đŸżïž Chasse Au Sanglier Dans Les Landes

LaFDC40 est une association agréée au titre de la protection de la nature depuis 1978. Elle fĂ©dĂšre 111 chemin de l'HertĂ©, 40465 Pontonx-sur-l'Adour Aumilieu des annĂ©es 1980, environ 500 sangliers Ă©taient prĂ©levĂ©s annuellement par les chasseurs dans les Landes. En 2000, on approchait les 2 500 bĂȘtes pour environ 340 000 € de dĂ©gĂąts dans les cultures. L'an passĂ©, suivant une courbe exponentielle, ce sont 15 000 animaux qui ont Ă©tĂ© abattus, avec un record de 500 dossiers d'indemnisation et 1 067 hectares LedĂ©partement des Landes est placĂ© en vigilance jaune "renforcĂ©e" pour vents violents et orages Fermeture exceptionnelle des services de l’État le vendredi 31 mai 2019 Ouverture anticipĂ©e de la chasse au sanglier et au chevreuil Ă  compter du 1er juin 2019 JournĂ©e nationale d’hommage aux morts pour la France en Indochine Eneffet, le 23 juin dernier, la fĂ©dĂ©ration des chasseurs des Landes a organisĂ© une battue de rĂ©gulation aux sangliers tout Ă  fait exceptionnelle en conviant 40 chasseurs Ă  encercler une parcelle de colza pendant sa moisson. L’objectif Ă©tait bien Ă©videmment de pouvoir prĂ©lever un maximum de sangliers dans ce secteur oĂč les dĂ©gĂąts sont nombreux. NouvelleBattue au sanglier avec du gibiers Ă  la clĂ©s ! Suivez moi sur facebook : IlsĂ©taient 555 en 2018, 370 en 2017 et 169 en 2016.330 ACCA (associations communales de chasse agréées) sont rĂ©pertoriĂ©es dans les Landes. La suite de cet article est rĂ©servĂ©e aux abonnĂ©(e)s. Unebattue aux sangliers sans fusils, ce dimanche 13 fĂ©vrier dans les Landes. L’Association Communale de Chasse Agréée (ACCA) de SolfĂ©rino, organise une battue aux sangliers Ă  proximitĂ© d’habitations, le dimanche 13 fĂ©vrier, et qui se fera sans coup Faits Divers 7 mois ago. Le tireur prĂ©sumĂ© d’un accident de chasse dans les Landes mis en examen pour homicide Deuxchiens de chasse sont morts de la maladie d’Aujeszky dans les Landes. (illustration ©FĂ©dĂ©ration des chasseurs de l’Oise) Les faits remontent au 13 fĂ©vrier dernier, quand le TRAIMONDBernard. 17,00 €. TTC. Un ouvrage de Bernard Traimond pour comprendre les enjeux de la chasse aux sangliers, une vĂ©ritable confrontation avec le Accidentsde chasse dans les Landes : plusieurs affaires entre les mains du parquet PubliĂ© le 21/09/2020 Ă  19h27 ‱ Mis Ă  jour le 22/09/2020 Ă  07h14 Écrit par C.O Uneassociation dĂ©nonce des arrĂȘtĂ©s prĂ©fectoraux pris le 8 avril dernier qui autorisent les destructions de sangliers. Des chasses qui Chasseau sanglier en Battue - Tir de sangliers et d'un brocard . Chasse Passion. 2:16. La Moselle-Est touchĂ©e par les dĂ©gĂąts liĂ©s aux sangliers, le prĂ©sident de la fĂ©dĂ©ration des chasseurs de Moselle s'exprime. Le RĂ©publicain Lorrain. 6:10. Chasse au Sanglier - Belle battue aux sangliers ! Chasse Passion. 7:02. Chasse Sanglier Battue de Sangliers au Maroc. Re sanglier Ă  l'arc dans les Landes. Un bien beau moment que tu nous raconte lĂ , une sortie entre copains, une traque, un bel animal, l'adrĂ©naline de l'approche, le tir, la recherche avec la travail du chien, une belle frousse (qu'on aurait tous eu), tout y est, bravo ! Pourdemander une telle autorisation, il faut utiliser l’ imprimĂ© de demande pour 2022 (format pdf - 195.8 ko - 07/02/2017) ) et le retourner Ă  l’adresse mel suivante : ddtm-chasse@ cas de dĂ©gĂąts et de nĂ©cessitĂ© d’intervention, il est Ă©galement possible de s’adresser au lieutenant de louveterie du secteur. Entrele Loiret, le Cher et le Loir-et-Cher : 500.000 hectares, aux trois quarts boisĂ©s et rĂ©putĂ©s giboyeux depuis des siĂšcles. La grande propriĂ©tĂ© de chasse modĂšle le paysage de la Sologne. oDB8. PrivĂ©s des 15 derniers jours de la saison du 15 au 30 mars pour...PrivĂ©s des 15 derniers jours de la saison du 15 au 30 mars pour cause de confinement, les chasseurs craignent une forte augmentation de la population de sangliers et, par consĂ©quence, des dĂ©gĂąts occasionnĂ©s sur les cultures. En raison de la crise sanitaire, les battues administratives ont Ă©tĂ© aussi suspendues. Nous n’avons pas pu assurer notre rĂŽle de rĂ©gulateur et nous n’avons pas pu aller sur le terrain faire des comptages » explique Philippe Etcheveste . Je suis trĂšs inquiet car nous n’avons jamais connu ça. Il n’y a pas de gros dĂ©gĂąts pour le moment mais nous n’avons pas pu faire d’expertises sur le terrain...»PrĂšs de 600 000 € Ă  payerCar s’il y en a, c’est Ă  la fĂ©dĂ©ration de rĂ©gler la facture. Il ne faut pas l’oublier ! » insiste le prĂ©sident. Et celle-ci est salĂ©e. Sur l’annĂ©e Ă©coulĂ©e, nous avions budgĂ©tisĂ© 200 000 € mais nous avons eu 540 000 € de dĂ©gĂąts, soit environ 600 000 € en comptant les frais d’expertises... Cela reprĂ©sente 25 % du budget de la fĂ©dĂ©ration ! » Et Philippe Etcheveste de relever Dans les Landes, ils en sont Ă  1,4 million d’euros ! » Le conseil dĂ©partemental a dĂ» mettre la main Ă  la poche 500 000 € pour Ă©viter Ă  la fĂ©dĂ©ration landaise de mettre la clĂ© sous la coup, les chasseurs rĂ©clament une modification de la loi en faveur d’un partage de l’addition et envisagent d’amener le dossier devant les tribunaux. C’est une question de survie des fĂ©dĂ©rations » estime le prĂ©sident battues limitĂ©es Ă  10AutorisĂ©e par dĂ©cret ministĂ©riel, cette ouverture anticipĂ©e au 1er juin est dĂ©sormais du ressort du prĂ©fet. Pour Philippe Etcheveste, elle ne fait aucun doute. L’arrĂȘtĂ© est Ă  la signature » estime-t-il. Vendredi dernier, lors d’une confĂ©rence de presse, Eric Spitz avait estimĂ© que la date du 1er juin Ă©tait prĂ©maturĂ©e car l’arrĂȘtĂ© est en cours de consultation » . Il misait plutĂŽt pour une rĂ©ouverture Ă  la mi-juin ».Quelle que soit la date, les chasseurs ne pourront reprendre leur activitĂ© que sous certaines conditions et dans le respect des consignes sanitaires. C’est assez lourd mais il faut accepter les contraintes. Les battues seront limitĂ©es Ă  10 personnes maximum » souligne-t-il pour exemple. La fondation Bardot demande au prĂ©fet de refuser MobilisĂ©e contre cette ouverture anticipĂ©e et contre la chasse en gĂ©nĂ©ral, la fondation Bardot appelle les gens Ă  se manifester » Ă  l’occasion de la consultation publique encore en cours dans certains dĂ©partements. Dans le 64, celle-ci est ouverte jusqu’au 19 mai. Il faut se mobiliser pour refuser » insiste Daniel Raposo, dĂ©lĂ©guĂ© dĂ©partemental de la fondation. Ce dernier appelle ainsi le prĂ©fet Eric Spitz Ă  ne pas autoriser cette ouverture anticipĂ©e ». Daniel Raposo balaie l’argument de surpopulation avancĂ© par les chasseurs C’est une façon de justifier leur passion », s’interrogeant S’ils sont en surnombre, pourquoi y aurait-il en France des Ă©levages de gibier ? ». Le dĂ©fenseur de la cause animale prĂ©fĂšre faire confiance Ă  la nature, qui sait s’autorĂ©guler ». Le conseil constitutionnel a rejetĂ© ce vendredi les arguments des chasseurs qui ne veulent plus indemniser seuls les dĂ©gĂąts aux rĂ©coltes du grand gibier. Archive PP Par SĂ©bastien Lamarque, publiĂ© le 20 janvier 2022 Ă  18h46, modifiĂ© le21 janvier 2022. Les fĂ©dĂ©rations nationale, des Landes, du Gers et du Gard ont saisi le Conseil constitutionnel pour abroger les rĂšglements des indemnisations des dĂ©gĂąts du gros gibier. Fin de non recevoir. Les chasseurs ne veulent plus payer, seuls, les indemnisations des agriculteurs pour les dĂ©gĂąts du gros gibier. La fĂ©dĂ©ration nationale de chasse mais Ă©galement les fĂ©dĂ©rations des Landes, du Gers et du Gard, ont saisi tour Ă  tour le Premier ministre, le Conseil d’État et le Conseil constitutionnel pour faire abroger les rĂšglements qui codifient ces indemnisations. Face Ă  la prolifĂ©ration, notamment, des sangliers, les finances de certaines fĂ©dĂ©rations sont exsangues. La monoculture du maĂŻs, trĂšs prĂ©gnante dans les Landes ou le Gers, explique en partie la prolifĂ©ration... La monoculture du maĂŻs, trĂšs prĂ©gnante dans les Landes ou le Gers, explique en partie la prolifĂ©ration des sangliers et des dĂ©gĂąts aux rĂ©coltes. Archive Nicolas Sabathier Retour sur une procĂ©dure judiciaire plus complexe qu’une traque sous une pluie battante. Les fĂ©dĂ©rations des Landes et du Gers ont Ă©tĂ© les premiĂšres Ă  dĂ©gainer, il y a bientĂŽt un an. Pour la premiĂšre, c’est presque une question de survie. Les indemnisations des dĂ©gĂąts du gros gibier plombent les finances. L’exercice budgĂ©taire 2016 s’était soldĂ© sur un rĂ©sultat nĂ©gatif de - 61 000 euros. Celui de 2019 chute Ă  - 1,6 million d’euros. DĂ©ficit intenable »L’avocat bayonnais Antoine Tugas, saisi par prĂšs de 8 fĂ©dĂ©rations, dont les Landes et le Gers, va utiliser une Ă  une les cartouches mises Ă  disposition par le droit. Il a d’abord Ă©crit au Premier ministre Jean Castex. Ce dĂ©ficit intenable est le fait exclusif de la loi sur l’indemnisation », fait-il valoir, demandant au conseil des ministres d’abroger les textes d’application de ladite loi ou de prĂ©senter au Parlement une proposition de loi en ce dates Ă  retenir la loi de finances du 27 dĂ©cembre 1968, qui supprime le droit d’affĂ»t la possibilitĂ© pour les agriculteurs de se poster en affĂ»t pour protĂ©ger leurs cultures du gros gibier et oblige les chasseurs Ă  payer les dĂ©gĂąts aux rĂ©coltes liĂ©s aux grands gibiers. La loi Voynet du 26 juillet 2000 qui transfĂšre la charge de ces indemnisations aux fĂ©dĂ©rations de chasse. Les hardes ne s’attaquent pas qu’aux cultures, ici le golf de BillĂšre, qui avait souffert du passage de sangliers. MZIRNHELD Sans rĂ©ponse du Premier ministre dans un dĂ©lai de deux mois, Me Tugas a alors saisi, au mois de juillet dernier, le Conseil d’État, considĂ©rant que ce refus implicite Ă©tait illĂ©gal, et a introduit une QPC, une question prioritaire de constitutionnalitĂ©. Les textes visĂ©s seraient anticonstitutionnels en ce qu’ils constitueraient une rupture de l’égalitĂ© devant les charges publiques et une atteinte disproportionnĂ©e au droit de de chasseursEntretemps, l’avocat du barreau de Bayonne s’est fait griller la politesse par la FĂ©dĂ©ration nationale de chasse qui avait Ă©galement saisi le Conseil constitutionnel. Mais il a pu plaider, pour les fĂ©dĂ©rations des Landes et du Gers, le 11 janvier dernier, devant le conseil des sages prĂ©sidĂ© par Laurent Fabius. Pour les Landes, ce sont 18 824 chasseurs en 2021, lĂ  oĂč ils Ă©taient 40 000 dans les annĂ©es 1980, qui doivent, Ă  eux seuls, assurer cette mission de service public de rĂ©gulation des grands gibiers et l’indemnisation des dĂ©gĂąts. » Le nombre de chasseurs continue de se rĂ©duire, alors que le coĂ»t d’indemnisations des dĂ©gĂąts aux rĂ©coltes explose. Archive Nicolas Sabathier Ce qui a aussi encouragĂ© la prolifĂ©ration du gros gibier, c’est, dit en substance Me Tugas, la monoculture encouragĂ©e dans les annĂ©es 1960 par l’État ». Pour les Landes et le Gers, sur 200 000 hectares de surface agricole utile, la moitiĂ© est exploitĂ©e en production de maĂŻs. Me Antoine Tugas a plaidĂ© devant le Conseil constitutionnel pour les fĂ©dĂ©rations de chasse des Landes et du Gers. Capture Marc Zirnheld L’effet ciseau dans toute sa splendeur moins de chasseurs, mais plus de sangliers, donc plus de dĂ©gĂąts, et un coĂ»t exponentiel des indemnisations qui grimpe avec le cours de certaines cultures supportĂ© par moins de chasseurs. VoilĂ  pour la rupture de l’égalitĂ© devant les charges publiques ». Mais ce rĂ©gime d’indemnisation par les chasseurs est mĂȘme devenu confiscatoire », lorsque ces charges viennent pratiquement priver certaines fĂ©dĂ©rations de leur budget de fonctionnement. C’est comme si l’on demandait aux pompiers d’indemniser les dĂ©gĂąts liĂ©s aux incendies », assĂšne Me Antoine dossier trĂšs politique »Du cĂŽtĂ© des services de l’État, on argue que le coĂ»t total des indemnisations, 71,4 millions d’euros en 2019 et 2020, soit 82 € par chasseur », ne constitue pas une contribution excessive au regard des capacitĂ©s contributives des chasseurs ». D’autant que cette charge poursuit bien un motif d’intĂ©rĂȘt gĂ©nĂ©ral ». Enfin, l’évolution de certaines pratiques de chasse a aussi, selon le reprĂ©sentant de l’État, encouragĂ© la prolifĂ©ration du grand trois mois de l’échĂ©ance prĂ©sidentielle, le dossier est trĂšs politique », confirme un observateur, les chasseurs, ce sont quand mĂȘme 4 millions d’électeurs ». Mais Ă  en croire Me Tugas, c’est moins le calendrier politique que l’urgence au niveau des exercices comptables qui a fait que la procĂ©dure est en cours aujourd’hui ».Le Conseil constitutionnel a rendu sa dĂ©cision ce vendredi Ă  18 heures. C’est une fin de non-recevoir que les chasseurs ne devraient pas trĂšs bien encaisser. Le Conseil constitutionnel rejette les arguments des chasseurs La dĂ©cision est tombĂ©e ce jeudi soir. Les textes d’application des indemnisations des dĂ©gĂąts aux rĂ©coltes sont dĂ©clarĂ©s conformes Ă  la Constitution » par le Conseil constitutionnel, qui rejette les arguments des chasseurs. Compte tenu de la charge financiĂšre que reprĂ©sente en l’état l’indemnisation des dĂ©gĂąts causĂ©s par le grand gibier, les dispositions contestĂ©es n’entraĂźnent pas de rupture caractĂ©risĂ©e de l’égalitĂ© devant les charges publiques », a considĂ©rĂ© le conseil des sages. C’est raide », commente-t-on pour l’heure dans le 64. Une visioconfĂ©rence entre fĂ©dĂ©rations de chasses est prĂ©vue ce vendredi Ă  la mi-journĂ©e. Il vous reste 90% de cet article Ă  lire Comprendre DĂ©couvrir Agir Pratiquer Consultations publiques relatives aux chasses traditionnelles Seules 3 chasses traditionnelles ont Ă©tĂ© inscrites Ă  l’ordre du jour du CNCFS du 20 juillet dernier la chasse aux matoles, la chasse aux pantes et la tenderie aux vanneaux. La glu et la tenderie aux grives en sont injustement Ă©cartĂ©es. Ce n’est donc qu’une premiĂšre Ă©tape. Les chasses traditionnelles sont strictement encadrĂ©es. Pour participer aux consultations publiques relatives aux chasses traditionnelles matoles, pantes et tenderies aux vanneaux, il vous suffit de cliquer sur DĂ©poser votre commentaire et prĂ©ciser en objet du message que vous ĂȘtes FAVORABLE Ă  chacun des 3 projets. Pour justifier votre avis, dans le corps du message, vous pouvez reprendre l’une de ces formulations, Ă©ventuellement l’amender, ou faire votre propre commentaire La Cour de justice de l’Union europĂ©enne et le Conseil d’État n’ont jamais prononcĂ© l’illĂ©galitĂ© des chasses traditionnelles Seuls les arrĂȘtĂ©s annuels fixant le nombre de spĂ©cimens chassables ont Ă©tĂ© annulĂ©s et suspendus Seules les carences affectant la motivation de leurs arrĂȘtĂ©s cadres ont motivĂ© ces dĂ©cisions Les juges europĂ©ens et français n’ont jamais dit que les chasses aux pantes et aux matoles et que les tenderies aux vanneaux n’étaient pas sĂ©lectives La directive Oiseaux » autorise, en l’absence d’autre solution satisfaisante, l’emploi de mĂ©thodes de chasse traditionnelles destinĂ©es Ă  permettre, dans des conditions strictement contrĂŽlĂ©es et de maniĂšre sĂ©lective, la capture ou la dĂ©tention de petites quantitĂ©s d’oiseaux Les chasses traditionnelles ne conduisent qu’à la capture de petites quantitĂ©s d’oiseaux moins de 1% de la mortalitĂ© annuelle des populations chassĂ©es et n’ont donc aucun effet sur l’état de conservation des populations concernĂ©es Avec les nouveaux arrĂȘtĂ©s, le suivi des plafonds de prĂ©lĂšvements se fera en temps rĂ©el grĂące Ă  l’utilisation de l’application ChassAdapt » Les chasses traditionnelles sont strictement encadrĂ©es Avec les nouveaux arrĂȘtĂ©s cadres, leurs spĂ©cifications techniques ont Ă©tĂ© renforcĂ©es Avec les nouveaux arrĂȘtĂ©s cadres, les chasseurs doivent dĂ©sormais suivre une formation La sĂ©lectivitĂ© est assurĂ©e par un grand nombre de spĂ©cifications techniques Les chasses traditionnelles intĂšgrent un ensemble de cultures et de traditions locales qui dĂ©passent la simple conservation d’un usage cynĂ©gĂ©tique Elles sont dans la continuitĂ© de savoirs et de savoir-faire cynĂ©gĂ©tiques qui appartiennent Ă  l’histoire et au patrimoine de la France et de l’humanitĂ© Elles vĂ©hiculent un patrimoine architectural, artisanal, culinaire, cynĂ©gĂ©tique et linguistique propre aux dĂ©partements dans lesquels elles se pratiquent L’élevage et la chasse Ă  tir ne constituent pas des solutions alternatives satisfaisantes Les chasses traditionnelles sont strictement contrĂŽlĂ©es et les contrevenants peuvent ĂȘtre sanctionnĂ©s. Consultations publiques relatives Ă  l'usage de la chevrotine dans le dĂ©partement des Landes Pour participer Ă  la consultation publique relative Ă  l’usage de la chevrotine dans le dĂ©partement des Landes, il vous suffit de cliquer sur DĂ©poser votre commentaire et prĂ©ciser en objet du message que vous ĂȘtes FAVORABLE au projet. Pour justifier votre avis, dans le corps du message, vous pouvez reprendre l’une de ces formulations, Ă©ventuellement l’amender, ou faire votre propre commentaire AprĂšs plusieurs annĂ©es d’expĂ©rience, l’emploi de la chevrotine pour la chasse Ă  tir du sanglier dans les Landes a montrĂ© son efficacitĂ© ; Elle est efficace pour la rĂ©gulation des populations de bĂȘtes noires ; Elle permet donc de limiter la facture des dĂ©gĂąts de grand gibier ; Elle n’est pas plus accentogĂšne contrairement aux idĂ©es reçues ; L’ensemble des acteurs locaux soutiennent ce texte. Consultations publiques relatives Ă  Ă  la suspension de la chasse du grand tĂ©tras Pour participer Ă  la consultation publique relative Ă  la suspension de la chasse du grand tĂ©tras, il vous suffit de cliquer sur DĂ©poser votre commentaire et prĂ©ciser en objet du message que vous ĂȘtes DÉFAVORABLE au projet. Pour justifier votre avis, dans le corps du message, vous pouvez reprendre l’une de ces formulations, Ă©ventuellement l’amender, ou faire votre propre commentaire La suspension de la chasse aura un effet contre-productif en rĂ©duisant l’effort des chasseurs en termes d’amĂ©nagement des habitats La diminution des populations de grand tĂ©tras n’est pas due Ă  la chasse Les causes de son dĂ©clin sont connues modification et fragmentation de l’habitat, dĂ©rangements causĂ©s par les activitĂ©s humaines, collisions avec les infrastructures cĂąbles de remontĂ©es mĂ©caniques, lignes Ă©lectriques, etc. Dans les massifs oĂč la chasse du grand tĂ©tras est interdite Vosges, Jura, les populations ne se portent pas mieux. Il a mĂȘme disparu L’apport du monde de la chasse Ă  la conservation des populations de grand tĂ©tras est substantiel investissement pour l’acquisition de connaissances et investissement pour l’amĂ©nagement du territoire enrichissement vĂ©gĂ©tal, rĂ©ouverture des milieux, rĂ©introduction d’espĂšces partenaires Le suivi de l’espĂšce et l’amĂ©lioration de sa connaissance scientifique implique que les chasseurs continuent Ă  prĂ©lever un nombre minimum de spĂ©cimens La suspension de la chasse aura un effet contre-productif en rĂ©duisant l’effort des chasseurs en termes d’amĂ©nagement des habitats C’est un dĂ©ni de justice, ni le ministĂšre, ni le Conseil d’État n’ont permis aux chasseurs de participer au dĂ©bat contentieux prĂ©cĂ©dent la suspension de cette chasse La chasse du grand tĂ©tras devrait davantage s’appuyer sur une logique de gestion adaptative Nous vous rappelons toute l’importance qu’il convient d’apporter Ă  ces consultations publiques. Merci pour votre engagement Ă  nos cĂŽtĂ©s. L’union fait la force ! DĂ©couvrez aussi Accueil ActualitĂ©s 5 nouvelles consultations publiques dĂ©posez un avis avant le 10 aoĂ»t prochain ! PubliĂ© le 25 nov. 2021 Ă  1318Fairways labourĂ©s, abords des greens dĂ©vastĂ©s
 L'an dernier, juste avant NoĂ«l, les sangliers se sont invitĂ©s sur le golf de Moliets dans les Landes, causant euros de dĂ©gĂąts sur 20 hectares. Au prix d'un investissement de euros, le site est dĂ©sormais entourĂ© d'une clĂŽture grillagĂ©e doublĂ©e d'un fil Ă©lectrique avec des chemins Ă©quipĂ©s de passages canadiens empĂȘchant les animaux de traverser. Certains agriculteurs se lancent Ă©galement dans la mise en place de clĂŽtures. D'autres solutions sont dĂ©sormais utilisĂ©es comme le piĂ©geage des animaux . Le dĂ©partement des Landes est le premier Ă  l'avoir autorisĂ© en novembre CabĂ© est Ă  la tĂȘte d'une exploitation de 300 hectares dont une trentaine principalement de maĂŻs a Ă©tĂ© ravagĂ©e en avril dernier avec une perte estimĂ©e Ă  euros. Avec d'autres agriculteurs, il a choisi la solution des piĂšges qui ont dans un premier temps pris la forme de cages en mĂ©tal. Puis, ils ont eu l'idĂ©e d'utiliser des filets aprĂšs avoir trouvĂ© sur Internet des vidĂ©os montrant aux Etats-Unis le piĂ©geage de sangliers ». Les piĂšges, en forme de grande nasse de dix mĂštres de diamĂštres, ont Ă©tĂ© fabriquĂ©s par Altela, une entreprise de SĂ©mĂ©ac Hautes-PyrĂ©nĂ©es qui produit toutes sortes de filets pour protĂ©ger les Ă©difices ou se prĂ©munir des chutes de filets de piĂ©geage contre les sangliers C'est moins dangereux que la cage pour les personnes autour et cela permet de prendre plusieurs animaux Ă  la fois », prĂ©cise AurĂ©lien CabĂ©. L'industriel a dĂ©jĂ  vendu 25 piĂšges qui, une fois montĂ©s, rĂ©sistent Ă  un choc de plus de six tonnes et peuvent emprisonner plusieurs animaux Ă  la fois. AprĂšs les Landes, nous avons dĂ©sormais des demandes de Haute-Garonne, d'ArdĂšche, de Gironde et mĂȘme de la Marne », explique Pierre-Yves Maniaval, le directeur poids des chasses traditionnellesSi plus d'une quarantaine d'animaux ont Ă©tĂ© capturĂ©s depuis le mois d'avril, il est encore trop tĂŽt pour connaĂźtre l'efficacitĂ© du piĂ©geage. Je ne pense pas que cela suffise Ă  faire baisser la population. Les femelles ont dĂ©sormais des portĂ©es de 7 ou 8 marcassins avec des hardes de 15 Ă  20 sangliers qu'on ne voyait pas avant », insiste AurĂ©lien CabĂ©. Face Ă  une population en croissance et des dĂ©gĂąts qui augmentent, la tension monte avec les chasseurs. La FĂ©dĂ©ration dĂ©partementale des chasseurs des Landes, qui invoque un dĂ©ficit de 1,6 million d'euros, a refusĂ© d'indemniser les agriculteurs pour les dĂ©gĂąts commis par le gibier l'an situation est particuliĂšre dans la rĂ©gion oĂč les chasseurs sont trĂšs mĂ©contents de la suspension des chasses traditionnelles par le Conseil d'Etat . Et les chasseurs n'hĂ©sitent pas Ă  faire monter la pression. On recense chasseurs dans le dĂ©partement mais si les chasses traditionnelles disparaissaient, ce chiffre pourrait s'effondrer, la rĂ©gion n'a pas une grande tradition de chasse au grand gibier », prĂ©vient Jean-Luc Dufau, le vice-prĂ©sident de la FĂ©dĂ©ration des chasseurs des affronter la montĂ©e des incertitudes ?Inflation, hausse des taux d’intĂ©rĂȘt, Ukraine et maintenant incertitude politique, les chocs se multiplient. Pour Ă©voluer dans un environnement de plus en plus complexe, l’expertise de la rĂ©daction des Echos est prĂ©cieuse. Chaque jour, nos enquĂȘtes, analyses, chroniques et Ă©dito accompagnent nos abonnĂ©s, les aident Ă  comprendre les changements qui transforment notre monde et les prĂ©parent Ă  prendre les meilleures dĂ©couvre les offres

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