark, la loi Dulong et Petit, l’existence du point curie, Celles des formes allotropiques de l’hydrogĂšne, l’émission d’ondes Ă©lectromagnĂ©tiques par l’hydrogĂšne interstellaire.[2]Si l’interfĂ©rence entre deux histoires est nulle, on dira d’elles qu’elles dĂ©cochĂšrent».Murray Gell-mann. Le Quark et le Jaguar. Éditeur Flammarion. 1997. Ă  175.[3] Note de l’auteur. Particules imaginĂ©es par les physiciens pour expliquer la masse manquante. L’autre Ă©tant composĂ©e par des neutrinos Ă  entre 0,1% et 18% de la masse de l’univers.[4] Note de l’auteur, l’usage des ondes ont fait l’objet d’étude au travers de leur usage d’armes militaires Ă  partir des annĂ©es 60, dans notre usage au quotidien nous les trouvons du radar antivol de 0,1 watt au micro-ondes de 1500 watt au gros Ă©metteur hertzien existant de 3200 milliards de watt. Certains effets des ondes de basses et trĂšs basses frĂ©quences de rayonnement non ionisant peuvent modifier le processus physico-chimique qui rĂ©git le mĂ©tabolisme endocrinien. DiffĂ©rentes Ă©tudes ont mis en Ă©vidence des atteintes biologiques insidieuses au niveau du cerveau, des yeux, de la thyroĂŻde, du cƓur, des testicules.Dans la recherche d’un nouveau traitement de l’épilepsie, Michael Persinger Ă©tudie l’effet sur le cerveau de champs Ă©lectromagnĂ©tique, engendrĂ©s par de petites bobines disposĂ©es sur les cĂŽtĂ©s d’un casque. Un domaine presque vierge ou bien peu de neurologues se sont aventurĂ©s jusqu’ici, et avec lequel Michael Persinger voit une ouverture sur un nouveau type de traitement de l’épilepsie. Pour sa thĂšse il a fait subir Ă  des souris nouveau-nĂ©es des champs magnĂ©tiques en rotation. Il constate des modifications de la sĂ©crĂ©tion de mĂ©latonine, une hormone impliquĂ©e dans la rĂ©gulation des rythmes biologiques et des Ă©motions. D’autres chercheurs reproduisent ses expĂ©riences et confirment. » Science et vie. N° 932. Mai 1995. P 82.[5] Note de l’auteur, il est d’usage d’appeler le monde sensible celui que nous voyons de part nos sens oĂč avec les outils qui les supplĂ©ent par rapport au monde objectif » celui qui est, et que nous ne connaissons pas.[6] Le seigneur Dieu prit de la poussiĂšre du sol et façonna un ĂȘtre humain. Puis il insuffla dans les narines le souffle de vie, et cet homme devint un ĂȘtre vivant. GenĂšse 2/7.[7] NĂ©ologisme de l’auteur, CulturalisĂ© = dĂ©pendant de la culture. Ainsi en faisant un verbe du mot culturel, je lui accorde la capacitĂ© d’action, d’agir que nous lui reconnaissons sous les termes d’interaction, de rĂ©troaction.[8] Processus actif d’adaptation.[9] Trait stable et permanent que l’on trouve chez tous les individus, mais Ă  divers degrĂ©s.[10] Anne AMIEL. 50 grandes citations philosophiques expliquĂ©es. Éditeur Marabout. 1990.[11] En effet, une particule en elle-mĂȘme n’existe que par les effets qu’elle engendre, cet ensemble d’effets les scientifiques les appellent des champs », ces champs sont, le champ Ă©lectromagnĂ©tique, le champ de gravitation, le champ protonique, le champ Ă©lectronique. Note de l’auteur.[12] Une perception sans qualification.[13] Note de l’auteur. Il existe une apprĂ©ciation contradictoire sur la psychanalyse qu’il faut connaĂźtre. Ceux qui pensent que c’est une science, mais elle doit se passer de l’expĂ©rimentation, et les scientifiques qui considĂšrent que les postulats de la psychanalyse ne se prĂȘtant pas Ă  la vĂ©rification, ne sont pas scientifiques, puisque irrĂ©futables ».[14] Michio KAKU. VISIONS. Éditeur Albin Michel. 1999. P 466.[15] Note de l’auteur. Tout au long de cet ouvrage je vais utiliser le terme collectiviste ou celui de collectivisme, dans une forme plus large que celle du Petit Larousse, qui rapporte la signification politique d’une forme d’économie fondĂ©e sur la mise en commun des moyens de production, et leur appropriation par le prolĂ©tariat. Le sens que j’accorde Ă  ces deux termes est pour indiquer toutes les situations ou nous mettons notre activitĂ© en commun quelle qu’en soit les formes, car au travers de la notion de moyens de production, je sous-entends toute la valeur innovatrice et productrice du collectif, de la communautĂ©, du groupe, du clan, de la famille et de l’individu en leur sein, et pour souligner un Ă©tat de fait, oĂč l’Homme Seul n’existe pas, si ce n’est que comme anachronisme qui effacerait son espĂšce s’il se gĂ©nĂ©ralisait. Également parce que ces termes me conviennent pour indiquer que si nous regardons l’individu comme un systĂšme fermĂ© dans un univers en mouvement, il ne peut s’enrichir qu’en recevant de l’extĂ©rieur, des autres, par association consciente ou non, et il y a lĂ  donc une mise en commun puisque cela se fait rĂ©ciproquement. Et que nous avons tort d’avoir peur dogmatiquement de ce mot parce qu’il a une histoire meurtriĂšre, il y en a bien d’autres qui le sont autant sinon plus.[16]Note de l’auteur. Ensemble constituĂ© de la valeur de chacun des Ă©lĂ©ments qui, associĂ©s le constituent, et peuvent ĂȘtre examinĂ©s dans leur plus petit Ă©lĂ©ment, l’individu, l’individu collectiviste, et non pas l’individu Homme Seul, l’individu construit dans son ensemble, et non l’individu sĂ©parĂ© de son univers et de l’Univers.[17]Note de l’auteur. Par structure interactive, je veux indiquer par-lĂ , que nous rĂ©agissons Ă  un processus qui nous fait vivre, en quelque sorte un processus qui ne nous appartient pas, parce que nous en sommes les acteurs inter agissants avec lui, mais que notre intelligence peut comprendre, qui n’est pas un point d’équilibre entre des opposĂ©s, l’approche duale, mais un mouvement complĂ©mentaire attractif de rĂ©gulation. MĂȘme si nous pouvons considĂ©rer que l’homme sujet unique, est seul, parce que nous naissons seul, et mourrons veux souligner par-lĂ , que ni la position sociale, ni l’argent, ni le pĂšre, ni la mĂšre, ni dieu, ne nous aiderons Ă  franchir l’instant de ces passages. Par contre notre moi » de l’instant de la naissance Ă  celui de la mort, mĂȘme si nous le portons seul, sera fait avec et dans la vie des autres. Pour glisser au-delĂ  et tenir compte de ceux qui pensent que le souvenir de l’existence d’un ĂȘtre, peut se conserver dans l’énergie qui retourne Ă  l’univers et recompose ce qui naĂźt. Dans ce cas, Ă  notre moi avec et dans la vie des autres, s’ajouterait celui de fragments ou de la totalitĂ© de l’histoire de notre passĂ©, suivant une Ă©chelle de probabilitĂ© infinie.[18] Note de l’auteur. Succinctement la conscience de soi n’est pas le propre de l’espĂšce humaine, mĂȘme s’il y a controverse sur sa source, soit par la neurobiologie ou par la phĂ©nomĂ©nologie, sa vocation nest pas d’exister par elle-mĂȘme, mais pour concourir Ă  un Ă©vĂ©nement plus global, soit par une capacitĂ© autonome des cellules d’évoluer, soit parce que l’évĂ©nement global inter agit sur les cellules, ou les deux.[19] Note de l’auteur. Actuellement certains chercheurs considĂšrent la mĂ©canique quantique comme des donnĂ©es d’informations pouvant ĂȘtre quantifiĂ©es, expliquant ses paradoxes. Ceci Ă  la suite des diverses interprĂ©tations qui ont Ă©tĂ© donnĂ© par des physiciens de renom, tel Niels Bohr, David Bohn, Hugh Everett.[20] L’auteur Robert Shapiro entend par sourire » la facultĂ© des cellules monomĂšres Ă  s’associer avec d’autres cellules identiques ou diffĂ©rentes. MonomĂšre cellule de base pouvant former des liaisons.[21] Note de l’auteur. Cette difficultĂ© a Ă©tĂ© en partie levĂ©e par le physicien ValĂ©ry Nesvizhevsky qui a apportĂ© la preuve que la gravitation est quantique. Naturellement cela ne changera pas notre maniĂšre de voir tomber une pomme, mais ouvre la connaissance Ă  celle du dĂ©placement des tous petits corps milliardiĂšmes. Science et vie. Mai 2002. Pp 72 Ă  81.[22] Note de l’auteur. Il n’est pas connu d’espĂšce pour laquelle nous aurions Ă©tĂ© le gibier type.[23] Pour le moment, notre comprĂ©hension du cerveau est pour le moins empirique » ; Les scientifiques ne connaissent qu’au niveau structurel la nature des parties du cerveau impliquĂ© dans telle ou telle fonction gĂ©nĂ©rale. » Michio Kaku. Visions. Éditeur Albin Michel. 1999. P. 164. Ceci en attendant que les moyens de vision microscopique qui ne cessent de se perfectionner leurs permettent d’aller dans l’infiniment plus petit.[24] Une morale est toujours l’Ɠuvre d’un groupe et ne peut fonctionner que si le groupe la protĂšge de son autoritĂ©. Il n’y a pas de fait qui soit moral en soi, le fait moral est le signe extĂ©rieur objectif et est fourni par la contrainte. Durkheim. Pour Kant, la morale se dĂ©fini par l’obligation et le Steiner. La sociologie de Durkheim. Édition La dĂ©couverte. 1998. Ă  82.[25] En 1998 dans les pays de la communautĂ© europĂ©enne le taux de fĂ©conditĂ© se situe entre, pour le plus bas 1,15 pour l’Espagne et 1,94 le plus haut, en Irlande. GĂ©rard Mermet. Francoscopie. Éditeur Larousse. 2001. PP. 145 Ă  les pays en voie de dĂ©veloppement le taux est de 3,1 par femme, dans les rĂ©gions dĂ©veloppĂ©es AmĂ©rique du nord, Europe, Nouvelle- ZĂ©lande, Australie, japon il est de 1,57 alors que le taux de renouvellement se situe Ă  2,1. UNFPA, pĂ©riode 1995 Ă  2000[26] Note de l’auteur. Ne pas traduire mon propos par hĂ©donisme, car l’hĂ©donisme constitue un but Ă  l’égal de celui de rechercher un paradis. Quand j’utiliserai ce terme harmonisĂ©, il le sera toujours en ce sens.[27] ThĂ©odore Monod. RĂ©vĂ©rence Ă  la vie. Edition Bernard Grasset. 1999.[28] De 1500 Ă  1800, la marche vers le capitalisme, de 1800 Ă  1870, la montĂ©e du capitalisme industriel, et de 1870 Ă  nos jours le capitalisme industriel avec ses mutations, crises dont celle restĂ© dans les mĂ©moires 1920-1930, son grand bon en avant 1945-1978, et depuis vers un capitalisme impĂ©rialiste. BEAUD Michel, Histoire du Capitalisme, Ă©dition le seuil, 1990.[29] La deuxiĂšme loi de la thermodynamique nous dit simplement, toutes choses Ă©gales par ailleurs, qu’un systĂšme fermĂ© de base entropie considĂ©rablement ordonnĂ© tendra, au moins Ă  long terme, Ă  se diriger vers une plus haute entropie plus de dĂ©sordre. Puisqu’il y a une plus grande diversitĂ© d’occurrences du dĂ©sordre que de l’ordre, la tendance est d’aller vers le dĂ©sordre».Murray Gell-Mann. Le quartz et le jaguar. Édition flammarion. 1997.[30] L’étude moderne du chaos dĂ©buta dans les annĂ©es soixante, avec la prise de conscience progressive du fait que des Ă©quations mathĂ©matiques Ă©lĂ©mentaires pouvaient simuler des systĂšmes aussi violents qu’une chute d’eau. Des diffĂ©rences infimes Ă  l’entrĂ©e pouvaient entraĂźner rapidement des diffĂ©rences considĂ©rables Ă  la sortie – on a baptisĂ© cela la dĂ©pendance sensitive aux conditions initiales». En mĂ©tĂ©o ce phĂ©nomĂšne correspond Ă  ce que l’on appelle, en ne plaisantant qu’à moitiĂ©, L’effet papillon » le battement d’aile d’un papillon, aujourd’hui Ă  PĂ©kin, engendre dans l’air des remous qui peuvent se transformer en tempĂȘte le mois prochain Ă  New York. GLEICK. La ThĂ©orie du Chaos. Éditeur Champ Flammarion. 1991. P 24. L’effet papillon. Ibid. Pp 29 Ă  51.[31] Physicien thĂ©oricien qui c'est intĂ©ressĂ© aux mathĂ©matiques appliquĂ©es, puis aux problĂšmes abstraits de la stabilitĂ© et de la complexitĂ©, glisse Ă  l’explication mathĂ©matique de la coexistence entre espĂšces concurrentes, puis se consacre aux problĂšmes Ă©cologiques trĂšs Ă©lĂ©mentaires de l’évolution des populations isolĂ©es, avant de devenir doyens de la rechercher Ă  l’universitĂ© de Princeton.[32]Tout irait mieux dans ce monde disait May, si l’on donnait Ă  chaque Ă©tudiant dĂ©butant une calculatrice de poche, et si on l’encourageait Ă  jouer avec l’équation logistique. Ce calcul qui l’expose dans l’article de Nature qui est considĂ©rĂ© comme son article messianique paru dans Nature en 1976 aiderait Ă  se dĂ©faire des prĂ©jugĂ©s acquis, lors d’études scientifiques standard, sur les possibilitĂ©s de la nature. Cela transformerait les conceptions des gens sur bien des sujets, depuis la thĂ©orie des cycles Ă©conomiques jusqu'Ă  la propagation des rumeurs. Il faut enseigner le Chaos, affirmait-il. Il Ă©tait temps de reconnaĂźtre que la formation scientifique standard faussait les jugements. Quelle que soit la perfection atteinte par la mathĂ©matique linĂ©aire, avec ses transformĂ©es de Fourier, ses fonctions orthogonales, ses techniques de rĂ©gression, elle abusait inĂ©vitablement les scientifiques sur leur monde terriblement non linĂ©aire. » L’intuition mathĂ©matique que l’on dĂ©veloppe prĂ©pare mal l’étudiant Ă  affronter le comportement Ă©trange prĂ©sentĂ© par le plus simple des systĂšmes discrets non linĂ©aires. » Tout irait pour le mieux, non seulement en recherche mais aussi dans le monde quotidien de la politique et de l’économie, si d’avantages de gens prenaient conscience du fait que les systĂšmes non linĂ©aires Ă©lĂ©mentaires ne possĂšdent pas des propriĂ©tĂ©s dynamiques simples. » Gleick. La ThĂ©orie du Chaos. Edition Flammarion. 1991. P 110.[33] Note de l’auteur. Je fais allusion aux mensonges quotidiens que nous faisons aux autres et Ă  nous mĂȘme, soit pour nous protĂ©ger ou Ă©liminer les sources de conflit, dont nous faisons l’apprentissage dĂšs l’enfance en fonction des diffĂ©rentes cultures lors de l’analyse des Ă©vĂ©nements.[34] Note de l’auteur. Je n’ai pas trouvĂ© la source de cette citation attribuĂ©e Ă  bergson.[35] Note de l’auteur. Je fais volontairement une extension de l’usage traditionnel de ce mot, en l’ayant prĂ©fĂ©rĂ© au terme d’hĂ©gĂ©monie, non pour crĂ©er une confusion, mais parce que, au travers de leurs jugements de valeur les hommes ont toujours recherchĂ© d’une maniĂšre plus ou moins indicible de ne vouloir retenir que les caractĂšres qu’ils reconnaissaient ĂȘtre ceux correspondants au fait majoritaire reconnu. Or jusqu’à prĂ©sent c’est l’accĂšs Ă  la technologie qui les en a empĂȘchĂ©, ceux qui s’y sont livrĂ©es, ont utilisĂ© des moyens barbares ou subtil dans le domaine de l’extermination en utilisant des termes aussi anodin que dĂ©veloppement de la culture ou de la pensĂ©e Ă  la recherche de l’homme parfait. La dĂ©couverte du gĂ©nome nous ouvre la porte de toutes les espĂ©rances et de toutes les craintes, et nous n’échapperons pas Ă  la redĂ©finition de certains termes, et Ă  la crĂ©ation de nouveaux, pour ĂȘtre le plus prĂ©cis afin de ne pas utiliser le multiple sens de certains pour nous tromper, dans ce que nous appelons l’évolution, et dont nous connaissons si peu. Et pour aller jusqu’au bout de ma pensĂ©e, lorsque par culture commerciale nous vendons des images de top modĂšle type, et que par chirurgie aujourd’hui certains les copient pour supprimer leurs caractĂšres spĂ©cifiques innĂ©s, la limite est subtile. Pour un cas individuel nous pouvons encore parler de soin d’un mal ĂȘtre d’une personne dans sa peau, de dopage dans le cas de sportifs, mais dans le cas d’un phĂ©nomĂšne de masse, si la gĂ©nĂ©tique vulgarise cette possibilitĂ© de changer ses caractĂšres, si la gĂ©nĂ©tique favorise cet effet de mode, Ă  partir de quel nombre entrerons-nous dans l’eugĂ©nisme.[36][36] Note de l’auteur. En prĂ©cisant ce que j’entends par agressivitĂ© naturelle, je ne veux pas Ă©luder les diffĂ©rentes Ă©tudes sur les fondements de l’agressivitĂ© et l’expression de la violence. Deux approches existent. Une qui dĂ©finit que la violence humaine dĂ©coule de l’agressivitĂ© animale qui a servi notre espĂšce pour se dĂ©fendre contre ses prĂ©dateurs, et dont la violence s’expliquerait par un fort stimulus environnemental pĂ©nĂ©trant dans les circuits Ă©motionnels, dont leurs intensitĂ©s Ă©chappent au contrĂŽle du cortex frontal qui est le contrĂŽleur de nos Ă©motions, et qui ne peut lui interdire le passage. Le stimulus va dans le thalamus pour un circuit qui le conduit vers le systĂšme limbique, les noyaux striĂ©s, le lobe temporal, l’amygdale et le mĂ©sencĂ©phale. Puis ayant fini son circuit il revient au thalamus siĂšge du cerveau reptilien pour un nouveau circuit jusqu’à ce que le stimulus Ă©puise son Ă©nergie Ă©motionnelle ou qu’un autre stimulus vienne le supplanter. L’autre approche est l’étude biochimique ou au cours du dĂ©veloppement embryonnaire les hormones sexuelles androgĂšnes et ƓstrogĂšnes assurent une diffĂ©renciation de certaines structures hypothalamiques qui influenceront plus tard le comportement sexuel de l’adulte. On entre lĂ  dans le domaine de l’étude des neurotransmetteurs des substances neuromodulatrices et des hormones. Dans l’étude des comportements violents, il se trouve souvent mis en avant une insuffisance de taux de sĂ©rotonine, un neurotransmetteur dont l’action principale est d’attĂ©nuer la sensibilitĂ© de l’organisme aux stimulations de l’environnement, comme une insuffisance gĂ©nĂ©tique. Ces deux approches font l’objet de dĂ©bats qui sont loin d’ĂȘtre terminĂ©s. Une troisiĂšme approche qui se prĂ©cise est celle de l’action de la perturbation des champs magnĂ©tiques. L’activitĂ© Ă©lectrique du cerveau gĂ©nĂšre un champ magnĂ©tique qui peut ĂȘtre influencĂ©. Si chacune de ses approches a pu ĂȘtre dĂ©fini c’est qu’il existe forcĂ©ment un corrĂ©lat entre elle, ce que met en Ă©vidence l’ouvrage de Jean Delacour dans Conscience et Cerveau, paru aux Ă©ditions DeBoeck UniversitĂ© parut en 2001.[37] L’unitĂ© fondamentale du monde vivant n’est pas l’individu, mais la population tout entiĂšre dans l’infinie richesse de sa diversitĂ©. Jacques RuffiĂ©. TraitĂ© du vivant tome 2. Edition Flammarion. 1982.[38] Hawking. UNE BREVE HISTOIRE DU TEMPS. Éditeur Flammarion. 1989. Note de l’auteur. La persĂ©cution caractĂ©rise tout homme qui s’attache ou s’acharne Ă  ennuyer un autre avec persĂ©vĂ©rance, que ce soit de front par des taquineries, des moqueries, des vexations, ou bien de dos par des calomnies ou autres actions pouvant l’entraver dans sa carriĂšre, sa position sociale, ses amours, ses joies. Cette dĂ©finition ressort de celle de l’agressivitĂ© donnĂ©e par J. Laplanche et J-B. Pontalis en leur vocabulaire de la psychanalyse » Tendance ou ensemble de tendances qui s’actualisent dans des conduites rĂ©elles ou fantasmatiques, celles-ci visant Ă  nuire Ă  autrui, le dĂ©truire, le contraindre, l’humilier, etc.[40] Note de l’auteur. Information doit ĂȘtre prise dans un sens gĂ©nĂ©rique regroupant toutes les perceptions qui se dĂ©cryptent directement par les sens, celles produites par l’innĂ©, et celles qui nous environnent comme produit de l’univers.[41] DiffĂ©rentes formes d’inconscient peuvent ĂȘtre dĂ©finies, selon le niveau de fonctionnement considĂ©rĂ©, de mĂȘme que diffĂ©rentes transitions entre conscient et inconscient
 . La conscience n’est pas le sommet de l’esprit ni, probablement, sa forme la plus complexe
. Cette capacitĂ© a une valeur fonctionnelle Ă©levĂ©e pour un organisme vivant et existe trĂšs probablement, sous des formes variĂ©es, chez d’autres espĂšces animales.[42] Le cerveau humain Ă  des lobes frontaux considĂ©rablement dĂ©veloppĂ©s en comparaison de ceux de nos proches parents les grands singes, et les neurobiologistes ont identifiĂ© dans ces lobes des aires qui semblent associĂ©es avec la conscience de soi et l’intention, censĂ©es particuliĂšrement bien dĂ©veloppĂ©es chez l’homme. Conjointement avec les fils multiples des processus parallĂšles de la pensĂ©e humaine, la conscience ou l’attention semble renvoyer Ă  un processus sĂ©quentiel, une sorte de projecteur qui pourrai ĂȘtre dirigĂ© d’une idĂ©e ou d’une donnĂ©e sensorielle Ă  une autre en une rapide succession. Lorsque nous croyons ĂȘtre attentifs Ă  de nombreuses choses diffĂ©rentes simultanĂ©ment, peut ĂȘtre que nous employons en fait le projecteur en temps partagĂ©, le faisant tourner pour balayer les divers objets de notre attention. Les fils des processus parallĂšles diffĂšrent par leur accessibilitĂ© Ă  la conscience, et certaines couches du comportement humain sont enfouies dans des couches de pensĂ©es qu’il est difficile d’amener jusqu’à la conscience rĂ©flexive. Nous dirons nĂ©anmoins que l’énonciation et d’autres actions sont dans une trĂšs large mesure sous contrĂŽle conscient, et affirmer cela, c’est aussi bien admettre le projecteur de la conscience que la ferme croyance que nous disposons d’un certain libre arbitre, que nous pouvons choisir entre des Ă©ventualitĂ©s. PossibilitĂ© de choix dont l’importance est illustrĂ©e dans l’exemple de la route que je n’ai pas prise.» Quels phĂ©nomĂšnes objectifs sont Ă  l’origine de cette impression de libre arbitre ? Dire d’une dĂ©cision qu’elle a Ă©tĂ© prise librement signifie qu’elle n’est pas strictement dĂ©terminĂ©e par ce qui la prĂ©cĂ©dĂ©e. Quelle est la source de cette apparente indĂ©termination ? Une explication serait tentante, sa connexion avec les indĂ©terminations de la mĂ©canique fondamentales de la mĂ©canique quantique, vraisemblablement amplifiĂ©es par les phĂ©nomĂšnes classiques comme celui du chaos». Murray GELL-MAN. Le quartz et le jaguar, Ă©diteur Flammarion. 1997. aux techniques d’imagerie cĂ©rĂ©brale, il est aujourd’hui possible de dĂ©terminer les configurations d’activitĂ© cĂ©rĂ©brale associĂ©e Ă  toutes sortes de reprĂ©sentation conscientes, mĂȘme de celle dont l’objet est abstrait ou imaginaire
 La perception n’a pas pour seul contenu des donnĂ©es sensorielles particuliĂšres ; elle se rĂ©fĂšre Ă  des objets comme rĂ©alitĂ©s relativement stables et identifiables Ă  travers des apparences variĂ©es ; C’est en tant que telle que la perception est intentionnelle », constitue un exemple privilĂ©gie de l’intentionnalitĂ© » des reprĂ©sentations Delacour 1999 b. Ce sont les corrĂ©lat e cette propriĂ©tĂ© qui concernent spĂ©cifiquement la neurobiologie ; nous ne traiterons donc pas des premiĂšres Ă©tapes des rĂ©ception sensorielles tels que la transduction », c’est Ă  dire la traduction de la rĂ©alitĂ© physique du stimulus en rĂ©alitĂ© biologique par les cellules rĂ©ceptrices. La perception intĂšgre des processus situĂ©s Ă  tous les niveaux d’organisation mais dans l’état actuel des connaissances, les corrĂ©lats de l’intentionnalitĂ© perceptive ne sont suffisamment connus qu’au niveau cĂ©rĂ©bral. Jean Delacour. Conscience et cerveau. Édition DeBoeck UniversitĂ©. 2001. p 204.[43] J’entends par altruisme restreint, la facultĂ© de secourir sans rĂ©flexion un proche par instinct filial.[44] L’agressivitĂ© est utile pour dĂ©fendre un individu contre d’autres espĂšces qui peuvent le menacer. Elle permet aux carnivores de se nourrir, aux herbivores de se dĂ©fendre. Elle est nuisible Ă  l’intĂ©rieur d’une mĂȘme espĂšce, car elle diminue ses chances de prospĂ©rer et met en cause son polymorphisme. Contrairement Ă  la lutte interspĂ©cifique souvent mortelle, la lutte intraspĂ©cifique qui Ă©tablit une hiĂ©rarchie permet une socialisation
. Mais presque jamais au meurtre. L’homme possĂšde» le triste privilĂšge de pouvoir tuer ses semblables Ă  tout bout de champ, sans le moindre frein biologique. Jacques RuffiĂ©. TRATE DU VIVANT tome 2. Édition flammarion. 1982. Pp 270 Ă  de l’auteur. Pour tant quand nous observons morphologiquement un individu il ne dispose daucun attribut pouvant lui permettre d’en tuer un autre. A main nue nous sommes incapables de tuer une tierce personne ; acceptĂ© si nous avons appris un art pour cela ou que nous utilisions un objet Ă  cette fin ; mais lĂ  nous sommes dĂ©jĂ  dans l’appris, dans le culturel, dans l’expression perfectionnĂ©e d’aptitude agressive innĂ©e.[45] Note de l’auteur. Pour illustrer ces diffĂ©rentes apprĂ©ciations de valeurs quantitatives et qualitatives de l’image du monde j’ai choisi deux exemples diamĂ©tralement opposĂ©s. Les rĂ©cits des voyages du capitaine Hearne rapportent que chez les Indiens du Nord-Ouest du Canada, ce qui est aujourd’hui l’Alberta, la tribu Athabasca n’a de cesse de s’entre-tuer avec celle des indiens "CĂŽtes de chien". Cette guerre est leur joie, leur gloire, de part et d’autre. Un tel comportement nous le jugeons primitif » comme pour le rejeter dans les comportements naturels archaĂŻques de l’Humain, sans ĂȘtre capable de discerner que ce que nous rejetons comme primitif, nous l’acceptons aujourd’hui recomposĂ© faisant toujours la gloire et la joie de certains de part et d’ l’autre cĂŽtĂ© du pacifique dans l’üle corĂ©enne de Chen Yu subsiste une originalitĂ© traditionnelle ; c’est la femme qui assure l’activitĂ© Ă©conomique, elles assurent la totalitĂ© du travail de la communautĂ© ; naturellement leur physique reflĂšte l’énergie du travail accompli. Par contre les hommes Ă©lĂ©gants mĂšne une vie consacrĂ©e aux satisfactions intellectuelles, ils sont cultivĂ©s polis et sont des compagnons recherchĂ©s ; il est dit deux l’homme de Chen Yu est un aristocrate, il n’en demeure pas moins que c’est l’homme qui dirige la communautĂ©. La violence meurtriĂšre, comme cet exemple de communautĂ© le montre, n’est pas inĂ©luctable. Pour caricaturer l’une Ă  choisi l’expression de la virilitĂ© physique, l’autre celle de l’intelligence du psychique. Les deux exemples citĂ©s sont extraits de l’Histoire des mƓurs II vol 2. Édition Gallimard. 1991. Pp 957, 958, par Solange Petit Skinner l’üle de Chen Yu; Pp 979, 980, par Pierre Quillet tribus indiennes.[46] Note de l’auteur. L’histoire psychanalytique de l’enfance Ă  conduit Ă  se demander quels types d’adultes les pratiques anciennes d’éducation pouvaient façonner ; car il ressort des Ă©tudes des historiens David Hunt et Lloyd de Mausse et de l’étude du journal de l’enfance de Louis XIII, qu’autrefois les enfants Ă©taient considĂ©rĂ©s comme de petits animaux voraces et dangereux pour l’adulte, et qu’ils recevaient de la part de leurs Ă©ducateurs et parents une Ă©ducation contraignante et dure, d’oĂč semblait bannie toute dimension d’amour ou de jeu. La prise en compte de l’enfance ne remonte qu’au milieu du XVIII siĂšcle.[47]Note de l’auteur L’instinct naturel, une notion imprĂ©cise Ă  la mesure de nos connaissances sur le fonctionnement cĂ©rĂ©bral. Je songe Ă©galement au-delĂ  Ă  la construction atomique de toute matiĂšre vivante. On prĂ©fĂšre rejeter dans la nature, tout ce qui ne se conforme pas Ă  la norme sous laquelle on vit ». Claude LĂ©vi-Strauss. Race et histoire. Éditeur Gonthier. Paris 1968. P. 20.[48] J’entends par ce terme la possibilitĂ© que des pratiques culturelles liĂ©es Ă  des Ă©vĂ©nements puissent s’inscrire hĂ©rĂ©ditairement et concourir Ă  l’évolution de l’espĂšce. Si la remarque est osĂ©e et s’oppose au point de vue de Rostand pensĂ©e d’un biologiste que le biologique ignore le culturel » ou Bergson Évolution crĂ©atrice, le simple fait que nous conseillons au femme enceinte de ne pas fumer durant la grossesse, explique clairement que le culturel fumer peut affecter le biologique. Ce que nous ignorons aujourd’hui, c’est comment il passe dans l’hĂ©rĂ©ditaire, peut ĂȘtre seulement parce que nous n’avons que pas de trace de ce passage et pas assez de recul de temps pour apprĂ©cier des Ă©volutions. Des Ă©volutions qui se font sur des dizaines, des centaines, voir des milliers de milliers d’annĂ©es. Naturellement ce ne seront pas toutes nos pratiques culturelles dans le dĂ©tail mais dans leur globalitĂ©. Exemple notre activitĂ© culturelle a dĂ©veloppĂ© une industrie polluante qui affecte mĂȘme ceux qui ne l’ont pas produite et qui en subiront les consĂ©quences s’il doit y en avoir. Mais il faut ĂȘtre convaincu d’une chose, c’est que rien n’existe qui ne puisse avoir une incidence sur l’évolution, sinon cela n’aurait aucune raison d’exister, et tĂŽt ou tard nos pratiques culturelles auront une incidence sur notre Ă©volution. Car dans l’univers rien n’est du hasard sinon notre insuffisance Ă  en comprendre tous les mĂ©canismes, et nous n’allons pas faire du hasard un Dieu, ni de notre imagination quelque chose qui ne serait pas naturel. Enfin si le systĂšme des valeurs, des rĂšgles sociales, des conduites apprises varient dans chaque groupe, elles rĂ©vĂšlent toutes la mĂȘme structure de dĂ©veloppement car il n’y a, Ă  aujourd’hui, pas de gĂšne de prĂ©destination pour cela et chacun en fonction de son apprentissage peut ĂȘtre l’autre, sauf Ă  en trouver une dans les protĂ©ines ou dans ces flux d’énergies qui nous ont créé et qu’illustre la notion de karma chez les moines rapport Ă  l’innĂ© primitif acculturĂ©, il s’agit pour moi d’indiquer que notre innĂ© a bĂ©nĂ©ficiĂ© de l’expĂ©rience du vĂ©cu de ses ou son prĂ©dĂ©cesseur dans l’évolution.[49] Note de l’auteur. Imaginons que l’ordre sous-jacent nous l’appelions O, la perception de l’ordre de l’ensemble de l’univers englobant l’espĂšce humaine, le chaos, sera C, l’activitĂ© qui Ă©tablie son ordre Humain, sera oH. Ainsi, si j’observe l’univers, soit l’ensemble Ă  un moment N, soit le lundi, je peux Ă©crire que C = O oH N ; C, Ă©gale O facteur oH facteur de N. Si Le mardi nous avons changĂ© nos comportements, C Ă©gal Ă  celui du lundi n’existe plus, il a pris la valeur de l’ordre du mardi, car un de ces Ă©lĂ©ments Ă  Ă©tĂ© modifiĂ©, en espĂšces oH qui est devenu diffĂ©rent de lundi, parce que N, qui est le temps c’est Ă©coulĂ©. Ainsi le mardi, j’écrirai C = O oH’N’ , donc ma formule sera diffĂ©rente du lundi, et de la sorte C le chaos, produit du mardi, sera diffĂ©rent de celui du lundi. De cette maniĂšre C sera devenu C’, etc. Ă  l’infini, et il ne sera jamais possible de retrouver l’égalitĂ© C =O oH N.[50] La loi s’énonce Tn = Tc + To – Tc g-n. Ainsi, chaque grande date de mutation Tn oĂč figure le rang de l’évĂ©nement, c’est Ă  dire sa position par rapport aux autres Ă©vĂ©nements dĂ©pend du temps critique Tc de la sĂ©rie Ă©volutive considĂ©rĂ©e, de la valeur de To la date de temps zĂ©ro et un terme g, qui n’est autre que le rapport de longueur d’une branche Ă  ses sous branches. G peut ĂȘtre identifiĂ© au nombre de sous branches K que porte chaque branche Ă  la puissance 1/D oĂč D est une dimension fractale caractĂ©risant les bifurcations g = K puissance 1/D. L’arbre Ă©tant auto similaire par hypothĂšse, on suppose que g ne varie pas pour chaque sĂ©rie Ă©volutive. Et de fait, on trouve une constante pour les primates g = 1,73 + /- 0,01, pour les sauropodes g = 1,33 ou pour les Ă©quidĂ©s g = 1,3 / - 0,03. EurĂȘka. Septembre 1999 n° Ă  50[51] Note de l’auteur, je veux dire par-lĂ  qu’il me paraĂźt naturel que les hommes dĂšs les premiers temps, et mĂȘme aujourd’hui, se tournent vers les cieux pour connaĂźtre leur origine, de la mĂȘme maniĂšre qu’un enfant est attirĂ© vers sa mĂšre, vers celle qui l’a mise au monde.[52] Note de l’auteur. La pensĂ©e TaoĂŻste l’exprime dans la rĂ©ponse d’un sage Kouang-tch’eng-tseu rĂ©pondant au dĂ©sir de l’empereur Jaune de connaĂźtre le principe parfait pour assurer le bien ĂȘtre de tous. Il rĂ©pondit Ce sur quoi vous voulez m’interroger, est la substance mĂȘme du chaos ; ce que vous voulez rĂ©gler est la diversitĂ© des choses. Si vous gouverniez le monde suivant votre propre dĂ©sir
 la lumiĂšre du soleil et de la lune serait vite Ă©teinte. Ainsi aujourd’hui nous avons presque les moyens de faire l’un ou l’autre.[53] James York analysa mathĂ©matiquement l’effet entraĂźnait par la modification d’un paramĂštre d’un ensemble et en conclu que le chaos Ă©tait omniprĂ©sent stable et structurĂ©. Il dĂ©montra que tout systĂšme Ă  une dimension dans lequel apparaĂźt un cycle rĂ©gulier de pĂ©riode trois prĂ©sente Ă  la fois dans des cycles rĂ©guliers de durĂ©es quelconques et d’autres totalement chaotiques. James Cleick. La thĂ©orie du chaos. Éditeur Champ flammarion. 1991. Pp 104 et 105.[54] Doctrine selon lequel rien d’autre n’existe que la matiĂšre et dont la pensĂ©e et tous les phĂ©nomĂšnes spirituels en relĂšvent.[55] Doctrine qui considĂšre l’esprit comme une rĂ©alitĂ© irrĂ©ductible au corps, Ă  la matiĂšre et qui lui est supĂ©rieure.[56] Procaryotes micro-organisme unicellulaire considĂ©rĂ© par les palĂ©ontologues, comme Ă©lĂ©ment de l’apparition de la vie », parmi les diverses thĂ©ories qui divisent les scientifiques. Note de l’auteur inspirĂ© de la lecture de, SHAPIRO Robert, L’ORIGINE DE LA VIE, Ă©diteur Flammarion, 1994.[57] Note de l’auteur. Social parce que le repas revĂȘt une forme de ritualisation, biologique parce que se nourrir nĂ©cessite une hygiĂšne alimentaire et que les sens gustatifs et olfactifs fixent nos choix alimentaires, et que l’homme Ă  une aversion naturelle Ă  toutes nouveautĂ©s, et que le marchĂ© est un espace de sociabilitĂ© et le repas de convivialitĂ©.[58] Jean-Claude Lugas. La SystĂ©mique Sociale. Éditeur presse universitaire de France. 1993.[59] Note de l’auteur. La sĂ©lection naturelle est l’aptitude d’une espĂšce de s’adapter Ă  son environnement, tel nous le Cro-Magnon que nous sommes, alors que nos ancĂȘtres ont disparu. Sauf que nous ne savons pas comment cela a pu se dĂ©rouler, et qu’il nous faille admettre en l’absence de cataclysme, un long processus de transformation graduel d’enfantement. Or l’image culturelle de la sĂ©lection naturelle vĂ©hiculĂ©e est celle d’une mĂ©moire collective qui vient d’un passĂ© rĂ©cent de plus de quatre mille ans correspondant Ă  l’ñge du bronze oĂč l’homme invente la guerre et s’entre-tue. Ainsi, c’est cette capacitĂ© culturelle que nous avons Ă©liminĂ©e comme asociale ou que nous tentons d’éliminer. Rien ne prouve qu’avant cette pĂ©riode de plus de quatre mille ans, l’homme s’entre-tuait en dehors de certaines pratiques consĂ©quentes de l’anthropophagie, car les premiers charniers mis Ă  jour remontent Ă  l’ñge des mĂ©taux, et aucun art pariĂ©tal ne reproduit de quelconque guerre, alors que la conscience de la mort ritualisĂ©e est situĂ©e autour de 100 000 ans. C’est pour cela que j’ai utilisĂ© la notion de sĂ©lection primitive culturelle».[60] Note de l’auteur. L’individualisme peut se prĂ©senter aussi sous une forme associative comme il s’est pratiquĂ© dans le communisme. Ce qui rejoint les deux aspects qui paressent sĂ©parĂ©s profondĂ©ment, c’est que tous les deux demandent aux hommes de partager une Ă©chelle de valeur unique pour des ĂȘtres qui sont semblables et diffĂ©renciĂ©s, et c’est cette forme lĂ  qui nous est difficile de structurer, car elle ne peut ĂȘtre que changeante puisqu’elle paraĂźt ĂȘtre l’essence mĂȘme du monde objectif que nous ne saisissons pas sans devoir l’arrĂȘter dans des structures normatives erronĂ©es.[61] Nous pouvons l’observer dans la beurification » du langage des jeunes issus de l’immigration. Ceci ne serait pas problĂ©matique si elle n’engendrait pas une rĂ©gression de la quantitĂ© et de la qualitĂ© du langage. Dans le sens ou l’expression et la comprĂ©hension de notre condition humaine se complexifie nĂ©cessitant toujours plus de prĂ©cision, de maniĂšre que si le langage qui Ă©merge de cette acculturation s’atrophie et ne formule pas suffisamment clairement le ressenti exprimĂ©, alors c’est l’attitude comportementale qui prend le relaie ; une des raisons qui conduisent Ă  des actes violents. Il est nul besoin d’ĂȘtre savant pour comprendre que la rĂ©gression sociale engendre de dociles apeurĂ©s violents entre-eux ou en groupe, n’ayant aucune conscience politique, et reprĂ©sentant de fait des proies faciles Ă  l’endoctrinement. Ce qui n’est pas le cas de sociĂ©tĂ©s indigĂšnes, qui tout en ne possĂ©dant pas autant de moyen que nous technique ou intellectuel, disposent de rites d’intĂ©grations qui Ă©liminent les exclusions, alors que nous nous disposons de rituels d’auto exploitation ; ce qui n’est pas la mĂȘme chose. Mais rien n’est aussi tranchĂ© car entre en jeu un paramĂštre spatial et de concentration de population.[62] Six 6 millions de personnes dans le monde disposent une fortune d’au moins 1100 millions d’Euro 7 millions de francs. Les trois fortunes les plus riches, dispose ensemble d’une richesse Ă©gale au produit national brut cumulĂ© des pays les moins avancĂ©s, qui regroupent 600 millions d’habitants. Francoscopie 20001.[63] Daniel Boorstin. Les DĂ©couvreurs. Éditeur Robert Laffont. 1990. P. 16.[64] La Bible. GenĂšse 8, 9.[65] Malthus premiĂšre Ă©dition de l’essai sur le principe des populations, passage supprimĂ© dans les Ă©ditions ultĂ©rieures.[66] Malthus, essaie sur le principe de la population, Ă©diteur Gonthier, Biraben, Population et sociĂ©tĂ©, n° 113, mai 1978, INED.[68] Je veux signifier par-lĂ  que faute de tout connaĂźtre, tout apprendre, nous sommes vouĂ©s Ă  ĂȘtre ignorant de ce que nous ne voulons pas apprendre par choix ».[69] Je fais une extrapolation de ce qu’il est connu des forces confinant les quartzs qui composent les neutrons et les protons, les gluons. TirĂ© de, Murray Gell-mann. Le quartz et le jaguar, PP. 206 Ă  208.[70] Je vous invite Ă  lire pour cela l’ouvrage de Michel Bounias, Le Guide Des Toxicitudes, Ă©dition Robert Laffont, 1992.[71] Note de l’auteur. Il ne s’agit pas de nier par-lĂ  les risques rĂ©els dus Ă  l’utilisation d’une technologie dans laquelle il y aura forcĂ©ment des incertitudes gĂ©nĂ©ratrices d’évĂ©nements. Je songe particuliĂšrement aux risques dus Ă  nos constructions mystiques, ou Ă  nos superstitions. Je vais prendre un exemple qui n’a qu’une valeur indicative. Notre approche duale du bien et du mal nous a fait concevoir un dieu bon, et certains ont renvoyĂ© l’image du mal, Ă  un Satan ou un diable. Si avec le temps nous n’avons pas donnĂ© un visage Ă  dieu par interdiction biblique, nous avons personnalisĂ© le diable, nous lui avons donnĂ© un aspect prĂ©cis, et le danger est lĂ . C’est que demain avec l’usage de la technologie sur la gĂ©nĂ©tique nous serons en mesure de le concevoir. Ainsi un personnage, qui est issus de nos fantasmes, risque de prendre corps si nous confions cette puissance crĂ©atrice Ă  des mystiques. Ainsi demain pour palier Ă  une telle Ă©ventualitĂ© nous crĂ©erons un interdit de plus, alors qu’il eut fallu expliquer par l’appris que le diable n’existait pas en dehors de l’expression de notre violence.[72] Boorstin, Daniel, Les dĂ©couvreurs, traduction française, Ă©diteur Seghers, Paris, 19886, livre 1, Le Temps.[72][73] Personnes au chĂŽmage cherchant effectivement un emploie Ă  plein temps ou Ă  temps partiel ou ayant trouvĂ© un emploi qui commence ultĂ©rieurement.[74] Note de l’auteur, chaque fois qu’un Etre se trouve en situation de rĂ©flexe de survie, c’est le cerveau primitif qui intervient sans contrĂŽle du cerveau cognitif. Ensuite les scientifiques estiment que l’évolution de notre boĂźte crĂąnienne a entraĂźnĂ©, une naissance prĂ©maturĂ©e qui expliquerait qu’un enfant, contrairement Ă  l’exemple des autres mammifĂšres, ne survivrait pas sans aide prolongĂ©, et que sa construction se prolonge en dehors de la protection utĂ©rine.[75]La thĂ©orie de la RelativitĂ© s’est dĂ©barrassĂ©e du temps absolu. ConsidĂ©rons une paire de jumeaux. Supposons qu’un vit au sommet d’une montagne pendant que l’autre reste au niveau de la mer. Le premier jumeau devrait vieillir plus vite que le second. Donc, lorsqu’ils se rencontreront de nouveau, l’un devra ĂȘtre plus vieux que l’autre. Dans leur cas, la diffĂ©rence d’ñge serait minime, mais elle serait plus grande pour l’un des jumeaux s’il partait pour un long voyage dans un vaisseau spatial Ă  la vitesse de la lumiĂšre. A son retour, le voyageur devrait ĂȘtre beaucoup plus jeune que son frĂšre restĂ© sur terre. C’est ce que l’on appelle le paradoxe des jumeaux », mais ce n’est un paradoxe que pour qui conserve une idĂ©e de temps absolu derriĂšre la tĂȘte. En RelativitĂ©, il n’y a pas de temps absolu unique, chaque individu a sa propre mesure personnelle du temps qui dĂ©pend du lieu oĂč il est et de la maniĂšre dont il se dĂ©place. L’espace et le temps sont maintenant des quantitĂ©s dynamiques quand un corps se meut ou quand une force agit, elle affecte la courbure de l’espace et du temps, en retour, la structure de l’espace temps affecte la façon dont les corps se meuvent et dont les forces agissent. L’espace et le temps n’affectent pas seulement tout ce qui arrive dans l’univers, ils en sont aussi affectĂ©s. »RelativitĂ© GĂ©nĂ©rale Elle explique, la force de gravitĂ© en termes de courbure d’espace temps quadridimensionnel suivant la thĂ©orie d’Einstein basĂ©e sur l’idĂ©e que les lois de la science devraient ĂȘtre les mĂȘmes pour tous les observateurs, quel que soit leur RelativitĂ© restreinte ThĂ©orie d’Einstein basĂ©e sur l’idĂ©e que les lois de la science devraient ĂȘtre les mĂȘmes pour tous les observateurs se dĂ©plaçant librement, qu’elle que soit leur vitesse. Hawking, Stephen, Une brĂšve histoire du temps, Éditeur, Flammarion, France, 1989, Ă  55.[76] Note de l’auteur. Il est admis que la migration de l’homme recouvrant la planĂšte, la conduit Ă  occuper des territoires autres que ceux correspondant Ă  son biotope originel, comme dans les pays nordiques, oĂč l’alternance journaliĂšre jour nuit n’existe pas, il n’en conserve pas moins un rythme circadien, grĂące Ă  la hiĂ©rarchie des synchronisateurs. Les Ă©tudes du français Michel Siffre l’ont dĂ©montrĂ©. Ainsi une alternance de rythme de travail jour nuit ne permet pas un ajustement de notre horloge biologique.[77] Les Mayas sont apparus dĂ©s le IV iĂšme siĂšcle av. C. en AmĂ©rique centrale, et ont disparu dans la premiĂšre moitiĂ© XVI siĂšcle du fait des conquĂȘtes espagnoles. Des OlmĂšques toujours en AmĂ©rique centrale il a Ă©tĂ© trouvĂ© des traces d’écriture datant de 2000 ans av. La culture diffusĂ©e en partie par l’école et la famille, l’est de plus en plus par les mĂ©dias. En effet le prestige de l’école a diminuĂ© en mĂȘme temps, que les modes de vie et les systĂšmes de valeurs Ă©loignaient les Français des institutions et du modĂšle rĂ©publicain ». L’église qui contribuait traditionnellement Ă  l’éducation, notamment morale, a aussi perdu de son influence. Quant Ă  la famille, son rĂŽle Ă©ducatif s’est trouvĂ© amoindri par la prĂ©gnance d’un modĂšle libertaire, favorable Ă  l’autonomie de chacun, mais aussi par l’incapacitĂ© croissante des parents Ă  expliquer le monde Ă  leurs enfants et Ă  leur fournir des points de repĂšres. Dans ce contexte, le poids des mĂ©dias dans la diffusion de la culture gĂ©nĂ©rale c’est accru. L’information est devenue la matiĂšre premiĂšre de la vie individuelle et sociale. Tous les mĂ©dias n’ont pas profitĂ© Ă©galement de cette Ă©volution. La lecture des quotidiens et celle des livres ont diminuĂ© au profit de la tĂ©lĂ©vision, des jeux vidĂ©o et de l’ordinateur multimĂ©dia. L’équipement des français en audiovisuel a connu une progression spectaculaire depuis 1970. On a pu assister Ă  la diffusion progressive d’une culture de l’écran » qui complĂšte et parfois s’oppose Ă  celle de l’écrit. Francoscopie 2001[79]J’entends les facultĂ©s et les maniĂšres de connaĂźtre, de comprendre et de se reprĂ©senter ce que l’on acquiert par l’étude ou la pratique de bases informatives ou plus de diverses disciplines[80] Notes de l’auteur. Dans la religion MĂ©sopotamienne au cotĂ© des prĂȘtres qui assuraient le culte, il y avait les spĂ©cialistes chargĂ©s d’assurer l’avenir, en chassant le mal et l’impur. Ils avaient pour leur usage des textes divinatoires ou magiques, qui devinrent avec le temps des traitĂ©s d’astrologie interprĂ©tant les signes du temps et du cosmos. Mais si tout le monde pouvait en donner une interprĂ©tation, l’exĂ©gĂšte et le savant en la matiĂšre offraient une sorte de sĂ©curitĂ© de la prĂ©diction. Dans le domaine de l’interprĂ©tation se sont dĂ©veloppĂ©s bien des techniques dont certaines subsistent, comme l’oniromancie l’interprĂ©tation des rĂȘves, et fait l’objet dĂ©tude scientifique, tant le rĂȘve est partie intĂ©grante de notre Moi. Sinon on y trouvait l’hĂ©patoscopie observation du foie, l’extipicine interprĂ©tation des viscĂšres, observation du vol des oiseaux pour les prĂ©dictions etc. marquant ainsi leur souci de connaĂźtre l’avenir et de se rassurer. De cette relation Ă©troite de l’homme avec le divin ou du spĂ©cialiste prophĂ©tisant l’avenir nous est parvenu deux religions prophĂ©tisĂ©es et messianiques sous l’égide desquelles nous vivons toujours, le judĂ©o-christianisme, mĂȘme s’il s’est hellĂ©nisĂ© et romanisĂ©, et l’islamisme.[81] NĂ©ologisme de l’auteur, marchandisage = souci immĂ©diat de songer Ă  tirer un intĂ©rĂȘt lucratif de toute chose.[82] Utilisation des cryotempĂ©ratures, moins 120° Kelvin.[83] La diversitĂ© de la vie sur Terre reprĂ©sente une information distillĂ©e au cours de quatre milliards d’annĂ©es d’évolution biologique, et sur la relation analogue qu’entretient la diversitĂ© culturelle humaine d’Homo sapiens sapiens. Je soutiens que la diversitĂ© biologique et la diversitĂ© culturelle mĂ©ritent toutes deux de grands efforts afin d’ĂȘtre prĂ©servĂ©es »  Mais il n’est pas rĂ©ellement possible de considĂ©rer ces questions isolĂ©ment. Le rĂ©seau de relation qui lie l’humanitĂ© Ă  elle-mĂȘme comme le reste de la biosphĂšre est aujourd’hui si complexe que tous les aspects s’affectent les uns les autres Ă  un point extraordinaire. C’est une Ă©tude du systĂšme tout entier qu’il faut rĂ©aliser, aussi sommaire doive-t-elle ĂȘtre, parce qu’aucune mise bout Ă  bout d’études partielles d’un systĂšme adaptatif complexe non linĂ©aire ne peut donner idĂ©e du comportement du tout. Certains efforts dĂ©butent pour mener une telle Ă©tude sommaire des problĂšmes mondiaux, intĂ©grant tous les aspects pertinents, qu’ils soient aussi bien environnementaux, dĂ©mographiques et Ă©conomiques, que sociaux, politiques, militaire et idĂ©ologiques. La vocation de l’étude n’est pas de se rĂ©duire Ă  une simple spĂ©culation sur le futur, mais de tenter d’identifier, parmi les multiples sentiers possibles pour l’avenir de l'espĂšce humaine et le reste de la biosphĂšre, quels sont ceux qui avec une probabilitĂ© raisonnable pourraient mener Ă  une plus grande durabilitĂ©. DurabilitĂ© est ici entendu au sens large pour inclure non seulement l’évitement d’une catastrophe environnementale, mais d’une guerre dĂ©sastreuse, d’un despotisme gĂ©nĂ©ralisĂ© Ă  long terme et d’autres flĂ©aux de cet acabit tout au tant. Le lecteur trouvera dans cet ouvrage un nombre d’allusions au Santa Fe Institue, que j’ai contribuĂ© Ă  fonder
 ». Murray Gel-Mann. Le quartz et le jaguar. Édition Flammarion.[84]Convaincu de devoir crĂ©er sa propre mythologie, Mandelbrot ajouta cette phrase Ă  son entrĂ©e dans le Who’s Who La science irait Ă  sa perte si comme le sport elle plaçait la compĂ©tition au-dessus de tout, et si elle clarifiait les rĂšgles de cette compĂ©tition en se confinant Ă  l’intĂ©rieur de spĂ©cialitĂ©s Ă©troitement dĂ©finies. Les rares savants qui ont choisi d’ĂȘtre nomades sont essentiels au bien ĂȘtre intellectuel des disciplines Ă©tablies » ? Ce nomade volontaire » qui se qualifiait de pionnier par nĂ©cessitĂ© », quitta l’institution acadĂ©mique en quittant la France et en acceptant le refuge que lui offrait le Thomas J. Watson Research Center d’IBM. Gleick. La thĂ©orie sue le chaos. Éditeur Flammarion.[85] Mermet GĂ©rard, Francoscopie 2001, Ă©diteur 2000, p 293.[86] Trois systĂšmes de philosophie naturelle dominĂšrent le monde mĂ©diterranĂ©en Ă  l’ùre prĂ© chrĂ©tienne. Issus de la pensĂ©e fĂ©conde des Ioniens et des pythagoriciens, ils ont façonnĂ© l’histoire de la science et de la culture occidentale
 » Le systĂšme atomiste d’un espace infini parsemĂ© de mondes innombrables composĂ©s d’atomes apparut en premier, suivi par le systĂšme des sphĂšres cĂ©lestes d’Aristote, gĂ©omĂ©trique et harmonieux, suivi Ă  son tour par le systĂšme StoĂŻcien d’un cosmos Ă©toilĂ© entourĂ© d’un vide extra cosmique infini » Ces trois systĂšmes nous ont lĂ©guĂ© Ă©galement des notions d’ordre religieux, philosophique et Ă©thique ». Edwards Harrison. Le noir de la nuit. Édition du Seuil. 1990. P 27.[87] La spĂ©cificitĂ© des mathĂ©matiques. En premier lieu, il est vrai que les mathĂ©matiques ne sont pas une science, si l’on entend par science une discipline vouĂ©e Ă  la description de la nature et de ses lois. L’objet des mathĂ©matiques est plutĂŽt de prouver les consĂ©quences logiques d’ensembles donnĂ©s de suppositions. Il est par consĂ©quent possible de ne pas les inclure dans la liste des sciences et de les considĂ©rer comme un sujet intĂ©ressant en soi ainsi que comme un instrument des plus utile Ă  la science mathĂ©matiques pures et appliquĂ©es. Un autre regard sur les mathĂ©matiques consiste Ă  considĂ©rer que les mathĂ©matiques appliquĂ©es s’intĂ©ressent aux structures apparaissant en thĂ©ories scientifiques, tandis que les mathĂ©matiques pures couvrent non seulement ces structures mais Ă©galement toutes celles qui auraient pu ou qui pourraient un jour se prĂ©senter en science. Les mathĂ©matiques sont alors l’étude rigoureuse des mondes hypothĂ©tiques. De ce point de vu, elles sont une sorte de science – La science de ce qu’il aurait pu ĂȘtre, de ce qu’il pourrait ĂȘtre, aussi bien de ce qu’il est. Ainsi considĂ©rĂ©es les mathĂ©matiques ne sont-elles pas alors la plus fondamentale des sciences ? Murray Gell-mann. Le quartz et le jaguar. Edition Flammarion. Pp 129/130.[88] Le terminus de l’hominisation est en mĂȘme temps un commencement. L’homme qui s’accomplit en homo sapiens est une espĂšce juvĂ©nile et enfantine ; son cerveau gĂ©nial est dĂ©bile sans l’appareil culturel ; ses aptitudes ont besoin d’ĂȘtre nourries au biberon. Ce sur quoi s’achĂšve l’hominisation, c’est sur l’inachĂšvement dĂ©finitif, radical et crĂ©ateur de l’homme. Morin Edgar, Le paradigme perdu La nature humaine, Ă©diteur le seuil, 1973, et p. 139-140.[89] Je n’ai pas disposĂ© d’études dissociant la littĂ©rature dans les divers types de romans.[90] GĂ©rard Mermet. Francoscopie 2001. Éditeur Larousse. 2001. Pp 432 Ă  436[91] Note de l’auteur. L’expansion du modĂšle anglo-saxon s’effectue essentiellement au travers de la capacitĂ© cinĂ©matographique amĂ©ricaine et de l’utilisation de l’anglais comme langue commerciale.[92] Note de l’auteur. Par autonomisme » j’entends toute organisation dont la structure au nom de la diversitĂ© ou de la spĂ©cificitĂ© culturelle se veut centrer sur elle-mĂȘme, par une structure fermĂ©e ou tournĂ©e exclusivement vers son passĂ© gĂ©ohistorique » stagnant, sans apport extĂ©rieur exogĂšne.[93] Note de l’auteur. Par mondialisme j’entends toute organisation unique dont la structure ne pouvant plus rien recevoir de l’extĂ©rieur et pour cause, ne favoriserait pas le dĂ©veloppement de la diversitĂ© et la spĂ©cificitĂ© culturelle d’un passĂ© gĂ©ohistorique » dynamique, puis quelle ne peut espĂ©rer que des apports intĂ©rieurs endogĂšnes, pour se tourner vers le futur ».Ces deux dĂ©finitions, autonomisme et mondialisme » peuvent vous paraĂźtre incomprĂ©hensibles si vous n’aviez pas en tĂȘte le deuxiĂšme principe de la thermodynamique, que tout ce qui tend vers l’ordre » arrive Ă  un Ă©tat ultime d’équilibre, ou il ne se passe plus rien car il n’y a plus de mouvement. Nous sommes donc condamnĂ©s Ă  maintenir une certaine entropie, une diversitĂ© pour Ă©changer, partager et gĂ©rer notre monde, pour qu’il ne devienne pas une organisation fermĂ©e vouĂ©e Ă  mourir, sauf apport extĂ©rieur, ou faute dans recevoir y aller, ce qui ne signifie aucunement entretenir des conflits.[94] Par gĂ©ohistorique, nĂ©ologisme de l’auteur, j’entends le rapport, la relation entre les donnĂ©s gĂ©ographiques des territoires et l’histoire culturelle des hommes qu’elle a façonnĂ©s, ne pas confondre avec gĂ©opolitique.[95] La connaissance et les limites de la connaissance. Ce qui permet notre connaissance limite notre connaissance et ce qui limite notre connaissance permet la connaissance. La dĂ©couverte des limites de la connaissance est beaucoup plus qu’une dĂ©couverte des limites. Elle constitue un acquis capital pour la connaissance. Elle nous indique que la connaissance fait partie des possibilitĂ©s de la connaissance et elle accomplit cette possibilitĂ©. Elle dĂ©passe les limites de la connaissance bornĂ©e qui se croyait illimitĂ©e. Elle nous fait dĂ©tecter une rĂ©alitĂ© qui excĂšde nos possibilitĂ©s de connaissance, elle nous amĂšne Ă  Ă©difier un mĂ©ta point de vue, celui de la connaissance de la connaissance, d’oĂč l’esprit peut, comme d’un mirador, se considĂ©rer lui mĂȘme dans ses principes, rĂšgles, normes et possibilitĂ©s, tout en envisageant sa relation diabolique avec le monde extĂ©rieur. Nous nous rendons compte dĂ©sormais que l’inconscience des limites de la connaissance est bornĂ©e. L’idĂ©e que notre connaissance est bornĂ©e, a des consĂ©quences illimitĂ©es ». Morin Edgar, La MĂ©thode III, Ă©dition le Seuil, 1986, p. 222.[96] Dans une enquĂȘte sur l’emploi pour 1999, il ressort que le niveau d’instruction de la population mĂ©tropolitaine de 15 ans et plus est que, 25,2% de l’ensemble non aucun diplĂŽme ou le certificat d’étude ; 7,2% le BEPC ; 29,1% le CAP ou BEP ; 13,4% BAC ou BP ; 11,6 le BAC + 2 ; 11,1% un diplĂŽme supĂ©rieur ; 2,4% en cours d’études initiales. Alors qu’en 1982 60,2% de l’ensemble n’avaient aucun diplĂŽme ou le certificat d’étude et 48,6% en 1990. GĂ©rard Mermet. Francoscopie 2001. Éditeur Larousse. 2000. Pp 91 et 92.[97] Les grandes inĂ©galitĂ©s d’éducation sont induites par le milieu familial, et se perpĂ©tuent tout au long de la vie. Francoscopie 2001. GĂ©rard Mermet Pp 93 et 94.[98] Chaque annĂ©e 30% des salariĂ©s suivent une formation financĂ©e par l’employeur et 4% Ă  titre individuel. En 1998 parmi les diplĂŽmĂ©s 45% des cadres ont Ă©tĂ© concernĂ©s, 42% des professions intermĂ©diaires, 33% des emplois administratifs, 20% des employĂ©s du commerce et des services, 19% des salariĂ©s qualifiĂ©s, 9% des ouvriers non qualifiĂ©. Parmi les non diplĂŽmĂ©s, 11% des employĂ©s administratifs, 9% du commerce et services. Francoscopie, p 293.[99] GĂ©rard Bronner. L’incertitude. Éditeur presse universitaire de France. 1997.[100] Stephen Hawking. Une brĂšve histoire du temps. Édition Champs / Flammarion. 1989. pp 79 Ă  88.[101] Note de l’auteur. Les paradoxes de la mĂ©canique quantique ont toujours intriguĂ© les chercheurs, comment un Ă©lectron peut se trouver en mĂȘme temps Ă  Paris ou Londres. Une rĂ©ponse a Ă©tĂ© apportĂ©e, parce que l’un est l’image de l’autre et cette image est un paquet d’informations. Je n’ai pas de compĂ©tences pour juger cela c’est le travail des scientifiques, mais ce que j’ai indiquĂ© dans l’avertissement c’est que si notre cerveau est capable d’associer des informations pour concevoir un phĂ©nomĂšne d’ubiquitĂ© », c’est que cela doit exister quelque part sous une forme qui nous Ă©chappe, car notre cerveau n’invente rien qui ne puisse exister, car il associe des informations existantes dont nous extrayons notre crĂ©ativitĂ©.[102] Note de l’auteur. La probabilitĂ© de la survenance d’un dĂ©sir est la somme de tous les Ă©lĂ©ments qui concourent Ă  sa rĂ©alisation et celles qui concourent Ă  ses non rĂ©alisations, et cette somme, ne nous est jamais accessible dans sa totalitĂ©, et s’accroĂźt par la connaissance, pourtant la rĂ©alisation effective de ce dĂ©sir est la probabilitĂ© vĂ©ritable que nous rĂ©alisons au quotidien sans que cela nous parlant de l’état quantique de l’univers et de ses histoires possibles rapportĂ©es Ă  notre existence, Gell-mann disait concernant cette approche Notre quotidien fait que nous ne voyons rien de surprenant Ă  ce qu’il en aille ainsi, mais la maniĂšre dont cela se fait devrait piquer notre curiositĂ© ». Murray Gell-mann. Le quark et le Jaguar. Éditeur Flammarion. 1997. P. 170. PP. 162 Ă 174.[103] Terme empruntĂ© Ă  l’épistĂ©mologie gĂ©nĂ©tique de Piaget, l’équilibration est l’état dynamique qui n’est pas un Ă©quilibre mĂ©canique mais un rapport entre l’assimilation des situations extĂ©rieures nouvelles dans les structures existantes et la transformation de ces structures pour s’adapter Ă  des situations extĂ©rieures, un processus d’autorĂ©gulation.[104]Hawking, S, Une brĂšve histoire du temps, Ă©diteur, Flammarion, 1989, pp185 Ă  197[105] Gleick, James, La ThĂ©orie du Chaos, Ă©diteur Flammarion, 1991[106] MatĂ©rialiste, dans le sens de maniĂšre de vivre, Ă©tat d’esprit orientĂ© vers la recherche des satisfactions et des plaisirs matĂ©riels.[107] Erreurs dans l’identification de rĂ©gularitĂ©s Les systĂšmes adaptatifs complexes identifient des rĂ©gularitĂ©s dans des flux de donnĂ©es qu’ils reçoivent et compressent ces rĂ©gularitĂ©s en schĂ©ma. Dans la mesure oĂč il est aisĂ© de commettre deux types d’erreurs- prendre l’alĂ©atoire pour du rĂ©gulier et inversement- il est raisonnable de supposer que des systĂšmes adaptatifs complexes puissent tendre Ă  Ă©voluer vers une situation Ă  peu prĂšs en Ă©quilibre oĂč l’identification de certaines rĂ©gularitĂ©s s’accompagneraient des deux types d’ considĂ©rer les structures de la pensĂ©e humaine, nous pouvons identifier, grossiĂšrement, la superstition avec un type d’erreur et la dĂ©nĂ©gation avec l’autre. Les superstitions se caractĂ©risent par la perception de rĂ©gularitĂ©s lĂ  oĂč il n’y en a de fait aucune, et la dĂ©nĂ©gation revient Ă  rejeter la preuve de rĂ©gularitĂ©s manifestes, mĂȘme quand elles sautent aux yeux. Un tant soi peu d’introspection et d’observation des autres ĂȘtres humains, et chacun de nous pourra dĂ©celer qu’il y a une corrĂ©lation de ces deux erreurs avec la le premier cas, les gens sont effrayĂ©s par le caractĂšre imprĂ©dictible et particuliĂšrement non contrĂŽlable de la plupart de ce que nous voyons autour de nous. Une part de cette imprĂ©dictibilitĂ© a pour origine ultime les indĂ©terminations de la mĂ©canique quantique ainsi que les limitations supplĂ©mentaires qu’impose le chaos aux prĂ©dictions. A quoi s’ajoute une quantitĂ© considĂ©rable d’agraindissement avec l’imprĂ©dictibilitĂ© qui s’en suit provenant de l’étroitesse du spectre couvert par nos sens et nos instruments et de leurs capacitĂ©s limitĂ©es. Enfin nous sommes handicapĂ©s par les insuffisances de notre facultĂ© de comprendre et les limites de notre capacitĂ© de calcul. Le rĂ©sultat de tout cela, tant de choses sans rime ni raison, est notre effroi, et nous imposons au monde qui nous entoure, mĂȘme Ă  des faits alĂ©atoires et Ă  des phĂ©nomĂšnes accidentels, un ordre artificiel fondĂ© sur des relations de causes Ă  effets erronĂ©es. Ainsi nous nous rassurons avec illusion de prĂ©dictibilitĂ©, de maĂźtrise mĂȘme. Nous nous berçons de pouvoir manipuler le monde en faisant appel aux forces imaginaires que nous avons le cas de la dĂ©nĂ©gation, nous sommes bien capables de dĂ©celer de rĂ©elles structures mais elles nous effrayent tant, que nous nous voilons les yeux devant leur existence. La certitude de la mort est la rĂ©gularitĂ© la plus menaçante de nos vies. Et le nombre de croyances, dont certaines plus ancrĂ©es, ont pour fonction d’apaiser cette inquiĂ©tude face Ă  la mort. Un large partage de croyances spĂ©cifiques de ce genre au sein d’une culture amplifie d’autant leur impact sur l’individu. Mais ces croyances impliquent l’invention de rĂ©gularitĂ©s, de sorte qu’à la dĂ©nĂ©gation s’ajoute la superstition ». Si ce type d’analyse se justifie, nous pouvons alors conclure Ă  une tendance probable Ă  l’erreur dans les deux directions pour les systĂšmes adaptatifs complexes intelligents ». En terme plus anthropomorphiques, nous pouvons nous attendre Ă  ce que partout les systĂšmes adaptatifs complexes soient sujet Ă  un mĂ©lange de dĂ©nĂ©gation et de superstition » Gell-Mann, le quartz et le jaguar. Édition Flammarion. 1997. pp 305 Ă  322[108] La Bible, Ă©diteur SociĂ©tĂ© biblique française, 1982, genĂšse 3/19.[109] Doctrine qui ramĂšne la connaissance du particulier, de l’individuel Ă  celle de l’ensemble, du tout dans lequel il s’inscrit. Le petit Larousse.[110] La recherche. Le cerveau d’Einstein. 1999 DĂ©cembre n° 326. PP. 28/47.[111] J’entends par livre fermĂ© des Ă©crits auxquels on ne peut rien ajouter ni rien retrancher oĂč le mot exclu tout autres pensĂ©s que celle exprimĂ©e comme VĂ©ritĂ© absolue, tel le Coran, la bible etc.[112] Note de l’auteur. Au XII iĂšme siĂšcle son sens usuel signifiĂ© gĂ©nĂ©reux » empruntĂ© au latin LibĂ©ralis, au XIII iĂšme siĂšcle son sens est digne d’un homme libre. Le XVIII iĂšme siĂšcle ne connaĂźt pas l’adjectif libĂ©ral, considĂ©rĂ© employĂ© pour la premiĂšre fois le 19 brumaire par Bonaparte dans sa proclamation Français vous reconnaĂźtrez sans doute Ă  cette conduite, le zĂšle d’un soldat de la libertĂ©, d’un citoyen dĂ©vouĂ© Ă  la rĂ©publique.[113] Note de l’auteur. Aujourd’hui il nous serait possible de dresser une carte gĂ©ographie avec des frontiĂšres de marchĂ©s commerciaux dĂ©pendant de divers groupes financiers. Il nous apparaĂźtrait alors une stratification d’espace qui se recouvrent au-delĂ  des limites des États qui exige que les États abandonnent leurs prĂ©rogatives spĂ©cifiques qui apparaĂźt alors comme de l’auto rĂ©sistance pour satisfaire aux rĂšgles des groupes financiers. Avec un peu d’imagination nous pouvons spĂ©culer que s’opĂ©reraient des Ă©changes territoriaux d’influence mercantile, comme le faisaient avant les seigneurs et les rois par alliances ou mariages, qui dessinerait les frontiĂšres d’États financiers sous l’autoritĂ© d’un conseil d’administration ou autres, dont le prĂ©sident serait celui qui dĂ©tient la majoritĂ©. Est-ce illusoire ?[114] La sociĂ©tĂ© ne peut se dĂ©sintĂ©grer sans que, dans la mĂȘme mesure, l’individu ne soit dĂ©gagĂ© de la vie sociale, sans que ses fins propres ne deviennent prĂ©pondĂ©rantes sur les fins communes, sans que sa personnalitĂ© en un mot ne tende Ă  se mettre au-dessus de la personnalitĂ© collective. Plus les groupes auxquels il appartient sont affaiblis, moins il en dĂ©pend, plus par la suite, il ne relĂšve de lui-mĂȘme pour reconnaĂźtre d’autres rĂšgles de conduite que celles qui sont fondĂ©es dans ses intĂ©rĂȘts privĂ©s. Si donc on convient d’appeler Ă©goĂŻsme cet Ă©tat oĂč le moi individuel s’affirme avec excĂšs en face du moi social et au dĂ©pens de ce dernier, nous pourrons donner le nom d’égoĂŻsme au type particulier de suicide qui rĂ©sulte d’une individuation dĂ©mesurĂ©e » Philippe Steiner. La sociologie de Durkheim. Éditeur La dĂ©couverte. 1998. P. 51.[115] GĂ©rard Mermet. Francoscopie. Éditeur Larousse. 2001. PP. 427 Ă  433.[116] Cette prĂ©diction fut mise Ă  l’épreuve en 1962 
.» On trouva que l’horloge du pied d’une tour qui Ă©tait plus proche de la terre que celle au sommet, marchait plus lentement, en accord avec la RelativitĂ© GĂ©nĂ©rale » Hawkins. Une brĂšve histoire du temps. Éditeur Flammarion. 1989. P. 53.[117] Dans l’espĂšce humaine, les besoins ne sont satisfaits que grĂące Ă  une coopĂ©ration entre individu. Il n’existe pas d’individu isolĂ©, d’homme sauvage. L’économie est l’organisation commune qui permet la satisfaction des besoins. Dans les dĂ©bats entre anthropologues, cette conception de l’économie est gĂ©nĂ©ralement dĂ©signĂ©e comme subsistantiviste » histoire des mƓurs II vol 1, p 441. Note de l’auteur. Sur cette base l’on peut donc concevoir que l’économie dites libĂ©rale qui se symbolise par la loi du marchĂ©, n’est que l’aboutissement momentanĂ© d’un long processus d’une organisation substantiviste » qui veut s’ériger en vĂ©ritĂ© absolue des relations de l’homme et de l’économie qu’il a ordonnĂ©e, et sa justification par l’égocentrisme comme socle incontournable produit de l’innĂ©, n’est qu’un choix culturel dĂ©libĂ©rĂ©.[118] Alain Laurent. Les grands courants du LibĂ©ralisme. Éditeur Armand Colin. 1998. PP. 8/9.[119] Note de l’auteur. Je dis pseudo nĂ©olibĂ©ralisme, car malgrĂ© l’idĂ©ologie affichĂ©e d’une volontĂ© de pratiquer le nĂ©olibĂ©ralisme les États ont des politiques interventionnistes, ou des dĂ©ficits qui sont moins la caractĂ©ristique d’une Ă©conomie KeynĂ©sienne qu’une rĂ©ponse Ă  l’électoralisme.[120] EncyclopĂ©die des religions, la religion romaine traditionnelle, par Danielle Porte, Pp 189 – 207.[121] Note de l’auteur. Par prĂ©caution je prĂ©fĂšre dire qu’il n y a aucune malignitĂ© de ma part Ă  avoir juste apposĂ© ces deux exemples. J’ai choisi Jeanne d’Arc parce que une partie de son existence vĂ©hiculĂ©e est historiquement contestable indĂ©pendamment du parti qui utilise son symbole, et le partie communiste parce que nous savons historiquement que ses membres français ont vĂ©hiculĂ© des contre vĂ©ritĂ©s sur une union soviĂ©tique rose, certains sciemment, d’autres en ayant leur confiance abusĂ©e.[122] De plus certaines conceptions, peut-ĂȘtre pour faire la part du feu, tendent Ă  scinder la conscience en deux. D’une part, la conscience cognitive », caractĂ©risĂ©e par sa rĂ©fĂ©rence intentionnalitĂ© » Ă  des objets rĂ©els » ou abstraits, mettant en jeu des langages, des calculs, des formes de mĂ©moire et de prospection Ă  long terme, associĂ© Ă  des comportements orientĂ©s ; d’autre part, la conscience comme vĂ©cu, expĂ©rience suggestive caractĂ©risĂ©e de façon unique non par son objet mais par ses propriĂ©tĂ©s intrinsĂšques, sa qualitĂ© d’oĂč le nom de Qualia qui la dĂ©signe souvent. Jean Delacour. Conscience et cerveau. Édition DeBoeck UniversitĂ©. 2001. P. 7.[123] En archĂ©ologie la dĂ©couverte de tous les objets utilisĂ©s par les anciennes populations nous permettent d’imaginer leurs organisations et pratiques sociales.[124] Francoscopie 2001.[125] Le terme charge est utilisĂ© dans le plan comptable en classe 6 comptes de charges, aux comptes 63 et 64, impĂŽts, taxes, et salaires qui dĂ©duite de la classe 7 comptes de produits, ventes et produits forment le rĂ©sultat brut de l’entreprise. Note de l’auteur.[126] Le seuil de pauvretĂ© se dĂ©finit comme la moitiĂ© du revenu mĂ©dian, qui divise la population en deux moitiĂ©s, reliĂ© au revenu relatif par rapport Ă  l’ensemble de la population, majorĂ© d’une unitĂ© pour le premier adulte, 0,7et 0,5 par enfant. Francoscopie 2001.[127] Note de l’auteur. Je dis chasser pour me conformer Ă  l’image valorisant que nous voulons donner de notre espĂšce. Mais compte tenu de ce que nous connaissons de nos capacitĂ©s physiques, et de celle que nous pensons devoir ĂȘtre de nos ancĂȘtres, il y a peu de chance, que pour manger de la viande nous ayons dĂ» faire autre chose, que ce que font les charognards, avant de concevoir des outils, jets de pierres et armes de chasses ; une pratique que l’on retrouve dans l’interdit biblique de manger de la viande de cadavre d’animaux.[128] Note de l’auteur. Dans le Quarks et le jaguar, Murray Gell-Mann explique comment les quarks sont confinĂ©s par des forces diffĂ©rentes de celles familiĂšrement connues comme l’électromagnĂ©tisme, et d’expliquer que les quarks sont liĂ©s entre eux par une force venant de l’échange d’autres quanta, appelĂ©s gluons parce qu’ils engluent les quarks ensemble pour rendre observable les objets blancs comme le neutron et le proton. D’expliquer que dans la thĂ©orie de l’électrodynamique quantique les Ă©lectrons et les positrons interagissent par le biais de l’échange virtuel de photons, alors que dans la thĂ©orie de la chromodynamique quantique, les quarks et les antiquarks interagissent de maniĂšre analogue par le biais de l’échange virtuel de gluons. Il ne serait donc pas stupide de dire que l’univers est Ă©conomique puisqu’il y existe un perpĂ©tuel Ă©change, et il n’appartient qu’à notre observation d’y trouver un rapport coĂ»t-avantage. Il conviendrait donc de redĂ©finir notre monde sur cette base, nos relations affectives et sociales deviendraient Ă©conomiques, ce qui ne changerait rien Ă  leur qualitĂ©, mais trĂšs vite nous verrions apparaĂźtre une nouvelle dĂ©finition de notre activitĂ© productrice, pour que ceux qui justifient au travers d’elle l’exploitation d’autrui puissent le faire.[129] Note de l’auteur. L’analyse KeynĂ©sienne est le refus de faire confiance aux mĂ©canismes du seul marchĂ© pour rĂ©tablir spontanĂ©ment l’équilibre, et justifie l’intervention de l’État quand le climat Ă©conomique se dĂ©grade, par des politiques de relance de la consommation, de l’investissement, par une politique monĂ©taire et budgĂ©taire. L’analyse keynĂ©sienne montre la nĂ©cessitĂ© du rĂŽle de rĂ©gulation l’État, soit lorsque la conjoncture s’emballe inflation, soit, au contraire, en cas de rĂ©cession.[130] Note de l’auteur. Le collectivisme est une doctrine qui propose de mettre en commun les moyens de production, Ă  partir de l’analyse, que la production industrielle a un caractĂšre collectif qui se heurte au maintien de la propriĂ©tĂ© privĂ©. Il faut donc, pour dĂ©passer cet antagonisme que tous les citoyens soient proclamĂ©s copropriĂ©taire indivis. Alors la libertĂ© de chacun s’accordera Ă  la libertĂ© de tous. A l’époque de Marx le collectivisme dĂ©signe une forme de sociĂ©tĂ© fondĂ©e sur l’association, et qui se situe Ă  l’opposĂ© du communisme centralisateur des Marxistes, dont le mot repris en France dans un sens trĂšs diffĂ©rent, deviendra synonyme de communisme », alors que les collectivistes prĂŽnent un socialisme libertaire et fĂ©dĂ©rateur.[131] Note de l’auteur = connotĂ© pĂ©jorativement.[132] Par dĂ©finition une sociĂ©tĂ© industrielle ou commerciale est créé pour rĂ©aliser des profits ». Jean-claude George. Jouez et gagnez en BOURSE. Éditeur Jean-claude LattĂ©s. 1984 . P. 62.[133] Steiner Philippe. La sociologie de Durkheim. Édition la dĂ©couverte. 1998.[134]A-t-on trouvĂ© la loi sur l’évolution, EurĂȘka septembre 1999 n° 47.[135] NĂ©ologisme de l’auteur ghettoĂŻse = s’enfermer dans des ghettos, ghettoĂŻsation.[136] Qui est de l’ordre du concept, qui sous-tende une conceptualisation ».[137] J’entends, au-delĂ  de l’élaboration des matĂ©riaux nĂ©cessaire Ă  la vie collective et des contenus propres aux modes de participation sociale, par sociabilitĂ© la sublimation de l’échange sans fin, pratiques et centrĂ©e sur des personnalitĂ©s qui sont engagĂ©es dans de pures relations de rĂ©ciprocitĂ©. Georg Simmel sociologue et philosophe allemand 1858/1918 en disait la sociabilitĂ© est la forme ludique de la socialisation.[138] C’est que l’action est un titre de propriĂ©tĂ© avec tous les risques et avantages que cela comporte ». En vertu de ce titre de propriĂ©tĂ© l’actionnaire a des droits ». Jean-claude George. Jouez et gagnez en BOURSE. Éditeur Jean-claude LattĂšs. 1984. PP. 59/60.[139] Note de l’auteur. La loi Moore n’est pas une loi scientifique au sens des lois de Newton, mais une rĂšgle empirique selon laquelle Moore a Ă©noncĂ© pour la premiĂšre fois en 1965 que la puissance des ordinateurs double Ă  peu prĂ©s tous les dix-huit mois, et qui c’est vĂ©rifiĂ©.[140] NĂ©ologisme = toujours dans le sens de culturalisĂ©. Note 7 Note de l’auteur. DĂ©veloppement du phĂ©nomĂšne de conscience de la culture, avec les divers aspects, celui qui conduit Ă  l’acculturation, et l’aspect qui conduit aussi au nom de la culture Ă  dĂ©velopper des dogmes comme frein Ă  l’acculturation, ou Ă  l’évolution d’une culture, la dĂ©culturation.[141] Raisonnement par l’absurde.[142]L’intelligence. Pierre OLERON. Édition Presses Universitaire de France. 1974.[143] Source INSEE, compte de la nation.[144] Note de l’auteur. AimĂ© Jacquet Ă©tait entraĂźneur de l’équipe de France de football en 1998 quand elle a gagnĂ© la coupe du monde, il fut fort dĂ©criĂ© pour avoir privilĂ©giĂ© le groupe Ă  l’individualisme et Ă  l’élitisme mĂ©diatique.[145] Note de l’auteur, j’utilise le terme offre d’emploi des adultes, pour rĂ©habiliter une situation qui a acquis une image d’infĂ©rioritĂ©, sous le terme demandeur d’emploi, et qui conduit ceux qui ont Ă  offrir leurs services, et leurs compĂ©tences Ă  s’estimer dĂ©valoriser. Ce point de vue que je partage n’est pas le mien, mais justifie l’incidence du poids des mots.[146] Hubert Rives, J. de Rosnay, Y. Coppens, D. Simonnet. La plus belle histoire du monde. Éditeur France loisirs/ le Seuil. 1996.[147] La monnaie est l’instrument d’échange qui permet l’achat immĂ©diat de tous biens, services et titres, sans coĂ»ts de transaction ni de recherche et qui conserve sa valeur entre deux Ă©changes. C’est un phĂ©nomĂšne social car elle repose sur la confiance des agents dans le systĂšme qui le produit. Michelle Mourgues. La monnaie. Éditeur Economica. 1993.[148] Au milieu du XVII iĂšme siĂšcle les premiers billets de banque ne sont acceptĂ©s qu’en raison de la confiance qu’inspire l’institution qui les met en circulation et assure leur convertibilitĂ© en or Ă  tout moment. Aujourd’hui c’est la banque centrale qui Ă©met la monnaie lĂ©gale qui a un pouvoir libĂ©ratoire illimitĂ© sur le territoire national et confĂšre aux autres volumes de monnaies scripturales Ă©mises par les banques d’émissions, monnaies privĂ©es » la mĂȘme force libĂ©ratoire par le jeu de la clause de rachat. Michelle Mourgues. La monnaie. Éditeur Economica. 1993. P. 31, Intellectualisme = doctrine qui affirme la prééminence de l’intelligence sur les sentiments et la volontĂ© le petit Larousse.[150] Axiome = VĂ©ritĂ© non dĂ©montrable qui s’impose avec Ă©vidence. Le petit Larousse.[151] Note de l’auteur. Barbare signifiĂ© autrefois qui n’était pas du pays » notre notion actuelle d’étranger, et nullement la connotation de cruautĂ© qui s’attache au terme barbare aujourd’hui. La dislocation de l’empire romain chrĂ©tien fut lente, et malgrĂ© les Ă©pisodes tragiques comme le sac de Rome, les barbares s’établissaient comme chefs de leurs peuples dans l’empire romain Ă  titre de fĂ©dĂ©rĂ©s », et gĂ©nĂ©raux romains, chargĂ©s de dĂ©fendre l’empire contre d’autres barbares, tel les Huns. En bref, l’effondrement de l’empire romain ne procĂšde donc pas d’une brutale invasion comme nous en gardons l’image, ou de d’un empire vermoulu, mais d’une succession de crises de l’époque par l’intĂ©gration de nouvelles populations qui ont reconstruit son histoire et son Ă©glise jusqu’au morcellement identitaire qui a refaçonnĂ© historiquement celle qui est la nĂŽtre aujourd’hui.[152] Note de l’auteur. Dans toutes les sociĂ©tĂ©s l’amour paroxystique, qui est devenu en langage moderne la prostitution » faisait partie intĂ©grante, d’une harmonie sociĂ©tale, dont chaque civilisation a fait usage sous bien des formes, y compris dans les cultes religieux. Histoire des MƓurs II vol 2. Édition Folio histoire Gallimard. 1991. Pp. 906 Ă  926. Par Michel Maffesoli. Ne pas faire l’amalgame avec le proxĂ©nĂ©tisme qui est l’utilisation Ă©conomique de la prostitution.[153] Si l’homme a trouvĂ© Ă  la multiplication vĂ©gĂ©tative l’avantage de l’homogĂ©nĂ©itĂ© gĂ©nĂ©tique des populations clonales, il sait malgrĂ© les avantages de cette multiplication que les clones maintenus en culture s’affaiblissent plus ou moins vite et tendent Ă  disparaĂźtre les praticiens parlent de dĂ©gĂ©nĂ©rescence. Dans ce cas, des plantes vigoureuses ne pourront ĂȘtre obtenues qu’à partir de graines, Ă  la suite d’un processus sexuel. Aline Raynal- Roques. La botanique redĂ©couverte. Éditeur Belin INRA. 1995. PP. 297 et 298.[154] Que les auteurs de sciences fictions ne se mĂ©prennent pas sur l’usage que je fais de ce terme. Je n’ignore pas le caractĂšre crĂ©atif de leur travail qui a permis et nourri de prodigieuses rĂ©alisations Vinci, Verne pour les plus cĂ©lĂšbres. Non plus que leurs ouvrages soient lus comme source d’idĂ©es innovantes, comme ce fut le cas avec les ouvrages amĂ©ricains parlant de l’arme absolue avant mĂȘme que ne soit créée la premiĂšre bombe nuclĂ©aire.[155] Michelle Mourgues. La Monnaie. Éditeur Economica. 1993. P. 378.[156] Note de l’auteur. Le suicide Ă©goĂŻste et liĂ© Ă  tous les systĂšmes qui recommandent le repli sur soi, qui se font de surcroĂźt aider de forces militaires ou autres qui commandent le sacrifice de sa vie pour maintenir un systĂšme Ă©goĂŻste qui de toute maniĂšre conduit au suicide.[157] Note de l’auteur. Dans le Larousse son sens signifie sympathisant de l’idĂ©ologie socialiste, ce n’est pas ce sens que je veux lui accorder, mais celui de capacitĂ©s Ă  dĂ©velopper des relations socioĂ©conomique basĂ©es sur la capacitĂ© associative confiante.[158] La parano se constitue quand l’UN s’isole ou est isolĂ© des autres. Claude Olievenstein. L’Homme PARANO. Éditions Odile Jacob. FĂ©vrier 1992. p 16.[159]Note de l’auteur. Tout ce qui touche au cerveau est toujours l’objet de dĂ©bats comme je l’ai dĂ©jĂ  dit, les nĂ©vroses n’y Ă©chappent pas, sont-elles une consĂ©quence de acquis » ou dĂ©faut de l’innĂ©e gĂ©nĂ©tique » autant d’études corroborent l’une et l’autre. La biochimie s’intĂ©resse Ă  certains troubles du mĂ©tabolisme de la dopamine permettant la transmission de l’influx nerveux dans certaines parties du cerveau, pour comprendre la schizophrĂ©nie. La psychiatrie la dĂ©crit comme issus d’un cerveau discordant, bizarre, ambivalent des sentiments opposĂ©s, des logiques contradictoires s’y mĂȘlent, formant un tout incomprĂ©hensible, impĂ©nĂ©trable pour un observateur, qui a l’impression que le malade vie dans un autre monde.[160] Il est difficile, et mĂȘme dangereux, d’extrapoler Ă  une sociĂ©tĂ© tout entiĂšre une analyse de psychopathologie individuelle. Pourtant, Ă  l’évidence, hier comme aujourd’hui, des sociĂ©tĂ©s folles apparaissent, et crĂ©ent le chaos. Dans le meilleur des cas, elles disparaissent ; dans d’autres, elles perdurent dans une double complicitĂ© implicite ou explicite des peuples avec leurs dirigeants. Claude Olievenstein. Éditions Odile Jacob. 1992. p103.[161] Pour 62% des français, la principale cause de l’insĂ©curitĂ© est le chĂŽmage, devant la drogue 30%, la pauvretĂ© 29%, l’urbanisme et l’architecture des citĂ©s 20%, l’injustice sociale 18%, la perte des valeurs rĂ©publicaine 16%, la tĂ©lĂ©vision 12%. Paris-Match/BVA, janvier 1999. Les vols reprĂ©sentent Ă  eux seul 63% des dĂ©lits constatĂ©s. Francoscopie 2001. GĂ©rard Mermet. Pp 224 Ă 229.[162] Note de l’auteur. Cette composante tortionnaire de l’inconscient humain, a Ă©tĂ© confirmĂ©e par l’expĂ©rimentation psychologique par Milgram, 60% des 280 sujets soumis Ă  exercer une directive punitive conduisant Ă  la mort se sont exĂ©cutĂ©s, malgrĂ© les cris de douleur et de supplication simulĂ©s des victimes sans voir ces derniĂšres. Cela donne la mesure du pouvoir de l’autoritĂ© quelle qu’en soit sa forme, permet de comprendre la difficultĂ© Ă  bĂątir des dĂ©mocraties, et mĂȘme leur tendance Ă  devenir Ă©galement tortionnaire.[163] Le plus connu des cas est celui de deux anglaises qui, lors d’une promenade au Petit Trianon, furent brusquement transposĂ©es au siĂšcle de Marie-Antoinette... ». Celui universellement connu est la Dame blanche. Pierre Daco. Les voies Ă©tonnantes de la nouvelle psychologie. Éditeur Marabout. 1988. de l’auteur, cela ne repose sur aucune dĂ©monstration scientifique, mais nous savons aussi que nous ne pouvons tout attendre d’elle, et cela ne dĂ©montre pas un retour vers le passĂ©, mais une reconstitution d’images du passĂ© au prĂ©sent, quelles soient rĂ©elles ou imaginaires dans l’esprit de ceux qui les ont perçus.[164] Note de l’auteur. Suivant Piaget L’équilibration est l’état dynamique qui rĂ©unit l’assimilation et l’accommodation pour s’adapter Ă  des situations extĂ©rieures en autorĂ©gulation,[165] Note de l’auteur. La notion d’individualitĂ© ne se laisse dĂ©finir ni par les procĂ©dĂ©s Ă©tymologiques habituels aux philosophes, ni par une axiomatique rationnelle. Lorsque l’on s’y attache c’est pour trouver des diffĂ©rences, lui opposer d’autres notions. Dans le domaine biologique l’individu s’oppose Ă  la totalitĂ© et Ă  l’unitĂ© comme partie au tout ; dans le domaine psychologique, l’individu est l’autre face de l’universalitĂ© il reprĂ©sente ce qui diffĂ©rencie au lieu que l’universalitĂ© rassemble et assimile, indiffĂ©rencie ; enfin dans le domaine social, l’individu s’oppose Ă  la collectivitĂ©. L’individualitĂ© ne peut se dĂ©finir que par l’existence d’un tout, cette notion ne pourrait exister seule, bien que nous percevions notre existence unique.[166] Albert Jacquard. La lĂ©gende de la vie. Éditeur Flammarion. 1994.[167] Un tir de photons un Ă  un ayant la mĂȘme origine la mĂȘme vitesse la mĂȘme direction vers une fente devraient se trouver sur l’écran derriĂšre la fente au mĂȘme endroit, or il est constatĂ© qu’ils occupent tous, une place diffĂ©rente et recomposent l’image de la fente, comme s’ils en avaient conscience.[168] Plus l’exploration du cerveau en activitĂ© progresse grĂące Ă  la nouvelle technologie de l’imagerie mĂ©dicale, la mĂ©decine dĂ©couvre des diffĂ©renciations dans des aires fonctionnelles estimĂ©es immuables. C’est ainsi quand observant un cerveau d’homme et de femme qui ne pense Ă  rien, chez l’homme c’est le systĂšme temporo-limbique qui travaillerait le plus, celui qui contrĂŽle les Ă©motions primaires reliĂ©es Ă  l’action et Ă  l’agression. Chez la femme c’est le cingulate-gyrus qui serait le plus activĂ©, Une zone plus Ă©voluĂ© » du cerveau, qui contrĂŽle les expressions complexes des Ă©motions. Science et vie. N° 933. Juin 1995. P 83.[169] En RhĂ©torique, figure consistant dans une transposition ou un changement de nom, de la cause Ă  l’effet, du contenant au contenu, de la partie au tout, du signe Ă  la chose signifiĂ©.[170] MICHIO KAKU. Vision. Cog/128.[171] Note de l’auteur. Les personnes amputĂ©es d’un membre quelle qu’en soit la raison, continuent d’éprouver la sensation de leur membre manquant.[172] Pierre Daco. Les voies Ă©tonnantes de la nouvelle psychologie. Éditeur Marabout. 1988. Pp .50 et 51.[173] Note de l’auteur. Nous pouvons concevoir les religions comme la reprĂ©sentation du pĂšre totĂ©mique recomposĂ©, mais je trouve que c’est trop limitatif car ce n’est pas prendre en compte la perception de l’indĂ©finissable du monde non objectif qu’elles ont acquise, en s’étant idĂ©alisĂ©es, et de la conscience qu’elles ne prennent gĂ©nĂ©ralement pas en compte mais qu’elle exprime qu’il y a un absolu ou tout raisonnement humain Ă©croule. Elles l’expriment en plaçant Dieu au bout de l’infini, au bout de notre mĂ©connaissance, un lieu d’oĂč il est inexpugnable.[174] Sciences occultes doctrines et pratiques concernant des faits Ă©chappant Ă  l'explication rationnelle, fondĂ©es en gĂ©nĂ©ral sur la croyance en des correspondances entre les choses et prĂ©sentant le plus souvent un caractĂšre plus ou moins Ă©sotĂ©rique alchimie, magie, mantique, etc.. ÉsotĂ©risme CaractĂšre obscur de qqch..Partie de certaines philosophies anciennes qui devait rester inconnue des non-initiĂ©s. Le mot Ă©sotĂ©risme » est nĂ© en 1828 sous la plume de l’historien protestant de la gnose, Jacques Matter 1791-1864. Il devait servir Ă  regrouper et transmettre d’anciennes notions qui avaient accompagnĂ© la quĂȘte religieuse des hommes depuis l’AntiquitĂ© mĂ©diterranĂ©enne jusqu’à l’occident moderne. Le nĂ©ologisme dĂ©rivait de l’adjectif Ă©sotĂ©rique », apparu en 1742 chez l’auteur maçonnique La Tierce pour distinguer la doctrine rĂ©servĂ©e, enseigner Ă  l’intĂ©rieur des loges, de l’exotĂ©rique » que l’on pouvait communiquer aux profanes. Recours pour les espĂ©rance insatisfaites, ou refuge pour les illusions perdues, l’ésotĂ©risme mĂȘla au cours des siĂšcles les contenus culturels les plus divers, touchant Ă  la thĂ©ologie, aux arts, aux sciences, entraĂźnant dans son sillage une suite de notions connexes, astrologie, alchimie, magie, hermĂ©tisme, et des pratiques comme l’initiation. EncyclopĂ©die des religions. Édition Bayard. 2000. l’ésotĂ©risme chrĂ©tien par Jean-pierre Laurant Pp 687 Ă  700.[175] La notion d’invariance d’échelle fut saluĂ©e par toute une lignĂ©e de penseur occidentaux, mais en tant que principe scientifique, l’invariance d’échelle tomba en dĂ©suĂ©tude, pour la bonne raison qu’elle ne s’accordait pas avec les faits. Ainsi la premiĂšre interprĂ©tation d’invariance d’échelle comme principe organisateur rĂ©sultait des limitations de l’expĂ©rience humaine en ce qui concerne les Ă©chelles de grandeur ; cela jusqu’à ce que le microscope et le tĂ©lescope Ă©largissent la vision humaine. Les premiĂšres dĂ©couvertes firent prendre conscience que chaque changement d’échelle faisait surgir de nouveaux phĂ©nomĂšnes, de nouveaux types de comportements, et en physiques des particules ce processus ne s’est jamais arrĂȘtĂ©. L’invariance d’échelle devait donner naissance, plus directement que les travaux de Mandelbrot, Ă  la discipline baptiser chaos. Douady et Hubbard dĂ©montrĂšrent par un brillant raisonnement mathĂ©matique que chaque molĂ©cule flottant autour du corps central Ă©tait effectivement suspendu Ă  un fil tĂ©nu la reliant au reste de l’ensemble, au sein d’une trame dĂ©licate diffusant Ă  partir de minuscules affleurement de l’ensemble principal, un polymĂšre du diable » selon l’expression de Mandelbrot. Ces mathĂ©maticiens dĂ©montrĂšrent que toute parcelle- quelle que soit sa taille et quelle que soit sa petitesse-, une fois agrandie par l’ordinateur- microscope, rĂ©vĂ©lait de nouvelles molĂ©cules, chacune semblable Ă  la masse centrale sans toutefois lui ĂȘtre tout Ă  fait identique. Chaque nouvelle molĂ©cule serait entourĂ©e de ses propres spirales et de ses propres projections en forme de flammes, qui Ă  leur tour, rĂ©vĂšlent des molĂ©cules encore plus minuscule, toujours semblables, jamais identique, s’acquittant ainsi d’un mandat aux clauses infinies, miracle de miniaturisation dans lequel chaque dĂ©tail devait inĂ©vitablement ĂȘtre un univers en soi diffĂ©rent et La ThĂ©orie du Chaos. Edition Flammarion. 1991. Pp 152, 153, 287.[176] Note de l’auteur. La consanguinitĂ© que nous rĂ©gulons par l’interdit de l’inceste et de mariage dans la filiation directe, engendre les enzymopathies, ne dĂ©lĂ©tion du gĂšne complĂšte ou non, une anomalie qui est le plus souvent une mutation, un remplacement d’une base par une autre. Les consĂ©quences possibles d’un dĂ©ficit enzymatique sont nombreuses, par la disparition ou insuffisance des produits terminaux de cette voie, hormones par exemple ; par accumulation de mĂ©tabolisme en amont du blocage, soit toxique directement ou Ă  long terme par les maladies dites de surcharge. Les plus connus sont hĂ©mophilie, certaines formes de myopathie, une anĂ©mie hĂ©molytique et d’autres qui touchent des millions d’individus. Si je souligne cela, c’est plus pour attirer l’attention qu’en remontant le raisonnement jusqu'Ă  nos ancĂȘtres, on est emmenĂ© Ă  se demander quel rĂŽle la consanguinitĂ©, pour ne pas dire l’inceste, a jouĂ© dans notre Ă©volution par son incidence sur la formation de l’ARN mutĂ©. Une rĂ©ponse sera peut-ĂȘtre apportĂ©e par les scientifiques qui se livrent Ă  une Ă©tude gĂ©nĂ©tique sur la population de l’Islande, et une autre dans une communautĂ© Ăźlienne dont j’ai oubliĂ© le nom qui a fait en son temps la une des journaux[177] EncyclopĂ©die Universalis France S A 1995.[178] EncyclopĂ©die Universalis France S A 1995.[179] ThĂ©orie des supercordes., Murray GELL-MANN. Le Quark et le Jaguar. Éditeur Albin Michel. 1995. Pp 224 Ă  239.[180] FrĂ©dĂ©ric Lenoir et YsĂ© Tardan-Masquelier. EncyclopĂ©die des religions. Éditeur Bayard. 2000.[181] Note de l’auteur. Dans les religions de la MĂ©sopotamie, les divinitĂ©s dominaient le cosmos avec les humains dont elles partageaient le sensible, sauf qu’elles diffĂ©raient de l’humain par leur immortalitĂ© qu’elles s’étaient rĂ©servĂ©es. L’homme, deuxiĂšme Ă©lĂ©ment du monde Ă©taient dĂ©fini comme un ĂȘtre mortel, et si les dieux avaient créé l’humanitĂ©, ce n’était que dans le but Ă©goĂŻste, de la substituer Ă  eux pour se dispenser du travail, dont ils avaient un temps souffert les fatigues. Les hommes en retour attendaient de cette servitude, protection, stabilitĂ© et prospĂ©ritĂ©. C’est de cette rĂ©gion que sortiront les patriarches hĂ©braĂŻques fondateurs de la sociĂ©tĂ© judĂ©o-chrĂ©tienne. EncyclopĂ©die des religions.[182] Durant la prĂ©histoire les vestiges comme l’art visuel, non pas permis d’établir un ordre de servitude entre les peuplades, mĂȘme si certain culte funĂ©raire laisse penser qu’il existait un ordre social. Il faut arriver aux religions antiques du proche et du moyen Orient ou se structure les grandes traditions religieuses autour de pratiques cultuelles, pour qu’apparaissent les premiers comportements de soumission Ă  un dĂ©miurge, ou Ă  son reprĂ©sentant, et que s’élaborent des castes. Il semblerait donc, que c’est dans cette Ă©volution des relations de l’homme et du dieu oĂč apparaĂźt le serviteur du dieu, le clergĂ©, puis les serviteurs du clergĂ© hiĂ©rarchisĂ©, Ă©troitement liĂ© avec les fonctions Ă©conomiques et politique, qu’apparaĂźt l’esclave ». Esclave qui dĂ©signait la notion d’étranger dans les codes juridique de Sumer, prouvent que l’esclavage » existĂ© dĂšs le IV millĂ©naire av. et indique une origine essentielle. Cela avant de revĂȘtir toutes les formes que nous lui connaissons dans les sociĂ©tĂ©s antiques qui dĂ©pendent Ă©troitement du travail servile, et jusqu'Ă  nos jours. Jusqu'Ă  nos jours, car la notion de service fixe le cadre de bons nombres de nos relations Ă©conomiques, mĂȘme si une loi interdit l’asservissement, antique vestige d’un dĂ©sir refoulĂ©, et entretenu par des relations qui ont travesti leurs noms.[183] Les Ă©glises protestantes de 1555 Ă  nos jours par Jean-Paul Willaime. EncyclopĂ©die des Religions. P 629 Ă  643.[184] Philippe Steiner. La sociologie de Durkheim. Éditeur La DĂ©couverte. 1998. P 54.[185] Exode 21 / verset 12, celui qui tue un ĂȘtre doit ĂȘtre mis Ă  mort. Verset 24, Ɠil pour Ɠil dent pour dent, main pour main, pied pour pied. LĂ©vitique 24 /verset 17, si un homme tue un autre ĂȘtre, il doit ĂȘtre mis Ă  mort. Verset 19, si un homme blesse une autre personne, on lui infligera la mĂȘme blessure 20, fracture pour fracture, Ɠil pour Ɠil dent pour dent ; on lui rendra le mal qu’il a fait Ă  l’autre. La bible. Édition Alliance biblique universelle. de l’auteur. Il n’y a dans mes propos aucune animositĂ© envers une quelconque religion ; notre violence mĂȘme dans son expression vengeresse n’est que le rĂ©sultat d’une construction biologique, mais les schĂ©mas que nous construisons pour l’inhiber favorisent ou non son dĂ©veloppement, et justifient l’exercice de la mĂȘme violence sous un qualificatif qui l’en exonĂšre, ce ne sont que des formules de style, pour lesquelles nous n’avons pas trouvĂ© de moyen idĂ©al, parce qu’il repose sur un processus d’agressivitĂ© innĂ© qui ne saisit pas les nuances culturelles en dehors de notre capacitĂ© cognitive qui en est en partie dĂ©pendante.[186] Note de l’auteur. Notre construction biologique cĂ©rĂ©brale construit ses schĂ©mas en rĂ©ponse aux perceptions Ă©motionnelles qui se concrĂ©tisent par des projections extĂ©rieures.[187] Benjamin R. Barber, DJIHAD versus Mc WORLD, Ă©diteur DesclĂ©e de Brouwer, 1995, pp. 257/273.[188] Note de l’auteur. Ici je ne fais pas allusion au fait que notre activitĂ© neuronale puisse ĂȘtre le produit d’un calcul traduisible mathĂ©matiquement, et rĂ©vĂ©ler leurs programmes dont les diffĂ©rents niveaux sont, l’influx nerveux comme source Ă©nergĂ©tique, le lambda-calcul inventĂ© en 1932 par Alonzo Chuch, l’inconscient, les langages naturels, convertible en mathĂ©matique, et la pensĂ©e. Je fais directement allusion aux thĂ©ories dĂ©couvertes par les scientifiques, telle la thĂ©orie sur le chaos dĂ©terministe et les fractales de Mandelbrot qui sont couramment utilisĂ© en bourse et dans l’économie prĂ©dictive ; et qui favorisent la spĂ©culation sur des options de risques potentiels, et retire d’énormes masses d’argent du circuit de production. Quelquefois Ă  ce titre les mathĂ©matiques, et les thĂ©ories qui sont Ă©laborĂ©es avec, sont prises Ă  partie ; car les hommes ont l’impression qu’ils se font exploiter ou bien sont conditionner par elles. Pourtant jusqu’à ce jour, je n’ai jamais lu dans l’une d’entre elles qu’elles conseillent aux hommes de s’auto exploiter, ce sont seulement les hommes qui anticipent et spĂ©culent sur les quasi-certitudes qu’elles nous apportent.[189] Note de l’auteur. L’origine du mot travail, tripalium » en latin signifiait instrument de torture.[190] Note de l’auteur. Par simplification je n’invoque que la pensĂ©e symbolique, car selon certaines conceptions, la cognition serait aussi fondamentalement apprĂ©hension et reconnaissance de formes par la perception, par exemple nous pouvons nous dĂ©placer mentalement dans des cartes spatiales d’un environnement connu, et imaginer des obstacles infranchissables qui privilĂ©gieront certaines directions.[191] Dictionnaire de la sociologie. Édition Larousse. 1990. P 203.[192] Michio Kaku. Vissions Édition Albin Michel. 1999.[193] Note de l’auteur. J’ai indiquĂ© en parlant de la loi de l’évolution » page 35 note 34 que les espĂšces qui se sont succĂ©dĂ©es, paraissaient avoir bĂ©nĂ©ficiĂ© de l’acquis de leurs prĂ©dĂ©cesseurs, et j’ai indiquĂ© que cela Ă  mon sens reprĂ©sentait une acculturation ». J’ai Ă©galement dit que je regardais le culturel comme un Ă©vĂ©nement en soi. Partant de ses deux points de vu j’entrevois notre Ă©volution comme un phĂ©nomĂšne d’acculturation culturalisĂ©e.[194] Note de l’auteur source Quid 1998. En l’état actuel de nos techniques d’exploitations des ressources miniĂšres, nous disposons d’une rĂ©serve d’environ 250 ans. Pour citer quelques exemples significatifs, les rĂ©serves de minerai de fer dans le monde s’élĂšvent Ă  60 milliards de tonnes 1993 soit plus de 250 annĂ©es de production. Celle de l’aluminium 23 milliards de tonnes pour une consommation mondiale de 113,2 millions de tonnes, soit 203 annĂ©es 1995. DonnĂ©es Quid 98. Fer sources chambre syndicale des mines de fer de France. Aluminium sources Imetal ; World mĂ©tal statistics ; Onu ; faut savoir que la croĂ»te terrestre se compose de, 49,5% d’oxygĂšne, 25,8% de silice, 7,5% d’aluminium, 4,7% de fer, 3,4% de calcium, 2,6% de sodium, 2,4% de potassium, 1,9% de magnĂ©sium, 0,9% d’hydrogĂšne, 0,6% de titane, 0,7% d’autres minĂ©raux. L’exploitation de ces ressources relĂšve donc de donnĂ©es gĂ©ologiques qui constituent les gisements mĂ©tallifĂšres de type magmatique et hydrothermal ; mĂ©tĂ©orique ; et liĂ© au remaniement alluviaux, mais aussi de donnĂ©es gĂ©opolitiques qui dĂ©pendent des situations politiques et Ă©conomiques, des coĂ»ts d’exploitations de ces divers gisement tout comme des limites des techniques d’exploitations, par exemple quand il s’agit d’exploiter des gisements tel que les nodules poly mĂ©talliques du fond des ocĂ©ans. Mais toutes ces ressources font partis des ressources non renouvelables, car tout le monde comprend que l’on ne remuera pas la terre entiĂšre pour en extraire du minerai. Il est donc facile de comprendre tout l’intĂ©rĂȘt de la rĂ©cupĂ©ration des ressources non renouvelables, qui s’amenuiseront tout de mĂȘme, car celle-ci ne se fait jamais Ă  100%. Il est donc aussi facile de comprendre que notre mode d’économie devra se trouver d’autres critĂšres de dĂ©finition de la richesse, car si la planĂšte a mis 15 milliards d’annĂ©es pour crĂ©er les ressources miniĂšres que nous utilisons, en quelques millĂ©naires nous en viendrons Ă  bout. En consĂ©quence toute notre technologie qui repose sur son utilisation se trouvera remise en cause, pas pour nous mais pour les gĂ©nĂ©rations futures. Note de l’auteur source Quid 1998.[195] Note de l’auteur. Cette expression est communĂ©ment utilisĂ©e pour signifier que nous disposons encore d’un grand potentiel de dĂ©veloppement intellectuel.[196] Note de l’auteur. Pour m’en expliquer, il faut faire un parallĂšle avec la lecture des Ă©critures les textes religieux Bible ou Torah et considĂ©rer que notre vĂ©ritĂ© est comme ces Ă©critures, il y a ce que nous comprenons de leur lecture, et ce que nous devons comprendre de cette lecture dans l’infinitude de son message toujours recommentĂ©s ». Nous pouvons lire notre vĂ©ritĂ© temporelle, comme un dĂ©roulement de faits historiques de notre existence qui sont successifs et exclusifs dans leurs divisions, mais nous pouvons Ă©galement lire sa vĂ©ritĂ© comme une vĂ©ritĂ© oĂč il n’y a ni avant ni aprĂšs, seulement la capacitĂ© de savoir se lire dans cette perspective, et alors les Ă©vĂ©nements historiques de notre existence qui forge notre vĂ©ritĂ© ne se relient pas linĂ©airement », ils se recomposent pour de nouvelles connexions que l’étude de soi peut amener Ă  dĂ©couvrir. Cela apporte de nouveaux niveaux de comprĂ©hension dans ce qui est l’expression de notre vie. Et chaque nouvelle comprĂ©hension permet d’en dĂ©couvrir de nouvelles jusqu’alors inexploitĂ©es.[197] Michio Kaku. Visions. Éditions Albin Michel. 1999.[198] Tout en poursuivant ses activitĂ©s de poĂšte, il inventa un art d’apaisement de la douleur, tout comme existent des traitements mĂ©dicaux pour ceux qui sont malades. On lui donna une maison Ă  Corinthe prĂ©s de l’agora, qu’il orna d’une enseigne qui annonçait qu’il avait le pouvoir de guĂ©rir les malades avec des mots. » Paul Warzlawick. Le Langage du changement. Éditeur le Seuil. 1980. Pp 15 Ă  20.[199] Pour les lettrĂ©s de la Chine, la pensĂ©e Ă©tait essentiellement marquĂ©e par le naturalisme, tenant compte de l’alternance des choses, basĂ©e sur une sorte de dualisme, selon le Yin et le Yang, le masculin et le fĂ©minin, la lumiĂšre et les tĂ©nĂšbres, l’humiditĂ© et la chaleur, la terre et le ciel, tout cela rĂ©uni par le souverain univers. Cette alternance permet Ă  tout le cosmos de se tenir selon un bon ordre de fonctionnement, car tout est complĂ©mentaire dans cet univers. Il n’y a pas de lutte de dialectique, mais un ordre universel rĂ©gi par l’union de ces contraires, par leur solidaritĂ©. Pour le sage chinois il n’y a donc aucun phĂ©nomĂšne isolĂ© tout fonctionne en harmonie avec l’ensemble, tout est en perpĂ©tuel devenir. Face Ă  cela, l’homme n’est qu’un Ă©lĂ©ment de l’ensemble. L’homme ne peut pas grand chose, il doit mĂȘme ne pas chercher Ă  comprendre et, encore moins Ă  donner des explications. Les Chinois constatent une alternance, qui n’est d’ailleurs pas faite d’oppositions mais de complĂ©mentaritĂ©. Lois de la pensĂ©e. L’encyclopĂ©die ClartĂ©s. N° 16235-1.[200] L’astronome John Lewis, pourtant, est d’avis que la ceinture d’astĂ©roĂŻdes pourrait fournir un habitat idoine Ă  des colons de l’espace. Il pense que les astĂ©roĂŻdes pourraient ĂȘtre excavĂ©s afin de procurer un abri sĂ»r pour peut-ĂȘtre des millions de colons. On pourrait Ă©galement y pratiquer une exploitation miniĂšre dans le dessein d’édifier des usines et des villes, et puisqu’ils contiennent aussi de l’hĂ©lium en quantitĂ©, les colonisateurs pourraient construire des centrales Ă  fusion pour alimenter leurs machines. Pour Lewis, la colonisation de l’espace extĂ©rieur a peu Ă  voir avec le romanesque ou le sentimentalisme. TĂŽt ou tard, pense-t-il, les humains seront contraints de quitter la Terre. Il voit dans l’exploitation miniĂšre de la Lune, des planĂštes et des astĂ©roĂŻdes qu’un strict moyens de prĂ©servation Ă©goĂŻste. Si Mars ne peut ĂȘtre terra formĂ©e, si les bases lunaires sont un Ă©chec, et si les astĂ©roĂŻdes ne peuvent ĂȘtre Ă©vidĂ©s, il nous faudra alors quitter le systĂšme solaire en quĂȘte de planĂštes habitables Ă  un moment ou un autre de notre avenir lointain. Étant donnĂ© la dĂ©couverte inĂ©vitable de planĂštes telluriques Ă  l’extĂ©rieur de notre systĂšme solaire, nul doute que des scientifiques fassent de plus en plus chorus pour en appeler Ă  ce que l’on s’efforce d’envoyer des sondes interstellaires aux Ă©toiles voisines. Michio Kaku. Visions. Éditeur Albin Michel. 1999. Pp 416 Ă 421.[201] Note de l’auteur. A peu prĂ©s tout le monde connaĂźt l’apparition de stigmates de la crucifixion lors de procession religieuse aux Philippines, d’autres au Sri Lanka ou en ThaĂŻlande s’infligent des Ă©preuves dĂ©concertantes pour la mĂ©decine occidentale, car ils se transpercent les chairs Ă  l’aide de diffĂ©rents instruments aiguilles, barre de mĂ©tal, se suspendent Ă  des crochets, etc.
, tout cela sans saignement ni douleur. Ces Ă©preuves dĂ©montrent la fabuleuse capacitĂ© mystique de notre psychisme, mais laisse Ă©galement espĂ©rer l’utilisation de cette capacitĂ© Ă  des fins beaucoup plus pragmatiques pour notre quotidien. Pour l’instant encore, certains de ces mĂ©canismes demeurent une interrogation.[202] Supposons un homme qui ignorerait totalement l’existence des ondes radiophoniques. Qui ignorerait l’existence de stations Ă©mettrices et d’appareils radio. Un jour, un poste lui est offert, et on lui dit si vous enfoncez cette fiche dans la prise de courant vous entendrez de la musique ». L’homme le fait. Il est Ă©merveillĂ©. Il ne sait pas comment se fabrique cette musique, ni d’oĂč elle vient. Un simple geste lui suffit. Supposons qu’il reste ainsi toute sa vie. Toute sa vie il aura entendu le mĂȘme genre de musique, les mĂȘmes voix, les mĂȘmes paroles, le mĂȘme climat social, le mĂȘme climat gĂ©ographique. Mais en ignorant l’existence d’autres centaines de postes, d’émetteurs, de voix et de musiques possibles
.Imaginons qu’un jour, un technicien se prĂ©sente chez lui. L’homme tout content montre son poste. Le technicien se penche, et constate que le poste est bloquĂ© sur Radio Paris. Il constate Ă©galement l’existence d’un condensateur. Et le technicien dĂ©bloque ce condensateur. Brusquement des centaines de musiques apparaissent. Le monde entier dĂ©file. Et l’homme stupĂ©fait, bourrĂ© de regrets, commence Ă  se rendre compte qu’il croyait vivre dans la musique du monde entier, mais qu’il n’en Ă©tait rien
Des millions de personnes sont semblables Ă  cet homme. BloquĂ©es dans leur vie sur quelques idĂ©es, quelques pensĂ©es apprises, quelques rĂ©flexes, toujours les mĂȘmes
. Ne connaissant mĂȘme pas l’existence de leurs propres possibilitĂ©s. MalgrĂ© cela, elles croient vivre. En fait, elles tournent, comme des poissons dans leur bocal ; jusqu’à ce qu’un jour un technicien
. Pierre DACO. Les prodigieuses victoires de la PSYCOLOGIE. Éditeur Marabout. 1973. Pp13 et14.[203] Note de l’auteur. Je veux indiquer par-lĂ , que grĂące aux moyens technologiques en observant le monde biologique et physique, l’homme s’acculture de connaissances et compĂ©tences qui sont le propre d’autres espĂšces et d’autres mondes dimensionnels.[204] Un agent intelligent devrait ĂȘtre capable d’agir pour l’utilisateur comme un filtre sur Internet, distinguant la pacotille et ce qui prĂ©sente un quelconque intĂ©rĂȘt
..Pour Ă©viter de nous noyer dans un ocĂ©an de fadaises et de pacotilles en provenance d’Internet, mais aussi pour nous aider Ă  chercher sur le rĂ©seau les rĂ©fĂ©rences dont nous pourrions avoir besoin
..De tel agents agent seront inestimables pour tous ceux qui veulent ĂȘtre au courant en continu des derniĂšres nouvelles concernant les Ă©vĂ©nement qui les intĂ©ressent. Michio KAKU. VISION. Éditeur Albin Michel. 1999. Pp 91/92.[205] Dans le monde d’aprĂšs 2020, les scientifiques espĂšrent voir la vĂ©ritable intelligence artificielle commencer Ă  pĂ©nĂ©trer Internet. L’étape suivante celle des agent intelligents concerne une branche de l’intelligence artificielle que l’on nomme heuristique, qui essaye de codifier la logique et l’intelligence au moyen d’une sĂ©rie de rĂšgles. Dans l’idĂ©al l’heuristique devrait nous permettre de parler Ă  un spĂ©cialiste informatisĂ©, mĂ©decin, avocat ou technicien, qui rĂ©pondrait Ă  des questions dĂ©taillĂ©es, techniques, concernant le diagnostic ou le traitement
. L’une des toutes premiĂšres branches de l’heuristique Ă  avoir de fait surpassĂ© les capacitĂ©s humaines est la machine Ă  jouer aux Ă©checs
. Parce que ces machines intelligentes elles sont fondĂ©es sur des rĂšgles simples, bien dĂ©finies ; des millions d’informations peuvent ainsi ĂȘtre analysĂ©s Ă  la vitesse de la lumiĂšre
..Vision. P93.[206] Michio KAKU. VISION. Éditeur Albin Michel. 1999. Pp 70 Ă  143.[207] Jean Delacour. Conscience et Cerveau. Édition De Boeck Science et vie. N° 889 – octobre 1991. Pp 64 et 65.[209] La recherche sur les molĂ©cules pouvant favoriser le processus naturel de mĂ©morisation permet d’espĂ©rer dans moins de 10 ans la mise en applications de mĂ©dicaments efficaces pour des malades souffrant de dĂ©ficits mnĂ©siques, et au-delĂ  accroĂźtre nos capacitĂ©s de et vie. N° 953. FĂ©vrier 1997. Pp 72 Ă  de l’auteur, c’est lĂ  une voie qui risque d’ouvrir, si elle aboutit, Ă  faciliter la mĂ©morisation d’un enseignement scolaire et professionnel qui, du fait, du dĂ©veloppement des connaissances scientifiques, devient de plus en plus complexe avec de nouveaux problĂšmes sociologiques en perspective.[210] La prĂ©histoire de l’espĂšce humaine est bien plus longue que son histoire connue, et si nous connaissons assez bien les outils et les mode de subsistance, les rapports sociaux et les modes de communication sont trĂšs mal inventoriĂ©. Il est donc imprudent de leur attribuer des traits culturels observĂ©s depuis le XIX siĂšcle dans les sociĂ©tĂ©s dites archaĂŻques ou primitives ». Dans les Ă©tudesDes spĂ©cialistes de l’anthropologie, rien ne permet d’étayer avec certitude qu’il eut existĂ© un rĂ©gime matriarcal liĂ© Ă  la filiation matrilinĂ©aire. Par contre ce qui paraĂźt plus probable c’est que l’agriculture et la sĂ©dentarisation sur les terres fertiles soit largement l’Ɠuvre des femmes, et leur ait confĂ©rĂ© ou amĂ©liorĂ© leur condition et leur rang. Ceci se justifie par les dĂ©esses tant de la fĂ©conditĂ© que de la fertilitĂ© que l’on retrouve dans les premiĂšres civilisations historiques dans les vallĂ©es du Nil, de l’Euphrate et Tigre. Plus gĂ©nĂ©ralement la place hiĂ©rarchique de la femme varie en fonction de l’activitĂ© Ă©conomique du groupe, chasse, pĂšche ou agriculture, mais s’il n’est pas Ă©tabli avec certitude des sociĂ©tĂ©s matriarcales franches, les femmes ont eu des rĂŽles prĂ©dominants et un temps Ă©gal Ă  celui des hommes.[211] Note de l’auteur. Je ne veux pas ici parler du rĂŽle pĂšre ou imaginer l’absence de celui-ci comme symbole du monde extĂ©rieur pour l’enfant, mais de l’imprĂ©gnation de la sensibilitĂ© fĂ©minine dans la conduite des affaires du monde.[212] Note d l’auteur. L’anthropophagie, ou le cannibalisme comme nous le disons plus communĂ©ment, semble ĂȘtre apparue Ă  la suite de pĂ©nurie alimentaire, si comme beaucoup d’évĂ©nement elle est passĂ© dans les usages, ensuite elle s’est mystifiĂ©e et ritualisĂ©e, et sa pratique c’est retrouvĂ©e sur tous les continents avec quelques exceptions. La derniĂšre trace d’une activitĂ© ritualisĂ©e Ă  eu lieu en 1962 dans un village, Kalyo-Kengyu, qui se livra Ă  un raid dans un hameau proche avec lequel il avait un litige de dĂ©frichage et en rapporta quarante-cinq tĂȘtes humaines Art du Nagaland, musĂ©e Barbier MĂŒller, GenĂšve 1982. Il semble donc que la facilitĂ© avec laquelle nous nous faisons la guerre puisse trouver son origine dans la mĂȘme facilitĂ© avec laquelle la nĂ©cessitĂ© de devoir ĂȘtre anthropophage par survivance nous ait entraĂźnĂ©s Ă  faire peut cas de la vie. Partant delĂ  il est facile de concevoir l’organisation qu’il a pu en dĂ©couler et se recomposer pour devenir l’art de la guerre, lorsque les raisons et les moyens se sont manifestĂ©s. Car pas plus cet Ă©vĂ©nement la guerre qu’un autre n’a pu apparaĂźtre spontanĂ©ment, et je ne crois pas que notre violence soit le propre de l’égocentrisme, mais plutĂŽt celle de notre capacitĂ© psychique Ă  conceptualiser. Étymologie PAON, PAONNE, subst. Étymol. et Hist. I. A. 1. Ca 1130 Gormont et Isembart, éd. A. Bayot, 245 ; ca 1140 PÚlerinage de Charlemagne, éd. G. Favati 410 Asez unt venesun de cerf e de sengler, E unt gruÃs e gauntes et poĂƒÂŒns empevrez ; ca 1180 Marie de France, Fables, éd. K. Warnke, 67, De corvo pennas pavonis inveniente, 9 Des pennes al poĂƒÂŒn s'aturne, Trestut sun cors bien en aĂƒÂŒrne [cf. 1668 La Fontaine, Fables, IV, 9 Le geai paré des plumes du paon ; 1695, 19 juin, Mme de Sévigné, Lettres, éd. É. Gérard-Gailly, t. 3, p. 885 leurs pauvres petits noms [des gens qui en ont pris d'illustres] à quoi l'on ne penseroit pas s'ils n'avoient point voulu prendre les plumes du paon] ; ca 1265 Brunet Latin, Trésor, éd. Fr. J. Carmody, 1, 169, 1 Paons est uns biaus oisiaus... il a le chief serpentin et vois de diauble et pis de saphir, et riche coue de diverses coulour ou se delite mervilleusement ; 1578 en parlant d'une personne BoyssiÚres, Contin. des Sec. OEuv., ds Hug; Mais toy, plus orgueilleuse et fiere qu'un paon... ; 2. 1611 ichtyol. Cotgr.. B. Empl. adj. inv. 1897 paon L'Illustration, 11 déc., p. 486 a ds Quem. DDL 1899 bleu paon Nouv. Lar. ill., bleu. II. Ca1393 pÀonne Ménagier de Paris, éd. G. E. Brereton et J. M. Ferrier, p. 274, 9. I du lat. pavo, -onis Âpaon». II forme fém. de paon* ; cf. antér. l'a. fr. paue, peue 1180-90 peue Alexandre de Paris, Alexandre, éd. E. C. Armstrong et D. L. Buffum, III, 7325, fin xiiie s. plur. pauwes Sone de Nansai, 4475 ds formé sur le cas suj. lat., ainsi que l'a. fr. paonesse suff. -esse2* fin xiiie s. [ms. 1402] Placides et Timeo, éd. Cl. Thomasset, 304 ; cf. R. Arveiller ds Mél. Horrent J., p. 10, encore relevé au xvie s. Hug. et ds Trév. 1752-71 ; cf. également l'a. prov. paona, pavona fin xive-xve s. [ms. B fin xve s. Floretus, éd. A. Blanc ds R. Lang. rom. t. 35, p. 76b.Vous pouvez lire également la Définition. du paon afin d'amorcer la réflexion symbolique.**Zoologie Dans le Hors-série de Causette été 2018 intitulé  Histoires d'A...mours », Claudine Colozzi nous propose un petit "Kama-sutra des animaux" sous forme d'abécédaire P comme Plumes son truc en Lors de la parade nuptiale, le paon mùle déploie en rond les plumes de sa queue devant sa compagne et les fait bouger dans un délicat frémissement on dit qu'il fait la roue. Il gonfle le cou tant et si bien que sa tÃÂȘte apparaÃt trÚs petite. Impressionnée, la femelle De la nature du paon d'aprÚs Hugues de Fouilloy, De avibus, dernier quart du XIIe siÚcle, Troyes, MédiathÚque de l'Agglomération, ms. 177, fol. 158v. introd. et trad. Rémy Cordonnier, Paris, Phénix Éditions, 2004. "Cris du paon, maÃtre effrayant. Le paon a une voix effrayante, une démarche naturelle, une tÃÂȘte de serpent, et la poitrine couleur saphir. De plus, sur ses ailes, il a comme des plumes roussùtres. Il a aussi une longue queue, et, pourrait-on dire, comme couverte d'yeux. [.] Note aussi que le paon, lorsqu'il est admiré, dresse sa queue, car le prélat avide de gloriole élÚve son esprit sous les louanges des flatteurs. Il arrange ses plumes de maniÚre recherchée, parce qu'il est certain que tout ce qu'il fait est bien ordonné. Mais quand cependant il relÚve sa queue, il dévoile en mÃÂȘme temps son croupion ainsi, la noblesse [d'ùme] méprise la louange. Le paon devrait donc garder sa queue baissée, et le maÃtre agir avec humilité."** Dans le Dictionnaire des symboles 1969, édition revue et corrigée Robert Laffont, 1982 de Jean Chevalier et Alain Gheerbrant, nous apprenons que "si nous faisons volontiers du paon une image de la vanité, cet oiseau d'Héra Junon l'épouse de Zeus Jupiter est avant tout un symbole solaire ; ce qui correspond au déploiement de sa queue en forme de roue. Il est l'emblÚme de la dynastie solaire birmane. La danse birmane du paon, l'usage du paon dans la danse cambodgienne du trot, sont en rapport avec la sécheresse provoquée par le soleil. La mise à mort du paon, comme celle du cerf, est un appel à la pluie, à la fertilisation céleste. Kamùra Skanda, dont la monture est le paon il en existe notamment une représentation célÚbre à Angkor-Vat, s'identifie à l'énergie solaire. Le paon de Skanda est certes le destructeur des serpents c'est-à -dire des attachements corporels, et aussi du temps. Mais l'identification du serpent à l'élément eau confirme l'apparentement du paon au soleil et à l'élément feu, l'antithermique de l'eau. Le paon est d'ailleurs aussi, dans le Bardo-Thodol, le trÎne du Bouddha Amitùbha, auquel correspondent la couleur rouge et l'élément feu. C'est encore dans ce cas, dit-on, le symbole de la beauté et du pouvoir de transmutation, car la beauté de son plumage est supposée produite par la transmutation spontanée des venins qu'il absorbe en détruisant les serpents. Sans doute s'agit-il là surtout d'un symbolisme d'immortalité. On l'interprÚte ainsi en Inde, outre le fait que Skanda lui-mÃÂȘme transforme les poisons en breuvage d'immortalité. Dans les Jataka bouddhiques, le paon est une forme du Bodhisattva, sous laquelle il enseigne le renoncement aux attachements mondains. Dans le monde chinois, le paon sert à exprimer les vÅ“ux de paix et de prospérité. Il y est aussi appelé l'entremetteur, à la fois parce qu'il est utilisé comme appeau et parce que son seul regard, dit-on, suffit à faire concevoir une femme. Dans la tribu Mas du Sud-ViÃÂȘt-nam, les hommes se plantent des plumes de paon dans le chignon ce qui les identifie sans doute au peuple des oiseaux ; mais ce n'est peut-ÃÂȘtre pas sans rapport non plus avec le symbolisme du rayonnement solaire. Le paon est, au Vietnam, un emblÚme de paix et de prospérité. Dans la tradition chrétienne, le paon symbolise aussi la roue solaire et de ce fait il est un signe d'immortalité ; sa queue évoque le ciel étoilé. On remarquera que l'iconographie occidentale représente parfois les paons s'abreuvant dans le Calice eucharistique. Au Moyen-Orient, ils sont représentés de part et d'autre de l'Arbre de Vie symboles de l'ùme incorruptible et de la dualité psychique de l'homme. Le paon sert parfois de monture, il dirige de façon certaine son cavalier. Appelé l'animal aux cent yeux, il devient signe de la béatitude éternelle, de la vision face à face de Dieu par l'ùme. On le retrouve dans la sculpture romane et dans le symbolisme funéraire. Symbole cosmique pour l'Islam lorsqu'il fait la roue, il figure soit l'univers, soit la pleine lune, soit le soleil au zénith. Une légende soufie, probablement d'origine persane, dit que Dieu créa l'Esprit sous forme d'un paon et lui montra sa propre image dans le miroir de l'Essence divine. Le paon fut saisi d'une crainte respectueuse et laissa tomber des gouttes de sueur dont tous les autres ÃÂȘtres furent créés. Le déploiement de la queue du paon symbolise le déploiement cosmique de l'Esprit. Dans les traditions ésotériques, le paon est un symbole de totalité, en ce qu'il réunit toutes les couleurs sur l'éventail de sa queue déroulée. Il indique l'identité de nature de l'ensemble des manifestations et leur fragilité, puisqu'elles apparaissent et disparaissent aussi vite que le paon se déploie et se replie. Les Yézides, originaires du Kurdistan, dont il faut noter certaines similitudes avec les derviches soufis et les bouddhistes, accordent une grande importance à la puissance nommée Malik Taous, l'Anga-paon, en lequel s'unissent les contraires."** Selon Ted Andrews, auteur de Le Langage secret des animaux, Pouvoirs magiques et spirituels des créatures des plus petites aux plus grandes Édition originale, 1993 ; traduction française, Éditions Dervy, 2017, le Paon a les caractéristiques suivantes Points clés Résurrection et vision sage vigilance. Cycle de puissance Printemps et automne. Le paon est encore un oiseau qui a suscité beaucoup de traditions et de mythes dans toutes les sociétés. Avec son magnifique plumage, il fascine tous ceux qui le rencontrent. Comme chez bien d'autres oiseaux, c'est le mùle qui a les plus belles plumes et qui est le plus ostentatoire. Mais sa femelle, la paonne, n'est pas moins magnifique en soi. C'est un oiseau protecteur et puissant. Les traits les plus saillants du paon sont assurément ses plumes et son cri étrange et tapageur qui ressemble un peu à en rire, comme si le paon nous rappelait d'aborder la vie joyeusement, en riant. Concernant cette vocalisation, j'ai entendu une histoire liée à l'apparition des pattes du paon qui a des pieds affreux ; la légende raconte donc qu'ils crie - paonne - chaque fois qu'il les voit. Ceux qui ont le paon pour totem vont par conséquent pouvoir s'intéresser au mysticisme et au symbolisme des pieds. Ces derniers sont notre support ; ils constituent la fondation de toute votre structure. Ils nous permettent de nous mouvoir et de nous tenir droits. Que disent les pieds du paon de vous et de votre vie ? Une étude de la réflexologie plantaire pourra ÃÂȘtre bénéfique à tous ceux qui ont donc le paon pour totem. Les plumes ont été utilisées pour le rituel et à des fins décoratives. Leurs couleurs et leurs motifs révÚlent pourquoi tant de mysticisme a été associé au paon. L'iridescence bleu-vert suscite un sentiment d'émerveillement. La teinte bleu-vert a toujours été associée à la royauté. Quant aux "yeux" apparaissant sur le plumage, on les a souvent liés à une plus grande vision et à une plus grande sagesse. Cette idée de vigilance et d'attention se retrouve dans la mythologie grecque. Argos "PanoptÚs" littéralement "qui voit tout", un veilleur au service d'Héra, avait cent yeux. Quand il est tué alors qu'il s'est endormi à son poste, Héra transfÚre ses yeux sur le plumage du paon - son oiseau favori. De tous les oiseaux, le paon est celui qui ressemble le plus aux descriptions traditionnelles du phénix. Ce dernier est l'oiseau légendaire de la résurrection qui est sacrifié dans le brasier de la vie avant de renaÃtre de ses propres cendres. En tant que reflet du phénix, le paon a imprégné de nombreuses sociétés humaines. Dans la mythologie chinoise, son plumage est un mélange de cinq couleurs qui déclinent une douce harmonie de sonorités. En Égypte, il est lié au culte du dieu soleil, Amon-Rù. MÃÂȘme dans le christianisme, il était un symbole de la mort et de la résurrection de Jésus. En Égypte encore, le paon était associé à l'Å“il d'Horus voyant tout. Pour les Indous, il était lié à Indra, le dieu du tonnerre qui se transforma en paon pour échapper au démon Ravana, ce qui e dota des cent yeux de son plumage. Le paon était également souvent considéré comme sacré parce qu'il détruisait les serpents venimeux. En Égypte, il occupait la seconde place dans cette catégorie des oiseaux sacrés, juste derriÚre l'ibis. En raison de ses nombreux yeux, il a été associé à la sagesse et à la vision - une vigilance accrue. Et s'il a également été connecté à l'immortalité, c'est encore une fois en partie à cause de sa ressemblance avec les représentations du phénix. Mais cette idée vient aussi d'une vieille croyance selon laquelle sa chair n'aurait pu se putréfier. Un examen de ces mythes et d'autres associés à cet oiseau pourra orienter ceux qui l'ont pour totem vers de possibles connexions avec des vies passées. Cela jettera quelque lumiÚre sur le rÎle qu'il pourra jouer dans votre existence. Les enseignements et traditions liés au paon sont intimement connectés à ses caractéristiques et comportements. Ils vous aideront à voir comment d'autres sociétés humaines ont pu déceler et établir des correspondances.** Selon Nicki Scully, auteure de Méditations de l'animal pouvoir, Voyages chamaniques avec les alliés esprits éditions originales 1991, 2001 ; traduction française Guy Trédaniel Éditeur 2002, "Le Paon est un totem qui donne lieu à des interprétations opposées. Certaines cultures considÚrent les plumes de paon comme de mauvais augure, surtout pour les jeux de hasard, tandis que d'autres voient dans ces merveilleux ornements lñ€ℱÅ“il qui voit tout, représentant grande chance et grand pouvoir. Les plumes de paon peuvent ÃÂȘtre utilisées pour protéger des mauvais esprits - c'est ainsi qu'en usent les Hindous, et le paon est considéré comme l'oiseau national de l'Inde - et le trÎne de Perse était appelé "le TrÎne du Paon". Le Paon a une connaissance ancienne de la magie, et il peut diriger l'énergie pour créer tout ce qu'il désire. Parce que ses besoins sont peu nombreux, il passe le plus clair de son temps sur Terre, à fabriquer une présentation somptueuse. Il se contente de son environnement, et il aime ce qu'il a créé. Le Paon est trÚs joueur - en fait, c'est un hédoniste - mais cela ne le tracasse pas. Il n'y a pas ici le moindre déni de soi. Il embrasse d'une façon chaude, ouverte, la faculté de savourer et d'envelopper la vie. Il se rit de nos jugements, car il s'amuse sans s'éloigner de l'Esprit. Oiseau grand et gracieux, le Paon réalise qu'il vit dans un corps au plan terrestre, et il a besoin de jouir de ses capacités pour manifester des plaisirs hédonistes. Il a la faculté de tout prendre à la légÚre et avec humour. Il est le roi parfait, aimant et royal. Il a une forme belle, mais il n'y est pas attaché - ÃÂȘtre dans un corps est la mÃÂȘme chose que d'ÃÂȘtre dans un masque. Une fois que nous avons maÃtrisé la capacité de mettre des masques et de les Îter à volonté, nous pouvons entrer dans nos corps avec un sentiment nouveau de liberté. Le Paon a beaucoup à nous apprendre sur l'art de traiter les choses avec humour, le genre d'humour qui nous protÚge des abus de pouvoir. C'est un don que d'ÃÂȘtre capable de tirer des choses de l'air. Comme tous les dons, il doit ÃÂȘtre approché avec gratitude et joie. Il y a une grande générosité dans cet ÃÂȘtre. Pour certains, ce voyage a pour seul objet d'ÃÂȘtre en présence du Paon, trouvant un rapport avec cette impressionnante capacité de se manifester sans s'attacher, ni en tirer une fierté vaine. La fierté véritable vient d'un lieu profond de générosité. Le Paon peut refléter votre propre générosité, vous apprendre à accepter les présents et à ne pas les utiliser pour manipuler les gens. Il y a une majesté dans le Paon qui peut sembler quelque peu pompeuse selon la perception du visiteur. Si vous venez avec admiration et envie, vous prendrez une autre série de leçons, car il les reflétera. Cette expérience a trait à la magnificence. Accordez-vous la pleine expérience de la splendeur du Paon, pour comprendre sa capacité à se manifester entouré d'une magnificence séduisante au plus haut point ! [Le voyage du Paon fait partie, au mÃÂȘme titre que ceux des Castor, Tortue, Mulot, Corbeau et Bisonne blanche des] Voyages pour célébrer et honorer. Il y a tant de choses à notre sujet que l'on peut apprendre à partir du rÚgne animal, car les animaux déploient pour nous des qualités que nous oublions parfois. Nous avons beaucoup de choses à célébrer et honorer avec ces parents concernant la richesse, la beauté, et la pure joie de du Paon [Faites l'alchimie du Chaudron...] Au sortir de l'alchimie, et en présence de Thoth, votre attention est attirée par une sensation de vrombissement, une vibration, qui doit ÃÂȘtre expérimentée pour atteindre une résonance avec le Paon ; c'est comme un tambourinement dans vos oreilles. En étant en résonance avec cette vibration, vous franchissez les barriÚres du temps et de l'espace, pour vous brancher sur les fréquences oÃÂč les capacités de manifestation du Paon peuvent prévaloir. Le vrombissement continue et sera plus ou moins apparent tout au long de ce voyage. Thoth montre la voie, et vous arrivez sur une pelouse spacieuse avec une pagode au loin. Vous pouvez sentir, d'aprÚs l'air, que vous ÃÂȘtes à haute altitude. Les pins, un air frais et pétillant, et un ciel bleu vif, rehaussent cette scÚne. La pagode a un dÎme doré, et son intérieur rappelle un lit à baldaquin. Des boules d'or couronnent les piliers, et les marches des deux cÎtés facilitent l'accÚs. Les Paons vagabondent sur la pelouse. Tandis que vous vous rapprochez de la pagode, vous voyez des piles des coussins lourdement brodés de fils d'or. Il y a par terre de riches tapis de soie persane la plus fine, des bols pleins d'eau et d'encens, et des offrandes de graines et de fleurs. Au milieu des coussins, assis sur le trÎne de ce temple rectangulaire, un Paon magnifique. Approchez-vous encore. Tandis que vous grimpez les marches, votre inclination peut ÃÂȘtre de saluer ce noble oiseau. Il vous dit de venir vous asseoir à cÎté de lui. Vous vous exécutez, et vous admirez ces plumes, son long cou soyeux, et la crÃÂȘte colorée sur sa tÃÂȘte. Vous ne pouvez voir ses pieds, car ils sont sous lui. Ce Paon est trÚs à l'aise avec sa beauté, sa royauté et sa fierté, et il est trÚs heureux que vous soyez là pour partager la splendeur environnante de son domaine. Il veut vous envelopper de ce sentiment, pour que vous aussi fassiez l'expérience de cette élégance, de ce confort, de ce port royal. Remarquez les sentiments inclusifs, - le Paon n'exclut pas les gens. Il vous offre quelque chose à manger ; abricots séchés, noix de coco et graines. Personne ne les a apportés - ils sont simplement apparus. Suivez le regard du Paon tandis qu'il examine son domaine bien tenu. La somptueuse couverture de gazon s'étend dans toutes les directions, pleine de beauté, de symétrie et de grùce. Elle a un air trÚs ancien. Le Paon est capable de faire de la magie, et peut tirer des choses de l'air. Il vous tend un présent qu'il tire de l'air pur, et un enseignement qui convient au moment... [Longue pause] Ce Paon prend du plaisir à donner, et un remerciement est sa plus grande récompense. Vous n'avez pas besoin de l'admirer - partager avec lui est suffisant. Quand votre temps est achevé, quittez la pagode et descendez la pelouse, jusqu'à l'endroit oÃÂč vous rencontrerez Thoth. Partagez cette expérience avec lui... [Thoth vous aidera à rentrer dans votre corps...]Mots-clefs Magie / Grùce / Générosité."* * Selon Didier Colin, auteur du Dictionnaire des symboles, des mythes et des légendes Hachette Livre, 2000 "Le plus connu est le paon bleu, dont le plumage en forme de traÃne d'un bleu profond, constellé de tùches orangées et noires, peut atteindre jusqu'à 2 mÚtres de long. Lors de la parade nuptiale, le mùle la déploie, en braillant son cri rauque si caractéristique. Mais il fait aussi la roue lorsqu'il se trouve en présence d'un autre mùle. Originaire de l'Inde et du Sri Lanka, il fut importé en Occident par Alexandre le Grand, puis plus tard en Amérique. Il fut d'abord apprécié en tant qu'oiseau d'ornement domestique, mais aussi, par la suite, pour sa chair. Selon une légende mythique grecque, Argos, prince argien d'un royaume aujourd'hui situé en GrÚce, dans le nord-est du PéloponnÚse, et dont le nom signifie "lumineux", se distinguait par les cent yeux qui étaient répartis sur tout son corps, et qui lui donnaient une vision absolue. On le surnommait PanoptÚs, c'est-à -dire "celui qui voit tout". Argos fut chargé par Héra, sÅ“ur et épouse de Zeus, de garder Io, une jeune fille argienne aimée de Zeus et que Héra, jalouse, avait transformée en génisse. Toutefois, à l'instigation de Zeus, HermÚs plongea Argos à son insu dans le sommeil éternel de la mort en lui jouant de la flûte de pan. Pour immortaliser celui qui l'avait si bien servie, Héra mit les cent yeux du corps d'Argos sur la traÃne du paon bleu. Depuis lors, chaque fois que le paon fait la roue, Argos renaÃt, et ses cent yeux s'ouvrent à nouveau au monde." ** D'aprÚs Madonna Gauding, auteure de Animaux de pouvoir, Guides, protecteurs et guérisseurs Octopus Publishing Group 2006 ; traduction française Éditions Véga, 2006 "Guide d'interprétation En tant que symbole oniriqueVanité ; Royauté ; Dignité ; Beauté ; Confiance en soi ; Mise en tant que gardien ou protecteurMet en garde contre les envahisseurs ; Soutient l' tant que guérisseurGuérit par la réflexologie des pieds Corrige les troubles de tant qu'oracle ou augureAttention au mauvais Å“il ; Vous aurez de la chance en et contes Dans l'ancienne Égypte, le paon était le compagnon de la déesse Isis. En Chine, au Japon, à Babylone et en Perse, le paon était symbole de royauté.Si le paon est votre animal de pouvoir Vous avez confiance en vous, ÃÂȘtes capable de voir l'avenir et pouvez enseigner aux autres comment devenir clairvoyants. Vous ÃÂȘtes extrÃÂȘmement sensible et devez protéger votre champ énergétique personnel. Votre allure est digne et royale. Chef de file de votre domaine, vous ÃÂȘtes reconnu et loué. On pourrait vous imaginer arrogant, mais en réalité vous ne prenez pas trop au sérieux ces choses-là , en sachant qu'elles peuvent disparaÃtre en un clin dñ€ℱÅ“il. Vous préférez essayer de profiter de la vie de votre au paon de vous aiderà vous rappeler de rire face à la vie, surtout quand les choses vont mal ;à vous mettre en avant et à croire en au pouvoir du paon en arborant des couleurs vives et chatoyantes ; récitant quotidiennement des affirmations pour le respect de soi. Les plumes du paon mùle poussent à partir de son dos, pas de sa queue. Lorsqu'il fait sa cour, il étale sa queue dans un splendide éventail chatoyant bleu / vert parsemé de marques en forme dñ€ℱÅ“il. Habillez-vous plus joliment pour honorer votre nature sacré Air."** Diana Cooper, auteure du Guide des archanges dans le monde animal édition originale 2007 ; traduction française Éditions Contre-dires, 2018 nous délivre un Message des oiseaux de la troisiÚme dimension Nous voulons que vous compreniez qu'un aiglen'est pas meilleur qu'un moineau. Pas plus qu'un colibri n'estmeilleur qu'un corbeau. Ils vibrent simplement à des fréquencesdifférentes et ont des leçons uniques à vous enseigner. Nousavons choisi les leçons que nous voulons vous transmettre et lamaniÚre dont nous allons vous les présenter, un peu comme unconférencier choisit le sujet qu'il veut enseigner et la façon dontil veut l'enseigner. Vous ÃÂȘtes unique et spécial, quelle quesoit la fréquence à laquelle vous vibrez. Tous les oiseaux de la troisiÚme dimension appartiennent à une groupe d'ùmes et nous enseignent des leçons à les démontrant dans leurs propres vies. Ils viennent de Sirius ou sont descendus sur Terre en passant par cette planÚte. Les paons et les oiseaux de paradis J'aime les paons. Je me souviens du frisson que j'ai ressenti en regardant le coucher du soleil de l'autre cÎté du Gange. Tous les cent mÚtres ou presque, des paons, traÃnant leurs queues magnifiques, émergeaient des arbres pour descendre boire sur la rive. J'étais avec ma fille et nous sommes ensuite allées à Agra, oÃÂč elle a acheté pour moi une plaque de marbre incrustée d'un paon que j'ai encore sur le mur de mon salon. Le paon est un animal flamboyant, magnifique et égoïste. Tous les yeux se tournent vers lui quand il dresse les plumes de sa queue en éventail. Son cri est fort, strident et réclame de l'attention. Cependant, il y a un but plus élevé pour cela. Pendant que tout le monde regarde le mùle, la femelle, plus petite et d'une couleur terne, peut élever leurs petits en toute sécurité. Ainsi, le paon et la paonne démontrent qu'ils peuvent travailler ensemble pour le plus grand bien de tout tout en étant de sexe différent. Ils nous enseignent également que nous devons regarder au-delà des apparences pour voir ce qui se passe réellement. VISUALISATION POUR TIRER DES ENSEIGNEMENTS DES OISEAUX DE TROISIÈME DIMENSIONAménagez un espace oÃÂč vous pourrez vous détendre sans ÃÂȘtre dérangé. Fermez les yeux et dé à un oiseau et appelez-le, mais vous pouvez aussi laisser n'importe quel oiseau apparaÃtre dans votre mentalement à l'oiseau que vous ÃÂȘtes prÃÂȘt à écouter ses enseignements et demandez une communication ou une dé peut chanter pour vous, auquel cas relaxez-vous et laissez le message pénétrer dans votre cÅ“ l'oiseau vous montre une photo, demandez-vous quel est le peut communiquer avec vous par télépathie, alors restez ouvert pour l'oiseau et cherchez-en un de ce type dans votre vie, dans un livre ou à la télé vous en voyez un, sachez que cela vient confirmer qu'il vous apporte un message vous pouvez sortir dans votre jardin, un parc ou la campagne et observer quels oiseaux se présentent à vous.** Pour David Carson, auteur de Communiquer avec les animaux totems, puisez dans les qualités animales une aide et une inspiration au quotidien Watkins Publishing, 2011 ; traduction française Éditions Véga, 2011, le paon appartient à la famille de la Sagesse intérieure, au mÃÂȘme titre que l'hippopotame, le chien, l'aigle, l'ours polaire, le cheval, le coyote, le papillon, la chouette, la salamandre, le saumon, le phoque, la grue, le liÚvre, le tigre, le bÅ“uf et la pieuvre. "Sagesse intérieure Invoquer un esprit animal, c'est éveiller de nouvelles perceptions. Tout phénomÚne naturel, y compris l'animal, est intrinsÚquement mystérieux. L'indicible que recÚle toute forme de vie nous ramÚne aux questions fondamentales sur l'existence. Comment et pourquoi s'est formé le cosmos ? Pourquoi les choses existent-elles plutÎt que le néant comme s'interrogent souvent les philosophes ? La méditation peut nous apporter une conscience silencieuse des vérités qui se cachent derriÚre ces énigmes. Lorsque nous plongeons nos yeux dans ceux d'une autre créature, nous sommes confrontés à de profonds mystÚres, dont l'animal est l'incarnation vivante. Ce chapitre présente les animaux susceptibles de nous guider vers de nouveaux indices et une acuité nouvelle. Si nous sommes prÃÂȘts à nous ouvrir et à écouter, nous pouvons gagner en maturité spirituelle et avancer dans notre voyage intérieur. [...] La taille réelle du corps d'un paon n'est pas plus grande que celle d'un coq adulte, mais ses plumes sont si immenses que sa longueur totale peut dépasser mÚtres. Créature superbe, cet oiseau est une pure merveille. Tel Argus, le géant attentif aux cent yeux de la mythologie grecque, le paon peut revendiquer le titre de chef des yeux ; à Sumatra, on le nomme d'ailleurs paon Argus. Avec sa robe de plumes scintillantes, aux teintes et nuances des plus rares, cet oiseau possÚde un pouvoir hypnotique. Il reste souvent à l'écart, sa longue et magnifique traÃne se transformant en un vibrant éventail de couleurs éblouissantes. Traditionnellement, les prÃÂȘtres invoquaient l'esprit du paon pour faire venir la pluie ; en outre, l'oiseau est réputé pour conférer chance, magnificence, honnÃÂȘteté et sérénité. Ses plumes sont utilisées sur les autels de culte hindous ; parées d'une multitude d'yeux brillants, elles symbolisent la compassion, souvent née de l'observation des besoins d'autrui. Plus particuliÚrement, l'oiseau est associé à la divinité hindoue Murugan, le dieu de la guerre, populaire dans le Sud de l'Inde. Murugan est souvent représenté sur un paon, symbole de l'abnégation de l'ego. Dans le bouddhisme, l'oiseau est associé à Avalokitesvara, le bodhisattva de la compassion. Ceux qui ont le paon pour animal totem avancent sur un chemin sacré, spirituel, et sont emplis d'amour pour la vie entiÚre. Lñ€ℱÅ“il du paon représente le TroisiÚme Å’il, celui qui détruit l'illusion et apporte une compréhension de la vérité universelle. Le paon nous rappelle qu'il nous faut ouvrir nos yeux spirituels et regarder honnÃÂȘtement, avec une vision neuve. Alors, nous sommes en mesure de voir au-delà des limites ordinaires des sens. Nous voyons, entendons et sentons les vibrations supérieures du discernement ; les fausses croyances s'écroulent et une profonde connaissance é Yeux de la compassionMéditation TroisiÚme Å’il Cette méditation contribue à votre évolution personnelle, c'est pourquoi il convient de ne jamais vous auto-critiquer pendant cet exercice. Assurez-vous de ne pas ÃÂȘtre dérangé. Asseyez-vous dans un endroit calme et confortable et faites quelques respirations profondes. Avant d'entamer cette méditation, considérez le paon. Il déambule, son long plumage traÃnant derriÚre lui, puis s'arrÃÂȘte subitement et ouvre ses plumes en éventail, offrant un somptueux ballet d'yeux. Voyez cette image dans votre Å“il mental et projetez-la dans votre front. Adressez une courte priÚre à la Terre, à ses habitants et à ses animaux, et priez pour l'apaisement des souffrances de toute forme de vie. Sentez le calme et la détente vous envahir pleinement. Concentrez-vous sur chaque respiration, inspirant pleinement et profondément. Fermez les yeux et portez votre attention sur un point précis de votre front, entre vos sourcils. Imaginez que vous respirez par ce point. Ouvrez votre état de conscience et concentrez-vous sur votre respiration. Lorsqu'un petit point blanc lumineux apparaÃt à l'intérieur de votre vision, vous ÃÂȘtes sur le seuil. Vous avez entrouvert les portes de la vérité, qui permettent de voir au-delà de l'illusion. En expirant, sentez la lumiÚre se répandre et éprouvez une chaleur dans votre front. Laissez la lumiÚre augmenter, de maniÚre à former une unité. Vous commencez à accepter votre moi véritable, la lumiÚre transcendante qui n'a ni début ni fin - qui a toujours été, et sera toujours. Lorsque vous sentez que vous ÃÂȘtes arrivé au bout de votre méditation, ouvrez lentement vos yeux physiques. Essayez de faire cet exercice chaque jour pendant quelques minutes." ** Dans son jeu de carte L'Oracle du peuple animal Guy Trédaniel Éditeur, 2016, Arnaud Riou regroupe les animaux par famille. Le paon appartient selon lui à la famille de la communication avec l'abeille, le chien, le dauphin, le loup, le chat, l'ara, le faucon, le singe et l'oie sauvage. La communication. La qualité de nos relations dépend en grande partie de la qualité de notre communication. Savez-vous parler de vos besoins, vous positionner, savez-vous demander, poser vos limites, rassembler ? Savez-vous motiver vos enfants, vos partenaires, vos collaborateurs ? Savez-vous parler en public, négocier ? Savez-vous comment sortir de votre comportement boudeur, manipulateur ou flou et développer une posture claire et constructive ? C'est sur cette voie que les animaux de cette famille vont vous inspirer. [...] "Approche-toi, j'ai quelque chose à te dire...", "J'aimerais tellement trouver les mots justes", "Ce n'est pas ce que je voulais dire", "Il ne m'a pas compris", "Je n'ose pas lui avouer", "Comment ne pas le vexer ?" Oser parler et savoir dire est tout un art. L'art de la rhétorique, l'art de prendre la parole en public, de demander, de refuser, de poser ses limites. La vie est plus facile lorsqu'en nous le verbe est fluide et les mots complices de notre pensée. C'est un entraÃnement alors que de trouver les mots justes, la distance juste. C'est tout un art aussi que de maÃtriser le bon rythme, l'art de ponctuer, de laisser en suspension les points de notre histoire ou d'y mettre un point final. C'est tout un art que de respirer avec les virgules, de s'interroger, de s'exclamer ! C'est tout un art de négocier, de définir ses besoins en termes clairs, de poser ses limites, de savoir dire non, de refuser, mais aussi de négocier, de coopérer, d'accepter. Certains animaux ont dominé cet art de la communication. Ils viennent ici nous accompagner dans notre évolution. Chaque fois qu'un animal lié à la communication vous apparaÃt, c'est une occasion d'affiner votre parole, d'apprendre à utiliser le verbe pour exprimer votre pensée, vos besoins et de construire le monde auquel vous aspirez. Les animaux liés à la famille de la communication vont vous aider, vous inspirer et vous proposer d'utiliser cette grande force qu'est la communication. Offre au monde la beauté de ton ùme ;C'est le plus beau cadeau que tu puisses faire à l'humanité.......................................................................................................................La carte [ci-contre] représente un décor d'un autre temps. Nous sommes sur les vestiges d'un temple. La végétation a repris ses droits et les pierres cohabitent harmonieusement avec les arbres. Le soleil vient de se lever sur une journée de printemps, le ciel est dégagé. Le Paon est au centre de la carte. Au lointain, d'autres oiseaux semblent séjourner. Le Paon s'est isolé. Il offre aux regards sa queue magnifique....................................................................................................................... Créature hypnotique venue d'ailleurs, le Paon nous fascine par l'élégance de sa roue. Lorsque cet oiseau magique épanouit sa queue, ce sont cent yeux qui sortent de nulle part pour nous rappeler à l'essentiel. C'est pourquoi la vue du Paon magnétise autant les enfants que les adultes. Si le Paon est synonyme d'élégance, d'excellence et de raffinement, son message dépasse l'image et l'apparence. Lñ€ℱÅ“il que nous montre le Paon est le troisiÚme Å“il, celui de l'intuition et du retour à l'essentiel. Celui qui permet justement de sonder les cÅ“urs et de dépasser notre perception habituelle pour accéder au regard de la magie et du sacré. Le paon nous permet de transcender notre regard ordinaire pour observer le monde avec lñ€ℱÅ“il de la beauté et celui de l'esprit. C'est le regard de la poésie et de la grandeur des ùmes nobles. C'est pour leur lien avec le sacré que les plumes de Paon sont utilisées pour les rituels les plus élaborés, notamment dans les traditions indiennes et tibétaine. Il décore la bompa, vase de purification utilisée dans les cérémonies spirituelles du Vajrayana, ou le véhicule de diamant des bouddhistes tibétains. dans la mythologie grecque, c'est la déesse Héra, la femme de Zeus, qui donna au Paon sa queue en hommage à son serviteur Argos qui avait cent yeux et avait ainsi le pouvoir de surveiller simultanément dans toutes les directions. Le Paon dans sa manifestation nuptiale est également lié à Tchenrezig à mille bras. Le Bouddha de la compassion apparaÃt avec ses mille bras semblables à l'iridescence naturelle de la plume de Paon lorsqu'elle est déployée. C'est pour développer son activité compatissante que Tchenrezig s'est doté de mille bras. C'est pour développer son acuité que le Paon est doté de ses cent yeux. Pour Darwin, le Paon contredisait toute sa théorie de l'évolution. Il est inexplicable en effet que les attributs de cet oiseau si voyant, si bruyant, courant si maladroitement et volant si mal n'aient pas évolué dans la progression des espÚces. Un oiseau de cette nature aurait dû attirer tous les prédateurs. Mais les mystÚres de la nature en ont décidé autrement. Le Paon semble conserver ses secrets et faire de sa beauté sa plus belle protection. De nature solitaire, le Paon vit en petit groupe, mais ressent le besoin constant de s'isoler, comme pour mieux maintenir sa relation avec l'au-delà . Lorsque le Paon vous apparaÃt dans le tirage, c'est souvent de façon soudaine. Il surgit pour vous montrer la beauté. Elle est devant vos yeux, incontournable. Le Paon vous invite à regarder le monde avec les yeux de l'amour et la puissance du cÅ“ur. Il vous rappelle que le beau est partout et qu'il ne tient qu'à vous de l'incarner à travers votre parole, vos gestes et l'élégance de vos actes. Coopérer avec le Paon comme animal totem est le privilÚge des ÃÂȘtres d'exception prédits à une action rayonnante sur la Terre. Le Paon vous aide à accroÃtre votre popularité, votre rayonnement et votre image. Il accompagne les orateurs, les auteurs, les artistes, les organisateurs d'événement et toute personne souhaitant diffuser la beauté sur le monde. Si vous devez parler en public, le Paon vous accompagnera à soigner votre élocution, à trouver les images poétiques les plus pertinentes pour appuyer vos propos, à donner un style littéraire et imagé à vos propos. Lñ€ℱÅ“il que vous ouvre le paon est celui de l'intuition, de l'authenticité et de la vision pure. Le Paon inspire votre perspicacité pour voir au-delà des apparences. Il vous invite à écouter davantage votre sagesse. Il vous aide à ouvrir votre troisiÚme Å“il. Dans tous les cas, le paon vous invite à ouvrir les yeux, ou à les fermer, pour mieux voir. Mots-clés Le sacré - La magie - L'intuition - Le raffinement - La beauté - L'élégance - Le discernement - L'acuité - La vue - La perspicacité - L'aura - La poésie. Signification renversée Le Paon renversé peut vous signaler que vous ne voyez pas ce qui est évident, que vous passez peut-ÃÂȘtre actuellement à cÎté d'une situation qui pourtant vous ferait du bien. Il vous invite à vous concentrer sur votre lumiÚre plutÎt que de ressasser ce qui ne fonctionne pas. Le Paon peut vous signaler que vous vous laissez envahir par des situations ou des ÃÂȘtres qui vampirisent votre énergie vitale. Le paon renversé vous invite à agir à partir de ce qui est possible pour vous. Il peut vous signaler que vous ne voyez pas assez votre beauté ou qu'au contraire, vous vous préoccupez trop de votre image. Le message du Paon Je viens présenter ma beauté à ton regard. La beauté que je te montre dépasse tout ce que tu peux ordinairement voir et mÃÂȘme concevoir. Car pour que la beauté nous apparaisse dans notre quotidien, c'est notre regard que nous devons transformer. Tu sais de quoi je parle, car tu es relié déjà à cette beauté. Tu ressens au plus profond de toi qu'il existe un espace d'absolu harmonie et de magnificence. Toute ton ùme te rappelle que tu as goûté à cet espace en d'autres époques. Tu as cette aspiration à retrouver le beau en toi et autour de toi. Aujourd'hui, je viens te délivrer de ce qui t'empÃÂȘche d'exprimer ta beauté naturellement dans tes actes et dans tes gestes. Collaborer avec le totem du Paon, c'est faire le vÅ“u de l'absolu et du divin. Je suis heureux de te reconnaÃtre. Le rituel du Paon Je rends hommage au Paon. Aujourd'hui, je m'autorise à retrouver dans mon regard la beauté du monde. Je reconnais la beauté de mes gestes. Je m'autorise à laisser rayonner mon image. Je suis digne de célébrer en moi et autour de moi ce qu'il y a de plus beau, de plus raffiné. Je visualise dans ma poitrine une lumiÚre jaune. A chaque inspiration, cette lumiÚre s'intensifie. A chaque expiration, je visualise la roue du paon se développer à partir de ma poitrine. Celle-ci densifie mon aura, la colore, la régule. Je sens ainsi autour de mon ÃÂȘtre une aura lumineuse semblable à celle de la roue du Paon." ** Pour Melissa Alvarez, auteure de A la Rencontre de votre Animal énergétique LLewellyn Publications, 2017 ; traduction française Éditions Véga, 2017, le Paon est défini par les caractéristiques suivantes Traits Le Paon symbolise la projection astrale les rÃÂȘves lucides, le rÃÂȘve éveillé, les objectifs et les mouvements entre les royaumes visible et invisible. Le paon est un gros oiseau, trÚs voyant et ostentatoire, avec une queue de m appelée sa traÃne qu'il perd aprÚs chaque saison des amours. "Paon" est aussi le nom donné à plusieurs espÚces de cette mÃÂȘme famille les phasianidés. Le mùle s'appelle "paon", la femelle "paonne" et les petits "paonneaux". Ces gros volatiles peuvent voler sur de courtes distances. Les motifs des plumes de leur traÃne ressemblent à des yeux, ce qui veut dire que vous avez une grande perspicacité, que vous ÃÂȘtes intuitif et mÃÂȘme souvent clairvoyant, et que vous avez de formidables visions et révélations. Talents Beauté ; Coloré ; Détermination ; Endurance ; Mode ; Éclatant ; Glamour ; Grùce ; Patience ; Autodiscipline ; Attire l'attention ; A du style ; Vibrant ; Vivacité. Défis Arrogant ; Faux ; Hautain ; Vaniteux. Élément Terre. Couleurs primaires Bleu ; Vert ; Blanc. Apparitions Le Paon est connecté aux royaumes spirituels. Lorsqu'il se présente à vous, cela veut dire que vous devez vous lancer davantage dans l'apprentissage et la compréhension de ce qui touche la spiritualité, l'intuition, le rÃÂȘve, la projection astrale, la transformation et la façon d'approcher la vie à partir d'un espace en vous de joie et d'amour. En grandissant depuis cet espace en vous, votre lumiÚre intérieure deviendra plus éclatante et, comme le paon, vous brillerez de toute votre magnifique gloire intérieure. Le paon est un oiseau déterminé, ce qui veut dire que vous ne devez jamais abandonner les quÃÂȘtes dans lesquelles vous vous ÃÂȘtes lancé. Et mÃÂȘme, vous devriez faire valoir vos compétences pour obtenir ce que vous voulez. En matiÚre d'amour, le paon lance un cri de coït lorsqu'il s'accouple. Pour attirer à lui davantage de paonnes, il va lancer de faux cris pour qu'elles croient qu'il est trÚs affairé, bien plus qu'il ne l'est en réalité. C'est là une façon trÚs inventive de chercher à plaire à la gent féminine. Lorsque le paon apparaÃt, cela veut dire que vous ÃÂȘtes peut-ÃÂȘtre un peu trop vaniteux. Rabaissez votre prétention et revenez à la modestie pour retrouver un équilibre. Aide Vous avez besoin d'une aide, quelle qu'elle soit. Le cri du paon résonne comme s'il était en train d'appeler à l'aide "Hé, ho, hé, ho, hé ,ho !". Mais bien que ce cri ressemble à une demande d'aide, sa signification symbolique est que l'aide dont vous pouvez avoir besoin est là il vous suffit de demander l'assistance du paon pour l'obtenir. Lorsque vous vous sentez d'humeur maussade ou triste, le paon peut redonner de la vitalité à l'estime que vous avez de vous-mÃÂȘme. Il va vous stimuler et vous faire avancer dans un esprit positif. Si vous vous sentez abattus, vous ne serez pas longtemps déprimé parce que l'éclatant sens du spectacle du paon va allumer en vous une flamme colorée qui va vous pousser à aller de lñ€ℱavant. Le paon signifie également que vous ÃÂȘtes protégé de toute négativité que vous pourriez rencontrer, que vous avez de la chance dans votre vie, que vous pouvez ÃÂȘtre populaire et au centre de l'attention. A travers toutes ces expériences, n'oubliez pas de rester sincÚre envers vous-mÃÂȘme et vos idéaux pour que, lorsque vous perdez votre beauté, de la mÃÂȘme façon que le paon perd sa traÃne, vous restiez magnifique à l'intérieur. Fréquence L'énergie du paon est le battement régulier d'une grosse caisse, lñ€ℱaugmentation graduelle, progressive, de la résonance d'une corde de harpe. Il se tient avec grandeur, fierté, et se pavane de son élégance. Cela donne la sensation d'un feu qui enflamme votre Vous ÃÂȘtes en train de visiter un parc en dehors de la ville, lorsque vous remarquez un oiseau bleu avec des ailes aux plumes grises et blanches et une longue traÃne derriÚre lui. Ils sont quelques-uns pas loin les uns des autres qui vont de-ci de-là en picorant sur le sol. Les paonnes ont seulement des couleurs irisées autour du cou et leurs corps est d'un gris brunùtre. Vous sortez votre portable et vous vous préparez à filmer le paon au cas oÃÂč il déciderait de faire son spectacle. Vous n'ÃÂȘtes pas déçu. Le gros mùle se dirige vers une paonne, il lÚve sa traÃne et déploie ses plumes en éventail tout autour de lui, en laissant ses ailes tomber vers le sol. Il se pavane, secoue ses ailes et agite dans l'air les plumes de sa traÃne. La paonne le remarque, mais elle s'éloigne. Le paon la suit, en accentuant ses efforts pour lui faire sa cour afin d'obtenir son attention. Il se met à tourner autour d'elle pour lui montrer tout lĂąâ‚Źâ„ąĂƒÂ©clat de ses plumes. Lorsqu'elle se remet à manger et s'en va errer plus loin, il ramÚne sa traÃne vers le sol, rabat les plumes de ses ailes sur le dessus et se met lui aussi à picorer sur le sol.*Symbolisme celte Pour Sabine Heinz, auteure de Les Symboles des Celtes, édition originale 1997 ; traduction française Guy Trédaniel Éditeur, 1998, "Le paon, surtout apprécié en Orient Perse, Chine, fait partie des oiseaux qui apparaissent le plus souvent sur les blasons. Il est lié au culte du soleil. Son superbe éventail de plumes peur symboliser soit le firmament soit la roue solaire. La tradition ne nous a transmis que peu d'éléments concernant les cultes celtiques, entre autres celui du soleil. Dans la littérature, on trouve également peu de références au paon. Le fait que les représentations de paons soient trÚs connues vient essentiellement du fait que l'on se servit souvent de cet animal pendant la christianisation. Il devient alors le symbole de l'immortalité, sa queue portant les couleurs de l'arc-en-ciel. En héraldique, il représente la fierté." D'aprÚs Divi Kervella dans EmblÚmes et symboles des Bretons et des Celtes 2001, Le paon est "l'insigne emblématique qui fut l'origine celui de la maison de Rennes, une des familles régnantes de Bretagne Xe-XIe siÚcles. On sait que le duc Konan Ier le Tort 958-992 portait trois plumes de paon à son casque. La plume de paon est un motif de la broderie bigoudÚne, dérivé du motif de la palmette. Il combine les cornes de bélier surmontées de demi-cercles concentriques. Il est considéré comme l'emblÚme du pays bigouden."*Symbolisme alchimique D'aprÚs Patrick RiviÚre, auteur de L'Alchimie, science et mystique Éditions De Vecchi, nouvelle édition augmentée 2013, "cet oiseau superbe fut consacré à Junon, l'épouse de Jupiter. Dom Pernéty, dans son Dictionnaire Mytho-Hermétique, nous conta admirablement son aventure "Cette Déesse Junon jalouse demanda à Jupiter la nymphe Io changée en vache, et aprÚs l'avoir obtenue, elle la donna en garde à Argus qui avait cent yeux. Jupiter chargea Mercure de la défaite de ce gardien importun. Mercure le fit en effet périr, et Junon transporta ses cent yeux sur la queue du Paon." C'est toute l'allégorie du TroisiÚme Å’uvre oÃÂč les couleurs du paon se succÚdent à l'intérieur du vase philosophal dans la voie humide, réalisée traditionnellement sur un feu de lampe. Quant à l'ours, au sanglier, au bélier, à l'ùne, au loup, au chien et à la tortue, le symbolisme en est le mÃÂȘme, puisqu'il rejoint celui du dragon qui concerne directement la Prima Materia ou matiÚre brute du Grand Å’uvre alchimique." Pour en savoir davantage sur la complexité de ce symbole en alchimie, vous pouvez lire l'article suivant, tiré du site onirique Selon Georges Romey, auteur du Dictionnaire de la Symbolique, le vocabulaire fondamental des rÃÂȘves, Tome 1 couleurs, minéraux, métaux, végétaux, animaux Albin Michel, 1995,  Tous les trésors accumulés au cours des ùges de la terre par la nature ou par la main des hommes, par les rÃÂȘves de ceux-là , par leurs imaginations les plus ruisselantes de pierreries, toutes les étoiles de tous les infinis de la rÃÂȘverie, toutes les parures naturelles ou créées par l'homme, tous les reflets de tous les aciers bleus, de toutes les matiÚres brillantes, tous les yeux, toutes les fleurs colorées, le paon les porte ñ€“ ou les supporte ñ€“ sur sa queue déployée. Des siÚcles d'expression littéraire ont déversé sur ses plumes la charge de tous les trésors du monde. Et tous les trésors du monde, mÃÂȘme littéraires, sont un pesant fardeau. » Par ces phrases colorées s'ouvrait, dans Le Test de l'Arche de Noé, le chapitre concernant le paon. Par elles, nous tentions de réaliser la synthÚse de ce que nous avions ressenti au cours de nos recherches parmi les métaphores inspirées aux poÚtes par l'oiseau de Junon. A l'instant oÃÂč s'achÚvent nos investigations relatives à ce symbole dans le rÃÂȘve éveillé, comme nous souhaiterions pouvoir nous appuyer sur un matériau d'une richesse égale à celle dont s'entoure l'oiseau littéraire ! Les faits, cependant, n'exauceront pas un tel vÅ“u. Le poÚte ne voit pas le paon il le rÃÂȘve ! Le rÃÂȘveur ne rÃÂȘve pas le paon, il le voit ! La formule paraÃtra facile. Elle propose pourtant l'approche la plus objective de la symbolique de l'oiseau aux cent yeux. Le paon est un centre d'inspiration à partir duquel le poÚte déploie les inépuisables métaphores de la profusion colorée. L'oiseau rÃÂȘvé ne favorise pas ces envols dans les lumiÚres multipliées. Il est un signe douloureux. Il témoigne d'une aspiration déçue, de l'échec d'un rÃÂȘve de paraÃtre. La nature symbolique d'une image ne varie pas. Le poÚte pourra disperser à l'infini les joyaux de son inspiration, le rÃÂȘveur pourra se préserver de l'inflation imaginative, il ne s'agira, chez l'un comme chez l'autre, que d'une différence d'attitude. Les projections auxquelles se prÃÂȘte le symbole sont immuables. S'il fallait réduire l'introduction lyrique de cet article au point de n'en conserver qu'une image, nous garderions les yeux. S'il fallait concentrer les plus belles allégories inspirées aux poÚtes par le paon en un seul mot, nous choisirions regard. Nous montrerons plus loin, que l'oiseau, dans les rÃÂȘves, ne prend son plein sens que lorsqu'il accompagne l'aveu d'un regard attendu. Notre projet, consistant à ne tenir compte que des observations cliniques pour établir les interprétations d'images, peut supporter quelques dérives. Le paon incite à de si jolies dérives ! Une trÚs ancienne tradition chinoise affirme que le regard de l'oiseau est tellement pénétrant qu'il suffit à féconder une femme. Ovide relate ainsi la victoire de CyllÚne sur Argus, le veilleur aux cent yeux  Argus, tu gis inanimé, toute la lumiÚre, pour tant de prunelles, s'est éteinte et sur tes cent yeux s'appesantit une mÃÂȘme nuit. La fille de Saturne les recueille et les place sur les plumes de son oiseau... » D'innombrables Å“uvres littéraires associent les étoiles, les yeux et les plumes du paon. Une citation de Gaston Bachelard constituera la transition opportune entre les images du poÚte et les productions oniriques  Que de fois, dans nos recherches sur l'imagination, nous avons surpris cette inversion de la beauté contemplée soudain, c'est ce qui est beau qui regarde... ! » L'admiration pour ce qui est beau contient l'aveu du désir d'ÃÂȘtre contemplé. Cette affirmation est une borne qui marque la fin de la route sur laquelle le paon littéraire et le paon du rÃÂȘve cheminaient ensemble. Là , leurs chemins se séparent et, pour l'essentiel, leurs traductions divergent ! Elles se rejoindront, au terme de l'analyse, aprÚs s'ÃÂȘtre déployées sur des champs bien distincts. Le paon des Å“uvres littéraires baigne dans les brillances d'une imagerie superlative qui trahit un narcissisme secrÚtement exalté. Un narcissisme qui incite le Moi à se donner à voir les images les plus belles pour avoir le plaisir de se reconnaÃtre en elles. L'esthétisme, souvent, se fait complice de l'auto-contemplation. Il sera facile de montrer que l'oiseau de Junon, lorsqu'il apparaÃt dans le rÃÂȘve, dirige aussi la traduction vers les valeurs du paraÃtre, mais les images qui l'entourent, loin dĂąâ‚Źâ„ąĂƒÂ©difier les décors de la magnificence, s'attachent à maintenir une atmosphÚre de sobriété, une ambiance un peu triste, mÃÂȘme, par lesquelles s'exprime la navrance d'une attente déçue. Nos recherches dans les deux univers, littéraire et onirique, imposent une constatation. Les Å“uvres littéraires peuvent ÃÂȘtre rangées en deux grandes classes les Å“uvres littéraires peuvent ÃÂȘtre rangées en deux grandes classes les Å“uvres inspirées et les Å“uvres raisonnées. On nous pardonnera cette simplification. Les scénarios de rÃÂȘve éveillé peuvent faire l'objet de la mÃÂȘme classification. Certains rÃÂȘves se développent trÚs librement, au fil de l'inspiration, d'autres restent assujettis au contrÎle mental. Curieusement, le paon littéraire apparaÃt dans les Å“uvres inspirées et le paon onirique dans les scénarios raisonnés. Le paon rÃÂȘvé, lui aussi, conduit au regard. Un rÃÂȘveur qui voit l'oiseau de Junon est sur le point d'admettre qu'un regard lui a manqué. Le symbole est un auxiliaire inséparable du besoin d'ÃÂȘtre remarqué. La parure du paon rÃÂȘvé est lourde de la souffrance de n'avoir pas été vue.  ñ€© Des poules, des canards, tout ça... et puis, là , je vois un paon, qui fait la roue... et un dessin fait par ma mÚre, avec un paon, une girafe, un éléphant... plein d'animaux.... [ñ€©] Maintenant, je revois le bureau du prof de sciences nat... avec un crùne posé dessus... J'ai le souvenir d'un malaise, à l'école, en permanence.... le besoin d'ÃÂȘtre remarqué et la peur de l'ÃÂȘtre !... La ligne blanche qui délimitait la cour des grands et celle des petits... l'obligation de se mettre en rang avant d'entrer... les portemanteaux, tout au long du couloir... c'était l'uniformité... le manque d'identité... les deux cÎtés de la cour d'un cÎté les échecs, les humiliations... de l'autre, les réussites... un cÎté négatif et un cÎté positif, trÚs tranchés... c'est marrant ! Tout un cÎté valorisant et un cÎté culpabilisant.. je sors, maintenant, du cÎté valorisant... » Qu'ils sont loin les ruissellements de pierreries dont s'enorgueillit le paon littéraire ! Ici, le symbole affiche gravement sa liaison avec les valeurs du paraÃtre et de l'ÃÂȘtre, du regard quÃÂȘté et du regard redouté. Cette association se fait encore plus explicite dans un scénario de la cure de William  ñ€© Là , c'est drÎle, je n'ai plus d'image... j'ai vu un cercle rouge avec des lettres dorées... et puis... plus rien ! Rien qu'une pensée, qui tourne autour... du paraÃtre !... Le paraÃtre aussi a droit de vie ! Ce qu'il faut c'est ne pas en tirer satisfaction... on ne peut pas laisser qui que ce soit juger sur le paraÃtre mais le refuser c'est aussi... c'est s'amputer de quelque chose... c'est empÃÂȘcher sa réalisation complÚte... je fais une association bizarre j'ai eu l'autre jour une attitude un peu obséquieuse vis-à -vis du président. Il m'a dit  Votre humilité est excessive. » Il a raison, je dois corriger ça... [ñ€©] Là , je vois les plumes d'un paon, bleues, avec ce petite centre super-brillant, comme un Å“il... je suis trÚs profond, là ... à la lisiÚre du sommeil... » La corrélation entre le paon rÃÂȘvé et les valeurs d'apparence s'exprime ainsi, clairement, dans 70% des scénarios pris en référence. Un homme de cinquante-cinq ans, qui a perdu sa mÚre lorsqu'il avait dix-huit mis, expose, sans en ÃÂȘtre conscient, en quelques images, sa quÃÂȘte douloureuse d'un regard de mÚre  ñ€© Je vois, là , une sorte d'enclume qui se met à tourner sur elle-mÃÂȘme, comme un tourbillon... elle est le lieu de colorations diverses... cela évoque les plumes du paon, mouchetées... y a du rouge, du bleu foncé, du gris... et... c'est bizarre, une sorciÚre traverse cet endroit... elle est en robe marron... elle passe sans faire attention à moi... et, maintenant, je suis dans un cimetiÚre... je cherche quelque chose.. je ne sais pas quoi... » Dans l'article consacré au marron, nous montrons que cette couleur exprime une altération de la relation positive l'image maternelle. La sorciÚre vÃÂȘtue de marron ne peut ÃÂȘtre que la mÚre dont la disparition fut, pour l'enfant, synonyme d'abandon. Sans faire attention à moi ! La plante fait écho au malaise d'Alain, le besoin d'ÃÂȘtre remarqué et la peur de l'ÃÂȘtre. On retiendra cette ambivalence, qui s'amplifie lorsqu'on la mesure à l'échelle de l'histoire des civilisations. La survie de l'individu, dans le cadre de la vie sauvage, dépend de son aptitude à passer inaperçu. Son épanouissement, dans la société, tend à dépendre, de plus en plus, de sa capacité à se faire remarquer ! Étrange renversement ! ÃƠtre c'est devenir. Devant l'image du paon, cette proposition, par laquelle je résume l'efficience évolutive, se brise sur la formule de George Berkeley  ÃƠtre, c'est ÃÂȘtre perçu. » Devenir, c'est vivre l'ÃÂȘtre jusqu'en ses renoncements et ses oublis. Comment pourrait-on renoncer, quand le Moi reste à l'ancrage de frustrations lamentables ? Ne sera jamais vraiment vu que celui ou celle dont l'ÃÂȘtre ne dépend plus d'un regard extérieur. Le narcissisme, aprÚs tout, n'est peut-ÃÂȘtre qu'une réponse désespérée au besoin insatisfait d'ÃÂȘtre regardé ! Alors le paon rÃÂȘvé rejoint le paon des poÚtes.* L'oiseau de Junon, dans le rÃÂȘve éveillé, intervient lorsque l'imaginaire engage le patient dans une dialectique du paraÃtre et de l'ÃÂȘtre qui ne pouvait se développer avant la prise de conscience de la privation. On s'étonnerait légitimement si nous ne faisons aucune mention concernant le paon de l'imagerie alchimique. La cauda pavonis ou queue de paon symbolisait, pour celle-là , l'avant-dernier stade de la réalisation de l'Å’uvre. Elle était l'exposition simultanée de toutes les couleurs, précédant leur intégration dans le lapis, la pierre blanche. Nous n'avons pas recueilli d'images oniriques qui autoriseraient un rapprochement avec celles de l'alchimie, si l'on excepte, bien entendu, la commune énumération des couleurs. La teinte dominante de l'oiseau de Junon, dans les rÃÂȘves est le bleu. Le poÚte qui s'étourdit dans la féerie colorée, le patient qui gravement des images pesantes, révÚlent l'un et l'autre, à travers l'évocation du paon, ce que leur a coûté l'absence d'un regard. Le praticien qui recueille le symbole, en observant les contenus du scénario, mettra trÚs vite une personne autour de ces yeux-là . Le paon apporte l'unique antidote du besoin d'ÃÂȘtre vu l'ouverture de lñ€ℱÅ“il intérieur. Ici, le psychologue a rejoint l'alchimiste ! **Oracle Carte extraite du Tarot persan de madame Indira, le paon fait partie des arcanes majeures. Voici l'interprétation qu'en donne le site "Le paon est un oiseau originaire dñ€ℱAsie. Il est connu pour ses couleurs brillantes et sa queue magnifique quñ€ℱil peut déployer en forme de roue solaire. D'aprÚs la mythologie grecque, les  yeux » visibles sur la queue du paon y furent placés par Héra pour commémorer son fidÚle gardien, Argos, qui avait cent yeux. Il est considéré et respecté par les uns qui lui accordent le pouvoir du  troisiÚme Å“il » et craint par les autres qui voient en lui  le mauvais Å“il »." Carte extraite du Grand Tarot impérial dont le site propose la signification suivante "Symbole de résurrection et de bonne vitalité, cet arcane promet un renouveau dans les domaines concernés ou sur le thÚme de la question. Un renouveau qui peut sñ€ℱeffectuer par le biais dñ€ℱautrui. Le consultant va enfin aller de lñ€ℱavant, ne sera plus freiné par le passé ou la nostalgie qui le tiraillait derniÚrement. CÎté vitalité, un mieux important est à noter. Vous vous ressentez revivre, une seconde jeunesse sñ€ℱoffre à vousñ€©."**Littérature Le Geai paré des plumes du paonUn paon muait un geai prit son plumage ; Puis aprÚs se l'accommoda ; Puis parmi d'autres paons tout fier se pavana, Croyant ÃÂȘtre un beau personnage. Quelqu'un le reconnut il se vit bafoué, Berné, sifflé, moqué, joué Et par messieurs les paons plumé d'étrange sorte ; MÃÂȘme vers ses pareils s'étant réfugié, Il fut par eux mis à la porte. Il est assez de geais à deux pieds comme lui, Qui se parent souvent des dépouilles d'autrui, Et que l'on nomme plagiaires. Je m'en tais, et ne veux leur causer nul ennui Ce ne sont pas là mes de La Fontaine, Fables, Livre IV, 9, 1668. Le Paon se plaignant à JunonLe paon se plaignait à Déesse, disait-il, ce n'est pas sans raison Que je me plains, que je murmure Le chant dont vous m'avez fait don DéplaÃt à toute la nature ; Au lieu qu'un rossignol, chétive créature, Forme des sons aussi doux qu'éclatants, Est lui seul l'honneur du printemps. Junon répondit en colÚre  Oiseau jaloux, et qui devrais te taire, Est-ce à toi d'envier la voix du rossignol, Toi que l'on voit porter à l'entour de ton col Un arc-en-ciel nué de cent sortes de soies, Qui te panades, qui déploies Une si riche queue, et qui semble à nos yeux La boutique d'un lapidaire ? Est-il quelque oiseau sous les cieux Plus que toi capable de plaire ? Tout animal n'a pas toutes propriétés. Nous vous avons donné diverses qualités Les uns ont la grandeur et la force en partage ; Le faucon est léger, l'aigle plein de courage ; Le corbeau sert pour le présage ; La corneille avertit des malheurs à venir; Tous sont contents de leur ramage. Cesse donc de te plaindre ; ou bien, pour te punir, Je t'Îterai ton de La Fontaine, Fables, Livre II, 17, Paon, la Colombe et le RossignolLes avantages extérieurs ne sont rien, en comparaison de ceux du cÅ“ur et de lñ€ℱ cher à Junon, roi dñ€ℱune basse-cour, Sñ€ℱy pavanait tout à son aise, Se contemplant, plein dñ€ℱorgueil et dñ€ℱamour. Pigeons, poulets, dindons, peuple, par parenthÚse, Non moins stupide que ce roi, Il voyait tout dans lñ€ℱesclavage Recevoir humblement sa loi ; Tous, les regards fixés sur son brillant plumage, Lui payaient un constant hommage. Quand tout à coup le chantre ailé des bois, Égaré loin de son bocage, Vint prÚs de là chercher un peu dñ€ℱombrage. Notre Paon dédaigneux lui cria dñ€ℱune voix Qui faillit effrayer lñ€ℱaimable solitaire ñ€” Pauvre petit, dans mes états, Je veux bien tñ€ℱaccorder un abri tutélaire. Ah ! que je te plains ! tu nñ€ℱas pas De quoi bénir la nature ta mÚre. Pourquoi te mettre sur la terre Si faible, si pauvre, si laid ? Un bout de mon aigrette, un brin de mon plumage, Le plus menu de mon duvet Eût de magnificence orné tout ton corsage ; Tñ€ℱeût chargé dñ€ℱun manteau pompeux. Le Rossignol lui dit ñ€” Jñ€ℱadmire lñ€ℱopulence Dont vous ont fait présent les Cieux. Si vous en ÃÂȘtes digne, eh bien ! régnez, tant mieux! Je ne cherche point la puissance ; Moins on est, plus on est heureux. ñ€” Une Colombe, sous lñ€ℱombrage, Avait tout écouté, dans son simple ramage, Elle voulut de ce Paon orgueilleux Corriger le sot verbiage. ñ€” Paon, dit-elle, cñ€ℱest vrai, votre habit est fort beau ; Mais lñ€ℱhabit fait-il le mérite ? Quand vous chantez, on vous évite, Et lñ€ℱon dit tout bas Le fourreau Est pompeux ; mais il cache un pauvre personnage. Lorsque mon jeune ami chante au fond du bocage, Tous les habitants du hameau PrÃÂȘtent lñ€ℱoreille à son ramage. Durant la nuit, pour en jouir, Tout se plonge dans le silence Le lion cesse de rugir, Lñ€ℱautan retient sa violence, La lune mÃÂȘme qui sñ€ℱavance Sur son char parsemé de feux, Semble sñ€ℱarrÃÂȘter dans les cieux Et goûter la vive cadence De ses transports harmonieux. Jouissez de votre plumage, Beau sire, il nñ€ℱen est point jaloux ; Mais la nature, en apanage, En lui donnant un chant si doux, Lñ€ℱa partagé plus noblement que et beauté sont pour la créature Des présents qui viennent des Cieux ; Mais le talent, une ùme sage et pure, Un bon cÅ“ur, nous parent bien Louis-Maximilien Duru,  Le Paon, la Colombe et le Rossignol », Fables nouvelles, ou Leçons dñ€ℱun maÃtre à ses élÚves, 1855.**Dans ses Histoires naturelles 1894, Jules renard propose une galerie de portraits animaliers saisissants Le paon Il va sûrement se marier aujourdñ€ℱhui. Ce devait ÃÂȘtre pour hier. En habit de gala, il était prÃÂȘt. Il nñ€ℱattendait que sa fiancée. Elle nñ€ℱest pas venue. Elle ne peut tarder. Glorieux, il se promÚne avec une allure de prince indien et porte sur lui les riches présents dñ€ℱusage. Lñ€ℱamour avive lĂąâ‚Źâ„ąĂƒÂ©clat de ses couleurs et son aigrette tremble comme une lyre. La fiancée nñ€ℱarrive pas. Il monte au haut du toit et regarde du cÎté du soleil. Il jette son cri diabolique Léon ! Léon !Cñ€ℱest ainsi quñ€ℱil appelle sa fiancée. Il ne voit rien venir et personne ne répond. Les volailles habituées ne lÚvent mÃÂȘme point la tÃÂȘte. Elles sont lasses de lñ€ℱadmirer. Il redescend dans la cour, si sûr dñ€ℱÃÂȘtre beau quñ€ℱil est incapable de rancune. Son mariage sera pour demain. Et, ne sachant que faire du reste de la journée, il se dirige vers le perron. Il gravit les marches, comme des marches de temple, dñ€ℱun pas officiel. Il relÚve sa robe à queue toute lourde des yeux qui nñ€ℱont pu se détacher dñ€ℱelle. Il répÚte une derniÚre fois la cérémonie. ** Nicolas Bouvier dans son récit de voyage intitulé Le Poisson-Scorpion Co-Éditions Bertil Galland et Gallimard, 1982 ; Éditions Gallimard, 1996 livre sa vision particuliÚre du paon "La nuit était royale ; la mer étale et silencieuse. A quelques pas de moi, perché sur l'angle de la balustrade, un paon dormait la tÃÂȘte sous l'aile. De temps en temps un frisson parcourait son plumage de la tÃÂȘte aux ocelles comme s'il était aux prises avec un mauvais rÃÂȘve. Dans mon dos, la chambrée était plus bruyante qu'une voliÚre. [ñ€©] Je battais un peu la campagne à me demander ce que je pouvais bien faire ici. Ce paon aussi, je le regardais, flairant je ne sais quelle supercherie. Malgré sa roue et son cri intolérable, le paon n'a aucune réalité. PlutÎt qu'un animal, c'est un motif inventé par la miniature mogole et repris par les décorateurs 1900. MÃÂȘme à l'état sauvage ñ€“ j'en avais vu des troupes entiÚres sur les routes du Dekkan ñ€“ il n'est pas crédible. Son vol lourd et rasant est un désastre. On a toujours l'impression qu'il est sur le point de s'empaler. A plein régime il s'élÚve à peine à hauteur de poitrine comme s'il ne pouvait pas quitter cette nature dans laquelle il s'est fourvoyé. On sent bien que sa véritable destinée est de couronner des pùtés géants d'oÃÂč s'échappent des nains joueurs de vielle, en bonnets à grelots. Je mourrai sans comprendre que Linné l'ait admis dans sa classification..."**

demain nous appartient en avance 958