đ Comment ReconnaĂźtre Un Sorcier Dans La Famille
RĂ©ponse Lâapostasie, un terme qui vient du grec apostasia, signifie « dĂ©fiance Ă lâĂ©gard dâun systĂšme ou dâune autoritĂ© Ă©tablie, rĂ©bellion, renoncement Ă ou violation de sa foi ». Au 1er SiĂšcle, il sâagissait dâun terme technique pour une rĂ©volte ou dĂ©fection politique. Tout comme Ă cette Ă©poque, lâapostasie
Ily avait dans le mĂȘme quartier que moi, une famille composĂ©e d'un homme, de deux femmes et de plusieurs enfants. Un sorcier, arrivĂ© dans un lieu ne cherche qu'Ă tuer, qu'Ă dĂ©truire car un sorcier est une personne animĂ©e de l'esprit de mercenaire (Jean 10 : 10 - 11). J'avais donc en projet de dĂ©truire cette famille et j'attendais le
Latendance dans nombreux cas consiste Ă neutraliser ces attaques nĂ©gatives. Pour reconnaĂźtre les victimes de la magie noire, il faut observer quâelles ont des troubles se dĂ©pendance religieuse et une libertĂ© limitĂ©e par ce sentiment de prĂ©diction. Elles vivent en permanence avec la peur et lâincertitude, interprĂštent a la limite de
MĂȘmeune Ă©valuation grossiĂšre peut vous fournir les bases dâune bonne consultation. Regardez donc prudemment les rĂ©ponses de votre sujet Ă vos dĂ©clarations. Vous apprendrez rapidement Ă reconnaĂźtre lorsque vous aurez fait mouche ! Allez Ă la pĂȘche. Un bon moyen pour obtenir du sujet quâil vous parle de lui. Ensuite vous reformulez
TevoilĂ une liste dâopinions sur comment reconnaĂźtre un sorcier. Toi aussi, tu as la possibilitĂ© dâexprimer ton opinion sur ce thĂšme. Tu peux Ă©galement retrouver des opinions sur comment reconnaĂźtre un sorcier et dĂ©couvrir ce que les autres pensent de comment reconnaĂźtre un sorcier.
MisĂ jour le 25 fĂ©vrier 2021. En 1782, Anna Göldin est dĂ©capitĂ©e, soupçonnĂ©e d'avoir pratiquĂ© de la magie noire contre un mĂ©decin qu'elle accusait de viol. 200 ans plus tard, elle est innocentĂ©e et fait l'objet d'une exposition dans un musĂ©e, pour une injustice que trop de femmes ont subi au Moyen-Ăge. Voici une histoire parmi
LeSouverain des hommes . Dieu des hommes , contre le mal du mauvais conseiller , furtif, qui souffle le mal dans les poitrines des hommes , quâil (le conseiller) soit un djinn, ou un ĂȘtre
Ilexiste aussi des outils payants pour vous aider Ă connaĂźtre vos origines, comme la recherche par ADN proposĂ©e par des sites comme igenea.com. LâADN peut ĂȘtre un outil prĂ©cieux pour les recherches gĂ©nĂ©alogiques, mais cette pratique est onĂ©reuse. Finalement, il reste des moyens incontournables pour connaitre ses origines et en
Cest quoi un manchot, câest quoi un pingouin ? Les manchots sont des oiseaux de la famille des sphĂ©niscidĂ©s. Ils vivent uniquement dans lâhĂ©misphĂšre Sud, en Antarctique notamment. Aucune des 18 espĂšces de cette famille ne volent. Alors que les pingouins, eux, vivent dans lâhĂ©misphĂšre Nord, principalement sur les falaises des cĂŽtes de la Manche et de
Endroit, lâadoption simple est le seul cas qui permette Ă un enfant dâavoir plus de deux parents â les gĂ©niteurs doivent donner leur accord. Mais seuls les parents adoptants dĂ©tiennent l
Lafolie. Les premiers symptĂŽmes du sort de folie sont les petits oublis et les distractions. Mais on retrouve trĂšs vite dâautres symptĂŽmes dans lâĂ©locution et le regard qui peut rester fixe et vide. Les victimes ne tiennent pas en place et ont constamment envie de changer de lieu. Elles ne se sentent bien nulle part.
LesmalĂ©dictions familiales, 2Ăšme partie : ReconnaĂźtre et briser les liens de famille. Suite de la 1Ăšre partie : Les malĂ©dictions familiales, 1Ăšre partie : les manifestations. Les liens de familles sont un ensemble de maladies, de malĂ©dictions, de frustrations, opĂ©rant au sein dâune famille (principalement), dâun peuple, par le
Commentse libérer des malédictions et de leurs influences. Ce point est subdivisé en trois grandes parties : Les mesures pour brises les malédictions. S'occuper de la malédiction : il faut prier sérieusement, agressivement et d'une maniÚre fervente pour briser et révoquer la malédiction. Jacques 5 : 16-18.
Dansla rĂ©alitĂ© non, elles nâĂ©taient que de braves femmes connaissant les plantes et sâen servant pour soulager leurs semblables, nâĂ©tant la plupart du temps que des guĂ©risseuses, bien souvent bĂ©nĂ©voles, Mais ce que lâignorance, la superstition, la jalousie, la mĂ©chancetĂ©, la bĂȘtise humaine en ont fait, oui. Entrons donc dans le mythe: Un sorcier ou une sorciĂšre est une
Cest juste que dans nos vies pressĂ©es on en oublie le respect de base. Lâesprit du âmoi dâabordâ prend le dessus. Lâinstinct de protection agit plus vite que son ombre et la remarque piquante est dĂ©jĂ sortie des lĂšvres de lâagresseur. Bien
7Bx4. Les malĂ©dictions familiales RECONNAITRE ET BRISER LES LIENS DE FAMILLE les malĂ©dictions familiales ne sont plus une fatalitĂ© si nous sommes en Christ. I- DĂ©finition Les liens de familles sont un ensemble de maladies, de malĂ©dictions, de frustrations, opĂ©rant au sein dâune famille principalement, dâun peuple, par le canal dâesprits appelĂ© esprits de familles. Ces liens se manifestent souvent par des similitudes qui vont dâune gĂ©nĂ©ration Ă une autre. Câest pourquoi nous remarquons souvent certaines familles dans lesquelles les membres sembles ĂȘtre sujets par exemple Ă la mort prĂ©coce, c'est-Ă -dire que les membres de cette famille meurent trĂšs souvent jeunes et dans presque les mĂȘme conditions. Et cela de pĂšre en fils. Le simple fait dâappartenir Ă cette famille vous fait directement hĂ©riter de cette situation qui semble ĂȘtre propre Ă votre famille. Dans dâautres familles on a comme lâimpression que les membres sont vouĂ©s Ă lâĂ©chec de gĂ©nĂ©ration en gĂ©nĂ©ration, aucun dâeux ne finit jamais ce quâil entreprend. Il y a comme un mur invisible qui les empĂȘche dâaller au-delĂ de la position dans laquelle ils se trouvent. On entend souvent dire personne dans ma famille nâa jamais rĂ©ussit Ă atteindre lâuniversitĂ© » ou dans ma famille tout le monde souffre de lâulcĂšre » ou je suis endettĂ© comme mon pĂšre lâa Ă©tĂ© avant sa mort ». En Ă©coutant ces affirmations , on a lâimpression quâil y a une perpĂ©tuation dâĂ©vĂšnements malheureux qui sont propres Ă cette famille, câest comme sâil avait des forces invisibles qui Ă©taient chargĂ©es de faire revivre aux enfants ce que les pĂšres ont vĂ©cu. Les vecteurs de cette continuation sont les esprits de familles. Ils ont pour but de faire durer les souffrances de familles en nous faisant revivre les Ă©checs ou difficultĂ©s que nos parents ou ancĂȘtres ont connu. Certaines personnes pensent quâelles tiennent certaines maladies ou problĂšmes de leur gĂ©nĂ©tique, mais elles ne savent pas quâil y a des esprits de familles qui agissent de maniĂšre subtile pour les maintenir dans ce cercle de malĂ©diction, maladies et Ă©checs quâils ont imposĂ©s Ă leurs parents. Câest ce qui a Ă©tĂ© le cas pour la famille dâAbraham qui Ă©tait liĂ©e par un esprit de mensonge, jusquâĂ la troisiĂšme gĂ©nĂ©ration Abraham a menti que Sarah Ă©tait sa sĆur GenĂšse 20 ; 2-5 Isaac le fils dâAbraham a menti que Rebecca Ă©tait sa sĆur GenĂšse 26 ; 7 Jacob a usĂ© de mensonge pour usurper la bĂ©nĂ©diction de son frĂšre GenĂšse 27 ; 20-23. Pour cette famille le mensonge Ă©tait une plaie qui se propageait de pĂšre en fils et nous remarquons que les mĂȘmes problĂšmes dâAbraham ont Ă©tĂ© transmis Ă son fils Isaac. Ce lien influençait aussi la vie de Jacob, mais câest Ă partir de lui que Dieu Ă dĂ©cider de dĂ©livrer cette famille .Câest pourquoi il a changĂ© le nom de Jacob en IsraĂ«l pour marquer un nouveau dĂ©part. Il y aussi la famille de David qui Ă©tait influencĂ©e par lâesprit lâimmoralitĂ© sexuelle David le pĂšre commis lâadultĂšre avec la femme dâUrie 2 sam 11 ; 2-4 Son fils Amnon a commis lâinceste avec sa demi-sĆur 2 sam 13 ; 10-14 Absalom fils de David a couchĂ© avec les femmes de son pĂšre devant le peuple 2 sam 16 ; 22 Salomon dans sa vieillesse a eu le cĆur dĂ©tournĂ© de Dieu Ă cause des femmes 1rois11 ; 1-7. En voyant ces deux familles, on comprend que si ce nâĂ©tait lâintervention de Dieu, elles Ă©taient soumises Ă des forces invisibles les esprits de familles qui se chargeaient de transmettre les malĂ©dictions du pĂšre au fils. II- Les origines des esprits de familles Chaque famille a un passĂ©, un arriĂšre plan qui peut ĂȘtre dĂ©finit comme le fondement de celle-ci. Câest le socle sur lequel est bĂątit son prĂ©sent et son futur. Mais il est important de savoir que tout ce qui nous arrive en bien ou en mal a une origine antĂ©rieure Ă notre vie actuelle. Ainsi les esprits de famille dont il est question sont issus Des diffĂ©rentes adorations et alliances que nos familles ont contractĂ©e avec eux. En le faisant, nous nous sommes mis sous leur protection et avons mis Ă leur disposition tous nos biens et richesses afin de les servir et les honorer EsaĂŻe26 ; 13, câest pourquoi, ils nous rĂ©clament aujourdâhui pour nous dĂ©truire Luc 22 ; 31-32. Les esprits de familles sont souvent les messagers des destructeurs sorciers de nos familles , pour nous empĂȘcher de suivre le chemin que Dieu a tracĂ© pour nous, mais aussi pour nous obliger Ă revenir en arriĂšre afin de les adorer. La Bible nous Ă©claire en ce sens par lâexemple de Pharaon qui lorsquâil sâest rendu compte quâil nây aurait plus dâesclaves pour construire son Pays et que les Juifs Ă©taient sortis pour adorer leur Dieu, a dĂ©cidĂ© de les ramener de forces Exode14 ; 5-8 Ă son service. De mĂȘme il existe dans nos familles des esprits qui tiraient profit de notre ignorance en nous soumettant Ă leurs Ćuvres. Certaines mĂ©chantes personnes de nos familles qui veulent nous empĂȘcher de vivre heureux et nous maintenir dans la malĂ©diction les envoient dĂ©truire nos vies afin de nous obliger Ă revenir Ă lâadoration de nos ancĂȘtres. Mais celui qui est en nous est plus fort et sâoppose Ă eux JĂSUS de Nazareth. III- Comment opĂšrent-ils ? Les esprits de familles agissent de maniĂšre trĂšs subtile Ă travers Les paroles nĂ©gatives Les pensĂ©es mĂ©chantes Les divisions et querelles Lâignorance de nos parents Les paroles nĂ©gatives Nos paroles sont de puissants vecteurs de bĂ©nĂ©dictions et de donc en faire usage, car les paroles nĂ©gatives donnent droit et pouvoir aux esprits de familles dâopĂ©rer dans nos vies, surtout quand elles Ă©manent de nos parents pĂšre, mĂšre. Lorsquâun pĂšre, dans sa colĂšre dit Ă son fils tu seras toujours bon Ă rien », il vient sans le savoir de donner droit Ă un esprit de honte de suivre la vie de celui-ci. OĂč quâil aille et quoi quâil fasse cet enfant se sentira inutile, voir rejetĂ©, car il sera combattu par cet esprit Ă qui son pĂšre a donnĂ© la mission de le combattre». Les pensĂ©es mĂ©chantes En tant quâHommes, nous sommes aussi esprit et nous travaillons souvent avec notre esprit, nos pensĂ©es. Ce Ă quoi nous pensons fortement peut arriver. Câest pourquoi la Bible nous dit de veiller sur nos pensĂ©es car câest de lĂ que viennent les sources de la vie Prov 4 ; 23. Lorsque nous avons des pensĂ©es nĂ©gatives contres nos frĂšres ou nos enfants, nous sommes en train de crĂ©er autour dâeux une atmosphĂšre favorable aux Ćuvres des esprits de familles. Câest pour cela que la jalousie entre frĂšres dĂ©truit plus vite que les armes Ă feu. Quand je pense du bien de mon frĂšre, de ma mĂšre, de mon pĂšre, câest comme une priĂšre que je fais monter Ă Dieu en sa faveur, par contre quand jâai en mon cĆur le dĂ©sire le voir Ă©chouer, jâinvite un esprit dâĂ©chec Ă agir dans sa vie. Les esprits de familles agissent trĂšs souvent Ă travers les humeurs, les caractĂšres des membres de notre famille. La division, les querelles Dans une famille oĂč il y a lâamour, la paix et lâentente, lĂ se trouve lâEsprit de Dieu et les esprits de famille ne peuvent agir convenablement. Ils ont besoin dâun total climat de confusion et division pour mieux sâinfiltrer et rĂ©gner. Câest eux qui sont Ă la base des haines et de la jalousie dans nos familles. Ils choisissent pour cela des personnes dont le cĆur y est naturellement disposĂ©. Veillons sur les pensĂ©es de nos cĆurs. Lâignorance de nos parents LâĂternel dit faute de connaissance, mon peuple pĂ©rit ». Lâignorance est comme un grand voile noir qui couvre ceux qui en sont esclaves. Ătre ignorant dans un domaine donnĂ© vous expose aux escroqueries et piĂšges relatifs Ă ce domaine. Si je suis ignorant de tout ce qui est relatif au droit, je suis exposĂ© aux tromperies de certains avocats vĂ©reux qui sont capables dâexploiter mon ignorance pour me dĂ©pouiller de mes biens. De mĂȘme certains de nos ancĂȘtres croyant nous mettre Ă lâabri en adorant les esprits dĂ©moniaques, ont sans le savoir, vendu la libertĂ© de leurs descendants Ă des esprits qui aujourdâhui tiennent plusieurs de nos richesses. Dieu soit louĂ© car par la connaissance de son fils JĂSUS, nous avons la victoire et la puissance nĂ©cessaire pour rĂ©clamer notre hĂ©ritage volĂ©. IV-Comment combattre les esprits de famille ? Il est important de comprendre que JĂSUS-CHRIST nous a donnĂ© la victoire sur les esprits et quâaucune autoritĂ© dĂ©moniaque ne peut rĂ©sister en face de son Nom. Mais malheureusement, il arrive parfois que les chrĂ©tiens ne savent pas contrĂŽler ou faire agir cette puissance qui leur Ă Ă©tĂ© confĂ©rĂ©e pour glorifier Dieu. Nous devons aussi savoir que sans la Puissance et la Force du Seigneur, nous serons toujours des victimes pour le diable, malgrĂ© notre amour pour Dieu et notre zĂšle. Câest donc une obligation pour nous dâĂȘtre puissant ton Dieu ordonne que tu soit puissant » Psaume 68 ;29/ 2timothe 1 ;7. Les chrĂ©tiens doivent se rendre compte quâils le veuillent ou pas, que le combat spirituel est une rĂ©alitĂ© Eph. 6 ;12 et que le projet de satan est de les dĂ©truire Jn 10 ;10/ 1 Pierre 5 ;8 dâoĂč lâimportance de veiller et de lui rĂ©sister 1Pierre 5 ;9/jacques4 ;7 par la foi et la priĂšre. Comme dans le livre de GenĂšse 3, satan nâa eu de pouvoir sur la terre que parce que Adam le lui a donnĂ©, car câest lui que Dieu avait Ă©tabli pour gouverner la terre. Mais, par sa ruse, satan, lui a volĂ© ce commandement et cette domination. Par la dĂ©sobĂ©issance dâun seul, lâhumanitĂ© entiĂšre Ă perdu LA GLOIRE quâĂlohim lui a donnĂ©e, mais celui-ci dans amour infini a voulu que par lâobĂ©issance dâun autre homme le dernier Adam, JĂSUS elle retrouve sa place et son identitĂ© originelle. Câest ce qui est arrivĂ© Ă nos ancĂȘtres qui par ignorance ont vendu la libertĂ© et le bonheur de leurs enfants Ă des dĂ©mons, en les adorant. Ainsi, nous avons perdu la santĂ©, le mariage, la prospĂ©ritĂ©, le succĂšs, etc.., que Dieu accorde Ă chaque famille une vie Ă©panouie. Notre Seigneur est un Dieu de restauration, câest pourquoi Il a suscitĂ© quelquâun pour libĂ©rer ta famille ; TOI ! Puisque câest un membre de ta famille qui a vendu la libertĂ© de celle-ci aux esprits, qui en sont devenus les maĂźtres ». Câest donc un autre membre de cette famille qui peut les dĂ©pouiller de leur autoritĂ© TOI ! Chaque chrĂ©tien doit prendre conscience de la mission que Dieu lui a confiĂ©e pour sa famille, car il a Ă©tĂ© Ă©clairĂ© et Ă©quipĂ© pour la libĂ©rer de lâesclavage. Tout comme Dieu sâest approchĂ© de Jacob pour libĂ©rer les gĂ©nĂ©rations aprĂšs lui du mensonge qui liait sa famille, ainsi Il sâapproche de nous pour libĂ©rer nos familles, de lâĂ©chec, de la frustration, du cĂ©libat, des maladies incurables, qui semblent les avoir rĂ©duits au silence et Ă lâimpuissance. Dieu sait que nous ne pouvons pas y arriver par nos forces, câest pourquoi, Il nous propose son aide, dâoĂč lâimportance de bien Le suivre et Lui obĂ©ir, car IL nous donne les stratĂ©gies pour triompher de nos ennemis. Câest un processus qui nĂ©cessite la patience, la persĂ©vĂ©rance et qui dĂ©pend du timing du Seigneur. Une guerre bien prĂ©parĂ©e est synonyme de victoire, car dans le combat que nous menons, notre victoire dĂ©pend Ă la fois de la connaissance que nous avons de Dieu, et de celle que nous avons de lâadversaire. Je voudrais avec vous Ă©taler certaines de ces Ă©tapes qui mĂšnent Ă la victoire. voir la 3Ăšme partie Ă suivre. Content created and supplied by JonathanGnagbo via Opera News Opera News is a free to use platform and the views and opinions expressed herein are solely those of the author and do not represent, reflect or express the views of Opera News. Any/all written content and images displayed are provided by the blogger/author, appear herein as submitted by the blogger/author and are unedited by Opera News. Opera News does not consent to nor does it condone the posting of any content that violates the rights including the copyrights of any third party, nor content that may malign, inter alia, any religion, ethnic group, organization, gender, company, or individual. Opera News furthermore does not condone the use of our platform for the purposes encouraging/endorsing hate speech, violation of human rights and/or utterances of a defamatory nature. If the content contained herein violates any of your rights, including those of copyright, and/or violates any the above mentioned factors, you are requested to immediately notify us using via the following email address operanews-externalat and/or report the article using the available reporting functionality built into our Platform See More
Ma famille et la vĂŽtre1Parler de la famille suppose de parler dâun objet si familier », si commun Ă tous, quâil risque dâĂȘtre Ă©vident et donc un peu ennuyeux Ă dĂ©crire. Qui de nous tous nâen sait quelque chose ? Par hypothĂšse, nous avons encore, ou bien nous avons eu, une famille ? Existerait-il mĂȘme une sociĂ©tĂ© ou des individus qui se passeraient de famille, petite ou grande, glorieuse ou misĂ©rable, ordinaire ou originale ? 2Cette dimension familiĂšre » â puisque cet adjectif vient du mot famille en latin familia â nous prĂ©vient aussi que nous allons parler de quelque chose dâintime, qui appartient Ă notre vie privĂ©e, peut-ĂȘtre Ă notre vie secrĂšte quâil ne faut pas mettre sur la place publique. 3La famille est ainsi publique dans certaines de ses fonctions, privĂ©e et secrĂšte dans dâautres. DâemblĂ©e Ă©cartelĂ©e ou, si on le voit positivement, faisant pont entre ces espaces du dedans et du dehors. 4Ne nous cachons pas le fait que, lorsque nous parlons de famille en gĂ©nĂ©ral, câest aussi de la nĂŽtre que nous parlons la nĂŽtre, la famille oĂč nous avons grandi mais aussi celle que nous aurions aimĂ© avoir et celle que nous regrettons dâavoir subi. Imaginaire et rĂ©alitĂ© risquent de se mĂ©langer dans cette comparaison consciente ou inconsciente â qui entraĂźne projections et regrets â entre notre famille rĂ©elle et la famille idĂ©ale ! En rĂȘve, qui nâa imaginĂ© ĂȘtre lâenfant abandonnĂ© ou volĂ© dâautres parents, parents qui resurgiraient un jour pour lâemmener vers une autre vie, comme le Prince charmant et sa modeste Cendrillon ou comme ce film comique qui voit la substitution Ă la naissance dâun enfant de riche et dâun enfant de pauvre ! La famille mĂ©lange ainsi des idĂ©aux et des imaginaires avec les rĂ©alitĂ©s les plus concrĂštes et les plus triviales. 5Essayons tout de mĂȘme dây voir plus clair en commençant par une dĂ©finition. Quâest-ce quâune famille ? Ă quoi sert-elle ?Comment dĂ©finir la famille6PremiĂšre dĂ©finition Ă©vidente une famille câest lâensemble uni que forment les parents et leur enfant. PremiĂšre dĂ©finition, premiers problĂšmes avec ce Papamamanenfant ». Il faut lâĂ©crire en un mot pour montrer que cela fait un paquet bien serrĂ© et bien attachĂ© ! Ensuite, il faudra en dĂ©tacher les Ă©lĂ©ments au risque de produire des Ă©lĂ©ments nouveaux imprĂ©vus selon comment on dĂ©coupe, comme dans lâĂ©quation amusante 7Famille = le papam + la mamanen + le nenfant ! parfois les zenfants ». 8La difficultĂ© sera de savoir oĂč passent les sĂ©parations. Pourquoi ? Parce que cet ensemble familial paraĂźt donnĂ© dâun coup. On est simultanĂ©ment parent et enfant. Le parent produit lâenfant, lâenfant produit le parent, pas lâun sans lâautre ! On est » famille parce quâon naĂźt » ensemble. La famille est chargĂ©e de mystĂšre parce que câest lĂ quâon naĂźt », avant dây grandir. Cette dĂ©finition dĂ©signe la famille comme une matrice, un utĂ©rus collectif, dâoĂč sortirait chacun de ses membres. Cet utĂ©risme » familial pose problĂšme, mĂȘme sâil est toujours un peu vrai. 9DeuxiĂšme dĂ©finition La famille est un groupe solidaire dâappartenance, composĂ© de ceux qui vont devoir mâaider sans rĂ©flĂ©chir ni calculer. On sây serre les coudes dans une chaĂźne dâunions rĂ©ciproques. Parfois lâennemi sera tout ce qui est Ă lâextĂ©rieur, comme dans la parabole chauvine, incestuelle, de Le Pen sâil faut choisir entre ma fille et ma cousine, je choisis⊠qui inspire des dictatures paternalistes ! Cette rĂ©alitĂ© de solidaritĂ© se manifeste parfois bien utilement face au chĂŽmage ou aux catastrophes, et encore plus dans les sociĂ©tĂ©s sans sĂ©curitĂ© sociale ou Ă©conomique comme les sociĂ©tĂ©s sans Ătat et sans droit. Elle montre que ce nâest pas en vain que nous appartenons Ă une famille, mĂȘme sâil faudra en payer un prix en retour. Un inconvĂ©nient sera lâanalogie de la famille avec une maffia » ? Les maffias rĂ©elles Ă©tant des familles artificielles Ă©largies. 10La famille, câest ma maffia prĂ©fĂ©rĂ©e, mais ai-je bien eu le choix ! 11TroisiĂšme dĂ©finition la famille, câest ce qui est Ă©crit sur les faire-part ; faire-part de naissance, de mariage ou de deuil ! Vous avez remarquĂ© tous ces noms qui sâalignent, qui se succĂšdent dans un ordre calculĂ©. Il faut lire ces annonces dâĂ©tat civil, elles donnent des photos exactes des familles mĂȘme si elles sont parfois mensongĂšres. Ainsi, vous ne verrez pas Ă©crit quâils sont contents dâĂȘtre ensemble sur le mĂȘme faire-part, alors que le testament les oppose ou que la naissance les mĂ©contente. Vous ne verrez pas certains noms, oubliĂ©s, comme la derniĂšre concubine du dĂ©funt ou les enfants dâun premier mariage. Peut-ĂȘtre faudra-t-il lire une deuxiĂšme annonce, publiĂ©e Ă part, ou lire entre les lignes ? Vous y verrez suggĂ©rĂ©s des absents, dĂ©funts soudain remĂ©morĂ©s. La famille, câest aussi cela, cette architecture juridique de vivants et de morts, de ceux qui sont reconnus â lĂ©gitimes â et de ceux qui nâexistent pas, officiellement du moins. 12GĂ©nĂ©ration, solidaritĂ©, lĂ©gitimitĂ© sont chacune des facettes de la famille. Dans les familles perturbĂ©es, ces facettes seront altĂ©rĂ©es. Constatons quâelles sâappliquent dans la famille Ă trois sortes dâacteurs diffĂ©rents les ascendants et descendants liĂ©s par la gĂ©nĂ©ration ; les alliĂ©s liĂ©s par le mariage ou le contrat ; les germains, frĂšres ou sĆurs liĂ©s par lâappartenance au groupe familial et Ă un ancĂȘtre lĂ©gitime commun. LĂ aussi, la confusion des places aura des effets science de la famille ?13Existe-t-il une science qui nous donnerait une dĂ©finition des fonctions et des reprĂ©sentations de la famille ? 14Est-ce le droit ou lâhistoire qui Ă©tudient les traditions et les rĂšgles, les droits et les devoirs ? Est-ce la sociologie qui Ă©tudie la sociĂ©tĂ© dâaujourdâhui ou lâethnologie qui compare les sociĂ©tĂ©s entre elles, les plus archaĂŻques avec les plus modernes ? Est-ce la psychologie ou la psychanalyse qui insistent tellement sur les conditions de dĂ©veloppement des enfants ? 15Vous connaissez la rĂ©ponse toutes ces sciences sâajoutent, car elles nâen donnent chacune quâun aspect. La famille est une rĂ©alitĂ© complexe. Comment comprendre les relations dans une famille catalane rurale si on ne sait pas que le droit dâaĂźnesse obligera le garçon avant-nĂ© Ă possĂ©der en hĂ©ritage exclusif la propriĂ©tĂ© et Ă garder ses parents avec lui et donc Ă les supporter ! jusquâĂ leur mort, alors que les cadets, filles et garçons puinĂ©s [1], devront partir de la maison pour se marier, Ă©tudier et variĂ©tĂ© ethnologique16Le grand ethnologue français Claude LĂ©vi-Strauss, spĂ©cialiste des relations de parentĂ©, maintenant Ă lâAcadĂ©mie francaise, a Ă©crit un bel article sur la famille ; vous pourrez le lire dans un recueil qui sâappelle Le regard Ă©loignĂ© Ăd. Plon. 17Lâethnologue dĂ©crit lâĂ©tonnante variĂ©tĂ© sur notre planĂšte des systĂšmes de parentĂ© ici on est monogame, ici polygame ; ici on reste chez les parents, ici on doit sâen Ă©loigner ; ici on regroupe les jeunes adolescents et les cĂ©libataires, puis les mariĂ©s sans enfants, puis les mariĂ©s avec enfants [2] ; ici la libertĂ© sexuelle est permise aux jeunes, ici elle est interdite ; ici on peut prĂȘter sa femme Ă un invitĂ©, ailleurs on la cache Ă tout Ă©tranger. 18Il montre en mĂȘme temps que cette variĂ©tĂ© sâaccompagne dâune prĂ©sence presque [3] universelle de liens familiaux dans des sociĂ©tĂ©s trĂšs diffĂ©rentes on y trouve un mariage, des liens Ă©troits entre parents et enfants, des rĂšgles juridiques, des obligations Ă©conomiques, religieuses, sociales, des droits et interdits sexuels. On peut ainsi trouver des couples monogames dans des sociĂ©tĂ©s trĂšs primitives sans technologies, comme dans des sociĂ©tĂ©s complexes. Si la monogamie est le cas le plus frĂ©quent, câest plutĂŽt par raison statistique en gĂ©nĂ©ral, il naĂźt autant de garçons que de filles et sauf infanticide sĂ©lectif par exemple des filles/ Toda ou espĂ©rance de vie trĂšs diffĂ©rente citons le risque pris par les hommes jeunes Ă la chasse ou Ă la guerre, il y aura donc autant dâhommes adultes que de femmes Ă apparier ! Pourtant, des sociĂ©tĂ©s connaissent dâautres modalitĂ©s fort complexes polygamie pour les riches avec une premiĂšre Ă©pouse qui a des droits supĂ©rieurs aux autres femmes et aux concubines, monogamie pour les pauvres, etc. On connaĂźt mĂȘme des cas de polyandrie Todas de lâInde ou peuple du Tibet oĂč une femme peut avoir plusieurs hommes mais en gĂ©nĂ©ral choisis entre frĂšres, le mari Ă©tant occupĂ© par un emploi itinĂ©rant qui lâĂ©loigne longuement. La sĂ©curitĂ© et la stabilitĂ© du foyer sont ainsi assurĂ©es comme lâĂ©ducation des enfants. On trouve aussi lâexemple dâune sociĂ©tĂ© africaine oĂč le pĂšre » Ă©tait une femme de haut rang ! Les amants des Ă©pouses » pourvoyaient les enfants. Cela montre que la paternitĂ© biologique est toujours secondaire Ă la paternitĂ© retenir des constats des sciences humaines ?19Dâabord que la famille est un phĂ©nomĂšne universel », rĂ©pandu chez les humains depuis des millĂ©naires, bien avant sa consĂ©cration moderne et religieuse en Occident par le christianisme. Il nâa jamais existĂ© un Ăąge â diabolique ou paradisiaque â de la promiscuitĂ© » ; la famille prend son origine dans le mariage. Le mariage religieux en France date Ă peine du xiie siĂšcle, auparavant un contrat privĂ© civil suffisait. 20Ensuite, que les sociĂ©tĂ©s prescrivent toujours des rĂšgles sur le choix du conjoint, sur les libertĂ©s et devoirs sexuels, et sur lâappartenance des enfants Ă une lignĂ©e ou Ă une autre selon les cas. Le mariage nâa pas de lien avec le plaisir des sens mais dâabord avec des raisons Ă©conomiques et sociales. Partout, il existe une division sexuelle du travail, mĂȘme si son contenu change, qui indique les tĂąches des hommes et celles des femmes. 21Lâinterdiction de lâinceste, bien que rarement Ă©crite, est partout observĂ©e certaines relations sexuelles et matrimoniales sont interdites et dâautres sont recommandĂ©es ou obligĂ©es. Les choix individuels sont ainsi nĂ©gligĂ©s. Ces interdits peuvent avoir des exceptions pharaon Ă©gyptien pouvant Ă©pouser sa sĆur aĂźnĂ©e ou sa demi-sĆur mais pas sa cadette et Ă©voluer. En Angleterre, on ne pouvait, mĂȘme veuf, Ă©pouser la sĆur de sa femme jusquâen 1850, ni, chez nous, Ă©pouser une marraine ou un parrain religieux considĂ©rĂ© comme Ă©quivalent dâun parent. Un mariage entre cousins germains, non interdit, est encore mal vu, comme une union entre enfants de famille recomposĂ©e, sans lien de sang mais Ă©levĂ©s ensemble. Vous connaissez le remariage critiquĂ© du cinĂ©aste Woody Allen avec la fille adoptive de son ex-femme. 22La famille nâest pas un phĂ©nomĂšne naturel, mais humain. Elle est â dit lâethnologue â la rencontre de deux familles qui sont dĂ©jĂ lĂ pour Ă©changer des Ă©poux et se prolonger par des enfants, et ainsi de suite indĂ©finiment. Ce qui diffĂ©rencie lâhomme de lâanimal, câest que dans lâhumanitĂ©, une famille ne saurait exister sâil nây avait pas dâabord une sociĂ©tĂ© pluralitĂ© de familles qui reconnaissent lâexistence de liens autres que la consanguinitĂ©, et que le procĂšs naturel de la filiation ne peut suivre son cours quâintĂ©grĂ© au procĂšs social de lâalliance » LĂ©vi-Strauss, Regard Ă©loignĂ©, op. cit., p. 83. 23Sans ces rĂšgles et interdits sociaux, les familles biologiques » risqueraient de sâisoler et de sâenfermer dans lâignorance ou la haine de lâAutre. Lâinterdit de lâinceste est au service de la vie sociale. Il oblige Ă Ă©changer, Ă circuler dans les rĂ©seaux, Ă Ă©pouser son ennemi ou lâĂ©tranger, Ă se lancer dans le grand jeu du mariage » ! Sous des formes diffĂ©rentes, ce grand jeu continue regardez le billard matrimonial et affectif de lâInternet et des sites de rencontre les meetic-boys et girls. DiffĂ©rence essentielle la sociĂ©tĂ© dâaujourdâhui paraĂźt composĂ©e dâindividus. Ressemblance de toujours le dĂ©mariage » nâempĂȘche ni la nuptialitĂ© ni le remariage. Question Ă venir la possibilitĂ© dâĂ©chapper aux contraintes biologiques de la reproduction le clonage accentuera encore le cĂŽtĂ© social de la famille ou la dĂ©sĂ©quilibrera. LâidĂ©al nazi des femmes au foyer Kinder/Kirche/ KĂŒche et des hommes Ă la guerre ou Ă lâusine contenait la perspective dâun dĂ©pĂ©rissement de la familial est instable, comment maintenir les contradictions ?24Les trois fonctions familiales de base â engendrer, protĂ©ger, Ă©duquer â paraissent simples et compatibles. Elles sont mĂȘme au service dâune seule transmettre ! transmettre la vie / lâintĂ©gritĂ© physique et psychique / les modĂšles sociaux comme les maniĂšres dâĂȘtre un adulte reconnu. Cette transmission nâest jamais garantie, contrairement au discours conservateur y a quâĂ faire comme nos parents ou de mon temps, on savait etc. ». Elle transmet tout aussi bien les rĂȘves et les dĂ©ceptions des gĂ©nĂ©rations prĂ©cĂ©dentes comme leurs secrets et leurs traumatismes cf. la mode du transgĂ©nĂ©rationnel qui est une banalitĂ©. De tout temps, les familles ont eu Ă conserver et Ă innover dans une sĂ©rie de contradictions. LâĂ©volution technologique peut donner lâimpression dâune accĂ©lĂ©ration du temps social mais le temps familial a toujours Ă©tĂ© une succession de moments critiques. Transmettre ne veut pas dire Ă lâidentique, câest la contradiction familiale. Il faut transmettre une question par exemple, quâest-ce quâun adulte, un homme, une femme, un enfant, un adolescent, un parent, un ancien, etc ? Câest transmettre un problĂšme plus quâune solution ! Mais si le problĂšme est mal posĂ© ou croit ĂȘtre rĂ©solu, danger ! Les sujets seront mal prĂ©parĂ©s Ă la vie. 25Les contradictions ou complexes familiaux sont constants ils sont bien condensĂ©s dans les mythes familiaux et les contes. Rapidement, on peut Ă©voquer dans les mythes grecs Cronos et GaĂŻa sĂ©parer gĂ©nĂ©ration le pĂšre biologique et Ă©ducation le pĂšre symbolique, sinon câest la logique animale de dĂ©voration et de procrĂ©ation ininterrompue qui prendra le dessus compter le zĂ©ro de lâorigine ;Ćdipe abandonnĂ©, il fuit sa famille adoptive pour revenir Ă son origine. On nâĂ©chappe pas Ă la rivalitĂ© et au dĂ©sir incestueux, il faut lâaffronter compter jusquâĂ trois ;Jocaste lâĆdipe est Ă double sens ; la tentation du couple mĂšre parent ?-enfant existe. Câest la tentation de faire deux au lieu de trois ;MĂ©dĂ©e les enfants sont-ils mes » enfants ? ai-je droit de vie et de mort sur lâenfant puisque jâai donnĂ© » la vie ? LĂ câest faire un au lieu de deux ;Antigone la loi familiale enterrer son frĂšre est-elle au-dessus de la loi de la citĂ© frĂšre banni ?mentionnons CaĂŻn et Abel et toutes les histoires de rivalitĂ© meurtriĂšre recueillies dans les textes de la Bible, mythes vous paraissent peut-ĂȘtre trop anciens ; bien quâils soient fondateurs de notre univers culturel qui est celui de notre MĂ©diterranĂ©e grecque, juive et romaine. Pensez alors Ă Harry Potter venu dâAngleterre donc influencĂ© par les mythes du Nord, leurs fantĂŽmes et sorciers. Lâorphelin en quĂȘte dâune Ă©cole de sorciers nous indique toutefois ce problĂšme comment choisir sa famille, adopter des frĂšres et sĆurs et des adultes bienveillants ? Une famille est-elle autre chose quâadoptive ? 26Ne croyez pas que les familles dâaujourdâhui, si rĂ©duites soient-elles familles monoparentales ou si Ă©largies par les recompositions des divorces, Ă©chappent Ă ces enjeux. Nous lâĂ©voquerons tout Ă lâ moins abus et carences27Vous connaissez les familles en difficultĂ© ou parfois mĂȘme en dĂ©route. Ce sont elles, la plupart du temps, dont il faut recueillir lâenfant, pour lui donner une seconde chance de grandir normalement. Ces accueils familiaux de rattrapage » permettront de partager une ambiance familiale apaisĂ©e et Ă©ducative, Ă©paulĂ©e par des professionnels comme ceux de la sauvegarde ou de lâaction sociale, lâensemble Ă©tant contrĂŽlĂ© par la justice si le mineur est jugĂ© en danger. 28Sans trop dâironie parce quâelles en souffrent les premiĂšres, on pourrait faire un catalogue-liste de ces familles ce sont les familles pois chiches et les familles puddings ; les familles indiviparentales et les familles inversĂ©es ; famille groupale et famille sectaire ; la famille fourmiliĂšre et pire encore, la famille bouchĂšre. 29Les unes â pois chiches dessĂ©chĂ©s â sâĂ©puisent Ă faire vivre une seule dimension des enjeux familiaux, par exemple la sĂ©curitĂ© opposĂ©e Ă la vie sociale. Les autres, que jâappelle familles puddings », agglutinent des noyaux de relations sans les mettre en rapport par exemple, un enfant et grand-parent dâun cĂŽtĂ©, un parent et un autre enfant de lâautre, ou une vie conjugale ou sexuelle isolĂ©e de la vie parentale. Les familles indiviparentales veulent faire incarner par un seul adulte une mĂšre souvent Ă©puisĂ©e toutes les dimensions familiales, en refusant les autres gĂ©nĂ©rations, ou en disqualifiant le pĂšre ou les autres adultes. Les familles inversĂ©es dĂ©lĂšguent la fonction adulte Ă des aĂźnĂ©s qui caricaturent les adultes impuissants et sont du coup privĂ©s de leur enfance. Les familles groupales ont peur des hiĂ©rarchies et font croire que les enfants dĂ©cident Ă Ă©galitĂ© avec les adultes ; les familles sectaires obligent Ă partager des croyances et des polices de la pensĂ©e qui isolent du monde et ne permettent ni critique ni mĂȘme distance intĂ©rieure. Les fourmiliĂšres sont sans affection et fonctionnent » pour assurer le vivre et le couvert, sans comprendre la nĂ©cessitĂ© des relations affectives. La famille bouchĂšre se dĂ©shumanise au point de vendre la chair des enfants Ă la prostitution ou Ă lâattendrisseur des maltraitances. Il faudrait dire que certains groupements ne mĂ©ritent plus le nom de famille. 30Ă des degrĂ©s divers, la gĂ©nĂ©ration, la solidaritĂ© et la lĂ©gitimitĂ©, que nous rappelions au dĂ©but de cet exposĂ©, ne sont plus respectĂ©es dans ces familles dĂ©structurĂ©es. Ainsi y seront confondus, ou en proie Ă des comportements arbitraires ou paradoxaux, les statuts dâascendants et de descendants, dâalliĂ©s et de germains. Les respects mutuels seront dĂ©truits et les sentiments dâamour, de reconnaissance seront abolis ou tordus. On sait la relation de dĂ©pendance pervertie qui lie un enfant abusĂ© Ă son parent-bourreau. On peut faire utilement la diffĂ©rence entre une famille momentanĂ©ment malade ou en crise et une famille pathologique de façon chronique, depuis plusieurs gĂ©nĂ©rations parfois. Il reste quâune famille malade prĂ©sente des carences ou abus ; les abus ne sont pas forcĂ©ment sexuels mais quelquefois affectifs ; je connais une fille maintenant devenue mĂšre dont la mĂšre malade faisait un chantage sadique Ă la dĂ©pendance si tu ne viens pas me voir et faire mes quatre volontĂ©s, je vais mourir⊠! » disait-elle. Sa fille la croyait et sâĂ©puisait Ă la satisfaire, de lâadolescence Ă lâĂąge mĂ»r, jusquâĂ ce que son travail analytique lui donne la luciditĂ© et la force de changer, sans faire mourir sa mĂšre pour plus compĂ©tences et inventions31Ă lâinverse de ces carences, on doit reconnaĂźtre aux familles une capacitĂ© dâinvention et dâĂ©volution, mĂȘme dans des contextes Ă©conomiques et sociaux difficiles. Elles communiquent le plus souvent sĂ©curitĂ©, identitĂ©, affection Ă leurs descendants et ascendants. Elles leur apprennent Ă canaliser leurs Ă©motions et leurs pulsions, Ă contrĂŽler les haines et rivalitĂ©s, Ă sortir Ă lâextĂ©rieur, et Ă investir des objets sociaux et des partenaires de jeux, dâamour et de travail. 32Les nouvelles familles recomposent des configurations originales. Jâai connu des parents, dĂ©sormais divorcĂ©s et qui avaient fondĂ© chacun un nouveau foyer, qui envisageaient Ă quatre ! la construction dâune maison singuliĂšre en rez-de-chaussĂ©e, deux pavillons jumeaux et indĂ©pendants pour les deux couples, et Ă lâĂ©tage un logement, commun aux deux maisons, destinĂ© aux enfants ! Un escalier Ă chaque bout permettrait dâalterner les visites et les communications ! ModĂšle Ă ne pas forcĂ©ment imiter, il montre lâimagination nĂ©cessaire aux nouvelles familles recomposĂ©es. Les familles homoparentales deux parents homosexuels font encore scandale, mais pas pour longtemps car elles ont Ă ĂȘtre jugĂ©es sur piĂšce pour ce quâelles apportent aux enfants quâelles accompagnent dans la vie, pas forcĂ©ment plus mal que dâautres. On inventera des droits de filiation nouveaux pour lâenfant qui ne mentiront pas, comme le livret de famille actuel des adoptĂ©s qui affime faussement nĂ© de » et non pas enfant de » X et Y par filiation choisie. HomoparentalitĂ© et hĂ©tĂ©roparentalitĂ© sont en effet partout ; la fabrique familiale du respect et des identitĂ©s ne dĂ©pend pas que de lâorientation sexuelle des parents, souvent cachĂ©e derriĂšre lâimpĂ©ratif de reproductionâŠLa famille nâest pas une sociĂ©tĂ© et la sociĂ©tĂ© nâest pas une famille !33Contrairement Ă une idĂ©e simple, la sociĂ©tĂ© nâest pas un ensemble de familles comme les piĂšces dâun Lego ou un jeu de cubes, ni mĂȘme une ruche dont les familles seraient les alvĂ©oles. Sauf pour les familles pathologiques qui enferment, et les sociĂ©tĂ©s totalitaires qui veulent faire intrusion et contrĂŽler ce que contiennent les tĂȘtes. 34Les quatre fonctions dune sociĂ©tĂ© gĂ©nĂ©rations, sexes, production, spiritualitĂ© cf. E. Enriquez [4], sont assurĂ©es par diverses institutions comme lâĂ©cole, les groupements amicaux, les associations et les clubs, les unitĂ©s de production de vieâŠ. La famille nâen est quâune, mĂȘme si elle paraĂźt indispensable. Les souffrances sociales insĂ©curitĂ©, dualitĂ©, etc. se rĂ©percutent dans la famille et favorisent les maltraitances, et non lâinverse comme chante la moralisation que ne tiennent-elles » les adolescents difficiles ces familles affaiblies !. La plupart des sociĂ©tĂ©s se mĂ©fient des familles et les gardent sous contrĂŽle. Ainsi elles les mettent en mouvement, les obligent en permanence Ă Ă©changer des alliances. Câest de cette façon que lâon peut comprendre lâinterdit de lâinceste dans sa dimension sociale. Dans sa dimension symbolique, il signifie que lâon doit se dĂ©tacher de son origine et que le retour est funeste ou fatal. 35La sociĂ©tĂ© moderne met Ă lâĂ©preuve la vie familiale dans deux aspects le temps et la place de lindividu. 36Le temps est accĂ©lĂ©rĂ© et la sociĂ©tĂ© veut vivre au prĂ©sent, consommer, jouir de lâimmĂ©diat. Une famille vit au passĂ©, au prĂ©sent et au futur ; elle sâoppose Ă cet Ă©crasement imaginaire du temps de la modernitĂ© ou postmodernitĂ©. Elle sâoppose aussi â pour la mĂȘme raison â Ă un relativisme absolu des valeurs, car elle doit transmettre les choses les plus futiles, comme les maniĂšres de table, et les plus importantes, comme le rapport au corps, Ă la sexualitĂ© et aux Ă©motions. 37La place de lâindividu est toujours limitĂ©e par son appartenance Ă une famille dans laquelle les liens obligent Ă tenir compte des autres et Ă se soumettre Ă des diffĂ©rences dâĂąge, de sexe, de gĂ©nĂ©ration, etc.. Lâindividualisme Ă©gocentrique sây oppose dans un idĂ©al de fourmiliĂšre ou de masse tous diffĂ©rents, donc tous pareils car soumis au marketing de la petite diffĂ©rence !. Câest le dĂ©fi social de notre temps de faire vivre des familles nouvelles et des individus responsables de leurs appartenances. Si nous Ă©chouons, nous risquons dâĂȘtre des clones Ă©levĂ©s dans des incubateurs artificiels. Science-fiction ou avenir-fiction ? 38Je vous propose une nouvelle dĂ©finition pour conclure la famille est un nĆud, un nĆud entre le fil des gĂ©nĂ©rations et le fil de lâalliance qui noue des familles et des groupes qui sâignoreraient sans cela. Si la famille est un nĆud, la sociĂ©tĂ© un ensemble de filets⊠filets qui comportent beaucoup de trous ! Autant despace laissĂ© Ă lâinitiative, quâelle soit crĂ©ative, constructive ou dĂ©linquante ! 39Affirmons encore que le contour dâune famille, dans le temps comme dans lâespace, nâest jamais complĂštement clĂŽturĂ© et identique, sauf si cette famille est malade. 40Je terminerai sur cette Ă©vidence surprenante mais facilement oubliĂ©e lâenfant nâa jamais la mĂȘme famille que ses parents ! Notes [1] Au Moyen Ăge, on les appelait aussi les moins nĂ©s ! Câest dire ! cf. Bloch et Wartburg, Dictionnaire Ă©tymologique, Paris, puf. [2] Ces trois catĂ©gories restent dans la langue, on parle des vieux garçons, et dans lâusage, quand il faut rĂ©partir les convives dâun banquet. [3] Exception rare des Nayar de la cĂŽte Malabar de lâInde enfants appartenant Ă la lignĂ©e maternelle sous lâautoritĂ© des frĂšres oncles de la mĂšre, pĂšre effacĂ© occupĂ© Ă la guerre, la famille conjugale est absente. LSt p. 67 [4] EugĂšne Enriquez, De la horde Ă lâĂtat, Paris, Gallimard, 1983.
Je vois que pas mal de consoeurs vivent un cauchemar avec leur belle mĂšre. Quelque part ça me rassure de ne pas ĂȘtre seule, mais c'est flippant de voir que tant de compagnons de rĂ©agissent pas !! J'aimerai avoir le point de vue de ces Hommes qui ont conscience que leur mĂšre est odieuse et que leur femme n'y est pas toujours pour quelque chose... Quels conseils nous donneriez vous afin que ces fameuses relations Belle-mĂšre / Belle-fille ne tournent pas au duel de fin de western ? Que faire ? Qui doit rĂ©agir ? Comment ? L'art et la maniĂšre ? Perso je pense que ma belle mĂšre est stupide et j'apprends Ă transformer ma colĂšre en pure pitiĂ©... Mais mon mari est entre les 2 et c'est lĂ que j'ai besoin de vos conseils de "fils de sorciĂšre"... Par avance merci. Tu ne vas pas avoir beaucoup de rĂ©ponses Tu crois que les mecs qui, justement, ne rĂ©agissent pas, mĂȘme si leur mĂšre est la pire des chieuses avec leur femme, vont se reconnaĂźtre et donc admettre que leur mĂšre est une sorciĂšre ?! Donc, j'Ă©mets des doutes sur le fait que tu reçoives beaucoup de tĂ©moignages !!! Ils pensent que c'est un problĂšme entre elles et nous, pas le leur ! De plus, c'est leur mĂšre, et voilĂ ! Moi, si ma mĂšre emmerdait mon chĂ©ri, je la remettrais en place vite fait bien fait, mĂȘme si le mien n'a pas besoin d'une avocate ! Moi, je suis "bien Ă©levĂ©e", je n'ose rien dire, du coup je gardais tout sur moi et ça me rendait dingue, alors qu'il lui serait plus facile de lui dire, puisque ça le gonfle aussi - qu'Ă 6h30 on dort ou bien on reste couchĂ©es en attendant 7h30 que nous nous levions, - que le liquide vaisselle, c'est pas la peine de vider le flacon pour que la vaisselle soit plus propre, - elle qui se croit la maĂźtresse de maison parfaite, qu'au frigo, on couvre les plats pas finis ou on les met dans des rĂ©cipients en plastique hermĂ©tiques, - qu'on Ă©vite de garder la graisse dans des rĂ©cipients en plastique surtout pour finir Ă la poubelle en plus !, - que la poĂȘle sale, on ne la met pas au four mais on la lave, - que mes chaussures, ce sont les miennes, et qu'avec son 39 et les pieds qui gonflent, elle ne va pas mettre mon 38 ! - que mes fringues, ce ne sont pas les siennes ! Elle ne dit jamais "je suis dĂ©solĂ©e pour...", a toujours raison, et quand elle a pris un truc qui n'est pas Ă elle, elle dit "je me suis permise de .....", au lieu de demander avant !!! Elle est sans-gĂȘne, mal Ă©levĂ©e, insolente, odieuse, et avec mon copain, aprĂšs 2 sĂ©parations, nous sommes encore ensemble - Ă l'insu de nos parents normalement, sauf si ma mĂšre est venue espionner, ce qui serait bien son genre - et si par hasard mais ça m'Ă©tonnerait que ça arrive !, nous devions revivre ensemble, j'aimerais qu'elle ait trouvĂ© une maison pour vivre ici, parce que me la coltiner Ă domicile quand les enfants de mon chĂ©ri sont en vacances, merci bien !!! Bon, eh bien bon courage aux "belles-filles de sorciĂšre", parce que-lĂ , si tu lançais un appel, tu ferais "pĂ©ter le serveur" du site !!!!!!!!!!!! Bises, la-cigale
A premiĂšre vue, il en a toutes les caractĂ©ristiques, mais le palmier nâest pas un arbre. Câest une plante de la famille des monocotylĂ©dones. Explications dans ce nouvel Ă©pisode de C plante gigantesqueUn palmier est une plante de la mĂȘme famille que les joncs ou les bananiers, qui peut atteindre jusqu'Ă 20 mĂštres de hauteur. En effet, lorsquâon regarde de plus prĂšs, le palmier ne dispose pas de tronc, mais une tige, que lâon nomme le stipe. Lorsquâon coupe, le stipe dâun palmier, on ne distingue aucun cerne, les anneaux concentrĂ©s qui permettent de connaĂźtre lâĂąge dâun arbre. A la diffĂ©rence dâun arbre, le stipe se dĂ©veloppe en largeur avant de prendre de la hauteur. Enfin, le palmier nâa pas de branches, mais des palmes en forme dâĂ©ventails ou de plumes selon les espĂšces.© CrĂ©dits images MIXKIT / PEXELS / SHUTTERSTOCK / UNSPLASH / DR Producteur Elephant AdventuresAnnĂ©e de copyright 2022AnnĂ©e de production 2022PubliĂ© le 01/04/22ModifiĂ© le 20/04/22Ce contenu est proposĂ© par
comment reconnaĂźtre un sorcier dans la famille